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Lettre ok. AAAFn.7 - 2005

1. int gration dans environnement syst me sous Excel validation sur un concept de lanceur r utilisable 2004 Projet de fin d tudes 4 mois Universit POSTECH Cor e du Sud tude num rique de mod les d crivant la formation d esp ces polluantes dans les moteurs diesel tude des mod les d mission NOx fum es int gra tion dans un code de combustion tudes de sensibilit et comparaison avec les donn es exp rimentales 2003 Stage ing nieur 3 mois SNECMA MOTEURS division Grosse Propulsion Liquides Vernon Simulation Monte Carlo pour les pr visions de perfor mances du moteur HM7B sur ARIANE 5 ECA Programmation FORTRAN d une technique de tirage al atoire qui simule les dispersions de performances vali dation fonctionnelle sur des donn es mission ARIANE 4 Mini Projets Ecole e Avant projet de microsatellite d observation de la Terre en orbite basse SSO e tude thermique d un mod le simplifi du satellite SPOT sances de la fili re espace gt avec un approfondissement dans la conception m canique des lanceurs et des syst mes spatiaux 6 mois d enseignement avec des mini projets en quipe vari s encadr s par les acteurs industriels et institu tionnels du monde spatial Enfin mon stage final de Mast re chez EADS ST 5 mois concernait le d veloppe ment d un outil d avant projet d di l tude exploratoire d un premier tage de
2. EDITORIAL N 7 JUILLET AOUT 2005 APT au CHERS AMIS BONJOUR TOUS A l issue de notre derni re Assembl e G n rale j ai eu l honneur de me voir veau proposer la Pr sidence de l AAAF charge lourde mais enthousiasmante que accept e par conviction que que nous sons ensemble au sein de notre association est d une grande utilit Le bureau de notre association qui partage avec moi cette lourde responsabilit a quelque peu volu comme doit voluer toute quipe soucieuse de r pondre au mieux aux sollicitations des adh rents avec la pr oc cupation permanente que tous vous puissiez vous reconna tre au sein de notre soci t savante Durant cinq ann es G rard LARUELLE a occup le poste de Secr taire G n ral de notre association avec grand talent Je tiens ici le remercier officiellement pour son engagement total et parfaitement d sint ress ainsi que pour son apport reconnu l AAAF G rard LARUELLE notamment apport avec l aide de Francis LEB UF une impulsion d cisive au plan d action de l AAAF que nous avons d cid au profit des jeunes tu diants des jeunes ing nieurs en d but de carri re pro fessionnelle et des du domaine a rospatial et dont la Lettre AAAF s est fait l cho dans son dernier num ro lt Sp cial Jeunes gt Je dois d ailleurs dire ma grande satisfaction de voir des rencontres organis es par
3. voit appa ra tre une floraison d appareils de tous types avions militaires r action Ouragan Myst re de M Dassault Triton Espadon Vautour et Trident de la SNCASO Mistral Grognard Baroudeur et Durandal de la SNCA SE C t avions civils il est difficile de rivaliser avec les productions am ricai nes et anglaises notons le MD 315 le Br guet Deux Ponts le SO Bretagne ainsi que le Languedoc 161 et l Armagnac La naissance de la CARAVELLE Aussi d s le d but des ann es 50 les Pouvoirs Publics exigent une remise en ordre et vont se dessiner lentement SNCASE Soci t Nationale de Constructions A ronautiques du Sud Est SNCASO Soci t Nationale de Constructions A ronautiques du Sud Ouest deux branches a ronautiques l une militaire domin e par la firme Dassault l autre civile qui se regroupera autour des cr ateurs de Caravelle Voulant r duire l h morragie des devi ses les services de l Etat r clament la r alisation d un moyen courrier Plusieurs soci t s pr sentent des pro jets les avions r action seront privil gi s au d triment des turbo propul seurs L apparition en 1949 du Comet Britannique a montr la voie au B E de la SNCASE de Toulouse Sa finesse de vol sa vitesse son confort n chappent pas leur attention Sup port notamment par Henri ZIEGLER Directeur G n ral d Air France c est le projet SE 210 qui r pond apparem ment le mieux a
4. Les Samedis de l Histoire t l 01 34 60 11 34 courriel philippe jung space alcatel fr 24 sept Mus e de l Air et de l Espace L incroyable d couverte de l avion de St Exupery 14h30 Le Bourget par Marc ALBAN AAMA et Philippe JUNG AAAF Les Rendez Vous de ANAE a n a ewanadoo fr www anae fr 17 19 oct TOULOUSE Colloque sur lt l automatisation du syst me IAS syst me de transport a rien gt Une croissance moyenne du trafic a rien de l ordre de 4 par an reste fort probable dans les prochaines ann es Dans un tel sc nario il semble bien que seule une plus grande automatisation du syst me de transport a rien pourra garantir une s curit au moins gale celle d au jourd hui la s ret des vols et une plus grande efficacit 8 9 nov AIX PROVENCE Colloque lt L h licopt re missions et perspectives gt Palais des congr s Le point sur l tat de l art des a ronefs voilures tournantes et de leurs applications civiles et militaires L re industrielle de l h licopt re atteint en effet le demi si cle Or il reste mal connu La 3 me rencontre du 13 octobre 2005 SE TIENDRA APR S MIDI L ENSTA 32 BOULEVARD VICTOR 75015 PARIS ET PORTERA SUR LES OUVRAGES TH MATIQUES lt LES MOTEURS gt ET lt LES AVIONS CIVILS gt Le Comit pour l histoire de l A ronautique t cr par l Ing nieur g n ral de l armement Emile BLANC pour rec
5. la technologie galopante l Homme reste un invariant Les princi pes initiaux centr s sur le Comment faire sont compl t s par le lt Pourquoi le faire gt avec une forma tion ducation au comportement indi viduel et en quipage Crew Resour ces Management Les objectifs p dagogiques principaux sont l vitement et correction des erreurs l utilisation de la pratique m me dans l enseignement des connaissances la recherche permanente des meil leures m thodes de cotation des comp tences acquises la relation directe avec la r alit op rationnelle essais en vol instructeurs op rationnels retour d exp rience vols chez les clients utilisation de la documentation op rationnelle les contacts amont avec les bureaux d tudes la particularisation des cours origj nes stagiaires version avion du client SYNTH SE DES OBJECTIFS LOGISTIQUES ET FINANCIERS Les objectifs de base sont la recherche de l conomie optimale utilisation efficace des personnels et des mat riels surtout les plus co teux Full Flight Simulators Part Task Trainers recherche du temps minimal d utili sation des avions Z ro Flight Time la recherche du temps minimal des sessions de OT Avec pour cons quence l optimisation des moyens fonction des cadences de livraison des avions l optimisation du nombre et des configurations des mat ri
6. tant puis et les questions inexistantes la s ance du Philippe CAZIN 1 Conseil est lev e 19h30 i Fran ois FALEMPIN I 1 Laurent GATHIER PALMES AAAF 2004 Lors de l Assembl e g n rale de l AAAF du 26 mai dernier le pr sident SCHELLER honor solennellement Cl ment DOUSSET m rite 3 Au cours de la discussion qui a pr c d le vote le montant de la cotisation d un Etudiant n appartenant pas une Ecole cotisante et celui des adh EN rents non imposables t abord ainsi que la n cessit pour la cotisation d une r f rence au premier janvier de l ann e en cours Ces questions seront instruites par le bureau Bordeaux Sud Ouest LA DEFINITION ET LA MISE EN PLACE D UNE QUALI FICATION DE TYPE AVION MODERNE PAR JEAN PINET CONSULTANT A RONAU TIQUE ANCIEN PILOTE INSTRUCTEUR SUR lt CONCORDE gt lt AIRBUS gt La Qualification de Type QT dont les m thodes adopt es sont applicables toute utilisation de machine est une formation de transition permettant un pilote d avion en possession d une licence d utiliser un avion nouveau Elle est remarquable par son accumulation de contraintes ses avanc es technolo giques et sa diversit Environ 200 personnes dont de nomb reux l ves ing nieurs de ENSAM ont assist le 18 janvier dernier cette conf rence de Jean PINET organis e FENSAM de Bordeaux conjointement par le Groupe r gional AAAF Bordeau
7. nir le d veloppement de nouvelles commissions techniques et encourager la r alisation de travaux et l intensifica tion des changes entre ses membres 2004 a vu la cr ation de Bruit et Nuisances pr sid e par Dominique COLLIN le red collage difficile de la commission lt Aviation l g re gt pr si i Pr sentation des comptes 2004 par G rard LARUELL d e maintenant Claude LE TALLEC un d collage plut t lent de Plus l ger que l air pr sid e par Philippe GUICHETEAU AFFAIRES INTERNATIONALES Un collaboration fructueuse a t men e dans ce domaine avec dans le groupe du groupe de travail L Espace au service de la D fense sous la pr sidence de G rard BRACHET pr sident de la Commis sion Espace de et de Bernard DELOFFRE de la Commission Inter nationale de concr tis e par un rapport transmis en avril 2005 aux d ci deurs concern s L AAAF s est fortement impliqu e dans l volution de la CEAS vers une v rita ble association europ enne malgr de tr s fortes r ticences de nos coll gues anglais Une analyse conjointe a t faite des statuts et des r glements et une signature n est pas exclue dans un proche avenir JEUNES De multiples actions ont t engag es en 2004 en direction des jeunes 1 PRIX ET GRADES 2004 a vu une remise niveau des gra des avec la nomination de 36 seniors 27 m rites et la remise de 4 Palmes AAAF au
8. qui d mon trera une grande fiabilit et un confort sortant de l ordinaire L avion vole pr s de 800 km h 10 000 m tres d altitude ses r acteurs soul vent 46 tonnes pour une capacit de 99 pas sagers La production en s rie Le lancement en s rie va permettre de r unir la SNCASO la SNCASE pour former Sud Aviation L apport de la SNCASO h riti re d avions Bloch Bl riot Lior 1 Olivier Nieuport hydravions Loire sera un plus d ter minant dans la r alisation de ce programme Aux usines de Toulouse et de Marignane vont l atome Dans les ann es 60 cet avion Caravelle sera l ambassadeur de la qualit fran aise au m me titre que le paquebot France ou notre programme de donc s ajouter celles de Nantes St Nazaire Suresnes Rochefort pour ne citer que les plus importantes Des sous traitances de qualit seront ta blies avec Br guet et la Fiat de Turin L assemblage final et les essais en vol ont lieu Toulouse St Martin Un homme aura la lourde t che de met tre lt en musique gt l ensemble des usi nes de Sud Aviation il s appelle Louis GIUSTA et il y parviendra obtenant d excellents r sultats Onze usines 22 000 salari s seront mobilis s pour une activit a ronautique encore jamais vue dans notre pays La politique commerciale Si le signal des ventes est donn en Europe par Air France et la SAS les compagnies nord am ricaines h
9. tion rapide aux individualit s Les qualit s p dagogiques exig es sont une exp rience a rienne pour les cours sur et FFS la sur l avion enseign une licence IPL valide pour la formation en vol et les examens sur FFS Le Centre de formation dispense un formation de base d instructeur les recyclages p riodiques la formation sur les diff rentes versions d avions Un manuel tr s d taill pr cise pour chaque phase chaque exercice chaque l ment d exercice tout que doit conna tre faire dire et enregistrer S ance de formation l instructeur en particulier la cotation et l valuation des comp tences acquises par les stagiaires LA CROSS CREW QUALIFICATION Elle permet la simplification des QT lorsqu on passe d un type d avion un autre pr sentant des similarit s op ra tionnelles importantes C est le cas exemple des A320 A330 A340 ily by wire cockpit et syst mes similai res L analyse des t ches ayant de plus montr que des proc dures pr sentaient des similarit s cognitives dans leur ex cution et leur m morisa tion la formation est effectu e sur des familles de proc dures 20 25 et non Cannes C te d Azur 50 ANS DE CONSTRUCTION ET DE COOP RATION EUROP ENNE L UNION EUROP ENNE EN 2005 UNE CONF RENCE DE JEAN LIZON TATI Jean LIZON TATI Cette conf rence a t pr sent e plu sieurs fois en 2004 et d but 2005 en d autres occ
10. 6 rue Galil e dans les locaux de l A ro Club de France Paris Je me dois de pr ciser pour ceux d entre vous qui l auraient oubli que le Si ge Social de l AAAF est tabli au 6 rue Galil e Bien videmment vous trouverez l des mem bres de notre Bureau et de notre Secr tariat Ex cutif pour r pondre vos pr occupations Mais galement nos charg s de mission qui profiteront de bureaux mis leur disposition Vous trouverez tous les d tails concer nant le fonctionnement de notre Association sur le site web de l AAAF que vous invite visiter tr s souvent C est avec une quipe soud e que nous abordons ce nouveau mandat avec une volont forte de poursuivre le d veloppement de notre association et de favoriser son panouissement Avec des m thodes de travail am lio r es plus dynamiques et efficientes c t des structu res existantes bien implant es et qui ont fait la preuve de leur efficacit des commissions Ad hoc aux mandats limit s dans le temps seront mises en place autant que de besoin pour examiner les sujets dont l importance l urgence justifieront un traitement particulier Pour cela nous n h siterons pas faire appel vos talents Alors Chers Amis faites vous conna tre et enga gez vous nos c t s A ceux et celles qui lors de la lecture de cet ditorial auront d j pris leurs vacances je souhaite bon courage pour une reprise qui doit tre port e par
11. COMPTES DE RESULTATS CHARGES PREVISIONS FIN 2004 2003 2004 2005 REALISATION MN m GG PREVISION 230 REALISATION ND N d Administration SCRUTATEURS ALAIN BOUDIER CHRISTIANE MICHAUT Sont d clar s lus les 8 premiers candidats propos s par le conseil Le pr sident remercie les administrateurs sor tants pour leur d vouement et leur fid lit envers notre association et f licite les nouveaux pour leur lection Cl ture Aucune question n tant soulev e et l ordre du jour tant puis la s ance est lev e 19h30 Compte rendu du Conseil d administration du 26 mai 2005 ADMINISTRATEURS PR SENTS voir sur la photo de gauche droite Jean Fran ois GEORGES G rard LARUELLE Georges VILLE Fanny BOUCHER Michel SCHELLER Jean Michel CONTANT S bastien CANDEL St phane JANI CHEWSKI Georges MEAUZE 3 Au cours de la discussion qui a pr c d le vote le montant de la cotisation d un Etudiant n appartenant pas une Ecole cotisante et celui des adh rents non imposables a t abord ainsi que la n cessit pour la cotisation d une r f rence au premier janvier de l ann e en cours Ces questions seront instruites par le bureau gt PRIX MEDAILLES ASSEMBLEE GENERALE HONORAIRES EXPERT COMPTABLE PLAN A TERMINAISON 2005 MONTANTS EN K 2004 2005 2005 m PRODUITS REALISATION BUDGET PLAN A TERMIN
12. Toulouse Midi Pyr n es l initiative de son pr sident Alain CHEVALIER propose aux lecteurs de LA LETTRE le premier article d une s rie crits par des acteurs du projet A380 et consacr s la gen se de ce formidable succ s de l aviation du 21 me si cle C est le 17 Mai 2004 10h30 que le prototype A340 n 1 quip du moteur Rolls Royce Trent 900 de l A380 s est envol pour un vol de 3h40 Le vol s est bien d roul il a permis aux ing nieurs de constater les qualit s de ce nouveau moteur d veloppant 70 000 livres de pouss e vol fut le premier des 33 vols la campagne d essais totalisant plus de 60 heures de vol et qui s est termin e le 17 ao t dernier Un banc volant qu est ce et pour quoi faire C est un des moteurs d un nouvel avion que accroche la voilure d un autre porteur g n ralement la place d un des moteurs de ce porteur pour le tester en vol sur ce porteur avant les essais en vol du nouvel avion L id e n est pas neuve le CFM56 fut test sur une Caravelle l Olympus le fameux moteur de Concorde fut test sur le bombardier Vulcain Parmi les moteurs r cents de la famille Airbus on peut citer le moteur am ricain de General Electrics le CF6 80 E1 qui fut install sur le Boeing B747 d essais de GE pour tre test en vol au dessus du d sert de Mojave en Californie avant d tre install sur Le moteur anglais de Rolls Royce
13. de FFS conduites en fin de formation destin es valuer de fa on synth tique le niveau des comp tences en quipage et sans instructeur Elles simulent un vol complet pr par et ex cut par un quipage stagiaire sur des sc narios d finis et contr l s par un instructeur R SULTAT FINAL LA M THODE ADOPT 3 Le programme p dagogique est tabli pour la meilleure r partition des TO sur l ensemble des m dia pour une acqui sition pas pas parfois combin e mais en recherchant la simplicit dans les notions complexes et nouvelles Bien qu vitant les duplications certains exercices sont r p t s pour leur aspect critique et ou fr quent en op ration r elle L exp rience op rationnel le reste un l ment d laboration pri mordlial Pour les Airbus le cours au sol comp rend les phases suivantes Ground course CBT PTT Normal Operation and 5 Abnormal Operation and FFS LOFT FFS La comp tence requise des stagiaires est contr l e la fin de chacune des phases Compl ments donn s alors si n cessaire Check final apr s s an ce LOFT INSTRUCTEURS Les instructeurs sont consid r s comme les meilleurs vecteurs pour passer les messages vers les humains les media sont de puissants moyens mais difficiles utiliser sans gestion humaine dans des progres sions rapides sur des sujets et notions complexes lls permettent une adapta
14. fois sup rieure celle d un des moteurs de 40 tout en gardant la contr labili t de l avion il fut d cid de l installer en position interne la place du moteur 2 sous la voilure gauche S est alors pos le probl me de la garde au sol le moteur ne doit pas toucher terre Le probl me fut r solu gr ce un m t sp cifique qui permet l installation du moteur lui relevant l entr e d air de quelques degr s Encore quelques pr cieux centim tres gagn s en sur gonflant d un cot les amortisseurs du train d atterrissage et la garde au sol fut jug e acceptable La voilure connut aussi des adapta tions importantes pour tre capable de tenir les charges normes induites par la masse et la pouss e de ce nouveau moteur la pi ce d interface entre le m t et la voilure de l A330 un fois modifi e et adapt e fit l affaire L adaptation des syst mes La principale difficult fut d adapter les nouvelles technologies des syst mes de 8 au porteur A340 g n ra teur lectrique surpuissant fr quence variable fluide hydraulique pressuris plus de 300 bars au lieu de 200 sur 40 pr l vement pneumatique pour le moteur contr l par l avionique modulaire sur l A380 liaison de type Ethernet entre le calculateur du moteur FADEC et l a vion A380 Ces nouveaut s technolo giques ont aussi fait l objet d tude complexes pour permettre n anmoins l int gration du sy
15. le Trent 700 fut lui aussi test sur un banc volant avant son installa tion sur l A330 Plus r cemment le Trent 500 qui quipe A340 500 600 a t test pr alablement sur l A340 300 n 1 L avantage ind niable d un banc volant est de permettre au nouveau moteur d un nouvel avion d tre valu vol plusieurs mois avant le d but de la campagne d essai de cet avion Ainsi la maturit du syst me propulsif n en sera que meilleure et la campagne d essai de l avion plus efficace L laboration du Banc Volant Une fois l utilit d montr e il a fallu trouver le porteur disponible pour plu sieurs mois de chantier et d essais qui accepterait ce monstre de moteur d un diam tre de soufflante avoisinant les trois m tres Le choix s est finalement port sur 40 n 1 non sans difficul t apr s des circonvolutions du cot de candidats outre Atlantique voire de l Oural Le chantier ne fut pas une mince affaire il n est qu comparer le Trent 900 de 8 au CFM56 de 1 40 300 Plus gros plus lourd plus puissant le Trent 900 ne peut pas se monter la place d un 56 5 4 sans une adaptation complexe n cessitant de nombreux ren forts au niveau de la voilure Les ing nieurs se sont attel s la t che partir de 2001 D abord en quelle position le moteur doit il tre install interne ou externe Pour lui permettre de d velopper sa puissance maximale deux
16. transport remarquable a vion subsonique de transport r action Si rien ne venait l entraver la progres sion devrait se poursuivre un rythme encore soutenu au cours du XXI me si cle un rapport r cent de l Acad mie Nationale de l Air et de l Espace 1 esti qu entre 2000 et 2050 le trafic pour rait ainsi tre multipli par un facteur voisin de 7 et la consommation associ e seulement par un facteur 5 du fait des am liorations d efficacit du moyen de transport et de son exploitation De nombreux obstacles sont pourtant susceptibles de freiner une telle volu 1 Dossier 24 publi en 2004 L impact du trafic a rien sur l atmosph re d Airbus et d EADS de l A380 une gamme de 12 mod les dif f rents 3600 appareils volant dans le monde sous les couleurs de 230 com pagnies a riennes un carnet de com mande de plus de 1500 avions Mais il y a aussi les autres programmes qui d collent avec un avenir certain comme l A400M le NH90 ou le Tigre Un rendez vous important L union conomique est quasiment achev e l Europe a de nouveau sa place sur notre plan te apr s son effa cement en 1945 Mais le mod le euro p en reste consolider C est d j depuis 60 ans un espace de Paix et de D mocratie Le mod le social l euro p enne doit encore s affirmer et l unit politique se pr ciser La richesse est pr sente elle doit diffuser terme vers les 10 nouveaux
17. une plus grande automatisation mais de confronter librement les opinions des diff rents acteurs concern s afin d identifier ce que l automatique pourrait apporter au syst me et pour ouvrir la voie vers de futures tudes Le comit de programme pr sid par Bernard 2 ancien directeur technique d Airbus et membre de l Acad mie pr voit quatre sessions situation actuelle domaine de l automatisation les visions propos es quand et par quel processus d volution actions prioritaires Une table ronde anim e par Bernard Ziegler cl turera ce colloque Grand Amphith tre de l INSTITUT A RONAUTIQUE ET SPATIAL IAS Complexe scientifique de Rangueil 123 avenue Edouard Belin 31400 TOULOUSE FRANCE Renseignements ACAD MIE NATIONALE DE L AIR ET DE L ESPACE Ancien observatoire de Jolimont 1 av Camille Flammarion BP 75825 31505 TOULOUSE Cedex 5 T l 33 0 5 34 25 03 80 Internet www anae fr p3 we AA CONSEIL GENERAL amp Inscriptions ES REGIONAUX u J x kJ w4 lt gt At de celle des connaissances sur la cognition Parmi les points majeurs non encore r solus la pr paration aux situations Inconnues inattendues et dangereu ses le jugement objectif du niveau atteint de comp tence et de son taux de r manence Rationalisation et situation actuelle SYNTH SE DES OBJECTIFS P DAGOGIQUES Face
18. 2004 ACTIF IMMOBILISATIONS INCORPORELLES IMMOBILISATIONS CORPORELLES IMMOBILISATIONS FINANCIERES ACTIF IMMOBILISE AVANCES ET ACOMPTES CLIENTS CREANCES CLIENTS ET COMPTES RATTACHES AUTRES CREANCES VALEURS IMMOBILIERES DE PLACEMENT DISPONIBILIT S BANQUES CCP CHARGES CONSTATEES D AVANCE ACTIF CIRCULANT TOTAL GENERAL ACTIF PASSIF CAPITAL RESERVES ACCUMULEES RESULTAT DE L EXERCICE CAPITAUX PROPRES PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES AVANCES ET ACOMPTES SUR COMMANDES FOURNISSEURS ET COMPTES RATTACHES DETTES FISCALES AUTRES DETTES PRODUITS CONSTATES D AVANCE DETTES TOTAL GENERAL PASSIF 423 29346 6232 36001 4940 149359 66630 286013 136791 97833 141566 777567 1219 341438 0629 348282 98410 13125 179696 0 169964 11490 310879 370875 NOIIVIDOSSV 1 1Q JIA V1 COMPTES DE RESULTATS PRODUITS PREVISIONS FIN 2004 2003 2004 2005 REALISATION REALISATION PREVISION 80 32 22 318 MONTANTS EN COTISATIONS PERSONNES PHYSIQUES COTISATIONS PERSONNES MORALES COTISATIONS DE SOUTIEN BIFAS APPORT VIA CEAS CONTRIBUTIONS DES MANIFESTATIONS MANIFESTATIONS ANTERIEURES PRODUITS FINANCIERS REPRISE SUR PROVISION TOTAUX DES PRODUITS gt I 2 s 8 2 P VS ef TF N LA VIE DE L ASSOCIATION f lt 4 gt E 27 4 MONTANTS EN F
19. AISON COTISATIONS PERSONNES PHYSIQUES 80 gt COTISATIONS PERSONNES MORALES 89 COTISATIONS DE SOUTIEN GIFAS 16 lt APPORT VIA CEAS MEMBRES SUPPL 0 FFI CONTRIBUTIONS DES MANIFESTATIONS 363 MANIFESTATIONS ANTERIEURES 0 PRODUITS FINANCIERS 2 REPRISE SUR PROVISION 39 m TOTAUX DES PRODUITS 589 m CHARGES PLAN A TERMINAISON gt FRAIS DE PERSONNEL 240 LOCAUX AMENAGEMENTS 40 un LOCAUX ET AMENAGEMENTS PARIS 18 DOTATIONS AUX AMORTISSEMENTS 18 O FONCTIONNEMENT SECRETARIAT 55 FRAIS DE MISSION CHARGES DE MISSION 10 A MISSIONS DIVERSES CEAS IGAS 8 TES PUBLICATION LETTRE AAAF 55 gt PUBLICATION LETTRE CEAS 0 SITE WEB 4 29 O t Z COTISATIONS ICAS IAF ISABE 8 i CONTRIBUTION FRAIS SECRETARIAT CEAS 0 af CONTRIBUTION FRAIS DES GROUPES REGIONAUX 40 5 PERTES SUR CREANCES 10 AVOCATS CEAS PROJETS ASSOCIATIFS REUNIONS PRESIDENTS GROUPES REGIONAUX 1 REUNIONS PRESIDENTS COMMISSIONS TECHNIQUES 1 SEMINAIRE BUREAU AAAF 2 MAJORATION PLAQUETTE 1 FRAIS COMITES COMMISSIONS 4 PROMORION RECRUTEMENT 2 PLAQUETTE VERSION ANGLAISE 8 LE BOURGET 19 PROVISIONS PROVISION RISQUE PRUD HOMMAL PROVISION RISQUE COLLOQUES PROVISION PROJETS ASSOCIATIFS TOTAUX DES CHARGES 589 RESULTAT 5 3 4 Une remarque est formul e concernant le montant lev de l exploitation du site web Cette question sera instruite par le bureau RENOUVELLEMENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION Nombres de votants 381 V
20. ES DE MISSION MISSIONS DIVERSES CEAS IGAS IAF PUBLICATION LETTRE PUBLICATION LETTRE CEAS SITE WEB PRIX MEDAILLES ASSEMBLEE GENERALE HONORAIRES EXPERT COMPTABLE COTISATIONS ICAS IAF ISABE CONTRIBUTION FRAIS DES GROUPES REGIONAUX REUNIONS PRESIDENTS GROUPES REGIONAUX REUNIONS PRESIDENTS COMMISSIONS TECHNIQUES PROJETS ASSOCIATIFS SEMINAIRE PERTES SUR CREANCES AVOCATS CEAS PROVISION RISQUE PRUD HOMMAL PROVISION RISQUE COLLOQUES PROVISION PROJETS ASSOCIATIFS co i Je Z DE L ASSOCIATION x 77 er Fy Ze VIE CE 22 He y Fe 4 J st Phad 4 4 L A TOTAUX DES GHARGES RESULTAT Budget Pr visionnel 2005 POINTS MARQUANTS DU BUDGET 2005 Plusieurs actions vont occasionner des frais accrus en 2005 la location de bureaux l A ro Club de France Paris le renforcement de l quipe charg e de la logistique des colloques la relance des activit s des Groupes R gionaux nouveaux groupes et antennes hors de France et des Commissions Techniques la mise en place de la nouvelle organisation de la 5 La r duction de certains postes de d penses surfaces de bureaux Verneuil frais de fonctionnement ne suffira pas compenser ces frai
21. NG Georges MEAUZE R daction T l 01 46 73 37 80 Fax 01 46 73 41 72 E mail lettre aaaf asso fr Ont notamment collabor ce num ro Thierry BOUISSET G rard LARUELLE Jean LIZON TAI Justin MONTHEILLET G rard PERINELLE Michel SCHELLER Jean Claude THEVENIN FRancis RENARD Georges VILLE Cr dits Photos Airbus France Conception Khoa DANG TRAN Sophie BOUGNON R alisation Sophie BOUGNON Imprimerie AGI SYSTEMS D p t l gal 1 trimestre 2004 ISSN 1767 0675 Droits de reproduction texte et illustrations r serv s pour tous pays
22. RAIS DE PERSONNEL LOCAUX AMENAGEMENTS LOCAUX PARIS DOTATIONS AUX AMORTISSEMENTS FONCTIONNEMENT SECRETARIAT FRAIS DE MISSION CHARGES DE MISSION MISSIONS DIVERSES CEAS IGAS IAF PUBLICATION LETTRE PUBLICATION LETTRE CEAS SITE WEB PRIX MEDAILLES ASSEMBLEE GENERALE HONORAIRES EXPERT COMPTABLE COTISATIONS ICAS IAF ISABE CONTRIBUTION FRAIS SECRETARIAT CEAS CONTRIBUTION FRAIS DES GROUPES REGIONAUX REUNIONS PRESIDENTS GROUPES REGIONAUX REUNIONS PRESIDENTS COMMISSIONS TECHNIQUES PROJETS ASSOCIATIFS SEMINAIRE PERTES SUR CREANCES AVOCATS CEAS PROVISION RISQUE PRUD HOMMAL PROVISION RISQUE COLLOQUES PROVISION PROJETS ASSOCIATIFS TOTAUX DES CHARGES RESULTAT Montants des cotisations Le bureau propose soumet au vote de l Assembl e G n rale les nouveaux montants des cotisations pour l ann e 2005 2006 La fixation par le bureau des cotisations pour l ann e 2005 2006 est approuv e pour l Assembl e G n rale la majorit des pr sents 2 votes contre 7 abstentions 3 Renouvellement du conseil MONTANT DES COTISATIONS POUR L ANN E 2005 2006 e Etudiants d une cole cotisante 2004 2008 Membre Titulaire 100 60 Membre Jeune lt 30 ans 20 Membre Retrait Ecoles Universit s 600 Cotisation Soci t s 1200 Cotisation Bienfaiteurs 2400 Cotisation Donateurs 10000 900 1800 8000
23. a Justice et les Affaires int rieures Alors que se profilait l hypoth se d un nouvel largissement le Trait d Amsterdam 1999 posait d j l bauche de nouvelles institutions s es plus tard en 2001 par le Trait de Nice sur des bases qui furent loin de satisfaire tous les Etats Entre temps de 1999 2002 la mise en place de la monnaie unique s effec dans les 12 pays de l Euroland le Danemark le Royaume Uni et la Su de restant en dehors Les nouveaux europ ens L effondrement du bloc sovi tique partir de 1989 est l origine du cin qui me largissement Un lent proces sus de n gociation lanc en 1997 devait s achever par l admission ent rin e en 2002 au Conseil Europ en de Copenhague de 8 pays de l Europe 7 AA it gt lt m A4 52 gt Z continentale Estonie Hongrie Lettonie Lituanie Pologne R publique Tch que Slovaquie et Slov nie plus Malte et Chypre Ces pays rejoignaient officiellement l Union Europ enne le 1er mai 2004 R partis du nord au sud de l Europe ces 10 pays plus lointains et tr s divers sont g n ralement moins bien connus Le conf rencier s est attach passer en revue avec nombreu ses illustrations leurs caract ristiques g ographiques d mographiques cul turelles et conomiques Leur histoire ponctu e par la fluctuation des fronti res les invasions les a
24. asions sous diff rentes ver sions Elle t renouvel e le 5 avril 2005 pour FAAAF C te d Azur sur la deman de du Bureau r gional Ce compte rendu dans sa conclusion ne prend pas en consid ration les r sultats du r f rendum du 29 mai dernier sur lesquels nous ne nous tendrons pas Il reste souhaiter que l avenir de la construction europ enne n en p tisse pas Une Europe partag e entre deux influences Apr s la derni re guerre mondiale la n cessit d une union entre les tats europ ens devint vidente pour tenter d viter tout risque de conflit futur C est aussi malheureusement le d but d un antagonisme Est Ouest qui devait conduire une Europe partag e entre deux influences Malgr cela d s le Congr s de La Haye en 1948 et apr s la cr ation de la CECA 1951 sous l impulsion Robert SCHUMAN et Jean MONNET l id e d une construction europ enne prit corps pour aboutir en 1957 lors du Trait de Rome la Communaut Economique Europ enne des Six Allemagne Belgique France ltalie Luxembourg et Pays Bas Suivirent ensuite 4 largissements successifs en 1973 avec le Danemark l Irlande et le Royaume Uni en 1981 avec la Gr ce en 1986 avec l Espagne et le Portugal enfin avec l Autriche la Finlande et la Su de qui devaient conduire 1995 l Union Europ enne des Quinze Pendant cette p riode et jusqu en 2002 la consolidation de cette nouvel le Euro
25. at lique Midi Pyr n es ont pr sent un ensemble de pi ces maquettes et documents de grande qualit Un ancien pilote de Royal Air Maroc M GRENIER a donn une conf rence Caravelle vue par un pilote M GROSSIN retrait du B E de Sud Aviation a trait de lt L atterrissage tout temps gt et Francis RENARD de l AAAF a pr sent lt L histoire de Caravelle gt L a ronautique fran aise apr s la 2 me guerre mondiale La situation de notre a ronautique la Lib ration tait pour le moins d sas treuse Nos usines contraintes de tra vailler pour l Allemagne avaient t La Caravelle par Jean Pierre CONDAT copieusement bombard es par les Alli s et leur destruction estim e 90 A la Lib ration certains pr conisaient notre avenir a ronautique sous forme de sous traitance ou de coop ration avec l Angleterre et les USA mais n tait pas l avis du chef du gouverne ment provisoire le g n ral de Gaulle qui nomme Charles TILLON ministre de l air avec pour mission de r g n rer notre a ronautique D importantes mesures seront prises pour relancer cette industrie entre autres la cr ation de ONERA l ins tallation du Br tigny d une nouvelle a rogare Orly et bien d au tres dispositions pour redonner l lan n cessaire Des missions techniques partent aussi vers les USA la Grande Bretagne sans oublier l examen des derniers mod les du Reich
26. c certains colloques 2003 Elles ses sont av r es sup rieu res de 18 aux pr visions et le r sul tat comptable 2004 avant provisions pr sente un solde positif de 36 K Les recettes provenant des cotisations bien que tr s l g rement sup rieures celles de 2003 sont toujours insuffi santes Compte tenu des incertitudes restan tes sur les affaires prud hommales des 2003 PREVISION REALISATION 6 risques pris sur certains colloques venir et de la n cessit d avoir une r serve suffisante pour faire face des projets associatifs nouveaux nous avons provisionn une somme de 30 K Dans ces conditions le r sultat final est de 6 K Comme pr vu nous avons mis en place un suivi hebdomadaire de la tr sorerie avec placement des exc dents sur un compte titre de la Soci t G n rale Le gain financier est de l or dre de quelques K Sur le plan de notre organisation comp table gr ce la mise en place de tableaux standard renseigner suellement par les Groupes R gionaux la cl ture des comptes 2004 a t plus satisfaisante que pour les ann es pr c dentes Des am liorations restent encore Indispensables en particulier dans le strict respect des proc dures sans aller jusqu une centralisation compl te Comme les ann es pr c dentes on trouvera sur le site Web de l AAAF une 2 pr sentation des comptes avec les r sultats nets de net des Colloques Ce
27. cours d une grande c r mo nie de remise des prix et grades le 16 septembre 2004 dans les salons de l A ro Club de France voir La LETTRE N 10 Novembre D cembre 2004 MONTANTS EN K COTISATIONS PERSONNES PHYSIQUES COTISATIONS PERSONNES MORALES COTISATIONS DE SOUTIEN GIFAS CONTRIBUTIONS DES MANIFESTATIONS MANIFESTATIONS ANT RIEURES PRODUITS FINANCIERS REPRISE SUR PROVISION TOTAUX DES PRODUITS Bilan 2004 POINTS MARQUANTS DU BILAN 2004 On note au passif une tr s l g re augmentation des taux propres une l g re d croissance des dettes l actif RAPPORT D ACTIVIT Afin d am liorer la visibilit et le r le de notre association vis vis des d ci deurs des grands comptes comme des le pr sident a demand la r alisation d un rapport d activit annuel pour le premier trimestre 2006 2 Le pr sident soumet l assembl e g n rale l approbation du rapport moral pr sent par le Secr taire g n ral L Assem bl e g n rale statuant titre ordinaire apr s avoir entendu la lecture du rap port moral approuve l unanimit des pr sents ledit rapport dans toutes ses parties LES COMPTES DE L ASSOCIATION PAR JEAN CLAUDE THEVENIN TR SORIER Comptes de R sultats de 2004 POINTS MARQUANTS SUR LES COMPTES DE R SULTATS 2004 Les recettes des colloques 2004 avaient t pr vues a minima eu gard aux difficult s ave
28. d essai de 8 peut maintenant commencer O Thierry BOUISSET Airbus a 50 ans le 1 vol de la Caravelle UNE CONF RENCE DE FRANCIS RENARD Francis RENARD Dans le cadre du Festival International Air Espace voir LA LETTRE AAAF n 5 2005 et avec un peu d avance sur la date anniversaire 27 mai 2005 des associa tions a ronautiques toulousaines ont particip en f vrier dernier la comm moration du 1 vol de cet avion qui marqu le renouveau de notre tique A l occasion de la magnifique expo sition organis e dans les locaux de la Caisse R gionale d Assurance Maladie de Midi Pyr n es retra ant pendant deux mois la vie de cet avion Francis RENARD un ancien de Sud Aviation passionn d aviation a racont deux reprises les 3 f vrier et 10 mars derniers l histoire de la Caravelle en partant de la fin de la 2 guerre mondiale pour donner la mesure du chemin parcouru jusqu l apparition de cet avion exceptionnel Toulouse c l bre le 50 me anniversaire du 1er vol de la lt CARAVELLE gt Dans la r gion Midi Pyr n es le mat ne manque pas pour tayer les souvenirs qui sont demeur s dans les m moires R unis par un artiste toulou sain f ru d aviation Jean Pierre CONDAT l A roth que Airbus les Ailes Anciennes de Toulouse le Club des Cartophiles de Midi Pyr n es le Mus e A ronautique de Mas Pal gry le Groupement Phil
29. e d adh rents et sur la fr quentation et les r sultats d finitifs des colloques La planche suivante pr sente donc les volutions que nous pr voyons sur les diff rentes postes du budget 2005 initial On pourra voir que les tendances observ es conduisent une d t rioration du r sultat final Ce dernier ne pourra res ter l quilibre qu au prix d une reprise suppl mentaire de provisions L Assembl e G n rale apr s avoir entendu la lecture du rap port du bureau approuve la majorit des pr sents le budget pr visionnel 2005 tel qu il est tabli et pr sent 1 vote contre 3 abstentions 4 MONTANTS EN BILAN 2003 ACTIF IMMOBILISATIONS INCORPORELLES IMMOBILISATIONS CORPORELLES IMMOBILISATIONS FINANCIERES ACTIF IMMOBILISE AVANCES ET ACOMPTES CLIENTS CREANCES CLIENTS ET COMPTES RATTACHES AUTRES CREANCES VALEURS IMMOBILIERES DE PLACEMENT DISPONIBILIT S BANQUES CCP CHARGES CONSTATEES D AVANCE ACTIF CIRCULANT TOTAL GENERAL ACTIF PASSIF CAPITAL RESERVES ACCUMULEES RESULTAT DE L EXERCICE CAPITAUX PROPRES PROVISIONS POUR RISQUES ET CHARGES AVANCES ET ACOMPTES SUR COMMANDES FOURNISSEURS ET COMPTES RATTACHES DETTES FISCALES AUTRES DETTES PRODUITS CONSTATES D AVANCE DETTES TOTAL GENERAL PASSIF 1371 30831 6232 38434 2000 206916 4495 223590 244048 13119 154168 793202 1219 336474 4963 342656 32000 23964 173957 0 61480 199545 416546 793202 TABLEAU DU BILAN 2004 BILAN
30. e placer sous la protection d une Union Europ enne les affranchissant d finiti vement d une tutelle pass e il fallait ne pas les d cevoir et aider leur mancipation On parle d j d autres largissements la Bulgarie et la Roumanie en 2007 la Croatie plus tard Et puis il y a l affaire de la Turquie qui d cha ne les passions dans le camp des Quinze faut il l ad mettre comme membre part enti re ou seulement au titre d un partenariat privil gi N est il pas pr f rable pour l instant de se pencher sur le cas de certains grands absents de l UE plus proches de nous comme la Suisse la Norv ge ou encore d autres pays de la r gion des Balkans Les bienfaits de la coop ra tion europ enne Les r ussites de l industrie spatiale et a ronautique sont de parfaites illustra tions des bienfaits de la coop ration entre pays europ ens L ESA avec les industries du secteur a permis au spa tial europ en de s manciper face aux deux g ants am ricains et sovi tiques le programme Ariane en est un bel exemple avec 96 de r ussite Le r cent succ s de la sonde Huygens est aussi un autre exemple remarqua ble La Commission Europ enne apporte maintenant son soutien l ESA pour les deux grandes initiatives de la prochaine d cennie que sont les programmes Galileo et GMES C t a ronautique on ne peut passer sous silence la magnifique r ussite obtenue gr ce la mise en service d un moyen de
31. ec tion lt Un demi si cle d a ronautique gt est dit e par le D partement d histoire de l armement du Centre des Hautes tudes de l Armement CHEAR COLLOQUES NATIONAUX ET INTERNATIONAUX DATE 2005 205205608 17 19 oct 10 11 nov 22 23 LIEU TOULOUSE France TOULOUSE France STOCKHOLM Sweden PARIS France ORGANISATEUR IAS 23 av Edouard BELIN AAAF secr exec aaaf asso fr ANAE AAAF FEDESPACE IAS 23 av Ed Belin amp A2Accoustics www ave kth se CNES AAAF www aaaf asso fr MANIFESTATION Colloque IAS lt Facteurs humains et s curit gt Automatisation du Syst me Transport A rien 9 CEAS ASC Workshop on Active Control of Aircraft Noise Concept to Reality 21 AAAF Colloquium on lt Materials for Aerospace Applications ACAD MIE NATIONALE Association A ronautique DE L AIR ET DE L ESPACE et Astronautique de France Avec la collaboration de FEDESPACE AUTOMATISATION DU SYST ME TRANSPORT A RIEN 17 18 19 octobre 2005 Ce colloque est organis par l Acad mie Nationale de l Air et de l Espace ANAE en collaboration avec l Association A ronautique et Astronautique de France AAAF et avec la participation de Fedespace Il est galement plac sous le parrainage d un tr s grand nombre d organisations internationales nationales et d industriels L objectif de ce colloque n est pas n cessairement de pr ner
32. ec l tude du Galion qui se transformera en programme Airbus Boeing et Douglas qui se font une guerre acharn e sur les long courrier B 707 et DC 8 prennent en compte la nouvelle qualit des moteurs double flux et vont cr er leur tour des moyen courrier Boeing lan ant son B 727 1962 Douglas ressortant de ses tiroirs le DC 9 en 1963 Les deux constructeurs avaient pour leur part longuement tudi et analys notre Caravelle afin d y apporter les am lio rations r clam es par les compagnies tout en conservant les qualit s de leur mod le La Caravelle 12 lanc e en 1968 arri vera trop tard sur le march Elle offre 128 si ges mais seulement 12 avions seront fabriqu s et vendus Air Inter en assurant presque exclusivement l utili sation La Caravelle permettra la mise au point du syst me Sud Lear d Atterrissage Tout Temps offrant aux compagnies une r gularit remarqua ble de leurs vols Ce syst me ATT le premier au monde en service commer cial est une sp cificit du BE de Sud Aviation Jacques LEPERS et mis au point en particulier par Andr TURCAT futur chef pilote de Concorde Le bilan du programme Caravelle 280 Caravelles furent vendues 35 compagnies sans compter nombre de compagnies qui l utiliseront au titre du march d occasion Le bilan du pro gramme Caravelle est incontestable ment positif a donn l lan n cessai re une forte relance de notre a ro na
33. els FFS en particulier la programmation rigoureuse mais adaptative des personnels et de semble des moyens mat riels la politique de coop ration avec les Centres des clients visant diffuser les m thodes Airbus R SULTAT FINAL LA M THODE 1 Airbus design operatio nal philosophy in training 1 Afin de juger leur facult d analyse face un probl me pos on oriente les sta giaires disposant d un minimum de comp tences n cessaires ATPL 200h de vol sur multimoteur r ac tion vers des t ches types d finies partir d une analyse minutieuse par phase de vol pour un avion et ses quipements donn s en utilisant des proc dures sp ci fiques et standards d finis Pour chacun des l ments d action ainsi d finis on d duit les trios d exi gence suivants Knowledge Skills Attitude KSA Ce sont les Training Objectives gt en connaissances habile t s comportement n cessaire et suffi sant pour ex cuter l l ment de t che analys Ces TO sont labor s pour l utilisation normale de l avion dans toutes les situations op rationnelles des missions ainsi que dans les situations anormales et de d tresse Rassembl s dans une banque de donn es ils constituent la mati re de base de la formation R SULTAT FINAL LA M THODE ADOPT 2 Chaque t che op rationnelle TO est reprise en y associant les trios lt KSA gt correspo
34. ga lement une progression 30 en 2002 37 en 2003 51 en 2004 et 24 cotisa tions enregistr es fin avril 2005 noter des d senga gements importants de grands comptes comme le CNES Un effort sera entre pris en 2005 pour approcher les PME PMI Pour acc l rer le processus de renouvellement de cotisa tion la d cision a t prise d envoyer la facture de renouvellement conjointe ment la lettre de demande de renouvellement GROUPES R GIONAUX 2004 a vu une am lioration notable des comptes des groupes r gionaux et des relations avec le bureau national Les relations entre groupes et avec le bureau national se sont intensifi es avec deux r unions par des pr si dents de groupe Le bureau national a t repr sent chaque assembl e g n rale de groupe r gional Deux nouveaux groupes r gionaux ont vu le jour en 2004 Rh nes Alpes avec Denis JEANDEL avec Bernard VIVIER Le groupe de Poitiers Centre Atlan tique a t r activ avec Jean TENSI 2005 a vu la naissance du Groupe B arn Gascogne avec Michel BAR RIERE Des pourparlers avanc s sont en cours pour la cr ation d un groupe en Pays de Loire l initiative de Jean Pierre LE GOFF en lle de France l initiative de Jean Charles POGGI et d antennes francophones en Belgique et au Canada COMMISSIONS TECHNIQUES L AAAF pour remplir son r le de soci t savante doit imp rativement soute
35. ilit s cognitives des qui pages des sp cificit s de leur mission et de leurs origines des contraintes multiples financi res en particulier de l volution du transport a rien des r sultats op rationnels retour d exp rience de l volution rapide des technolo gies q JIA V1 8 m CALENDRIER DES MANIFESTATIONS DATE LIEU MANIFESTATION 2005 sept Remise des Prix et Grades AAAF 2005 16h00 A ro Club de France Joulouse Midi Pyr n es t l 05 62 17 52 80 courriel aaaftlse aol com 19 oct ALCATEL SPACE Pl iades un nouveau programme pour l observation 18h00 26 AV J F Champollion Toulouse de la Terre par Gilbert PAUC CNES 16 nov SUPAERO Aviation g n rale et m decine 18h00 10 av Edouard Belin Toulouse par le Dr MOUCHARD D Air et d Espace Histoires et perspectives la conqu te du ciel racont es par les membres de l Acad mie Nationale de l Air et de l Espace Acc s libre et gratuit t l 05 34 25 03 85 lindsey jones anae wanadoo fr www anae fr 27 SEPT M diath que Jos Cabanis La menace balistique Toulouse par Andr MOTET P5 M diath que Jos Cabanis 25 ans sur les parkings d Airbus du premier vol de 17h30 Toulouse L A300 la certification de l A340 par Bernard ZIEGLER 29 nov M diath que Jos Cabanis La Terre vue par les satellites 17h30 Toulouse par Anny Cazenave
36. irent des programmes servant de base leurs clients qui restaient responsables de la formation Ces programmes de plus en plus labor s et de moins en moins sp cifiques aux diff rentes compagnies devinrent finalement des l ments de promotion de vente des constructeurs aupr s de leurs clients LA POPULATION CONCERN E Au d but l quipage concern com prenait deux pilotes un m canicien un radio lectricien et un navigateur dans les r gions sovi tiques partir de 1970 pour les bimoteurs comme le DC9 le B707 ou la Caravelle comme pour les gros porteurs comme l A300 les B767 et B757 et suivants l quipa ge se r duisit deux pilotes Cette population de pilotes est relative ment homog ne les licences Air Transport Pilot Licences bien que nationales aujourd hui europ ennes dans correspondent aux m mes standards OACI que celles des autres pays de m me que les formations de base C est une population motiv e On note cependant quelques diff ren ces entre les Standards ATPL et les bases culturelles occidentale moyen ne orientale asiatique ou ex sovi tique Les origines sont diverses militaire travail a rien formation directe Les exp riences sont diff rentes avions h lice charters ligne nombre d heu res de vol etc La position de com mandement diff re commandant de bord copilote instructeur Et bien s r chaque pilote une individualit prop
37. is en place un service apr s vente deux mesures dont se souvien dront favorablement les compagnies a riennes lors de la vente des Airbus De nouveaux moteurs dits double flux vont appara tre ces moteurs r duisent le bruit la consommation de carburant et fournissent une pouss e sup rieure lls serviront de fil conduc teur pour les diff rentes volutions de l appareil mEn 22 inne di G 4 er FRS T 1 wama aa wm Le march nord am ricain Cherchant p n trer le march nord am ricain Sud Aviation esp re une repr sentation dans ce pays et obtient un accord remarquable avec la soci t Douglas 10 2 1960 Cet accord ne donnera aucun r sultat la commande des 20 caravelles pour la Compagnie am ricaine U A L tant pass e avant l accord lt Douglas gt Les compagnies am ricaines r clament un volume plus Important des soutes bagages cela reviendrait une nouvelle d finition de l avion jug e Toulouse fort ch re Sud Aviation et les services officiels avaient en point de mire le d veloppe ment de Concorde qui se r v le au fil du temps plus on reux que pr vu Exit donc la nouvelle Caravelle dont le BE avait pr par une nouvelle liasse de plans Caravelle 14 Heureusement par la suite quelques ann es apr s une nouvelle approche du probl me sera reprise av
38. ise en consid ration que si la r flexion est men e l ext rieur des entreprises concern es c est la raison pour laquelle l Acad mie Nationale de l Air et de l Espace d j sensibilis e sur le sujet depuis plusieurs ann es a d cid de s impliquer en cr ant un groupe de r flexion sur le sujet La pr sente analyse parue dans la let tre de l ANAE 43 et publi e ici avec l assentiment de pas pour objet la pr sentation de conclusions ou recommandations sur le sujet trait mais doit tre consid r e plut t comme le d marrage de la r flexion entreprendre La journ e organis e par Fedespace 2 sur lt Le transport a rien face au d fi nerg tique a constitu un excel lent point de d part pour cette r flexion au cours de cette journ e la plupart des th mes ont t abord s Ceux ci peuvent tre regroup s dans cinq chapitres qui constitueront les futurs axes de r flexion pour le groupe de travail la rar faction des ressources p tro li res les combustibles de substitution le propulseur l avion de transport les aspects conomiques Pour chacun des chapitres les probl mes rencontr s et les points appro fondir sont repris ci dessous Les ana lyses pr sent es distinguent les solu tions s appliquant aux produits exis tants et celles requ rant une concep tion nouvelle des produits cette dis tinction s impose il faut s attend
39. l optimisme en notre futur Aux autres qui auraient encore du temps devant eux pour une d tente bien m rit e beaucoup de Joles et de plaisirs Michel Scheller VOTRE PR SIDENT LA VIE DES GROUPESIREGIONAUX 10 14 POINTS DE VUE 14 15 LES NOUVELLES DE L A380 16 HISTOIRE 17279 gt ESPACE JEUNES 20 Eh LA VIE DE L ASSOCIATION N 7 JUILLET AO T 2005 2 2 Assembl e G n rale Ordinaire de AAAF du 26 mai 2005 L assembl e g n rale ordinaire de AAAF s est tenue le jeudi 26 mai dernier 15h au CNES 2 Place Maurice Quentin 75039 Paris devant pr s de 60 personnes En parall le au d roulement de cette assembl e et conform ment aux statuts de l association eu lieu le vote pour le renouvellement d un tiers des membres du Conseil d Administration La s ance est ouverte 15h par le pr si dent Michel SCHELLER qui souhaite la bienvenue aux participants et les remercie de leur pr sence Il cite les diff rents points l ordre du jour de cette assembl e g n rale et donne la parole G rard LARUELLE Secr taire g n ral de AAAF qui pr sente son rapport d activit 2004 RAPPORT D ACTIVIT 2004 PAR G RARD LARUELLE SECR TAIRE G N RAL Rapport moral COMMUNICATION 2004 a vu la cr ation d un site lt web aaaf asso fr de qualit mis jour r guli rement et de plus en plus fr quent La Lettre AAAF dans sa nouvelle pr sen
40. lanceur r utilisable Sur la base de d veloppements pr liminaires j ai mis au point et valid un sch ma d int gration couplant notamment g om trie a rodynamique et bilan massique sous Excel Je recherche actuellement un poste d ing nieur syst me en tudes spatiales Participer aux d veloppements multidisciplinaires amont avec une interface inter nationale forte r pondrait id alement mes aspirations FORMATION 2004 2005 Mast re en techniques spatiales 2003 2004 Troisi me ann e en change l universi t POSTECH en Cor e du Sud 2001 2004 Ecole Centrale de Nantes option nerg tique Dipl me d ing nieur avec la men tion F licitations du Jury 1999 2001 Classes Pr paratoires aux Grandes Ecoles MPSI MP Juin 1999 Baccalaur at s rie S mention Tr s Bien ACTIVITES EXTRA PROFESSIONNELLES e Aviation l g re 15h de pilotage sur DR400 pr para tion du brevet de pilote priv e Violoncelle dipl me de fin d tudes musicales e Badminton tennis v lo LA LETTRE AAAF diteur Association A ronautique et Astronautique de France AAAF 61 av du Ch teau 78480 Verneuil Seine T l 01 39 79 75 15 Fax 01 39 79 75 27 1 club internet fr www aaaf asso fr Directeur de la publication Michel SCHELLER R dacteur en chef Khoa DANG TRAN Comit de r daction Michel de la BURGADE Shirley COMPARD Claude HANTZ Jacques HAUVETTE Philippe JU
41. ndants On y d termine les sujets n cessitant un niveau associ de comp tences qu on d finit On d duit les performances obtenir du stagiaire en ex cution de proc dures en pilotage en gestion du cockpit en coh rence quipage Simultan ment on d finit l environnement exig pour enseigner vers le niveau d sir En ce qui concerne le mat riel p da gogique la r gle g n rale est pour chaque op ration de formation d utili ser le media le moins on reux satisfai sant les KSA exig s Pour les connais sances on utilise le Computer Based Training gt dans lequel sont incorpor s des exercices contr l s Pour les connaissances et les habilet s cogniti ves associ es des syst mes com plexes automatismes par exemple les manipulations sont n cessaires et on utilise les PTT Lorsqu il s agit d habi let s cognitives de comportements et d application de proc dures on utilise des lt Flight Training Devices gt simu lant un environnement de cockpit mais pas forc ment le comportement m canique du vol de l avion Pour le pilotage manuel et l int gration de l ensemble des connaissances habilet s et comportements on utilise le FFS Enfin si le niveau initial des stagiaires ou si les r glements l exigent un vol sur avion en g n ral en tours de piste est effectu en confirmation des cours au sol Les s ances LOFT Line Operation Flight Training sont des s ances
42. nnexions et les espoirs d ind pendance a t gale ment parcourue La comparaison vis vis des 15 autres membres de l UE r v le les probl mes que posent ces rattachements un niveau de vie nettement inf rieur pour les pays continentaux un sous quipe ment certain un tat de sant cono mique d grad d ficit public inflation ch mage Certes la transition d une conomie dirig e vers une conomie de march y est en cours des progr s normes y ont t accomplis depuis les ann es 90 mais ces probl mes ne sont encore que partiellement r solus au niveau global devra prendre ces aspects en consid ration m me si elle doit b n ficier terme de l effet dopant de l accroissement du march Int rieur et de la croissance satisfai sante de certains de ses nouveaux membres Une question reste toutefois pos e cet largissement n tait l pas Ne fallait 1 pas encore attendre de p trole PAR GEORGES VILLE ANAE ET AAAF 4 E Georges VILLE Le d veloppement consid rable du transport a rien depuis le milieu du si cle a permis de satisfaire les besoins de d placement dans un monde de plus en plus ouvert la mobilit de 1950 2000 le trafic a rien mesur en PKT ou Passagers Kilom tres Trans port s a t multipli par 100 Cette extraordinaire performance a pu tre un peu L analyse historique explique la volont de ces pays de s
43. nos groupes r gionaux et nos commissions techniques entre membres AAAF cher cheurs industriels et responsables territo J ai particip personnellement l une d entre elles organis e r cemment Grenoble par le Groupe R gional Rh ne Alpes en relation avec la naissance d un r seau a ronautique dans cette r gion Cette jour n e fut Je crois unanimement consid r e comme un franc succ s et nous ne pouvons qu encourager de tel les initiatives Pour aller plus loin avec dynamisme et pragmatisme il nous faut des bonnes volont s et des talents Soyez nombreux nous rejoindre avec G rard LARUELLE qui a trac le chemin et sur qui Je sais pouvoir compter pour poursuivre nos c t s Notre bureau a donc un nouveau Secr taire G n ral Jean Marc GAROT qui vient de quitter la direction du Centre d Exp rimentation d Eurocontrol Br tigny DANS NUM RO LA DE L ASSOCIATION 2 10 France et qui conna t bien l Association pour avoir d j dans le pass si g notre Conseil Les nouvelles attributions de Jean Marc GAROT au sein de l Inspection vont naturelle ment lui permettre d exprimer tout son talent au sein de sera assist dans sa t che par Jean JAMET le fid le des fid les qui se d pense sans compter depuis longtemps pour notre association A compter de ce mois de septembre l AAAF retrouve des bureaux ses bureaux devrais je dire
44. on l en semble des missions op rationnelles la langue commune esp ranglais gt base OACI l obligation d adapter la formation individuelle aux multiples ver sions des avions Initialement Les qui pages devaient s adapter un avion certifi aujourd hui la formation est certifi e m me temps que l avion avec une tendance r duire le temps de formation au minimum avec une mise en concurrence des construc teurs EVOLUTION DES PRINCIPES DE FORMATION En 1970 sont adopt s les principes de formation appliqu s par l aviation am ricaine d riv s de ceux appliqu s par l US Air Force pendant la 2 guerre mondiale Training on need to know to proficiency by doing avec pour cons quences un tri du n cessaire enseigner Specific Behavioral tives l utilisation maximale des simula teurs de vol lourds Full Flight Simulators la cotation des stagiaires partie la plus difficile La formation d abord ax e sur le seul enseignement technique et des proc dures prend en compte partir des ann es 80 le comportement humain formation technique et humain avec une collaboration de plus plus troi te entre Centres de formation et Bureaux et une fusion progressive des documentations op rationnelle et de formation SITUATION PR SENTE TAT DES LIEUX CHEZ AIRBUS On note une recherche de rationalisa tion des l ments et des m thodes en fonction des possib
45. otes Nuls 6 Votes exprim s 305 Candidats propos s par le conseil nr lt G rard LARUELLE 297 I Fanny BOUCHER 297 Les membres pr sents du Conseil d Administration Bernard DELOFFRE 286 O Guy RUPIED 282 A Pascale SOURISSE 211 5 ADMINISTRATEURS EXCUSES 79 Philippe AUBAY Patrick AUROY G rard Pierre Jean Marc 266 lt CONDOM Bernard DELOFFRE Philippe GALLAND Jean Jean Michel CONTANT 263 Marc GAROT Olivier GORGE Herv GUILLOU Jean Yves Yi LE GALL Christian MARI Jacques PICHOT Guy RUPIED O 28 5 Pascale SOURISSE Bruno STOUFFLET Jean Claude Michel LAFFAITEUR 198 x X A THEVENIN Jean Marc THOMAS Jean Michel VERHNES Dominique Votes obtenus des non candidats o k REX a ELECTION DU PR SIDENT ET DU BUREAU Thierry LEVEUGLE 22 o D Georges VILLE propose que Michel SCHELLER soit Max CALABRO 4 x dat sa propre r lection Celui ci n est pas oppos son Alain CHEVALIER renouvellement au poste de pr sident Un vote permet aux administrateurs pr sents de r lire Michel SCHELLER l u Daniel BUCLET 2 nanimit moins un vote contre Le pr sident pr cise qu il sou Jean Fran ois BELON 2 haite modifier la composition du pr c dent bureau dont la Jean Marc nouvelle composition sera communiqu e selon les proc du res pr vues dans les statuts de l association L ordre du jour Jean Yves MONDON 1
46. oyer des ing nieurs passionn s renfor ant de fait ma vocation pour le secteur Ma volont de r aliser une partie significative de mon cursus l tranger s est alors concr tis e dans un s jour d une ann e en Cor e du Sud un change qui s est r v l particuli rement enrichissant tant du point de vue humain culturel que scientifique Celui ci par l ouverture la diff rence culturelle qu il impliquait m a rendu apte voluer ais ment en milieu multinational D autre part le programme Spatial cor en naissant mais ambitieux ouvre la porte de nouvelles coop rations technologiques avec l Europe C est aussi dans cet esprit de vision du futur que s est r alis e mon ann e de substitution Dans le cadre de ma formation en Mast re SUPAERO j ai acquis les connais DOMAINE DE COMP TENCES Techniques spatiales lanceurs amp satellites analyse de mission tude de performances conception m ca nique propulsive et thermique Ing nierie syst me approche multidisciplinaire int gr e d veloppement d outils de support syst me pour les tudes amont langages FORTRAN Excel VBA simulation Monte Carlo EXP RIENCE PROFESSIONNELLE 2005 Stage de mast re 5 mois EADS SPACE Transportation Les Mureaux D veloppement d un mod le collaboratif simplifi pour l analyse d un premier tage de lanceur r utilisable D veloppement et adaptation d outils vari s g om trie bilan de masse
47. pays que nous venons d accueillir Unis dans la diversit c est la devise de l Union Europ enne une diversit qu il faut pr server tout en gommant nos diff rends Avec la ratification du futur Trait Constitutionnel qui harmonise les trai t s pr c dents et r vise les institutions pour une Union Europ enne 25 le rendez vous de l ann e 2005 est Important il ne faudrait pas rater cette ch ance Jean LIZON TATI Pr sident du Mouvement Europ en Cannes Secr taire g n ral AAAF C te d Azur L avion de transport et la p nurie tion et nous pouvons d j en tablir un premier recensement une crise mondiale majeure au plan politique ou conomique un espace a rien satur un impact environnemental inaccep table un terrorisme non ma tris une p nurie de carburant Le dernier point souvent oubli dans les prospectives fait l objet de la pr sente r flexion ce probl me a t sou lign dans un r cent rapport de l Acad mie de Technologie pr voyant un puisement rapide des ressources nerg tiques Aucune alternative l u tilisation du carburant fossile n tant imm diatement disponible ceci con duit se poser la question quelles cons quences peut entra ner la rar faction des ressources en p trole sur le d veloppement du transport a rien La r ponse une telle question impli quant de nombreuses parties ne peut tre pr
48. pe se fit par tapes et au travers de plusieurs trait s successifs Apr s le Trait de Rome celui de Bruxelles en 1965 formalisait la fusion de la de la CECA de l Euratom 1986 c tait l Acte Unique ou Trait du Luxembourg qui marquait sur leur totalit 150 et plus Cela repr sente pour les compagnies un argument commercial fort Conclusion Cette remarquable conf rence de Jean PINET a permis aux auditeurs non initi s d avoir un apercu de la forma tion des pilotes de lignes l utilisation d un nouvel avion de les rassurer peut tre lorsqu ils prendront l avion et aussi d ouvrir des perspectives d avenir aux jeunes venus l couter et qui sait susci ter des vocations La soir e fut cl tur e par un excellent repas compos et servi par les l ves du Lyc e H telier proche de ENSAM auquel particip rent outre Jean PINET et son pouse Fran ois ROUTABOUL le Directeur de l ENSAM accompagn de plusieurs de ses enseignants Yann GUILLOU le pr sident du groupe r gio nal AAAF et quelques membres du bureau G rard PERINELLE tion du march int rieur En 1992 par le fameux Trait de Maastricht l Union Europ enne tait cr e avec ses 3 piliers Le premier consacrait ment de l union conomique et mon taire vers la monnaie unique le second couvrait la Politique Etrang re et de S curit Commune PESC le troisi me l
49. proche conomique est d j pr sente tout au long du processus d ana lyse elle trouve sa synth se dans l a nalyse des co ts d exploitation op ra tionnelle du moyen de transport Ce n est pas encore suffisant il faut aller plus loin dans l approche pour apporter une r ponse recevable la question pos e en effet l augmentation des co ts d exploitation entra nera une d t de trafic qu il faudra quantifier et reboucler ces derniers avec les per spectives initiales de consommation Georges VILLE Vice pr sident de Em rite AAAF 2 Journ e d tude du f vrier 2005 Toulouse remarquablement organis e par Fedespace en collaboration et avec la participation de l ANAE et l ONERA Voir galement La LETTRE AAAF N 6 2005 3 D autres types de propulsion ont t envisag s et certains ont t m me test s dans le pass mais ils ne sont pas retenus ici en raison de leur inaptitu de au pr sent besoin r acteur nucl aire propulsion solaire propulsion musculaire w 2 rm lt rm Cr P EC ko Footy PR e FOS E 4 K 5 L A380 a FF rP l Un Banc Volant Trent 900 A380 PAR THIERRY BOUISSET AIRBUS L A380 a pris son envol le 27 avril 2005 Toulouse Situ au c ur de l v nement le Groupe r gional
50. re LES SP CIFICIT S DE LA MISSION En ce qui concerne la s curit le taux d accidents est pass 2 pour 1 million de d collages 0 8 en 25 ans gr ce une meilleure fiabilit des qui pements aux m thodes efficaces de formation et une prise de conscience g n rale Le taux d intervention humai ne reste cependant proche des 75 La perception m diatique des dents de gros porteurs B777 A340 A380 pose un probl me sp cifique Les contraintes de mission sont imp rieuses il est impossible de s arr ter en vol quoiqu il arrive avec des al as li s aux trois dimensions d espace au relief et la m t o La gestion du temps est galement un param tre majeur avec une autonomie limit e pour le traitement des situations com plexes faut compter avec le respect des horaires la baisse de vigilance li e la fatigue le respect des r glementa tions et des proc dures multiples et l u tilisation de plus plus pouss e des automatismes CARACT RISTIQUES LI ES LA FORMATION Les caract ristiques humaines concer nent la vitesse d assimilation et la capa cit de m morisation limit es et varia bles des individus la compr hension et la fixation li es aux objectifs et la pra tique la difficult de traiter les combi naisons complexes de situations et de combattre la propension aux erreurs Les caract ristiques op rationnelles concernent ad quati
51. re une exploitation d avions de concep tion actuelle pendant la plus grande partie du si cle compte tenu de la flotte actuelle des avions en service des programmes en cours de produc tion et de la dur e de vie d un avion en exploitation En mati re de ressources p troli res les experts sont divis s sur le sujet les hypoth ses les plus couramment admi ses situent le pic de la production dans une fourchette oscillant entre 2010 pour les plus pessimistes et 2030 pour les plus optimistes il subsiste encore de nombreuses incertitudes tant au niveau des ressources que des consommations Le prix du p trole sera un param tre d terminant dans l volution tant par son impact sur la consommation que par ses implica tions sur l exploitation de ressources aujourd hui non rentables tion actuelle du prix qualifi e tort de conjoncturel est un signe pr curseur des volutions venir La question du prix du p trole essentielle pour la r flexion envisag e doit faire l objet d une analyse quantifi e s affranchis sant dans la mesure du possible de la sp culation court terme Les carburants alternatifs au k ros ne sont pour la plupart connus et certains sont d j produits depuis plusieurs d cennies leur utilisation en a ronau tique d pend de leur adaptabilit cet usage en fonction des caract ristiques requises tat solide liquide ou gazeux pouvoir calorifiq
52. s explorer en priorit s inscrivent dans la recherche de carburants de substitution autorisant la poursuite de l exploitation des produits actuels au prix d une certaine adaptation les pro pri t s physico chimiques du k ros ne devraient faciliter cette alternative m me si celle ci peut conduire une certaine d t rioration d efficacit op rationnelle de l avion de transport La r alisation d une propulsion bas e sur l utilisation de carburants cryog niques exige en revanche des d veloppe ments lourds m me si quelques concepts possibles ont d j t test s dans le domaine spatial L adaptation des diff rentes options envisag es se mesurera au niveau de l efficacit op rationnelle de l avion transport compar e la situation actuelle L analyse devra traiter des produits actuels en recherchant dans un premier temps toutes les possibili t s de r duction de la consommation sans changement de carburant et en investiguant dans un deuxi me temps toutes les cons quences d un ventuel changement de carburant en consom mation masse efficacit op rationnel le et co ts La faisabilit technique des nouveaux concepts de produits utili sant par exemple un carburant cryog nique est en revanche moins urgente elle devra tre toutefois poursuivie et approfondie s attachant particuli re ment la quantification des masses de la consommation des co ts et de la s curit L ap
53. s accrus Ainsi m me si cette augmentation est minime 3 il faut accro tre imp rativement les ressources Une voie privil gi e est d augmenter le nombre de cotisants et dans une certaine mesure sur 2005 les tarifs des cotisations Par ailleurs nous avons estim que l effet lt nouvelle CEAS gt sur les cotisants devrait quilibrer le surco t correspondant En revanche nous n avons pas affich d augmentation sen sible de la contribution des colloques Nous visons n an moins faire mieux que ce qui est indiqu ce qui exigera une grande vigilance comme l accoutum e En conclusion nous affichons un quilibre des comptes 2005 autour de 594 de produits avec une reprise de provision de 10 et de 591 de charges soit de r sultats pr visionnels L Assembl e G n rale statuant titre ordinaire apr s avoir entendu la lecture du rapport du bureau int grant l avis de l expert comptable approuve l unanimit des pr sents les comptes de l exercice au 31 d cembre 2004 tels qu ils sont ta blis et pr sent s PLAN A TERMINAISON 2005 AU 26 MAI 2005 Les commentaires pr c dents concernaient le budget 2005 tel que pr vu fin 2004 A ce jour les engagements effectu s les premi res recet tes et d penses comptabilis es permettent d avoir une meilleure visibilit sur l ann e 2005 Toutefois des incertitu des subsistent encore essentiellement sur la croissance du nombr
54. s derniers sont calcul s en d dui sant des r sultats affich s dans la pr c dente pr sentation savoir lt Recettes Co ts Directs gt la part de frais de fonctionnement du Secr tariat Ex cutif affect s l organisation au suivi des colloques Le r sultat final est bien s r inchang mais l apport financier r el des col loques est ainsi affich COMPTES DE R SULTATS PRODUITS 2004 REALISATION 0 13 16 310 9 PREVISION 20 un baisse des disponibilit s banques corr latives l augmentation des valeurs de placement Malgr l augmentation des provisions 32K gt 63K la capacit d velopper l association n est pas fragjilis e 1 Ces actions ont t relat es en d tail dans le dernier num ro Sp cial Jeunes distribu au dernier salon du Bourget 2 Les pr sidents des commissions et des groupes r gionaux seront sollicit s au retour des vacances d t pour apporter leurs contributions primordiales au succ s de ce projet OSSV 1 dG V 1 VID ve ai 1 COMPTES DE R SULTATS CHARGES 2003 REALISATION 218 2004 PREVISION REALISATION 223 211 1 1 18 16 99 96 10 10 18 16 10 20 6 6 22 22 12 18 23 26 10 I 23 31 1 PREVISION 217 MONTANTS EN K FRAIS DE PERSONNEL LOCAUX AMENAGEMENTS DOTATIONS AUX AMORTISSEMENTS FONCTIONNEMENT SECRETARIAT FRAIS DE MISSION CHARG
55. sitent double titre d abord il y a la crainte du syndrome du Comet britannique autre avion r action qui n a pas r sis t aux pressions de la haute altitude et ensuite celle de la pro duction en s rie le pass industriel de Sud Aviation n tant pas com parable leurs yeux celui des industriels am ricains Lockeed Dou glas ou Boeing Georges HEREIL les rassure sur le premier ia 1 n 1 ARRET pir point il parle du lancement de deux appareils essai fatigue essai statique qui subiront toutes les tortures n ces saires pour valider la qualit de l avion Pour le second point il affirme que tout sera pr t pour la mont e en cadence En avril 1959 l avion obtient son CDN certificat de navigabilit suivi du cer tificat des USA La Caravelle obtient un grand succ s parmi les compagnies affaiblissant au passage le programme du Viscount bri tannique Air France se targue en 1959 de disposer de deux types d a vions r action le B 707 pour les long courriers et la Caravelle pour les moyen courriers Dans les ann es 60 cet avion Cara velle sera l ambassadeur de la qualit fran aise au m me titre que le paque bot France ou de notre programme de l atome La formation des quipages des com pagnies se fait St Martin avec la cr a tion de lt l Ecole Caravelle gt de m me sera m
56. st me propulsif au porteur A340 La campagne d essais C est apr s six mois d un chantier complexe remarquablement men que le Trent 900 install sur 40 n 1 fut enfin pr t pour son bapt me de l air Le premier vol du 17 mai 2004 et les trente deux autres qui suivirent permi rent de d montrer l excellent compor tement de l ensemble du syst me pro pulsif Les trois mois de campagne totalis rent 62 heures de vol consa cr es la v rification du fonctionne ment du moteur et ses syst mes Incluant des mesures de la pouss e au d collage des rallumages en vol avec et sans assistance du d marreur l tu de du comportement des syst mes pneumatique hydraulique et lec trique Une partie de la campagne s est d roul e en juillet Tozeur en Tunisie pour valuer les performances en temps chaud du syst me de ventilation de la nacelle et les niveaux extr mes de temp rature des composants install s sur le moteur La campagne d essai s est achev e de retour Blagnac avec des essais concluants de fonc tionnement de l inverseur de pouss e l heure o cet article une deuxi me campagne d essai sp ciale ment d di e la mesure de perfor mance du syst me d anti givrage de l entr e d air de la nacelle eu lieu avril et mai dernier Une fois de plus les avantages d un banc volant pr c dant les essais en vol d un nouvel avion ont largement t d montr s la campagne
57. tation est unanimement appr ci e pour sa diversit et sa qualit La plaquette de pr sentation de l AAAF est disponible en langue fran aise la version anglaise est en cours de finali sation L annuaire 2004 vu son dition emp ch e par la faillite de l diteur l dition 2005 para tra courant juillet En ce qui concerne la communication scientifique AAAF s appuie sur le journal international comit de lectu re Aerospace Science and Technology voir la LETTRE d avril 2005 Depuis deux ans d j 4 5 communications au colloque AAAF d A rodynamique Appliqu e sont remani es par leurs auteurs pour tre soumises au journal Cette pratique que le bureau souhaite voir tendue aux autres commissions techniques et conf rences AAAF contribue cer un aspect scientifique important de l image de notre soci t savante L assistance l Assembl e g n rale du 26 mai 2005 COTISATIONS L effectif des personnes physiques de notre association est en progression trop faible depuis ans 1272 coti sants en 2002 1311 en 2003 1363 en 2004 Une am lioration semble n anmoins se dessiner pour 2005 avec 694 cotisations enregistr es fin avril On constate l arriv e chaque ann e de nouveaux cotisants qui com pense bon an mal an les d sistements les retards ou les refus de renouvelle ment de cotisation Pour ce qui concerne les personnes morales cotisant on note
58. tous les programmes de fabrication de la deuxi me partie du 20 si cle et tout particuli rement ceux de Caravelle Concorde Falcon 50 Transall ATR 42 amp 72 et tous les types d Airbus de 300 jusqu PA 340 Ses 1 missions 5 l ont tour tour amen se d placer Male lans la plupart des usines fran aises Marignane Nantes St p et au t titre des Jrogrammes coop rati ion trang re en SEREB Soci t pour l Etude et la R alisation d Engins Balistique Avis de candidature Lors de formation l Ecole Centrale de Nantes j ai acquis une connaissance pluridisciplinaire dans de nom breux domaines de la m canique et de l nerg tique Motiv par le d fi de l international et passionn d espace choisi d enrichir mon parcours g n raliste par une rience d une ann e en Cor e suivie d une sp cialisation en JUSTIN MONTHEILLET 24 ans c libataire 06 99 31 37 46 justin montheillet supaero org ESPACE JEUNES Anglais courant Allemand techniques spatiales SUPAERO ING NIEUR CENTRALE NANTES MAST RE 5 Recherche un poste en tude et Conception avant projet de Syst mes A rospatiaux Un premier stage de 3 mois au sein de la division Moteurs Spatiaux de SNECMA m a permis d appr hender les m thodes de pr visions de fonctionnement en vol des moteurs cryotechniques exp rience tr s stimulante fut l occasion de c t
59. u cahier des charges et qui sera retenu Le PDG de la SNCA SE Georges HEREIL lui donne le nom de Caravelle en souvenir du type de bateau connu universellement pour les grandes d couvertes du 15 si cle Un avion nouveau Techniquement c est un avion nou veau qui va b n ficier des avanc es du Comet dont on r cup rera la tech nique de la pointe avant ses comman des de vol hydrauliques et servo com mandes restitution d efforts un esca lier embarqu une structure en alliage d aluminium hautes caract ristiques m caniques Pr vu avec trois r ac teurs l arri re Roll Royce promet des r acteurs plus puissants entra nant le montage seulement de deux qui demeureront la m me place pr sen tant une innovation qui sera par la suite L T l pu T HISTOIRE N 7 JUILLET AOUT 2005 00 A copi e Le choix au d part d une visse rie am ricaine va se r v ler judicieux pour l entretien en compagnies Le projet sera men par Pierre SATRE chef du BE l avion d collera le 27 mai 1955 aux commandes de Pierre NADOT Ces deux hommes avaient d j go t l avion r action avec le Grognard 1950 Les premiers vols donneront satisfaction et l avion sera pr sent au Salon du Bourget en juin Le deuxi me prototype d coll le 6 mai 1956 par L opold GALY fera des tourn es de pr sentation dont celle aux Am riques avril juin 1957
60. ue densit temp rature de solidification impact environnemental disponibilit et effica cit conomique Les carburants alter natifs envisageables peuvent se r par tir en trois cat gories 3 les k ros nes de synth se obtenus partir du charbon ou du gaz naturel ont des propri t s proches mais sont en g n ral moins efficaces de celles du combustible fossile et ils pourraient se substituer ce dernier les proc d s de production ont t mis au point par l Allemagne d s les ann es 1930 les biocarburants obtenus partir de la biomasse se pr sentent aujourd hui sous deux formes le bio thanol et les esters m thyliques utilis s respective ment comme additif l essence et au gazole l utilisation de ces produits dans le domaine a ronautique ne sem ble pas praticable aujourd hui en raison de leur vuln rabilit au gel et de leur faible stabilit thermique les carburants cryog niques sont repr sent s principalement par le gaz naturel liqu fi ou LNG et ne liquide LH2 la forme LNG ne semble pas tre aujourd hui tre une alternative cr dible du fait d un pro chain puisement des ressources de gaz et d une pr f rence pour son utili sation sous la forme de k ros ne de synth se le LH2 peut devenir une alternative possible mais il exige une conception du produit enti rement nouvelle moteur et a ronef Dans le domaine de la propulsion les voie
61. ueillir les t moignages sur l uvre accomplie en un demi si cle d a ronautique en France De 1945 aux ann es 1990 l a ronautique fran aise v cu une aventure passionnante R duite peu de choses au lendemain de la guerre il lui fallait se reconstruire C est ce qu elle fait avec brio Qu il s agisse des avions militaires puis civils des moteurs des h licopt res des missiles des quipe ments des trains d atterrissage ou de l lectronique et des moyens de navigation elle s est retrouv e en quelques d cennies l gal des meilleures Elle est devenue capable de satisfaire la plupart des besoins de l arm e fran aise et de se tailler une place plus qu honorable sur de nombreux march s tran gers Cette r ussite est due des facteurs techniques industriels financiers et politiques et notamment une collaboration originale entre l industrie et les services officiels fournisseurs et clients tant mus par un m me d sir de renaissance puis de succ s C est cette histoire que cette collection veut retracer Ses r dacteurs souvent ing nieurs de l Air anciens directeurs de programme ou chefs de service se sont regroup s au sein du Comit pour l histoire de l a ronautique COMAERO pour animer un travail de m moire collectif compl t par l exploitation des archives Leur travail se veut un t moignage de l uvre accomplie en un demi si cle et une invitation pour les historiens se pencher sur elle La coll
62. utique civile permettant avec la r union de Nord Aviation et de la SEREB Sud Aviation de cr er un BIOGRAPHIE ensemble industriel de premier plan en 1970 A rospatiale facilitant la voie au projet Concorde et au del aux pro grammes Airbus et ATR Caravelle a t l appel d air pour l int gration de nouvelles g n rations enco re mieux form es par des coles tech niques ou a ronautiques de tous niveaux Le programme Airbus illustr par l actuel A380 est la preuve d une r ussite conomique pour l Europe et en particulier pour Toulouse et sa R gion Ce contrepoids aux avions am ricains a t une source de confort de qualit pour le passager mais surtout aussi en mati re de rit de vol Conclusion Les organisateurs de cette manifesta tion ont voulu rendre hommage ce personnel ouvriers techniciens ing nieurs et cadres qui ont ressenti pense l honneur la fiert de vivre et de participer une aventure pas comme les autres g Francis RENARD AAAF Francis RENARD est embauch en 1953 la SNCASE devenue SUD AVIATION puis AEROSPATIALE d o il partit 1994 pour prendre sa retraite La plus grande partie de sa vie professionnelle s est d roul e au sein de la Production dans les Services de Coordination charg s de faire les liaisons avec les usines produisant des tron ons ou sous ensembles pour les cha nes de montage St Martin Il a ainsi particip
63. x Sud Ouest et 5 Ing nieur des Arts et M tiers Jean PINET apr s une formation de pilote Arm e de l Air et a t pilote d essai au CEV puis Sud Aviation et Aerospatiale Toulouse II a particip aux qualifications en vol de la Caravelle du Concorde et des avions de la famille Airbus A l origine de la cr a tion d lt AERFORMATION il a assur la formation des quipages appel s voler sur ces avions dans les compagnies a riennes utilisatrices et exploitantes fran aises et trang res Situation de d part et volution ETAT DES LIEUX DE LA TION EN QUALIFICATION DE TYPE Dans les ann es 1960 les avions comme la Caravelle le B707 ou le DCB8 taient fournis par les construc teurs avec un mode d emploi relative ment succinct Les Compagnies exploitantes taient responsables de leurs programmes de QT la formation tant consid r e comme un mal n ces saire et limit e au strict minimum Seuls quelques instructeurs de ces gnies taient form s techniquement par les constructeurs partir de 1970 les avions Concorde et gros porteurs 747 DC10 11011 A300 pr sent rent des technologies nouvelles ma tris es par les com pagnies a riennes clientes Les cons tructeurs furent contraints de s impli quer dans la formation des pilotes compte tenu d un taux d accidents relativement important pr judiciable leur image de marque ils d fin

Lettre ok. AAAFn.7 - 2005

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