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La réalisation de projets littoraux visant l`harmonie entre les milieux

1. gt 4uanemures Bild SAUS NEN XIQID QUIES eueudais XIOID QUIES en upots APid 3 PUOd DULU SUDUeI UPd ned PIBIPd epey ued a apenbed JOWlJO NESIION 210971 PNEN osino Yedden Auueq NESPEN pueupry Ae una ULIONI FU RO POpUEES 2556 ll ey OUT Seye Lo AULNSUOR HE MAMMA T889 Z6 OOT8 60 GGLL CZC OOOL Z6E STV VZG8 89E OScc V9e 000 268 Gt Sv 6r GE OcOr vo6e 905 628 669 GGOG 689 ST T90t vZt 618 OTVG GEZ ETO lt 9 600 6989 suoudeP L DOD 0290 PUQAULOIA MON YOd np uuu SGT 852 ANO Sec HE sanboe enu 96 DIL ZrO ANO nea uo reg semenbiey ST LEE 6T 6 9 CANO UMY dde 4s2uoscy ozuaJo O6TT DOD 0290 puaurprgd MON SCHALZ 66 oedgeno edsec SII enu GZ O fr DOD 9 D XPD 090 edsedD sone de RIN PURIO NO 9967 EH 13092 TS oO GOT XT3 pmwsurugmeennow eieus eneouel Jap neang eJjesunoons 009 d O ajedbuug enu EN XLD NO aueinbuo f ane o np pre enog esec OT DOD 22940 ap 8 7 d O 459 enbsze eue TO OCT THE 69 NO ARWY SIOLL OOT Neanq S510 sop anui IE V8 OUELO KOLLEG OAC AO 0990 QUO Sep SuUy UIe
2. dignataires Organisations e ll Soek 2 DA e 7 he Shaker eg seg Ville de ha enee gf AA j our de Qu lez d veil ud d RA ty Ue amp Cosas x UN PAS X PEER 2 733 Al A AL Cut Fu vou tecla du pea Au Jr AR o m Roche Let onset C Mea NW b AN Nn V NS Mana ce M Mayon pos la o Woety U Chu Mano mora CLA Mom couagaw AL A1 lr C cod MAo taut NEW ev Und 2 i AAEN iw R g y CJobdeYnckt Dilan a ieme En ce 20 jour de septembre 2004 Te m engage moralement et personnellement promouvoir et d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp Sianataires ML Seco Organisations LE Scale HO Au Club Nau he Sheep pm bck Maulegue d Hai Sega TRANS RRTS CAN AOA Ar ue 25 er s ier RS A Der ieme En ce 2b jour de septembre 2004 Je m engage moralement et personnellement promouvoir et d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp dignataires PING E rt lag Der Rt Erna Lib Lf ei ce K2 de alt S ado Vo pn Hel de 7 i lu CAS UT CE X D 2 DAL 2 2 Aa d ER 27 1 1 OF C ca rl Organisations VILLE DE AUNT REAL Sezer iberia ARR bit ME Xiu Files du Grace Vanhoue A H Qiwere Madeleine_ DE
3. 2376 ew 9VEE L99 SCH voe VLL9 G8s suocoucbp LL JET NC XPD edsec Suis e ap enu TL Z9T TAZ At SEO Puessaig OISO OGLE 63 NO edsec upeeg pues 6Lv GK XPD SANO Sec SSC edgeno Sec me sanboe anu Oe OFT DOD END VON np ULLEYD DOD 99D 2eggedseg abs aD TO ZI SSC NO edsec me sanboe arm Oe LIZ ATH 20990 leanuow ep ISIN SU GOT TNE MO NO SURE EOC d O uon FUIES Ne Gtt LdZ MITO PND JANO 89 d O eni GGT IIND aulermod uonensiuupy GHZ AE SANO uegnpures OTE neamng Nnesuisno TO COGS XSD ANO edsec THS HI Sand NO EP ere 459 anbs9 2U9y NO VOZ vaz gro Yodnesg ojeunaubrms GEL O fr 205 SCC LE NeSpoq lu BNO YT Gaz V9 gt c9eno AuBgquedeyY 3ISSAINY SIL SIP sisedsedD 93d 9 IO e e np uno p Jonie senboe enbnmneN anio IS3 gt POA zz sedsec RUD sep P ausuno np Je upd ue Dav exem ZI Sap 39 sisedseyd e ap de6e MSN anbanen MID DIepdsed euueyy die upd US Dav LED SIL Sap P a spdseo e ep de69 epeue ubisac PIBIPId Ned SANO SP YOY EULENI SEND NP aunque UONepossy 353 0 TO Zz Sdses p RO sep ausuna np SDWO Sedano spodsue SP SRISUIN FAQS uappe HOD AUOD 2BP371 866 oujJ3242uoebDeugA JEUOREUEAU Suue uou p L
4. INFLUENCE DE LA TRANSAT SUR LE SEJOUR A QUEBEC Pos e seulement aux visiteurs la question tait diriez vous que vous tes surtout venu dans la r gion de Qu bec pour Les choix taient lus et on pouvait en citer deux Dans cette question 36 des visiteurs disent tre venus dans le cadre de la Transat La question suivante plus directe tait propos de votre d cision de venir dans la r gion de Qu bec durant la Transat diriez vous que vous tes venu surtout pour la Transat en partie pour la Transat ou que la Transat n a eu aucune diff rence dans votre d cision de venir dans la r gion de Quebec On retrouve pres de 60 des visiteurs disent que la Transat a eu une influence sur leur s jour soit de facon directe 35 soit de facon partielle 26 INFORMATION SUR LA TRANSAT Nous demandions Avant de venir dans la r gion de Qu bec saviez vous que la Transat s y d roulait du ler au 11 juillet 69 des visiteurs savaient avant de venir que la Transat avait lieu ce qui est fort lev Donc sur cette base des efforts d information et de promotion semblent avoir port fruit Selon le lieu de r sidence on voit que le visiteur de l Est du Qu bec sont 83 d tenir cette information ainsi que 7696 des gens de Montr al Ces proportions sont tr s lev es Ce sont les am ricains qui sont les plus ignorants de l v nement 20 des gens pr sents ALLONGEMENT DU S J OUR La question tait La te
5. DE LA GASPESIE ET DES ILES DE LA MADELEINE ASSOCIATION DES HAVRES PLAISANCE iy PREMIER AU QUEBEC CONGRES SUR LE TOURISME NAUTIQUE ME Y Y a KE Actes du Congr s SIM Actes du congr s Le Tourisme nautique une industrie en d veloppement Premier congr s provincial sur le tourisme nautique Vision sur le Qu bec et Vision sur le monde Gasp 24 25 26 septembre 2004 Table des mati res Presentations Message de la ministre Mme Nathalie Normandeau ns 1 Message du pr sident du congr s M Jean Pierre Lavoie eene 3 Commentaires du pr sident d honneur M Pierre D Les Communications du Congr s D mocratie et rivages d Am rique M L once Naud ns 9 Plans strat giques de d veloppement et de marketing du tourisme nautique du Saint Laurent Est du Qu bec M Normand Dulude nas 21 N cessit de regroupement r gional pour un d veloppement acc l r du tourisme nautique M St phane Caux ennemi n nn 2 Loi sur les p ches la protection de l habitat du poisson et le traitement des avis de projets par P ches et Oc ans Canada M Guy Michaud 29 Reglement dragage tude d impact et probl matique M Pierre Michon 35 Programme Immersion en mer d Environnement Canada Francine Perron 39 ATR accueil mise
6. amarrage D fense de protection et embout sur les doigts de peigne Rampe d acces anti d rapante Tendances en d veloppement de tourisme caract re nautique D veloppement en rive Marina spectacle nautique Bateaux de plus grande dimension Augmentation du volume de vente de bateaux Segment m ga yachts 82 des marinas am ricaines planifient un agrandissement court terme Budget d immobilisation moyen 12 des revenus brut Structure administrative informatis e R colte de donn es conomiques et d mographiques Outil marketing de relance de suivi Administration paie inventaire Recherche internet courriel publicite Multi fonctions Plaisance p che jouets Centre de profits viabilit des projets Boutique d accastillage Restaurant D panneur Entreposage Atelier m canique Machine glace Distributrices Buanderie laveuse s cheuse Commerces connexes charter Aire de jeux int r t des familles Stationnements publics Ev nements Location d quipements Frais environnemental Objets promotionnels Equipe d entretien Mise en march Publication imprim e Site Internet Salon nautique Emplois Postaux fid lisation Publicit l int rieur de commerces r gionaux Maillage avec marinas compl mentaires et offre touristique locale D fis et inqui tudes des marinas pour les prochaines ann es D senclavement du r seau Voie Maritime Bas niveau d eau Ten
7. sur plusieurs cha nes de la Transat pour un total de 6h14m12s TF1 en particulier a diffus un reportage de 35 minutes au cours de l mission Minuit Sport Cette mission et les 8 bandes annonces parrain es ont g n r 13 0070890 expositions On estime 3 297 734 la valeur de la couverture t l vis e de la Transat La couverture m diatique en France publicit et retomb es repr sente au minimum une campagne publicitaire de 15 355 814 soit 24 539 302 Conclusion Les retomb es m diatiques sont estim es plus de 4 8 millions de au Qu bec et plus de 24 5 millions de en France pour un total de 29 3 millions de au minimum 59 PERCEPTION ET RETOMBEES ECONOMIQUES Rapport de recherche sur l dition 2004 Les responsables de la Transat 2004 souhaitaient obtenir un tableau statistique de la participation de la population des visiteurs et des quipages a cet venement majeur Ces informations sont utiles a la fois pour obtenir des donn es visant a optimiser le marketing de l v nement pour le futur et aussi pour en valuer les retomb es conomiques La m thodologie est celle d velopp e par l Office du Tourisme de Qu bec Elle comprend trois tapes e un sondage en face face aupr s des participants l exclusion des quipages et du personnel de la Transat e sondage t l phonique aupr s de la population m tropolitaine e une recherche aupr s de caque bateau concern
8. Marie Eve Lacasse Accueil et forfaits touristiques Sous la responsabilit de Man Eve Lacasse en collaboration avec le personnel de l Office du tourisme et des congr s de Gasp Lenie Lacasse Marise O Connor ainsi que Mmes Chantal Hardy et Odette Cavanagh Comit ad hoc de la D claration de Gasp Jean Pierre Lavoie L once Naud Sylvain Deschamps Albert Daoust jr R jean Leclerc Pierre Marcotte Jean Marc Hardy Solange Dion Synth se et animation Pierre Marcotte Mod rateur Marc Andr Aub Animation musicale 35Les Moules Marini res Bruce O Connor Annie Queenton Paulin Laflamme Dom Barclay Anne Bernier et Paul Francoeur Les conf renciers suivants Mmes Ms L once Naud Normand Dulude St phane Caux Guy Michaud Pierre Michon Francine Perron Sylvain Tanguay Richard Gingras Gilles Soucy Joanne Guit Andr Huot Ren Tr panier Jean Claude Maltais George Leblanc Chantal Sayaret R jean Leclerc Albert Daoust jr St phane Ste Croix Pierre Trudel Jacques Tessier Jean Marc Hardy Michel Sacco Solange Dion Eric Mabo Sylvain Deschamps Photographies Paul Gagn 35 Voici leurs coordonn es demand es par plusieurs M Bruce O Connor 187 rue Mgr Leblanc Gasp Qc 1R9 Tel 418 368 8065 lesmoulesmarinieres hotmail com 145 Les partenaires financiers suivants D veloppement conomique Canada Tourisme Qu bec Transport Qu bec ART Gasp sie Ville de
9. XIO S HEUD iv SIRPEUI PIEI ep DS die upd US Dav LED SI Sp sisedseyd e ap de69 1954 udeso fues enu 66 END p SQUBUOD sop ALSK np HO ausuno UOISNIG AUENOES UORQUAId Meld 91eg euo plsoH ei AH f ape Bild Suede auon pue APH pue SCHILL aulis epuoje1 eae Lug Come SD OH wew UE FaueH puenop RueH auueuo f MND DUINA UMAD PUPIN NOD ANO pieuic Pueuply VS0E 899 6SC 96Z EEGE TZS 6699689 SOTE SIE OEST 80 306 819 BLU GG 96 SO vv TO OOO 89 Slt STV OEGC EOZ SI 8cS TT6GS VIO PATOS BLU Tesc 89e auoucbp L GET SIE 389 29920 Neaunq Pns udoso aures enu O T OAT 209 CEO rnaeNeuog ZET eoi DIT ZVO 990 neauo rg 1850 SeS 9 INS CEO SANO 353 SNS eue Pena OO G 9 ep sg JeMO SUEN SCHUED OMT DOD 990 LED 98T dD ISO enbszve eue NO ecr 63 XPD ANO Sec upeeg Apues 6t Sedano edsec upeeg Apues GEZ LdL MATO NO SANO eisnoujec enu OST sued STOSZ uoj inboog enu ZT GT edsec S uepy AU ET CVE GD 990 353 aueganoN GET GIT APD SEND SUONI SSP SUU QUIES OOT
10. a de l information sur la Transat Les expositions ne tiennent pas compte du 56 fait que des personnes ont pu tre expos es plusieurs fois que ce soit par le m me media ou par la lecture de m dias diff rents ayant trait de la Transat Les m dias qui ont parl de la Transat en 2000 touchent un public autant regional avec une couverture abondante par plusieurs publications r gionales que provincial et national Port e de l exposition dans les m dias imprim s canadiens R gionale Capitale nationale 29 038 900 67 8 Parmi ceux ci plusieurs ont trait de la Transat a la une fournissant ainsi une visibilit de premier choix Le Soleil le Journal de Qu bec et Le Devoir Cette exposition quivaut un placement publicitaire de 355 137 dans les m dias imprim s qu b cois Un article a un pouvoir d attraction et de r tention plus grand qu une publicit et a une plus grande cr dibilit La visibilit de la Transat dans les m dias imprim s au Qu bec est valu e pour un commanditaire principal 2 130 822 T l vision au Qu bec L dition 2000 de la Transat Qu bec Saint Malo a recu 5h13m 55s de temps d antenne la t l vision Pour 2004 l tude est pr sentement en cours Les plus grandes cha nes ont couvert l v nement TVA Radio Canada CBC RDS LCN Les du temps consacr la Transat l ont t sur des cha nes d envergure provinciale ou nationale TQS TVA RC RDI En
11. tude de march Adopter un plan strat gique visant le d veloppement des havres et du tourisme nautique Tenir des r gates Planifier la promotion de notre r seau Travail accompli en 2001 Premier comit de course hiver 2001 Premier projet FCEM r gional planification course J acques Cartier et organisation de celle ci Portrait des havres Pub Du Corridor Bleu dans Escale Nautique 2002 poursuite du plan d action projet FCEM regional projet de course du Golfe Gasp les Iles et plan d am lioration des havres Projet d tude de march confi e la Chaire de tourisme de UQAM Am lioration des havres inventaire des besoins et valuation de co ts 2003 Deuxieme edition de la course Jacques Cartier Planification de la confection du guide nautique FCEM Plan d action 2004 Adoption du plan strat gique Prioritaire du d veloppement Organisation d un congr s Membres de AHPGIM Carleton New Richmond Bonaventure Chandler Anse a Beaufils Gasp Rivi re au Renard Havre aux Maisons Ste Anne des Monts Cap aux Meules Havre Aubert Portrait des havres Huit havres membres De 15 89 membres havre moyenne 29 Tous des 0 5 b l pas de permanence revenus faibles de 6 000 50 000 Nombre de nuit es en 2002 total de 1480 moyenne de 185 Services minimums et de qualit in gale Services p troliers insuffisants Malgr tout des havres vivants dynamiques R seau de plus e
12. 2004 les d parts ont t diffus s en direct sur RDI Radio au Qu bec Le m dia radio a diffus pour l dition 2000 de la Transat pendant 11h54m48s ce qui a permis de rejoindre a la fois une client le r gionale nationale et sp cifiquement sportive En effet un cinqui me 21 4 du temps d antenne provient de stations sp cialis es dans le sport Cette pr sence sur les ondes radio et t l est valu e un placement publicitaire de 441 575 57 Internet evolution 2000 2004 Le site web offre une vitrine suppl mentaire pour la Transat l occasion de l dition 2000 950 000 pages ont t consult es entre le 15 juin et le 20 septembre 2000 Le site Internet de la Transat 2004 a eu 5 000 000 de pages lues soit deux fois plus que sur les sites des grandes courses francaises Visiteurs Achalandage Qu bec En plus des m dias imprim s de la radio de la TV et d Internet la visibilit de la Transat comprend aussi les visiteurs pr sents sur les lieux des festivit s Qu bec R capitulatif des retomb es m diatiques au Qu bec en 2000 Les retomb es m diatiques de la Transat dans les diff rents m dias qu b cois ainsi que la visibilit sur Internet quivalent une campagne publicitaire de 4 851 522 pour un commanditaire En France Les placements publicitaires et la visibilit r dactionnelle ont contribu assurer une place de choix la Transat Qu bec Saint Malo dans les
13. 66T 1OY 86 SSZ XPD edgeno Sec me sanboe anu Oe GAC YTD END Sedano TO 459 anben PUY TO 006 3ISSAINY epeue sed UGBHED anbanen MID SULPE7 ep souesied ep pod att SP HOd gt VPN SUPPPEIN SJol SP euUrernod UONRASIULUPN7 uie e 1 5NS SUPPPReA SJol SP SIE KO UONRASIULUPN7 sobue nos jeueD SuruJae euog DYN El SP CT UPPPEN e p sal sep anbasuno QUELUBCICIO NSP AOU anuo KLL SP el UL SPIEL ERNY xneq SP 3ua uecdo ep np UOAe loco SANO 91 odsec Che aneH np siepuesield sep anbaneu qn Je upd ue Dav ep SI SOP aisedseyd e ap daba DSQEND BUUSUNO o SLEG PUY sueune sad ules scLueupsac y lt scLueupsac ao yoqoy AEG did PERS SUOJET yeqy 4 faianoeg f U9Snseges WO Ei YO OUBAI SSONH uno 3Ned So So LECH ELLUOD auoiq uee Spe eueudais Ne ULON EE 9v TSZTEZZL 0659 89 9 gc vec LISS G SZ 80 Tcrc sr 618 cec gc VSEZ IS VGLO GLL suoudePL ECI SSZ XD 3099NO edsec One sanboe onu Oe AN de f 5 c neaung np enu OG AO 29ecgno SLIONI SSP SUU 7 SUIES ISNO LE a
14. Constatations Dans ces exemples internationaux un ratio moyen de 1 investi par le public engendre 4 6 investis par le secteur priv R sultat Cadre enchanteur pour les villes et revitalisation des quartiers urbains en bordure de l eau Au Canada Canal Lachine Investissements publics Parcs Canada 35 M Ville de Montr al et Gouvernement du Qu bec 65 M Plus de 172 M d investissements provenant du secteur priv Montr al pr voit des investissements additionnels du secteur priv de plus de 300 M moyen terme Toronto et Ontario Plan de d veloppement de 46 km de berges de Toronto Investissement de 2 1 MRDS du secteur priv 67 La mise en valeur du tourisme nautique au Quebec Pourquoi Plan g ographique et r seau hydrographique strat gique revitalisation importante des quartiers urbains mise en valeur des atouts riverains impacts conomiques majeurs d veloppement touristique r gional Comment la suite de discussions avec les repr sentants du milieu certaines constatations se d gagent D senclaver la r gion de Montr al pour acc der au r seau nautique qu b cois R ouverture du Canal de Soulanges cluse au barrage Papineau sur la rivi re des Prairies dragage au Rapide du Cheval blanc R pondre aux attentes des touristes en rehaussant le calibre des destinations du Qu bec investissements majeurs Attrait des destinations qualit des structures d accueil fluidi
15. Gasp CRE Gasp sie lles de la Madeleine CLD de la C te de Gasp SADC de la Gasp sie et des lles dela Madeleine Association Maritime du Qu bec Club nautique Jacques Cartier Office du tourisme et des congr s de Gasp Centre int gr de d veloppement touristique de la Gasp sie Desjardins Gasp sie et les Iles Port de Qu bec Marina Gosselin Pomerleau les bateaux inc Supermarch Provigo Poralu Marine Parc Canada Technomarine Les breuvages Gasp Location d auto National Merci chacun de vous pour votre implication Sans votre collaboration collective il n aurait t possible de tenir cet v nement de qualit v i d T m e ee y a Jean Pierre Lavoie President du congr s 146 Quelques Images en vrac 147 Al M MULT Ca ut 1 iij j n WU Ir E ssi del I Eee pn pp a 1 RR RR B d i gt u A E E L A KA di SS d ge Aa UP bo 5 Was D eclaration de Gasp L efleuve Saint Laurent les plans d eau et les littoraux qu b cois relevent du domaine public et constituent un patrimoine national Ils doivent tre accessibles et mis en valeur au b n fice de chaque citoyen Le Fleuve les plans d eau et les littoraux appartiennent tout le monde Leur acc s et leur usage constituent l un des fondements les plus s rs de progr
16. San neeuessN INO GD Amaury LKE jeu uanansgol rosje 0 88 Z1 SE aono spec SNOT ANESUSSN7 GOD NO seperw ne de 26 TO9b 986 d O ep az edpuug Up SE SUPPPENEISP I SP DAVS MUPU nesussiy PUNOD suoucbPL ISSAINY To N 1622809 99 VIE ECH 6 0 TS 9GZG EST WTS Gbb lt E6 TZ0 8 6vvc coe 666L 9c OSV KEE 986 OOOL Z6E OSOr vp6t OOS 6884 GC 9062 89 auoudopr CCL LIV NO NO AANA MEH 0909 d JO P BUD np O 209 END UGPHED np anal EST DNK SSH SONO oe udeso fues plena mog OO8T ACH 220990 ams ISSNO aun uuo e ep enu es ogz 309 NO SusIPPeIN Sel avo Pg tz CZV NOD 0990 Se O8 18507 pnS rg e pre enog Ott OAT 309 NO PIPPEN Sel vz XZ f 29deno Neo sa ajedpbuud enu 66T OZT DOD CEO SISIHED MON SEE d O SUAN enu TS OH DOD END MON ANS UUezmNsS aed 66 6Sb XT3 gt pPmsunugneeamoN eiJeus mpe oeoi SSH xneg end COT OVT HSD 09920 NeauNg 459 UIBLLEDAUIeS enu 8 GT 5990 edsec neaung auepy enu GT O GOD 29geno Jegny neH
17. St Laurent Route bleue de la C te Nord En d marrage Route bleue de la Gasp sie Mise en place d une Route bleue A La phase pr liminaire 1 Un noyau de b n voles passionn s par leurs activit s et par le fleuve D marre une r flexion r gionale pour mettre en ceuvre le d veloppement de leur Route bleue Appuiera la cr ation d une organisation but non lucratif qui prendra en charge le d veloppement et la p rennisation de la Route bleue 2 Comprendre la philosophie du sentier B tude de faisabilit 1 Inventaire des sites potentiels 2 N gociations avec les propri taires riverains 3 R daction du rapport final identifiant les sites autoris s les services disponibles ainsi que les lacunes C Le plan d action Jusqu ou exactement amener le d veloppement Les objectifs Par o commencer La strategie Comment mettre en oeuvre le projet de d veloppement Le plan d action Conclusion Le projet de SENTIER MARITIME DU SAINT LAURENT deviendra un v ritable outil de mobilisation et de mise en valeur collective dans un esprit d ouverture de souplesse de contribution et de collaboration 81 Communication Un systeme ou un outil de monitoring national pour les clienteles M Michel Sacco r dacteur en chef Revue l Escale nautique 535 Route de la Montagne Notre Dame du Portage Qu GOL 1YO 418 863 5055 418 860 4674 8 redaction escalenautique qc ca w
18. accroitre les revenus Enjeu 6 Mettre en valeur le concept du Sentier maritime du Saint Laurent Enjeu 7 Appuyer un r seautage des marinas et des alliances au sein du r seau nautique Enjeu 8 Adapter le marketing en fonction d un phasage pertinent Plan d action 2004 2009 Phasage des priorit s d action chelonn sur les 5 prochaines ann es Conditions pr alables et phase de d marrage du Plan organisation du r seau solutions concernant le dragage et l envasement financement et soutien au r seau Arrimage avec la partie Ouest du Qu bec Priorit s en phase de d marrage Volont de travailler ensemble cr ation et soutien des regroupements par zone nautique milieux concern s marinas destinations Concertation r gionale et interr gionale r le actif des ATR Leadership et des gouvernements sup rieurs soutien aux regroupements r vision de programmes d aide solutions aux probl matiques d acc s etc D limitation de 3 grandes zones de navigation de l Ouest vers Qu bec Qu bec jusqu Tadoussac golfe et estuaire v hicule dans tous les supports d information Identification des zones nautiques de destination produits d appel dans les r gions de l Est du Qu bec Mettre en place un groupe de travail pour examiner toutes les facettes des probl mes d acc s dragage envasement valuer les situations et proposer des modifications au cadre l gal concernant le dragage et trouver des so
19. actuelle Mod le OSBL ou OBNL Perception des administrateurs de ne pas faire de profit R investissement des profits la loi ou don de charit La perception des C A tenir les frais annuels le plus bas possible vision court terme D cision conflictuelle nature des membres composant le C A Formule de Yacht Club priv d su tude 112 Aucun poste budg taire planifi pour Publicit mise en march immobilisation et am liorations locatives vision a long terme Reglements clairs et l application de ceux lt i Volonte d ficiente d appliquer la r glementation Stabilit des emplois pas de permanence vision et d veloppement de march a moyen terme R ticence des instances publiques a adh rer aux projets mauvaise compr hension de l industrie perception de riche et de saisonnalit Qualit d quipements Choix court terme frais d entretien r curents non consid r s Manque de planification financiere labor e Plan d affaires banque ville inventaire Ratio de rentabilit vs co t secteur d activit s Absence de maillage Revenus de location de quais visiteurs diminution des cotisations des saisonniers vs profit tre capable de diff rencier place visiteur de quai saisonnier non lou R f rence conomique et technique Quais 5 6 5K place bateau ponton lectricit eau ancrage Budget 35 pied carre Essence 18 de profit la factu
20. am nagement des zones c tieres tablit un partenariat entre le gouvernement de Washington et les Etats concern s d di l am nagement int gr des richesses c tieres de la nation en vue d assurer leur protection pour les g n rations futures tout en gardant l quilibre entre les forces conomiques culturelles et environnementales Ce programme comprend aussi un important volet de sensibilisation du grand public la chose littorale Trente quatre Etats ou Territoires en font partie ce qui rejoint pratiquement 100 96 des zones c tieres des Etats Unis Programmes au niveau des tats Ce sont en general les ministeres des Ressources naturelles qui sont impliqu s directement dans la mise en valeur des plans d eau publics au profit de la majorit de la population notamment quant au d veloppement des activit s de chasse et p che et autres types d exp ditions legeres La qualit des rampes publiques de mise l eau leur localisation judicieuse par rapport aux ressources joue un r le crucial les Etats se trouvant en concurrence les uns avec les autres pour attirer et fid liser les client les Au niveau des Etats ou encore de r seaux r gionaux d Etats des centaines d associations et de r seaux citoyens forment par ailleurs un maillage serr constituant autant de groupes d int r t vou s soit aux int r ts de leurs membres soit au bien public en g n ral Pour ne donner que quelques exemples la State Organisation fo
21. ces montants les d penses de l organisation de la Transat comme telle Les retomb es conomiques directes et indirectes feront l objet d une estimation par 1150 Institut Scientifique du Qu bec 61 Communication Planification et gestion des littoraux politiques et pratiques europ ennes Mme Chantal Sayaret adjointe au maire Charg e de l environnement et de la sant Ville du Havre Bo te postale 51 76084 Le Havre Cedex France 02351945 45 02 35 19 48 61 D Chantal Sayaret ville lehavre fr 34 N B Le texte ne nous tait pas encore parvenu au moment de mettre sous presse 63 Communication Les activit s a caractere nautique et le Ministere des Transports du Qu bec M R jean Leclerc conseiller Direction du transport maritime a rien et ferroviaire Secr tariat au transport maritime et a la mise en valeur du Saint Laurent 700 boul Ren L vesque Est 24i me tage Qu bec Qu GIR 5H1 418 644 5911 418 646 6196 8 rleclerc mtg gouv ac ca Distinction entre le nautisme et le tourisme a nautique Nautisme Fabricants fournisseurs d equipements et services nautiques Tourisme caract re nautique Navigation de plaisance croisi res internationales croisi res excursions plong e sous marine p che sportive croisi res de p che baignade d veloppement en rives Le tourisme nautiq
22. de donn es sur les clients toutes les client les de la plaisance la tracabilit de sa fr quentation annuelle ses activit s op rationnelles simplifi es Les exigences de la standardisation Identifier les informations a colliger Les d finir et le pr ciser sur papier Partager avec les membres du secteur industrie Convenir d un cadre de r f rence S entendre sur les indicateurs Fixer des d lais pour mise en commun Comparer seulement ce qui m rite de l tre Des parametres du tourisme nautique Inventaire de l industrie Nombre de marinas localisation nombre de pontons Aires temporaires capacit approximative services Saisonnier ou visiteur Parametres sur l utilisation utilisateur Cas embarcation ou non coordonn es personnelles statut du client actif activit s et liens d affaires caract ristiques du des embarcations assurances Actions r servation enregistrement facturation manutention De l information partager Tous les ports de plaisance havres ou marinas n ont pas les m mes besoins D finir les variables communes retenues pour le tourisme nautique un organisme central responsable On voudra probablement partager le nombre de nuit es par localisation par mois ou ann e certains rapports ou volumes de transactions 86 les types de client le d escale touristique saisonni re l origine des propri taires locataires code postal l volut
23. du Nouveau Brunswick Objectif g n ral Susciter la collaboration des SADC de la Gasp sie et des les avec les OBNL qui ont identifie le d veloppement du tourisme et du tourisme nautique comme une OPPORTUNITE a d velopper Les acteurs 18 clubs nautiques les SADC de Baie des Chaleurs du Rocher Perce de Gasp de Gasp Nord et des lles de a Madeleine 49 Planification Plan de production clair pour les SADC pour les marinas Un echeancier Prevoir des sessions d animation d information pour que tous s approprient la demarche Composantes Brochures affiches panneaux de signalisation publicites editions sp cialis es formations identifier les collaborations futures Association des havres de plaisance de la Gasp sie et des les de la Madeleine Sessions de formation sur l accueil touristique Fiches d appr ciation de services Articles dans les journaux r gionaux Activit s de lancement Pr voir une activit qui rejoint les pr occupations de tous conf rence de presse F ter le succ s au d but Conditions pr sentes au d but Un besoin commun une d marche de promotion structur e un comit de travail d termin Des SADC avec un projet dans le m me secteur d activit un plan d action un plan de communication r gional Aujourd hui Les 18 clubs nautiques sont soutenus techniquement et financi rement pour une 3e ann e Le Corridor bleu est devenu en un an seulement une
24. et si merveilleux deviendrait un attrait touristique majeur pour la contr e Les autorit s de ce pays en feraient la promotion tout autour du globe et aupres de leurs propres citoyens Ici c est l inverse qui survient on emp che le maximum de gens d acc der au fleuve 3 Associations citoyennes De retour aux tats Unis il faut ajouter aux programmes des divers niveaux de gouvernements une v ritable n buleuse d associations citoyennes r gionales ou nationales Pour ne donner qu un ou deux exemples l American Shore amp Beach Preservation Association24 ou bien l chelle d un seul port la tr s int ressante Boston Harbor Association 25 Les tudes de rentabilit comme moyen d action Une m thode bien am ricaine de prouver sa propre importance et donc de maintenir ou d accroitre ses budgets consiste faire preuve de sa rentabilit aux yeux de tous et surtout aux yeux de ses bailleurs de fonds Par exemple de savants calculs valuent les retomb es conomiques des r gions c ti res a l conomie nationale d autres s attachent a la contribution des ports de plaisance a l conomie du pays les troisiemes soutiennent que les investissements publics dans les plages et les rampes d acc s pour petites embarcations se traduisent par des impacts socio conomiques in gal s Quant aux organisations et ministeres publics ils assurent la p rennit de leurs divers programmes au moyen d tudes co ts avantages de leurs
25. l Office du tourisme et des congres de Gasp 27 boul York Est Gasp Qu G4X 2K9 418 368 8525 418 368 8549 8 otcgdirection globetrotter net www tourismegaspe org LA POLITIQUE TOURISTIQUE DE GASPE POUR PLANIFIER L AVENIR Le 4 fevrier 2002 la Ville de Gasp adoptait par voie de r solution 02 02 19 La politique touristique de Gasp Dans le cadre de l laboration de ce document qui renferme les principes de cette politique et d finit les principaux axes d intervention l Office du tourisme et des congr s de Gasp organisme but non lucratif dont la mission est de promouvoir l industrie touristique sur le territoire de la municipalit de Gasp et d uvrer a son d veloppement harmonieux a conduit les quatre activit s principales suivantes Dans un premier temps trois sondages cibl s ont t tenus aupres de diff rentes clienteles gt 401 entrevues t l phoniques men es aupres des r sidants de la Ville de Gasp ages de 18 ans ou plus s lectionn s sur un chantillonnage al atoire et pondere en fonction des crit res suivants l ge le sexe et la langue d usage gt 107 entrevues t l phoniques en profondeur aupres d entreprises tablies Gasp et sur un territoire s tendant de l Anse a Valleau jusqu a Fort Pr vel ces entreprises provenaient des secteurs de services de premi re ligne ainsi que de services compl mentaires ou connexes toutes c
26. met d accord et par la suite on agit ensemble Comme on dit ici en Gasp sie Les bottines doivent suivre les babines Rassurez vous mon cours magistral sur la concertation s arr tera l Je vais plut t vous raconter l histoire de la concertation des gestionnaires de havres de plaisance en Gasp sie travers ses bons et moins bons coups Cela commence avec le Corridor Bleu concept de mise en march labor autour de l an 2000 Johane Guit notre reine que dis je notre sirene de la Baie des Chaleurs vous en a parl la premiere journ e je n insisterai donc pas l dessus Le Corridor Bleu c tait au d part un exercice de concertation des SADC et c est devenu par la suite mon sens le premier exercice de concertation des havres eux m amp mes Je signale aussi que cet exercice impliquait non seulement les havres de plaisance de la Gasp sie mais aussi de ceux de la p ninsule acadienne Deuxi me temps fort du d but de la concertation dans nos rangs c est sans doute le rendez vous de d cembre 2000 Gasp rendez vous auquel participaient d j 6 des 12 membres actuels D cid ment Gasp est un lieu de rendez vous historiques Alors que l exercice de concertation du Corridor bleu s tait fait par SADC interpos es le rendez vous de Gasp lui rassemblait tous les repr sentants Nous tions pour ainsi dire en famille Donc premier rendez vous de Gasp Les discussions n ont pas port tout de suite sur le tou
27. nautisme com un document dit a 100 000 exemplaires achats d espaces relations Presse salon nautique 26 000 outils de promotion ligne vestimentaire deux Lettres interne Observatoire National Un programme biennal d observation quantitative des pratiques des emplois et du poids conomique Des commentaires Label et d veloppement une association difficile Les activit s nautiques un secteur mergent Le fonctionnent en r seau une aventure nouvelle Une relation forte avec les lus politiques Pourquoi certains lieux ne sont ils pas stations Et demain 50 Stations Nautiques en France eConcilier politique de fili re et politique territoriale Des activit s nautiques au Nautisme eD velopper des collaborations internationales 108 109 Communication Rentabilite des infrastructures de plaisance M Sylvain A Deschamps maitre de port Le Vieux Port de Montr al 333 rue de la Commune Ouest Montr al Qu H2Y 2E2 514 283 5256 514 283 8423 Y sdeschamps vieuxportdemontreal com www vieuxportmontreal com Historique des marinas au Quebec Amenagement de quais prives et location a un tiers Agrandissement afin de cr er une entreprise familiale 50 des marinas sont la propri t du secteur public Situation au Qu bec Le Qu bec poss de de tres beaux plans d eau la plupart reli s entre eux par une autoroute fluviale le St Laurent Malheur
28. neaung 4550 ALLE pena mog yop SSE XPD NO edsec me sanboe anu Oe SI SSP P sisedseyd e ap SD PYL VID 20990 SANO zzneang JUa US ed np TUS YTD 29egene NO obep o yz 183 anbs9 2U19yY NO COL DYMO CEO SNS e p TSS ISI 30990 edsec zuee Dal enu ZST ISSR ues 3uires e TAeuenbes xd armue euog ep euuely ueboenooinel TIO SO JAxuguuoJwJd 2 NP DAWS me sanboe enbnnew IBSUOD 60X 7 umen einer 9suo ednoiuc SUDOY O BA3S 9dqeno yesues SANO ejeuoneuusJ SON enbnnew uoneis 0Ue 1 gt dsen p 199 871 p aunuau Sedano np sae sS el cr Je upd ue Dav exem edsed suo np syndeq DSQEND Sa KODEN 99rpm uessv ISO syodsuel SP arasum anbues50 dmby ld anbmen lt E ele alg UNI PUPIN ULON LO Eed ULIOLN alPld LOL Del T SI IN PIEUOH Une AN epnep apne o ueo f SIEVE 213 ogew Uuoenseces enbsoNv21 gt poy ues nbs ULL Neeuunay 7 oneucdas USILUNO J ooecdo ANO wre PT ueopwuy APPS uer aLioiq uee f aime ULON 0 89 89 c9c6 0 VIS V8E9 S9E 8 619 6 DEZ SL GGLO E8C TS LTIL 29G vecc Svo LLLT 99v 8
29. nieurs militaires am ricains ont valu a 64 dollars les retomb es conomiques correspondant chaque dollar public investi en op rations et entretien le tout pour un grand total de plus de 12 milliards de retomb es conomiques d coulant de la gestion de leurs propri t s Voil de quoi laisser bouche b e plusieurs membres du S nat en esp rant que ce genre de r sultats les persuade de voter les budgets d sir s N oublions pas que nous sommes ici dans un pays dont certains croient nalvement que s y panouit la seule libre entreprise On pourrait en toucher un mot la S ret du Qu bec l am nagement de rampes de mise l eau ou de plages publiques ca serait tr s cool pour l image corporative Ou encore s adresser au 22 Regiment Apres Kaboul la plage Veuton une autre curiosit am ricaine Prenons ce coll gue du minist re des Ressources naturelles du Minnesota Larry Killien responsable de la Trails and Waterways Division de cet tat riverain des Grands lacs Sa carte d affaires se lit comme suit Water Access Specialist En guise de comparaison je suis persuad qu il n existe aucun officier de quelque administration que ce soit au Canada un pays oU pourtant comme l a remarqu Henry David Thoreau l tat fait tous les jours sentir sa pr sence dont la description d emploi se lise comme suit Water Access Specialist Constat autour des grandes agglom rations et distribu es su
30. planifier le d veloppement du tourisme nautique c est notre contribution la r alisation du plan strat gique de l Est du Qu bec En effet nous avons parrain la r alisation de cette tude et y avons particip activement Autre preuve de notre engagement c est l organisation de ce congres ci L autre d fi qui nous attend en mati re de concertation est celui d une meilleure int gration de notre industrie ou activit au reste de l industrie touristique Jusqu a tout 92 recemment nos plaisanciers visiteurs taient de vieux loups de mer plus a l aise sur l eau que sur la terre De toute facon peu de services ou attractions leur taient offerts Notre client le a change et elle s int resse de plus en plus aux autres attractions touristiques Il faut dire aussi qu elle a plus de temps y consacrer Quelques uns de nos membres ont commenc le faire de facon plus ou moins formelle mais il faudra pousser plus loin cette concertation avec les gestionnaires de ces attractions touristiques afin de maximiser les retomb es du tourisme nautique Un exemple simple on pourrait offrir des forfaits notre client le l inverse les touristes qui nous arrivent par voie terrestre s int ressent de plus en plus aux rives de nos plans d eau En ce sens nos havres pourraient devenir des lieux de rencontre des plaques tournantes Des r gions maritimes comme la n tre ont beaucoup a gagner de cette meilleure int gration des activit s
31. pondants sont agr ablement satisfaits Le choix des conf renciers Concernant cette question 29 participants ont r pondu voici les r sultats 8 r pondants sur 29 sont tr s satisfaits 27 5 13 r pondants sur 29 sont beaucoup satisfaits 45 0 8 r pondants sur 29 sont satisfaits 27 5 Dans l ensemble les r pondants sont assez satisfaits des conf renciers Le contenu des conf rences Concernant cette question 29 participants ont donn leur r ponse voici les r sultats 7 r pondants sur 29 sont tr s satisfaits 24 1 16 r pondants sur 29 sont beaucoup satisfaits 55 2 Dans une proportion de 79 3 les r pondants sont agr ablement satisfaits Le choix des activit s et des forfaits touristiques guid s Concernant cette question 29 participants ont r pondu voici les r sultats 11 r pondants sur 29 sont beaucoup satisfaits 37 9 8 r pondants sur 29 ont mentionn qu elle ne s appliquait pas 27 5 Pour ce qui est cette question nous pouvons conclure que seulement 11 r pondants sont beaucoup satisfaits du choix des activit s Le banquet du grand fleuve souper du samedi Concernant cette question seulement 23 participants ont r pondu voici les r sultats 11 r pondants sur 23 sont tr s satisfaits 47 8 6 r pondants sur 23 sont beaucoup satisfaits 26 1 Dans une proportion de 73 9 les r pondants sont agr ablement satisfaits La soir e de musique avec Les Moules Marini res Concernant cette
32. progres conomique et social Cons quemment en d coule une responsabilit collective et individuelle de mise en valeur deleur potentiel r cr o touristique D s lors d coule l obligation de concertation de planification et d entraide l chelle locale r gionale qu b coise et canadienne Nous declarons que les principaux facteurs de d veloppement du tourisme nautique sont L am lioration de l accessibilit du r seau nautique qu b cois au nord est du continent L etablissement de routes maritimes s curitaires et de bases littorales attractives La sensibilisation des citoyens favorisant l mergence d une culture maritime La r alisation de projets littoraux visant l harmonie entre les milieux physiques et humains L implantation de programmes d investissements publics servant de leviers la r alisation d initiatives structurantes Proclam e par les participants lors du Premier congr s sur le tourisme nautique au Qu bec le 26 septembre 2004 Proclamation sign e par les participants sous le libell suivant ce 26i me jour de septembre 2004 em engage moralement et personnellement promouvoir et d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp Signataires Organisations ieme En ce 2U jour de septembre 2004 Je m engage moralement et personnellement promouvoir et d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp
33. r gion dont le Richelieu 68 Projet du parc fluvial du Croissant de l Est Navette fluviale desservant l le Sainte Therese Refection du quai de Vercheres Projet d installation d un bassin de plaisance a Saint Sulpice Projet d installation de pontons sur le modele du Parc national des les du Saint Laurent dans la region des Mille Isles Rivi re des Prairies cluse au barrage Papineau d Hydro Qu bec indispensable Les rapides du Cheval Blanc am nagement d un couloir permettant la circulation des embarcations de plaisance Mise en valeur du Vieux canal de Beauhamois places a quai promenades des terrasses Le nautisme au MTQ La Politique de transport maritime et fluvial ao t 2001 Strat gie d actions Utiliser les avantages du Saint Laurent comme outil de d veloppement socio conomique des r gions du Qu bec D veloppement du tourisme fluvial Piste d action Travailler en partenariat avec Tourisme Qu bec Mise a jour du profil de l industrie des croisi res excursions Evaluation du potentiel de d veloppement de l industrie du tourisme nautique Programme d aide 20 M en 5 ans Autres actions concr tes Participation active au colloque sur l industrie du tourisme caract re nautique Montr al novembre 2002 Ouverture du volet Promotion du programme d aide au secteur du tourisme nautique R union interminist rielle sur le nautisme 27 f vrier 2004 Participation active l organisation d
34. touristiques De notre exp rience de concertation on peut tout de m me tirer certaines conclusions Ainsi quelques unes des conditions qui favorisent la concertation sont commencer par des projets rassembleurs maintenir une bonne communication S assurer du support de son milieu la population les clubs sociaux etc respecter le rythme de chacun tout en essayant d avancer bonne conscientisation des membres la base bon support des organismes de d veloppement du milieu Les emb ches viter J esprit de clocher ou le chacun pour soi fermeture aux autres et sur le milieu trop grand cart dans l tat de d veloppement adhesion insuffisante au projet motivation insuffisante CONCLUSION La concertation est un d fi que nous n avons pas le choix de relever si nous voulons d velopper le tourisme nautique et cette concertation commence par la base La Gasp sie a accompli un premier pas dans ce domaine mais il reste encore beaucoup de travail Par ailleurs la concertation n est pas un don et les acquis sont facilement remis en question La gestion d une telle organisation pose donc des d fis et en ce sens le b n volat a ses limites ll faudra donc trouver le moyen d assurer une forme de permanence En ce sens nous esp rons que les diff rents niveaux de gouvernement nous supporteront dans notre d marche afin de mettre en valeur le plein potentiel de notre r seau de havres de plaisance Q 93 Commu
35. velopper de nouveaux de fa on mieux comprendre nos voisins en cette terre d Am rique leurs r alisations littorales et surtout d en saisir les causes sous jacentes Peut tre alors pourrons nous mieux tenir notre place dans cette comp tition qui se d roule dans l est du continent chaque juridiction se montrant d sireuse d attirer chez elle la panoplie des utilisateurs de plans d eau publics fleuve rivi res lacs etc Au dela de la constatation de comportements trangers de leurs succes ou de leurs checs s interroger sur l histoire et les moeurs g n rales qui seules permettent de les comprendre 2 De Tocqueville Alexis De la d mocratie en Am rique Introduction Paris Gallimard 1968 384p 10 Quelques spectacles dignes de mention sur les c tes et rivages des Etats Unis Du point de vue de la mise en valeur des c tes et rivages existe t il des spectacles ou des comportements dignes de mention aux Etats Unis En voici un premier qui m a personnellement bien tonn Le Corps des Ingenieurs de l Arm e am ricaine U S Corps of Engineers mis sur pied par George Washington avec l aide d instructeurs de France la devise du Corps Essayons en t moigne maintient sous administration militaire pour l ensemble du pays 3512 rampes de mise l eau pour petites embarcations 1000 lieux de baignade 94 016 sites de camping 55 141 aires de pique nique et 1529 sentiers de nature Plus fort encore les ing
36. 29G STH GGEE 6C9 618 ZE E 618 TOE ZSZ TS 1096 89 806 8v9 STV c 9 c89 CcEc L 8 ooec arp a tt Lt 1116 96 SH VLOS Z6E v S99 Lv9 9 TS 69 GGEEVOE suoudeP L TXZ XPD 30990 edsec me sonboe 96 SOT uso NO Orban 409214 enu LOZ MVO END euet ues 3ures enu OCT GHT 6 f NO SUENISIIIA DON SIRIO sep g z SSC edgeno Sec me sonboe aru Oe E36 VED CANO GEI SOUL TL dO ug enos ell CHE ATH 29cgno PRUUN IN 9jesanoons OOOT dO LdZ DID NO E sisnoujed OST IND SP mod ENE STD 20940 2ecgno SRAUPU SN07 enu 058 LEE xpo CEO edsec euneyy e enu OT KE ZPD NO neauo reg pneeg NV VE ENE VED ANO ereqiew 1 enoduoo p TO Got OZ 209 END PUQULOI MON TOZ neamng 9saNO uaueg NCQ y ZST SSC edsec me senboe enu 96 238 MATO NO SCC Et ao 29cgno reg el TOC ans PNS aIleg puels e Nog GOCE O fr 209 NO LEES UOLEd Zei any SI SP a sedseo e ap de69 EINE UIeS Seg ausuno SUE SP el enouuvue suuo L np IUBLUBCICIO NSP DOS die upd US Dav LED SIL D sisedseyd e ep daba SPRAMH SION ep EULENI URENO scrueld Ne Gt ee UE np esiooggenb uoge pps CRT OO SIEUOREUEU SON ouesie d SAULPIPEURD Sa Upeosy WID e souesIed p saney ssy bnsud
37. A ice HYVKOCRAPHIQUE DS CANARD Trauer Quitar u AEG mul A Sant Lund AHPGIM AlurRans CAVADA SHADE SES DELLA MAD DI C M MEA diu d dute Min 2 727 Maa ligas c AA Me du OiDTG En ce 20 jour de septembre 2004 Je mengage moralement et personnellement a promouvoir et a d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp dignataires Organisations Grporation de ddashoppernent Genom fut Gaulelon SOMA DFE leonis 4 Dex le Gps y Coop _A uhe DATE d eres m r 7B h Paul Le DEC En ce 26 jour de septembre 2004 Je m engage moralement et personnellement promouvoir et d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp gt nataires Vouk Ce ALES DOS fedus A Julie Organisations LATOM 41 2 Os Dee fruwa age d buts de Cou 24 les neds DT CI DTG CLD kt MRC Presentations Message de la ministre d l gu e au D veloppement r gional et au Tourisme Congr s sur le tourisme nautique Gasp 2004 I me fait plaisir titre de ministre d l gu e au D veloppement r gional et au Tourisme de vous souhaiter la bienvenue en Gasp sie pour la tenue de votre premier Congr s provincial sur le tourisme nautique Du 24 au 26 septembre vous aurez l occasion d changer et de mettre en commun vos id e
38. LI Sued nued sop sa gt uuop oo gt 0 11 1 99 TS dO 4590 ZIT anal q DU NVNLD Po Seng 209 290 Gr EA v6c coe ZET ANA DET SIILEANO ep EULENI uses SSZ xpo edgeno edsec Jie UBM ue DIV LED Omen senboe oru 96 SI SP PW 9I SdSE9 e ap debo OUEN 39nog XPD PhO edsec 26 NA PI GOSG 89E STV Sdsed TO epeue sued pieuAew pjoing OZ 209 30990 MON 90Si7 Z6E STV 359 Buey et pPUAULOI VEN ep anbaneu qno Nesupnog ZE de f 1 T1 OZ sep ULAP ZG neipupry seg CT Sauer ON ZVO NO neauo rieg LL10 96Z SIIAUOUR NUNE E Lances np 82009 aque uensuq pueupnog SSC edgeno edsec Jie UBM ue Dav LEO Med senboe oru oe SI SP Paisedseyd e ap STD POEN elg GIT AO 0990 GLODE O GC E9L OOT Neang 4590 SUN QUES pie sn e SP TO se euew peypuelg NK SSH END IIe 6898 298 udeso uge 008T euimpe SP SIA peupg Pupueig 2ecpno edsery vere unue e ap any ZT U uojuo4J er DEN np Aen Aten zeupeueg SI LALBUUOINLE IO UE MENU AUNSS Sbepmes LAL MATO 2990 SCC anbaneu Squndes e neang TEES 809 uge TO TOT epeue syodsuei L vebuepg 919 XPD END 2dsec SOXNe de E000 268 SL MNQID SPuesD NO eet
39. M M Jean Marc Hardy 103 France Stations Nautiques une exp rience francaise de d veloppement du Pautes me M let d E 105 Rentabilit des infrastructures de plaisance M Sylvain A Deschamps 111 Annexes Coordonn es des participants sin 119 valuations du congr s 4 R sultat de l valuation du Congr s sseeeeeee tnnt 131 4 Niveau d appr ciation de Torganlsatlon 133 4 Niveau d appr ciation des conf rences 139 4 Principaux collaborateurs la r alisation 144 Quelques images en vrac D claration de Gasp L Inukshuk symbole du congr s L Inukshuk oriente et sert de rep re Il servit de symbole a notre congr s ayant comme but de d cider de la direction prendre en mati re de d veloppement du tourisme nautique Chaque collaborateur de l v nement s est vu remettre un Inukshuk unique par ses formes et ses couleurs Ce qui repr sentaient bien la diversit d intervenants et de congressistes et cette volont de participer a l dification d une industrie du tourisme nautique D eclaration de Gasp Le fleuve Saint L aurent les plans d eau et les littoraux qu b cois relevent du domaine public et constituent un patrimoine national Ils doivent tre accessibles et mis en valeur au b n fice de chaque citoyen LeFleuve les plans d eau et les littoraux appartiennent tout le monde L eur acces et leur usage constituent l un des fondements les plus s rs de
40. S OMT DOD 2egeno Uepueu 8 dD A MAN anbanen qni Je upd ue Dav LED Sa Sap P sISsdseyd e ap dF NEAUODSIEg Sp alv ues 4 enbnnew anio MSN SILA Sdsed p SIA Jaugoa3 uiesaap pe UOLBd P ernsnog 629 enbuuouooo LL uonexcdio 5 SONY ANEH np IESEL N epeue suey SUI eod9g siuneeg e esuy op uonensuuupy CT TO SRMM SIOIL sep snbuouo d JUBLLIECIIO SP SPPDOS LLZ CH d jsed IS ayalqued sienqeno sop e aqeonen np VE PLM Od emod uonensuuupy Jojppueup ep anbanen anio lt E ele DEEL IBM SUB y SU el preukey en uair St hi n ep L 213 Aeque ous dde apnelD Suen nos uenseges PUIS ELL ees sspnz ue f eines uuel pueuuog ueo f abenes 9ur ouelA ames epur NAS aueiqaures PUD IN aueirqaures np uonen e 3 SQU np SPRL eouegue 1 RUHE SNAN S1 Dane enbisruu e paues np Ekel anne puels np 3anbueg 91 SPNG senbnsuna seo SPP sene sep xioup 91 GEAE uo SLL sep NUSUOD 91 SPDRBJUOD sep XIOUD Jnxeuuoup tepid np ao Sa P 91 enbojJoo np NUEQUOD 9 SQUBUOD 9 Jnod SSISIOUD sep se1 aje gt sasned SI seda se1 ep Sales SI ug SUP ANPE SARRO SQUBUOD 9 SMOEP 15 5 NO JADE Sean
41. activit s e 200 activit s e 65 villes et municipalit s e 1000 b n voles e Des partenaires majeurs Progresser et maintenir le cap e Progresser et maintenir le cap Les participants Les retombees conomiques Lesretomb es m diatiques e Une appropriation par le milieu Organiser une course de voiliers Le Grand Triangle POM net 23 Faire chanter les sirenes de bateaux Les Symphonies portuaires Ecouter les marins raconter Les Cafes de la parole couter les artistes d ici chanter Les Escales musicales Peindre le patrimoine maritime Lumi re sur les phares Lumi re sur les maisons et bient t Lumi re sur les bateaux Construire notre bateau Le doris des F tes du Qu bec maritime Cr er un rassemblement de bateaux Mar e Haute sur la baie Op rer un chantier maritime La Grande Flotterie R fl chir notre avenir Une croisi re conf rence hivernale sur le Saint Laurent Une tude de d veloppement Voir ailleurs Brest et Douarnenez 2004 Un plus grand engagement de l tat est il possible 54 Communication Retomb es d un evenement nautique international la Transat Quebec Saint Malo M Jean Claude Maltais directeur de courses Voile internationale Qu bec 150 rue Dalhousie Qu bec Qu G1K 7 7 418 648 3908 418 648 3722 D course quebecsaintmalo com www quebecsaintmalo com Historique Souligner le 450i me anniversaire de la d couve
42. ant leurs d penses directes L chantillon 1008 entrevues ont t r alis es durant la p riode de l v nement Cet chantillon fort confortable situe al marge d erreur statistique ou 3 09 19 fois sur 20 Le taux de collaboration est de 70 ce qui est consid r comme excellent Portrait du visiteur Qui taient les visiteurs et qui ont assist au d part de la Transat soit la client le de l v nement D apr s nos sondages voici leurs caract ristiques centrales Suivent des graphiques d taill s de ces r sultats Visiteurs et locaux Selon notre chantillon 36 des participants sont des visiteurs ext rieurs demeurant plus de 80 km de Qu bec et 64 sont donc des r sidants locaux Les ges Une client le assez g e puisque 37 ont plus de 55 ans En fait la majorit pr sente un ge modal de pr s de 50 ans Les locaux sont un peu plus g s que les visiteurs trangers Peu de visiteurs du site ont moins de 25 ans 3 Le sexe 64 sont des hommes Il s agit donc d un net auditoire masculin autant chez les visiteurs que chez les locaux Les occupations 34 sont des cadres ou des professionnels ce qui est assez lev De m me 26 sont des retrait s ce qui est nettement au dessus de la moyenne La scolarit 45 sont des dipl m s universitaires un score nettement au dessus de la moyenne qu b coise qui est 26 Les variations sont faibles entre les locaux et les visiteurs 60
43. appellation de plus en plus connue dans le monde du nautisme qu b cois Le Corridor Bleu un outil de commercialisation Des initiatives des v nements Course Jacques Cartier t 2001 la 1 dition t 2003 la 2e dition les r gates des Caps Noirs la r gate Chaleurs et tous les autres Et la suite Les infrastructures a am liorer des et encore des les statistiques des tudes a peaufiner 50 Communication La m diatisation du Saint Laurent M Andre Huot v p communications Voile Internationale Quebec 150 rue Dalhousie Qu bec Qu G1K 7 7 418 48 3908 418 648 3722 6 ahuot oricom ca Des affirmations des questionnements Le Fleuve Saint Laurent touche 82 de la population du Qu bec I ne repr sente que 4 de la couverture m diatique offerte au public Comment rendre le Fleuve vendant pour les leaders d opinion Comment am liorer l int r t du public pour le Fleuve Comment diss quer les nouvelles d int r t public des communiqu s provenant des groupes d int r t 51 Des r ponses Tout ce qui est environnemental amene son recto et son verso et suscite des d bats dans les m dias La mise en valeur du St Laurent ne l ve rarement ailleurs que dans le Devoir Ce qui touche directement a la vie des riverains doit prendre plus d espace Il faut publiciser les bonnes nouvelles Les plages restaur es le
44. ation du gouvernement f d ral dans le domaine du dragage Pratique du nautisme en vase clos Montr al Selon l tude DBSF Le Qu bec Accuse un important retard en regard d un produit ayant un fort potentiel de d veloppement Repr sente une opportunit unique d affirmer l identit du Qu bec comme destination nautique 66 Les probl matiques majeures Manque de destinations nautiques fortes pour les plaisanciers et les client les terrestres Enclavement des voies navigables d di es dans la r gion de Montr al Ailleurs dans le monde Revitalisation des plans d eau des canaux historiques et r am nagement des rives Premier investisseur secteur public Effet d entrainement du secteur priv Aux tats Unis Baltimore Inner Harbor investissements priv s 2 MRDS Cleveland et les Flats San Antonio Texas River Walk tat de New York En 1995 investissement de 120 M pour la revitalisation du canal Eri et ses berges Cr ation de 2 700 nouveaux emplois retomb es conomiques estim es plus de 455 M US par ann e Royaume Uni British Waterways a investi pr s de 300 M en r fection de canaux historiques en Angleterre en Ecosse et en Irlande g n rant plus de 2 5 MRDS de d veloppement en rives par le secteur priv En France Plusieurs canaux historiques ont t revitalis s par des investissements publics se chiffrant autour de 200 M Il faudrait prendre l exemple sur l Europe
45. aux r seaux nautiques acces aux r seaux routiers capital foncier en rives spectacle nautique ambiance lacustre attrait patrimonial consensus social faisabilit technique et conomique 72 PROJETS DE DEVELOPPEMENT EN RIVES Montreal metropolitain Regional 1 Ville de Cornwall D veloppement en rives 2 Marina de Creg Quay Marinas immobilier 3 MRC du Haut St Laurent Dev en rives lac Saint Francois 4 MRC de Beauharnois Salaberry Canal de Beauharnois 5 Ville de Salaberry de Valleyfield Dev en rives Vieux canal 6 Port Soulanges Dev en rives village portuaire 7 Pointe des Cascades Dev en rives Pointe Juillet 8 Ville de Beauharnois D veloppement en rives 9 Ville de Ch teauguay lle Saint Bernard marina 10 Ville de Montr al Lachine Nauberges marina 11 Ville de Montr al R seau bleu 12 Vieux Port de Montr al Marina de l horloge 13 Vieux Port de Montr al Projet de revitalisation 14 Soci t du Havre D veloppement en rives marinas 15 Ville de Saint ean D Iberville D veloppement en rives 16 Ville de Sorel D veloppement en rives 17 Ville de Plattsburgh D veloppement en rives centre ville DISTANCE VS ATTRACTION La distance n cessaire afin d atteindre une destination est directement proportionnelle avec le pouvoir d attraction de celle ci Plus loin la destination plus important le pouvoir d attraction MONTR AL VILLE D V NEMENTS Formule 1 Festival de Ja
46. beaucoup satisfait 45 0 Dans une proportion de 76 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits Monsieur R jean Leclerc Secr tariat au transport maritime Au sujet du conf rencier 28 participants ont donn leur opinion 9 r pondants sur 28 sont beaucoup satisfaits 32 1 11 r pondants sur 28 sont satisfaits 39 3 Dans une proportion de 71 4 les r pondants sont assez satisfaits Monsieur Albert Daoust Jr Canal de Soulanges Au sujet du conf rencier 28 participants ont donn leur opinion 10 repondants sur 28 sont tr s satisfaits 36 0 12 r pondants sur 28 sont beaucoup satisfait 43 0 Dans une proportion de 79 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits Monsieur St phane Ste Croix Office du tourisme et des congr s de Gasp Au sujet du conf rencier 29 participants ont donn leur opinion 8 r pondants sur 29 sont beaucoup satisfaits 28 0 10 r pondants sur 29 sont satisfaits 34 5 Dans une proportion de 62 5 les r pondants sont assez satisfaits 142 Monsieur Pierre Trudel FOCK D veloppement du sentier maritime Au sujet du conferencier 27 participants ont donne leur opinion 10 repondants sur 27 sont beaucoup satisfaits 37 0 9 repondants sur 27 sont satisfaits 33 3 Dans une proportion de 70 3 les repondants sont assez satisfaits Monsieur Michel Sacco l Escale Nautique Au sujet du conf rencier 26 participants ont donn leur opinion 11 r pondants sur 26 sont beaucoup satisfait
47. c ca Le MPO La Loi sur les p ches L examen des propositions de projet La Loi canadienne sur l valuation environnementale Regions administratives du MPO Pacifique Centre et Artique Qu bec Terre Neuve Maritimes Golfe Qu bec Laurentienne Couvre le territoire du Qu bec le Saint Laurent jusqu Blanc Sablon les Iles de la Madeleine et les eaux c ti res du nord du Qu bec baies d Ungava d Hudson et de James 29 HABITAT DU POISSON Protection Analysent les projets de developpement afin qu ils soient conforment aux dispositions de la Loi sur les p ches relatives la protection de l habitat du poisson lls participent aux valuations environnementales en vertu de LCEE Ils mettent les autorisations en vertu de l article 35 2 de la Loi sur les p ches Conservation R le de pr vention et d information aupr s des promoteurs et du public Comp tences l gislatives En vertu de la Loi constitutionnelle le f d ral a le pouvoir exclusif de r glementer de prot ger et de pr server les p ches tant c ti res qu int rieures C est en vertu de ce pouvoir qu il a laborer et promulguer la Loi sur les p ches La gestion des ressources halieutiques a t d l gu e au gouvernement du Qu bec au d but des ann es 1920 L application de la Loi sur les p ches au Qu bec La gestion des esp ces marines rel ve du gouvernement f d ral La gestion des esp ces d eau douce et diadromes a t d l g
48. cipant au sein de nombreux organismes oeuvrant dans le nautisme CQN D couvrez le nautisme le comit de concertation de la navigation CMAC Coalition du nautisme Canadien etc Support financier direct au nautisme CQN Conseil Canadien de la S curit Transat Congr s du tourisme nautique D couvrez le nautisme etc e Promotion de la plaisance Programmes publicitaires t l post salon en collaboration avec Publidar Programme publicitaire t l en collaboration avec D couvrez le nautisme S rie d entrevues radio CKAC Participation au Salon de Toronto pour repr senter la plaisance au Qu bec et attirer le tourisme nautique ici e Repr sentation et lobby Lancement d une campagne de relation publique avec la collaboration de la firme Multid es Communication pour soutenir les nouvelles initiatives les nouvelles alliances et positionner l AMQ comme intervenant majeur en nautisme Relations soutenues aupr s des autorit s gouvernementales qu b coises Pr sence active aux v nements nautiques 97 Communication R le et mission de l ATONAQ M Albert Daoust Jr pr sident Association du tourime nautique du Qu bec R gie intermunicipale du canal Soulanges 199 rue Principale Les Coteaux Qu J7X 1A1 450 267 1999 450 267 1899 8 daoust canalsoulanges com www canalsoulanges com D entr e de jeux il est important de diff rencier l industrie du nautisme et
49. concepts int grateurs et mobilisateurs permettrait de faire de Gasp une destination au cachet unique recherch et appr ci Tels ont t les principaux consensus qui ont t degages lors de ces diff rentes activit s de consultation men es par l Office du tourisme et des congr s de Gasp En regard des axes de d veloppement identifi s par les participants en voici num r s les principaux gt Le patrimoine historique et les paysages Le d veloppement de l offre L environnement strat gique L image de la Ville de Gasp Les infrastructures touristiques et de transport Vv Y ON Y Le d veloppement des plans d eau Dans le but d assurer la poursuite de la r flexion entreprise sur la place que devrait tenir l industrie touristique Gasp et sur la fa on d y parvenir l Office du tourisme et des congr s appuy par le milieu la Ville de Gasp de m me que les principaux intervenants du territoire a convenu de proc der l laboration d un Plan int gr de d veloppement touristique et de commercialisation pour la Ville de Gasp 76 LE PLAN INTEGRE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE ET DE COMMERCIALISATION POUR CONCRETISER L AVENIR L laboration du plan int gr de d veloppement et de commercialisation en mati re de tourisme pour Gasp a pour objet de concr tiser les principaux axes d intervention d finis dans le document intitul La politique touristique de Gasp et de proposer les diff ren
50. dances aux bateaux de plus grande dimension Permis gouvernementaux LPEN tude environnemental dragage Personnel saisonnier qualifi Co t des am nagements d veloppement r fection Stabilit conomique int r t co t 114 du petrole Difficult s de tarifer le plaisancier du co t r el d exploitation Taxes des proprietes Competition r cr ative pour le m me dollar Competition inegale entre les infrastructures privees et publiques Absence de programmes d aide financiere gouvernementale aux marinas Absence d un organisme repr sentatif Conclusion Conditions de succes a consid rer dans l atteinte de nos objectifs criteres et references Acc s fluide au r seau maritime Acc s public Synergie locale r gionale et provinciale Potentiel d offre touristique extraordinaire Gestion efficace et imputable P rennit des infrastructures des marinas Multi fonctions des quipements Qualit de l accueil Standardisation de l offre Devant le potentiel du Fleuve et de ses affluents l offre en tourisme nautique doit se structurer afin d offrir une image distincte du Qu bec avec comme produit d appel des infrastructures d accueil de haut niveau localis e autour de d veloppement en rive Il est essentiel que les acteurs principaux se concentrent afin de jumeler les efforts menant vers des r sultats concrets afin d offrir un pouvoir d attraction et cr er des destinations fortes 115 Annexes G
51. de l int r t du plus grand nombre le tout au plus bas co t possible Le statut social ou conomique des usagers ventuels du littoral n est jamais abord dans les discussions sous peine de causer scandale la loi du plus grand nombre r gne sans entrave Le but que tous recherchent c est le service du common man de l Am ricain moyen tout le reste est cens venir de surcroit Nulle part n aisje vu davantage cette philosophie l oeuvre que dans les r unions du States Organisation for Boating Access Organisation des Etats pour l acc s des petites embarcations aux plans d eau dont le pr sident actuel est Larry Killien du minist re des Ressources naturelles du Minnesota Elle impr gne cependant toutes les administrations publiques aux Etats Unis Il faut entendre par exemple des fonctionnaires du ministere des Ressources naturelles de l Illinois expliquer comment les maigrichons 60 milles de rivages dont jouit cet Etat le long du lac Michigan sont devenus un v ritable champ de bataille l gal qui a d termin en quoi exactement consistait la doctrine du Public Trust les effets l gaux de cette preuve de force entre int r ts priv s et administrations publiques s tant ensuite tendus l ensemble du pays 10 8 Dean Cornelia Against the Tide The Battle for America s Beaches Columbia University Press DC 1999 279p 9 States Organization for Boating Access http www sobaus org 10 Fulton Neil R et Injerd Danie
52. diverses r alisations J ai apport pour vous deux tudes de ce genre ainsi qu une troisi me traitant de la Doctrine du Public Trust 1 Assessing the Economic Benefits of America s Coastal Regions 6 2 Marinas Contribution to the Economy in the United States 7 3 Bellemare Andr Lib rons nos quais Le Soleil Qu bec 12 juin 2004 Dans le m me ordre d id es signalons que la destruction d un bon nombre de quais du fleuve Saint Laurent ou leur transformation en tas de roches n est pas pass e compl tement inapercue Cf Landry Simone Nadine et la plage Le Mouton Noir Rimouski septembre 2002 Ou bien Naud L once Fleuves et rivi res mode d emploi grand public ECODECISION Montr al t 1995 Voir http www gensdebaignade org Fleuves modesdemploi htm 24 American Shore amp Beach Preservation Association http www coastalcoalition org 25 Boston Harbor Association http www tbha org 26 Zones c ti res http oceanservice noaa gov websites retiredsites natdia pdf 13marlowe pdf 17 3 The Public Trust Doctrine a Gift from a Roman 28 Conclusion En terminant cette esquisse forc ment impressionniste de quelques fondements des approches am ricaines en mati re de littoral je me permets de revenir brievement a notre situation qu b coise vis a vis le fleuve Saint Laurent notre fleuve Apr s tout l accessibilit mentale et physique au Saint Laurent constitue un pr r
53. e Fauconnier Franck Cammas Michel Desjoyeaux Thomas Coville Giovanni Soldini Alain Gauthier Lalou Rocayol Phillipe Monet Loic Peyron Laurent Bourgnon Steve Ravussin Marc Guilemot Yves Parlier Mike Birch Georges Leblanc Afin d tre dans la course certains grands noms ont sacrifi leur titre de skipper a celui d quipier pour profiter de cette belle experience de course La Transat Qu bec Saint Malo a b n fici en 2000 d une visibilit de qualit tant au Qu bec qu en France qui s est accrue en 2004 du fait de la popularit croissante de la Transat et d engouement continu du public pour la voile Visibilit M dias imprim s au Qu bec et au Canada Au Qu bec 12 publications diff rentes ont relat l v nement Le Soleil Le Droit Journal de Qu bec Le Devoir La Presse Le Globe and Mail L Escale nautique Le Journal Economique Chronical Telegraph le Quotidien le Nouvelliste le Courrier de Portneuf Visibilit dans les m dias imprim s qu b cois et canadiens Publication Type Nombre Lectorat Nombre d articles d expositions Courrier de Portneuf Le Journal Journal sp cialis Economique yA 105 000 210 000 89 250 178 500 45 000 225 000 45 000 45 000 Chronical Telegraph Quotidien r gional 5 000 5 000 Au total les articles parus dans la presse qu b coise et canadienne ont g n r 42 858 200 exposures d finies comme le nombre d occasions ou une personne a t expos e
54. ec 5 Mise en march tablir la strat gie En consid rant tous les l ments le march cible et leurs r seaux l environnement politique conomique social etc le produit et les prix la distribution son positionnement les objectifs de communication Pouvons nous tablir le contact privil gi souhait par les visiteurs Comment Quels sont les besoins des touristes plaisanciers et sommes nous en mesure de les satisfaire 45 Communication Tourisme durable M Gilles Soucy 33 M Gilles Soucy repr sentant du Club des Plus Belles Baies du Monde section Nouveau Brunswick 506 753 5506 M Richard Gingras instigateur du Club Allaooleg Baie des Chaleurs Hostellerie Baie Bleue 482 boul Perron Carleton Qu GOC 1JO 418 364 3355 418 364 6165 infobaiebleue com 33 N B Le texte ne nous tait pas encore parvenu au moment de mettre sous presse 4 Communication Le Corridor bleu une aventure en developpement Mme Joanne Guite conseillere au developpement SADC de Baie des Chaleurs 152 boul Perron Ouest bur 201 New Richmond Qu GOC 2B0 23418 392 50147 418 392 5425 8sadcbc globetrotter net qc ca www sadcbc ca Le Corridor Bleu Une appellation qui canalise les efforts de promotion de 18 clubs nautiques havres et marinas Territoire Gasp sie lles de la Madeleine et Nord
55. en march et d veloppement Mme Joan Michaud 43 Tourisme durable M Gilles SGoucy 47 Le Corridor bleu une aventure en d veloppement Mme Joanne Guit 49 La m diatisation du Saint Laurent M Andr Huot eene 51 Un penchant vers les bateaux M Ren Tr panier nnne 53 Retomb es d un v nement nautique international la Transat Qu bec Saint Malo M Jean Claude Matisse 55 Planification et gestion des littoraux politiques et pratiques europ ennes Me Chantal ddl Go on raton aaa 63 Les activites caractere nautique et le Ministere des Transports du Quebec dE neun 65 Le d veloppement en rives M Albert Daoust Jr 71 Une politique municipale ax e sur mer et montagnes M St phane Ste Croix 75 D veloppement du Sentier maritime du Saint Laurent M Pierre Trudel 79 Un systeme ou un outil de monitoring national pour les clienteles IMACS ACC Oa II ee 83 La planification marketing en lien avec les donn es de march piste de solutions Mme Solange Dion eene nnne nnne nn 85 La concertation r gionale des gestionnaires de havres de plaisance en Gasp sie lles de la Madelaine M Jean Marc Hardy eene 89 R le et mission de l AMQ M Jacques 95 R le et mission de l ATONAQ M Albert 99 R le et mission de l AHPGI
56. equis essentiel au d veloppement du tourisme nautique fluvial ou de littoral au Qu bec Nombreux sont ceux et celles qui d plorent que les Qu b cois se sont loign s du fleuve Saint Laurent Qu ils ont d laiss leur empire de l eau Plus rares sont ceux qui s efforcent de comprendre la cause profonde enfouie au plus profond de notre psyche collective d un si trange comportement Ou plut t si quelques auteurs la plupart historiens ou g ographes s y sont essay s Le plus remarquable ma connaissance est le g ographe Luc Bureau dans un passage lumineux de son essai Entre l den et l utopie Les fondements imaginaires de l espace qu b cois Franchissons quelques si cles Nous sommes en 1765 La terrible Guerre de Sept Ans vient peine de se terminer 1755 1763 Depuis deux ans la Nouvelle France est disparue des cartes de l Am rique Ecoutons Luc Bureau Les canons de l empire se sont tus les militaires enterrent leurs morts les paysans retournent la gl be les artisans entrent dans leur choppe L espace ouvert jusqu ici occup par les chim res visions et les querres des cartographes royaux se ferme et prend soudain saveur de terroir Maria Chapdelaine d couvre l amour en cueillant des myrtilles dans les br l s du lac SaintJean Jean Rivard le d fricheur construit sa cit id ale dans les collines ondul es des Cantons de l Est Menaud maitre draveur d fend contre l emprise trange
57. er les activit s r cr otouristiques li es l eau AXE 3 Promouvoir le tourisme nautique Enjeu 55 Soutenir en collaboration avec la F d ration qu b coise du canot et du kayak et les associations touristiques r gionales le d veloppement de sentiers nautiques au Qu bec Le Contexte G ographique La longueur du Sentier maritime du Saint Laurent Portion fluviale jusqu Qu bec est de 300 km Eau temp r e pas ou peu de mar e courants d ouest en est nombreuses habitations voie maritime rapproch e Portion maritime est de 800 km par rive Eau tr s froide mar es importantes courants pouvant aller de 3 4 kt nombreuses parois rocheuses peu de secteurs habit s difficult s de navigation li es aux conditions mentionn es clapotis vagues etc L tendue du sentier les caract ristiques physiques la fragilit des milieux naturels sont autant d l ments qui obligent une approche concert e 80 L tat du d veloppement Les outils Le cadre de r f rence du d veloppement du sentier maritime du Saint Laurent Le guide de l utilisateur Section g n rale Section Route bleue Les outils d information Les outils d information pour tous Bulletin de liaison feuillets et brochures d information site Internet Les outils d information pour l industrie Programme Pagayez bien inform La mise en oeuvre ou le d ploiement du Sentier par Routes bleues Projets pilotes Route bleue du Bas
58. es Commandants 30 participants ont r pondu cette question voici les r sultats 18 r pondants sur 30 sont tr s satisfaits 60 096 9 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 30 0 Dans une proportion de 90 096 les r pondants sont agr ablement satisfaits L endroit ou s est d roul le congr s Concernant l endroit du congres 30 participants ont r pondu cette question voici les r sultats 16 r pondants sur 30 sont tr s satisfaits 53 396 12 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 40 0 Dans une proportion de 93 3 les r pondants sont agr ablement satisfaits L horaire conf renciers activit s et temps libres Concernant l horaire du congres 30 participants ont r pondu cette question voici les r sultats 6 r pondants sur 30 sont tr s satisfaits 20 0 15 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 50 0 Dans une proportion de 70 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits 135 Les salles de conf rences Concernant cette question seulement 29 participants ont donne leur r ponse et voici les r sultats 11 r pondants sur 29 sont tr s satisfaits 38 0 12 r pondants sur 29 sont beaucoup satisfaits 41 0 Dans une proportion de 79 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits Les repas diners Concernant les repas du midi 30 participants ont r pondu a cette question voici les r sultats 10 repondants sur 30 sont tr s satisfaits 33 3 14 r pondants sur 30 sont beaucoup sa
59. essionnels a temps partiel occupent une autre fonction France Stations Nautiques Un R seau national 35 Stations Nautiques 34 sur le littoral dont 2 outre mer 1 sur Lac Plus de 600 acteurs nautiques en 4 familles dont 2 3 professionnalis s et dont ouverts toute l ann e Une Association Des organisations locales les Stations Nautiques Des groupements nationaux les F F de sports nautiques la F d ration fran aise des Ports de Plaisance la F d ration des Industries Nautiques Associations r gionales Des partenaires Minist re charg des Sports Minist re charg du Tourisme Agence Francaise d Ing nierie Touristique Associations Nationales d Elus C N O S F plus quelques partenaires priv s Les ressources Une quipe dirigeante Pr sident Conseil d Administration Une quipe professionnelle de 3 personnes Un budget 450 000 H T Un siege social a Paris Du Conseil Un centre de ressources constitu par un r seau d experts Une politique d accompagnement local Un programme annuel de visites des Stations De la Formation Quinze sessions de formation professionnelle plus de 150 personnes form es par an 107 L Animation de R seau Vie associative colloque annuel r unions th matiques r unions en r gions groupes de travail mise en r seau Recherche et d veloppement Une veille strat gique une volont d innovation Communication Un site Internet www France
60. essus vitaux mais n limine pas compl tement HP Perturbation changement temporaire dans HP qui r duit sa capacit soutenir 1 ou 4 processus vitaux Processus vitaux alimentation reproduction abri migration etc L objectif premier est d viter la perte d habitat par des mesures d att nuation Mesures d att nuation quelques exemples viter d empi ter sur des sites de reproduction du poisson viter les secteurs o il y a pr sence de plantes aquatiques Eviter les zones de s dimentation Effectuer les travaux en p riode d tiage Hors des p riodes de migration et de reproduction des poissons Machinerie en bon tat de fonctionnement 31 Aucune perte nette d habitat Hierarchie des options 1 Relocalisation et revision du concept du projet 2 Choix des m thodes de travail et d exploitation du projet 3 En dernier recours si on ne peut l viter autoriser et compenser la perte d habitat Toute perte d habitat in vitable mais acceptable peut tre autoris e en vertu du paragr 35 2 de la Loi sur les p ches Respecter le principe d aucune perte nette R aliser un projet de compensation Compensation de perte d habitat Am nagement physique qui a pour but d accro tre la capacit de production de l habitat du poisson Avis de projet Y a t il un habitat du poisson NON Autorisation non requise Le projet cause il une perte d habitat NON Autorisation non requise lettre d avis avec mesure
61. eun SS NP SIEUM ef anb 55 1992 P SIEB AP 300 spejuoo sSNA uyu ONES MB AUUDbS mod Spided Jodans p sed sJoDuaJuoo SI sno anb 3ue eoep ned un amon ef snd ue e SPIP OO 39 134a ueuuonsenb sale aL uoo ep dnoonesgq qerene SL sa anb Em KO snow Spud ne yene nbo jo gt aruuoy e WIEPUSCSZ aaue e suong uuojurp dnoonesedg 309IeAe Seul SODualjuoo Sa enbsind anbaneu auisuna np sU ULLUOO LEES Zossy lt e suep Ploy HEPO JJL NP Wau Nes seg 2J29 sosned sa nog lt mayesuebio xne UONE DIP SAR LRLULUOS Niveau d appr ciation de l organisation 133 Niveau d appreciation de l organisation La promotion de l v nement Concernant la promotion seulement 29 participants ont r pondu a cette question voici les r sultats 12 r pondants sur 29 sont beaucoup satisfaits 41 4 9 r pondants sur 29 sont satisfait 31 0 Dans une proportion de 72 4 les r pondants sont assez satisfaits L inscription Concernant l inscription lors de l v nement 30 participants ont r pondu cette question voici les r sultats 12 r pondants sur 30 sont tr s satisfaits 40 0 12 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 40 0 6 r pondants sur 30 sont satisfaits 20 0 La majorit des r pondants sont dans l ensemble assez satisfaits L accueil Concernant l accueil fait aux participants lors de leur arriv e l H tel d
62. eusement un probleme d enclavement handicape celui ci Taux d occupation des marinas 90 95 idem aux USA Rehaussement de la qualit des ports et de l accueil 111 Places a quai 15K au Quebec vs 65K en Ontario Cat gorisation des marinas Tarification a actualiser D s quilibre majeur entre sorties des plaisanciers hors QC et entr es de nouveaux Importation Exportation des plaisanciers Developper la fid lisation de la clientele Conditions de gestion Expertise gestion et connaissance technique Structure organisationnelle Maillage et partage de co ts impartition publicit Analyse budg taire Vision de march Tarification 1960 Les tarifs se comparent aux taux appliqu s au USA et Ontario 1964 Les USA baissent la tarification afin de meubler les marinas du Lac Champlain et drainent les plaisanciers du Qu bec Le Qu bec suit et ajuste ses taux Depuis le Qu bec n a jamais rattrap l cart perdu manque de revenus entrainant la d su tude En 2004 les carts de tarification se lisent comme suit Qu bec 30 a 44 pied Ontario 78 pied LOA Nouveaux l ments de tarification consid rer Deuxi me prise 30 amp res Bout de quai Disposition environnementale r cup ration S curit gu rite acc s contr l quipements cartes Unit de mesure LOA Acc s Internet t l travail Cablo distribution Stationnement taxes vs co t du terrain Gestion
63. fets n fastes sur les animaux et les plantes D truire des habitats marins Avoir des effets ind sirables sur les p ches Contaminer les poissons les mollusques et les crustac s comestibles Nuire aux autres utilisateurs de la mer plaisanciers p cheurs sportifs navigateurs Loi canadienne sur la protection de l environnement R git le rejet de substances en mer La loi et les reglements pr cisent les facons de faire 39 La loi stipule que nul ne doit rejeter en mer sauf s il s agit d une substance pr vue par la loi et que l immersion est effectu e conform ment un permis Permet Environnement Canada de rencontrer ses obligations nationales et internationales en mati re de contr le des rejets en mer Qu est ce qui peut tre immerg Les mati res suivantes seulement Matieres dragu es excav es d chets de poissons navires a ronefs plates formes ou autres ouvrages mati res g ologiques inertes et inorganiques mati res organiques d origine naturelle substances volumineuses Ne sont pas consid r s comme de l immersion en mer Rejets r sultant de l utilisation normale d un navire a ronef plate forme ou autre ouvrage les d blais de dragage d pos s en milieu terrestre L obtention d un permis d immersion comporte Demande de permis contenant de l information d taill e d poser 4 mois avant l immersion Caract risation des d blais de dragage l avance Publication d un pr a
64. hoisies selon des crit res et des quotas pr d termin s gt Une s rie d entrevues t l phoniques en profondeur aupres de repr sentants d organismes sectoriels locaux ou r gionaux qui ont t s lectionn s pour la pertinence de leurs activit s respectives 75 En second lieu l Office a tenu un colloque voue a l industrie touristique ou plus de 144 participants ont t r unis De ce nombre 60 p cent taient des membres en r gle de l Office du tourisme et des congr s de Gasp 32 p cent repr sentaient divers niveaux de gouvernement 4 p cent taient des r sidents de Gasp et enfin 4 p cent provenaient d entreprises non membres de la r gion Ces diff rentes consultations ont permis de mesurer clairement la volont des intervenants interpell s pour se doter des moyens pour assurer le d veloppement touristique de Gasp partir du consensus constat savoir gt Que l activit touristique a Gasp occupe une place de choix et qu ce chapitre plus d efforts devraient tre d ploy s pour son d veloppement gt Qu une d marche plus structur e assurerait des retomb es conomiques plus importantes Dans cet optique l observation des tendances la d finition des param tres pour canaliser les efforts et la convergence des investissements auraient pour effet de cr er une approche favorisant un d veloppement durable et responsable gt Que le d veloppement d un projet collectif et de
65. homme a de plus en plus besoin de se sentir partie prenante de la nature de se r approprier et de jouir d un territoire qu il a trop souvent neglige Ce congr s aura permis gr ce la vision globale donn e par une trentaine de conf renciers de grande qualit d identifier les probl matiques et les pistes de solutions pour se r approprier et valoriser nos cours d eau au b n fice de chaque citoyen Le concept de tourisme nautique constitue une avenue de d veloppement conomique et social offrant d infinies possibilit s Les organismes locaux r gionaux provinciaux villes et villages littoraux paliers politiques de tous nivaux se voient d ores et d j interpell s par cette prise de conscience et cette volont collective de travailler de pair sa mise en valeur Nous retrouvons cette affirmation dans les nonc s de principes sur le d veloppement du tourisme nautique appel La D claration de Gasp Un des buts de ce congr s tait de favoriser la concertation et le maillage des l ments les plus dynamiques de l industrie ce que nous avons r ussi me fiant en cela aux commentaires des participants Cela n aurait pu tre possible sans l implication et le professionnalisme de chacun de mes collaborateurs et chacun de nos partenaires financiers qui j adresse mes remerciements les plus sinc res Le succ s de ce premier congres sur le tourisme nautique marque d une pierre blanche l volution vers la concertatio
66. iere Gouverneur Escomptes sur les locations d automobile Hertz Canada et National Tilden Rabais sur produits et services par les marchands membres participants Documentation Guide des Marinas avec les diteurs de la revue Qu bec Yachting Guide Nautique avec CTNAM Communications information Toute nouvelle entente assurant 1 La distribution de la revue Qu bec Yachting a tous les membres de l AMQ 2 Portail Internet dot d outils tr s performants d information et de communication lectronique avec la firme iCongo l adresse www nautismequebec com Services structurants pour le nautisme L AMQ a entrepris de r aliser des projets qui permettront de Mettre en valeur le r seau des marinas d en ameliorer les infrastructures et de donner un nouvel lan a la pratique du nautisme 96 e Services structurants pour le nautisme L AMQ a entrepris de r aliser des projets qui permettront de Mettre en valeur le reseau des marinas d en ameliorer les infrastructures de donner un nouvel lan a la pratique du nautisme Voici ces projets Un programme classification des marinas Le programme Eco marinas Un programme de dragage des marinas Un programme Qualit Qu bec Un service de r servation en ligne aupres des marinas en collaboration avec Congo Programme de formation sur mesure l industrie en collaboration avec le Cegep Sorel Tracy eParticipation active au d veloppement du nautisme Implication comme parti
67. in effectu e vers l an 530 de notre re Le l gislateur y tablit que l air les cours d eau ainsi que la mer rivages inclus sont communs toute l humanit Dans cette optique les gouvernements ne sont pas propri taires mais simples gestionnaires des ressources riveraines dont la propri t et l usage revient de plein droit aux citoyens Tout l espace intertidal ainsi qu une partie de la plage au dessus font ainsi automatiquement partie du bien commun Parenth se Au Qu bec depuis le milieu du 19 si cle il n existe plus de droit de la population d acc der aux plans d eau et pas de doctrine du Public Trust non plus Contrairement ce qui pr vaut dans la plupart des pays occidentaux le Qu bec ne dispose d aucune l gislation expresse quant l acc s public aux rives et littoraux Dans son Histoire du droit qu b cois de l eau 1969 le r put juriste Henri Brun a pu crire Les lois d ordre public qui sont cens es selon l article 585 du Code civil r gler la mani re de jouir des choses qui n appartiennent personne et dont l usage est commun tous ont constamment eu pour fonction et effet dans le cas de l eau d interdire cet emploi collectif 3 R sultat chaque ann e des centaines de milliers de Qu b cois prennent la route avec leur famille et vont profiter des plaisirs de l eau dans des juridictions voisines contribuant ainsi la bonne sant conomique des Etats am ricains li
68. ing du tourisme nautique Parties Ouest et Est du St Laurent Consid rant la rar faction des ressources humaines qualifi es et financieres dans les ann es a venir les acteurs du d veloppement du tourisme nautique devraient s int resser davantage au regroupement afin de relever les d fis du futur Batir une r putation de destination incontournable Force du r seau nautique qu b cois e Sc niques et parcs e Diversit des pratiques e Possibilit d itin raires e Place pour am lioration des infrastructures Faiblesses du r seau nautique qu b cois e Pas de positionnement marketing 21 Ensablement Organisation du produit Organisation de la destination Reinvestissement dans infrastructures Manque d v nements a forte notoriete Qualit et quantit des services Distances parcourir Piste de solution possible Le regroupement Quatre formes de regroupement Destination Infrastructures Gestion Promotion 28 Communication La loi sur les p ches la protection de l habitat du poisson et le traitement des avis de projets par P ches et Oc ans Canada M Guy Michaud biologiste Institut Maurice Lamontagne P ches et Oc ans Canada P ches et Oc ans Canada Institut Maurice Lamontagne Direction de la gestion amp habitat du poisson 850 route de la Mer C P 1000 MontJoli Qu G5H 324 Z 418 775 0539 418 775 0658 c michaudg dfo mpo g
69. internationale pour les plaisanciers et les visiteurs terrestres 101 Communication R le et mission de l AHPGIM M Jean Marc Hardy pr sident Association des havres de plaisance de la Gasp sie et des lles de la Madeleine 10 rue de la Marina Gasp Qu 3B1 418 360 8371 232 418 360 8101 8 hardyjmc globetrotter net www ahpgim org L Association des havres de plaisance de la Gasp sie et des Iles de la Madeleine se pr sente Historique Dates importantes laboration du concept de Corridor Bleu en 1998 8 d cembre 2000 premi re rencontre Gasp donc premier rapprochement des havres premi re mention d un projet de course 29 avril 2001 fondation de AHPGIM Carleton Mission Regrouper les havres de plaisance Repr senter les int r ts des membres Intervenir aupr s des 3 paliers de gouvernement S curit nautique Environnement D veloppement de la plaisance D veloppement du tourisme nautique Elaborer et mettre en place un syst me d achat Fournir de l assistance technique Promouvoir la pratique de la plaisance en 103 laborant et mettant en oeuvre des activit s de d veloppement de la plaisance telles qu une cole de voile les croisi res les r gates Plan d action V rification du moratoire du gouv F d ral DEC Etablir un portrait du r seau de havres membres Elaborer un plan d am lioration des havres R aliser une
70. ion et tendances dans le temps ex longueur nombre de sorties distance parcourue d penses Une VISION commune pour le tourisme nautique au Qu bec En 2008 4 ans le diagnostic sera plus pr cis La plupart des havres de plaisance ou marinas Bas sur 3 ou 4 variables retenues en 2004 Tendances observables apr s analyse Comparaison avec objectifs fix s en 2006 Rendement mesur et d montr avec rigueur Partenaires et gouvernements bien inform s A 54 9 23 87 Communication La concertation regionale des gestionnaires de havres de plaisance en Gasp sie Iles de la Madeleine M Jean Marc Hardy pr sident Association des havres de plaisance de la Gasp sie et des lles de la Madeleine 10 rue de la Marina Gasp Qu 3B1 418 360 8371 232 418 360 8101 8 hardyi mcoglobetrotter net www ahpgim org Notre association regroupe maintenant 12 havres de plaisance sur tout le territoire de la Gasp sie et des Iles de la Madeleine Son territoire d intervention correspond la r gion administrative du m me nom On me demandera peut tre pourquoi on parle de havres et non de marinas Plusieurs de nos membres sont gestionnaires de havres a vocations multiples Ce ne sont pas des marinas mais plut t des havres polyvalents qui recoivent entre autre des plaisanciers et ont des quipements pour le faire Les membres de l AHPGIM sont Ste Anne des Mo
71. ise faire du Qu bec une destination r cr otouristique de qualit et de notori t internationale PREMIER MANDAT DE L ATONAQ 2ieme Sommet conomique Qu bec New York Ce deuxi me Sommet conomique Qu bec New York s est tenu Boucherville le 13 mai 2004 ou taient pr sents le Premier ministre du Qu bec et le Gouverneur de l Etat de New York la demande de Tourisme Qu bec et du MDERR l ATONAQ a fait partie du comit organisateur concernant le d veloppement touristique et a particip a titre de conf rencier conjointement avec Tourisme Qu bec l atelier sur le tourisme nautique et le d veloppement en rives ACTIONS amp SOLUTIONS BUT Maximiser le potentiel conomique r cr otouristique du r seau nautique du Qu bec M THODE Il est sine qua non de r gler le probl me d accessibilit du r seau nautique qu b cois De faire en sorte qu une destination majeure soit implant e D implanter les destinations p riph riques dans le r seau Que le tout soit entrepris simultan ment 100 Decision decoulant du Sommet conomique Qu bec New York Les retomb es conomiques de l industrie du tourisme nautique justifient la formation d un comit bilat ral permanent mandat afin d valuer et d implanter dans un d lai pr tabli des plans d action qui assureraient que le lac Champlain la Vall e du Saint Laurent et la r gion du Grand Montr al deviennent une destination de renomm e
72. l A Lake Michigan and the Public Trust Its History and Application in Illinois Public Trust Doctrine Seminar Lincoln Institute of Land Policy Cambridge Massachusetts 1984 36p 13 Un second facteur l uvre un droit de l eau different Le cadre l gal constitue un second facteur dont il est n cessaire de tenir compte en mati re d am nagement des littoraux aux Etats Unis notamment le corpus l gislatif qui a progressivement vu le jour avec l application de la doctrine dite du Public Trust auquel s ajoute l influence du Coastal Zone Management Act 11 Adopt en 1972 cette v ritable charte des rivages am ricains d finit les principes que doivent appliquer l ensemble des Etats de l Union quant la gestion c ti re Son influence l gale et morale ne saurait tre sous estim e Par la loi les administrations publiques ont d sormais l obligation d assurer a public access to the coasts for recreation purposes c est dire l acc s de la population aux rivages pour fins de r cr ation On retrouve ici l cho d un passage cl de la Loi littoral francaise L usage libre et gratuit par le public constitue la destination fondamentale des plages Pour assurer l acc s de la population am ricaine aux rivages de la nation les Am ricains s appuient entre autres sur la doctrine du Public Trust Cette derni re repr sente un corpus l gislatif qui prend appui sur le Code Justinien une codification des lois de l Empire roma
73. l industrie du tourisme a caractere nautique L industrie du nautisme fait reference avant tout aux fabricants et utilisateurs d quipements nautiques bateaux quais marinas accastillages etc INDUSTRIE DU TOURISME NAUTIQUE Dans son sens large toutes activit s r cr otouristiques dont le d veloppement d pend de l utilisation des cours d eau font partie du tourisme caract re nautique 99 PROBLEMATIQUES DE L INDUSTRIE DU TOURISME A CARACTERE NAUTIQUE TROIS CONSTATS MAJEURS e L tude d montre le manque de destinations fortes susceptibles d attirer les client les nautiques provenant de l ext rieur du Quebec e L enclavement cr par les cluses de Beauharnois nuit l accessibilit d ensemble du r seau nautique qu b cois et freine totalement le d veloppement de l industrie du tourisme caract re nautique e n existe pas un porte parole unique en mati re de tourisme nautique au Qu bec malgr des collaborations entre les gouvernements les destinations nautiques et certaines marinas CR ATION DE L ATONAQ Cr e le 18 mars 2004 l ATONAQ vise regrouper les intervenants des diff rents domaines de l industrie ainsi que les repr sentants gouvernementaux MISSION Organisme de concertation et de d veloppement l Association du tourisme nautique du Qu bec est la voix des forces vives de cette industrie qui utilisent les cours d eau comme m dium de d veloppement Dans cet esprit l ATONAQ v
74. les Une plus grande polyvalence dans la vocation des quipements est une condition essentielle en mati re de rentabilisation La vocation nautique des r gions de l Est du Qu bec peut et doit tre r affirm e travers une vision pr nant un produit de qualit et rentable d ici quelques ann es Les zones de navigation du fleuve partir de Qu bec jusqu au golfe devront adapter les strat gies de d veloppement et de mise en march Le march actuel et potentiel du tourisme nautique en fait des produits de niche pour les r gions concern es navigation de plaisance projet du Sentier maritime du Saint Laurent I faudra adapter les efforts de mise en march en fonction du potentiel r el des march s cibles Le besoin d un positionnement global du tourisme nautique a l chelle du Qu bec est vident mais s inscrit apr s que les probl mes d acc s et de la qualit du produit auront t r solus Il ya un besoin de maillages des diff rentes zones de navigation sur le fleuve mais aussi avec les destinations voisines comme les provinces atlantiques Enjeux et Orientations strat giques Enjeu 1 Organiser le r seau nautique du fleuve Saint Laurent Enjeu 2 Assurer l accessibilit au r seau nautique Enjeu 3 Rehausser la qualit de l exp rience offerte aux clienteles 22 Enjeu 4 Assurer la securite des plaisanciers sur le reseau nautique Enjeu 5 Assurer un financement adequat du r seau pour diversifier et
75. ltat de ces tests Le permis Publi dans la Gazette du Canada Publication un mois avant le dragage pour consultation publique Inspections r guli res des activit s d immersion conformit aux permis rejets sans permis Suivi environnemental des sites d immersion Identifier l impact cologique des activit s d immersion valuer la contamination et la toxicit des s diments au site d immersion D terminer si le site peut continuer recevoir des d blais de dragage sans menacer le milieu environnant V rifier l efficacit des mesures de contr le et d att nuation 41 Communication ATR accueil mise en march et d veloppement Mme Joan Michaud directrice du marketing Association touristique regionale de la Gasp sie 357 route de la Mer Sainte Flavie Qu GOC 2LO 8418 775 2223 poste 226 418 775 2234 8 jmichaud tourisme gaspesie com www tourisme gaspesie com Association touristique r gionale de la Gasp sie Regroupement d entreprises et de personnes oeuvrant dans l industrie du tourisme en Gasp sie 700 membres Notre mission Exercer le leadership et la repr sentation de l industrie touristique sur le plan du d veloppement d une offre de qualit et de sa mise en march nationale et internationale Nos valeurs Association concertation r gionale professionnalisme souci d quit engagement qualit 43 tre membre c est S a
76. lutions alternatives et moins co teuses Compl ter dans chaque r gion l valuation des besoins en d veloppement ports marinas quais lieux de mouillage R sumer les implications en investissements pour les r gions 23 Int grer le tourisme nautique dans les strategies regionales de developpement et les programmes de soutien aux infrastructures Mettre en valeur de facon plus accentuee les plates formes mediatiques des evenements nautiques majeurs Appuyer le maillage de Voile Quebec avec d autres clubs flottilles point culminant 400ieme de Quebec Mettre en place un suivi permanent des questions touchant les aides a la navigation Utiliser davantage les outils existants de communication pour s curiser les pratiques D tailler les besoins selon les r gions des mouillages sur coffre lieux de refuge lieux d int r t D velopper de maniere syst matique l offre de cours de formation et d initiation des plaisanciers Assurer le maillage entre les ports et les marinas s curit et service aux client les Conclure des ententes de partenariat par zone de navigation regroupements des marinas soutien la concertation R viser les programmes d aide dans une optique de soutien la polyvalence et le d veloppement int gr R duire l impact de l encadrement r glementaire proposer des modifications au cadre l gal concernant la construction et l agrandissement des marinas valuer les retomb es du t
77. m dias fran ais en 2000 M dias imprim s Au total 699 articles de presse ont t r dig s pour couvrir l actualit de la Transat ne pas n gliger toutes les photos prises au passage des marques qui sont retransmises un peu partout dans le monde Les plus grands quotidiens nationaux ont aussi couvert l v nement durant l t 2000 offrant une visibilit de premier ordre a la Transat Douze des plus grands quotidiens francais ont g n r plus de 260 millions d expositions la Transat 2000 Aux retomb es r dactionnelles il faut ajouter le placement publicitaire qui a t effectu sur Ouest France et dans la revue Bateaux et qui a g n r 6 948 000 expositions Publicit dans les journaux et magazines francais Ouest France 2 316 000 6 948 000 Bateaux 97 000 97 000 58 Cette couverture dans la presse francaise ainsi que les placements publicitaires effectues dans les journaux et magazines permettent d evaluer la visibilite equivalente a une campagne de presse de 11 396 445 Radio en France Les differentes stations radio ont diffuse 240 sujets sur la Transat pendant un total de 3h16m13s d antenne Les donnees disponibles sont insuffisantes pour estimer precisement la visibilite associee et sa valeur financi re Cependant nous en concluons que l valuation des retomb es radio pour la Transat en France represente 661 635 Television en France la t l 20 missions ont trait
78. m b T 9 LIS TSD NO Amaury OTE ANS 527 Pegs URUPDUFLS 2 epeue NP AULD ISUL DYP SSC XPD edgeno edsec me sanboe nu Oe 920 edsec edsec TO CCT TZZ ZVD NO TELE POE Neaung ales moy EE EDE NO Segen 1 BUOCLUOD p no Got Tae xpo NO sdsey euue e SP enu OT SECANO keen PURUIPIEH SZET OM XO SEND ped 1 OZ d O No ejedpuutq enu e GAZ SONO am Kin sues enu eel SGAL MOD 209940 eue LL enu GST SI 597 SAS WORD SSZ XID NO Sec me sanboe anu Oe YZE END OF OOOT dD RAN e SP moy OSs Je upd ue Dav LED SIL SP SISASEO e debo Tak DI GE DdVS sSedpuud son SP DL KLL ECKkEaen SP P ene q3ules seg DIA Je UBM ue Dav uepmg SI SOP P aisedseyd e ap de69 epeue Sed LO Eis IN xIMNSUey ULV me sanboe enbnneu qn ucia o 9 9 IO 9057 JobesAeg NEI eD SIENOEMNO I SP SUI1OD sep TIO JO adnao a1 EPEUED OPEN 249 Je upd ue Dav LED ZI SPP sisedseyd e ap SD eubeyia ue e uneyw 3700951 epeue sueeoo P seuped Xu SRLPIN nes OUQUE SUOD uoue ned SECH au eAND Anoe sanboe PLUUNOZ EPID saroono J ei LEO UO 15204 NEA San Andna pue iow CC SIN NON uoAoc LEO Seq 3ISSAINY UUON TOZZ 80 CLCT L98 6LL
79. mitrophes ou des provinces canadiennes telles le Nouveau Brunswick et l Ontario En effet contrairement a celles du Qu bec les autorit s des juridictions voisines estiment important conomiquement et 11 Coastal Zone Management Act http coastalmanagement noaa gov 12 Voir http www conservatoire du littoral fr front process Content asp rub A amp rubec 17 13 Brun Henri Histoire du droit qu b cois de l eau 1663 1969 tude r alis e pour la Commission d tude des probl mes juridiques de l eau Gouvernement du Qu bec novembre 1969 78p 14 socialement d assurer des acces publics gratuits et de qualit aux plans d eau Fin de la parenthese Programmes f d raux am ricains Il n y a pas que le substrat l gislatif qui s av re diff rent Aux tats Unis un certain nombre d institutions d Etat appuient leurs actions sur les fondations politiques l gales morales et m mes culturelles dont il est ici question Au niveau f d ral am ricain mentionnons la National Oceanographic and Atmospheric Administration mieux connue sous son acronyme de NOAA14 Ce minist re f d ral am ricain administre un certain nombre de programmes qui prennent vie au niveau des Etats tels le programme national d am nagement des zones c ti res National Coastal Management Program b le Programme de bourses maritimes coll giales Sea Grant Colleges 16 et bien d autres Par exemple le Programme national d
80. n la planification et l entraide l chelle locale r gionale qu b coise et canadienne Il est l amorce d une s rie d actions visant faire de notre r seau nautique un vecteur de progres conomique et social Je suis heureux et fier d y avoir contribu ma facon Je souhaite que cette belle synergie per ue lors du congr s nous am ne au constat d importants progr s l occasion du prochain congr s provincial sur le tourisme nautique yer Jean Pierre Lavoie Pr sident du congr s Commentaires du pr sident d honneur du congr s M Pierre MARCOTTE Restaurant H l ne De Champlain lle Sainte Helene Montr al Qu 514 395 2424 Y pmarcotte sympatico ca Les synth ses et les remarques exceptionnelles de notre pr sident d honneur furent sans contredit un des l ments les plus dynamisants du congr s Ce que j ai retenu 1 Le texte ne nous tait pas encore parvenu au moment de mettre sous presse Les communications du congr s Communication D mocratie et rivages d Am rique M L once NAUD g ographe pr sident de la Soci t des Gens de Baignade 872 avenue Turnbull 2 Qu bec Canada GIR 2X3 418 640 0406 ou 643 9282 jour 5 NAUG videotron ca www gensdebaignade org Cette communication de M Naud a donne le ton et la couleur du congr s Democratie et rivages d Amerique Parmi les objets nouveaux qui pendant mon s jour aux Etats Unis ont attir mon atte
81. n contexte g n rale Construction ou agrandissement d un port de plaisance Exploitation du port de plaisance Principales lois applicables Lois f d rales Loi canadienne sur l valuation environnementale Loi sur les p ches Loi canadienne sur la protection de l environnement Loi sur la protection des eaux navigables Loi sur la marine marchande 35 Lois provinciales Loi sur la qualit de l environnement Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune Loi sur le r gime des eaux Loi sur les produits et quipements p troliers Loi sur la qualit de l environnement Construction exploitation activit dans un cours d eau un lac un milieu humide Exclusion des interventions fins priv es faisant l objet d un permis municipal Application de la Politique de protection des rives du littoral et des plaines inondables Autorisation en vertu de la LCMVF du MRNFP Secteur Faune Traitement simultan de la demande en r gion Loi sur la qualit de l environnement Proc dure d valuation et d examen des impacts sur l environnement Projet ou programme de dragage creusage ou remblayage de plus de 5000 m ou 300 m lin aire Construction ou agrandissement d un port ou d un quai destin accueillir plus de 99 bateaux de plaisance ou de p che Proc dure en 6 phases se distinguant surtout par e lar alisation d une tude d impact e une consultation publique sur le projet BAPE e une autorisation par d c
82. n information touristique qu en accueil des client les Partenariat avec les lieux d information existants et le milieu Rendre la documentation touristique disponible 44 Developper des outils d information etc La mise en march Une tape complexe visant des r sultats concrets mais avant 1 Conna tre Approfondir nos connaissances des clients actuels et potentiels Informations quantitatives internes et externes Etudes de march s Statistiques internes Frequentation Statistiques de marches externes Part de marches et son evolution etc 2 Comprendre Informations qualitatives internes et externes Le consommateur raisonne en terme de probl mes qu il doit r soudre et de besoins a satisfaire Les outils experience des intervenants communication avec la clientele compr hension gale ouverture 3 Analyse de l offre Faire la corr lation entre les besoins et notre offre Quels sont les besoins des touristes nautiques et sommes nous en mesure de les satisfaire Sommes nous en mesure de r pondre aux besoins de la client le souhait e Oui quelles seraient leurs satisfactions Non quelles seraient leurs insatisfactions Qu est ce qui serait souhaitable de faire pour que notre offre corresponde mieux aux besoins de la clientele Le client juge sur pi ce quel sera son verdict 4 Ajuster et d velopper Plan strat gique de d veloppement et de marketing du tourisme nautique R gion Est du Qu b
83. n plus connu et appr ci 104 Communication France Stations Nautiques une exp rience fran aise de d veloppement du nautisme M Eric Mabo directeur France Sations Nautiques 17 rue Henri Bocquillon 75015 Paris France 01 44 05 96 55 01 44 05 71 20 Y eric mabo france nautisme com www france nautisme com Un peu d histoire En 1986 Station Voile F d ration francaise de voile Cinq Stations Mono disciplinaire Voile legere un seul acteur nautique Ecole de voile Logique de l offre Regroupement d op rateurs Ensuite en 1990 Association Collectivit s locales 20 stations mono disciplinaire Voile l g re et habitable op rateurs voile Ecoles et clubs acteurs touristiques associ s premi res questions sur la demande 105 Puis en 1997 Voile et Nautisme Trente stations pluridisciplinaire activit s nautiques plusieurs acteurs nautiques associatifs acteurs touristiques impliqu s segmentation de l offre r seau d op rateurs Enfin En 2002 Stations Nautiques Trente cing stations pluridisciplinarit produits nautiques tous les acteurs concern s Collectivit s locales nautiques O A N Ports I N les acteurs touristiques Adaptation de l offre a la demande r seau de villes Les volutions majeures De la Voile au Nautisme De la pr sence d un seul acteur au r seau local De l adh sion a
84. nication R le et mission de l AMQ Jacques Tessier vice pr sident au d veloppement Association Maritime du Qu bec 5900 Boul Cousineau Bureau 310 Saint Hubert Qu J3Y 7R9 7v 450 466 1777 ou 1 877 560 1777 amp 450 466 6056 8 tessier marinagosselin com L AMQ AU SERVICE DE SES MEMBRES PLAISANCIERS ET CORPORATIFS ET DE L ENSEMBLE DE L INDUSTRIE DU NAUTISME Ses principaux axes d action Le Salon du bateau les services directs aux membres les services structurants pour le nautisme la participation active au d veloppement du nautisme la promotion de la plaisance repr sentation et lobby 95 Le Salon du Bateau Le principal salon du bateau au Quebec Un moteur unique de d veloppement de l industrie nautique Un forum indispensable d information du public et de promotion de l industrie Une source importante de revenus qui sont r inject s en services aux membres et en promotion du nautisme Les services directs aux membres Une toute nouvelle alliance strat gique avec le plus important courtier d assurances pour associations de loisirs motoris s au Qu bec les Groupes Univesta et Groupe PCS Programme Global Assistance par Univesta Programmes d escomptes pour les membres conomies sur les t l phones interurbains et Internet Haute vitesse avec le r seau TELSynergy Escomptes h teliers avec La Chaine h teliere Best Western International et a Chaine h tel
85. ntion aucun n a plus vivement frapp mes regards que l galit des conditions Je d couvris sans peine l influence prodigieuse qu exerce ce premier fait sur la marche de la soci t il donne l esprit public une certaine direction un certain tour aux lois aux gouvernants des maximes nouvelles et des habitudes particuli res aux gouvern s Bient t je reconnus que ce m me fait tend son influence fort au del des moeurs politiques et des lois et qu il n obtient pas moins d empire sur la soci t civile que sur le gouvernement il cr e des opinions fait naitre des sentiments sugg re des usages Alexis de Tocqueville De la d mocratie en Am rique 1835 Je tiens d abord a remercier l organisation du congres de me donner l occasion de vous causer au d but de ce tout premier congr s qu b cois consacr au d veloppement du tourisme nautique de quelques approches et pratiques am ricaines en mati re de mise en valeur des rivages c tes et littoraux de ce pays Notre r flexion collective peut certainement tre enrichie au spectacle d exp riences trang res elles m mes d coulant d une histoire de moeurs de mani res d tre et de proc der souvent fort diff rentes des n tres Cependant au del de la simple description de r alisations et de la mention de quelques chiffres j esp re avant toute chose vous convaincre de l int r t que nous avons approfondir nos contacts l tranger et en d
86. nts Rivi re Madeleine Riviere au Renard Gasp Anse a Beaufils Chandler Bonaventure New Richmond Carleton Havre aux Maisons Cap aux Meules et Havre Aubert 09 La mission de l association est de repr senter les int r ts de ses membres dans differents domaines dont notamment le tourisme nautique Mon propos portera donc sur la concertation des gestionnaires de havres de plaisance de la Gasp sie et des lles de la Madeleine C est a travers le r cit de notre courte histoire que je traiterai de cette concertation Dans nos soci t s dites civilis es fort complexes la concertation est un des l ments essentiels a toute r ussite conomique ou sociale Tout nouveau projet ou mesure adopt e par une organisation doit pour r ussir tre partag e par un minimum d intervenants En d autres termes on doit id alement tous travailler dans la m me direction tirer du m me bord La concertation est aussi devenue l alli e des diff rents niveaux de gouvernement On dit que gouverner c est l art de d cider mais lorsqu un gouvernement n a pas d arbitrage a faire pour un projet donn c est beaucoup plus facile il n a plus qu a trouver l argent Que nous disent nos savants dictionnaires sur le mot concerter Le Petit Robert Concerter projeter de concert avec une ou plusieurs personnes Le Larousse Se concerter se mettre d accord pour agir ensemble J aime bien cette derni re elle est en deux parties on se
87. nue de la Transat vous a t elle incit demeurer plus longtemps que pr vu dans la r gion de Qu bec 2796 estiment que OUI O voit donc que plus on vient de loin moins on est venu Qu bec pour la Transat En fonction du nombre de chaque cat gorie on peut en tirer des strat gies de communication LA DUR E DU S JOUR Nos visiteurs sur le site nous ont dit qu en moyenne ils demeurent 4 7 jours dans notre r gion dont 2 jours de plus consacr s la Transat LES D PENSES PROPRES DES PARTICIPANTS Ce sont les d penses d h bergement et de nourriture qui dominent La moyenne est de 794 soit 170 en moyenne par jour LES PROJECTIONS D ASSISTANCE Sur la base du taux de participation retrouv e en sondage on peut estimer par triangulation la participation globale de la population r gionale la Transat 101 840 personnes Pour les visiteurs de l ext rieur elle atteint 50 697 personnes LES PROJECTIONS DE D PENSES La Transat a g n r des retomb es directes de 14 9 millions de de la part des participants visiteurs venus pour la Transat et de 324 165 dollars de la part des quipages pour un total de 15 3 millions de Rappelons pour m moire que cela concerne uniquement les visiteurs domicili s hors de notre r gion et qui affirment que leur d cision de venir est li e la Transat Cela exclut aussi les d penses des jeunes de moins de 18 ans non inclus dans un groupe sond Il reste adjoindre
88. onieusement Parce que l argent n est pas a leur effigie N est pas de leur all geance Ne cherchez pas d autre explication 0 Pour terminer par une note plus l g re rappelons un cri du coeur digne de passer la petite histoire du fleuve Son auteur Gilbert Normand tait alors d put Lib ral f d ral et Secr taire d Etat aux P ches et Oc ans justement le ministere f d ral a l origine de l limination de nombreux ports et quais le long du Saint Laurent Je cite Entre Gasp et L vis on ne peut plus accrocher une chaloupe nulle part 1 Cri du coeur ou bref instant de lucidit L affaire se discute Qu bec le 22 septembre 2004 30 Perreault Pierre propos des voitures d eau Postface pp 296 297 Dans Marins du Saint Laurent par G rald Harvey Montr al Editions du Jour 1974 314p 31 Ricard Ch telain Baptiste Une vingtaine de ports importants menac s de fermeture Le Soleil 17 ao t 1998 19 Communication Les plans strat giques de d veloppement et de marketing du tourisme nautique du Saint Laurent Est du Qu bec 32 M Normand Dulude pr sident du Groupe DBSF 7333 rue Saint Denis Montreal Que H2R 2E5 514 278 3273 514 278 7224 ndulude dbsf qc ca Fait le bilan de la situation actuelle du tourisme nautique dans l est du Qu bec Analyse les march s et les client les Identifie les forces et faiblesses les opportunit s et les c
89. onseillere en recherche et planification marketing Parcs Canada Service du marketing et des affaires du programme Centre de services du Quebec 3 Passage du Chien d Or C P 6060 Haute Ville Qu bec Qu GIR 4V7 418 648 2297 418 649 6971 Y solange dion pc gc ca La planification marketing et les donn es sur les march s des pistes de solutions Faire un choix de contenu plus d taill La RIGUEUR et la QUALIT dans ce domaine Un exemple de systeme d information client les La standardisation de l information de gestion 85 Mes exp riences dans le domaine Parcs Canada une longue tradition de recherche De nombreuses tudes aupr s des visiteurs in situ Les premi res donn es sur les plaisanciers 1976 Des tendances tablies sur plus de 10 ans Planification marketing donn es Quelques principes de base Dans le domaine du tourisme en particulier Observations bas es sur notre exp rience Diagnostic Orientations Objectifs Actions Mesures R sultats Analyse Evaluation Diagnostic Avoir des outils pour travailler Appareils de saisie de donn es Informations pr tes a analyser Pr sentation d exemples L application DAP utilis e Les canaux historiques au Qu bec Tendances sur 10 ans R partition de la fr quentation des canaux historiques 1991 2001 Une application concr te pour un port de plaisance un havre ou une marina Excellente base
90. ontraintes D gage une vision strat gique de d veloppement du tourisme nautique nonce des orientations strat giques autour des objectifs poursuivre en termes de e Strategie de d veloppement du produit e Strat gie d organisation des intervenants e Strat gie de marketing R seau de navigation de plaisance e Diagnostic selon les r gions e Portrait de la demande e Tendances des march s Projet du Sentier maritime du Saint Laurent e Principales caract ristiques 32 Les r sultats de cette tude sont disponibles aupr s de l AHPGIM 10 rue de la Marina Gasp Qc G4X 3B1 Co t 40 TIC Le r sum peut tre consult sur www ahpgim org 21 Principaux constats du diagnostic strat gique Le tourisme nautique de navigation de plaisance est peu structur et peu regroup tant l chelle regionale que qu b coise L accessibilit au r seau nautique dans la partie est du Quebec est s rieusement affect e par diff rentes contraintes physiques ensablement envasement dragage La qualit des marinas est fortement variable sur le r seau et leur taille limite l accueil de plaisanciers visiteurs Le r seau a besoin d un renouvellement dans une optique de d veloppement int gr de zones vocation nautique de destination La fragilit financi re des marinas et des havres questionne plusieurs aspects gestion des quipements polyvalence des services tarification adapt e sollicitation de nouvelles client
91. ourisme nautique mettre en place un m canisme commun de monitoring des client les Projet du Sentier maritime du Saint Laurent poursuivre les initiatives en cours sur le plan national et r gional 2 projets de tron ons Encadrer la r alisation des projets pilotes et standardiser les outils d information aux client les Informer les r gions sur les d marches de planification des tron ons Mettre en place des strat gies d alliances entre les ports et marinas de l Est et les destinations majeures de l Ouest Favoriser le jumelage des marinas et des ports mieux informer les clienteles 24 Articuler un positionnement d ensemble en fonction de 3 grandes zones de navigation sur le fleuve Faire valoir les particularites des zones nautiques de destination attraits types de navigation produits et services etc 25 Communication N cessit de regroupement r gional pour un d veloppement acc l r du tourisme nautique M St phane CAUX Chef de produit Tourisme Qu bec Direction de l intervention sectorielle et des produits touristiques 900 boul Ren L vesque Est Qu bec Qu G1R 2B5 A 418 643 6406 418 643 0549 stephane caux Amderr gouv qc ca www bonjourquebec com Tourisme Qu bec s est impliqu depuis quelques ann es dans le financement de plusieurs tudes a caractere nautique particulierement les plans strat giques de d veloppement et de market
92. question seulement 23 participants ont r pondu voici les r sultats 11 r pondants sur 23 sont tres satisfaits 47 8 7 r pondants sur 23 sont beaucoup satisfaits 30 4 Dans une proportion de 78 2 les r pondants sont agr ablement satisfaits 137 L ambiance generale du congr s Concernant cette question 28 participants ont r pondu voici les r sultats 9 r pondants sur 28 sont tr s satisfaits 32 1 12 r pondants sur 28 sont beaucoup satisfaits 42 9 Dans une proportion de 75 0 les participants sont agr ablement satisfaits 138 Niveau d appreciation des conferenciers 139 Niveau d appreciation des conferenciers Monsieur Leonce Naud Tourisme et rivage des modeles americains Au sujet du conferencier 25 participants ont donne leur opinion 8 r pondants sur 25 sont tr s satisfaits 32 0 9 r pondants sur 25 sont beaucoup satisfaits 36 0 Dans une proportion de 68 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits Monsieur Normand Dulude DBSF Plan strat gique de d veloppement Au sujet du conf rencier 26 participants ont donn leur opinion 14 r pondants sur 26 sont beaucoup satisfaits 54 0 5 r pondants sur 26 sont satisfaits 19 2 Dans une proportion de 73 2 les repondants sont assez satisfaits Monsieur Stephane Caux Tourisme Quebec Au sujet du conferencier 25 participants ont donne leur opinion 11 repondants sur 25 sont beaucoup satisfaits 44 0 7 repondants sur 25 sont sati
93. r http www chgofinancecomm chi il us announcements 010101 ward html 21 Pour le r seau de plages de Toronto http www wineva oak com Le Toronto Waterfront Regeneration Trust http www waterfronttrail org La Ville et son waterfront http www city toronto on ca waterfront 22 Au sujet du ph nom ne typiquement am ricain des waterfronts voir Laurent Vermeersch La reconversion des zones portuaires dans les centres villes nord am ricains de 1950 nos jours Th se de doctorat de G ographie et d Am nagement Universit de Paris IV Sorbonne 1997 255p Pour des approches europ ennes du m me phenomene on peut s adresser l Association internationale Villes et Ports si ge social au Havre en France http www aivp org ou encore l institut Citta d Acqua si ge social Venise http brezza iuav it citiesonwater inglese home2 html 16 Il est inconcevable que les sept millions de personnes vivant sur les rives de ce cours d eau traversant le Quebec d ouest en est sur des centaines de kilometres de long aient si peu d endroits pour y acceder Bien des nations jugent le Saint Laurent comme l un des plus beaux cours d eau de la terre Ces peuples nous envient de poss der pareil fleuve mais sont tonn s de constater que nous lui tournons carr ment le dos au lieu de le mettre en vedette et d en profiter S il tait situ dans un tout autre pays ce cours d eau si important
94. r Milieu habitats et fonctions poissons et processus vitaux p ches Impacts sur l habitat Mesures d att nuation Pertes r siduelles d habitat Mesures de compensation et de suivi D autres informations peuvent tre requises en vertu de la LC E Les oiseaux terres humides la sant humaine les autochtones En toutes circonstances le promoteur doit respecter Les conditions d autorisation les mesures d att nuation et de compensation les modalit s de r alisation du projet Conclusion CONSID REZ LA PROTECTION DE L HABITAT DU POISSON DES LA PLANIFICATION DU PROJET Les avantages sont nombreux meilleure coordination de la r ponse des minist res au promoteur meilleure planification afin d viter les pertes d habitat r duction des contraintes li es au respect de la Loi sur les p ches acc l ration de l analyse des projets meilleure protection de l environnement 33 Communication Reglementation dragage tude d impact et probl matique M Pierre Michon biologiste minist re de l Environnement du Qu bec Direction des valuations environnementales Service des projets en milieu hydrique difice Marie Guyart 6i me tage 675 boul Ren L vesque Est Qu bec Qu GIR 5V7 3 418 521 3933 poste 4652 418 644 8222 8 pierre michon amenv gouv qc ca WWW menv gouv qc ca Ports de plaisance R glementation environnementale Mise e
95. r Boating Access la Great Lakes Commission18 qui r unit les huit Etats am ricains du pourtour des Grands lacs avec laquelle le Qu bec entretient des relations privil gi es la Great Lakes Fishery 14 NOAA http www noaa org 15 Coastal Zone Management http www ocrm nos noaa gov czm 16 National Sea Grant Colleges Program http www nsgo seagrant org 17 SOBA http www sobaus org 18 Great Lakes Commission http www glc org 15 Commission organisme canado am ricain mis sur pied en 1955 qui a relev patiemment la p che r cr ative dans les Grands lacs De quelques centaines de milliers de dollars au d but des ann es soixante apres l invasion des lacs par la lamproie suite a l ouverture de la Voie maritime les retomb es conomiques des p ches r cr atives et commerciales des Grands lacs s elevent aujourd hui a plusieurs milliards de dollars par ann e Un bel exemple de persistance a suivre pour nous Quebecois riverains du fleuve Saint Laurent Attitudes municipales Au niveau municipal le comportement am ricain typique me semble s loigner notablement de ce a quoi nous sommes habitu s chez nous En g n ral la conscience qu ont les lus municipaux am ricains de l importance de pr server des littoraux ou des rivages urbanis s pour l usage public de leur population me semble plus agissante que chez la plupart des diles de chez nous du moins le long du fleuve et dans le cas de no
96. r temps il faut impliquer les principaux ports r gionaux Les r sultats et les avantages a retirer Quantifier la fr quentation des client les sur l ensemble du r seau ann e apr s ann e Dresser le portrait des habitudes nautiques au Qu bec r gion par r gion laboration de donn es comparatives par saison et par r gion Fixer des objectifs de marketing accroissement de clientele et de d veloppement r aliste l intention des gestionnaires de port de plaisance Pour les gestionnaires de port de plaisance se positionner plus clairement dans le r seau connaitre la place que l on occupe Evaluer le chiffre d affaires et les retomb es g n r es par le tourisme nautique ce qui est une facon de faire exister l industrie G n rer des donn es statistiques fiables susceptibles d alimenter des plans d affaires et de faciliter des projets de d veloppement nstaurer des habitudes de collaboration sur l ensemble du r seau et rassembler les ports de plaisance autour d un projet commun La r alisation Recueillir l adh sion des principaux ports de plaisance de la province Disposer d une m thode de cueillette standardis e sur un support informatique commun Initiative peu co teuse et relativement facile mettre en place qui pavera la voie a un d veloppement futur 04 Communication La planification marketing en lien avec les donn es de march pistes de solutions Mme Solange Dion c
97. r tout le territoire am ricain des r seaux denses de rampes publiques de mise l eau pour petites 3 Department of the Army Engineer Research and Development Center Corps of Engineers Waterways Experiment Station Vicksburg Mississippi Economic effects of Recreation at U S Army Corps of Engineers Water Resources Projects by State 15 August 1996 86p Voir aussi Stynes Daniel J Propst Dennis B Michigan State University Carlson Bruce D St Paul District USCE Jackson R Scott WES A Summary of the National and State Economic Effects of the 1994 U S Army Corps of Engineers Recreation Program Technical Report R 96 1 100p Prepared for Headquarters U S Army Corps of Engineers Vicksburg In Canada you are reminded of the government every day It parades itself before you It is not content to be the servant but will be the master Thoreau Henry David A Yankee in Canada 1850 Harvest House Montreal 1961 p 106 11 embarcations bien entretenues avec de bons stationnements toute l information leur sujet se trouvant aujourd hui accessible sur internet Observ des panneaux indicateurs le long de routes rurales signalant River Access Posons nous la question des deux c t s du fleuve de Gasp Cornwall combien trouve t on de signalisations portant inscription Acces au fleuve Pourtant une telle information accessible au voyageur soulignerait qu il existe bel et bien un fle
98. re les montagnes de Charlevoix S raphin Poudrier notre Harpagon qu b cois s approprie avec passion la terre des Laurentides Au Qu bec la conqu te de 1760 demeure la ligne de fracture la plus obs dante dans le plan d am nagement de la cit id ale du versant de l empire de l eau on passe celui de empire du sol La hache et la faucille chassent la rame et le fusil la charrue se substitue au canot d corce le Coureur de bois se s dentarise en devenant colon les soir es canadiennes clipsent les bals de l Intendant et l espace devient courtepointe Il en est des d faites militaires comme des s quelles des feux de for ts une nouvelle couverture v g tale s installe qui n a souvent rien voir avec la couverture climacique ant rieure 9 27 Ports de plaisance http www marinamanagement com articles rs 12 01 html 28 Doctrine du Public Trust http www wsn org issues PlOpubtrustdoc html 9 Bureau Luc Entre l den et l utopie Les fondements imaginaires de l espace qu b cois pp 155 156 Montr al Qu bec Am rique 1984 233p 18 La postface remarquable aujourd hui bien oubli e signee par le cin aste Pierre Perrault dans le livre Marins du Saint Laurent du capitaine au cabotage G rard Harvey ne dit pas autre chose lls n avaient pas la maitrise du navire Un point c est tout Ils n avaient pas le pouvoir qui ne les tol re que par complaisance et parcim
99. re pay e quipements salaire assurance permis produit Budget d immobilisation 10 12 du budget annuel Profitabilit vis e 696 Seuil de rentabilit 2 occupation 65 Profitabilit espace a quai 1 800 a 2 100 tous revenus confondus Sch ma de distribution des places quai suggestif march nord am ricain 3896 pour bateaux de 20 30 pieds 3496 pour bateaux de 31 40 pieds 19 pour bateaux de 41 50pieds 9 pour bateaux de 51 pieds et plus Construction a Normes conceptuelles internationales Capacit de flottabilit 30 lbs s curit assurances Capacit de charge des structures Impact r sistance charge au vent courant Tableau de Tobiasson Plan d ancrage et d ing nierie Garantie des produits retenus Dur e de vie Mat riaux environnementaux bois caissons mouss s Besoins lectriques 30 amperes 113 b Param tres de circulation amp des conceptions de constructions Distance de man uvre entre les quais Distance de man uvre entre les jet es Largeur et longueur des pontons flottants Hauteur du franc bord Platelage anti d rapant bois Acc s contr le aux pontons Eclairage des quals c Environnement Relev bathym trique pour disposition des quais et ancrage Identification du fond marin Vitesse du courant Vent pr dominant Acc s pr vu pour debarcadere stationnement et services sanitaires d quipements consid rer Nombre de taquets d
100. ret gouvernemental Loi sur le r gime des eaux R glement sur le domaine hydrique de l tat Occupation du domaine hydrique public ou lit des lacs et cours d eau Responsabilit du Centre d expertise hydrique du Qu bec Gestion immobiliere baux permis transfert de juridiction ex Ports de plaisance Loi sur les produits et quipements p troliers Permis d utilisation d un quipement p trolier 36 Reglement sur les produits et equipements petroliers responsabilite du MRNFP Saint Laurent Vision 2000 Phase Ill Comite de concertation Navigation Strategie de Navigation durable Groupe de travail Dragage Document d orientation sur la gestion integree du dragage et des sediments Strategie de navigation durable Equilibre entre les objectifs conomiques et environnementaux Enjeux de la navigation e Dragage e Niveaux d eau e Erosion des berges e Rejets d eaux us es e lest e D versements d hydrocarbures e Plaisance Potentiel de developpement n a pas atteint son maximum Gestion int gr e du dragage Orientations Amelioration des m canismes de planification concernant le dragage et la gestion des sediments Harmonisation des facons de faire et concertation dans les processus d elaboration et d autorisation des projets de dragage Reduction des incertitudes scientifiques dans le d veloppement d outils de gestion Politique de l eau Orientations R former la gouvernance de l eau Implanter la ge
101. rganisation de la course tait en soi un bon exercice de concertation puisque celle ci impliquait la participation de 5 des 7 havres membres Bien s r des tiraillements des insatisfactions des frustrations mais dans l ensemble une r ussite En effet 28 demandes d inscription la course 22 voiliers qui ont pris le d part de cette course en 5 tapes A chacune des tapes un des havres membres recevait les participants a la course 91 2ie projet l etablissement d un portrait du r seau de havres membres dans lequel on retrouve une description d taill e de chacun des havres Concertation facile autour de ce projet car tout le monde y trouvait son compte La r alisation d un plan strat gique par la Chaire de tourisme de l UQAM a amen je dirais un peu plus d action Si la partie diagnostic et tude de march a fait l unanimit de m me qu une bonne partie du plan strat gique lui m me l identification de p les ou de havres dont le d veloppement devait tre prioris a cr de la dissension dans nos rangs En effet nous touchions l un l ment sensible soit la r partition des ressources Une deuxi me course Jacques Cartier en 2003 a remis la solidarit l ordre du jour Encore un grand succ s 22 voiliers ayant particip dans une course en 6 tapes cette fois Ci L laboration d un plan d am lioration des havres du r seau s est galement r alis e de facon concert e La r alisation de ce plan exigera to
102. rie est norme autant en terme de nombre que d amplitude des projets De fa on conservatrice le march mondial quinquennal est pr sentement estim plus de 100 G US SPECTACLE NAUTIQUE Dans le cadre du tourisme nautique l impact conomique provient davantage du d veloppement en rives que des marinas Cependant en plus d offrir un large ventail d opportunit s en rive l un des ingr dients essentiels au succes des destinations est la capacit de cr er un spectacle nautique exceptionnel NOTION DE SAISONNALIT Le tourisme nautique est saisonnier au m me titre que le golf le ski le camping la motoneige etc La saison nautique du Qu bec est identique celle des Grands Lacs Boston Baltimore et Annapolis ONTARIO 3 x PLUS DE BATEAUX 5 x PLUS DE MARINAS Au Canada les retomb es conomiques annuelles directement li es au tourisme nautique sont de 8 5 G Le ratio d investissement public versus les retomb es conomiques directes du secteur priv est de 1 sur 8 Ex Ottawa Canal Rideau Saison 52 jours Visites plus de 1 M Revenus 140 M dir ind Emplois 2 100 ann es Les projets marquants attirent l attention Toronto waterfront programme de revitalisation 8 B E A U Palm Island 8e merveille du monde 6 B Shanghai s waterfront 12 B Montr al Soci t du Havre 8 B Conditions de succ s Proximit de grands centres urbains proximit de plans d eau importants acces
103. risme nautique c est certain On y a parl d un projet rassembleur soit une course la 90 course Jacques Cartier Les problemes communs que nous rencontrions taient aussi a l ordre du jour Quelques hurluberlus un peu fly s ont os pretendre que la beaut des c tes gasp siennes et la qualit de notre plan d eau pouvaient attirer des touristes plaisanciers D autres un peu plus r serv s ont tout de m me confirm que les t s pr c dents ils avaient entendu plusieurs plaisanciers visiteurs dire qu ils trouvaient la c te gasp sienne spectaculaire Ca n a l air de rien comme ca mais le Corridor Bleu le rendez vous de Gasp et plus tard la fondation de l association sont des moments historiques je dirais comparables et l je pese mes mots au premier pas de l homme sur la lune Aujourd hui la participation au Corridor Bleu et ce rendez vous de Gasp ca nous semble tout naturel Mais revenons au d but des ann es 90 et nous retrouvons des plaisanciers pr occup s exclusivement par le meilleur acc s possible la pratique de leur loisir en d autres termes que ca co te le moins cher possible Mais pour que ces premiers gestes soient pos s il a tout de m me fallu que les membres de chaque organisation se concertent dans la d cision de prendre ce virage Il y a eu des questionnements et des d chirements c est s r Qu estce que ca va nous donner Ca ne marchera pas On travaille pour rien on voit trop grand on r ve et
104. ristique de La Gasp sie e Desjardins les Breuvages Parcs Parks Gaspe Canada Canada beverages inc Ba 5 National CRE PORALU es PORT QU BEC T _ Ville de Gasp e E Gecke FT ne Office du Tourisme E et des Congr s de Gasp AAA A IAEA LA RCI et Ministere des Transports RE R5 Gasp sie TE Ze Club Nautique Jacques Cartier es Y
105. route navigable sur un fleuve ou le long d un littoral et comme pour les routes pr c dentes elle offre des points d acces des aires de repos ou de refuges et l acces a des services d h bergement allant du camping rustique l auberge Au m me titre qu un parcours canotable n cessite peu d am nagement fait appel au principe du Sans trace le code d thique en nature Ces sentiers sont cartographi s mais non balis s ni signal s pour restreindre l acc s des utilisateurs qui ne sont pas sensibilis s aux pr occupations environnementales et ceux qui ne poss dent pas les aptitudes n cessaires Repose surtout sur l information r pertori e et regroup e dans un Guide de l utilisateur que l on obtient en devenant membre Les objectifs du sentier Rendre plus accessible le patrimoine maritime du Qu bec D velopper de nouveaux attraits touristiques Am liorer les services offerts aux plaisanciers kayakistes et autres Sensibiliser les utilisateurs la protection des milieux fragiles habitats littoraux Rendre la pratique plus s curitaire Plusieurs sentiers maritimes existent en Am rique du Nord et sont regroup s sous la North American Water Trail Association Les plus connus sont Le Maine Island Trail Ass MITA La Hudson River Waterway Ass Cascadia Marine Trail Washington Sentier maritime des Milles lles Ontario Le Contexte Politique La politique nationale de l eau Orientation 5 Favoris
106. rte du Canada Client le Les meilleurs coureurs oc aniques professionnels Plusieurs nationalit s 5 Diverses classes de bateaux multicoques et monocoques avec un quipage de 3 personnes et plus Embarcations pr sence des Formules 1 de la mer ce qui en fait un v nement du m me calibre que le Grand Prix de F1 de Montr al par ces bateaux au faite des derni res technologies En plus pr sence d quipes de terre et d quipiers de renomm e mondiale Type Open permettant la participation d autres classes Open 50 Parcours Fleuve 370 miles nautiques aux pi ges redoutables pour les navigateurs et qui en fait un th tre naturel avec des marques de parcours a Matane ici Gasp et Perc Oc an 2 900 miles nautiques Au total 3 200miles R le Ambassadrice du Qu bec avec une tr s grande notori t en France Association Au sein de la FICO Forum International de la Course Oc anique et autres regroupements de renomm e mondiale Couverture m diatique De premiere importance des deux c t s de l Atlantique e Une longue couverture par les cam ras de t l vision rendue possible par le parcour fluvial e La course la plus rapide b n ficiant de vents favorables la Transat Qu bec Saint Malo est l occasion pour les marins de battre des records de vitesse Il s en est fallu de peu cette ann e pour battre le record de 1996 55 Participants Des navigateurs exceptionnels Karin
107. s conomique et social Cons quemment en d coule une responsabilit collective et individuelle de mise en valeur de leur potentiel r cr o touristique D s lors d coule l obligation de concertation de planification et d entraide l chelle locale r gionale qu b coise et canadienne N ous d clarons que les principaux facteurs de d veloppement du tourisme nautique sont L am lioration de l accessibilit du r seau nautique qu b cois au nord est du continent L tablissement de routes maritimes s curitaires et de bases littorales attractives La sensibilisation des citoyens favorisant l mergence d une culture maritime La r alisation de projets littoraux visant l harmonie entre les milieux physiques et humains L implantation de programmes d investissements publics servant de leviers la r alisation d initiatives structurantes Proclam e par les participants lors du Premier congr s sur letourisme nautique au Qu bec le 26 septembre 2004 Proclamation sign e par les participants sous le libell suivant En ce 2 6i me jour de septembre 2004 Je m engage moralement et personnellement promouvoir et d fendre les principes et les nonc s de la D claration de Gasp Bi 11 LR Fo e POMERAL 8 Fi 8 Hum 4 ark ES BATE AU lt C Drm x 1511 fea 414 B AUN I ud Centre Int gr de D veloppement DE Tou
108. s 42 0 7 r pondants sur 26 sont satisfaits 27 0 Dans une proportion de 69 0 les r pondants sont assez satisfaits Madame Solange Dion Parcs Canada Au sujet de la conf renci re 28 participants ont donn leur opinion 12 r pondants sur 28 sont beaucoup satisfaits 43 0 6 r pondants sur 28 sont satisfaits 21 4 Dans une proportion de 64 4 les r pondants sont assez satisfaits Monsieur Jean Marc Hardy AHPGIM Au sujet du conf rencier 28 participants ont donn leur opinion 12 r pondants sur 28 sont beaucoup satisfaits 43 0 8 r pondants sur 28 sont satisfaits 29 0 Dans une proportion de 72 0 les r pondants sont assez satisfaits Monsieur ric Mabo France Stations Nautiques Au sujet du conf rencier 26 participants ont donn leur opinion 16 r pondants sur 26 sont tr s satisfaits 62 0 6 r pondants sur 26 sont beaucoup satisfaits 23 0 Dans une proportion de 85 096 les r pondants sont agr ablement satisfaits Monsieur Sylvain Deschamps Vieux port de Montr al Au sujet du conf rencier 18 participants ont donn leur opinion 7 r pondants sur 18 sont beaucoup satisfaits 39 0 4 r pondants sur 18 sont satisfaits 22 2 Dans une proportion de 61 2 les r pondants sont assez satisfaits Principaux collaborateurs a la r alisation 144 Principaux collaborateurs a la realisation Membre du comite programme aviseur Johanne Guit Michel St Pierre Jean Marc Hardy St phane Ste Croix
109. s grandes villes portuaires telles Montr al Qu bec et Trois Rivieres Cette pr occupation me semble augmenter d est en ouest avec un sommet dans le cas de villes du pourtour des Grands lacs Buffalo Chicago Milwaukee Minneapolis St Paul etc 0 Cette attitude n est pas sans influencer la r gion m tropolitaine de Toronto au Canada Toujours au niveau municipal on ne peut manquer par ailleurs le ph nom ne aussi typiquement am ricain des am nagements de type Waterfronts un engouement surtout typique de la C te est dont ceux de Baltimore et de Boston ont h las servi d inspiration a des apprentis sorciers un peu partout dans le monde Montr al et Qu bec entre autres 22 Ici une courte parenthese qu b coise Au Qu bec le concept m me de littoraux municipaux semble absent des esprits de la plupart des lus de nos grandes villes portuaires On peut parfois entendre maires ou conseillers d agglom rations riveraines du Saint Laurent m me quand ces derniers d ambulent sur un quai et que le fleuve coule litt ralement a leurs pieds r p ter qui veut les entendre Cette eau la c est pas chez nous c est au f d ral On ne peut rien y faire Le journaliste chevronn Andr Bellemare denoncait r cemment les cons quences d un tel tat d esprit de trop de Qu b cois dans le quotidien Le Soleil de Qu bec 19 Great Lakes Fishery Commission http www glfc org 20 Dans le cas de Chicago voi
110. s d att nuation Les impacts sont ils att nuables OUI Autorisation non requise lettre d avis avec mesures d att nuation Acceptable d autoriser la perte d habitat NON Autorisation non d livr e Possible de compenser la perte d habitat NON Autorisation non d livr e OUI Autorisation accord e sous conditions Loi canadienne sur l valuation environnementale LC E En vigueur depuis janvier 1995 Mise en ceuvre par les autorit s f d rales concern es Sous la supervision de l Agence canadienne d valuation environnementale qui rel ve du ministre de l Environnement Vise l examen des effets des d cisions f d rales sur l environnement En vigueur depuis janvier 1995 Mise en oeuvre par les autorit s f d rales concern es Sous la supervision de l Agence canadienne d valuation environnementale qui rel ve du ministre de l Environnement Vise l examen des effets des d cisions f d rales sur l environnement Les d clencheurs de la LC E Promoteur financement cession fonciere certaines autorisations ex par 35 2 de la Loi sur les p ches 32 La consultation des autorites federales concern es Plusieurs niveaux d examen examen pr alable tude approfondie examen par une m diation ou commission Conclusion de l examen du projet Les responsabilit s du promoteur Lors de la planification le promoteur doit fournir l information suivante Projet localisation conception construction calendrie
111. s et portuaires cens ment charg es d assurer le bien commun sur le littoral 8 Facteurs l uvre sur les c tes et rivages aux tats Unis La principale force agissante socle fondamental sur lequel repose tout le reste m apparait tre cette primaut accord e l galit des conditions qu Alexis de Tocqueville a d crite en 1835 Je me demande s il ne faut pas y chercher la grande diff rence entre d une part les attitudes am ricaines et d autre part les attitudes canadiennes ou qu b coises quant au domaine littoral J irais m me jusqu sugg rer que jusqu un certain point les tats Unis partagent avec la France des approches curieusement analogues en ce qui a trait a la gestion et la mise en valeur des littoraux de leurs pays respectifs alors qu au Canada Qu bec y compris les questions littorales seraient abord es avec une attitude g n rale qui nous rapprocherait de la mentalit et des pratiques existant du c t de l Angleterre Est il n cessaire de rappeler ici que le Canada cette partie de l Am rique du nord qui demeure britannique jusqu ce jour n a pas connu de r volution populaire et d mocratique comme les 13 Colonies am ricaines vers 1785 ou encore la France en 1789 Ce qui frappe l esprit quand on a affaire des responsables am ricains en charge des questions littorales et cela quels que soient les Etats de l Union d ou ils proviennent c est un souci constant de service de la majorit
112. s poissons r habilit s le bar ray les eaux d contamin es le SIMEQ la r serve de la biosphere les canaux revitalis s Que faire Bannir la morosit Des r ponses Le retour en force des sports nautiques et aquatiques ou sont donc les agents de presse combien de maires ou d put s ont t invit s donner le signal de d part ou a la remise de prix d une activit nautique Susciter et pauler les projets novateurs en infrastructures le long du Saint Laurent en parler positivement partout identifier et cibler les gens des m dias qui sont multiplicateurs compter de maintenant Animons le milieu et faisons du bruit mettons un communiqu pour chaque v nement Faisons un suivi syst matique de chaque communiqu Invitons des leaders cibl s pour maintenir l int r t Conservons les documents mis par les m dias 52 Communication Un penchant vers les bateaux M Ren Tr panier directeur g n ral F tes du Qu bec Maritime 84 rue Saint Germain Est bureau 204 Rimouski Qu bec GDL 1A6 78 418 722 3383 1 800 657 3383 8 renetrepanier fetesduquebecmaritime com R le et mission des F tes du Qu bec Maritime Rendre hommage au milieu marin Se r approprier le Saint Laurent Allonger la saison touristique Imaginer et developper une programmation e Un concept faire connaitre Le Quebec maritime e r gions touristiques 2000 km de littoral e 16 jours d
113. s sur les meilleurs moyens de d velopper l industrie du tourisme nautique Je salue l initiative d un tel v nement qui vise promouvoir le Qu bec et faire d couvrir tout le charme de notre territoire maritime Le potentiel de d veloppement de cette industrie permet certainement au Qu bec de briller parmi les meilleurs Aux invit s et aux participants qui prendront part aux activit s de ce congr s je vous souhaite un heureux s jour chez nous L accueil chaleureux des Gasp siennes et des Gasp siens saura certainement vous s duire Souhaitons que ce congr s mette le cap sur une nouvelle valorisation touristique du Fleuve Saint Laurent et de ses affluents Nathalie Normandeau Ministre d l gu e au D veloppement r gional et au Tourisme Message du president du congr s TR M Jean Pierre Lavoie charge de projet Association des havres de plaisance de la Gasp sie et des iles de la Madeleine JPL D veloppement nautique 182 rue Mgr Leblanc Gasp Qc G4X 151 2 418 368 2591 418 368 1465 8 jplav globetrotter net Le fleuve Saint Laurent et ses affluents ont servi de voies de communication et de d veloppement de ce pays Ils continuent toujours jouer ce r le important de fa on beaucoup plus diversifi e cependant compte tenu de l volution des besoins sociaux Leurs rivages ont constitu s des corridors privil gi s d implantation humaine A l re du virtuel l
114. s surd Sap UOR EURE p NEANIN UOHn2eJsHes 3 U9 199X3 e lt nad sel G enbnmneu auisuna 9 INS S25UO0 np SP EES egucdsi as NA P Wesiejsnes Sp PLNE paues P papu sunof z e ZT T Lesu sed LRIERU sunof E ans LES gi sunofna sed eu IS3NO sa nod jepunaid Uuone pdde JUEPUSdSD WESIEISHES JSS NUSQUOO P XIOLP 9 Quo BLEU UN Nod Suo auenxnep un ene A inb teu node sed ejes au epo anb ards f Snbeup SUR UNS QUO ep sed Au ned un 5 39 se ue uo 3 a ueNisnpxe enbsaxd seu US sn 1 5 saxuau samau sa SOS aneuuoup JUSPpIS2AUA UN GOOZ seuueu SS nod sue DIP NORE P SSO SUORDNASULP CP un JULSP p uye OVNOLY I SP FAUUOD SNOs 392Ue JUSIOS SD Sig issod anb sap anb armbo6ns f JUAN e Suonoe sa nod sa5uoo np SUNEAESUeEHIO S Pda e S LBIP UORRLLOUIP auss UNP peN L Ne uonsenb E e y SDEWIENEP syuedionied sap s uou sap SSI senbia uai JUene SSU suom sa I UOREJUSuIO nod Sdinbs eo eui e f FEES 9 29 2 AUeS SoSNed auqueu PILES e UNS ans pP xneayedg SE se SNAS SP SUIOSSQ sa INS SSOUGUAJUOD ep PS sed suons nb sap Jesod nod SSSUBTEJUCD SI Sade Sue ep zosse sed pueb
115. sfaits 28 0 Dans une proportion de 72 0 les repondants sont assez satisfaits Atelier 1 Environnement et havres de plaisances Au sujet de cet atelier 20 participants ont r pondu 10 r pondants sur 20 ne s applique pas 50 0 5 r pondants sur 20 sont beaucoup satisfaits 25 0 Pour cet atelier nous pouvons conclure que seulement 25 0 des participants sont beaucoup satisfait de cet atelier Atelier 2 Marketing et march Au sujet de cet atelier 25 participants ont r pondu 14 r pondants sur 25 sont beaucoup satisfaits 56 0 5 r pondants sur 25 ne s applique pas 25 0 Pour cet atelier 56 0 des r pondants sont beaucoup satisfaits 141 Monsieur Rene Trepanier Les F tes du Qu bec maritimes Au sujet du conferencier 27 participants ont donne leur opinion 6 repondants sur 27 sont tr s satisfaits 22 2 16 r pondants sur 27 sont beaucoup satisfaits 59 3 Dans une proportion de 81 5 les r pondants sont agr ablement satisfaits Monsieur Jean Claude Maltais Transat Qu bec St Malo Au sujet du conf rencier 27 participants ont donn leur opinion voici 10 repondants sur 27 beaucoup satisfaits 37 0 7 r pondants sur 27 sont satisfaits 26 0 Dans une proportion de 63 les r pondants sont assez satisfaits Madame Chantal Sayaret Le Havre France Au sujet de la conf renci re 29 participants ont donn leur opinion 9 r pondants sur 29 sont tr s satisfaits 31 0 13 r pondants sur 29 sont
116. ssocier s assurer recevoir participer s unir s entraider Accueil et information Site web officiel relations publiques dition et publications strat gies de marketing et de communication nationales strat gies de marketing et de communication internationales avec Le Qu bec maritime publicit s frais partag s et cr dits marketing d veloppement des ressources humaines et formation le d veloppement avec le Centre int gr de d veloppement touristique de la Gasp sie La Gasp sie et le tourisme nautique Accueil et information mise en march et d veloppement Accueil et information Le tourisme activit de services La notion de conseil une valeur essentielle Le client souhaite un change privil gi Voulons nous accueillir des plaisanciers et ou des touristes plaisanciers Accueil et information Choix de la destination Planification et pr paration du voyage R alisation du voyage Les services et infrastructures sont ils ad quats pour r pondre aux besoins d accueil et d information touristique des client les toutes ces tapes Pouvons nous tablir le contact privil gi souhait par les visiteurs Sommes nous en mesure de fournir une information touristique ad quate ces visiteurs et au moment opportun Recherche de solutions place au d veloppement Lieu d information touristique int gr e au havre de plaisance Formation des pr pos s ou du personnel ou des b n voles tant e
117. stion int gr e du Saint Laurent 31 Prot ger la qualit de l eau et des cosyst mes aquatiques Poursuivre l assainissement de l eau et am liorer la gestion des services d eau Favoriser les activit s r cr otouristiques relatives l eau Conclusion R glementation qu b coise pourrait tre am lior e en vue de simplifier plut t que d assouplir elle pr sente toutefois encore certaines faiblesses Politique de l eau et le Plan d action St Laurent favorisent la concertation des intervenants de la navigation l implantation de la gestion int gr e du Saint Laurent le d veloppement du tourisme nautique 38 Communication Programme Immersion en mer d Environnement Canada Mme Francine Perron coordonnatrice de programmes Environnement Canada Protection du milieu aquatique Direction de la protection de l environnement 105 rue McGill 4i me tage Montr al Qu H2Y 2E7 78514 283 0195 514 496 6982 8 francine perron ec gc ca La Convention de Londres de 1972 et son Protocole de 1996 Prevenir la pollution en mer causee par le rejet des d chets et autres matieres qui peut representer un risque pour la sant humaine les organismes vivants ou la vie marine de nuire aux agrements ou d interferer avec les autres utilisations legitimes de la mer Pourquoi contr ler l immersion en mer Sans contr le l immersion de d chets en mer pourrait Causer des ef
118. t du r seau navigable int gration avec les services r cr otouristiques Rendre le nautisme accessible en convertissant les infrastructures en r gion Pr voir des acc s publics rampes de lancement de mise l eau de halage pour les embarcations de 20 pieds et moins Nommer un porteur de dossier au Gouvernement du Qu bec R alisations dans l archipel de Montr al R ouverture du canal Lachine mai 2002 100 130 bateaux de plaisance Le lac Saint Louis et le p le nautique de Lachine navette fluviale inaugur e entre Lachine et Ch teauguay samedi et dimanche croisi res sur le lac Saint Louis mise sur pied du P le des Rapides par Parcs Canada et des partenaires gouvernementaux Port de plaisance de Longueuil un mod le d int gration piste cyclable parc de nature et de sentiers observation des oiseaux et am nagement d un agr able port de plaisance On a privil gi la polyvalence et l acc s public Les cluses de Sainte Anne de Bellevue bel exemple de spectacle d am nagement en rives am nagement de boutiques terrasses caf s restaurants etc Projets dans l archipel de Montr al Bassin Peel ventuel port de plaisance march Atwater Projet du bassin de l Horloge Montr al Bleu Lac des Deux Montagnes Rivi re des Milles Isles Rivi re des Prairies Lac Saint Louis couloir fluvial jusqu aux iles de Contre Coeur abords du canal de Lachine et du canal de Soulanges autres rivi res de la
119. tes th matiques structures et infrastructures ainsi que strategies de mise en march a mettre en place dans le cadre de la mise en ceuvre du plan Plus sp cifiquement la r alisation de ce mandat vise dans un premier temps proposer un concept int grateur d un produit touristique original diversifi et troitement associ au caract re historique et hautement significatif de Gasp En second lieu laborer une strat gie de commercialisation du concept appuy e sur les outils de planification de l Association touristique r gionale de la Gasp sie de Qu bec maritime et de Tourisme Qu bec et valuer les co ts relatifs sa mise en uvre Finalement proposer une d marche globale d intervention ins r e l int rieur d un plan d action tenant compte du concept propos et de la strat gie de commercialisation labor e Ce plan devra tenir compte des pr occupations de l ensemble des intervenants touristiques de l offre touristique globale de la Ville ainsi que des tendances de l industrie des opportunit s saisir et des march s atteindre Elabor en accord et en troite collaboration avec les intervenants du milieu il devra galement respecter les principes suivants soit le respect de l environnement la protection des perc es visuelles sur les plans d eau et les paysages enfin la recherche de l authenticit de l esth tisme et de l int gration harmonieuse avec le milieu de tout projet d velopper En pl
120. tisfaits 46 6 Dans une proportion de 80 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits Les pauses caf Concernant cette question 30 participants ont r pondu voici les r sultats 8 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 26 6 9 repondants sur 30 sont satisfaits 30 0 Dans une proportion de 56 6 les r pondants sont assez satisfaits Les dates choisies le congr s Concernant cette question 30 participants ont r pondu voici les r sultats 10 repondants sur 30 sont tr s satisfaits 33 3 14 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 46 6 Dans une proportion de 80 0 les r pondants sont agr ablement satisfaits Le contenu du colloque Concernant cette question 30 participants ont r pondu voici les r sultats 15 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 50 0 7 r pondants sur 30 sont satisfaits 23 3 Dans une proportion de 73 3 les r pondants sont assez satisfaits L animateur Concernant cette question 30 participants ont donn leur opinion voici les r sultats 9 r pondants sur 30 sont satisfaits 30 0 8 repondants sur 30 sont peu satisfaits 26 6 Dans une proportion de 56 6 les repondants sont passablement satisfaits 136 Les choix et les interventions du pr sident d honneur Concernant cette question 30 participants ont r pondu voici les r sultats 19 repondants sur 30 sont tr s satisfaits 63 3 9 r pondants sur 30 sont beaucoup satisfaits 30 0 Dans une proportion de 93 3 les r
121. u e au gouvernement du Qu bec La gestion de l habitat du poisson rel ve du gouvernement f d ral D veloppement durable La durabilit des p ches Ceci inclus les p ches commerciale r cr ative et de subsistance La protection des habitats du poisson ne repose pas sur des consid rations environnementales mais bien sur des consid rations sociales et conomiques li es aux activit s de p che Toutefois en prot geant l habitat du poisson dans le but de pr server la capacit de production on se trouve galement prot ger l environnement Le poisson au sens de la Loi sur les p ches Les poissons et leurs parties et les mollusques les crustac s et les animaux marins ainsi que leurs parties les ufs le sperme la laitance le frai les larves le naissain et les petits des animaux mentionn s D finition de l habitat du poisson rivi res lacs ruisseaux marais c tiers plaines inondables cours d eau intermittents 30 Dispositions visant la protection de l habitat du poisson Ne pas rejeter des substances nocives administration d l gu e Environnement canada Ne pas causer la perte d habitat Art 20 Le ministre peut exiger que certains obstacles soient munis d une chelle poissons ou d une passe migratoire Art 22 Le ministre peut exiger que le propri taire d un obstacle assure un d bit d eau suffisant au dessus d un d versoir afin de permettre au poisson de descendre sans danger o
122. u pr sent colloque Canal de Soulanges Le nautisme au MTQ Un fleuve et ses affluents d couvrir et un potentiel a mettre en valeur 69 Communication Le d veloppement en rives M Albert Daoust Jr directeur g n ral Regie intermunicipale du canal Soulanges 199 rue Principale Les Coteaux Qu J7X 1A1 450 267 1999 450 267 1899 8 daoust canalsoulanges com www canalsoulanges com INDUSTRIE DU TOURISME NAUTIQUE Dans son sens large toutes activites r cr otouristiques dont le d veloppement d pend de l utilisation des cours d eau font partie du tourisme caract re nautique Ex Plong e sous marine P che sportive Croisi res excursions Nautisme Plages Canot Kayak D veloppement en rives Promotion Environnement R glementation etc D VELOPPEMENT EN RIVES Les fronts d eau dans un optique d am nagement int gr doivent capitaliser sur le pouvoir d attraction du spectacle nautique en offrant une mixit d opportunit s culturelle commerciale r sidentielle r cr ative etc 71 Un constat majeur demontre le manque de destinations fortes susceptibles d attirer les client les nautiques provenant de l ext rieur du Qu bec l chelle mondiale les projets de d veloppement en rives se multiplient de fa on extraordinaire changeant la fa on dont les gens vivent travaillent et se divertissent La croissance de cette nouvelle indust
123. u sans difficult Le propri taire veille l coulement dans le lit de la rivi re en aval de l obstacle de la quantit d eau qui suffit a la s curit du poisson et la submersion des frayeres L article 35 stipule qu il est interdit d exploiter des ouvrages ou entreprises qui entrainent la d t rioration la destruction ou la perturbation de l habitat du poisson sauf pour les personnes qui d t riorent d truisent ou perturbent l habitat du poisson avec des moyens et dans des circonstances autoris s par le ministre L interdiction vaut pour tous les habitats du poisson qu ils soient de propri t publique ou priv e Politique de gestion de l habitat du poisson Constitue un cadre de r f rence pour l administration du programme de gestion de l habitat du poisson Permet le d veloppement durable tout en prot geant l habitat du poisson S appuie sur le principe d aucune perte nette les pertes d habitats doivent tre compens es Le MPO examine les propositions de projets et d termine si une perte d habitat est susceptible de se produire Qu est ce qu une perte d habitat Tout changement dans l habitat du poisson qui r duit sa capacit soutenir un ou plusieurs processus vitaux du poisson Destruction changement permanent dans HP qui limine compl tement sa capacit soutenir 1 ou processus vitaux D t rioration changement dans l HP qui r duit jamais sa capacit soutenir 1 ou proc
124. ue Le portrait actuel Nombre d embarcations nautiques Au Canada 2 5 a 3 millions d embarcations au Quebec 685 700 embarcations tats du nord est des Etats Unis pres d un million d embarcations ayant plus de 20 pieds 170 ports de plaisance et marinas au Qu bec 52 sont publics et 48 sont priv s Chiffre d affaires pres de 100 M Places a quai 15 000 au Qu bec pres de 65 000 en Ontario Marinas de petites tailles au Qu bec Revenus directs et indirects tr s importants Au Canada 8 7 milliards 84 000 emplois pour une masse salariale de 2 6 milliards 0 7 du produit national brut 7 1 milliards Au Qu bec En 2001 2 1 millards de revenu brut dont 1 1 milliards au nautisme sp cifiquement 20 693 emplois temps plein 3560 emplois dans le secteur manufacturier pour une masse salariale de 633 M Retomb es conomiques plus importantes que celles du camping caravaning de la motoneige et du Quad r unis P n tration du march am ricain 10 en provenance de l Ontario 1 4 en provenance des Etats Unis 35 des plaisanciers am ricains visitent l Ontario La probl matique Perception n gative c a d activit r serv e aux mieux nantis marinas de petites tailles au Qu bec sauf quelques exceptions Taux d occupation affich s de 95 et plus dans les marinas des r gions de Montr al Qu bec et Outaouais Probl me d ensablement dans les r gions Retrait de la particip
125. us d orienter le d veloppement et d assurer la croissance du secteur touristique l Office du Tourisme et des Congres de Gasp souhaite que ce processus int gr encourage les entreprises a offrir de nouveaux produits et services propose des moyens pour allonger la saison touristique facilit l acc s des entreprises aux outils de financement priv s et publics permette d exploiter de nouveaux march s et enfin distingue davantage la Ville de Gasp dans l offre touristique du Qu bec 71 Communication D veloppement du Sentier maritime du Saint Laurent M Pierre Trudel directeur general F d ration qu b coise du canot et du kayak 4545 ave Pierre de Coubertin 1000 succ M Montr al Qu H1V 3R2 514 252 3001 514 252 3091 D ptrudeltacanot kayak qc ca www canot kayak ca Sommaire Le Concept le contexte pour qui avec qui et autour de quoi les outils l etat du d veloppement du Sentier Maritime du Saint Laurent Quelques d finitions Parcours canotable Rivieres petites moyennes Lacs et chaines de lacs parcours mixtes Particularit s On y rencontre des obstacles qui selon le nombre et l importance ont tendance favoriser certaines embarcations Un Sentier nautique C est une route d eau qui permet des embarcations de plaisance de compl ter un itin raire g n ralement quip d cluses 79 Un Sentier maritime C est une
126. utefois au pr alable que l on s entende sur les priorit s travail commenc dans le contexte du plan strat gique Nos membres des lles de la Madeleine l ont fait et la p ninsule devra ventuellement le faire Un fois cette tape termin e il faudra bien s r trouver le financement n cessaire l ex cution des travaux La r alisation de ces divers projets a exig la collaboration plus ou moins concert e d autres intervenants qui n ont m nag ni leur temps ni leur nergie mais peut tre un peu trop a notre go t leurs ressources financi res afin de nous supporter La concertation des ces intervenants est aussi importante que la n tre D veloppement conomique Canada les SADC le minist re des R gions maintenant MDERR Emploi Qu bec les CLD la CRE Conf rence r gionale des lus les municipalit s le support de tous ces organismes sera d autant plus efficace qu il sera concert Nous comprenons toutefois que ce n est pas facile Chacune de ces organisations a sa propre mission ses propres programmes ses normes d admissibilit et ca c est quand il reste de l argent bien s r Une des prochaines tapes de notre plan d action consiste justement mettre en place une structure de concertation avec ces organismes ou encore trouver la facon de se faire entendre et repr senter dans les structures actuelles Autre initiative qui t moigne de l importance que nous accordons la concertation et l importance de
127. uve proximit qu on voit trop rarement partir de la route que cette pr sence fluviale peut constituer un objet de d sir et que ledit d sir peut tre satisfait sans d lai cout des universitaires qui discourent savamment d un domaine l gislatif myst rieux pour un Qu b cois la Doctrine du Public Trust selon laquelle les rivages des plans d eau publics appartiennent en droit l ensemble du peuple et non des individus ou leurs gouvernements D couvert des tudes qui mesurent les retomb es conomiques sociales fiscales et autres d am nagements littoraux destin s au grand public des plages en particulier Les retomb es politiques les lus du coin s en chargent Explore des m tropoles telles Chicago Milwaukee Minneapolis St Paul ou les gens ont acc s gratuitement d immenses terrains ouverts et accessibles sur les rives du lac Michigan Nous avons affaire ici des villes de plusieurs millions d habitants au pays de la libre entreprise Une comparaison A Qu bec modeste capitale provinciale quiconque touche l eau du fleuve qui baigne le quartier historique commet une infraction susceptible de lui valoir 500 dollars d amende ou deux mois de prison courtoisie de l Administration portuaire et de la Loi maritime du Canada Il s agit d un maximum bien entendu Enfin spectacle qui risque de se r p ter compte tenu de la pr sente saison des ouragans la seule ville de Da
128. ux produits D un r seau national d op rateur a un r seau de collectivit s locales Principes actuels Transversalit Qualit D veloppement local Transversalit toutes les activit s nautiques telle que Voile cano kayak plong e aviron char voile ski nautique motonautisme surf kite surf p che Transversalit sous toutes les formes D couverte apprentissage loisirs comp tition v nements formation Qualit Un Label FRANCE STATION NAUTIQUE 6 Une organisation locale coordonn e des am nagements et des quipements adapt s et de qualit une Offre nautique d activit s Contrat de progres recherche de l excellence Une d marche Qualit AFNOR Processus de progres individuel et collectif Ax sur les interrelations Mieux satisfaire les clients Am liorer le fonctionnement du R seau et des Stations Certification Norme D veloppement local Les activit s nautiques un vecteur du d veloppement des localit s Territoire de projet le local Politique nautique Etre acteur Une Station Nautique Organe local d animation et de d veloppement durable des activit s nautiques D velopper animer et promouvoir les activit s nautiques 106 Les Conseils de Stations Associations Commissions municipales service des sports developpement conomique Offices de Tourisme Les coordonnateurs 25 de professionnels a temps plein 75 de prof
129. vis dans un journal processus de consultation publique Paiement des droits 2 500 par permis 470 par 1000 m3 pour deblais de dragage et d excavation seulement Principaux facteurs relatifs la d livrance d un permis Permis accord seulement si L immersion constitue la solution la plus avantageuse sur le plan de l environnement et de la faisabilit Les matieres ne peuvent tre recycl es r utilis es ou trait es Les caract ristiques physiques chimiques et biologiques de la substance sont acceptables Le lieu et la p riode du rejet sont appropri s Il n y a pas d effets inacceptables sur la sant humaine les ressources vivantes les agr ments et les autres utilisations l gitimes de la mer O n est il pas permis d immerger Les aires de reproduction d alimentation de d veloppement et de migration de poissons de mammif res marins et d oiseaux les secteurs de p che sportive ou commerciale les routes marines les zones de mariculture les zones r cr atives Quand n est il pas permis d immerger Les p riodes de reproduction et de d veloppement des poissons et des oiseaux les p riodes de migration comme celle du homard les p riodes de p che 40 Evaluation de la qualit des mati res dragu es Normes pour la concentration des contaminants La concentration est elle d pass e Non peuvent tre immerg es Oui tests biologiques n cessaires gt Admissibles l immersion selon le r su
130. vous pourriez tous en ajouter D autant plus que tous les havres ne roulent pas sur l or et ont donc comme premiere pr occupation d assurer leur survie Donc fin avril 2001 7 havres se concertent et fondent l association telle que nous la connaissons aujourd hui Encore ici quelques ann es plus tard ca peut sembler banal mais il fallait quand m me tre motiv Conseil d administration cotisation annuelle contributions au financement des projets r unions multiples en plus de celles de chacun des organismes Dans ce cas ci qui dit r union dit plusieurs heures de d placement chaque fois et bien s r des frais II y avait donc la base une volont commune de faire bouger les choses de travailler ensemble Nous avions donc foi dans un projet commun soit celui de d velopper notre r seau de havres Je reconnais galement que nous avons t aussi inspir s par le travail de la d funte association des marinas de l estuaire du St Laurent et un de ses derniers leaders M Lemieux de L vis J identifie donc ici un ingr dient fondamental n cessaire a la r ussite d un exercice de concertation c est LA MOTIVATION D s la fondation donc en 2001 il y a eu concertation autour d un premier plan d action Les premiers projets de ce plan ont t marqu s par une concertation relativement facile D abord la tenue de la 1 re course Jacques Cartier nous a permis de v rifier que l on pouvait travailler ensemble La planification et l o
131. ww escalenautique qc ca D velopper un outil de monitoring national des client les nautiques Le tourisme nautique est une activit conomique mal connue mal document e un ph nom ne jeune Un sujet avec lequel les responsables locaux ne sont pas toujours familiers On a identifi un potentiel du tourisme nautique mais nous ne poss dons tr s peu de donn es de base sur la client le des plaisanciers Qui se d place sur le r seau nautique avec quel bateau combien de jours par ann e vers quelle destination Nous n avons pas l heure actuelle d outil statistique comme il en existe dans la majorit des secteurs d activit touristiques II s agit de l tape num ro en marketing une des premi res pierres poser pour le d veloppement du r seau nautique Si on est incapable de quantifier nos activit s et ce que l on g n re c est comme si on n existait pas 83 Definition du concept Le projet vise a recueillir dans tous les ports de plaisance acceptant de participer au projet des donn es de base sur les plaisanciers visiteurs et r sidents afin de conna tre nos client les Les donn es recueillies pourraient tre les suivantes Longueur et type de bateau d attache lieu de r sidence du propri taire Prochaine destination scale pr c dente Nombre de personnes bord types de groupe avec enfants sans enfants Dur e de l escale Dur e escomptee de la croisi re Dans un premie
132. ytona Beach qui il y a quelques ann es a investi quelque 100 millions de dollars pour r am nager l ensemble de sa promenade littorale boardwalk et sa plage Un peu partout sur les c tes am ricaines des centaines de millions de dollars investis par tous les niveaux de gouvernements en ensablements et en am nagements de plages comme si ces endroits constituaient des moteurs conomiques pour nombre de localit s y compris dans des Etats dont le climat est analogue au n tre Que savent ils donc que nous ne savons pas 5 Par exemple http www dnr state mn us water access index html 6 Bray Paul M An introduction to the Public Trust Doctrine Government Law Center Albany Law School Voir http www responsiblewildlifemanagement org an introduction to public trust doctrine htm Aussi http www braypapers com PTD html Contents 7 Brown Edward K Benefits of Stream Access Development Missouri Department of Conservation Planning Division Springfield Missouri 1992 21p Kellogg Wendy Methany Erica McGoun Mike Economic and Fiscal Aspects of Coastal and Watershed Stewardship Practices Final Report Cleveland State University Levin College of Urban Affairs Cleveland Ohio 2004 22p 12 II suffit d effectuer une recherche dans l internet en utilisant les expressions beach replenishment et beach nourishment pour acc der un univers encore tranger nos administrations f d rales provinciales municipale
133. zz Festival Juste pour rire Feux d artifices Montr al en lumi re Francofolies Regattes de Valleyfield Vieux Port Vieux Montr al Transat Qu bec Saint Malo Casino de Montr al 73 ACTIONS amp SOLUTIONS BUT Maximiser le potentiel conomique r cr otouristique du r seau nautique du Quebec M THODE Il est sine qua non de r gler le probl me d accessibilit du r seau nautique qu b cois de faire en sorte qu une destination majeure soit implant e d implanter les destinations p riph riques dans le r seau que le tout soit entrepris simultan ment VALUATION amp IMPLANTATION Les retomb es conomiques de l industrie du tourisme nautique justifient la formation d un comit bi lat ral permanent mandat afin d valuer et d implanter dans un d lai pr tabli des plans d action qui assureraient que le lac Champlain la Vall e du Saint Laurent et la r gion du Grand Montr al deviennent une destination de renomm e internationale pour les plaisanciers et les touristes NOTA BENE ll faut noter que le contenu de l information est incomplet chacune des plages de la pr sentation ayant t con ue pour tre comment e par le conf rencier Cons quemment pour une meilleure compr hension de ce document veuillez communiquer avec la R gie intermunicipale du canal de Soulanges 74 Communication Une politique municipale ax e sur mer et montagnes M St phane Ste Croix directeur g n ral de

La réalisation de projets littoraux visant l`harmonie entre les milieux

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