Carnet de formation
Contents
1. ENSA Paris Belleville tudiant B NAZ RAF David Ville de Paris direction de l urbanisme sder urbaniste BOURGEOIS Justine CAUE 93 architecte COUFFIGNAL Cedric Idemu CAUE 75 conseiller info energie CROS Patrice architecte FERRON Elisabeth Agence E Ferron paysagiste GAILLARD Marie Laure CAUE 28 architecte urbaniste conseiller GARCIA Carolyn ENSA Paris Belleville architecte tudiante GAUTHIER ANOTA Julie CAUE 95 charg e de mission GEUS Nicolas Alternatives Architecture g rant HASSAN Albert ENSA Paris Belleville tudiant LE CHEVALLIER Emmanuelle architecte LEROY OLIVIER Sandrine CAUE 41 architecte LUTHRINGER GENG Charlotte CAUE 95 architecte MARX Emmanuel Paris Habitat OPH charg de mission MERGIER Aur lie CAUE 91 charg e d tudes MORINIERE Emile Conseil g n ral de l Essonne chef de projet MORISSEAU Jean Christophe architecte MUCKENHIRN Alain architecte NARCY Antoine architecte NAULIN Herv ENSA Paris Belleville tudiant NOURDEH Fariba architecte ORLOVIC Radomir architecte PENNINI Daniela e EPAMARNE adjointe au DGA p le strat gie PETIT Antoine Atelier PNG architecture architecte RASTELL Annie Claude Conseil g n ral de l Essonne responsable de la MDH ROULEAU V ronique Ville de Paris Direction des affaires scolaires adjointe au chef du bureau des locaux et des projets de constructions scolaires SCRIVE Martine Hesp e2. Les fa ades anciennes pr sentant des l ments de d cor sont syst matiquement r habilit es l identique une isolation par l ext rieur tant r alis e sur les parties neuves et sur certaines fa ades cour La strat gie d isolation privil gie donc une isolation par l int rieur de type bo te dans la bo te traitant syst matiquement les ponts thermiques Les fen tres sont tr s performantes triple vitrage Une fois d termin e la limite optimale de traitement de l enveloppe du b timent ont t choisis des quipements efficaces mais rustiques notamment une chaudi re gaz condensation coupl e un plancher chauffant Cette approche lowtech utilise des mat riaux et produits relativement courants et des syst mes simples et donc un projet relativement conomique et rustique maintenir Compte tenu de la petite taille des b timents les choix architecturaux sont galement des choix d ergonomie paisseur et position de l isolant pour perdre le moins de place possible suppression des radiateurs au profit d un plancher chauffant compactage des locaux techniques Cette op ration illustre la possibilit de r nover le b ti pr industriel qui repr sente 16 du parc de logements et dont la valeur patrimoniale implique g n ralement la conservation en atteignant des performances nerg tiques similaires la construction neuve et sans alt rer le caract re architectural De tels projets imposent la fois une approche ra
3. ARCHITECTURE Ecologie du projet Ce que nous apprend la th orie de l acteur r seau gt Qu est ce que le projet fait faire et comment arrive t il travers ses diff rentes modalit s d actions red finir les connections parmi les acteurs impliqu s Comment arrive t il red finir et m me refaire le contexte au lieu de se laisser d finir Les outils d observation ethno graphique qui permettent de suivre les modalit s d action du projet en train de se faire nous guident vers une nouvelle fa on d aborder le projet comme une cologie dynamique lls nous permettent galement d aborder les questions d cologie et de red finir le r le de l architecte du ma tre d ouvrage du client etc comme faisant partie du monde dynamique collectif et h t rog ne de l architecture Ecologie du projet une approche pragmatique Dr Albena Yaneva sociologue professeur associ e l cole d architecture de Manchester Grande Bretagne Transformer dans la dur e Le lieu support et ressource du projet L exemple de l le de Nantes Patrick Henry architecte chef de projet de l le de Nantes et associ Alexandre Ch m toff Bureau des Paysages La ville possible aujourd hui la ville des flux demain des courts chemins Pantin Aix en Provence Arequipa Alain Schnaidt Felipe Delmont architectes et urbanistes 2DKS Le projet en train de se faire une cologie dynamique Dr Albena Yaneva sociologue
4. Jeudi 2 d cembre gt Visite de l cole d architecture Paris Belleville Une visite comment e de l cole est propos e aux participants de la journ e du 16 novembre L architecte Jean Paul Philippon pr sentera cette op ration de restructuration de l ancien lyc e Diderot gt NS w gt NS w gt NS w BIBLIOGRAPHIE gt Conserver transformer ajouter II s agit de ne jamais d molir Fr d ric Druot Ouvrages BERGSON H Mati re et m moire essai sur la relation du corps l esprit 7 me Ed Paris ditions Presses universitaires de France 2007 280 p coll Quadrige Grands textes EAN13 9782130545590 BOURDIN A L urbanisme d apr s crise La Tour d Aigues ditions de l Aube 2010 157 p coll Monde en cours EAN13 9782815900232 DRUOT F LACATON A VASSAL J P Plus Les grands ensembles de logements territoires d exception Etude pour le Minist re de la cultu re et de la communication Direction de l architecture et du Patrimoine Barcelone ditions Gustavo Gili 2007 264 p EAN13 9788425221637 DRUOT F LACATON A VASSAL J P Transformation de la tour Bois le Pr tre Porte Pouchet Paris 18 en ligne In Architecture Durable 30 architectes 30 projets en lle de France Disponible sur lt http www pavillon arsenal com videosenligne collection 9 131 php gt consulte le 5 11 2010 FERRIER Dir Architecture Durable 30 architectes 30 projets en
5. bien encombrantes s agit de ne jamais d molir ne jamais supprimer toujours ajouter transformer et utiliser s agit de faire basculer doucement et avec gentillesse la banalit vers l enchantement C est un travail qui mise sur la pr cision le discernement et l attention gt NS w 14h15 gt Quelles d marches pour la r habilitation durable Presentation de l op ration Fr quel Fontarabie Paris 20e Contexte et arbitrages Roland Pellerin Architecte ind pendant de 2000 2006 il a d s cette p riode commenc travailler sur lot Fr quel Fontarabie Paris 20e Depuis fin 2006 chef de projet la sous direction de l am nagement de la SIEMP il est en charge de l am nagement et des espaces publics sur ce secteur Le quartier Fr quel Fontarabie a t s lectionn en 2006 par le Plan urbanisme construction architecture PUCA dans le cadre du programme Villa urbaine durable VUD2 comme site pilote mettant en uvre une d marche environnementale l chelle d un quartier Prix dans la cat gorie Sobri t nerg tique du concours coQuartier lanc en octobre 2008 par le Minist re de l cologie de l nergie du d veloppe ment durable et de l am nagement du territoire L lot Fr quel Fontarabie situ dans le 20 me arrondissement de Paris fait parti des derniers secteurs r nover du plan d radication del habitatinsalubre de Paris La Soci t immobili re d conomie mixte de la
6. professeur associ e l cole d architecture de Manchester Grande Bretagne Journ e 5 Vendredi 10 d cembre 2010 gt MAT RIAU Sens Valoriser les richesses locales faire avec l existant mat riaux comp tences rela tions et interactions pour donner du sens au projet gt Le mat riau pr sente des qualit s m caniques chimi ques physiques transmet l histoire d un territoire d une culture d une mise en uvre informe d un savoir technique de ressources disponibles Aujourd hui il fait l objet d approches tr s diversifi es analyse du cycle de vie bilan carbone empreinte cologique impact sur la sant d veloppement de fili res locales etc Enfin le mat riau est porteur d une exp rience sensible d une dimension symbolique d une intention id ologique et politique Dans cette journ e c est le mat riau inscrit dans les interactions qu il noue avec un territoire une population une conomie une culture qui va tre abord Le mat riau entre nature et culture Fran ois Gu ry professeur l Universit Jean Moulin facult de Philosophie Lyon III La recherche transdisciplinaire appliqu e aux mat riaux Construire ailleurs construire autrement construire ensemble Anna Heringer architecte Autriche Construire en terre crue en Europe Martin Rauch plasticen constructeur en terre Autriche Les informations figurant sur ce programme sont donn es titre de renseigne
7. Formation Du 11 all Journ e 3 5 16 novembre 2010 gt EXISTANT mat riau changer Rehabilitation Composer la ville d optique POLT avec la ville concevoir durable ekopolis Ekopolis est un projet francilien port par l Union regionale des CAUE en partenariat avec les membres fondateurs l ADEME l ARENE la DRIEE la DRIEA et la R gion Cette formation Ekopolis est propos e par l Union r gionale des CAUE d Ile de France Organisation de la formation Isabelle Baronce e URCAUE Ile de France Helene Bouisson CAUE 78 Odile Drouilly e CAUE 95 Armelle Erdogan URCAUE lle de France Val rie Kauffmann CAUE 91 Emilie Martin CAUE 91 Guillemette Morin CAUE 93 Sol ne Mourey CAUE 75 Thomas Philippon URCAUE lle de France Stephanie Renault CAUE 93 Cl ment Rigot URCAUE lle de France H l ne Rougeron URCAUE lle de France Montage et coordination de la journ e Sol ne Mourey CAUE 75 Animation Elisabeth Rojat Lefebvre CAUE 78 Contact Formation H l ne Rougeron t l 0148 32 50 49 helene rougeron ekopolis fr Formation Ekopolis c o CAUE 93 2 bis rue Pablo Picasso 93 000 Bobigny Cette formation est organis e par l Union r gionale des CAUE d le de France organisme de formation professionelle n 11921715992 organisme de formation des lus arr t du 19 02 2010 Cr dits photos Base nautique de l le de Monsieur 92 O 2AD Ar
8. Ile de France Paris ditions Pavillon de Arsenal 2008 264 p EAN13 9782354870010 GARNIER L BRUN LAMBERT D Electrochoc Paris ditions Flamma rion 2003 289 p EAN13 9782080683922 LAGRANGE H Le d ni des cultures Paris ditions du Seuil 2010 350 p EAN13 9782021014778 MURAY P L empire du bien Paris ditions les Belles Lettres 1998 172 p EAN13 9782251441351 Revues DANA K Grands ensembles 167 ooo euros par logement pour quoi faire AMC Le Moniteur architecture novembre 2004 n 147 pp 24 29 DRUOT F LACATON VASSAL J P Appartement t moin Paris 17 me AMC Le Moniteur architecture 2008 n 178 pp 104 107 DRUOT F Chantier le cas Bois le Pr tre transformation AMC Le Moniteur architecture octobre 2010 n 200 pp 30 31 DRUOT F viter la d molition des tours existantes In DEGIOANNI J F CHESSA M Les tours au d fi du d veloppement durable Le Moniteur novembre 2008 n 5478 pp 68 70 DRUOT F Ne pas d molir est une strategie AA l Architecture d Aujourd hui octobre novembre 2009 n 374 pp 65 74 M dias DRUOT F Fr d ric Druot architecture en ligne Disponible sur lt www druot net gt consult le 5 11 2010 gt Quelles d marches pour la r habilitation durable Operation Fr quel Fontarabie Paris 20e Roland Pellerin Marc Benard Dominique Desmet Ouvrages LEVY P La r novation cologique principes fondamenta
9. chitecture Pour une d marche raisonn e La transformation de l architecture de sites ou d difices existants est une pratique courante dans l histoire en particulier lors des p riodes de mutation importante des soci t s Celle que nous traversons aujourd hui rend obsol tes des am nagements infrastructures industrielles et b timents de toutes sortes de toutes poques et d in gale valeur architecturale Au dela des valeurs symboliques ou patrimoniales que peut leur accorder alors que les pr occupations environnementales reviennent en premier plan ils peuvent tre appr hend s aussi comme une nergie emmagasin e celle qu il a fallu pour les construire et fabriquer leurs composants ajout e celle qu il faudrait pour les d molir et recycler ces m mes composants Un travail de diagnostic pr alable est donc indispensable pour instruire correctement la probl ma tique du maintien de tout ou partie de ces ensembles d laiss s De toutes les comp tences des professions concern es par ces questions celles de l architecte porte essentiellement sur les potentialit s de r organisation et de requalification des espaces mais aussi sur le sens et l esth tique des ces transformations Se tenant volontairement a distance des id ologies extr mes de la tabula rasa d un cot et de la conservation syst matique de l autre une approche r fl chie permet de r v ler les enjeux par l analyse de la situation souvent complexe dan
10. chitecture Stade nautique Maurice Thorez 93 Eric Lemari Architecte Lyc e Jean Baptiste Corot 91 Dusapin et Leclercq Journ e 3 16 novembre 2010 gt EXISTANT amp R habilitation Composer la ville avec la ville Le processus de construction de la ville par un renouvel lement continu instaure un lien entre les g n rations Transformations d amp molitions r novations mutations comment int grer ces volutions architecturales et urbaines dans une identit et une culture collective Comment utiliser le patrimoine b ti comme un mat riau de la ville en constante volution et faire de cette ressource le support des cr ations et des transformations urbaines de demain PROGRAMME Vouloir r aliser des am nagements ou des constructions soutenables a un impact sur l ensemble du processus de projet Celui ci est devenu plus complexe int grant un nombre grandissant d acteurs d horizons multiples Une op ration ne peut plus se concevoir comme la production d un objet Elle doit tre perque a travers l ensemble des l ments qui en amont font merger les pr occupations de d veloppement durable dans le programme Ce constat s applique a toutes les chelles du territoire du quartier du b timent Il interpelle les acteurs dans leur mode d organisation et pose les questions de gouvernance de complexifi cation des d marches de multiplication et de croise ment des th matiques Pour la de
11. cteur Fr quel Fonta rabie Paris en ligne Disponible sur lt http www evasamuel fr ame paris htm gt consulte le 8 11 2010 SOCIETE IMMOBILIERE D ECONOMIE MIXTE DE LA VILLE DE PARIS Secteur Frequel Fontarabie en ligne Disponible sur lt http www siemp fr index php id 274 amp no_cache 1 amp sword_ list fr Egquel gt consult le 8 11 2010 gt Orientations bibliographiques compl mentaires Ouvrages MARCOT C Architecture contemporaine en site historique 6 sites lyonnais en d bat Lyon CERTU 2009 224 p coll Dossiers du CERTU EAN13 9782110982049 TOUSSAINT J Y Dir Concevoir pour l existant d autres com mandes d autres pratiques d autres metiers Lausanne Presses polytechniques et universitaires romandes 2006 182 p Coll Sciences appliqu es de l INSA de Lyon EAN13 9782880747008 SCHITTICH C Dir Construire dans l existant reconversion addi tion cr ation Munich Birkh user Detail 2006 176 p ISBN13 978 3764376376 PHILIPPON J P M tamorphoses de l objet architectural Paris ACUA 1979 221 p Pour le Comit de la Recherche et du D veloppe ment en Architecture C O R D A Revues M tamorphoses Techniques amp architecture janvier 2005 n 475 192 p R habilitation co responsable Ecologik ao t septembre 2010 n 16 130p LES PARTICIPANTS ANTONIN Sylvie Setec organisation directrice de missions ANTORE Fabrice architecte BALAS J r me
12. dicale et syst matique et la recherche d un optimum raisonnable d intervention Cette op ration sur laquelle se sont succ d es deux ma trises d uvre est pass e par deux optimums architecturaux et environnementaux Le premier avec une part importante de structure bois stockage de carbone et des syst mes labor s puits francilien double flux panneaux solaires etc Le second avec une conservation maximale du b ti nergie grise et un traitement prioritaire de l enveloppe thermique logique passive La transition d un optimum l autre se fait performance nerg tique similaire en r duisant le co t de construction mais en modifiant le profil environnemental de l op ration Cette op ration utilise des syst mes usuels en logement faciles maintenir et relativement intuitifs pour les habitants Il est toutefois n cessaire de les accompagner dans la bonne utilisation du logement Un livret d accueil labor par la Siemp et Equateur donnera ainsi le mode d emploi du logement et recommandera les bonnes pratiques pour garantir confort qualit sanitaire r duction des charges etc On sait en effet que la moiti de l efficacit d une d marche ronnementale r side dans la bonne utilisation en vitant l effet rebond surconsommation d eau ou d nergie si le b timent est pr sent comme conome Une r flexion sera ainsi men e sur la p dagogie de l habitat par exemple au moyen d l ments graphiques
13. es ce type de projets constitue une gymnastique intellectuelle excellente car elle n cessite la perception mentale en trois dimensions de l ensemble du projet comme de ses parties Pour ces m mes raisons elle rejoint la performance intellec tuelle que constitue la compr hension du syst me constructif de l ensemble de l difice comme de ses parties s agit de maitriser ces contraintes pour maintenir les autres objectifs conceptuels du parti architectural Certains pensent qu il est plus simple de travailler sur un projet de transformation de l existant que sur un projet neuf il n en est rien bien au contraire gt NS w 1h Conserver transformer ajouter Il s agit de ne jamais d molir Fr d ric Druot N en 1958 architecte dipl m de l cole d architecture de Bordeaux en 1984 il cr e en 1991 l agence Fr d ric Druot Architecture Projet en cours la transformation de la Tour Bois le Pr tre Paris 17 me en collaboration avec l agence Lacaton et Vassal mission HOE en site occup Travaille 8 compte d auteur sur un Inventaire et analyse de sites capables de transformations et de densification urbaine dans Paris intra muros m ne une tude pour r pondre l appel projets 50 000 logements nouveaux autour des axes de transports lanc en juillet 2010 par la CUB de Bordeaux Son travail porte sur le bien capable la reconnaissance des capacit s existantes du patrimoine b ti contextuelles g
14. es d laiss s responsable de la th matique de projet de fin d tudes Mutation architecturale urbaine et paysag re organis e selon le triptyque d unit s d enseignement de Master 2 Tabula non rasa Reconversion de sites et d difices Mutation manifeste Michel Possomp s Michel Possomp s anime une agence d architecture depuis plus de vingt ans Les programmes parisiens mobilisent la plus grande partie de ses nergies tant pour des projets de construction neuve que pour la r habilitation et la reconversion d ensembles devenus obsol tes pour leur ancienne destination Les r alisations principales de l agence Fondamental recouvrent les diff rents registres dela r habilitation MichelPossomp s m nedepuisquelquesann esunenseignemental colenationalesup rieuredeParisMalaquais llparticipeenvacataire l animation dans le d partement Architecture domestique d un Studio surla r habilitation del immeuble parisien et galementauxc t s de Christian Comiot dans la th matique de fin d tudes Mutation architecturale urbaine et paysag re Michel Possomp s a toujours t reli al universduth tre Aujourd huilasc nographierestepr sentedanssonexerciceprofessionneletdanssonenseignement Sess ances p dagogiques sur l espace b ti ou transform lui font en permanence r f rence sc nographie et d cor comme force initiatrice pour un certain esprit dans la conception des lieux des itin raires et des dispositifs d ar
15. et n gocie avec le territoire habit dans lequel il s installe Comment se saisir de ce nouveau paradigme dans la r flexion sur l am nagement urbain Comment en engageant de nouveaux savoirs des modalit s diff rentes de gouvernance bouscule t il les pratiques des diff rents acteurs de l am nagement Biodiversit quel changement de regard et de pratique pour l am nagement du territoire Alice Le Roy enseignante l universit Paris XIII sp cialis e en cologie urbaine Nathalie Blanc chercheuse au CNRS UMR LADYSS 7533 incitation l uvre et projets d action territoriale Miguel Georgieff paysagiste bureau d tude COLOCO Journ e 2 Mardi 19 octobre 2010 gt VILLE amp Habitants Participation citoyenne un enjeu pour la ville de demain gt Le regain d int r t suscit par l id e de participation des citoyens la production de la ville donne lieu une multiplicit d exp rimentations et d initiatives citoyennes Quels sont les effets de ces actions participatives sur l avenir des villes les formes urbaines et les modes d habiter Quelles diff rences existe t il entre des dispositifs initi s et mis en uvre par des acteurs institutionnels et des d marches n es d une mobilisation de la soci t civile Ville et soci t la question de la d mocratie participative Paul Blanquart philosophe et sociologue La transformation urbaine en question El onore Hauptmann urbaniste e
16. globale brille par son ab sence Ne devrait elle pas en tre la cible num ro Sommes nous donc dans l insouciance de l opulence Ne sommes nous pas dans la recherche de solutions vari es et l g res efficaces et r actives Transf rer les d penses de d molitions et de reconstructions vers des investissements sur des transformations oppor tunes c est d penser mieux c est traiter deux trois fois plus de cas et de situations critiques C est viter une multitude de surco ts et de d sagr ments li s au co t des d m nagements de populations aux co ts des pertes d exploitations au co t des nuisances au co t des viabilisations de nouvelles ZAC C est g n rer des fili res de production nouvelles l g res pr cises et adapt es au cas par cas de chaque transformation envisag e c est faire de l conomie le vecteur de r flexions intelligente et discern es C est videmment viter les d penses d nergie cons quentes aux d molitions Se pencher sur l adaptation des march s d entreprises pour trouver des correspondances plus justes avec les diff rentes situations s investir dans des reconsid rations juridiques du calcul de loyers de taxes de charges de valeurs fonci res sur la d r glementation sont les chantiers fondamentaux de l conomie que l ensemble de notre profession doit s obliger projeter sur chaque situation particuli re faut sans cesse remettre plat des pratiques et des habitudes devenues
17. ments et n ont aucune valeur contractuelle L Union r gionale des CAUE d Ile de France se r serve le droit de proc der l annulation ou au report d une journ e ou la modification de la programmation en cas de d faillance d intervenant PROGRAMME DE LA JOURN E Mardi 16 novembre 2010 9 39 gt L existant une ressource volutive changement de regard dans l enseignement Christian Comiot Double formation initiale ing nieur ESTP 1976 et architecte dplg l ENSBA Unit p dagogique d architecture n 1 1982 Fili re suivie en troisi me cycle Centre ancien et sujet de dipl me Reconversion de l ancien h pital Saint Louis Boulogne sur Mer Activit lib rale en architecture depuis 1987 atelier d architecture Isachris inscrit l Ordre des architectes de Haute Normandie De 1978 1992 enseignant en lyc e technique B timent intervenant notamment dans la pr paration du BTS Adjoint technique du batiment De198942000 enseignantal Ecoled architectureParis Villemin cr ationd unefili re Architectureetpatrimoine en3 4 ets ann e dontun Atelier Sarajevo en1996 Depuis 2001 enseignanta nationale sup rieure d architecture Paris Malaquais membre actif du d partement AMC Architecture mati re et culture constructive co responsable de l unit d enseignement de fin de licence Performances in situ cr ation d installations plastiques et architecturales dans des sit
18. nvironnementaliste Cr ation de maisons haute qualit durable au sein du quartier Cristino Garcia David Gallardo Directeur du quartier Plaine en charge de la d mocratie participative Ville de St Denis Comment valuer la concertation Herv Saillet architecte urbaniste CUADD Conseil co fondateur de l association Robins des Villes Journ e 3 Mardi 16 novembre 2010 gt EXISTANT r habilitation Composer la ville avec la ville gt Le processus de construction de la ville par un renou vellement continu instaure un lien entre les g n rations Transformations d molitions r novations mutations comment int grer ces volutions architecturales et urbaines dans une identit et une culture collective Comment utiliser le patrimoine b ti comme un mat riau de la ville en constante volution et faire de cette ressource le support des cr ations et des transformations urbaines de demain Lexistant une ressource volutive changement de regard dans l enseignement Christian Comiot Michel Possomp s architectes et enseignants l ENSA Paris Malaquais Conserver transformer ajouter Il s agit de ne jamais d molir Fr d ric Druot architecte Quelles d marches pour la r habilitation durable Pr sentation de l op ration Fr quel Fontarabie Paris 20e Roland Pellerin charg de projet la SIEMP Marc Benard Dominique Desmet architectes Equateur architecture Journ e 4 Jeudi 25 novembre 2010 gt
19. ographiques spatiales dans une strategie d volution de transformation Prix Sustainability and Residential Innovation Ville de Madrid 2006 projet de la Tour Bois le Pr tre Il s agit d tre convaincu que toutes les situations urbaines toutes les surfaces construites de logements de bureaux d entrep ts que l on stigmatise que l on d nonce comme la m diocrit absolue et que l on jette au pilori sont des situa tions sp cifiques potentiellement capables de devenir des territoires exceptionnels et merveilleux distincts entre eux et conomiquement tr s rentables Il s agit d tre convaincu que l analyse fine et pr cise de ces multiples cas l tude de leurs constitutions de leurs capacit s de leurs affectations et de leurs transformations plut t que leurs destructions sont les pr alables essentiels ce qu il est convenu d appeler le D veloppement Durable Il s agit d tre attentif au r servoir immense d un mat riel urbain inachev dont la transformation d licate et attentive est capable de fournir sans bat ni d bat des r ponses la question imm diate du logement la question imm diate de la densit urbaine la question imm diate de l environnement la question imm diate du plaisir d habiter et de vivre en ville Le plaisir est l objet de cette attention l conomie en est le c ur appara t de fa on consternante que parmi les cibles du label HOE la notion d conomie
20. re21 copr sidente association d habitat participatif SOFFER Lena Paysage Etc g rante THIENOT Am lie CAUE 94 architecte TROUILLOUD Paul Minist re de la culture DRAC Ile de France chef du SDAP des Yvelines UNTERSTELLER Michelle Hesp re 21 membre du CA VILLIAUME Leslie Panth on Sorbonne doctorante master Erasmus Mundus YPRES Pierre ENSA Paris Belleville tudiant gla 205 UNTON REGIONALE DES CAUE D ILE DE FRANCE ekopolis
21. s laquelle se trouvent les sites et difices concern s D composer cette apparente complexit en questions l men taires fait appara tre des crit res objectivables qui m nent des hypoth ses fiables fondatrices d un projet de mutation op rationnel qui fait la part entre ce qui doit tre maintenu ce qu il faut transformer ce qu il est inutile ou impossible de conserver et ce qu il faut rajouter dans une strat gie globale de recomposition architecturale urbaine et paysag re Un des th mes majeurs qui animent cette r flexion est celui du statut donn dans le processus de conception aux traces d occupation des activit s ant rieures Elles constituent le support mat riel de la m moire des lieux et les enrichissent d une quatri me dimension par la profondeur temporelle que conf re l espace leur stratification n emp che que gt NS w cette stimulation conceptuelle doit tre g r e de fa on savante et renseign e sur la valeur symbolique de l architec ture existante pour viter les poncifs et contre sens qui peuvent mener de graves erreurs de syntaxe Pour viter de partir l aveuglette il faut prendre le temps de mener bien les tudes pr alables au projet com mencer par le recueil des donn es et les relev s de toute nature et toutes les chelles donn es historiques g ogra phiques urbaines paysag res environnementales dimensionnelles spatiales structurelles architecturales cult
22. sociaux BBC maison passive Paris b timent z ro nergie dans la zone Natura 2000 des Marais de 5559 5 r habilitations dans le cadre du Plan Climat de la ville de Paris etc et dispose d une expertise reconnue dans le domaine de l architecture basse nergie Equateur intervient en construction neuve ainsi qu en r habilitation deux domaines dont les enjeux et la technicit tendent se rejoindre et travaille sur des programmes de logements collectifs de foyers de cr ches de petits quipements publics etc Lop ration porte sur deux parcelles 13 passage Fr quel et 37 39 rue des Orteaux Elles sont b ties d immeubles faubouriens de la fin du XIX me si cle repr sentatifs du quartier Ces constructions de faible hauteur R 1 R 3 sont construites en magonnerie traditionnelle moelleons de calcaire enduit chaux pl tre avec des planchers poutrelles m tallique pl tre et des couvertures en zinc ou en tuiles Certains b timents sont dans un tat correct ayant t habit s jusque r cemment d autres sont proches de la ruine avec des planchers effondr s La strat gie de projet consiste a mener une r habilitation des existants respectueuse de leur architecture initiale et a une construction neuve l emplacement des b timents effondr s Dans les deux cas sont vis s des objectifs nerg tiques ambitieux Cep compris entre 23 et 59 kWh mz an selon les b timents et une approche environnementale syst matique
23. trage fin sur les interventions am nagements des espaces publics constructions r habilitations l g res ou lourdes Elle a galement permis la mise en place de r unions d changes et de retours d exp riences entre les acteurs des projets L objectif de cette d marche est de mutualiser la mati re grise et de faire avancer les pratiques professionnelles Approche low tech de la r habilitation Marc Benard Dipl m de l Ecole nationale sup rieure d architecture Paris Villemin en 1999 Marc Benard est ma tre assistant associ TPCAU l Ecole nationale sup rieure d architecture Paris Malaquais depuis 2010 et enseignant vacataire intervenant sur les questions environnementales l Ecole nationale sup rieure d architecture Paris Malaquais 2006 2010 et l Ecole nationale sup rieure d architecture de Bretagne en 2009 2010 Il est galement formateur B timent Basse Energie pour l ADEME et collaborateur r gulier de la revue AMC Le Moniteur Architecture depuis 2007 pour la rubrique d veloppement durable Dominique Desmet Dipl m de l Ecole nationale sup rieure d architecture Paris Villemin en 1997 Dominique Desmet a obtenu un Bachelor of Architecture au Boston Architectural Center MA USA et est enseignant vacataire la Reims Management School gt NS w Equateur architecture Cr en 1999 par les architectes Marc Benard et Dominique Desmet Equateur r alise des projets en architecture environnementale logements
24. urelles sociologiques programmatiques conomiques r glementaires etc Cette liste livr e volontairement en vrac n est pas exhaustive et varie selon les cas Pour illustrer le propos par un exemple le syst me constructif d un difice tant le pivot de la m tamorphose entre l tat existant et l tat futur l analyse structurelle approfondie est l outil indispensable de la conception L analyse des donn es recueillies qui constitue le travail d expertise aboutit un diagnostic r v lant l tat des lieux en les projetant dans une dynamique de mutation ne s agit pas de d crire l existant mais d en d celer les potentialit s en explorant toutes les possibilit s de transformation partir des ressources des lieux et de leur organisation Ce travail de clarification des enjeux partir de l analyse des donn es fait merger diverses hypoth ses de travail ventuellement contradictoires sur la base desquelles peut s laborer une strat gie de projet Le travail de conception doit prendre en compte le champs des contraintes r glementaires de toutes sortes qu elles viennent de la r glementation urbaine de s curit incendie des tablissements recevant du public d accessibilit des handicap es de la haute qualit environnementale du travail etc Ces normes si elles sont intransigeantes pour des projets de b timents neufs sont d rogatoires en ce qui concerne les projets de reconversion L application de ces norm
25. ux et exem _ ples de mise en ceuvre Paris ditions Terre Vivante 2010 256 p EAN13 978 2914717762 TILMONT M Dir Bilan d appel propositions d exp rimentation Villa Urbaine Durable seconde session en ligne Paris ditions PUCA 2007 64 p Disponible sur lt http rp urbanisme equipement gouv fr puca edito bilan_vud2 pdf gt consult le 8 11 2010 COLLECTIF Guide ABC Am liorations des B tis Construits editions EDIPA paraitre Revues EcoQuartiers EcoCites une demarche des reussites Premier Plan n 19 en ligne Novembre d cembre 2009 Disponible sur lt http rp urbanisme equipement gouv fr puca edito PPlan g_Ecoquartiers pdf gt consulte le 8 11 2010 GUISLAIN M R novation urbaine un co flot pour r sorber l insa lubrit Le Moniteur 10 septembre 2010 n 5572 pp 46 48 Maitrise de la consommation nerg tique Une petite operation qui veut montrer l exemple In MOUTARDE N GUENOT H Dossier Pa ris les chantiers 2008 2014 Le Moniteur 31 octobre 2008 n 5475 p 48 M dias EKOPOLIS Chantier des logements passifs Fr quel Fontarabie vid o en ligne Disponible sur lt http www ekopolis fr ressources video des logements passifs passage frequel a paris gt consult le 8 11 2010 EQUATEUR ARCHITECTURE en ligne Disponible sur lt www equa teur architecture fr gt site actuellement en reconstruction EVA SAMUEL ARCHITECTE ET ASSOCIES Se
26. uxieme ann e un cycle de formation Ekopolis est organis destination des professionnels de l am nagement et de la construction en lle de France lus services des collectivit s conseil bureaux d tudes concepteurs Un ensemble de cinq journ es est propos autour du processus de projet et invite poursuivre la r flexion dans le prolongement du cycle de formation 2009 Concevoir et construire durable du territoire au b timent Chaque journ e invitera dans ce processus un l ment conduisant au changement d optique chaque chelle du projet depuis le territoire jusqu au mat riau Une formation organis e par l Union r gionale des CAUE d Ile de France et anim e par lisabeth Rojat Lefebvre directrice du CAUE 78 Plus d information www ekopolis fr Journ e 1 Lundi 18 octobre 2010 gt TERRITOIRE amp Biodiversit e Comment l enjeu de la biodiversit peut amener un changement de regard et de pratique pour l am nagement du territoire gt Cette journ e a pour objet d inviter la biodiversit dans le processus de projet La prise de conscience de la finitude de la plan te implique une transformation de notre rapport au monde Habiter la terre aujourd hui pour que d autres puissent y vivre demain n cessite de trouver un quilibre entre l homme et son milieu De ce changement d optique d coule la prise en compte de la complexit du milieu dans lequel on intervient Comment le proj
27. ville de Paris SIEMP s en est vu confier l am nagement en 2002 L intervention s attachera dans un premier temps la pr sentation du contexte urbain de cette op ration et de son tat initial Puis les d marches et outils mis en uvres pour r nover ce quartier dans un objectif de durabilit seront expos s Enfin un panorama des projets engag s sur ce secteur permettra d illustrer la mutation de ce patrimoine urbain et b ti Le tissu urbain de Fr quel Fontarabie est reconnu pour sa morphologie contrast e de b tis et d chelles tissu de faubourg maisons de villes anciennes industries Le cadre de la concertation engag e sur ce secteur a contribu la mise en avant des qualit s urbaines de cet lot Du dialogue entre habitants membres d associations lus ma tres d ouvrage et services techniques de la ville a r sult un travail collectif sur le projet d am nagement la programmation et sur les exigences environnementales En plus de la SIEMP la Ville de Paris et Paris Habitat sont ma tres d ouvrage sur cet lot Pour coordonner les diff rentes actions engag es Eva Samuel a t d sign e en tant qu architecte coordinatrice et Terre Eco bureau d tude sp cialis en haute qualit environnementale et d veloppement durable en tant qu AMO HOE Ainsi l chelle de r f rence pour les r flexions n est pas l chelle autonome des parcelles mais celle de Cette approche globale a contribu un arbi
Download Pdf Manuals
Related Search