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1 INSTITUT D`ETUDES POLITIQUES DE PARIS 06/11 Frédéric

1. Anne Lyne BANCALIN r pond positivement Charles Henri LARREUR se d clare perplexe quant l activit de l association Il s interroge quant l offre intellectuelle ou culturelle propos e aux tudiants C line RAMSTEIN pr cise que l association n a pas de vocation de service comme les autres associations permanentes Quelques services sont d velopp s comme le pr t de gobelets ou de gourdes ou l organisation de s minaires et de d bats Charles Henri LARREUR note que l association d fend davantage une cause qu un service aux tudiants l instar des partis politiques ou des syndicats C line RAMSTEIN insiste sur le fait que les projets s inscrivent sur une perspective de long terme li e une collaboration avec l administration de Sciences Po Ils avancent donc peu peu C est le cas pour le projet li l informatique ou celui relatif aux transports Alexis LE CHAPELAIN demande confirmation de la principale ressource de l association Anne Lyne BANCALIN confirme qu il s agit de la subvention de la FNSP Le bureau pr c dent avait conclu sa pr sentation l ann e pass e en indiquant que des partenariats devaient tre d velopp s Ce travail tait difficile dans la mesure o il fallait d abord d velopper la l gitimit de l association au sein m me de l cole La BRED a t approch e Cependant une charte thique a t vot e par Sciences Po Environnement Les
2. 600 euros En dessous de cette somme ce sont la Direction de la vie universitaire ou les directeurs de campus en r gion qui attribuent les subventions 9 Un dernier ajustement s op re en termes de modalit s op rationnelles il est tabli que Sciences Po intervient en subventionnant tout ou partie du projet un dossier doit tre soumis la Commission de la vie tudiante 10 Dans l article 8 en sus de minimes modifications textuelles interviennent des ajustements op rationnels dans les paragraphes 6 et 7 sur les modalit s de communication de la vie tudiante d une part sur la s paration des flashs de la vie tudiante et ceux de la scolarit d autre part sur les crans plasma Les groupements vis s l Article 1 ont un droit d acc s aux crans plasma implant s sur le campus de Paris Leur usage est laiss l appr ciation de la Direction de la vie universitaire en coordination avec la Direction de la communication de Sciences Po l exception des annonces concernant la vie syndicale pour lesquelles la Direction de la vie universitaire sollicite au pr alable lavis des groupements vis s l Article 1 A 1 Rapha lle REMY ajoute qu il existe des crans plasma sur les campus de Nancy et Poitiers Julien PALOMO pr cise que les crans plasma en r gion ne d pendent pas d une gestion parisienne En tout cas avant de r pondre cette question il faut faire le tour des quipement
3. Fr d ric PUIGSERVER rappelle que la modification soumise en Commission paritaire concerne uniquement l article du R glement de la vie tudiante La modification est adopt e avec onze voix en sa faveur 3 Fr d ric PUIGSERVER appelle au vote sur la question des d lais Dans le pr sent texte la question se r sout en indiquant une fr quence de cinq r unions par an pour le moins chaque fois qu un dossier est pr sent De fait toute Commission paritaire serait pr c d e d un certain nombre de Commissions de la vie tudiante Fr d ric PUIGSERVER rappelle qu un membre de la Commission paritaire a demand que soient pr vus des d lais imp ratifs Il invite se prononcer en faveur de ou contre l indication de d lais imp ratifs Le principe d une modification n est pas adopt avec trois voix en sa faveur 4 Fr d ric PUIGSERVER indique qu il s agit de voter concernant les modalit s de d signation du repr sentant tudiant ou enseignant Il propose de soumettre d abord au vote la question du principe de repr sentation des minorit s Charles Henri LARREUR demande si la question se pose aussi pour les enseignants Fr d ric PUIGSERVER r pond positivement Cette question soulev e en groupe de travail n a pas t beaucoup d battue Rapha lle REMY indique que la question se pose diff remment pour les tudiants issus des lections tudiantes et se demande si le M T par exemple peut
4. Olivier ARON que le chiffre d affaires de l ann e pr c dente n tait pas si r duit Anne Lyne BANCALIN r p te que les recettes taient basses Les adh sions s l vent 1 euro 200 adh sions signifient donc 200 euros C line RAMSTEIN remarque que ces chiffres peuvent tre retrouv s dans les archives de la Commission paritaire Olivier ARON rel ve une perte et demande si l association perd de l argent Anne Lyne BANCALIN ne comprend pas le sens de la question Olivier ARON d sire savoir si le budget est quilibr par le report de l exercice pr c dent Anne Lyne BANCALIN r pond par la n gative il existe un exc dent non d pens Olivier ARON sollicite des pr cisions sur le report de l exercice pr c dent Anne Lyne BANCALIN note que le montant du report est de 4 900 euros de tr sorerie Olivier ARON souligne le fait que le compte d exploitation et le compte de tr sorerie sont m lang s 28 Anne Lyne BANCALIN indique qu il s agit exclusivement d un compte de tr sorerie mettant en regard les ressources disposition et les d penses effectu es Olivier ARON demande s il existe un compte d exploitation Anne Lyne BANCALIN d clare qu il n y en a pas Elle a repris la pr sentation des comptes r alis e l ann e pr c dente Olivier ARON constate que les d penses ont t moindres que les rentr es d argent Le compte en banque entrepose donc plus de 44 000 euros
5. agit de d gager des b n fices pour le financer Le Gala est donc structurellement d ficitaire Olivier ARON demande s il s agit d un d faut de comptabilit analytique et si des partenariats identiques auraient t conclus en l absence de Gala Camille DUCORPS souligne que deux types de partenariats existent dont un sp cifique au Gala Olivier ARON pointe le fait que ces partenariats doivent alors tre affect s au Gala sinon le document est illisible 22 Camille DUCORPS note que l objectif tait de montrer l ensemble des d penses et des recettes Certains partenariats sont directement consacr s au Gala tout comme certains fonds propres d gag s en cours d ann e Olivier ARON demande que ressorte de mani re analytique l attribution des partenariats au Gala Antoine GENEL pr cise que c est d j le cas Certains partenariats sont sp cifiques au Gala et apparaissent dans la comptabilit D autres comme par exemple le choix de la banque LCL en d but d ann e concernent l ensemble de la saison Olivier ARON suppose donc que la ligne des partenariats est ind pendante du Gala En l absence de ce dernier ils auraient t tout de m me conclus Antoine GENEL confirme que cette ligne est ind pendante l exception du partenariat avec L Or al qui est affect aux produits du Gala Olivier ARON remarque que plus le Gala a du succ s plus le risque est grand pour l association P
6. anticip des frais impr vus du fait de l organisation du Crit Paris Comme Lyon il y a deux ans des frais suppl mentaires auraient pu tre engag s mais cela n a pas t le cas L association du Crit a donc revers l exc dent de son exercice sur le compte de l Association sportive la fin de cette ann e l exc dent est ainsi de plus de 7 000 euros En sus du succ s du Crit le partenariat avec la Soci t G n rale a t ren goci aboutissant un versement de 25 000 euros au lieu de 20 000 euros l ann e pass e En tout le sponsoring repr sente plus de 31 000 euros L augmentation de la somme allou e via le partenariat avec la Soci t G n rale est notamment due l accroissement de la subvention variable qui provient de l ouverture des comptes r alis e en chaque d but d ann e Par ailleurs les recettes de l Association sportive sont particuli rement hautes cette ann e de l ordre de 286 000 euros contre 217 000 euros pour l ann e 2009 2010 Cette augmentation s explique par le fait que les inscriptions ont t facilit es par le paiement en ligne De plus l inscription au deuxi me sport a t ouverte d s le d part tandis que lors des ann es pass es la p riode d inscription un deuxi me sport suivait celle d inscription au premier Le calcul du prix de la cotisation a t bas sur les estimations pr c dentes Peut tre certaines cotisations seront elles r
7. d velopp s Le b n fice annuel de 16 550 euros devrait permettre au BDE suivant d tre beaucoup plus serein quant l organisation du week end d int gration et d tre d ficitaire sur le bal du Bachelor b Questions et observations Fr d ric PUIGSERVER note que le Gala a t financ en partie avec une recette exceptionnelle Cela ne pourra se reproduire chaque ann e Il demande si des moyens sont pr vus pour asseoir le budget durablement Olivier ARON salue l effort consid rable de pr sentation au regard de l ann e pr c dente qui permet de comprendre le fonctionnement de l association N anmoins il est difficile de d terminer si le Gala poste num ro un en d penses et en recettes constitue une perte structurelle ou conjoncturelle li e la d fection de certains invit s Il demande si l organisation du Gala peut tre revue afin qu il atteigne l quilibre Paul CHALVIN Paul CHALVIN salue le bilan positif du BDE cette ann e mais souligne diff rents probl mes concernant les invit s au gala et la distribution d alcool dans SciencesPo au moment des lections du BDE En cons quence l UNEF souhaite s abstenir sur le bilan moral du BDE Brouhaha Camille DUCORPS rappelle que l objectif principal du BDE est l organisation du Gala r union de famille de la communaut de Sciences Po et cons cration des cinq ann es d tudes Les ambitions sont grandes travers cette organisation Il s
8. glement de la vie tudiante p 3 IL Proposition d une convention cadre Sciences Po Association permanente p 14 IL Quitus moral et financier des associations permanentes p 15 IV Information sur la proc dure de reconnaissance des associations p 30 V Avis sur la modification des articles 14 5 15 5 et 18 2 des statuts de l IEP p 30 VI Adoption du proc s verbal provisoire de la s ance du 6 juin 2011 p 30 VII Echange informations sur des questions diverses p 30 COMMISSION PARITAIRE PROCES VERBAL de la s ance du 19 septembre 2011 Rapha lle REMY ouvre la s ance 18 h 17 INTRODUCTION PRESENTATION DES MEMBRES ELECTION DU PRESIDENT ETUDIANT Rapha lle REMY invite les membres de la Commission paritaire se pr senter Elle m me est tudiante en troisi me ann e l Universit d Amsterdam lue de l UNEF Fr d ric PUIGSERVER est pr sident enseignant de la Commission paritaire et enseigne le Droit public Nicolas PEJOUT est directeur de la vie universitaire Julien PALOMO est responsable de la vie tudiante charg des relations avec les associations et les syndicats la DES Isabelle BOSSARD est charg e de mission aupr s d Herv Cr s Alexis LE CHAPELAIN est lu tudiant de la C Cl ment ROUVEYROL est tudiant en quatri me ann e en master Affaires publiques Il est repr sentant du M T Vincent DELHOMME est tudiant en deuxi me ann e repr sentant du M T Paul
9. un intervenant et la sollicitation de la direction pour la logistique ne constitue pas un projet valant 6 ECTS Fr d ric PUIGSERVER soul ve une question concernant la valorisation des cr dits au sein des associations permanentes Il y avait dans l accr ditation presque syst matique dont b n ficiaient ces associations l id e de valoriser le temps consid rable d investissement Il se demande si ce raisonnement peut tre tendu aux nouvelles associations qui rejoignent les associations permanentes historiques et si un niveau d investissement diff rent peut tre cr dit de la m me fa on Julien PALOMO pointe qu en pratique la plupart des responsables p dagogiques de master ont r solu la question en les inscrivant en tant que projets collectifs avec six cr dits Eux m mes en tant que responsables p dagogiques avaient estim que ces six cr dits valaient largement l engagement qui tait fourni dans une association historique C est pourquoi il a t propos d aligner les deux r gimes Julien BALLAIRE demande s il existe une limite du nombre d tudiants par association et si la direction peut assurer que les cours de valorisation de l engagement associatif auront bien lieu Il lui semble qu un vote tait intervenu en ce sens il y a trois ans Nicolas PEJOUT r pond que le cours a t d fini dans un volume horaire qui ne correspond pas un cours classique Sur les trois mati res un intervenant s
10. BANCALIN indique notamment que l association n attendait pas autant d adh rents Enfin elle rappelle qu a t soulign au moins de juin le probl me de la lourdeur des proc dures le budget de chaque projet doit tre vot trois mois en avance et les fonds sont d bloqu s assez tardivement Par exemple il a t trouv un fournisseur beaucoup moins cher pour le miel mais le budget avait t vot en amont en assembl e d association puis en Commission paritaire Certes ce budget sera utilis sur plusieurs ann es Elle note que cette lourdeur des proc dures sera sans doute r gl e via le conventionnement b Questions et observations Olivier ARON se f licite de la croissance de l association mais constate l absence d indicateur car il n est pas pr sent d historique Il note qu une d pense de 5 euros pour un test paypal est indiqu e dans la synth se Il demande un chiffrage de la progression annuelle Anne Lyne BANCALIN admet qu elle n aurait pas d ins rer le budget d taill dans la synth se De m moire elle pr cise que le budget pr c dent tait quilibr autour de 10 000 euros Olivier ARON demande s il s agissait de 10 000 euros de recettes Anne Lyne BANCALIN r pond que les recettes devaient s lever 200 euros li es aux adh sions Cette ann e les adh sions et la vente des gourdes des gobelets et du miel ont permis d accro tre fortement les recettes Il semble
11. CHALVIN repr sente l UNEF Ana s DE SAINT MARTIN est en deuxi me ann e lue de l UNEF Julien BALLAIRE est en deuxi me ann e du master STU lu de P UNEF Juliette RAMBAUD est en master Affaires europ ennes et repr sente InterZaide Robert SKIPPON est enseignant d anglais dans le d partement de langues Pilar CALVO ALV AREZ est ma tre de conf rences d espagnol l IEP Renaud BOULANT est responsable des sports et des activit s culturelles Sciences Po David COLON est directeur du campus de Paris Eric LUCREZIA est responsable de la vie tudiante internationale Olivier ARON est professeur au sein du master de Marketing et s occupe notamment de marketing entrepreneurial Daniel MUGERIN est enseignant de Droit constitutionnel en premi re ann e Rapha lle REMY indique que Gaspard GANTZER ne pourra tre pr sent Par ailleurs elle propose une modification l ordre du jour Etant actuellement tudiante Amsterdam elle ne sera pas pr sente l ensemble des rendez vous qu impose la t che Commission de suivi social r union avec les associations Commission de la vie tudiante et d missionne donc de son poste de pr sidente Il s agit donc de proc der l lection d un nouveau Pr sident tudiant De plus l ordre du jour tant charg elle sugg re de reporter l examen du point cinq concernant la modification des statuts de PIEP la prochaine Commission paritaire d a
12. Commission paritaire Le principe est adopt avec huit voix en sa faveur En l absence d autres demandes de modifications le pr ambule en son ensemble est adopt Fr d ric PUIGSERVER pr cise qu il ne faut donc pas modifier le projet en l tat sur ce point 5 Nicolas PEJOUT enjoint la Commission paritaire proc der l lection des deux membres d s pr sent afin que la Commission de la vie tudiante puisse se r unir la fin du mois de septembre avant la Commission paritaire du 10 octobre 2011 Fr d ric PUIGSERVER est favorable cette lection mais propose d attendre la fin de l examen du r glement de la vie tudiante pour que les candidats aient le temps de se d terminer ARTICLE 1 ALINEAS A ET B 1 a Expos Julien PALOMO indique qu un certain nombre de typologies sont appel es dispara tre puisqu il est dit d sormais en pr ambule que tout tudiant peut saisir la Commission la vie tudiante Une typologie touffue existe aussi jusqu pr sent entre les associations permanentes qui font l objet d une liste les associations attach es un programme acad mique notamment de masters et les associations de campus Le groupe de travail qui s est tenu la semaine pass e a tent de distinguer entre deux types d associations les associations permanentes valid es par la Commission paritaire et les autres associations qui passent par la proc dure de reconnaissance Paris et ou su
13. de la Direction de la vie universitaire En cas de contestation la direction informera les deux pr sidents et le d bat sera renvoy en Commission paritaire Daniel MUGERIN consid re un tel processus comme rassurant D ailleurs il note que le terme recours figure bien dans la derni re phrase de la proposition de texte Nicolas PEJOUT pointe le fait que ce mot a disparu lors de la derni re mise jour c Votes 1 Fr d ric PUIGSERVER donne lecture de la pr cision apport e au cinqui me alin a Le directeur des tudes et de la scolarit ou son repr sentant assiste aux travaux de la Commission de la vie tudiante La Direction de la vie tudiante assure le secr tariat de la Commission La modification est adopt e l unanimit 2 Fr d ric PUIGSERVER propose de voter autour de l harmonisation de la terminologie l ve tudiant au profit du terme tudiant Julien BALLAIRE fait remarquer que sa voix compte temporairement double puisque Rapha lle REMY est sortie quelques instants Nicolas PEJOUT signale qu son arriv e Sciences Po en mai dernier il avait tendance employer le mot tudiant Or dans le lexique institutionnel c est le mot l ve qui prime Un changement impliquerait une modification de tous les supports de communication de tous les r glements et de tous les textes de r gulation Cela engagerait un travail consid rable de v rification Brouhaha
14. faite et le montant finalement allou en euros ou en heures avec une motivation de la d cision La Commission paritaire est galement saisie de l examen des demandes que la Commission de la vie tudiante a d cid de lui renvoyer si elle ne s estime pas comp tente ou pour des projets dont l ampleur serait structurante pour l institution 6 Tout l ve de Sciences Po ou toute association mentionn e par le pr sent r glement peut saisir la Commission paritaire en vue d un nouvel examen en cas de d saccord avec la d cision de la Commission de la vie tudiante b Questions et observations Au nom du M T Vincent DELHOMME propose que le membre tudiant lu la Commission de la vie tudiante appartienne une organisation syndicale diff rente du pr sident tudiant par souci d impartialit et pour garantir le pluralisme Au nom de UNEF Paul CHALVIN se r jouit des modifications qui ont t apport es suite aux discussions en groupe de travail Il estime que la Commission paritaire en sortira renforc e et que les projets recevront une nouvelle l gitimit Cela devrait galement permettre des projets non associatifs de voir le jour Par ailleurs il affirme son opposition la proposition du MT Au nom d InterZaide Juliette RAMBAUD sollicite une repr sentation plus large du coll ge tudiant et au cas o elle serait impossible la possibilit pour d autres membres de la Commission paritaire d assi
15. les 10 000 euros sont bloqu s sur un compte Marie Alix GRISOLET r pond que c est le cas cet argent n est pas sur le compte principal Il n est pas possible d y toucher sauf cas extr me Coline JUILLERAT conclut que certains projets ont connu l quilibre et d autres projets plus jeunes ont t d ficitaires car il s agissait de les lancer l instar de la Semaine du Cin ma Elle tient enfin mentionner que l URSSAF veut r aliser un contr le suite aux difficult s rencontr es il y a deux ans L quipe de la prochaine saison aura s occuper de cette question De plus des probl mes de communication ont t rencontr s avec la chef du ch ur de l orchestre engag e en CDI depuis cinq ans et en cong maladie l ann e pass e Mais ces probl mes sont en passe d tre r solus b Questions et observations Fr d ric PUIGSERVER remercie Coline JUILLERAT et Marie Alix GRISOLET Il note que le dernier point mentionn constitue un probl me tr s s rieux Peut tre que les 10 000 euros provisionn s ne seront pas suffisants pour le r soudre Emilie HERICHER apporte une pr cision sur cette question La notification de contr le URSSAF a t apport e en recommand au d but de juillet dernier Des chiffres d une comptabilit qui n a jamais t effectu e sont fournir Or l association ne dispose pas d un logiciel de comptabilit Emilie HERICHER pr cise que ce n est pas la faute d
16. mes inqui tudes concernant le vote des quitus Rapha lle REMY pr sume que les associations de campus auront solliciter leur quitus au niveau du directeur de campus Fr d ric PUIGSERVER pr cise que les statuts de Sciences Po obligent la Commission paritaire pr voir des moyens pour la mise disposition de certains services au profit des tudiants IL appartient la Commission paritaire d identifier ces services et de d terminer les moyens pour les assurer Jusqu pr sent des moyens suppl mentaires sont octroy s certaines associations De ce fait elles rendent compte la Commission paritaire de l utilisation de ces moyens Fr d ric PUIGSERVER souligne que ce mod le est aujourd hui tendu des associations qui ne sont plus nomm ment identifi es dans le R glement de la vie tudiante mais qui renvoient une d finition g n rale d association assurant un certain service institu au profit des tudiants Charge est la Commission paritaire de statuer sur le caract re permanent ou non d une association en fonction de ce crit re Dans le syst me actuel une association permanente dispose de moyens suppl mentaires ce qui implique un contr le Dans le syst me pr vu certaines associations permanentes pourraient tre exempt es de la proc dure de contr le A titre personnel Fr d ric PUIGSERVER est un peu h sitant le contr le de quarante associations permanentes serait excessif pour la Commi
17. non agr tomberait sous le coup de cet article Toutefois il comprend que les partenariats lourds n cessitent un contr le Julien PALOMO lui r pond que ce serait le cas Il constate en pratique que quand une organisation n a pas r ussi entrer Sciences Po via une direction elle essaie de mobiliser un tudiant de Sciences Po en ce sens Cet article vise emp cher ce genre de pratiques et ce que Sciences Po se trouve li des accords institutionnels ne le concernant pas Julien PALOMO prend l exemple d une banque qui via un tudiant organiserait une vaste op ration de recrutement sur huit jours en d but de chaque conf rence de m thode avant que l tudiant ne demande l autorisation la direction L ensemble de ces modifications sont adopt es l unanimit 13 Sur l article 13 portant sur la valorisation de la vie tudiante Julien PALOMO ne note pas de modification importante N anmoins la disparition du projet collectif obligatoire vot en fin d ann e derni re incite la direction songer une distinction de vocabulaire entre un projet associatif et un projet collectif Si cette distinction s av re op rante elle devrait tre propos e l ann e prochaine dans le R glement de scolarit Les projets collectifs consistant organiser des conf rences d bats de deux heures correspondent 80 de l activit des associations reconnues Selon Julien PALOMO l invitation d
18. sign es 81 personnes ont travaill pour l instant pour la Junior Entreprise en 2011 113 en 2010 Les grandes r alisations de l association ont t la double certification aux normes ISO 9001 et ISO 14001 qui ont valid la fois la solidit des processes et la d marche environnementale Une autre r alisation est l extension de l activit sur cinq des six campus en r gion Nancy ne devrait pas tarder fonder un p le 25 Deux missions ont d j t sign es une li e au campus du Havre et l autre celui de Reims Adrien VAN EYNDE note que Junior Consulting a t finaliste du Prix d Excellence qui r compense chaque ann e la meilleure Junior Entreprise de France Or c est la premi re fois que l association faisait acte de candidature ce prix Les diff rentes preuves en taient un audit organisationnel et financier une enqu te de satisfaction aupr s de clients une directive op rationnelle et une pr sentation de strat gie Adrien VAN EYNDE souligne que l association n est dans le mouvement des Junior Entreprises que depuis trois ans Il salue donc la performance de l association lors du Prix d Excellence Enfin Junior Consulting s est rapproch des Junior Entreprises d pendant des autres Instituts d Etudes Politiques fran ais Un protocole de partenariat a t renouvel avec les structures de Toulouse Rennes Lille Strasbourg et Bordeaux qui sont certes un stade de d veloppeme
19. t sabot trois mois avant sa date et que le BdA a tenu tout de m me le r aliser pour les tudiants Marie Alix GRISOLET remarque que le projet Rideau Rouge a bien fonctionn cette ann e L quipe tr s motiv e a tent de trouver des partenaires Leurs efforts ont t r compens s 17 Coline JUILLERAT ajoute que de fa on g n rale tous les p les ont t sollicit s pour trouver des partenaires ou d gager des fonds propres avec l organisation de tombolas par exemple Marie Alix GRISOLET indique que la plupart des budgets s levaient au m me niveau que l ann e pr c dente Coline JUILLERAT note que la ressource principale est celle des adh sions Marie Alix GRISOLET pointe que la subvention annuelle de Sciences Po est de 3 000 euros pour la Semaine des Arts L exc s de d penses provient des frais techniques de sonorisation ou d installation de salle Le partenaire financi re la BRED n a donn que 1 000 euros cette ann e car peu d ouvertures de comptes avaient eu lieu l ann e pr c dente Enfin les ventes flash fonctionnent bien car les billets vendus sont au dessous du tarif tudiant Plus largement pour la billetterie les billets sont d j achet s pour cette saison notamment pour la Com die Fran aise Des provisions de 10 000 euros ont t r alis es afin de pallier tout risque financier dans la continuit de l association Charles Henri LARREUR demande si cela signifie que
20. tre consid r comme une minorit Fr d ric PUIGSERVER estime que le terme minorit est mal choisi et devrait laisser place celui de diversit Les seize membres de la Commission paritaire repr sentent une diversit de rattachements syndicaux et de provenances professionnelles En ne prenant que les t tes de liste il y aurait d gradation de cette diversit Il pr cise que la question peut tre soumise de mani re s par e pour les deux coll ges N anmoins en tant qu enseignant il estime que la diversit devrait s appliquer indiff remment aux l ves et aux enseignants Julien BALLAIRE souligne le fait que la diversit peut tre prise en compte de diff rentes mani res non seulement syndicale Fr d ric PUIGSERVER rappelle que la question de principe pr alable est de savoir s il y a lieu de repr senter une certaine forme de diversit Si la Commission paritaire r pond positivement il sera alors envisag les voies et moyens de repr senter cette diversit Le principe de la repr sentation d une diversit re oit six voix en sa faveur au cours d un premier vote mais Juliette RAMBAUD soul ve le fait qu elle ne voit pas d inconv nient ce que l UNEF si ge avec deux membres dans la commission s il existe une voie de recours et la possibilit d assister aux r unions sans voix d lib rative Fr d ric PUIGSERVER indique que ce point aurait d tre r gl pr alablement
21. utiles pour Sciences Po avec parfois des erreurs notamment des erreurs d anticipation sur les fr quentations de soir e etc Toutefois il appr cie la question de l intervention de l URSSAF de mani re diff rente Il a le sentiment d une gestion quelque peu de laisser faire en tout cas d une prise de conscience un peu tardive Il constate que le probl me de PURSSAF ne sera certes pas r solu ce soir Fr d ric PUIGSERVER souligne que les gestionnaires de l association ne sont pas seuls face ce genre de difficult s et que Sciences Po devrait pouvoir apporter une aide Nicolas PEJOUT pr cise que des experts ont t sollicit s d s que la demande en a t faite Rendez vous a t pris avec la Direction financi re Fr d ric PUIGSERVER recommande donc de mani re g n rale que en cas de signes avant coureurs de difficult s de ce genre les membres du bureau tirent une sonnette d alarme aupr s de la direction Olivier ARON demande ce qu il advient d une association qui a commis des erreurs de gestion manifestes impliquant une intervention de l URSSAF Il pointe la mauvaise pr sentation des comptes leur manque de perspective historique qui emp chent de porter un jugement Il affirme qu il ne donnera pas le quitus car il d sire que soit marqu e cette d faillance portant notamment sur le d faut de communication la direction Fr d ric PUIGSERVER partage lavis d Olivier Aron et rappelle que depui
22. ventuels partenaires ont des difficult s entrer dans le cadre des crit res d finis N anmoins lors des v nements de l ann e des partenariats en nature ont t mis en place avec les fournisseurs c Vote Fr d ric PUIGSERVER indique qu un vote global est sollicit sur le bilan moral et le bilan financier Le quitus moral et le quitus financier sont accord s l unanimit ELECTION DU REPRESENTANT ETUDIANT A LA COMMISSION DE LA VIE ETUDIANTE Concernant l lection des repr sentants tudiant et enseignant la Commission de la vie tudiante Fr d ric PUIGSERVER sugg re que le fonctionnement continue court terme avec les pr sidents des coll ges tudiant et enseignant sauf si les lus tudiants d sirent proc der un vote Rapha lle REMY note que la majorit des membres tudiants sont pr sents De plus elle souligne le fait que cette r forme devait tre mise en place de mani re urgente en d but d ann e universitaire 29 Alexis LE CHAPELAIN pr cise que la reconnaissance des associations doit intervenir avant la prochaine Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER propose donc de voter concernant la r alisation hic et nunc de l lection du repr sentant tudiant La proposition est adopt e avec cinq votes en sa faveur et trois contre elle Fr d ric PUIGSERVER s enquiert des candidatures Alexis LE CHAPELAIN se porte candidat Juliette RAMBAUD remarque que le vote est g
23. Fr d ric PUIGSERVER sollicite un vote global sur le bilan moral et financier Le quitus moral et le quitus financier sont accord s l unanimit Nicolas PEJOUT souligne qu un mod le standard de pr sentation sera demand aux l ves avant la fin de l ann e Par ailleurs il attire l attention sur le caract re exc dentaire du r sultat des associations permanentes parfois de mani re exceptionnelle Selon lui il pourrait donc tre envisag l obligation de certifier les comptes et de financer cette certification par l exc dent des associations elles m mes 5 Sciences Po Environnement Au nom de la Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER pr sente des excuses pour l horaire tardif d audition Il demande aux membres du bureau de pr senter de mani re synth tique les v nements majeurs ayant marqu la gestion pr c dente sur le plan moral comme financier ainsi que les perspectives de l association a Expos C line RAMSTEIN rappelle les objectifs de l association en 2010 2011 Il s agissait de faire conna tre Sciences Po Environnement l ensemble de la communaut de Sciences Po et de faire en sorte que l association s occupe de tous les aspects environnementaux de l tablissement Le bilan est plut t positif car une grande partie du budget et des volont s a t mise dans la communication La communaut tudiante comme l ensemble de l administration connaissent dor navant l associ
24. INSTITUT D ETUDES POLITIQUES DE PARIS HCIB 06 11 COMMISSION PARITAIRE PROCES VERBAL de la s ance du 19 septembre 2011 Pr sents Fr d ric PUIGSERVER pr sident de s ance Olivier ARON Julien BALLAIRE Pilar CALVO ALVAREZ Paul CHALVIN Vincent DELHOMME Charles Henri LARREUR Alexis LE CHAPELAIN Daniel MUGERIN Juliette RAMBAUD Rapha lle REMY Cl ment ROUVEYROL Ana s DE SAINT MARTIN Robert SKIPPON Absents ou excus s Gaspard GANTZER procuration Fr d ric PUIGSERVER J r me GRONDEUX Assistaient la s ance Herv CR S Directeur adjoint directeur des tudes et de la scolarit David COLON Coll ge universitaire directeur du campus de Paris Nicolas PEJOUT Directeur de la vie universitaire Julien PALOMO Responsable de la vie associative et syndicale Isabelle BOSSARD Charg e de mission aupr s d Herv Cr s Renaud BOULANT Responsable des sports et des activit s culturelles Eric LUCREZIA Responsable de la vie tudiante internationale Etaient auditionn s L o BOCHET Monelle BARTHELEMY Vincent FLOREANI Thomas JACQUET Association sportive Marie Alix GRISOLET Emilie HERICHER Maximilien HONDERMARCK Coline JUILLERAT Bureau des Arts No mie CALAIS Simon GAILLARD Hugo SCHLEICHER Erwan SCOARNEC Bureau des El ves Nina HENRI Thibaut MORLOT Adrien VAN EYNDE Junior Consulting Anne Lyne BANCALIN C line RAMSTEIN Sciences Po Environnement x k I Approbation du nouveau R
25. aient soumises aux quitus moral et financier de la Commission paritaire C est donc reconnaitre que c est elle qui fixe leurs missions leurs objectifs Selon Julien PALOMO il s agit aujourd hui de ne plus simplement faire l inventaire des associations mais de les d finir Des sondages r alis s ont plut t confirm cette tendance assimiler les associations p dagogiques des associations permanentes Le dernier point de ce rapprochement est le fait qu elles sont li es toutes deux Sciences Po par une convention Les associations p dagogiques ont ainsi conclu des accords la plupart du temps crits avec le responsable p dagogique dont elles d pendent Julien PALOMO indique qu un peu plus loin dans l ordre du jour sont soumis des exemples de ces conventions cadres qui r glent des aspects pratiques b Questions et observations Cl ment ROUVEYROL est favorable cet amendement dans son ensemble mais signale que cela signifie que la Commission paritaire devrait voter pr s de quarante quitus moraux et financiers Julien PALOMO pr cise que dans la proposition pour les conventions cadres il est sugg r que les associations p dagogiques soient dispens es d un passage en Commission paritaire dans la mesure o ces associations ont un tuteur naturel savoir le responsable p dagogique du programme en question qui constitue un instrument consid rable de contr le en cours d ann e Julien BALLAIRE partage les m
26. alit de dossiers Il ne redoute donc pas de situation de blocage pour cette sous commission Daniel MUGERIN demande s il ne faudrait pas d terminer les d lais et les r gles permettant aux tudiants de saisir la Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER souhaite que soient vit s le juridisme et le formalisme par la cr ation d une usine gaz avec des d lais et des recours Le m canisme n est pas juridictionnel Au demeurant le terme recours n est pas employ dans le texte Chaque Commission paritaire sera pr c d e de peu de temps d une Commission de la vie tudiante Le d lai requis sera donc celui de la prochaine Commission paritaire Julien PALOMO remarque que pratiquement les convocations et les d lais ne seront pas d finis par la commission La Direction de la vie universitaire demeurera l interlocuteur principal des porteurs de projets Il indique une volont de formaliser les demandes en proposant un dossier type comme cela a lieu dans la plupart des universit s fran aises Cela sera notamment utile pour monter les projets de grande ampleur l instar de la semaine de l Afrique car les tudiants avaient jusqu alors faire des demandes r p t es aux diff rentes directions La naissance de la commission a la vertu de faciliter ce montage En effet la commission pourra demander aux diff rents supports un appui toute d cision sera motiv e et fera l objet d un compte rendu de la part
27. ation devenue un interlocuteur privil gi voire syst matique pour les questions d environnement L association a travaill avec de nombreuses directions de Sciences Po de fa on collaborative et fructueuse Le miel de Sciences Po en vente depuis la semaine pass e semble C line RAMSTEIN un bon exemple de cette coop ration La Semaine du d veloppement durable s est bien pass e Des recherches de partenariat ont t effectu es la demande de la Commission paritaire L association a galement tent de se d velopper au niveau 27 international La page de pr sentation sur le site est pr sente en dix langues Un devis sera r alis pour que le site existe en version bilingue Sciences Po Environnement s est aussi investi dans l accueil des tudiants trangers et dans une repr sentation des campus au sein du bureau sont ainsi pr sents une tudiante internationale et une repr sente du campus de Menton C line RAMSTEIN indique qu elle pourra revenir sur les projets qui n ont pu tre d velopp s suffisamment si les membres de la Commission paritaire le souhaitent Anne Lyne BANCALIN pr sente le bilan financier de l association En termes de tr sorerie onze postes ont t g r s durant l ann e Il appara t un fort exc dent en tr sorerie en raison de projets qui ne sont pas encore r alis s et qui vont l tre avec le bureau actuel et de recettes qui n avaient pas t budg tis es Anne Lyne
28. ations au travers d un mod le Fr d ric PUIGSERVER conclut que la phrase aff rente dans le texte du r glement est inutile et qu elle doit tre supprim e II PROPOSITION D UNE CONVENTION CADRE SCIENCES PO ASSOCIATION PERMANENTE a Expos Julien PALOMO indique le projet de document n a pas fait l objet de discussion en groupe de travail Un formulaire de demande de convention lui semble constituer une proposition consensuelle Dans cette convention cadre il est rest un titre laiss vide savoir celui des objectifs que se fixent les associations permanentes Ceux ci doivent faire l objet d une discussion p dagogique particuli re avec les responsables Cette question peut donc tre difficilement soumise au vote La direction s engage si l usage de la convention cadre s av re probl matique rediscuter son mod le devant la Commission paritaire au terme d un an de pratique Fr d ric PUIGSERVER estime cette proposition tre de bon sens b Questions et observations Julien BALLAIRE soul ve deux questions relatives ces enjeux La premi re concerne le versement de la subvention allou e certaines associations souhaiteraient qu un versement intervienne en plusieurs fois 14 afin de faciliter leur fonctionnement La seconde porte sur la possibilit d amender les conventions en cours d ann e notamment au niveau de la liste des projets Un projet n en septembre peut trouver sa pleine ma
29. au vote Julien PALOMO remarque que cela revient r unir nouveau une Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER ne voit pas d inconv nient la mise en uvre ce point s il l est sur la base du volontariat Pour Rapha lle REMY il s agit d appliquer un principe de transparence Charles Henri LARREUR note que cette question retentit sur celle de la diversit Fr d ric PUIGSERVER propose en ce sens de se prononcer au pr alable sur la mention suivante dans le projet d article Tout membre de la Commission paritaire peut assister aux travaux de la Commission de la vie tudiante sans voix d lib rative Cette modification est adopt e avec douze voix en sa faveur Fr d ric PUIGSERVER soumet de nouveau d lib ration le principe de la repr sentation d une diversit dans le choix de l lu non pr sident Il note qu il dispose d une procuration Ce principe est rejet avec sept voix en sa faveur et huit contre Fr d ric PUIGSERVER indique que demeure d terminer si le vote se r alise au sein de la Commission paritaire ou par coll ge Il demande de se prononcer sur une lection par coll ge dans laquelle les enseignants d signent le membre enseignant les tudiants le membre tudiant Ce principe re oit sept voix en sa faveur aucune abstention sept contre D s lors face ce partage des voix Fr d ric PUIGSERVER invite voter nouveau cette fois pour l lection au sein de la
30. constitu un autre chec en raison notamment des engagements avec l administration qui pr voient que les v tements soient donn s en de nombreuses occasions Concernant les p les positifs le p le des soir es est b n ficiaire Un p le surf a t lanc destination de 50 personnes pour l instant Monelle BARTHELEMYconstate qu il a constitu un v nement succ s bien qu un peu difficile pour cette ann e Monelle BARTHELEMYindique que l Association sportive s est engag e dans la continuit pour le sport avec des comp titeurs en d pensant 10 000 euros pour les comp titions sportives et en subventionnant notamment des sportifs se rendant des comp titions internationales Tr s peu de championnats de France ont d tre financ s cette ann e Les adh rents ont t favoris s pour l entr e certains v nements l instar du CREPS L Association sportive maintient son soutien aux tudiants en subventionnant de nombreux projets comme la Course Croisi re EDHEC L Association sportive souhaite remercier l administration qui a d bloqu un budget dans sa politique d aide sociale qui a permis de fixer des prix pour le pack Coll giades 10 euros au lieu de 80 euros prix co tant 16 b Questions et observations Olivier ARON tient f liciter l quipe pour la clart de leur bilan dont peu d associations sont capables Daniel MUGERIN demande ce qui est propos cette saison pour
31. e distribution de cr dits Rapha lle REMY note que le nombre de cr dits devrait d cro tre et passer de six deux Herv CRES atteste le fait que les responsables p dagogiques ont la l gitimit de juger par la validation de cr dits la port e formatrice des activit s associatives Il n a jamais prouv la moindre r ticence d l guer aux responsables p dagogiques la d cision d attribution de ces six cr dits qui dor navant seront au nombre de deux Il s agit donc d un effet d optique Fr d ric PUIGSERVER note que cet effet joue dans le sens inverse du r el Il est essentiel de pouvoir d terminer en amont l impact d un texte nouveau Julien PALOMO insiste sur le fait que cette r forme va dans le sens impuls par la Commission paritaire en octobre 2008 13 Fr d ric PUIGSERVER demande la Commission si ces pr cisions permettent d adopter l article 13 Dans la mesure o il s agit galement de renforcer l engagement associatif sur les campus Rapha lle REMY demande s il serait possible d envisager un prix de la vie tudiante d s le Coll ge universitaire Julien PALOMO lui r pond que cela d pendra de la date de dipl me du Coll ge universitaire Th oriquement le jury devrait se r unir en fin d ann e Or la dipl mation du Coll ge universitaire devrait avoir lieu bien avant Julien BALLAIRE n a pas compris si des dispositions permettaient des personnes engag es forteme
32. e part des associations de premi re cat gorie qui sont contr l es en Commission paritaire d autre part des associations qui subissent un contr le all g mais que toutes peuvent disposer d une accr ditation similaire Sa position personnelle est d largir le spectre des associations permanentes mais de demeurer champ constant pour ce qui est du contr le des bilans moral et financier en Commission paritaire et de l accr ditation Cela signifierait que seules les associations permanentes historiques pourraient b n ficier d accr ditation Les autres rel veraient du m me r gime que l ensemble des associations reconnues Fr d ric PUIGSERVER met donc une forte r serve quant un traitement homog ne de l accr ditation au sein des associations permanentes Julien BALLAIRE observe qu il serait alors n cessaire de modifier l article 13 1 de trouver la juste taille des conseils d administration et de d finir le champ des associations permanentes Il note galement que la prononciation des quitus a t d l gu e aux responsables de masters ou de campus mais que la Commission paritaire devait valider in fine ces d cisions Selon Julien BALLAIRE il s agit juste d une proc dure de d l gation pour d sengorger la Commission paritaire mais cette derni re demeure souveraine pour d livrer les quitus aux associations permanentes Cet ajustement technique ne lui pose pas probl me Julien PALOMO pr cise que l
33. er avec une commande de bouteilles de bi re avant m me que la direction ait pu invalider le projet Fr d ric PUIGSERVER cl t le d bat en rappelant que le BDE a une mission de service donn e par les statuts de Sciences Po qui doit informer l action au quotidien Il note que la pr sentation du bilan tout 24 comme sans doute la mani re dont chaque membre vit son action au sein du BDE aurait gagn mettre davantage l accent sur les activit s de service L utilit du Gala n est pas contest e mais elle doit tre mise en regard de celle d autres v nements ou actions Hugo SCHLEICHER note que l absence de renouvellement des annonces de logement sur le site de Sciences Po constitue une catastrophe Fr d ric PUIGSERVER encourage Hugo SCHLEICHER s emparer du sujet ou en tout cas saisir la Commission paritaire en cas de difficult s constat es Erwan SCOARNEC d plore le fait que l administration de Sciences Po ait retir du BDE le service que constituait la gestion du fichier logements alors que selon lui elle l assure moins efficacement Julien PALOMO lui r pond que le plus beau cadeau que peut faire la direction de Sciences Po en cette mati re est de demeurer muette sans incriminer qui que ce soit Fr d ric PUIGSERVER demande ce que soit inscrit l ordre du jour d une prochaine Commission paritaire un point contradictoire avec le BDE concernant la gestion optimale de l offre de lo
34. ersonnes et a permis de travailler la coh sion entre les diff rents campus de Sciences Po Hugo SCHLEICHER ajoute que le Buddy Program a t d velopp avec une Journ e d int gration qui a r uni plus de 1 000 personnes moiti internationales moiti francophones avec des v nements tels que Buddy Language Walk your Sunday Food Festival Intercultural Show Il s agit d une premi re tape favorisant l int gration des tudiants internationaux Les Week ends d int gration ont t dans l ensemble remplis m me s ils sont d ficitaires Hugo SCHLEICHER indique qu un parrainage des l ves de premi re ann e a t mis en place de mani re embryonnaire En raison de la r glementation de la CNIL il tait en effet impossible d avoir acc s aux bases de donn es des tudiants de premi re ann e Cette ann e cette id e a t reprise et conna t un d veloppement Selon lui cela fait partie des grands axes qu il faudrait d velopper L une des innovations du BDE est aussi le BDE Sciences Po National Tour dont l objectif est de faire se rencontrer les tudiants des diff rents campus L id e tait que tous les tudiants de campus se m lent Selon Hugo SCHLEICHER l accueil des tudiants et des administrations a t extr mement positif et ce projet m rite d tre encourag et d velopp Par ailleurs le Concours d Eloquence a t organis en partenariat avec Sciences Pol miques qui a a
35. es associations p dagogiques ont d j via des accords conventionnels ou des projets collectifs le m me fonctionnement que les associations permanentes Spontan ment les responsables p dagogiques avaient adopt ce qui avait t vot en Commission paritaire il y a trois ans Rapha lle REMY note qu un projet collectif implique une pr sentation crite et orale des quitus moral et financier Julien PALOMO souligne que dans les faits l ensemble des associations quelques exceptions pr s fonctionnent d j sur ce mod le Paul CHALVIN soul ve le fait que les associations li es aux campus en r gion n entrent pas dans ce cadre Rapha lle REMY lui r pond que ce ne sont plus des projets collectifs mais des projets associatifs Paul CHALVIN note qu ils sont cr dit s dans le cadre de leur activit associative en master Julien PALOMO indique que les projets collectifs de coll ges universitaires servent la plupart du temps les associations permanentes des campus Certes leur d finition est sensiblement diff rente de celle du master Par exemple le bureau des l ves de Poitiers est un projet collectif de coll ge universitaire Fr d ric PUIGSERVER demande la direction de Sciences Po qu elle certifie que toutes choses gales par ailleurs le fonctionnement actuel et le syst me futur dans lequel optiquement les vannes du syst me de cr dits semblent ouvertes plus largement auront les m mes effets en termes d
36. es bureaux pr c dents mais il s av re n cessaire de mettre un tel logiciel en place L URSSAF demande des chiffres valid s par un tampon officiel Maximilien HONDERMARCK pr cise qu il s agit de comptes de classe 5 et de classe 6 Emilie HERICHER r p te qu il a t demand il y a deux mois de fournir un nombre de papiers consid rable De plus elle pr cise qu Annie TRESAC n a pas t totalement pay e du nombre d heures d augment de charges et de majorations Selon Emilie HERICHER le rattrapage devrait s lever 5 000 ou 6 000 euros Enfin elle souligne que les provisions de charges ont t transf r es d ann e en ann e Marie Alix GRISOLET lui r pond que ce n tait pas le cas Brouhaha Rapha lle REMY demande si la transition se passe bien entre les deux bureaux et si ces derniers collaborent 18 Selon Emilie HERICHER le bilan moral du dernier bureau est excellent de nouveaux projets ont t engag s l instar du cin ma et de la photo les v nements ont bien fonctionn Elle esp re pouvoir faire aussi bien Cependant concernant le bilan financier elle affirme ne disposer d aucune facture de l ann e pass e Marie Alix GRISOLET regrette que personne n ait jamais r pondu ses courriels Brouhaha Fr d ric PUIGSERVER en appelle au calme Il comprend qu une passation de pouvoir n est pas toujours tr s ais e Il rappelle que les quipes g rent des services
37. est satisfaisante pour personne Il a donc t tent de formaliser la proc dure d attribution de subventions Or la r glementation de la vie tudiante rel ve de la Commission paritaire y compris l attribution des subventions La difficult est de ne pas engorger l ordre du jour de la Commission paritaire tout en rendant visibles les d cisions d attribution Une formule de compromis savoir un format restreint quatre personnes permet de satisfaire en m me temps la r gularit de la proc dure et la n cessaire souplesse et r activit des d cisions Fr d ric PUIGSERVER note que la possibilit de partage des voix peut intervenir tout autant seize qu quatre d autant que le pr sident n a pas de voix pr pond rante Au demeurant c est la nature m me de cette instance que d tre paritaire Fr d ric PUIGSERVER rappelle que la commission ne se distingue pas de la Commission paritaire elle lui est reli e par l obligation de rapport La Commission paritaire sera donc saisie coll gialement de l ensemble des dossiers qui auront t statu s Elle pourra soit approuver la liste des projets re us soit d lib rer d un projet particulier au sein de la liste soit se saisir nouveau d un dossier sur demande d un l ve ou d une association Par ailleurs Fr d ric PUIGSERVER observe que la recherche de souplesse et de r activit implique non seulement un format r duit de commission mai
38. eulement demeure trouver La p riode la plus idoine serait autour de d cembre et janvier Julien PALOMO consid re que le nombre d tudiants par association doit tre appr ci en fonction de l activit de cette derni re Le rapport d activit doit ainsi varier en volume en fonction du nombre de militants engag s et rendre compte des t ches effectu es par chacun Fr d ric PUIGSERVER pr cise que l accr ditation est pr vue pour les membres du Conseil d administration des associations Il se demande s il existe un encadrement du nombre de personnes figurant dans le Conseil d administration des associations permanentes Julien BALLAIRE appuie cette remarque concernant une d rive potentielle A l inverse il fait valoir galement le fait qu il ne faut pas trop restreindre le nombre de membres car des membres actifs doivent pouvoir y pr tendre sans tre au CA l instar d associations comme Sciences Po Environnement Rapha lle REMY propose d ter le terme reconnues afin que chaque pr sident d association permanente puisse d signer si besoin des membres qui ne font pas partie du Conseil d administration mais qui justifie d une activit consid rable 12 Julien PALOMO remarque que l instrument de contr le est la restitution d un rapport collectif Gr ce ce dispositif le rapport pourra tre plus norm Fr d ric PUIGSERVER est r ticent face l id e qu il existerait d un
39. evues la baisse du fait de l augmentation des recettes dans les sports aff rents Monelle BARTHELEMYajoute que le b n fice a t allou aux versements pour le ski de l exercice suivant et en pla ant en pr vision un investissement immobilier de 20 000 euros pour l quipe suivante Concernant les p les sportifs de d penses Monelle BARTHELEMY note l chec financier du ski malgr la r ussite et l atteinte des objectifs financiers pour les deux premiers v nements de ski de la saison Un d ficit de plus de 10 000 euros est constater sur la semaine des l ves de premier cycle pendant les vacances de f vrier La principale raison est qu un galop d essai pour tous les l ves de premi re ann e et la majorit de la deuxi me ann e a t organis le samedi 25 f vrier soit quatre semaines apr s le d but des cours L organisation de ce galop d essai n avait pas t anticip e et les cars taient cens s partir le vendredi 24 f vrier Il a pu tre n goci que les cars partent le samedi soir apr s le galop d essai ce qui a constitu un co t suppl mentaire pour l association Au final les galops d essai ont t annul s La difficult suivante a t d ajuster le nombre de cars au nombre de personnes inscrites Pour cette ann e il a donc t d cid de supprimer le premier week end de ski et de r duire le nombre de personnes pr vues Par ailleurs la vente de v tements sportifs a
40. exemple le Gala Fr d ric PUIGSERVER remarque qu partir du moment o il est choisi d voquer des difficult s il est n cessaire de les expliciter Hugo SCHLEICHER pr cise que des personnalit s avaient t invit es suscitant une r action vive de l administration Brouhaha Erwan SCOARNEC pr sente le bilan financier Le Gala constituait un projet d licat car l quipe ignorait a priori le nombre de places qui allait tre vendues Selon Erwan SCOARNEC il tait n cessaire d tre prudent Par ailleurs l quipe souhaitait r aliser un b n fice annuel afin de le transmettre au BDE suivant En effet au moment de la passation le BDE pr c dent n avait pas re u le soutien de tous ses sponsors ni termin de r gler les d penses du Gala Les trois quarts des places du WEI devaient tre r gl es avant que 21 soit effectu e leur vente effective Il fallait donc disposer de tr sorerie pour commencer l ann e de fa on sereine Erwan SCOARNEC indique que le BDE a chang de banque L ann e derni re la BNP avait donn 20 000 euros au BDE Or la proposition de la LCL s est av r e plus int ressante cette ann e avec 13 000 euros de dotation fixe plus une part variable li e la cr ation de comptes L op ration s est r v l e tr s profitable pour le BDE avec 77 000 euros de subventions du LCL au total soit plus de 50 000 euros de plus que l ann e pass e Cette subvention bancaire ains
41. gements service essentiel aux tudiants c Votes Fr d ric PUIGSERVER sollicite un vote s par sur le quitus moral et le quitus financier Alexis LE CHAPELAIN pr cise qu il dispose d une procuration Robert SKIPPON d tient galement une procuration Le quitus moral est accord avec trois voix en sa faveur et douze abstentions Le quitus financier est accord avec treize voix en sa faveur et deux abstentions 4 Junior Consulting Fr d ric PUIGSERVER demande aux membres auditionn s d tre synth tiques et de mettre avant tout l accent sur les l ments saillants de leur gestion a Expos Adrien VAN EYNDE est pr sident sortant de l association Junior Consulting Le document envoy la Commission paritaire se compose d un bilan moral de l ann e 2010 d un compte de r sultat et d indicateurs chiffr s L activit au c ur de Junior Consulting est le conseil destination d entreprises d associations et d institutions La justification du statut d association permanente de Junior Consulting consiste dans le fait qu elle est une exp rience professionnalisante pour nombre d tudiants L association a b n fici de conditions favorables permettant la croissance de son activit ainsi qu une reconnaissance accrue au sein de la Conf d ration Nationale des Junior Entreprises CNJE 61 missions ont t sign es en 2010 contre 47 missions en 2009 Fin ao t 2011 47 missions ont d j t
42. i que des v nements suppl mentaires ont permis d atteindre un budget record de 450 000 euros soit 120 000 euros de plus que l ann e pr c dente Concernant le compte de r sultat Erwan SCOARNEC explique que l objectif est de d gager un exc dent sur les soir es pour financer le Gala avec plus ou moins de succ s Le BDE Sciences Po National Tour constituait un v nement nouveau aussi l association n a pas pris trop de risques Sciences Po Paris a d bloqu 1 630 euros et l administration de Reims 285 euros Lors du week end Menton peu de places ont t vendues d o un d ficit De plus les WEI WER ont t d ficitaires il est difficile d quilibrer le budget puisque les d penses sont assez consid rables Le week end d int gration Londres l ann e pass e pouvait n cessiter un visa pour certains tudiants En outre l Alternative Spring Break a eu lieu Lille dans de bonnes conditions et a permis de d gager un petit exc dent qui a t revers l association partenaire Par ailleurs la collaboration avec Sciences Pol miques pour l organisation du Concours d Eloquence s est bien pass e bien que l op ration ait un r sultat un peu n gatif Le Gala est videmment tr s d ficitaire C est pourquoi l association conomise durant toute l ann e pour le financer dans la mesure o il exige 90 000 euros hors recettes de l v nement Par ailleurs divers partenariats ont t
43. les modifications dans l ordre de lecture du texte 1 Pour l article 1 alin a B 2 Nicolas PEJOUT cite le texte modifi Chaque campus en r gion organise la reconnaissance avec des crit res propres Les tudiants du campus peuvent participer la proc dure de reconnaissance du campus de Paris 2 Pour l article 3 Nicolas PEJOUT fait lecture d un ajustement textuel qui a t mis en place ou tout l ve ou tout groupement d l ves dont le projet a re u laval de la Commission de la vie tudiante 3 Nicolas PEJOUT indique une modification qui a t voqu e plus haut dans la r union Les manifestations d une dur e sup rieure quatre heures doivent tre pr sent es devant la Commission de la vie tudiante Rapha lle REMY demande si ces manifestations impliquent aussi un amphith tre Nicolas PEJOUT pr cise qu elles ont pour seule crit re la masse horaire quel que soit le lieu concern Julien BALLAIRE s interroge sur l utilisation ventuelle d une salle de TD pendant quatre heures Nicolas PEJOUT aurait tendance privil gier un crit re horaire simple Julien PALOMO prie la Commission paritaire d excuser par avance la Direction de la vie universitaire si elle ne lui soumet pas une demande de salle de douze places pendant neuf heures pour un casting de pi ce de th tre 4 Nicolas PEJOUT note un autre ajustement textuel concernant les publics invit s qui sont ext
44. les ventes de T shirts L o BOCHET pr cise que ces T shirts sont invendables ils en ont vendu seulement pour 600 euros car ce type de produits ne correspond pas aux attentes des tudiants Il estime que ce mod le a t mal pens Ces v tements sont trop chers pour tre utilis s dans une pratique sportive L o BOCHET affirme que l quipe actuelle ne veut pas les garder Avant le vote du quitus Fr d ric PUIGSERVER observe qu il aimerait disposer d un peu plus de profondeur historique dans la pr sentation des comptes Il est difficile de d terminer ce qui s est am lior r ellement sous la gestion de l quipe auditionn e Rapha lle REMY tient f liciter l quipe pour l organisation du Crit tant pour sa r ussite sportive que pour l ambiance qui r gnait ou encore pour la gestion financi re de l v nement c Vote Le quitus moral et le quitus financier sont prononc s l unanimit 2 Le Bureau des Arts a Expos Fr d ric PUIGSERVER insiste sur l effort de synth se consentir dans la pr sentation des bilans afin de mettre en lumi re les r ussites et les pr occupations Au niveau des r ussites de l association Coline JUILLERAT met l accent sur les projets tudiants autour du cin ma par exemple travers la premi re semaine du cin ma Le Cin Club a t relanc Les efforts ont t maintenus concernant l ouverture des activit s aux tudiants d autant p
45. licitera un rapport d tape la fois moral et financier Enfin la pratique de l embauche en CDI est rarissime Fr d ric PUIGSERVER le remercie pour ces l ments de r ponse c Votes Le quitus moral est accord avec 13 voix en sa faveur et 2 voix contre Le quitus financier n est pas accord avec treize voix contre et deux voix en sa faveur 3 Le Bureau des El ves Fr d ric PUIGSERVER pr sente ses excuses pour l horaire tardif d audition et demande aux membres du bureau un effort de synth se concernant le bilan moral et financier la gestion sortante et le passage de relais 20 a Expos Hugo SCHLEICHER pr sente un bilan du BDE qu il affirme dans l ensemble plut t positif L quipe est compos e de 24 personnes pour moiti de deuxi me ann e pour moiti de quatri me ann e Pour la premi re fois de l histoire du BDE le chiffre symbolique des 3 000 adh rents a t atteint Un budget de 450 000 euros a t d pass galement Ces deux indicateurs constituent des chiffres particuli rement positifs L objectif de l quipe sortante tait de changer quelque peu l image de l association Selon Hugo SCHLEICHER m me si cette t che est difficile cet objectif a t atteint en partie D s le d but de l ann e un bal du Bachelor a t organis qui est d ailleurs repris cette ann e Rama Yade et Chantal Jouanno avaient t invit es La soir e a r uni un grand nombre de p
46. lobal la Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER demande que soit vot e nouveau la proposition par l ensemble de la Commission paritaire La proposition r examin e n est pas adopt e avec cinq votes en sa faveur et sept contre elle L lection est ajourn e la prochaine Commission paritaire IV INFORMATION SUR LA PROCEDURE DE RECONNAISSANCE DES ASSOCIATIONS Fr d ric PUIGSERVER constate l absence d observations sur cette question Julien PALOMO remarque qu il sera n cessaire de mettre en coh rence le calendrier universitaire et celui de la Commission paritaire V AVIS SUR LA MODIFICATION DES ARTICLES 14 5 15 5 ET 18 2 DES STATUTS DE L IEP L examen de cette question est report la prochaine Commission paritaire VI ADOPTION DU PROCES VERBAL PROVISOIRE DE LA SEANCE DU 6 JUIN 2011 Le proc s verbal de la s ance du 6 juin 2011 est adopt l unanimit sous r serve d observations transmises au secr tariat VII ECHANGE D INFORMATIONS SUR DES QUESTIONS DIVERSES Julien BALLAIRE sollicite des pr cisions concernant la r solution des probl mes li s la gestion des inscriptions p dagogiques par le secr tariat des langues notamment via l embauche d un directeur pour ce secr tariat Selon Julien PALOMO la direction n est pas tenue de lui r pondre sur ce dernier point Pour les inscriptions en elles m mes une information a t demand e au secr tariat des langues Cet
47. loi d organiser des soir es de se battre avec des partenaires pour offrir le d jeuner le moins cher etc Il constate qu il n y a jamais eu autant de partenariats Sciences Po que gr ce au BDE Selon lui le service aux tudiants a constitu la principale activit cette ann e et 1l est faux de croire que le BDE tourne autour du Gala Olivier ARON note qu il n a pas entendu ce discours lors de la pr sentation du bilan moral Hugo SCHLEICHER s affirme bless par les propos de Rapha lle REMY Il estime qu il s agit galement d une insulte vis vis des 23 personnes qui ont fait fonctionner le BDE et propos durant l ann e des services aux tudiants Rapha lle REMY d clare ne pas remettre en cause les services du BDE mais le r le d Hugo SCHLEICHER lors des lections de ce m me BDE mettant ainsi en cause la l gitimit de son quipe et de la suivante Elle estime donc qu il doit en tre fait une mention claire puisque Hugo SCHLEICHER tait en tant que Pr sident le responsable pour cette association permanente Alexis LE CHAPELAIN sollicite le point de vue de la direction concernant ces all gations Nicolas PEJOUT ne dispose pas d historique sur la question tant arriv au d but du mois de mai 2011 Il a cependant constat que de l alcool tait distribu dans la rue proximit de Sciences Po pendant les lections du BDE II a par ailleurs le souvenir d un projet d ap ritif en juin derni
48. lus il y a de personnes pr sentes plus les pertes sont grandes Antoine GENEL observe qu il existe des co ts fixes l instar du syst me de sonorisation Camille DUCORPS indique que les projections ont t r alis es partir d un nombre d invit s faible Des invit s suppl mentaires ont permis de r aliser un b n fice Olivier ARON note une absence de b n fices Antoine GENEL pr cise qu il s agit d un b n fice au regard des pr visions Camille DUCORPS rappelle qu en fin d ann e un b n fice de 17 000 euros a pu tre d gag No mie CALAIS signale que le partenariat avec LCL devrait se reproduire l ann e prochaine Fr d ric PUIGSERVER demande confirmation quant au caract re potentiellement r current de la recette exceptionnelle No mie CALAIS confirme qu elle n est pas exceptionnelle Camille DUCORPS ajoute qu elle est renouvelable chaque ann e Hugo SCHLEICHER r pond trois questions soulev es Tout d abord les lections ont t pr par es en amont Le jour du vote en allant sur la plateforme de l lection il a eu la surprise de constater qu il tait possible de suivre la progression de cette derni re Rapha lle REMY rappelle que cet l ment a t voqu en r union pr paratoire Brouhaha Hugo SCHLEICHER pr cise que la l gitimit du vote ayant t atteinte un second vote a t organis Par ailleurs au sujet des invit s il avait t arr
49. lus sur les campus d localis s Elle invite consulter les chiffres d taill s figurant sur le document discrimin s selon leur caract re ponctuel ou r gulier l instar des cours hebdomadaires du Club Litt rature du Club Photo Il a t tent d int grer au mieux dans les projets le BDE et d autres associations Pour le bilan financier Marie Alix GRISOLET tablit une comparaison entre l ann e pass e et cette ann e Les impay s ont t inf rieurs l ann e pr c dente Les frais bancaires ont diminu Le budget des cours a norm ment augment il est pass de 12 928 euros 19 415 euros cette ann e Marie Alix GRISOLET note qu un effort particulier a t fait sur la ma trise des d penses ce qui a permis l association de financer de nouveaux postes comme le mat riel photo etc La Journ e D dicaces a b n fici d un budget plus cons quent cette ann e car des partenariats ont t conclus notamment avec Sony de l ordre de 5 000 euros L ann e pass e les recettes s levaient 12 162 euros et sont pass es 18 286 euros Le Cin Club a co t plus cher car il n a pas trouv de subventions ext rieures Le BdA l a financ Pour l avenir Marie Alix GRISOLET note que le Cin Club devra tre forc mobiliser des partenaires Elle constate un d ficit attendu sur la soir e Coline JUILLERAT pr cise que ce projet avait t con u en commun avec ASP qu il a
50. mble des futures r unions de la Commission de la vie tudiante Elle remercie Herv CRES I APPROBATION DU NOUVEAU REGLEMENT DE LA VIE ETUDIANTE Nicolas PEJOUT indique que le nouveau r glement est compos d ajustements textuels d une part et de modifications substantielles d autre part concernant notamment la vie associative Cette r forme s inscrit dans le cadre de la r flexion d un groupe de travail r uni en mai 2011 avec les pr sidents des associations permanentes pour discuter d une meilleure structuration de la vie associative Elle est galement issue de la Commission paritaire du mois de juin dernier qui avait modifi le R glement de la scolarit notamment sur la mise en option des projets collectifs en master L une des remarques voqu es en cette occasion tait la n cessit de s curisation de la vie dynamique riche et bouillonnante des associations Sciences Po Il sugg re de passer en revue les propositions de modifications au fil du texte avec les num ros de page Parmi les documents envoy s figure le projet de modification du R glement de la vie tudiante Il a galement distribu un feuillet A4 consulter en regard des pages 1 et 2 de ce projet Il s agit d une proposition de r criture de la part de Fr d ric PUIGSERVER qui concerne le pr ambule et l article 1 Il pr conise de mettre en lecture cette derni re version qu il consid re comme la plus jour PREAMBULE a Expo
51. n est de 185 000 euros et le r sultat net de 843 euros Adrien VAN EYNDE table sur une augmentation d activit en 2011 avec une pr vision de chiffres d affaires de l ordre de 300 000 euros et un r sultat net de 3 000 euros b Questions et observations Fr d ric PUIGSERVER demande quelle est la motivation du choix des photos dans le rapport d activit Adrien VAN EYNDE pr cise que chaque ann e le rapport annuel met en valeur un th me photographique Celui du Br sil a t choisi Il permet de rendre le rapport plus vivant et color Olivier ARON souligne la qualit du rapport et des illustrations Une profondeur historique et d analyse permet de comprendre la situation de l association Au del de la stagnation du r sultat net il est peut tre constater un co t de facturation qui n est pas assez cher Adrien VAN EYNDE souligne que l association est contrainte facturer entre 80 et 280 euros la journ e de travail Il n existe aucune marge de man uvre cet gard Olivier ARON s interroge sur le montant moyen de la facturation par mission Adrien VAN EYNDE note que le co t des missions est tr s variable il va de 1 000 euros pour une mission simple comme un business plan am lior pour une start up jusqu 20 000 euros pour des missions plus labor es Olivier ARON demande s il existe une analyse de la rentabilit des quipes au regard des missions Adrien VAN EYNDE r pond qu
52. n dans le monde civil qui s est dot e d un expert comptable Il lui semble que les associations permanentes devraient tre oblig es de mobiliser un expert comptable pour viter des erreurs majeures Fr d ric PUIGSERVER est d accord avec cette proposition Alexis LE CHAPELAIN d sirerait savoir si l embauche d une personne en CDI constitue un cas courant dans les associations de Sciences Po 19 Fr d ric PUIGSERVER note que cela fait partie des d cisions de gestion qui auraient d tre soumises un contr le et une autorisation de la Commission paritaire Cl ment ROUVEYROL est d accord avec les r serves exprim es par Olivier Aron Il demande un vote s par du quitus moral et du quitus financier Au nom de l UNEEF Ana s DE SAINT MARTIN affirme qu au vu des irr gularit s constat es le bilan financier ne sera pas valid Il n est pas possible de cautionner une atteinte au droit du travail Maximilien HONDERMARCK est arriv d but juillet en constatant l tat des comptes et les demandes de PURSSAF Il estime indispensable de disposer d un expert comptable ou d un logiciel de comptabilit permettant de proc der une pr sentation unifi e des comptes Brouhaha Maximilien HONDERMARCK ajoute que m me une entreprise qui a un budget moindre produit un compte de r sultat Julien PALOMO note qu il n est pas interdit une personne incapable d assumer le r le de pr sident ou de tr
53. nt dans des associations hors de leur conseil d administration de valider des cr dits Par exemple un chef de projet de Sciences Po Environnement passe entre les mailles du filet ne relevant ni de l alin a 1 ni de l alin a 2 Julien PALOMO rappelle que le fonctionnement ne changera pas de mani re fondamentale au regard de la pratique actuelle qui consiste donner deux cr dits des personnes engag es dans des projets collectifs hors bureau d association Julien BALLAIRE revient sur l expression associations reconnues Selon lui ce qui est voqu concerne seulement les associations permanentes Julien PALOMO lui r pond que les associations vis es sont celles d finies dans l article 1 14 Avant que ne soit examin le point suivant Julien PALOMO note qu une erreur s est gliss e dans l article 14 C 2 Il d clare que l id e selon laquelle la procuration doit tre obligatoirement pr sent e un bureau de secr tariat peut s av rer probl matique des pr c dents montrent que des oppositions cette disposition ont argu d un d ni du droit de vote L obligation de faire viser la procuration pourrait tre consid r e comme une obstruction au droit de vote Selon Julien PALOMO une tierce personne contr lant la validit du vote peut constituer un outil tr s dangereux et s opposer l esprit du droit de vote en France Herv CRES rappelle que l id e tait de standardiser les procur
54. nt inf rieur mais qui pourraient constituer des alli s consid rables dans l avenir Concernant le bilan financier Adrien VAN EYNDE constate un chiffre d affaires de 248 000 euros en augmentation de 68 par rapport l exercice pr c dent La structure des co ts est demeur e inchang e Le poste le plus important est constitu des r mun rations brutes vers es aux tudiants de l ordre de 60 du chiffre d affaires Viennent ensuite les charges d exploitation Le r sultat net est de 2 880 euros Il est en nette diminution au regard de 2009 dans la mesure o il a t divis par cinq Adrien VAN EYNDE met en exergue le fait que la croissance du chiffre d affaires a conduit le bureau proc der des investissements La base de donn es DIANE ainsi t achet e Son co t est de 12 000 euros par an Un autre logiciel d velopp par d autres Junior Entreprises SIAJE aide l association mieux g rer les missions L association a t agr ment e par l ADEME pour r aliser des bilans carbone ce qui a constitu un co t Pour l instant aucune mission n est encore venue couvrir le co t de cet investissement Concernant l exercice 2011 le rapport envoy fait figurer un compte de r sultat provisoire sur les huit premiers mois d exercice qui sera sujet des ajustements Selon Adrien VAN EYNDE ce document offre toutefois une image juste de l activit de l association Le chiffre d affaires sig
55. ombre de projets financ s via des v nements qui promeuvent l image de Sciences Po en dehors de la sph re tudiante habituelle D autres projets ont t plus centr s sur Sciences Po comme avec le campus d centralis du Havre travers un week end surf par exemple Une comp tition sportive a aussi t organis e pour les l ves de premi re ann e afin de faciliter les rencontres Thomas JACQUET souligne galement l am lioration du processus 15 des inscriptions p dagogiques en tablissant un paiement en ligne et en organisant le remboursement des cotisations pour les tudiants boursiers L Association sportive engage une part consid rable de son temps dans l organisation du Crit Thomas JACQUET insiste sur la volont de mettre le sport au centre de l v nement car des critiques avaient vu le jour au regard de certains d bordements Le Crit a t la cons cration de l excellence sportive Sciences Po Ont t ainsi financ s tout au long de l ann e des tournois l tranger ou diff rents v nements pour les quipes Il s agissait de faire de Sciences Po une cole galement r put e pour le sport Thomas JACQUET constate que l association a plus ou moins r ussi dans la mesure o une quipe a atteint un haut niveau dans les grands championnats Monelle BARTHELEMWYintroduit le bilan financier de l Association sportive en notant son caract re particuli rement positif Il avait t
56. portive a Expos Thomas JACQUETest vice pr sident de l association Se trouvant Berlin la pr sidente ne peut assister la r union et s en excuse Thomas JACQUETpr sente le bilan moral L Association sportive a pour objectif de d velopper l acc s aux sports et ses valeurs au sein de Sciences Po Elle soutient des activit s annexes comme le Crit Thomas JACQUETtient souligner le travail effectu par les bureaux des ann es pr c dentes qui a permis d obtenir un r sultat positif tant au niveau de l image qu au niveau financier Il met en exergue la volont de consolider et de d velopper l offre en sports Sciences Po en parall le de la croissance du nombre d l ves L association propose aujourd hui 60 sports diff rents 2 500 adh rents Elle est la premi re association de sport tudiant en Ile de France Un r seau de partenaires a t mis en place en particulier avec les mairies et les institutions scolaires pour mettre en place des cours Il a galement t tent de stabiliser les co ts des diff rents sports afin qu il n y ait pas d impact sur les l ves L association a voulu v hiculer des valeurs de partage d esprit d quipe Certes l image a t ternie par certaines affiches que l association ne pensait pas insultantes et pour lesquelles elle s excuse aupr s des personnes qui ont t froiss es Thomas JACQUETexplique qu il a t tent d augmenter le n
57. ppl mentaire mis la disposition des tudiants de Sciences Po pour pr senter des projets sous forme de dossiers Cette commission traiterait des demandes de plus de 600 euros et ou des demandes d utilisation de plus de quatre heures d espace L acc s cette commission est large tout l ve de Sciences Po ou toute association mentionn e par le pr sent r glement peut saisir la Commission de la vie tudiante Cette derni re se compose du pr sident enseignant et du pr sident tudiant de la Commission paritaire qui en assurent conjointement la pr sidence ainsi que d un repr sentant enseignant et d un repr sentant tudiant lus au sein de la Commission paritaire Le directeur des tudes et de la scolarit ou son repr sentant assistent aux travaux de la Commission de la vie tudiante La Direction de la vie universitaire est charg e de l instruction des dossiers pour faire en sorte que la Commission se prononce sur la base de dossiers complets 4 La Commission de la vie tudiante devrait pouvoir galement saisir d autres directions de Sciences Po charg es de support et d appui la Direction des syst mes d information la Direction des services g n raux et de l immobilier etc 5 La Commission paritaire est saisie lors de ses s ances des demandes sur lesquelles la Commission de la vie tudiante s est prononc e Un tableau serait alors pr sent r capitulant la nature de chaque projet la demande
58. pport une grande aide cet gard Hugo SCHLEICHER consid re qu il a constitu l un des plus beaux v nements de l ann e parrain par l ancien Pr sident du S n gal Un p le Associations a galement t d velopp avec la Gazette du 27 qui r pertorie et communique l activit des associations La parution du Guide de l Etudiant de l Agenda du 27 est devenue une tradition permettant aux tudiants de disposer d une information utile autour de Sciences Po Le p le humanitaire s est accru cette ann e avec l organisation d un Alternative Spring Break Bien qu il soit embryonnaire ce projet est dans l ensemble un succ s Les soir es se sont bien pass es aucun probl me li l exc s d alcool n a d tre d plor Un pic a t atteint avec la soir e d int gration comprenant plus de 1 300 personnes Le p le partenariat permet d offrir des services aux tudiants bons plans presse accessible etc Enfin le Gala a constitu le point d apoth ose de l ann e en r unissant 2 500 personnes avec des invit s prestigieux Hugo SCHLEICHER conclut que l ann e a t bonne Il remercie l administration et les syndicats pour leur collaboration et leur soutien M me s il a constat quelques probl mes d incompr hension avec l administration les missions ont pu tre remplies Fr d ric PUIGSERVER demande Hugo SCHLEICHER de pr ciser son propos Hugo SCHLEICHER cite en
59. r ARON estime au vu des chiffres et du bilan moral que l objet du BDE s est d tourn du service aux tudiants Hugo SCHLEICHER argue du fait qu une centaine d tudiants ont trouv un logement via le BDE D autres tudiants ont trouv un emploi par le m me biais Rapha lle REMY intervient dans la mesure o elle a suivi les lections et a pris en note la pr sentation de l quipe 2010 2011 du BDE Il y tait dit que le but du BDE est d organiser des v nements tout au long de l ann e pour recueillir le maximum d argent en faveur du Gala Elle ne met pas en cause ce but d s qu il est affich mais elle souligne qu il serait bienvenu de l assumer Enfin elle affirme irresponsable qu un pr sident du BDE en place se permette de favoriser la distribution d alcool lors d lections Rapha lle REMY appelle l ensemble des lus de la Commission paritaire voter contre ou s abstenir concernant le bilan moral du BDE Elle estime que l quipe 2010 2011 prend les membres de la Commission paritaire pour des imb ciles Antoine GENEL apporte une r ponse concernant la mise en exergue du Gala Il lui semble qu il ne faut pas confondre la mani re dont est financ un v nement co tant plusieurs centaines de milliers d euros avec le but du BDE Le quotidien de l association n est pas de brasser des milliers d euros pour organiser le Gala mais de mettre en ligne des annonces de logement et d emp
60. r chacun des campus en r gion La modification structurelle la plus importante est de proposer que les associations p dagogiques deviennent des associations permanentes Jusqu pr sent apr s accord du responsable p dagogique du programme auquel elles taient attach es elles devaient ensuite se faire enregistrer en d but d ann e par la Commission paritaire L ancien r glement int rieur affirmait que du moment qu il existait un accord du responsable p dagogique elles taient dispens es de la proc dure de reconnaissance des associations Or cela constitue l une des caract ristiques des associations permanentes Julien PALOMO indique que cette constatation les a ainsi conduits s interroger sur la notion d association permanente Les associations permanentes sont des associations auxquelles sont confi es la gestion de certains services organis s dans l int r t des tudiants en application de l article 8 du d cret de 1985 relatif PIEP de Paris Elles participent la mise en uvre des axes strat giques ducatifs ou p dagogiques d termin s par l tablissement Dans le d cret de 1985 il est dit que la Commission paritaire s occupe d un certain nombre de missions de services destination des tudiants dans le cadre extrascolaire Au demeurant les axes strat giques ducatifs sont galement des pr rogatives des Conseils de Sciences Po Jusqu pr sent les associations permanentes t
61. rieurs Sciences Po Il s agit d ouvrir quelque peu la cat gorie concern e Rapha lle REMY cite le dernier alin a l article 3 I est organis au moment de la rentr e diff rents programmes d int gration des l ves fran ais et internationaux de premi re ann e du Coll ge universitaire et de master toutes proc dures d admissions confondues une r union pr sid e par le 10 pr sident tudiant de la Commission paritaire Elle fait remarquer que cela n a jamais t effectu pour le moment Julien PALOMO constate cet oubli 5 Nicolas PEJOUT donne lecture d une modification dans l article 5 Les groupements vis s aux articles 1 B 1 2 doivent au pr alable pr senter leurs supports au responsable de la vie tudiante avant de proc der leur affichage 6 Nicolas PEJOUT indique un ajustement textuel dans l article 6 li la volont d une pr sence accrue en P niche pour les acteurs mentionn s dans l article 7 Dans l article 7 dans l esprit de la convention cadre pour les associations le texte passe de disposent de subvention en num raire peuvent disposer d une subvention en num raire Si le contrat n est pas respect la Commission paritaire peut invalider une subvention vers e une association permanente 8 En fin d article un ajustement textuel permet de pr ciser le seuil de d clenchement de la Commission de la vie tudiante savoir
62. s Au pr alable Nicolas PEJOUT pr cise que figurent dans le pr ambule un certain nombre de valeurs respecter dans la vie tudiante Sciences Po en particulier l intol rance vis vis de propos racistes antis mites ou homophobes Il est propos d ajouter la mention ni propos sexistes Cette modification est adopt e l unanimit De plus la modification du pr ambule porte des id es et des projets forts 1 La Direction de la vie universitaire est charg e de la mise en uvre du R glement de la vie tudiante Cette direction est n e en mai 2011 Il est de son r le que de s assurer que le r glement est pleinement mis en application la fois dans sa lettre et dans son esprit 2 En s inspirant du FSDIE actif dans chaque universit en France il a t con u un projet de Commission de la vie tudiante Emanation de la Commission paritaire elle se prononcerait sur les demandes d attribution de subventions sur dossier et sur les validations de certaines manifestations dans les conditions pr vues par le pr sent r glement Il s agit de g rer les demandes de mani re factuelle avec Julien PALOMO et pour certaines subventions ou manifestations cons quentes de mobiliser la Commission paritaire Il s agit de faire en sorte que le traitement de ces demandes soit paritaire et de permettre une r union plus fr quente et r active que la Commission paritaire 3 Selon Nicolas PEJOUT c est un outil su
63. s aussi que l instruction soit largement pr par e par la Direction de la vie universitaire Cette expertise devrait permettre d alimenter au fil du temps la jurisprudence de la commission Il conclut que la Direction de la vie universitaire assure le secr tariat de la Commission de la vie tudiante Il note qu un point demeure irr solu dans le projet savoir le mode de choix du repr sentant tudiant et enseignant suppl mentaire La proposition consensuelle issue du groupe de travail est de soumettre cette d cision lection Celle ci pourrait tre enti rement libre proc der par coll ge ou pr voir que le deuxi me membre ne pourrait avoir un rattachement syndical ou professionnel identique au membre de droit Fr d ric PUIGSERVER ne voit pas d inconv nient ce que les d lib rations soient ouvertes aux autres membres de la Commission paritaire sans voix d lib rative Toutefois cette pr cision lui semble contraire la philosophie pragmatique de la r forme Enfin il craint que la modification de la terminologie ne doive impliquer une r forme de l ensemble du R glement de la scolarit N anmoins l expression de pr sident tudiant lui semble certes plus commode Rapha lle REMY souligne qu il faut prendre en compte la fin des projets collectifs obligatoires en master qui permettaient de mettre en forme un certain nombre de projets individuels Le nouveau format a l int r t de proposer une
64. s plusieurs ann es la Commission paritaire demande que les comptes d associations fassent l objet d une pr sentation standardis e entre les associations inscrite dans une perspective historique et avec des m canismes de contr le permettant de mettre en exergue les signes avant coureurs de difficult s Certes il s agit d un travail de longue haleine mais il esp re que la formalisation des conventionnements sera un catalyseur de cette pr sentation comptable Daniel MUGERIN tait lu tudiant en Commission paritaire dans les ann es 90 II constate que la situation n a pas chang depuis lors Il remarque que le document pr sentant le bilan moral est mal r dig qu il est truff de fautes d orthographe ce qui laisse transpara tre l tat d esprit dans lequel il a t con u Charles Henri LARREUR partage le m me doute quant au quitus financier au vu de la pr sentation d une comptabilit de caisse et non celle d un compte de r sultat de tr sorerie et d un bilan Fr d ric PUIGSERVER r p te que cette situation a d j t d plor e Une d lib ration avait eu lieu l ann e derni re cet gard Il constate que le changement de pr sentation ne s est pas produit Il esp re que la mise en place des conventions permettra une acc l ration du processus Olivier ARON constate que les budgets des associations sont de plus en plus consid rables Il est administrateur d une autre associatio
65. s techniques des campus Rapha lle REMY voque les espaces d affichage Menton Herv CRES atteste du fait que l galit de traitement entre les tudiants impliquera que le m me processus s appliquera sur tous les campus 11 Dans l article 10 Nicolas PEJOUT indique qu un local peut tre mis disposition des groupements parisiens Les modalit s de mise disposition de ce local sont pr cis es dans la convention annuelle pass e entre Sciences Po et l association 12 Nicolas PEJOUT observe que l article 12 est n de l action de certaines associations qui ont des partenariats engageant directement Sciences Po Cet article participe donc la volont d une saine gestion des projets associatifs de mani re ce qu il existe une discussion en amont de la mise en uvre des projets notamment avec la Direction de la vie universitaire et la Direction de la strat gie et du d veloppement afin que cette derni re puisse aider la conclusion de partenariats avantageux Sciences Po n est pas li par les accords contract s par les groupements vis s l Article 1 avec les institutions publiques les entreprises priv es ou tout autre type d acteur Il s agit de pouvoir s assurer d une coh rence et d une lisibilit des partenaires de Sciences Po 11 Julien BALLAIRE se demande si l organisation d une manifestation modeste l instar d une table ronde de deux heures avec un think tank
66. sorier de faire autre chose de sa vie associative Brouhaha Fr d ric PUIGSERVER d sire terminer le d bat sur une note plus positive Les changes qui ont eu lieu avec la nouvelle quipe et l quipe sortante constituent une innovation introduite par la Commission paritaire ces derni res ann es Il constate que les changements ne se produisent pas aussi rapidement qu il serait souhaitable mais qu il faut s engager r solument dans cette voie Nicolas PEJOUT indique que d s qu il y a eu connaissance d une part du contr le URSSAEF d autre part de l application particuli re de ce contr le sur ce cas d embauche la Direction de la vie universitaire a t tr s r active pour mettre en relation l association avec la Direction financi re Aucun probl me de communication n est constater sur ce point De plus il n y a pas de caution solidaire En outre Nicolas PEJOUT garantit qu un mod le standard de pr sentation sera mis en place avant la fin de cette ann e Il s avoue incapable de lire les comptes pr sent s par le BdA mais aussi par d autres associations Par ailleurs la sollicitation d un expert comptable peut tre envisag e mais il doit tre budg t en amont Au demeurant dans le mod le de convention il a t institu un rendez vous mi parcours pour ne pas avoir d tailler ligne ligne le rapport d activit moral et financier Un rendez vous syst matique en fin de semestre sol
67. souplesse suppl mentaire favorisant l accueil de ces projets De plus partir de l exp rience de la Commission de discipline elle ne distingue pas d int r t proc der un choix des membres en fonction du coll ge Elle soul ve la question de la repr sentativit de l opposition entre la C le M T ou InterZaide La Commission paritaire est directement l manation des lections tudiantes et il doit en tre de m me de la Commission de discipline ou de la Commission de la vie tudiante Elle est donc partisane d une lection au sein du coll ge sans autre forme d encadrement Nicolas PEJOUT pr cise qu en cas de blocage en commission le vote peut tre report en Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER est r ticent quant l id e d une r gle de partage Pour lui la caract ristique essentielle de la pr sente commission est son caract re paritaire La Commission de la vie tudiante n en est pas distincte juridiquement Il s agit d organiser une d l gation efficace mais il para t essentiel Fr d ric PUIGSERVER de conserver ce caract re La soupape de s curit est constitu e par le m canisme d information si la Commission de la vie tudiante ne parvient pas une majorit elle renverra la Commission paritaire le soin de statuer Il pr cise que son exp rience est celle d une absence de divergences m me si les approches peuvent varier car il s agit de juger de la qu
68. ssion paritaire N anmoins si des moyens suppl mentaires sont allou s ces associations il estime g nant de les exon rer de toute obligation de rapport la Commission paritaire Il n avait pas id e de l impact de la r forme au niveau du nombre d associations permanentes Par ailleurs un amendement de clarification du dernier alin a de l article 1 sera sans doute r diger Christian ROUVEYROL pr conise de donner le contr le de l activit et de la gestion des associations de masters aux responsables p dagogiques et des associations de campus aux directeurs de campus En cas de probl me constat les responsables et les directeurs pourraient saisir la Commission paritaire Julien PALOMO pr cise qu il faudrait que par mesure d information tous les bilans soient envoy s l ensemble des lus de la Commission paritaire c Vote Fr d ric PUIGSERVER sugg re que soient pr vues diff rentes annexes dont l une concernerait les associations permanentes historiques dont l autre porterait sur les associations faisant l objet de mesures de contr le all g es dans les mains du responsable de campus ou de master charge lui de renvoyer le d bat en Commission paritaire Fr d ric PUIGSERVER demande s il est possible de d lib rer sans proposition de r daction sur cette proposition Cette proposition est adopt e l unanimit moins une abstention ARTICLES SUIVANTS Nicolas PEJOUT aborde
69. ster aux r unions dans un souci de transparence Julien BALLAIRE met deux remarques Il note d abord qu il faudrait parler d tudiants et non d l ves Sciences Po De plus il lui semblerait logique que l lection du deuxi me membre soit r alis e au sein de chaque coll ge Au nom de la C Alexis LE CHAPELAIN estime galement que des tudiants d organisations syndicales diff rentes devraient participer cette commission Daniel MUGERIN se demande en quoi cette commission qui se r unira cinq sept fois par an aidera le travail de la Commission paritaire qui peut organiser de facto des groupes de travail si besoin est Charles Henri LARREUR soul ve la question d un ventuel partage des voix avec quatre membres Fr d ric PUIGSERVER pr cise que cette question a t abord e en groupe de travail Selon lui il est important de prendre conscience de la situation de d part la Commission paritaire tait confront e tr s r guli rement des demandes de subventions manant en g n ral d associations qui d passent par leur montant les sommes qui sont habituellement accord es par la Direction de la vie universitaire Lorsque les plafonds taient d pass s l usage tait de consulter les pr sidents enseignant et tudiant de la Commission paritaire qui mettaient un avis Il n existait aucun mode d emploi ni aucune r f rence Fr d ric PUIGSERVER constate que cette situation n
70. t en amont une liste de personnes avec l administration de Sciences Po Richard Descoings a ensuite d couvert qu une invitation avait t adress e Fran ois Fillon sans qu il soit mis au courant Hugo SCHLEICHER estime donc avoir pr venu en amont l administration Il n tait absolument pas de l intention du BDE d inviter en son nom propre Fran ois Fillon sans aucune concertation Enfin Hugo SCHLEICHER rappelle qu une suspicion a plan durant toute l ann e concernant une potentielle distribution excessive d alcool Or la Croix Rouge tait pr sente la soir e de No l comme au Gala Selon Hugo SCHLEICHER aucun probl me d alcool n a t d plorer pendant les soir es 23 Olivier ARON s enquiert du but social du BDE Hugo SCHLEICHER indique que le BDE a pour vocation de faire en sorte qu aucun l ve ne soit laiss de c t de la communaut de Sciences Po Olivier ARON demande confirmation du fait que le BDE a une vocation de service aux tudiants Hugo SCHLEICHER r pond positivement Il semble Olivier ARON que le BDE est parti dans une direction oppos e ce but en devenant organisateur de gala Il se demande pourquoi l organisation n est pas confi e une soci t priv e qui sera plus efficace et qui exigera moins d argent Camille DUCORPS note que le BDE a aussi historiquement d autres missions de service l instar des annonces de logement ou d emploi Olivie
71. te question pourra tre port e l ordre du jour d un groupe de travail voire d une Commission paritaire Julien PALOMO note que celle du 10 octobre prochain est d j bien charg e Cette information ne pourra pas tre r alis e avant le mois de d cembre 30 Rapha lle REMY s est rendu compte que sur les campus notamment celui de Nancy les tudiants avaient le droit d acc der des doubles cursus de mani re non s lective pour toutes les licences Elle ne voit pas pourquoi les tudiants de Paris n y auraient pas droit d autant que les tudiants en campus ont plus d heures de cours que ceux de Paris Elle aimerait que la m me libert de choix puisse voir le jour Paris Elle sollicite donc un point d information sur les doubles cursus en campus Julien BALLAIRE demande si les cours magistraux en Science politique et en Economie seront doubl s en premi re ann e La prochaine s ance de la Commission paritaire est fix e au lundi 10 octobre 2011 18 heures en Salle Fran ois Goguel La s ance est lev e 22 h 27 31
72. turit en janvier et s estimer alors l gitime demander une subvention Julien BALLAIRE demande donc si une convention peut tre renvoy e devant la Commission paritaire en cours d ann e Julien PALOMO propose une solution qui lui semble plus simple si des modifications interviennent en cours d ann e il est proc d un amendement de la convention cadre en septembre suivant devant la Commission paritaire en m me temps que la pr sentation des bilans moral et financier Julien PALOMO esp re que la Commission paritaire continuera faire confiance la direction pour aider les associations se fixer des objectifs clairs et raisonnables Fr d ric PUIGSERVER rappelle qu il s agit de conventions entre la direction de Sciences Po et les associations approuv es par la suite en Commission paritaire Il estime qu il peut tre convenu que l amendement ventuel intervienne a priori et que l accord de la Commission paritaire soit sollicit en septembre suivant Julien PALOMO note que cette convention doit tre soumise au vote c Vote La convention cadre est adopt e l unanimit II QUITUS MORAL ET FINANCIER DES ASSOCIATIONS PERMANENTES Fr d ric PUIGSERVER pr sente ses excuses pour les conditions inhabituelles de pr sentation des bilans Il demande chaque repr sentant de pr senter rapidement l association puis de donner les grandes lignes des bilans moral et financier 1 L Association s
73. une marge nette est fix e 33 du budget de la mission Cette derni re rapporte toujours la m me proportion Le budget pr visionnel est construit en fonction de cette marge Olivier ARON s interroge sur l obligation de facturer l heure 26 Adrien VAN EYNDE pr cise que la facturation est r alis e la journ e de travail soit sur huit heures L association est contrainte facturer selon la fourchette comprise entre 80 et 280 euros de la journ e Le co t de 80 euros correspond aux missions relativement simples l instar de l administration d un questionnaire Alexis LE CHAPELAIN demande des pr cisions concernant l obligation comptable et sur la charge qu elle constitue Adrien VAN EYNDE indique qu il s agit d une obligation pour les Junior Entreprises Il estime que son co t demeure raisonnable de l ordre de 2 000 euros par an Julien PALOMO note que cela repr sente 1 du co t d un gala Charles Henri LARREUR souligne que c est la premi re fois qu une association pr sente un compte de r sultat et un bilan Au vu de son co t de 2 000 euros il d clare que la Commission paritaire doit r fl chir l obligation d un expert comptable pour la r alisation des comptes Rapha lle REMY rappelle qu Adrien VAN EYNDE tait d j pr sent l ann e pass La Commission paritaire avait d j f licit l quipe pr c dente pour la qualit des documents pr sent s c Vote
74. utant qu elle estime que le sujet se pr te de longues discussions Fr d ric PUIGSERVER remercie Rapha lle REMY pour avoir men une pr sidence active Il demande si des candidats se pr sentent pour assurer la pr sidence jusqu la fin de l ann e 2011 et la prochaine lection des lus tudiants Julien BALLAIRE est tudiant en deuxi me ann e de master Strat gies territoriales et urbaines lu de PUNEF Il souhaite porter sa candidature la pr sidence tudiante de la Commission paritaire dans la continuit de celle de Rapha lle REMY pendant les six derniers mois notamment concernant la Commission de la vie tudiante La force de l UNEF est sa pr sence quotidienne aupr s de la communaut des tudiants de Sciences Po le lien constant avec les diff rentes associations la pr sence sur tous les campus de Sciences Po Il d sire enfin placer sa candidature dans la continuit des derni res lections tudiantes dans lesquelles l UNEF avait pris une place majoritaire Julien BALLAIRE est lu pr sident tudiant de la Commission paritaire l unanimit Au nom de la direction Herv CRES remercie Rapha lle REMY pour son investissement dans la pr sidence tudiante en soulignant quel point son sens des responsabilit s a toujours guid son action Rapha lle REMY pr cise l attention de la direction que malgr son engagement poursuivre son mandat 1l lui est difficile de si ger l ense

1 INSTITUT D`ETUDES POLITIQUES DE PARIS 06/11 Frédéric

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