Newsletter DAJ - 04 au 18 décembre 2013
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1. PUBLIQUE M DE PARIS Emi Ju alain iig n ki pales kipima de Fast MEMENTO DE L ADMINISTRATEUR DE GARDE affairesiuridiques aphp fr ks gks de HP L AP HP aujourd hui Organisation administrative m dicale el param dicale Draci des kipe nias PAANI H MTAL MERLIGI O FAI Guide l usage des professionnels v nement ind sirable grave Darlons en h ALERT FTI di D Fun RIT DE l AP HP Marc Chpt Deroton dis affaires purs H Ces diis Ch pa Recueillir conserver et utiliser des chantillons biologiques humains l h pital Organisations m dicales au sein de l AP HP EC El AULICILNES mierea de poi ALT AMC HOFTTAUX FUIR L DGT DE FARR2. ambulatoire et enfin d accompagner vingt tablissements de sant Ce Guide est construit autour de points forts tels que des solutions organisationnelles des actions pour mener bien les travaux des fi ches explicatives des exemples d indicateurs des illustrations des mo d les de documents et des cl s pour conduire le changement NOVEHERE 2013 ACTUALIT JURIDIQUE Page 3 EG EMBRE 2013 Organisation des soins 2 2 R glementation sanitaire 1 1 Organisation des soins D pression Etablissement de sant Autorisation d activit Psychiatrie Recueil d informations m dicalis es en psychiatrie Rim P Etude sur la prise en charge de la d pression dans les tablissements de sant Direction de la recherche des tudes de l valuation et des statistiques DREES Institut de rechercher et documentation en conomie de la sant IRDES n 860 d cembre 2013 Cette tude pr cise que Jes pathologies psychiatriques et les psycho tropes repr sentent 22 6 milliards de d penses soit 16 des d penses totales de sant en 2011 Si les patient recourent g n ralement un m decin g n raliste lors d un pisode d pressif 21 plus d 1 5 millions d adultes ont t suivis en psychiatrie en 2011 dans les ES tablissements de sant dont 75 ont eu exclusivement une prise en charge ambulatoire Aa parie am qiue die La ds pe von sous forme de consultations avec d
3. es 2 cr ation de structures d nomm es maisons de naissance o des sages femmes r ali sent l accouchement des femmes enceintes dont elles ont assur le suivi de grossesse dans les conditions pr vues aux articles L 4151 1 et L 4151 3 du code de la sant publique Chaque structure devra tre contigu une structure autoris e pour l activit de gyn cologie obst trique avec laquelle elle passe obligatoirement une convention et avec laguelle un acc s direct est am nag permettant notamment un transfert rapide des partu rientes en cas de complication Ces maisons de naissance ne seront pas entendues comme des tablissements de sant au sens du Code de la sant publique Une liste des maisons de naissance autoris es fonctionner sera arr t e conjointement par les ministres en charge de la sant et de la s curit sociale en conformit avec un cahier des charges adopt par la Haute Autori t de sant et apr s avis conforme de celle cr Les conditions de l exp rimentation tablissement de la liste des maisons de naissance autoris es conditions de prise en charge par l assurance maladie de la r mun ration des professionnels et conditions sp cifiques de fonc tionnement de ces maisons de naissance feront l objet de pr cisions par d cret en Conseil d Etat ACTUALIT JURIDIQUE Page 4 DU 04 AU 18 DECEMBRE 2013 Domaine public et priv 171 Personnel 1 3 DOMAINE PUBLIC ET PRIV Strat gie p
4. d absent isme des person nels m dicaux et non m dicaux entre 2010 et 2011 PATIENT HOSPITALIS Fin de vie Directives anticip es Soins palliatifs Assistance au suicide Exception d euthanasie S dation Ethique Comit consultatif national d thique pour les sciences de la vie et de la sant CCNE Avis de la Conf rence de citoyens sur la fin de vie d cembre 2013 Dans le cadre des d bats relatifs la fin de vie la Conf rence de citoyens compos e d un panel de dix huit personnes retenues par l Tfop a rendu un avis se pronon ant pour la l galisation du suicide assist sous conditions ainsi que pour la cr ation d une exception d euthanasie Sont notamment propos s le d veloppement des soins palliatifs rig s en cause nationale la mise en place d un fichier informatique national recensant et centralisant les directives anticip es r dig es par les patients ainsi que l autorisation de la s dation en phase terminale et dans le cadre d un change et d une coute du patient quand cela est possible sinon de son entourage Mineur Justice Audition T moignage Proc dures judiciaires L enfant et sa parole en justice Rapport 2013 consacr aux droits de l enfant D fenseur des droits Le th me retenu pour le rapport 2013 du D fenseur des droits consacr aux droits de l enfant porte sur la parole de l enfant en justice Le Rapport 2013 rapport voque le fait que d
5. la fonction publique la lutte contre les discriminations et portant diverses dispositions relatives la fonction publique et son suivi Cette instruction a pour objet de pr ciser les modalit s pratiques de suivi du dispositif ouvrant des recrutements r serv s aux agents non titulaires de la fonction publique hospitali re issu du d cret n 2013 121 du 6 f vrier 2013 Elle pr cise que ce suivi n cessite une bonne coordination tant au ni veau central national et r gional qu au niveau de chaque tablissement Un comit de suivi regroupant les organisations syndicales signataires du protocole du 31 mars 2011 portant s curisation des parcours des agents contractuels doit tre cr En outre doit tre annuellement tabli un bilan annuel portant sur un certain nom bre d informations d taill es dans l instruction et recueillies par la plateforme de l observatoire national des res sources humaines du syst me de sant L instruction voque galement les cas particuliers des attach s d admi nistration hospitali re et des agents sujets des probl mes de sant ou de handicap Enfin cette instruction comporte en annexe la liste de arr t s pris en application du d cret n 2013 121 du 6 f vrier 2013 ainsi que trois fiches pratiques relatives l acc s des personnels contractuels l emploi titulaire la transformation des CDD en CDI et l encadrement des cas de recours des agents contractuels dans les
6. DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES Site Internet de la DAJ htto affairesiuridiques aphp fr P le de la R glementation Hospitali re et de la Veille Juridique Hylda DUBARRY Gabrielle BAYLOCQ Laura COURTOIS Gislaine GUEDON Sabrina IKDOUMI Fr d rique LEMAITRE Marie H l ne ROMAN MARIS Audrey VOLPE ASSISTANCE H PITAUX PUBLIQUE i DE PARIS ACTUALIT JURIDIQUE LU T S d cembre 2013 SOMMAIRE Organisation des soins page 2 R glementation sanitaire page 3 Domaine public et priv page 4 Personnel page 4 Responsabilit m dicale page 7 Patient Hospitalis page 8 Publications page 9 Nous vous souhaitons de tr s heureuses f tes de fin d ann e ACTUALIT JURIDIQUE DU 04 AU 18 DECEMBRE 2013 Page 2 Organisation des soins 1 2 ORGANISATION DES SOINS Hospitalisation domicile Offre de soins D veloppement Circulaire n DGOS R4 2013 398 du 4 d cembre 2013 relative au positionnement et au d veloppement de lhos pitalisation domicile HAD Cette circulaire s inscrit dans la perspective du d veloppement significatif atten du de l hospitalisation domicile ch ance de l ann e 2018 Il s agit en effet de conforter l HAD dans les ter ritoires et travailler rendre indiscutable sa pertinence dans les ann es venir afin de conduire une am lio ration de la prise en charge du patient ainsi qu des gains d efficience pour l assurance maladie Quatre objec tifs sont donc
7. affirme qu elle peut pr senter une nouvelle de mande indemnitaire pour le pr judice de carri re subi pour la p riode ult rieure au jugement du tribunal puis que son pr judice a depuis acquis un caract re certain Cong s pour raison de sant Fonctionnaire Agent contractuel Conseil d Etat 4 d cembre 2013 n 357549 L union f d rale des cadres des fonctions publiques CGC demande l annulation pour exc s de pouvoir de la circulaire du ministre de la fonction publique et du ministre du budget des comptes publics et de la r forme de l Etat en date du 18 janvier 2012 et relative aux modalit s de mise en uvre des dispositions nonc es l article 115 de la loi n 2010 1657 du 29 d cembre 2010 de finances pour 2011 Ces dispositions ont mis un terme la r gle selon laquelle pour la mise en uvre de la r duction du temps de travail les agents en cong de maladie avaient droit des journ es de repos proportion des journ es de repos auxquelles ils auraient eu droit s ils avaient t pr sents leur poste de travail La requ te est rejet e le Conseil d Etat consid rant que Ja circulaire attaqu e se borne d une part rappeler les cat gories d agents et les situations d absence mentionn es l article 115 de la loi de finances pour 2011 et indiquer que ces dispositions s appliquent aux cong s pris apr s le 50 d cembre 2010 date d entr e en vigueur de la loi de finances pour 2011 d a
8. atrimoniale Patrimoine immobilier hospitalier Patrimoine d saffect Valorisation Guide ANAP Dynamisation des actifs immobiliers des tablissements sanitai AMAP res et m dico sociaux D cembre 2013 L objectif de ce Guide est de per mettre aux tablissements de sant et m dico sociaux de s engager dans une Dynamisation des actifs immobiliers des E sements AMEN FES que les actifs immobiliers contribuent en permanence de mani re optimale mans T me 1 Principes g n raux aux objectifs strat giques de service public des tablissements Dans ce cadre d marche de valorisation de leurs actifs immobiliers qui consiste veiller ce l ANAP pr sente ce guide comme tant un outil visant d terminer le mon tage qui permet de valoriser au mieux le patrimoine d safect et le transfor mer en un levier financier tout en s inscrivant dans une strat gie patrimoniale bien identifi e p renne et qui s inscrive dans le projet strat gique de l tablis sement Son premier tome constitue une actualisation de la version labor e par la Mission d appui l investissement hospitalier Mainh en 2005 Son deuxi me tome explicite la d marche de valorisation par le biais d une tude nr EP we de reconversion I contient des exemples de reconversion et de cession indi quant les principales caract ristiques d op rations de valorisation men es par des tablissements hospitaliers Son derni
9. duit retarder la pose d un diagnostic ad quat et la mise en uvre des soins adapt s D faut de surveillance D c s Obligation de moyens Cour administrative d appel de Nantes 20 juin 2013 n 12NT01581 Un patient chute de son lit apr s une grave intervention et d c de peu apr s La Commission de conciliation et d indemnisation consid re que le d c s du patient trouve son origine dans un d faut de surveillance du centre hospitalier de nature engager sa responsa bilit hauteur de 25 M contents de l offre indemnitaire de l assureur de l h pital les ayants droit saisissent le Tribunal administratif lequel estime que la responsabilit de l tablissement ne peut pas tre recherch e pour d faut de surveillance En effet le patient a t laiss dans son lit quip de barri res protectrices d une sonnette d appel et des rondes r guli res taient effectu e par l quipe m dicale La Cour d appel confirme cette position et soutient que l h pital n a commis aucune faute D mographie m dicale Atlas R gionaux Ile de France La d mographie m dicale en Ile de France Situation en 2013 Conseil National de l Ordre des m decins partir des chiffres du Tableau de l Ordre des m decins au ler juin 2013 le Conseil National de l Ordre des M decins a r dig les d clinaisons r gionales de son Atlas national de la d mographie m dicale Il annonce que chaque Atlas r gional constitue do
10. er tome est constitu d annexes juri D CEMERE 2013 diques et techniques PERSONNEL Fonction publique hospitali re Agents contractuels Conditions de travail Suivi m dical post professionnel Exposition Agent canc rog ne mutag ne ou toxique pour la reproduction D cret n 2013 1151 du 12 d cembre 2013 relatif au suivi m dical post professionnel des agents des tablisse ments mentionn s l article 2 de la loi n 86 33 du 9 janvier 1986 expos s un agent canc rog ne mutag ne ou toxique pour la reproduction Ce d cret reconnait un droit un suivi m dical post professionnel apr s la cessa tion d finitive de leurs fonctions au b n fice des agents titulaires relevant de la fonction publique hospitali re ainsi qu celui des agents contractuels ayant t dans le cadre de leurs fonctions expos s un agent canc ro g ne mutag ne ou toxique pour la reproduction Ces agents doivent tre inform s de ce droit par l tablissement dont ils rel vent au moment de la cessation d fi nitive de leur activit Par ailleurs ces personnels ayant t susceptibles d avoir t expos s des agents canc ro g nes mutag nes ou toxiques pour la reproduction avant l entr e en vigueur de ce d cret doivent tre inform s de ce droit par l tablissement dont ils relevaient au moment de la cessation d finitive de leurs fonctions Les agents admis la retraite seront inform s par le ministre char
11. es mesures particuli res et protectrices doivent tre consacr aux droits de l enfant mises en place par les pouvoirs publics pour le recueil de la parole de ces en fants Cela passe par un lieu d di et non anxiog ne le choix d interlocuteurs particuli rement form s et la mise la disposition des enfants de documents de nature diverse adapt e leur ge pour leur apporter toutes les explications n cessaires sur les raisons de leur audition et l usage ventuel qui peut en tre ne At fait Ce rapport formule dix propositions tenant tant la cr ation d une D ETSA PAROLE EN JUSTICE i i i a pr somption de discernement pour les mineurs qui demandent tre entendus la mise en uvre d un statut juridique sp cifique et pr cis de l enfant t moin ou encore la valorisation de la pr sence d un avocat form aux droits de l enfant aussi bien devant le juge aux affaires familiales qu en mati re d assistance du cative URIDIQUE 18 D CEMBRE 2013 PUBLICATIONS AP HP Page 9 Publications Retrouvez ces documents en version cliquable sur notre site Internet http les pades de l AP HP Le r glement int rieur de Assistance publique h pitaux de Paris ASSISTANCE H IYTAUX PIBBLIQUE DE PASIS a QUE de APAP Les associations l h pital Uaim ia Ep unha ai ces Dents du Proet Fami ATSAM a H STT LEE KAARI PURE W i PARIS ASSISTANMCI H PITALIX
12. es professionnels de sant interventions aux urgences soins domicile etc sauf pour des troubles s v res L tude indique en outre que 72 des patients suivis pour un pisode ou un trouble d pressif le sont dans un tablissement pu blic contre 82 des patients suivis en psychiatrie 13 dans les Espic versus 12 et 15 dans les tablissements priv s but lucratif versus 6 Elle aborde galement la ques tion de la dur e moyenne de s jour et du taux de r admission des patients 11638 Droit des malades Droit l information Personne de confiance Consentement aux soins PF mmi i amp 20 Sranan Haute Autorit de Sant HAS Oser parler son m decin novembre 2013 e La HAS a labor une brochure une affiche format A3 ainsi qu un guide m tho E dologique tous destin s informer chaque patient de ses droits en mati re in sermen formation m dicale daccompagnement par une personne de confiance et de consentement libre et clair aux soins dans le cadre d un change transparent et confiant avec son m decin R GLEMENTATION SANITAIRE Sages femmes Exp rimentation Maisons de naissance Loi n 2013 1118 du 6 d cembre 2013 autorisant l exp rimentation des maisons de naissance Ce texte pr voit qu titre exp rimental et pour une dur e de deux ans le Gouvernement pourra autoriser sur une dur e maxi male de cinq ann
13. fix s aux Agences R gionales de Sant conforter la structure de l offre HAD am liorer l accessi bilit l HAD renforcer la pertinence du recours l HAD et affermir les comp tences n cessaires aux interven tions de l HAD Agence nationale d appui la performance des tablissements de sant et m dico sociaux ANAP Chirurgie ambulatoire D veloppement Guide Guide ANAP Chirurgie ambulatoire mode d emploi Novembre 2013 Ce Guide d bute en rappelant que Jes impacts positifs de la apps ranh E m dica raslai chirurgie ambulatoire sont maintenant partag s par une majorit d ac teurs de la sant Malgr ce constat de nombreux freins son d velop i pement subsistent en France tant sur le plan culturel qu organisation _ Chirurgie ambulatoire nel et pour les lever les pouvoirs publics ont impuls et mis en oeuvre s f Mode d emploi plusieurs dispositifs destin s aux tablissements de sant Dans le cadre de son partenariat avec la Haute Autorit de Sant HAS l ANAP indique avoir engag quatre projets destin s permet tre aux tablissements de disposer d un outil d analyse prospectif des co ts OPEERA2 Outil prospectif d valuation conomique relatif l ambulatoire de fournir des productions vis e organisationnelle permettant l adh sion des professionnels et des tablissements de san t de faire progresser les r gions ayant un fort potentiel en chirurgie
14. g de la sant Ce d cret organise par la suite les modalit s de ce suivi m dical pouvant tre assur au choix de l agent par tout m decin librement choisi par lui ou dans le cadre d une consultation hospitali re Il sera organis sur la base d une attestation d exposition d livr e de plein droit au vu de la fiche d exposition ou de la fiche de pr vention des expositions A chaque changement d tablissement un dossier individuel comportant l ensemble des fiches d exposition ou de pr vention des expositions doit tre transmis au m decin du travail de l tablissement d accueil sauf refus de l agent au pr alable d ment inform Une copie int grale de ce dossier est remise l agent au moment de la cessation d finitive des fonctions ACTUALIT JURIDIQUE DU 04 AU 18 D CEMBRE 2013 Page 5 Personnel 2 3 Etudiants Sages femmes R mun ration Etablissement de sant support Arr t du 28 novembre 2013 relatif aux conditions de r mun ration des tudiants sages femmes Ce texte fixe la r mun ration annuelle des tudiants sages femmes Elle est dor navant est de 1 200 euros bruts 1 re ann e du deuxi me cycle et de la deuxi me phase et de 2 400 euros bruts 2 me ann e du deuxi me cycle et de la deuxi me phase compter du ler septembre 2013 Le versement de cette r mun ration est effectu pour le compte de la structure dispensant la formation de sage femme cole ou universit par son tabli
15. ie de septembre 2007 septembre 2010 en raison d une tuber culose diss min e il ne r sulte par de l instruction que le requ rant ait contract une telle pathologie dans l exercice de ses fonctions le requ rant se bornant produire des pi ces qui d crivent sa pathologie sans se pro noncer sur son origine ACTUALIT JURIDIQUE DU 04 AU 18 D CEMBRE 2013 Page 7 Responsabilit m dicale 1 2 RESPONSABILIT M DICALE Responsabilit m dicale Perte de chance Prise en charge par le SAMU et un centre hospitalier Cour administrative d appel de Douai 21 novembre 2013 n 12DA01831 Monsieur X tait suivi depuis 1996 au centre hospitalier Y pour des troubles s v res du rythme cardiaque et une dysplasie arythmog ne ventriculaire droite diagnostiqu e en septembre 2002 y a t nouveau hospitalis le 12 avril 2003 en raison d un malaise d o rigine cardiaque et en est sorti le 17 avril 2003 dans l apr s midi Au cours de la nuit suivante il a t victime d un nouveau malaise et est d c d d un arr t cardio circulatoire malgr l intervention son domicile du SAMU rattach au centre hospitalier Y Madame X a recherch la responsabilit de ce centre hospitalier en invoquant des fautes commises lors de la prise en charge de son mari au sein de l tablissement et lors de l intervention du SAMU Le centre hospitalier X a relev appel du jugement du 23 novembre 2007 par lequel le Tribunal ad
16. ministratif de Lille l a condamn verser Madame X une somme de 265 830 euros en r paration des pr judices ayant r sult pour elle du d c s de son poux raison de la faute commise par les m decins en ne proposant pas Monsieur X l implantation d un d fibrillateur tout en cartant l existence d une faute du SAMU Par une d cision du 12 d cembre 2012 le Conseil d Etat a annul l arr t du 19 octobre 2010 de la Cour administrative d appel de Douai en tant qu il a rete nu une perte de chance d viter le d c s de Monsieur X de 50 faute de lui avoir propos l implantation du d fi brillateur et a fix le montant de l indemnit due la somme de 133 865 euros sans r pondre l argumentation de Mme X selon laquelle les fautes commises par le SAMU lors de son intervention dans la nuit du 17 au 18 avril 2003 avaient galement compromises les chances de survie de Monsieur X La Cour administrative d appel de Douai conclut que la perte de chance d viter le d c s de Monsieur X doit tre port e de 50 70 en retenant que quipe du SAMU d p ch e au domicile de Monsieur X ne disposait pas d un m decin qualifi au regard de sa pathologie alors qu il est constant que le m decin r gulateur avait t in form par l int ress qu il souffrait de tachycardie ventriculaire et qu il avait quitt le service de cardiologie du Centre hospitalier Y dans l apr s midi en outre cette absence de m decin qualifi a con
17. nc une base de donn es unique permettant aux lus locaux en collaboration avec les conseils d partementaux et r gio naux d appr hender de mani re efficiente la probl matique de l acc s aux soins ACTUALIT JURIDIQUE Page 8 DU 04 AU 18 D CEMBRE 2013 Responsabilit m dicale 2 2 Patient hospitalis 1 1 Agence technique de l information sur l hospitalisation Atih Etablissement de sant Absent isme Motifs Evolution Enqu te Absent isme et rotation du personnel des tablissements de sant ant rieurement sous dotation globale sur l exercice 2011 de l Agence technique de l information sur l hospi talisation Atih d cembre 2013 Cette tude a t r alis e sur a base des donn es des 595 tablissements ayant r pondu l enqu te Absent isme et rotation du personnel 2011 sonis amine repr sentant 72 des tablissements publics de plus de 500 agents enqu t s En premier des tatigsemente d Sarl anbneurenrent Sous dotation ghotuks sr nets 2011 lieu l Agence tudie les taux d absent isme de rotation des personnels et de d parts volon taires en 2011 Le taux d absent isme global motifs m dicaux maternit paternit et adop tion s levait en 2011 6 9 dont 7 2 pour les personnels non m dicaux et 2 6 pour les personnels m dicaux Le taux de rotation des personnels des CHU est le plus faible 8 3 En second lieu l enqu te de l ATIH analyse l volution du taux
18. ssement de san t support quil soit ou non implant sur le territoire de la commune o est situ e ladite structure Cet arr t abroge l arr t du 3 janvier 2003 relatif aux conditions de r mun ration des tudiants sages femmes Contrat d engagement de service public Etudiants Internes M decine s lection Centre national de ges tion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitali re CNG Arr t du 3 d cembre 2013 modifiant l arr t du 27 juillet 2010 relatif aux modalit s de s lection des b n ficiai res du contrat d engagement de service public d attribution et de suspension de l allocation pr vue l article L 632 6 du code de l ducation Cet arr t ajoute au texte initial que es listes principales et compl mentaires des tudiants et des internes retenus en vue de la signature d un contrat d engagement de service public sont trans mises par les directeurs d unit s de formation et de recherche de m decine au directeur g n ral du Centre natio ZM nal de gestion avant le 15 janvier de chaque ann e Fonction publique Agents contractuels Organisation et suivi des recrutements r serv s Droits des agents Instruction n DGOS RH4 2013 392 du 28 novembre 2013 relative la mise en uvre de la loi n 2012 347 du 12 mars 2012 relative l acc s l emploi titulaire et l am lioration des conditions d emploi des agents contrac tuels dans
19. tablissements relevant de la fonction publique hospitali re M decin vacataire Emploi hospitalier Psychiatrie Pr judice de carri re Conseil d tat 20 novembre 2013 n 352403 Mme X employ e depuis 1978 comme m decin vacataire en psy chiatrie a t nomm e praticien des h pitaux temps partiel compter du ler mai 1995 Elle a exerc contre l Etat un recours indemnitaire au titre du retard avec lequel le d cret du 27 janvier 1993 relatif l acc s des m decins vacataires aux emplois hospitaliers est intervenu Ce d cret pris en application de l article 14 de la loi du 31 d cembre 1985 relative la sectorisation psychiatrique devait d finir les conditions de recrutement et de r mun ration des m decins ACTUALIT JURIDIQUE DU 04 AU 18 D CEMBRE 2013 Page 6 In Personnel 3 3 Le tribunal administratif a condamn l Etat r parer la perte de r mun ration les troubles dans les conditions d existence ainsi que le pr judice de carri re valu jusqu au 19 f vrier 2004 jour du jugement Souha itant obte nir r paration de son pr judice de carri re subi pendant les ann es ult rieures au jugement la requ rante a fait appel de l ordonnance du tribunal La Cour administrative d appel de Paris a rejet la nouvelle demande de r pa ration de la requ rante estimant qu elle se heurtait l autorit de la chose jug e Le Conseil d Etat statue quant lui en faveur de la requ rante Il
20. utre part rappeler les diff rents cycles d organisation du travail possibles et exposer en illustrant par des exemples le dispositif r sultant de ces dispositions qui consiste retirer une jour n e de repos d s que l absence d passe le rapport entre le nombre de journ es de repos et le nombre de jours ou vrables au titre d une ann e civile la circulaire attaqu e na d s lors qu un caract re interpr tatif que le moyen tir de ce qu elle comporterait des dispositions qui ajoutent l article 115 de la loi de finances pour 2011 ou qui sont de nature r glementaire ne peut par suite qu tre cart Agent contractuel Tuberculose imputabilit au service Cour administrative d appel de Paris 12 novembre 2013 n 13PA00131 Monsieur X agent contractuel d un tablissement de sant de mai 2004 septembre 2010 rel ve appel du jugement du Tribunal administratif de Paris en date du 31 mai 2012 qui a rejet sa demande tendant titre principal la condamnation de cet tablisse ment lui verser une somme mensuelle de 3000 euros en r paration du pr judice subi du fait de l imputabilit au service de la tuberculose dont il est atteint ainsi qu une somme de 25000 euros titre de rappels de r mun rations pour les ann es 2007 2010 La cour administrative d appel de Paris rejette la requ te en consid rant notamment que stil est constant que Monsieur X a b n fici d un cong de grave malad
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