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Bulletin_225_(fevrier_2005)

1. riaux e Mat t des ing nierie M canique et Syst mes Sciences de ing nieur P P Ladeveze Ing nierie de la R Desmorat Professionnel construction et de la r habilitation Sciences de JP Louis automatique et C Durieu du traitement du Science des com posants circuits gt JP Louis et antennes pour les t l communi B Journet JP Louis R Barru Recherche Science de l ner gie et des syst mes de puissance Sciences de PEEA Information syst me et technologie Science des JP Louis t des r seaux e t l communica Science des syst JP Louis mes embarqu s et du traitement de l information sp cialit s P C Brunet B Colignon Sc no Design espace produits Didactique des sciences et des tech Communication tation et analyse de probl mes scientifiques et techniques rimen Exp scientifique et tech nique contenus outils pratiques g nie Biochimie biologique nie m canique G G nie civil Tous les d par tements en relation avec le en italique niveau de la cohabilitation ENS de Cachan D partements d enseignement Laborat support des M2 Etablissem Responsables Mention Sp cialit i Parcours omiies jee Math matiques Informatique et t l communica tions M catronique
2. 94235 CACHAN CEDEX ou anciens ens cachan fr Les fichiers d l ves et d Anciens l ves ne peuvent tre c d s lou s ou chang s des fins commerciales Mise jour de l annuaire IMPORTANT Cette rubrique ne concerne que les adh rents jour de leur cotisation ayant chang d adresse d tat civil ou de fonction Les services du Bulletin et de l Annuaire tant associ s l adh sion cette mise jour permettra d op rer une actualisation des donn es Par avance merci de nous aider vous assurer un service r gulier au Bulletin en rem plissant la fiche ci dessous SVP crire en capitales d imprimerie NOUVEAU Les internautes peuvent nous communiquer les informations les concernant en remplis sant en ligne sur le site www aae ens cachanifr rubrique annuaire le formulaire qui arrivera dans la bo te aux lettres de l Association anciens ens cachanifr NOR N e oo Pr nom usuel idee Date et lieu de naissance Pour une mise jour r guli re de l annuaire en ligne ainsi que de l annuaire papier cette fiche doit tre envoy e le plus t t possible Association des anciens l ves et l ves de l ENSET et de l ENS Cachan 94235 CACHAN CEDEX ou anciens ens cachan fr Si vous souhaitez que votre adresse ne soit pas mentionn e dans l Annuaire cochez la case Adresse postale B Adresse lectronique E T l phone O Faites conna tre l Associatio
3. Chimie inor ganique des nano syst mes la biologie Recherche Professionnel Recherche Recherche CEA INSTN i i L Desvillettes ENSTA ECP UVCO P6 P11 ENS X l Recherche P6 P7 P11 ENS Marnes i i Professionnel i i la Vall e Cergy Recherche P6 P7 P11 ENS INSTN Recherche P6 P11 ENS X ECP ESPCI ENSCP Recherche P6 P7 P11 ENS UVSQ i X ENST ESO Professionnel P6 P7 P11 ENS Recherche Professionnel i P6 ENS ESCPI P7 i Recherche E Recherche Recherche Professionnel P6 P7 ENS P6 P7 ENS L Moisan E Deleporte J Delaire cialit Mention Sp rtements pa D d enseignement Biologie cellulai n tique re et g C Auclair Recherche Pharmacie et Canc rologie th rapeutique Radiobiologie truc Ing nierie s turale et fonc tionnelle des biomol cules G nomes cellu les d veloppe volution vo ment C Auclair Recherche Signalisation cellulaire neu rosciences Sciences du tal v g Ecologie biodi lution vo versit JJ Lesage Nancy 1 INPL Recherche Productique et r seaux Sciences pour ing nieur r S Le A 9 3 Z 2 H Recherche Icul des c es en ca structures
4. des r ponses retours incomplets Promo 94 98 Enseignement du second degr 35 Enseignement sup rieur 43 Recherche publique 13 Administration Entreprises Autres 3 Quels commentaires d coulent de ces bilans Le premier concerne les concours d entr e Premi re remarque ils res tent tr s s lectifs quoiqu on en dise exemple en 2004 en premi re ann e 275 lus sur 8336 inscrits valid s mais aussi en troisi me ann e 86 admis sur 539 inscrits o la s lection est peut tre moindre mais les candi datures sont plus motiv es Deuxi me remarque les concours font le plein tous les postes mis au concours ont t pourvus l cole joue encore son r le d ascenseur social Troisi me remarque les ann es joker et la r o rientation post concours intra cole elles existent ce qui est tr s bien elles ne cr ent pas les d sordres auxquels on s attendait primitivement Le second est g n ral relatif lenqu te elle m me En d pit de quelques l ves qui demeurent injoi gnables les taux de retour de ques tionnaires sont relativement tr s le v s pour ce genre d op ration res pectivement 85 et 95 et peut tre significatifs des pr occupations v cues par les int ress s Pratiquement tous les l ves honorent leur engagement vis vis de l Etat 89 et 94 11 cas de sorties pr matur es sont recens s ils correspondent plus des ruptures de scolar
5. dier ce texte l diteur du Bulletin je commence la lecture de La v rit dans les sciences ouvrage collectif publi par Odile Jacob janvier 2003 dans la Collection Coll ge de France sous la direction de Jean Pierre Changeux Le survol rapide de quelques pages me montre que plusieurs des id es que je tente maladroitement d exprimer dans cet article sont d j expos es dans ce livre avec pr cision et l gance Je crains fort d enfoncer avec convic tion des portes largement ouvertes N anmoins comme je lai indiqu en commen ant j estime au nom de ma libert de penser pouvoir dire ce que je crois comprendre rationnellement dans le domaine de la connaissance Et puis je me reconnais plus volontiers dans les habits du na f ignorant mais tournant son regard vers les toiles que dans ceux du butor s r de lui mais afflig d une profonde c cit Si cet article suscite la curiosit des lecteurs et les incite d velopper leur r flexion en se tournant vers les scientifiques et les philosophes qui se sont exprim s sur ces questions j en serai ravi EJ Bibliographie non exhaustive Jean Pierre Changeux L homme neuronal Fayard 1983 Jean Pierre Changeux sous la dir La v rit dans les sciences Odile Jacob Coll ge de France 2003 Jean Pierre Changeux L homme de v rit Odile Jacob poches 2004 Antonio R Damasio L erreur de Descartes Odile Jacob poches 1995 Edgar Morin La
6. La peur de l indiff renciation sexu e 16h00 D BAT Le retour du d terminisme biologique causes et cons quences Anim par Doroth e Benoit Browaeys journaliste scientifique avec Bernard Andrieu Universit Nancy IT Yves Burnod INSERM Pierre Cl ment Universit Lyon I Michel Imbert CNRS Catherine Labrusse Universit Paris I 17h30 CL TURE DU COLLOQUE Renouvellement d adh sion Sans attendre la relance de notre Tr sorier n oubliez pas de renouveler annuellement votre adh sion pour l ann e civile en participant au fonctionnement de l Association par l envoi d un ch que bancaire ou postal de 42 euros avec un suppl ment facultatif au titre de la Solidarit Association des anciens l ves et l ves de ENSET et de l ENS Cachan 94235 CACHAN CEDEX tabli l ordre de A A E E E N S E T E N S de CACHAN C C P Paris 5488 99 K Suite la reconnaissance d utilit publique accord e notre association vous recevrez un re u fiscal pour TOUTES les som mes que vous verserez l association montant de la cotisation statutaire versement libre au titre de la solidarit pour l ann e de cotisation si vous disposez d une adresse lectronique merci de nous la communiquer anciens ens cachan fr Le nouveau r gime fiscal autorise un cr dit d imp t gal 60 du montant pay dans la limite de 20 du revenu imposable en cons quence s
7. tre enseignante Mes parents ne l taient pas mais il y en avait beaucoup dans ma famille J avais le go t des voyages de la d couverte des autres de la nature L enseignement de la g ographie pouvait me permettre de satisfaire tous ces penchants Mais surtout je voulais quitter la province monter Paris avoir une autonomie financi re Il y a eu aussi une influence d ter minante celle d un ancien l ve ni ois qui avait int gr PENSET faute d avoir r ussi les autres ENS et qui tait venu dire aux pr pas litt raires quel point il s y trouvait bien J avais t s duite par l id e de la mixit A l poque les filles taient Fontenay et les gar ons Saint Cloud Ces coles paraissaient un peu carica turales poussi reuses Et il n y avait pas que la mixit filles gar ons J tais galement atti r e par la mixit des disciplines Je trouvais passionnante l id e d tre en contact avec les disciplines techniques et artistiques Et alors as tu trouv tout cela l Ecole Jy ai trouv plus encore D abord d excellentes conditions de travail Un encadrement exceptionnel Nous avions un assistant pour nous aider pr parer les TD l essentiel de nos cours tant la fac Il y avait aussi une solidarit remarquable entre les promotions des diff rentes ann es Les sections taient tr s soud es On changeait des documents des conse
8. un des objets majeurs du m moi re Helmholtz examine ensuite l application de son principe chacun des grands domaines de la physique et d finit ainsi un programme de recherche pour la science La d monstra tion d Helmholtz comporte cependant une erreur de calcul point e par Clausius N anmoins le m rite du m moire est lintroduction d une bauche du principe de conservation de l nergie m me cette erreur est f conde On retrouve ici une id e avanc e par B Pourprix dans La f condit des erreurs voir Bulletin 223 page 32 Louvrage d crit ensuite l volution de la pens e d Hel mholtz qui se d veloppe notamment au contact des autres savants dans un climat de bouillonnement scientifique remar quable avec en particulier les contributions de Clausius Rankine Thomson Maxwell Le mot nergie introduit par Thomson qui curieusement ne prend connaissance du m moire Sur la conservation de la force qu en 1852 n a pas exactement le m me sens que celui de force d Helmholtz Les auteurs au moyen d une investigation pr cise sur la base des textes nous pr sentent le d tail de la pens e des savants les l ments qui entra nent son volution les glissements s mantiques du vocabulaire utilis la persistance ventuelle de certaines id es fausses dans leur d marche Ils nous don nent une id e des vives pol miques qui ont clat et notam ment entre les savants germaniques e
9. 22 09 04 B O n 38 du 21 10 04 p 2217 m Notation pour l ann e universi taire 2003 04 des enseignants de PE NS A M Note de service du 15 octobre 2004 B O n 40 du 04 11 04 p 2392 m Mutations 2005 Mouvement national des personnels enseignants du second degr B O sp cial n 11 du 04 11 04 m Echanges et actions de forma tion l tranger ann e 2005 2006 Encart B O n 41 du 11 11 04 m Modalit s de recensement des enseignants chercheurs optant pour la proc dure sp cifique d avancement de grade ann e 2005 Arr t du 12 10 04 B O n 41 du 11 11 04 p 2422 m Promotion corps grade Acc s au corps des professeurs agr g s et cer tifi s Note de service du 9 novembre 2004 B O n 42 du 18 11 04 Encart m Emplois et proc dures d affecta tion des enseignants du second degr dans les tablissements d enseigne ment sup rieur ann e 2005 condi tions constitution du dossier liste des emplois vacants Note de service du 18 novembre 2004 B O n 43 du 25 11 04 Encart m Acc s au grade de professeur de PE N S A M hors classe ann e 2004 2005 Note de service du 24 novembre 2004 B O n 44 du 02 12 04 p 2553 m Tableau d avancement la hors classe des professeurs certifi s des PL P Note de service du 8 d cem bre 2004 B O n 46 du 16 12 04 p m Notation professeurs agr g s affect s dans l
10. 39 Professeur honoraire M RESSAYRE D 56 Professeur honoraire D SAUVALLE B 46 Professeur honoraire Y STAPFER D 43 Professeur honoraire Pr sident M LIEVREMONT A2 61 Er Sapineg Le Crano 56440 LANGUIDIC Vice Pr sidents C CREUZE D 67 2 all e des Na ades 62200 BOULOGNE SUR MER F JARDAT A1 63 14A Parc des Grands Pr s 25720 AVANNE Secr taire g n rale M A PINDAT A2 52 25 avenue St Jean de Beauregard 91400 ORSAY Secr taire adjointe C PIERSON A2 66 26 rue Auguste Comte 92170 VANVES Tr sorier F PIERSON D 67 26 rue Auguste Comte 92170 VANVES Tr sorier adjoint C GONIN B3 90 5 mont e de Guise 21000 DIJON Autres membres du comit M BERTHAUD B 59 M N BONTOUX D 70 B BRAUN A1 66 H COUDANE A1 44 E DUC B3 90 J P DUGARDIN 41 58 M A JARDAT A1 61 S KONIECZKA B1 63 C LECOINTRE F 59 J MARICHEZ B2 74 P RYCKELYNCK A1 83 J J SANTIN B1 77 C SUBA B4 91 Le but recherch par cette association est de contribuer activement au d veloppement et la d fense de l cole Normale Sup rieure de Cachan et dans l acception la plus large de l esprit technologique dans tou tes les disciplines scientifiques et g n rales enseign es dans les tablissements publics d fendre la qualit d ancien l ve maintenir les liens d amiti que les l ves ont form s d s leur s jour dans cette cole et se pr ter un mutuel appu
11. Sport sant soci t la rentr e 2005 en continuit avec le magist re cohabilit avec Puniversit Rennes 2 INFORMATIONS TEXTES OFFICIELS 1 Enseignement sup rieur m Vocabulaire de l ing nierie nucl aire B O n 35 du 30 09 04 p 1991 et 1993 m Concours de l agr gation modalit s Arr t du 31 ao t 2004 B O n 38 du 21 10 04 p 2196 Modification d preuves section m ca nique section g nie civil m Missions deux lettres de mis sion pour valoriser l enseignement et la recherche fran ais dans son envi ronnement international Lettres du 13 10 04 B O n 39 du 28 10 04 p 2330 et 2331 m I U FM Certificat Informatique et Internet Exp rimentation du C21 niveau 2 enseignant Circulaire du 3 12 04 B 0 n 46 du 01 12 04 p 2635 R f rentiel national cahier des charges pour l exp rimentation m Nomination l Institut univer sitaire de France U IE circ du 22 12 04 B O n 1 du 06 01 05 p 12 Conditions de recevabilit des dossiers annexe avec fiche de renseignements 2 Lyc es m Note d information sur le bac calaur at 2005 Note de service du 13 09 04 B O n 34 du 23 09 04 p 1907 Cinq adaptations Tableaux portant la nature des preuves coeffi cients et dur e m Echanges franco allemand Programme Voltaire 2005 Note de service du 09 09 04 B O n 34 du 23 09 04 p 1919 m Programme de P
12. bonheur et de prosp rit aux jeunes poux aux jeunes parents et leur b b D c s Patrick TOUZET nous signale le d c s accidentel le 31 d cembre 2003 de son camarade de promotion Gilbert NUGUET D2 74 victime d un acci dent de plong e en Mer Rouge Fran oise BOUJU n e FAVARD A1 62 66 nous fait part du d c s de son fr re Guy FAVARD D 47 49 sur venu au Mans le 2 septembre 2004 et nous donne l adresse de son pouse 84 rue Julien Bodereau 72000 Le Mans Suzanne MOINS n e MAZEYRAT D 51 54 a la tris tesse de faire part du d c s de son poux Jean MOINS avocat hono raire et ancien b tonnier du barreau d Aurillac le 26 octobre 2004 Nous apprenons le d c s de Denise BOURGUIGNON n e GROUHEL D 50 53 Enghien les Bains Ses obs ques ont eu lieu le 15 janvier 2005 Jacques CHAUVEAU A2 59 63 professeur IUT honoraire est d c d le 1 d cembre 2004 Ses obs ques ont eu lieu au Cr matorium du P re Lachaise le 4 d cembre 2004 H Coudanne a prononc l loge fun bre de Jacques Etienne et Marthe CAMY PERRET nous apprennent que notre amie Paulette PICHON n e MEUNIER D 44 46 est d c d e le 11 octobre 2004 en Bretagne Ste Marie en Combrit Son fils Jacques professeur de Math matiques en CPGE au lyc e St Louis de Paris nous a annonc cette triste nouvelle Paulette avait t pro fesseur de STE Reims Le Mans puis Melun o son mari O
13. d une g ographe Le carnet NOS COLL GUES PUBLIENT FE Laube de la physique de l nergie ANNONCES F F minin masculin mythes scientifiques et id ologie EDITORIAL LE MOT DU PR SIDENT Difficile en cette p riode de ne pas adresser au nom du bureau des v ux chaleureux tous les membres de l Association souhaits de sant de r ussite de bonheur chacun d entre vous Difficile en cette p riode de faire abstraction de l actualit dou loureuse tsunami de l oc an indien et les lans de solidarit qui en r sultent spectaculaire avec une s rie d incroyables succ s technolo giques sonde sur Titan Airbus A380 viaduc de Millau etc Osant d roger l adage bien connu de n aborder dans un texte court qu une seule chose la fois je me risque associer les faits pr c dents d origines et de natures tr s diff rentes d autres faits galement diff rents tels que le cinquantenaire de la disparition d Albert EINSTEIN 2005 ann e de la physique dans le monde la confirmation de la d motivation massive de nos juniors et du public vis vis des carri res en sciences et technologie Comment ne pas voir dans cet amalgame des terrains privi l giant l action de l Association dans de nombreuses directions solidarit s locale ou mondialis e engagement lutter contre un obscurantisme croissant et castrateur t moignages d une tr s grande humilit de notre condition d homm
14. de toutes les r gions L Association des anciens l ves On n en a pas ressenti le besoin As tu connu des coups de blues pen dant ta carri re Globalement je me sens bien dans mon coll ge J appr cie tout particu li rement la libert p dagogique dont je dispose m me si quelquefois je me sens un peu frustr e de ne pas pouvoir aller au fond de certains sujets faute de temps Des coups de blues j en ai connu comme tout le monde je suppose Des moments o on en a assez de l en seignement de l administration du syst me Une certaine lassitude li e la r p tition Dans tous ces cas l je m engage dans des actions p da gogiques Quelles sortes d actions Dans le coll ge d abord je parti cipe des projets interdisciplinaires sur les risques naturels par exemple avec les coll gues de SVT et de tech nologie des voyages des sorties Au niveau de l Acad mie j ai t sollicit e pour les formations au TICE Dans le cadre du groupe de produc tion du CRDP de Nice j ai particip laboration du CD Images de France Je suis aussi conseill re p dagogique et formatrice l ex MAFPEN Jai fait partie d une mission au Japon J ai galement particip au groupe de recherche INRP en ducation civique et la r daction d ouvrages scolaires Et pendant ses vacances elle parcourt elle explore peu pr s tous les pays du monde avec une pr dilect
15. de toute connaissance rationnelle son caract re essentielle ment provisoire cet aspect sera d ve lopp dans la suite Lexistence postul e d une r alit objective s oppose videmment l id e que cette r alit pourrait tre relative La question de la perception et de la compr hension de la r alit est diff rente de celle de son existence Elle a trait aux liens que nous tres pensants entretenons avec cette r alit Dans Initiations la physique Max Planck pose la question suivante La conception de lunivers selon la physique n est elle qu une cr ation arbitraire de notre esprit ou bien devons nous affirmer au contraire qu il y a des ph nom nes naturels tout fait ind pendants de nous Il me semble qu en fait ces deux propositions ne sont pas contradictoi res il y a des ph nom nes naturels ind pendants de nous r alisme et la conception de l univers selon la phy sique est une cr ation de notre esprit mais cette cr ation n est pas arbi traire c est l objet de la connaissance rationnelle Si on ajoute l observation que les tres pensants que nous som mes capables de cette rationalit sont des l ments de cette r alit on per oit la difficult conceptuelle de cette situation o nous sommes la fois objets et sujets Cependant cette difficult n a pas d courag les pen seurs et elle ne doit pas nous effrayer au p
16. e Boulogne sur mer dans un coll ge Jy suis rest e 3 ans puis jai obtenu une mutation en lyc e Marseille Nous tions dans les ann es 80 en pleine r volution informatique On voulait promouvoir l utilisation de Fin formatique au lyc e et plus particu li rement former les Litt raires J ai suivi une ann e de formation lourde et suis devenue formatrice des coll gues d histoire g ographie C tait assez pique il y avait au moins trois types de mat riels diff rents je me prome nais avec des valises de disquettes En fait le projet tait tr s ambitieux on voulait la fois former les professeurs l utilisation des didacticiels de car tographie par exemple et les inciter fabriquer des supports C tait un peu irr aliste de vouloir la fois former la cr ation et l utilisation d autant plus que les tablissements n taient pas tous quip s correctement Apr s 8 ans pass s Marseille j ai b n fici d une mesure de rapproche ment de conjoint et obtenu ce poste Nice Au d but j tais un peu d ue de cette affectation en coll ge mais je me suis tr s vite prise au jeu au point d y tre rest e depuis 1986 En fait c est une sorte de retour aux sources puisque c est ta r gion 1 Silvia LASSAUQUE n e MERCKENS G 70 22 d origine Pourquoi avais tu choisi PENSET apr s tes ann es de kh gne et d hypokh gne Nice Je voulais
17. et g ogra phie en s ries ES L et S pour la Guadeloupe Guyane Martinique R union Note de service du 26 11 04 B O n 45 du 09 12 04 p 2601 m Ouverture d espaces NetPublic dans les tablissements scolaires Circ du 26 11 04 B O n 45 du 09 12 04 p 2603 m R novation des dipl mes pro fessionnels de l enseignement secon daire Hors s rie n 8 du 23 12 04 3 Personnels m Op ration de mutations des per sonnels de direction Instructions proc dure Note de service du 08 09 04 B O n 34 du 23 09 04 p 1933 m Concours de recrutement des personnels de direction session 2005 Epreuves conditions d inscription dossier Note de service 13 09 04 B O n 34 du 23 09 04 p 1943 m Pr sidents des Jurys de concours session 2005 Concours externes et internes d agr gation du C A PES du C A PET Arr t du 01 10 04 Encart B O n 36 du 7 10 04 m Acc s la hors classe des I A I PR ann e 2005 Note de service du 04 10 04 B O n 37 du 14 10 04 p 2157 m Postes d enseignement et d du cation relevant de l Agence pour len seignement fran ais l tranger ren tr e 2005 Note de service du 12 10 04 B O n 38 du 21 10 04 p 2211 m Nomination pr sidents du Jury du concours de recrutement des I A LPR session 2005 Pr sidente Mme Nicole Ferrier Inspectrice g n rale Arr t du
18. honn te homme Hubert Curien fait d abord l loge des Ecoles Normales Sup rieures ces tablissements o r gne la libert de travailler confronter et enrichir ses connaissances dans un milieu scientifi que pluridisciplinaire Aujourd hui la technologie est partout et quilibre de notre Soci t impose un niveau de connaissance largement r parti Trop souvent on r agit par crainte ou timidit ainsi au principe de pr caution on devrait de beaucoup pr f rer un principe d anticipation Il ne faut pas h siter s engager vers des voies nouvelles Le flou le chaos par exemple sont l objet d tudes s rieuses on va jusqu parler de chaos d termi niste la nature n est pas seule ment ordonn e le d sordre est int ressant et l on peut en recher cher des variables significatives soit en d gageant des r gularit s dans des choses complexes soit en d gageant des lots de simplicit dans des ensembles complexes Le principe de lin arit r git notre enseignement ainsi la science a t elle pour fille la technologie qui permet la production puis l usage des objets Maintenant on s aper oit que les ph nom nes en bou cle sont int ressants en permet tant des retours en arri re Plut t que sursaturer les l ves les auditeurs il faut leur donner envie de conna tre d apprendre Les questions na ves m ritent sou vent une r ponse une prise en compte pour
19. impossibles auparavant il n y a pas de fin de la science ou bien pour r pondre au titre de La Recherche la physique ne peut pas TOUT expli quer non pas parce qu il y aurait des choses inexplicables mais parce que chaque explication nouvelle modifie l intelligence collective qui peut alors poser des questions nouvelles ou for muler diff remment des r ponses aux questions anciennes sans parler de l influence vidente des progr s tech niques Les connaissances scientifiques ne peuvent donc tre que provisoi res par essence C est une diff rence fondamentale avec les croyances qui peuvent tre immuables par d fini tion ce qui n emp che que certaines peuvent dispara tre et d autres appa ra tre On peut se repr senter l en semble des connaissances comme des lots voire des continents de savoir limit s des domaines restreints dont il est bon de conna tre les bornes pour ne pas imaginer qu elles don nent des repr sentations satisfaisantes du r el au del de ces bornes Entre les terres de connaissance subsistent des oc ans d ignorance o trouvent place les croyances La recherche des limites est un bon moyen de prendre conscience de l tendue de notre igno rance et l tablissement de ponts entre ces lots un bon moyen d tendre le domaine connu Remarquons encore que le carac t re dynamique et r cursif des repr sentations du r el ruine l id e souvent avanc e que
20. la d fec tion est maintenant officiellement confirm e Des contacts 11 men s par Fran ois et Claire PIERSON n ont pas permis de trouver l indispensable r gie publicitaire Financi rement Annuaire papier ne pourra tre imprim en 2004 Il faut poursuivre les recherches lyc es techniques reprogra phie sponsors L Annuaire papier est important pour faire conna tre PENS Heureusement les informations sur les anciens sont toujours bien r guli rement tenues jour par Marinette PINDAT Cette t che est grandement simplifi e gr ce Christophe GONIN qui a am lior la base de donn es des anciens l ves et des l ves Christophe pr pare et c est pour bient t l annuaire en ligne Il y aura une version publique sans les informations personnelles et profession nelles et une version r serv e aux adh rents qui pourront v rifier les informations les concernant et en proposer si n cessaire la mise jour 6 Le site Web Espace adh rents Forum Les anciens internautes de plus en plus nombreux sont invit s communiquer avec les responsables de PAs sociation et entre eux Rendez vous l adresse www aae ens cachan fr Inscrivez vous et demandez un mot de passe pour acc der au forum et l annuaire en ligne La mise jour du site laisse actuellement d sirer Les adh rents peuvent s en plaindre leur int r t et leurs remarques seront une bonne motivation pour ceux q
21. le progr s des connais sances conduit une approche de plus en plus pr cise de la v rit la mani re dont une courbe se rapproche de son asymptote Puisque l organi sation mentale elle m me volue les repr sentations actuelles du r el ne peuvent plus tre les m mes que celles du pass et celles de l avenir ne peu vent pas tre imagin es maintenant Il ne faut voir dans cette remarque aucu ne n gation du progr s scientifique encore moins du progr s technique mais seulement une position r aliste vis vis de notre appr hension du r el Ainsi si la r alit est bien objec tive les repr sentations que nous nous 19 en donnons sont relatives m me si elles peuvent tre partag es un moment donn par une tr s large fraction des tres humains Une v rifi cation de ce caract re relatif se trouve dans l observation de leur volution historique et pr dictible Nous pou vons maintenant nous interroger sur les m canismes mentaux voire neuro naux qui permettent cette volution Comment comprendre la dynamique des repr sentations Jean Pierre Changeux nous appor te dans ses ouvrages tels que Lhomme neuronal et Lhomme de v rit des pistes pr cises pour comprendre com ment le cerveau humain volue lui m me sous l influence de l environ nement et des apprentissages Plut t que de tenter un r sum hasardeux de sa pens e mieux vaut me sem ble t il
22. mon Optimist pour pr ciser en les crivant quelques id es qui me tien nent c ur avec toute la modestie que m impose le respect d ceux qui les ont inspir es mais conscient aussi d exercer par l mon droit de penser librement sans c der l autorit de la chose crite Existe t il une r alit Cette question mest pas nouvel le elle a t abondamment d bat tue par les philosophes et depuis fort longtemps Contentons nous d en citer deux en commen ant par Gilles Cohen Tannoudji affirmant dans un entretien avec Arnaud Spire dans La pens e Prigogine Descl e de Brouwer 1999 18 Dire que le r el existe et qu il est compr hensible constitue une sorte d acte de foi Mais nous apr s de le comprendre C est l une fa on d exprimer cet acte de foi fondateur de lentreprise scientifique il y a un monde qui existe ind pendamment de moi vraisembla blement qui me survivra et ce monde j ai le droit d essayer de le comprendre Tout dans ce monde n est pas absurde et incompr hensible Je ne pr tends pas que je vais tout comprendre Mais c est une entreprise l gitime d essayer d ex traire de ce monde les aspects qui me sont intelligibles La relation entre le monde et celui qui con oit le monde n est pas sym trique Il n y a pas de pens e sans mati re mais il y a de la mati re sans pens e Par mati re j entends bien vi demment l
23. ves durant leurs ann es post formation initiale tr s nombreuses formules de soutien la recherche passage en IUFM etc en final 5 10 des l ves restent injoignables Il s agit selon moi de donn es int ressantes significatives que j ai grand plaisir d tailler et qui vont me semble t il l encontre d id es plus ou moins re ues et v hi cul es et l notamment parmi nos adh rents les plus anciens Dans un premier temps je les ressens comme apaisantes sur le fond propos des missions de l E N S de Cachan Elles sont par ailleurs et toujours selon moi assez r v latrices des difficult s ren contr es par les l ves par les jeunes chercheurs en g n ral par les forma teurs qualifi s agr g s en g n ral Les donn es statistiques en question sont rappel es ci dessous sous forme de tableaux R sultats Concours d entr e 2004 Postes Inscrits Int gr s preyus valid s Cachan Ker Lann Total C entr e en le ann e 25 8336 228 47 ZIS C entr e en 3e ann e 86 539 46 40 86 Ann es Joker ou r orientations diverses Ann e 2000 Ann e 2001 Ann e 2002 Ann e 2003 Ann e 2004 8 12 13 18 Situation g ographique des l ves la fin de leur engagement d cennal Paris Ile de France Province Etranger Promotion sortie en 1998 32 80 58 70 2 30 Promotion sortie en 1999 39 00 54 90 4 62 Situation professionnelle des l ves la fin de leur engagement d cennal en
24. 005 avec les subventions aux associations et les attributions de prix noter un projet de cr ation d une caf t ria enfin des aspects statutaires traditionnels tels que des nomi nations des lections de nouvelles instances des concessions de logements etc Compte tenu de cet ordre du jour tr s charg et de l importance relative de certains points tels que masters du secteur S H S plan quadriennal constructions etc un rap port plus d taill figurera dans le bulletin 226 Ce compte rendu me donne l occasion de remercier la Direction de l Ecole de consid rer l Association des Anciens El ves de l E N S ET et de PE N S de Cachan comme une personnalit morale int ress e par la vie et le d ve loppement de l tablissement ce qui para t videmment normal et int ressant le C A lui m me de par ce qu elle repr sente en tant que consultant avis comp tences et exp riences cumul es au fil du temps par ses adh rents On pourrait d ailleurs imaginer comme dans d autres temps que l association figure au C A non comme invit e mais comme membre de droit Les d crets communs lensemble des E N S ne pr voyant malheureusement pas cette clause on doit se satisfaire de l invitation et esp rer qu elle soit p rennis e par les directions ult rieures de l Ecole Pour l instant et dans le contexte 2005 invit nous n h siterons pas faire conna tre nos positions chaque fois
25. La Spirale 1957 Germaine Richier Adagp Paris 2000 BULLETIN DE L ASSOCIATION DES ANCIENS L VES ET DES L VES Les masters l ENS de Cachan Nouveaut s sur le site web La r alit est N 225 F vrier 2005 Association des Anciens El ves et des El ves de l Ecole Normale Sup rieure de l Enseignement Technique et de l Ecole Normale Sup rieure de Cachan Pr sidents d honneur MM les anciens Directeurs de l Ecole Normale Sup rieure de l Enseignement Technique et de l ENS de Cachan MM les anciens Directeurs Adjoints de l Ecole Normale Sup rieure de l Enseignement Technique et de l ENS de Cachan Mme la Directrice de l Ecole Normale Sup rieure de Cachan M le Directeur de l antenne de Bretagne de l Ecole Normale Sup rieure de Cachan M le Directeur Adjoint de l Ecole Normale Sup rieure de Cachan M le Recteur P PASTOUR Pr sidents Vice Pr sidents Secr taires G n raux Tr soriers honoraires M BLACHIER C 68 Professeur J BODINEAU G 59 IPR IA honoraire M N BONTOUX D 70 Professeur B BRAUN A1 66 Professeur R CANTAREL B 56 Inspecteur g n ral honoraire H COUDANE A1 44 Professeur m rite des Universit s Pr sident honoraire de l Universit Paris XI A GREUZAT EF 38 Professeur honoraire M JEANEAU A1 39 Professeur honoraire N de KANDYBA B 46 Proviseur honoraire P PUECH A1 44 Professeur honoraire J M REFEUIL EF
26. Sur le site de Ker Lann dans le domaine Sciences et technologie sant i Alg bre P be Rennes 1 g om trie Probabilit s et mod lisation Math matiques al atoire i Recherche i M Pierre Analyse et l application i Statistiques i Informatique des H Informatique t l communica Recherche KRennes1 L Boug tions M canique M catronique i Professionnel Rennes 1 B Multon Sur le site de Ker Lann dans le domaine Sciences de Phomme et de la soci t Droit conomie gestion Droit et gestion Droit europ en des politiques europ ennes i Recherche i Rennes 1 i JC Poutineau en italique niveau de la cohabilitation ENS de Cachan Sur le site de Cachan Dans le domaine Sciences de Phomme et de la soci t les d partements Sciences sociales et Langues anglais de sp cialit organiseront une formation master la rentr e 2005 en continuit avec les magist res existants Sciences sociales magist re d humanit s modernes cohabilitation avec l universit Paris X Langues magist re d anglais de sp cialit cohabilitation avec l universit Paris VII Nouveau parcours en Economie et gestion gt master conomie en cohabilitation avec luniversit Paris I master gestion en cohabilitation avec l universit Paris XI Sur le site de Ker Lann Le d partement EPS ouvrira une formation master cohabilit e au niveau mention
27. as d indiquer vos nom pr nom et promotion section sans quoi l acc s ne sera pas activ Un mode d emploi du forum sera publi dans un prochain bulletin 13 Des informations publiques et priv es Lannuaire papier tant accessible tous le comit a souhait qu un acc s public l annuaire soit possible Cette version all g e doit quand m me permettre de savoir si une personne est un ancien de PENS Il a donc t d cid de ne rendre publiques que les promotions et sections des anciens et une recherche n est possible que par nom ou promotion Utilisation pratique L ANNUAIRE PUBLIC REINE EEE ag du bna pam si Araesbre ce ligni parts dom La I GS a jo pr a if da oo de DATT s d ou LE s AD hid wjr pia d samsa pa e maram iala de ara Sur le menu de gauche choisir Annuaire en ligne Dans la page qui s affiche alors choisir le type de recherche par nom ou promotion Entrer alors le nom ou choisir la promotion Lorsque plusieurs possibilit s existent pour la promotion entr e en 1 ou 3 ann e Cachan ou Kerr Lann une nouvelle liste de choix appara t L ESPACE ADH RENT Choisir la rubrique espace adh rent dans le menu de gau che du site web Saisir votre nom de connexion login et mot de passe puis cliquer sur le bouton connexion Si vous avez oubli votre mot de passe cliquer sur j ai oubli mon mot de passe et rempli
28. bor e en parte nariat avec Rennes I 4 Masters ont d marr en septembre L volution s est faite sans renoncer la pr pa ration pour 7 options au concours d agr gation avec une r ussite de 85 normaliens et auditeurs la session 2004 Le volet recherche progresse galement en troite collaboration avec les Unit s de Recherche ex PI R M AR Math matique l I R IS A Informatique l I N S E R M en Bio microsyst mes Dans cette voie PAntenne peut ambitionner de devenir un p le de comp titivit en Bretagne Cette r ussite Michel Nusimovici en porte une large part un hommage m rit doit lui tre rendu lui qui a mis tant de passion dans cette r ali sation Vice pr sident de l Universit de Rennes I il a fait le choix en 1994 de venir sur ce chantier nouveau et de r ussir Il a su d velopper d excel lentes relations avec la communaut scientifique et les Grandes Ecoles de Bretagne dont il a t lu Pr sident de la Conf rence Si l on ajoute une mis sion de Rapporteur g n ral au Conseil conomique et social de Bretagne et plus r cemment comme charg de mission par le Conseil G n ral pour l tude et le d veloppement du campus de Ker Lann c est dire que le Professeur m rite de l E N S de Cachan continuera agir pour servir la cause publique et la diffusion des sciences Jean Louis Tourenne pr sident de l Espace des Sciences constate qu un
29. chir aux causes et aux cons quences du retour de l id ologie du d terminisme en biologie Organis par L Association Fran aise des Femmes Dipl m es des Universit s AFFDU LAssociation Femmes et Sciences Comit scientifique Genevi ve Fraisse Maurice Godelier Pascal Picq Catherine Vidal Sous le Haut Patronage du Minist re de l Education Nationale de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche et du Minist re de la Parit et de l Egalit Professionnelle Avec le soutien du Minist re de la Recherche du FSE du CNRS de L Or al et de la Fondation d Entreprise EADS 26 Programme de la journ e 9h00 INTRODUCTION 9h30 EXPOS S SCIENTIFIQUES 9h30 Genevi ve Fraisse CNRS En finir avec la condition f minine 10h00 Maurice Godelier EHESS Mythes fondateurs de la domination masculine dans la vie et les sciences une perspective anthropologique 10h30 Catherine Vidal Institut Pasteur CEA Cerveau sexe et id ologie 11 h30 Pascal Picq Coll ge de France L ternel f minin en pal oanthropologie et en thologie 12h00 Jo lle Wiels Institut Gustave Roussy et Evelyne Peyre CNRS Mus um Le sexe un continuum 14h00 Sabine Prokhoris L id e fixe de la diff rence des sexes un sympt me questionner 14h30 Ga d Le Maner Idrissi Universit Rennes II Le f minin et le masculin en psychologie 15h00 Mich le Ferrand CNRS INED
30. citer quelques passages cl s de homme de v rit Odile Jacob poches 2004 extraits du chapitre VI Epigen se neuronale et volution culturelle Notre quipement g n tique avec ses quarante mille g nes conf re notre cerveau les traits universels qui font de nous des tres humains Les gran des lignes de l architecture du cerveau se trouvent encadr es par une enve loppe g n tique qui inclut les g nes de d veloppement Pour autant l esp ce humaine se caract rise par la capacit apprendre et conserver des traces sta bles de l exp rience pass e la forma tion des milliards de millions de synap ses que comprend le cerveau adulte chappe dans une certaine mesure au contr le absolu des g nes Elle peut tre consid r e comme un processus volutif pig n tique avec variation al atoire et s lection qui se produit pendant le d ve loppement embryonnaire et se poursuit apr s la naissance pig n tique au sens o je lem ploie combine deux significations l id e de superposition l action des g nes suite notamment l apprentissage et l exp rience et celle de d veloppe ment coordonn et organis De fait je le r p te parce que c est un point impor tant le r seau c r bral ne s assemble pas comme on construit un ordinateur avec des pi ces d tach es suivant un plan pr d termin qui d finirait exactement la nature e
31. ctave PICHON D 44 46 d c d en 1987 tait provi seur au LTE A ses trois enfants et ses petits enfants nous adressons nos sinc res condol ances et les assurons du souvenir mu que nous gardons de ce couple d amis de PENSET Claude Blanquet B 59 et Arlette Blanquet n e Schmitt A2 62 font part du d c s de Madame Colette Blanquet n e Jonot leur m re sur venu le ler d cembre 2004 dans sa 90 me ann e Madame Blanquet A2 35 tait Directrice des tudes de la section A2 PENSET jusqu la fermeture de ce recrutement en 1970 Madame Blanquet a soutenu l volu tion de la section en 1968 avec l ouver ture des enseignements en universit en Biochimie Nutrition en Biochimie Microbiologie et en Vie sociale et familiale permettant les nominations en classes post bac BTS et DUT Que les familles prouv es re oivent nos amicales condol ances Que deviennent les anciens Patrick TOUZET nous rapporte la r union de sa promotion ENSET D2 74 pour son 30 anniversaire le 8 mai 2004 Melun S nart dans une salle pr t e par l IUT Dix neuf camarades avaient r pondu pr sent ainsi que quatre de leurs professeurs NOS COLL GUES PUBLIENT Bernard POURPRIX A1 63 et Jacqueline LUBET publient un nouvel ouvrage L AUBE DE LA PHYSIQUE DE L ENERGIE HELMHOLTZ RENOVATEUR DE LA DYNAMIQUE VUIBERT ADAPT 2004 Collection Inflexions ISBN 2 7117 5369 7 VUIBERT 20 rue Berbier du M
32. des repr sentations du r el Cette id e de lad quation de la repr sentation du r el notre tre tel qu il est conduit l vidence au caract re dynamique volutif donc provisoire de la science l tat de la science une date donn e r sulte de ce que les scientifiques peuvent comprendre cette date donc de leur apprentissage scientifique incluant l tat ant rieur de la science et ven tuellement leur propre production On peut identifier ici ce que Edgar Morin nomme une boucle r cursive et que le physicien reconna t comme une r troaction positive les producteurs de science se nourrissent du savoir scientifique collectif pour produire ou d velopper de nouveaux mod les ou de nouvelles applications qui c est la boucle de retour vont enrichir le savoir collectif et passer ainsi dans la cha ne d action Ainsi l affirmation de Steven Weinberg rapport e dans un ditorial de La Recherche La phy sique peut elle TOUT expliquer La Recherche 349 janvier 2002 Nous pouvons pr dire avec un haut degr de confiance que t t ou tard nous d couvrirons les principes physi ques qui gouvernent tous les ph nom nes naturels me surprend elle beaucoup Je pense plut t que les acquis et les r futations scientifiques du pass int gr s dans le savoir collectif structurent l organisa tion mentale des scientifiques et les pr parent des productions nouvel les
33. e th me de l apport des neurosciences la p dagogie Le colloque annonc ci dessous nous semble particuli rement int ressant nous en pr senterons un compte rendu dans un prochain num ro F minin masculin mythes scientifiques et id ologie Colloque organis le samedi 5 f vrier 2005 ESTP 57 bd Saint Germain 75005 PARIS Objectifs du colloque A la lumi re des connaissances actuelles en biologie et en particulier en neurosciences on serait tent de croire que les vieux pr jug s sur les diff rences biologiques entre les hommes et femmes ont t balay s Ce n est manifes tement pas le cas dans notre r alit quotidienne M dias magazines ouvrages de psychologie pr tendent que c est de par leur nature biologique que les femmes sont bavardes sensibles et incapables de lire une carte routi re alors que les hommes eux sont naturellement bons en maths bagar reurs et comp titifs Ces discours sont aliment s par certains milieux scientifiques qui contribuent activement v hiculer l id e que nos motions nos croyances nos valeurs sont pr c bl es dans des structures mentales h rit es des temps pr historiques Lobjectif de ce colloque est double D une part apporter un clairage sur les arguments scientifiques qui soutiennent ou non la vision d terministe du naturel masculin et f minin D autre part associer dans un d bat sciences humaines et sciences dures pour r fl
34. e d entre eux est un peu en retard Sur son voisin LA VIE DE L COLE Conseil d Administration de l E N S de Cachan S ance du 30 novembre 2004 Le Conseil d Administration de PE N S de Cachan se compose de 30 membres 15 personnalit s nomm es par le Ministre 4 repr sentants lus des professeurs des universit s de l Ecole 4 repr sentants lus des autres personnels d en seignement et de recherche de l Ecole 4 repr sentants lus des l ves de l Ecole et 3 repr sentants lus des personnels ATOS de l Ecole Le Conseil est pr sid actuellement par Pierre TAMBOURIN Directeur du GIP GENOPOLE d EVRY Neuf membres participent avec voix consultative le pr sident de l Association est invit au Conseil Prenant la succession de Hubert Coudanne c est ce titre et dans ce cadre que j ai assist la r union de rentr e du dit conseil le 30 11 04 Dans ce court r sum nous ne rappellerons que les points principaux ayant fait l objet d une pr sentation avec d bat et ou d un vote Ils se r partissent en une s rie d informations r sultats des concours d en tr e et des agr gations pr sentation du projet qua driennal de recherche 2006 2009 des aspects p dagogiques et scientifiques volution des laboratoires les projets de recherche f d ratifs les bourses d accueil des tudiants trangers des aspects budg taires et financiers les structures ENS en 2005 le budget 2
35. e a pleur Que ces lieux seront chers ma m lancolie Sur ces arbres mus je graverai ton nom Jy lirai mes douleurs et ma voix attendrie Le redira cent fois l cho du vallon L auteur A coup s r pas un po te contemporain Jai pens Lamartine un brouillon pr figurant Le Lac Je t l phone Elodie implorant un indice J entends distinctement son sourire satisfait mais elle consent le po me a t adress Julie en 1707 Bon Lamartine tait alors un galopin Impossible Un ami qui je soumets la question sans pr ciser la date me sugg re Andr Ch nier Le malheureux c tait encore bien plus impossible pour lui Etincelle Je grimpe dans les hauts de ma biblioth que pour y d nicher un manuel scolaire d il y a tr s tr s longtemps Il comporte de nombreuses lectures qui tou jours m ont passionn Je relis l une d elles pour la ni me fois Dans sa jeunesse il baucha des trag dies et crivit des vers dont harmonie fluide est comparable celle des po mes qui firent plus tard la gloire de Lamartine Il pourrait donc tre l auteur de ce po me adress Julie et ce Fanny serait un surnom affectueux Il faut y aller voir de plus pr s Il faut aller la Biblioth que nationale de France devenir chercheur a m intimide beaucoup mais Marianne Arnold mon alli e dans la place me balise le parcours si efficacement que je me retrouve bie
36. e et de citoyen face des r ali t s crasantes naturelles ou environnementales ou li es au progr s tr s relatif de notre savoir de notre compr hension du monde qui nous entoure marqu es plus sp cifiquement par des r ussites ou des d fis technologiques Dans le m me temps galement messages de confiance en une Education un Savoir r partis en une Recherche pertinente et partag e Chacun peut ou doit y trouver une place une petite niche pour sa contribution personnelle dans son quotidien dans son compor tement de citoyen d homme politique de d cideur Chacun doit se garder de g cher ces esp rances en galvaudant la formation la recherche chacun doit tirer le meilleur profit de la richesse g n rale intellectuelle inventive des nations En raison d une d mocratisation galitaire plus ou moins bien comprise pourquoi par exemple ennuyer autant pour ne pas dire quelquefois brimer au travers de contraintes administratives et sou vent technocratiques des corps entiers de population volontaires de tr s bonnes volont motiv s par ailleurs s lectionn s et comp tents pour agir dans un tel programme Pour y d velopper une action Je pense videmment et en premier lieu aux normaliens et la situation qui leur est faite Bonne Ann e 2005 Maurice Li vremont Chacun mesurera personnellement la contribution 2005 de chacun de ces items mais l Association sera attentive si l un ou l autr
37. e fracture se creuse entre l lite scientifique et la popula tion c est un d fi qu il faut rele ver Dans cette perspective on peut se r jouir que la greffe que repr sente lAntenne de l ENS de Cachan comme p le d excel lence a parfaitement pris Merci Michel Nusimovici d avoir contri bu la r ussite de cette d con centration il a su cr er des syner gies et m riterait d tre distingu comme Breton d honneur Marc Debenne Recteur de l Aca d mie remercie pour l organisa tion de cette journ e de r flexion Ce campus est aujourd hui per u comme un levier pour Pavenir un p le d excellence auquel PAn tenne participe pleinement Si des volutions sont envisager quant lautonomisation de l Anten ne il se dit pr t entendre la demande et accompagner Patrice Quinton remercie les con f renciers et les participants ce col loque dont la r ussite atteste de la capacit de PE N S et de l Antenne r unir des acteurs multiples sur des th mes essentiels comme l ducation au c ur de la culture scientifique Un cocktail convivial vient clore cette journ e Jacques Bodineau D partements d enseignement Math matiques Math matiques prioritairement Informatique Physique LES TUDES L COLE La formation FENS de Cachan Mise en place des MASTERS la rentr e 2004 Mention Math matiques et informatique p
38. elais du pro fesseur Michel Nusimovici directeur de P tablissement depuis sa cr ation au professeur Patrice Quinton qui lui succ de plusieurs personnalit s r gio nales et nationales rendent hommage l action conduite durant la d cennie en soulignant les points forts du site de Ker Lann dans la perspective d un d veloppement futur Au cours de la table ronde des clairages divers et compl mentaires furent pr sent s tour tour Jo l Lebeaume directeur du laboratoire S TE F de PE N S de Cachan introduisit le d bat en posant un ensemble de questions sur et pour la diffusion des techni ques diffusion qui doit associer Pesprit le c ur et la main Michel Cabaret directeur de lEs pace des Sciences Rennes qui fait part de son exp rience dans le renouvellement des exposi tions scientifiques et d organisa tion d Ateliers destination des enfants Dans cette mission de passeur il s agit de mettre en app tit un public diversifi Jack Guichard directeur du Palais de la D couverte met sa comp tence de neuro physiologiste pour apporter l ducation scientifique en direction des jeunes l cole apportant la continuit dans la d couverte Lint r t doit tre sol licit par la confrontation au r el au travers de manifestations mat rielles Bernard Multon professeur de g nie lectrique Antenne de Bretagne insiste sur le d calage entre les exi
39. elons que ce comit se pro pose de mettre l exp rience des anciens l ves et l assistance de l Association la disposition des membres qui sou haitent trouver une aide l analyse dans une situation de leur vie profes sionnelle de retrait ou d l ve Il s interdit toute intervention qui rel ve soit de l activit syndicale soit de d ci sions administratives nominations promotions etc Il peut 1 Etre saisi par les int ress s de questions relatives leur vie pro fessionnelle 2 Apporter aux personnes qui le consultent une coute attentive et suivie ainsi que tout conseil adapt 3 Rechercher et collecter des infor mations 4 Mettre ces informations la dis position des l ves et des anciens l ves par les moyens appropri s contacts personnels ou diffusions collectives bulletin site Web etc Sa composition La composition du CLIS constitu le 30 novembre respecte le texte fon dateur qui pr voit un repr sentant de la Direction de l Ecole un repr sentant des l ves parmi les lus au Conseil Administra tion ou au Conseil Scientifique de PENS un ancien l ve enseignant actif ou retrait 16 un ancien l ve engag dans une activit hors de Enseignement et de la Recherche le membre du Comit National responsable des Acad miales Il est plac sous la pr sidence de Chantal CREUZE vice pr sidente de PAssocia
40. engager le dialogue ce qui est essentiel pour la diffu sion des sciences La diversit des cultures est une richesse La science r pond bien au comment mais il est impor tant de pouvoir r pondre au pourquoi la lueur des cultures de nos contemporains Le mariage de la coop ration et de la comp tition correspond au climat dans lequel s labore la science Le C E R N Gen ve centre d exp rimentation et de d couverte est un bel exemple o la coop ration entre europ ens est favoris e uvrer pour la conqu te du savoir est un devoir de notre Soci t conclut Hubert Curien Patrice Quinton nouveau direc teur de l Antenne de Bretagne succ dant Michel Nusimovici remercie le conf rencier et donne la parole Claire Dupas directrice de l E N S de Cachan Claire Dupas rel ve avec satisfac tion que dix ans apr s sa cr ation le Site de Ker Lann a gagn son identit propre le pr sent colloque latteste Cette r ussite a t possible gr ce la volont politique des Collectivit s territoriales bretonnes et leur enga gement En 1994 l objectif tait de pr parer un concours d agr gation dans le domaine des g nies m canique et lec trique Aujourd hui la situation a bien chang l Antenne a su d velop per des compl mentarit s avec le Site de Cachan et r ussir son int gration en Bretagne par exemple la maquette des Masters est la
41. enseignement sup rieur notation 2004 2005 et avan cement 2005 2006 Note de service 2659 du 9 d cembre 2004 B O n 47 du 23 12 04 p 2705 LA VIE DE L ASSOCIATION Compte rendu de la r union du Comit national du 16 octobre 2004 l E N S de Cachan PR SENTS lus Berthaud Michel B 59 Braun Bernard A1 66 Gonin Christophe B3 93 Jardat Fran ois A1 63 Konieczka Stanislas B 63 Li vremont Maurice A2 61 Marichez Jo l B2 74 Pierson Claire A2 66 Pierson Fran ois D 67 Pindat Marie Antoinette A2 52 Suba Corinne B4 91 Invit s Jeaneau Michel A1 39 Refeuil Jean Marc EF 39 Ressayre Maurice D 56 EXCUS S lus Bontoux Marie No lle D 70 Coudane Hubert A1 44 Creuze Chantal D 67 Duc Emmanuel B3 90 Dugardin Jean Paul A1 58 Jardat Marie Anne A1 61 Lecointre Claire F 69 Ryckelynck Philippe A1 83 Santin Jean Jacques B1 77 Invit s Blachier Mich le C 68 Bodineau Jacques G 59 Sauvalle Daniel B 46 ORDRE DU JOUR 1 Approbation du compte rendu du Comit du 13 03 2004 2 Le Congr s 2004 de Vannes Lorient Approbation du compte rendu de l AG ordinaire du 21 05 2004 3 Le point financier bilan du congr s 2004 situation financi re provisoire au 30 09 2004 relance des cotisations 2004 Le CLIS actualit s L Annuaire papier en ligne Le site Web Espace adh rents Forum Le Bulletin Les lecti
42. ensemble de la r alit objec tive les choses les v nements Suivons maintenant Karl Popper dans La connaissance objective Traduction par Jean Jacques Rosat Flammarion Champs 1998 Chapitre 2 Les deux visages du sens commun assurant avec son humour habituel Nier le r alisme c est ni plus ni moins de la m galomanie la maladie professionnelle la plus r pandue chez les philosophes de m tier Nous admettrons donc avec beau coup d autres l existence d une r ali t ind pendante des observateurs que nous sommes Bien s r nous pouvons agir sur le r el par nos gestes nos mouvements nos machines mais m me si nous ne le faisions pas le r el n en existerait pas moins Si nous sommes en mesure d agir sur le r el c est aussi parce que nous sommes une partie de ce r el ce qui ajoute une dif ficult suppl mentaire l entreprise de compr hension Bref la r alit est Cette affir mation rel ve de la conjecture ou de la croyance et non de la connaissance au sens que donne ces mots Karl Popper une croyance est non r futa ble par exemple on ne peut pas prou ver que Dieu n existe pas ce qui n est pas une preuve de son existence au contraire une connaissance rationnel le Pest et son statut implique qu elle n est reconnue comme telle que tant qu elle n est pas r fut e Nous voyons appara tre ici une caract ristique fondamentale
43. era tous ceux qui le voudront Les votes pour le Comit bulletins de vote dans le n 225 devront parvenir le 9 mars 2005 au plus tard Le Congr s 2005 se tiendra Cachan les 26 et 27 novembre On y marquera en particulier le 20e anniversaire de PENS de Cachan 1985 2005 Chantal CREUZE propose d organiser le congr s 2006 Amiens en baie de Somme La s ance est lev e vers 16h30 LA VIE DE L ASSOCIATION Evolution du site web Annuaire en ligne et espace adh rent quipe de gestion du site web est heureuse de vous annoncer la mise en service de l annuaire en ligne La mise en place Lid e de cette r alisation a t lanc e en 2003 Les probl mes rencontr s avec l dition de la version papier de Pannuaire ont renforc la n cessit de mettre rapidement la disposition des adh rents et de tous les anciens l ves des outils informatiques modernes Cependant la mise au point de l annuaire en ligne a n cessit diff rentes tapes DE LA GESTION D CENTRALIS E LA BASE DE DONN ES UNIQUE La gestion des anciens et des adh rents est s par e entre plusieurs personnes la secr taire g n rale est res ponsable de la mise jour des parcours des anciens et des changements d tat civil ou de situation le tr sorier g re les adh sions et les cotisations Pr c demment chacun utilisait donc un fichier ou une base de donn e propre certaines informations tant dupli
44. es ing nieurs mal aim s Michel Alberganti Nominations Jean Sarrazin A 1 68 est nomm conseiller technique au cabinet du premier ministre arr t du 4 janvier 2005 Eric MARTIN B4 81 nouveau Pr sident l universit de Bretagne Sud Depuis le 19 janvier 2005 ric MARTIN est officiellement le nouveau Pr sident de l Universit de Bretagne Sud Il succ de au Pr sident Gilles PRADO qui ayait eu la gentillesse d accueillir Lorient notre Congr s 2004 en Bretagne Sud et dont le man dat 2000 2005 vient de s achever ric MARTIN est professeur des Universit s ancien l ve de PENSET Apr s son passage l cole Nationale Sup rieure des T l communications de Lannion il est depuis 1984 ensei gnant chercheur Lorient Nous le f licitons pour sa brillante lection 75 des voix au premier tour lui souhaitons un excellent man dat et adressons nos v ux les meilleurs de r ussite l tablissement dont il a d sormais la responsabilit 24 LES ANCIENS L VES Le carnet Mariage Marielle GRANDJEAN n e JAILLARDON 41 67 nous fait part du mariage de son fils Jean Fran ois avec Gw na lle CALVEZ tous deux ing nieurs SUPAERO Toulouse le 10 juillet 2004 Naissance Marie DELORT n e TERRIEN 4 2 94 et Jean DELORT partagent avec loi la joie de nous annoncer la naissance de Charles le 16 octobre 2004 Nos f licitations nos v ux de
45. ets F 75647 PARIS C dex 13 Bernard POURPRIX voquait dans l article Lhistoire des sciences pour d mythifier l activit scientifique de notre Bulletin 224 Novembre 2004 la publication de cet ouvrage qu il a crit en collaboration avec Jacqueline LUBET et en pr sentait quelques aspects pages 6 et 7 du Bulletin Les auteurs dans une d marche didactique clairement assum e nous entra nent dans une tude tr s pr cise du mouvement des id es scientifiques de la cr ation de concepts fondamentaux tel celui de l nergie en centrant leur propos sur un m moire crit en 1847 par Hermann Helmholtz Sur la conservation de la force ber die Erhaltung der Kraft La lecture de la traduction fran aise de ce m moire dans son introduction pr sent e en annexe suffit convaincre le lecteur non averti que l approche d un texte scientifique crit dans le langage du milieu du XIX si cle ne peut se faire sans une aide appropri e les auteurs nous apportent les l ments qui permettent d en saisir les diff rents aspects Louvrage situe d abord la publication du m moire dans son contexte quelle a t la formation de H Helmholtz d abord comme m decin et physiologiste quelles taient les id es philosophiques et scientifiques de l poque marqu es notamment par l influence de Kant quelles personnalit s ont contribu cette formation Pour faciliter la lecture le texte propose des inc
46. gences de la recherche et lattente des grandes entrepri ses ou du public Il serait bon de d tacher des ing nieurs dans les laboratoires pour qu ils s appro prient les connaissances mettre en uvre ensuite dans l industrie Marilyne Coquid enseignante l IUFM de Bretagne nous emm ne vers des chemins de tra verses en nous invitant conju guer culture scientifique et litt raire favoriser les mises en lien social vers des publics larges Rozenn Texier Picard math mati cienne E N S de Cachan a d cou vert lors de la F te de la Science comment concevoir une animation l interface entre chimie math matique et thermodynamique qui puisse tre accessible au public et en particulier des l ves d coles l mentaires C est une gageure que de rendre aux math matiques un visage moins aust re et moins litiste En forme de conclusion provi soire on peut retenir qu il s agit d as socier l apprentissage d une m thodo logie de projet la relation humaine et l coute de l autre qu elle implique La deuxi me partie de l apr s midi offrit au professeur Nusimovici locca sion de rappeler que c est Fontenelle qui fut pr curseur de la vulgarisation scientifique dans ses Entretiens sur la pluralit des Mondes Il pr sente le physicien Hubert Curien membre de l Acad mie des Sciences ancien ministre de la Recherche professeur et
47. himiques nomm s neurotransmetteurs 3 Commuteur dispositif r alisant des op rations temporaires d tablissement ou de rupture de connexions 20 documentation tr s pr cise sur l tat actuel des neurosciences ainsi que des commentaires des vues prospectives des prises de position philosophiques dont la pertinence et le pouvoir de conviction sont puissants On laura compris le point de vue exprim dans cet article est tr s voisin de celui de Stanislas Konieczka dans Et si la r alit tait relative Il reste que l association de r ali t et relative me choque Ce qui est relatif et surtout domin par son caract re volutif et donc provisoire ce sont les repr sentations que nous en donnons par la science Le r el lui est postul comme existant et ind pendant de la fa on dont nous le d crivons Laffirmation du caract re dynamique des connaissances qui me semble impos par la r cursivit des processus l uvre dans lapprentis sage et dans la cr ativit que l on peut comprendre au niveau neuronal gr ce l pigen se est contenue en filigrane dans de nombreux crits sans tre fermement pr sent e Elle peut cho quer ou susciter des r serves j invite les lecteurs qui le souhaitent utiliser comme ils l entendent cette Tribune libre de notre Bulletin pour exprimer leur point de vue Fran ois Jardat A 1 63 Post scriptum Au moment d exp
48. hysique et de Chimie pour la classe pr paratoire de 1 re ann e de technologie et sciences industrielles TS I Arr t du 30 juillet 2004 B O n 35 du 30 09 04 p 2007 m Olympiades acad miques de math matique Note de service du 20 09 04 B O n 35 du 30 09 04 p 2038 m Code de l Education Vol 1 livres Ier et Il Partie r glemen taire Ier et II N sp ciaux n 10 du 30 09 04 10 m L enseignement du fran ais au Coll ge Circ du 20 09 04 B O n 37 du 14 10 04 p 2151 m Calendrier du concours g n ral des lyc es session 2005 Note de ser vice du 4 10 04 B O n 37 du 14 10 04 p 2153 m Etablissements publics d ensei gnement E PL E transmission et contr le des actes Circ du 5 10 04 Encart B O n 37 du 14 10 04 m Programme de seconde ann e de math matique et informatique des classes pr paratoires conomiques et commerciales rectificatif objectifs de formation contenus TI C E B O n 40 du 04 11 04 p 2344 m Baccalaur at g n ral technolo gique professionnel calendrier des preuves partir du 9 juin 2005 Note de service du 09 11 04 B O n 42 du 18 11 04 p 2461 m Appel candidatures relatif un programme d action communautai re SOCRATES Ann e scolaire 2005 2006 Circ du 12 11 04 Encart B O n 44 du 02 12 04 m Instruction pour l adaptation des programmes d histoire
49. i promouvoir la Recherche et les Sciences pratiques L Association est reconnue d utilit publique D cret du 11 juillet 2003 J O n 165 du 19 juillet 2003 ASSOCIATION DES ANCIENS ELEVES ET DES ELEVES DE L E N S E T ET DE L E N S DE CACHAN 61 avenue du Pr sident Wilson 94230 Cachan Val de Marne T l Fax 01 69 28 78 18 e mail anciens ens cachan fr C C P Paris 5488 99 K site internet http www aae ens cachan fr ISSN 1164 1967 Directeur de la publication Maurice Li vremont Association Ibidem R daction correction mise en page Fran ois Jardat Claire Pierson Marinette Pindat Relations avec l imprimeur et diffusion Fran ois Jardat Marinette Pindat F VRIER 2005 Sommaire EDITORIAL 1 Le mot du Pr sident LA VIE DE L COLE Conseil d Administration de l E N S de Cachan Missions de PENS de Cachan et devenir des l ves 4 Journ e Science et Soci t 4 Prix litt raire de PENS de Cachan Diffuser les Sciences et les Techniques LES TUDES L COLE La formation l ENS de Cachan INFORMATIONS TEXTES OFFICIELS Enseignement sup rieur lyc es et personnels LA VIE DE L ASSOCIATION o 11 Compte rendu de la r union du comit national Evolution du site web Annuaire en ligne et espace adh rent D 15 Mot du tr sorier 1 Le CLIS existe TRIBUNE LIBRE D 17 Devinettes II La r alit est LES ANCIENS L VES e e lt e2 Itin raire
50. ils Il y avait beaucoup de sorties organis es par les anciens C est certainement gr ce cette solidarit que toute la promotion a t re ue l agr gation Est ce que tu penses avoir t bien pr par e enseigner par l Ecole Spontan ment et en priv je dirais non Pourtant lorsqu on arrive dans un coll ge ou un lyc e on se rend compte que l Ecole Normale Sup rieure est aur ol e d une r putation de forma tion p dagogique En r alit les tudes l Ecole nous donnent une fabuleuse capacit d adaptation une rigueur dans la cons truction des cours et surtout en ce qui me concerne l habitude de travailler en commun Cette pr paration au tra vail en quipe je lai utilis e toute ma vie y compris dans les loisirs C est peut tre cela le secret de la p da gogie Quel est ton meilleur souvenir de PEcole Cela ma rien de professionnel je ne sais pas si je dois le dire Si si C est la premi re fois que j ai vu celui qui allait devenir mon mari Pissue d un match de rugby chantant tue t te un chant basque Et il a une tr s belle voix Cela a lair un peu personnel mais en fait c est assez repr sentatif du souvenir que je garde de l cole une ambiance de convivialit l habitude de vivre entre amis D ailleurs on a con serv des liens solides et on retrouve r guli rement nos copains de l poque et il y en a de toutes les sections et
51. ion pour les volcans A propos de l ducation civique on en a beaucoup parl comme d un moyen de d velopper la citoyennet Est ce que tu as not un changement notable D abord ce n est pas vraiment une nouveaut On a toujours enseign la mati re On l appelait instruction civi que La r forme a simplement relanc la discipline avec un programme plus attrayant mais pas d augmentation de lPhoraire Et surtout il y a mainte nant une preuve au brevet et au bac ECJS En ce qui concerne les l ves on a un peu le sentiment de semer dans le d sert Ils ont des difficult s passer de l cole la vie r elle J ai par exemple de magnifiques copies sur la citoyennet Pourtant des l ves qui j ai mis 15 ou 16 peuvent dans le couloir adopter des attitudes totale ment anti civiques insultes vols pro pos racistes Ils savent bien r citer la le on Ils se conforment bien ce que lon attend d eux en classe mais ne passent pas l application As tu observ un changement chez les l ves de coll ge depuis le d but de ta carri re C est une question laquelle je n aime pas r pondre Cela me rappelle trop ma propre prof de grec lorsque J tais l ve qui se lamentait d j de notre niveau S il y a un changement c est dans le comportement Il me semble qu il y a plus de violence entre les l ves mais pas l gard des profs C est vrai que je suis plu
52. ions A chaque personne qui s identifie est attribu e une cha ne al atoire unique Cette cha ne est enregistr e dans un coo kie sur l ordinateur client et permet de v rifier que c est bien toujours la m me personne Un syst me de v rification continue de l adresse IP du client assure que cet identifiant n a pas t vol et utilis par une autre personne malveillan te Quand le navigateur est ferm la session est d truite Il est aussi possible de d truire la session en cliquant sur Se d connecter faire sur les ordinateurs publics UNE BASE VIVANTE ET MISE JOUR Parall lement la base de donn es devait tre mise jour r guli rement Un formulaire de demande de mise jour a donc t install sur le site web accessible depuis la page d accueil rubrique mise jour annuaire Les infor mations recueillies nous sont ensuite envoy es par courrier lectronique et trait es manuellement afin d effectuer les v rifications d usage La loi informatique et libert vous permet de vous opposer ce que les donn es vous concernant soient diffu s es adresse t l phone notamment Des cases cocher sont pr vues dans le formulaire si vous ne souhaitez pas que ces informations apparaissent DES ACC S DES SERVICES Un acc s la base de donn es ayant t install cette base tant mise jour en permanence par les membres du comit il ne restait plus qu organiser la mise e
53. ises clairement identifi es typogra phiquement qui apportent un clairage plus pr cis sur une id e ou une personne cit es Le foisonnement des id es et des positions scientifiques avec toutes leurs nuances indivi duelles exprim es par les Kant Hegel Oersted Seebeck Laplace Fourier Clausius Thomson Kelvin et d autres rend hasardeuse toute tentative de leur classification ration nelle Il est donc difficile de mesurer avec pr cision Pin fluence de chacun Le contexte tant d crit les id es fondamentales con tenues dans le m moire Sur la conservation de la force sont pr sent es La notion de force diff rente de celle de Newton est explicit e par Helmholtz lui m me c est la capacit d exercer des effets qu il est indispensable d associer celle de mati re constitu e par les objets en tant que tels sans tenir compte de leurs effets sur d autres objets ou sur nos organes des sens Se fondant sur le prin cipe de l impossibilit du mouvement perp tuel Helmholtz d montre que tout ph nom ne peut tre interpr t par le jeu de deux formes basiques de force dont la somme reste constante savoir la force vive et la force de tension bauches des nergies cin tique et potentielle Le forma lisme math matique avait d j t introduit par Bernoulli et Lagrange mais ceux ci n en avaient pas explicit l implication physique ce qui constitue l
54. it des choix personnels qu une strat gie d lib r e d vitement Le troisi me concerne l essai mage r alis la sortie de l ENS de Cachan Il s agit d un essaimage national favorisant largement la province avec une palette de d bou ch s li s tous quasi sans exception aux domaines du syst me ducatif de la formation et de la recherche et selon un ventail quilibr entre second degr enseignement sup rieur et recherche A noter la faiblesse des d bouch s ou carri res dans d autres secteurs tels que l administration les entreprises certains stigmatisent d ailleurs cette faiblesse Un regret lPabsence de donn es concernant la r partition hommes femmes depuis les pr pas au niveau de ces d bouch s Le quatri me conduit aborder les difficult s de financement d inser tion et de titularisation des l ves dans des carri res de Recherche Il res sort tr s clairement des tableaux que la proportion des l ves engag s dans un cursus Recherche imm diatement Promo 95 99 34 34 13 2 6 la sortie de l cole s tablit en nette r duction la fin de l engagement d cennal De nombreux retours s op rent en direction d emplois d agr g s Si cette situation constitue un plus pour l enseignement en lyc e notam ment en pr pa avec des enseignants titulaires de th ses ou ayant pratiqu une recherche de longue dur e cela co
55. m thode Seuil Points 1981 Abraham Pais Albert Einstein La vie et l uvre InterEditions 1993 Roger Penrose Les deux infinis et l esprit humain Flammarion Champs 2002 Karl R Popper La connaissance objective Flammarion Champs 1998 Ilya Prigogine Isabelle Stengers Entre le temps et l ternit Flammarion Champs 1992 Ren Thom Pr dire n est pas expliquer Flammarion Champs 1993 21 ITIN RAIRE D UNE G OGRAPHE es sections litt raires ont maintenant disparu de PENS mais nombreux sont les anciens de ces sections E F G qui gardent bien vivant le souvenir de leurs tudes PENSET Il tait normal que nous leur r servions une place particuli re Beaucoup se retrouveront dans le parcours d enseignante du secondaire de Silvia G 70 Le sien pr sente de plus l originalit de se d rouler presque exclusivement en coll ge Il fait aussi appara tre un aspect de l cole cher au c ur de ceux qui font vivre l Association la convivialit la camaraderie la solidarit entre sections et g n rations Quelles sont tes fonctions actuelles Oh c est assez banal j enseigne Phistoire la g ographie et l ducation civique au coll ge Matisse Nice J ai donc des l ves de la sixi me la troi si me Pas si banal pour une agr g e As tu toujours enseign en coll ge Peux tu retracer rapidement ta car ri re jusqu aujourd hui A ma sortie de l Ecole j ai d abord t nomm
56. mence Boulouque aux ditions Gallimard Les traces de Delphine Coulin aux ditions Grasset La deuxi me disparition de Majorana de Jordi Bonells aux ditions Liana L vi Passer l hiver d Olivier Adam aux ditions De Lolivier Octave avait vingt ans de Gaspard Koenig aux ditions Eo Grasset rence N oubliez pas de vivre par Thibaut de Saint Pol aux ditions Albin Michel Les g ocroiseurs de Eric P ssan aux ditions La diff La La remise du Prix se fera lors du Gala de l cole La nuit 1 aNormale 2005 le 11 f vrier 2005 affiche ci contre Derni re minute Le prix litt raire est d cern Delphine Coulin pour son roman Les traces dit chez Grasset TT Gi AzA DJ Spoutnik A _ A mlp NMornnnmle Sup Cao Fin LL f vrier 2005 d s 1h uit aNormale 2005 i i F l ETS Cachan IH aa d pmt i ml NL AAA AEN LA VIE DE L COLE Diffuser les Sciences et les Techniques Compte rendu du Colloque organis Ker Lann le 22 septembre 2004 e colloque tait organis en deux temps le matin avec une premi re table ronde sur le th me Enjeux et d fis de la diffusion des Sciences et Techniques et l apr s midi avec une seconde table ronde dont nous pr sentons ci dessous un bref compte rendu En conclusion de cette journ e qui marque la fois les dix ans de PAntenne de Bretagne accueil de la premi re promotion en septembre 1994 et la passation de r
57. n vos coll gues anciens l ves de Cachan Recherchez dans l annuaire vos copains de promo et demandez leur de remplir une fiche 28 Association des Anciens El ves et des El ves de l Ecole Normale Sup rieure de l Enseignement Technique et de l Ecole Normale Sup rieure de Cachan INSTRUCTIONS AUX AUTEURS Le Bulletin de l Association est un moyen d information et de liaison entre les membres dont le but essentiel est conform ment aux buts plus g n raux que s est fix e l Association de promouvoir l cole Normale sup rieure de Cachan et galement la culture technologique dans ses multiples facettes mais aussi la vie de l Association pour cette partie qui ne rel ve pas de l annuaire Les documents doivent tre dans la mesure du possible propos s sous forme de fichiers sur disquette ou par e mail en fichier attach avec l indication du logiciel utilis ou exceptionnellement manuscrit sur papier l encre noire et sur recto seulement Pour adh rer il faut r unir les conditions suivantes e soit tre ancien l ve de l ENS Cachan avoir fait partie d une des sections de ENSET ou de l ENS en qualit d l ve admis par concours e soit tre l ve de l ENS Cachan entr par concours en 1 ou en 3 ann e e soit tre l ve ou ancien l ve de l Ecole Doctorale de l ENS de Cachan e soit tre Pensionnaire ou ancien Pensionnaire de l ENS de Cachan et payer r guli rement la pa
58. n forme des donn es de l annuaire en ligne La confidentialit et le res pect des anciens tant une priorit il tait hors de question que toutes les informations soient publiques Un nom de con nexion doit donc tre cr pour obtenir un acc s l annuaire Il a t d cid en comit que chaque adh rent pourrait en demander un et ainsi acc der l annuaire rubrique espace adh rents du site puis demander un acc s Quand il a t identifi il est possible de lui offrir des services r serv s aux adh rents ce que nous appellerons par la suite l espace adh rent Il pourra donc visualiser le parcours profession nel de tout ancien pourra faire des recherches par tablisse ment par promotion et multicrit res par exemple recher cher tous les anciens d une section dans une acad mie Il aura acc s galement au dernier bulletin en ligne D autres services pourront s ajouter par la suite suivant les besoins LE FORUM Nous avons alors install un service de forum fonction nant avec la m me technologie mysql et php qui permet le dialogue entre les anciens L entr e dans l espace adh rent donne l acc s complet ce forum Afin de permettre un maximum de personnes de communiquer tout ancien en faisant la demande pourra galement s exprimer dans ce forum La demande d acc s se fait directement sur le site du forum http www aae ens cachan fr forum N oubliez p
59. nstitue l vidence un signe des difficult s que rencontrent les norma liens double cursus dans les ann es qui suivent leur sortie de l Ecole Mon commentaire final est empreint d une certaine fiert teint e d un tonnement satisfait vis vis d un tablissement qui fut le mien il y a longtemps les missions sont respec t es dans leur ensemble l Ecole n a rien perdu dans ses changements d ti quette ce qui est rare sur de longues p riodes Il est vident que l environ nement conceptuel de la formation des ma tres et des chercheurs a lui profond ment volu et finalement que la position des normaliens ne s est pas am lior e tant s en faut Maurice Li vremont LA VIE DE L COLE Organis e conjointement par le D partement de physique de PENS de Cachan et par l Universit Pierre et Marie Curie Paris VI la Journ e Science et Soci t dont voici le programme se tient dans le locaux de PENS le 10 f vrier 2005 Journ e Science et Soci t 10 f vrier 2005 ENS de Cachan B timent d Alembert Amphi Marie Curie 9h Fran ois Ravetta Service d a ronomie IPSL UPMC L atmosph re entre pass et avenir 10h Philippe Garrigues Lab de physico et toxico chimie des syst mes naturels Bordeaux La qualit de l eau 11h 11h15 pause caf 11h15 Faouzia Charfi ancienne Directrice de l IPEST Tunis La science face aux obscura
60. nt t com bl c est bien de lui qu il s agit Pai d ailleurs peu apr s retrouv dans le mus e de Poleymieux qui n est autre que sa maison natale divers ouvrages le concernant et sur tout Les moments po tiques d Andr Marie AMPERE recueil de plusieurs dizaines de po mes H oui Amp re l illustre physicien on a donn son nom l unit d intensit de courant Sa po sie l aurait elle rendue aussi c l bre C est peu probable mais sa produc tion dans ce domaine reste int ressante et plus encore sa vie difficile ponctu e d v nements dramatiques Pour n en retenir que deux Julie devenue son pouse meurt peu d ann es apr s le mariage et Andr Marie avait dix huit ans quand son p re victime de la fureur r volution naire fut guillotin Un an avant Andr Ch nier Daniel SAUVALLE B 46 Devinettes et Devinettes II sont publi es ici avec l aimable autorisation de La Joint e association ditrice de la revue Jointure voir les num ros 75 et 76 2003 NDLR Ce texte fait r f rence l article Devinettes publi en page 19 du Bulletin pr c dent N 224 17 TRIBUNE LIBRE La r alit est C titre pourra surprendre les lecteurs qui n ont pas eu sous les yeux le pr c dent num ro 224 de notre Bulletin o Stanislas Konieczka proposait un article pages 26 et suivantes intitul Et si la r alit tait relative C est d
61. ntismes 12h15 Henri Audier Dr de recherches Ecole Polytechnique membre du CA du CNRS La recherche un an apr s 13h 14h15 buffet au CROUS de Cachan 14h15 Christophe Bonneuil CNRS Science et Soci t du scepticisme vers un nouveau contrat 15h15 Benjamin Coriat Universit Paris XIII Recherche Propri t intellectuelle et Innovation 16h15 16h30 Pause caf 16h30 17h30 Dominique Pestre Centre Alexandre Koyr La France la recherche publique et l innovation aujourd hui quelles propositions 18h 19h Vincent Jullien Universit de Brest Questions d histoire et de philosophie des sciences LA VIE DE L COLE PRIX LITTERAIRE DE LENS DE CACHAN gene dition Cette ann e encore un jury choisi parmi les l ves de PENS de Cachan est charg de s lectionner l ouvrage qui recevra le Prix Voici la liste des 15 ouvrages retenus par le jury Souviens toi Leah de Ya l Hassan aux ditions Eden La Perle de Blanca de Nicole Landeau aux ditions LArpenteur Monsieur Dick de Jean Pierre Ohl aux ditions Gallimard Lagonie d Agrippine de Jean Bernard Liger Belair aux ditions La Martini re Le Th or me du Roitelet de Fr d ric Cathala aux ditions Albin Michel Sixties de Robert Belleret aux ditions Sabine Wespieser Tanguer de Karine Mazlounian aux ditions Plon Orkhidos de St phane H aume aux ditions Zulma Sujets libres de Cl
62. oint de nous faire renoncer toute r flexion Nos repr sentations de la r alit Dans le m me ouvrage Max Planck ajoute un peu plus loin le but de toute recherche scientifique est la construction d un syst me descriptif de lunivers qui soit rigoureusement stable ind pendant des mutations affectant les g n rations et les peuples A mon avis le projet propos ici par Planck est vou chec le syst me descriptif fond sur tous les acquis du pass et sur les d velop pements permanents de la science est adapt aux possibilit s actuelles de l intelligence humaine mais celles ci sont loin d tre fig es Ce point sera d velopp ult rieurement Nous pouvons en tout cas garder l espoir avec Karl Popper La con naissance objective Chapitre 1 La connaissance conjecturale de com prendre lunivers nous sommes des animaux tr s intelligents pr cairement install s dans un environnement qui diff re ample ment de la plupart des autres endroits de l univers des animaux qui s efforcent courageusement de d couvrir par une m thode ou par une autre les v ritables r gularit s qui r gissent lunivers et par voie de cons quence notre environne ment Les repr sentations du r el que nous donnons c est dire l ensemble des mod les et connaissances scienti fiques sont domin es par ce que nous sommes comme tres humains Pour reprendre la formulati
63. on de Gilles Cohen Tannoudji il y a un monde qui existe ind pendamment de moi mais ce que je peux en comprendre d pend directement de ma structure mentale et de l h ritage culturel cons titu par l accumulation des savoirs tablis par ceux qui ont v cu observ pens avant moi Autrement dit on peut imaginer que quelque accident de l volution autre que ceux qui ont eu lieu effec tivement aurait pu conduire une esp ce vivante diff rente de l esp ce humaine dou e de pens e mais avec des structures anatomiques physiolo giques et mentales autres que celles dont nous disposons et qui face au m me r el pas tout fait le m me car je sais faire partie du r el se donnerait des repr sentations totale ment diff rentes les lois de Newton la relativit la physique quantique n existeraient pas Rien n emp che de penser que pour des structures biologiques et men tales diff rentes des n tres une autre science puisse exister aussi capable que la n tre pour ses auteurs d inter pr tation du r el de pr dictions dans certains cas d efficacit technique par ses applications Il est bien clair que cette ventuelle autre science nous est totalement inaccessible du moins imm diatement puisque nous ne pouvons comprendre que ce que notre cerveau tel qu il est physique ment et organis par l apprentissage et la culture peut concevoir Caract re dynamique
64. onc une r ponse nettement n gative la question pos e par l auteur qui est propos e ici Cependant il sera clair que nos positions sont tr s voisines et d ailleurs les discussions que nous avons d j eues avec Stanislas Konieczka me persuadent que c est essentiellement sur des questions de vocabulaire que nous divergeons Peut tre le lecteur sera t il n anmoins int ress par une discussion argument e sur les notions de r alit Les grands penseurs par leurs textes pr cis clairs et concis savent non seulement nous pr senter leurs id es mais encore nous amener des r flexions personnelles sur les ques tions qu ils traitent Sur leurs trois m ts l gants et v loces ils nous conduisent travers les oc ans d ignorance vers les conti nents qu ils ont reconnus et explor s Ils nous ouvrent les yeux nous per mettant de voir ce qu ils veulent nous montrer mais aussi beaucoup d autres aspects qui ne sont pas n cessairement au centre de leur propos Sur nos fr les esquifs rien ne nous emp che de naviguer nos risques et p rils vers des lots aper us lors de la travers e pour y explorer des paysa ges nouveaux pour nous mais peut tre d couverts depuis longtemps par d autres Apr s avoir navigu r cemment derri re des guides tels que Ilya Prigogine Gilles Cohen Tannoudji Edgar Morin Jean Marc L vy Leblond Karl Popper Jean Pierre Changeux j ai envie d embarquer dans
65. ons 2005 au Comit Colloque s 10 Acad miales 11 Questions diverses nouvelles de l ENS date du prochain Comit 1 amp An Pr sident de s ance M LIEVREMONT Secr taire de s ance M A PINDAT A 14 h le Pr sident M LIEVREMONT ouvre la s ance 1 Le compte rendu de la r union du Comit du 13 03 2004 est approuv l unanimit sauf une voix celle d un absent la r union 2 Le compte rendu de l AG ordinaire du 21 05 2004 Congr s de Vannes apr s quelques l g res correc tions est galement approuv par tous 3 Le point financier Fran ois PIERSON Tr sorier d crit de mani re tout fait rassurante la situation financi re actuelle apr s le congr s 2004 Toutefois les cotisations 2004 tardant rentrer une relance adress e aux trop nombreux retardataires environ les 2 3 des adh rents s impose imp rativement 4 Le CLIS Le Comit de Liaison d Information et de Solidarit anim par Chantal CREUZE a commenc tudier et parfois r gler diff rents probl mes Une r union pl ni re organis e en novembre met tra en place la structure du CLIS en partenariat avec la Direction de PENS et avec une repr sentation des l ves conform ment la charte approuv e au congr s de Vannes 9 L Annuaire Pour l annuaire papier l association est d gag e de tout engagement vis vis de la soci t OFERSOP dont
66. orientation 2 Attention port e aux anciens hors Education Ils participent leur mani re au rayonnement et la notori t de l Ecole dans des sph res qui d passent celles de PEducation Nationale 3 Rapprochement avec les autres ENS notamment pour tous les probl mes communs aux norma liens rapprochement engag le correspondant de l ENS ULM 4 Campagne d information aupr s des l ves et anciens l ves pour faire conna tre l existence du CLIS information en d but de deuxi me ou troisi me ann e uti lisation du CRANS DEVINETTES II es faits remontant deux ou trois ans automatisme n tait peut tre pas aussi rigoureux qu aujourd hui la porte restant entr ouverte aux explications au moins dans des cas tr s particuliers comme l tait celui ci P p P Toujours est il que le juge face la qualit des t moins et l unanimit des t moignages relaxa Raymond S il garda un l ger doute ce fut au sujet de ce probl me de choc Laudience termin e il s en inqui ta aupr s de Claude qui lui r pondit ce que nous savions d j son avis le choc nez nez tait aussi terrible mais pas plus que le choc contre un mur toutes choses gales Raymond coutait attentivement Il approuva convenant que son pr c dent raisonnement avait t un peu h tif A tel point soucieux de nous convaincre qu il tait lui m me convaincu il sortit de sa poche un papier couve
67. our les sciences du vivant Math matiques appliqu es Parcours Math matiques visions appren i tissage i Recherche Etablissem co habilit s P5 P9 X ENST ECP ENPC Responsables HE support locaux des M2 i L Moisan M thodes num riques pour les mod les des milieux continus Recherche P5 P9 X ENST ECP ENPC Mod lisation et simulation Sciences cognitives Math matiques et informatique Physique fondamentale et appliqu e Chimie K Nakatani M1 F Miomandre i Math matiques et mod lisation Informatique i Concepts fonda mentaux de la physique i Syst mes dynamiques et 1 statistiques de la mati re com plexe Noyaux particu les astroparticu les et cosmologie Science des mat riaux et nano objets Optique mati i re plasma i Biophysique mol culaire et cellulaire i Physique de l univers et de la plan te terre Physico chimie mol culaire Radiochimie Instrumentation et m thodes d analyses mol culaires en italique niveau de la cohabilitation ENS de Cachan sur la base du parcours MVA en math appliqu es dont le parcours Phytem qui est transversal sur l ensemble du master 1 Capteurs mesure i et instrumen i tation 1 Chimie organique 1 Chimie bio orga nique et bio inor ganique i
68. oyez tr s g n reux pour le versement libre de solidarit Si votre adresse ou votre situation personnelle a chang tat civil fonction vous pouvez actualiser les rubriques correspondantes sur la fiche ci dessous Prenon STD S Date et lieu de naissance Adresse personnelle aaaaooaoooooeoooooroooo0oe1r011011 T l phone aaasooo00000000000001 Promotion ann e g entr e 000000000 Section ENSET ou d partement ENS Si vous souhaitez que votre adresse ne soit pas mentionn e dans l Annuaire cochez la case Adresse postale B Adresse lectronique C T l phone O Adh sion nouvelle En vous remerciant de rejoindre les Anciens El ves et les El ves de votre Ecole nous vous prions de bien vouloir compl ter la fiche ci dessus et d y joindre un ch que de 42 euros comme indiqu montant minimum hors solidarit Bienvenue au sein de l Association Informatique et Libert Les informations recueillies pour l adh sion et la mise jour de l Annuaire font l objet d un traitement informatique et sont destin es au Secr tariat de l Association En application de l article 34 de la loi du 6 janvier 1978 vous b n ficiez d un droit d acc s et de rectification aux informations qui vous concernent Si vous souhaitez exercer ce droit et obtenir communication des informations vous concernant veuillez vous adresser Association des anciens l ves et l ves de l ENSET et de l ENS Cachan
69. qu es adresses par exemple La synchronisation tait donc difficile et rendait improbable la possibilit d obtenir un annuaire en ligne toujours actualis La premi re id e a t de rassembler tous les fichiers en un seule base de donn es accessible tous les acteurs Un gros travail avait d j t fait puisqu un fichier de base de donn es Access existait et recensait tous les anciens entr s l cole depuis 1920 avec leurs parcours professionnels Le gros du travail a t de r cup rer cette base pour la rendre accessible sur Internet Nous avons utilis une base mysql sur le serveur de PENS de Cachan et crit des applications en langage php pour acc der celle ci La base a t enri chie avec les informations adh rents adresse personnelle cotisations Les diff rents protagonistes ont donc la possibilit de mettre jour cette base UN ACC S PARTAG MAIS S CURIS Le probl me principal de cette base unique r side dans sa s curit les diff rents acteurs doivent pouvoir acc der leurs informations les mettre jour mais celles ci doi vent imp rativement rester confidentielles Un syst me de gestion des acc s a t d velopp en php l acc s la base mysql tant galement s curis par le service informatique de PENS Suivant ses besoins chaque personne identifi e a donc acc s diff rentes informations Le syst me de s curit retenu repose sur les sess
70. que des orientations engageront lavenir de l Ecole et je renouvelle mes remerciements Madame Claire DUPAS et Monsieur Hisham ABOU KANDIL pour leur geste de reconnaissance de l Association Maurice Li vremont LA VIE DE L COLE Missions de PENS de Cachan et devenir des l ves es propos exprim s chaud d coulent de l observation de documents distribu s lors du dernier Conseil d Administration de l Ecole voir aussi le C R r sum ci dessus auquel j ai assist en tant que membre invit succession de Hubert Coudanne De quels documents s agit t il De donn es statistiques diverses com pil es par les services de Ecole con cernant des bilans jusqu alors souvent m connus imparfaits et incomplets mais qui deviennent objectivement de plus en plus pr cis et pertinents depuis que les services de la Tutelle en ont transf r la responsabilit aux tablissements la charge de travail qui en r sulte est d ailleurs tr s cons quente Il s agit notamment du suivi des l ves leur sortie de l Ecole et la fin de la p riode de leur engage ment d cennal vis vis de l Etat Ces derniers bilans ne concernent concr tement que deux promotions celles entr es en 1994 333 l ves et en 1995 396 l ves sorties en 1998 et 1999 et donc voyant leur engagement d cen nal s achever en 2004 et 2005 Il s agit d une premi re car il est relativement difficile de retrouver les l
71. r cotisation pour l ann e 2004 Cette ressource compl men taire permet de conforter la situation financi re de l Asso ciation en lui accordant un l ger exc dent au titre de 2004 Le re u fiscal des sommes vers es au titre de la cotisa tion et de la solidarit vous sera adress au cours du mois de f vrier 2005 En ce qui concerne l ann e 2005 nous rappelons que les cotisations devraient tre pay es au d but de l ann e civile depuis plusieurs ann es d j notre p riode de cotisa tion co ncide avec l ann e civile un montant minimum de 42 auquel peut s ajouter le versement libre et facultatif de solidarit Cf feuille de mise jour de l annuaire et de renouvellement de cotisation en pages 27 et 28 Merci de r diger votre ch que l ordre de A A E E ENSET ENS CACHAN N B seuls les votes exprim s par des adh rents jour de cotisation peuvent tre pris en compte lors des diff rentes consultations vote en A G ou vote par correspon dance pour l lection des membres du Comit national De m me la qualit de membre du Comit national engage tre jour de sa cotisation annuelle 15 LA VIE DE L ASSOCIATION LE CLIS EXISTE e Comit de liaison d information et de solidarit dont la cr ation avait t vot e lors de l Assembl e G n rale du 22 11 2003 a tenu sa premi re r union le 30 novembre dernier Son r le Rapp
72. r le formulaire 14 NB Nous n avons pas souhait cr er automatiquement des identifiants de connexion tous les adh rents car nous ne sommes pas certains de la validit de toutes les adresses lec troniques que nous poss dons Nous invitons par contre cha que adh rent le souhaitant demander un acc s en cliquant sur le lien en dessous du bouton connexion et nous essaierons de r pondre le plus rapidement possible Pour des raisons de s curit et de confidentialit il vous sera demand de changer de mot de passe lors de votre premi re connexion Le nouveau mot de passe sera alors crypt et nous n y aurons pas acc s conservez le donc pr cieusement Quand vous serez connect l cran d accueil s affichera ua depli Lespy Thesa mr Hh s CEST EE DONS EST dre lue Fois ot LERA MOULE a pA La ligne bleue en haut vous indique que vous tes con nect et vous permet de vous d connecter Le mini menu de gauche permet d acc der rapidement la page d accueil une nouvelle recherche ou au forum ou d autres services ult rieurement Le menu d accueil vous donne acc s tous les services et notamment aux diff rentes recherches dans l annuaire Larakan Us an TU gt ihh Fn iea m toa e ial arrer ia La page d attente indique qu une requ te est en cours Dans le cas de certaines recherches notamment par acad mie les requ tes peuvent durer plusieurs minu
73. rt de calculs ce qui n eut d autre effet heureusement que de provoquer un mouvement de r pulsion centrifuge on lui faisait confiance Reste la lettre d Elodie et le po me nigmatique me d fiant d en retrouver l auteur qu elle y avait joint Je le transcris tel que je l ai re u Que j aime m garer dans ces routes fleuries O je tai vue errer sous un dais de lilas Que j aime r p ter aux nymphes attendries Sur l herbe o tu t assis les vers que tu chantas Au bord de ce ruisseau dont les ondes ch ries Ont mes yeux s duits r fl chi tes appas Sur les d bris des fleurs que tes mains ont cueillies Que j aime respirer lair que tu respiras Les voil ces jasmins dont je t avais par e Ce bouquet de tro ne a touch tes cheveux Tout ici me retrace une image ador e Tout y plaint les tourments d un amant malheureux Regarde cette rose aujourd hui dess ch e Hier elle exhalait les plus douces odeurs Sur ton sein palpitant tu l avais attach e Quel injuste destin a fl tri ses couleurs Tout passe c est ainsi que la source des ges Sur les ailes du temps emporte nos beaux jours Qu un ciel pur et serein se couvre de nuages Que l absence succ de aux plus tendres amours Oh Fanny c est ainsi que mon me perdue Nourrira le chagrin dont je suis d chir Jy dirai tous les jours c est l que je Pai vue En me disant adieu c est l qu ell
74. rticipation annuelle 42 euros en 2005 avec r duction de 50 pour les membres exer ant depuis moins de 5 ans Le service du bulletin et de l annuaire est associ l adh sion SOLIDARITE Pourquoi effectuer un versement de solidarit La solidarit qui est l origine de notre association est toujours dans nos statuts et mieux dans nos c urs aider un camarade en difficult pensons aux plus jeunes et aux plus anciens t moigner de notre sympathie par tel ou tel geste contribuer des actions de solidarit des l ves de l ENS de Cachan Le versement pour la solidarit peut repr senter environ 10 du montant de la cotisation annuelle D avance merci Ecole Normale Sup rieure de Cachan Photos CRAP ENS Cachan Site de Cachan Site de Ker Lann Association des Anciens El ves et des El ves de l E N S E T et de l ENS de Cachan 61 avenue du Pr sident Wilson 94230 CACHAN Val de Marne e mail anciens ens cachan fr Site internet http www aae ens cachan fr IMPR GraphiCap COUDEKERQUE BRANCHI
75. se mol culaire de la synapse neuromusculaire Nous com prenons ainsi plus g n ralement l pi gen se des r seaux neuronaux notam ment par la stabilisation s lective des synapses Il est facile d imaginer que de tels m canismes permettent une structuration du r seau c r bral assu rant les possibilit s d volution n ces saires l explication de la dynamique des repr sentations du r el Chez l homme pr s de 50 des synapses de l adulte se forment apr s la naissance et leur nombre continue d voluer en plus ou en moins jusqu la mort 74 la dur e exceptionnellement longue de l volution pig n tique dont dispose le cerveau humain a permis une incorporation dans le cerveau de caract ristiques du monde ext rieur sous forme de savoir pig n tique Inversement c est aussi ce qui a rendu possible la production d une m moire culturelle qui ne d pende pas directe ment des limites intrins ques du cer veau humain et puisse tre transmise de mani re pig n tique au niveau du groupe social Terminons en revenant l objet initial de ce texte par quelques cita tions de Jean Pierre Changeux prises encore dans homme de v rit mais cette fois dans le Chapitre VIII La science est elle un humanisme on peut concevoir un mod le comme un ensemble d objets mentaux organis et coh rent minimal et non contradictoire un mod le ainsi q
76. t t dans un tablissement dit favoris Les l ves sont peut tre aussi moins solidaires As tu un conseil donner aux jeunes futurs enseignants Pas de conseil en particulier mais je peux leur dire qu il est impossible de faire ce m tier bien et longtemps si on n aime pas les jeunes si on ne fournit pas beaucoup de travail et si on n est pas passionn par ce qu on enseigne Et il faut avoir visit Delphes ou Mol nes avec Silvia avoir vu les regards de nos enfants quand elle fait revivre la Pythie ou qu elle explique comment se forment les c nes de d jection des torrents pour comprendre que cette pas sion de sa discipline elle l a d j trans mise des g n rations d l ves Propos recueillis et comment s par Chantal Creuze 23 Distinctions Alain ASPECT A 1 65 69 est nomm chevalier de la L gion d Hon neur D cret du 31 d cembre 2004 Bruno BERGE A2 78 a re u avec J r me PESEUX ing nieur INSA Lyon le Prix des Ing nieurs 2004 dans la cat gorie Innovation Ce prix vient r compenser la perc e scientifique et technologique d ve lopp e dans l entreprise VARIOPTIC cr e en 2002 par Bruno BERGE il s agit d une lentille optique r alis e l aide de deux liquides dont l inter face sur laquelle est appliqu e une tension lectrique permet de r aliser une mise au point automatique ou un zoom Le Monde du 29 12 2004 page 15 article L
77. t la disposition de chaque circuit et de chaque commuteur Si tel tait le cas une erreur de d tail m me minime dans la r alisation de ce programme pourrait avoir des cons quences catas trophiques la diff rence de ce sch ma tout g n tique le cerveau comme r alisation d un patrimoine g n tique strictement pr d termin le mod le pig n tique postule que les connexions entre neurones se mettent en place pro gressivement avec une importante marge de variabilit et sont sujettes une s lec tion par le jeu d essais et d erreurs L pigen se d finie par Jean Pierre Changeux est au centre des processus r cursifs que nous avons voqu s plus haut les connexions entre neurones s tablissent notam ment pendant la phase d apprentis sage dans un contexte qui comprend les connaissances acquises sans doute cod es au moyen d un faisceau de liaisons neuronales peut tre gr ce des repr sentations potentielles telles que les d finit Antonio Damasio dans L erreur de Descartes La structu re du r seau c r bral qui en r sulte est donc conditionn e par l acquis autant que par l inn et c est sur cette base que les capacit s cr atrices peuvent se d velopper ensuite pour notamment d velopper dans un cadre in dit de nouvelles connaissances Jean Pierre Changeux explique de fa on pr cise les m canismes cellu laires et mol culaires qui pr sident la morphogen
78. t leurs coll gues britan niques au sujet de la paternit du concept de conservation de l nergie B Pourprix et J Lubet nous montrent comment on peut suivre pas pas ces volutions gr ce aux textes des nombreuses conf rences donn es par Helmholtz destin es tant au grand public qu des cercles scientifiques Les r ditions successives du m moire corrig es par Helmholtz constituent galement une r f rence solide Chercheurs et enseignants les auteurs concluent ainsi leur travail Nous pensons qu une histoire des sciences attentive aux conceptions du monde et de la science leurs volutions ou r volutions peut aider les ma tres et par con s quent les l ves prendre conscience que la physique est autre chose qu une batterie d l ments faits lois concepts th ories plus ou moins coordonn s entre eux que ces l ments constituent un tout parfaitement coh rent que cette coh rence est assur e par une certaine vision du monde et de la science corr l e la culture d une poque Nul doute que leur ouvrage permettra au lecteur de mieux reconstruire et percevoir cette coh rence Fran ois Jardat 25 ANNONCES Le prochain Congr s de notre Association se tiendra Cachan les 26 et 27 novembre 2005 Le Congr s 2006 est envisag pour les 1 et 2 avril 2006 Amiens Nous pr voyons pour 2006 l organisation d un s minaire en f vrier puis d un colloque en novembre sur l
79. tes Exemple de r sultat de recherche ms Il est possible d acc der au d tail de chaque ancien trouv en cliquant sur son nom On obtient alors des informations personnelles et pro fessionnelles de l ancien sauf les champs qu il n a pas voulu rendre publics b rere remember imu meme mu lets Sais me joe ime diam Liv rampe au RER Eur fiall d un sncbes dhive oi mamn Hri p Chaque adh rent a acc s l int gralit des informa tions le concernant incluses dans la base Am lioration continue et services suppl mentaires Nous esp rons que l annuaire en ligne donnera enti re satisfaction et permettra aux adh rents obtenir plus de lassociation Nous esp rons une participation active de tous pour nous permettre d avancer et de proposer une application toujours plus pertinente Vous tes donc invit s vous exprimer par le biais du forum sur les probl mes que vous rencontrez les bugs d couverts ainsi que les besoins et envies En cas de doute vous pouvez toujours nous contac ter par courriel anciens ens cachan fr Christophe Gonin co responsable site web LA VIE DE L ASSOCIATION Mot du tr sorier Merci tous les adh rents qui ont r pondu la relance de l appel de cotisation pour l ann e 2004 la cl ture de l ann e 2004 estim e la mi janvier 2005 nous pouvons constater que 460 adh rents environ taient jour de leu
80. tion d l gu e par le Comit Elle centralise toutes les demandes et sollicite les autres membres autant que n cessaire Le CLIS se r unit au moins une fois par an pour d battre des ques tions sugg r es par l actualit ou par les informations confidentielles re ues par le Pr sident sur les cas personnels dont la situation retient l attention Exemples d intervention L Association est d j intervenue dans diff rents dossiers reconnaissance des ann es d AMN pour la validation des services pour la retraite diminution des nombres de postes l agr gation information des l ves de classes pr paratoires int ress s par l ENS CACHAN obligation de l ann e d IUFM et du m moire pour les normaliens Lors de la premi re r union l ac tualit de ces sujets est soulign e aussi bien par le repr sentant de la Direction de l cole que par celui des l ves qui se f licitent que l Association ajoute sa voix celles de la Direction et des l ves Le CLIS poursuit donc les tra vaux en cours et s engage sur d autres pistes r pondant aux sollicitations des anciens Affaires en cours et projets 1 Validation pour la retraite des ann es d tudes en doctorat financ es par des bourses des contacts ont t tablis par cour rier t l phone et messagerie avec le Service du Minist re qui g re ce probl me Il est actuellement examin dans le cadre de la loi d
81. ue ses expressions crites les plus forma lis es sous forme math matique appartient la cat gorie des repr senta tions c r brales La substance de l objet men tal se pr sente sous la forme d un accord de distributions spatio tem porelles d influx nerveux d efficacit s synaptiques de seuils de d charge d une constellation de traces mol culaires stables distribu es dans le r seau ner veux on n attend pas dun mod le scientifique ou d un algorithme si par faits et si ad quats qu ils puissent parat tre et en d pit de leur longue histoire pig n tique et des multiples s lections mentales dont ils ont t l objet qu ils offrent une description exhaustive de la r alit ext rieure Un mod le si parfait soit il ne peut se confondre avec un objet ou le processus auquel il se rap porte Ces extraits d ouvrages de Jean Pierre Changeux dont le caract re arbitraire du choix ne m chappe pas ont surtout pour ambition d inviter le lecteur se reporter aux textes com plets eux m mes Il y trouvera dans une forme agr able lire o le souci p dagogique est bien pr sent une 1 L pigen se est d finie dans la suite par une citation de J P Changeux 2 Synapse espace existant entre des parties de deux neurones distincts et travers lequel circule l information dans un seul sens gr ce le plus souvent des compos s c
82. ui en ont la charge 7 Le Bulletin Fran ois JARDAT fait le point sur le contenu du Bulletin n 224 pr vu pour la mi novembre et sur les pr vi sions pour le n 225 qui devra sortir vers la fin du mois de f vrier 8 Les lections 2005 au Comit Pour les lections de mars 2005 appel aux candidats qui doivent se faire conna tre au Pr sident avant le 15 janvier Huit si ges sont pourvoir Membres dont le 12 mandat de 3 ans arrive son terme Michel BERTHAUD Marie No lle BONTOUX Chantal CREUZE Marie Anne JARDAT Fran ois PIERSON Marinette PINDAT et Philippe RYCKELYNCK 9 Colloque s Lorganisation d un colloque est envisag e pour 2006 en f vrier Le th me propos par Stanislas KONIECZKA sous le titre provisoire Enseignement et Sciences doit tre tudi pr cis 10 Acad miales Souhaitons que l exp rience men e Besan on par Fran ois et Marianne JARDAT soit convaincante pour d autres r gions La vie des Acad miales devrait s enrichir des liens et des activit s d velopp s par le C L I S 11 Questions diverses Date du prochain Comit Une r union du Bureau se tiendra le vendredi 21 jan vier 2005 repas 12 13h et fin 16h La prochaine r union du Comit national est fix e au samedi 12 mars 2005 de 13h30 16h30 l ENS de Cachan Le matin les membres du Bureau se retrouveront 10h30 et un repas sur place buffet rassembl

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