Charte Sanitaire Couvoir
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1. Le camion ne transporte pas simultan ment des ufs et des poussins En ce qui concerne les camions utilis s successivement pour le ramassage des ufs et des poussins il est indispensable de pr voir une d contamination syst matique compl te et une surveillance rigoureuse pour des camions allant charger des OAC et ayant pr alablement livr des poussins Cette pratique n est pas recommand e car elle augmente le risque de contaminer des levages de reproducteurs 2 3 Au couvoir La ou les d sinfections lorsqu elles sont pratiqu es doivent tre qualifi es valid es respect es Les OAC r ceptionn s r pondent des crit res qualitatifs d finis par le couvoir Les ufs sont v rifier par rapport ces crit res En cas de pr sence d ufs qui n entrent pas dans ces crit res de r sultat des mesures sont mises en place pour retrouver un niveau acceptable 14 Dans le cas d approvisionnement ext rieur le cheptel d origine r pond aux m mes exigences que celles que s impose le couvoir L incubation d oeufs import s est autoris e sous r serve que l accouveur se conforme aux dispositions r glementaires concernant l importation d oeufs couver Ces oeufs sont syst matiquement consid r s comme suspects et g r s part voir leur suivi dans le process Chapitre V 15 CHAPITRE Sh NETTOYAGE amp DESINFECTION DU COUVOIR kkkkkkkkk PRINCIPES GENERAUX2. d fense adopt es raisons et mise en uvre infection du personnel certaines personnes peuvent souffrir d infections dont les germes sont dangereux pour les poussins La l gislation ne permet pas dans son tat actuel un d pistage syst matique Il reste que le personnel peut tre inform et doit l tre en lui faisant confiance pour prendre les mesures adapt es si n cessaire les cons quences de la d tention de volaille les personnes sont inform es du risque d entretenir des volatiles chez elles susceptibles d tre porteurs de germes pathog nes ex Salmonella Enteritidis et ou Typhimurium 1 LE PORT DU VETEMENT DE TRAVAIL Le v tement de travail prot ge le personnel contre les salissures et vite les contaminations du produit par les op rateurs Dans le sas d entr e du personnel une tenue sp cifique est rev tue Une douche peut tre prise dans certains couvoirs ex couvoirs de s lection Le v tement de travail comporte e une charlotte couvrant compl tement les cheveux surtout dans la zone closion e une cotte ou une blouse e des chaussures Les cottes seront r alis es dans un tissu facilement nettoyable ex m lange coton polyester Les cottes ou blouses et les chaussures seront r guli rement lav es Les charlottes et les masques sont jetables Le personnel de maintenance respecte le port du v tement de travail De m me des kits pack visiteurs sont mis dispositi
3. Le but est d valuer les conformit s des pratiques sanitaires effectu es sur le terrain et de la documentation permettant la ma trise des risques sanitaires L auditeur a acc s l ensemble du couvoir et de ses locaux annexes ainsi qu un levage de reproduction pour v rifier la protection et l hygi ne de l uf d s la ponte Les documents et les enregistrements relatifs la Charte sont examin s Des entretiens sont men s avec la direction et les personnes responsables des actions A la fin de l audit une r union est organis e pour pr senter l ensemble des responsables de l entreprise le projet de compte rendu qui fait appara tre les carts constat s par rapport au r f rentiel Le couvoir r pond dans un d lai de 15 jours sur ses carts Une fois le dossier complet le rapport est transmis la commission d Agr ment compos e de personnalit s comp tentes dans le domaine sanitaire des couvoirs mais neutres au point de vue concurrentiel Son r le est d mettre un avis concernant la d livrance de l agr ment Elle est aussi charg e de r actualiser le r f rentiel en fonction de l volution de la pathologie et de la technologie Le secr tariat de la commission est assur par le permanent du SNA La commission compte 5 membres et un pr sident 2 v t rinaires sp cialis s tr s au fait de l volution des probl mes du terrain 1 repr sentant de la recherche sp cialis
4. e aux conditions propres du couvoir conforme aux r glements et arr t s sanitaires amp conforme la charte de qualit sanitaire conforme aux modes d emploi reconnus efficaces par les fabricants ou mol cules chimiques pr paration et administration des vaccins etc Les proc dures sont crites par le couvoir Leur mise en oeuvre est ensuite v rifi e et approuv e par l auditeur reconnu par le SNA Le couvoir formalise les mesures de pr vention sanitaire permettant la ma trise des points critiques La documentation est ensuite diffus e aupr s des personnes concern es qui appliquent ce qui est crit Une documentation souple facile g rer adapt e au personnel et op rationnelle est mettre en place Un suivi des actions d finies est assurer en permanence En cas de d rives le couvoir met en place les actions correctives et en assure le suivi et en v rifie l efficacit I AMENAGEMENTS DU COUVOIR D signation des zones des fronti res des circulations des postes de d contamination et des salles d hygi ne pour le personnel amp Description des modes de ventilation de chaque salle et des pressions positives ou n gatives s il y a ventilation forc e amp Fr quence et m thode d entretien des filtres si existants amp Fr quence et m thode de lavage et d sinfection des salles de chaque type d quipement avec d signation des personnes en charge amp Fr que
5. e en pathologie aviaire repr sentant de la profession accouvage et d sign par le SNA 1 repr sentant des organismes publics impliqu s dans la fili re et d sign par POFIVAL La n cessit d avoir un titulaire permanent chacun de ces postes nous a amen s demander un autre v t rinaire ainsi qu une autre personne issue de la Recherche de participer aux commissions lorsqu un membre titulaire se trouve absent La Commission en a profit pour que ce nouveau collaborateur v t rinaire apporte ses comp tences particuli res en fonction des esp ces Gallus chair Gallus ponte Pintade Palmip des et Gibiers plumes Le Pr sident convoque la commission pr sente les dossiers anime la discussion et enregistre les d cisions sans y prendre part En cas d indisponibilit d un commissaire il peut tre remplac sur l initiative du Pr sident par une personne inscrite sur la liste des suppl ants et coopt e par la commission En cas d indisponibilit du Pr sident la commission est pr sid e par son doyen d ge En fonction de la situation rapport e par l auditeur la commission si elle d cide d accorder l agr ment indique le d lai maximum de validit du dit agr ment Cette p riode ne peut d passer 3 ans Le couvoir b n ficiant de l agr ment doit demander lui m me un passage de l auditeur avant que sa p riode expire S il omet de le faire l agr ment prend fin la
6. rifier l existence de portes tanches par rapport lorsqu elles sont ferm es et contr ler les flux Les prises d air sont dans des zones non contamin es La diffusion dans les salles se fait en fonction des besoins et en prenant soin d assurer un diff rentiel de pression pour permettre une circulation de air des zones propres vers les zones sales Il existe diff rents modes de ventilation Ventilation statique Ce mode permet pas de guider la hi rarchie des salles est bas e sur l existence de portes ferm es Ventilation dynamique L extraction est install e de fa on viter un recyclage de l air vici dans l admission d air Un syst me de filtration de l air d entr e est souhaitable et doit tre inspect et entretenu suivant les instructions du fabricant Le mat riel est accessible et facilement nettoyable Les gaines de distribution ainsi que les a rothermes et changeurs d air sont nettoy s au moins tous les mois Le syst me d extraction ainsi que les canalisations qui d bouchent sur les closoirs sont nettoyer apr s chaque closion Ventilation mixte admission statique et extraction dynamique La d pression doit tre hi rarchis e 3 SOLS PAROIS PLAFONDS Ils sont en mat riaux permettant un nettoyage et une d sinfection efficaces Les sols sont carrel s ou en ciment lisse ex ciment quartz et les murs lisses Un entretien
7. seau public ou annuelle si r seau public e identification des oeufs par parquet d origine identification des oeufs pondus au sol ainsi que des oeufs provenant d un parquet suspect par salmonelle ou mycoplasme e Marquage des oeufs import s contr les de d sinfection de la salle de r ception et du camion avant et apr s transport 2 GESTION DU STOCK D OEUFS Points critiques e marquage des lots d oeufs par parquet par date de ponte e contr le bact riologique des surfaces tous les mois ou deux mois en fonction du lieu 3 PROGRAMMATION DE L INCUBATION Risques sanitaires 29 mauvaise identification utilisation d oeufs ne r pondant pas aux normes sanitaires ceufs sales contamination d oeufs sains par des oeufs porteurs de salmonelle mycoplasme lors de l incubation contamination d oeufs sains par des oeufs d importation Points critiques d signation des lots charger n troupeau date de ponte nombre contr les sanitaires des parquets reproducteurs incubation part pour les oeufs provenant d un parquet suspect pour salmonelle ou mycoplasme incubation part pour les oeufs import s 4 MISE SUR PLATEAUX D INCUBATION Risques Sanitaires manque de propret de la salle et du mat riel suceurs de mise sur plateaux et des chariots d incubation manque de propret du personnel lavage des mains tenue ad quate m langes d oeufs provenant de parquets de
8. 16 Le nettoyage et la d sinfection des salles des machines et du mat riel ne peuvent tre effectu s dans de bonnes conditions que si des consignes d ordre sont respect es dans le couvoir Par exemple e pas d ustensiles de nettoyage ou d entretien tra nant dans les salles e une bonne s paration entre les mat riels sales et propres e mat riel et outils sp cifiques chaque zone produits de nettoyage outils de d pannage On distinguera donc 3 phases e le rangement qui facilite le travail de nettoyage ult rieur e le nettoyage qui d barrasse les surfaces de leurs souillures e la d sinfection qui abaisse au maximum le nombre de micro organismes non limin s par le nettoyage Les appareils difficiles d acc s tels que les gaines les a rothermes les ventilateurs font l objet d une surveillance et d un entretien r guliers L accumulation de poussi res potentiellement contaminantes est nuisible pour le produit 1 LE RANGEMENT Le mat riel stock peut devenir un risque en l absence d entretien Il est n cessaire de pr voir des points de rangement l abri du duvet et de contr ler visuellement que le mat riel est sa place 2 LE NETTOYAGE 1 1 Le nettoyage m canique L adh rence d une souillure augmente avec le temps Le nettoyage m canique est r aliser le plus rapidement possible apr s la fin de la p riode de travail concern e Le balayage des salles se fait sur sol hu
9. DE NETTOYAGE La pr paration des solutions de nettoyage d sinfection est r alis e selon un protocole bien d fini et ma tris e par les op rateurs Au moins deux lieux de pr paration des produits sont envisager afin de limiter les circulations de personnel l un en zone propre et l autre en zone sale L entreprise met la disposition du personnel les outils n cessaires la ma trise des dosages ex doseurs identifi s et les quipements pour la s curit du personnel gants masques Des fiches explicatives sont d finir en pr cisant le dosage le lieu d utilisation et les pr cautions d emploi 5 CONTROLE DES APPAREILS AUTOMATISES DE DOSAGES Des pompes doseuses sont r guli rement utilis es L tat de fonctionnement de ces appareils est v rifier au moins une fois par an En cas d cart constat une remise en tat est r aliser pour retrouver un niveau acceptable 6 CONTROLES VISUELS ET BACTERIOLOGIQUES DE L EFFICACITE DES ACTIONS SANITAIRES Les contr les visuels et bact riologiques ont plusieurs objectifs V rifier l efficacit des proc dures de nettoyage d sinfection V rifier le respect des proc dures en cours Avoir un tat des lieux sanitaire un moment donn contr le de propret et d ambiance Intervenir de fa on pr ventive en cas de mauvais r sultats 6 1 Contr les visuels Le contr le visuel consiste v rifier et assurer un
10. date de l ch ance Le couvoir doit alors red poser une demande d agr ment L accouveur soucieux de maintenir le niveau sanitaire de son organisation peut demander un passage d auditeur bien avant l expiration de son agr ment pour v rifier que son syst me reste bien op rationnel TABLE DES MATIERES Conception du couvoir Protection et hygi ne de l oeuf gt Nettoyage et d sinfection du couvoir gt Hygi ne du personnel gt Gestion des risques techniques et sanitaires ANNEXES gt Ma trise des risques sanitaires gt Liste des proc dures mettre en dans le cadre de la Charte de Qualit Sanitaire La R glementation sanitaire en accouvage Page s 12 16 22 26 29 34 37 CHAPITRE I ORLO LILLO LO ROLO CONCEPTION DU COUVOIR 1 AGENCEMENT 1 1 Partie propre Partie sale L accroissement du nombre de germes s observe pendant l closion La partie closion du couvoir est plus propice la multiplication et la dispersion de contaminants ventuels C est pourquoi le couvoir est divis en trois zones e une zone propre incluant les salles de tri des oeufs stockage des oeufs pr chauffage et incubation e une zone transfert consid r e comme alternativement propre puis sale et qui joue un r le tampon entre les deux zones Apr s son statut de zone sale pendant la dur e du transfert la salle est nettoy e et d sinf
11. est disponible Adressage en closoir salle amp Suivi du flux sp cifique suspects imports amp Recyclage sous lavage d sinfection des casiers vides amp Nettoyage d sinfection de la salle de transfert ECLOSION TRI ET COMPTAGE amp D sinfection permanente en closoir amp Suivi du fichier par troupeau date et nombre Incorporation du nombre de poussins obtenus Suivi sp cifique suspects imports amp Technologie vaccinations si pratiqu es lt Evacuation des d chets amp Recyclage des casiers chariots amp Nettoyage d sinfection des machines et salles Pr l vements des m coniums pour analyse 35 B gt LIVRAISON amp Suivi du fichier par troupeau date et nombre dans la constitution des lots livr s amp Destination des lots suspects pr l vements suivi amp Nettoyage et d sinfection de la salle poussins amp Nettoyage et d sinfection des camions amp Recyclage des emballages retour lavage et d sinfection HYGIENE DU PERSONNEL R gles r gissant l entr e et la sortie du personnel d contamination tenues R gles r gissant les d placements entre zones d contamination tenues amp Pr vention des contaminations d origine f cale amp Conduite sp cifique tenir concernant les lots suspects amp Technologie vaccination pr paration injection hygi ne amp R gles concernant les chauffeurs pour viter l importation de
12. et d exp dition les salles de lavage du mat riel sont lav es et d sinfect es apr s chaque p riode de travail Ceci est galement souhaitable pour la salle de tri des oeufs ou d faut au moins 1 fois par semaine Les quais de d chargement des ufs et de chargement des poussins sont nettoyer apr s chaque journ e d utilisation La d sinfection liquide peut tre compl t e par une d sinfection gazeuse ou par a rosol au moins 1 fois par semaine 3 4 Les mat riels Tous les mat riels utilis s chariots casiers etc sont lav s et d sinfect s apr s chaque utilisation et enfin rang s Les suceuses utilis es au niveau de la r ception des ceufs et du transfert entrent directement en contact avec le produit Elles sont d monter nettoyer et d sinfecter apr s chaque p riode de travail 19 3 5 Les camions de livraison La livraison des poussins d un jour se fait avec des camions propres Ils sont lav s et d sinfect s apr s chaque utilisation La cabine est propre et entretenue Les zones difficiles d acc s introduction d air et ventilateurs extracteurs sont nettoyer r guli rement pour viter l accumulation de duvet ancien Les planchers amovibles doivent tre enlev s pour nettoyer le dessous Le chauffeur dispose d une tenue compl te pour effectuer ses livraisons Sa tenue doit tre chang e ou nettoy e apr s chaque journ e de livraison 4 UTILISATION DES PRODUITS
13. personnel se lave les mains e l entr e au couvoir et si possible apr s s tre d chauss et avant de manipuler les tenues propres au couvoir e entre 2 changements de poste de travail e apr s tre all aux toilettes 24 Il est galement souhaitable qu au cours de certaines op rations critiques ex sexage le personnel se lave les mains entre la manipulation de deux parquets diff rents Des lavabos sont install s obligatoirement c t des W C D autres lavabos peuvent tre r partis dans le couvoir aux points jug s critiques en particulier au passage zone propre zone sale Chaque lavabo est quip e d un distributeur de savon liquide bact ricide approvisionn e d un essuie mains usage unique e d unbac pour r cup rer les essuie mains usag s e cet ventuellement d une brosse ongles plus particuli rement dans les vestiaires et la zone duvet Les lavabos commandes non manuelles sont obligatoires 2 4 Passage Zone propre zone sale Il est hautement conseill de changer de v tement en cas de passage zone propre zone sale Un vestiaire est pr vu cet usage L organisation du travail permet de restreindre le plus possible les passages zone sale Zone propre au cours d une m me p riode de travail Les tenues zone propre sont diff renci es des tenues zone sale couleurs diff rentes marques sp cifiques 2 5 Les toilettes
14. r gulier de ces surfaces est indispensable Les sols permettront l absence d eau stagnante et les caniveaux l vacuation des eaux us es Un plan d entretien des siphons et canaux d vacuation est d fini Il est conseill de raccorder par arrondis les murs entre eux ainsi que le sol et les plafonds 4 APPROVISIONNEMENT EN EAU Des analyses bact riologiques sont effectu es et les r sultats sont conformes aux crit res bact riologiques de potabilit 4 1 Param tres microbiologiques Il convient de v rifier que l eau r ellement utilis e en bout de circuit ne constitue pas une source de bact ries pathog nes ou potentiellement pathog nes L eau doit donc tre conforme aux crit res bact riologiques de potabilit e Bact ries a robies revivifiables 36 C et apr s 48 h lt ou 20 par ml d eau pr lev e 22 C et apr s 72h lt ou 100 par ml d eau pr lev e e Coliformes totaux absence dans 100 ml d eau pr lev e Coliformes thermotol rants absence dans 100 ml ces deux crit res peuvent tre remplac s par E Coli absence dans 100 ml e ASR absence dans 100 ml Streptocoques f caux absence dans 100 ml Staphylocoques pr sum s pathog nes absence dans 100 ml d eau e Salmonelle absence dans 5 litres d eau pr lev e surtout en cas d utilisation de l eau de forage ou de puits 4 2 P riodicit des pr l vement A effectuer de pr f re
15. reproducteurs de statuts diff rents Points critiques contr les visuels et ou bact riologiques et mycologiques de la salle du mat riel marque sp cifique des tenues secteur propre identification des casiers par parquet et date de production 5 PRECHAUFFAGE Risques sanitaires manque de propret de la salle de pr chauffage Points critiques contr les visuels et ou bact riologiques et mycologiques de la salle 6 INCUBATION Risques sanitaires circuits ne repectant pas la marche en avant manque de propret de la salle des machines manque de propret du personnel lavage des mains tenue non application des mesures relatives aux oeufs import s 30 fr quence insuffisante des vides sanitaires en incubateur chargement multiple Points critiques contr les visuels et ou bact riologiques et mycologiques de la salle des machines une fois tous les deux mois tenue sp cifique secteur propre acc s r serv des employ s d clar s la DSV pour les incubateurs contenant des oeufs import s contr le du respect des dur es et des fr quences minimales de vide sanitaire enregistrement de la localisation en machines de chaque lot par troupeau charg 7 TRANSFERT Risques sanitaires communication avec salles d closoirs contenant des poussins contamination du syst me de transfert par des ufs de mauvaise qualit pseudomonas aspergillus all es et
16. service du 31 ao t 2001 8129 Note d information du 26 juillet 2002 N 1205
17. sinfectant La d sinfection a pour objectif de d truire les micro organismes encore pr sents sur les surfaces l issue des tapes pr c dentes de nettoyage et rin age interm diaire Le d sinfectant utilis est un produit homologu Cette autorisation de vente est obligatoire pour tous les d sinfectants destin s l levage et l industrie agro alimentaire loi du 22 d cembre 1972 L homologation du produit pr cise la dose d emploi en fonction du type de microorganisme atteindre Dans le cas des couvoirs on tiendra compte de l effet de dilution lorsqu on applique la solution d sinfectante sur une surface pr alablement mouill e Plusieurs facteurs influencent l activit d un d sinfectant e la nature et l tat des surfaces e la qualit bact riologique et physico chimique de l eau de dilution e concentration e la temp rature e le type de d tergent utilis pour le nettoyage pr alable Ces facteurs font l objet de protocoles d finis et d une surveillance rapproch e dans leur mise en uvre tant pour des raisons d efficacit que de co t Le d sinfectant utilis r pond la fois plusieurs exigences Par exemple avoir un large spectre tre utilisable faible concentration sans danger pour les utilisateurs chimiquement stable et sans action corrosive sur les mat riaux 2 2 Principales familles de d sinfectants Dans les grandes familles de d sinfectants on renc
18. Les cabinets la turque sont proscrire Ils favorisent la transmission des germes par les semelles des chaussures Les toilettes sont install es de pr f rence l int rieur du couvoir pour viter le risque repr sent par la circulation du personnel en tenue de travail en dehors du couvoir Il est imp ratif d en disposer un en zone propre et l autre en zone sale afin de limiter la circulation de personnel entre les zones Ces cabinets sont parfaitement entretenus sols et cuvettes 25 CHAPITRE ORO LILLO ROLO ROLO LO GESTION DES RISQUES TECHNIQUES amp SANITAIRES 26 La pr vention des risques sanitaires oblige le couvoir g rer son processus de fabrication pour assurer la tra abilit de fa on identifier avec la plus grande s ret possible la source d une infection constat e la s paration physique des lots suspects par une gestion adapt e des de fa on viter la propagation horizontale d une infection potentielle 1 TRACABILITE e La premi re condition exig e pour une bonne tra abilit est videmment l identification des lots d OAC par num ro de troupeau et date de ponte marquage des casiers ou marquage des oeufs et le maintien de l identification tout au long du process incubation closion tri livraison e La seconde condition est la connaissance des adresses de chaque lot entr dans le process localisation des oeufs dans les machines e
19. S N A CHARTE DE QUALITE SNA DANS LES COUVOIRS Juin 2003 AVANT PROPOS La CHARTE DE QUALITE SNA DES COUVOIRS est extraite du guide de bonnes pratiques de l accouvage de novembre 1997 con u par les professionnels et les comp tences scientifiques Cette Charte s appuie sur la notion capitale de cha ne ininterrompue de l hygi ne et d finit les moyens de ma trise sanitaire qui doivent tre mis en uvre de mani re effective efficace et permanente Ce document s int resse e l origine et la qualit des produits r ceptionn s e aux locaux de travail s paration des zones marches en avant e aux personnels formation professionnelle et hygi ne e aux techniques d hygi ne conduite des op rations nettoyage d sinfection e la gestion des flux L volution relativement rapide de la production et sa concentration ont eu pour cons quence d accro tre de fa on sensible les risques sanitaires et conomiques La plupart des germes pathog nes tant communs diff rentes esp ces les n gligences des uns deviennent pr judiciables aux autres Pour garantir un approvisionnement constant des volailles d un jour indemnes de certains germes pathog nes il devient imp ratif d appliquer les m mes mesures l ensemble des couvoirs et des fermes de production La mise en application l ensemble des entreprises d accouvage de proc dures tudi es collect
20. des chantillons couvoir ou dans des examens de fonds de boite ou de poussins morts la livraison la r glementation s applique arr t du 26 octobre 98 Il faut alors s en remettre la DSV et au v t rinaire sanitaire On v rifie que la tra abilit gr ce au suivi des identifications dans le process fonctionne bien Chapitre V On v rifie que les proc dures de d sinfection et de vide sanitaire dans le process sont bien en place et respect es On sensibilise le personnel changement de tenue fr quents lavage de mains Dans le cas de suspicion d une autre contamination ou pour une esp ce diff rente de Gallus gallus on applique les mesures suivantes De nouveaux chantillons sont pr lev s suivant une strat gie aussi discriminante que possible pour e confirmer qu il y a bien un probl me et non une erreur de laboratoire ou de pr l vement e d terminer les pistes de recherche en liaison troite avec les personnes charg es du suivi des troupeaux de reproducteurs Aussi longtemps que la menace persiste il y a lieu de renforcer les mesures de tra abilit regrouper les origines r duire le nombre de parquets par chargement livrer des lots homog nes 33 ANNEXE II LISTE DES PROCEDURES DONT L EXISTENCE ET LA MISE EN OEUVRE CONDITIONNENT L AGREMENT DU COUVOIR AU TITRE DE LA CHARTE DE QUALITE SNA Les proc dures cit es font l objet d une r daction amp adapt
21. e chaque levage en fonction de ses quipements 2 1 Lors de sa collecte Le magasin les salles de d sinfection et de stockage des OAC et le sas sanitaire sont maintenus propres et non poussi reux Les ufs sont ramass s au minimum une fois par jour et plus si n cessaire et stock s dans une salle appropri e distincte du local des poules et quip e pour cette fonction Les ufs pondus au sol sont ramass s part les ufs sales d form s blancs ou f l s sont limin s premier tri Les oeufs l g rement souill s surface souill e de la taille d une grosse pi ce de monnaie sont nettoy s sec par l ger frottage la paille de fer ou au papier de verre ou par lavage d sinfection au moyen d un syst me prouv agitation temp rature constante 13 renouvellement de la solution d sinfectante Les diff rentes op rations sont rigoureusement respect es La d sinfection des ufs et des chariots qui les supportent constitue l un des meilleurs moyens pour se d fendre contre l introduction de contaminants v hicul es par les coquilles ou les chariots Elle intervient l levage et ou au couvoir suivant le plan d hygi ne adopt par le couvoir La mise en uvre se r alise selon des protocoles rigoureusement valu s quant leur efficacit La d sinfection l levage d s la fin du ramassage est la plus efficace Les concentrations temp ratures humidit et dur e requi
22. e m thode unique pour contr ler les surfaces Cependant le couvoir met en place une m thode reproductible et dont les r sultats sont analys s et interpr t s La recherche des germes porte sur diff rents germes en fonction des objectifs du couvoir Par exemple e la Flore Totale e les Coliformes e les Streptocoques e les Pseudomonas e les Aspergillus e les Salmonelles Les lieux et les fr quences sont tablis par l entreprise en fonction des points risques Par exemple e une fois tous les deux mois dans les salles de r ception des oeufs de stockage des oeufs d incubation e une fois par mois dans les zones transfert closoir zone de tri de stockage et d exp dition La synth se des r sultats est communiqu e au personnel du couvoir Des mesures correctives sont mettre en oeuvre en cas mauvais r sultats 21 CHAPITRE IV ORO AH AH AH AH LO LORO HYGIENE DU PERSONNEL 22 1 FORMATION Le personnel employ dans le couvoir n est pas neutre sur le plan sanitaire Il est tr s impliqu sur l aspect sanitaire de son travail Pour une bonne mobilisation il doit tre invit participer aux actions De plus il doit tre rigoureusement form de fa on th orique et pratique sur plusieurs points les contaminants leurs capacit s et conditions de d veloppement propret et la d sinfection son propre r le dans le transport des contaminants les mesures
23. e prendre connaissance des textes li s la ma trise sanitaire Vous trouverez ci dessous une liste de textes r glementaires qui concerne l accouvage Si vous ne disposez pas certains d entre eux vous pouvez les demander au SNA qui vous les transmettra Directive 90 539 du 15 octobre 1990 relative aux conditions de police sanitaire r gissant les changes intracommunautaires et les importations en provenance de pays tiers de volailles et d ufs couver Directive 92 117 du 17 d cembre 1992 concernant les mesures de protection contre certaines zoonoses et certains agents zoonotiques chez les animaux et dans les produits d origine animale en vue de pr venir les foyers d infection et d intoxication dus des denr es alimentaires Arr t minist riel du 8 juin 1994 modifi fixant les mesures de lutte contre la maladie de Newcastle Arr t minist riel du 8 juin 1994 modifi fixant les mesures de lutte contre l Influenza aviaire Arr t minist riel du 16 janvier 1995 modifi par l arr t minist riel du 1 juillet 1999 relatif aux conditions de police sanitaire r gissant les changes intracommunautaires de volailles et d ufs couver Arr t minist riel du 26 octobre 1998 modifi relatif la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis ou Salmonella Typhimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus en fili re ponte d ufs de consommation Arr t minist riel du 26 oc
24. e surveillance des dispositions mises en uvre e S assurer de la propret visuelle du couvoir du rangement du mat riel e S assurer de l application des instructions d finies e V rifier la tra abilit des actions sanitaires pr vues 20 e v rifier que les enregistrements pr vus sont correctement compl t s et que les actions correctives ont t mises en ceuvre lorsque les r sultats ne sont pas satisfaisants Ce contr le est r aliser de pr f rence par des personnes qui ne travaillent pas en permanence dans le couvoir Ce qui permet d avoir l ceil ext rieur La v rification visuelle est assurer une fois par semaine au niveau e des salles de r ception de stockage des oeufs d incubation e des zones de transfert closoirs tri de stockage d exp dition Un suivi des anomalies relev es est r aliser Pour chaque anomalie l action corrective est mise en place et enregistr e 6 2 Contr les bact riologiques Le contr le bact riologique des surfaces constitue un indicateur de l efficacit du nettoyage d sinfection mais ne permet en aucun cas de rendre compte de la contamination r elle du site par un pathog ne sp cifique exemple salmonelle C est galement un bon moyen d ajuster les dosages des produits utilis s et de valider les nouveaux produits Les contr les doivent tre effectu s sur des surfaces s ches et avant la r utilisation du mat riel Il n existe pas d
25. ect e afin de lui faire r int grer le statut de zone propre e une zone sale incluant les salles des closoirs tri exp dition lavage et d sinfection du mat riel Les d chets de couvoir sont limin s vers des zones sp cifiques sans possibilit de contaminer le produit Ils sont stock s dans un sas isol L acc s r serv l quarrisseur est limit cette zone d chet 1 2 Marche en avant cf sch ma page 8 La circulation des oeufs dans le couvoir se fait dans un sens tabli et unique allant de la zone propre la zone sale sans possibilit de retour en arri re On s applique tendre ce principe e au mat riel de mani re viter tout entrecroisement entre mat riel souill et mat riel lav et d sinfect e au personnel changement de v tements entre les zones personnel sp cialis Les postes sont con us de fa on limiter le nombre de changements de tenue dans le cours des op rations L adh sion du personnel ces op rations est d une grande importance e cfp9 e l eau cfp9 Il est fondamental que la conception du couvoir permette ces mouvements En effet le non respect de cette r gle constituerait une n gation des principes sanitaires de base Il est alors n cessaire de trouver une solution m me au prix d un r investissement 1 3 Utilisation des salles des closoirs Progressivement la r glementation vise lutter contre plusieurs s
26. es ou de maladies qui peuvent au terme de la cha ne affecter la sant des consommateurs L accouveur a donc int r t d celer au plus t t ces probl mes liminer les troupeaux porteurs et limiter au maximum la diffusion horizontale des germes responsables dans ses installations Compte tenu de l investissement consid rable que repr sente un troupeau il est hors de question de l liminer sur une simple suspicion Il faut v rifier et confirmer la contamination Pour g rer des lots suspects de nombreuses solutions sont envisageables stockage des ufs en attente concentration des lots suspects dans certains incubateurs fonctionnant si possible en chargement unique Transfert en fin d op ration vers des closoirs sp cialis s et si possible salle d closion sp cialis e Sortie en fin d op ration et chargement direct en camion sans passage par les salles poussins Dans ce cas le nettoyage des salles sp cialis es doit tre particuli rement vigilant d gagement des lots suspects d oeufs vers un couvoir secondaire consacr cette activit Les proc dures d pendent videmment de la conception de chaque couvoir et de ses quipements Le personnel charg des manipulations et des nettoyages d sinfections doit appliquer les proc dures sp cifiques de d contamination des quipements et du personnel 3 MAITRISE DES ACHATS D OAC ET DE POUSSINS Le couvoir surveille en permanence les r
27. germes partir des levages clients IV SURVEILLANCE SANITAIRE COUVOIR gt BACTERIES CHAMPIGNONS amp Plan de contr le bact riologique du couvoir Les contr les portent sur plusieurs germes vis s et t mions de la qualit de la d contamination amp Flore Totale Coliformes Streptocoques Pseudomonas Aspergillus Salmonelles La fr quence de contr le bact riologique en fonction des zones est une fois tous les deux mois R ception oeufs Stockage oeufs Incubation une fois par mois Transfert Eclosoirs Tri Stockage Exp dition Par exemple Prises d chantillons p riodiques Surfaces des salles Int rieur et ext rieur des machines lt Gaines et bouches d a ration amp Contr le de l efficacit des lavages d sinfection des mat riels recycl s des quipements stables RECHERCHES SPECIFIQUES amp Evolution d infection d tect e par la routine amp Recherches cibl es pour retrouver et identifier les sources 36 ANNEXE HI La r glementation sanitaire en accouvage Les mesures visant mieux lutter contre certains germes pathog nes se renforcent L application de certains textes r glementaires est parfois devenue obligatoire La DSV se charge de v rifier le respect des exigences r glementaires Pour les autres textes le SNA recommande ses adh rents d adh rer aux d marches volontaires visant lutter contre certaines pathologies ou d
28. if si contraignant qu il soit ne pr voit aucune action d radication ni m me de surveillance contre des maladies transmissibles aussi importantes conomiquement que les mycoplasmes les maladies pseudomonas et les aspergillus entre autres L agr ment DSV n est donc pas en soi suffisant pour tre s r que fourni au couvoir soit sain Or il n y aucun sens pratiquer une gestion sanitaire rigoureuse du couvoir si les ufs employ s sont des vecteurs d infection Il est donc n cessaire que les adh rents notre charte sanitaire des couvoirs insistent dans leurs levages fournisseurs sur la surveillance les tests et les bonnes pratiques indispensables et nos auditeurs doivent s en assurer en prenant connaissance des protocoles institu s par l entreprise ce stade Dans l tat actuel du probl me l audit s arr te donc la porte des levages et nous consid rons que pour l esp ce poule la surveillance des cheptels par les v t rinaires en charge et les contr les par les agents de la DSV sont une bonne solution condition qu on se pr occuppe de tous les contaminants dangereux maladies virales mycoplasmes bact ries pathog nes aspergillose et non pas seulement des deux salmonelles vis es par la Directive 2 MESURES PREVENTIVES APPLIQUEES A L OEUF les r gles visant la collecte le stockage et la d sinfection des ufs couver font l objet d une proc dure adapt
29. ivement est une fa on de contribuer atteindre ces objectifs Le couvoir joue un r le tr s important dans la strat gie d limination des zoonoses laquelle la fili re avicole s est ralli e Les op rations en couvoir doivent tre con ues pour faire en sorte que la pr sence ventuelle de ce type de contaminants soit rapidement d pist e et que m me dans le cas o le d pistage se r v le inefficace l organisation des flux vite la diss mination accidentelle de l infection Un tel dispositif implique en plus d une conduite hygi nique du couvoir e des contr les avant et pendant l incubation e identification des lots maintenus tout au long de la cha ne de transformation livraison e une organisation satisfaisante des flux pour obtenir une limitation automatique des diffusions accidentelles Principe de la d marche L adh sion la Charte est volontaire Le couvoir s engage entre autres appliquer les exigences du r f rentiel Charte de qualit se doter d une organisation s curisante de ses outils de production et se soumettre l audit final Quand le couvoir s estime pr t il demande tre audit L audit est la reconnaissance par un organisme tiers et ind pendant que le couvoir a mis en place un syst me de ma trise conforme aux exigences de la Charte L audit se d roule au cours d une journ e sur le site partir d un questionnaire pr tabli par l auditeur
30. mide de mani re ne pas remettre en suspension des poussi res ou des duvets Le balai proprement dit n est pas conseill il est pr f rable de travailler avec des racleurs Il est n cessaire de ramasser et collecter le maximum de d bris poussi res et contaminant microscopiques avant d utiliser un produit quelconque 1 2 Le nettoyage chimique Il se fait par application d un m lange eau d tergent Il a pour but d liminer les souillures organiques ou min rales pr sentes sur les surfaces mais ne tue pas les microorganismes Le temps d action du produit est un param tre important d efficacit ainsi que concentration et la temp rature Les produits acides vont liminer les d p ts de tartre et r nover les surfaces en acier inoxydable Les produits alcalins sont actifs sur les mati res organiques 17 Les produits organiques ou tensioactifs abaissent la tension superficielle de l eau et donc augmente le pouvoir mouillant Les op rations de nettoyage sont tr s importantes et doivent tre r pertori es de fa on crite ainsi que les produits employ s et leur mode d emploi 1 3 Le rincage Il est r alis haute ou moyenne pression de mani re o d tacher les souillures les plus tenaces chasser le complexe d tergent mousse souillure Apr s ces op rations de nettoyage et de rin age les surfaces sont visuellement propres 2 LA DESINFECTION 2 1 Crit res de choix du d
31. nce et m thode de contr le bact riologique de l eau r sultats analyses II OAC S curit sanitaire des approvisionnements amp Contr les p riodiques effectuer sur les cheptels salmonelles mycoplasmes amp Collecte et stockage des OAC l levage 34 D sinfection des oeufs la collecte amp Identification troupeau dates sur oeufs caisses et casiers amp R glages nettoyage d sinfection des salles d oeufs poulaillers amp Actions entreprendre en cas de contamination suspect e v rifi e amp Recyclage des casiers ou caisses utilis es pour le transport r gles concernant les chauffeurs pour viter la contamination crois e des levages de reproduction Stockage et transformation au couvoir B gt SALLE D OEUFS amp Entr e en stock amp Comptabilit entr es sorties par troupeau date amp Sortie de stock pr paration du chargement entr es au fichier troupeaux dates nombre adresse amp D sinfection externe avant chargement amp Instructions sp ciales pour g rer le flux suspects B gt INCUBATION amp Conduite tenir en cas de probl mes particuliers ex apparition d explosions amp Nettoyage et d sinfection des machines et salles Suivi des machines sous quarantaine suspects imports TRANSFERT EN ECLOSOIR Suivi du fichier par troupeau date nombre Incorporation de l information clairs germes morts si cette donn e
32. nce lorsque les risques de contamination sont les plus importants printemps t au moins une fois par an lors d approvisionnement par le r seau public au moins deux fois par an lors d approvisionnement par eau de puit ou de forage Les fr quences de pr l vement doivent tre adapt es au risque taille du couvoir esp ce type et tat du circuit 4 3 Lieu de pr l vement Le lieu de pr l vement d eau est r aliser en fin de circuit de distribution pour bien conna tre la qualit de l eau qui est effectivement utilis e dans tout le couvoir La connaissance de ces circuits permet de d terminer le ou les points de pr l vements 4 4 Modalit s de pr l vement Lors du pr l vement utiliser des flacons st riles avec addition de thiosulfate de sodium pour l eau chlor e prendre les pr cautions suivantes e se laver et se d sinfecter les mains e d sinfecter le robinet la flamme puis laisser couler l eau durant une deux minutes d boucher le flacon au dernier moment le remplir ras bord pendant cette manipulation viter de toucher le flacon avec le bord du robinet avec les mains int rieur du r cipient reboucher imm diatement Ce pr l vement doit tre achemin dans les 24 heures au laboratoire d analyse 10 5 LE TRAITEMENT DE L EAU Des syst mes de traitement de l eau sont parfois install s pour assurer une qualit d approvisionnement eau dans le c
33. on en cas de visite Les intervenants ext rieurs tels que les op rateurs de sexage de d becquage ou de maintenance font l objet de vigilance En effet le couvoir s assure qu ils ne pr sentent pas une source de contamination importante en mettant en place des mesures sanitaires respect des r gles d hygi ne 23 2 DESCRIPTION DE CERTAINS MATERIELS RELATIFS A L HYGIENE DU PERSONNEL 2 1 Le sas d entr e Le Sas repr sente une barri re de s curit sanitaire destin e prot ger le couvoir contre le facteur de risque humain Par d finition il comporte une entr e partir de la zone sale et une sortie en zone propre Il est con u pour respecter la marche en avant s paration physique banc entre les 2 parties et protocole suivre pour passer de l une l autre changement de chaussures de tenue et lavage des mains Il est maintenu constamment propre Un nettoyage chaque fin de journ e de travail est pr conis Toilettes et douche Tenues propres Tenues sales entr e 2 2 Les p diluves Le recours l usage de p diluve l entr e de certaines zones critiques peut tre d cid par l entreprise Pour tre efficaces ils sont incontournables placement ad quat longueur suffisante et utilisables o entretenus changement r gulier de la solution et bien dos s en d sinfectant situ s des points strat giques 2 3 Les lavabos lavage des mains Le
34. ontre les halog nes chlore iode les ammoniums quaternaires les ald hydes les ph nols les peroxydes 18 3 HYGIENE ET DESINFECTION DU MATERIEL ET DES LOCAUX Il s agit des rythmes et des modalit s de nettoyage d sinfection du couvoir dans sa pratique quotidienne 3 1 Les incubateurs Un suivi du programme de nettoyage des incubateurs est assurer Il est bon de pr voir un vide sanitaire p riodique des incubateurs par salle d incubation et par roulement On associe ainsi une bonne d sinfection une r vision g n rale des machines Des poussi res peuvent s accumuler rapidement au dessus et derri re les incubateurs Un nettoyage r gulier de ces parties est effectu 3 2 Les closoirs Apr s chaque journ e d closion les closoirs sont lav s et d sinfect s de m me que les salles d closion concern es les dessus des machines les gaines d vacuation des poussi res et duvets Il est pr f rable de disposer de plusieurs salles des closoirs chacune correspondant une journ e d closion permettant une rupture compl te avec la journ e d closion suivante Un bon s chage des closoirs et des chariots est pr voir avant la remise en usage des machines 3 3 Les salles Le sol des salles d incubation est nettoy lav et d sinfect au minimum chaque semaine Les salles d closion le sont enti rement apr s chaque closion Les salles de transfert de tri
35. ouvoir Les filtres et quipements de d sinfection font l objet d un entretien p riodique r gulier afin d viter qu ils constituent une source potentielle de contamination Toute installation de refroidissement en circuit ferm ou ouvert ou de r utilisation d eau r chauff e est soumise entretien valuation corrections p riodiques et r guli res 11 CHAPITRE KH S AH AH AH AH ADA PROTECTION amp HYGIENE DE L OEUF 12 1 MESURES PREVENTIVES APPLIQUEES AUX ELEVAGES DE REPRODUCTEURS Il tombe sous le sens qu un couvoir ne peut clore des poussins sains si les ufs qu on y incube ne pr sentent pas toutes les garanties d avoir t produits par des reproducteurs sains et nourris correctement et d tre propres et correctement conserv s On devrait donc trouver ici un chapitre concernant cet aspect tr s important avec une description des contr les mettre en place au niveau des levages et des salles d ufs d levage S il n en est rien c est que la mise en application du d cret traduisant les obligations de la Directive 92 117 entra ne en ce qui concerne l esp ce poule une obligation de tests destin s d pister les contaminations par Se et St Ces textes sont compl t s par une charte sanitaire non obligatoire qui dicte les bonnes pratiques sanitaires en levage L agr ment cette charte d pend des rapports de visite des agents des Ce disposit
36. phimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus Note de service DGAL SDHA N2000 8015 du 7 f vrier 2000 compl ment de la note de service du 6 avril 1999 relative la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis et Typhimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus Note de service DGAL SDHA N2000 8016 du 7 f vrier 2000 relative au premier bilan des arr t s du 26 octobre 1998 relative la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis et Typhimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus Note de service DGAL SDSPA N2000 8059 du 31 mars 2000 idem 8060 pour les dindes modifi relative aux conditions d agr ment des tablissements pour les changes intracommunautaires de Gallus gallus Note de service DGAL SDSPA N2000 8078 du 19 juin 2000 relative aux conditions d agr ment des tablissements pour les changes intracommunautaires de pintades Note de service DGAL SDSPA N99 N 8077 relative aux conditions d agr ment des tablissements pour les changes de cailles faisans et perdrix Lettre ordre de service N SDSSA N 0752 du 21 mai 2002 relative l adh sion la charte sanitaire des tablissements produisant des ufs embryonn s destin s l industrie pharmaceutique compl tant la lettre ordre de service N SDHA 1565 du ler octobre 2001 note cette lettre tait destin e au Pr sident du SNA Pour les salmonelles bilan 2000 et bilan 2001 Note de
37. rotypes de Salmonelles voire d autres types de contaminants responsables de zoonoses ou susceptibles de porter atteinte la sant publique C est pourquoi les accouveurs ont tout int r t disposer d une salle d closion par journ e d closion de mani re pratiquer un nettoyage et une d sinfection vraiment efficaces rupture sanitaire et d avoir la possibilit d isoler les lots contamin s des lots sains salle part souhaitable Rappelons que l Arr t d infection ou de suspicion d infection dans le cadre de l Arr t salmonelles d octobre 98 vise tous les lots pr sents dans le couvoir lorsqu un accident de contamination est rapport Un cloisonnement dans l espace et dans le temps est donc conseiller MARCHE EN AVANT e CIRCULATION DES PERSONNES Eclosion Tri Poussins Stockage Incubation 2 Personnel e CIRCULATION DES OEUFS D sinfection D sinfection Mirage Tri Transfert si Salle de Elevages Stockage gt Stockage Incubation Salle des sortie des Livraison gt closoirs poussins levage couvoir gt Recyclage pai y eta J recyclage casiers casiers bo tes de livraison Ny oeufs clairs Sortie et d chets d chets Recyclage apr s lavage d sinfection 2 VENTILATION Les flux d air sont des vecteurs importants d agents pathog nes On doit donc v
38. salle des machines une fois par mois tenue sp cifique secteur souill contr le de l closion s par e des poussins issus d oeufs import s pr l vement des fonds de casiers pour suivi laboratoire 9 TRI SEXAGE VACCINATION Risques Sanitaires manque de propret de la salle du mat riel manque de propret du personnel pas de lavage des mains tenue inad quate manque d identification des poussins par origine repros Points critiques pr sence de poussins de la veille contr les bact riologiques et mycologiques de la salle du mat riel une fois par mois marquage sp cifique des tenues secteur souill contr les bact riologiques et mycologiques de routine des poussins germes pathog nes salmonelles aspergillus contr les sp cifiques lorsque le parquet est suspect voire confirm en mycoplasme ou salmonelle 10 STOCKAGE EXPEDITION Risques sanitaires manque de propret de la salle des camions du personnel manque de suivi d identification des parquets d origine lors de la constitution des lots livr s retour d emballages Points critiques contr les bact riologiques et mycologiques de la salle et du mat riel une fois par mois contr le de la propret des camions 32 11 CONDUITE TENIR EN CAS DE CONTAMINATION D ORIGINE INDETERMINEE Dans le cas o des s rotypes de salmonelle Se ou St pour les couvoirs Gallus gallus sont r v l s dans
39. ses sont formalis es dans une proc dure et respect es Le chauffeur ramasseur des oeufs constitue un vecteur de contaminants L acc s la salle de stockage est ind pendant de l acc s du personnel L acc s au magasin ne lui est pas autoris Le chauffeur dispose d au moins une tenue chaussures et combinaison par tourn e Le lavage et la d sinfection des chariots de transport de casiers d ufs des alv oles en plastique sont rigoureusement effectu s avant le d part du couvoir pour viter tout risque de contamination d un levage lautre lors des retours de mat riel dans les levages Les alv oles en carton sont neuves 2 2 Lors du transport Durant le transfert des oeufs de la salle de stockage de l levage la salle de stockage du couvoir il est essentiel de veiller la continuit des conditions de stockage temp ratures essentiellement Il faut s assurer en particulier qu aucun moment ne se produise de ph nom ne de condensation point de ros e la surface des coquilles favorisant la p n tration de bact ries Le transport des oeufs jusqu au couvoir est effectu dans des camions propres lav s et d sinfect s apr s chaque tourn e La cabine du chauffeur est propre et non poussi reuse Des contr les p riodiques visuels et bact riologiques sont r pertori s sur les camions tenue des chauffeurs cabine caisson de ventilation On doit d finir une fiche d instruction
40. sultats des contr les effectu s sur ses troupeaux fournisseurs Lors d changes inter couvoirs 4 et de poussins chaque op rateur doit s assurer du statut sanitaire des produits qu il re oit 28 ANNEXE I MAITRISE DES RISQUES SANITAIRES Les risques relatifs chaque phase du processus de fabrication sont recens s depuis l entr e de l oeuf au couvoir jusqu l installation du poussin d un jour La liste des risques n est pas exhaustive et permet d aider le couvoir analyser les risques sanitaires Il appartient chaque entreprise de hi rarchiser les risques calcul de l indice de priorit du risque et de d finir les points critiques qui s y rapportent point de ma trise du risque concern 1 STOCKAGE DES OEUFS Risques sanitaires e manque de propret du quai de d barquement des oeufs e arpentage de la salle par le chauffeur ramasseur afin de rassembler le mat riel n cessaire sa tourn e e manque de propret de la salle des containers d oeufs des alv oles e de d sinfection des oeufs e mauvaise qualit bact riologique de l eau de lavage e mauvaise tra abilit des oeufs e non application des mesures relatives aux oeufs import s Points critiques e contr les bact riologiques et mycologiques de la salle du mat riel une fois tous les deux mois e identification des oeufs apr s d sinfection e analyse semestrielle de l eau si hors r
41. t nombres concern s Cette connaissance est d ailleurs galement indispensable pour le suivi d closabilit Toutes les informations ci dessus sont dans les fichiers e La troisi me condition qui rejoint la gestion du flux est la r duction du nombre de pistes suivre en cas d incident en r duisant dans la mesure du possible le nombre de lots par unit pid miologique du couvoir e incubateur salle d incubation salle de transfert closoir salle d closion salle de tri camion de livraison Cette recommandation se heurte deux obstacles gt le taux d occupation des machines investissement gt la gestion des stocks d oeufs quantit s disponibles et ge des oeufs Il s agit donc de trouver un compromis aussi heureux que possible m nageant la fois l efficacit conomique et le suivi sanitaire 2 GESTION DES LOTS SUSPECTS Le couvoir doit disposer de moyens de g rer les lots suspects ainsi que de proc dures d finissant la conduite tenir et permettant d viter une contamination crois e Il faut d finir les mesures prendre pour confirmer une analyse positive ou n gative 27 Les troupeaux de reproducteurs font l objet d une surveillance permanente sous forme de contr les bact riologiques ou s rologiques conform ment aux textes r glementaires Il s agit en effet non seulement de maintenir leur bonne sant mais aussi d viter toute transmission de maladies aviair
42. tobre 1998 modifi relatif aux modalit s de la participation financi re de l Etat la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis ou Salmonella Typhimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus en fili re ponte d ceufs de consommation Arr t minist riel du 26 octobre 1998 modifi relatif la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis ou Salmonella Typhimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus en fili re chair 37 Arr t minist riel du 26 octobre 1998 relatif aux modalit s de la participation financi re de l Etat la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis ou Salmonella Typhimurium dans les troupeaux de l esp ce Gallus gallus en fili re chair Arr t minist riel du 1 juillet 1999 modifiant l arr t du 16 janvier 1995 relatif aux conditions de police sanitaire r gissant les changes intracommunautaires de volailles et d ufs couver Arr t du 5 juin 2000 relatif au registre d levage D cret n 95 218 du 27 f vrier 1995 compl tant et modifiant la liste des maladies r put es contagieuses Loi n 72 1139 du 22 d cembre 1972 tendant le champ d application de la loi valid e et modifi e du 2 novembre 1973 relative l organisation du contr le des produits antiparasitaires usage agricole Note de service DGAL SDHA N99 N 8043 du 6 avril 1999 relative la lutte contre les infections Salmonella Enteritidis et Ty
43. venues des personnels salle machine de transfert plateaux et chariots d closion personnel perte de l identification au transfert risque de dispersion des lots suspects dans plusieurs closoirs contr les bact riologiques et mycologiques une fois par mois transfert des lots par p riode de travail du moins probl matique au plus risqu extr me propret la salle chaque d but de p riode de travail tanch it de la salle pendant le travail mouvements air personnel amp Points critiques contr les bact riologiques et mycologiques de la salle des machines une fois par mois d sinfection des syst mes d aspiration suceuse par un proc d appropri aspersion ou trempage d sinfection ou remplacement du syst me de transfert apr s passage d ufs souill s respect des proc dures de vaccination Inovo 8 ECLOSION Risques sanitaires perte de l identification du lot la sortie tri manque de propret de la salle des machines manque de propret du personnel lavage des mains tenue non application des mesures relatives l closion d oeufs import s non application des mesures d isolement des lots suspects absence de ma trise des flux d air en sortie closion 31 Points critiques ouverture des salles et des closoirs du moins contamin au plus contamin interruption de sortie entre lots et comptage contr les bact riologiques et mycologiques de la
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