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prévention des risques professionnels offices de tourisme

1. 5 559 45 ej p nb uoyd p P e 591 nbsry P IP PNI SHAUNTII 5905 0 5 SNL SADNA SINVISDE Cr 7 0 5 A AKI 9N29e p 59559409 597 5 A SHDOSSV SINNDSHd UNHLIVERI JUOJJ PNY ALINN LVIV BKE JEJ SUN OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 43 sduus 9 SUEP SJAINS JIOANOJ INOJ 3 59 159 53065 5 Sobnfjuos puenb w 1n8 14119A 39 JDISI so 211 gUlJ INOJ SJ UEISIXD su ow s p 5 san muods sonbneud guaupdnbo SIAMO snbsu UOMIPPE UOISSAUDE AUISSR E Sp p pod urd AJNUD ALY SIUBUUPBAJINDS asd NP BLUOUOOJP UOISO O puau UONESI ENSA suen AN SUBUUDUUOKEBI UON NID NP UONESIUEDUO
2. PNUHUU JPP SHnbLUUD sanbsu sanbsu Sn SN Suo1 2e p 2 JUOJDJNDIJ Inb suone 59 JOUIWISJP JNOJ 359 xne 591 sap Ip 59511 2 4 JUOJINOJ 510 597 SAEDIPUI 351 JNS s p sun2eup 5 95 1nod s nbs 5 no lt s p S9 PUUOISEJ2O SP1IA1J9E 59 J JI9UIO sues 5 E 9JSISUOD 591 211139 ouod SyS UORA SDUOJ UON SPNEUD SIUDUBIRA 0082015 Jo 1UESIEJS 1 ES BUULIOJ IUN je 9 ISOUIUJNI i9N29e 39 unony puuonepi UOJ JNS 59195504 05 P JNS UOod9U Pp PPN SON ses UONN JOS DIULJ
3. PALU SP SAPIN TND EN ko pos PRO SINSO Eup LS XNP sued e ekc o 2 e UOREUILE PIEUD 3954 Un uopn 9 Sue za yaq UORESUOUOS PLRRU SSH SDULO ed SDUJO Hep OUOS apay SDUBIQUU snowed SUORIPUOD SUIBUS 351 UD 8 NS gt LE 5 Suep puepdou SRNO NAPP SDUEISISSE PUAA SEULE SPINU SIUESSIIO SOS lt IULUOJU Pod He PANN asd P OZ lt SPDULISIP INS SINODUEJ SSIDULUNIJOX OUOS UOSIES LD SUONELUIUE PuPe P PUMU SPIP LNMCDUd JYAUVA ICHAN SUOIJELUJOJUI SEP INOJ SINSISN A E UOIXD JDJ SUN uonsenb 31135 5916514 zu u IWP IND s JUOS Snb 929059 UJ UN S1n215e SNADJ 4955 4 D SISUOD PJU 5 NU W DAPO
4. 591 SUBS PII 9 SUEP SAINS JIOANOJ JSJOU Se DIAN 591 INOJ 5 159 5496 pn s seyd sep inod ejes sap 359 sUESIEJSES JUOS puenb w JNO yA P uep xne 5 yeseq as s nbsu PWNU E D SISUOJ 19351 591 e S1UEISIXO s p 5 e7 s p no s p Se 211199 SUO12e p uejd 2 SUEP 1 1 inb lt 5 5 e telechargeable sur 1 _ 5 SAPNA 9 SALT MION SHUNI 5900519 5 IINI KAI AJIO HWY INVSVAISUVS NOLLd ROSA SaS SIJ NOLARDSAJ SAM NO SAPNA SXI NOU AJREDSAJ SINVISDE 7 SIAJ NOVLATINA RETRANSCRIPTION DES RISQUES MODELE PAGE 42 SJA NOLIN TMAA V SHDOSSV SINNDSIHI JLSOJNO ALWIULDVA JI NOLDINDISIA MAKE JEJ apy SUN JI KLUBA RETRA
5. 1 assIpueJbe p Pod 3inag 92UEUOSAJ 1UEALJODE Ina 11n1q eyns ajsod OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 45 om7 PROGRAMME D ACTIONS DE PREVENTION Modele Remplir une fiche par activite unite ou poste de travail DESIGNATION DE L ACTIVITE UNITE OU POSTE DE TRAVAIL PERSONNES ASSOCIEES document word preta telechargeable sur ZE AMWWW aravis aract fr REDACTEUR DATE RISQUES MESURES DE D LAIS PERSONNES CHARG ES IDENTIFI S PR VENTION D X CUTION DE L ACTION Techniques Organisationnelles Humaines Techniques Organisationnelles Humaines Techniques Organisationnelles Humaines PAGE 46 QUI CONTACTER S INFORMER DRTEFP Au titre de la fonction d inspection du travail elle est charg e de veiller au respect dela l gislation et des dispositions conventionnelles lois r gle ments conventions collectives qui r gissent la vie des entreprises Elle exerce galement une fonction d information et de conseil aupr s des employeurs salari s syndicats et institutions repr sentatives du personnel sur les conditions d application de cette reglementa tion
6. A OUTILS Outil 1 Diagnostic tat des lieux de l organisation de la pr vention Outil 2 Liste indicative des risques Outil 3 La methode 5 exemple Outil 4 M thodes de hi rarchisation des risques Outil 5 Modele pr t remplir de grille de retranscription des risques Outil 6 Exemple de grille de retranscription des risques accueil Outil 7 Mod le pr t remplir de fiche programme d actions de pr vention PAGE 28 CONTACTS ET SITES UTILES PAGE 2 MODE D EMPLOI EZ LE PRESENT DOCUMENT EST ORGANISE AUTOUR DE DEUX PARTIES PRINCIPALES Une d marche par tapes mettre en uvre Une bo te outils Le lecteur trouvera au fil de la d marche propos e des renvois la bo te outils ainsi que des enca dr s contenant des exemples ou des remarques voir ci dessous Exemples et cas pratiques en office de tourisme Remarques pr cisions points de vigilance d finitions clairage particulier OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 3 REPERES POUR AGIR PARTIE 1 _ REP RES R GLEMENTAIRES PRINCIPES G N RAUX DE LA PR VENTION DE LA LOI DE 1991 ART L 230 2 DU CODE DU TRAVAIL Le chef d tablissement prend les mesures n ces saires pour assurer la s curit et prot ger la sant physique et mentale des travailleurs de l tablisse ment compris les travailleurs saisonniers ou temporaires Ces mesu
7. Utiliser du mobilier con u pour le travail sur cran supports pour le clavier et les documents si ges r glables repose pieds Positionnement correct de l cran par rapport aux sources lumineuses perpendiculaire aux fen tres Fen tres quip es de stores lamelles disposi tifs anti reflets sur les sources d clairage mesu res de pr vention EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Stabilisation du mobilier Elimination de la possibilit d acc s ou de pouss e s Diff renciation du point service et point de chauffe service l avant chauffe l arri re Canalisation de la foule OUTILS ET EQUIPEMENTS Risque d atteinte physique coupures QUESTIONS A SE POSER s Le personnel de l office r alise t il des travaux n cessitant l utilisation d outils manuels ou lec triques stands salons animation d coration entretien et am nagement des locaux Les outils sont ils adapt s aux t ches r alis es Des protections individuelles sont elles fournies gants lunettes 2 Le personnel utilise t il des outils coupants massicot 2 36 EXEMPLES DE MESURES DE PREVENTION s Mat riel suffisant et adapte Protections individuelles s Massicot muni d un syst me de protection conforme Cutters s curis s lame r tractable syst me roulette ne permettant l apparition de la lame qu en situation d appui sur surface plane affi ches et aut
8. 1101 1UDUUOSSIPIOJJDJ anbIUUJDU E anbsm SISAIP pold ulejd 2 anbsiy UOISIA PNSIA abeJlepo E nbsry 7 SSDJIS 1 ap xne aIsod E Sal anbsiu asod JAM PAGE 44 SUEP 1 SJAINS JIOANOJ INOJ JV1JOU s 159 SJUES iejsmes 1 05 1 puenb w IND 14119A JDISI 211 gUlJ INOJ E SI UEISIXD s p san muods sonbneud guauupdinbo signo tgn anbsu UOMDIPPE UOISSAUDE ansabe Spo p any poid ured no SUD SeU SUBUUPAINDS AJSOJ aoue UOISO O BIPUPDUI UONESI ENSA4 SULDO Snbpaup anbe AN SUBUUDUUOKEBI VUONEMUD UONESIUEDJO SBNDIUEDBUU DI PNUBUU UO QUDINUBLU JPP SaNbLUIUD sonbsu Snobe RUE QUE sanbsu Se SDRUEP Sap LISTI Suo
9. ap 01d ajnos uuos d Jed 00500 ne DUN 9196504 159 3291102 US ne ueue 39 SUON EJSANIAJ SP JNS UILEUO2 DU aleq JNS 591015 UD 002 175 JUBUUDUILUDUDV assa10U onbueq e 105 S NP 92UBSQE UJ 9 qISIA 95512 O dISIA UOU 4 251 5 75105 SLR gt Su xne INS UU G Z Jed LU G T SA INS SYY 5219 211 1q1ssod seq don n d 0155 3 045 Jo uonejndiuew e e lt 5 SBJUILJJUOJ AL JNS ssupinbij od suen SIUDUPSSILIJU J uoneynsuo2 JPDISIES UL JNS 91504 JUIOJ
10. innovation sociale en rh ne alpes PREVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE LE DOCUMENT UNIQUE DE L EVALUATION A L ACTION PRATIQUE REMERCIEMENTS Noustenons a remercier pour leur precieuse collaboration s Les U DOTSI de Savoie et Haute Savoie sans qui cette action n aurait pu tre possible Les offices de la Clusaz les Morillons les Saisies M ribel et Valloires qui ont accept de se pr ter au jeu de I experimentation ACTM ED structure homologue d ARAVIS en R gion PACA dont les guides r alis s pour d autres secteurs d activite ont largement inspire le present document UDOTSI Union D partementale des Offices du Tourisme et Syndicats d Initiative REPERES POUR AGIR AVANT PROPOS Le pr sent document est issu d une collaboration entre ARAVIS et les UDOTSI de Savoie et Haute Savoie s appuie sur une exp rience men e avec 5 offices du tou risme de taille vari e 4 18 quivalents temps pleins tous localis s en stations de moyenne et haute altitude Bien qu en partie utilisable par l ensemble des offices de tourisme du fait du carac tere tres proche de l activit exerc e il est principalement destin aux structures implant es en montagne En effet au del de l important tronc commun de ris ques professionnels partag s par l ensemble des offices il existe des sp cificit s li es l implantation et l environnement de ces derni
11. toyage d une methode ou organisation du tra vail ex contact avec le public manutention manuelle des brochures susceptibles de porter immediatement ou a terme atteinte a la sante des salari s D analyser les risques en tudiant les conditions concr tes d exposition des salari s de l office ces dangers ou des facteurs de risque notam ment en mati re d organisation du travail Le risque est le r sultat d une exposition d une personne P un danger D D o 3 modes prin cipaux d action en mati re de pr vention liminer lerisque Exemple P D gt Lestravaux en hauteur sont r alis s par les services techniques dela mairie avec le mat ria requis Circonscrirele danger Exemple P D R lamiseen placedestores supprime les reflets sur crans d ordinateurs Proteger la personne Exemple Lunettes de soleil et P D R gt cemesolairesont fournies pour la protection anti UV ATTENTION peut y avoir risque d atteinte a la sante sans pr sence de danger au sens strict du terme La situation peut devenir dangereuse lorsqu il y a une combinaison de causes dont aucune n est isolement dangereuse stress usure professionnelle Approche multifactorielle des risques Dans ce petit office dont l effectif est calcul au minimum le personnel d accueil doit g rer de multiples t ches souvent simultan ment accueillir et re
12. Quels sont les aspects de l organisation du travail favorables ou d favorables personne seule coo p ration rotation du personnel 2 Quelles sont les conditions de manutention espaces encombres d nivel s tage et esca liers lieux de stockage distance tat du sol fr quence poids des charges hauteurs de prise et d pose postures 2 PAGE 32 EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION s Mat riels d aide la manutention diables cha riots diables 3 roues pour escaliers monte charges rampes de chargement pour v hicules EPI adapt s gants chaussures Modification des implantations et flux lieux de stockage en proximit viter les escaliers Logique de rangement des stocks selon fre quence et poids des charges Recours aux services et quipements des parte naires locaux services techniques de la com mune et remont es m caniques Formation gestes et postures Organisation coop ration entre salari s rotation sur les p riodes lourdes envoi des brochures en avant saison animations CHUTE D OBJ ETS ET EFFONDREMENTS Risque d AT potentiellement grave traumatisme QUESTIONS A SE POSER Les racks ou rayonnages des lieux de stockage fournitures documentations brochures sont ils stables adaptes a la charge fixes au sol Existe t il une organisation du rangement Les hauteurs de stockage sont elles excessives s L espace est il su
13. assurance maladie Dans le cas d un accident du travail Si les tribu naux reconnaissent que l entreprise a commis une faute inexcusable ils peuvent la condamner indemniser la victime de l ensemble des prej u dices souffrance physique souffrance morale prejudice esthetique prejudice d agrement perte ou diminution des possibilites de promo tion professionnelle Le chef d entreprise est responsable de toute l organisation de la s curit dans son entreprise aussi bien sur le plan mat riel que sur le plan humain doit donner sa soci t tous les moyens pour que la s curit soit observ e par tous et diffuser clairement ses orientations En cas d insuffisance dans la direction du person nel ou la surveillance de l application de la r gle mentation sa responsabilite penale pourra tre recherch e en cas d accident Faute inexcusable Arr t de la cour de cassation du 28 f vrier 2002 en vertu du contrat de travail le liant son sala rie l employeur est tenu envers celui ci d une obli gation de s curit de r sultat le manquement cette obligation a le caract re d une faute inexcu sable lorsque l employeur avait ou aurait d avoir conscience du danger auquel tait expos le sala ri et qu il n a pas pris les mesures pour nir Delegation de pouvoir en matiere d hygiene et securite Aucun texte reglementaire ne prevoit ni n orga nise la de
14. d accueil int grant le versant 5 OUI NON Fournissez vous les 55 lt OUI NON Connaissez vous la liste des travaux faisant l objet d une interdiction pour les contrats D CAL a ae duos RN EKRE due RA EV an OUI NON SYNTH SE DES AXES DE PROGRES SATISFAISANT INSATISFAISANT AM LIORATIONS ENVISAG ES OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 31 OUTIL 2 LISTE INDICATIVE DES RISQUES points cl s non exhaustifs pour l valuation des risques INCENDIE Explosion Risque d AT tres grave QUESTIONS SE POSER s Les produits inflammables a rosols solvants animation information bouteilles de gaz sont ils stock s dans des lieux sp cifiques s Les produits inflammables sont ils tiquet s Utilisez vous des sources de chaleur susceptibles de d clencher un incendie rechauds flammes cigarettes s Les mat riels de lutte contre l incendie sont ils suffisants LECTRICIT Risque d AT potentiellement tres grave QUESTIONS SE POSER L installation lectrique est elle conforme s Les mat riels lectriques sont ils en bon tat fils d nud s apparents coupure liaison terre fils et rallonges deteriores s Les armoires lectriques et tableaux sont ils accessibles ferm s cl s le danger signal s Les montages lectriques r alis s stands de sal
15. de r aliser des actions de pr vention suite l valuation des risques tant que de besoin est pr vue Article L 230 2111 a Le fait de ne pas retranscrire ou de ne pas mettre jour les r sultats de l valuation des risques dans les conditions pr vues l article R 230 1 est puni de la peine d amende pr vue pour les contraven tions de 5 classe Article R 263 1 1 soit 1500 euros La circulaire d application de ce d cret circulaire du 18 04 02 rappelle m thodologie g n rale de la d marche de pr vention mettre en uvre Le pr sent guide reprend cette m thodologie OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 5 REPERES POUR AGIR 4 PARTIE 1 ENTREPRISES EXTERIEURES INTERVENANT DANS UNE ENTREPRISE UTILISATRICE DECRET DU 20 FEVRIER 1992 ART 237 1 ET SUIVANTS C est le cas par exemple d une entreprise de net toyage intervenant dans un office est dans ce cas question des risques lies la co activite et des risques interferents Les deux entreprises doivent articuler et coordonner leurs documents uniques respectifs Analyse commune des risques interferents Lors d une intervention l entreprise intervenante et l entreprise utilisatrice doivent proc der une analyse commune des risques pouvant r sulter de l interference entre les activit s les installations et mat riels laboration d un plan de pr vention Les r sultats de cette analyse des risques serv
16. des caisses Alternatives au convoyage par le personnel accompagnement Autres modes de paiement que l argent liquide Moyens d alerte Partenariat avec les autorit s et administrations locales d finir les conditions de recours aux ser vices de police Proc dure de prise en charge des victimes pre vention des cons quences Elimination ou r duction du travail moyens d alerte et d intervention isol OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 35 OUTIL 2 TRAVAIL SUR CRAN Risque de fatigue visuelle c phal es TMS QUESTIONS SE POSER Quelle est la dur e journali re du travail sur cran administratifs comptabilit webmestre autres 2 Est elle gt 4 heures L ergonomie du poste am nagement mobilier induit elle des postures n fastes s Les salari s se plaignent ils de douleurs particuli res cervicales dos trap zes membres sup rieurs c phal es fatigue visuelle 2 s L clairage general du bureau est il adapte Y a t il des reflets sur l cran lampes vitrages 2 BR LURES Risque de br lures graves QUESTIONS SE POSER L office organise t il des services de vin chaud soupes avec utilisation de r chauds et marmites s Lestand est il stable L acc s aux points chaud est il possible au regard des mouvements de foule EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION s Organisation Alternance avec d autres taches pauses r guli res
17. en uvre participants d marche nombre de r unions s Les tableaux de retranscription des r sultats de l valuation des risques compris l ventuelle hi rarchisation de ces risques selon la m thode choisie Le plan d actions de pr vention d coulant de l tape suivante tape 3 laborer un programme d actions Pour cette phase vous trouvere une fiche de pr senta tion succincte office e m thode un exempledegrillede retranscription des risques la m me grille vierge directe ment utilisable en format Word cf outils 5 et 6 PAGE 24 3 LABORER UN PROGRAMME D ACTIONS OPERER DES ET METTRE AU POINT UNE STRATEGIE Les priorit s d actions de pr vention sont d ter min es sur la base de l estimation des risques 1 appartient au responsable de l office d op rer des choix et de rechercher des solutions permettant de mettre au point une strat gie et un ou des pro grammes d actions cette responsabilit n ex cluant pas la possibilit d une r flexion collective au sein de l office et l assistance d acteurs externes tel le m decin du travail par exemple Le plan d actions n est pas uniquement une liste de risques traiter dans un ordre donne est neces saire de d passer la hi rarchisation des risques pour faire des choix strat giques Rien n emp che par exemple au del de l apprecia tion port e sur les risques li s la manutention manuelle
18. internes et Pression temporelle d lais charge de travail s Gestion simultan e de t ches ou d informations multiples EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Dialogue aux niveaux requis Personnel Direction CA aller au del de l as pect gestion et debattre du fonctionnement s Collectivit s locales Soci t d exploitation des remont es m caniques OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 37 OUTIL 2 AUTRES RISQUES Risques infectieux contact au public contamination microbienne Risques d exposition au sang pratiques sportives et loisirs en cas de premiers soins sur blessure trousse premiers secours port de gants en vinyle du fait de potentielles r actions allergisantes au latex forma tion premiers Soins s Risques li s aux contraintes organisationnelles rythmes et dur e du travail horaires tardifs travail de week end et jours f ri s pression temporelle d lais urgences al as sous effectif Risques li s la co activit en tant qu entreprise utilisatrice ou intervenante Risques li s l ergonomie des postes et l environnement de travail mobilier conception et am nage ment des locaux clairage a ration et ventilation Risques chimiques produits de nettoyage corrosifs projection dans les yeux autres Risques toxiques r chauds bouteilles de gaz stockage transport utilisation Risques li s aux manutentio
19. p Sa 211139 5 4 SJ UEISIXD s p UONdII3SSP 67 ne jed sue 51 198JUOJ uondo2u07 ODUEJSISSE Jo snol suie 8 sade SLUDISAS 19 39 N S 55910 H onbueq 1ns 9102 91 onbueq E 5922 onbueq ap uejd 9 a1 IqISSOd JUBI 2J 59 4 29552 sed anbueg 91110 anbisAud 5 SM JUOJ uon 5 6 e UOU PUUOSJod UIU SED UD PUUOSPJ UORENIIS UINULIUIUJ 5399506 INSJELU a UDN JJE pM IUEPINSEPAIP 9140 apolied gt p nbueq ej anbsuoj JUEJ 9 UP 522 591 INOJ UOI 85N29e dou o JAP ua S W P11ADUI 39 23155946 SAPNA XV NOLLISOJXX A SALT MION IINI KTAI YARO HAVV INVSWISUVS NOLLd ROSA SMDS SIJ NOLARDSAJ XN91 29JUI aNbS TH C gxue
20. restent ceux que seule une connaissance pr cise de la fa on dont se d roule le travail peut r v ler OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 19 REPERES POUR AGIR estimportant de ne pas sauter directement du risque a la solution car partir du risque c est tres souvent aire une impasse sur les v ritables cau ses du probleme Le risque est d une certaine facon un effet resultant des composantes de la situation de travail De ce fait l approche par le risque peut conduirea la seule limitation des effets sans pour autant agir sur les veritables causes ACTIONS DE PREVENTION ANALYSE DES CONDITIONS D EXPOSITION AUX RISQUES s agit de prendre en compte les diff rentes dimen sions intervenant dans l activit des salari s expo s s afin d avoir une vision globale des facteurs de risques outils et moyens de travail environne ment organisation et rythmes de travail le collec tif de travail la relation avec les clients la charge de travail les caract ristiques des salari s leurs comp tences etc RISQUES L approche par le d roulement du travail permet de limiter l oubli de risques de mieux les caract ri ser et surtout de comprendre ce qui determine chacun d entre eux Bien comprendre les causes d un risque c est se donner les moyens de trouver les solutions les plus adapt es L identification des risques a partir d un check list de
21. travail et des services inter entreprises est disponible l adresse sui vante www rhone alpes travail gouv fr servi cesRA priorites SanteTravail html Cabinets Conseils Une liste de consultants est diffus e par ARAVIS et la CRAM sur WwWWwW araviIs aract fr Site ARAVIS CRAM DRTEFP sur la pr vention des risques professionnels www risqugs pmefr OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 47 aravis innovation sociale en rhone alpes 14 rue Passet 69007 Lyon T 0437 65 49 70 0437654975 Agence Rh ne Alpes pour la valorisation de l innovation sociale et l am lioration des conditions de travail WWwW aravis aract fr ARAVIS est une association paritaire g r e par un conseil d administration compos d organisations patronales et d organisations syndicales de salari s Elle a pour mission d aider les entreprises dans leurs projets de modernisation afin d am liorer la situation des salari s et l efficacit des entreprises ARAVIS association r gionale pour l am lioration des conditions de travail fait partie du r seau ANACT ARACT Contact Olivia de SEREYS o de sereys anact fr R gion Rhonellpes i ta kk COMMISSION EUROPEENNE Fonds social europ en TERRE SENE Imrprmi sur papier recycl hanchi sans chore
22. unique ainsi que lors De l apparition de nouveaux risques De changements d organisation ou de reamenagements induisant une modification des conditions d hygi ne de s curit et des conditions de travail Les mises jour seront moins lourdes que la premi re formalisation Il reste que la t che sera d autant plus facilit e queles responsabilit s et modalit s de suivi auront t clairement d finies et programm es L actualisation n est pas un inventaire de fin d ann e mais un outil de pilotage et de suivi en temps r el de la pr vention De ce fait la mise jour du document unique peut se faire au fil des actions mises en uvre L avantage de cette for mule tant de maintenir la dynamique et de faire vivre la pr vention en vitant l oubli dans le tiroir OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 27 A OUTILS OUTIL 1 Diagnostic tat des lieux de l organisation de la pr vention OUTIL 2 Liste indicative des risques OUTIL 3 La m thode 5 M exemple OUTIL 4 M thodes de hierarchisation des ri OUTIL 5 Mod le pr t remplir de grille de retranscription des risques OUTIL 6 Exemple de grille de retranscription des risques accueil OUTIL 7 Modele pret remplir de fiche programme d actions de pr vention document word pret 1 telechargeable sur DT WWW aravis aract fr OUTILI DIAGNOSTIC ETAT DES LIEUX D
23. 1 2e p SUEP JUOJDJNDIJ suone 59 JOUIWISJP JNOJ 55 359 xne uoljisodxa p 591 sduus SPJNSPUU NO SPS LI 120189 JUOJINOJ SIO 597 351 JNS s p 5 as sonbsu 5 s p S9 PUUOISEI2O SP1IA1J9E 59 sues 5 SEP D1SISUOD 591 211139 S NOU UONUPINUELU SUDKOUU SDS 951691 UOU SJnsod 19 556 uo gewo 10594 ne JP SUOSIEJAI 175 adinbo 5 U9 9p UOREIDI OS 2016 15596014 lt yu upuuosnoddy Sed ZI 2 anbsim 1 E Sal anbsiu 39 sop JPIUDUDUUOISVWOIddy eSSIe2 E 34
24. E L ORGANISATION DE LA PREVENTION R pondre au questionnaire en entourant les r ponses lorsque besoin est Reporter dans le tableau final les constats selon qu ils vous paraissent plut t satisfaisants ou insatisfaisants D finir les actions d am lioration souhaitables Hi rarchiser les actions afin de d finir des priorit s Int grer les actions prioritaires dans le plan d actions de pr vention sur une base annuelle ou pluriannuelle ACCIDENTS DU TRAVAIL ET MALADIES PROFESSIONNELLES DES 3 5 DERNI RES ANN ES Nombre et nature des AT et MP de ces 3 5 derni res ann es Fonctions ou secteurs les plus touch s Incidents ou presque accidents connus SENSIBILIT LA S CURIT La s curit et les conditions de travail sont elles l objet d une certaine attention OUI Existe t il une volont affich e sur ce plan OUI L hygiene la s curit et les conditions de travail sont elles prises en compte dans vos projets OUI r am nagements extensions travaux r organisation achat d quipement et mat riels ORGANISATION DES SECOURS Avez vous une armoire pharmacie ou une trousse de premiers secours OUI Avez vous des salari s form s aux premiers secours OUI Est il pr vu un plan d organisation des secours OUI RECLAMATIO
25. NS PLAINTES ABSENTEISME Traitez vous les observations faites par les salari s le s il existe OUI Identifiez vous un lien entre absent isme et conditions de travail hygi ne et s curit OUI Existe t il des canaux de remont e et une proc dure de traitement de ce type d informations OUI D L GATION DU PERSONNEL Le DP beneficie t il d un cr dit d heures r glementaire OUI ES a a CD tn OUI Le DP a t il suivi une formation en lien avec les questions d hygi ne et s curit OUI Le DP est il sera t il associ a la d marche d valuation et de pr vention des risques OUI NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 29 OUTIL 1 CONTROLES ET VERIFICATIONS PERIODIQUES Connaissez vous les contr les et v rifications obligatoires pourl office OUI mat riel incendie ascenseurs et monte charge l vateurs de personnes installations lectriques Si vos locaux et quipements sont contr l s prenez vous en compte les constats port s dans les 52 OUI Existe t il une proc dure de maintenance et d entretien des locaux OUI clairage lectricit am nagements divers Les travaux sont ils r alis s par des personnes hab
26. NSCRIPTION DES RISQUES EXEMPLE sonbneud guaupdiibo SIRMO tgn anbsu UOMIPPE UOISSAUDE 5 POO any poid urd No SUD SLEUEdinbs np aoue UOISO O puau UONESI ENSA SUL AN SUBUUDUUOKBI UONESIUEDJO SINDIUEDBUU UODBURFINUBUU DI PNUBUU UO QUDINUBLU JPP ogeu uoge pe SBINbLUIUD soNbsuU sanbsu Se lt Sp LISTI JUOJDINDIJ Sau inb sUONDE JINAJ SAINS JIOANOJ JEJOU 5 SIN 359 SULS S INOJ 5 Sobnfjuos puenb w IND JDISI 159 xne uonsodx p S 5 SPS LI 9 2 1 JUOJINOJ Soa ppuuoljdo xo SIO aun lt 597 aJUIO 5 220 5 SA EDIPUI 351 JNS 591 aawo sues DIJE ES s seyd s p sun2eup INOd Jaseq s p s 1nod ap sIN9 PEJ s p D ISISUODJ no lt s
27. PP SAJNPSDOJJ esseq 59 8182 UOISOJ anb 101Nd 2110 SAINUDOJQ 02 109 anbOJ UOESIUEDJO SosNeq IPN22e p suon EN1IS SJOU SISSE 91504 onbueq 4013492409 SPIOJJ SJUBJNOJ 9 IUUIXOJJ US 2UOd a 91UP1 2 s podde je Neo 105 SUOLI DDUDSPDJJ uy SJUDUUDIODI 51005 UB499 SS1ISOUIUUN 59102 e 9 2 snid 2 21S21 U09 luoWessino qge anbueq snssap ne szuessind 51095 Sieu xne 595 U0091 AL 56 Iep E SpUL1NUUIS Ip anbiuoydep 9 DILP 5 21504 lt 5 Inod 5q1n02 JP UOISUDIXO 59414504 suoj apoLied 2 ano JUPUUDUNPIC AJNISOJ SUOISI OD s p
28. UJPUU e OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 39 OUTIL 4 METHODE DE HIERARCHISATION DES RISQUES METHODE 1 GRAVITE DU DOMMAGE Tres grave Grave Moyen Benin Tres rare Rare Frequent Tr s frequent EXPOSITION DU SALARIE Benin soin infirmerie dommage mineur Moyen AT avec arr t sans cons quences irr versibles Grave ou M P avec et ou reclassement Tr s grave incapacit permanente d c s Tr s rare exposition exceptionnelle et probabilit d occurrence faible Rare exposition peu fr quente et probabilit d occurrence moyenne Frequente exposition r guli re et probabilit d occurrence forte Tr s fr quente exposition permanente ou quasi permanente et probabilit d occurrence tres forte Source CRAM PAGE 40 METHODE 2 IMPROBABLE POSSIBLE PROBABLE INEVITABLE mais assez a plus ou improbable moins long terme Dommage mineur 5 10 Incident sans dommage corporel 10 20 Dommage corporel mineur 25 50 contusion coupure Dommage corporel grave 125 250 fracture amputation maladie chronique Mort 50 50 100 250 500 M THODE N 3 Fr quence d exposition aux risques F Mode d emploi 1 Occasionnelle quelques fois par an 2 R guli re plusieurs fois par mois 3 Fr quente plusieurs fois par semaine 4 Tr s fr quente plusieurs fois par jour Gravit dangerosit intrins que G 1 Faible incidents b nin
29. ainsi que sur les droits et obligations qui en d coulent www sdtefp rhone alpes travail gouv fr INRS Assure des missions d tude de sensibilisation et d expertise formation certification machines com posants et quipements sur la sant et la s curit de l homme au travail Denombreux guides et outils classes par types de risques sont disponibles sur le site wWwwW Inrs fr Medecine du travail Ce site abrite un ensemble d outils et de guides pour mieux traiter les risques par activite et type de risques www bossons fute com SE FAIRE AIDER ARAVIS Aide les entreprises sous forme de diagnostic court et d accompagnement Le diagnostic court permet l entreprise d analy ser son fonctionnement pour conduire un projet global ARAVIS vise en priorit les PME d sirant optimiser leur d marche de pr vention et son organisation passer du document unique au plan d actions www aravis aract fr CRAM Le Service Pr vention de la CRAM Rh ne Alpes pour mission d aider les entreprises ma triser les risques professionnels et am liorer les condi tions de travail La CRAM Rh ne Alpes peut n gocier des contrats de pr vention avec les entreprises aide technique et financi re pour aider inclure dans les projets d entreprise la ma trise des risques professionnels et l am lioration des conditions de travail www cramra fr entrepri cadrent1 htm Medecine du travail La liste des medecins du
30. altrises situations satisfaisantes am liorer surveiller existe des m thodes de hi rarchisation des ris ques s appuyant sur des syst mes de cotation chif fr e cf outil 4 Toutefois la cotation ne doit pas tre une fin en soi elle n est qu un outil d aide la d cision Par ailleurs en mati re de risques tout n est pas mesurable il est donc n cessaire de d passer cette seule cotation noter que la r gle mentation n impose ni la cotation ni la hierarchi sation des risques Bien qu utiles parce que per mettant d objectiver l appr ciation notamment lorsqu elle est r alis e en groupe il est important de ne pas se laisser emprisonner par l outil et la methode est donc essentiel de confronter la cotation obte nue pour chacun des risques a la representation qu en ont les salaries et a l avis du medecin du tra vail L appreciation des risques est avant tout une affaire de dialogue et de debat collectif EXEMPLE Dans cet office la cotation d un risque lie l clairage de l accueil aboutit une apprecia tion faible du risque La validation de la cotation aupr s des salari es concern es donne lieu debat il ressort que la banque d accueil est situ e en avant d une baie vitr e sans stores don nant sur les pistes reflets permanents sur les crans d ordinateur lumi re intense et l ar d un hall d accueil profond et sombre La banque d accueil est s
31. anisation du temps de travail et l amplitude d ouverture de l office n cessitent que des salari s soient seuls sur certaines plages horaires risque d agression sur personne isole e Renseignements pris aupr s de la FNOTSI il existe peu de chiffres relatifs a l hygi ne la s curit et la sante dans les offices de tourisme Cependant quelques tendances se degagent Risques li s la r alisation de travaux montage demontage de stands dans le cadre de salons avec le contexte sp cifique de la fatigue li e la route de la pression temporelle et des moyens disponibles pour la r alisation de ces op rations Risques li s aux activit s p riph riques d anima tion montage d montage de sc nes estrades Branchements lectriques Utilisation d outils Travail en hauteur personnel non form insuf fisance ou inadaptation des moyens ou outils s Risques li s la manutention manuelle manu tention de la documentation mat riels divers lourds pour les personnels d animation mate riel de sonorisation par exemple Risques li s au contact du public agressivit r currente de la client le conflits Les t moignages des salari s mettent en avant cette probl matique de l agressivit de la client le qui finit par peser en fin de saison du fait du cumul des situa tions conflictuelles La question de l usure au fil des ans amene certains salaries a penser sortir de la fonction d accu
32. ce fait l analyse des risques a pour objet d tudier les contraintes subies par les salari s et les marges de man uvre pour y faire face il existe diff rentes fa ons de r aliser la m me t che Au m me titre que les salari s laborent notamment dans la mani re de s organiser des strat gies d efficacit ils adoptent des strat gies de prudence pour se prot ger ou se pr munir Bien mesurer l cart entre travail prescrit et travail r el Le travail prescrit pr vu tel qu il pourrait appara tre dans une fiche de poste ou un descriptif de fonction correspond ce qu attend la structure du salari Le travail r el tel qu il se d roule effectivement correspond a ce que le salari met en uvre pour r aliser ce que attend de lui En mati re d valuation des risques cette distinction est fonda mentale car ne pas tenir compte de cet cart c est prendre le risque de passer c t de vrais dangers Exemple v cu Le travail prescrit rapatrier le mat riel de sonorisation du bas des pistes l office La proc dure d finie faire appel aux pisteurs pour manutentionner avec leurs engins Le travail r el les pisteurs tant rarement libres au moment requis deux salari s de l office utilisent une table retourn e comme tra neau pour descendre le mat riel une personne l avant et une l arri re Les deux salari s se souviennent non sans en rire de ce jour o celui situ l arri re ayant
33. d au sein du CA qui sui vant les cas n a pas toujours au dela du suivi des resultats une vision tres claire des conditions quo tidiennes d exercice de l activit telles que v cues par les salari s de l office De cet cart peuvent na tre des diff rences de point de vue ou d appre ciation que seul le dialogue peut rapprocher Bien que le seuil d effectif pour l lection de d l gu s du personnel soit de 5 personnes dans la profession la representation du personnel est toutefois assez rare noter que quand ils existent les DP assurent la mission qui incombe un CHSCT Ils ont galement un droit la formation Ils sont en cela des acteurs incontournables de la pr vention Les modalit s de leur implication sont construire avec eux PAGE 10 LE s L animateur de cet office fait tat des risques li s l implantation d un stand d animation empi tant sur la rue principale tr s fr quen t e et du danger que repr sente le passage terre d un cable lectrique d alimentation sur cette rue signale r guli rement ce probl me et demande un changement d implantation Cette requ te est rejet e par le C A qui sou haite voir ce stand demeurer en proximit des commerce EXEMPLES Dans ce second office la realisation du docu ment unique a permis au C A de prendre conscience des dangers li s l animation en front de neige manutentions lourdes dans la neige sur distances impor
34. dans chacune des unit s de travail de lan cer un projet rationalisation des flux et r duction des manutentions portant sur l ensemble de l office approche transversale noter galement que le plan d actions doit porter tant sur le traitement des risques identifi s que sur l am lioration de l organisation et du management de la pr vention Le programme d actions peut se construire sur une base annuelle ou pluriannuelle partir des l ments suivants s Les r sultats du diagnostic de l organisation de la pr vention cf outil 1 s Les r sultats de l valuation des risques Les ressources disponibles Les modalit s de recherche et de mise en oeuvre des actions r alisation en interne sous trai tance Le co t estim de l action La faisabilit technique de la solution envisag e s La facilit et rapidit de mise en uvre recenser les solutions faciles connues et videntes pour donner une visibilit imm diate et concr te au projet Les projets en cours ou a venir dans l office d m nagement r implantation extension r organisation achat de mat riels 11 s agit dans cas de saisir l opportunit d int grer la pr vention le plus en amont possible en phase de conception des projets Dans cet office cit pr c demment le d part d un bureau de poste implant dans les locaux ouvre la possibilit d une extension r implan tation du
35. diennes en front de neige est cet gard lo quent Le stockage du mat riel dans un local d di en bas des pistes a permis de d gager des temps non n gligeables chargement d charge ment du v hicule manutention dans la neige Ces temps se sont report s sur des t ches plus forte valeur ajout e conception pr paration organisation contact la client le VALUER LES RISQUES POUR MIEUX LES PR VENIR 5 CL S POUR R USSIR 1 L employeur est le garant la s curit et de la sant des travailleurs Afin de favoriser la pr vention des risques profes sionnels l employeur s engage sur les objectifs les modalit s et les moyens permettant de cr er une d marche durable Pour cela il associe l ensemble des salari s de l office et les repr sentants du per sonnel quand ils existent Penser aux partenaires externes qui peuvent vous aider Le responsable de l office peut aussi s adjoindre si n cessaire des appuis ext rieurs tout en demeurant le seul responsable de l valuation des risques et des mesures qui en d coulent En premier lieu le m de cin du travail partenaire privil gi qui peut vous conseiller choix des quipements de protection indi viduels information sensibilisation des personnels formations gestes et postures par exemple am na gement des postes de travail travail sur cran Il peut galement r aliser des tudes ponctuelles mesures d clairage par exe
36. e cette tape L engagement et l implication de la direction et du CA del office gage d efficacite et de perennite de la d marche il ne s agit pas de r aliser un coup La demarche n a de sens que si elle initie une organisation durable de la prevention s Les moyens mobilis s notamment en terme de temps La participation des salari s La r flexion pr alable sur la methode comme source de visibilit sur les moyens mobiliser La d signation de la personne en charge du pro jet il anime le projet dans ses diff rentes tapes formalise le document unique met jour les indicateurs assure le lien avec d ventuelles res sources externes Cette mission n cessite une disponibilit qui doit tre valu e en amont Les modalit s de structuration du projet les choix de m thode et les personnes impliqu es sont autant d l ments sur la base desquels peut se construire une organisation p renne et durable de la pr vention Ceci est d autant plus essentiel que l obligation d ac tualisation suppose une gestion et un suivi dans le temps ANALYSER LEXISTANT Comme pour tout projet il convient de se poser 3 questions D o part on O en est on de la pr vention des risques O veut on aller Objectifs en mati re d organi sation de la pr vention Comment y parvenir et avec qui 2 noter que si la pr occupation s curit et sant est plus ou moins pr sente selon
37. e office de d terminer ce qui convient le mieux son organi sation et ses ressources Les points importants pr ciser sont Les objectifs constituer le document unique mener des actions de pr vention am liorer les conditions de travail s Les tapes du projet s Les personnes impliquer dans le projet et les modalit s de leur participation s Les modalit s d analyse des risques de recher che des mesures de pr vention La planification de la d marche et les ch ances du projet Les ressources externes mobiliser m decin du travail organisme de contr le agr s Exemple 1 Dans ce petit office d un effectif de 4 personnes le directeur a d cid d organiser plusieurs r unions avec l ensemble du personnel en basse saison pour valuer les risques Il r dige le document unique sur la base du travail du groupe et le fait valider par ce dernier lors d une r union finale Les mesures de pr vention mettre en uvre sont d finies selon les m mes modalit s Une der ni re tape est pr vue pour validation par le Exemple 2 Cet autre office plus structur comptant 18 per sonnes quivalents temps plein un responsa ble de projet est d sign le comptable Un groupe de travail repr sentatif des diff rentes unit s de travail et m tiers est constitu avec pour mission d valuer les risques et de d finir des mesures de pr vention Les points cl s d
38. eil direct du public apr s un certain temps FNOTSI F d ration Nationale des Offices du Tourisme et Syndicats d initiative OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 9 REPERES POUR AGIR p EVALUER LES RISQUES POUR MIEUX LES PREVENIR 4 RAISONS POUR AGIR SUITE 2 Repondre aux obligations de prevention Lemployeur doit respecter ses obligations en mati re de sante et de s curit au travail La reglementation prevoit notamment que tout employeur est responsable l valuation des ris ques et des actions de pr vention qui en d cou lent revient ce dernier de mettre en place les moyens les plus adaptes pour repondre a son obli gation de resultat dans ce domaine 3 Favoriser le dialogue et les collaborations a tous les niveaux L evaluation et la prevention des risques profes sionnels doit s appuyer sur un dialogue constant et constructif entre la direction de l office les sala ri s ou leurs repr sentants et le conseil d adminis tration Dans ce cadre le document unique en tant qu outil formalis peut une base solide et concrete sur laquelle ancrer l change et le debat L exp rience montre que la sensibilit du conseil d administration aux questions d hygi ne de s curit et de conditions de travail est un facteur fondamental en mati re de pr vention ceci d au tant plus que cette instance intervient dans l attri bution des moyens Par ailleurs le sujet n est pas couramment abor
39. endre en compte Dimension humaine du travail Population fortement f minis e particularit des personnels saisonniers niveaux de formation et exp rience professionnelle 3 Une d marche dynamique L valuation des risques professionnels doit per mettre la mise en uvre d une d marche concer tee qui s enrichit progressivement en s inscrivant dans le temps De cette fa on tous les acteurs de l office responsable salari s C A acqui rent une plus grande ma trise de la pr vention en 5 priant la d marche PAGE 12 4 La participation des salari s et de leurs repr sentants Les salari s sont les premiers concern s par les ris ques auxquels ils sont expos s ce titre leurs exp riences leurs savoir faire et leurs connaissan ces individuelles et collectives des situations de travail contribuent l valuation des risques et la recherche des actions de pr vention engager Naturellement cette participation est assur e pendant les heures de travail Du fait de la petite taille des offices de tourisme et du degr de poly valence souvent de mise le sentiment de tout conna tre est tr s r pandu Lourde est alors la ten tation de faire seul pour gagner du temps L exp rience men e avec les offices des deux Savoie montre que cette certitude n est pas tou jours fiable il existe des diff rences entre la fa on dont on croit que le travail se d roule et la facon dont il est ef
40. ent la r alisation du plan de pr vention o figurent les mesures qui doivent tre prises par chaque entre prise en vue de pr venir ces risques R GLEMENTATION SP CIFIQUE CERTAINS RISQUES INT GRER DANS LE DOCUMENT UNIQUE NON EXHAUSTIF Risques lies la manutention manuelle Art R 231 68 du code du travail Art R 234 6 du code du travail Risques 165 au travail sur cran D cret du 14 mai 1991 Risques lies l ambiance thermique Art R 236 et R 236 1 du code du travail a Risques li s a l eclairage Art R 232 7 a R 232 7 10 du code du travail Art R 235 2 a R 235 2 3 du code du travail Art R 233 23 du code du travail PAGE 6 LES QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES PAR LES OFFICES DE TOURISME Responsabilit civile et p nale de l employeur Responsabilit p nale de l employeur r pres sion cas d accident lorsque la victime a t expos e un risque grave que l employeur pouvait ignorer gt sanction devant les tribunaux l infraction sanctionn e par une contravention fix e par le tribunal de police le d lit sanctionn par letri bunal correctionnel et le crime sanctionn par la cour d assise Responsabilit civile r paration avec l indem nisation integrale de la victime d un accident ou d une maladie professionnelle des lors qu il est d montr que l employeur avait conscience du danger gt obligation d indemniser la victime via la caisse d
41. ers Par ailleurs choix a t fait de centrer ce document sur le c ur de m tier et de ne pas int grer les activit s annexes ou p riph riques dont les offices ont parfois la charge garderie salle des f tes et locaux divers parkings Dans tous les cas lorsque ces lieux constituent des tablissements part enti re de l office un docu ment unique distinct devra tre labor La vocation de ce guide n est pas d tablir un catalogue des risques possibles que chaque office reprendrait son compte et recopierait m caniquement en le consi d rant comme le document unique que chaque responsable d office se doit de par la loi d tablir 11 se veut plut t un outil p dagogique qui doit permettre au sein de chaque structure d engager une r flexion partag e entre direction de l office sala ri s et conseil d administration se donne galement pour objectif d aider l identification des risques propres chaque tablissement unit ou poste de tra vail Si la pr vention suppose le respect de la r glementation elle ne s y limite pas d o un outil insistant davantage sur la d marche de pr vention les m thodes mettre en uvre que sur des solutions toutes faites qui ne correspondent que rarement la r alit des situations concr tes Le document unique d valuation des risques et le plan de pr vention qui doit en d couler constituent l aboutissement de cette d marche commune d velopp e dan
42. es ou periodi ques car c est pr cis ment dans ce contexte que les risques et la probabilit d accident aug mentent Rep rer et comprendre les risques a partir de cette analyse certains risques sont dits trans versaux car concernant plusieurs ou l ensemble des unit s de travail configuration des parties communes des locaux par exemple Dans ce cas ils doivent tre trait s globalement Utiliser ventuellement un check list de ris ques la fin de cette analyse en tant que pense b te pour v rifier si des risques n ont pas t oubli s cf outil 2 Analyse des conditions d exposition aux risques Dans l exemple pr c demment d crit concernant l activit animations au pied des pistes une pre mi re analyse meta priori en avant les risques li s la manutention manuelle du mat riel de sonorisation Une analyse plus approfondie du deroulement du travail revele une situation plus complexe Le mat riel volumineux et tr s lourd risques li s la manutention manuelle est stock dans l office les l ments les plus imposants sont munis de roulettes mais le parcours rencontre 2 marches l int rieur de l office et autres en sortie d office souvent gel es chute de plain pied heurt et contusions L animateur se fait aider par le personnel f minin del accueil quand le Directeur n est pas disponible Le v hicule de transport est gare 20 m tres pas de pos
43. est l l ment central du document unique Dans l extrait page suivante l exemple d crit ci dessus Activit l exterieur de l office est repris noter que l animateur de ce petit office Pr paration et mise en place du mat riel a recours des prestataires externes mais anime d animation estrade sono clairage galement lui m me des manifestations diverses Installation de supports d information et autres animation versus club de 5 banderoles affiches d corations de No l Pr paration et service de vins chauds Unit de travail Animation des manifestations Animation classique et v nementielle Animation participation des activit s spor tives ou ludiques Phases de travail Relations avec prestataires et public Office intra muros Programmation des animations D placements Contacts t l phoniques et relation avec les Trajets station et environs prestataires Trajets moyennes et longues distances Saisie informatique programme gestion salons formations prestataires administrative Trajet domicile travail OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 21 REPERES POUR AGIR ___ DESCRIPTION DES PHASES DE TRAVAIL Preparation et mise en place du materiel d animation Manutention de la sono du stockage au v hicule Transport du mat riel en pied de pistes Manutention de la sono du v hicule au lieu d animation Montage et connexion de la sono
44. et des clairages sur estrade Autres phases de l unit de travail PAGE 22 DANGERS OU FACTEURS DE RISQUES IDENTIFIES Risques li s la manutention manuelle Manutention manuelle chute de plain pied heurts et contusions Manutention manuelle heurts et contusions Risque routier Risques li s la manutention manuelle chute de plain pied heurts et contusions Risque lectrique DESCRIPTION DES RISQUES MODALIT DEXPO SITION AUX DANGERS Local de stockage surencombr et pr sence de stockages dans couloir Difficult s de roulement sur dalles de sol en pierre brute distance de 15 m Manutention manuelle pour passage des 2 marches dans l office et 3 en sortie d office poids de 50 70 kg dimensions de l quipement Levage de la charge dans v hicule absence de rampe de roulement Manutention 2 personnes directeur ou h tesse d accueil Animateur non form gestes et postures Route sinueuse pentue et glissante sur 8 km conditions hivernales Surcharge occasionnelle de l utilitaire leger Animateur non form la conduite sur neige Mat riel non arrim dans v hicule Distance gt 50 m dans la neige avec d nivel idem pour retour Recours aux engins des pisteurs mais pisteurs rarement disponibles au moment voulu Recours au syst me D utilisation d une table comme traineau pour la descente Ambiance climatique froide facteur aggravant pour la manutenti
45. fectivement realise Associer les salari s Estimer leur perception des risques Avoir une analyse approfondie de la r alit des conditions d exposition aux risques Permettre et faciliter leur appropriation des mesures de pr vention EXEMPLE C est en echangeant sur le contenu de son tra vall avec l animateur de cet office que sa direc tion a appris que lors du transport dans son v hicule de bouteilles de gaz pour un vin chaud l une d entre elles manutentionn e sans capu chon a t ouverte par inadvertance d o une fuite importante dans l habitacle pendant le transport Heureusement l animateur qui n tait pas fumeur n a du supporter qu une forte migraine pour le reste de la journ e Ce m me animateur a point dans cet entretien la crainte qu il avait du fait des mouvements de foule de voir un jour marmite de vin chaud se renverser lors du service 5 La prise en compte du travail reel La pertinence de l valuation des risques repose en grande partie sur la prise en compte des situations concr tes de travail qui se differencient des proc dures prescrites et des objectifs assign s par l entre prise En effet le salari est amen mettre en uvre des modes op ratoires ou des strat gies pour faire face aux al as ou dysfonctionnements qui surviennent pendant le travail Selon les cas le salari peut tre conduit soit prendre un risque soit l viter De
46. ffisant Pr sence d empile ments ou stables sur hauteur importante Le lieu de stockage est il suffisamment clair caves 2 CHUTE DE HAUTEUR Risque d AT tr s grave QUESTIONS SE POSER Les escaliers sont ils munis de rampes s Les escaliers sont ils en bon tat Sont ils glis sants ou irr guliers neige et verglas en ext rieur sols mouill s en int rieur s Les activit s li es l information l animation le montage de stands de salons int grent elles du travail en hauteur d corations de no l bande roles de rue affichage s Quelles sont les activit s dans l office n cessitant un acc s en partie haute rangements tag res vitres clairage stockages 2 s Les moyens mis la disposition du personnel sont ils adapt s aux t ches ou rel vent elles du syst me D chaise empilement d objets escalade 2 EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Mat riel adapt escabeaux stables marche pieds s D gagement des espaces et hauteurs limit es Logique de rangement en fonction des charges Bonne signal tique identification ais e des l ments stock s Racks et rayonnage adapt s au poids des charges EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Moyens adapt s aux t ches et hauteurs platefor mes nacelle escabeaux chelles plateformes chafaudages mobiles EPI harnais Recours personnel quip et qualifi services techn
47. ilit es qualifi es et quip es OUI lectricit travail en hauteur VOS PARTENAIRES EN PR VENTION Pr sentez vous vos salari s selon la p riodicit requise la m decine du travail OUI Avez vous connaissance de la fiche d entreprise relative aux risques professionnels tablie par le m decin du OUI Avez vous eu des contacts avec d autres acteurs de la pr vention CRAM pompiers inspection du OUI Si oui avez vous pris en compte les remarques ventuellement formul es OUI ORGANISATION DE LA S CURIT Avez vous une personne s occupant des questions de s curit ou de conditions de travail OUI Si oui cette personne a t elle suivi une formation sp cifique OUI Avez vous effectu des visites de l office avec pompiers CRAM Inspection du travail organismes agr s de contr le OUI Fournissez vous gratuitement des quipements de protection individuels adapt s OUI v tements chaud lunettes solaires chaussures cr me solaire autres Si oui les salari s les portent ilS aksa ous sueur PENTA ein OUI FORMATION ET INFORMATION Existe t il une procedure formalis e d accueil des nouveaux salari s OUI Si oui i
48. illeurs laquelle il doit proc der en application du para graphelll a de l article L 230 2 Cette evaluation comporte un inventaire des ris ques identifi s dans chaque unite de travail de l entreprise ou de l tablissement O Inventaire ne s agit pas d un relev brut de donn es mais d un veritable travail d analyse des modalites d expo sition des salaries a des dangers ou des facteurs de risques Unit de travail Poste de travail plusieurs types de postes situations de travail avec les m mes caract ristiques lieux etc Cet aspect de la loi est abord de fa on plus d taill e dans la suite de ce document Modalit s et conditions d exposition D velopp ult rieurement dans ce document La mise jour est effectu e au moins chaque ann e ainsi que lors de toute d cision d amenage ment important modifiant les conditions d hy gi ne et de s curit ou les conditions de travail travaux d extension r implantation d m nage ment modification des postes ou quipements ou lorsqu une information suppl mentaire concernant un risque dans une unit de travail est recueillie Le document unique est tenu la disposition des d l gu s du personnel ou d faut des personnes soumises un risque pour leur s curit et leur sant du m decin du travail et leur demande de l inspecteur ou du contr leur du travail et des agents des services de pr vention de la CRAM L obligation
49. iques mairie entreprises ext rieures s Rampes d escalier antid rapants s Salage et d neigement auvent CHUTE DE PLAIN PIED Risque de heurts contusion traumatismes divers QUESTIONS SE POSER s Les sols sont ils glissants sols lisses et mouill s par visiteurs et en mauvais tat rev tement d grad trous 2 s Les acc s l office sont ils deneiges sales Pr sence de d nivel s petits d calages de hau teur de sol s Les zones de circulation et de d placement dans l office sont elles encombrees documentations cartons mat riel c bles lectriques notamment du syst me informatique s L clairage int rieur et ext rieur est il suffisant s Les salari s se d pla ant fr quemment dans la station sont ils quip s de chaussures adapt es EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Chaussures adapt es pour l ext rieur s Deneigement salage Rev tement de sols antiderapants suppression des in galit s du sol Nettoyage r gulier eau neige Circulations et espaces d gag s clairage suffisant OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 33 OUTIL 2 AMBIANCE THERMIQUE ET CLIMATIQUE Risque de refroidissement fatigue mauvaise r cup ration QUESTIONS SE POSER s Quelles sont les personnes expos es aux intempe ries conditionshivernales en ext rieur fr quence 2 s La temp rature notamment pour le travail de bureau est elle suffisante s L accueil es
50. ises ext rieures risques interf rents co activit OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 17 REPERES POUR AGIR p ETAPE 2 Quelques precicions Deplacements Doivent tre consid r s les d placements professionnels et les trajets domicile travail les accidents de trajet tant d clar s en tant qu AT D autant plus que le lieu d habitation des salari s d office est sou vent excentr s par rapport la station o les co ts de logement sont tr s lev s Accueil La distinction back et front office n est pas applicable tous les offices notamment dans les petites structures o l activit d accueil int gre simultan ment les deux Hygi ne et s curit g n rale des locaux Incendie lectricit circulations et d placements vol et intrusion locaux sanitaires et sociaux amena gement des locaux Entreprises exterieures Un plan de pr vention doit tre tabli par l office et l entreprise intervenante cf r glementation p 6 Cette proc dure vaut galement pour les activit s des salari s de l office dans des lieux ou espaces r gis par d autres structures activit s de pr paration d installation de sonorisation de montage dans une salle des f tes mise disposition par la commune La methode va donc consister identifier les dangers et risques de chacune des unit s au regard des 3 items activit t ches intra muros l ext rieur et d placements E
51. l ch prise mat riel et coll gue situ l avant sont partis en luge heureusement sans consequence grave hematome la cheville OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 13 REPERES POUR AGIR Ca UNE DEMARCHE EN 6 ETAPES SOMMAIRE TAPE 1 Preparer la demarche de prevention Elaborer une strategie Analyser l existant TAPE 2 valuer les risques s Phase 1 D finir les unit s de travail s Phase 2 R aliser un inventaire des risques Phase 3 Estimer les risques Phase 4 R diger le document unique TAPE 3 laborer un programme d actions Operer des choix et mettre au point une strategie ETAPE 4 Mettre en uvre et assurer le suivi des actions de pr vention Designer une personne charg e du suivi s Organiser planifier TAPE 5 valuer la d marche de pr vention Assurer le suivi Dresser un bilan p riodique TAPE 6 Actualiser le document unique PAGE 14 1 PREPARER LA DEMARCHE DE PREVENTION C est une tape importante car elle conditionne le succes de la demarche Pour cela il est necessaire d elaborer une strategie en sante et securite au tra vail int gr e a l activit de l office en fixant des objectifs et en d finissant une organisation adap t e LABORER UNE STRAT GIE s agit de d finir les modalit s de conduite du projet d valuation et de pr vention des risques professionnels appartient chaqu
52. legation de pouvoir qui est une construction purement jurisprudentielle Le juge appr cie pour chaque cas d esp ce la r alit mat rielle de la d l gation invoqu e en fonction notamment de comp tence de l autorit auto nomie de d cision y compris financi re et des moyens dont dispose le d l gataire Direction de l office L existence d un crit s av re insuffisante pour tablir la r alit d une d l gation En conse quence la responsabilit d un conseil d adminis tration Pr sident et tr sorier en particulier peut tre engag e existe certes des assurances per mettant de couvrir la responsabilit p nale notamment sur le plan financier Toutefois aucune de ces assurances ne couvre le co t humain du dommage En cela la pr vention doit pr valoir sur la r paration OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 7 REPERES POUR AGIR PARTIE 2 PRINCIPES DE LA DEMARCHE La prevention des risques professionnels consiste prendre les mesures n cessaires pour pr server la sant et la s curit des travailleurs dans le cadre du droit du travail et du dialogue social POUR AGIR IL EST INDISPENSABLE de r aliser une valuation des risques profes sionnels c est dire un diagnostic des risques propres l office puis de mettre en uvre des mesures de pr vention ces mesures r sultent de choix et de priorit s inscrits dans un plan d action Ces deux phases s
53. les offices de tourisme elle reste toutefois rarement structur e et formalis e Les questions num r es ci dessus s appliquent 2 niveaux L organisation de la pr vention la forme L analyse et le traitement des risques le fond OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 15 REPERES POUR AGIR 4 1 Organisation de la prevention existante Un outil de diagnostic sous forme de questions permettant de r aliser un rapide tat des lieux vous est propos en fin de document cf outil 1 d bouche sur un bilan en termes de points forts points faibles marges de progres Il est aussi outil de dialogue de debat et de reflexion interes sant lorsqu il est rempli en collectif Risques existants et connus s agit de recenser les analyses effectu es les don n es produites et les mesures d j prises en mati re de pr vention des risques professionnels existe peu d informations formalis es dans ce domaine au sein des offices d o l int r t de faire appel au v cu et la m moire collective des salari s Parmi les donn es ventuellement disponibles citons pour m moire s Les accidents du travail AT ou maladies profes sionnelles MP s Les presque accidents ou incidents sans cons quence observ s chaque poste les AT qui ont failli ou auraient pu se produire Les risques identifi s par le m decin du travail et les ventuelles tudes r alis es
54. mple Autres partenaires service pr vention de la CRAM organismes agr s de contr le pompiers OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 11 REPERES POUR AGIR ND PARTIE VALUER LES RISQUES POUR MIEUX LES PR VEN 5 CL S POUR R USSIR 2 Une d marche globale Un des objectifs d une d marche globale de pr vention des risques est de parvenir une analyse exhaustive des risques professionnels passage oblig vers des actions concr tes de pr vention Comprendre pour agir tel est l esprit de l valua tion des risques analyser les situations de travail en s appuyant sur les conditions d exposition des travailleurs aux risques afin de mieux les ma triser Dimension technique du travail Le personnel des offices est parfois expos des ris ques li s la conception des locaux locaux souvent pr vus pour d autres activit s l origine escaliers et tages normes lectriques et incendie v tust dans certains cas Moyens mat riels et outils inadapt s pour certaines activit s am nagement des postes Dimension organisationnelle du travail Les conditions de r alisation du travail et par cons quent l organisation du travail sont des d terminants essentiels de la s curit et de la sant au travail r partition des t ches organisation du temps de tra vail m thodes de travail degr de sp cialisation ou de polyvalence possibilit s de coop ration sont pr
55. ns m caniques pour offices de taille importante transpalettes manuels lectriques chariots diables s Risques li s au bruit en tant que facteur aggravant t l phone public incompatibilite avec certaines t ches n cessitant concentration et vigilance bureaux collectifs ouverts s Harc lement client le ou interne s Risques li s aux circulations et d placements flux internes et externes l office s Risques lies l hygi ne hygiene et entretien des installations sanitaires lieux de repos ou de restauration Risques li s au manque de comp tence de formation et d exp rience des salari s processus d accueil d int gration et de professionnalisation des nouveaux compris saisonniers et CDD formation conti nue assistance en cas de difficult Risques li s l alcoolisme tabagisme toxicomanie environnement de la en station caract re convi vial des relations commerciales PAGE 38 OUTIL 3 LA METHODE 5M EXEMPLE MOULE AZP FPUIECUUO SULRIGOJA SPU eu Ns NNPUOJ E SULOJ UOU JINAJEUIUY A PUUOI SEDO seumsod P 951956 BULOJ UOU NUM INOJ auo pejd NN JUBULOLU SPIUOJSIP LEUR SINEISI Sed SP UIULLAJ PULO SEJ JEJ SDULISISSW p P repap ALNNqUOJSA
56. nseigner le public r pondre au t l phone en gerant l impatience de la file d at tente encaisser r pondre aux courriels qui 5 cumulent porter le courrier heure fixe etc En p riode de haute saison cette situation devient difficile g rer notamment en terme de d fini tion des priorit s en r sulte des tensions au sein de l quipe que la direction elle m me charge de multiples fonctions ne g re pas Au fil de la saison le sentiment de ne pouvoir faire face la charge s accro t le climat se d grade la fatigue se fait sentir Concernant cette phase d identification deux sources sont a prendre en compte s Les risques identifi s lors de l tape 1 analyse de l existant cf p 15 s La liste indicative des risques identifi s en office de tourisme dans le cadre de l exp rience men e avec les offices des 2 Savoie cf outil 2 Analyser les conditions r elles d exposition aux risques des salari s pourquoi L analyse des risques n cessite d aller plus loin qu une simple identification des dangers Il est essentiel de partir des situations r elles de travail et de s int resser aux conditions dans lesquelles sont expos s les salari s ne s agit pas tant de conna tre les risques pour les rep rer dans le travail que de comprendre le d roule ment et la r alit du travail pour en rep rer les ris ques Au del des risques connus ou qu il est possible d imaginer
57. nt gre t elle la dimension s curit OUI Le personnel est il form l utilisation des mat riels de lutte contre l incendie OUI Existe t il un sauveteur secouriste pour dix 5 lt OUI Le personnel est il form aux gestes et 5 lt OUI Le personnel a t il suivi une formation gestion des 572 OUI Le personnel d animation ou le personnel impliqu dans la participation des salons a t il suivi desformationstechniques ss sssssssssssrss OUI Le personnel r alisant des travaux de montage d montage de stand ou autres travaux de preparation li s l animation ou l information dans la station ont ils les outils quipements et protections ad quats 1 OUI PAGE 30 NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON NON INTERVENTION D ENTREPRISES EXTERIEURES Vous concertez vous avec les entreprises exterieures venant faire des travaux dans vos locaux m nage travaux divers OUI NON R digez vous avec ces entreprises un plan de pr vention OUI NON PERSONNEL SAISONNIER STAGIAIRES CDD Existe t il une proc dure
58. nt rap proch s pour analyser les risques interf rents notamment en ce qui concerne les activit s du personnel de l office sur le domaine skiable L objectif est d laborer des mesures et proc dures de s curit communes 4 Contribuer la performance de l office et la qua lit du service la client le Les accidents du travail repr sentent un co t humain mais galement conomique absen t isme sollicitation accrue des salari s pr sents d sorganisation difficult s de remplacement notamment en pleine saison baisse du moral et de la motivation d gradation du climat et des rela tions sociales turnover etc Ces effets sont parti culi rement pr judiciables dans les m tiers de service impliquant une relation directe la clien tele car le lien bien tre du salari qualit de la relation au client n est plus a demontrer Autrement dit il est difficile de se montrer accueil lant souriant attentif comprehensif patient quand la situation globale de travail devient source d insatisfaction En outre la demarche de prevention des risques et d am lioration des conditions de travail parce qu elle oblige questionner l organisation du tra vail d bouche tr s souvent sur des gains en mati re d efficacit et de qualit du travail Les exemples en la mati re sont nombreux EXEMPLE kz Le cas mentionn pr c demment de l anima teur r alisant des manutentions lourdes quoti
59. on Animateur non form techniquement et non habilit Alimentation g n rale par c ble courrant dans la neige passage potentiel de skieurs Outils non adapt s Conformit v rifier PHASE 3 ESTIMER LES RISQUES s agit s D apprecier le niveau des risques afin de les hi rarchiser D tablir des priorit s pour clairer les choix n ces saires l laboration du programme d actions Les criteres d appreciation pour un office peuvent tre les suivants Antecedents d accidents de maladies incidents et presque accidents s Fr quence d exposition au risque ou ala situation risque ex pour l animateur pr c demment cit l exposition aux rayons U V ou une ambiance thermique basse repr sente de 60 80 de son temps d activit en pleine saison le webmestre passe 90 de son temps sur cran s La gravit potentielle des accidents ou atteintes la sant que penser par exemple des risques d addic tion alcool dans un contexte de travail se devant convivial s La probabilit d occurrence des risques risques permanents ou occasionnels s Le nombre de salari s concern s La perception du risque par les salari s ATTENTION L appr ciation se fait en tenant compte des moyens de pr vention existants s agit d valuer la capacit de maitrise des risques de l office l instant T risques connus et maltrises risques nouveaux et non m
60. on du temps de travail ACTIONS DE PR VENTION ACTIONS SUR LES VOLUTION DE COMP TENCES SOLUTIONS L ORGANISATION DES SALARI S TECHNIQUES DU TRAVAIL Dans cet office les solutions retenues l accueil pour r pondre au risque agressivit de la client le combinent de fa on compl mentaires les 3 niveaux susmentionn s Solutions techniques r fection d une partie de la banque d accueil mise en place d un coin accueil l cart pour entretien avec client m content vitement du ph nom ne de foule suppression du cahier de dol ance remplac par des fiches individuelles am lioration du service la lecture du cahier alimentant les Comp tences des salari s formation gestion des conflits travail collectif sur les proc dures suivre et mise en commun des pratiques tenue d un cahier r pertoriant les motifs de conflit rep rage des causes Organisation du travail rotation entre front et back office modification des plannings pour supprimer le travail isol sur certaines plages d ouvertures Pour vous aider dans cette tapeet la suivante vous trouverez en fin dedocument cf outil 7 programme d actions de pr vention PAGE 26 4 METTRE EN UVRE ET ASSURER LE SUIV DES ACTIONS DE PR VENTIONS D SIGNER UNE PERSONNE CHARG E DU SUIVI Si possible une personne ayant t impliqu e au premier chef dans la d marche d valua
61. ons clairage et sonorisation d animation d corations lumineuses sont elles r alis es par du personnel form techniquement s Les outils et protection sont ils adapt s isola tion s Les installations lectriques temporaires anima tion sont elles s curis es et conformes EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Syst mes de d tection et d alarme Extincteurs en nombre suffisant accessibles signal s et v rifi s Issues de secours d gag es et signal es Plan d intervention consignes et proc dures plan d vacuation Visite des pompiers EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION R alisation des installations lectriques par du personnel qualifi Interventions sur les installations par du person nel habilit s V rification p riodique des installations par per sonne comp tente organisme agr Signalisation des zones dangereuses armoires locaux techniques s Formations techniques Appui par services techniques de la commune s Outils et protections adapt s MANUTENTION MANUELLE Risque d AT et de MP probl mes lombalgiques hernie discale QUESTIONS SE POSER Dans quelles situations et conditions les manu tentions sont elles r alis es Peuvent elles tre r duites ou supprim es s Quelles sont les activit s concern es brochures documentation mat riel d animation 2 s Quels sont les moyens d aide la manutention 2 Sont ils adapt s s
62. ont indissociablement li es l valuation n a aucun int r t si elle conduit pas la mise en uvre de mesures de pr vention VALUER LES RISQUES POUR MIEUX LES PR VENIR 4 RAISONS POUR AGIR 1 Prot ger la sant et la s curit des travailleurs L absence d accident ou de maladie profession nelle ne signifie pas qu il n y a pas de risque z ro AT MP n equivaut pas risque zero En effet l valuation des risques suppose qu un travail d anticipation soit r alis au sein de l office afin comprendre et d analyser tous les ph nom nes susceptibles de faire na tre un risque pour la sant et la s curit au travail Ca fait des ann es qu on accroche les tions de no l en escaladant le toit et les balcons sans protection Rien n est jamais arriv En plus le directeur et l animateur qui le font ont un dipl me d escalade 115 maltrisent Par ailleurs l exp rience men e avec les offices des deux Savoie a mis en vidence au del des aspects humains et techniques l importance de l organisa tion du travail tant du point de vue des risques induits que des solutions envisageables XAT accident du travail maladie professionnelle Dans cet office une politique volontariste de d veloppement de la polyvalence permet d as surer une rotation sur les postes les plus peni bles lorsqu une personne sature l accueil par exemple Dans tel autre l org
63. organisation amelioration accueil et information r gulation des flux de publics gestion des effectifs selon affluence rotation au besoin sur les postes r duction des files d attente guichets rapides bornes d infor mation interactives amplitude des horaires D finition de proc dures collectives et de consi gnes sur la conduite tenir en cas de conflit ou d agression recours coll gue direction accueil part de la personne s Conception des locaux acc s banque d accueil espaces am nag s d attente pour viter l aggluti nation contre banque d accueil m nagement d un espace de confidentialit Am nagement des espaces canalisation desflux limitation des acc s lors des manifestations festi ves mouvements de foule AGRESSION Risque d atteinte physique et traumatisme psychologique QUESTIONS SE POSER Le personnel manipule t il desliquidit s caisses 2 Le personnel transporte t il des liquidit s convoyage p destre ou transport routier selon quelle fr quence dur e distance modalit s personne seule horaire 2 Existe t il des situations de travail isol animation personnes seules sur certaines plages horaires points info hors office Eclairage des abords de l office distance des par kings EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION s Conception des lieux limitation de l acc s en arri re de banque profondeur du plan de la ban que implantation
64. par ce dernier le m decin du travail est un conseil incontourna ble dont il faut se rapprocher dans le cadre de votre projet s Les risques connus au sein de l office Les observations ventuelles faites par des orga nismes institutionnels ou autres acteurs de la pr vention CRAM inspection du travail orga nismes de contr le agr s pompiers s Comptes rendus de r unions de DP lorsqu ils existent PAGE 16 2 EVALUER LES RISQUES valuer c est comprendre et estimer les risques pour la sante et la s curit des salari s dans tous les aspects li s au travail impliquequel office dresse pour chaqueunitedetravail un invantairedes risques iden tifi s Ensuite les r sultats de cette analyse conform ment au code du travail doivent tre transcrits dans un document unique PHASE 1 DEFINIR LES UNITES DE TRAVAIL limite pas forc ment une activit fixe mais peut Le d coupage de l office en unit s de travail per aussi couvrir des lieux diff rents office intra met de regrouper des zones ou activit s homog muros activit en ext rieur d placements nes en termes d exposition aux risques Ce d cou page doit aussi int grer les activit s des salari s saisonniers et de tout autre personnel occasion L objectif n est pas de raisonner en termes de per nel sonnes car le traitement d un risque li une acti vit par exemple r sout de toute fa on le pro L unit de
65. res comprennent les actions de pr vention des risques professionnels d information et de formation ainsi que la mise en place d une organisation et de moyens adapt s Les mesures de pr vention prises doivent respec ter l ordre suivant viter les risques valuer les risques qui ne peuvent tre vit s s Combattre les risques a la source agir sur les causes plut t que sur les effets Adapter le travail l homme en particulier lors de la conception des postes de travail du choix des quipements de travail des m thodes de tra vall s Tenir compte de l tat d volution de la techni que NTIC par exemple Remplacer ce est dangereux par ce n est pas dangereux ou par ce qui est moins dange reux Planifier la prevention en y integrant dans un ensemble coh rent la technique l organisation du travail les conditions de travall les relations sociales et l influence des facteurs ambiants Prendre les mesures de protection collectives en leur donnant la priorite sur les mesures de pro tection individuelles appareils de levage plut t que corde et harnais par exemple s Donner les instructions appropri es aux travail leurs informations et consignes de s curit D CRET DU 5 NOVEMBRE 2001 R 230 1 DU CODE DU TRAVAIL L employeur transcrit et met jour dans un docu ment unique les r sultats de l valuation des ris ques pour la s curit et la sant des trava
66. res supports RISQUE ROUTIER Risque d accident potentiellement grave QUESTIONS A SE POSER Distances domicile travail et conditions de route Existe t il des possibilites de restauration sur place quipements disposition coin repas 2 s Quelles sont les facilit s de transport en commun 2 s Les v hicules professionnels sont ils correcte ment entretenus et quip s pour les conditions hivernales de route Existe t il des consignes claires concernant l uti lisation du t l phone portable au volant s Dans quelles conditions sont effectu s les depla cements professionnels en particulier pour les longues distances salons et autres pression temporelle conduite de nuit chargement du v hicule EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION a Favoriser les transports en commun notamment pour les d placements longues distances s Couper letrajet h tel mi parcours par exemple Formation conduite sur neige STRESS CHARGE MENTALE Risque li la sante mentale tat depressif QUESTIONS SE POSER s Les constats suivant vous paraissent ils applica bles votre situation s D calage entre exigences lev es de r sultats et moyens disposition Responsabilit et autonomie sur les r sultats et faibles marges d autonomie et d initiative Manque de reconnaissance et d valorisation Injonctions contradictoires Contexte de relations tendues ou conflictuelles
67. risques bien que pratique n est pas suffisante elle ne permet pas de comprendre les conditions d expositions aux risques elle debouche souvent sur la formulation d une solution qui certes soigne les effets mals ne s attaque pas aux causes r elles elle ne permet pas un rep rage complet des risques d o la n cessit de passer par une analyse du travail PAGE 20 Analyser les conditions reelles d exposition aux risques des salaries comment s Lister les activit s r alis es dans l unite de travail Decomposer le d roulement du travail en phases en allant au plus pr t des t ches telles qu elles sont r ellement accomplies certains risques renvoient plus l activit globale au poste qu une phase particuli re de travail ambiances physiques par exemple Dans ce cas utiliser l intitul activit globale au poste gt s Comprendre comment se fait concr tement le travail en faisant expliquer par le s salari s concern s est important d associer tant que se peut le personnel l analyse pour d passer la vision th orique du travail L cart existant entre l id e qu on fait du travail et la fa on dontil se d roule r ellement est parfois surprenant s Aller observer sur place si n cessaire Prendre en consid ration le travail en mode normal quand tout va bien mais aussi en mode d grad ou inhabituel surcharge d ac tivit al as t ches occasionnell
68. s 2 Peu important incidents b nins avec arr t 3 Moyen maladie professionnelle accident avec arr t 4 Grave risque tr s grave mortel Probabilit de survenue de l v nement 1 Faible 2 3 Elev e 4Tr s lev e Chaque risque sera donc valu par le biais dela formule suivante total FxGxP Les notes ainsi obtenues T permettront de clas ser et hi rarchiser les risques Plus la noteT sera lev e et plus le risque sera pr sent et n cessitera donc un traitement priori taire dans le cadre du plan d actions OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 41 san muods sonbneud guaupdinbo SIRMO gno anbsu UOMIPPE UOISSBAUDE 5 spao p anyo poid urd no naney SAS SUUBAINDS DISOJ np UOISOKbO BIPUDRUI anbsu UONESI ENSA SULDO P anbu AM SUBUUDULOKBI SNDIUEDBUU DI PNUBUU UOQUEMUELU JADUR UONE NURA SBNDLUIUD Ssnbsu QUE UNUJ sanbsu Sn lt Sap SN t fr SPANSPUU NO SPSLUPEIE JUOUNOJI 59 SOIJRUOPI 10 so 5 22 BAEDIPUI 351 JNS
69. s ce guide Enfin il est pr ciser au lecteur qui s interrogerait sur le bien fond d une telle d marche dans un secteur ne pr sentant pas le niveau de risques observ s par exemple dans le b timent ou l industrie que l approche ici d velopp e d passe le simple aspect hygiene et s curit est avant tout question d approche globale dela sant au travail dans sa double dimension physique et mentale Est prise ga lement en compte la question des risques diff r s ceux qui agissent avec le temps qui rel vent plus de l usure physique ou mentale que de l accident brutal et sou Des lors que le regard port sur les risques professionnels adopte cette large focale la notion de pr vention prend d j plus de sens dans le contexte de l acti vit des offices de tourisme R dacteur de ce guide Didier BISSON Charg de mission Aravis Responsable de l antenne d Annemasse R USSIR VOS RECRUTEMENTS PAGE 1 REPERES POUR AGIR a SOMMAIRE PAGE 01 AVANT PROPOS PAGE 05 REP RES R GLEMENTAIRES PAGE 09 PRINCIPES DE LA D MARCHE PAGE 14 UNE DEMARCHE EN SIX TAPES Etape 1 Preparer la demarche de prevention tape 2 valuer les risques Etape 3 Elaborer un programme d actions Etape 4 Mettre en uvre et assurer le suivi des actions de pr ventions tape 5 valuer la d marche de pr vention Etape 6 Actualiser le document unique PAGE 28
70. secteur accueil L ensemble des ris ques identifi s dans le cadre de l valuation probl mes d clairage ambiance thermique rangement manutention s curit des person nes etc est int gr au cahier des charges de l architecte D o un projet de conception qui librant les imp ratifs efficacit du travail qua lit du service et l accueil pr vention des ris ques et conditions de travail Le plan d actions peut porter directement sur la mise en uvre de solutions ou lorsque cela est n cessaire sur la recherche de solutions tudes compl mentaires groupe de travail pour les ris ques les plus complexes Cette recherche doit autant que possible respec ter l ordre des principes g n raux de pr vention cf r glementation p 5 s appuyer comme pour les tapes pr c dentes sur la participation des salari s concern s pour garantir l adoption de solutions adapt es et efficaces OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 25 REPERES POUR AGIR _ 3 Grandes familles de solutions Les actions de pr vention peuvent porter sur trois principaux types de solutions ind pendantes ou combin es Comp tences des salari s information sensibilisation formation consignes et proc dures Solutions techniques protections individuelles ou collectives quipements am nagements divers mat ria Organisation du travail r partition des t ches coop ration polyvalence organisati
71. sibilit de le rapprocher L encore le parcours se fait souvent dans neige ou glace chute de plain pied manutention manuelle Le v hicule n est pas muni d une rampe de chargement v hicule utilitaire l ger Le chargement n est pas arrim faute de sangles ou autre syst me de fixation chute d objets Le parcours de l office au bas des pistes est de 8 km Les conditions de route sont typiques du milieu montagnard forte d clivit virages serr s conditions hivernale Certaines animations requ rant d autres mat riels le v hicule est par fois tr s charg risque routier La suite de cet exemple renvoie l exemple d crit page 12 qui met en vidence d autres situations risque pour cette activit noter que l approche par le d roulement r el du travail et l analyse des conditions d exposition aux ris ques de l animateur permis non seulement de ne pas oublier de risques mais aussi d en identifier les d terminants D o une analyse des causes qui laisse entrevoir des solutions adapt es a la situation Pour les situations de travail int grant des facteurs de risque multiples et combin s il peut s av rer utile d utiliser la m thode 5 M cf outil 3 Extrait du tableau de retranscription des risques Letableau de retranscription des r sultats des risques Pr paration affiches et autres supports cf mod le vierge et exemple rempli outil 5 et 6 Entretien et stockage du mat riel
72. t il expos des courants d air au froid A l inverse la temp rature est elle importante dans les locaux en saison chaude baies vitr es expos es au soleil a ration ventilation EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION s Fourniture de v tements adapt s boissons chaudes ou froides pauses s Chauffage adapt l activit 20 en bureau Sas d entr e Stores pour rayonnement direct les stores interne n emp chent pas l effet de serre RAYONNEMENTS ULTRAVIOLETS Risque d ophtalmie des neiges insolation br lure cancer de la peau QUESTIONS SE POSER Quelles sont les personnes expos es frequem ment aux rayons U V s Des protections individuelles sont elles fournies et utilis es EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Port de lunettes de soleil protection U V de 3 4 Application de cr me solaire cran total indice 25 30 s Couverture de la t te PRATIQUES SPORTIVES ET DE LOISIRS Risque de collision ou chute en ski AT et traumatismes divers QUESTIONS SE POSER s Les salari s conduits accompagner des person nes ou groupes presse animation autres sont ils form s pour les activit s qu ils prati quent ou accompagn s par des professionnels s Ces personnels sont ils amen s conduire des engins motoris s de loisir scooter des neiges engins chenilles quad s Les mat riels skis fixations chaussures sont ils adapt s entretenus et
73. tantes conditions climatiques cables lectriques courrant dans la neige sur passage des skieurs bousculades lors des vins chauds etc Decision a ete prise de construire un petit local qui selon l anima teur non seulement a consid rablement am lior ses conditions de travail mais qui plus est l organisation l efficacit et la qualit de son travail Cette m me qualit de dialogue sur le champ dela pr vention a fait ses preuves avec d autres acteurs tels que les collectivit s locales et les soci t s d ex ploitation du domaine skiable et des remont es m caniques noter galement l int r t pour cer tains risques de mutualiser les moyens entre offi ces de tourismes _______ Les offices n etant pas dotes des competences et moyens materiels adaptes a certaines de leurs activit s en lieu et place du syst me parfois de rigueur le recours aux services tech niques des municipalit s ou des remont es m caniques peut s av rer pr cieux tel office fait appel aux services techniques de sa com mune pour les travaux en hauteur utilisation d une nacelle avec personnel habilit ou pour les activit s n cessitant des branchements EXEMPLE Lo electriques tel autre fait appel aux engins de la soci t de remont es m caniques pour les manutentions lourdes et volumineuses Dans cette station la soci t des remont es m caniques et l office de tourisme se so
74. tion et d elabo ration du document unique ORGANISER PLANIFIER D finir qui va faire quoi dans quel d lai et avec quels moyens planification et organisation du plan d actions pilotage de la pr vention De ce fait la mise jour du document unique peut se faire au fil des actions mises en uvre L avantage de cette formule tant de maintenir la dynamique et de faire vivre la pr vention en vitant l oubli dans letiroir TAPES VALUER LA D MARCHE DE PR VENTION Cette phase de retour en boucle consiste assurer le suivi et dresser un bilan p riodique ASSURER LE SUIVI s Des mesures r alis es dans le cadre du plan d action s Des m thodes utilis es et de leur ad quation la situation De l organisation de la pr vention mise en place DRESSER UN BILAN PERIODIQUE POUVANT CONDUIRE A Valider les actions et m thodes mises en uvre Corriger ou ajuster les actions r alis es Le risque est il radiqu M aitrise Reste t il un risque r siduel ou m me un nouveau risque induit par la solution mise en uvre Le rem de peut parfois s av rer pire que la maladie TAPE 6 ACTUALISER LE DOCUMENT UNIQUE La m thode de conduite du projet pr vention des risques professionnels telle que propos e dans ce guide correspond une d marche de progr s continu La d marche initi e doit se p renniser Le d cret du 5 novembre 2001 impose une mise jour au moins annuelle du document
75. travail doit tre comprise au sens large bl me pour l ensemble des personnes concern es et peut recouvrir des situations tr s diverses d or quels que soient leur poste ou leur fonction ganisation du travail Son champ peut s tendre Cette remarque vaut particuli rement pour les offices du poste de travail plusieurs types de postes de petite taille o la polyvalence est un mode d orga accueil back office Elle peut concerner des nisation incontournable Dans ce cas ce sont avant m tiers ou des fonctions webmestre direction tout les conditions d exposition aux risques qui des situations de travail pr sentant les m mes varient entre un salari exer ant de fa on quasi caract ristiques accueil front office De m me permanente cette activit et celui qui vient en renfort d un point de vue g ographique l unit ne se occasionnel Inventaire th orique des unit s de travail Le tableau ci dessous plus qu un modele est un mode de raisonnement pour d limiter les unit s de tra vail appartient chaque office l adapter son organisation Le principe est de croiser les lieux de tra vail et les activit s fonctions ou postes peut tre interessant de remplacer les croix de l exemple par la liste des activit s t ches et situations de travail ACTIVIT S DANS LES ACTIVIT S D PLACEMENTS LOCAUX DE LOFFI CE L EXT RIEUR DE L OFFICE Sp cificit s personnel saisonnier CDD int rim b n voles Entrepr
76. urplomb e par une rampe de spots de forte intensit lumineuse orient s sur les h tesses d accueil blouissement vision de la client le en contre jour Dans ce contexte l ensemble de ces facteurs et en particulier les differences importantes de luminosite en fonc tion des zones contraignent l il une adapta tion permanente sur sollicitation Les h tesses se plaignent de fatigue visuelle de picotement des yeux yeux rouges de Migraines en fin de journ e Finalement le traitement de ce ris que est replace dans les priorit s du plan d ac tions de prevention OFFICES DE TOURISME DE MONTAGNE PAGE 23 REPERES POUR AGIR p ETAPE 2 PHASE 4 REDIGER LE DOCUMENT UNIQUE Le document unique est le support transcrivant les r sultats de l valuation des risques r alis e sur la base des deux tapes identification des dangers et analyse des risques autrement dit l analyse des conditions d exposition aux risques Il ne se r duit en aucun cas un document type une check list ou une grille Sa forme doit tre adapt e aux particulari t s de chaque office afin de le rendre op rationnel en tant qu outil d aide a la d cision Au del du r glementaire il peut s av rer utile d inte grer Une pr sentation de l office effectifs fonctions organigramme 51 existe Un bref rappel des textes r glementaires de refe rence une description de la m thode d valuation mise
77. v rifi s p riodique ment co activit sur le domaine skiable avec la soci t d exploitation des remont es m canique fait elle l objet d un plan de pr vention 2 Le personnel d animation quand il est directe ment impliqu dans les activit s dispose t il d une trousse de premiers soins PAGE 34 EXEMPLES DE MESURES DE PR VENTION Formation adapt e des personnels Entretien des mat riels Plan de pr vention avec remont es m caniques r flexion commune sur la s curit Trousse de premiers soins et gants de protection en nitrile plut t que latex car risque allergisant risque d exposition au sang VIH h patites Formation secourisme AGRESSIVITE CLIENTELE Risque de stress usure nerveuse fatigue irascibilite anxiete QUESTIONS A SE POSER s Quelles sont les diverses modalit s de contact et de relation au public accueil animation direction a Existe t il une proc dure d finie de traitement des situations conflictuelles Le personnel est il form a la gestion des conflits s Avez vous identifi des motifs r currents d oc currence des conflits La configuration des lieux et la nature des situa tions de contact induisent elles ce phenomene EXEMPLES DE MESURES DE PREVENTION s Formation a la gestion des conflits Analyse syst matique et suivi des causes de conflit ou d agression et r unions de service d briefings collectifs s R flexion sur l
78. xemple 1 Dans cet office deux salari es de l accueil activit intra muros emportent et rapportent chaque jour une caisse volumineuse de courrier la poste activit ext rieure notamment en p riode d envoi des brochures La distance est de 100 m tres sur sol glissant et enneige d o risques de chute manuten tion manuelle Exemple 2 Ce comptable d un office de station de haute altitude activit intra muros transporte une fois par semaine les encaissements r alis s Le convoyage dans sa voiture personnelle se fait sur une distance de 17 km jusqu la banque situ e dans la vall e o ce dernier reside d o risques d agression braquage Exemple 3 La charg e de relations publiques et presse de cet office alterne des phases intensives de travail de redac tion activit intra muros des activit s l ext rieur visite du domaine skiable et des d placements r guliers salons manifestations rencontres d o risques li s au travail sur cran la pratique du ski ou la conduite d engins scooter des neiges risques li s aux rayonnements risque routier PAGE 18 PHASE 2 R ALISER UN INVENTAIRE DES RISQUES s agit dans cette phase D identifier les dangers c est a dire la propriete ou la capacite intrinseque d un lieu ex stockage des documentations et archives d un quipement ex massicot pour pr paration des affiches d une substance ex produit de net

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