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Sciences, techniques, technologies

1. rogations des l ves qui avaient d j explor tant t avec succ s tant t en chouant certaines possibilit s de la bo te de mat riel C tait incroyable de voir tous les enfants attentifs ne voulant pas faire de pause souligne Michelle Grandjean B hm A ses yeux cette intervention externe d un ing nieur passionn en l oc currence est indispensable pour une transmission plus directe de cette connaissance technique Michelle Grandjean B hm a jou de l interdisciplinarit pour g rer cette s quence utilisant des heures d envi ronnement et de bricolage Pour l enseignante primaire il est primordial d veiller les l ves la dimension plus technique des sciences d autant qu ils sont motiv s lorsqu il s agit de d monter un t l phone portable ou de d nuder un fil placer sur une pile Avec ce genre d activit s on arrive veiller la curiosit des l ves ce qui facilite les apprentissages argumente l ensei gnante Et elle ajoute que les l ves test s au terme de la s quence ont tous su expliquer ce qu tait un moteur et mentionner les 4 tapes de la d marche scientifique savoir observation questionnement mission d hypo th ses et v rification Et si tous n taient pas capables de parler du m tier d ing nieur l un des l ves a dit qu une fois devenu grand il serait ing nieur Et quand on sait que le Valais a besoin d ing nieurs Propos recueillis par Nadia
2. En le manipulant les enfants s approprient le baladeur le re constituent afin de permettre breuses interactions au sein des Les enfants aiment manipuler le fonctionnement De nom ces objets complexes dont ils ne per oivent pas toujours l exacte signification petits groupes permettent d affiner avec l aide de l enseignant des notions B lectrique le sens des piles H m canique entra nement lin aire en translation de la bande par un mouvement tournant du mo teur en rotation B code signal tique fl ches de lecture de rembobi nage Cette reconstitution de l objet met en vidence la dif f rence existant entre le niveau de compr hension et le niveau d explication de l enfant La patience et la pers v rance sont mises l preuve pour certains Les premi res hypoth ses mises s av rent souvent fausses mais le d sir de trouver et celui d couter de la musique remotivent constamment la recherche Ces situations de recherche de panne pour que a marche am nent une grande solidarit entre en fants Les dysfonctionnements pouvant tre multiples ils s entraident ils participent la recherche de solu tions pour rem dier au probl me de l autre Cette d couverte de l utilisation et du fonctionnement du baladeur exploite et prolonge la curiosit naturelle des enfants envers le fonctionnement des objets Les mouvements les d placements m caniques sont att
3. Marcel Thon L LESEN ANTS AUX SC us ki ETAUX TECHNO OGIE pertes FOR terrane EEES Cet ouvrage pr sente des exp riences et non de simples manipulations ou recettes Apr s une introduction traitant de l enseignement des sciences et des technologies au pr scolaire et au d but du primaire Marcel Thouin propose seize modules qui abordent dans l ordre la mati re les forces et les mouvements la chaleur et la pression l lectricit et le magn tisme la lumi re et le son les produits chimiques les plan tes et les toiles la surface de la Terre l atmosph re les v g taux R sonances Novembre 2010 les animaux le corps humain l environnement les aliments les v tements et la communication Marcel Thouin Eveiller les enfants aux sciences et aux technologies Des exp riences pour les petits de 3 7 ans Qu bec Editions Multimondes 2010 A noter que l auteur avait d j publi diff rents ouvrages autour de la culture scientifique et technologique pour les enfants et adolescents m Harc lement etbrimades entre l ves ee LL Tenia imades b entre l ves ertrar tii WIE pa tac cache de La ae aires Brie J Des moqueries des surnoms d plaisants des insultes des menaces des man uvres d isolement des rumeurs toutes ces petites actions malveillantes peuvent par leur r p tition rendre la vie quotidienne de certains l ves parfaitement insu
4. l poque une analyse mul tiniveau permettant la mise en in teraction des variables individuel les et de celles de la classe En effet cette analyse parvient estimer les sources de la variance vraie du crit re ici la r ussite en lecture et tente d attribuer divers fac teurs la part qui leur revient d abord au niveau des individus puis celui des groupes Ainsi de nouveaux r sultats apparaissent analys s ensuite la lumi re des connaissances actuelles en didac tique de la lecture Risque t on alors de voir se rallumer une guerre des m thodes de lecture pour ap prendre lire En aucun cas En r alit l analyse statistique montre un grand nombre d interactions et prouve que la bonne m thode n est pas la m me selon le type d l ve ou selon le contexte de la classe Les variables majeures mises En raccourci Campus Num ro 100 Le 100 num ro de Campus la revue de l Universit de Gen ve est l occasion de voyager d un monde l autre de 1990 2010 sous l angle conomique politique scientifique Une balade richement document e www unige ch presse 46 en vidence par l analyse statis tique en raison de leur influence sur les capacit s de lecture des l ves sont discut es d un point de vue didactique que disent les cher cheurs leur propos Quelle actua lit prennent elles dans l cole en Suisse romande aujourd hui Ces variables sont les suivantes le d c
5. cole utilisent quotidiennement cette technique Il y a fort parier que les ann es passant cette utilisation devienne de plus en plus intensive Pour viter que ces enfants ne deviennent des adultes simplement capa bles de techno consommation entrouvrons la porte de ce monde de la technique afin qu il fascine plut t qu il n effraie Revue technique destin e les jeunes Technoscope est la revue technique de la SATW desti n e aux jeunes Ce magazine informe avec comp tence et de fa on divertissante sur la technique et les m tiers techniques Technoscope para t trois fois par an en allemand en fran ais et en italien Il est possible de s y abonner gratuitement Les anciens num ros peuvent tre command s en version imprim e ou t l charg s PDF www satw ch publikationen technoscope l cole pour Les id es fusent chacun veut imposer la sienne Enseigner la technique l cole pour apprendre observer Qualit premi re de l ing nieur la curiosit pousse l observation au questionnement Tiens pourquoi a fait comme a L envie de comprendre est le moteur et il tourne plein r gime chez les jeunes m me ceux qui ont depuis longtemps d pass l ge des pour quoi A nous de titiller cette curiosit en leur fournis sant des occasions de s tonner d observer et de formu ler des hypoth ses Les sciences en g n ral et la techno logie en particulier sont des
6. laborent progressivement par la confrontation de ses conceptions initiales la r alit ou celles d autres l ves L observation la manipulation la verbalisa tion l analyse critique de l action le jeu de r le ou tout simplement le contact avec un objet dans l es pace technologie nouvel espace susciter dans la classe sont au point de d part de multiples activit s propices au d veloppement de la pens e L appareil peut tre d abord envisag dans son sys t me d utilisation habituel Par des discussions spon tan es ou provoqu es l enseignant veille la curiosit fait na tre des questions sur son usage ou son fonction nement Son usage Sur quel bouton j appuie Qu est ce que j obtiens a tourne vite a revient en ar ri re J entends la musique Des relations peuvent tre effectu es entre action et cons quences Leur ex plication est une premi re approche pour clarifier un premier niveau de causalit simple Un travail de symboblisation peut tre entrepris d en tr e On discute des petits dessins qui explicitent ce qui se passe Est ce que les autres vont comprendre pareil s ils font la m me chose On pr cise alors les codes inh rents l utilisation des baladeurs Cette analyse s miotique conduit la prise de conscience de l existence d un langage technique propre l appareil et qui permet les processus op ratoires observ s E
7. un s jour de deux fois trois semaines et cela s est fait pour une part avec l implication des jeunes Il y a eu de g n reux donateurs amis et le DECS via le Bureau des changes linguistiques a aussi contribu pour que ce r ve puisse deve nir r alit La Ville et la Bourgeoisie de Sion se sont gale ment impliqu es Allan Kathleen et Pau line de Sion et Agustina Federico Luciana et Martin de Col n ont t les porte parole pour raconter cet change entre deux raclettes of fertes par la Bourgeoisie de Sion au Carnotzet de la ville le 6 octobre dernier Allan Kathleen et Pauline ont ador cette d couverte linguistique et culturelle et ont appr ci en parti culier l accueil chaleureux des Ar gentins et le mode de vie qualifi de plus cool Ils voquent aussi videmment la mer et la plage Agustina Federico Luciana et Martin ont d abord t merveil l s par le paysage alpin telle ment diff rent des vastes plaines de leur pays C est magnifique ici s exclame Federico Le d cor les gens l cole les d couvertes culturelles savamment orches tr es par Fidel Fern ndez visite du Lac souterrain St L onard du barrage de la Grande Dixence initiation au golf journ e Zer matt tout leur a plu Certes la discipline scolaire leur a d abord sembl un peu trange sachant qu ils ne sont gu re habitu s au R sonances Novembre 2010 silence et autan
8. Cette d couverte du baladeur exploite et prolonge la curiosit naturelle des enfants EEE Son utilisation Qu est ce qu on peut faire avec un tel appareil Quels apports peut on en tirer Les risques quand on l utilise Notamment l intensit du son sur les oreilles Etc Des d marches p dagogiques plus affin es peuvent tre envisag es autour de cet objet Elles prennent ap pui sur les nouvelles id es sur l apprendre connues sous le vocable de mod le allost rique Situation d clenchante Les baladeurs sont pr sen t s en tat de non fonctionnement piles absentes connexions non tablies absence de casque absence de cassette cassette d vid e Cette situation am ne les enfants diag nostiquer la panne et pour cela met tre des hypoth ses en ce qui concerne le non fonctionnement v rifier et modi fier leur diagnostic Leurs conceptions initiales mergent des questions surgissent des vidences et des savoirs implicites sont exprim s et test s Il s agit donc de d passer les approxi mations et les g n ralisations h tives Investigations signifiantes Par con frontation l ve l ve et l ve r alit la fonction de l objet est explicit e on coute de la musique des paroles Les termes techniques souvent su jets des confusions sont ri goureusement d finis le casque les piles les batteries si rechargeables la cassette
9. E Une institution qui intervient grandement dans l apprentissage de la vie sociale Etre avec d au tres de son ge pendant les neuf ann es de l cole obligatoire oblige accepter et respecter ce que pense ce que dit ou ce qu est l autre Cette attitude est d une importance primordiale durant toute une vie car les relations avec autrui sont incontournables l existence durant E Une institution qui se remet continuelle ment en cause par fois avec des r sultats fort int ressants mais parfois aussi avec des r sultats mitig s voire n gatifs Cette envie de vouloir souvent changer peut d stabiliser la solidit de base dont chacun a besoin Une struc ture bien en place et qui donne des r sultats satisfaisants ne doit 20 t Dussez a t enseignant Vincen Sion pas tre mise de c t au profit de nouveaut s al atoires B Bien s r que le contenu des ma ti res enseigner les moyens disposition et le mode de faire doivent voluer La vision de la soci t sur la vie et ses besoins change et l cole doit suivre pour ne pas tre d phas e B Bien s r aussi que de nombreux autres facteurs concourent au sa voir revues DVD CD internet missions t l vis es et autres Mais l enseigne ment de base donn par l cole constitue un so cle sur lequel l enfant peut ensuite construire ce qu il veut devenir Petit clin d il la p dagogie Pour acqu rir durablement une
10. Incroyable mais vrai la piscine cou verte dont on parle depuis 1969 vient de se remplir de 880 000 litres d eau Voici ses dimensions 16 m x 25 m fond mobile 60 cm 200 cm mi longueur soit 12 50 6 lignes d eau 5 vestiaires Ce bassin destin dans un premier temps aux 1294 l ves des classes enfantines primaires de Martigny Ville amp Bourg ainsi qu aux l ves du Cycle de Martigny accueille gale ment le public hors des plages sco laires Samedi 11 septembre 2010 tous l eau Les enseignants des de gr s primaires de Martigny plon gent pour la 1 fois dans le bassin et inaugurent leur mani re le complexe aquatique par un cours d tablissement orient sur des ac tivit s d accoutumance des jeux et des rappels techniques Enseigner l accoutumance l eau demande du courage et de la patience A l enseignant de cr er gducation physique en Eauctodure Ce bassin est destin dans un premier temps aux 1294 l ves des classes enfantines primaires de Martigny Ville amp Bourg ainsi qu aux l ves du Cycle d orientation de Martigny les bonnes bases pour supprimer la peur chez l l ve afin qu il puisse vivre l eau comme un partenaire Pour cette tape un grand nombre d exp riences sous forme de jeux au bord dans et sous l eau doivent se r aliser d une mani re ludique soit avec un camarade ou en grou 48 D 4 h de natation Sion Le Cercle des Nageurs de Sio
11. de l Ecole valaisanne cadre d une r organisation globale du DECS L URD en fait partie et as sume les missions d crites ci apr s Les missions de l URD Les missions principales de cette unit cf figure 2 reposent sur 3 axes B Appuyer le DECS dans des t ches de d veloppement et d valua tion du syst me de formation et notamment mener des recherches permettant ponctuellement de faire l tat de la formation et le diagnostic des besoins recherche sur le syst me de formation B Aider les coles la r alisation de d marches qualit d mar ches qualit dans les coles E D finir et d velopper la strat gie en mati re d appui au DECS pour la formation continue des ensei gnants de l cole obligatoire et du secondaire Il non profession nel organiser sa mise en uvre avec les partenaires concern s pilotage de la formation conti nue des enseignants Dans les faits les t ches de l URD im pliquent des actions de recherche de d veloppement de gestion et de participation des r seaux existants ADMEE OFS SSRE L URD fait galement partie du r seau des cen tres de recherche suisse CRE et sa responsable Mme Tanja Stupf est membre de la Conf rence suisse des directeurs directrices de centres de planification d veloppement et de recherche en ducation CODICRE conf rence qui traite de probl mes dans ces domaines et prend des me sures pour favoriser la coop r
12. e minute apr s minute en compagnie de Claude Frey Entre chaque tour de scrutin les l ves pouvaient interroger le politicien L ancien pr sident du Conseil national n a pas tari de conseils ll faut s int resser tr s t t la politique Mais pas besoin d tre actif trop jeune Ce qui prime avant tout ses yeux ce sont les personnalit s L Express l Impartial 23 09 B France 71 des coll giens disent s ennuyer l cole Selon une enqu te de l Afev men e aupr s de 760 enfants ceux ci ont du mal comprendre ce que l cole attend d eux L ennui fait des ravages l cole L image de l l ve qui attend d sesp r ment que le temps passe r fugi pr s du radiateur a toujours du succ s Une enqu te r alis e au printemps dernier aupr s de 760 enfants inscrits en primaire et au coll ge par l Afev Association de la fondation tudiante pour la ville r v le qu environ un quart des l ves interrog s d clarent s ennuyer souvent voire tout le temps l cole primaire Ils sont aussi 40 s ennuyer quelquefois Ce sentiment d ennui est plus important encore chez les coll giens qui d clarent s ennuyer plus de 71 Les r sultats de cette tude 50 men e aupr s d enfants de quartiers populaires corroborent des enqu tes ant rieures qui concernaient un plus large public en 2001 ou en 2003 notamment L information selon laquelle les enfants s ennuient
13. glement de la caisse permet de demander au maximum 25 de la retraite obligatoire minimum LPP sous forme de capital Si l assur opte pour cette variante il doit communiquer son choix par crit la caisse dans un d lai d une ann e avant le d part la retraite Par ail leurs s il est mari le versement de la prestation en capital n est possi ble que si le conjoint donne son consentement crit Le capital sera ensuite vers en m me temps que le versement de la premi re rente Quelques exemples cf tableau ci contre Que choisir Vous l aurez certainement bien com pris La r ponse cette question d pend de vous La solution la plus prudente est bien celle de la rente Toutefois vos besoins financiers ainsi que ceux de votre conjoint vo tre situation financi re personnelle l esp rance de vie votre tat de sant certains aspects fiscaux votre d sir d amortir plus rapidement des biens immobiliers votre volont de laisser un h ritage tous ces facteurs doivent tre bien analys s pour prendre la bonne d cision A ce jour je ne connais pas encore si le nouveau r glement de la caisse suite au changement de primaut permettra de choisir un retrait com plet sous forme de capital m R sonances Novembre 2010 En raccourci Ensemble des programmes d change Nouveau site de la Fondation ch Depuis 1976 la Fondation ch g re E les changes d l ves nz I I z a N d ES de
14. important programme d ani mations le th me des glaciers se pr tant particuli rement bien toutes sortes de d clinaisons Sujet d actualit l ment central de l histoire culturelle des r gions Infos pratiques Glaciers Chronique d un d clin annonc Du 23 octobre 2010 au 25 sep tembre 2011 tous les jours de 10 18h La M diath que Valais Marti gny accueille volontiers les clas ses L entr e l exposition et les visites comment es ou p dago giques sont gratuites leur intention Des visites guid es l intention des enseignants sont organis es Des dossiers p dago giques sont leur disposition Renseignements et r servation au 027 722 91 92 anne michellod mediatheque ch 28 ers Le Cervin depuis le Gornergrat V fonds Jullien centre d iconog alpines et th me du programme scolaire la probl matique des gla ciers est multiple Une exposition si vaste et si compl te soit elle ne peut pr tendre en faire le tour Des visites comment es des soir es de conf rences et de projections permettront d approfondir l un ou l autre aspect de cet univers Le public scolaire est particuli re ment choy par ce programme puisque en plus des visites p da gogiques adapt es l ge et au programme des l ves la M dia th que Valais Martigny pr sente le spectacle Glestcherli cr par l association Via Hobu Entrez dans la grotte A th matique spectaculai
15. le temps d ensei gnement allou ces mati res ne permet g n ralement pas de faire un vrai travail de lecture criture de texte Les entretiens ont mis en vidence le fait que les enseignants des mati res scientifiques sont conscients du probl me et essaient d aider les l ves dans la mesure du possible Seuls un travail interdisci gt SKBF CSRE FT plinaire et des mesures de forma tion peuvent permettre de r sou dre ces difficult s Les conclusions de ce rapport pr conisent des for mations continues organis es en histoire et en biologie avec la parti En raccourci CREPA 20 ans Recherche de donn es CSRE cipation de ma tres de fran ais Mais il y aurait probablement aussi un travail faire au niveau des plans d tudes en donnant des in dications pr cises concernant l in terdisciplinarit et en instaurant des moments interdisciplinaires Hayoz Emilienne Soussi Anne Re pr sentations et pratiques d clar es de lecture criture dans les dis ciplines autres que le fran ais Gen ve Service de la recher che en ducation SRED jan vier 2010 47 p La liste des autres titres r cem ment int gr s la banque de don n es www skbf csre ch neuste_in formation 0 html amp L 1 Pour plus d infos www skbf csre ch D Le Centre r gional d tudes des populations alpines bas Sembrancher a 20 ans Les actions du Centre se partagent depuis ses d buts entr
16. mation et l emploi des jeunes ensei gnants et d une am lioration conti nue des dispositifs d accompagne ment mis en place en Suisse romande et au Tessin que ce soit au niveau cantonal ou au niveau de l tablisse ment scolaire Des choix ont d j t op r s au sein de l quipe no tamment autour d un renforcement de certaines collaborations interins titutionnelles ou de la cr ation de nouvelles collaborations avec des acteurs scientifiques nationaux ou internationaux qui se sont appro ch s de notre groupe de chercheurs Notons que cette richesse des entre tiens a aussi permis des tudiants des HEP concern es d utiliser ces donn es pour la r alisation de leur m moire sur des sujets de recherche secondaires des sujets non trait s par les chercheurs de l quipe En Valais quatre tudiantes ont d j eu acc s ces donn es Enfin cette recherche a d j fait l objet de nombreuses publications et notre premier rapport Hier tu diants aujourd hui enseignants qui porte sur les r sultats de la r colte de donn es quantitatives et quali tatives de 2007 est disponible en ligne En ce qui concerne les don n es plus sp cifiquement valaisan nes un article sur l aide l insertion est en voie de finalisation et un rap port sur les conditions d insertion de nos anciens tudiants et leur rap port la formation initiale et conti nue sera publi en janvier 2011 Marie Anne Broyon p
17. nouvelle notion l enfant en g n ral sauf le surdou doit pou voir l exercer un certain temps revenir sur elle des moments diff rents et la voir sous diff rents angles Etre trop bouscul Regards sur l cole dans ses acquis fait que la cons truction devient moins solide L cole d aujourd hui serait elle devenue indigente dans ce mode de faire B La p dagogie c est l enseignant dit on et ceci est fort vrai e un enseignant qui a la pr occu pation l avance de d corti quer la mati re qu il veut trans mettre et par l aider l enfant construire son savoir brique par brique la premi re pr parant et soutenant la suivante et cette derni re celles que l on doit poser apr s e un enseignant gai attachant aimable sympa un peu amu seur tout en tant exigeant e un enseignant toujours l coute de l l ve soucieux de son avenir et qui sait en courager e un enseignant capable de cr er une ambiance de classe chaleu reuse o l enfant se pla t Par cette fa on d tre on se fait ai mer et on fait aimer la chose enseign e On apprend mieux quand on aime Regards sur l cole Cette nouvelle rubrique initi e dans l dition de septembre vise offrir des points de vue distan ci s sur l cole valaisanne contem poraine C est en quelque sorte une carte blanche sp ciale VIP que nous ouvrons aux profession nels retrait s de l cole Hormis une cons
18. obligatoire HarmoS Art 3 82 Romain Roduit promoteur des m tiers de l ing neur dans les coles valaisannes wwyw hes ch atelier l auteur m L nseignement des sciences entre L Dubois Diff rents travaux de recherche montrent que les pra tiques des enseignant e s en sciences de la nature sont extr mement h t rog nes non seulement au niveau de l approche mais galement en termes de temps d enseignement certains enseignant e s admet tant ne pas avoir le temps d enseigner les sciences Plusieurs raisons sont voqu es une pression politique et sociale insistant sur d autres disciplines le manque de ma trise avou par certains enseignant e s les moyens d enseignement jug s insuffisants la grande libert d action concernant cette discipline pour n en mentionner que quatre Les causes sont peut tre plus profondes Elles touchent plus certainement l image de la science v hi cul e par notre soci t et par les m dias et touchent donc les repr sentations des enseignant e s son sujet Il faut dire que g les sciences sont plurielles et qu il n existe pas une d marche scientifique E les sciences n ont pas encore r ussi rendre visibles lisibles et compr hensibles leurs m thodes E l enseignement des sciences a t influenc par une s rie de courants p dagogiques et didactiques qui ont jalonn le vingti me si cle et qui donnent une image chaotique de la discipline A ces
19. r sultats relativement m diocres observ s chez les l ves de 15 ans l enqu te PISA 2000 dans de nombreux pays dont la Suisse et Gen ve en particulier Apr s les tests des mesures ont t mises en place pour am liorer les comp tences en lec ture criture des l ves Lec ture et criture supposent des com p tences complexes qui doivent se construire au fil du temps et dans toutes les disciplines des lacunes dans ce domaine peuvent se r per cuter sur la r ussite en fran ais mais pas seulement La pr sente tude vise approfondir les connaissances sur les pratiques de lecture et d cri ture dans les disciplines autres que le fran ais elle est bas e sur des en tretiens avec des enseignants du cy cle d orientation secondaire I et avec des enseignants de 10 ann e degr procurant un compl ment de formation des l ves qui n ont pas obtenu les r sultats exig s pour l admission dans les fili res du pos tobligatoire Ont t s lectionn es trois disciplines qui impliquent des lectures notamment scientifiques et qui n cessitent galement la r daction de textes l histoire la g o graphie et la biologie L tude montre quel point ces ma ti res demandent des comp tences sp cifiques en lecture et criture dont ne tient pas compte l ensei gnement du fran ais dans lequel les textes narratifs sont pr dominants R sonances Novembre 2010 En m me temps
20. ves et des tudiants ainsi que la statistique du personnel de toutes les coles mis part les hautes coles En effet un projet de modernisa tion des enqu tes dans le domaine de la formation a d but en 2004 l initiative commune de la Con f rence suisse des directeurs can tonaux de l instruction publique CDIP de l Office f d ral de la for mation professionnelle et de la technologie OFFT et de l Office f d ral de la statistique OFS Ce lui ci consiste mettre disposition de l ensemble des cantons suisses une application interactive de r colte lectronique des donn es re En raccourci Exp rience de l art Ressources en arts plastiques Ce site regroupe des fiches issues d un classeur accompagnant les latives aux l ves et au personnel des coles L unit de recherche et de d veloppement du syst me de formation URD du Service de la formation tertiaire a t mandat e pour g rer ce projet au niveau va laisan et transmettre les donn es l Office f d ral de la statistique L l ment central de la modernisa tion de la statistique des l ves est l introduction d un identificateur Educapoles Le Chiffre du mois personnel le num ro d assur AVS qui permettra de suivre le parcours de formation des l ves Dans ce contexte le personnel administratif des tablissements scolaires actualisera les donn es provenant de leur propre sys t me d
21. AN AR 7 EU AE jeunes professionnels l int rieur Ma Ai Tio a de la Suisse comme avec l tranger A partir de janvier 2011 la Suisse participe pleinement aux programmes europ ens en mati re d ducation de formation professionnelle et d activit s de jeunesse extrascolaires Sur mandat du Secr tariat d Etat l ducation et la recherche la Fondation ch assume donc aussi la t che de g rer la participation suisse aux programmes de l UE Education et Formation tout au long de la vie EFTLV ou LLP en anglais et Jeunesse en action JA ou YiA en anglais C est pourquoi elle a lanc en date du 1 octobre 2010 une nouvelle plateforme pour l ensemble des offres propos es par son centre de comp tence pour les changes et la mobilit en cr ant le site www ch go ch Po tes 825 po mes La base de donn es de Poetes com est constitu e des 825 po mes Il est donc possible d interroger la base de donn es partir des uvres po tiques de Baudelaire de Rimbaud de Verlaine et des principaux po tes romantiques Gautier Hugo Lamartine Musset et Nerval et symbolistes Laforgue Mallarm Des po mes de Corbi re Cros Nelligan et Nouveau sont galement accessibles ainsi que Les Chants de Maldoror de Lautr amont Des requ tes peuvent tre faites partir de th mes de formes po tiques par exemple le sonnet le pantoum l emploi de distiques de dates ou de lieux de publication etc www p
22. EH ET MULTIM oT a dsss con dicena per nb ur pos fe opii 08 7 x dii mt p a T 1 lisi ET LL LL prani Girer Bar Lp Lee G qui Paire da Pui det E a PS L mi en tsrdieet m et des F r yia sbhfii dsss ns gpl i Drg re i Mestia da FPE Saunas aa rap mer ai ER des l mure xi grig W de i i Aisi Fat Bpr Peia en apti ru keier pra Hia aa si x pap a PER ire Er ma prouv s dans leurs classes et dans leurs branches respectives Et ceci non pas pour les riger en mod le mais bien pour en faire l occasion d une r flexion collective sur le bien fond et l apport r el de telle ou telle pratique Les formateurs ne viendront donc pas faire l apologie de leurs m thodes mais bien les sou mettre discussion Ils n h siteront pas mettre en vidence aussi bien les difficult s rencontr es que les b n fices retir s lors de leur mise en uvre Si au sortir de ces rencon tres nos coll gues s en retournent chez eux avec des id es plein la t te et l envie de les prouver dans leur enseignement alors notre objectif aura t atteint Les cours propos s sont au nombre de dix Ils concernent aussi bien les sciences exp rimentales que les langues l conomie ou le fran ais Vous y trouverez galement une r flexion sur l utilisation de la pr sen tation assist e par ordinateur ainsi que des pistes sur l utilisation de plus en plus fr quente du mind ICT de l i
23. Spectacle visuel et musical tout public d s 7 ans Repr sentations publiques la M diath que Valais Martigny le 12 d cembre 2010 17h le 15 d cembre 2010 18h Renseignements et r servations 079 292 27 50 Le spectacle sera galement en tourn e dans les centres scolaires en d cembre mars et juin Ren seignements 079 711 24 84 prendre Si bien qu au fil de sa route il visite plusieurs vall es lat rales o il rencontre des tres fan tastiques issus des l gendes de chaque lieu les follatons du Cha blais la fille du roi Roborah Ferp cle les nains de Embd la Ouibra de la Plaine Morte le Dragon de Na ters les jeunes filles prisonni res du Glacier d Aletsch Le spectacle Glestcherli petit gla cier perdu a t crit et ses chan sons compos es par Carine Tripet Il est interpr t par la Compagnie Via Hobu emmen e par Fr d ric Perrier qui joue et manipule la marionnette de Gletscherli tandis que Martina Pezzini et Faustine Moblliet artistes de cirque interpr tent les person nages de l gende L histoire m le donc l gendes traditionnelles nu m ros visuels et chansons originales en fran ais allemand patois et Oberwalliser Mundart collabora tion avec Rolf Hermann La M dia th que Valais Martigny accueille le spectacle pour deux repr senta tions publiques en d cembre Une offre group e pour les promenades d cole Du 16 au 28 juin Via Hobu et
24. avec cinq autres acteurs de l insertion Lors des entretiens avec les enseignants r cemment dipl m s nous avons abord aussi bien la socialisation professionnelle du jeune enseignant transition formation emploi int gration au sein de l tablissement relations avec la hi rarchie et les col l gues identit s professionnelles que la consolidation de ses comp tences p dagogiques gestion de la classe relation avec les l ves ma trise du programme scolaire Ces entretiens ont t conduits diff rents moments du d but de carri re au bout d un an et 3 ans apr s le d but de l insertion pour les dix en tretiens longitudinaux Les entre tiens avec les autres acteurs de l in sertion nous ont permis de saisir les param tres locaux de l insertion du jeune enseignant et nous ont aussi apport des indications int res santes sur l int gration profession nelle des enseignants issus des HEP Les r sultats obtenus par l analyse des entretiens ont d j apport quelques pistes d am lioration de l aide l insertion des jeunes dipl m s aux services d introduction la profession Actuellement nous sommes au terme de la r alisation de la partie DORE du projet Toutefois la den sit et la qualit des donn es re cueillies exigent encore de nous un approfondissement des analyses au service notamment d une meilleure compr hension de la r alit des parcours de transition entre la for
25. beaut le pouvoir l art des mots Manifestations la M diath que Valais St Maurice pendant l expo EH Caf litt raire avec Corinne De sarzens le lundi 22 novembre de 12h30 13h 30 E Spectacle d Eug ne La Vall e de la Jeunesse mis en sc ne par Christian Denisart le jeudi 25 novembre de 18 h 45 20h 15 Cf encadr ci dessous E Visites comment es publiques les 10 novembre et 15 d cembre de 16 h 17 h et les samedis 30 octobre et 27 novembre de 10 h 30 11 h 30 Visite des classes sur inscription les classes peuvent venir en dehors des heures d ouverture du lundi au vendredi contacter evelyne nicol lerat mediatheque ch Dossiers d accompagnement pour les jeunes de 11 15 ans disposi tion l accueil de l exposition ou t l chargeable Sur le site de l association Semaines de la lecture www semainesdela lecture org divers documents ar ticles et fichiers audio et vid o per mettent de d couvrir par avance quelques p pites de l exposition Renseignements Evelyne Nicollerat evelyne nicollerat mediatheque ch 024 486 11 88 www mediatheque ch Note pm 1 Cf articles parus dans les ditions de septembre et d octobre de R sonances Spectacle d Eug ne L crivain Eug ne a racont son autobiographie en plusieurs chapitres chaque chapitre parlant d un objet qui a marqu sa vie dans un livre intitul La Vall e de la jeunesse paru aux ditions La Joie de Li
26. bien Les l ves profitent de l mur lation au sein du groupe mais aussi de la concur rence entre les groupes travailler en quipe Contrairement la cr ation artistique par exemple aucune r alisation technique n est le fruit d une seule personne Pour mettre au point un nouveau produit les ing nieurs collaborent avec une quipe aux com p tences multiples design marketing etc Un projet de classe autour des sciences techniques est une excel lente occasion pour exercer le travail d quipe Par groupes de 3 ou 4 les l ves sont mis face un d fi p ex construire un pont en papier de 50 cm de long le plus solide possible Les id es fusent chacun veut im poser la sienne Les premiers essais sont concluants ou non certains groupes avancent bien d autres se d couragent Heureusement l espionnage est autoris Un petit tour de classe pour se donner des id es et c est reparti Pendant ce temps les l ves doivent s ex primer correctement pour faire comprendre leur id e aux autres expression orale ils doivent convaincre les autres de la pertinence de leur id e argumentation etc AU passage ils font recours un brin de math matique et presque toujours des concepts de phy sique simple L exercice se termine en g n ral par une br ve pr sentation aux autres groupes Les l ves ont eu l impression de s amuser et ne se sont pas rendu compte de toutes les comp tences qu ils ont exerc e
27. cantonaux et leur analyse dans la perspective d une am lioration con tinue des examens cantonaux Conclusion Par ses activit s l URD am ne des l ments factuels aux d bats sur l cole et soutient l implantation et la r gulation de d marches de mo nitorage du syst me telles que les d marches qualit ou le suivi des r sultats des examens cantonaux Elle contribue par ailleurs au pilo tage de certains dossiers cl s de l cole valaisanne comme la forma tion continue des enseignants En outre les diff rents acteurs du DECS peuvent solliciter l URD pour colla borer la r alisation d une consul tation d une enqu te ou de toute autre r colte et analyse de donn es en lien avec le syst me scolaire va laisan Un des enjeux d importance pour cette unit est d assurer la qualit scientifique des analyses effectu es tout en veillant des interactions de qualit avec les utilisateurs Ces interactions permettent notam ment aux collaboratrices de l unit de comprendre les besoins de leurs mandants de leur sugg rer des pistes d analyses et de favoriser leur appropriation et ou utilisation des informations fournies Notes T 1 Le masculin est utilis ici sans aucune discrimination et uniquement dans le but d all ger le texte 2 Secr tariat gianpierra picciuto ad min vs ch Figure 2 Missions de l URD Recherche sur le syst me de formation O recueillir exploiter et mettre dis
28. ces vivantes in ventori es 8 15 Mios au total les repr senter par des points 170 points si 1 point 10 000 es p ces R sonances Novembre 2010 B Un ouvrage pesant trois kilos est n cessaire afin de pouvoir iden tifier toutes les plantes de notre pays Les esp ces animales et v g tales vivant aujourd hui ne re pr sentent que deux quatre pour cent des esp ces apparues sur la terre un moment ou l autre de son histoire B Aujourd hui 10 000 25 000 es p ces disparaissent chaque an n e soit une trois esp ces par heure Le rythme de ces dispari tions est mille fois plus rapide qu il ne l a jamais t par le pass Pour interpeller les l ves il est aussi possible de faire venir dans vo tre tablissement l exposition Bio diversit pr sentant 20 images de Yann Arthus Bertrand contacter evelyne nicollerat mediatheque ch 024 486 11 88 ou l exposition Di versit de milieux naturels valaisans contacter l animation de sciences CONSTATER Il s agit ensuite de constater la bio diversit Certaines activit s pour ront tre con ues sous forme de sorties autour de l cole pour voir que la biodiversit est nos portes INTERPELLER QU N CUG www biodiversite ch D autres seront faire en classe pour prendre conscience de la bio diversit g n tique des esp ces vi vantes et des cosyst mes COMPRENDRE Apr s la premi re d
29. crivains dans plusieurs coles tels que la chanteuse et pr sentatrice de la T l vision Publique d Angola TPA S nia Ant nio qui a anim un d bat sur l importance de la musique infantile dans l ducation des enfants Selon la chanteuse la musique infantile est indispensable dans le processus ducatif des enfants dans la mesure o elle contient plusieurs messages d assiduit de valeurs thiques ou morales pour la vie dans la soci t Angola Press 28 09 D Education Des iPad pour tous les l ves C est une premi re en France et un privil ge r serv aux coll giens du riche d parte ment des Hauts de Seine L iPad la tablette num rique d Apple fait son entr e dans tous les tablissements 266 exemplaires du fabuleux jouet num rique ont t distribu s aux 133 coll ges publics et priv s du d partement L investissement pour la collectivit quipement et installation des bornes wi fi inclus est de l ordre de 185 000 A peine l objet en mains les l ves habitu s aux crans tactiles manient avec facilit les tablettes num riques Des l ves de 4 notent que presque toutes les uvres de Balzac au programme sont disponibles gratuitement sur iBooks Cette application de l iPad permet d acheter des livres num riques dans une boutique en ligne puis de les lire sur l cran de l iPad Certains r vent d j d une tablette qui remplacerait tous leurs livres et cah
30. des branches essentielles R sonances Novembre 2010 z URD au service L Unit de recherche et de d velop pement du syst me de formation URD du Service de la formation ter tiaire SFT est au syst me de forma tion valaisan ce que le Service de la recherche en ducation SRED est au syst me de formation genevois et l Unit de recherche pour le pilotage des syst mes p dagogiques URSP au syst me vaudois Une telle unit de recherche permet de collecter et d analyser des donn es sur l ensem ble du syst me ducatif cantonal de r aliser des enqu tes et de fournir aux divers acteurs du syst me de formation et notamment aux poli tiques des faits et r flexions tay s sur lesquels fonder leurs d cisions Elle fait donc partie du paysage de pilotage de la formation en pre nant une part active aux t ches de monitorage au niveau valaisan en compl mentarit avec d autres ac teurs qui uvrent au niveau canto nal mais aussi communal et f d ral cf figure 1 Pour ce faire l URD est int gr e au Service de la formation tertiaire du D partement de l ducation de la Canton sc lair R sonances Novembre 2010 Pilotage du syst me cantona Organisation amp gestion de l cole in situ application p dagogique Figure 1 Organisation du pilotage de la scolarit obligatoire en Suisse Source IRDP culture et du sport DECS avec une posture
31. disciplines id ales pour d velopper ces comp tences A un niveau plus philoso phique l observation et l attention port e un objet ou un ph nom ne sont un excellent vaccin contre la consommation excessive de biens ou d informations apprendre exp rimenter La technique est le terrain de jeu privil gi de l exp ri mentateur Elle est une discipline o les exp riences r aliser sont nombreuses et faciles mettre en uvre J en arriverai presque dire que les mus es r ellement interactifs que sont les centres de science Espace des Inventions de Lausanne Technorama de Winterthur n ont aucun m rite Pourtant leur succ s aupr s des 7 15 ans atteste de la pertinence de cette approche En effet le d veloppement des enfants les pousse d s l ge des 7 8 ans vouloir comprendre comment fonc tionnent les objets autour d eux Ils sont l incarnation du principe de Confucius J entends et j oublie je vois et je me souviens je fais et je comprends D o l im R sonances Novembre 2010 portance de les laisser faire les exp riences eux m mes De plus le recours l exp rimentation confronte les l ves avec la r alit Celle ci ne se comporte pas tou jours comme nous l imaginons et nous force adapter nos th ories au fur et mesure des essais effectu s De ce fait l exp rimentation peut para tre cruelle et d courageante C est pourquoi l exp rimentation en groupe fonctionne
32. et Epist mologie des Sciences de Gen ve est l auteur de nombreux ouvrages sur l cole www ldes unige ch www andregiordan com l auteur r L nseigner la technique R Roduit Il existe sur une plan te une civilisation qui a invent la transmission de pens e l acc s imm diat au savoir universel et la bionique Cette civilisation repousse la mort et la souffrance en ins rant dans les corps des l ments de machine proth ses pacemaker valves cardiaques etc Cette soci t de l information per met sur simple demande de retrouver une date ou un v nement oubli et de glisser instantan ment une petite pens e un tre cher o qu il se trouve autour du globe Cette civilisation la n tre s appuie sur la technologie pour pallier nos carences Les petits appareils qui se glissent dans nos poches nous transforment un peu en cyborgs aux possibilit s sans cesse croissantes I est d s lors important pour rester tout fait humain de com prendre et de conna tre ce monde technique dans le quel nos enfants vont grandir Enseigner la technique l cole est un devoir Outre le fait que tous les l ves valaisans doivent dans leur formation de base acqu rir une culture math matique et scientifique permettant de sai sir les fondements des sciences naturelles et tech niques l enseignement de la technique l cole est un devoir moral Ces enfants qui sont aujourd hui l
33. et des vid os des articles imprimer au format PDF qui permettront aux enseignants de travailler en classe Et toujours l acc s gratuit aux archives du site des cl s et ses 25 000 articles publi s depuis 1998 www lesclesjunior com i l H i lili HP f 1 Eu fl T m i mE i HE OS PEH FHT 1 Qt i H H i TELE i 1 Education au d veloppement durable Dossier VST Dans le cadre de la D cennie mondiale pour l ducation au d veloppement durable la g n ralisation de l EDD conduit lui donner plus de place dans les programmes et les d marches dans les tablissements elle pose aussi la question de la formation non seulement des enseignants de toutes disciplines mais aussi de tous les personnels d sormais concern s Le dossier du Service de veille scientifique et technologique tente d apporter quelques clairages en s appuyant sur des travaux de recherche r cents www inrp fr vst aciers chronique Anne Michellod Longtemps mena ants les glaciers sont fragiles et leur recul semble in lucta ble El ments du paysage et objets d tude ils occupent galement une place de choix dans l imaginaire La M diath que Valais Marti gny leur consacre une gran de exposition du 23 octobre 2010 au 25 septembre 2011 Une exposition et un programme culturel A l occasion de l exposition Glaciers Chronique d un d clin annonc la M diath que Va lais Martigny met sur pied un
34. kibare org Enfantin Primaire La reine des Korrigans conte musical celtique avec d couverte d une l gende d une culture nellyfluckiger hotmail com Fin du secondaire 1 Secondaire 2 Projet et rencontre autour du film de Daniel Duqu A travers les branches d un arbre info merlin films ch Pour les tarifs avec soutien Etincelles de culture et les renseignements compl mentaires se reporter aux indications du site internet www vs ch ecole culture ou prendre contact directement avec les professionnels mentionn s Ngenda gcole Culture ou de rencontres de min raux Elle a t r alis e en France par G rard et B ryl Alexandra Brard tous deux passionn s de photographie de min raux et de gemmes tant en micro qu en macrophoto www sciencesdelaterre ch TAR El MUSIQUE Jusqu en d cembre 2010 Spectacle Saxe and the City Quatuor Marquis de Saxe Th tre en musique qui raconte la vie d une classe et qui alterne musique pr sentation multim dia et humoristique du saxophone et de son r pertoire Informations et contacts Degr primaire Jean Maurice Delasoie HEP 027 606 96 23 jean maurice delasoie hepvs ch Degr cycle d orientation Claude Eric Clavien HEP 027 321 12 28 claude eric clavien hepvs ch ET AUSSI DANS CE NUM RO Exposition Glaciers chronique d un d clin annonc la M diath que Valais Martigny cf pp 28 29 Exposition Pour tout l or de
35. la fois interne au DECS et externe au Service de l enseigne ment SE Cette position est essen tielle ses activit s puisqu elle of fre la fois une bonne connais sance et des collaborations troites l interne tout en tant en mesure de garder une certaine distance de prendre une position d observateur sur certains aspects fonctionne ments produits du syst me de for mation Ouelques traits historiques Les t ches effectu es aujourd hui par l URD ont toujours t effec tu es par des collaborateurs au sein du d partement en charge de l ducation Cet ancrage a toute fois volu au fil des ann es Histo riquement elles ont d abord t accomplies d s 1987 par l Office de recherche et de documentation p dagogique ORDP En 1997 cet office a t int gr au sein du Ser vice de planification et d valua tion SPEV En 2000 le SPEV s est son tour transform en Service de la formation tertiaire SFT dans le Echelon T ches Instrument CDIP harmonisation des structures concordat monitorage de promulgation des standards Harmos l ducation CH R gion Coordination du contenu de 1 plan d tudes linguistique l enseignement coordination des moyens tests de r f rence d enseignement L gislation monitorage Financement cantonal Ex cution valuation externe des coles autonomie partielle des coles valuation auto SFT
36. observation l analyse et la d duction Les filles au CO sont elles moins int ress es par les sciences techniques et les technologies que les gar ons La r ponse de l ensei gnant est clairement n ga tive II mentionne que dans son cours option la r par tition filles gar ons est qui libr e Les filles se d brouil lent tr s bien et sont autant pers v rantes dans la r solu tion de probl mes que les gar ons affirme t il partir de ses observations LEOLE 13 Laurent Fauch re profite galement du cours option pour emmener ses l ves la rencontre des sciences des techniques et de la technologie hors des murs de la classe et du labo scolaire Une visite de la centrale hy dro lectrique de Chandoline ou de la HES SO Valais avec Romain Roduit comme guide dans cet univers for mant des ing nieurs est tr s profitable pour stimuler la curiosit des l ves souligne l enseignant Et de pour suivre Les l ves se rendent ainsi compte du travail du scientifique ou de l ing nieur ce qui leur permet d avoir une image plus r aliste de ces m tiers ajoute t il Michelle Grandjean B hm enseignante et directrice du centre scolaire de Saxon Michelle Grandjean B hm souhaitait aborder le c t plus technique de la science avec ses l ves de 3P mais estimait manquer de comp tences dans ce domaine et donc ne sa vait pas trop comment s y prendre D put e par ai
37. pour cela que c est une grande chose Nous lisons parce que a ne sert rien Un livre qui pourra inspirer les enseignants pour re donner envie de lire aux l ves s ils posent la question Pourquoi lire Charles Dantzig Pourquoi lire Paris Grasset 2010 m Ecole les pi ges de la concurrence Toujours plus d l ves en chec toujours plus d enseignants d moralis s et de parents inquiets quant l avenir de leurs enfants Toujours plus de palmar s d tablissements qui s ment La suggestion d une enseignante Apprendre mieux pour les nuls Ce gros bouquin s adresse avant tout aux adultes d sireux de reprendre une formation d entreprendre un nouveau projet malgr un parcours scolaire peut tre difficile Il est n anmoins int ressant pour les enseignants car il d crit de fa on exhaustive une s rie de m thodes pour mieux apprendre Il analyse galement les conditions essentielles et les besoins fondamentaux la r us site l auteure insiste sur la con fiance en soi la connaissance de soi et la mobilisation de son ner gie bon escient Certes beau coup de choses sont connues du monde enseignant mais quelques rappels ne sont jamais superflus et une vision positive ainsi que des suggestions pratiques sont toujours des plus poss der dans sa biblioth que Maire Joseph Chalvin Apprendre mieux pour les nuls First Edi tions 2010 Daphn e Constantin Raposo enseignante Ar
38. r de soi solide 1 Terme g n rique hommes et fem enthousiasme fort ne pas 5e laisser dynamisme impressionner d courager mes enseignants nergie implication d passer humour calme amour des enfants tranquillit humilit gt ne pas s ennuyer capacit se remettre Voir page de la recherche sur le site nvie de travaill tion lutter RC oriee hein de la HEP VS A avolr du caract re humanit eu 3 Sous www inserch ch rapport Rapport _GRSIE_09 1 10 08 pdf se foire plaisir R sonances Novembre 2010 41 B J lente ou capital Patrice Vernier Au moment d arriver la re traite l assur actif a conform ment au r glement CPVAL la possibilit de recevoir ses presta tions de vieillesse soit sous forme de rente soit en partie sous forme de capital et en partie sous forme de rente Choix de la rente L objectif premier de la pr voyance professionnelle a toujours t de servir une rente de vieillesse ses assur s Cette rente rev t un carac t re viager savoir qu elle est ver s e tant que l assur est en vie C est l option la plus commune et la plus s re C est aussi la plus avantageuse si l on vit tr s vieux La rente de retraite peut tre in dex e l inflation pour conserver son pouvoir d achat dans la me sure des possibilit s financi res de la caisse Apr s le d c s de l assur son con joint ou partenaire a droit
39. tant autonome de faire une installation chez un parti culier tandis que le futur automati cien peut plus facilement tre int gr un travail d quipe Comment d finiriez vous la com pl mentarit entre un automa ticien qui suit une formation duale et un automaticien en Ecole des m tiers Bernard Cerquiglini minent linguiste et sp cialiste reconnu de la langue fran aise r v le et explique des curiosit s verbales dans de br ves vid os Parmi les mots voqu s dans Merci professeur b tons rompus surbook zouave http www tv5 org TV5Site If merci_professeur php 22 L examen de fin d apprentissage est identique avec le m me coll ge d experts C est le cas aussi bien pour les automaticiens que pour les informaticiens contrairement l lectronique dont la formation en Valais ne se fait qu l EMVS actuel lement Du c t de l Ecole des m tiers il y a l obligation de la matu rit professionnelle int gr e ce qui correspond mieux aux jeunes qui savent d j qu ils veulent aller plus loin au niveau de leur formation et ou qui ont un profil plus scolaire puisque les deux premi res ann es se d roulent uniquement dans ce contexte Autre diff rence contrai rement aux apprentis en formation duale les jeunes ne per oivent pas de salaire Et par rapport aux coll giens la charge de travail est plus lourde puisque leurs journ es sont plus longues et qu ils ont cinq jours
40. tous les can tons suisses d s la rentr e scolaire 2010 2011 les donn es relatives aux l ves et au personnel des coles sont relev es de fa on lectronique D s lors une application de relev interactive permet d sormais aux fournisseurs de donn es soit le can ton du Valais dans notre cas de li vrer et de plausibiliser directement les donn es fournies l OFS Les principaux avantages de cette modernisation sont multiples Tout d abord l l ment central repose sur l introduction d un identifica teur personnel qui permettra de sui 32 vre le parcours de formation des l ves De plus le personnel admi nistratif des tablissements n aura plus besoin de proc der des rele v s de donn es d l ves complets Il s agira en effet d actualiser et de transmettre les donn es provenant de leur propre syst me de gestion La charge annuelle de travail sera ainsi r duite Pour terminer les can tons pourront utiliser leurs donn es pour r pondre leurs propres be Soins Les d marches qualit dans les coles du SII Les d marches qualit introduites dans l cole valaisanne visent fa voriser l am lioration continue des strat gies du fonctionnement et des r sultats d un tablissement scolaire Elles tudient les carts en tre les objectifs fix s et les r sultats obtenus afin de valoriser la qualit et ou r duire les carts observ s Pour ce faire elles d finissent
41. tronicien ou informaticien Ces formations ont elles des points communs Toutes trois pr sentent en effet de multiples synergies Lors des d buts de l EMVS le tronc commun tait organis sur une ann e et ac tuellement il demeure mais sur un semestre Ce d marrage identique permet aux apprentis de d couvrir les sp cificit s de chacun des m tiers avant de faire leur choix en connaissance de cause L EMVS implique un CFC doubl d une maturit professionnelle technique ce qui constitue un haut niveau d exigence Oui les exigences de la maturit pro fessionnelle sont tr s lev es car elles doivent correspondre au niveau de culture g n rale exig e pour l en tr e dans une haute cole sp ciali s e Reste que dans une cole des m tiers on a plus de temps qu en entreprise pour donner aux jeunes cette culture g n rale tout en les pr parant aux exigences techniques Ces trois formations n cessitent ga lement une certaine capacit l abs traction math matique m me si un informaticien fera un peu moins de transformations de formules qu un lectronicien ou un automaticien Quel est le rythme des stages Les deux premi res ann es les ap prentis sont plein temps l cole Ensuite r partis sur les deux der ni res ann es ils ont environ 1 an n e et demie de stages en entre prise Actuellement nous sommes la fin d une phase transitoire puisque la formation s est restr
42. une rente de survivant Celle ci corres pond 60 de la rente de vieillesse Si le retrait des enfants de moins de 18 ans sa charge ou de moins de 25 ans s ils sont en formation ceux ci ont en g n ral droit une rente d enfant Celle ci correspond 15 de la rente de vieillesse En cas de d c s du retrait la rente d enfant devient une rente d or CPVAL en cas de retraite phelin qui correspond 20 de la rente de vieillesse Afin de limiter les possibilit s d optimalisation fiscale la loi restreint le retrait en capital de rachats de pr voyance r cents Si des sommes ont t vers es pour augmenter la rente durant les der ni res ann es d activit jusqu 3 ans avant la retraite ces montants ne pourront pas tre per us sous forme de capital au moment de la retraite mais bien sous forme de rente Choix du capital Cette option d un retrait complet de l avoir de vieillesse sous forme de capital au moment de la retraite n existe pas dans notre caisse Le principal inconv nient de ce choix est que la gestion du capital n est Pour un enseignant du CO comptabilisant 40 ann es d affiliation 62 ans RENTE Rente annuelle de retraite CHF 61 000 Rente de conjoint survivant CHF 36 600 Rente d enfant CHF 9150 62 ans un retrait vit encore en moyenne 20 ans S il d c de apr s 75 ans il est gagnant en ayant choisi la rente S il meurt 70 ans il est
43. 0 comme par exemple le livre Le on de choses dit en 1957 c toyant des brochures des ann es 80 et des ouvrages r cents Par ailleurs le manque de moyens d enseignement of ficiels incite les enseignant e s se procurer des moyens d enseignement du commerce impr gn s eux aussi par 50 ans d volution des m thodes d enseigne ment des sciences E L importance attribu e aux capacit s transversales permet d envisager des approches interdisciplinaires C_N Ainsi les manuels pr sents dans les classes publi s des poques diff rentes et r dig s par des auteurs provenant d horizons divers ne font que d accro tre la diversit des approches p dagogiques auxquelles les enseignant e s se r f rent pour mettre en place leurs s quences d enseignement apprentissage en sciences Cette multiplicit des approches est galement appa rente dans les programmes d tudes cantonaux actuels et dans le tout nouveau Plan d tudes romand PER En effet leur analyse montre que ceux ci se r f rent galement divers fondements th oriques p dagogiques et pist mologiques et qu un change ment radical de paradigme n a pas encore eu lieu On retrouve effectivement dans tous ces textes de cadrage un amalgame de m thodes de principes et d approches issus de l histoire de l enseignement des sciences comme la le on de choses approche exclusivement inductive pour comprendre les ph no
44. 10 r L nseigner les techniques A Giordan Il y a encore 200 ans l enfant rencontrait durant sa vie au mieux une seule innovation technique L enfant contemporain se trouve confront presque mensuelle ment une nouveaut qui va affecter durablement son existence Il nous regarde avec une tonnante sur prise quand on lui dit qu enfants nous m me nous ne poss dions pas de t l phone portable d ordina teur de carte bancaire ou de Wii Nos seuls jouets n avaient pas de pile les portes ne s ouvraient pas au tomatiquement les aliments congel s n existaient pas etc Dans les seuls cinq ans venir ces m mes jeunes individus devront encore se confronter au d veloppement des machines communiquer des carta bles lectroniques des lunettes 3D des Google iPad TV des murs multim dias de la bionique des nano technologies et de bien d autres choses encore Or pendant que ces diverses technologies continuent leur mont e en puissance des doutes un sentiment d impuissance se r pandent dans la majorit de la po pulation Implicitement naissent une s rie de ques tions L emballement des technologies asservies l conomie de march n est elle pas en passe de faire d railler l humanit Est il encore possible de ma tri ser le d veloppement technique Quels risques prend on Et surtout quel sens tout cela a t il Un sentiment populaire se r pand qu on ne peut plus avancer sans
45. Bardou animatrice p dagogique pour les sciences au CO La partie technique appara t davantage dans les plans d tudes al maniques c est une question de mentalit s Romain Roduit de la HEVS est un levier important pour permettre aux enseignants qui s int ressent la manipulation d objets concrets de le faire C est une excellente chose que les l ves puissent avoir une meilleure compr hension de leur environ nement technique et technologique et que les ensei gnants aient la possibilit de b n ficier d un accom pagnement par un sp cialiste A noter que certains enseignants valaisans d veloppent des approches personnelles qui vont dans ce sens mais le font indivi duellement Si l enseignant int gre cette dimension ses cours c est par envie personnelle li e son regard sur le r le de cette mati re dans le parcours d l ve mais aussi gr ce aux pistes propos es par Romain Roduit dans le cadre de la formation continue des enseignants Ses cours et conseils sont une mine d or commente t il Laurent Fauch re essaie ensuite son tour de proposer un maximum d activit s diff rentes Avec Robolab ou Explore it les l ves d couvrent la technique en deve nant constructeurs et cela les motive la fois la t che et dans leurs apprentissages explique t il Et l ensei gnant note encore que cela favorise le d veloppement de plusieurs comp tences transversales dont le travail en groupe l
46. Revaz Eva Garrone tudiante la HEP VS Mon regard a quelque peu volu apr s la Semaine Technique et Soci t organis e la HEP VS Cela m a donn l occasion de visiter des entreprises et de d couvrir des approches de la technique que je pourrais r utiliser en classe comme Explore it ou Robolab La conf rence de Romain Roduit tait aussi particuli rement int ressante pour nous permettre en tant que futurs enseignants de nous familiariser avec les sciences techniques qui sont m connues d un grand nombre de jeunes R sonances Novembre 2010 Wes sites pour aller plus loin Laboratoire de didactique et d pist mologie des sciences de Gen ve www ldes unige ch info membres ag andre htm WWW universcience tv webTV scientifique hebdomadaire de universcience le nouvel tablissement qui regroupe la Cit des sciences et de l industrie et le Palais de la d couverte www universcience tv Seb LOS P Tanqu en 0e ean eT Parany dut eree D ED ENSEIGNER LES SCIENCES e http ll educasciences ning com Educasciences r seau social d change et de forma tion concernant l enseignement des sciences http educasciences ning com WWW planete sciences orginational Le site Plan te sciences rassemble les concours pour les jeunes propose des ressources des glossaires des ou tils p dagogiques wwWw planete sciences org national Agence qu b coise Sciences P
47. Sciences techniques technologies DJ D eson Mensuel de l Ecole Donnons aux enfants malades la chance d tre des enfants avant d tre des malades Notre fondation r alise les v ux d enfants malades www makeawish ch Lx MAKE A WISH Schweiz Suisse Svizzera SCHOECHLI IMPRESSION amp COMMUNICATION SA Vous d sirez un travail cr atif professionnel soign Nous mettons votre disposition une technologie de pointe alli e une quipe dynamique Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 e poids des maux Aujourd hui notre soci t a un probl me de poids avec ceux qui n entrent pas dans la cat gorie des poids dits normaux Poids des regards poids des jugements port s sur toutes les personnes consid r es comme trop grosses ou trop maigres Poids des souffrances caus es poids de la culpabilit qui lance la valse des r gimes Si je suis gros c est que je manque de volont c est que je ne suis pas beau Je vais suivre un r gime Pourtant maigrir fait grossir On ne choisit pas son poids comme on ne choisit pas sa couleur de peau Et on ne peut pas choisir son poids comme on peut choisir la couleur de ses cheveux Et pourtant j ai toujours t surprise de la violence des r actions que je suscite parfois quand j ose affirmer que personne n est coupable de son poids Et non avoir le juste poids n est pas juste une question de volont Et qu est ce que le
48. Veyras En lien avec l exposition un jeu de piste gratuit r alis par Katia Boz Balmer permettra d abor der la probl matique des droits de l enfant D part de l exposition Mus e Olsommer centre du village rue C C Olsommer Dur e de la balade artistique env 45 minutes M mento p dagogique avec le jeu de piste Se procurer les documents du jeu de piste Mus e Olsommer week end ou t l charger sur le site de la Commune www anilecproductions com fr contents 9 qui_ sommes_nous_ 20 novembre 2010 Droits de l enfant La Convention Internationale des Droits de l Enfant est un texte de 54 articles adopt par les Nations Unies le 20 novembre 1989 Chaque ann e le 20 novembre des activit s sont propos es aux classes pour marquer cet anniversaire www droitsenfant globale ducation ch www globaleducation ch Me 24 novembre 2010 Colloque sur les enjeux des preuves cantonales La prochaine rencontre de la section suisse de l Association pour le d veloppement des m thodologies d valuation en ducation ADMEE se penchera le 24 novembre Martigny sur les diff rentes pratiques en mati re d preuves cantonales www admee org Je Ve 25 26 nov 2010 Congr s suisse de l change 2010 Le congr s organis Montreux abordera la th matique de l change scolaire en Suisse sous l angle des regards sur la pratique et les perspectives pour la promotion www ech
49. ange ch 23 Les id es de sorties Service de la culture Pour des id es de sorties ou de rencontres culturelles avec vos l ves www vs ch ecole culture gt Agenda TH ATRE F vrier 2011 spectacle pour scolaire Adaptation d Andromaque La Cie Krajewski Giorgio Brasey bas e Lausanne pr sentera une adaptation d Andromaque de Racine en f vrier prochain au Teatro Comico Sion Des scolaires peuvent tre organis es Les com diens sont aussi dispos s proposer un d bat autour du texte de Racine l issue de la repr sentation Contact Jeanne Quattropani admin k gb ch www k gb ch www theatre valais com SCIENCES Jusqu au 24 novembre Nourrir l animal manger la viande A la suite de son projet L enfant l coute de son village le CREPA pr sente dans les murs de la M diath que Valais Sion les r sultats des travaux de classes agr ment s d l ments scientifiques dans une exposition itin rante Jusqu au 24 novembre la M diath que Valais Sion accueillera l exposition Nourrir l animal manger la viande Tout public cette exposition retrace le parcours de la viande de l animal notre assiette Renseignements nadine michelet mediatheque ch M diath que Valais Sion Avenue de Pratifori 18 www mediatheque ch 24 Jusqu au 19 d cembre 2010 Espace des inventions Serrures ceintures de s curit roulements billes ou vibreurs de t l pho
50. ani sation du plateau de tournage Remplir les formulaires administra tifs li s aux besoins de l intervention R sonances Novembre 2010 Premi re rencontre avec l artiste pourquoi comment quand o combien Prendre contact avec l artiste pour l inviter en classe et ou planifier une visite son lieu de travail Eta blir l heure la dur e de la visite le contenu ou les sujets qui seront abord s Lors de la rencontre revisiter les ob jectifs et les buts vis s et les remo deler au besoin Voir avec l artiste le mat riel qui lui sera n cessaire et les pr requis n cessaires l activit Fixer avec l artiste le calendrier d in tervention La premi re intervention est nor malement li e avec le travail de l artiste lui m me Donc planifier le lieu o il va expliquer son travail regarder avec lui les contingences mat rielles et temporelles Pr paration des l ves comment Partager les d tails biographiques et artistiques de l invit ou faire une recherche avec les enfants sur lui Pr parer la visite en demandant aux l ves de lister des questions concernant le style d uvres les sources d inspiration les exp rien ces de l artiste Par exemple BH Quand avez vous commenc cette profession Pourquoi BH Comment avez vous appris Que faites vous des uvres ter min es Qu est ce qui est le plus difficile faire BH Comment taient vos pre
51. ar le Centre national de documentation p dagogique cette s rie de vid os vise compenser la suppression de la formation des ma tres en d livrant aux jeunes professeurs les ficelles du m tier De courtes s quences de trois dix minutes sont cens es montrer aux stagiaires la meilleure mani re d entrer en classe de se comporter face aux l ves ou l quipe ducative L Humanit fr 5 10 B Violence des jeunes Le nouveau visage de la violence l cole La violence des jeunes prend de nouvelles formes inqui tantes et les rem des y apporter suscitent un vif d bat Soci t 17 Journ e mondiale des enseignants Au B nin Enseignant panoui d veloppement assur c est autour de ce th me que les enseignants du B nin ont marqu la 17 Journ e mondiale des enseignants En choisissant la ville carrefour de Bohicon les organisateurs de cet v nement veulent plus se rapprocher des enseignants du centre du B nin Le ministre de l Enseignement secondaire de la Forma tion technique et professionnelle Ak Natond a salu le m rite des enseignants qui malgr les conditions difficiles de travail s chinent donner aux enfants un enseigne ment de qualit Par leur immense courage a t il poursuivi et par leur patriotisme l gendaire ils ont cumul plein de qualit s qui forcent l admiration de la communaut interna tionale En outre il a rassur les enseignants sur le fait que le
52. argement suivis Au secondaire Il ces cours ont t or ganis s au sein m me des tablisse ments par les F3 A la demande des professeurs quelques cours d usage vont encore tre dispens s cette an n e Mais il est tr s clair que les at tentes sont en train d voluer et que la demande s oriente d sormais plu t t dans le sens de cours d int gra tion C est r jouissant Cela signifie clairement que les enseignants qui ont acquis les outils de base souhai tent les int grer dans leur enseigne ment et qu ils r fl chissent aux moyens d en retirer un b n fice p dagogique C est pour r pondre cette deman de que les F3 du SII l image de ce qui se fait pour l cole obligatoire ont mis sur pied des cours d int gra tion De quoi s agit il exactement II est tr s important de pr ciser d em bl e que l intention n est en tout cas pas de donner des conseils p dago giques Ce n est pas notre r le et nous en serions bien incapables C est d ailleurs pour cette raison que le terme de cours me semble peu appropri Il s agira en effet plut t de pr senter aux coll gues qui le souhaitent des exemples pr cis d in t gration que les F3 ont eux m mes 34 Er T TINUE WON ED RMATION CONT nann pes ID UDARS st ao P ET DE LTEN Oaia NES pM pans LES COMES PR i peara t nel gt VE sense Tr sapa Fe Su che te Ne LL FIL et ni tre i A POUR LE gt S ar protessionat
53. asquette D s le plus jeune ge de l enfant les adultes insistent aupr s de lui pour qu il utilise les r gles de politesse Mais que se passe t il s il les transgresse Et l cole quelles sont les cons quences de sa politesse ou de son HITLLLL mane impolitesse Le La politesse comportement de l enfant l cole peut il avoir des r percussions Laurence Flisetti sur ses apprentissages et ses r sultats scolaires Si oui pourquoi et comment cela s explique t il Les enfants sont ils tous gaux quant la connaissance des normes de politesse Quels sont du point de vue des ducateurs les comportements de politesse que l on est en mesure d attendre selon l ge des enfants Doit on enseigner aux l ves comment se comporter avec les autres Pourquoi Autant de questions que cet ouvrage soul ve et auxquelles l auteure tente de r pondre Livres Pour cela elle expose les r sultats de ses recherches et s appuie sur les connaissances en sociologie en psycholinguistique ou en psychologie sociale Mais au del de la politesse l auteure s interroge sur l importance que l on devrait accorder aux comp tences sociales de l l ve l cole Les lecteurs qu ils soient enseignants tudiants ou parents trouveront sans doute de quoi enrichir leur r flexion ce sujet Laurence Filisetti La Politesse l cole Paris PUG 2010 m Eveiller les enfants aux sciences et aux technologies
54. ation entre institutions principalement entre les centres de recherches ex tra universitaires et publics en Suisse 31 Les collaborateurs L URD est constitu e d une quipe de collaboratrices au b n fice de formations acad miques et d exp riences professionnelles diversifi es puisque sa responsable ainsi qu une autre collaboratrice ont une forma tion en sociologie une autre a u vr dans le domaine de la gestion publique l une d entre elles Dr en Sciences de l ducation vient des milieux de l enseignement et de la recherche et que finalement une collaboratrice assume les t ches les plus administratives Cette diversit permet de couvrir les diff rentes ac tions de l URD Trois des principaux dossiers conduits par cette unit et plus particuli rement en lien avec le monitorage du syst me de forma tion sont pr sent s ci dessous Les principaux dossiers La modernisation des statistiques de la formation Le projet de modernisation des en qu tes dans le domaine de la for mation a d but en 2004 la suite d une initiative commune de la Conf rence suisse des directeurs cantonaux de l instruction publique CDIP de l Office f d ral de la for mation professionnelle et de la technologie OFFT et de l Office f d ral de la statistique OFS L ob jectif tait de d velopper au niveau suisse un syst me int gr de statis tiques dans le domaine de la forma tion Ainsi et ceci pour
55. atiques trait es cycles 2 et 3 B offrir la possibilit de r aliser des travaux pratiques en laboratoire cycle 3 O Point positif l importance attribu e la formation g n rale et aux capacit s transversales qui permettent en fin d envisager des approches interdisciplinaires et de briser quelque peu les cloisons disciplinaires pour au tant que les trois entr es soient vraiment consid r es de mani re quivalente et compl mentaire Inh rentes l introduction du PER une s rie de nou veaux moyens d ensei gnement en sciences de la nature sont en cours d va luation ou d laboration Pour les degr s 1 4 degr s HARMOS tout d abord une adaptation du classeur romand Connaissance de l environnement G ogra phie Histoire Sciences 1P 2P 3P COROME 2000 sera probablement dispo nible d s la rentr e scolaire 2011 En ce qui concerne les degr s 5 8 une com mission d experts est ac tuellement constitu e afin 11 d valuer l ad quation des moyens d enseignement disponibles sur le march avec le PER et le cas ch ant sera mandat e pour en laborer de nou veaux Or si ces adaptations r alisations et ou adop tions de moyens d enseignement existants ne parvien nent pas apporter de r elles clarifications pist mologiques les confusions actuelles se reproduiront L enjeu est de taille car le choix de ces moyens ou leur conception constitue l un des l ments d c
56. au prin temps 2006 Depuis lors un questionnaire en ligne r dig dans les trois langues natio nales est soumis annuelle ment aux nouveaux enseignants di pl m s du primaire et du secon daire des institutions concern es Fribourg et au Tessin seuls les ensei gnants du primaire sont interrog s Chaque vol e d enseignants est sol licit e durant sa premi re et troi si me ann e de pratique Il est si gnaler que l enqu te par question naire va certainement perdurer puisqu il est envisag de mettre en place un observatoire romand de l insertion d s 2011 le projet inter institutionnel est actuellement en discussion la CDHEP Les r sultats obtenus par les r ponses aux questionnaires ont t compl t s par un volet qualitatif utilisant une d marche compr hen sive Ce deuxi me volet de la re cherche a t financ par une sub vention DORE un financement du Fonds National La m thodologie de cette enqu te qualitative est ba s e essentiellement sur des entre tiens r alis s avec les enseignants di pl m s et avec les diff rents acteurs R sonances Novembre 2010 de l insertion professionnelle Ainsi de 2008 2010 pr s d une centaine d enseignants ont t interrog s ainsi qu une vingtaine d autres ac teurs de l insertion En Valais par exemple nous avons men des en tretiens avec une vingtaine d ensei gnants du primaire et du secondaire nouvellement dipl m s et
57. baz R sonances Novembre 2010 m MEDIATHEQUE MEDIATHEK Les livres pr sent s dans cette rubrique sont disponi bles la M diath que Valais www mediatheque ch le doute et attisent les frustrations Est ce r ellement du choix de l cole que peut venir le salut comme le sugg rent les r centes mesures d assouplissement de la carte scolaire Est il vrai qu en intensifiant la concurrence entre tablissements on cr e une mulation qui favorise l l vation des performances des l ves Comprendre le d clin de l cole fran aise Stan Braccolich il ii Choulri Hen myi Manite Tranan La r ponse est non c est ce que montre cet ouvrage fond sur une tude de grande ampleur qui combine de fa on in dite approche historique comparaisons statistiques et enqu tes de longue dur e sur diff rents sites restituant la parole d enseignants de parents et d l ves Coordonn par Sylvain Broccolichi Choukri Ben Ayed et Dani le Trancart Ecole les pi ges de la concurrence Comprendre le d clin de l cole fran aise Paris La D couverte 2010 45 es derni res parutions El ves et classes apprennent lire Pourquoi se pencher nouveau sur des donn es datant de 1973 et tou chant l enseignement apprentis sage de la lecture Essentiellement parce qu elles peuvent tre r exa min es l aide d un outil statis tique nouveau et plus fin que celui utilis
58. bre 2010 B J lecards crois s Laurent Fauch re enseignant au CO des Collines de Sion Larurent Fauch re ensei gnant au CO des Collines de Sion aborde dans le cadre de son cours op tion avec les 3 ann es les sciences exp rimentales et invite les l ves la d couverte des aspects tech niques et technologiques Hors de cette option il es saie de faire b n ficier tous ses l ves de cette ap proche pratique et concr te de la science estimant im portant de leur donner l occasion de se confronter aux savoirs techniques et technologiques en mettant la main la p te Ce type d activit s est certes plus sim ple organiser avec les options pour des raisons de plages horaires les heures tant alors regroup es ce pendant l enseignant estime que c est aussi possible m me si plus complexe g rer avec moins de temps en continu disposition En 45 minutes c est toute fois difficile de favoriser le questionnement d mettre des hypoth ses et de les v rifier sachant par ailleurs que d une semaine l autre il n est pas toujours facile de conserver l attention des l ves nuance t il Pour Laurent Fauch re il s av re toutefois indispensable de leur donner l occasion de se confronter aux savoirs scientifiques techniques et technologiques 4 J AI DIT AUX FILES QU ELLES AUMERT CONGE AUJOURD HUU JA BENAT R sonances Novembre 2010 LA TECHWIQUE Adeline
59. claire ment les buts et valeurs de l tablis sement observent les r alit s telles qu elles sont identifient les lacunes annoncent les mesures prises pour les corriger et d veloppent une cul ture de l auto valuation L Unit de recherche et de d veloppement du syst me de formation URD une quipe au service des acteurs de l cole valaisanne ETT De telles d marches ont t exp ri ment es dans les coles de com merce et de culture g n rale ECCG valaisannes au cours des ann es sco laires 2007 08 2009 10 avec l appui scientifique de l URD Les deux an n es initiales ont permis aux ECCG de s approprier la d marche de d velopper un mode d laboration d indicateurs pertinents et de r col ter syst matiquement des donn es les concernant Les premiers effets obtenus portaient sur la mise en place d une quipe qualit au sein de chaque tablissement ainsi que sur l harmonisation des d marches permettant la r colte d un ensem ble coh rent de donn es communes aux tablissements et pr sentant une utilit sur les plans strat giques et fonctionnels Les donn es r col t es lors de l ann e scolaire 2009 10 dans la deuxi me phase de mise en uvre des d marches qualit per mettent une premi re comparaison cf rapport d octobre 2010 et con duiront la formulation d objectifs par le SE pour les tablissements de mani re ce qu une boucle com pl te de r gu
60. couverte l en seignant pourra amener ses l ves des compl ments d information pour mieux prendre conscience de ce qu est la biodiversit l chelle locale ou internationale Cette deuxi me s rie d activit s abordera aussi le probl me de la diminution de la biodiversit et de ses causes UVRER Comme point final ce travail des gestes simples pour sauvegarder la biodiversit seront propos s Ils permettront d impliquer la res ponsabilit de chacun dans sa vie 25 quotidienne par rapport un des probl mes actuels de notre envi ronnement I n y a pas de petits gestes quand on est 60 millions les faire At l charger Les dossiers p dagogiques pour l cole enfantine primaire ou le CO sont d pos s sur le nouveau site de l animation de science http animation hepvs ch sciences de la nature Pour tout renseigne ment n h sitez pas nous contac ter adeline bardou hepvs ch ou samuel fierz hepvs ch Autres ressources en ligne Possibilit d activer les liens hyper textes en ligne sur le site des scien ces de la nature NaTour des autocollants pour d couvrir la nature 200 vignettes autocollantes sur la diversit biologique en Suisse faune et flore coller dans un al bum dit par Pro Natura A com mander aux ditions Schulverlag www schulverlag ch Une incroyable plan te Une ressource ducative multim dia sur la biodiversit et les marais comprena
61. d activit pour d couvrir et vivre la nature avec les tout petits www symbioses be con sulter n special 03 Biodiversit La vie ma vie Le moyen d enseignement p dago gique Biodiversit La vie ma vie de Pro Natura propose de faire d couvrir la biodiversit aux l ves de 6 12 ans dans leur environnement quotidien Le dossier p dagogique avec fiches de travail et documenta tion l intention des enseignants www pronatura ch Captograines Le projet de science participative Captograines propos sur l ann e 2007 2008 par le Mus um national d Histoire naturelle et la Fondation Nicolas Hulot peut tre facilement reconduit avec une classe de l cole enfantine www fondation nicolas hulot org Tous dans le m me navire L exposition itin rante du Pandamo bile du WWF Tous dans le m me navire propos e en 2010 2011 s int resse la biodiversit Un dos sier p dagogique comprenant des activit s p dagogiques accompagne l animation www wwf ch Biodiversit et changements climatiques The International Polar Foundation et le WWF ont produit un CD ROM contenant 15 animations flash trai tant de la biodiversit dans la pers R sonances Novembre 2010 pective des changements clima tiques 14 fiches p dagogiques ac compagnent ces animations www educapoles org Biodiversit Mat riel d ensei gnement et d information Le Minist re f d ral de l Environ nement de la Pr
62. d infos Romain Roduit hevs ch http electricite mecanique hevs ch Robolab 106690 690 htm Explore it Avec la mise en place d une semaine Technique et soci t dans les HEP les initiateurs ont t confront s un manque de mat riel p dagogique dans le domaine C est pourquoi de novembre une s quence pour d couvrir l nergie hy draulique et l lectricit viendra compl ter l offre Le be soin d un tel mat riel simple et pratique est r el aussi l initiative des hautes coles p dago giques du Valais HEP VS et d Argovie FHNW et avec le soutien de la fonda tion Mercator Schweiz ils ont con u des mallettes adapt es la r alit des classes partir de la 4 primaire pour amener chaque l ve explorer in venter et plus Pour l heure trois s quences l nergie rend mobile So lar Power a bouge de l aimant per manent au moteur lectrique sont propos es par les enseignants Au mois Did lim Lily www explore it org l int r t rencontr par Explore it d passe les fronti res nationales Pour plus d infos Romain Rodui t de la HES SO Valais Romain Roduit hevs ch ou Ren Providoli de la HEP VS Rene Providoli phvs ch D s Coste Es des nai e ii De Post Cours explore it donn dans le cadre des cours de formation continue de la HEP VS www hepvs ch gt Formations gt Formation continue cours N 8 8 R sonances Novembre 2010 17 _ PF e
63. dit l exp rience commune Gaston Ba chelard O La science consiste passer d un tonnement un autre Aristote O Dans la vie rien n est craindre tout est com prendre Marie Curie 0 Ayez le culte de l esprit critique Louis Pasteur O En science comme ailleurs l inertie intellectuelle la mode le poids des institutions et l autoritarisme sont toujours craindre Hubert Reeves O Chaque nouvelle d couverte de microphysique g n tique astronomie est une nouvelle fen tre sur le myst re nous nous retrouvons dans une na celle de plexiglas naviguant dans l ab me Edgar Morin 16 WWW boiteascience com La mission que s est donn e Bo te science est d veil ler prioritairement chez les jeunes l int r t pour la science et la technologie www boiteascience com Applis scientifiques pour smartphones www knowtex com weblist applis scientifiques_1526 Sciences et technologie objets techniques montages constructions mod les r duits exp riences observa tions http cm1cm2 ceyreste free fr sciences html Semaine Technique et Soci t la HEP VS La culture g n rale sans exp rience pratique est in contestablement un handicap pour int grer avec un maximum d efficacit des milieux socio conomiques toujours plus exigeants en mati re de comp tences et d adaptation Dans les ann es 50 d j une tude de l UNESCO d montrait un d calage croissan
64. e Facult de psychologie et des sciences de l ducation Laboratoire de Didactique et d pist mologie des Sciences Pr Andr Giordan l auteur Afin d viter ces confusions il est indispensa ble de distinguer cinq types d activit s scienti fiques m me si des liens peuvent exister entre certaines d entre elles identifi es en fonction d objectifs distincts et ayant leurs propres fon dements th oriques p dagogiques et pist mologiques Construire des notions scientifiques et des connais sances conceptuelles En travaillant partir de et sur les conceptions des l ves En leur faisant laborer des mod les et en tudiant des mod les par exemple en demandant aux l ves de repr senter les os l int rieur des membres et d laborer diff rentes maquettes en carton pour expliquer les mou vements possibles et impossibles en tudiant un sque lette en regardant des vid os en comparant avec des sch mas Comprendre ce que sont les sciences en d veloppant une attitude scientifique et en s appropriant diff rentes d marches scientifiques En proposant aux l ves des situations probl mes dont on ne connait pas forc ment l aboutissement en leur lan ant des d fis en partant d observations ou de manipulations qui permettent d identifier des probl matiques et d en gendrer des questions en v rifiant leurs mod les par la mise en place d exp rimentations Construire des outils pr
65. e et projet d criture pour les classes de Romandie A Projet de lecture compr hen sion pour les classes le fran ais d ici et d ailleurs Trois questions pour des projets de lecture lire le fran ais d ici et d ail leurs B Quel auteur quel livre ou quel texte as tu d couvert voir la liste sur le site B Quels lieux quels personnages et quelles ambiances as tu ren contr s en lisant 36 Quelles r actions as tu envie de partager surprises d couvertes questions Par groupes ou individuellement lisez des livres en fran ais qui par lent de la Francophonie Partagez vos r actions sur www le ser ch B Projet d criture expression pour les classes des mots d ici et d ailleurs Trois projets pour d couvrir et crire les mots du fran ais de chez nous et de partout M Recherchez des mots ou expres sions d ici du terroir trouvez leur une d finition et illustrez les de mani re cr ative M Recherchez des mots venus d ail leurs retrouvez leur histoire et cr ez une d finition avec illus tration qui facilitent la compr hension Nutour de la lecture Le th me 2010 lire le fran ais d ici et d ailleurs E Cr ez des mots nouveaux pour dire d autres mani res de vivre avec a objets outils v hicules ou appareils imaginaires b cr a tures vivantes animaux plantes et humains dot es de fonction nements diff rents c impres sions r ves ou sentim
66. e Barras Paris Ass parents Maude Barras AVECO Florian Chappot AVEP Jean Fran ois Dorsaz CDTEA Daphn e Constantin Raposo SPVal St phane Vaucher AVPES Zoe Moody HEP VS E Photographe Jacques Dussez Q ances nserer vos annonces D Technop le T l 027 452 25 25 info schoechli com E Donn es techniques Surface de composition 170 x 245 mm Format de la revue 210 x 280 mm Impression en offset en noir et une teinte vive photolithos fournies ou frais de reproduction factur s s par ment pour les documents fournis pr ts la reproduction E Parution Le 1 de chaque mois sauf janvier juillet et ao t E D lai de remise des textes et des annonces D lai pour les textes 5 du mois pr c dant la parution D lai pour les annonces 15 du mois pr c dant la parution E Abonnements Tarif annuel Fr 40 Prix au num ro Fr 6 Tarif contractuel Fr 30 T l 027 606 41 59 resonances admin vs ch R gie des annonces Schoechli impression amp communication SA Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 info schoechli com E Impression exp dition Schoechli impression amp communication SA Technop le 3960 Sierre T l 027 452 25 25 info schoechli com el abonner Les abonnements pour les tarifs cf impressum peuvent se faire O par courriel resonances admin vs ch 1 par courrier DECS SFT R sonances rue de Conthey 19 cp 478 1951 Sion Pou
67. e ce produit ou ce processus de fabrication par exemple C est galement rep rer leurs implications dans un groupe social combien a co te quel changement in duit il quelle incidence sur l emploi et dans la biosph re quelles retomb es court et long terme sur l environnement Enseigner les techniques c est envisager encore leur r le historique ou encore situer leur volution dans le contexte international notam ment en liaison avec le d s quilibre grandissant entre le Nord et le Sud EE _ _ Enseigner les techniques c est un syst me de questions qu il s agit de traiter T En fait c est un syst me de questions qu il s agit de traiter Elles touchent tout la fois la technique aux sciences mais galement l thique la politique l ducation la culture au droit la consommation En tout cas une nouvelle responsabilit collective pour l cole est promouvoir Etre citoyen aujourd hui ce n est plus seulement voter pour son d put ou son magistrat puis s en remettre lui du moins ses ex perts et attendre Etre citoyen c est se positionner entre autres devant les intrusions de plus en plus pres santes des techniques Pour y parvenir c est interpeller les experts c est rep rer leurs comp tences et la ma ni re dont ils ont t choisis C est surtout demander Prochain dossier Eveil r veil de la curiosit d apprendre R sona
68. e gestion et les trans mettra l URD Ainsi d une part il n aura plus besoin de proc der des relev s complets de donn es d l ves formu laires bleus et d autre part le canton disposera d sormais de donn es pour faciliter le pilotage en mati re d ducation Les statistiques refl teront ainsi l tat des classes et la composition du personnel des coles au 15 no vembre de l ann e courante Cette informatisation renforcera la qua lit des donn es et apportera sans conteste une valeur ajout e leur analyse offrant ainsi aux acteurs de l cole valaisanne des possibilit s renforc es de monitorage El Des animations pour comprendre la plan te Educapoles site ducation de l International Polar Foundation met disposition plusieurs s ries d animations produites par la Fondation Polaire Internationale qui abordent diff rents th mes li s aux r gions polaires au fonctionnement du climat de notre plan te l nergie la biodiversit et aux changements climatiques www educapoles org fr multimedia Ateliers P dagogiques d Arts Plastiques du Service Education de la Ville de Mulhouse La partie R aliser contient des propositions d activit s en lien avec des techniques un atelier photographique un atelier gravure www crdp strasbourg fr cddp68 experience ressources fiches htm R sonances Novembre 2010 47 a piscine du Manoir Lionel Saillen
69. e la recherche proprement dite et l animation didactique Si cette derni re avait d abord t imagin e pour valoriser et diffuser les r sultats r colt s au travers des tudes entreprises L enfant l coute de son village elle a finalement connu son propre d veloppement et s est petit petit mancip e des diff rentes recherches www crepa ch peinture fra che car nouveau site Nouvelles cl s Un article sur l intelligence collective Au sommaire du dernier num ro de Nouvelles Cl s un texte int ressant sur la force de l intelligence collective et un article d Edgar Morin sur H raclite A signaler encore le grand entretien avec Jo l de Rosnay pour qui int grer la complexit est la cl du progr s Il convient aussi de mentionner qu il y a une pleine page Mix et Remix un dessinateur valaisan dont la cote d passe les fronti res suisses depuis plusieurs ann es www cles com 35 eI emaine romande dela lecture 22 26 novembre SRL Je n ai pas d obligation plus pressante que celle d tre passionn ment curieux Albert Einstein Semaine romande de la lecture Le fran ais d ici ei d ailleurs Dans le sillage du Sommet de la Francophonie Montreux 2010 un th me p tillant de curiosit s et de rencontres a t retenu pour la Se maine romande de la lecture lire le fran ais d ici et d ailleurs www le ser ch gt semaine romande de la lec ture Intentions de lectur
70. e la productivit conomique sur le court terme Ajoutons encore le d passement complet de nos poli tiques Sur ces questions ils s en remettent les yeux ferm s aux experts Les volutions technologiques sont alors men es unique ment l initiative des com pagnies multinationales m me si parfois ces choix sont ent rin s ult rieu rement par les gouverne ments Les comp tences sont transf r es de l Etat aux initiatives priv es le tout appara t tr s d loca lis multiforme et insaisis sable Et les techniques et leurs normes s imposent sans que jamais le citoyen LED PA D R sonances Novembre 2010 n ait eu son mot dire Mieux on a m me su cr er chez ce dernier un complexe d inf riorit pour qu il s en d sint resse Une ducation aux technologies d s l enfantine Une volution des mentalit s est absolument n ces saire Une ducation aux technologies peut tre envi sag e de fa on profitable d s l cole enfantine Il est regrettable que cet enseignement soit toujours balbu tiant ou d valoris pour le plus grand nombre Dans la nouvelle r forme du primaire il n appara t nulle part comme l une des priorit s Enseigner les techniques ne signifie pas disserter sur chaque innovation ou production prise s par ment Enseigner les techniques c est les situer dans leurs fonctions c est dire dans la relation individu ma chine comment a marche quel plus m apport
71. e loi devrait donc faire en sorte que chaque l ve oui chaque l ve soit bien form en musique cducation musicale Cependant qu on nous permette de nous interroger En rendant la justice la musique E Est on certain que cela soit juste pour tout le monde B Est on certain que les enseigne ments donn s ne soient pas des copies de ce qui se fait dans les coles de musique E Ne craint on pas que les forma tions donn es aux enseignants restent dans un acad misme de mauvais aloi E Est on certain que la musique soit enseign e de mani re inter disciplinaire et fasse partie de la vie de la classe et du b timent scolaire B Ne risque t on pas de cr er des injustices par rapport des do maines essentiels l environne ment par exemple Il ne nous appartient pas de r pon dre ces questions Tout au plus nous permettons nous de nous r jouir de cette future loi pour au tant qu elle vise vraiment le d ve loppement de l l ve et son int gration dans le monde social et musical au del de ses performan ces musicales L essentiel est de rendre justice l l ve Bernard Oberholzer et Jean Maurice Delasoie Notes naam 1 28 septembre 2010 2 Loi f d rale encourageant la gymnas tique et les sports 3 Je sais je suis un rabat joie 4 Dans ce mensuel et ailleurs cela est largement crit gt Pour m moire augmenter les heures de musique en classe au d triment
72. e quand les l ves en ont assez Des aides penser Une consigne de repr sentation de l objet permet pour l enseignant une valuation de la perception des donn es techniques en fonction des moments de l activit Elle aide l l ve comprendre et s approprier l objet Une premi re consigne dessine ce que tu as ob serv peut tre donn e juste apr s l activit Les des sins mettent en vidence pour l ensemble du groupe une pr occupation affective li e la situation Les en fants se sont repr sent s en groupe en train de mani puler Un autre jour chaque enfant du groupe r alise un deuxi me dessin dans le but d expliquer aux cama rades qui n taient pas l ce qui a t fait Cette deuxi me production est beaucoup plus technique et charg e de codes signifiants Les diff rences entre ces deux productions successives peuvent tre analys es Le premier moment de repr sentation situ imm diatement apr s l activit a pu tre influenc par les conditions de d roulement de la s ance La trace qu ils souhaitent conserver est essen tiellement li e l aspect psychologique de la situation et le dessin reste tr s affectif Un recul par rapport l activit peut donc tre positif de fa on d centrer diminuer l impact affectif pour s attacher des as pects cognitifs Les prolongements De nouvelles pistes d investigations peuvent tre envi sag es Des activit s su
73. e sp cialistes www sceren com cyber librairie cndp asp prod 109229 ppi eai ta mimma ni Le be basaga de fe mia 15 WWW astronomes com Le dsaloppenent de aaran Le mibr raenek et La Gains La wrst mm sole pierre Les bre RC Le ipst eis bylae matri Liia E Le Buai si lea tipise Introduction l astronomie wWww astronomes com R seau social de la culture scientifique et technique www knowtex com Sciences et technologie documentation CNDP http 4www2 cndp fr lesScripts bandeau bandeau asp bas http www2 cndp fr ecole sciences accueil htm Ouelques citations O La science c est ce que le p re enseigne son fils La technologie c est ce que le fils enseigne son papa Michel Serres O l app tit d acc der cette technologie l informa tique acc l re le d sir d apprendre lire et crire Michel Serres Toutes nos connaissances pass es pr sentes et venir ne sont rien au regard de ce que nous ne sau rons jamais Evgueni Aleksandrovitch Evtouchenko O Si la science ne s int resse pas aux choses d li rantes elle risque fort de passer c t de choses in t ressantes Antoine Labeyrie astronome O ll n y a pas des probl mes qu on se pose il y a des probl mes qui se posent Il n y a pas de probl mes r solus il y a seulement des probl mes plus ou moins r solus Henri Poincar O Une exp rience scientifique est une exp rience qui contre
74. entiers de cours Quelles sont les exigences d en tr e au niveau de l EMVS Il faut remplir un certain nombre de conditions scolaires notamment avoir notamment un niveau 1 en math matiques pour pouvoir tre admis pour les cours de la maturit professionnelle ndlr cf www emvs ch gt admission Les candidats s lec tionn s sont ensuite re us pour un entretien personnel et une valua tion pratique Depuis cette rentr e les jeunes ont toujours l obligation de r ussir la premi re ann e pour la maturit professionnelle mais ensuite des am nagements sont R sonances Novembre 2010 possibles pour viter qu un double chec cette partie de la formation ne les mette hors circuit Quels sont vos yeux les points forts de l EMVS C est certainement l apprentissage de la pratique qui est tr s bien structur L organisation des stages est bonne et leur accompagnement de qualit Et son principal handicap Il se situe au niveau culturel car les parents incitent encore leurs enfants faire le coll ge plut t qu entrer l Ecole des m tiers alors que les exigences sont de m me niveau et les d bouch s tout aussi attractifs Les universitaires ou les ing nieurs EPF essentiellement orient s vers la th orie sont tr s compl mentaires des personnes form es en HES da vantage l aise au niveau de la r a lisation mais cela n est pas toujours suffisamment compris Quels sont les gra
75. ents tradui sant les espoirs et d sirs des hu mains d aujourd hui Seul en groupe ou par classe deve nez chercheurs lecteurs en franco phonie et cr ez un dictionnaire original de mots ou expressions tudi s ou tout simplement inven t s Envoyez vos trouvailles sur le site www le ser ch 1 Sonf rence Martigny Mots migrateurs les tribulations du fran ais en Europe Conf rences en Romandie Par Marie Treps Linguiste et chercheure au CNRS Centre National de Recherche Scientifique D o viennent les mots Comment nous parlent ils de la vie et des gens d ici et d ailleurs Pourquoi s int resser aux mots de chez soi et de l bas Quels mots pour vivre dans un univers mondialis Mercredi 24 novembre 2010 Martigny Martigny Salle communale 19 h 30 21 h 30 Invitation enseignants parents biblioth caires et autres responsables de for mation Entr e libre Organisation Collaboration HEP Bejune PF3 HEP FoCo Fribourg HEP Valais Pour en savoir plus sur Marie Treps Wwww marietreps fr R sonances Novembre 2010 ICT Int gration L che pas la patate C est en compagnie du livre de Marie Treps illustr par Gwen Keraval et publi aux Editions du Sorbier que l animation ICT vous proposera lors de la se maine de la lecture du 22 au 26 novembre 2010 des activit s r aliser quotidiennement ou de fa on hebdomadaire Quiz des sins expression crite mots c
76. er M 2010 El ves et classes apprennent lire reprise des donn es d une recher che en lecture selon une approche multiniveau Neuch tel IRDP 10 3 R sum http publications irdp relation ch ftp 1284722869103 html Version pdf http publications irdp relation ch ftp 1284722869103 pdf Et aussi Forster Simone d Ecole et imp ratif de qualit oui mais comment actes du s minaire 2009 de l AIDEP Leysin 10 et 11 d cembre org Michel Guyaz Matthis Behrens et al Neuch tel IRDP 2010 108 p 30 cm 10 1 CHF 15 frais de port R sum http publications irdp re lation ch ftp 1284721010101 html Version pdf http publications irdp relation ch ftp 1284721010101 pdf Pagnossin Elisabetta La recherche suisse romande en ducation et en formation 2007 2009 Neuch tel IRDP 2010 40 p 30 cm 10 4 CHF 10 frais de port R sum http publications irdp re lation ch ftp 1285069861104 html Version pdf http publications irdp relation ch ftp 1285069523104 pdf R sonances Novembre 2010 eI tatistiques scolaires 15 novembre jour J SFT URD Comme vous le savez tr s certaine ment chaque canton suisse est tenu de livrer la Conf d ra tion des statistiques en mati re de formation Avec la rentr e scolaire 2010 2011 deux statis tiques importantes du domaine de formation sont modernis es soit la statistique des l
77. es animations sont d coup es en trois tapes avant pendant et apr s la visite De nombreuses techniques sont mobilis es pour la pr para tion de la visite dessin r cit en qu te remue m ninges etc Au cours de la visite les l ves d couvrent le langage propre chaque uvre Les affiches et les gravures ne sont pas cons truites de la m me mani re les photographies et les peintures n ont pas le m me impact mo tionnel et intellectuel sur le visi teur Progressivement les l ves s approprient un langage et des outils d interpr tation propres au langage visuel La visite se termine en apoth ose par une projection d images en 3D L gendes et acrobaties Gletscherli fils du l gendaire Gla cier du Rh ne est un petit r veur Alors qu il accompagne son p re R sonances Novembre 2010 lors de la derni re glaciation ce der nier l avertit Gletscherli ne reste pas trop en arri re ou tu te per dras Mais le Petit Glacier admire le paysage model par les siens et au lieu de bifurquer en direction de l Italie via le Simplon il continue sa route avec le Glacier de Zermatt di rection la France C est la hauteur de St Maurice qu il se rend compte de son erreur et quand il veut s en retourner il ne sait plus quel chemin 1 du spe artistes t Faustine Molliet Les Martina Pezzini Via Hobu ctacle Gletscherli Infos pratiques Gletscherli petit glacier perdu
78. es au projet Inviter les l ves faire un rapport un compte rendu de la rencontre envoyer une copie l artiste conti nuer le travail de recherche mis en place pour cr er une uvre indivi duelle ou collective exposer des li vres traitant du m me style etc D terminer s il y a une exposition des travaux ou un compte rendu public de l activit Les artistes contact s se r jouissent de partager leurs connaissances et leur art avec les plus jeunes et at tendent avec impatience vos envies et vos demandes De plus au be soin l quipe d animation de la HEP est aussi l pour vous soutenir si vous avez des questions ou des besoins Belles d couvertes vous tous lL r cole indispensable dans la vie de chacun Vincent Dussez L cole H Une institution merveilleuse qui permet aux potentialit s la tentes des enfants de voir le jour et devenir efficientes dans le quotidien B Une institution qui ouvre leur esprit au savoir savoir faire et savoir tre des g n rations qui les ont pr c d s B Une institution qui a t et qui est toujours une pr occupation majeure des soci t s d humains autorit s et parents H Une institution qui demande certes des efforts financiers im portants mais que les soci t s ac ceptent volontiers de fournir car pour les parents l enfant est ce qu il leur est le plus cher et pour ce qui est le plus cher son c ur le meilleur n est jamais trop
79. es d observation proximit de l cole M SIEUR LES filLES m COMMENT h MARCHE 8 PAPPP Pr A ie ni D R sonances Novembre 2010 B donner l occasion de sortir pour observer et explo rer le terrain ou le milieu E offrir la possibilit de fr quenter un espace multi m dia permettant de faire une recherche docu mentaire B favoriser l utilisation des ressources culturelles dis position mus es jardins botaniques B offrir des occasions de mettre en place un levage et une culture cycles 1 et 2 BH mettre disposition une calculatrice mettre disposition des logiciels et des didacticiels B organiser les collaborations avec les r seaux d inter venants autoris s e autour de la pr vention des principaux accidents routiers et domestiques lectricit chaleur in gestion de produit e autour de la promotion de la sant de la pr ven tion de comportements risque audition sexua lit et contraception maladies sexuellement transmissibles d pendances dopages mettre disposition le mat riel n cessaire aux diff rentes exp rimentations notamment diff rents ins truments de mesure et d observation que l l ve peut choisir et exp rimenter par exemple microscope multim tre balance chronom tre cycles 2 et 3 B donner l occasion d utiliser des ordinateurs des lo giciels et des supports num riques appropri s aux probl m
80. es th ories 0 Des clats de rire dans chaque le on R sonances Novembre 2010 Question Monsieur Raphy Darbellay directeur des coles primaires de Martigny Quelles sont les mesures de s curit mises en place Pour toutes les classes enfantines et primaires les cours sont donn s avec la pr sence de 3 adultes au moins l enseignant titulaire le sp cialiste natation prof de sport et le garde bain La Commune s est dot e galement d un sys t me d alarme cam ra Pos idon L organisation des cours et les contenus de l enseignement contri buent aussi cr er un cli mat de travail sain et de confiance Carnet de l apprenti nageur Pour amorcer l ensei gnement de la nata tion dans cette magni fique piscine couverte une quipe d enseignants de Martigny paul s par les animateurs en EP ont r alis un carnet test de l ap prenti nageur Vagues par vagues avec l aide de ce petit livret l l ve d couvre des exercices fun pour apprendre les diff rentes techniques de nage Sans br ler les tapes selon son envie son engagement l enfant rel ve les d fis propos s et colorie les exercices r ussis O 49 Wun num ro l autre E Neuch tel Citoyens de demain Les l ves de 9 ann e de l cole secondaire des Cerisiers Gorgier ont pu suivre les lections au Conseil f d ral sur grand cran Ces futurs citoyens ont pu vivre la matin
81. favoriser leur exploitation en vue de r gulations Elle contribue ainsi en collabora tion troite avec le SE B d terminer le niveau global de ma trise des objectifs L1 L2 Maths par les l ves de chaque classe de plusieurs degr s cl s des diff rents tablissements et plus g n ralement du canton E d celer d ventuelles d ficien ces par rapport certains objec tifs des plans d tudes E comparer les diff rences de r sultats entre l ves classes ta blissements voire entre syst mes par ex classes 1 ou 2 degr s pour favoriser la r flexion et en visager des r gulations aussi bien au niveau du D partement d un tablissement que d une classe Pour ce faire les directions d cole et inspecteurs scolaires pour les commissions scolaires re oivent les r sultats de chaque classe de leur s tablissement s le r sultat global des autres tablissements rendu anonyme et la moyenne cantonale Is ont pour mission de communi quer ces r sultats aux enseignants et de favoriser les changes au sein des tablissements Les enseignants sont quant eux sollicit s par le SE pour analyser les r sultats de leurs l ves l aide d un document ad hoc et tre pr ts en discuter avec l inspec teur Enfin la commission des exa mens et de l valuation les anima teurs p dagogiques et les r dacteurs des preuves communes re oivent un rapport contenant les r sultats
82. ganisent un colloque et des actions autour de la biodiversit cf p 27 www musees valais ch Sa 6 novembre 2010 Pr sentation ESF Journ e de pr sentation et de formation d ESF au Signal de Bougy Inscription obligatoire marie vial fr educanet2 ch www enseignantssansfron tieres org Je 11 novembre 2010 Osez tous les m tiers La deuxi me dition de Osez tous les m tiers aura lieu le jeudi 11 novembre 2010 Ce jour l les l ves de 6 primaire pourront quitter la classe pour d couvrir par exemple les m tiers de la sant pour les gar ons et les m tiers techniques pour les filles www vs ch egalite gt Osez tous les m tiers Je Sa 11 13 nov 2010 Colloque Education musicale Gen ve organise les Journ es francophones de recherche en ducation musicale JRFEM www asrem ch jfrem2010 Jusqu au 20 nov 2010 Expo en lien avec les droits de l enfant GenevaWorld l IDE Institut international des droits de l enfant ANILEC Productions et la Commune de Veyras pr sentent 191 Regards d enfants sur le monde Dans le langage universel de l art des enfants de chacun des 191 Etats membres de l ONU g s de 6 16 ans ont r pondu l appel de Geneva World pour exprimer Comment ils voient le monde de chez eux Jusqu au 20 novembre date de la Journ e internationale des droits de l enfant le public est invit visiter l exposition de dessins grand format dont le parcours serpente
83. gnants la pr sence des crucifix n est et de loin pas syst matique dans les classes valaisannes Dans plusieurs tablissements sup rieurs ils sont m me absents de la plupart des salles Ils n ont pas t enlev s ils n ont tout simplement plus t remis en place lors des r novations des b timents Sans que apparemment personne ne s en inqui te ou ne s en r jouisse Le Valais change Sans faire de bruit Le Nouvelliste 13 10 51 Les dossiers 2007 2008 2006 2007 2009 2010 2008 2009 2010 2011 N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d c janvier N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre N 3 novembre N 4 d cembre N 5 f vrier N 6 mars N 7 avril N 8 mai N 9 juin N 1 septembre N 2 octobre Infos 2006 2007 Promouvoir la lecture Maturit s et passerelles G n ration zapping Les langues trang res Enseignants technophobes philes Projets p dagogiques 1 2 Projets p dagogiques 2 2 Harmonisations tat des lieux Infos 2007 2008 Ecole Culture Regards crois s sur la diff renciation Raisonner les peurs Les dessous des grille
84. icult s de lecture Quel QUELLE PLACE our LA LITT RATURE 44 est l int r t de la litt rature pour construire le citoyen Quel est l int r t de la lecture litt rature La litt rature oui mais quelle litt rature Agn s Perrin livre des r ponses ces interrogations tout en apportant des pistes pour guider les enseignants dans la construction d une didactique de la lecture litt raire Elle sugg re par exemple de travailler le rapport texte image pour une lecture plus distanci e Agn s Perrin Quelle place pour la litt rature l cole Paris Retz 2010 NEGSABS BOL cole et d mocratie Daniel Each m Ecole et d mocratie Si dans un premier temps la diversification des voies de formation a contribu hisser le niveau de formation des Fran ais et d accomplir de r els progr s d mocratiques cette diversification a g n r ses propres limites L analyse route e et social pour emetir en r conomique de cet ouvrage dont l auteur us l ascenseu si est l origine du baccalaur at professionnel peut d abord tre per ue comme franco fran aise Reste qu un certain nombre de points entrent en r sonance avec l Ecole romande Daniel Boch Ecole et d mocratie Pour remettre en route l ascenseur conomique et social Paris PUG 2010 m La politesse l cole Dis bonjour N oublie pas de dire merci Tiens toi comme il faut Enl ve ta c
85. iers leParisien fr 28 09 E France Les filles de plus en plus violentes Les filles mineures sont de plus en plus en cause pour des faits de d linquance une hausse sensible sur cinq ans pour les violences aux personnes selon une tude de l Observatoire national de la d linquance et des r ponses p nales ONDRP Nous constatons qu il y a de moins en moins d cart avec les ui gar ons pour ce qui est de r gler leurs comptes rel ve notamment le criminologue Christophe Soullez l un des responsables de l ONDRP organisme charg de la publication des statistiques officielles de la d linquance et l Institut national des hautes tudes de la s curit et de la justice INHESJ Cette augmentation de la d linquance des adolescentes est particuli rement forte en r gion parisienne et en zone sensible surtout pour les bandes pr cise Christophe Soullez Lib ration fr 5 10 B Enqu te Education Enseigner c est vraiment un jeu d enfant Le minist re fran ais a mis en ligne des clips vid o cens s apprendre aux jeunes enseignants tenir leur classe Le degr z ro de la formation fustige le Snes Les nouveaux enseignants stagiaires ne sont pas laiss s seuls sans recours face leurs l ves ils disposent de vid os leur apprenant le m tier C est en substance ce qu a plaid le ministre Luc Chatel lors de la pr sentation de la plate forme Internet Tenue de classe il y a une semaine R alis e p
86. igne sur le nombre de ca ract res ne pas d passer aucune autre indication r dactionnelle n est donn e A chaque invit e de choisir son angle d attaque R sonances Novembre 2010 M trailler Joseph M trailler responsable de l Ecole des M tiers du Valais d s son ouverture il y a dix ans est de puis le 1 septembre 2008 chef de la section lectrotechnique infor matique du Centre de formation professionnelle de Sion CFPS Il supervise les formations d automa ticien ne d lectronicien ne et d in formaticien ne pouvant tre effec tu es l EMVS avec l obtention en 4 ans d un certificat f d ral de ca pacit CFC doubl d une maturit professionnelle technique MPT ainsi que des formations duales apparent es au CFPS y compris le m tier de m diamaticien ne Le chef de section donne par ailleurs encore quelques heures de cours de fa on conserver un lien avec les jeunes en formation Ce qu il appr cie tout particuli rement c est de rencontrer d anciens ap prentis qui sont dans le monde du travail ou qui se sp cialisent et qui ont une petite flamme dans les yeux en parlant de leurs ann es EMVS Zoom sur les formations dispens es l EMVS de Sion une petite cole par la taille mais grande au niveau des d bouch s professionnels Joseph M trailler vous tes la t te de l EMVS depuis ses d buts qu est ce qui vous a mo tiv relever ce d fi Portes ou
87. iques couture peinture objets divers J ai les comp tences en peinture en collage mais pas en couture E Cr er un sc nario et monter un mini court m trage avec sa classe J ai les comp tences pour faire r diger le sc nario organiser le Un professionnel de la culture de la liste Etincelles dans votre classe cole Vous pr parez un projet culturel et souhaitez faire Efncelles de culture l cole Kulturfunken in der Schule intervenir un artiste ou un scientifique dans votre cole classe Vous avez la possibilit de consulter la liste Etincelles de culture et de faire une demande de soutien financier avant fin novembre 2010 ou avant fin f vrier 2011 www vs ch ecole culture gt Etincelles de culture A noter que la liste s toffe r guli rement 18 plateau du tournage costumes mais pas les comp tences pour faire fonctionner une cam ra Puis regarder dans la liste d Etin celles de culture cf encadr ci des sous les artistes qui traitent le su jet ou choisir des artistes de sa connaissance li s au sujet choisi D finir a priori quel serait l apport de l artiste Par rapport son travail il pour rait permettre de donner des instructions pour la couture et le collage ainsi que sur l quili bre des travaux Par rapport son travail il pour rait corriger le sc nario montrer comment fonctionne une ca m ra et permettre de mettre jour les manquements d org
88. isifs pour l avenir de l enseignement des sciences l cole primaire Ces moyens devront vraiment et pour chaque activit propos e se baser sur des fonde ments th oriques p dagogiques et pist mologiques solides Autre enjeu majeur sinon d terminant la formation des enseignant e s Il semble en effet indispensable dans les dispositifs de formation initiale et continue de permettre aux enseignant e s de mieux conna tre les diff rentes m thodes d enseignement des sciences qui ont jalonn le si cle dernier d identifier plus clai rement les orientations actuelles en lien avec leurs fondements th oriques p dagogiques et pist molo giques et d avoir disposition des pistes concr tes d activit s mener avec les l ves Peut tre faut il galement insister sur quelques l ments qui semblent tre parfois oubli s l heure ac tuelle la science doit tre la discipline o l on cultive la curiosit l inventivit le plaisir de d couvrir le plai sir d apprendre Notes SEY 1 Dubois L 2009 L enseignement des sciences l cole pri maire discours d enseignant e s http home adm unige ch duboisl publications etude exploratoire mars 2009 pdf 2 M Orieux et M Everaere 1957 Le on de choses Classiques Hachette Paris 3 www irdp ch documentation programmes_etudes pro grammes_etudes html 4 www plandetudes ch Laurent Dubois Charg d enseignement l Universit de Gen v
89. jonctures socio conomi ques et l volution de la profession enseignante elle m me la red fi nissent r guli rement Partant du constat que l insertion profession nelle des nouvelles g n rations d enseignants tait une r alit mal connue en Suisse romande et que les statistiques cantonales taient trop lacunaires pour pouvoir exami ner les conditions d insertion des nouveaux dipl m s des chercheurs rattach s trois HEP romandes BE JUNE Fribourg et Valais ont uni leurs forces en 2005 pour mettre En raccourci Agence d information agricole romande Trois nouvelles publications AGIR propose trois nouvelles publications moutons et ch vres vignobles du lard et du cochon Ces documents peuvent tre obtenus gratuitement hormis les frais de port et d emballage www agirinfo com 40 en place un projet de recherche Une ann e plus tard des chercheurs tessinois SUPSI anciennement ASP TI et vaudois HEP Vaud se sont ral li s au projet Notons que le mo ment de la mise en place de cette re cherche n a pas t choisi au hasard En effet cette poque les pre mi res vol es form es dans les HEP taient sorties de la formation depuis peu ce qui rendait l analyse des conditions d insertion profession nelle incontournable aussi bien pour les d cideurs politiques que pour les institu tions de formation Nous avons alors fix comme objectifs de recherche d analyser les quat
90. juste poids On sait qu une personne dite mince mais s dentaire peut pr senter un risque plus grand pour sa sant qu une personne en surpoids Mais a ne se voit pas D une diff rence trop visible on en a fait un probl me de soci t Il n est pas bon de sortir de la norme Ce qui m attriste c est que pour essayer de r soudre ce probl me Photo d Anne Claude Luisier Isabelle Favre R sonances Novembre 2010 Chaque mois la r daction invite une autorit un acteur ou un partenaire de l Ecole valaisanne s ex primer via un dito carte blanche on en a cr de plus grands et qu au lieu d apprivoiser la diff rence on l a renforc e stigmatis e En mettant toute la population au r gime on a contribu d velopper des troubles du comportement alimentaire et augmenter le poids des personnes qui suivent des r gimes Finalement le plus grave est que manger est devenu un probl me un probl me de poids Je me souviens d un temps o manger tait juste un plaisir parmi d autres Plaisir de la premi re cerise cueillie sur l arbre plaisir du r ti du dimanche des carottes vaguement rinc es que l on venait d arracher des myrtilles sauvages ramass es lors d une balade Plaisir aussi des grandes tabl es anim es de la tarte au citron de ma grand m re et de tous ces l gumes que l on avait plant s au jardin et que l on retrouvait dans nos assiettes J aimais ce temps o l on se pr
91. l cole n a certes en soi rien de r volutionnaire Fran oise Dolto affirmait que l ennui peut tre aussi consid r comme un signe d intelligence Enfant Einstein disait s ennuyer L ennui n est cependant qu un sympt me parmi d autres de ce qui ne va pas l cole Selon l Afev les l ves sont en effet 30 ne pas aimer se rendre l cole ou au coll ge Pr s de 70 ne comprennent pas certaines fois ce qu on leur demande de faire en classe Ces incompr hensions motivent chez ces enfants des attitudes de repli et de faible participation en classe leFigaro fr 24 09 B Emploi Ouel avenir apr s les tudes Chez les jeunes le pourcentage des ch meurs est deux fois plus lev que dans le reste de la population Et pr s d un quart travaille dans la pr carit Les chances d insertion dans le monde du travail sont sensiblement meilleures en Suisse al manique qu en Suisse latine Par ailleurs les jeunes qualifi s pr sentent un passage la vie active plus stable que les jeunes non qualifi s Pour combler le manque d exp rience pratique certains jeunes dipl m s effectuent un stage dans la branche tudi e d une dur e de 3 6 mois Le fait de passer par un stage devrait normalement avoir une influence positive sur la suite de leur parcours professionnel La Libert 24 09 B G n alogie l cole Int r t grandissant aupr s des coll giens Des enseignants volontaires proposent une initiation le
92. l e Col n il a pris contact avec une enseignante de fran ais Olga Bonvin vivant dans cette ville et ayant des anc tres Bonvin Dela soie Favre La r ponse de sa col l gue fut rapide et disait en subs tance C est une opportunit for midable que j attends depuis tant d ann es d s lors je me r jouis d en faire profiter mes l ves Une belle histoire compos e de plusieurs chapitres Apr s cette r ponse positive donn e avec un lan tout argen tin le premier chapitre pouvait s crire Du 16 mars au 9 avril 2010 18 tudiants de la classe 3I OS Espagnol de Fidel Fer n ndez accompagn s de Made leine Dayer et d Eric Loye ont ainsi pu d couvrir les beaut s de la province d Entre R os et fr 38 j d Des jeunes venus de Sion et quenter l Escuela Normal Superior Rep blica Oriental de Uruguay Col n en Argentine Cet automne du 22 septembre au 10 octobre c est le deuxi me chapitre qui a t r dig avec l accueil de 18 jeunes accompagn s de trois professeurs dont Olga Bonvin Bien s r organi ser un tel change intercontinental a n cessit une solide dose d ner gie car il a fallu r unir les fonds Prarcambis Ling istices 2016 Mchange Lineuistique ZOJ g col n AQUSTINS Andr s Bel n Fa T Le arolina Eugenio rederico Da Le T shirt souvenir e Col n Langues Nadia Revaz n cessaires un d pla cement aussi lointain et
93. la M diath que Valais Martigny offrent la possibilit de profiter la fois d une visite comment e de l exposition et de la repr sentation du spectacle une of fre id ale pour les promenades d cole A vos agendas E 29 Justice est faite Votation Ainsi donc le Conseil national hel v tique vient d accepter l initiative populaire intitul e Jeunesse et musique L article 67 a nouveau Formation musicale dit en effet 1 La Conf d ration et les cantons encouragent la forma tion musicale en par ticulier des enfants et des jeunes 2 La Conf d ration fixe les principes applica bles l enseignement de la musique l cole l acc s des jeunes la pra tique musicale et l encoura gement des talents musicaux Concr tement cet article est calqu sur celui qui r git le sport en vigueur depuis 19722 Ce n est que justice Bravo On applaudit de toutes parts dans les milieux concern s bien que quelques obstacles mineurs soient encore passer le Conseil des Etats et le peuple On ne peut en effet que se r jouir de voir terme B Que tous les l ves de nos classes b n ficient d un enseignement musical d aussi grande qualit que pour les autres branches sco laires ce n est que justice E Que tous les enseignants concer n s soient form s de mani re ri goureuse et compl te ce n est encore que justice E Que des moyens financiers suffi san
94. lation entre les diff rents acteurs puisse tre achev e D s la rentr e 2009 tout en poursui vant l accompagnement des ECCG l URD a mis ses comp tences au ser vice des Lyc es coll ges qui ont d cid d entrer dans le processus et se sont mis d accord sur la mise en place d un premier indicateur cf rapport de septembre 2010 Pour le D partement de l duca tion de la culture et du sport la mise en uvre de d marches qua lit par les tablissements scolaires contribue une meilleure connais sance des r alit s du terrain En in diquant dans quelle mesure les ta blissements remplissent leur man dat elles fournissent une aide pr cieuse la d cision investisse ments structures types de conduite envisager permettant un pilo tage clair de l cole valaisanne et soutenant une dynamique d am lio ration continue Dans cette pr occur pation constante de qualit tous les partenaires de l ducation sont con cern s La validation et l analyse des r sultats des examens cantonaux L URD prend une part active dans le processus cantonal d valuation des acquisitions des l ves de l cole obligatoire Ses deux t ches princi pales dans ce domaine sont de sou tenir les quipes de r daction dans R sonances Novembre 2010 les proc dures de validation des examens cantonaux avant leur pas sation d analyser ensuite les r sul tats de l ensemble des l ves et de
95. let Documentations ouvrages pistes O Cahier pratique Mobile 3 03 O Swimmworld O Carnet swimsports ch O Manuel de Natation Commission f d rale du sport O Fiches de natation sur le mod le des 4 6 ans 6 8 ans 8 10 ans en cours de r alisation DVD Swimworlid Basic O Swimworld Basic Swimming technique from basics to pro O DVD BASIC 1 Natation pour d butants natation pour avanc s DVD BASIC 2 Natation de perfectionnement Et si les conditions le permet tent d entreprendre enfin la stabi lisation et l automatisation Par l observation mutuelle et l en traide les faibles et les forts ap prennent travaillent et rient en semble Avec motion deux anciens pr si dents du club de natation de Marti gny Roger Theux ma tre de sport retrait et Eric Darbellay ensei gnant 4P et pr sident du District se sont retrouv s dans le bassin du Manoir C Oaa fo on Cor m Og ea w 10 conseils pratiques natation Compter au d but pendant la fin les l ves 0 Ne pas laisser les enfants inactifs 0 Ne jamais forcer un l ve craintif mais l encourager 0 Du connu vers l inconnu et la nouveaut 0 Adopter une bonne progression m thodologique 0 Ne pas trop prolonger une tape d apprentissage 0 Corriger un d tail la fois et globaliser 0 Assembler soigneusement les diff rents l ments d une nage 0 Son propre enthousiasme motive mieux que de longu
96. lleurs c est en d couvrant par hasard l exposition du Service de la formation tertiaire au Grand Conseil en d cembre 2009 et le stand Explore it en particulier qu elle a trouv une d marche lui pa raissant accessible Ren Providoli responsable du pro jet Explore it la Haute Ecole p dagogique du Valais lui a fait d couvrir les kits et lui a conseill de s inscrire un cours de formation continue en lien pour s initier l utilisation de ce mat riel L enseignante a suivi la formation dispens e par Ro main Roduit et lui a demand de venir dans sa classe vers la fin de la s quence De l aimant permanent au moteur lectrique Romain Roduit a alors pass une matin e enti re en classe r pondant toutes les inter Tournevis et outils la main les l ves de Michelle Grandjean B hm ont d mont des objets du quotidien pour les comprendre 14 Samuel Fierz animateur en connaissance de l environnement pour le primaire A travers les objectifs Plan d tudes romand ndlr cf www plandetudes ch on peut tout fait s int resser la technique et aux technologies Au primaire l es sentiel est d offrir une ducation scientifique aux l ves et la connaissance de l environnement ce qui implique forc ment une confrontation avec le r el et les objets La rencontre avec des scientifiques et des in g nieurs permet en outre de casser l id e re ue du sa vant fou ou de l hyper sp cialiste
97. m nes il faut placer les l ves devant les faits les R sonances Novembre 2010 observer et les d crire de mani re pr cise l veil scientifique primat du questionnement de l enfant de ses repr sentations de la probl matisation sur l observation et importance du t tonnement exp ri mental la m thode OHERIC observation hypo th ses exp rimentation r sultats interpr tation conclusion des pr mices de l apprentissage par inves tigation IBL entre autres EEE La science doit tre la discipline o l on cultive la curiosit l inventivit le plaisir de d couvrir et d apprendre EEE Le PER adopt le 27 mai 2010 par la Conf rence inter cantonale de l instruction publique de la Suisse ro mande et du Tessin CIIP et pr sent au public le 16 septembre dernier apporte son lot de nouveaut s mais ne r sout pas tout Ainsi on y retrouve des inten tions issues de diff rents fondements th oriques p dagogiques et pist mologiques comme par exemple dans les activit s mentionn es dans les Commentaires g n raux du domaine Math matiques et Sciences de la nature Pour le domaine Math matiques et Sciences de la na ture les conditions cadre ont pour objectif principal de faciliter les apprentissages notamment ceux li s une exp rimentation et des collaborations avec les ressources ext rieures Il s agit entre autres de BH mettre disposition des espac
98. miers essais Au sujet d une uvre en particu lier Qu est ce qui vous a donn l id e de ceci E Pourquoi EH Comment R sonances Novembre 2010 Pr senter le vocabulaire propre au domaine de l artiste s il ou elle ne propose pas de le faire Le vocabu laire peut tre pr sent au moment de l laboration des questions Rappeler aux l ves le compor tement d sir lors d une visite Visite en classe Pr parer et organiser la visite en classe en d terminant pr cis ment les objectifs atteindre et les at tentes li es l activit Permettre l artiste si besoin est de voir quelques travaux pour va luer le niveau des enfants Voir avec l artiste s il y a besoin d expliciter certaines choses sur tout si les enfants sont petits L un des objectifs de ces rencontres est que l artiste puisse parler de ses diverses fa ons de d couvrir et de d velopper ses sources d inspira tion des facteurs qui ont influenc son travail des traditions et des nouvelles directions d une forme d art en particulier L enseignant devrait pendant la visite continuer g rer le groupe classe M SIEUR CEST VRM QUE VOUS VIVEZ SUR LES SUBVENTIONS DES IMPOTS DE MON Apr s la visite Remercier l artiste par crit et com muniquer sur la suite des r alisa tions Regarder avec l artiste quelle est la prochaine intervention Remplir les feuilles administratives li
99. n organise la 12 dition des 24 heures de natation les 27 et 28 novembre pro chains Le but de la manifestation organis e la pis cine couverte de Sion est de promouvoir la natation aupr s des jeunes et moins jeunes L entr e est gratuite tout un chacun peut s inscrire Des challenges pour les groupes qui auront nag la plus longue distance dont un challenge pour le groupe scolaire primaire et un pour le groupe scolaire secondaire Il y a galement un prix de 1000 francs of fert par la Banque cantonale du Valais pour la classe du secondaire 2 qui nage la plus longue distance Renseignements sur www cnsion ch ou 079 383 35 51 Dre Ron i 5 pes avec ou sans mat riel L l ve apprend ainsi s habituer l l ment liquide sentir la r sistance de l eau mettre sa t te sous l eau en gardant les yeux ouverts expi rer et inspirer calmement En plongeant sous l eau il d cou vre un nouvel espace un monde in connu et impressionnant visibilit limit e autres bruits de l eau par tout L apprenti nageur exp rimente la fl che un l ment cl pour l ap prentissage des diff rents styles de nage Tant que le corps glisse il ne coule pas l eau le porte A travers les situations de jeu l enfant oublie ses craintes Cer tains exercices et jeux appris en salle de gymnastique peuvent tre adapt s la piscine Exemple lutte pour le ballon une quipe bon nets ro
100. nces Novembre 2010 plus de transparence dans les choix et en particulier exiger de d battre contradictoirement des finalit s N oublions pas que le citoyen est galement un consommateur et qu il a le droit de ne pas acheter un produit ou une fabrication tant qu il n en poss de pas tous les tenants et les aboutissants Encore faut il que ses choix soient r fl chis et non le fruit d une impul sion d un conditionnement ou d une mode Autour d un objet du quotidien le baladeur MP3 L attrait pour les techniques est ind niable chez les jeunes enfants Ils aiment manipuler ces objets com plexes employer des termes dont ils ne per oivent pas toujours l exacte signification De plus l utilisation de ces objets les valorise Ils font fr quemment r f rence aux objets techniques dans leur vie L tude d un objet technique pouvant tre facilement manipul et offrant des possibilit s de travail sur des m canismes simples est une occasion pour l enfant de se doter d instruments de pens e efficaces Ces activi t s contribuent d velopper des d marches des op rations d velopper le langage notamment celui de la communication technique Des travaux autour d un objet permettent l alternance d activit s d investigation manipulation t tonnement etc et de structuration communication repr senta tion du savoir en interaction avec l enseignant Des attitudes des d marches et des connaissances s
101. nds d fis pour l avenir de l EMVS Il y a tout d abord la synchronisa tion terminer entre les formations dispens es l Ecole des m tiers et au Centre de formation profession nelle de Sion et de Vi ge Au ni veau des volutions futures l EMVS pourrait s ouvrir d autres profes sions par exemple la m canique L objectif serait aussi de r duire le taux d chec en premi re ann e comme ce fut le cas l ann e pass e de mani re un peu exceptionnelle Pour ce faire il est important que les jeunes qui viennent l EMVS soient suffisamment motiv s par le m tier qu ils choisissent Propos recueillis par Nadia Revaz Pour plus d infos Site du Centre de la formation professionnelle www cfps ch Site de l Ecole des m tiers du Va lais www emvs ch Sites de l orientation www orientation ch www vs ch orientation R sonances Novembre 2010 A vos agendas Me 3 novembre 2010 Conf rence Bataille des livres Eric Simard auteur de litt rature jeunesse qui aime changer avec ses lecteurs abordera le sujet de la rencontre entre les lecteurs et l crivain travers 2 th mes savoir 1 d couvrir entrer dans le monde d un auteur et accueillir un auteur dans sa classe 2 comment favoriser le partage Saint Maurice Maison de Commune salle Bourgeoisiale 14h www bataille des livres ch Je Sa 4 6 novembre 2010 Colloque Biodiversit La Murithienne le Mus e de la nature et Fauna vs or
102. nes portables rec lent des tr sors d ing niosit L exposition de l Espace des Inventions Lausanne est une invitation d visser le couvercle ouvrir la bo te soulever le capot avec une curiosit gourmande pour d couvrir avec d lectation les combines fut es et les astuces techniques g niales que cachent ces objets quotidiens Dossier p dagogique t l charger www espacedesinventions ch Jusqu au 30 novembre 2010 R veries min rales La Fondation Tissi res Martigny Mus e des sciences de la terre pr sente jusqu au 30 novembre une exposition de photographies Projets de professionnels de la culture b n ficiant d un soutien Etincelles de culture e Enfantin Primaire Gare au loup spectacle d couverte de la technique du th tre au noir jose manuel ruiz bluewin ch K Primaire Gletscherli petit glacier perdu spectacle visuel et musical plurilingue et multidisciplinaire carinetripet bluewin ch Concerts didactiques propos s par l Association des Amis du Conservatoire Degr primaire M Jean Maurice Delasoie HEP jean maurice delasoie hepvs ch Degr cycle d orientation M Claude Eric Clavien HEP claude eric clavien hepvs ch Effncelles de culture l cole Kulturfunken in der Schule Degr secondaire 2 Mme Maria C rdoba Conservatoire events conservatoirevs ch Secondaire Enregistrement professionnel d un morceau de musique r alis par des l ves musiciens Norton Ashley ajn
103. nt gration mapping L int gration de l audio et de la vid o dans l enseignement y trouvent galement une place pr pond rante Ces cours sont videmment ouverts toutes les personnes int ress es Vous pouvez en d couvrir une des cription l adresse suivante www eduvs ch planta padelitroz ICT cours_integration_Sll pdf L affiche officielle de la HEP VS est disponible en suivant le lien www eduvs ch planta padelitroz ICT affiche_hep pdf Les inscriptions se font sur le site de la HEP VS Les formateurs F3 esp rent r pon dre vos attentes et se r jouissent de r fl chir avec vous l int gra tion p dagogique des ICT car ne l oublions jamais les ICT sont et resteront des outils C est ce que les enseignants en font qui apportera une plus value p dagogique EH En raccourci Il patou de Nindaz Sauvegarde sur internet Le projet ll patou de Nindaz a pour objectif de mettre en ligne un lexique du patois de Nendaz d enregistrer les mots de ce lexique et quelques phrases pour entendre ces mots dans leur con texte d diter des films m moire et de collecter et mettre la disposition de chacun les sources crites sonores et visuelles http nendaz minidns net patois R sonances Novembre 2010 m L tudes de la banque Repr sentations et pratiques d clar es de lecture criture dans les disciplines autres que le fran ais Cette tude du SRED fait suite aux
104. nt une s rie de courts m trages ducatifs en six pisodes un site Web interactif et un guide p dagogique http uneincroyable planete ca Wolfo La bande dessin e Wolfo con ue par le WWF emm ne les l ves la http llanimation hepvs chl sciences de la nature 26 La biodiversit au coin du mur quel mur d couverte de la biodiversit et de la cha ne alimentaire en for t Des fiches p dagogiques pour les 8 10 ans et pour les 10 13 ans accom pagnent la bande dessin e ainsi qu un dossier pour l enseignant WWW Wwwf ch La biodiversit tout est vivant tout est li Cette exposition cr e par l asso ciation GoodPlanet pr sid e par Yann Arthus Bertrand a donn lieu la cr ation d un fichier pluri disciplinaire d exploitation p da gogique l ves de 8 15 ans www ledeveloppementdurable fr biodiversite Expo disponible au pr s de la M diath que Valais con tacter evelyne nicollerat media theque ch 024 486 11 88 Biodiversit Le dossier biodiversit cr par le WWF pr sente les principaux en jeux de la biodiversit aux ensei gnants I est accompagn de fiches d activit s cl en main pour les l ves de la 2 la 5 ann e du pri maire www wwf ch Eduquer l environnement en maternelle Le num ro sp cial Eduquer l en vironnement en maternelle du magazine belge Symbioses d du cation relative l environnement pr sente des pistes
105. ntreprises qu coutent les parents dans la salle de bain le ma tin Et dans la voiture On pourra les changer entre l ves ou entre classes je raconte ce que je fais d autres l ves Un autre type de correspondance scolaire peut tre ainsi en gag Note SEY 1 Les enseignants qui atteignent ou d passent la cinquan taine ont d int grer depuis leur naissance le d veloppe ment de l lectronique transistor t l vision magn to scope de l informatique macro et micro de la robo tique des t l communications des banques de donn es de l nergie nucl aire solaire des nouveaux mat riaux multiples polym res et int gr s pour la construction les loisirs et m me pour les v tements des biotechnologies m dicaments diester de l imagerie m dicale chogra phie scanner doppler RMN Leur intimit elle m me a t affect e par ces bouleversements Tour tour les nou velles techniques de s lection des esp ces g nie g n tique de culture clonage bouturage in vitro culture sans sol de conservation reconstitution cong lation lyophilisation et de cuisson induction vapeur s che micro ondes ont modifi les pratiques alimentaires Les diverses pilules ont chang la sexualit les techniques de procr ation assist e font voluer le d sir d enfant Andr Giordan fondateur et directeur du Laboratoire de Didactique
106. occupait d utiliser de beaux produits plut t que des produits all g s ou fonctionnels Un doux m lange de bon de beau de sain Et quand le repas se terminait on passait autre chose et on n y pensait plus jusqu au prochain repas Donner l acte de manger sa juste place une activit parmi d autres qui ne prend pas la t te qui fait simplement plaisir c est possible R enchantons nos repas L cole peut y contribuer Laissons entrer des aliments en classe tous les aliments Profitons de la multiculturalit pour explorer des pratiques alimentaires diverses belle ouverture la diff rence N ajoutons pas de le ons ad hoc enrichissons plut t les le ons existantes Travaillons avec tous les sens des enfants comme supports d apprentissage mettons avec eux des mots sur ce qui est per u ouvrons leur de nouveaux horizons tout en saveurs expliquons leur par exemple d o vient le lait le chocolat ou le safran et pourquoi nous mangeons Les enfants sauront d s lors devant leur assiette raconter une autre histoire que celle des r gimes Anne Claude Luisier dipl ing nieure en denr es alimentaires EPFZ directrice de SensoCreativ et cheffe de projet de Senso 5 E ri 4 x Luisier ommaire Le poids des maux ii 4 11 La as FUD ques EH AC amp M et AV 1 8 Petit mode d emploi pour recevoir un artiste en classe A Vermot EH Regards sur l cole 20 L cole indispensable dans la vie de chacun V Du
107. odage l apprentissage des lettres et l approche crite la motivation interne les objectifs affectifs la vi tesse d avancement de l enseigne ment apprentissage TEESE 4 ire leves et classes apprennent Rapier Sti dnanb s d unt wecherche an lecturt prive St EN d tan unt spproche mulineta san Cai dinet n aethant if L Marting Hire Cette mise en perspective se pro longe par un regard sur les princi pales recherches processus produit men es d s les ann es 1970 du m me type finalement que celle de l IRDP de 1973 L certaines interac tions entre variables p dagogiques et personnelles des l ves sont prises en consid ration en lien avec la question de l efficacit de l ensei gnement Si des pistes telles que la diff renciation de l enseignement sont cit es la question de l effica cit de l enseignement de la lecture reste largement ouverte aujourd hui encore Enfin une discussion m IRDP Pour commander documentation irdp ch thodologique termine le document sous la forme d un plaidoyer en fa veur d une alliance entre recher ches quantitatives et qualitatives vues comme compl mentaires et fa vorables un travail en quipe Il ressort en effet en conclusion que l affinement des outils d analyse de vient de plus en plus n cessaire pour r pondre aux questions com plexes que pose l cole actuelle Cardinet J amp Wirthn
108. oetes com Pya ki A Le Lis Ta m m g5 Fi A a Linguistique M dias Politique Le site de Patrick Charaudeau Un site pour situer naviguer relier Un site pour penser avec le temps Un site qui vite la pr tention du savoir mais un site sans complaisance Un site pour ce travail de trituration des notions parfois dans le non dit et toujours dans la qu te du sens hors de la pens e dominante Le site du s miologue Patrick Charaudeau professeur m rite de l Universit de Paris 13 et chercheur au CNRS Laboratoire de Communication Politique met en ligne ses publications la plupart en texte int gral www patrick charaudeau com 43 a S lection du mois a Une histoire de la francophonie m Une pausa aa Francopho de Con retion Da l ARN aiechaique rorpeniantes nat ona m em Christian Valantin n Saint Louis et issu des grandes familles m tisses de cette ancienne capitale de l Afrique occidentale propose un essai historique sur la francophonie Il s int resse la question institutionnelle en francophonie au projet francophone la diversit culturelle aux liens entre francophonie et conomie et paix et aborde la th matique de la francophonie didactique Christian Valantin Une histoire de la Francophonie 1970 2010 Paris Belin 2010 a Quelle place pour la litt rature l cole Quel est l int r t de la litt rature face aux diff
109. ole sp cialis e valai sanne il s agissait de pouvoir pro poser des parcours permettant d y entrer directement de fa on r pondre au mieux aux besoins de la formation tertiaire et la de mande du march du travail C est donc dans ce contexte que le Can ton a d cid d ouvrir l Ecole des m tiers il y a dix ans L Ecole des m tiers c est donc une voie rapide et plus sco laire pour s orienter vers le m tier d ing nieur Oui on peut devenir ing nieur en sept ans avec quatre ans en cole des m tiers puis trois ans d HES Avec Pierre Poffet respon sable de la fili re Syst mes indus triels la HES SO Valais nous orga nisons r guli rement des s ances pour pr senter ce parcours en deux tapes Au sortir de l EMVS les jeunes peuvent aussi s orienter vers un brevet ou une ma trise ou en core suivre les cours d une cole technique Quelques uns entrent directement dans le monde profes sionnel toutefois majoritairement ils poursuivent une sp cialisation Formation professionnelle initiale acc l r e FPIA La FPIA est destin e aux d ten teurs d une maturit gymnasiale ou d une formation quivalente bac ESC ECG etc et aux tu diants ayant r ussi au moins 3 ans de coll ge Elle propose une voie rapide pour l obtention d un CFC 2 ans et une passerelle vers les HES pour les maturistes 1 ann e 21 En optant pour l EMVS un jeune peut devenir automaticien lec
110. ontinuent se battre pour ouvrir et maintenir l humain au centre de la soci t Le Journal du Jura 25 09 E Scolarit M contents A Gen ve au coll ge l Ecole de commerce ou encore de culture g n rale les m contents sont l gion cette ann e Au total 339 recours ont t d pos s aupr s de la direction du postobligatoire durant l t direction qui a re u plusieurs dizaines d l ves accompagn s dans la plupart des cas de leurs parents La majorit d entre eux a contest un redoublement un triplement non autoris par l cole ou encore un refus de d rogation La mode des recours est apparue il y a une dizaine d ann es Avec la crise financi re et conomique les parents semblent galement craindre davantage que leur enfant n entre trop vite dans la vie active et tentent de les maintenir le plus longtemps possible dans la vie scolaire Tribune de Gen ve 27 09 E Angola Culture dans les coles Le projet Culture dans les coles est arriv lundi dans la municipalit de Maianga Luanda avec des d bats vente de livres et de disques pour inculquer aux enfants quelques habitudes didactiques pour le processus ducationnel comme le go t R sonances Novembre 2010 pour la lecture et l amour de la musique infantile Le projet Culture dans les coles qui existe d j dans cinq municipalit s de la capitale angolaise invite des chanteurs pour enfants et des
111. opres aux sciences outils de pens e et de repr sentation En faisant r aliser diff rentes repr sentations propos d un ph nom ne des sch mas des graphiques des ta bleaux de donn es En recourant divers instruments de mesure thermom tres r gles gradu es chronom tre En mettant en place des activit s de tri de rangement de classification de comparaison par exemple pour la dis tinction vivant non vivant ou pour la classification animale en demandant aux l ves d organiser des images en fonc tion de diff rents crit res et de justifier leur organisation S approprier une culture g n rale en sciences pren dre conscience de la place des sciences dans notre soci t apprendre rechercher et traiter des in formations d velopper l esprit critique En organisant r guli rement des sorties des visites des projets caract re scientifique en visionnant des films en consultant des ouvrages scientifiques tout en d velop pant une ducation aux m dias et en discutant du statut de chaque document crit ou audiovisuel S initier l ducation l environnement et au d ve loppement durable comprendre les enjeux de notre soci t d velopper une pens e syst mique En d veloppant une approche interdisciplinaire et syst mi que en faisant des liens entre diff rentes probl matiques en participant des projets en r alisant des enqu tes 12 R sonances Novem
112. otection de la Na ture et de la S ret nucl aire d Al lemagne a cr du mat riel d en seignement et d information sur la biodiversit l intention des l ves de 12 16 ans Ce mat riel a t traduit en fran ais www bmu de Samuel Fierz Adeline Bardou Notes 1 www biodiversite ch 2 Brochure de l exposition Toile de vie www biodiversite ch 3 Minist re fran ais de l cologie et du d veloppement durable Cont rences publi es Progamme Sion samedi 6 nov 2010 Agir pour la biodiversit O entretien du lac de Montorge O jeu de r les BiodiverCit s contes au Mus e de la nature Sion 4 et 5 novembre Conf rences publiques autour de la biodiversit O biodiversit dans les Alpes O biodiversit et grands pr da teurs O biodiversit et agriculture O biodiversit et soci t Programme d taill sur www fau navs ch upload programme_bio diversite_1 pdf R sonances Novembre 2010 N l A louveau num ro de Mise en mots La revue Mise en mots dirig e par Anne Lise Prudat propose une d cou verte et une initiation au th tre principalement destin e aux jeunes de 10 13 ans et aux adultes qui s occupent d eux parents enseignants anima teurs Cette nouvelle dition invite la d couverte d une pi ce de th tre pour jeune public librement inspir e du conte Boucle d or et les trois ours et fournit des id es pour crire des texte
113. perdant s il est c libataire CAPITAL ET RENTE Rente annuelle de retraite CHF 55 000 et capital de CHF 80 000 Rente de conjoint survivant CHF 33 000 Rente d enfant CHF 8250 Un capital de CHF 80 000 plac 2 rapporte CHF 1600 par an En plus si le principal n est pas consomm il reste disposition des h ritiers en cas de d c s Il faut que le capital rapporte plus de 6 5 par an pour Mais dans l hypoth se o il est mari et o son pouse lui survit 5 ans le couple est encore gagnant en ayant opt pour une rente La rente doit tre en g n ral privil gi e si la pr voyance est une source principale de revenu d un m nage 42 produire un revenu sup rieur la rente Le rendement et la conservation du capital ne sont toutefois pas garantis car ils d pendent des fluctuations des march s Le retrait en capital peut permettre d amortir un bien immobilier par exemple R sonances Novembre 2010 pas chose facile surtout de nos jours Par ailleurs si le capital est transmis enti rement aux h ritiers plus aucune rente de survivant n est due ni au conjoint ni aux en fants en cas de d c s du retrait Capital et rente Cette possibilit existe la CPVAL L assur peut choisir de prendre sa retraite en partie sous forme de ca pital et en partie sous forme de rente laquelle est r duite en cons quence Les rentes de survivants sont galement r duites Le r
114. plans Pour nous la pro position de Fidel Fern n dez tait presque magi que les l ves de Col n n ayant en g n ral pas acc s aux changes linguistiques et culturels com mente Olga Bonvin Une histoire qui ne fait que commencer L histoire n est pas finie Avant l change les contacts ont d marr sur Facebook ou Skype et certains jeunes d ici et de l bas garderont des liens vie explique Fidel Fer n ndez pour qui de tels liens sont la plus belle des r compenses Cer tains coll giens conomisent d j en vue d un s jour en Argentine Les enseignants r vent bien s r de pouvoir organiser d autres chan ges linguistiques et culturels entre Sion et Col n H KM NA welcome to the world s highest glacier palace 3883 m a s l AE Pi Lee Y aor rV f ya ni B Au gt ed i a T est L change linguistique Col n Sion sur les hauteurs valaisannes 39 Recherche sur l insertion des enseignants dipl m s HEP L insertion professionnelle des enseignants dipl m s des Hautes Ecoles P dagogiques romandes et du Tessin une recherche du groupe de recherche INSERCH Si l insertion professionnelle des en seignants n est pas une probl ma tique r cente voir les travaux d Hu berman sur la notion de cycle de vie par exemple elle demeure n an moins un ph nom ne d actualit dans la mesure o les fluctuations des con
115. position des donn es utiles au monitorage du syst me de formation p ex pr visions d ef fectifs scolaires sondages O offrir un soutien m thodolo gique dans les proc dures de validation des examens canto naux et analyser les r sultats de ces examens O participer des recherches in tercantonales et internationales par ex PISA valuation des moyens d enseignement des math matiques URD D marches qualit dans les coles O soutenir les coles mettant en place des d marches qualit Pilotage de la formation continue des enseignants 0 pr sider la commission paritaire de la formation continue et le groupe de coordination de la formation continue O administrer la formation en ta blissement et les formations continues individuelles hors can ton Participation des r seaux CODICRE CRE ADMEE OFS SSRE R sonances Novembre 2010 33 e temps est venu Pierre Alain D litroz Depuis quelques ann es des cours ICT sont dispens s dans les coles du canton Si au d but certains mettaient quelques r ticences quant leur utilit plus personne aujourd hui ne remet en cause la n cessit pour un enseignant de se familiariser avec les nouvelles tech nologies La d cision de M Roch de rendre ces formations obligatoires a donc rencontr un cho favorable et les cours de base et d usage dis pens s ces deux derni res ann es ont t tr s l
116. pportable Cette forme de violence scolaire que l on d signe dans les pays anglo saxons par le terme de school bullying reste encore assez m connue en France Pourtant selon une enqu te r alis e par les auteurs de cet ouvrage aupr s de 3000 coll giens 10 des l ves reconnaissent en tre r guli rement les victimes Jean Pierre Bellon et Bertrand Gardette pr sentent une analyse approfondie du harc lement entre l ves en montrant ce qui le distingue et ce qui le relie aux autres formes de violence A travers de nombreux t moignages ils d crivent comment ce ph nom ne est v cu au quotidien par les diff rents acteurs concern s les victimes leurs parents les diff rents t moins et m me les harceleurs Ils montrent aussi comment certaines strat gies de pr vention peuvent permettre d enrayer cette face cach e de la violence scolaire Jean Pierre Bellon Bertrand Gardette Harc lement et brimades entre l ves La face cach e de la violence scolaire Paris Editions Fabert 2010 2 m Pourquoi lire Charles Dantzig et Pourquoi lire La lecture n est pas contre la vie Elle est la vie une vie plus s rieuse moins violente moins frivole plus durable plus orgueilleuse moins vaniteuse avec souvent toutes les faiblesses de l orgueil la timidit le silence la reculade Elle maintient dans l utilitarisme du monde du d tachement en faveur de la pens e Lire ne sert rien C est
117. probl matiques sont venus se greffer de nou veaux enjeux d apprentissage int gr s en partie l en seignement des sciences l ducation citoyenne qui met en avant le d veloppement de l esprit critique et l ducation l Environnement et au D veloppe ment durable Ainsi cette complexit ce manque de clart ces erre ments et ces adjonctions se traduisent dans la pratique par une confusion g n rale tant au niveau des objectifs poursuivre dans l enseignement des sciences qu au niveau des approches p dagogiques recommand es C est en tout cas ce que d montrent diverses recherches comme par exemple une r cente tude analysant le dis cours des enseignant e s propos de l enseignement des sciences qui tablit que leurs repr sentations res tent tr s empreintes des m thodes pr conis es durant tout le si cle dernier et qu ils y recourent g n ralement 10 confusions et clarifications sans discernement Cette tendance est confirm e par d autres recherches qui analysent d une part les res sources et moyens d enseignement utilis s par les ensei gnant e s et d autre part des s quences d enseigne ment en sciences de la nature donn es par des ensei gnant e s Il faut dire que les moyens d enseignement de sciences l cole primaire n ont t renouvel s que dans quelques cantons ces 20 derni res ann es et l on trouve dans les classes romandes des moyens d ensei gnement datant des ann es 6
118. r des raisons administratives cen tralisation des fichiers il est imp ratif que tous les abonnements et les chan gements d adresse se fassent par cour riel ou par courrier et non par t l phone avec indication du degr d en seignement enfantin primaire CO secondaire Il Merci toutes et tous pour votre compr hension Pour consulter les archives de R sonances www vs ch sft gt R sonances mensuel de l Ecole valaisanne SCHOECHLI IMPRESSION amp COMMUNICATION SA Semaine romande de la lecture Le fran ais d ici et d ailleurs WwWW le ser ch
119. r la consommation de cet objet que faut il acheter en quoi le baladeur est il utile sur l environnement que faire avec les piles usag es doit on pr f rer les batteries rechargeables aux piles sur l histoire de cet objet depuis quand il existe qu utilisait on avant peuvent tre entreprises L usage normal du baladeur peut conduire tout sim plement des activit s B sur la musique j change les musiques que j aime ou B sur l coute d histoires Un travail sur les diff rents types de documents que je peux couter peut tre engag la suite R sonances Novembre 2010 Le dossier en citations Avis d economiesuisse Une enqu te men e par economiesuisse avec certaines chambres de commerce et d industrie montre que des mesures s imposent L conomie suisse demande depuis longtemps que l cole obligatoire veille davantage l int r t des jeunes pour les sciences et la technique D apr s Marco Ettisberger secr taire de la Handelskammer und Arbeitgeberverband Graub nden les sciences naturelles et les mati res techniques jouent un r le cl pour l innovation en Suisse www presseportal ch L utilisation de baladeur enregistreur peut devenir une premi re approche pour des productions de dis cours de r cits d histoires par les l ves eux m mes Des relations avec les missions de radios des grands fr res ou des parents peuvent tre e
120. rac tifs il s agit de d passer l effet magique et d essayer de constater des relations et des interactions S approprier une m thode de travail c est aussi acqu rir un savoir Une v ritable m thode de recherche de la panne s est organis e de fa on intuitive E Y a plus de cassette V rification E Y a plus de piles V rification E Elles les piles sont us es Quel test Les enfants n ont pas toujours de solution proposer pour ce test L enseignant peut proposer la subs titution par des piles neuves Cer tains ont ainsi pu conclure quant au non fonctionnement du bala deur Les piles taient us es L enseignant peut introduire un petit appareil pour mesurer l tat des piles leur ni veau de charge Sont elles toutes us es Que se passe t il quand certaines le sont et d autres pas Il faut voir B Les batteries sont plat On les recharge et on regarde Ce qui induit les l ves diff rer la r ponse On ne l a que demain R sonances Novembre 2010 Ainsi partir d hypoth ses induites par la repr senta tion de l objet son usage ou son fonctionnement l enfant peut progressivement laborer une logique de fonctionnement de celui ci Des s ances de mise en commun en classe enti re permettent de faire le point Tr s souvent de nouvelles questions naissent qui peuvent tre l origine de nouvelles investigations Le th me s arr t
121. re sc no graphie ambitieuse A l occasion de l exposition l espace de la M dia th que Valais Martigny a t en ti rement r am nag Le visiteur est invit entrer dans une grotte 1880 raphie genevoise images et Sons du Valais d un d clin annonc glaciaire et se laisser guider dans un labyrinthe qui donne voir les diff rentes facettes du glacier l gendes et croyan ces d couvertes scientifiques lente appropriation de ce qui fut longtemps une zone blanche sur les cartes d but du tourisme etc Photogra phies gravures peintures affiches films images en 3D et cr ations contemporaines mettent en sc ne les gla ciers de 1840 nos jours Du glacier du Rh ne au massif du Mont Blanc l ex position s articule autour de comparaisons Des vues actuelles r alis es par Hi laire Dumoulin sont mises en regard des plus anciennes pho tographies alpines Mieux que de longs discours elles donnent la me sure du d clin de ces g ants tte du spectacle cr e e Deurin Rita Bonvin La marionne par Vivian R sonances Novembre 2010 Table glaciaire Aletsch 1903 E Gos M diath que Valais Martigny Randonn e glaciaire pour les classes Comme son habitude et toujours dans le cadre d Etincelles de cul ture des visites p dagogiques sont organis es Des petits de l cole en fantine aux l ves du secondaire les classes sont les bienvenues L
122. re en 2007 et ayant re u le Prix des Auditeurs de la RSR et retenu comme Coup de C ur dans le cadre du fes tival Lettres Fronti re Eug ne Meiltz voque son parcours de la Roumanie de Ceausescu sa vie en Suisse Apr s le succ s du livre Eug ne a d cid de pren dre le risque de conter cette histoire sur sc ne J avais envie de faire vivre ce texte en m adressant directement au public sans me cacher derri re le para vent du livre explique Eug ne qui joue ce spectacle l ger mais tout en mo tions dans des th tres des biblioth ques ou des coles Site sur Eug ne r alis par la classe 4H 2009 2010 du Lyc e coll ge de la Planta Sion dans le cadre du concours Junior Web http zwookedu ch eugene 37 m change Valais Argentine L histoire commence ainsi Fidel Fern n dez professeur d es pagnol au Lyc e Col l ge des Creusets Sion souhaitait offrir ses tudiants en option sp cifique la possibilit de mettre en pratique la langue apprise en classe et leur donner l occasion de la d couvrir sous un angle plus culturel et relationnel Fidel Fer n ndez a d abord pens un change avec l Es pagne mais comme cela s est av r difficile or ganiser il a rapidement tourn son regard du c t de l Am rique du Sud du V n zuela puis de l Argentine Sa chant les origines valaisannes m l es l Argentine cela devenait une vidence et Sion tant jume
123. re facettes de l insertion profes sionnelle qui nous semblaient les plus importantes c est dire les conditions dans lesquelles les ensei gnants r cemment dipl m s com mencent exercer les strat gies d insertion qu ils mettent en uvre les apports de la formation initiale et son articulation avec la formation continue Pour ce faire nous avons construit un cadre th orique origi nal s inspirant des travaux de Bron fenbrenner 1979 un cadre que nous avons appel cosyst me de l insertion professionnelle En nous basant sur ce mod le cosyst mi que nous formulions l hypoth se que la r ussite de l insertion ne d pend pas seulement de l enseignant d butant en tant qu individu mais qu elle d pend galement en par tie au moins de ce que le milieu d insertion les tablissements sco laires et les autres acteurs de l cole donne ou ne donne pas au d bu tant Aussi en recueillant des don n es sur le processus d insertion en pu c t de ta HEP VS milieu scolaire nous visions analy ser les positions des diff rents ac teurs de l insertion en premier lieu l enseignant r cemment dipl m mais aussi les autres acteurs de l in sertion les directeurs ou les respon sables des tablissements scolaires les enseignants et les autres profes sionnels de l ducation comme les inspecteurs ou les m diateurs scolaires Notre projet a d bu t par une enqu te quantitative
124. resse parce que tout le monde s int resse la science WWWw sciencepresse qc ca R sonances Novembre 2010 A d couvrir en 9 pisodes une interview d Andr Gior dan connu pour son mod le allost rique de l appren dre et son approche des sciences l cole de 1 Quels savoirs l cole primaire 9 Recherche d informations en passant par 5 Vers une laboration des hypoth ses www youtube com watch v D9_gGQUb pU http educasciences ning com www futura sSciences com Futura Sciences le magazine de l innovation de la science et de la d couverte www futura sciences com L aventure de La main la p te a t initi e par Georges Charpak en 1995 www lamap fr DVD Apprendre la science et la technologie l cole Ce DVD vid o r alis par la Direction g n rale de l enseignement scolaire DGESCO l Acad mie des sciences et le CNDP est un outil de formation pour les ma tres Qu il soit utilis par chaque enseignant pour sa formation per sonnelle ou en situation de formation profes sionnelle collective il est un d clencheur de ques tionnements qui trouve ront leurs r ponses dans le cadre d une r flexion collective au sein des quipes p dagogiques D une dur e totale de plus de trois heures il montre et analyse la mise en uvre de la d marche d investigation en science et technologie l cole travers des S ances de classes commen t es et des Points de vue d
125. rofesseure la HEP VS et membre du groupe INSERCH Bibliographie choisie 1 Akkari A Mellouki M Coen P F Wentzel B amp Changkakoti N 2010 para tre Entre formation et travail L insertion professionnelle des ensei gnants dans une perspective internatio nale Presses de l Universit de Laval Bourque J Gremion F Akkari A Broyon M A B Bo chat Heer amp Gre maud J 2009 L insertion profession nelle en enseignement Validation d un uverture mod le inspir de Bronfenbrenner Re empathie disponibilit r vue suisse des Sciences de l ducation respect humour coute patience creuser cequ il vaderri re tel ou tel comportement 2 2009 Broyon M A amp Changkakoti N 2008 m expliquer us Collab ioa JE re Soon litre ca Identit s professionnelles en construc z onsiruire savoir r de l aide z 2 ea observer poser des questions j tion In GRSIE Ed Hier tudiants au ao oser C l jourd hui enseignants Recherche sur s adapter a J i s E Er mw os RE l insertion professionnelle des dipl m s t che orient es des HEP romandes et du Tessin pp 115 sens du coll que t che 137 Consult le 12 mars 2010 dans terrain Er www inserch ch rapport Rapport_GRSIE pre _09 1 10 08 pdf Qualit s n cessaires pour tre Notes TT RS d Bien dans sa peau Amour du m tier s
126. rois s memory et jeux divers inviteront petits et grands d couvrir Le fran ais d ici et d ail leurs th me de cette ann e mis en valeur dans ce livre O a Sur le site de la HEP VS pardi sous la rubrique Anima tion ICT Multim dia ou di rectement l http animation hepvs ch ict fr Nourrissez vos souris elles vont trotter A bient t L animation ICT Marie Treps F e Hela otg TM FORT PET Pa prano spia loa T TERECLOILL PS un merci particulier l au teure l illustrateur et l di teur qui nous ont aimablement et gracieusement mis dispo sition les droits de reproduc tion de leur livre L che pas la patate et ventuellement les Mots oiseaux pourront tre d dicac s lors de la conf rence du mercredi soir pr vue Martigny R sonances Novembre 2010 m _ xposition p dagogique Pour tout l or des mots Interactive l exposition Pour tout l or des mots visible la M dia th que Valais St Maurice jusqu au 23 d cembre offre exp riences d couvertes r flexions plaisirs nouvelles id es et autres surprises sur les mots d couvrir dans un es pace voquant la banque la mon naie les lingots l or Mots c urs mots cris mots de passe exquis mots p pites d or Les alchimistes de Semaines de la lecture invitent chacun d couvrir s merveiller compter jouer bref investir dans la valeur la richesse la
127. rs de philosophie taient peu participatifs une ambiance tr s dif f rente du brouhaha argentin o chacun donne son point de vue Impossible de faire mentionner ne serait ce qu l un des sept tu diants une bonne raison de ne pas effectuer un tel change scolaire Tous se disent pr ts en faire d au tres Ils avouent avoir eu des petits R sonances Novembre 2010 ndez et Olga Bonvin Fidel Fern matt lors de l tape Zer moments d inqui tude devant af fronter l inconnu cependant tous consid rent qu une telle exp rience constitue une opportunit saisir avec de nombreux bonus la cl J ai appris des choses sur moi et j ai grandi gr ce cet change commente Kathleen noubliable enchanteur magnifique ma gique fantastique norme avec l accent voici les sept qualifi catifs qui leur semblent le mieux r sumer cette aventure humaine cul turelle et linguistique Cet change a t un succ s qui a m me t salu par Eduardo Ai raldi ambassadeur d Argentine en Suisse venu rendre visite aux jeunes le mardi 5 octobre en pr sence de Marcel Maurer pr sident de la Ville de Sion et de Claude Roch chef du D partement de l ducation de la culture et du sport du canton du Valais Pour Fidel Fern ndez et Olga Bonvin le bilan de cet change tant sur le versant aller que retour est tr s large ment positif sur tous les
128. s Qualit premi re de l ing nieur la curiosit pousse l observation au questionnement E Valoriser les comp tences manuelles Mettre la main la p te bricoler inventer ces situa tions exigent des comp tences autres que celles qui sont r guli rement exploit es en classe Et si ces situa tions taient l occasion de mettre en avant les qualit s manuelles de certains l ves au demeurant pas tr s scolaires Les situations plus concr tes permettent souvent des l ves en chec de prendre le pas sur les forts en th me A l heure o les universitaires fra che ment dipl m s sont confront s au ch mage les activi t s qui valorisent les l ves aux comp tences pra tiques sont des opportunit s ne pas bouder R sonances Novembre 2010 4 CONCOURS valaisan de courts _ m trages nouveau d lai Les enseignant e s int ress e s participer au con cours de courts m trages L nergie et mon quoti dien organis par la FIFEL www fifel ch sont pri e s de s annoncer aupr s de Romain Roduit romain ro duit hevs ch avant le 30 novembre pour des raisons d organisation et faire de l information professionnelle Les l ves ont parfois l impression que les m tiers tech niques sont inaccessibles Ils sont de ces m tiers qui font envie et peur la fois Souvent ils imaginent qu il faut tre le meilleur de la classe ou m connaissent les fili re
129. s jouer Pour recevoir gratuite ment le cahier Mise en mots 04 resonances admin vs ch www theatre escarboucle ch En raccourci LIFT Du projet au r seau Une trentaine d coles sont actuellement en discussion pour un ventuel projet LIFT dans leur tablissement L objectif est de d velopper environ 40 projets locaux 25 en Suisse allemande et 15 en Suisse romande d ici la fin de l ann e 2011 A plus long terme la perspective est de soutenir la cr ation de 80 100 projets locaux jusqu en 2015 Le R seau LIFT assure le d veloppement du concept et l change d exp rience entre les unit s locales Les l ments cl s du projet sont focalisation sur les groupes risque intervention pr coce d s la 7 ann e scolaire encouragement des comp tences personnelles et sociales et sensibilisation graduelle pour le monde du travail gr ce une int gration de 2 4 h par semaine dans les entreprises de la r gion Cela est possible gr ce une collaboration entre les coles et les PME locales www nsw rse ch 1 jour 1 actu Site pour les 7 13 ans Le site d actualit des 7 13 ans s articule autour de trois l ments 1 mot 1 image 1 texte Un outil pour la classe une triple entr e pour aborder l information en restant en phase avec les programmes scolaires un test de connaissance et des liens Internet valid s sur le sujet du jour un dossier du mois sur un sujet fort avec des fiches p dagogiques des infographies
130. s de formation m me dans leur canton L industrie suisse mais aussi valaisanne a besoin d ouvriers qualifi s pour toffer ses rangs Une activit autour de la technique est l occasion de pr ciser aux int ress e s qu il y a moyen d en faire son m tier en Valais comme en Suisse Oui mais vous savez moi la technique Evidemment l enseignement de la technique n est pas la tasse de th de chacun Tout le monde a en m moire une exp rience qui refuse de fonctionner et le niveau de bruit qui augmente dangereusement dans la classe Soyons clairs il s agit en classe de faire de l veil scien tifique C est dire d aborder des th mes simples avec des objectifs modestes Si vous voulez aller plus loin et que vous ne vous en sentez pas les comp tences n h si tez pas vous faire aider Vous trouverez dans ce dos sier plusieurs pistes pour faire en sorte que la technique entre l cole autrement que par la poche des l ves N h sitez pas non plus profiter des comp tences tech niques d un parent d l ve ou d un proche si vous avez besoin de renfort pour d marrer une activit Dans tous les cas et pour toutes les raisons voqu es ci dessus je vous encourage vivement ne pas passer c t de l opportunit que repr sente l enseigne ment de la technique chez les jeunes Notes EEE 1 Contraction des termes biologie et lectronique 2 Accord intercantonal sur l harmonisation de la scolarit
131. s conditions de travail qui respectent leur dignit sont au c ur des pr occupations du gouvernement L Autre Quotidien 6 10 R sonances Novembre 2010 surpacifi e les termes font bondir le Service de m diation scolaire genevois le Point Helo se Durler sociologue consultante reconna t toutefois qu historiquement nous vivons dans une p riode o on n a jamais aussi peu support la violence Pour utiliser une image caricaturale au Moyen Age les cart lements publics taient admis aujourd hui ils ne seraient pas support s Le seuil de tol rance la violence et aux actes violents s est abaiss Cela ne veut pourtant pas dire que la violence a disparu Ce qui alarme aujourd hui Le happy slapping qui consiste filmer l agression physique d une personne l aide d un t l phone portable et diffuser le film le plus large ment possible L agression est en g n ral pr par e et mise en sc ne entre les jeunes Le Temps 11 10 B Pol mique Crucifix en classe Faut il rendre obligatoire ou interdire les symboles religieux l cole Certains confr res se d lectent Un enseignant valaisan qui refuse un crucifix dans sa classe et qui se voit mettre la porte Du pain b nit Revoil le Valais des clich s que l on aime colporter l ext rieur du canton ce Valais qui serait ultracatholique ultraconservateur contre courant de la marche du monde A entendre les ensei
132. s doivent r aliser leur invention l aide de m dias num riques et de nouvelles technologies Le d lai d inscription est fix au 31 janvier 2011 et les tra vaux doivent tre remis pour la fin mars www bugnplay ch a a mcm WWW e He af disctonina inton edumedia sciences com fr Animations interactives pour l apprentissage des sciences www edumedia sciences com fr www spst org Ir Te rs i e la Hibieh que TR MIE Soci t pour la promotion de la science et de la tech nologie l imagination au service de l apprentissage www spst org Comprendre les sciences et leurs enjeux WWW 22 23c 2doctobre 2010 mear eT F H 2 cite sciences fr F TEDELA SCIENCE m ETDE LABIODIVERSIT Cit des sciences et de l industrie de Paris la Villette wwyWw cite sciences fr Site franco ontario pour les technosciences www cforp on ca technoscience Brain Pop vid os en lien avec la technologie et les sciences avec Thomas curieux de tout et son ami Moby le Robot qui aime poser plein de questions wwWw brainpop fr category_25 seeall Projets technologiques l cole primaire et en IUFM www montpellier iufm fr technoprimaire index5 htm Robolab Des bo tes robotiques 20 au total accompagn es d ordi nateurs portables se prom nent dans tout le Valais la demande des enseignants des coles primaires Ces kits peu vent tre emprunt s directement la HES SO Valais Pour plus
133. s horaires Partenariat Ecole Famille Cr ativit amp Logique 1 2 Cr ativit amp Logique 2 2 L cole en route vers l EDD Infos 2008 2009 Les volutions de l cole Informatique math matiques Les outils de l valuation La gestion des l ves difficiles Exp rimenter le savoir Le temps de l cole A l cole de l interculturalit Briser les id es re ues sur l cole Infos 2009 2010 Droits de l enfant Citoyennet Structuration de la langue de la pens e La verticalit 1 2 La verticalit 2 2 Les personnes ressources de l Ecole valaisanne 1 2 Les personnes ressources de l Ecole valaisanne 2 2 L humour l cole Entraide entre pairs Infos 2010 2011 Quantit et ou qualit sn O D 5 l ll n y a de bons professeurs que ceux en qui subsiste la r volte de l l ve Edmond Gilliard crivain suisse En raccourci Monet Un site blouissant En lien avec une exposition de Monet au Grand Palais Paris une animation Flash ajoute la d couverte de son uvre une addition culturelle et non une soustraction Un voyage digital et pictural exp rimenter en d couvrant le site www monet2010 com Archives de l Etat du Valais Publication sur les vignes Les Archives de l Etat du Valais ditent le 22 num ro des Cahiers de Vallesia Intitul Vignes et viticulteurs de montagne Histoire pratiques savoirs et paysages il r unit le
134. s mots la M diath que Valais Sion cf p 37 Semaine romande de la lecture cf p 36 R sonances Novembre 2010 201 0 Ann e de la biodiversit Ann e 2010 On pourrait croire que l homme conna t et ma trise presque tout sur terre Et pour tant pour la biodiversit on balbu tie A ce jour les sp cialistes ont in ventori environ 1 7 Mios d orga nismes vivants plantes animaux et microorganismes bact ries virus champignons etc alors qu on les estime entre 8 et 15 Mios voire 100 Mios selon certains scientifiques 2010 Ann e intemationale de la biodiversit Parce que le destin de l homme est troitement li celui de toutes les esp ces vivantes l ann e 2010 a t d cr t e par l ONU ann e interna tionale de la biodiversit De nom breuses actions ont t men es Dans ce contexte l animation de sciences r active un dossier p dago gique cr en 2008 autour de l ex position Toile de vie et vous livre quelques autres pistes de travail car la biodiversit reste d actualit aussi en 2011 D clinant des activit s pour l en fantine le primaire et le CO ce dossier p dagogique est construit en 4 parties selon le sch ma ci contre INTERPELLER Par des faits isol s des exemples si gnificatifs l l ve s interroge sur la biodiversit et se forge ses pre mi res impressions Exemples tir s de www biodiversite ch g 1 7 Mios d esp
135. s recherches scientifiques r centes sur la question de la vigne et du vin en Valais et ailleurs dans les montagnes d Europe et de M diterran e Regroupant une s rie de contributions scientifiques r dig es par des sp cialistes il constitue un compl ment utile l Histoire de la vigne et du vin en Valais parue en 2009 Pluridisciplinaire cette publication illustr e de 300 pages fait la part belle la viticulture de montagne du Moyen Age nos jours www vs ch aev Cyberd fi Edition 2010 Le Cyberd fi est un concours annuel qui s adresse aux classes de l cole enfantine jusqu la 10 ann e ayant pour buts principaux de d velopper chez les l ves de l cole obligatoire les techniques de recherche sur internet et de favoriser le travail par groupe Le prochain Cyberd fi aura lieu le 30 novembre 2010 Inscription jusqu au 20 novembre www cyberdefi ch R sonances Novembre 2010 Impressum E R sonances La revue R sonances qui fait suite L Ecole valaisanne parue de 1956 1988 et L Ecole primaire publi e de 1881 1956 est dit e par le D partement de l ducation de la culture et du sport DECS E Edition administration r daction DECS SFT R sonances Rue de Conthey 19 Case postale 478 1951 Sion T l 027 606 41 59 www vs ch sft gt Les domaines du SFT gt Publications p dagogiques R daction Nadia Revaz nadia revaz admin vs ch E Conseil de r daction Claud
136. savoir o l on va La notion de progr s est contes t e des probl mes cologiques multiples et de nou velles pid mies surgissent au grand jour et augmen TENEZ NON MP3 M SIEUR D SOLE IL Au Moins G Mois CEST UN VIEUX MON LE Ca atat l cole tent l inqui tude A terme on peut craindre une crise plus profonde Ses pr mices sont d j pr sentes dans la crise de soci t que nous traversons E L enseignant qui veut ignorer la r alit technique se condamne parler dans le vide T Tout cela n a rien d tonnant Les technologies appa raissent comme un non penser dans notre soci t Du moins la pens e n arrive plus suivre le rythme des transformations techniques Les raisons de ce d calage sont multiples Sch matiquement on peut mettre en avant le m pris habituel des intellectuels en g n ral et des enseignants en particulier pour tout ce qui touche de pr s ou de loin aux professions ou la quotidien net depuis que les philosophes puis les scientifiques se sont s par s in luctablement des pratiques Pour tant de nos jours l enseignant qui veut ignorer la r a lit technique se condamne parler dans le vide II faut y voir galement le peu d int r t des ing nieurs et des entrepreneurs pour tout ce qui touche la r flexion sur les aspects d usage les retomb es sociales des innovations aux d pens d un culte de l efficacit et d
137. ssez E Rencontre 21 Joseph M trailler et l Ecole des m tiers N Revaz HE M mento p dagogique 23 A vos agendas R sonances EH Agenda Ecole culture 24 Des id es de sorties et de rencontres Service de la culture O Environnement 25 2010 Ann e de la biodiversit S Fierz et A Bardou Images et sons du Valais 28 Glaciers chronique d un d clin annonc A Michellod EH Education musicale 30 Justice est faite B Oberholzer et J M Delasoie o SFT 31 L URD au service de l Ecole valaisanne SFT URD E ICT 34 Le temps est venu de l int gration P A D litroz E Recherche 39 Etudes de la banque de donn es CSRE CSRE Autour de la lecture 36 Semaine romande de la lecture 22 26 novembre SRL E ICT Int gration 37 L che pas la patate Animation ICT EH Doc p dagogique 37 Exposition Pour tout l or des mots M diath que NR Langues 38 Echange Valais Argentine N Revaz EH Du c t de la HEP VS 40 Recherche sur l insertion des enseignants dipl m s HEP M A Broyon E CPVAL 42 Rente ou capital en cas de retraite P Vernier o Livres 44 La s lection du mois R sonances EH Publications 46 Les derni res parutions IRDP E Chiffre du mois 4 Statistiques scolaires 15 novembre jour J SFT URD De les E Education physique La piscine du Manoir en Eauctodure L Saillen Revue de presse 50 D un num ro l autre R sonances E Les dossiers de R sonances 52 2 R sonances Novembre 20
138. t d au torit professorale C t linguistique les jeu nes apprenant l espagnol ont d s habituer l ac cent argentin puis fran chir l tape de l expres sion D apr s les profes seurs les Argentins ont davantage recouru leur langue maternelle que l in verse mais c tait tout de m me assez quilibr Et ce bain linguistique aura sur tout donn vie la langue apprise en classe Trois se maines d immersion linguistique correspondent pr s d un semes tre de cours d espagnol au coll ge Sion estime Allan tudiant au Lyc e Coll ge des Creusets Entre le Valais et l Argentine ces sept jeunes per oivent ils des diff rences Ils insistent davantage sur les ressemblances trouvant que les ponts entre nos coles nos cultures et nos modes de vie sont nom breux Sur le plan scolaire le pro gramme est assez similaire dans l ensemble sauf qu en Argentine il n y a pas de salle de sport Allan Kathleen et Pauline ont t surpris par les tableaux noirs l ancienne ou l absence d ordinateurs en salle de cours A contrario ils se sont demand pourquoi des cours de sciences politiques n taient pas au programme des gymnasiens ro mands trouvant cette approche sti mulante Pour Agustina Federico Luciana et Martin l adaptation la plus difficile a t au niveau des ho raires des repas de la journ e sco laire Autre point d tonnement pour eux ils ont trouv que les cou
139. t de l ensei gnement traditionnel confront la fulgurance des avanc es technologiques Consciente de cette lacune et fi re d une politique avant gardiste sur la question la HEP VS inclut depuis plusieurs ann es d j une formation technologique et pratique dans ses cours La Haute Ecole p dagogique du Valais a ainsi introduit dans le cursus obligatoire de la formation initiale une Semaine Technique et So ci t parall lement un stage en entreprise C est ainsi que les tudiants provenant des sites de Brig et St Maurice peuvent explorer de mani re inter disciplinaire les questions li es la mobilit l nergie la science la didactique ainsi qu l environnement conomique Des sujets galement trait s par des mi nents conf renciers Les tudiants abordent pendant une semaine le r le central des technologies disposition Ils ont gale ment la possibilit de s entretenir directement avec les acteurs des milieux concern s qui d veloppent et appliquent quotidiennement les diff rentes tech niques Des visites d entreprises ainsi que des travaux pra tiques illustrent concr tement la mani re dont la technique est employ e dans les diff rents secteurs ainsi que dans la vente concept publicitaire www hepvs ch R sonances Novembre 2010 Concours m dias et robots bugnplay ch est un concours m dias et robots pour les jeunes de 8 20 ans domicili s en Suisse Les partici pant
140. tit mode d emploi pour recevoir un artiste en classe Annick Vermot Lorsque l on veut mener un projet artistique il est parfois difficile de savoir comment s y prendre pour inviter un artiste en classe Comment l inviter que lui dire comment g rer le temps imparti Voici une petite liste qui reprend quelques points auxquels penser Elle n est pas exhaustive mais elle permet de cadrer quelque peu la vi site Il est essentiel de bien planifier cette activit afin que l artiste se sente accueilli et n cessaire et que les l ves puissent retirer un maxi mum de connaissance de cette ren contre Les questions essentielles se poser avant sont Qui intervient Pour faire quoi Pourquoi Com ment Quand O Quel est le prix En plus d taill voici un petit mode d emploi pour recevoir un artiste en classe Avant de contacter l artiste qui pourquoi etc D finir un objectif artistique que l on aimerait atteindre avec sa classe ainsi que les buts atteindre avec les enfants D finir quelles sont mes comp ten ces et quelles sont les comp tences Es AC amp M AV Man F All L un des objectifs de ces rencontres est que l artiste ici Emmanuelle Houdart puisse notamment parler de ses sources d inspiration des nouvelles directions d une forme d art en particulier qui me manquent pour r aliser les objectifs Par exemple Cr er un paysage en faisant in tervenir diff rentes techn
141. ts soient mis disposition ce n est re encore que justice B n fices On ne peut reprocher aux respon sables des soci t s musicales con 30 cern es de se projeter dans l avenir et d imaginer une augmentation de leurs adeptes terme s entend C est tout fait juste et louable Qu on nous permette cependant de rappeler la difficult qu ont les so ci t s sportives trouver des entra i neurs et des adeptes bien qu elles b n ficient de Jeunesse et sport Le v ritable int r t de cette loi c est bien videmment une reconnaissance politique globale du r le essentiel de la musique pour le d veloppement de l l ve affectivit concentration tol rance tout en aug mentant les b n fices sociaux et culturels Rappel Mais il convient de ne point oublier que en Valais par exemple la dy namique musicale est d j bien en place avec de nombreuses per sonnes et associations engag es dans sa promotion et des actions Pour ce qui est de l cole nous nous permettons de rappeler que le D partement concern avait en son temps encourag l enseignement largi de la musique et avait orga nis des semaines de formation pour tous les enseignants Un peu de philosophie interrogative In fine il semble donc que la mu sique soit d j reconnue comme importante avec un capital de sym pathie qu on ne peut nier mais l vidence r parti in galement Cett
142. uc En raccourci Merci professeur Explications des curiosit s verbales Les m tiers de l Ecole des m tiers Automaticien ne Les automaticiens interviennent tant t dans un atelier pour la fabrication de divers appareils de contr le tant t sur des installations de production pour mettre en service entretenir r gler ou d panner des syst mes de commandes Electronicien ne Les lectroniciens d veloppent installent et exploitent des circuits des dispo sitifs de commande ou de contr le et des programmes informatiques utiles au bon fonctionnement d appareils lectroniques quip s de microprocesseurs Informaticien ne L informaticien con oit r alise met en service et assure la maintenance de tous les quipements informatiques sur lesquels doit tout prix compter une entreprise moderne tur e pour tre au m me rythme que celle dispens e au CFPS ce qui permettrait par exemple de re grouper les automaticiens les lec troniciens ou les informaticiens des classes duales et de l Ecole des m tiers en cas d effectifs r duits Les effectifs sont variables Ils r pondent au besoin et sont d s lors variables Les informaticiens sont nettement plus nombreux que les automaticiens suivre l EMVS ce qui s explique en partie du fait que l investissement pour int grer un jeune qui apprend les bases du m tier est nettement plus complexe car il faut du temps avant qu il soit capable en
143. uges se fait des passes L au tre quipe essaie d intercepter la balle et son tour de se faire des passes R sonances Novembre 2010 Avec l aide de la balle on oublie vite l eau quand il s agit de la lan cer ou de l attraper C est un engin flottant capricieux qui permet des exp riences renversantes Une am biance gaie renforce le plaisir de jouer Les planches de natation ren dent galement de grands services comme mat riel de jeu pour exer cer les capacit s de coordination Ouvrage de r f rence 7000 jeux pour la natation de Walter Bucher ditions Vigot Il est conseill de commencer par le crawl Dans leur forme l mentaire le mouvement naturel des battements de jambes ainsi que les cercles des bras sont rapide ment assimil s Le mouvement de la brasse est plus difficile ma tri ser et enseigner Par contre avec la forme globale de la brasse il est ais ment possible de parcourir des distances relativement grandes En crawl il faut beaucoup plus de pa tience de la part de l enseignant jusqu ce que l l ve parcoure sans peine 1 2 bassins Les sp cia listes de la natation re commandent d abor der en m me temps les 5 styles de nage dans leur forme l mentaire initiation d exercer des l ments partiels puis dans un deuxi me temps d affiner toutes ces formes perfection nement et de proc der la synth se des acquis partiels pour laborer le mouvement comp
144. urs l ves permettant aussi un rapprochement entre parents et enfants Partout en France des enseignants volontaires souvent passionn s proposent aujourd hui cette activit leurs l ves Les recherches ont lieu en classe ou dans des ateliers d di s au moment de la pause d jeuner Les premi res s ances sont consacr es la mise en ordre de la composition familiale Cousins fr res oncles grands parents belles m res Une fois que chacun a trouv sa place dans l arbre g n alogique les l ves peuvent commencer remonter le temps Le but est de poser les jalons des quatre premi res g n rations Au travers de ce travail les jeunes apprennent surtout crire des lettres pour faire leurs demandes d actes Ils situent leurs villes d origine sur la carte de France et mettent en lumi re des m tiers longtemps disparus leFigaro fr 24 09 B L cole est la base de la culture L inculture gagne du terrain Selon Jean Ren Moeschler artiste peintre l cole est la base de la culture mais il y a probl me les enseignants ne sont plus form s pour affronter des d fis de contenus et de mati res ils nagent il faut mieux les former Ainsi tout leur travail doit Revue de presse amener leurs l ves comprendre la culture la fr quenter dans un esprit critique et constructif Des chiffres des lettres et des images pour enrichir la conscience c est ce chemin qui nourrit les artistes qui eux c
145. vertes l EMVS Le samedi 13 novembre 2010 l Ecole des m tiers organise une journ e portes ouvertes de 10 h 16 h avec visite des salles de classe et des ateliers www emvs ch R sonances Novembre 2010 r est chef de M traille f Joseph technique et la section lectro j CFP nformatique au s des m tiers fait partie A la base je suis ing nieur en lec tronique et j ai travaill dans le do maine de l lectronique de l auto matique et de l informatique Par ailleurs j ai toujours eu un int r t pour la formation Et comme j aime les d fis tre partenaire lors de la mise sur pied d une cole nouvelle tait mes yeux une opportunit saisir AU cours des premi res an n es l une des grandes difficult s tait de trouver les places de stages cependant les entreprises qui ont jou le jeu nous ont fait une excel lente publicit et aujourd hui le nombre de places est suffisant pour tous les jeunes m me si pour les lectroniciens c est un peu plus d li cat le tissu conomique tant plus restreint Dans quel contexte a vu le jour l Ecole des m tiers Les formations d automaticien d lectronicien et d informaticien n cessitant un quipement co teux de plus en plus d entreprises ne prenaient plus d apprentis alors s dont l Ecole Rencontre et l Ecole des m tiers que la voie duale pour ces m tiers existait d j Autre l ment avec la Haute Ec

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