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Dossier - Province de Luxembourg

1. l auteur analyse son origine et donne des pistes pour s en lib rer et exister par soi m me POULAIN Jean Pierre Sociologies de l alimentation mangeurs et l espace social alimentaire Paris Presses Universitaires de France 2013 Collection Quadrige les Synth se sur les apports de la sociologie la compr hension des modes alimentaires modernes et sur la sociologie de l alimentation marqueur des mutations sociales Langage et autonomisation enfantine Paris L Harmattan 2012 Collection Enfances amp langages Cet ouvrage rassemble les interventions d une journ e d tude qui s est d roul e Paris en 2005 En partant d interactions verbales recueillies en milieu naturel entre parents et enfants et ma tres et l ves ces contributions tentent de r pondre aux questions autour du processus d autonomisation en fonction de l ge de l enfant de sa culture familiale et de la p dagogie suivie KNIBIEHLER Yvonne La virginit f minine mythes fantasmes mancipation Paris Odile Jacob 2012 Collection Histoire LA VIRGINITE FEMININE LUI o E mea Une analyse de l volution des relations entre les femmes et les hommes travers l volution de leur regard respectif sur la virginit f minine LIEURY Alain Le livre de la m moire Paris Dunod 2013 Collection La vie devant eux Un voyage en images au coeur de la m moire qui en traite les aspects aussi
2. Agresseur Victime T moin Pacificateur Durantles ann es que j ai pass es accompagner cesfemmes en crise j ai d couvert et approfondi ma connaissance de ce pi ge relationnel qu est le cycle de la violence J ai appris ajuster mon travail d accompagnement en fonction de l tape dans laquelle se trouvait la personne en face de moi Vivait elle dans une p riode de tension de crise de justification ou de lune de miel Ma compr hension de cette dynamique d emprise s est consid rablement enrichie lorsque j ai d couvert le livre de Pierre Yves BOILY L urgence de la tendresse Aux quatre phases classiquement connues o sont d crites les interactions entre l auteur et la victime BOILY est venu ajouter deux nouveaux acteurs le t moin et le pacificateur Tous dit il participent et entrent en r sonance dans cette dynamique de violence Tous contribuent ce que la violence se perp tue Nous les professionnels ceux que BOILY appelle les pacificateurs nous serions donc galement les tristes acteurs de la perp tuation du cycle et de la violence 8 Pierre Yves BOILY l urgence de la tendresse Collection Des hommes et des femmes en changement Parution 2000 10 05 VIb Editeur Voil un point de vue qui m est apparu int ressant prendre en compte Il m a permis de me sentir autrement impliqu e aux c t s des personnes avec qui nous travaillons dans notre service Cela m a donn l l
3. et du bien tre les tudes montrent en effet qu au fur et a mesure que le niveau de vie augmente et que le pays senrichit le lien entre croissance conomique et esp rance de vie tout comme entre croissance conomique et bonheur s att nue Et cela concerne tous les individus de la soci t peu importe leur position sur l chelle sociale Et Richard WILKINSON de montrer l assembl e une multitude de corr lations entre le degr d in galit de revenus et la pr valence de probl mes sanitaires et sociaux de tous ordres pour d montrer son propos Consommation de drogues ob sit d crochage scolaire grossesse pr coce emprisonnement homicide mobilit sociale sont plus fr quemment rencontr s dans les soci t s plus in galitaires A l origine du propos des auteurs on trouve en effet une multitude de donn es et d tudes scientifiques r sultat de plusieurs dizaines d ann es de recherche Vers plus d galit A l interrogation de d part la r ponse semble donc trouv e l am lioration du bien tre de la population passe par la r duction des in galit s de revenus au sein de cette population Ce qui tait pressenti est pr sent scientifiquement prouv Oui mais encore faut il savoir comment Les auteurs n apportent videmment pas de solution toute faite cette question Ils soulignent d ailleurs sur base de comparaisons internationales qu il n y a pas une voie unique pour arriver plus d
4. galit Ils identifient deux voies possibles soit le recours la fiscalit et aux prestations sociales dans une logique redistributive soit la r duction des carts de revenus avant imp t Les auteurs pr cisent que ces deux logiques ne s excluent pas mutuellement et que tout d pend du niveau d in galit pr alable Ils concluent en soulignant cependant qu aller vers plus d galit suppose avant tout une transformation de notre soci t actuelle En pratique Des journ es de travail vont se mettre en place suite ce forum Elles auront pour but d tablir des recommandations favorisant l galit destination du monde politique et de r fl chir une m thodologie pour construire des actions au niveau local visant plus d galit La premi re a eu lieu le 21 mars dernier Namur R f rence WILKINSON Richard PICKETT Kate Pourquoi l galit est meilleure pour tous 2013 Les petits matins Institut Veblen Etopia 15 Coup de r tro 16 Festival Particip Art Marche un beau succes Le Festival du Th tre social est n lors d une rencontre entre le D partement des Affaires Sociales et Hospitali re de la Province de Luxembourg DASH le Service de la Diffusion et de l Animation Culturelles de la Province de Luxembourg SDAC et la Maison de la Culture Famenne Ardenne Marche en Famenne MCFA L objectif du fstival est double mettre les cr ations des compagnies de th tr
5. O Centres psychotherapeutiques Accompagnement du deuil H pitaux dajour O Aide aux victimes de sectes O H pitaux psychiatriques O Associations d aide Associations de o Initiatives d habitations prot gees parents O Logements supervis s O F d rations Coordinations de O Maisons de soins psychiatriques services O Services de soins psychiatriques O Information Pr vention du suicide domicile O Services de sant mentale Services psychiatriques en h pital g n ral Contact Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant Direction des Centres de Sant mentale Rue L on Castilhon 62 6700 ARLON Email dir prevention sante province luxembourg be www province luxembourg be 21 Bien vieillir Prime pour l am nagement du domicile des personnes g es De nombreux a n s souhaitent vivre chez eux le plus longtemps possible et c est bien l gitime Cependant une maison autrefois adapt e la vie de famille peut devenir un obstacle l autonomie Et pourtant des am nagements parfois fort simples peuvent permettre la personne g e de rester chez elle plus longtemps en toute s curit et en pr servant son ind pendance La Province de Luxembourg partant de ce constat a d cid de d gager des moyens financiers et d apporter un coup de pouce pour permettre nos a n s de mener bien ces travaux C est sous la forme d une prime provinciale pour l am nagement du
6. alisent un masque de carnaval Les animateurs b n voles doivent aussi lorsqu ils donnent leur atelier respecter les principes de fonctionnement Nous sommes tr s attentifs l ouverture des ateliers Toute personne peut arriver n importe quel moment de l ann e et venir participer C est pourquoi les modules de r alisation sont de deux s ances maximum Les ateliers qui demandent un certain savoir faire sont donc anim s par des b n voles et ce en fonction videmment de leurs comp tences et disponibilit s Il arrive aussi que des personnes qui ont suivi un atelier en tant que participant un moment donn proposent eux aussi d animer un petit module d activit Nous organisons aussi durant l ann e de plus grosses manifestations comme la Journ e de la Femme ou le Carrefour des g n rations Ces organisations reposent avant tout sur le b n volat Vu que nous sommes trois employ s ici et donc nous ne savons pas tout faire il est n cessaire de mobiliser beaucoup de monde pour la pr paration et aussi pour tre actif le jour J et on y parvient Au niveau de la pr paration nous avons galement de l aide certains font de la tarte des g teaux etc Pour les b n voles c est important que tout se passe bien ils se sentent investis Ce type d action sort certains de l isolement d autres ont besoin de reconnaissance Souvent les personnes rendent ce qu elles ont recu Sinon de mani re g n rale je trouve que
7. d acc s personnelle mais aussi de mani re classique sur un plateau de jeu La pr vention est l objectif principal de cet outil qui poursuit un but d ducation face la question des drogues et assu tudes dans un cadre de promotion de la sant Cet outil p dagogique et ludique se pr sente comme un jeu de table classique mais il est ax sur la r alisation de d fis pour lesquels il est n cessaire de varier les moyens d expression chanter parler dessiner Chaque d fi propos a pour but de d velopper l estime de soi de mieux se connaitre et de mieux connaitre les autres de favoriser l expression cr ative d exprimer et g rer ses motions de pratiquer l coute ou encore d apprendre la coop ration Au fil des d fis la confiance s est install e au sein du groupe des participants Ils ont progressivement d couvert les objectifs p dagogiques du concepteur ils ont travaill leurs comp tences relationnelles et ils ont ainsi partag un moment de convivialit Si cet outil vous int resse Contactez le Centre de documentation du CLPS Lux au 061 23 99 96 ou clps luxeskynet be Le jeu ODAS ADOS pour adolescents et jeunes adultes Il existe de nombreuses rumeurs et id es recues en mati re de drogues d assu tudes et de consommations Ces clich s sont souvent erron s voire compl tement fantasques C est pourquoi le Service ODAS Coordination a souhait faire le point sur les st r otypes l
8. es Entreprises d Insertion El Retrouvez la liste sur www lureso be Contact Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant Service d Economie sociale Square Albert 1er 1 6700 ARLON T l 063 212 238 E mail das province luxembourg be Coup de r tro Pourquoi l galit est meilleure pour tous Le 27 novembre dernier le Centre Local de Promotion de la Sant CLPS de Namur la F d ration des Maisons M dicales FMM et le R seau Wallon de Lutte contre la Pauvret RWLP organisaient Namur un forum participatif dans le but de lancer un processus de r flexion et d action sur la r duction des in galit s sociales de sant T moignages Apr s de br ves introductions par le CLPS de Namur et la Ministre de la Sant de l Action sociale et de l Egalit des chances place aux t moignages d usagers de maisons m dicales mais aussi de travailleurs sociaux relay s par la voie et la voix d un com dien et enfin de t moins issus du RWLP Maladie ch mage isolement pr carit anxi t d pression insalubrit inadaptation perte d estime de soi stigmatisation manque de moyens sentiment d impuissance ras le bol d shumanisation le tableau bross par ces personnes de leur r alit renvoie l image d une soci t hi rarchis e socialement in galitaire d un mal tre Dans la salle une interrogation r currente Comment tendre vers plus d galit Cett
9. gration dans le giron de VONE des structures actuellement financ es par le Fonds d Equipement et de Services Collectifs FESC e l augmentation du personnel encadrant les accueillantes autonomes pour am liorer l accompagnement d j r alis de ce type de structures d accueil Croix Rouge TOUS VIP Programme de formations en F d ration Wallonie Bruxelles pour les Volontaires Impliqu s aupr s des personnes en situation de Pauvret Les bonnes intentions ne suffisent pas toujours Pas toujours facile pour un volontaire d accompagner des personnes en situation de pauvret Face la r alit multidimensionnelle et complexe de la pauvret on se sent parfois d sarm frustr ou mal l aise et le bon coeur ne suffit pas toujours pour savoir comment agir Pour vous remercier de votre engagement mais aussi le soutenir et pour vous aider dans votre quotidien de volontaire nous vous proposons d tre Tous VIP c est dire mieux outill s pour tre Volontairement Impliqu s aupr s de personnes en situation de Pauvret Comment En vous inscrivant aux formations Tous VIP uoi de neuf Conclusions Malgr le contexte budg taire difficile le contrat de gestion pr voit le maintien de tous les services actuellement rendus par l ONE sans diminution de leur quantit ou de leur qualit Et partir de 2015 des budgets sont pr vus pour diff rentes politiques nouvelles Renforcer la
10. la mise en ceuvre des quatre principes de l Economie sociale du D cret de la R gion wallonne du 20 novembre 2008 Economie Sociale 14 Les neuf principes Les associ s ne recherchent qu un b n fice patrimonial limit ou aucun b n fice patrimonial 2 Lorsque la soci t procure aux associ s un b n fice patrimonial direct limit le b n fice ainsi distribu est strictement limit 3 La d finition du but social 4 La d finition de la politique d affectation des profits conforme aux finalit s internes et externes de la soci t 5 Nulne peut prendre part au vote l A G pour un nombre de voix d passant le dixi me des voix attach es aux parts ou actions repr sent es 96 port au vingti me si un associ a la qualit de membre du personnel 6 Lar daction chaque ann e par les administrateurs d un rapport sp cial sur la mani re dont la soci t a veill r aliser le but poursuivi 7 Les modalit s permettant aux membres du personnel d acqu rir suite l engagement la qualit d associ 8 Les modalit s relatives la perte fin du contrat de travail de la qualit d associ 9 affectation du surplus de liquidation au but social de la soci t Dans notre province 47 structures d conomie sociale d veloppent des activit dans des domaines tr s vari s et pr s de 17 d entre elles se sont constitu es sous forme de soci t coop rative avec le statut de finalit sociale et ou agr
11. rables les lieux de rencontre parents enfants seront doubl s passant de 18 36 les enfants vivant avecleur m re en prison b n ficieront d un meilleur accompagnement les quipes SOS Enfants ainsi que le secteur SASPE Service d Accueil Sp cialis de la Petite Enfance verront leur budget augmenter Un label Ville ou Commune Enfance Autre nouveaut la cr ation d un label Ville ou Commune Enfance afin d encourager le d veloppement d une offre de services plus int gr e et coordonn e au niveau local le niveau le plus proche du citoyen A partir de 2017 les pouvoirs locaux seront invit s travailler main dans la main avec l ONE afin de mieux coordonner les services offerts par les Communes et par l ONE La cr ation de maisons de l Enfance sera encourag e Meilleur accompagnement des familles Le nouveau contrat de gestion pr voit de nombreuses mesures visant d velopper l accompagnement des parents et des futurs parents Les consultations pr natales seront renforc es afin d offrir un suivi toutes les futures mamans Une fois le b b mis au monde l ONE entend assurer un premier contact la maternit avec 100 des parents Par ailleurs 12 nouveaux travailleurs m dico sociaux TMS seront engag s Ceux ci offrent un accompagnement pendant la grossesse et apr s l accouchement que ce soit domicile ou la maternit Et puis afin de rendre la profession plus attractive les honoraires des
12. En Belgique Les statistiques de la Police divisent les Violences Intra familiales VIF en quatre cat gories VIF physiques VIF sexuelles VIF psychiques et VIF conomiques Parmi celles ci nous retrouvons celles perp tr es dans le couple en addition avec celles envers des descendants et celles envers d autres membres De 2005 2011 en Belgique les VIF perp tr es dans le couple ont augment de 77 3996 pour les VIF physiques de 157 4596 pour les VIF sexuelles de 8 6896 pour les VIF psychiques et de 206 9996 pour les VIF conomiques De 2005 2011 les coups et blessures volontaires entre partenaires ou ex partenaires ont augment de 80 80 96 pour les accusations et ont diminu de 41 6696 pour les tentatives b Dans la province du Luxembourg Les VIF physiques et psychiques ont volu en deux phases De 2005 2008 les VIF physiques ont augment de 4196 puis diminu de 19 3596 de 2008 2011 Les VIF psychiques quant elles ont augment de 16196 de 2005 2009 pour ensuite d croitre de 11 0796 de 2009 2011 Les VIF conomiques ont galement volu en deux phases elles ont connu une forte croissance 151 72 de 2005 2009 puis ont diminu Les VIF conomiques ont davantage fluctu au cours de ces 7 ann es 1 Statistiques polici res de criminalit Police F d rale CGOP Donn es de Gestion Rapport semestre 1 de 2012 2 Notons toutefois que ces statistiques peuvent autan
13. T l 063 212 247 Fax 063 212 245 E mail das province luxembourg be Les prochaines conf rences auront pour th mes Les groupes d achats communs les donneries les repairs caf s etc La mobilit en province de Luxembourg et Comment pr parer sa retraite en collaboration avec le Service provincial du Volontariat Contact Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant Service Bien vieillir Square Albert 1er 1 6700 ARLON Mme Estelle CAVILLOT au 063 212 751 E mail das province luxembourg be 23 Bien vieillir Carrefour des g n rations 2014 l occasion de promouvoir l interg n rationnel L op ration Carrefours des G n rations reprend pour la cinqui me ann e cons cutive le week end des 26 et 27 avril 2014 A l occasion de la Journ e europ enne des Solidarit s entre les g n rations des Communes wallonnes et bruxelloises organisent un programme convivial participatif etfestif destin sensibiliser et informer surles relations entre les g n rations Au programme visites concerts spectacles expositions rencontres qui mettent en valeur les solidarit s entre les g n rations Des activit s initi es par des associations des mouvements des institutions des initiatives priv es et publiques sont pr sentes gratuitement Dans la province de Luxembourg huit Communes participent cette ann e Il y a certainement des activit s pr s de chez VOUS Pour
14. avec notamment une nouvelle politique men e par la Province de Luxembourg qui en proposant une prime pour l am nagement du domicile apporte sa pierre l difice et veut participer ainsi au plein panouissement de nos a n s en leur donnant un coup de pouce pour rester chez eux le plus longtemps possible Bonne lecture toutes et tous et en attendant le plaisir de faire plus ample connaissance La D put e en charge du Service provincial Social et Sant Sommaire Edito Sommaire 3 Ouol de neuf csse qiaec4sdyRAAR EAE ERRARE PERS 4 Vieillissement 1 4 Petite enfance eee hh 6 Gba CCP 7 EPN Espace Public Num rique 9 Consom ACHOIE 2 555 55 ss EWA GUERRE ha 10 Tarif social en gaz et en lectricit y avez vous droit 10 La tutelle des enfants mineurs 12 Economie Sociale vogue o dp EE FA DER Rd 13 l entrepreneuriat coop ratif et l Economie sociale 13 Coup de r tro icssoscensueckcesezkzezeset2sssuecewes 15 Pourquoi l galit est meilleure pour tous 15 Festival Particip Art Marche un beau succ s 16 Pr sentation du jeu coop ratif Belf dar 17 Formation aux outils Zactionnary et Odas Ados 17 Bienvenue en Belgique pr sentation des mallettes par l ASBL Lire et Ecrire 18 Carte dae vIS
15. complet sur www laiciteluxembourg be Vendredis du social Vendredi 25 avril 2014 La maladie d Alzheimer en province de Luxembourg Vendredi 16 mai 2014 A l coute des sourds Vendredi 13 juin 2014 Hypersexualisation des enfants et des ados De 8h30 12h30 au Palais Abbatial de Saint Hubert Contact Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant SEDS T l 063 212 236 063 212 752 ou das province luxembourg Conf rence Jeudi 8 mai 2014 Des garcons immatures et des filles appliqu es Comment le genre influence les orientations scolaires et professionnelles 20h00 l H tel l Amandier Libramont Contact et inscription obligatoire Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant Service Egalit des chances T l 063 212 213 Email das province luxembourg be a 5 rA m v ad pi 1 FE Ys aag 5 ua f B m E a dem 7 AP LE L i D M is E m RSR ri B r F M ap a im Md a 4 3 T 7 L zh T H iae E 8 4 ls E Fo L i xt T ji e TREE VN T a qu kb i 1 ur cip ae EI dx TS wi ORT Lu u 1 LI f j ul ni ra P h DR E rad LER i j Ta 4 LI k n A deat 17 cal EE TN Li T a MA m P Lt m 21 b d a ra etu L Aa EE aM is 4 md dm T m N mr LR x E n sa g x Fa L ii DAE C cC E NC 1 n 1 2 um Phy mp H p E T a s mr San p s E i h ii f
16. d un m decin r solument acquis la promotion de la sant Marie Louise Bernier quel est votre parcours Je travaille la province depuis le 1er d cembre 2004 mais je suis m decin depuis un certain temps 30 ans J ai toujours fait de la m decine scolaire mais j ai fait beaucoup d autres activit s en plus quand j habitais Bruxelles J ai travaill la Croix Rouge l ONE dans un service d urgence j ai assur des gardes en immuno h matologie aux Cliniques Saint Luc En 2007 ma coll gue est partie en cong de maternit je l ai remplac e six mois comme m decin coordinateur et puis quand elle est revenue elle a r duit son temps de travail et on m a demand de continuer Quel est votre r le en tant que m decin coordinateur du Service PSE En plus de toutes les missions de m decin scolaire j essaie d harmoniser les pratiques et les proc dures entre les huit Centres de sant du service PSE J assure galement le relais vers la F d ration Wallonie Bruxelles chaque ann e je coordonne le rapport d activit s ca prend du temps Je suis aussi membre de la Commission PSE et je fais partie de l Association Professionnelle des M decins Scolaires Il y a deux choses que j aime en m decine les urgences et la pr vention Portraits D o vous est venu cet int r t particulier pour la m decine scolaire Ce n est pas tellement la m decine scolaire forc ment mais la pr vention
17. d une action pour laquelle le public a malheureusement t peu nombreux En effet alors m me qu il y a une demande et une attente exprim es la population ne r pond pas forc ment pr sent toutes les activit s propos es La cr ativit est tr s importante galement pour pouvoir rendre les projets vivants originaux et attrayants Aller au del de ses acquis pour pouvoir s am liorer Qu aimez vous le plus dans ce m tier J aime travailler avec un public mixte des b b s aux adultes J aime jouer et interpr ter les livres lors des lectures qui se transforment parfois en petites mises en sc ne Ce m tier a aussi l avantage de pr senter un bon compromis entre le c t social la cr ativit et l artistico culturel O Biblioth que d Arlon Quelles sont vos principales satisfactions Quand je vois les enfants rigoler lors des lectures ce sont de bons barom tres Ou quand des adultes viennent me remercier car l atelier leur a apport quelque chose Cela me procure la sensation d avoir t utile Quels conseils pourriez vous donner quelqu un qui souhaite exercer ce m tier De multiplier les exp riences au niveau culturel artistique et humain car elles se r v leront tre un atout essentiel Contact Carrefour Emploi Formation Orientation CEFo Arlon Rue Diekirch 38 Espace Didier 6700 Arlon T l 063 670 332 Fax 063 670 295 Email carrefouremploiformation a
18. die ou de psychomotricit selon les services e uneorientation e une psychoth rapie e des examens AWIPH La participation financi re s l ve 4 euros par consultation La gratuit reste de mise dans les Clubs th rapeutiques et le Service d accompagnement domicile Toute demande r ceptionn e par le service fait l objet d un examen en quipe de facon valuer au mieux les besoins de la personne et d y apporter une r ponse ad quate C est aussi lors de cette concertation qu est d sign e parmi l quipe la personne de r f rence pour l usager Sant Mentale 2 Clubs th rapeutiques 1 antenne 4 Servicesdesant mentale Marche Marche Wirton antenne Bastogne La Coordination Deuil Suicide Luxern bourg Le Service d aide a tout le terntoire provincial tout le terntoire provincial 19 Carte de visite 20 Les Services de Sant Mentale ont aussi pour mission de recueillir des donn es socio pid miologiques concernant leurs usagers la fois pour orienter au mieux leur projet de service en fonction du profil de leurs usagers mais aussi pour alimenter la recherche et l analyse Ces donn es sont videmment anonymis es En 2012 les Services de Sant Mentale ont trait 1 716 dossiers Les personnes ayant fait appel aux services l ont fait majoritairement pour les raisons suivantes difficult s li es l entourage familial d
19. dire et surtout de rassembler les gens C est important de cr er du lien social de veiller la mixit sociale et avec ce projet nous sommes en plein dedans Il conna t de plus en plus de succ s d ailleurs nous sommes complets Les deux plateaux de la Maison sont remplis de participants C est agr able de constater qu une r elle mulation s est cr e autour de ce concept et m me tout autour de la Maison Citoyenne finalement Qu est ce qui am ne les gens ici selon vous Chacun attend quelque chose en venant ici surtout du lien Au fil des rencontres les gens se sentent responsables l un de l autre On essaye de stimuler et c est une chose qui me tient particulierement coeur comme la coresponsabilit du succ s de l activit Chacun prend une place active dans le groupe certains rangent le local d autres pr parent le go ter etc Ils se rendent compte qu ils ont un r le social C est un principe primordial pour la r ussite de toutes les activit s C est d ailleurs le principe m me de la Maison et de son fonctionnement Les valeurs ici sont la mixit l ouverture le respect et la coresponsabilit Le fait d avoir ces lignes de conduite fait aussi que les gens viennent et restent Volontariat Le b n volat est un l ment important dans le fonctionnement de la Maison Oui absolument Des personnes ont d cid de proposer des activit s comme la couture ou l atelier cr atif Aujourd hui ils r
20. du suicide sensibilisation de troubles affectifs information formation conf rence et en l organisation de groupes d entraide destination de personnes vivant un 74 6996 des usagers du service ont entre 18 et 59 ans et deuil un suicide 25 3196 ont 60 ans ou plus Groupes de paroles fonctionnement 42 0496 des usagers ont t encourag s faire appel au Les groupes de paroles deuil suicide sont anim s par des service par le monde de la sant mentale 14 2996 par les b n voles sp cifiquement form s et supervis s par un services sociaux 12 6596 par le secteur des soins et 8 5796 th rapeute ext rieur par le monde de la jeunesse et de la justice Ils sont organis s Arlon Libramont et Marche selon les demandes Les rencontres ont lieu une fois par mois sauf en La dur e moyenne de la prise en charge se r partit comme juillet et ao t suit moins d un mois 13 8896 de 1 3 mois 24 4996 de Sur l ann e scolaire 2012 2013 32 personnes ont particip 4 5 mois 4 4996 de 6 mois 1 an 13 4796 plus d un an ces groupes de paroles 43 6796 Une fois par an est galement organis e une journ e des familles en deuil 12 personnes y ont particip en 2012 Toutes les adresses du Secteur de la Sant Mentale sont sur www lureso be LURESO LUXEMBOURG R SEAU SOCIAL Tous Les OGCANISAES Enauerres gr Lismseca Aide Information Soins Placement Coordination ge
21. entendre avant de nommer son tuteur Fonctionnement de la tutelle Afin que la tutelle puisse se d rouler au mieux le Juge de Paix doit e fixer la somme annuelle dont le tuteur dispose pour l ducation du mineur donner son accord avant que le tuteur n entreprenne certains actes pr cis au nom du mineur emprunter acheter un immeuble etc Quant au tuteur il est charg e au d but de la tutelle de dresser un inventaire des biens du mineur en fin d ann e de r aliser un rapport afin d expliquer la facon dont il g re les biens du mineur ainsi que la mani re dont il duque ce dernier Le subrog tuteur Parall lement au tuteur un subrog tuteur doit toujours tre nomm Sa mission est de surveiller le tuteur de v rifier que ce dernier ne commet pas de fautes dans l ducation de l enfant ou dans la gestion de ses biens Le subrog tuteur a galement pour mission de repr senter le mineur dans le cas o un conflit d int r ts surviendrait entre celui ci et son tuteur La protutelle Ce r gime de protection se met en place suite une d ch ance de l autorit parentale Les parents d chus n ont plus aucun droit sur leur s enfant s Lorsque le Juge de la Jeunesse prend une telle d cision il doit galement d signer une personne qui aura pour mission d duquer le mineur mais aussi de g rer ses biens la place des parents d chus Cette personne est appel e le protuteur Le Jug
22. et informer sur la consommation de tabac et sur les aides possibles e Valoriser les comportements positifs des participants qu ils soient ou non en lien avec le tabac de l atelier outil s adresse principalement aux professionnels sociaux de la sant ou de l ducation dans le respect de la d marche de promotion de la sant Participation gratuite Infos et inscriptions Aupr s de Chantal Colaris au 061 23 99 96 ou par mail clps luxeskynet be universelle aux diff rents publics est possible L objectif de ces rencontres est donc d entendre vos besoins vos difficult s vos constats vos r alit s de terrain mais aussi de prendre connaissance de vos forces et d appr hender au mieux la r alit locale A moyen terme le CLPS Lux souhaite construire une offre de services adapt e aux informations r colt es recueil de pistes mise disposition d outils sp cifiques formations et conf rences cibl es changes de pratiques sur des questions pr cises En bref vous procurer des rep res pour davantage prendre en compte les ISS dans vos pratiques Le premier Entr Acte ISS s est d roul sur l arrondissement de Virton le 14 mars la Halle de Han 36 6730 Tintigny Ces journ es sont anim es par le CLPS Lux avec la participation du Service d Analyse des Milieux Int rieurs et de l Observatoire de la Sant de la Province de Luxembourg Elle s adresse tous les professionnels du social de la
23. et la richesse du P le Social et Sant dont les hasards de la vie me conf rent pr sent la responsabilit Heureusement pour moi tout n a pas t d couverte En effet dans le cadre de ma profession de Coordinatrice Jeunesse et de Chef de projets du Plan de Coh sion Sociale pour la Commune d Aubange je collaborais d j avec certains d entre eux Le Carrefour du Social J tais une lectrice assidue de cette excellente revue et il est amusant de penser que c est moi que revient maintenant le plaisir et l honneur d en signer l dito L volution qu elle a connue au fil du temps les nombreux partenariats qui se sont d velopp s l largissement des th mes abord s la Pr vention Sant la Sant mentale ou encore l Economie sociale font du Carrefour du Social une revue incontournable pour les acteurs de terrain que vous tes et qu au fond de moi je resterai Je vous invite donc le parcourir et d couvrir cette fois les Services de Sant Mentale de la Province de Luxembourg ainsi que le travail de nos services de Promotion de la Sant l Ecole au travers du portrait de son M decin Coordinateur le docteur Marie Louise BERNIER Vous trouverez galement vos rubriques habituelles qui vous informent des nouveaut s ou mettent le focus sur un aspect particulier de leur champ d action que ce soit dans le secteur du handicap du volontariat du droit des jeunes ou encore de la personne g e
24. fin du 20 si cle un regain d int r t pour la forme coop rative de production et de services r pond de nouveaux besoins soci taux services de proximit insertion socioprofessionnelle nergies renouvelables recyclage de mat riaux agriculture Pr sentation de la soci t coop rative Il y a trois types de coop ratives e La coop rative simple celle ci se compose d associ s dontle nombre et les apports sont variables art 350 du Code des Soci t s Celle ci b n ficie d un r gime tr s souple de peu de contraintes et n a aucune obligation ni m me r f rence aux principes coop ratifs d mocratie absence de but purement sp culatif e La coop rative agr e par le conseil National de la Coop ration CNC Elle doit tre une soci t coop rative simple qui respecte les principes suivants e Vote d mocratique Dividende possible mais limit 6 e Adh sion volontaire des associ s sur base de conditions objectives et non discriminatoires Egalit de traitement selon le type de part e Administrateurs nomm s par les coop rateurs et mandat gratuit e La coop rative finalit sociale Cr e en 1995 et r gie par les articles 661 669 du Code des Soci t s ce sont des soci t s commerciales qui ne sont pas vou es l enrichissement des associ s et dont les statuts pr voient obligatoirement neuf principes respecter Ceux ci sont quivalents
25. intentions sont diff rentes dans le conflit l intention est de solutionner un probl me d influencer un l ment ext rieur tandis que dans la violence conjugale il s agit d influencer l autre Egalement les impacts sont diff rents Dans le conflit les deux personnes peuvent se disputer cela ne cr e pas un climat de terreur ni un impact traumatique Les partenaires peuvent se regarder dans les yeux Dans la violence conjugale un simple regard ou un poing sur la table peut terroriser l autre Lorsqu il y a violence conjugale le conflit n est pas possible car il faut deux personnes position gale tandis que dans la violence conjugale une seule personne d tient le pouvoir La s paration est galement diff rente lorsqu il y a violence conjugale le rapport dominant domin tend subsister tandis que dans le conflit les positions varient Consid rant que la violence conjugale est un mode relationnel une dynamique de couple qui dure dans le temps il est donc fr quent qu elle continue apr s la rupture ou qu elle r apparaisse un moment La repr sentation que l auteur se fait de la relation de couple influence galement la dynamique En effet il arrive que celui ci continue perp trer des actes violents car il consid re qu il est toujours en couple avec la victime 5 Le moment de la rupture Les personnes impliqu es dans la violence conjugale ont la repr sentation que c est la mani re dont foncti
26. le jeu Celui qui prend n est pas tenu mettre autre chose en change De temps en temps nous allons mettre un petit peu d ordre dans la boite et on fait un peu le tri On est en train aussi de cr er un repair caf C est la mode pour le moment on essaye de donner une deuxi me vie aux objets on ne jette plus simplement on joue la carte de la durabilit La population durbuysienne est particuli re Je ne pense pas C est vrai que nous avons des particularit s dans notre commune La population y est vieillissante C est notamment d au fait que des personnes avaient des secondes r sidences dans la commune qui l ge de la pension deviennent des habitations principales Cette population n tant pas native de la r gion elle peut vite se retrouver en situation d isolement La Maison Citoyenne joue aussi un r le ce niveau l le m tissage entre les autochtones et les autres J aimerais l avenir que nous puissions avoir des ambassadeurs de la Maison Citoyenne dans les petits villages parfois fort loign s de Barvaux Pour cela nous avons aussi besoin de b n voles Ici le b n vole est roi mais il doit aussi respecter certaines r gles afin que tout se passe bien Ce qui pousse les gens devenir b n vole que ca soit dans l organisation de petites manifestations ou dans l animation d un atelier c est qu ils sont reconnus pour leurs connaissances et leurs aptitudes Certains ont conscience de mener
27. les restrictions budg taires ont g n r le b n volat Je vais donner un exemple au d but lors des activit s nous achetions des tartes Ensuite nous avions moins de moyens et nous ne pouvions plus proposer ces tartes Alors les b n ficiaires en ont apport es C taient des choses qu ils faisaient de leurs mains b n volement chez eux Autre exemple Notre commune est fort tendue la mobilit est assez compliqu e Cela a engendr du covoiturage entre les participants et aussi une esp ce de coresponsabilit Le conducteur se sent responsable d aller chercher l autre et de veiller sa s curit Alors le passager lui se sent attendu stimul et motiv de venir participer l activit L impulsion citoyenne s exprime aussi autrement l arriv e de la Maison Citoyenne a lanc un lan incroyable d actions spontan es Nous avons vu s installer des bacs l gumes C est un concept qui vient du Royaume Uni les Incredible edible soit les Incroyables comestibles La phrase qui r sume bien l approche est l abondance est le fruit du partage En fait les gens de passage peuvent se servir gratuitement en l gumes et en fruits C est un moyen de manger local de planter pour les autres et cela rapproche les voisins 53 Volontariat 54 C est un mode de vie et de consommation alternatif On peut d couvrir des l gumes inconnus ou oubli s Un autre gage de r ussite c est que nous n avons j
28. m decins de l ONE seront revaloris s Une enveloppe de 576 000 est pr vue cet effet On notera encore au rayon des nouveaut s l engagement au Service Adoption de l ONE d un psychologue charg d aider les enfants adopt s dans la recherche de leurs origines l augmentation des d pistages visuels pr coces l informatisation des 850 TMS qui n auront plus faire face aux lourdeurs administratives et pourront ainsi passer plus de temps sur le terrain l augmentation des fonds pour les locaux de consultations pr natales pour les enfants ou encore l augmentation de 21 du budget pour la formation continue des professionnels de l accueil Concr tement pour la province de Luxembourg cela repr sentera plus sp cifiquement Dans le cadre du Plan Cigogne 3 l ouverture de 69 places d accueil en 2014 213 places entre de 2015 2018 et 213 places entre 2019 et 2022 soit 495 places au total tous types de milieux d accueil confondus Ce Plan Cigogne pr voit galement un volet budget d infrastructures mis dispositions par la Wallonie e La poursuite de lexp rimentation d un service d accompagnement pr natal visant prendre principalement en charge les futures m res vuln rables e Un meilleur subventionnement des services d accueil sp cialis accueil de crise avec 2 structures dans notre province e Le maintien voire une augmentation des subsides vers s aux structures d accueil extrascolaire e L int
29. ou tout citoyen d sireux d en apprendre davantage sur les nouvelles technologies Pour suivre leur actualit rendez vous sur le site de la Province Pr vention Formation Webetic S curit en ligne Information D couvrir les nouvelles technologies Premiers pas Windows GNU Linux Ubuntu Bureautique G rer son identit Num rique et emploi num rique Les logiciels libres R seaux sociaux sinorn t e administration Cyber harcelement Recherche d emploi Ecole num rique Contact Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant Espace Public Num rique mobile Personnes de contact Gilles HERMAN Geoffrey ROBERT T l 061 610 068 0492 734 447 Email epn province luxembourg be Web http www province luxembourg be fr epn html IDCz4382 Projets Papy amp Mamy Surfeurs Des tablettes pour tous Emploi le Num rique c est pour moi Consom action Compteurs concern s Simple bi horaire e exclusif nuit budget Le statut de CLIENT PROTEGE FEDERAL Clients prot g s r sidentiels revenus modestes ou situation pr caire Le tarif social en gaz et en lectricit y avez vous droit Le tarif social est syst matiquement plus bas que n importe quelle offre commerciale d un four nisseur d nergie et permet donc d all ger sensiblement le co t de la facture d nergie Le tarif social est calcul sem
30. plus d informations surfez sur le site www carrefoursdesgenerations be 24 MIEUX VIVRE To ENSEMBLE aiitefours des G N RATIONS 26 ET 21 AVRIL 2014 Tyner reim pae ja Forman Pis Fla no Handicap Accessible adaptable adapt Les 13 et 14 f vrier l AWIPH tait pr sente au Salon des Mandataires en collaboration avec le Consortium Construire Adaptable et les Services Conseils de la Plateforme Bien vivre chez soi pour sensibiliser les Communes au concept d accessibilit universelle Cette th matique concerne 3096 des citoyens car nous pouvons tous tre un jour ou l autre une Personne Mobilit R duite PMR Les personnes aveugles ou malvoyantes sourdes ou malentendantes se d pla ant en chaise roulante ou avec une canne des b quilles ou un d ambulateur les personnes pr sentant une d ficience intellectuelle les femmes enceintes et se d pla ant avec une poussette les personnes de grande ou de petite taille pl tr es en insuffisance respiratoire en surcharge pond rale sont toutes des PMR Le stand de l AWIPH tait enti rement d di l accessibilit expliquant comment construire adaptable permet de passer tr s facilement des logements adapt s Pour retrouver toutes les informations et la brochure que l AWIPH a cr e pour l occasion surfez sur http www awiph be AWIPH projets nationaux accessibilite index html Selor lance la campagne Handic
31. qualit relationnelle La formation Tous VIP a pour objectif d aider les volontaires affiner leur vision de la pauvret et de renforcer la qualit de leur relation avec les b n ficiaires I s agit donc au final de renforcer l efficacit de l aide apport e au public cible et le confort du volontaire dans son activit Cette formation se veut interactive Elle repose sur des cas concrets et des exercices pratiques et offre l occasion d changer ses questions et exp riences avec d autres volontaires Elle propose d approfondir une s rie de questions clefs telles que e Quelles sont les r alit s de la pauvret et les m canismes d appauvrissement e Quelles sont les id es re ues v hicul es dans notre soci t sur la pauvret Quelle est ma compr hension de la pauvret et quelles en sont les cons quences sur mon volontariat D o viennent mes frustrations mes incompr hensions mes malaises e Comment d coder des situations difficiles Quelles sont de possibles mani res d tre dans ces situations difficiles Quoi de neuf Pour qui Ces formations s adressent tous les volontaires en contact r gulier avec des personnes en situation de pauvret provenant de toute association active dans ce secteur Par qui Ce projet est le fruit d un partenariat entre la Fondation Roi Baudouin et la Coop rative Cera En concertation avec ces deux partenaires le programme de formation a t
32. qui assure une continuit de l aide et de la prise en charge en fonction de l volution de la d pendance l est galement pr cis qu elle doit tre en liaison fonctionnelle avec une maison de repos si elle n est pas implant e sur le site d une maison de repos Elle int gre une vie autonome au sein d un chez soi un appartement ou un petit pavillon et le recours des services vari s assurant s curit confort vie sociale et plaisir La r sidence services sociale quant elle doit tre tablie sur le site d une maison de repos Il s agit d un tablissement o les r gles du logement sont respect es en mati re d octroi des logements et de fixation des prix Les m nages g s en tat de pr carit ou disposant de revenus modestes au sens du Code wallon du Logement sont prioritaires En ce d but 2014 en Wallonie il existe 199 logements de ce type dans le secteur public 764 dans le secteur associatif et 962 dans le secteur priv commercial pour un total de 1 925 logements Suite des subsides de pr s de 40 millions d euros 900 logements dans le secteur public et associatif sont actuellement en construction Les r sidences services sociales ne sont pas oubli es puisque les Ministres de l Action sociale et du Logement se sont associ s en mutualisant les moyens disponibles Dans le cadre de l ancrage communal 2012 2013 la cr ation de 60 logements en r sidence service sociale est pr vue Retour a
33. s parations et r conciliations Par cons quent les tentatives de reprise du pouvoir de l auteur fonctionnent et le cycle de la violence continue Apr s la s paration la violence peut devenir transversale il arrive que l auteur s en prenne au nouveau conjoint I s agit toujours de violence conjugale car cela a un impact sur l ex conjointe Les violences sont parfois d crites comme des manifestations physiques ou verbales de la situation conflictuelle li e la s paration Mais comment distinguer violence et conflit 4 Violence conjugale vs conflit Le conflit est quelque chose qui est utile pour avancer il s agit d une dispute constructive dans laquelle on entrevoit une issue positive En effet le conflit peut tre tr s positif pour la suite car il permet aux partenaires de r ajuster la relation Le conflit est sain et il arrive dans tous les couples Il n y a pas de domination ni de tentative d craser l autre Dossier A l inverse dans la violence conjugale il y a un dominant et une victime le premier crase le second L un prend le pas sur l autre dans un m canisme d appropriation du pouvoir La distinction entre la violence et le conflit d pend donc de la pr sence ou de l absence d emprise de l un sur l autre La violence conjugale est un processus complexe un mode relationnel qui se construit Elle est permanente et dure dans le temps il ne s agit pas de crises isol es comme dans le conflit Les
34. se trouvent dans l impossibilit de s occuper de leurs enfants Des r gimes de protection existent afin que les enfants mineurs ne soient pas livr s eux m mes tutelle et protutelle Ce billet r alis par Infor Jeunes fait le point sur ces diff rents r gimes La tutelle La tutelle est un r gime de protection du mineur qui s ouvre lorsque les parents sont d c d s l galement inconnus ou dans l impossibilit durable d exercer l autorit parentale en raison d une maladie mentale par exemple Une personne appel e tuteur va tre d sign e afin de prendre soin de l enfant de l duquer et de g rer son patrimoine Exceptionnellement il est possible de nommer deux tuteurs diff rents l un pour le mineur l autre pour ses biens P Le tuteur qui G n ralement le tuteur sera un membre de la famille de l enfant Il est possible que les parents aient via un testament par exemple choisi la personne d signer au cas oU une tutelle devrait tre mise en place Ce n est pas pour autant que cette personne deviendra automatiquement tuteur Ilfaudra encore qu elle accepte la mission mais galement que le Juge de Paix marque son accord quant cette d signation Si personne n accepte la tutelle le CPAS de la Commune o l enfant r side devra d signer un tuteur parmi ses membres N oublions pas qu partir de 12 ans l enfant a le droit de donner son avis le Juge de Paix doit obligatoirement l
35. situation Isra lo palestinienne etc Cette ann e le Particip Art a propos huit pi ces de th tre dont une cr ation deux projections de films th matiques plus de seize moments d changes sp cifiques de d bats et de pr sentation aupr s de plus de sept cents personnes lors de ces quatre jours NI Ov THEPXTRE ur Pu PROVIS TLALE f A S BE ACHE Coup de r tro Pr sentation du jeu coop ratif Belfedar Lors de l atelier outil du 24 janvier 2014 le CLPS Lux a initi une dizaine de participants l utilisation du jeu coop ratif Belfedar Celui ci poursuit deux objectifs principaux e Pr venir la violence en favorisant la coh sion du groupe e D velopper des habilit s sociales pour g rer les conflits Il se pratique avec ou sans animateur et peut se jouer l cole ou en activit extrascolaire Formation aux outils Zactionary et ODAS ADOS Les 21 et 28 janvier 2014 le centre de documentation du CLPS Lux a accueilli Marie SAINLEZ du service ODAS Coordination Celle ci a encadr la douzaine de participants provenant de secteurs diff rents la formation aux outils Zactionary et ODAS ADOS deux outils sur le th me des assu tudes Le Zactionary pour enfants de 10 12 ans Le Zactionary se pr sente sous la forme d un jeu de l oie sur un cd rom interactif peut donc tre jou en ligne les participants la formation recevront sous peu une cl
36. tenir compte des trois moments cl s d crits ci dessus et de la mani re dont chaque individu auteur victime enfant volue travers chaque moment Il semble important que chacun puisse b n ficier d un soutien et d un espace individuel dans lequel il pourra sexprimer et travailler sur les difficult s qui lui sont propres La premi re tape est la prise de conscience tant pour l auteur que pour la victime des m canismes dans lesquels ils sont pris victimisation cycle de la violence etc afin de se responsabiliser prendre conscience qu ils peuvent changer Ceci est tr s important pour les enfants auxquels il faut permettre de verbaliser les choses et non pas les minimiser ou les banaliser I s agit d amener la conscience des partenaires l un l autre ou les deux qu ils ont en eux la capacit de changer d voluer et que l individu peut se changer lui m me mais doit renoncer changer l autre l auteur devra prendre conscience de son fonctionnement de sesfragilit s et trouver des ressources pour agir sur ceux ci La victime devra reprendre du pouvoir sur sa vie personnelle et sociale Tous deux devront travailler sur leurs croyances et repr sentations de la vie de couple principalement et faire le deuil de la relation pass e Plus sp cifiquement pour la victime un travail sur sa position est n cessaire en effet la victime fait syst matiquement r f rence son partenaire I faut progressiveme
37. tous ensemble Contact Rue de la Caserne 40 4 6700 ARLON T l fax 063 234 056 Lundi mercredi vendredi de 14h00 17h00 OU sur rendez vous luxembourg sdij be En direct de lureso be www lureso be reprend l ensemble des organismes sociaux actifs en province de Luxembourg et class s par rubriques et sous rubriques Vous trouverez ci jointes quelques mises jour extraites du r pertoire social Changement d adresse R solux Centre Nord Rue des Alli s 28 6800 LIBRAMONT T l 061 224 905 Email hpcentreardenneayahoo fr Conf rence Saint Vincent de Paul de Barvaux Rue des Eresses 2 6940 BARVAUX SUR OURTHE Email svp178Qvincentdepaul be Web www vincentdepaul be Si vous tiez un meuble Un meuble ancien qui a v cu qui voque des souvenirs Un meuble qui a une valeur sentimentale J aime bien aller dans les brocantes ET RU Er www association ecoles jules ferry fr Si vous tiez un animal Un chat Il est autonome et affectueux en m me temps C est doux J ai toujours eu un chat la maison Service droit des jeunes j NGE ASBL Grand Rue 1 6800 LIBRAMONT T l 061 620 150 Fax 061 610 059 Email info nge luxembourg be Web www nge asbl be Centre Pluraliste Familial Grand rue 5 6800 LIBRAMONT T l 061 223 561 Fax 061 223 561 Email cpflibramont hotmail com Nouveaux services Les Petits Soins de l Enclos R sidence l Enclo
38. une analyse plus approfondie de certains textes m lant romans documentaires en tout genre et parfois des albums jeunesse Alors que nous avions au d part r serv cet atelier aux femmes nous avons constat que certains hommes se sentaient galement concern s par la question du genre et les st r otypes f minins et masculins ancr s dans nos esprits d s le plus jeune ge et se r percutant dans plusieurs domaines Ce rendez vous s est donc galement ouvert aux hommes Bien souvent lorsque la biblioth que accueille une exposition les animations propos es dans la m me p riode tournent autour du th me de l exposition Il y a donc int r t a tudier le sujet pour pouvoir cr er diff rents supports jeux lectures panneaux ateliers pg woo rt u mer CE E miis as UCM ir Biblioth que d Arlon Donner un coup de main de temps en temps mes coll gues Socialement v tre au comptoir de pr t et ranger les livres en rayons font aussi partie du job Et quand je ne m en sors pas au pr t ou en manipulation du programme informatique de la gestion des livres elles sont toujours disponibles pour m aider Nous avons une r union d quipe le premier mercredi du mois Je rencontre 1 2 fois par mois ma coll gue de Vie f minine afin de mettre en commun nos pr parations respectives L esprit d initiative est il privil gi dans ce m tier l faut respecter les exigences impos es par le d cret
39. 1 2014 Mars Bureau de d p t Arlon 1 N agr gation P202157 Province de Luxembourg Service Provincial Social et Sant Ty T m P riodique trimestriel du Service d Etudes et de Documentation Sociales de la Province de Luxembourg CARREFOUR i D SOCZAL be Emp m w m p si Portraits D CON ss z E Dossie juga e i a violen ation ost Wa rat resente Y une feat bi MARIE LOUISE BERNIER V RONIQUE RICHARD u MET Promotion de la Sant l Ecole Service Droit des Jeunes Namur ipe dE a EE uns um VAR Service WAR ur provincial m i Service d Etudes et de Documentation Sociales 3 OC a amp S an t Luxembourg Jureso be ocial sur la toile Petite enfance Jeunesse Le e s O Personne g e Handicap Emploi Formation Sant Logement Aide sociale Aide aux familles Justice Citoyennet e Le site de r f rence pour le secteur Social et Sant en province de Luxembourg e 1 200 organismes r pertori s T T provincial Editeur nirncoriable Fienme Honey QOHINET Directe L Plate L opold 1 TOO AKLON ra 1 Prov ncial i ra LM Wallonie i social amp Sant M a LET MPROE FT Edito Sommaire Cher lecteur Ch re lectrice Certains d entre vous me connaissent d autres pas encore Depuis ma prise de fonction fin f vrier dernier en tant que D put e provinciale je me suis employ e d couvrir les multiples facettes
40. Botanique 50 boite 100 1000 Bruxelles Email social security minsoc fed be Web www socialsecurity fgov be 48 Docs en stock Centre de documentation nouvelles acquisitions Le Service d Etudes et de Documentation Sociales vous propose d sormais une s lection d ouvrages r cemment acquis et qui sont disponibles en pr t au Centre de documentation Arlon Square Albert 1er T l 063 212 752 063 212 298 ou dans votre biblioth que locale via le r seau provincial Vous pouvez consulter le catalogue de nos ouvrages sur www bibliotheques province luxembourg be LE BRETON David La sociologie du corps Paris Presses Universitaires de France 2012 Collection Que sais je L OR Uu ioa oc od Rm i Cette synth se aborde les tapes marquantes de l approche du corps par les sciences sociales la variabilit des d finitions du corps les logiques sociales et culturelles propres la corpor it les imaginaires sociaux et les mises en jeu eten signes du corps dans la soci t contemporaine ainsi que le statut de la sociologie du corps m a Le sentiment d abandon TOMASELLA Saverio Le sentiment d abandon se lib rer du pass pour exister par soi m me Paris Eyrolles 2010 Collection Les chemins de l inconscient Apr s avoir d fini ce que recouvre le sentiment d abandon incapacit rester seul difficult supporter la s paration peur de l attachement
41. IIG os d base x ERERRUASO EROS EA ESTA 19 Les Services de Sant Mentale 19 Prime pour l am nagement du domicile 22 Les s ances d informations 2014 23 Carrefour des g n rations 2014 24 OA a HIST PRIME TR 0 25 Accessible adaptable adapt 25 Selor lance la campagne Handicapable 25 En direct du DHAMO 26 Portraits Marie Louise BERNIER 41 V ronique RICHARD 44 DOCS CR SO AMD dede pm 48 Socialement vOtrB sessions ERR RT ERR VES 50 Animateur trice socioculturel le en biblioth que 50 VolgBtatldE es VERRE ERE MU VE TES 53 La Maison Citoyenne de Barvaux 53 Bon savoir 56 Ateliers outils 57 EE a Er 57 Quoi de neuf Les r sidences services au c ur du dispositif diversifi d aides et de soins des ain s Le Gouvernement wallon a adopt le projet d arr t relatif aux tablissements d h bergement et d accueil pour les a n s Les r sidences services assurent s curit et services la carte dans un logement adapt des a n s en perte d autonomie mais toujours capables de vivre seuls Elles sont tr s souvent tablies sur le site d une maison de repos ou d une maison de repos et de soins ce
42. On a relativement peu de cours de pr vention dans le cursus normal en m decine D s le deuxi me doctorat j ai suivi la formation de m decin scolaire en option J avais galement suivi des cours d hygi ne alimentaire Il y a deux choses que j aime en m decine les urgences et la pr vention J ai travaill 13 ans Walibi C tait amusant Mais pour tous les probl mes chroniques de sant je me sens d munie je me sens plus l aise dans la pr vention Et dans la pr vention qu est ce qui vous attire La pr vention c est vivre sainement pour ne pas avoir besoin d utiliser la m decine Enfin presque On peut tous devenir acteur de sa sant et en m decine scolaire c est cela que tu peux inculquer aux enfants petit petit En m decine on enseigne tr s peu la pr vention on nous enseigne plut t tre de bons techniciens La pr vention n a pasla place qu elle m riterait Le budget dela m decine pr ventive est d risoire par rapport au curatif Pour viter toutes les maladies chroniques de bonnes mesures d hygi ne de vie sont toujours indiqu es mais jamais d taill es Or moi C est ca qui m int resse En m decine on enseigne tr s peu la pr vention on nous enseigne plut t tre de bons techniciens Comment se passent vos relations avec les m decins vers lesquels vous renvoyez les l ves ayant des soucis de sant Ont ils la m me vision que vous de la m decine et
43. Stop aux IST Infections Sexuellement Transmissibles Un nouveau site sur les Infections Sexuellement Transmissibles o l on trouve de nombreuses informations PP E et adresses utiles Quelles sont les diff rentes IST Comment se prot ger Le site propose aussi un calculateur qui donne une estimation des risques pris Uu www preventionist org Droits de l Enfant un nouveau site web pour et par les enseignants Plan Belgique et six organisations belges expertes des Droits de l Enfant ont lanc le site internet www ecoledroitsenfant be Le but offrir aux coles le meilleur de l information p dagogique en mati re de droits de l enfant Proposant pour la premi re fois un manuel lectronique interactif sur la question le site permet galement aux coles de devenir de v ritables Ecoles des Droits de l Enfant www ecoledroitsenfant be 47 Docs en stock Brochures Migrations et populations issues de l immigration Le Rapport statistique et d mographique du Centre pour l Egalit des Chances et la Lutte contre le Racisme rassemble Migrations et populations les statistiques disponibles les plus r centes en mati re issues de l immigration de flux migratoires et de dynamique d mographique des SBERIQUE populations issues de l immigration E Lom Il est concu par le Centre de recherche en d mographie et soci t s de l Universit Catholique de Louvain t l charger sur http www diver
44. a me a i m Ld SN n LC AAA Ll ir M ir EI S k Catalogue en 555 Pr ts inter bib dx D TAa s m liot T 7 3 l PA Ouvert le mardi et le mercredi de 10h00 16h00 LT m YT W NENNEN le jeudi de 10h00 17h00 Br JUN CA ny il VA X P ou sur rendez vous b SAU Lbs jb service d Etudes el de Documentation Sociales Square Albert 17 1 063 21 27 52 063 212298 mn Service E provincial 6700 Arlon 2 063212245 Social amp Sant LUXEMBOURE sedsaprovince luxembourg be p PRANCE D DE Wallonie Service d Etudes et de Documentation Sociales Square Albert 1er 1 6700 ARLON T l phone 063 212 752 Fax 063 212 245 E mail seds province luxembourg be Editeur responsable Pierre Henry GOFFINET Directeur G n ral provincial Place Leopold 1 6700 Arlon
45. a nationalit ne peut tre que le consid r comme ayant droit F d ral l int gration sociale Les personnes ou l ascendont et le descendant vivant sous le m me toit ou le cohabitant qui b n ficient Ld du minimum d existence i du revenu garanti ou d une allocation d aide aux personnes amp g es y compris les personnes handicap es d une allocation de remplacement de revenus handicap eu d une allocation d int gration cat gories Il lll IV ou d une cllocation pour l aide d une tierce personne pour les hondicap s d une allocation d handicap la suite d une incapacit permanente ou d une invalidit d au moins 65 d une avance sur prestation vis e oux 4 points pr c dents d une d cision de guidance ducative de nature financi re prise par le CPAS d un suivi assur par un centre de m diation de dettes agr ou qui sont sous r glement collectif de dettes d un secours partiellement ou totalement pris en charge par l Etat f d ral R fugi s r guloris s et candidats r fugi s recevant une gide financi re du CPAS 1 Comprend galement In cat qerie c auterisatien de s jour limit 0 telle que pr vus dan le l gislation fhd rele Automatisation principe de base SOCTAR Avant 2010 le client devait lui m me effectuer des d marches pour pouvoir b n ficier du tarif social Le client de mandait une attestation ou on lui en en
46. aire celles qui visent l expression verbale et non verbale Le Service d aide domicile Trait d union La Province de Luxembourg est galement dot e d un service d aide domicile en mati re de sant mentale Il s agit du service Trait d union Ce service s adresse sp cifiquement des adultes confront s des difficult s li es la sant mentale et qui n ont pas la possibilit de se d placer pour des raisons g ographiques et principalement suite leur retrait social qui les a coup s du monde ext rieur Le service Trait d union est gratuit I offre un service d coute de soutien et d accompagnement psycho social en essayant de cr er ou recr er un lien social autour de la personne Les clubs th rapeutiques s adressent uniquement aux adultes Aucune participation financi re n est demand e aux personnes qui ont recours leurs services Carte de visite En 2012 245 dossiers taient trait s par le Service FKeGTISINE LTD ITA E ET CTS TSI Tee Trait d union La Coordination Deuil Suicide Luxembourg est compos e Les difficult s principales de ses usagers rel vent d un de psychologues sp cifiquement form s l encadrement tat d pressif de difficult s li es l entourage familial de du deuil et la pr vention du suicide Son travail consiste difficult s li es l entourage social de troubles mentaux et en actions de pr vention
47. ale pour prendre une d cision Lorsque la victime quitte l auteur elle s est g n ralement pr par e de longue date e Dans un autre cas de figure la rupture arrive suite un pisode de grande peur par exemple lorsque les enfants sont t moins d un acte de violence que la victime craint pour leur vie ou leur s curit ou encore lorsque l agressivit est bien r elle I peut s agir d une forme de violence d mesur e qui se produit une seule fois mais o l auteur passe un niveau de gravit sup rieur C est cet v nement qui d clenche le processus Lorsque la victime r alise l impact n gatif sur les enfants il s agit d un moteur la rupture Le jour o l auteur frappe l enfant il y a rupture du consensus implicite rigide La r gle implicite est d pass e par l auteur 6 L apr s s paration Nous relevons certains moments risques apr s la s paration e Changement de l h bergement des enfants aucune m diation n est possible ce moment car dans la violence conjugale on ne n gocie pas par opposition au conflit e Moments pr c dant ou suivant un rendez vous pour des d marches judiciaires ex les ex partenaires prennent le m me bus pour s y rendre e Tous les moments o il doit y avoir de la n gociation en effet nous avons vu que celle ci n est pas possible dans la configuration relationnelle caract ristique la violence conjugale e Ce sont des occasions pour l aut
48. amais connu d acte de vandalisme Les gens respectent la nourriture Dans Barvaux il y a parfois des plantations de fleurs qui sont arrach es tandis qu avec les comestibles c est diff rent Et puis ces bacs l gumes rappellent aussi aux Barvautois qu ils habitent la campagne et que cultiver est quelque chose de normal Les personnes isol es parfois vivent en vase tellement clos qu elles s loignent de leur environnement global de vie Province de Luxembourg Sinon certains ont d cid un jour de nettoyer la place qui jouxte la Maison Citoyenne Cela a permis d embrayer vers d autres activit s sur cette place Nous y avons cr un concours de pot e le 30 mars nous organisions une donnerie etc Bref gr ce cela l endroit se redynamise et la population se le r approprie Lors de cette journ e du dimanche 30 mars on pouvait apporter des choses donner et on en a profit aussi pour renouveler les bacs l gumes car la bonne saison revient On est tr s agr ablement surpris que le dynamisme ne s essouffle pas Dans le m me ordre d id e on nous a construit une boite dons les gens peuvent d poser ce dont ils n ont plus besoin On y trouve de tout sauf des objets p rissables Ce n est pas une poubelle et jusqu maintenant les dons sont en bon tat Les v tements ne sont pas d chir s ni tach s les livres sont complets et pas d chir s C est agr able de constater que la population joue vraiment
49. an de devenir un acteur diff rent l lan de sortir du syst me que nous d plorons Cela m a aussi montr combien il n est pas simple de faire autre chose autrement I me fallait d finitivement quitter le terrain d un monde cliv avec d un c t ces gens l qui il convient de venir en aide et nous professionnels ces autres Plusieurs questions se sont pr sent es moi Celle qui consiste tre un acteur responsable capable de g rer cette part de violence qui lui appartient aussi Etre un acteur capable de g n rer des relations non violentes aux c t s de familles qui s y engluent Comment chercher des solutions en se sentant responsable capable de trouver des solutions avoir la responsibility la capacit produire un changement l habilet contribuer ce que se modifie l g rement cette dynamique relationnelle puissante Comment se placer aux c t s des enfants expos s ces violences Comment accompagner les parents ces hommes et ces femmes bless s et trop souvent blessants en retour Le travail dans le cadre de la coop ration ordonn e s est pour moi tr s vite r v l tre un moyen int ressant de contribuer la r duction des situations conflictuelles J en retiens plusieurs aspects qui me semblent importants souligner e La rapidit d intervention Rien n est plus nuisible dans le conflit que de laisser la place au temps Lorsque le temps passe sans q
50. apable Trop souvent les personnes handicap es sont confront es des st r otypes et pr jug s lorsqu elles postulent pour un emploi De m me les personnes handicap es ont elles aussi pas mal de pr jug s et de doutes propos de leurs chances sur le march du travail C est pourquoi Selor lance la campagne Handicapable pour informer les personnes handicap es et les employeurs potentiels sur toutes les possibilit s Egalit des chances lors de la s lection CA PA BLE D Selor se bat d j depuis des ann es pour l galit des chances I n organise pas de proc dures de s lection s par es mais pr voit des adaptations raisonnables Les proc dures existantes sont adapt es pour compenser un ventuel effet n gatif d un handicap trouble cognitif ou maladie Selor recrute Davantage d opportunit s sur le march du travail Les personnes handicap es peuvent demander tre prioritaires lors du recrutement Il faut savoir que tous les services publics ont pour objectif de compter au moins 3 de personnes handicap es parmi leurs effectifs Si ce n est pas le cas ces services publics donnent priorit une personne Contact handicap e lors d un recrutement Les pouvoirs publics esp rent ainsi encourager les personnes handicap es Selor trouver du travail Boulevard Bischoffsheim 15 1000 BRUXELLES T l 0800 505 55 Web www selor be 25 Handicap 26 En direct du DHAMO Insee des artis
51. audra attendre les ann es 1860 pour que naissent les premi res coop ratives du pays Deux fois au cours du 20 si cle apr s la crise de 1929 et lors de l apparition des premi res grandes surfaces la fin des ann es 1950 le mouvement coop ratif va changer de visage Apr s la 2 guerre mondiale le pouvoir d achat des consommateurs s accroit de m me que la demande de produits nouveaux Pour r pondre cette demande les coop ratives de consommation diversifient leurs activit s et tendent leurs gammes de produits Alors que le syst me coop ratif est son apog e le self service fait son apparition Cette formule va g n rer les chaines de grands magasins En 1958 la loi cadenas bloquant les implantations commerciales est lev e C est le d but des grandes surfaces A cette concurrence les coop ratives de consommation n opposent qu une r sistance bas e sur l immobilisme A partir des ann es 70 seuls les secteurs de l assurance la banqueetle secteur des pharmacies vont tre sauvegard s Fin de cette d cennie les objectifs sont d entreprendre collectivement selon un retour aux sources des principes coop ratifs particuli rement la gestion d mocratique De forts accents sont souvent mis sur l int gration dans un d veloppement local et sur le respect de l environnement 1 Source Febecoop F d ration belge des coop ratives Economie Sociale Un mod le porteur de sens A la
52. aux d pendent du Service Provincial Social et Sant Huit entit s provinciales composent la sant mentale quatre Services de Sant Mentale deux Clubs th rapeutiques anciennement Club de jour plus une antenne et un Service d aide domicile Viennent galement s adjoindre les actions sp cifiques de la Coordination Deuil Suicide Luxembourg D autres Services de Sant Mentale priv s organis s en ASBL et agr s galement par la Wallonie sont install s Libramont Saint Hubert et Bouillon Retrouvez toutes ces adresses sur www lureso be Les services de sant mentale Les Services de Sant Mentale sont ouverts tous Ils proposent aux personnes aux enfants aux familles ou aux couples diff rents services qui peuvent l g rement vari s en fonction de la composition de leurs quipes Tout Service de Sant mentale doit cependant conform ment au d cret qui le r git pr senter une quipe pluridisciplinaire pouvant assurer les fonctions suivantes les fonctions psychiatrique ou p dopsychiatrique psychologique social d accueil et de secr tariat A ces fonctions de base peuvent s adjoindre d autres fonctions d finies selon les besoins des usagers ou les publics sp cifiquement vis s par le service Les Services de Sant Mentale provinciaux offrent les services suivants e unaccompagnement psychosocial e une consultation psychologique e une consultation psychiatrique p do psychiatrique de logop
53. bien m dicaux et psychologiques que culturels philosophiques et anthropologiques Il retrace l volution des recherches de l Antiquit nos jours des premiers proc d s mn motechniques la neuroscience BONNEFON G rard L ducation sp cialis e p dagogies perspectives Lyon Chronique sociale 2013 Collection Comprendre la soci t fondements Pr sentation et analyse des bases philosophiques thiques et anthropologiques inh rentes au m tier d ducateur sp cialis BELISLE Claire Dir Jeunes et alimentation manger veut dire Lyon Chronique sociale 2013 Collection savoir communiquer nnde d dimmi i penser ce que Destin aux ducateurs animateurs infirmiers ou m decins cet outil d animation et de formation met en oeuvre une m thode de travail en groupe int grant la photographie comme support de communication Elle permet d engager changes et r flexions sur le th me de l alimentation et des habitudes alimentaires chez les adolescents REVUE Prospective Jeunesse Drogues Sant Pr vention Prospective 67 Jeunesse y P riodique trimestriel qui aborde en un ou plusieurs num ros une th matique qui s tend au del de la probl matique des drogues 49 Socialement v tre Animateur trice socioculturel le en bibliotheque 90 Pour pr parer ce num ro nous avons rencontr Diana BILOCQUE qui travaille mi temps la Biblio
54. ce d accompagnement pour personnes handicap es adultes relance son atelier th tre Encadr et mis en sc ne par Jean Marc BARTH L MY com dien et metteur en sc ne professionnel la troupe des Arlonais du bout du monde est fi re de vous pr senter sa nouvelle pi ce Cris et toussotements Apr s le succ s de leur premier spectacle ils ont choisi de s int resser au monde m dical et aux relations que nous entretenons avec nos indispensables m decins Depuis la naissance nous passons entre ses mains Crachotements toussotements bobos et maladies diverses nous lui confions tout Le m decin puisqu il faut le nommer fait partie int grante de notre vie D s lors pourquoi ne pas en rire Entre m decins d jant s et patients singuliers entre oculistes iconoclastes et myopes peu banals voici une petite plong e dans l univers parfois bien risible de notre petite sant qui navigue dans le monde curieux des blouses blanches De multiples repr sentations viendront couronner ce projet participation aux Festival Maili Mailo Festival Article 27 au Grand Th tre de Namur Nos acteurs ne demandent qu tourner vous savez donc ce qu il vous reste faire Guide m dical pour les postes m dicaux de garde 4 f vrier 2012 R forme de la garde m dicale pour la province de Luxembourg et l arrondissement de Dinant Cette r forme a entra n la cr ation d un num ro unique 1733 Ce num ro ta
55. chement s inscrit dans la continuit de l initiative dela Plateforme Bien vivre chez soi et est prometteur pour de futures collaborations au sein du nouvel Organisme d Int r t Public wallon inh rent la 6 r forme de l Etat Ce nouveau service d coute et d accompagnement pour les seniors est bas Charleroi dans les locaux de l AWIPH Un budget d environ 180 000 euros lui est consacr car il n cessite l engagement de trois travailleurs sociaux form s aux questions relatives aux a n s Une vision satellite En Wallonie diff rents num ros existent d j comme Infor Homes h bergement des a n s 070 246 131 la Ligue Alzheimer maladie d Alzheimer 0800 15 225 Respect Seniors maltraitance des personnes g es 0800 30 330 T l accueil situations de d tresse 107 Le 0800 16 210 constitue quant lui un num ro coupole Les r pondants ont une mission d coute et d information mais aussi d orientation vers ces offres de service sp cifiques Des questions Conduire devient difficile Quelles solutions existent pour me d piacer Mon mar a le maladie d Alzheimer Cui peut l accompagner Et comment puis je souffler Vivre seule Cela devient difficie pour ma patiente Quitter son dormicile Mais pour aller o0 7 Mes parents ne s en sortent plus Qui peut les aider au quotidien Papy et Mamy ont envie de s ciater 0800 16 210 Num ro gratuit Seniors Les Seniors au
56. ci s articulera autour de deux projets qui ont pour objectif de bousculer les id es sur l autisme Tout d abord nous pr senterons un reportage vid o dans lequel la parole est donn e des jeunes et des adultes autistes leurs familles et leur entourage professionnel et social Les st r otypes li s l autisme sont nombreux nous voulons donner la parole diff rents acteurs pour les revoir et les corriger Dans le cadre de ce projet vid o diff rentes pistes seront explor es celles de l int gration l cole sur le lieu du travail dans les loisirs de l autonomie des r ves et des envies Plusieurs points de vue seront abord s ceux des personnes autistes mais galement des personnes qui gravitent autour d elles au quotidien Une exposition artistique mettra ensuite en avant le regard qu ont de jeunes tudiants en ducation sp cialis e sur l autisme mais galement le regard d un photographe sous l angle du portrait Les tudiants ont r alis des ceuvres collectives sous l gide de leur professeur d arts plastiques en travaillant diff rentes mati res La pr sentation de ces deux initiatives aura lieu l apr s midi du mercredi 2 avril 2014 au Palais abbatial de Saint Hubert Le rendez vous est fix de 13h30 16h30 Plus d informations aupr s du Service Autilux Handicap Les Arlonais du bout du monde Cris et toussotements Pour la 4 ann e cons cutive le SAHMO servi
57. co construit et sera donn par la Croix Rouge de Belgique le R seau Wallon de Lutte contre la Pauvret l Association pour le Volontariat la Plate Forme francophone du Volontariat et Vivre Ensemble O et quand La formation gratuite dure 2 journ es 15 modules seront propos s des dates diff rentes en des lieux vari s de f vrier novembre 2014 Vous trouverez ci dessous le calendrier des 11 premiers modules d s pr sent ouverts Les formulaires d inscriptions ainsi que de plus amples renseignements se trouvent sur le site internet www tousvip be A noter sandwichs boissons et syllabus sont offerts Tent par l aventure VIP Alors ne tardez pas vous inscrire l un des modules car les places seront limit es En 2014 soyons toutes et tous un peu plus VIP Voici quelques dates en province de Luxembourg ou dans les provinces voisines Dates des formations VIP 2014 Adresse du lieu de formation Fomateu 28 mars et 25 avril 12 rue Marie Henriette 5000 Namur R seau Wallon de Lutte contre la Pau vret 8 et 15 mai 13 Place l llon 5000 Namur Plate Forme francophone du Volonta riat et Association pour le Volontariat 12 rue Marie Henriette 5000 Namur R seau Wallon de Lutte contre la Pau vret 1 La Massoqui re 6840 Longlier Neuf Croix Rouge de Belgique chateau 129 rue des Bruy res 4000 Li ge Vivre Ensemble 12 rue Marie Henriette 5000 Namur R seau Wall
58. compagnement offerts par les Clubs th rapeutiques ont pour objectif principal la r insertion sociale de la personne et le maintien dans son milieu de vie habituel Actuellement seul le Club d Arlon est officiellement reconnu par la Wallonie Le Club de Marche esp re obtenir sa reconnaissance en 2014 Par ailleurs le Service de Sant Mentale de Bastogne tudie la possibilit d ouvrir galement un Club th rapeutique En 2012 pour le seul Club d Arlon et son antenne de Virton 108 dossiers taient ouverts Entre 10 et 25 personnes fr quentent quotidiennement le Club d Arlon Les raisons qui am nent les usagers du Club le fr quenter sont principalement d ordre psychiatrique pathologies li es la psychose des troubles anxieux phobiques des troubles d pressifs r currents des troubles de la personnalit 92 5996 des usagers ont entre 18 et 59 ans 7 4196 ont 60 ans ou plus Les personnes fr quentant le club y ont majoritairement t encourag es par le monde de la sant mentale 80 5696 La dur e moyenne de la prise en charge est r partie comme suit moins d un mois 3 796 de 1 3 mois 15 7496 de 4 5 mois 0 9396 de 6 mois un an 12 9696 plus d un an 58 3396 Les activit s propos es se regroupent en 4 cat gories celles qui visent l expression cr ative celles qui visent l aspect corporel celles qui visent l ouverture vers l ext rieur et la vie communaut
59. de la pr vention Disons que c est plus facile quand on fait du d pistage d pistage d un probl me de vue d ouie ou d un autre probl me L ils r pondent Si on a un probl me de surpoids par contre ils sont d munis pour y r pondre En fait ils sont assez d munis quand on propose une prise en charge multidisciplinaire On n a pas de cours de di t tique en m decine Parmi les missions qui vous ont t confi es par le d cret de 2001 on trouve le d veloppement de programmes de promotion de la sant l cole Quels changements a apport ce d cret Avant on tait beaucoup trop log s dans la tour d ivoire qu taient les Centres de sant On ne se rendait pas suffisamment dans les coles Donc la premi re chose a t de se faire conna tre comme r f rents sant pour les coles Les coles font pr sent tr s r guli rement appel nous que ce soit pour organiser les bilans de sant des l ves pour les maladies transmissibles l cole pour les 41 Portraits 42 visites d tablissements les animations EVRAS Education la Vie Relationnelle Affective et Sexuelle ou d autres On est plus polyvalents vu MM S et donc c est plus Qu est ce que l EVRAS int ressant pour tout le monde Depuis juillet 2012 un d cret rend m decins comme obligatoire l Education la Vie infirmi res de Relationnelle Affective et Sexuelle EVRAS dans tous les tablissemen
60. de la violence l auteur a besoin de contr ler sa victime pour se sentir s curis Il pense qu en l chant le contr le sur l ext rieur il l che le contr le sur sa vie 8 Les strat gies violentes A partir du moment o la victime d cide de partir tout est sujet de discorde la question de l argent des enfants du logement etc S il y a des enfants ces derniers deviennent la courroie de transmission du pouvoir ils sont un moyen d atteindre l autre L auteur utilise d autres moyens comme la menace de suicide qui est une forme de violence les menaces sur les enfants enl vement les menaces de mort il n a plus rien perdre l s agit d un temps o on observe une dynamique chaotique des formes de violence inattendues Puisqu il y a s paration physique il y a moins de violences physiques mais s il y en a c est plus inqui tant Les tentatives de contr le et d intimidation sont accentu es Le contr le financier est galement un moyen de pression utilis par l auteur 9 La place des enfants Les enfants t moins sont r ellement instrumentalis s apr s la s paration L enfant peut tre un objet un outil pour assouvir le pouvoir du dominant L enfant est une victime il se trouve entre ses parents et en souffre norm ment Lorsqu il y a s paration les enfants deviennent une courroie de transmission on atteint l autre par les enfants I n est pas rare que les parents vivent comme une trah
61. des violences que se t moignent les deux personnes qu il aime le plus au monde I n est pas plus int ressant pour la construction d un enfant que son parent celui l m me qui est son mod le nie les faits qui pour tous sont une vidence Nombreuses sont les raisons de faire cesser comportements inad quats voire nuisibles Mais est ce pour cette raison qu il faut couper tout lien Les enfants eux m mes le souhaitent ils N ont ils pas besoin envie de comprendre ce qui se passe dans leur famille Ne gagneraient ils pas tre accompagn s de tiers qui g rent autrement des conflits qui les submergent et les d passent T des Je pense qu ordonner la coop ration parentale c est se doter d une chance de faire autre chose autrement C est offrir aux enfants une occasion de voir leurs parents agir leurs relations autrement C est permettre aux parents de re prendre leur place Accompagner un tel processus est exigeant il demande au professionnel de faire preuve de beaucoup d engagement il l invite se mouiller I l oblige faire appel son ressenti oser l utiliser oser dire ce qui ne se dit pas Sans cesse il a clarifier les non dits se positionner fermement rappeler les r gles les engagements Chaque jour il doit veiller les faire respecter Alors oui je dis oui la collaboration parentale en situation de violence conjugale Oui avec aux c t s de ces familles de
62. domicile des personnes propri taires ou locataires de plus de 65 ans que ce soutien sera apport d s le 1 avril 2014 Comment a marche Pour qui Cette prime s adresse la personne de 65 ans et plus en perte d autonomie qui effectue des am nagements dans son logement en province de Luxembourg en vue de l adapter sa situation Combien Le montant de la prime provinciale est fix 5096 du co t des am nagements T V A comprise avec un maximum de 1 500 Pour l adaptation de son logement le b n ficiaire peut solliciter l obtention de plusieurs primes provinciales dans le cadre de ce r glement pour autant que les primes allou es n exc dent pas 1 500 En outre le montant maximum par logement est limit 3 000 sur une p riode de 3 ans Conditions de revenus En ce qui concerne les conditions de revenus il faut disposer apr s d duction du loyer ou de la mensualit hypoth caire de revenus nets inf rieurs e 1 200 pour un b n ficiaire isol e 1 600 pour un b n ficiaire m nage ou cohabitant e Major s de 400 par personne charge e Les revenus pris en compte sont ceux de toutes les personnes vivant dans l habitation am nager Propri taire ou locataire Lorsque le b n ficiaire est propri taire du logement pendant une p riode de 3 ans courant partir de la liquidation de la prime il doit respecter les conditions suivantes e Occuper e
63. ds pris en concertation semblent plus satisfaisants et sont durables Imposer la coop ration parentale c est avant tout veiller r tablir au plus vite un dialogue constructif entre les parents au moment o ils se s parent C est mettre en place toutes sortes de moyens pour y contribuer cela va de la simple information l accompagnement par des experts mandat s par le tribunal C est instaurer un cadre solide contraignant pour que les parents veillent l heure o ils prennent les d cisions qui simposent la r organisation de leur vie personnelle ne pas perdre de vue le bien tre de leurs enfants Ceux ci ont des attentes propres qu il est imp ratif de respecter Pour en savoir plus propos de ce mod le d intervention vous pouvez vous r f rer au site mentionn ci dessous Afin de pr senter bri vement la violence conjugale je dirais qu il s agit d un mode de relation fig o l un des partenaires domine l autre en lui imposant sa volont l auteur s impose l autre en faisant usage de diverses formes de violences Leonore WALKER a fait une description int ressante du processus de victimisation qui s installe au sein du couple o r gne la violence conjugale Vous pourrez en lire les grandes lignes en vous r f rant au site du CVFE 6 http www crop ch crop dossiers crop pratique cochem html 7 http www cvfe be echapper violence conjugale information com prendre cycle violence victimisation
64. e action luxembourgeoises en vidence mais aussi et surtout susciter l envie des travailleurs sociaux d utiliser e des productions accessibles culturellement techniquement et financi rement e des outils de sensibilisation pour alimenter dynamiser les projets e des outils pour amener r fl chir partager des motions travers le th tre e des outils disposition transformation sociale vers une possible Une initiative r alis e gr ce de nombreux partenaires F D RATION WALLCONIE BRUXELLES at 3 F Le liroir des Saveurs N M Le Particip Art ainsi d nomm est une d marche unique en Wallonie La 3 dition s est tenue du 11 au 14 f vrier 2014 et avait pour th matique l isolement Au fil des ditions et de leur valuation les modalit s ont t revues et adapt es le nombre de jours et le nombre de lieux la p riode de l ann e la projection de documentaires Quelques chiffres En septembre 2009 ce sont neuf spectacles aux th mes divers qui ont t propos s plus de cinq cents personnes Lors de la deuxi me dition en septembre 2011 les organisateurs ont propos plus de six cents participants dix spectacles de th tre deux documentaires des espaces de rencontres dont les divers th mes abord s taient les pauvret s la mort et l au dela l environnement et la ruralit la diff rence la transmission le Service Public ou encore la
65. e de la Jeunesse peut aussi faire le choix de confier l enfant au Service de l Aide la Jeunesse SAJ lequel se chargera de trouver un protuteur Comme c est le cas dans la tutelle l enfant g de 12 ans au moins a le droit de donner son avis sur le choix du protuteur Enfin notons qu il existe des services de protutelle dont la mission est de rechercher et d accompagner des protuteurs mais aussi d clairer le Juge de la Jeunesse dans sa mission de nomination des protuteurs Sources Billet Infor Jeunes Contact www nforjeunes be www sdj be www aidealajeunesse cfwb be www droitsquotidiens be L entrepreneuriat coop ratif et l Economie sociale Combinant efficacit conomique et prise en compte des besoins de ses membres et galement de l int r t g n ral le mod le coop ratif a faitla preuve depuis longtemps qu il tait parfois davantage que d autres formes d entreprises en mesure de r sister aux cons quences n fastes g n r es par les crises financi res conomiques et sociales De nos jours parfois englob dans le concept plus large d Economie sociale ou Economie sociale et solidaire en France l entrepreneuriat coop ratif est n il y a plus de 150 ans dans une petite ville industrielle du nord de l Angleterre Rochdale quand les ouvriers tisserands d cid rent en commun de cr er et de g rer leur propre magasin En Belgique M me si l on s int resse au coop rativisme d s 1830 il f
66. e interrogation les organisateurs du jour l adressent en particulier un homme Richard WILKINSON l auteur avec Kate PICKETT d un ouvrage qui a fourni la base de r flexion pour l organisation de ce forum Pourquoi l galit est meilleure pour tous Li STEEL DLInES er Kate Pickett Q ss Pesci fa tii L argent ne fait pas le bonheur Dans cet ouvrage les auteurs d fendent la th se selon laquelle la qualit de vie des individus d pend bien plus du caract re plus ou moins galitaire de la soci t dans laquelle ils vivent que du niveau moyen de revenus qui y pr vaut plus une soci t est galitaire sur le plan des revenus meilleure y est la qualit de vie En d autres mots plus un pays pr sente de gros carts de revenus au sein de sa population plus la pr valence de probl mes sanitaires et sociaux y est importante Voil de quoi jeter un pav dans la mare des d fenseurs de la croissance conomique La qualit de vie et la croissance conomique ne seraient elles donc pas aussi li es comme beaucoup l affirment encore en particulier en ces temps de crise Si les auteurs pr cisent d embl e que la croissance conomique reste essentielle l am lioration de la qualit de vie dans les pays plus pauvres ils soulignent cependant qu une fois un certain seuil de d veloppement conomique atteint comme c est le cas dans notre soci t ce raisonnement s effrite Dans les domaines de la sant
67. e les protagonistes mais prend d autres formes psychologique etc La relation d emprise et le contr le se maintiennent voire se renforcent L objectif de l auteur est de garder le pouvoir mais il ne sait plus l exercer de la m me mani re car la victime est centr e sur son projet ce qui entra ne de la frustration Les auteurs supportent mal la frustration et ont tendance agir avec violence suite une frustration La s paration peut donc accro tre ce qui pr c demment existait La violence maintient le lien entre les ex partenaires Ces derniers sont dans un fonctionnement vertical rigide Une personne victime a la position basse et l autre personne auteur a la position haute Ces positions sont rigidifi es D un point de vue th orique et d apr s les intervenants rencontr s la violence conjugale post s paration s inscrit dans le cycle dela violence conjugale il s agit d un processus Un l ment d clencheur provoque une rupture dans le cycle et c est la s paration Certains intervenants avancent que le cycle s arr te tandis que d autres pr cisent qu il se maintient apr s cette rupture mais de fa on lin aire car il n y a plus de lune de miel possible Il y a des obstacles sur le cycle car l emprise et la soumission de la victime sont moindres Par contre si les sentiments entre les ex partenaires ne sont pas clairs et ou qu un sentiment affectif perdure ce dernier entretient les va et vient entre
68. e ne mange que ce que je pr pare je n ach te pas de produits industriels j adore la nature jadore jardiner j adore les plantes Je suis quelqu un de manuel voil J aime beaucoup poigner dans les choses j adore les loisirs cr atifs je r ve de faire du pain j ai d j fait de la poterie mais je ferai de la vannerie Je ferai des choses moi m me je ferai plus de choses J aime beaucoup l autonomie dans tous les domaines Contact Service Pr vention Sant Direction des Centres de Sant Chauss e de Houffalize 1bis 6600 Bastogne T l 061 21 36 71 Email dir prevention sante province luxembourg be www province luxembourg be Portraits Si vous tiez une uvre d art vous seriez Un bouddha Si vous tiez un plat ou un aliment vous seriez Du riz j adore le riz Si vous tiez un animal vous seriez Un chat ind pendant 43 Portraits 44 V ronique RICHARD Province de Luxembourg Pour compl ter notre coup de projecteur sur quelques acteurs du secteur Jeunesse pr sent s dans le dernier num ro nous rencontrons V ronique RICHARD Directrice du Service Droit des Jeunes Namur Luxembourg qui f te ses quinze ans de permanence en province de Luxembourg Comment le Service Droit des Jeunes SDJ s est il install en province de Luxembourg Dans le cadre des AMO il y a une particularit pour les services qui touchent au juridique L association d
69. e partie ou les deux refuse la MAP le JAF en est inform et peut statuer sur d autres modalit s de l exercice du droit de visite Accompagnement de l enfant l accompagnant e se pr sente au domicile de la m re et am ne l enfant sur le lieu de visite du p re par transport en commun ou en voiture Lors du trajet il ellese positionne comme un e professionnel le de confiance pour l enfant capable de le soutenir dans sa relation avec chacun de ses parents et se montre disponible entendre ses questions craintes ou espoirs concernant la visite avec son p re Arriv sur le lieu de la visite l accompagnant e v rifie que le parent est pr sent et en tat de recevoir l enfant et contacte ensuite la m re pour l informer que l enfant est bien arriv Un moment sensible la passation de l enfant La p riode de danger qui suit la s paration est parfois n glig e en ce qui concerne la passation de l enfant entre le parent victime et le parent auteur lors de l exercice du droit de visite I s agit d un moment banal chez un couple conflictuel mais qui peut tre dangereux dans le cadre de violences dans le couple Un nombre significatif de f minicides ont lieu pr cis ment cette occasion La MAP permet de renforcer la protection lors de ce moment sensible La parentalit chantier de diff renciation Des dynamiques de diff renciation sont soulign es lors de la s paration lieu de vie organisation propre avec s
70. efondentles perceptions les croyances refuser de s arr ter au niveau des d clarations d intentions proposer chacun de prendre des engagements clairs en prenant en compte leurs besoins et enfin exiger de chacun qu il s en tienne au respect des engagements pris Toutes ces mani res d tre et d agir permettent de diminuer voire de contribuer faire disparaitre les conflits En ce qui concerne la question particuli re qui est de mettre ce mod le d application dans des familles vivant ou ayant v cu de la violence conjugale je r ponds par l affirmative 37 Dossier 38 Pourquoi ne pas donner aux familles qui usent de violence l occasion de se r organiser de vivre autrement Pourquoi viter de miser sur leurs comp tences Pourquoi loigner voire s parer des enfants d un parent auteur de violence Pourquoi refuser que deux parents se parlent pour clarifier leur situation Pourquoi ne pas les y obliger Il me semble tre une vidence qu une des pr occupations premi res des intervenants est de veiller la s curit des enfants qu ils sont en charge d aider ou de prot ger Il me semble en effet inad quat qu un enfant soit par exemple utilis par son parent pour l informer sur les agissements de l autre comme le font beaucoup de parents contr lants et angoiss s l id e de perdre leur partenaire Autant qu il ne serait pas s curisant d autoriser un enfant tre nouveau t moin
71. el de D mographie Familiale de l ULg e Quelle application possible du mod le de Cochem dans les situations de Violences Conjugales par Mme Anne Elisabeth COLAS Oasis Famille e Pr sentation d une Mesure d Accompagnement Prot g MAP en place en France et qui permet le maintien du lien entre l enfant et son parent auteur par Mme Anne MARTINAIS Observatoire d partemental des Violences envers les femmes en Seine Saint Denis France BRISONS LE SILENCE AVANT QU IL NE NOUS BRISE LA VIOLENCE TA ENTRE PARTENAIRES Parlez en be 29 Dossier La violence conjugale post s paration une r alit bien pr sente 30 La violence conjugale post s paration son exposition aux enfants Par Mme Kathleen ADELAIRE Panel de D mographie familiale ULg Un des projets de l Axe Violence du Service Egalit des Chances de la Province de Luxembourg pour 2013 tait d approcher la notion de violence conjugale post s paration sur le territoire provincial Les objectifs taient d informer sur le concept de violence conjugale post s paration de sensibiliser aux sp cificit s de ce type de violence conjugale et de promouvoir la r flexion sur l enfant expos la violence conjugale post s paration aupr s des professionnels et du grand public Pour ce faire le Service s est adress au Panel de D mographie familiale pour mener une tude exploratoire de type qualitative 1 Quelques chiffres a
72. ens aux ateliers Avant je ne connaissais pas J apprends des choses en venant ici J aime surtout les techniques de dessin Je rencontre des personnes que je ne connaissais pas pour moi c est important En dehors on se voit aussi avec certains On se reconna t dans la rue La b n vole qui donne l atelier m pate Aujourd hui les gens ne sont plus comme a J ai vraiment envie de lui dire merci car sans elle l activit n existerait pas Et puis elle est l coute on peut faire ce qu on veut en fonction de ce qu on aime bien Natacha Moi aussi je trouve que la personne remercier et f liciter ici c est la b n vole Je viens de la ville moi la base L bas ces intentions l sont moins d velopp es Je fais aussi du volontariat dans d autres contextes notamment au CCCA On se sent n cessaire et utile En fait j ai toujours fait du b n volat Il faut que je bouge Et tant volontaire on fait plaisir aux autres et ca me fait plaisir 95 Volontariat 56 Contact Maison Citoyenne Place Basse Sauveni re 1 situ e derri re l glise 6940 Barvaux sur Ourthe T l 086 219 874 E mail christine derenne durbuy be ankica selakedurbuy be julie simon durbuy be Web www maison citoyenne durbuy com Bon savoir De quel montant est l indexation des d fraiements volontaires cette ann e Les volontaires qui remplissent toutes les conditions pr vues par la loi de 2005 peu
73. es SDJ compte quatre structures implant es Li ge Bruxelles dans le Hainaut et Namur Celle de Namur est comp tente pour la province de Luxembourg Avant 1998 les demandes d aides de conseils et d informations arrivaient chez Infor Jeunes qui les transmettait au SDJ de Namur Un employ venait de tempsentemps a Arlon pourfaireune permanence Face une demande grandissante une permanence a t cr e Arlon en 1998 et qui couvre tout le territoire de toute la province Au d but nous avons commenc avec un emploi mi temps puis un temps plein Au fil du temps l augmentation des demandes a n cessit que nous affections du personnel suppl mentaire Arlon En fait il n existe pas de personnel d di officiellement pour la province de Luxembourg Nous profitons d am nagement de temps de travail de personnes qui se trouvent en place Namur pour d gager du temps de travail pour le Luxembourg Actuellement nous avons donc deux personnes qui travaillent temps plein sur le territoire luxembourgeois Le Service Droit des Jeunes ne dispose donc pas encore pleinement d une reconnaissance des pouvoirs publics Nous pouvons compter sur l appui de l Administration communale d Arlon qui nous pr te des locaux et de la Province qui nous octroie un subside En 2011 une demande d agr ment et de reconnaissance pour un service propre en province de Luxembourg a t introduite aupr s du Minist re comp tent Nous avons bie
74. es biblioth caires La biblioth que se d place galement Des animations ont t organis es avec l ASBL Arlon Centre Ville lors de l Et au parc et lors du March de No l Je vais de temps en temps avec une autre coll gue biblioth caire dans une cr che communale pour des lectures aux b b s Certaines personnes sont parfois surprises des lectures aux b b s Nous pouvons comprendre leur tonnement mais m me si nous savons pertinemment que ce tr s jeune public ne lira pas l ge de 2 ans il s agit avant tout d un veil aux livres et de susciter la curiosit Toucher et manipuler dans un bain d histoires entrent ainsi dans le d veloppement du langage Qu il s agisse d une lecture d une demi heure destination des enfants ou d un v nement de plus grande envergure tout projet n cessite de la pr paration Pouvez vous me raconter une journ e de travail Je n ai pas vraiment de journ e type car les t ches sont assez vari es s agit de voir les t ches prioritaires r aliser et d organiser son travail en fonction de cela Il y a pas mal de temps de pr paration qui passe en recherches et r p titions de lectures et sayn tes aussi bien pour les activit s r guli res que pour des v nements plus sp cifiques En fonction des demandes du groupe l atelier d expression en partenariat avec Vie f minine sur le mythe du prince charmant n cessite une recherche bibliographique importante ainsi qu
75. es de se reconstruire malgr le fait d avoir bris le couple toxique il y a toujours quelque chose qui les pousse revenir la situation de d part Dossier l est int ressant que tous les services concern s 1 et 2 lignes soient impliqu s dans la prise en charge Il faut accorder une attention particuli re chaque personne prise dans la violence et leur v cu La violence conjugale est un ph nom ne syst mique impliquant des parents et des enfants porter une attention particuli re chacun peut vraiment aider pour la suite Lorsque l auteur a la conviction qu il doit contr ler l autre il a le sentiment d avoir t injustement quitt et ne comprend pas Il se voit comme une victime et n a pas vraiment de d sir de changement L id al serait que l auteur puisse faire un travail personnel et se responsabiliser qu il puisse prendre conscience qu il a le choix de changer Le regard du r seau professionnels famille amis etc est important car lorsqu une personne est dans une dynamique de victimisation elle ne s en rend pas compte C est la raison pour laquelle l auteur isole la victime car il sait que le r seau social est une menace pour l quilibre de l organisation relationnelle pouvoir Le r seau a donc un impact consid rable sur les violences conjugales 11 R flexions et pistes d actions Les violences conjugales post s paration font partie du cycle des violences conjugales et con
76. es enfants etc Ces changements positionnent la m re victime dans un exercice galitaire de sa parentalit et marquent son alt rit par rapport l auteur Ce changement d organisation du pouvoir est mena ant pour l auteur chercher l enfant au domicile de la m re son lieu d autonomie favorise chez lui une tension qu il risque de transformer en violence La parentalit est un chantier de diff renciation La soci t peut soutenir l galit en favorisant une fronti re entre la femme m re victime et l homme p re auteur qui va permettre d assurer efficacement la protection Cette fronti re de s curit est cr e par le biais de mesures de protection dont l ordonnance de protection la MAP et le t l phone d alerte Vers une parentalit adapt e la parentalit en parallele La coparentalit dans le cadre des violences conjugales est impossible parce qu elle implique une structure de relations galitaires qui permet de n gocier ensemble pour le bien de l enfant Le mode de parentalit adapt e aux violences conjugales est la parentalit en parall le c est dire 2 monoparentalit s avec des passations s curis es de l enfant La parentalit en parall le permet de soutenir le bien tre de l enfant et sa relation avec chacun des parents en veillant la s curit et au respect de chacun Un outil de protection pour la femme victime pour l enfant et pour l auteur e En vitant les contacts phy
77. es plus souvent partag s dans la soci t De ce souhait est n le projet Ce soir softons Je u ne consomme pas forc ment qui propose sensibilisation et r flexion par le biais de diff rents outils dont le jeu ODAS ADOS Celui ci fonctionne sur base de questions inscrites sur des cartes id es re ues Celles ci sont pos es et permettent d ouvrir d Yd d am Em m am le d bat avec les jeunes qui sont donc ODAS appel s s exprimer personnellement j o sur le sujet alcool cannabis drogue J d pendances et soir es festives avant de recevoir l information correcte que l on d couvre en d pliant la carte Pour tout renseignement concernant ces 2 outils Contacter Marie SAINLEZ au 063 45 01 26 ou le Centre de documentation du CLPS Lux au 061 23 99 96 17 Coup de r tro Bienvenue en Belgique pr sentation des mallettes par l ASBL Lire amp Ecrire 18 Diverses tudes men es dans plusieurs pays industrialis s et notamment en Belgique montrent que 1096 des adultes selon la d finition de l UNESCO ne peuvent pas lire et crire en le comprenant un expos simple et bref de faits en rapport avec leur vie quotidienne LireetEcrire ASBLd Education permanente dela F d ration Wallonie Bruxelles dont l ambition est de promouvoir et de d velopper l alphab tisation dans une perspective d mancipation des personnes et de changement social vers plus d gali
78. estriellement par la Commission de R gulation de l Electricit et du Gaz Ce tarif est exprim en centimes d euros par kWh En lectricit le tarif social varie selon qu on dispose d un compteur simple bi horaire ou exclusif nuit En gaz il y a un seul tarif social La d finition de client prot g en Wallonie est plus large que la d finition au niveau f d ral Le client est consid r comme prot g s il prouve qu il ou toute autre personne vivant sous son toit b n ficie d une des allocations suivantes REGION WALLONME Clients prot ges Tout abenn client final pour sa r sidence ldem principale ou toute personne vivont sous le m me toit qui b n ficie d une d cision d octroi P du revenu d int gration i du revenu garanti ou d une allocation Idem d aide aux personnes amp g es y compris les personnes handicap es P d une allocation de remplacement de Idem revenus handicap ou d une allocation d int gration cat gories IL IIl IV eu d une allocation pour l aide d une tierce personne pour les handicap s P d une allocation d handicap la suite Idem d une incapacit permanente eu d une invalidit d au moins 65 RN j d une ollocation d attente relative aux F d ral points pr c dents Ew RW j gt d une cide sociale financi re du CPAS s il RW est est inscrit au registre des trangers avec plus une autorisation de s jour illimit et qui n large raison de s
79. et toi qu est ce que tu en penses Quand les parents ont crit quelque chose sur le questionnaire jen fais toujours part l l ve parce que c est de lui qu on parle Je crois qu en m decine on ne laisse pas assez parler Qu est ce que l entretien motivationnel l entretien motivationnel est souvent utilis en sant lorsqu on vise un changement de comportement d pendance l alcool au tabac modification de son r gime alimentaire Inspir e des travaux de Carl ROGERS cette m thode a t d crite par MILLER et ROLLNICK en 1983 Centr e sur l individu elle vise aider la personne changer de comportement en lui permettant d explorer et de r soudre son ambivalence Elle se veut plus persuasive que coercitive elle vise soutenir et accompagner plut t que de raisonner le but ultime tant d accro tre la motivation intrins que de la personne de facon ce que le changement vienne d elle m me plut t que d tre impos de l ext rieur RUBAK et al 2005 Cela fait un certain temps que vous tes m decin scolaire la sant des jeunes a t elle volu Je trouve que la sant physique va bien En province de Luxembourg la plupart du temps l tat de sant est bon sauf peut tre dans 2 3 zones o c est un peu plus d favoris o il y a une plus grande paup risation Et j ai l impression mais c est peut tre parce qu on suscite a qu ils ont plus de questi
80. eur de reprendre du pouvoir et d tre menacant car il a le sentiment qu il a tout perdu La prise d alcool ou d autres psychotropes est un facilitateur e linstauration d un cadre ex justice accro t la frustration de l auteur et augmente le risque de r ponse violente d autant plus s il s agit d une d cision qui ne lui convient pas et ou le contrarie e La re prise d autonomie de la victime est difficile vivre pour l auteur et est source de passages l acte violents En effet il s agit d un signe de sa perte d emprise et de contr le sur son ex conjointe Il semble que ce soit essentiellement le sentiment de perte de pouvoir de l auteur qui fait de ces moments des moments risques 7 Les motivations de l auteur Certains auteurs ont la volont de faire payer la victime tandis que d autres n ont pas conscience qu ils sont dans des faits de harc lement Dans ce dernier cas ils sont plut t dans la frustration d tre abandonn s et ils mettent des strat gies n fastes en place dans l objectif de r cup rer l autre La notion de vengeance appara t apr s la s paration Tu ne veux plus de mon amour je vais me venger Comment oses tu refuser ce que je te donne Suite la s paration l auteur est frustr et il ale sentiment de ne pas tre reconnu tre un mari violent mais un bon p re De plus les aspects financiers et mat riels viennent s ajouter et agissent comme d clencheurs
81. ger et s outiller Focus sur les in galit s sociales de sant en province de Luxembourg Vendredi 16 mai de 9h 15h30 Arlon Vendredi 13 juin de 9h 15h30 Bastogne Les Entr Actes du CLPS Lux moments de questionnement de r flexion et d changes sont organis s sp cialement pour les acteurs de terrain de la province par arrondissement administratif Les premiers Entr Actes propos s concernent la r duction des In galit s Sociales de Sant ISS un des axes forts en promotion de la sant l existe effectivement dans notre pays et dans notre province de grandes disparit s quant l tat g n ral de sant entre les populations Les personnes de diverses couches sociales ne disposent pas d une r elle galit des chances pour r pondre ou faire face aux accrocs de la vie Se loger acc der l ducation se nourrir correctement disposer d un revenu financier suffisant b n ficier d un environnement favorable compter sur des ressources sociales et culturelles avoir droit la justice sociale et un traitement quitable sont autant d l ments qui agissent sur la sant et ce d s le plus jeune ge En tant qu acteurs de terrain rendre accessible cette offre Sant Les objectifs poursuivis par ce jeu sont e Inviter une r flexion sur diff rents aspects du tabagisme e Susciter un change de connaissances repr sentations et d exp riences propos du tabac Sensibiliser
82. initier chez les professionnels de nouvelles mani res de travailler ensemble aux c t s de ces familles C est instaurer des collaborations troites entre des professionnels issus de disciplines diverses Dans le cas pr sent des professionnels du secteur psycho m dico social et judiciaire C est mettre en commun les ressources n cessaires pour contribuer la d sescalade des conflits dans l int r t des enfants Vingt ans plus tard on peut saluer les avantages travailler la mani re Cochem Les tribunaux sont moins engorg s les familles moins nombreuses vivre des conflits sans fin Le nombre de familles us es et pr caris es par les passages r p t s devant les tribunaux diminue Les Juges sont moins r guli rement interpell s par les parents pour trancher des questions rest es litigieuses 35 Dossier 36 Peur Tension Agitation Col re Peur re ue Constemation Tentative de contr le sur la tension des autres R mission Espoir Isolement Sacrifice suffit Passe son chemin tre Cherche ailleurs qui emb te qui Outrage Violence Actes de violence D fense Active ou passive Terreur Expnm e oumtenons e Agitation pour appeler protection ou aide Agitation en utilisant des moyens structurelsviolents Justification N gation Perte de contr le de choix Action n justifi e par la gravit de la situation N gation des responsabilit s de chacun Les accor
83. ison le fait que l enfant puisse aimer l autre parent Cela peut exacerber les crises surtout lorsque les enfants sont tr s jeunes moins de 5 ans La pr sence des enfants n amplifie pas mais ne diminue pas la violence conjugale Pour l auteur l enfant est outil mais pour la victime il est le d clencheur de la rupture la raison de mettre fin au climat de violence car les victimes ne veulent pas que leur enfant souffre Il est galement un moteur pour aider les victimes garder la t te haute ne pas fondre dans la d pression si je lefais c est pour mes enfants Un enfant peut tre un moteur pour pousser ces femmes consulter Lorsqu il y a eu violence physique dans le couple la m re ressent un sentiment d injustice lorsque l auteur peut disposer d un droit d h bergement de l enfant Elle a peur qu il se fasse frapper L enjeu pour les partenaires est alors de sortir de la conjugalit et de construire une parentalit ind pendante 10 Pr requis l intervention A l heure actuelle on parle facilement de violence conjugale notamment via les m dias qui permettent une certaine prise de conscience Le syst me nomme et d nonce la violence conjugale Ainsi le seuil de tol rance diminue et les victimes peuvent identifier ce qu elles vivent La violence n est pas toujours verbalis e clairement mais des probl mes li s la s paration sont mentionn s Certaines personnes consultent car elles sont incapabl
84. lairer sur le sujet de lire Benoit BASTARD dans le temps d arr t n 68 de Yapaka Un conjoint violent est il un mauvais parent Je propose de vous partager les points de vue que j ai adopt s ceux que j ai tent d int grer Il me semble qu avant d aller plus loin il serait bon de planter rapidement le d cor afin de s entendre sur ce que signifie pour moi mod le de Cochem et violence conjugale Ce mod le d intervention dit de Cochem nous arrive d une 5 http www yapaka be sites yapaka be files publication ta 68 parent violent mauvais parent web pdf Dossier ville allemande de Rh nanie C est parle nom dela ville dont il provient que le mod le s est fait conna tre Ursula KODJOE la psychologue l initiative de cette pratique d intervention lui pr f re le vocable de mod le de coop ration parentale ordonn e terminologie qui illustre mieux ce que l approche qu elle a d velopp e en collaboration troite avec un juge et un avocat veut mettre en ceuvre TX IN ONDE dues Wr IDE EPFL Retrouvez un texte d Ursula KODJOE dans le livre Fruits de l amour ou pommes de discorde disponible en pr t au Centre de documentation du SEDS Qu est ce que la collaboration ordonn e C est la mise en ceuvre d un cadre juridique qui oblige les parents collaborer pour trouver les meilleurs accords possibles pour qu ils d finissent ensemble le cadre de vie de leurs enfants C est aussi
85. loisirs musicaux et artistiques a contribu cette pr paration Mais si j avais d me contenter de ma formation de base cela n aurait pas t suffisant En outre c est un m tier pour lequel il est n cessaire de se former continuellement afin de conna tre les multiples outils d animation les publics et les diff rentes m thodes de gestion de la dynamique de groupe Il est galement tr s enrichissant d changer des pratiques professionnelles avec d autres personnes 2 Pour en savoir plus sur la l gislation qui r git les biblioth ques en F d ration Wallonie Bruxelles F d ration Wallonie Bruxelles Les biblioth ques 2013 En ligne http www bibliotheques be index php id 9230 consult le 18 02 2014 Socialement v tre 52 Pour vous quelles comp tences constituent des atouts pour exercer votre m tier Etre flexible et pouvoir s adapter aux diff rents publics et leurs demandes improviser quelque chose car ce qui avait t pr par ne prend pas toujours Sans pour autant r pondre TOUTES les exigences sinon on ne s en sort plus Il faut disposer de bonnes capacit s relationnelles tre sympathique Pouvoir se remettre en question et accepter la critique quand certaines animations ont moins bien fonctionn que d autres ce dont nous sommes inform s gr ce aux valuations r alis es par le public I faut parfois pouvoir accepter de s tre beaucoup investie dans la pr paration
86. m re et le lieu d exercice du droit de visite du p re Cela permet d viter tout contact entre la m re et le p re auteur de violences et permet en outre l enfant de sexprimer librement avec un tiers Le tiers est un e accompagnant e de l ge des grands parents retrait e qui re oit un d fraiement et qui a une exp rience professionnelle dans le social La mise en uvre est confi e une association qui intervient la fois dans la protection de l enfance et avec des groupes de parole pour hommes violents A la demande des JAF de Seine Saint Denis la MAP a t tendue aux femmes victimes de violences ne b n ficiant pas de l ordonnance de protection mais pour lesquelles l auteur de violences exerce des pressions au moment de l exercice du droit de visite 6 mois reconductibles Les Juges aux Affaires Familiales ont tout de suite t int ress s par le dispositif qu ils utilisent lorsque le p re a t violent avec la m re mais pas avec les enfants D roulement de la mesure Le Juge des Affaires Familiales peut donc attribuer une MAP aux victimes de violence dans le couple pour s curiser les droits de visite Les parents peuvent avoir t mari s pacs s ou avoir v cu en concubinage Le lieu de visite peut tre le domicile du p re ou le domicile d un proche du p re ou bien un point rencontre Les deux parties acceptent la MAP en signant un document de contractualisation Dossier 40 Si un
87. n qu il s agissait de la bonne mani re de fonctionner en couple La s paration repr sente une rupture de ce consensus implicite et donc une atteinte l quilibre conjugal La victime souhaite se diff rencier mais elle sait que cela engendrera de la frustration chez l auteur donc elle h site De plus elle est fragile isol e et centr e sur l autre ce qui rend son d part difficile Dans d autres cas la rupture fait suite un pisode de grande peur danger pour la victime ou pour les enfants lors duquel le niveau de gravit est sup rieur aux pisodes pr c dents La r gle implicite est d pass e par l auteur Souvent ce d passement concerne la violence sur les enfants lorsque le parent est convaincu que son enfant est en souffrance il s agit du premier motif de s paration La p riode post s paration Apr s la rupture la violence ne s teint pas et on peut alors parler de violence conjugale post s paration Certains moments sont risques il s agit de moments o l auteur a un sentiment de perte de pouvoir comme lors des rendez vous judiciaires des n gociations impossibles pour un auteur de violence conjugale d alcoolisation ou encore de reprise d autonomie de la victime La relation d emprise peut perdurer des ann es et ceci est surtout vrai lorsqu il y a des enfants En effet ces derniers maintiennent le lien entre les ex partenaires qui doivent passer d une relation conjugale une relati
88. n qualit de propri taire et titre de r sidence principale le logement e Etre inscrit au registre de la population l adresse du logement au plus tard au moment de la mise en liquidation de la prime e Lelogementadapt ne peut tre propos la location vendu chang donn ou incorpor dans une soci t Lorsque le b n ficiaire est locataire du logement objet de l adaptation il ne peut mettre fin sa location et ce durant une p riode de 3 ans except pour des raisons de sant entr e en R sidence service Maison de Repos ou logement plus adapt la perte d autonomie Documents requis Un certificat de r sidence pour le b n ficiaire d livr par l Administration communale e Une composition de m nage du b n ficiaire e Un devis d taill des am nagements effectuer e Le rapport du Service Conseil habilit l adaptation du logement d sign par la Wallonie Handyinfoam nagement Web www handyinfo be ou t l 081 777 100 Solival Antenne du Luxembourg Web www solival be ou t l 070 221 220 e l avertissement extrait de r le et les preuves de revenus des 3 mois pr c dant la demande du des b n ficiaire s et des personnes vivant dans le logement adapt e Une preuve du montant du loyer ou de la mensualit hypoth caire du logement e L accord crit du propri taire d effectuer les am nagements si le logement est un bien lou e Le cas ch an
89. n recu un accus de r ception et nous attendons toujours Peut tre qu avec la fin de la l gislature qui approche les choses vont se d bloquer aupr s du Cabinet de la Ministre de l Aide la Jeunesse Nous sommes dans une situation d licate on doit le reconnaitre Pour le moment nous avons beaucoup de travail on est amen s se d placer tr s souvent nous ne disposons pas de locaux adapt s Nous prestons aussi des permanences dans diff rentes localit s de la province comme Marche Libramont Bastogne Nous avons des frais de d placement qui explosent Pour une AMO le territoire que nous avons Couvrir est assez norme Voil en quelques mots les difficult s actuelles que nous rencontrons A l avenir vous pensez que vous aurez encore plus de travail Oui on le constate d j L outil juridique entre de plus en plus dans les Services qui tiennent vraiment compte de cet aspect l Les situations rencontr es par les jeunes et leur entourage sont de plus en plus compliqu es M me si la m diation est fortement pr sente et que plein de choses sont tent es pour r gler la situation nous arrivons souvent en fin de parcours un peu en dernier recours C est alors l que des moyens plus durs sont utilis s On essaye toujours la n gociation Ainsi nous avons de plus en plus aussi de situations d exclusions scolaires d j m me dans le fondamental Dans le domaine de l aide sociale galement nous devon
90. nale La protection des femmes comme priorit La MAP a t retenue dans la Loi du 9 juillet 2010 Cette nouvelle loi a mis en place l ordonnance de protection qui prend en compte l impact des violences sur les enfants pour la 1 re fois les enfants sont pens s comme des victimes directes des violences conjugales Une loi qui reconnait la dangerosit des hommes violents Art 515 9 Lorsque les violences exerc es au sein du couple ou par un ancien conjoint un ancien partenaire li par un pacte civil de solidarit ou un ancien concubin mettent en danger la personne qui en est victime un ou plusieurs enfants le Juge aux Affaires Familiales peut d livrer en urgence cette derni re une ordonnance de protection Mesure centrale de la Loi l ordonnance de protection vise prot ger les victimes avant ou apr s un d p t de plainte pour violences que l agresseur ait t condamn ou non Elle doit tre demand e par la victime aupr s du Juge aux Affaires Familiales JAF accompagn e d l ments qui permettent au JAF d estimer le danger et la vraisemblance des violences d nonc es Valable 4 mois elle peut tre reconduite Son non respect constitue un d lit qui peut entrainer la r vocation d une peine avec sursis La protection comme priorit L originalit de cette mesure est de mettre disposition des victimes un outil qu elles adaptent leur situation en formulant leurs demandes
91. nt inaccessible aux personnes sourdes des coordonn es sp cifiques ont t mises en place fax mail et SMS Dans le souci d encore am liorer l accueil des personnes sourdes dans le secteur de la sant le SAHMO Surdit va r aliser un guide destination du corps m dical et des patients concern s Mon m decin les week ends et jours f ri s Ce guide a pour objectif de faciliter la communication diminuer les malentendus et les frustrations Il sera visuel et pratique Les termes m dicaux du guide seront galement traduits en anglais afin que les personnes d origine trang re puissent l utiliser Les personnes laryngectomis es pourront aussi en profiter l int r t de toucher un maximum de personnes est donc r el Contact 7 3 ahma Province de Luxembourg DHAMO Rue Z nobe Gramme 30 6700 ARLON T l 063 212 407 Email sahmo province luxembourg be Web www province luxembourg be 27 Handicap l coute des Sourds le 16 mai 2014 Cette matin e organis e par le SEDS a pour but d apporter des pistes des outils des r flexions avec comme objectif une meilleure inclusion des personnes sourdes au sein de notre soci t Nombreux sont les quiproquos ou les situations cocasses auxquels les personnes sourdes sont confront es au quotidien Vous aurez l occasion durant cette s ance d assister des sayn tes th trales des t moignages et de rencontrer des invit s qui
92. nt l amener se centrer sur elle m me et sur ses propres besoins qu elle r apprenne voir travers ses propres yeux I s agit galement pour elle de comprendre les m canismes d emprise cela implique de travailler sur le mythe fondateur du couple sur le deuil sur les croyances sa d finition d une pouse il s agit en somme d aider la victime reprendre du pouvoir sur sa vie personnelle et sociale Pour l auteur il est important de lui faire prendre conscience de sa fragilit afin qu il ne fasse pas porter l autre la responsabilit de ses blessures Il est galement important de travailler sur ses r actions intentions et comportements et sur les inconv nients tre violent Pour tout cela travailler en quipe pluridisciplinaire est un atout Quelle application possible du mod le de Cochem dans les situations de violence conjugale Par Mme Anne Elisabeth COLAS Psychologue Coordinatrice de l ER d Arlon Oasis Famille ASBL Dans le cadre de la campagne ruban blanc 2013 Jean Marc HERBIET m a demand de partager mon point de vue sur la question Quelle application possible du mod le de Cochem dans les situations de violences conjugales J ai choisi de le faire partir du regard singulier qui est le mien celui qui s est forg au d part de ma pratique professionnelle Assistante sociale et psychologue de formation j ai eu l occasion de travailler durant cinq ans dans le domaine de
93. on Veille Cette derni re a pour but d organiser des s ances d information l attention des a n s Les s ances de cette ann e sont d j planifi es et aborderont diff rents th mes La premi re a eu lieu le 20 mars au Palais Abbatial de Saint Hubert et a remport un franc succ s Le th me de cette premi re conf rence tait L Espace Public Num rique un acc s citoyen au num rique Gilles HERMAN et Geoffrey ROBERT tous deux formateurs num riques ont permis de d couvrir l EPN de la Province de Luxembourg dont la particularit est sa mobilit Cela lui permet d aller la rencontre du public l o il se trouve et de rendre ainsi encore plus ais l acc s aux nouvelles technologies car un des objectifs de l EPN est de favoriser la participation citoyenne de tous la soci t de l information Les EPN mettent disposition du public du mat riel informatique l acc s Internet mais aussi et surtout ils offrent la possibilit de se former et de b n ficier de conseils quant son utilisation Bien vieillir Si les am nagements ou le co t des am nagements ne correspondent pas ou ne correspondent que partiellement au devis initialement transmis la prime pourra tre supprim e ou diminu e en fonction des am nagements r alis s et de leurs co ts Contact Province de Luxembourg Service provincial Social et Sant Service des Interventions sociales Square Albert 1er 1 6700 ARLON
94. on un enfant de premi re maternelle rentre la maison avec un tr s beau bricolage pour la f te des m res Lorsqu il entre en deuxi me maternelle l enfant change d institutrice donc aussi de m thode et lors de la f te des m res il r alise lui m me un bricolage qui est moins beau et moins fini que celui de l ann e pr c dente Pourtant l institutrice a vraiment voulu bien faire et cette situation a des cons quences insoup onn es sur l estime de soi de l enfant Ca joue aussi sur le regard que les parents ont sur leur propre enfant Oui ce type d enjeu ca se travaille tr s t t d s l enfance Vous tesassistantesociale enseignanteetcriminologue Qui sont les travailleurs sociaux de demain Ce qui me frappe d embl e c est que les tudiants d aujourd hui sont tr s diff rents de ceux d hier Les rep res au niveau de l autorit ont chang L assistant social de demain doit faire preuve d humilit et de respect vis vis de la personne qui fait appel l aide Il ne doit pas se situer dans une position de sup riorit C est une question d attitude avoir En restant humble on apprend consid rer qu une situation n est pas blanche ou noire Il faut prendre le temps d examiner tous les param tres les v rifier et les contr ler alors la r ponse apport e sera plus juste Et aussi apprendre g rer ses motions Il faut avant tout avoir une attitude professionnelle et un certain point de vue par rappor
95. on de Lutte contre la Pau vret 133 rue Chapuis 4100 Seraing Croix Rouge de Belgique D ARGE LN EN ONT PAS tw x E PEU En tant que volontaire AOUS VOUT poser Danois oette question 7 AN seres GCROICROUGE Ir TH Une initiative de En parterariat avec d Fondation b ini Baucou n STATE TE OA RTE m nime L da de Bslgic e Quoi de neuf LEPN un outil de lutte contre l exclusion sociale m dias L EPN de la Province de Luxembourg fait d sormais partie du Service provincial Social et Sant Et c est tant mieux car ce Service dynamique d veloppe une mission haute valeur sociale former et informer briser l isolement duquer aux Comme on peut le lire sur le site de l Atelier du Web Avant tout il s agit de lutter contre la fracture num rique petite sceur de la fracture sociale Lorsque l on ne peut acc der l information on n est plus libres ni gaux socialement L EPN de la Province de Luxembourg a pour objectif de permettre tous les citoyens d avoir acc s aux Technologies de l Information et de la Communication sur le territoire provincial L EPN est labellis Espace Public Num rique de Wallonie et respecte d s lors la charte qui dresse le cadre de travail et les services propos s L EPN organise des formations et de l acc s libre tous publics tudiants professeurs demandeurs d emploi personnes g es
96. on uniquement parentale l auteur de violence conjugale a tendance pr senter de la jalousie extr me et il pose des questions l enfant sur sa m re L enfant qui sait comment son p re peut r agir en cas de frustration ne s y oppose pas mais se sent d loyal envers sa m re Apr s la s paration les enfants sont un pr texte pour le passage l acte violent Ils peuvent adopter diff rents r les e arbitre entre leurs parents e pression pour tre parfaits e identification l auteur e confident soutien de la victime Apr s la s paration il y a s paration entre la conjugalit et la parentalit Ces derni res ont des fonctions diff rentes mais le mode d interaction est le m me vertical rigide Sur ce mode les changes entre les parents sont difficiles voire impossibles La relation entre l enfant et son parent victime est mise mal car cette derni re se trouve dans une conomie de survie due au climat de violence qui peut comme nous 3 Propre au couple il s agit de la limite de la victime 4 Egalement possibles lorsqu il y a violence conjugale avant la s para tion l avons vu mener au drame Elle craint pour sa vie et cela prime sur l conomie de d veloppement Elle est donc indisponible pour les besoins de son enfant Il en est de m me pour le p re auteur qui est gocentrique et centr sur lui m me En pratique En tant qu intervenant il est important de
97. onne un couple La victime reconna t aux attitudes de son conjoint s il va y avoir violence elle apprend tout d tecter I s agit de la notion de co apprentissage qui est au centre les partenaires apprennent se connaitre et un consensus relationnel rigide se met en place l un adopte une position haute et l autre une position basse 31 Dossier Dans cette configuration les places ne bougent pas et tout mouvement de diff renciation est per u comme mena ant L organisation est verticale Apr s la s paration il y a rupture dans ce consensus Le plus souvent c est la victime qui quitte l auteur Il peut y avoir deux processus e Dans un premier cas de figure il s agit d allers retours car tout se vit dans la relation amoureuse Pour celui qui veut partir il est difficile de mettre tout en place avant de quitter par suite d une situation de pr carit d un manque de libert ou autre Egalement le lien qu il soit affectif ou mat riel l emp che de partir La rupture peut se faire contrec ur et il peut y avoir des sentiments tr s contradictoires je ne peux plus continuer mais je l aime Entre le moment o la relation se d t riore et la rupture il peut se passer des ann es En effet la victime doit faire le deuil d une relation o elle s est investie avec quelqu un qui elle tait attach e De plus la victime est fragilis e centr e sur l autre et n est donc pas dans une position id
98. onnes plus loign es de la lecture Quels objectifs vous sont fix s Les objectifs sont les suivants favoriser la mixit sociale et culturelle susciter des pratiques d change de r flexion et de d couverte maintenir l ancrage dans le territoire et la soci t permettre une identification comme un service documentaire et un acteur culturel et d velopper des pratiques culturelles sur le territoire 1 SIEP M tiers Animateur socioculturel Animatrice socioculturelle 2014 En ligne http metiers siep be metier animateur socioculturel animatrice socioculturelle consult le 13 02 2014 Comment fonctionne l quipe de travail laquelle vous appartenez Marianne GOURDANGE est la Biblioth caire chef de service L ensemble du personnel qualifi est financ par la F d ration Wallonie Bruxelles la Wallonie et la Commune Il y a galement une intervention de la Province L quipe pluridisciplinaire g e de 32 55 ans est compos e de 9 personnes soit un quivalent de 6 2 temps plein Mes 7 coll gues ont le dipl me de biblioth caire Mon autre coll gue animateur est cin aste je suis dipl m e en arts et sociologie de la culture Nous sommes une quipe polyvalente o chacun met la main la p te et apporte ses connaissances Les biblioth caires ont chacune leurs sp cialit s soit une biblioth que conomique confi e chaque membre la gestion des acquisitions des revues les r servation
99. ons sur leur sant qu avant Quel est votre meilleur souvenir en tant que m decin du Service PSE J ai eu une fois une maman qui est venue me trouver au centre de sant il s agissait d une famille de deux enfants qu on avait suivis et aid s pour des probl mes de p diculose r cidivante Une famille vraiment tr s d favoris e On les avait recus ici et donc j avais pris le temps qu il fallait pour leur expliquer comment on se d barrasse des poux et tout ce qu il faut faire que ce n est pas facile et qu il faut pers v rer Ils taient venus 2 3 fois montrer les enfants Vous vous tes le docteur de la sant Et a allait beaucoup mieux et puis on avait rassur l cole sur la prise en charge et j avais dit la maman Vous n h sitez pas si vous avez encore des questions vous venez quand vous voulez Et un jour peut tre six mois apr s elle est venue et elle m a dit est ce que vous pourriez me remplir le document des allocations familiales parce qu en fait vous vous tes quand m me le docteur de la sant et moi je ne peux pas demander ca mon m decin traitant lui il soigne les maladies C tait une phrase qui m a vraiment fait plaisir C tait sympa un peu r v lateur Je me suis dit ben tiens on n est pas toujours mal percus A 60 ans vous pensez parfois l apr s pension Je crois que je ferai de plus en plus de choses moi m me J adore cuisiner j
100. ool le sport les crans des questions libres galement Et donc en fonction de ca on a parfois des demandes int ressantes qui ne seraient pas sorties si on n avait pas eu ce questionnaire donner Et comme on pr cise que c est anonyme qu on n en dira rien aux parents c est un temps de parole pour les jeunes Vous avez suivi une formation l entretien motivationnel l utilisez vous dans votre pratique Ah oui avec les ados ca marche assez bien Je l ai test dans plusieurs domaines notamment le surpoids Je trouve que les laisser parler apporte beaucoup plus que de donner des conseils C est eux qui trouvent les solutions et je trouve ca tr s int ressant C est une m thode qui colle assez bien avec votre philosophie Gr ce cette formation l entretien motivationnel je laisse plus parler Je crois qu en m decine on ne laisse pas assez parler Apr s ca marche bien avec les ados mais ca ne marche pas comme ca avec les plus petits videmment Avec les enfants quel que soit l ge m me trois ans d ja je ne dis jamais quelque chose aux parents que je n ai pas expliqu aux enfants Je trouve ca normal Parfois j ai des remarques de parents qui ont des inqui tudes sur la sant de leur enfant et c est presque entre parenth ses ne lui dites pas Moi je ne comprends pas ca alors apr s l entretien je dis Tiens ta maman s inqui te par rapport ton poids ou par rapport
101. parmi 8 possibilit s 1 Interdiction pour l agresseur d entrer en relation avec elle OU ses enfants 2 Interdiction pour l agresseur de d tenir ou de porter une arme R sidence s par e du couple 4 Attribution du logement familial la victime s Dossier 5 R vision des modalit s de l autorit parentale de la contribution aux charges de la famille et l ducation des enfants et des modalit s d exercice du droit de visite 6 Autorisation faite la victime de dissimuler sa nouvelle adresse au conjoint violent Admission provisoire de la victime l aide juridictionnelle 8 Interdiction de sortie du territoire en cas de menace de mariage forc p La Loi pr cise Lorsque l int r t de l enfant lecommande ou lorsque la remise directe de l enfant l autre parent pr sente un danger pour l un d eux le juge en organise les modalit s pour qu elle pr sente toutes les garanties n cessaires Il peut pr voir qu elle s effectue dans un espace de rencontre qu il d signe ou avec l assistance d un tiers de confiance ou du repr sentant d une personne morale qualifi e Permettre l exercice du droit de visite dans un contexte de violences conjugales Le dispositif d accompagnement prot g pr voit donc l accompagnement de l enfant par un repr sentant d une personne morale qualifi e c est dire un professionnel form association lors des d placements entre le domicile de la
102. pas de cas o la fille ou le garcon aussi mais dans une moindre mesure part de chez elle On constate que pas mal de parents mettent leur enfant en difficult et coupent le r seau familial Il apparait en effet et on ne peut pas le chiffrer que dans les familles en recomposition l apparition d un nouveau conjoint puisse provoquer parfois une situation de crise et de rupture Cela n est pas sans cons quences notamment au niveau scolaire ou professionnel Heureusement pour le jeune leur r seau social joue Il va chez un ami durant un petit temps puis chez un autre Ce type de situation arrive chez nous assez tard dans le processus Il y a parfois une autre difficult c est l ge des jeunes En cas de mesure de placement ceux ci sont parfois proches de la majorit et donc certaines institutions n en veulent plus Au niveau de l aide sociale aussi nous avons pas mal de dossier Certains jeunes entrent en conflit avec leur CPAS ou se font expulser de leur logement Que r pondez vous ceux qui pr tendent que les jeunes ont trop de droits On nous le dit moins Au d but lorsque nous allions nous pr senter aux partenaires aux autorit s c tait une r flexion habituelle Alors s appeler Service Droit des Jeunes c est une accroche En fait on remarque que les droits sont peu connus m me au niveau des Services et des avocats g n ralistes par exemple Je pense qu il n est pas possible de faire du travail social
103. pr s quelques unes les faits les plus graves surgissent pr cis ment apr s la s paration Compar e une femme mari e une femme s par e a une probabilit de subir des violences conjugales 30 fois plus lev e et une femme divorc e 9 fois plus lev e BROWNRIDGE 2006 cit par ROMITO 201 1 p 90 3 Caract ristiques de la violence post conjugale Il ne semble pas y avoir de lien direct entre la violence conjugale post s paration et l existence de violences conjugales avant la s paration mais la plupart des professionnels s accordent pour dire qu un climat relationnel particulier devait d j tre pr sent dans le couple Il semblerait qu on parle de violence conjugale post s paration lorsque la violence pr existait dans le couple et de s paration conflictuelle lorsqu il y a conflit suite un deuil douloureux garde des enfants maison etc Il est possible dans le premier cas qu il y avait auparavant un lien de subordination dans le couple A ce moment la victime vitait la violence physique mais son d part rupture provoque alors la violence chez son partenaire car le lien de subordination se disloque La violence physique le harc lement verbal la violence conomique les violences sexuelles peuvent co exister Parfois la violence se transforme apr s la s paration s il y avait de la violence physique avant celle ci elle diminue en raison de la distance physique entr
104. pr senteront leurs r alit s En fin de matin e nous r fl chirons ensemble aux am nagements pratiques et quelques id es de bon sens favorisant l accueil des personnes sourdes au sein de vos services de vos institutions Le programme de cette s ance d information a t labor par le Service SAHMO Surdit et la Maison des Sourds de la province du Luxembourg Toute la matin e sera traduite en langue des signes avec la pr sence du Service d Interpr tation des Sourds de Wallonie Le Vendredi du Social aura lieu le vendredi 16 mai 2014 au Palais Abbatial Saint Hubert Contact et inscription Province de Luxembourg Service provincial Social Sant Service d Etudes et de Documentation Sociales Square Albert 1er 1 6700 ARLON T l 063 212 236 E mail das province luxembourg be 28 Dossier La violence conjugale post s paration une r alit bien pr sente Vous trouverez ci dessous les textes des diff rentes interventions de la journ e de r flexion organis e par le Service provincial Social et Sant et plus particuli rement l Axe Violence du Service Egalit des Chances Cette initiative a t organis e avec le soutien de l Institut pour l Egalit des Hommes et des Femmes de la Wallonie de la F d ration Wallonie Bruxelles et de la Province de Luxembourg e Pr sentation des conclusions d une tude de l ULg sur la violence conjugale post s paration par Mme Kathleen ADELAIRE Pan
105. pressions et pisodes d pressifs troubles mentaux ou du comportement difficult s li es l enfance r actions face un facteur de stress important troubles anxieux Un peu moins d un quart des dossiers concernaient des enfants 0 11 ans 13 1196 des adolescents 12 17 ans 59 7996 des adultes 18 59 ans et 3 0396 des personnes de 60 ans et plus Les personnes ayant b n fici des services y ont parfois t encourag es par d autres personnes parmi lesquelles l entourage 11 31 le milieu scolaire 5 3 les services sociaux 3 2696 le monde de la jeunesse et de la justice 8 5196 le secteur des soins 14 5196 des services en lien avec le handicap le secteur de la sant mentale 15 50 La dur e moyenne des prises en charge se r partit comme suit moins d un mois 19 8996 de 1 3 mois 28 29 de 4 5 mois 10 8396 de 6 mois 1 an 13 1796 plus d un an 27 8296 Les Clubs th rapeutiques Int gr s au fonctionnement d un Service de Sant Mentale les Clubs th rapeutiques disposent de leur propre lieu d accueil et proposent des activit s ayant pour objectif de permettre des usagers souffrant de troubles psychiatriques ou psychologiques s v res ou chroniques de se stabiliser au fil du temps ou d acc der aux soins Comme dans le cas des Services de Sant Mentale du profil de l quipe d pendent les activit s propos es En province de Luxembourg les activit s et l ac
106. qui sera particuli rement marqu Bruxelles et dans les grandes villes wallonnes Objectif atteindre un taux de couverture 0 2 5 ans de 40 796 en 2022 sur l ensemble du territoire de la F d ration Wallonie Bruxelles En moyenne chaque ann e 1 600 places seront cr es pendant la dur e du contrat de gestion Un param tre navetteurs sera pris en compte pour une r partition plus juste des places En outre le Plan Cigogne 3 sera accompagn d une programmation d infrastructures d accueil de la petite enfance financ e hauteur de 56 000 000 dans le cadre du Plan Marshall 2 Vert Il aura galement des retomb es en termes d emplois L ouverture de nouvelles places d ici fin 2014 permettra d engager environ 570 encadrantes D ici 2022 ce sont au moins 3 555 nouveaux travailleurs qui pourront trouver un emploi gr ce la cr ation de ces nouvelles places Renforcement de l accueil pour les 3 12 ans Pour les enfants g s entre 3 et 12 ans le contrat de gestion pr voit de d velopper l accueil durant leur temps libre que ce soit dans les coles de devoirs ou les centres de vacances Ainsi les formations am lior es seront renforc es l ONE veillera mieux collaborer avec les acteurs de terrain et des outils de r f rence l attention des professionnels seront cr s Autre priorit du contrat de gestion soutenir les publics en situation de vuln rabilit Pour aider les familles les plus vuln
107. rendettement Grand Rue 4 BP2 6630 MARTELANGE T l 063 602 086 Fax 063 434 925 Internet www gaslux be Service juridique tous les jours de 9h00 12h00 par t l phone ou tous les jours par fax par mail francoise collin gaslux be ou marie noelle plumb gaslux be Service pr vention prevention gaslux be Consom action B Cat gories r gionales de clients prot g s Pour b n ficier du tarif social r gional il est obligatoire d tre fourni par le fournisseur social GRD et de lui trans mettre annuellement le document attestant de la qualit de client prot g l attestation remettre est un formulaire type compl ter soit par le CPAS soit par le centre agr de m diation de dettes soit par le m diateur de dettes d sign Si la personne qui ouvre le droit au tarif social n est pas le titulaire du compteur une composition de m nage doit tre jointe l attestation Le gestionnaire de r seau de distribution est tenu d accuser r ception dans les 5 jours ouvrables du document transmis parle client et de lui pr ciser si le tarif social lui est applicable Les formulaires d attestations sont disponibles sur le site de la CWAPE www cwape be ou sur le site des GRD Mode d emploi 12 La tutelle des enfants mineurs Le principe veut que ce soient les parents qui exercent l autorit parentale vis vis de leurs enfants Cependant il se peut que pour diverses raisons les parents
108. rlon forem be Le lundi de 13h30 16h00 le mardi de 13h30 16h00 le mercredi de 13h30 16h00 le jeudi de 9h30 12h00 et de 13h30 15h30 le vendredi uniquement par t l phone ou sur rendez vous CEFo Marche en Famenne Rue Victor Libert 1 6900 Marche en Famenne T l 084 245 861 Fax 084 245 899 Email carrefouremploiformation marcheaforem be Le mardi de 9h00 12h00 et de 13h30 16h00 le jeudi et le vendredi de 9h00 12h00 La Maison Citoyenne de Barvaux OProvince de Luxembourg Christine DERENNE Responsable de la Maison Citoyenne Quelle est l origine de cette Maison Citoyenne A la base il s agit d une initiative du Plan de Coh sion Sociale dela Commune de Durbuy Une fiche projet a t rentr e afin de cr er un lieu de rencontre au centre de Barvaux ouvert tous et poursuivant galement des objectifs multiculturels et interg n rationnels La Commune a alors affect ce b timent la Maison Citoyenne Et tr s vite nous avons commenc mettre en place des ateliers et des activit s D abord un bar soupe appel Bols et compagnie a t propos Notre cheval de bataille est le partenariat car seul on ne peut pas faire grand chose Pour confectionner la soupe nous nous sommes associ s avec l ACIS Clairval et plus particuli rement le Service l M diat l ASBL Socrates et ses jardins solidaires L objectif est d offrir de la soupe fabriqu e la main si je puis
109. rs oui je suis b n vole mais je suis b n ficiaire de leur confiance Avant j tais secr taire aide comptable Ensuite j ai t commercante Mon activit s est arr t e Je suis venue ici en tant que b n ficiaire dans un premier temps ensuite j ai propos une activit et ca a commenc comme ca Christine de Barvaux Animatrice b n vole de l atelier couture Jesuisoriginairede Bruxelles J aitravaill commeind pendante dans le pr t porter pendant de nombreuses ann es J ai aussi t couturi re durant onze ans Pour l animation de l atelier je pr vois chez moi le mod le type je pr pare d j un minimum A chaque s ance on apprend une nouvelle technique C est important d entretenir la pratique chez les participants Ce qui moi me motive le plus c est de transmettre cette notion de fiert d avoir r alis quelque chose soi m me Certains poursuivent les travaux chez eux et y r alisent encore des choses Ils sont alors aussi tr s contents de me montrer ce qu ils ont fait Les ateliers se donnent deux fois par mois Parole de B n ficiaires Anonyme Cest la deuxi me fois que je viens J aime le bricolage Je trouve que c est plus amusant plusieurs C est important de rester en contact avec les gens et puis j aime aussi c toyer des personnes d autres milieux C est aussi pour le partage que je viens ici je n aime pas quand on reste chacun chez soi Ga lle Moi ca fait 2 mois que je vi
110. s 39 3 6740 ETALLE T l 063 572 447 Email lespetitssoinsdelenclos gmail com Web www petitssoinsdelenclos com Service de soins domicile Docs en stock Sites Internet Justice les peines de travail Le SPF Justice lance un nouveau site internet qui centralise toutes les informations concernant la peine de travail Ce site vise mieux informer les personnes condamn es une peine de travail les magistrats ainsi que les services qui souhaitent offrir un lieu de travail Par ailleurs toute personne qui d sire en savoir plus sur le sujet tant au niveau du contenu que de l ex cution de la peine de travail peut y trouver les informations recherch es La peine de travail implique que des personnes consacrent gratuitement entre 20 et 300 heures de leur temps libre a un travail r alis au profit de la soci t La peine de travail est une peine dans la communaut elle est donc ex cut e dans par et pour la collectivit Cette peine peut tre ex cut e dans de nombreux endroits la cuisine d un restaurant social un refuge pour animaux des associations de d fense de la nature des biblioth ques des h pitaux des coles des auberges de jeunesse www peinedetravail be En 2013 9 850 nouvelles peines de travail ont t prononc es ce qui repr sente une augmentation par rapport aux ann es pr c dentes La peine de travail est en moyenne achev e dans l ann e qui suit la condamnation
111. s membres s auto g rent Chaque famille membre participe Il y a diff rentes responsabilit s prendre notamment en mati re d informatique de distribution de contact avec les fournisseurs c est de la gestion volontaire Dans le SEL ce qui motive c est le fait de rendre le service et aussi tisser du lien social Cette Maison Citoyenne est un endroit d impulsion de mobilisation citoyenne quelle que soit son expression ou son appellation La notion de coresponsabilit est primordiale pour la r ussite de l action men e et la qualit relationnelle entre les intervenants Les besoins point s par la population se transforment en projets concrets men s b n volement la suite de quoi le pouvoir politique suit le mouvement ou pas Volontariat Paroles de Citoyens Annie de Septon Ma principale motivation c est de participer l ambiance qui Animatrice b n vole de l activit cr ative r gne ici C est aussi l esprit de partage Les participants aiment bien venir mes animations ils en redemandent Ce sont souvent les m mes qui participent aux animations On essaye malgr tout de laisser les ateliers ouverts Au fur et mesure on adapte les bricolages en fonction des participants Chacun a son style et je pars du principe de toute facon que le r sultat sera beau C est important de faire travailler leur imagination et leur cr ativit Je n impose pas de mod le pr cis je ne veux pas figer l activit Alo
112. s violences conjugales au CVFE Collectif contre les violences familiales et l exclusion Li ge Durant cinq autres ann es j ai accompagn les travailleuses m dico sociales de ONE en province du Luxembourg dans la gestion de situations risques ou de maltraitances av r es Durant ces dix derni res ann es et ce sera probablement principalement de l que je vais vous partager mon point de vue j ai eu l occasion d accompagner des familles en rupture de liens g n ralement des familles vivant des situations de s parations dites de haut conflit La parole que je porte est celle qui se forge au travers des exp riences d accompagnement de familles qui transitent au sein du service que je coordonne Oasis Famille l Espaces Rencontres d Arlon Si l on se place du point de vue des travailleurs qui uvrent chaque jour la question du maintien et de la reconstruction du lien on aurait tendance r pondre Oui le mod le de Cochem est applicable aux situations de violences conjugales Si la m me question est pos e aux professionnels du secteur de la violence conjugale la tendance sera probablement de r pondre non en soulignant qu il est difficile pour une victime de prendre une parole claire et affirm e face quelqu un qui a fait usage de violence pour imposer sa volont Il semble que la r ponse cette question se trouve quelque part dans l entre deux Il peut tre int ressant pour vous c
113. s d accorder d optimaliser les occasions de changement Adopter des attitudes collaboratives quitter la m fiance r ciproque encore trop souvent pr sente entre les services stopper les interpr tations h tives oser aller la rencontre des diff rences sont autant de pistes suivre pour contribuer des relations pacifi es e Ne pas chercher tre neutre ou vouloir trouver la v rit tant cela semble utopique Pr f rer s engager aupr s des familles et croire en la multipartialit des lectures que l on peut donner une m me situation S atteler faire se partager les points de vue se doter d une compr hension plus large d une m me situation C est souvent au prix d un engagement ferme nommer les choses que la confiance se noue peu peu avec les parents La confiance une fois d pos e aupr s des intervenants peut se remettre en place petit petit entre les parents Cette n cessaire confiance qu ils ont se t moigner un minimum pour mener conjointement l ducation de leurs enfants e Travailler partir de faits observables et non pas partir de jugements de valeurs Nommer clairement les difficult s les craintes le non respect des droits et obligations Veiller pr ciser avec chacun les difficult s auxquelles il est confront et ce de mani re tr s concr te Oser questionner pour s assurer de bien comprendre refuser toute allusion vague s en tenir aux faits sur lesquels s
114. s entamer de plus en plus de proc dures Il s agit de demandes d accompagnement et de pr paration pour la r daction du dossier de demande D autre part peu de services traitent du droit des trangers Voil un domaine qui commence nous occuper un peu En ce qui concerne l exclusion scolaire on remarque deux types d cole Certaines font d j un travail avec les parents lorsque les choses commencent d raper et ou s adressent aux services concern s D autres coles entament plus vite des d marches qui conduisent l exclusion Elles ne cherchent alors aucune alternative Nous pensons qu il faut tenir compte du projet scolaire du jeune L assistant social ne peut pas dire qu il sait On apprend des gens Il faut donner du sens sa fonction et faire preuve d empathie d ouverture Toutefois il faut reconna tre qu il existe des situations o le jeune ne correspond pas au profil de l cole Nous entamons parfois galement un travail avec le jeune pour l aider comprendre les faits proposer une r paration formuler des excuses voire n gocier avec l cole une pr sence jusqu la fin de l ann e scolaire Les coles travaillent aussi avec des m diateurs et toute une s rie de services Vous pensez d autres situations r currentes Au niveau des nouveaux dossiers on remarque que de plus en plus de jeunes filles sont en rupture familiale C est un nouveau ph nom ne Il ne s agit
115. s et la ludoth que le pr t interbiblioth que l acquisition des p riodiques la gestion des livres jeunesse la plastification ainsi que l administration et le syst me informatique Mais toutes mes coll gues biblioth caires g rent la catalographie et se relaient au comptoir de pr t En plus d activit s ponctuelles comme par exemple un stage th tre cin ma mon autre coll gue animateur s occupe des ateliers d criture avec les adolescents et les adultes des rythmes hebdomadaire et mensuel Collaborez vous avec d autres services Oui nous avons plusieurs partenaires avec lesquels nous collaborons afin de mettre en place diverses activit s La Maison de la Culture Vie f minine des biblioth ques la Maison des Jeunes les coles Lire et Ecrire le CEPPST les CPAS le Plan de Coh sion Sociale le Mus e Gaspard la Croix Rouge les cr ches communales l Universit du Temps libre Il peut s agir tant de pr ts de livres que de l organisation d activit s r currentes ou m me d v nements n cessitant des mois de pr paration Quelles sont les t ches principales de votre m tier G rer des projets de A Z et les animer ou faire appel un intervenant ext rieur Nous avons notre calendrier de l ann e avec les diff rentes activit s organiser Mes projets r currents sont l atelier avec Vie f minine et les lectures plaisir pour enfants la biblioth que les mercredis de 15h30 16h00 avec deux autr
116. s intervenants pr ts contribuer instaurer d urgence la tendresse Des intervenants pr ts se mettre en travail se remettre en question Desintervenants pr ts fonctionneravecleurs imperfections du mieux qu ils peuvent Des intervenants qui se mettent aux c t s des parents et de leurs enfants pour chercher avec eux les moyens de prendre soin les uns des autres et mettre en place des mesures de protection si n cessaire Des intervenants qui veilleront la reconnaissance de l exp rience de chacun afin de permettre que s exercent au mieux l autorit parentale et le plaisir d tre ensemble Des intervenants qui travailleront ensemble La mesure d accompagnement prot g des enfants Par Mme Anne MARTINAIS Observatoire des violences envers les femmes Conseil g n ral de la Seine Saint Denis Historique L Observatoire a ramen cette mesure de Su de en 2007 o elle fonctionne En 2009 un travail men sur les f minicides avait montr que dans la moiti des cas les assassinats s taient produits l occasion du droit de visite du p re Face ces r sultats des pr conisations avaient merg dont la mesure d accompagnement prot g En 2010 le projet fut pr sent parmi les mesures contenues dans l ordonnance de protection port e par la Seine Saint Denis la mission d valuation de la Politique de pr vention et de lutte contre les violences faites aux femmes l Assembl e Natio
117. sans parler du juridique Ainsi parler du droit des jeunes permet galement de recadrer les parents Ainsi m me si l enfant est plac l obligation parentale est toujours l Nous expliquons souvent des proc dures aux parents ainsi qu aux enfants Nous avons un r le p dagogique On leur explique les limites du cadre l gal et de leurs droits C est aussi faire comprendre aux parents et aux jeunes qu on n a pas tous les droits Si un jeune refuse d aller l cole on lui explique les cons quences Il y a huit AMO en province de Luxembourg Le SDJ a une dimension compl mentaire au travail d accompagnement des autres AMO Parmi le public qui nous consulte nous avons autant de parents que de jeunes 51 96 des consultations sont faites avec des parents 38 96 avec des jeunes et le reste avec la famille largie Quand les parents nous consultent c est pour Portraits eux m mes ou pour leur jeune On est aussi consult par des professionnels Cela peut d boucher sur des co gestions de dossier Vous marquez le coup pour vos 15 ans Dans le cadre de nos 15 ans nous avons organis une conf rence consacr e au r le d inclusion de l cole On veut partir des diff rentes missions de l enseignement comme celle de l apprentissage qui passe avant tout Je trouve qu il est aussi important de travailler sur l int gration et l cole doit favoriser l estime de soi des l ves J ai t r cemment frapp par une situati
118. sant du socioculturel de la r insertion socio professionnelle du m dical de l ducation permanente du logement de l aide domicile des associations environnementales Contact et inscription CLPS Luxembourg au 084 31 05 04 Email clps luxeskynet be 97 Agenda 58 Virton Vendredi 18 avril 2014 La sexualit pendant et apr s la grossesse Vendredi 16 mai 2014 Trucs et astuces pour conomiser son nergie Vendredi 20 juin 2014 La pr vention des maladies cardio vasculaires A Virton de 12h15 13h15 la Mutualit chr tienne Place Paul Roger 1 salle de r union au 2 me tage Arlon Lundi 28 avril 2014 Nos enfants et leur cran Lundi 19 mai 2014 Les nouvelles technologies adapt es aux a n s Lundi 16 juin 2014 La pr vention des maladies cardio vasculaires A Arlon de 12h15 13h15 la Mutualit chr tienne salle Gaume entr e salles de r unions droite de l entr e principale Participation gratuite Inscription obligatoire la s ance pour le mercredi qui pr c de Contact Service Infor Sant T l 063 211 880 Email infor sante luxamc be Journ e d tude Lundi 12 mai 2014 Journ e d changes Grossesse drogues alcool et autres psychotropes au LEC Libramont Exhibition Congress de Libramont de 9h00 16h00 Contact Centre d Action La que de la province de Luxembourg Email courrier cal luxembourg be Programme
119. siques la MAP a prot g les femmes de nouvelles violences Gr ce la pr sence d un tiers la MAP emp che l accusation d ali nation parentale l accompagnant e intervient comme un m diateur entre la parole de l enfant et le Juge pas la parole de la m re mais celle d un professionnel e La MAP prot ge l enfant d tre expos de nouveaux passages l acte violents dont les r percussions n fastes sur son d veloppement psychologique social et neurobiologique sont maintenant reconnues Les enfants se sentent souvent coupables de ces passages l acte et la MAP a permis ces 31 enfants de voir leur p re sans crainte de nouvelles violences La MAP permet l enfant s il dit quelque chose de pouvoir tre entendu e La MAP est un outil de protection pour l auteur car elle permet un cadre externe qui diminue la possibilit de passages l acte violents et pr venir ainsi la r cidive Certains auteurs ont saisi l utilit dela MAP comme une mesure de protection par rapport leur comportement m me s ils ont majoritairement eu tendance inverser la responsabilit de la violence sur l ex conjointe Du M ELI SUE DOUHLET POI LLIPER ON LL RILERCT CRUDELE Marie Louise BERNIER Province de LUXEM bourg M decin coordinateur du Service de Promotion de la Sant l Ecole PSE de la Province de Luxembourg depuis 2007 Marie Louise BERNIER a toujours t attir e par la pr vention Portrait
120. site be migrations et populations issues de I96E296809699immigration en belgique rapport statistique et d96C3960A9mographique Le cancer en Wallonie Edit e par le SPW en collaboration avec l IWEPS cette brochure donne une vision assez globale de la question du cancer en Wallonie par le biais de chiffres sur la fr quence des diff rents types de cancers les facteurs de risques les liens avec l environnement ou encore le d pistage t l charger sur http socialsante wallonie be q sante observatoire wallon de la sante dispositifs publications brochures wallonie sante Contact Observatoire wallon de la Sant OWS Direction g n rale op rationnelle des Pouvoirs locaux de l Action sociale et de la Sant Avenue Gouverneur Bovesse 100 5100 NAMUR Jambes T l 081 327 212 081 323 692 Mail observatoire sante spw wallonie be Guide du revenu d int gration Le SPP Int gration sociale publie la brochure Guide du revenu d int gration Cette brochure est la premi re o d une s rie de publications destin es pr ciser les services du CPAS et les rendre plus accessibles Elle peut tre t l charg e ou command e gratuitement via le site internet au num ro de t l phone 02 508 85 85 ou par mail l adresse question mi is be Contact ner TT Service public f d ral SPF S curit sociale revenu d int gration c Centre Administratif Botanique Finance Tower Boulevard du Jardin
121. ssi ont leur num ro gratuit Pour toutes vos questions sur les aides et conseils aux Seniors Les personnes sourdes et malentendanbes peuvant nous joindre par mal seniorsdbspw wallonie be ou par fax 0800 16 220 Tu peux les aider silice Quoi de neuf Petite enfance Le nouveau contrat de gestion de l ONE Le Gouvernement de la F d ration Wallonie Bruxelles et l ONE ont proc d la signature du contrat de gestion 2013 2018 de l ONE Le Ministre de l Enfance s en r jouit malgr un contexte budg taire difficile des 2015 l Office verra sa dotation augmenter de 1 ce qui lui permettra de renforcer certaines de ses missions et de d velopper ou de mener de nouvelles actions Le contrat de gestion int gre par ailleurs le Plan Cigogne 3 Le contrat de gestion poursuit plusieurs objectifs e D velopper l offre des services qui accompagnent les enfants et les familles e Accroitre la qualit de l accompagnement e Augmenter l offre d accueil pour tous les enfants e Lutter contre les in galit s sociales e D velopper le soutien la parentalit et les partenariats avec les acteurs du secteur 19 001 places de plus de mi 2009 fin 2022 pour les 0 6 ans Le Plan Cigogne 3 occupe une grande place dans le contrat de gestion Ce plan vise augmenter l offre d accueil des enfants g s de 0 6 ans afin de faire face aux besoins li s au boom d mographique
122. stituent leur prolongation En tant que professionnels il faut alors consid rer trois moments cl s La p riode de la vie de couple famille La p riode de vie commune doit retenir toute l attention des intervenants dans le sens o elle est le lieu de la violence conjugale C est en se penchant sur ce moment qu il est possible de mieux saisir les m canismes en jeu la relation entre les ex partenaires et l volution de ceux ci apr s la s paration Dans cette configuration il y a galement l enfant 7596 des enfants sont t moins oculaires ou auditifs des violences conjugales L enfant est seul g rer la dangerosit et la terreur Il fait face aux conflits de protection qui faut il prot ger et de loyaut Il pense que c est de sa faute car certains conflits concernent son ducation Etre parent c est une multitude de n gociations et de diff renciations mais dans le cas de relation teint e de violence tous les mouvements de diff renciations sont percus comme dangereux Les enfants ne sont pas la cause des violences conjugales mais un pr texte pour exprimer la diff renciation de pouvoir La cause des violences c est l organisation verticale du pouvoir 33 Dossier 34 La p riode de la rupture Cette organisation verticale du pouvoir donnait lieu durant les ann es de vie commune un consensus implicite rigide Chacun acceptait sa place dans la structure conjugale et avait la repr sentatio
123. t s est associ e au CLPS Lux le 7 f vrier dernier Ensemble nous avons organis un atelier outil relatif la pr sentation de mallettes p dagogiques intitul es Bienvenue en Belgique Et c est pr cis ment ce message de bienvenue queles 18 participants adressent aux primo arrivants avec qui ils travaillent Les 8 mallettes dont 3 seront diffus es en fin d ann e 2014 abordent chacune un th me sp cifique e vivre ensemble logement e sant e enseignement e emploi et s curit sociale e vie quotidienne para tre e statuts de s jour para tre e institutions para tre Ces mallettes fournissent aux animateurs des d marches structur es accompagn es de supports utiles une miseen situation photolangage outil de constructions collectives mod le de contrat de travail etc La r alisation de ces animations favorise l mergence de questionnements donne de l information concr te et permet d envisager globalement le contenu des th matiques Le but ultime est d aider les primo arrivants analphab tes ou peu scolaris s a d couvrir leur nouveau lieu de vie se d brouiller dans leur vie quotidienne acc der l information et comprendre les modes de fonctionnement de notre soci t Cet outil r alis destination de toute association travaillant en alphab tisation ou avec des primo arrivants est disponible sur demande Et pour les professionnels peu habi
124. t la copie du courrier de refus d intervention de l AWIPH Proc dure l administration accuse r ception du dossier complet sous huitaine Elle peut demander des compl ments d information au demandeur le cas ch ant Lorsque le dossier de demande est complet l Administration provinciale transmet le dossier pour d cision au Coll ge provincial D s r ception de la d cision du Coll ge l Administration provinciale pr vient le demandeur et pr cise e laliste des am nagements accept s e le montant de la prime e l autorisation de d buter les am nagements Sous peine de d ch ance du droit de la prime l adaptation les am nagements pour lesquels la prime est sollicit e ne peuvent tre entam s avant d avoir recu cette notification Le Coll ge provincial se r serve le droit d accepter la prise en compte de certains am nagements d j effectu s dans un contexte d ment motiv d urgence D s que le Coll ge a marqu son accord sur la demande de prime celle ci sera liquid e au demandeur sur base de la facture et de la preuve de paiement Dans un d lai de 12 mois dater de la d cision du Coll ge le demandeur doit avoir effectu les am nagements Un d l gu de l Administration pourra effectuer un contr le sur place Les s ances d information 2014 Le Conseil Consultatif Provincial des Ain s de la Province de Luxembourg CCPA a mis sur pied depuis quelques ann es d j une Commissi
125. t au cadre de travail Quand on est dans le jugement c est une faute On voudrait qu une personne r agisse de telle ou de telle facon On doit vraiment faire abstraction de son patrimoine de ses valeurs quelque part Le m tierimplique clairement un don de soi Je constate que les gens qu on aide appr cient ca Dans notre service on accompagne les gens on fait avec Certaines personnes ont t assist es on a fait leur place pas avec eux Alors faire avec cela demande de l nergie On aurait parfois plus facile crire et t l phoner leur place ca serait plus rapide et plus efficace On fait le choix de les mobiliser face leur situation On leur fait crire un projet de courrier on le relit etc C est ca le projet et la philosophie du Service Droit des Jeunes On n h site pas les relancer On les pr pare aussi prendre la parole lors d une audition tant au niveau du contenu qu au niveau de la gestion des motions On doit parfois aussi g rer les revendications des parents 45 Portraits 46 Les phrases achever La meilleure facon d aider quelqu un c est le respecter et l couter dans sa globalit dans le but de cr er une relation de confiance Dans 10 ans je serai toujours aussi heureuse et panouie dans ce que je fais Je ne changerais rien sauf l agr ment Si vous tiez un plat Un spaghetti bolognaise J adore C est tr s bon Ca permet de manger
126. t indiquer une augmentation du ph nom ne d crit qu un accroissement du nombre de faits act s dans les pv accroissement lui m me d une augmentation du nombre de plaintes suite des campagnes m diatiques par exemple ou des changements de politique tol rance z ro envers ce type de faits Vu le faible nombre de VIF sexuelles il est difficile de se rendre compte d une quelconque volution En ce qui concerne l accusation de coups et blessures volontaires entre partenaires ou ex partenaires les chiffres augmentent de 253 69 de 2005 2009 et diminuent ensuite de 2009 2011 Les tentatives rapport es restent quant elles peu nombreuses 2 Fr quence de la violence post conjugale 16 7096 des femmes ayant t en contact avec leur ex conjoint au cours des 12 derniers mois ont t victimes de violences physiques ou sexuelles de la part de celui ci JASPARD et al 2003 Dans le sous groupe des femmes ayant eu des enfants avec leur ex conjoint neuf sur dix avaient subi des agressions verbales ou physiques JASPARD et al 2003 Pour 6196 des femmes vivant des violences conjugales apr s la s paration il s agit d une continuation 3796 ou d une aggravation 2496 des violences pr c dentes dans 3996 des cas ces violences ont d but apr s la s paration HOTTON 2001 En Grande Bretagne 3796 des femmes victimes de violences conjugales rapportent que ce ph nom ne continue apr s la rupture et d a
127. tes Ca y est La revue du DHAMO L entr e des artistes est enfin disponible Dans cette premi re dition on parle de mus es qui offrent des adaptations aux personnes sourdes et malvoyantes d activit s de loisirs adapt es aux personnes autistes de projets men s par nos b n ficiaires de cuisine avec une recette r alis e lors d un atelier du service Il y a galement la rubrique l invit de la r daction qui met chaque fois l honneur le talent d un des b n ficiaires Pour lancer cette rubrique c est Serge VAN DE PUTE artiste sourd qui nous parle de son travail Dans les prochaines ditions les b n ficiaires prendront encore plus la parole pour aborder de nouvelles rubriques comme le testing jeu dans lequel des jeux de la Ludoth que provinciale seront test s y aura aussi une case BD o l inclusion des personnes handicap es sera trait e avec humour Si vous tes l initiative de projets innovants ouverts tout public ou que vous souhaitez recevoir un exemplaire de notre revue n h sitez pas prendre contact avec nous Tou co pz MAS F L 4 E CEuvre de Serge VAN DE PUTE Regards crois s sur l Autisme Le 2 avril est la Journ e mondiale de l Autisme Cette journ e vise sensibiliser le grand public aux r alit s de ce trouble du d veloppement Le Service Autilux Service d Aide l Int gration s inscrit dans cette campagne Celle
128. th que communale d Arlon depuis un an et nous lui avons demand de nous parler de son m tier d Animateur trice socioculturel le en biblioth que Biblioth que d Arlon L animateur socioculturel concoit organise et d veloppe des animations culturelles artistiques ou encore sportives scientifiques ou multim dia l attention d un public vari enfants adolescents adultes personnes g es handicap es etc A travers ces animations il m ne des interventions sociales socioculturelles et d ducation permanente Sa fonction consiste susciter et stimuler la cr ation l ducation la socialisation le d veloppement de la personne via des animations qu il aura mises au point en fonction du groupe pr cis qu elles visent 1 Quelle est la mission d une animatrice socioculturelle au sein d une biblioth que L objectif g n ral de la mission est de d velopper des pratiques de lecture au sein de la population Nous voulons montrer que la biblioth que n est pas un endroit vieillot et poussi reux r serv aux intellectuels et aux personnes tr s s rieuses La Biblioth que d Arlon est loin de cette id e recue c est un lieu convivial o se cr e une dynamique d change et d ouverture via les livres la ludoth que et les activit s organis es tout au long de l ann e Avec quel type de public travaillez vous Des b b s aux seniors Le public esttr s vari des passionn s de livres aux pers
129. ts scolaires de l enseignement secondaire Cela fait notamment partie des missions des travailler dans ces conditions l Il y a eu beaucoup de changement avec le plannings familiaux des centres PMS et des d cret et aussi avec centres PSE l informatisation Les missions sont plus vari es mais c est plus int ressant Evidemment on voudrait toujours tre plus nombreux pour pouvoir r pondre aux demandes des coles Un b mol cependant ce sont assez souvent les m mes coles qui font appel nous mais ce n est pas pour cela que ce sont elles qui ont le plus de besoins a rejoint un peu le th me qu on va mettre dans le prochain projet de service comment tenter de r duire les in galit s sociales de sant Comment abordez vous les l ves lors des bilans de sant On essaie de leur consacrer chaque fois que c est possible un temps d coute suffisant Que ce soit par un questionnaire ou que ce soit par une individualisation du bilan sant prendre un l ve la fois r pondre ses questions essayer que chaque l ve sorte content de son bilan sant Le d cret PSE demande de faire passer un questionnaire aux l ves en secondaire sur les habitudes de vie Il est en deux parties il y a une partie o l l ve s auto value du point de vue de sa sant physique et mentale en s attribuant une valeur sur 10 La deuxi me partie comporte des questions sur les habitudes de vie le tabac l alc
130. tu s travailler avec ce public une formation l utilisation des mallettes est organis e dans diff rents endroits de Wallonie et Bruxelles EMPLOI amp c CUBRITE LA Contact Lire et Ecrire ASBL Rue Charles VI 12 1210 Bruxelles T l 02 502 7201 Fax 02 502 85 56 lire et ecrire lire et ecrire be Ou Centre de documentation du CLPS Lux 061 23 99 96 ou clps lux skynet be Carte de visite Les Services de Sant Mentale de la Province de Luxembourg Introduction Les missions des Services de Sant Mentale sont d finies par un d cret wallon datant de 2009 Tout Service de Sant Mentale se doit d accueillir les demandes li es une difficult psychique ou psychologique et d y apporter une r ponse diagnostic et traitement r orientation Une autre fonction plus secondaire est d ventuellement pouvoir organiser des activit s destination de professionnels de la sant mentale en vue d am liorer la qualit de leurs prestations information supervision formation expertise Accessoirement les Services de Sant Mentale peuvent galement d velopper d autres missions telles que la cr ation d un club th rapeutique ou d autres initiatives sp cifiques La Province de Luxembourg a particuli rement d velopp ces missions par rapport aux autres Provinces wallonnes La Sant Mentale en province de Luxembourg En province de Luxembourg les Services de Sant Mentale provinci
131. u sommaire 9 Un num ro gratuit Seniors En formant le num ro 0800 16210 vous trouverez les r ponses toutes les questions relatives aux a n s aides soutiens activit s services En effet la Wallonie dispose d une multitude de services pour les seniors Il s agit par exemple des maisons de repos r sidences services centres d accueil de jour unit s sp cifiques pour personnes d sorient es transports m dico sanitaires non urgents services d aide aux familles ou encore services sp cifiques consacr s la lutte contre la maltraitance des seniors De plus les seniors b n ficient de divers soutiens relevant d autres niveaux de pouvoir comme les activit s de loisirs l acc s la culture l organisation du transport adapt pour les personnes mobilit r duite les pensions etc Jusqu ce jour il n existait aucun acc s unique toutes ces informations Il semblait vident de mettre sur pied un outil sp cifiquement d di aux seniors mais galement leur entourage et aux professionnels Des experts de la navigation et de l coute L op rationnalisation de ce num ro gratuit r sulte d une troite collaboration entre l Agence Wallonne pour l Int gration des Personnes Handicap es AWIPH et le Service public de Wallonie SPW DG05 forts de leur expertise respective en mati re d coute et d accompagnement t l phonique et en mati re de politique des a n s uoi de neuf Ce rappro
132. ue l on n apporte aucune clarification relative auxin vitables diff rences pr sentes au sein d un couple qui se s pare une m canique violente se met en place Celle qui consiste quitter le monde des faits objectivables pour entrer dans celui des repr sentations o s enchainent si facilement incompr hensions interpr tations et finalement proc s d intentions qui sont autant de ferments qui entretiennent et contribuent amplifier les conflits e Des d cisions avalis es par le tribunal uniquement sur base d accords n goci s entre les parties I s agit ici de quitter la logique gagnant perdant trop souvent encore majoritairement l uvre chez les acteurs du monde de la justice I s agit d entrer dans une logique de collaboration o l on vise instaurer des rapports gagnant gagnant O se trouve l int r t d un enfant qui voit l un de ses parents gagner par rapport l autre Suivre la logique gagnant perdant dans les affaires familiales c est contribuer faire de l enfant un perdant puisqu il est et sera toujours l enfant de ses deux parents Dossier e Coordonner les interventions de mani re inter professionnelle et disciplinaire Il est stimulant d enrichir son champ de comp tences en c toyant d autres professionnels Travailler ensemble la d sescalade du conflit c est se donner des occasions de multiplier les ressources disponibles dans l environnement des familles C est se donner les moyen
133. une action citoyenne engag e d autres pas du tout C est l que je fais un peu la diff rence entre un b n vole et un volontaire En tous cas ils ont tous les deux une place dans la soci t et ils contribuent au bien tre social collectif IIs n ont pas tous envie de changer la soci t Parfois m me des personnes tr s critiques se sentant bien accueillies ici ont envie de transmettre Ils font des rencontres ils se rendent et se sentent utiles Nous avons essentiellement des a n s qui ont jusqu 80 ans aussi quelques jeunes bien s r Souvent ces derniers sont dans des situations de ch mage margent la mutuelle y a aussi des personnes d une quarantaine ou d une cinquantaine d ann es qui font preuve d un engagement plus convaincu Aussi on a des adolescents Dans l entit les jeunes se rassemblent sur la place tout pr s de la Maison o se trouve un kiosque car ils n ont pas d autre endroit de r union Nous sommes all s les solliciter et ils ont r pondu pr sents pour venir nous donner un coup de main ponctuel C est vrai que c est une population plus difficile identifier Sinon les adultes actifs sont plus pr sents dans le SEL Service d Echange Local ou le GAC Groupement d Achats Communs Ils sont plus preneurs d un syst me organis ou alors donnent un coup de main en one shot de facon ponctuelle comme lors de la donnerie par exemple Faire partie d un GAC c est une forme de volontariat car le
134. vent percevoir certains montants index s fix s par jour et par ann e civile Ces d fraiements ne sont pas obligatoires et peuvent se faire de deux mani res diff rentes Ces indemnit s ne donnent lieu aucun assujettissement la s curit sociale des travailleurs salari s De m me dans le cadre de remboursements de frais forfaitaires ceux ci sont exon r s fiscalement s ils respectent les montants limites de la loi Index s lesdits montants varient suite aux d passements d un indice pivot Les effets de ce d passement ne sont impact s que l ann e qui suit Petite sp cificit cette ann e il n y a pas d indexation Montants applicables du 1er janvier 2014 au 31 d cembre 2014 e Montant par jour 32 71 euros e Montant par an 1308 38 euros Ateliers outil Parcours sans T nouvel outil pour aborder le bien tre et le tabac avec des groupes de jeunes et d adultes Vendredi 25 avril de 12h 14h30 au Centre de documentation du CLPS Lux de Neufch teau Ce jeu cr par le Fares s adresse au grand public y compris les personnes dites fragilis es pouvant connaitre des difficult s de lecture ou de compr hension Les fumeurs comme les non fumeurs peuvent y participer ce qui permet de partager des v cus ou des points de vue diff rents Trois mani res diff rentes d y jouer sont propos es Entr Actes Les Entr Actes du CLPS Lux un break pour se questionner s informer chan
135. videmment mais unefois qu un cr neau correspondant aux objectifs a t trouv et discut je suis assez libre dans ma mani re d ex cuter les choses Bien s r l esprit d initiative est conseill lorsque tout est cr er C est un boulot combinant travail en autonomie et travail d quipe Est ce un m tier qui a des implications sur la vie personnelle A l heure actuelle je pense que tous les jobs pr sentent leur lot de stress et il est important que cela ne retentisse pas trop sur la vie personnelle l inverse est valable aussi Mais plus facile dire qu faire Quelle est selon vous la meilleure formation ou exp rience pour exercer ce m tier Toutes les exp riences sont bonnes prendre mais je dirais que le fait d avoir travaill dans l enseignement le secteur social et le milieu artistique et culturel m a confront e l exercice de la prise de parole en public Tout m tier loisir passion vous mettant en contact avec le public est une exp rience utile et m me primordiale car une bonne partie du m tier consiste prendre la parole et pouvoir g rer Vous tes dipl m e en arts et sociologie de la culture Votre formation vous a t elle bien pr par e exercer ce m tier Oui et non La th orie accumul e m aura donn une connaissance g n rale Cependant le fait d avoir jou lors de repr sentations th trales dans le cadre universitaire et personnel combin au fait de pratiquer des
136. voyait une automati quement Cette attestation devait tre remise au fournisseur Une composition de m nage devait tre jointe au document si le client n tait pas l ayant droit L application automatique du tarif social permet la plupart des ayants droit d obtenir le tarif social sans qu ils aient en treprendre d initiatives pour cela C est le SPF Economie qui est responsable du processus d automatisation Dans le cas des clients prot g s qui appartiennent une cat gorie r gionale le tarif social ne s applique pas automa tiquement Sources www energie wallonie be www cwape be http economie fgov be Marche suivre dans le cadre de l octroi du tarif social A Cat gories f d rales de clients prot g s l attestation est mise par l organisme qui verse l allocation Cependant les autorit s f d rales ont d cid d octroyer de mani re automatique le statut de client prot g aux ayants droits ind pendamment de la pr sence d une attestation papier Ainsi dor navant c est le SPF Economie qui avertira le four nisseur ou le gestionnaire du r seau de distribution GRD concern si la personne peut pr tendre au statut de client prot g et par cons quent b n ficier de l application du tarif social Le syst me des attestations restera cependant valable pour les clients qui ne d sirent pas que leurs donn es soient trait es de mani re automatique Contact Groupe Action Su

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