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Lutte contre la pauvreté

1. porter des coups ou blesser volontairement un l ve un professeur un ducateur ou un membre du personnel introduire ou poss der une arme l cole ou l ext rieur de l cole ou tout autre objet consid r comme dangereux d tenir consommer ou vendre de la drogue l cole ou dans les alentours menacer ou agresser un autre l ve ou un membre du personnel pour lui prendre de l argent des objets de valeur que ce soit l cole ou l ext rieur racket exercer une pression psychologique sur un l ve ou un membre du personnel par insultes ou injures tu peux galement tre exclu de l cole si tu es complice d un de ces faits ou si tu demandes quelqu un de commettre un de ces faits ta place m n gt gt m n i Si l cole souhaite t exclure d finitivement elle doit mettre en place une proc dure stricte Cette proc dure diff re selon que tu fr quentes un tablissement organis par la Communaut fran aise ou subventionn par la Communaut fran aise 57 Droit au but Droit au but 3 O introduire le recours Si tu fr quentes un tablissement organis par la Communaut fran aise le recours contre la d cision d exclusion d finitive doit tre introduit l adresse suivante Direction g n rale de l Enseignement Obligatoire Service de Recours et des Exclusions B timent Les Ateliers Rue Adolphe Lavall e 1 1080 Molenbeek
2. Th tre social Enfin c est Eric Guerisse assistant social Andage association d aide et de soutien pour les personnes handicap es qui se d voile dans le portrait de ce num ro Bonne lecture Jean Marie CARRIER D put provincial aux Affaires Sociales et Hospitali res Quoi de neuf ssissssssisseuissitoensuers 2 Action sociale 2452 ssessetaseiasdeusesaner 2 Logement ssssssossatseroitel diassetostets 4 Egalit des chances 6 Th tre Social 7 Mopilit Es era tentent 9 LOg MENT srssssessseethhserdrissistestes 11 Mode d emploi 12 Les initiatives d aide alimentaire en province de Luxembourg 12 Consom action 14 Missions du service pr vention 14 Forum surendettement 15 Coup de r tro o oreiecrercnccssosirestsnias 16 Salon du social Bastogne 16 Marche mondiale des femmes 16 Carte de visite 17 DHAMO ss era minier 17 AUTRE sa rene tn cesse 17 SAM ss ste shesseneseatrlddrrens m nse 19 Services partenaires asbl et permanences 21 Lutte contre la pauvret 23 Ann e de la pauvret 23 Portraiten oriako dessine 38 Erie GUERISSE 35 derriere 38 HANdICAp 1 244552 aires 42 L ASBL ACIS CLAIRVAL 42 B
3. Chercher des solutions qui prennent en consid ration la fois la demande du jeune ses comp tences sa situation singuli re M diation Jouer un r le de tiers entre le demandeur et les diff rents services utilis s Soutien Entretiens individuels entretiens familiaux Information Informer sur les droits la l gislation les services existants et leurs accessibilit Sensibilisation Amener les diff rents services non sp cialis s tre plus ouverts dans l accueil des personnes d ficientes Coordination R partir les t ches pour viter les confusions viter que les actions des diff rents services ne s annulent l une l autre IV L ACCUEIL EXTRA SCOLAIRE Le travail r alis par l quipe d I MEDIAT dans le cadre de l accueil extra scolaire fait partie de l action communautaire Le r le d I MEDIAT est le suivant assurer un soutien de l quipe d animateurs rencontre hebdomadaire le mercredi en fin d activit __assurerunrenforcement de l quipe d animateurs ponctuellement en cas de besoin assurer la supervision du projet ventuellement une formation du personnel mis en place assurer l valuation du projet assurer les liens avec les familles Localisation du si ge administratif Place Joseph Mar chal n 5 6940 BARVAUX S O T l 086 21 13 03 Fax 086 21 02 21 E mail clairval barvaux acis group org Directeur g n ral Jacques SERVAIS A5 Handi
4. Pour certains la culture est une lecture du monde particuli re pour d autres c est l identit d un groupe la mani re dont les gens entretiennent des relations l int rieur de ce groupe et avec les personnes ext rieures ce groupe La culture c est la capacit de choisir elle s apprend par la participation de multiples formes d activit s culturelles La culture familiale est diff rente de la culture de l cole et la culture du quart monde est diff rente de la culture des classes moyennes Certaines cultures dominent d autres Les participants ont soulign qu il est important de ne pas imposer la culture dominante tous que les personnes pr caris es n ont pas s adapter la culture des personnes ais es Nous avons tous une culture qui m rite de s exprimer d tre d couverte par d autres L interculturalit n est donc pas seulement la rencontre des cultures de diff rents pays c est aussi la rencontre des diff rentes cultures familiales des diff rentes cultures des classes sociales Malheureusement trop souvent on renvoie une image n gative des cultures diff rentes de la culture dominante La culture est le propre de l humain et est en constante volution Pour les personnes pr caris es il est important de partir de leurs envies de leurs demandes pour mettre en place une offre culturelle int ressante et qui correspond leurs attentes Dans le domaine culturel il est important d aller v
5. Tu as encore des questions Les choses ne se passent pas comme pr vu N h site pas contacter le Service Droit des Jeunes Ce service r pond toutes tes questions gratuitement et dans l anonymat Ce service peut aussi t accompagner dans tes d marches RVI Permanences d Arlon o Permanences de Vielsam rue de la Caserne 40 4 S rue de la Chapelle 8 6700 Arlon 6690 Vielsam T l fax 063 23 40 56 T l 080 54 94 24 lundi mercredi vendredi de 14h 17h lundi et mercredi de 14h 17h ou sur rendez vous ou sur rendez vous luxembourg sdj be luxembourg sdj be En cas de besoin d placement possible dans toute la province du Luxembourg Secret professionnel garanti Acc s libre et gratuit Visitez notre site www sdj be 59 Agenda 60 Conf rence 10 avril 2010 Les enfants face la s paration des parents Marche en Famenne Contact Mic Ados T l 084 31 19 31 Courriel micados skynet be Pauses sant Les Pauses sant ont lieu de 12h15 13h15 dans les locaux de la Mutualit chr tienne Arlon et Marche en Famenne ARLON 19 avril 2010 Je me sens fatigu e 17 mai 2010 Osth opathie en savoir plus 21 juin 2010 Des m dicaments moins chers Contact Mutualit chr tienne 084 32 09 11 MARCHE 20 avril 2010 L attachement pr coce et les comp tences de l enfant 18 mai 2010 L estime de soi pour la confiance en soi 15 juin 2010 Comment r aliser un barbecue di t
6. caris es connaissent cette possibilit d utiliser Internet gratuitement et qu ils sachent se servir d un ordinateur 31 L Lutte contre la pauvret utte contre la pauvret Province de Luxembourg AS E amp es 4 ai r EN NS J E nN S PET TOUS a MS Des p lt 7 Aion j a VAE k En gris les communes qui ont r pondu au questionnaire Carrefour du Social n 1 2010 Lutte contre la pauvret T moignage Dans le cadre de l ann e europ enne de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale Jean Marie Carrier D put provincial aux Affaires Sociales et Hospitali res initie diff rentes d marches avec plusieurs partenaires afin de sensibiliser cette th matique Lors d une de ces r flexions Monsieur le D put a souhait avec Christine Mahy Pr sidente du R seau belge de lutte contre la pauvret collaborer avec la presse de la province de Luxembourg afin de d stigmatiser les personnes qui connaissent ou qui ont connu la pauvret Ceci afin de sortir des clich s tels que ce sont des poids pour la soci t des gens qui ne veulent pas s en sortir etc Dans les m dias les personnes qui connaissent ou qui ont connu la pauvret n ont pas l impression que leur volont et l nergie qu ils doivent d velopper pour s en sortir sont reconnues Des rendez vous avec des t moins du v cu et des repr sentants de la presse luxembourgeoi
7. ou Daverdisse Les CPAS ayant r pondu sont d taill s dans la carte ci dessous Les r sultats sont pr sent s question par question telles qu elles ont t propos es aux CPAS Au 30 septembre 2009 1121 personnes b n ficient du revenu d int gration sociale en province de Luxembourg soit 0 5 de la population des communes participantes Plus de femmes que d hommes en b n ficient ainsi que plus de personnes isol es que de personnes ayant charge de famille Au 30 septembre 2009 12 jeunes de moins de 18 ans b n ficient du revenu d int gration sociale Il est important de signaler que seul un mineur mancip n est plus soumis l autorit parentale et auquel on a conf r la pleine capacit juridique est b n ficiaire du revenu d int gration sociale Cette question ne nous renseigne donc pas sur la proportion d enfants dont les parents b n ficient du revenu d int gration sociale En 2008 moins d une centaine de personnes g es ont t aid es par le CPAS pour faire face aux co ts d un s jour en maison de repos Le CPAS est en effet tenu d aider les r sidants payer leurs factures lorsque leur pension est trop modeste et qu aucun d biteur d aliment ne peut intervenir Lutte contre la pauvret En 2008 plus de 1500 m nages ont t confront s des probl mes financiers Dans plus de 800 cas le CPAS a mis en place une guidance budg taire c est dire une forme d aide sociale qui a pour obje
8. rieur de l cole si ces faits ont des cons quences sur son fonctionnement 1 Quels types de sanctions peut on m infliger Les sanctions doivent tre proportionnelles la gravit des faits et doivent tenir compte de tes ant c dents ventuels Cependant on ne peut pas te sanctionner deux fois pour un m me fait Elles peuvent prendre la forme d un rappel l ordre par une note dans le journal de classe faire signer par tes parents si tu es toujours mineur d une retenue d une exclusion temporaire d un ou de plusieurs cours d une exclusion temporaire de tous les cours avec un maximum de 12 demi jours par ann e scolaire d une exclusion d finitive Elles sont parfois accompagn es de t ches suppl mentaires comme un travail d int r t g n ral ou un travail p dagogique 2 La proc dure d exclusion d finitive L exclusion d finitive est la sanction la plus importante que seul le chef d tablissement ou son pouvoir organisateur peut prendre Cette sanction ne peut tre prononc e que si tu as commis des faits graves portant atteinte l int grit physique psychologique ou morale d un membre du personnel ou d un l ve ou des faits compromettant l organisation ou la bonne marche de l cole ou qui lui font subir un pr judice mat riel ou moral grave Carrefour du Social n 1 2010 Certains faits pr cis peuvent justifier une exclusion d finitive comme par exemples
9. sentation De plus pour continuer la r flexion des livrets publi s par Yapaka seront distribu s Une histoire comme plein d autres sauf que c est la mienne destination des jeunes Etre parent c est Manuel de survie pour parents d ados qui p tent les plombs et des cartes postales de la campagne l exemple c est nous destination des adultes Le spectacle peut tre jou sur demande aupr s du Th tre des Travaux et des Jours pour environ 500 euros par repr sentation La pi ce dure 40 minutes et est suivie d un change de moins d une heure Pour ne pas freiner la discussion le spectacle est pr vu pour un public de 80 personnes au maximum Renseignements Conseil d Arrondissement de l Aide la Jeunesse Service de l Aide la Jeunesse Section pr vention g n rale C line Scieur Avenue de la Toison d Or 94 6900 MARCHE EN FAMENNE 084 24 49 20 celine scieur cfwb be Miroir Vagabond Th tre des Travaux et des Jours C line Dani ls Vieille Route de Marenne 2 6990 BOURDON 084 31 19 46 th atredestravauxetdesjours skynet be ejo LA Locomobile l air de rien Je me d place 1 Historique La Province de Luxembourg dans le cadre de la d marche de d veloppement territorial Luxembourg 2010 a organis un Printemps de la mobilit en 2008 Cette initiative a permis de mettre en lumi re la probl matique de la mobilit sur notre territoire E
10. tape tant la visite d un auditeur pour faire un diagnostic nerg tique du b timent En effet dans le logement public si les nouveaux logements sont aux normes K40 taux d isolation tr s important c est loin d tre le cas des anciens b timents qui ne sont l objet d am nagements d isolation que dans la mesure des moyens limit s disponibles Pour les logements priv s la probl matique est diff rente car comment convaincre les propri taires de faire des investissements conomiseurs d nergie qui profiteront d abord aux locataires et viter que ce type de travaux ne soit le pr texte au d part des locataires revenus modestes pour les remplacer par des locataires plus ais s Le danger est que les logements d ficients au niveau nerg tique ne deviennent les ghettos des locataires les plus modestes Dans ce cadre la d marche de six CPAS de la r gion de Famenne qui se sont regroup s dans l association Famenne nerg tique pourtravailler danslecadredes Carrefour du Social n 1 2010 Lutte contre la pauvret plans de guidance nerg tiques de la R gion wallonne et des pr ts pour les investissements conomiseurs d nergie est particuli rement int ressante Pour l ensemble des intervenants si les moyens sont limit s la priorit absolue doit tre accord e aux investissements d isolation et plus particuli rement dans les logements sociaux qui accueillent un public fragilis D autr
11. tique et savoureux Contact Mutualit chr tienne 063 22 56 25 Les Midis de la Sant Les conf rences ont lieu de 12h15 14h00 dans les locaux de la Mutualit socialiste Arlon 20 avril 2010 Virgini d une brochure outil pour parler de virginit sans tabou 11 mai 2010 Les conduites risque chez les ados 8 juin 2010 La pr vention des violences dans les relations amoureuses chez les jeunes une tude une campagne Contact Femmes Pr voyantes Socialistes 061 23 12 69 Courriel cecile artus mutsoc be
12. une initiative qui existe depuis plus d une quarantaine d ann es Elle permet aux familles d munies de la commune de Libramont de recevoir un colis leur donnant la possibilit de passer les f tes de No l autour d un repas festif C ur chaud Bertrix propose une aide en mettant disposition des personnes en difficult des logements de transit ou d urgence L association distribue galement des colis alimentaires pour les habitants de la r gion de Bertrix Les piceries sociales Elles sont au nombre de trois dans notre province Bertrix Herbeumont Rossignol Meix devant Virton A i Le San Giorgio _ Une picerie sociale est la fois un projet d aide alimentaire et une activit d ducation permanente C est un petit magasin o les b n ficiaires peuvent faire leurs courses un prix r duit 50 du prix d achat en grande surface Contrairement aux autres initiatives pr sent es ci dessus le b n ficiaire est pris en consid ration en tant que consommateur il est libre de choisir les aliments qu il souhaite Le ticket secours ou ticket S Financ par les institutions le ticket secours permet d acqu rir une aide alimentaire ou vestimentaire l exception du tabac et de l alcool Il est accept dans 10 000 points de ventes petites moyennes et grandes surfaces magasins alimentaires boucheries boulangeries piceries Cette formule permet d acqu rir un
13. 2008 II s agit d un service d inclusion sociale pour jeunes porteurs de handicaps qui collabore avec l associatif du grand Marche l h pital la biblioth que etc L ann e derni re nous avons inaugur en collaboration avec la Famennoise Le vieux Marche qui propose 3 places dans un logement supervis en semi autonomie ainsi que Le cerisier maison communautaire pour 6 personnes proximit de la gare de Marche Tarroftnur nl Canarial n21 D0A10 CarreTour qu gt ocial I 2010 Une autre maison communautaire en semi autonomie va prochainement ouvrir ses portes Saint Hubert Tous ces services sont agr s par l AWIPH et rassemblent 110 travailleurs En termes d accueil de jour cela repr sente entre 75 et 80 personnes Pour le service r sidentiel 25 personnes Il faut galement prendre en compte les prestations qui sont donn es en famille qui se chiffrent 200 dossiers AU niveau du service d accueil de jour de Aye nous avons un agr ment g n raliste pour tout type de handicap mental ou physique Il y a deux exclusions les probl matiques alcooliques et toxicologiques La p dagogie employ e ne nous permet pas ce type d accueil Pourquoi une telle diversit dans les services propos s par Andage Il y a un besoin norme en r sidentiel En Wallonie pour trois demandes il y a deux places ouvertes On se rend compte qu il y a beaucoup d institutions pour le polyhandicap alors qu il existe auss
14. 7 1 n y a pas de centre de r ducation fonctionnelle en province de Luxembourg 8 Il y a un manque flagrant de l offre de soins en sant Lutte contre la pauvret 27 Lutte contre la pauvret 28 mentale dans la province du Luxembourg 9 Certaines personnes ex personnes g es rencontrent des difficult s pour g rer administrativement leurs dossiers soins de sant Les mutuelles proposent que des assistants sociaux se d placent au domicile des personnes g es afin de leur apporter une aide dans la gestion de leur dossier Il est peut tre n cessaire de faire un effort de communication aupr s du public pour faire conna tre ce type de service Les avanc es technologiques vont vers la suppression de l attestation de soins Le m decin traitant pourrait l avenir envoyer lui m me par informatique l attestation de soins la mutuelle du patient Ce dernier serait alors directement rembours par sa mutuelle et n aurait plus renvoyer l attestation de soins 10 L acc s aux soins recouvre galement le volet pr vention alimentation activit physique mode et cadre de vie mais les moyens ne sont pas suffisants Le probl me vient notamment du saucissonnage entre les pouvoirs de comp tence En termes de sant publique la Belgique ne dispose pas d un plan global Au niveau pr vention on touche tr s peu les personnes pr caris es Comment sensibiliser ce public pour lequel la sant n es
15. Christian Destin Com diens Bruna Bettiol et Yvon Fran ois Alv ole Th tre L histoire un spectacle de Th tre Action qui porte un regard ac r sur les pauvret s Elle est une femme de quarante ans la rue depuis plusieurs ann es Alcoolique Elle survit gr ce la mendicit et de petites combines En essayant de rattraper son chien en fuite Elle d couvre un abri de jardin dans l arri re cour d une maison inoccup e Elle en fait son refuge ignor de tous Michel lui a cinquante ans Il tait employ de banque mais suite un accident il a perdu son travail Il a fait des emprunts pour assurer son niveau de vie Les huissiers sont arriv s Apr s une lente descente aux enfers sa femme l a laiss tomber Il se retrouve finalement la rue Il y reste quelques jours il dort peine il est bout Un jour il vole une bouteille dans une grande surface Poursuivi par un vigile il arrive par hasard dans le refuge de Elle C est le d but de la confrontation entre les deux personnages Carrefour du Social n 1 2010 Avec le soutien du Service Egalit des Chances de la Province du Luxembourg de la Maison de la Culture de Marche en Famenne du Centre Culturel local de Nassogne et du Service Th tre de la Communaut fran aise Avec l aide de Vivre Ensemble l Entrep Eau Bastogne et La Moisson Le 210 Houmont Conditions techniques Public id
16. activit anim e par le Miroir Vagabond a t r alis e gr ce au soutien de l Institut pour l Egalit des Femmes et des Hommes la Communaut fran aise et le D partement des Affaires Sociales et Hospitali res de la Province de Luxembourg Le salon du social Bastogne organis conjointement par l Amo provinciale M dia jeunes et le Cpas de Bastogne s est d roul les 4 et 5 f vrier 2010 L occasion de d couvrir de nombreux organismes actifs sur le territoire de la commune ou dans toute la province Plusieurs spectacles et une conf rence Thomas d Assembourg ont drain un large public Carrefour du Social n 1 2010 La nouvelle Direction Handicap et Actions en Milieu Ouvert direction handicap et actions en milieu ouvert La nouvelle Direction Handicap et Actions en Milieu Ouvert cr e en juillet 2009 Arlon au sein de l Administration provinciale constitue une structure et un cadre favorables au d veloppement des activit s des services d accompagnement Sahmo et d aide l int gration Autilux Le souci permanent de r pondre au mieux aux demandes et aux besoins des personnes handicap es qui souhaitent un soutien pour mener bien leurs projets de vie en milieu ordinaire hors des institutions adapt es se traduit par une valuation r guli re du travail par une adaptation des objectifs et missions et par l tablissement de collaborations toujours plus nombreuses avec des servi
17. ai suivi mes humanit s l ath n e de Saint Hubert en latin grec histoire puis j ai t l cole sociale de Bruxelles Ce choix s est impos tout naturellement dans la logique de mon ducation Je suis aussi dipl m en th rapie familiale syst mique de l cole p dagogique de Namur A la fin de mes tudes j ai un peu travaill dans les maisons d accueil pour personnes handicap es Il s agissait de faire de la r int gration apr s un s jour en prison ou d aider des personnes drogu es apr s un sevrage etc J ai commenc Andage en 1981 au service d accueil de jour de Saint Hubert J ai succ d Marc Frippiat Je m occupe des interventions en famille En quoi cela consiste t il La nature de l intervention familiale est individuelle Elle est sollicit e par les familles quand il y a une angoisse lorsque les familles se demandent ce qui va se passer l avenir pour leur enfant ou parent ou lorsqu elles ont besoin d un conseil juridique en mati re d h ritage etc C est tr s diff rent d une situation l autre Dans l intervention on essaie d anticiper les besoins surtout par rapport au placement On souhaite que les familles pensent relativement t t l apr s et pas quand il est Assistant social aupr s de l ASBL Andage depuis 1981 Eric GUERISSE 50 ans soccupe des interventions en famille en veillant toujours placer la personne handicap e au centre du projet p dagogique Cest dans ces rencontre
18. alisation au c ur des groupes de travail Compte rendu de l atelier n 1 Logement L animateur a au pr alable rappel que le logement est consid r comme un droit fondamental par la Constitution belge Pour les citoyens c est souvent la priorit n 1 la base indispensable pour une qualit de vle Pour aborder l atelier il a propos 4 portes d entr es d j voqu es dans le cadre d un groupe de travail sur le logement mais qui ne sont en aucun cas exclusives et qui peuvent ouvrir d autres portes et probl matiques Ces quatre portes sont 1 L habitat permanent en camping 2 La p rennisation et le d veloppement des AIS de notre province 3 Les conomies d nergie dans les logements sociaux et priv s 4 La formule du logement kangourou une personne g e qui accueille dans son logement un jeune moyennant certaines modalit s Le d bat s engage sur la probl matique de l habitat permanent en camping car pour la plupart des intervenants la R gion wallonne va trop loin dans ce domaine en cherchant mettre un terme cette forme d habitat sans avoir les moyens au niveau logements et politique sociale d une r elle alternative Cette situation de r sidence permanente en camping autrefois accept e ou du moins tol r e est aujourd hui remise en question Alors qu en Flandre une caravane r sidentielle peut tre consid r e comme un logement la Wallonie ne l accepte pas pour des raison
19. auquel s ajoutera rapidement l cole fondamentale sp cialis e En 1980 l institution affinera son projet th rapeutique et consid rera que le concept d insertion ne peut tre pratiqu en un seul endroit L institution clatera alors en petites unit s de vie dans Durbuy et sa r gion Toujours soucieux d adapter les services aux besoins de la population d autres services verront le jour 1986 cr ation des Services d Accueil de Jour SAJA et R sidentiel pour Adultes SRA 2000 cr ation d un Service d Aide l Int gration SAI 2004 cr ation d un service transition SRT 2007 cr ation d un Service d Accompagnement SAC et ouverture d un service R pit Court S jour Aujourd hui Clairval repr sente un ensemble de services regroup s autour d une ASBL o tous s attachent un seul but aider parents enfants et adultes en difficult r sidentiel de A noter en 1998 un changement de Pouvoir Organisateur avec la reprise des activit s de Clairval Cd ASBh Clairval Barvaux sur Ourthg il RT i 5 on WWw acis group org SUA SRJ par l Association Chr tienne des Institutions de Soins et de Sant ACIS Finalit L objectif poursuivi est de fournir les outils n cessaires chacun afin qu il utilise au maximum ses ressources ses comp tences dans une optique d EPANOUISSEMENT dela personne allantde pairavec son insertion et son int gration
20. biblioth ques doivent tre encourag es appliquer le nouveau d cret qui renforce leur r le d ducation permanente et leur devoir d aller la rencontre des personnes les plus pr caris es Plus concr tement il est galement demand de proposer une journ e gratuite par semaine dans tous les mus es du pays Compte rendu de l atelier n 3 Acc s aux soins de sant Un tat des lieux de la Belgique au sein de l OCDE a t pr sent En Belgique 75 1 des d penses courantes de sant sont financ es par des fonds publics un niveau proche de la moyenne des pays de l OCDE 72 8 La Belgique compte 4 m decins par millier d habitants par rapport une moyenne de 3 1 dans les pays de l OCDE En Belgique le nombre de lits d h pitaux pour soins aigus est de 4 3 lits par millier d habitants un peu plus lev que la moyenne des pays de l OCDE 3 8 lits l esp rance de vie en Belgique tait de 79 5 ans en 2006 l g rement au dessus de la moyenne des pays de l OCDE 79 ans Certains points significatifs du Rapport G n ral sur la Pauvret de 2005 et 2007 ont t pr sent s ainsi que les recommandations du Rapport G n ral sur la Pauvret de 2007 RGP 2005 Les co ts des soins de sant augmentent 28 des m nages sous le seuil de pauvret postposent leurs soins Le syst me du tiers payant pose des probl mes d avance de fonds pour certains patients L information sur l ac
21. d velopp l initiative et avec le soutien de la Fondation Roi Baudouin Philanthropy be Renseignements Bernard Martin Pr sident SOCIALware 02 375 01 51 bernard martin socialware be Benoit Fontaine Conseiller Fondation Roi Baudouin 02 549 03 04 fontaine b kbs frb be 49 Docs en stock Docs en stock www winwinplan be Nouveau plan d embauche pour les jeunes demandeurs d emploi et les demandeurs d emploi g s Le plan d embauche du gouvernement f d ral pour les jeunes demandeurs d emploi et les demandeurs d emploi g s est en vigueur depuis le 1er janvier 2010 Lebutdece plan est d encourager l engagement de ces groupes pendant cette p riode de crise en r duisant les co ts salariaux Les demandeurs d emploi de moins de 26 ans les ch meurs indemnis s de plus de 50 ans et les ch meurs indemnis s qui sont demandeurs d emploi depuis un deux ans entrent en ligne de compte pour b n ficier des mesures de ce plan A cet effet ils doivent demander au pr alable une carte de travail aupr s de l agence locale pour l emploi ALE du bureau du ch mage de l Office national de l emploi ONEM ou via le site internet de l ONEM Si le demandeur d emploi est embauch il peut gr ce cette carte de travail conserver son allocation de ch mage pendant son occupation Cette allocation de travail peut s lever 1 000 ou 1 100 euros et est pay e par l ONEM L employeur peut d duire ce
22. de la Croix Rouge ou l ext rieur Cela va permettre ces personnes de re prendre go t des activit s collectives de re cr er progressivement un cercle d amis et de 72 A b connaissances de se sentir moins isol es et de s ouvrir au monde ext rieur Hestia apporte donc une r ponse l isolement social et affectif des personnes une probl matique qui ne cesse de cro tre au sein de notre soci t Les objectifs des volontaires sont de r instaurer un lien social partager des moments de convivialit et rendre de petits services r guliers ou occasionnels Tous les volontaires sont form s l accueil l coute et tenus au devoir de discr tion La Croix Rouge collabore galement avec les services d aide domicile pour organiser les visites des volontaires Renseignements Sabrina Gr goire 063 22 10 10 sabrina gregoire redcross fr bee ONN TIRONS UN TRAIT SUR LASSOLITUDE Carrefour du Social n 1 2010 Un salon du social Arlon en novembre La province de Luxembourg est riche d initiatives dynamiques et novatrices dans de multiples domaines tels que l aide aux personnes l emploi la sant la citoyennet l aide aux victimes la famille le logement l aide la jeunesse Depuis une quinzaine d ann es d j le Centre Public d Action Sociale de la Ville d Arlon a d cid d innover en proposant aux organismes associations et mouvements d ducation permanente
23. de travail la perte de travail et le fait de ne pas en trouver la politique du march du travail et la politique de l emploi les prestations de vieillesse et de survie et la famille Edition 2010 de l inventaire des groupes d entraide et de soutien L Edition 2010 de l inventaire pr sente 211 groupes d entraide et de soutien actifs en Communaut fran aise Edit annuellement et diffus gratuitement cet outil est pratique pour tout professionnel de la sant et particulier la recherche de groupes apportant aide et coute sur des th matiques diverses Toutes les coordonn es des groupes d entraide y sont reprises ainsi que leurs activit s et antennes locales Renseignements Union Nationale des Mutualit s Socialistes Service Promotion Sant Rue Saint Jean 32 38 1000 BRUXELLES T l 02 515 05 85 515 05 04 Fax 02 515 06 11 http www selfhelp be Renseignements SPF S curit sociale Centre Administratif Botanique Finance Tower Boulevard du Jardin Botanique 50 bo te 115 1000 BRUXELLES GSM 0478 26 14 54 Courriel jan bertels minsoc fed be http www socialsecurity fgov be inventaire 2010 tes 0 es d entraide at de si 51 Docs en stock www bibliotheques province luxembourg be gt nt anna emo La Rad one Recherche avanc e RE r RE r Tous les charmes saut notes Monts du titre Tire exact Nature du document article bande
24. des comp tences et des ressources long terme qui favorisent l int gration de jeunes handicap s Accompagnement scolaire Le service assure un accompagnement du jeune au travers d activit s le plus souvent individuelles La forme de ce soutien l int gration scolaire sera fonction des capacit s du jeune et de ses besoins des choix des parents et des moyens humains et mat riels disponibles Ce travail de soutien s ins re dans une action globale o chacun des intervenants contribue par ses comp tences sp cifiques une connaissance particuli re du jeune la coordination de ces diff rents apports devant permettre un suivi pluridisciplinaire coh rent et coll gial Cet accompagnement se fera en milieu scolaire en milieu familial dans les locaux du service ou dans tout autre environnement favorable un apprentissage L accompagnement veille stimuler et d velopper la communication des b n ficiaires dans leurs diff rents milieux de vie la maison dans l institution phase de transition l ge adulte dans le cadre d activit s de loisirs l cole etc travailler les comp tences sp cifiques d velopper les comp tences sociales des b n ficiaires adapter l environnement au jeune mettre en place et veiller la mise en place par d autres acteurs des principes du programme TEACCH dans ses diff rents milieux de vie Ce programme vise l apprentissage syst matique de tout ce
25. des frais extraordinaires droits d entr e frais de s jour La participation ces activit s rel ve toujours du libre choix de la famille 17 Carte de visite 18 Objectifs et pratiques Le jeune autiste est accompagn avec l objectif de favoriser sa participation la vie familiale etsociale etson int gration dans les milieux de vie ordinaires qu il fr quente Cet objectif est poursuivi principalement sur les plans familial scolaire ordinaire ou sp cialis social sportif culturel et le cas ch ant professionnel Le service intervient dans l environnement humain et social du b n ficiaire afin que cet environnement puisse s ouvrir davantage la personne autiste et faciliter son int gration sociale Cet accompagnement respecte les principes num r s dans l Arr t du Gouvernement wallon du 19 septembre 2002 relatif l int gration des jeunes handicap s Le Service r pond une demande individuelle formul e par le jeune ou par sa famille Le projet d accompagnement se construit au d part d une analyse des besoins du jeune et de sa famille Il valorise les potentialit s du jeune et implique au maximum le jeune sa famille et ses proches L accompagnement contribue stimuler les capacit s d autonomie du jeune et de sa famille Il s inscrit dans une d marche de travail en r seau il se r alise en collaboration avec les autres intervenants psycho m dico sociaux et en uti
26. dont l enfant a besoin pour acqu rir une habilet et en d finitive une ind pendance maximale possible L enfant apprendra les gestes sauter prendre une balle une fourchette ensuite les gestes plus complexes se v tir manger se laver apprentissages d veloppementaux autonomie au niveau de l hygi ne l alimentation l habillage galement faire les courses notion d argent cuisiner nettoyer se d placer transport __optimaliser le temps libre des b n ficiaires organiser la participation des activit s collectives de loisirs faciliter l int gration scolaire tous les niveaux par exemple mettre des r gles en place en classe optimaliser le temps libre en faveur du jeune pendant la cour de r cr ation etc travailler les probl mes d apprentissage assurer la transition du parcours scolaire la vie professionnelle La pluridisciplinarit de l quipe psychologue instituteur logop des ducateurs et assistant social est le garant d un accompagnement de qualit du jeune et d un soutien adapt aux attentes de la famille Renseignements Province de Luxembourg Direction Handicap et Actions en Milieu Ouvert AUTILUX service d aide l int gration 16 rue Z nobe Gramme 6700 ARLON Directeur Patrick Hendrickx 063 22 73 62 Responsables p dagogiques Petra Buyck 0497 51 72 91 et Isabelle Corbiau 0499 57 83 64 Service d accompagnement pour personnes
27. et Hospitali res de la Province de Luxembourg l initiative du D put Jean Marie Carrier a r alis en 2007 dans le cadre de la d marche de d veloppement territorial Luxembourg 2010 l tude Bien vieillir en province de Luxembourg Celle ci porte sur le vieillissement de la population et sur les pistes d interventions possibles envisager l chelon provincial L une d entre elles portait sur la mise en place d une bourse de 10 000 euros visant soutenir et faciliter l mergence des projets originaux et innovants destination des personnes du 3 me et 4 me ge Gr ce au soutien financier de l asbl Luxembourg 2010 un appel projets suppl mentaire a t lanc destination des Conseils Consultatifs communaux des A n s CCCA pour l octroi d une bourse de 7000 euros Cette ann e cinq projets ont t retenus Premier laur at CCCA de Durbuy Le projet intitul Les couleurs de la vie nos g n rations en photos est d organiser un atelier interg n rationnel entre arri res grands parents grands parents et petits enfants sur le th me de la photographie Son objectif est de permettre aux participants un change autour du temps qui passe dans la recherche d une photographie de Toi papy mamy quand tu avais mon ge Par ailleurs une exposition sera organis e au terme de l atelier pour mettre en valeur 3 photographies de chaque couple g n ration une de
28. intervenus pour le paiement d une pension alimentaire Cette comp tence est assur e actuellement par le service de cr ance alimentaire SECAL qui paie les avances de pension alimentaire et recouvre les sommes dues aupr s des ex conjoints en d faut de paiements Toutefois il existe un plafonnement de salaire pour la personne qui souhaite faire appel leurs services ce qui exclut certains parents en situation financi re pourtant difficile Le CPAS devra alors intervenir En 2008 plus de 300 personnes ont sign un contrat de travail dans le cadre de l article 60 ou 61 avec pour employeur un CPAS Ces contrats de travail aux conditions particuli res mettent l emploi des b n ficiaires qui doivent justifier une p riode de travail ou acqu rir une exp rience professionnelle Plusieurs milliers de personnes ont b n fici de r duction leur permettant d acc der des loisirs et ou des v nements culturels gr ce l article 27 qui facilite l acc s toute forme de culture gr ce une r duction du prix des places ou au fonds d panouissement aidant les CPAS mettre en place leurs propres projets culturels ou de loisirs en fonction des attentes des usagers Laderni requestion li e la probl matique delafracture num rique concerne la pr sence ou non d un espace publique num rique dans la commune consid r e C est le cas pour 15 d entre elles Pour autant il n est pas s r que les personnes les plus pr
29. l agence proposera un encadrement pour les personnes int ress es par cette d marche et un vade mecum du b n volat est en cours de r alisation Le territoire couvert par l agence du b n volat sera l ensemble de la province de Luxembourg Toutes les communes ont t inform es et des r unions de pr sentation ont t organis es pour les associations et le grand public Enfin il faut souligner galement que la promotion du b n volat est une autre mission fondamentale de l agence qui esp re aboutir une reconnaissance plus grande de ce type d activit Renseignements Monsieur Jean Paul Weles Rue du Vieux moulin 9 6600 BASTOGNE T l 061 21 28 79 Fax 061 21 79 55 GSM 0495 21 41 83 E mail jean paul weles skynet be 11 Mode d emploi 12 Se nourrir est un besoin physiologique vital pour chaque tre humain Si nous en sommes tous conscients il n est pas pour autant facile de r pondre ces besoins de premi re n cessit pour tout un chacun Que ce soit sous la forme de colis alimentaires de repas ou de bons et ch ques alimentaires tout est appr ciable quand on est en difficult Plus commun ment appel e aide alimentaire celle ci est par d finition gratuite ou un prix bien inf rieur celui du march Mais tout le monde ne peut en b n ficier des conditions d acc s sont clairement tablies et propres chaque initiative Plusieurs associations mal ou peu
30. la surconsommation et consommer au mieux pour son bien tre personnel et celui de la soci t Sources Extraits de la Gasette Renseignements GROUPE ACTION SURENDETTEMENT Grand Rue 4 BP2 6630 MARTELANGE T l 063 60 20 86 Fax 063 43 49 25 gas prevention skynet be Carrefour du Social n 1 2010 Forum surendettement L Observatoire du Cr dit et de l Endettement a cr un forum qui se veut un espace de partage d exp riences de conseils et de r ponses entre personnes int ress es personnellement ou non par la probl matique du surendettement L quipe de l Observatoire mod re les changes et fournit les pr cisions juridiques et conomiques n cessaires L Observatoire du Cr dit et de l Endettement http socialsante wallonie be forumsurendettement index php Carrefour du Social n 1 2010 Consom action Consom action 15 Coup de r tro Salon du social Bastogne Coup de r tro Marche mondiale des femmes Le 8 mars 2010 des femmes issues de diff rents organismes comme Vie F minine les Femmes Pr voyantes Socialistes Oxfam la Maison du Pain etc se sont r unies au Hall polyvalent afin de r aliser des fresques collectives sur le th me de la Marche mondiale des femmes Autonomie conomique et la Violence envers les femmes La fresque s lectionn e sera imprim e sur b che et pourra tre expos e afin de poursuivre la sensibilisation Cette
31. pas d passer 46 600 ces sont garantis sur 30 ans et les 3 formules sont revenus se trouvent sur le dernier avertissement agr ment es de ristournes de taux ou d un capital extrait de r le que l administration des 0 allant de 20 000 40 000 pour travaux pendant contributions envoie chaque ann e Ces revenus les 8 premi res ann es de remboursement du pr t sont major s de 2 300 pour chacun des deux Une r duction de taux additionnelle est galement premiers enfants charge pr vue en cas d achat d un logement social La valeur v nale du logement ne peut pas d passer 191 000 Elle peut atteindre 210 000 Les r ductions de taux qui seront appliqu es si le bien se situe dans une des 42 zones de d pendent de la commune dans laquelle se situe pression immobili re le logement que le candidat emprunteur souhaite e Il est possible d emprunter 110 de la valeur acheter faire construire ou r nover v nale du logement hors assurance vie Si la commune est reprise dans les 42 communes pour financer par exemple les frais de notaire r wallonnes qui sont en zone de forte pression d enregistrement ou encore des travaux immobili re communes dans lesquelles le prix Le m nage ne peut pas louer le logement ni y moyen des habitations est sup rieur de 35 la exercer une activit professionnelle _D moyenne wallonne une r duction de 1 5 2 2 sera S il souhaite revendre le logement il devra tout appl
32. peu le bar me autoris Une solution serait d augmenter le plafond des revenus ne pas d passer afin de permettre un plus grand nombre de m nage de b n ficier de cette aide financi re Dans ce nouveau calcul il serait souhaitable d y ins rer le co t du kot car beaucoup de nos jeunes s en vont dans les grandes villes pour poursuivre leurs tudes La famille dans sa globalit Il est important de revoir la famille dans sa globalit de lui redonner un sens en mettant en avant l aspect interg n rationnel notamment par la transmission des savoirs Certaines familles sont fragilis es de part leur situation personnelle Pour permettre un encadrement de qualit la collaboration entre les acteurs de terrain reste primordiale Le CPAS le Service d Aide la Jeunesse ou l aide familiale peuvent soutenir les familles Le r le de l aide familiale pourrait reprendre tout son sens et ainsi tre pr sente au sein des familles lorsque celles ci vivent des moments clefs dans leur vie Les ressources Dans le cadre d un placement d enfant suite un rapport men par la Communaut fran aise il a t mis en avant qu une famille pouvait devenir dangereuse si elle n avait pas de domicile fixe ou si les revenus familiaux taient insuffisants par exemple Nous sommes tous un moment donn susceptibles d tre consid r s comme une famille dangereuse Il ne faut pas cat goriser les gens 29 Lutte con
33. socioprofessionnelle Population Pr s de 300 personnes d ficientes sont accompagn es accueillies h berg es dans nos diff rents services Enfants adolescents et adultes d ficients mentaux Enfants adolescents et adultes pr sentant des troubles du comportement et ou de la personnalit Parmi ces personnes certains jeunes sont scolaris s dans les deux tablissements scolaires sp cialis s primaire et secondaire sans n cessairement b n ficier de services AWIPH La population b n ficiant des services agr s AWIPH est r partie comme suit 45 en SRJ 20 en SRA 20 en SAJA 25 en SAI 15 en SAC 3 en SRT soit plus ou moins 130 personnes id Les coles L cole primaire Q meafar Ai Caniolno1 2n1n Carrefour du Social n 1 2010 Handicap Il PRESENTATION DES SAI Globalement les SAI sont r gis depuis 2002 par un arr t qui leur est sp cifique Il s agit d un arr t qui permet une grande souplesse dans l organisation du travail principalement gr ce un mode de subventionnement diff rent Cela permet de partir r ellement de la demande du jeune et de mettre en place tout un programme d aide sans aucun frein organisationnel ou structurel D finition Les Services d Aide l Int gration SAI sont agr s par l AWIPH et s adressent des mineurs g s de 6 20 ans quel que soit le handicap Ce premier point insiste sur l ge des jeunes accompagn s ainsi q
34. 12h30 Carrefour Emploi Formation Carrefour du Social n 1 2010 55 56 J Carrefour Emploi Formation ARLON ACTIVIT S D AVRIL S ANCE D INFORMATION SALON JOB TUDIANT Mercredi 7 04 de 10h 12h et de 13h 17h ATELIERS O ET COMMENT CHERCHER UN EMPLOI Mardi 6 04 de 9h30 11h s RECHERCHE ET ANALYSE D OFFRES D EMPLOI Mardi 13 04 de 9h30 11h AIDE LA CONSTRUCTION DU CV Mardi 20 04 de 9h30 11h AIDE LA CONSTRUCTION DE LA LETTRE DE MOTIVATION Mardi 27 04 de 9h30 12h s MISE EN LIGNE DU CV Mercredi 28 04 de 9h 11h Inscrivez vous ces activit s en t l phonant au Carrefour Emploi Formation de Arlon Rue Diekirch 38 Espace Didier 6700 Arlon T l 063 67 03 32 Retrouvez ses heures d ouverture sur www leforem be Droit au but La discipline scolaire et la proc dure d exclusion Au moment de ton inscription l cole tu as d marquer ton accord avec le r glement d ordre int rieur RO qui figure en g n ral dans ton journal de classe Il comprend des r gles respecter ainsi que des sanctions disciplinaires qui peuvent tre prises en cas de non respect du r glement par exemple le fait de s absenter ou d arriver en retard sans motif valable prof rer des insultes l gard d un l ve ou d un professeur Tu peux tre sanctionn pour des faits commis dans l enceinte de l tablissement mais aussi pour des faits commis l ext
35. ES 2010 est d j bien entam e et le travail que nous r alisons dans le cadre de l ann e europ enne de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale l est galement Dans ce num ro nous vous pr sentons quelques r alisations Tout d abord les comptes rendus des ateliers qui se sont d roul s dans le cadre de la table ronde sur la pauvret du 1er d cembre 2009 Les th mes taient le logement la culture et l enseignement l acc s aux soins de sant l emploi et la formation la famille Ces textes alimentent actuellement les r flexions qui sont men es au sein de diff rents groupes de travail Vous rencontrerez galement Genevi ve qui a accept de partager son v cu et sa r alit avec quelques journalistes de notre province Cette premi re rencontre a pour objectif de sortir des clich s selon lesquels les personnes pr caris es profitent du syst me trichent volent mentent etc D autres rendez vous avec des t moins du v cu sont pr vus tout au long de l ann e 2010 Vous allez galement pouvoir d couvrir la nouvelle cr ation d Alv ole Th tre cr e sp cialement dans le cadre de cette ann e 2010 sur le th me de la pauvret Un spectacle interpellant dont la premi re repr sentation qui s est d roul e le 19 f vrier dernier Marche en Famenne a rencontr un franc succ s Une pi ce qui ne demande qu tourner Toutes les informations techniques et pratiques dans la rubrique
36. Saint Jean Si tu fr quentes un tablissement subventionn par la Communaut fran aise le recours doit tre introduit aupr s du Pouvoir Organisateur PO Attention ce recours n est possible que lorsque la Possibilit d cartement provisoire imax 10 jours d ouverture d cole pendant la proc dure si le gravit des faits le justifie Audition per le chef d tablissement de l t ve et de ses parents sil est mineur assist s de la personne de leur choix gt Etablissement d un p v sign par l l ve et ses parents d faut un p v de carence est a Le PM peut tre modifi la demande d une partie afin de mieux coler aux propos Si l cole refuse de modi fier le PY te demane l est pr f rable de ne pes le signer et d en expliquer les raisons par crit l cole par recommand par fax d cision d exclusion a t prise par un d l gu du Pouvoir Organisateur ex le directeur Si la d cision mane directement du PO le recours n est pas possible Les coordonn es du P O doivent figurer dans le courrier notifiant la d cision d exclusion d finitive L autorit comp tente doit prendre une d cision dans les 15 jours d ouverture d cole Apr s avoir effectu ce recours administratif il y a encore la possibilit d effectuer d autres recours au niveau judiciaire Pour cela il vaut mieux s adresser un service sp cialis Carrefour du Social n 1 2010
37. al scolaire et tout public 120 personnes 15 ans et plus Exigences techniques salle occult e aide au montage et au d montage amp rage 32 A triphas ou 2 x 16 La r gie est autonome Dispositif du plateau Ouverture 6 m tres Profondeur 5 m tres Hauteur 4 m tres Dur e du montage 3h00 Dur e du d montage 1h30 Dur e du spectacle 1h00 Prix 500 Tourn esArtetVie en cours de reconnaissance Le spectacle peut tre suivi d un d bat Renseignements ALV OLE TH TRE Avenue de la Gare 15 6600 BASTOGNE T l Fax 061 21 50 21 alveole skynet be www alveoletheatre be Agenda en bref 18 avril 15h00 Salle du syndicat d initiative de Sainte Ode 20 avril 15h00 Centre culturel de Bastogne 15 mai 20h00 L Entrep Eau Bastogne Quoi de neuf Quoi de neuf Tu ne comprends rien T as rien compris Mise en sc ne Patrick Navatte Technique Anatole Kontsybovsky et Jennifer Miny Marionnettes Martha Fernandez Com diens Corinne Alexandre S bastien Jordens Jonathan Devillers et Christian Degueldre Ce spectacle a t r alis partir notamment de t moignages r colt s aupr s de jeunes et de parents de documentations sur ces th matiques D s le d part des partenaires se sont joints galement au projet les AMO Etincelle de Vielsalm et Mic Ados de Marche le service de Promotion de la San
38. apr s Les institutions pour personnes handicap es ont vu le jour dans les ann es septante Les gens y sont entr s en masse et ils y vieillissent On a beaucoup de personnes qui sont entr es fin septante et qui sont toujours l aujourd hui On a aussi l apparition de nouveau handicap du fait de ce vieillissement comme le ph nom ne de d mence li e la vieillesse ou la trisomie 21 On doit renouveler nos pratiques pour r pondre ces nouvelles r alit s qui apparaissent 39 Portrait 40 On essaye de garder la personne handicap e le plus longtemps dans son milieu de vie avec du soutien Les familles doivent aussi tenir le coup car il s agit bien de cela Ce n est pas tous les jours facile de prendre en charge un enfant o un parent handicap Le moratoire de l AWIPH dit grosso modo qu on ne peut plus ouvrir des nouvelles places La moyenne d ge ne se renouvelle pas non plus Cela pose un vrai probl me Avant on pouvait par exemple ouvrir dix nouvelles places et venir en aide des familles Autre probl me que se passe t il apr s l enseignement sp cial L obligation scolaire s applique tout le monde en Belgique donc les coles sp ciales prennent en charge Il y a un probl me pour les enfants d clar s non scolaris s C est l qu tait le besoin d accueil Renforts existe pour donner aux jeunes la possibilit de faire des choses Quand on a fond le service d accueil de jour de Aye nous a
39. beaucoup de courage et d abn gation Ce n est pas vident de penser toujours l autre Je f licite les familles pour qui j ai beaucoup de respect Ce qui est g nial c est quand on est dans une relation de confiance avec les familles quand on est sur la m me longueur d onde quand on laisse la place la personne handicap e L on arrive faire des choses utiles avec la personne handicap e En r gle g n rale on a des familles collaborantes Qu est ce que votre travail vous apporte sur le plan humain J ai toujours eu besoin de bouger Les interventions aupr s des familles se font au domicile et je m alimente de ces relations C est ma nourriture On va chercher de la ressource m me si c est difficile Le courage de l autre nous donne aussi des forces J ai 50 ans je commence aussi fatiguer On a les limites qui sont les n tres Il ne faut jamais oublier que les ressources et les comp tences se trouvent dans les familles Parfois il y a des douleurs qui ne permettent pas aux familles de les voir Nous on est juste l pour les aider Cela m apporte aussi une certaine stabilit Mais depuis cinq ou six ans j ai besoin de diversit J avais envie de mettre un lien avec le p dagogique J ai eu l occasion de donner cours J enseigne donc l Ecole pour ducateurs Mirwart C est une occasion de travailler sur d autres domaines et d tre en contact avec l ONE les maisons de quartier etc Nous avons un public i
40. c s aux soins est insuffisante et les d marches administratives trop complexes Le volet pr vention sant est insuffisant Il y a un manque de moyens coupl une complexit institutionnelle RGP 2007 Il n existe pas de plan global de lutte contre les in galit s de sant Le syst me du maximum facturer MAF pose des probl mes pour les patients qui ne peuvent pas avancer les fonds n cessaires le seuil tant 450 Le statut Omnio n est pas un statut automatique Le patient doit le demander Ce statut est jug trop complexe et peu connu de la population Une cellule frais m dicaux existe au sein de F dasil depuis 2007 Il est propos de cr er un Observatoire f d ral permanent afin de diminuer les disparit s des pratiques des CPAS Lutte contre la pauvret Recommandations Maintenir les soins de sant abordables couverture maximale de l assurance obligatoire diminution des co ts lutte contre les suppl ments affinements du MAF tiers payant g n ralis paiement forfaitaire pour la premi re ligne Combattre les obstacles non financiers informa tion simplification Harmoniser les pratiques des CPAS Emp cher l exclusion des soins m dicale urgente Garantir une offre m dicale dans les quartiers pauvres Rendre la pr vention accessible aux plus pauvres Offrir des soins de sant mentale ambulatoires adapter l aide Constats et pistes
41. cap En bref L orientation au sortir de sp cialis l enseignement A l initiative des Commissions subr gionales AWIPH des brochures viennent d tre dit es afin de r pondre aux questions des jeunes quant leurs choix d avenir Trois types de brochures existent destination des tudiants qui terminent l enseignement sp cialis de forme 1 de forme 2 et de forme 3 Les diff rentes formes d enseignement secondaire sp cialis r pondant des besoins diff rents il tait opportun de distinguer les informations relatives aux diff rents b n ficiaires L enseignement de FORME 1 Enseignement d adaptation sociale vise une formation sociale rendant possible l insertion en milieu de vie prot g L enseignement de FORME 2 Enseignement d adaptation sociale et professionnelle vise donner une formation g n rale et professionnelle pour rendre possible l insertion en milieu de vie et ou travail prot g L enseignement de FORME 3 Enseignement professionnel vise donner une formation g n rale sociale et professionnelle pour rendre possible l insertion socioprofessionnelle Simples pratiques didactiques les brochures pr sentent les d marches effectuer en mati re d accueil logement et accompagnement ainsi qu en mati re de formation de services et d emploi Les fiches techniques contiennent les adresses et num ros de t l phone utiles en province du Luxembourg Nous savons tous qu
42. ce dans la soci t C Bartholom 2007 Carte de visite 20 Aider la personne handicap e se construire devenir cet individu autonome et capable de tenir sa place ne peut s envisager ind pendamment des obstacles sociaux des barri res sociales que dresse la soci t Il est donc essentiel que les services d accompagnement r alisent galement un travail sur l environnement de la personne et ce diff rents niveaux Il peut s agir de travailler au niveau des normes sociales travailler sur l acceptation de la parentalit et de la sexualit des personnes handicap es des dispositifs l gislatifs dispositifs l gislatifs anti discrimination des infrastructures publiques des services sociaux ou du r seau de proximit de la personne Dans cette optique il est particuli rement int ressant de constater que se d veloppent aujourd hui de nombreux nouveaux dispositifs se focalisant sur l entourage proche de la personne handicap e services de r pit pour parents d enfants polyhandicap s services de soutien aux proches etc Les services d accompagnement t moignent eux aussi d un travail qui se d place parfois vers les proches de la personne handicap e L objectif est finalement d aider la famille dans son travail de soutien de la personne handicap e mais aussi souvent de r tablir le lien social avec la personne handicap e afin que celle ci ne soit pas plac e dans des structures plus lourdes C Bart
43. ces g n raux ou sp cialis s et des associations qui favorisent l panouissement du citoyen en g n ral au niveau social culturel et sportif La pratique de l accompagnement s articule sur deux approches la fois antagonistes et compl mentaires l individualisation du projet d accompagnement et l int gration sociale La premi re met en valeur la personne avec ses qualit s ses diff rences ses droits La personne est le centre de tout projet labor partir de ses capacit s de ses souhaits et de sa situation L environnement social doit l accepter comme telle avec ses diff rences et ses choix de vie La seconde tend soumettre la personne aux normes et aux r gles en vigueur La personne handicap e doit se rapprocher de la normalit et mener une vie la plus ordinaire possible Cette pratique cherche rencontrer et combiner les avantages des deux conceptions dans le plus grand int r t de la personne handicap e La personne handicap e est consid r e comme un citoyen part enti re qui doit pouvoir mener une vie conforme ses aspirations au sein de la communaut en y b n ficiant de tous les avantages de toute nature et des facteurs favorables son propre panouissement La personne handicap e comme tout autre citoyen ne peut trouver pleinement sa place au sein de la soci t que si la communaut adapte ses normes aux particularit s de tous et si de son c t la personne en situati
44. connues r pondent ces besoins Voici un tour d horizon de diff rentes initiatives actives dans notre province Si vous connaissez d autres services qui ne seraient pas mentionn s ici nous vous invitons nous les communiquer afin de compl ter notre base de donn es Les restos du c ur Il existe trois Restos sur le territoire provincial mais seul celui de Marche fait partie de la F d ration des Restos du C ur de Belgique Cette pr cision permet de comprendre le fonctionnement tr s diff rent de chacun des restaurants notamment ce qui concerne les r gles d acc s Le Resto du C ur offre une table conviviale qui accueille de pr f rence toute l ann e des convives sans limitation de provenance et sans distinction de sexe d ge de culture et de race Les opinions et convictions philosophiques politiques et religieuses de tous les usagers sont respect es de mani re absolue Extrait de la charte de la F d ration des Restos du C ur Belge Ce qui explique que pour l Asbl C ur en Marche toute personne est accueillie et peut pr tendre un repas chaud d un montant de 1 50 Euros personne gratuit pour les jeunes de moins de 12 ans L Asbl donne galement des colis alimentaires aux personnes d munies orient es par les CPAS de la r gion avec pour seule condition la pr sentation d un document officiel du service r f rent Les denr es sont r colt es aupr s des grandes surfac
45. crimination et en tout anonymat jusqu au 31 mars Renseignements Francine THIRY 0477 64 67 39 Quoi de neuf Logement Une r forme importante dans le cr dit social Habitat pour tous Suite aux difficult s de l ann e derni re lorsque A la 9 me ann e on revient au module de base le cr dit social a t victime de son succ s et a d suspendre ses activit s pendant plusieurs mois faute Les communes actuellement concern es en province de rallonge budg taire le service revient en 2010 de Luxembourg sont Arlon Attert Messancy mais sous une autre formule Il s agit dor navant d un Etalle syst me d aides simplifi es mais avec une volont de p renniser le financement en pr voyant des Les conditions enveloppes trimestrielles Cette r forme int gre en un seul dispositif les outils e Il doit s agir d un logement situ en Wallonie favorisant l acc s la propri t Du pr t hypoth caire e Les membres du m nage ne peuvent pas tre social au pr t tremplin en passant par les ch ques d j propri taires d un autre logement la logement les outils publics sont r unis d sormais signature de l acte dans Habitat pour tous Ils doivent occuper le logement titre principal pendant toute la dur e du pr t Les revenus globalement imposables 2008 du Cette nouvelle formule propose trois types de pr ts hypoth caires HT HT et HTvert Les taux octroy s m nage ne peuvent
46. ctif d aider les b n ficiaires accro tre la maitrise de leur budget Le m nage reste ma tre de ses d cisions mais est motiv pour collaborer et trouver une solution ses probl mes de gestion Par contre dans environ 700 cas le surendettement tait tellement important qu une m diation de dettes a t entreprise Le CPAS contacte alors les cr anciers pour tablir un plan de remboursement Si aucun accord ne survient entre les parties c est un juge qu il reviendra de trancher En 2008 dans une centaine de cas le CPAS a octroy une avance financi re sur une prestation sociale pension allocations de ch mage allocations familiales allocations pour personne handicap e Ce retard de paiement des prestations sociales faisant souvent suite des tracasseries administratives met rapidement certaines personnes dans des situations financi res difficiles et n cessite donc l intervention des services sociaux pour une aide court terme Il s agit bien d une avance qui sera donc rembours e par le b n ficiaire En 2008 147 personnes ont b n fici d une intervention suite une exclusion du droit des allocations de ch mage essentiellement dans les villes C est un ph nom ne r cent qui prend de l ampleur et une cons quence du contr le des ch meurs mis en place par l ONEM Plus de 500 personnes ont obtenu une aide pour payer des frais de soins de sant hospitalisation frais de m dicaments e
47. d essayer de mettre tout en place pour pr server et faire r cup rer l autonomie de la per que la personne soit la plus autonome possible sonne Elle est les yeux et les oreilles des infirmi res Elle leur relaye les informations qu elle observe propos des patients oralement ou par crit Elle travaille sous la responsabilit d une assistante Elle travaille sous la responsabilit des infirmi res sociale Elle n a pas en charge l entretien des pi ces de vie dans les structures o elle travaille 2 Quelles qualit s faut il pour tre aide familiale et aide soignante tre r sistante au stress Etre l coute et savoir mettre en pratique les acquis des cours th oriques en communication active et non violente Aimer ce que l on fait car c est un m tier de c ur qui ne se fait pas sans une certaine sensibilit 53 Socialement v tre Les m tiers d aide familiale et d aide soignante sont des m tiers de c ur Il faut aimer ce qu on fait sans quoi les risques de maltraitance sont importants Il faut galement veiller fixer des limites dans sa relation avec la personne car les abus et les risques d attachement affectif sont tr s pr sents 3 Avec quels publics travaillent l aide familiale et l aide soignante L aide familiale Elle travaille principalement avec des personnes Tout d pend de l institution dans laquelle elle va g es des personnes handicap es des familles travail
48. d on sort il faut accepter d tre vu et travailler cette image Il y a des pr jug s mais le regard des autres est toujours bienveillant Quand nous avons ouvert le service d accueil de jour de Aye nous avons invit les voisins On se rend des services et ils se rendent compte que nous ne sommes pas un service perturbant a se passe bien On n a jamais eu de probl mes Les relations avec les voisins sont excellentes On essaye de rendre aussi cette bienveillance Nous avons aussi de tr s bons contacts avec les commer ants Andage se veut apolitique et aphilosophique On travaille avec tout le monde sans faire de diff rences au niveau social sans tenir compte de la communaut d origine etc Nous avons maintenant quelques b n ficiaires de confession musulmane Ce mixage se passe excessivement bien On est tr s clair dans la pr sentation de notre philosophie Les gens savent que ce n est pas chez nous qu on peut demander des privil ges J en profite pour dire que le juge Lambrecht est le nouveau Pr sident de l ASBL Andage Quel probl me majeur rencontrez vous dans votre secteur d activit s On assiste un vieillissement lin aire des personnes handicap es On travaille de plus en plus avec des personnes orphelines Avant la personne handicap e d c dait avant ses parents Comme je le disais tout l heure Maintenant il faut r fl chir avant avec la famille les parents et les fr res et s urs l
49. de solutions Il existe un lien scientifiquement tabli entre le niveau de revenu d un individu et sa sant Le niveau socio conomique d une personne d une famille peut influencer l esp rance de vie de plusieurs ann es 1 Les gens fragilis s ne savent pas quelle couverture sociale ils ont droit Raisons voqu es Une partie de cette population a des difficult s pour lire Certains canaux d information ne leurs sont pas accessibles internet Les d marches administratives sont parfois compliqu es pour obtenir certains remboursements fortiori pour des personnes pr caris es Pallier au manque d information All ger les d marches administratives 2 Malgr un tr s bon syst me de soins de sant en Belgique certaines personnes g es ont des difficult s acc der aux soins de sant par manque de moyens financiers alors qu elles cumulent parfois plusieurs maladies dont certaines ont un caract re chronique Augmenter les allocations sociales afin de rendre leur dignit et leur ind pendance aux personnes g es pr caris es Il existe un statut maladie chronique Il n est pas suffisamment connu Il faut am liorer la communication de ce type d intervention 3 Il n existe pas ou plus de structure pour accueillir et prendre en charge de mani re r currente les patients qui ont de grandes d pendances et notamment les patients atteints de la maladie d Alzheimer 4 De plus en plus de p
50. demandeurs se trouvent dans une situation financi re difficile C est la raison pour laquelle la Direction g n rale Personnes handicap es juge indispensable de d sormais supporter les co ts des appels r du Social n 1 2010 Carrefours des g n rations Pour la deuxi me ann e cons cutive la Fondation Roi Baudouin organise en Communaut fran aise les Carrefours des Gen rations les 24 et 25 avril 2010 Durant tout un week end les communes participantes proposeront une multitude de projets d couvrir dans le domaine de l interg n rationnel des activit s existantes et qui m ritent de se faire conna tre ou de nouvelles initiatives concr tiser mettre en place Le pari interg n rationnel c est d encourager des relations r ciproques et durables entre les g n rations o chacun y tire un avantage en stimulant les petites solidarit s quotidiennes qui recr ent du lien au plan local dans les quartiers dans la vie associative Rendez vous donc Arlon Aubange Bertrix Durbuy Habay Marche Paliseul Tellin Tintigny ou Virton Pour obtenir le programme des renseignements compl mentaires contacter l Administration communale des communes participantes R Fr 7 Carrefours des G N RATIONS Les laur ats de la bourse Bien vieillir en province de Luxembourg Luxembourg 2010 destination des Conseils Consultatifs communaux des A n s Le D partement des Affaires Sociales
51. der ceux qui souhaitent quitter les campings r sidentiels est pr cis e En outre il faut constater que certains campings taient en zones inondables et particuli rement mal quip s au niveau de leurs infrastructures eau lectricit sanitaires de CPAS voquent la Plusieurs probl matique des domiciliations mais aussi la strat gie de survie qui conduit au choix du camping r sidentiel repr sentants Face au constat du manque de logements sociaux et pour r pondre la demande ne faudrait il pas adopter une politique pragmatique Ainsi une nouvelle l gislation permettrait de sortir de l impasse en acceptant le logement permanent en camping r sidentiel dans des zones correctement am nag es et en aidant les d marches allant dans ce sens La p rennisation et le d veloppement des AIS de notre province Les principes de base du fonctionnement des AIS sont expos s ainsi que les avantages respectifs pour les propri taires loyer garanti remise en tat gestion assur e aides r gionales et provinciales exon ration du pr compte immobilier et pour les locataires suivi social et loyer inf rieur en moyenne de 1 3 par rapport aux prix du logement sur le march priv locatif Les trois AIS couvrent notre province sur 43 communes avec un parc de logements approximativement de 350 logements et un loyer moyen de 250 300 Si les listes d attentes sont aussi longues que celle des soci t s de l
52. dessin e fiction docu mentaire Localisation du document dans une des biblioth ques du r seau provincial Recherche multicrit res par titre auteur mati re diteur ssesese Docs en stock 52 Carrefour du Social n 1 2010 Socialement v tre Aide familial e et aide soignant e Pour ce num ro Carrefour Emploi Formations a choisi de vous pr senter deux m tiers sous forme de tableaux Pourquoi un tel choix Parce que les m tiers d aide familiale et d aide soignante sont assez proches par certains aspects mais ils ont galement leurs sp cificit s Dans un souci de clart le CEFO a donc opt pour cette pr sentation afin de permettre une meilleure comparaison de ces m tiers Pour ce faire voici galement une entrevue avec Fran oise Depierpont enseignante la Promotion sociale d Arlon pour les cours g n raux et la sp cialisation d aide soignante 1 Que fait une aide familiale et que fait une aide soignante L aide familiale Elle apporte une aide dans les t ches quotidiennes Elle apporte les soins aux patients dans l institution que la personne ne sait plus accomplir Cela va du o ils se trouvent nettoyage des pi ces de vie aux courses aux t ches administratives aux repas au lever des personnes etc L aide familiale travaille donc au domicile des b n fi ciaires Elle a un r le relationnel et ducatif Elle fait tout pour Elle a pour r le
53. e Services de la Jeunesse et de l ducation permanente ayant pour but de mettre en valeur la contribution de la culture l inclusion sociale l galit des chances et l exercice des droits fondamentaux Les 25 et 26 juin 2010 9 me rencontre europ enne des personnes en situation de pauvret une initiative de la Pr sidence de l Union europ enne de la Commission europ enne et du R seau europ en des associations de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale EAPN Septembre 2010 La revue l Observatoire une revue d informations sociales et psychom dicosociales dit e par la R gion wallonne et les Provinces francophones consacrera le n 66 au sens de la prison comme r ponse sociale Publication du r pertoire Pour lutter contre l exclusion sociale en collaboration avec le D partement des Affaires Sociales et Hospitali res de la Province de Luxembourg Les 2 et 3 septembre 2010 Conf rence europ enne sur la pauvret des enfants et des jeunes pr par e par le Service public de programmation SPP Int gration sociale en collaboration avec la Fondation Roi Baudouin l Unicef Eurochild et les Communaut s Les 13 et 14 septembre 2010 Conf rence internationale Louvain Youth at Risk organis e par Incluso projet de collaboration entre 7 associ s europ ens elnclusion of 16 et 17 septembre 2010 S minaire Bruxelles Alliances to fight poverty A European seminar on civil socie
54. e aide tout en cial n 1 20 pr servant la dignit du b n ficiaire souvent mise mal lors d une telle demande Recevoir le ticket S permet la personne de g rer son pouvoir d achat de rester autonome d avoir une libert de choix D autre part cette formule offre la possibilit aux associations de disposer d un outil d insertion valorisant de r aliser un gain de temps pr cieux qui peut tre consacr l action sociale concr te d exercer un contr le sur l utilisation de l aide octroy e de donner une r ponse rapide des besoins d aide urgents ou ponctuels Distribu s principalement par les Cpas toute autre association ou service qui souhaite offrir ce genre d aide peut consulter le site www accorservices be G n ration Solidaire Enfin il faut citer G n ration Solidaire un service de transport entre la Banque Alimentaire de Namur et les associations luxembourgeoises clientes fournissant une aide alimentaire aux plus d munis 10 tonnes sont livr es par mois la plupart des organismes cit s ainsi qu des Maisons d Accueil comme Tremplin Arlon Banalbois Saint Hubert ou la Moisson Sainte Ode 120 tonnes par an pour pr s de 2000 b n ficiaires fr quentant une quinzaine de services Renseignements G n ration solidaire 063 23 10 70 Cabinet du Gouverneur Vous souhaitez davantage d informations sur ces initiatives vous trouverez toutes leurs coordonn es s
55. e c est le parcours du combattant pour trouver la formule qui r ponde aux aspirations de chacun les possibilit s de logement h bergement accueil et travail ne sont pas pl thoriques Les publications dont question n ont donc pas la pr tention de r soudre ces difficult s Leur objectif est essentiellement d offrir un descriptif de l ventail des orientations existantes et suivant celles ci des d marches mettre en uvre Vous pouvez les obtenir gratuitement au Bureau r gional AWIPH rue du Village 5 6800 LIBRAMONT T l 061 230 376 Pour toutes infos utiles il vous est galement loisible de contacter le num ro vert de l AWIPH 0800 16061 ou la personne handicontact de votre administration communale Un num ro vert partir du 1er mars 2010 les personnes handicap es pourront t l phoner gratuitement la DG Personnes handicap es Le num ro vert 0800 987 99 remplacera l ancien num ro g n ral Pourquoi un num ro gratuit Depuis sa mise en service en 2005 le centre de contact de la Direction g n rale Personnes handicap es rencontre un franc succ s Ainsi en 2009 le centre de contact a r pondu plus de 530 000 appels Toutefois malgr les efforts d ploy s la Direction g n rale Personnes handicap es n est pas toujours en mesure de faire face tout moment l afflux des appels Cette situation entra ne pour nos usagers des temps d attente parfois importants Or la plupart des
56. er devenir de futurs lecteurs avertis et des citoyens responsables et engag s Pour leur donner ventuellement envie de prendre part la vie politique Comment Pour changer le monde et le rendre meilleur pour lutter contre les injustices les participants se mettront dans la peau d un homme ou d une femme politique en campagne et devront pr senter leur programme Mais pour faire conna tre aux citoyens ses id es et propositions et se faire lire il faut une aide m diatique Les participants feront donc entendre leur voix par le biais d un slogan ou d une affiche ou d un clip ou d un d bat t l vis radiophonique qu ils t l chargeront jusqu au 16 mai 2010 minuit sur www ipw lu new_page fr page manif amp detail id 102 apr s avoir rempli le formulaire d inscription Renseignements INSTITUT PIERRE WERNER 28 rue M nster L 2160 Luxembourg T l 00352 49 04 43 74 Courriel info ipw lu Internet www ipw lu 37 Portrait 38 Interview Eric GUERISSE ASBL ANDAGE Eric Guerisse quel a t votre parcours avant d arriver Andage Je suis n Saint Hubert dans une famille d enseignant avec une pens e de gauche J ai re u une ducation la que avec l id e qu il est n cessaire de d fendre les minorit s J ai toujours t tent par la relation l change avec l autre Je suis quelqu un de facile en communication je me nourris de la relation avec l autre J
57. er dans sa langue C est vrai pour les entendants cela doit tre vrai aussi pour les sourds Jusqu pr sent les personnes sourdes devaient utiliser des services organis s et pens s pour les personnes entendantes h pitaux services de sant mentale qui ne connaissent ni la culture des sourds ni la langue des signes ou des services non habilit s r pondre des demandes d aide en sant mentale assistants sociaux services d interpr tes Cela conduisait souvent des erreurs importantes de diagnostic et ou des orientations th rapeutiques inad quates hospitalisations abusives banalisations outrance La personne sourde ne se sentait pas aid e renon ait et restait souvent seule avec sa souffrance Le service a pour mission d offrir un service d aide psychologique aux personnes sourdes ou devenues sourdes et malentendantes ainsi qu leur famille Le service r pond aux demandes individuelles ainsi qu aux demandes des services sociaux des h pitaux des coles pour parler des difficult s de la vie de couple de famille de la souffrance de la d pendance l alcool aux drogues parler de son malaise tre avec les autres parler de sa solitude de son anxi t Il dispose d une quipe de professionnels m decin psychiatre psychologue assistante sociale form s en psychoth rapie familiale et ou psychanalytique respectueux de la culture des sourds et qui communiquen
58. ers l autre et puis de le laisser lui m me s exprimer Les all es et venues d une culture l autre d un monde l autre sont essentielles En ce qui concerne l enseignement les participants ont surtout voqu ces difficult s le manque de moyens dans les coles le manque de temps des professeurs le manque d implication des parents dans la vie scolaire etc Pour un enseignement de qualit il faut cr er une relation de confiance entre l enseignant les parents et les enfants Cela prend du temps et demande l implication de chacun ce qui n est malheureusement 25 Lutte contre la pauvret 26 pas toujours possible Il y un r el manque d investissements sur nos enfants et leur futur En ce qui concerne la culture l cole et surtout les diff rentes cultures pr sentes dans une m me classe il est soulign le manque de formation des enseignants ce niveau Les probl mes sp cifiques des enfants provenant de milieux pr caris s sont rarement abord s La culture dominante est g n ralement impos e tous Par ailleurs l acc s au th tre des activit s culturelles n est pas facilit Il existe peu de contacts directs entre les coles professeurs et directeurs et les centres culturels Pourtant l cole doit permettre aux enfants et adolescents de se lancer dans une dynamique culturelle si ce n est pas le cas dans leurs familles La motivation des personnes participer des activit s cultu
59. ersonnes retardent certaines visites chez le m decin dentiste gyn cologue Carrefour du Social n 1 2010 En partie d au numerus clausus le manque de m decins g n ralistes dans notre province Il existe des aides financi res du F d ral Impuls o l Il et III pour inciter un m decin fra chement dipl m ou pas venir s installer dans une zone qualifi e de zone en p nurie A c t de ces aides il faut trouver d autres incitants Actuellement deux initiatives sont mises en place par la Province de Luxembourg L une consiste en la mise en place d un projet pilote de Maison de garde m dicale dans la r gion de Bastogne Il y aura un num ro d appel unique L autre initiative consiste en la mise en place d une Commission sp ciale provinciale pour mener des actions afin de lutter contre la p nurie des m decins g n ralistes en milieu rural Ces deux initiatives cherchent am liorer la qualit de vie des m decins g n ralistes 5 Le territoire de la province de Luxembourg est tr s tendu Les patients rencontrent fr quemment des probl mes de mobilit pour acc der aux soins de sant Nous avions auparavant des dispensaires polycliniques qui offraient la population une offre de soins de 1 re ligne Les services de taxis sociaux pourraient tre sollicit s intervention financi re r duite 6 Le co t des transports par ambulance ou h licopt re est tr s lev
60. es Les deux autres Asbl Nos Logis Arlon ou Resto Solidaire Durbuy ont leur fonctionnement propre C est sur base de la constitution d un dossier qu est estim le prix du repas chaud r clam aux b n ficiaires Il peut varier de 25 eurocents 5 euros personne tr V4 7 La distribution de colis alimentaire Les Conf rences de Saint Vincent de Paul sont implant es depuis plus d un si cle maintenant et fonctionnent uniquement gr ce la solidarit de b n voles En province de Luxembourg on peut retrouver une telle initiative Florenville Habay la Neuve Barvaux Virton Houffalize Neufch teau Bastogne et Arlon Elles offrent divers services aide en mobilier v tements chauffage et la plupart assurent la distribution de colis alimentaires C est sur base de la constitution d un dossier personnel que le b n ficiaire peut pr tendre un colis au moins une fois par mois Ces vivres proviennent de la Banque Alimentaire d achats effectu s en grande surface de l op ration Arc en ciel ou encore de dons priv s L Asbl Solidarit Libramont est active tout au long de l ann e et sept jours sur sept pour aider les Libramontois en difficult s Le colis alimentaire remis sans enqu te sociale au pr alable et en toute confidentialit permet aux b n ficiaires de subvenir leurs besoins alimentaires pendant 8 10 jours L op ration Colis de No l est quant elle
61. es Entreprises de Formation par le Travail EFT agents d insertion etc pour atteindre l objectif de r insertion par le travail et la remise au travail Il y a aussi un transfert de charges de l ONEM Les personnes exclues se tournent de plus en plus vers les CPAS Les contr les en tous genres incitent il les personnes faire quelque chose On met la pression sur celles et ceux qui sont d j loign s de l emploi ainsi que sur les jeunes qui ont une image n gative du FOREM de l ONEM et du CPAS certains jeunes pr f rent travailler au noir plut t que contacter une de ces structures Incoh rence entre les moyens mis disposition et l augmentation du public Comment faire avec ces 3 l ments expulsions du ch mage en hausse donc augmentation du public fragilis et baisse des moyens pour les organismes d aide Contexte provincial particulier au niveau des d placements de la recherche d emploi de la localisation des entreprises etc D o pas mal de difficult s pour donner des preuves de recherche d emploi etc La mobilit a un co t lev suivre des cours et passer le permis de conduire est tr s cher Les d marches entreprises pour trouver de l emploi a aussi un co t humain et affecte le moral du demandeur d emploi Carrefour du Social n 1 2010 Lutte contre la pauvret Les assistants sociaux deviennent des agents de productivit Probl me entre ce que les AS doivent faire et voudraient fai
62. es sujets abord s La n cessit d assurer une r elle s curit et assistance juridique aux communes pour que la loi sur le droit de r quisition des logements vides soit r ellement appliqu e sur le terrain face au sacro saint droit de propri t La probl matique dans le cadre de l aide la jeunesse de trouver des kots corrects des prix raisonnables La difficult pour les anciens SDF ou r sidants en maison d accueil ainsi que pour les personnes b n ficiant du RIS Revenu d int gration Sociale d acc der un logement du fait de l tiquette cas sociaux aux yeux des propri taires Culture et Compte rendu de l atelier n 2 enseignement Bien qu un atelier regroupant Culture et Enseignement ait t organis les personnes pr sentes ont soulign qu il n existe pas ou peu de passerelles entre la culture et l enseignement dans les pratiques de tous les jours En effet la participation des coles aux activit s des centres culturels sont rares Elles ne d pendent souvent que d initiatives personnelles des professeurs Aucune politique de coop ration d institution institution n est appliqu e Parler de la culture c est avant tout parler de richesse plut t que de pauvret En effet nous avons tous une culture Le probl me est de d finir ce qu est la culture ce qui se cache derri re cette notion Tout au long de la discussion les participants ont donn des l ments de r ponse
63. fant afin de l aider dans des mati res pr cises et cibl es objectif maintien de l enfant en enseignement ordinaire UNIQUEMENT ENSEIGNEMENT ORDINAIRE Action communautaire Travail de collaboration dans le cadre de l accueil extra scolaire Plus qu ailleurs l intervention ne s effectue que si rien n existe ailleurs dans le but que cela se fasse sans la participation du service Objectif prise en main par la collectivit les services g n raux la soci t Exemples types d accompagnements Liste non exhaustive d accompagnements Recherche lieux de loisirs activit s pendant cong s scolaires les week ends activit s r guli res CLI etc Recherche lieux de formation ex contrat d apprentissage ETA EFT en vue de l obtention d un job de vacances etc Recherche cole adapt e Accompagnement parcours scolaire Recherche r ducateurs psychoth rapeutes relais divers Apprentissages divers permis de conduire transport en commun gestion budg taire etc Remarque les diff rentes recherches font videmment l objet d un travail d accompagnement important Axes d interventions Nous avons d termin 7 axes de travail autour desquels s articulent les diff rentes interventions ducatives Ces axes sont interd pendants et sont le Handicap plus souvent pr sents simultan ment Accompagnement Accompagner le jeune dans ses tentatives d int gration Orientation
64. gement emploi formations gestion budg taire d marches administratives loisirs sant citoyennet La pratique du service s appuie sur des pr suppos s des valeurs La personne handicap e est consid r e comme tant capable de poser des choix de prendre des risques et de mener bien son projet en milieu moins prot g Tout projet d accompagnement repose sur le principe responsabiliser la personne handicap e tout en respectant les capacit s le rythme d volution et les souhaits de chacun Nous envisageons donc la personne handicap e en fonction de la situation de handicap v cue et surtout en fonction de ses comp tences et de ses ressources C Bartholom 2007 Le projet s labore partir d une demande exprim e par la personne Ce principe de travail la demande t moigne d une reconnaissance de la personne handicap e en tant que sujet c est dire personne ayant la ma trise de ses choix et de son devenir La personne handicap e se voit octroyer les m mes droits prendre un risque qu une personne normale C Bartholom 2007 l accompagnement a pour principal objectif de placer la personne au c ur du processus de miser sur ses potentialit s et ses ressources mais aussi sur celles de son entourage ll s appuiera sur un substrat caract re essentiellement relationnel et plus pr cis ment sur la volont de recr er du lien social autour de l individu et de lui redonner une pla
65. handicap es adultes en milieu ouvert agr awir man 47 service d accompagnement fahmo Qui peut b n ficier des interventions du service Toute personne handicap e suite une alt ration des ses capacit s physiques ou sensorielles Toute personne pr sentant une limitation importante de ses capacit s d int gration socio professionnelle Toute personne handicap e mentale Conditions particuli res Etre g de 18 65 ans au moment de l introduction du dossier l AWIPH R sider effectivement dans une commune de la province de Luxembourg La Province garantit l galit des personnes handicap es devant l admission au service en pratiquant la gratuit des prestations Aucune participation financi re n est r clam e pour l accompagnement et ce quelque soit l importance ou la fr quence des services rendus Toutefois une contribution financi re peut tre demand e pour la participation certaines activit s ou animations qui occasionnent des frais extraordinaires droits d entr e frais de s jour Objectifs et pratiques Le service aide les personnes handicap es vivre en autonomie hors des institutions dans un cadre et des conditions socialement favorables L accompagnement se traduit par des conseils pour faciliter les d cisions un soutien pour la mise en uvre des diff rents projets de vie et des aides pour r aliser les diff rentes d marches et actes de la vie courante lo
66. holom i Le travail est accompli soit sous forme d entretiens ou d activit s dans les bureaux du service soit sous forme d interventions diverses au domicile ou dans le milieu de travail ou dans tout autre endroit que les b n ficiaires fr quentent en fonction des besoins ou des possibilit s de d placement de chacun Nous avons pour mission entre autres d informer et d orienter les personnes handicap es vers tous les services qui peuvent leur tre utiles mutualit s maisons de la Justice aides familiales administrations communales administrations provinciales minist res r gionaux et f d raux CPAS FOREM ONEM syndicats agences d int rim entreprises de travail adapt employeurs AWIPH associations sportives ou culturelles Le Sahmo est agr par l AWIPH en tant que service polyvalent Un accompagnement individualis est propos aux personnes handicap es mentales un accompagnement conseil aux personnes handicap es physiques et un accompagnement sp cifique pour les sourds L accompagnement des personnes sourdes est assur par une assistante sociale qui ma trise parfaitement la langue des signes L accompagnement respecte les principes num r s dans l Arr t du 22 avril 2004 L accompagnement consiste favoriser la participation active et personnalis e des b n ficiaires la r alisation de leurs projets etle d veloppement de leur citoyennet dans leur milieu de vie Cette participat
67. i un besoin pour des personnes avec un handicap plus l ger Le r sidentiel classique ne r pond plus forc ment aux besoins actuels Nous essayons de r pondre des besoins mis par les familles et aussi des politiques nouvelles Le Gouvernement wallon souhaite que l on travaille avec le r seau C est aussi pour a que le service d accueil l int gration existe La personne handicap e est toujours impliqu e dans la communaut pour lui permettre de vivre comme un citoyen part enti re Il y a aussi une visibilit du handicap quand ils vont au march quand ils pr sentent une pi ce de th tre dans les coles etc Le but est de sortir et d tre branch avec l ext rieur L institution n est plus repli e sur elle m me on ne veut pas tre en dehors de la soci t Cela permet de donner une image diff rente du handicap Il y a deux ans par exemple nous avons fait une exposition la Maison de la culture de Marche Il y a beaucoup de choses qui bougent Marche On est g ographiquement bien mis le r seau social est bien ficel et il y a moyen de cr er beaucoup d actions La personne handicap e est toujours impliqu e dans la communaut pour lui permettre de vivre comme un _ citoyen part enti re Vous dites que cela permet de donner une image diff rente du handicap quelle est elle Les pr jug s et la curiosit existent bien entendu Il y en a toujours pour tout ce qui est diff rent Quan
68. ien vieillir 535 4 8exsessermesesses 47 Carrefours des G n rations 47 Les laur ats de la bourse Bien vieillir en province de Luxembourg Luxembourg 2010 destination des CCCA 47 Docs en stock 49 Socialement v tre 53 Aide familial e et aide soignant e 55 Droit au but 57 La discipline scolaire et la proc dure d exclusion 57 Quoi de neuf on Hestia ou comment rompre l isolement social et affectif des personnes isol es Quoi de neuf Hestia est un service propos par les volontaires de la Croix Rouge toutes les personnes isol es de par leur situation sociale ou familiale leur situation conomique pr caire leur tat de sant ou encore leur ge Le projet comporte trois axes diff rents L accompagnement des personnesisol eslors de leur sortie de la clinique En collaboration avec l h pital un volontaire de la Croix Rouge les raccompagne leur domicile et pr pare avec elles leur retour faire des courses passer la pharmacie t l phoner au m decin mettre le chauffage e La visite domicile Le volontaire vient pour passer un moment avec une personne ou un couple isol discuter partager un loisir commun L accompagnement de personnes isol es vers des espaces rencontres organis s au sein
69. il faut compter tout le temps toute d pense est importante Il faut faire attention aux impr vus la d pense de trop car il n est pas possible d conomiser Parfois il faut choisir la taxe poubelles ou les abonnements pour le transport scolaire Cela demande beaucoup d nergie et engendre beaucoup de stress de perte de temps Je crois que mes enfants souffrent plus que moi de la pauvret car leur vie sociale l cole est mise mal Il y a une habitude dans la soci t qui est d avancer de l argent et d tre rembours apr s Par exemple un ticket de train pour se rendre une formation Mais c est difficile et parfois impossible d avancer cet argent Il y a alors une mauvaise interpr tation On pense qu on ne veut pas s en sortir Le repli et l isolement se font automatiquement tout seul Aller au cin ma au th tre boire un verre c est impensable Si l Etat a le m me portefeuille que moi on est mal Les priorit s doivent tre revues En ce qui concerne le plan d activation des ch meurs c est difficile de faire comprendre mon parcours de vie Il faut travailler Madame mais je n ai pas les ressources pour le moment Je sors d une maltraitance et d une mise la rue la pression tait trop forte et je suis tomb e en d pression J ai peut tre fait des erreurs dans ma vie et des mauvais choix mais on ne me laisse pas le droit de souffler ni de me remettre Certains sont plus forts que d aut
70. ion d taill e et actualis e sensibiliser les Entendants Beaucoup d Entendants ne connaissent pas la surdit Beaucoup pensent qu tre sourd c est simplement ne pas entendre ou entendre mal et que pour communiquer il suffit de parler fort ou d crire Beaucoup d Entendants pensent qu tre sourd c est tre handicap ou avoir un probl me mental ou intellectuel La Maison des Sourds accueille les Entendants pour qu ils comprennent qu tre sourd c est tre simplement diff rent Beaucoup d Entendants Carte de visite 22 sont ainsi surpris de pouvoir communiquer avec des Sourds et d apprendre des choses en les connaissant mieux La Maison des Sourds est ouverte le troisi me samedi de chaque mois LA ASBL AN r MSELux Renseignements Catherine Simon 0496 57 32 64 ou 0494 60 80 82 par sms 063 22 93 69 par fax mslaron gmail com Le Service Ambulatoire de Sant Mentale pour Personnes sourdes R seau Wallon Asbl SeLINa agr e par le Service Public wallon des Affaires Sociales et de la Sant Cette Asbl dont le si ge est Namur propose des consultations sp cialis es pour personnes sourdes et leurs familles qui sont assur es par des psychologues utilisant la langue des signes La souffrance psychologique doit tre cout e et accompagn e par des professionnels respectueux de la culture et du mode de communication de chacun Chaque personne qui souffre a le droit d en parl
71. ion active est bas e sur la mobilisation la reconnaissance et la valorisation des comp tences et le d veloppement du b n ficiaire L objectif est poursuivi notamment sur les plans suivants familial social culturel scolaire professionnel formation sant loisirs L accompagnement respecte les principes suivants 1 II s inscrit dans une recherche de qualit de vie en fonction du rythme de chaque personne 2 Il favorise l exercice des droits et des devoirs en lien avec la citoyennet 3 Il se r alise dans une pluralit de lieux avec une pluralit d acteurs dans une d marche de partenariat 4 Il s inscrit dans une d marche de travail en r seau et renforce dans une approche transversale des probl matiques rencontr es par le b n ficiaire les coordinations internes et externes 5 Il concourt remettre la question du handicap au c ur de la communaut en vue de mobiliser les ressources de celle ci et d entrer dans une r flexion portant sur une nouvelle fa on de vivre ensemble Activit s compl mentaires En plus de l accompagnement individualis des activit s collectives sont organis es des collaborations sont d velopp es avec diff rentes associations et diff rentes actions communautaires sont men es r guli rement Les ateliers collectifs permettent un apprentissage dans certains domaines n cessaires au d veloppement de l autonomie ateliers cuisine sant courses informat
72. iqu e sur le taux pendant les 8 premi res ann es d abord rembourser totalement son cr dit la du remboursement SWCS Habitat pour Tous un pr t hypoth caire social en 3 nouvelles Quoi de formules avantageuses pour co re es co tions www swcs be 0800 25 400 4 Carrefour du Social n 1 2010 e La dur e du pr t est chelonn e entre 10 et 30 ans et le pr t doit tre rembours l ge de 70 ans L octroi du pr t d pendra des revenus du m nage et de sa capacit financi re Pour ce faire la SWCS fera le point sur l ensemble des cr dits en cours et consultera la Centrale des Cr dits aux Particuliers En outre toutes charges et cr dits en cours d duits y compris le pr t hypoth caire sollicit le m nage devra encore disposer d au moins 680 par mois Comment introduire la demande Il suffit de prendrez rendez vous un guichet local de la Soci t Wallonne du Cr dit Social pour v rifier si l on est dans les conditions pour obtenir un pr t Habitat pour tous Cr dit Social du Luxembourg Arlon 063 23 26 74 Cr dit Social du Luxembourg Saint Mard 063 57 00 93 Cr dit Social du Luxembourg Libramont 061 22 32 71 Terrienne du Luxembourg s c r i Marche 084 32 21 02 Information compl mentaire La SWCS propose aussi un pr t 0 d int r t pour r aliser des travaux conomiseur d nergie Le montant empruntable va de 2 500 30 000 II peut s agir d u
73. ique parentalit cr atifs artistiques et la socialisation des personnes handicap es travers ces activit s de groupe L int gration dans un groupe ordinaire d j existant associations diverses ouvertes tous les citoyens sera toujours privil gi e Le travail communautaire se centre sur l environnement au sens large des personnes handicap es Il s agit en g n ral d un travail de sensibilisation des autorit s publiques des services publics et sociaux des entreprises priv es et des populations locales la probl matique du handicap Il s agit de travailler sur les obstacles physiques sociaux administratifs etc que rencontre la personne handicap e dans sa vie de tous les jours Le travail communautaire s inscrit donc dans cette logique qui pr ne une int gration participation compl te de la personne handicap e dans la soci t par un travail effectu directement sur le milieu de vie ordinaire C Bartholom 2007 Le travail communautaire va de pair avec un travail en r seau qui concerne le milieu de vie le milieu relationnel de la personne handicap e Ce travail de r seau s inscrit dans une perspective de reconstruction du lien social autour de la personne handicap e l objectif est souvent affich par les praticiens de l accompagnement retisser du lien autour de la personne La figure par excellence du membre de ce type de r seau est le voisin de la personne handicap e Ce r seau est d
74. l enfant aujourd hui une du grand parent l poque au m me ge et une photo des deux personnes ensemble Les quatre projets suivants n ont pas t class s dans un ordre particulier car le jury estime qu ils sont tous aussi importants les uns que les autres CCCA de Paliseul Pour lutter contre la fracture num rique le CCCA de Paliseul propose d organiser des cours d informatique adapt s pour les seniors de la commune Des ateliers d initiation pour 10 personnes maximum permettront aux a n s d apprendre ma triser l outil informatique sans pression ni contrainte mais dans un contexte convivial d lassant et amical Un ancien professeur d informatique de l Institut de Saint Joseph de Carlsbourg assurera les cours qui d marreront d s janvier 2010 A7 Bien vieillir 48 CCCA de Bertrix Comme le CCCA de Paliseul le CCCA de Bertrix propose d organiser des cours d informatique destination des seniors dans le cadre de leur projet appel Ordinateur pas peur La particularit de leur d marche tient au fait que la bourse servira acheter des ordinateurs portables pour permettre un professeur de se rendre au domicile des personnes mobilit r duite et donc de toucher un public particuli rement isol CCCA de Gouvy Gouvy le CCCA souhaite avoir un espace convivial r serv aux a n s dans le but de rencontrer d autres personnes de la commune pour regarder un film puis en discuter
75. le aux familles Accompagnement vers une vie de meilleure qualit Int gration sociale optimale Plus de choix Plus d autonomie Les missions du SAI I MEDIAT Accompagnement individuel Repr sente 75 de l activit Activit s collectives Notre choix de d part tait de ne pas exploiter cette mission mais plut t d int grer les b n ficiaires dans les clubs et autres associations existants Les seules activit s collectives organis es doivent poursuivre un objectif de formation ex modules de formation sur 2 ou 3 jours tels que s curit routi re gestion budg taire permis de conduire utilisation des services g n raux etc selon la demande D veloppement du CLI partant du constat que plus les enfants grandissent moins ils ont acc s aux loisirs nous tentons de leur apprendre g rer eux m mes leur temps de loisirs et organiser chacun leur tour une activit avec des amis dans leur r gion Par analogie nous avons tous des occupations plus ou moins r guli res avec des personnes vis vis de qui nous avons des affinit s pourquoi les personnes en situation de handicap ne pourraient partager les m mes choses Accompagnement scolaire Soutien individuel Soutien des familles lors de rencontres avec enseignants centre PMS par exemple Rem diation scolaire domicile Int gration scolaire accompagnement physique de l ducateur en classe c t de l en
76. ler L aide soignante peut travailler dans les monoparentales ou toute personne en sentant la h pitaux maison de repos maison de repos et de n cessit et en introduisant la demande aupr s d un soins centres de jours service de soins domicile organisme comp tent L aide familiale travaille institutions pour personnes handicap es domicile via les Services d aide et de soin domicile Le m tier d aide familiale sera plus complexe dans la mesure o elle touche directement la vie des gens Le fait de travailler domicile l am ne devoir faire face tout type de situation Il faut pouvoir y faire face seule Les lt D t ches de l aide soignante seront plus cadr es plus syst matiques elle pourra faire appel aux infirmi res aux m decins en cas de difficult Quels sont les horaires de travail d une aide familiale et d une aide soignante L aide familiale L aide soignante Elle travaille g n ralement de jour en horaire fixe Elle travaille en horaire de pause ou 8h 16h Ex 6h 14h 14h 21h 21h 7h Ses prestations s effectuent en semaine elle ne travaille Ses prestations s effectuent en semaine y compris les pasles week ends et jours f ri s week ends et jours f ri s Du fait des horaires d cal s le m tier d aide soignante aura donc beaucoup plus d impact sur la vie priv e 54 Carrefour du Social n 1 2010 Socialement v tre 5 Comment se forme
77. lisant chaque fois que cela est possible les services g n raux Le service garantit l ind pendance et la libert de choix du jeune et de sa famille et respecte leurs convictions id ologiques religieuses Le service apporte au jeune et sa famille un soutien individualis et une information en concertation avec les diff rents intervenants diff rents services peuvent participer au projet ducatif afin de donner du sens et de la coh rence aux diff rentes interventions entreprises d mocratiques philosophiques ou Les diff rentes actions suivantes sont d velopp es L accompagnement individuel suscite la participation du jeune dans ses milieux de vie ordinaires et favorise ses comp tences son autonomie et son panouissement personnel Le service incite le jeune d velopper son r seau relationnel et son champ d exp riences sociales Les activit s collectives organis es en dehors du temps scolaire visent renforcer les potentialit s du jeune et valoriser les ressources de celui ci dans ses interactions avec son environnement social Cette forme d accompagnement s inscrit dans le cadre du projet d accompagnement du jeune La participation optimale de celui ci est toujours recherch e Action communautaire Le service d veloppe une dynamique de r seau qui tend cr er des synergies locales entre les autorit s les services sp cialis s ou g n raux et les associations afin de g n rer
78. lle a surtout permis de focaliser l approche sur les op rateurs actifs et sur les probl mes rencontr s Cr er un service qui dynamise l offre la promotionne et qui de surcro t propose des solutions quand celles ci sont insuffisantes tait un v ritable d fi D fi aujourd hui en voie d tre relev Mettre en place une structure en partenariat avec les communes en valorisant le mieux possible les soci t s de l conomie sociale et citoyenne tel est le projet et l ambition de Locomobile 2 M thodologie La demande Le demandeur contacte le service Locomobile via le 0800 25 115 Sa demande est alors analys e L op rateur tente de trouver une solution via les diff rents sites Internet de transport TEC et SNCB et les initiatives existantes Envoi du v hicule Si aucune solution n est trouv e dans l offre existante le v hicule peut tre envoy vers le demandeur si celui ci correspond bien au profil fix par sa commune de r sidence Si une solution existe dans l offre existante le demandeur sera orient vers les op rateurs TEC SNCB ou autres Il est utile de pr ciser que le v hicule du service Locomobile circule prioritairement dans la zone du regroupement communal Toutefois les conditions de sortie de cette zone sont fixer par chaque regroupement communal en fonction de ses sp cificit s En pratique Le call center 0800 25 115 est joignable de 10h00 18h00 du lundi au vendredi Pou
79. mbe raros le her fens Im Rahmim den Purop ise bem Jahres zu Bekampfung woa Armut ond saztaker Ausgrenzung Pour la troisi me ann e cons cutive l Institut culturel europ en Pierre Werner lance un concours destination des jeunes du Luxembourg et de la Grande R gion Le vif succ s le nombre de participants croissant la qualit des uvres produites l implication des l ves et des enseignants remport par le concours des ann es pr c dentes Un mur des murs en 2009 et Alter Ego en 2008 a en effet amen l Institut reconduire l exp rience Cette ann e le concours qui s intitule Yes you can s inscrit dans la th matique 2010 proclam e par la Commission europ enne savoir Ann e europ enne de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale La Commission veut ainsi r affirmer l engagement politique pris par l UE qui consiste donner un lan d cisif l limination de la pauvret propos de la politique l ann e 2009 a t domin e par la politique avec les lections au Luxembourg et en Allemagne et les lections europ ennes Qu en est il de la pauvret 79 millions d Europ ens vivent aujourd hui encore sous le seuil de pauvret Pourquoi ce concours Pour contribuer d velopper chez les jeunes une fibre sociale et un esprit citoyen en leur faisant prendre conscience de tout type d injustices et de discriminations existant en Europe et dans le monde Pour les incit
80. me ou homme mineure ou majeure mari e en couple en concubinage ou s par e et quelle que soit son orientation sexuelle l entourage direct c est dire les enfants mineurs pour lesquels une attention toute particuli re est port e ainsi que l entourage indirect c est dire les parents amis coll gues voisins etc Les professionnels qui dans leur pratique sont amen s rencontrer des situations de violence entre partenaires et qui souhaitent b n ficier de l expertise d une quipe sp cialis e En effet l quipe d coutantes se compose de cinq psychologues d une licenci e en sciences de la famille du couple et de la sexualit et d une assistante sociale toutes form es entre autres au Processus de Domination Conjugale PDC et l coute active en violence conjugale Les coutantes de la ligne Ecoute Violence Conjugale offrent une coute bienveillante permettant de mettre des mots sur une situation de violence mais elles peuvent galement fournir des informations compl tes et appropri es notamment juridiques Enfin elles peuvent le cas ch ant orienter les victimes et leur entourage vers des services sp cialis s maisons d accueil services d aide et de soutien l gard des victimes SAV SASJ A noter toutefois que ce service d coute t l phonique n offre pas de suivi long terme Quoi de neuf 1A e Pauvret s Ecriture Yvon Fran ois Mise en sc ne
81. ment psychosocial est en cours de construction Un centre de documentation est galement ouvert ceux qui voudraient trouver des ouvrages en lien avec la consommation et l argent livres pour enfants et adultes articles e En tant que centre de r f rence la coordination de groupes d appui est assur e Si un service de m diation de dettes de la province est int ress la cr ation d un groupe d appui le service pr vention reste sa disposition pour l aider sa cr ation e Ces actions de pr vention ont t r cemment compl t es par des formations propos es un public de personnes relais aides familiales enseignants Ces formations portant sur la relation l argent le budget les conomies d nergie et les cr dits la consommation ont pour objectif de sensibiliser ces personnes au surendettement Des outils pratiques et th oriques sont fournis afin que les acquis puissent tre transpos s aux personnes avec qui elles travaillent Outre ces projets l quipe pr vention collabore galement divers projets tels que La journ e sans cr dit le protocole de collaboration sur la pr vention de l endettement Pour conclure l objectif de ce travail d information et de pr vention est de permettre au public d acqu rir la connaissance et la ma trise des codes qui r gissent la soci t de consommation Il pourra alors disposer du recul n cessaire pour viter les pi ges de
82. montant du salaire net qu il doit payer au travailleur et peut b n ficier galement d une r duction de ses cotisations sociales Une campagne d information a t lanc e propos du plan laquelle consiste notamment en un site internet www winwinplan be sur lequel les demandeurs d emploi et les employeurs sont m me de trouver toutes les informations utiles sur le plan d embauche 4 Carrefour du Social n 1 2010 Deux nouvelles brochures pour brosser le tableau de la protection sociale en Belgique Les DG Directions g n rales Appui strat gique et Politique sociale du SPF Service public f d ral S curit sociale ont publi deux nouvelles brochures La premi re pr sente les Indicateurs de la protection sociale en Belgique travers diff rents th mes comme les aspects g n raux de la protection sociale le vieillissement et la retraite le march du travail la sant les m nages et la famille ou encore le logement Trois types d indicateurs y sont syst matiquement repris les r sultats atteints les moyens utilis s et les facteurs contextuels La deuxi me publication La s curit sociale en un clin d il chiffres cl s 2008 la s curit sociale belge en chiffres traite non seulement des principales donn es financi res en mati re de recettes et de d penses de la s curit sociale mais aussi des sept th mes sociaux principaux que sont les soins de sant l incapacit
83. n 2008 La sant est souvent n glig e par les personnes pr caris es malgr les remboursements effectu s par l INAMI et les dispositifs OMNIO et BIM anciennement VIPO Il n est en effet pas toujours possible d avancer les sommes n cessaires et les soins de sant sont donc toujours report s plus tard En mati re d nergie c est surtout le Fonds Mazout qui est sollicit avec plus de 10 000 m nages aid s durant l hiver 2009 C est le plus gros dossier d intervention des CPAS qui participent au paiement de la facture de chauffage Par ailleurs 590 m nages ont t aid s par le Fonds Energie gaz lectricit et 542 m nages ont t aid s par le Fonds de l Eau Un m me m nage peut bien s r avoir t aid par les trois diff rents fonds Les CPAS sont galement sollicit s par les usagers ayant des soucis de logement En 2008 les expulsions ont t rares en dehors des quelques villes de la province comme Marche ou Arlon Des logements d urgence existent dans les plus grandes communes mais ils n accueillent qu une partie des expuls s les autres trouvant une solution par leurs propres moyens En mati re de logement les CPAS ont aid 334 personnes en permettant la constitution d une garantie locative Par ailleurs 69 sans abri ont b n fici d une prime d installation pour un logement Cette prime permet d quiper l habitation et de faire face aux frais de raccordement Dans quelques cas les CPAS sont
84. n pr t temp rament ou d un pr t hypoth caire Les revenus globalement imposables du demandeur ne peuvent pas d passer 46 600 Renseignements SOCIETE WALLONNE DU CREDIT SOCIAL SWCS Rue de l cluse 10 6000 CHARLEROI call center 0800 25 400 E mail contact swcs be Internet www swcs be ou un guichet local de la SWCS pour plus d informations Quoi de neuf Egalit des dl Ecoute Violence conjugales DE L AIDE AU BOUT DU FILS ECOUTE VIOLENCES CONJUGALES Dans le cadre du dispositif mis en place en 2008 par la R gion wallonne dans la lutte contre les violences entre partenaires la ligne Ecoute Violences Conjugales confi e l asbl Cap Sciences humaines fondatrice du R seau pour l Elimination des Violences entre partenaires REV a vu le jour le mercredi 25 novembre 2009 Il s agit d un num ro vert le 0800 30 030 accessible du lundi au samedi de 9h00 20h00 En dehors de ces heures il est toutefois possible d obtenir de l aide en allant sur www ecouteviolencesconjugales be o des adresses et num ros de t l phone de services relais sont mentionn s le site internet a t lanc le 25 novembre 2009 Cette ligne t l phonique offre une coute sp cialis e et confidentielle toute personne concern e par la violence entre partenaires Par personne concern e par la violence il faut entendre e Les victimes c est dire toute personne fem
85. ndu une vision partielle mais chiffr e de la pauvret et ne cherche pas en expliquer les causes Les CPAS en tant que service de premi re ligne sont des interlocuteurs privil gi s dans le domaine de la pr carit et de l exclusion sociale Tous les jours des personnes en situation financi re et sociale difficile viennent frapper leur porte pour obtenir de l aide Pr sent dans chaque commune de la province le CPAS est le lieu de rencontre des personnes pr caris es au bord de l exclusion sociale et donc une source non n gligeable d information sur cette population particuli re Les chiffres pr sent s portent sur l ann e 2008 et dans certains cas sont arr t s septembre 2009 Sur les 44 CPAS sollicit s pour r pondre l enqu te 28 d entre eux ont r pondu dans les d lais impartis Etant donn que les personnes qui souhaitent solliciter l aide du CPAS doivent s adresser aux CPAS de la commune o ils sont domicili s il est important de signaler que les 28 communes dont sont issus les CPAS participants repr sentent environ 190 000 habitants soit 72 de la population luxembourgeoise Ce qui repr sente un pourcentage important de la population et qui permet d extrapoler les donn es avec prudence pour l ensemble de la province Des r ponses nous sont parvenues du nord comme du sud des CPAS les plus importants tels qu Arlon Marche Bastogne Aubange ou des services de plus petites tailles tels que Musson
86. ntacts centre PMS enseignants participation r unions de parents OU accompagnement de l enfant en classe pour l aider dans certaines situations Action communautaire Action de sensibilisation et de soutien afin de permettre une meilleure int gration c est dans cette mission que l on retrouvera le travail r alis par le SAI dans le cadre de l accueil extra scolaire Se d cline galement sous plusieurs formes ex journ es de sensibilisation au handicap dans les coles communales de Durbuy 5 jours 400 l ves en partenariat avec l AWIPH la Ville de Durbuy Natagora le SAJA de Clairval etc Tout cela au profit du jeune qui sera toujours l l ment central de nos interventions Ili PRESENTATION DU SAI I MEDIAT Pour rappel le service I MEDIAT fait partie des services d velopp s par l ACIS Clairval et est agr par l AWIPH Appellation du service D un point de vue tymologique le fait r f rence l int gration l individualisation et l information tandis que le terme MEDIAT fait r f rence la m diation Le tout I M diat faisant r f rence au caract re rapide imm diat que l on veut donner aux interventions dans leurs mises en uvre Caract ristiques du service Individualisation des interventions A travers diff rents axes que nous d couvrirons plus tard la volont de l quipe d I M diat consiste se mettre au service du jeune et de sa famille en lui propo
87. nternational J ai aussi une fonction au niveau de la sant mentale et je suis Pr sident du Comit professionnel non marchand Setca Fgtb Je pense que le danger c est de rester enferm dans un secteur j ai un besoin de diversit Si vous tiez un livre Le tunnel d Andr LACAZE car ce livre d crit la r alit des camps de concentration et surtout comment des gens de bonne volont peuvent se retrouver tortionnaires Cela me fait r fl chir au niveau thique Si vous tiez une ville Katmandou car c est une ville qui reste dans le pass et o certaines personnes se sont perdues fr wikipedia org wiki Katmandou Si vous tiez une chanson Les oiseaux de Daniel Balavoine C est une chanson qui dit que m me touch l oiseau sait rebondir et reprendre son envol J aime la notion de r silience www seafm fr Carrefour du Social n 1 2010 Portrait Si vous tiez un animal un l phant car c est un animal tr s sociable et qui peut faire peur Par son poids il s annonce on le voit arriver C est aussi un animal exotique et j aime les voyages www photo libre fr Portrai 41 Handicap 42 L ASBL ACIS CLAIRVAL l PRESENTATION DE L ASBL ACIS CLAIRVAL Historique Sans vouloir minimiser l importance de l histoire de l association qui aura 150 ans en 2011 le choix de 1973 para t judicieux comme date cl qui voit la naissance de l cole professionnelle sp ciale et de l IMP
88. ogements sociaux 500 candidats pour l AIS Nord Luxembourg un avantage semble tre le mode d attribution des logements o le crit re local tant dans la composition du comit d attribution que dans les crit res d attribution reste important contrairement la situation actuelle dans les soci t s de logements sociaux Le risque de politisation des attributions voqu est cependantlimit vuladiversit desrepr sentants publics Province Commune CPAS mais aussi la pr sence du monde associatif dans le comit d attribution Le soutien de la Province aux AIS est loin d tre n gligeable avec 25 000 de subsides par AIS et une prime aux propri taires qui font des travaux dans le logement mis en gestion budget de 75 000 en 2009 Assurer la poursuite du d veloppement des AIS semble indispensable pour renforcer l offre en logement pour les revenus modestes Les conomies d nergie dans les logements sociaux et ceux g r s par les AIS La cellule de d veloppement durable de la Province de Luxembourg a mis en place des groupes de travail de locataires au sein de soci t s de logements sociaux et d AIS afin de les soutenir dans des d marches d conomies d nergie Si une partie de la d marche consiste modifier les comportements individuels et faire les gestes conomiseurs d nergie au quotidien il est clair que la question des am nagements structurels des b timents est incontournable La premi re
89. on de handicap tend rencontrer un minimum de normes La r ussite de toute inclusion repose sur une attitude positive et volontariste de deux partenaires la personne et la communaut Service d aide l int gration pour jeunes avec autisme agr awipa max 447 service d aide l _Service d aide l int gration Le service s adresse tout jeune entre 6 et 20 ans pr sentant des troubles autistiques inscrit l AWIPH et r sidant en province de Luxembourg L accompagnement des jeunes peut se poursuivre au del de 20 ans il sera assur par les agents du service d accompagnement SAHMO La double fonction assur e par certains agents au sein des deux services d aide l int gration et d accompagnement facilite cette transition La demande d intervention introduite par les parents est accompagn e de documents tablis par un service sp cialis agr attestant le diagnostic d autisme Une aide dans ces premi res d marches peut tre apport e La Province garantit l galit des personnes handicap es devant l admission au service en pratiquant la gratuit des prestations Aucune participation financi re n est r clam e pour l accompagnement et ce quelle que soit l importance ou la fr quence des services rendus Toutefois une contribution financi re modique peut tre demand e la famille pour la participation du jeune certaines activit s ou animations qui occasionnent
90. onc informel bas sur un id al de solidarit D s lors ses contours sont vastes flous et recouvre les diff rentes dimensions de la vie de la personne handicap e Il s agira tout autant du coll gue de travail de la petite amie de la famille du voisin du commer ant du coin du m decin traitant en passant par le co quipier de l quipe de foot etc Ce Services partenaires asbl et permanences Depuis plusieurs ann es plusieurs collaborations ont t engag es avec des services sociaux ou des associations qui contribuent activement par leur savoir faire et leurs comp tences l int gration des personnes handicap es dans la soci t tant au niveau socio professionnel qu au niveau culturel et r cr atif C est ainsi que anim s par un souci permanent de pouvoir offrir aux personnes de la province davantage de services trois collaborateurs sont accueillis dans les locaux de la rue Z nobe Gramme Arlon qui proposent des permanences ou des activit s la Maison des Sourds l Espace Informatique Malvoyance et le Service Ambulatoire de Sant Mentale pour Personnes Sourdes Espace Malvoyance Informatique et Loisirs C est un espace de partage de savoir faire L association propose aux d ficients visuels quelles que soient leurs capacit s r siduelles une initiation sur mesure aux techniques adapt es logiciels zoom synth se vocale Les objectifs potentiels vont de par exemple lire un tex
91. ous recevoir il faut revenir Carrefour du Social n 1 2010 On ne s imagine pas tout ce que cela demande comme organisation enfants etc On s tonne de la violence et de la col re de certains Les services ne sont pas adapt s aux difficult s des gens Dans les aides de premi re ligne le soutien motionnel n est pas suffisant Les femmes battues comme moi qui se retrouvent la rue avec 5 enfants s entendent dire par le policier le service est ferm rentrez chez vous vous reviendrez demain un moment donn 3 de mes enfants ont t en chec scolaire Cons quence je n ai plus eu le droit de b n ficier 33 Lutte contre la pauvret 34 de bourses d tudes alors qu il y avait une r elle volont de la part de mes enfants de chercher une solution et de trouver leur vocation Ce qu ils ont finalement trouv Est ce normal que tout le monde soit sur le m me pied face aux r glements alors que dans certains cas ce m me r glement met s rieusement l quilibre financier d une famille mal La solidarit est gratuite en th orie mais pas dans les faits L enseignement technique co te plus cher que le g n ral car il y a du mat riel acheter alors que cela peut tre un v ritable choix de carri re Une connexion Internet n est pas dans mon budget alors que ma fille en a besoin pour ses travaux scolaires Je ne veux pas la priver Quand on b n ficie des allocations de ch mage
92. pour cr er un cercle de lecture pour mettre l accent sur leur histoire dans le cadre d changes interg n rationnels et pour des d bats ouverts Bref un lieu pour organiser et coordonner les diff rentes activit s propos es par les a n s et y assurer l intendance La bourse leur permettra de lancer le projet dans les prochains mois Les a n s seront invit s participer aux activit s mais aussi proposer leurs id es et envies pour les prochaines rencontres CCCA de Habay Gr ce la bourse obtenue par le CCCA de Habay un concours de la plus belle photo sur le th me Dis moi Papy dis moi Mamy sera organis en 2010 dans la commune de Habay Le r glement du concours stipule que les photos en comp tition devront repr senter un ou des personnes du 3 me ge avec un ou des enfants Cette initiative devrait encourager les contacts interg n rationnels mais aussi les jeunes et moins jeunes talents dans le domaine de la photographie Toutes les photos seront mises en valeur lors d une exposition o le jury d signera 5 laur ats http www saferinternet be Saferinternet be est une collaboration entre Child Focus et le Centre de Recherche et d Information des Organisations de Consommateurs Le projet et ce site Internet ont pour objectif la promotion de la s curit des mineurs sur Internet et les nouvelles technologies de communication en ligne Ce site propose des informations et des outils aux ducateurs
93. qui cherchent guider les enfants et les jeunes vers une utilisation responsable de ces technologies http philanthropy be Philanthropy be a pour ambition de devenir le site de r f rence de la philanthropie en Belgique Une plateforme pour les associations et fondations belges des ponts pour la philanthropie Le coeur de ce site sera constitu d une base de donn es qui int grera des informations provenant de diff rentes sources et rassemblera des informations compl tes sur les organisations de la soci t civile en Belgique Le site internet offrira une plateforme gratuite toutes les organisations de la soci t civile en vue d am liorer leur transparence et de compl ter leur visibilit Chaque association ou entreprise d conomie sociale pourra y avoir une fiche reprenant des informations sur sa gouvernance ses activit s et ses r sultats financiers Le site n tablira pas un syst me d accr ditation et n imposera pas ses propres valeurs dans l valuation de la pertinence des organisations Toutes les informations seront d clar es par les organisations elles m mes Philanthropy be facilitera les donations en toute confiance et contribuera ainsi rendre la philanthropie plus efficace Le site permettra toute personne int ress e de mieux conna tre les associations fondations et entreprises d conomie sociale Ce projet est bas sur le mod le de www guidestarinternational org et est
94. r er ou compl ter une base de donn es r f ren ant tous ces services Une base de donn es pour les professionnels mais aussi pour les demandeurs d emploi ou personnes en difficult Pour ce faire l outil devrait tre accessible tous partout et sans discrimination de niveau d instruction niveau d tudes personnes analphab tes etc Responsabiliser les employeurs Id e de contr ler aussi les employeurs notamment en ce qui concerne les aides l emploi ex on engage en PTP puis quand l aide est termin e on licencie et on engage quelqu un d autre nouveau en PTP La personne licenci e retourne la case d part et en plus ne peut plus avoir le statut PTP pendant une dur e x Ouvrir la r flexion sur notre mod le de soci t de consommation Faire le lien entre les difficult s v cues par les gens au Nord et au Sud Pourquoi les gens viennent ils chez nous alors qu ici c est parfois pire que chez eux Compte rendu de l atelier n 5 Famille La bourse d tude Le d lai pour obtenir une bourse d tude est assez long Les d marches administratives sont p nibles et l tudiant doit souvent veiller lui m me la gestion de son dossier La bourse d tude n est pas accessible pour toutes les familles Il faut savoir que pour obtenir une bourse d tude il existe plusieurs conditions L une d entre elles d pend des revenus des parents Malheureusement bien souvent le revenu du m nage d passe de
95. r dans la province L aide familiale Certaines coles secondaires d livrent le dipl me Le graduat d infirmier e toute personne qui r ussit la d aide socio familiale qui permet de travailler comme 1 re ann e de graduat et qui d ciderait d arr ter ses aide familial e Pour cela il faut avoir suivi une 7 me tudes peut travailler en tant qu aide soignant e professionnelle La Promotion Sociale Libramont et Marche La Promotion Sociale Arlon et Vielsalm A signaler que si une aide soignante peut travailler comme aide soignante domicile ou comme aide familiale une aide familiale ne pourra jamais effectuer le travail d une aide soignante Pour ce faire elle devra suivre une sp cialisation dans le but d obtenir le titre d aide soignante Renseignements Carrefour Emploi Formation Arlon Rue Diekirch 38 Espace Didier 6700 Arlon T l 063 67 03 32 Fax 063 67 02 95 E mail carrefouremploiformation arlon forem be Le lundi de 8h30 12h00 et 13h30 16h00 le mardi de 13h30 18h00 mercredi de 13h00 16h00 le Jeudi de 8h30 16h00 le vendredi 8h30 12h30 Carrefour Emploi Formation Marche en Famenne Rue Victor Libert 1 6900 Marche en Famenne T l 084 24 58 61 Fax 084 24 58 99 E mail carrefouremploiformation marche forem be Socialement v tre Le lundi de 8h00 12h30 le mardi de 8h00 16h30 le jeudi de 8h00 12h30 le vendredi de 8h00
96. re On note pour les AS une augmentation du travail administratif et donc une diminution de la relation humaine Il faut aider les individus grandir et les prendre pour des num ros n est pas une solution Un autre constat concernant la r glementation et les diff rents aides ou statuts il y a tant de formules qu il est difficile tant pour les demandeurs d emploi que pour les employeurs de s y retrouver Les jeunes ayant termin leurs tudes et les demandeurs d emploi ont peu de connaissance de ce qui existe en termes d emploi et travail sur le terrain au niveau local Actuellement la communication n est pas adapt e tous les publics Est on l aise dans une soci t o survivent 1 500 000 pauvres Le foss entre les riches de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres ne cesse de s agrandir tant dans les pays du Nord que dans les pays du Sud Quelques pistes explorer Aider avant que la sanction ex suspension des allocations de ch mage ne tombe Il y a un manque de travail pr ventif Les contr les devraient tre incitatifs constructifs avant d tre r pressifs Que le demandeur d emploi ait un r f rent unique au FOREM et au CPAS par exemple Proposer un dispositif d accompagnement et de suivi qui se ferait du d but la fin Mettre en valeur la riche offre de services qui existent en province de Luxembourg via un site Internet ou un num ro de t l phone unique Id e aussi de c
97. relles a galement t voqu e par les participants de l atelier La constatation majeure est que si les activit s culturelles telles que les stages et ateliers sont organis es la demande du public elles rencontrent g n ralement un beau succ s La question de la motivation se pose aussi pour les interm diaires qui informent sur les activit s culturelles disponibles L article 27 par exemple est connu mais les usagers ne sont pas toujours au courant de toutes les offres propos es Il est difficile de parler de culture en province de Luxembourg sans parler de mobilit Beaucoup de mus es se situent par exemple Bruxelles deux heures de train Le co t pour s y rendre n est pas n gligeable Il existe bien s r des centres culturels de proximit des biblioth ques des discobus mais tant donn le caract re rural de la province ces lieux restent inaccessibles pour de nombreuses personnes La fracture num rique est galement un souci pour les personnes pr caris es mais aussi pour les seniors De plus les coles sont toujours en difficult pour obtenir le mat riel appropri et proposer des cours de qualit leurs l ves Au final il ressort de cet atelier la n cessit d une meilleure coordination entre le culturel le social et le scolaire ainsi qu une meilleure formation des travailleurs sociaux et des enseignants sur les diff rentes cultures rencontr es parmi les usagers Par ailleurs les
98. res Le type demploi quon me propose et le niveau de r mun ration ne moffrent qu une petite diff rence avec le revenu du ch mage J ai en plus un probl me d organisation familiale et de mobilit Il faudrait mieux valoriser et mieux adapter les 1 2 temps pour les m res au foyer J aimerais ouvrir un commerce mais personne ne va me pr ter de l argent force d tre mal on devient fou agressif d pressif c est un stress quotidien Heureusement que je reste positive le plus possible La question n est pas d avoir des privil ges mais nous ne sommes pas des citoyens de seconde zone Je fais ce que je peux je veux tre active mais on ne me laisse pas faire II manque un lien Si on se donne la peine de nous conna tre nous avons plein d id es On peut faire des bourses d id es si vous avez de l argent on change Autour de moi cela fait des ann es que je sers un peu d assistante sociale dans mon quartier Je n ai aucune formation mais je fais partager mon exp rience et j aide les autres Il y a toujours des gens en difficult s Il est important de mettre plus de participation partout car cela permet d voluer de se sociabiliser et de faire avancer les choses Madrid la question suivante a t pos e Est ce que la pauvret peut tre consid r e comme une priorit pour les 10 ann es venir et pas comme un l ment accessoire une charge La r ponse est oui Il faut maintenant pas
99. rlabonne organisation duservice les demandeurs sont invit s anticiper et communiquer leur besoin quelques jours l avance Pour tre trait es de mani re efficace les demandes de transport doivent tre enregistr es au plus tard midi pour un trajet le lendemain matin Tarifications et horaires de circulation de v hicule Locomobile La fixation des prix du transport rel ve de l autorit des communes associ es Ce sont elles qui d termineront le tarif et les conditions dont b n ficieront les cat gories de demandeurs Les communes seront galement libres d organiser la circulation de leur v hicule et de fixer les horaires de roulage de celle ci E 3 Un partenariat riche et nourri Le projet Locomobile est le fruit d une volont provinciale forte Pour monter un tel projet des collaborations avec des acteurs nombreux et ext rieurs se sont mises en place Il est essentiel que le partenariat soit mis sur pied avec l enthousiasme de tous Situation au 15 01 2010 en volution Le projet est op rationnel dans les communes de Bastogne Bertogne Bertrix Herbeumont Bouillon Neufch teau Tintigny Meix devant Virton Houffalize Marche Hotton Tenneville Habay La convention est sign e Wellin Saint Hubert et Libin Les communes d Aubange Musson Saint L ger Vielsalm et Gouvy sont actuellement contact es Les partenaires du projet Plusieurs partenaires ont t associ s ce proje
100. s d am nagement du territoire ou d image Or si le logement en camping est souvent la derni re solution et s il faut d velopper au maximum les possibilit s d un r el choix des citoyens en leur offrant des logements sociaux de qualit des prix abordables il ne faut pas sous estimer les raisons qui motivent certaines personnes choisir volontairement de vivre en camping r sidentiel Ce sont notamment les membres de l association Droit au logement diff rent qui voquent les aspects suivants C estune formule qui permet de faire d autres choix avec un budget limit exemple de l acquisition d un chalet pour un remboursement de 196 par mois Le chez soi est peut tre modeste mais les personnes sont propri taires de leur caravane alors qu ils ne sont que locataires d un logement social __L habitat permanent en camping n est pas toujours la mis re noire mais un cadre qui permet aussi de renouer et de renforcer les liens sociaux l augmentation des frais est sensible lors de la transition vers un logement en dur avec en perspective la spirale du surendettement Il ne faut pas mettre l ensemble des personnes concern es dans le m me panier et tenir compte de la situation r elle sur le terrain 23 Lutte contre la pauvret contre la pauvret utte L La mission de soutien attribu e aux AIS en collaboration avec la R gion wallonne les communes et soci t s de logements afin d ai
101. s pour permettre aux enseignants aux tudiants aux travailleurs sociaux et aux particuliers de mi eux appr hender le ph nom ne de la pauvret Tous ces documents peuvent tre emprunt s chez les promoteurs de ce catalogue soit le SEDS Arlon la Biblioth que centrale Marche le discobus ou via le r seau des biblioth ques La M diagraphie est diffus e aupr s des organismes et institutions concern es et sera disponible gratuitement aux adresses suivantes Par courrier ou sur place Service d Etudes et de Documentation Sociales Square Albert 1er 1 6700 ARLON T l 063 21 27 52 Courriel seds province luxembourg be Biblioth que provinciale Chauss e de l Ourthe 74 6900 MARCHE EN FAMENNE T l 084 32 73 47 et 48 Courriel bibliotheque itinerante marche province luxembourg be Dans le Discobus n 2 Horaire des stationnements sur la www lamediatheque be T l 061 22 43 20 le mardi de 10h00 16h00 Courriel discobus2 lamediatheque be La pauvret M diagraphie s lective tone en partenariat error ie Service d Etudes et on Sociales et b Bbloth que arte europ enne once de umem CET CeAtON pote Le M ath ue de Le Coramine lance Carrefour du Social n 1 2010 Lutte contre la pauvret Un concours destination des jeunes Concours Wettbewerb Ae s pogen parle mque Steil Dein Wahiprogramm vort YES YOU CAN a le cadre ide l Am
102. s qu il puise son nergie sa raison de vivre Il a vu Andage grandir et le secteur des services d accueil pour personnes handicap es se d velopper Eric GUERISSE nous livre ici ses impressions et ses r flexions trop tard Ce qui veut dire qu il faut aussi travailler avec les fr res et s urs de la personne handicap e voir ce qu ils peuvent proposer comme aide et comme disponibilit C est la nature du travail Pouvez vous pr senter l ASBL Andage Il s agit d une association au service des personnes handicap es de leurs familles et de leurs proches Nous avons plusieurs services Le premier le service d accueil de jour de Saint Hubert a t cr en 1975 et ensuite un petit service r sidentiel en 1976 En 1981 nous avons ouvert un service d accueil de jour Bastogne et en 1987 le premier appartement supervis de Bastogne appel Le Gr sil Au d part ces services concernaient uniquement les personnes handicap es adultes c est dire g es de plus de 18 ans Le premier service adress des enfants a ouvert en 1994 avec Le soleil bleu service d aide l int gration pour enfants polyhandicap s Ensuite le service d accueil de jour de Aye a t fond en 2002 En 2006 c est Chouette service qui a ouvert ses portes en proposant sur l ensemble du territoire provincial un service de r pit et de garde domicile pour les personnes handicap es Le service Renforts a lui vu le jour en
103. sant une prestation adapt e sa situation Le caract re personnalis de chaque acte pos constitue les fondements de toute tentative d aide vis vis des utilisateurs du service Immersion environnement b n ficiaire Cette logique d intervention se retrouve tout au long de notre cheminement en commen ant bien s r par l infrastructure Nous disposons de 2 locaux un pour les usagers salle 43 Handicap d accueil et de r union l autre pour les intervenants bureau et salle de r union Ce choix restrictif se justifie par la volont de rencontrer le jeune et sa famille dans leur milieu naturel Ce qui caract rise la pratique ducative des SAI MO par rapport aux services classiques d accueil et d h bergement c est le transfert de l intervention ducative dans l environnement de la personne Pratique de r seau L essentiel des interventions se r alise dans l environnement du b n ficiaire avec comme objectif principal le d veloppement et l activation d un r seau Prise en consid ration des besoins Le SAI travaille uniquement la demande suivant une proc dure d entr e au cours de laquelle la personne sa famille est entendue afin de d terminer ensemble quels sont les besoins Pour qui Comme d j dit auparavant la mise en uvre des programmes d aide est effectu e pour l enfant et sa famille AVEC l enfant et sa famille en partenariat Pour quoi Aide ponctuel
104. se vont avoir lieu r guli rement tout au long de l ann e 2010 pour partager des moments de vie en d veloppant un esprit critique et d analyse En f vrier 2010 Jean Marie Carrier a rencontr Genevi ve femme au foyer seule avec 5 enfants Elle habite Barvaux et b n ficie d une allocation de ch mage Dans le cadre de son implication dans un groupe de participation via le R seau belge de lutte contre la pauvret Genevi ve a particip l ouverture de l ann e europ enne de lutte contre la pauvret qui s est d roul e Madrid le 21 janvier dernier Elle a notamment soulev la question de la d ficience des services sociaux belges et de la lourdeur des d marches administratives Christine Mahy pr sidente du R seau belge de lutte contre la pauvret Genevi ve le t moin et Jean Marie Carrier D put provincial Photo I B Genevi ve raconte Il faut toujours courir apr s des papiers avoir des attestations pour prouver qu on est pauvre Notre situation de personnes faibles revenus est connue de toutes les administrations mais il faut toujours en apporter la preuve Les droits ne sont pas automatiques et ne nous sont pas toujours expliqu s Il n y a pas de structures d information en suffisance Demander une aide dans un service n est pas toujours facile certains sont d centralis s et parfois les rendez vous sont report s le jour m me quand vous tes sur place car on n a pas le temps de v
105. ser de la th orie la pratique Lutte contre la pauvret Agenda Voici une s lection de quelques v nements et publications pingler dans les mois venir Le 20 avril 2010 Journ e d tudes Caravane et logement entre pr carit juridique et bien tre social Ottignies Louvain La Neuve Contact Centre de M diation des Gens du Voyage T l 081 85 93 99 Courriel gensduvoyage skynet be Le 27 avril 2010 Colloque Pauvret et Vieillissement organis par la Fondation Roi Baudouin en collaboration avec le Think Tank europ en Pour la Solidarit et d autres acteurs Au Management Centre Europe MCE rue de l Aqueduc 118 1050 Ixelles de 9h30 17h30 Le programme complet peut tre consult sur http www luttepauvrete be 2010 Ann e Europ enne agenda htm Date pr ciser Colloque sur le th me Comment les politiques culturelles contribuent la lutte contre la pauvret et l exclusion sociale organis par la Communaut fran aise t 2010 Pr sentation du rapport Familles probl mes multiples en Communaut germanophone par la Croix Rouge de Belgique Juin 2010 La revue l Observatoire revue d informations sociales et psychom dicosociales dit e par la R gion wallonne et les Provinces francophones consacrera le n 65 au th me de l acc s la sant Une journ e colloque rencontre organis e par la Communaut fran ais
106. t l Ecole et la section de pr vention g n rale du Service de l Aide la Jeunesse de Marche Ce spectacle permet d aborder la question de la place des parents et la place des adolescents pour un meilleur dialogue entre eux La place que chacun occupe dans la famille est importante elle est rassurante galement pour l enfant Il faut constater cependant que pour de nombreuses raisons ces places sont souvent chamboul es Cela peut tre perturbant pour le jeune qu un parent n assume plus sa place vite de mettre des limites m me si le jeune lui m me conteste sans cesse les r gles parentales D autre part pour les parents duquer un ado n est pas toujours vident la soci t ne facilite pas la t che et lorsqu en tant que parent on est confront certaines difficult s il est encore plus difficile de tenir le cap La pi ce aborde les th matiques suivantes respect de soi de l intimit de la place de chacun au sein de la famille Elle permettra aux familles de se rendre compte qu elles ne sont pas seules traverser ces difficult s et pourront changer leurs trucs et astuces gr ce au d bat A qui s adresse t il La pi ce est destination des jeunes et des parents Des repr sentations gratuites sont programm es dans des coles de l arrondissement de Marche et d autres en soir e pour le tout public dans diff rentes communes de l arrondissement Un d bat est pr vu l issue de la repr
107. t o Ethias a fournit l assurance Omnium l assurance RC ainsi que l Assistance juridique pour la premi re ann e Quoi de neuf o Dexia offre un stage de conduite d fensive et un cours d co conduite raison d un chauffeur par voiture o Le garage Peugeot Bodart suite une proc dure de march s publics a t le fournisseur s lectionn Il a pr sent l offre la plus int ressante ainsi qu un quipement GPS sur une s rie de v hicules 0800 25 115 Quoi de neuf 10 Carrefour du Social n 1 2010 B n volat Une Agence provinciale du B n volat en cours de cr ation Dans le cadre d une formation Monsieur Jean Paul Weles de Bastogne a r alis un m moire action intitul Une Agence locale du B n volat en Centre Ardenne Il a ensuite d cid d appliquer les conclusions de son travail et de mettre en uvre une agence du b n volat au niveau provincial r pondant ainsi une attente certaine de la population Une tude de faisabilit a t r alis e gr ce au soutien de Luxembourg 2010 Cr e en collaboration avec le D partement des Affaires Sociales et Hospitali res de la Province de Luxembourg et avec le soutien du Conseil provincial cette agence du b n volat servira de centre de r f rences et de ressources pour le monde associatif Elle sera une interface entre les b n voles et les associations qui comptent souvent sur eux pour mener bien leurs actions De plus
108. t en langue des signes Consultation sur rendez vous dans les locaux du SAHMO Arlon Renseignements Service Ambulatoire de Sant Mentale pour Personnes Sourdes Rue de Dave 124 5100 JAMBES T l 081 30 59 29 Fax 081 30 55 20 GSM 0498 26 08 62 ssms skynet be Lutte contre la pauvret Ann e de la pauvret Compte rendu de la table ronde du 1er d cembre Ann e europ enne de lutte contre EPCI et l exclusion sociale s LE Dans le cadre de l ann e europ enne 2010 de lutte contre la pauvret le D partement des Affaires Sociales et Hospitali res de la Province de la Luxembourg a lanc en collaboration avec l ensemble des D partements provinciaux une r flexion en profondeur sur le th me de la pauvret et plus sp cifiquement au niveau de notre province Il nous a tout de suite paru n cessaire de faire un tat des lieux de la pauvret en province de Luxembourg via une table ronde C tait l v nement phare de lancement qui s est d roul le 1er d cembre 2009 au Centre culturel de Libramont Un change de points de vue a eu lieu au sein de diff rents ateliers sur les th mes du logement de la culture et de l enseignement de l acc s aux soins de sant de l emploi et de la formation et de la famille Le compte rendu de ces ateliers sont pr sent s ci dessous En parall le aux initiatives qui d couleront de cette table ronde d autres activit s sont en cours de r
109. t pas une priorit mais dont le souci premier est de se loger 11 1l y a un probl me de proximit des pharmacies de garde Elles sont parfois tr s loign es du m decin de garde ce qui oblige le patient faire de long trajet pour se rendre chez l un puis chez l autre 12 Il existe plusieurs statuts pour aider financi rement le patient OMNIO BIM MAF maladies chroniques N anmoins certains ne sont pas connus et donc pas utilis s par les personnes qui pourraient en b n ficier _IIfaut am liorer l information et la communication de cette information la population en g n ral Compte rendu de l atelier n 4 Emploi Formation Id es principales Replacer l Humain au centre du d bat Les personnes en recherche de travail ont des obligations mais elles ont aussi des libert s Les gens doivent retrouver un espace de libert socio conomique Les personnes demandeuses d emploi doivent de plus en plus souvent tre r ins r es socialement avant d tre r ins r es socio professionnellement Il faut d abord retrouver des rep res sociaux Il faut aussi donner des objectifs concrets tous les gens doivent retrouver une utilit sociale Le besoin n est pas uniquement de la formation et de l emploi les personnes sont aussi en demande de d veloppement personnel et l un ne va pas sans l autre On constate une diminution de moyens pour les Organismes d Insertion Socio professionnelle OISP L
110. te sans fatigue l apprentissage pointu de l informatique C est aussi un lieu de rencontre et d changes qui se veut avant tout convivial Ouvert le mardi de 10h 16h Renseignements Jean Marie Ponsard 063 22 78 90 Pierre Thielemans 061 61 17 49 r seau concerne donc des individus ayant des statuts et des interactions tr s vari s avec la personne handicap e C Bartholom 2007 Renseignements Province de Luxembourg Direction Handicap et Actions en Milieu Ouvert SAHMO service d accompagnement 16 rue Z nobe Gramme 6700 ARLON Directeur Patrick Hendrickx 063 22 73 62 Responsables p dagogiques Pascal Derwael 0499 67 46 50 Maison des Sourds dela province de Luxembourg asbl La Maison des Sourds est une Asbl dont les objectifs sont les suivants donner aux Sourds et en priorit aux Sourds habitant en province de Luxembourg un endroit o ils peuvent rencontrer d autres Sourds se divertir s informer discuter en langue des signes organiser des activit s r cr atives afin que les Sourds les Malentendants et les Entendants qui participent ces activit s puissent apprendre se conna tre et se respecter proposer des conf rences et des rencontres th matiques avec des organismes publics et priv s services de la R gion wallonne et de la Province de Luxembourg services d aide aux personnes handicap es associations afin de proposer ses membres une informat
111. tre la pauvret 30 Les revenus insuffisants am nent de l ins curit de la violence la maladie C est un tout tout est li Un mal tre s installe et il devient difficile pour un travailleur social de se concentrer sur l encadrement qu il doit apporter la famille De plus il est submerg par les d marches administratives Allocations familiales Concernant les allocations familiales elles sont bien souvent non adapt es la situation r elle du m nage ou d une famille monoparentale Une solution serait de dire qu il faudrait individualiser les droits tant pour les parents que pour les enfants Etats des lieux de la pauvret en province de Luxembourg Questionnaire envoy aux Centres Publics d Action Sociale Dans le cadre de l ann e europ enne de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale le D partement des Affaires Sociales et Hospitali res a organis le 1er d cembre 2009 une table ronde sur la pauvret C est dans ce cadre que le service Etudes et Projets a r alis une enqu te aupr s des 44 Centres Publics d Action Sociale de la province de Luxembourg L enqu te a consist envoyer par courrier une vingtaine de questions sur le nombre d usagers faisant appel aux diff rents services des CPAS Le questionnaire avait pour objectif de rassembler des donn es pour tablir un aper u une cartographie de la pauvret sur le territoire luxembourgeois Cette enqu te nous offre bien ente
112. ty and poverty organis par l Algemeen Christelijk Werknemersverbond ACW et le Mouvement Ouvrier Chr tien MOC Le programme complet peut tre consult sur http www luttepauvrete be 2010 Ann e Europ enne agenda htm 23 et 24 septembre 2010 Conf rence sur le revenu minimum et table ronde sur les standards sociaux minimaux organis e par le R seau europ en des associations de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale EAPN en collaboration avec le R seau belge de lutte contre la pauvret dans le cadre de la pr sidence belge de l Union europ enne 35 L Lutte contre la pauvret u Une m diagraphie pour mieux comprendre la pauvret Le tte contre la pauvret Service d Etudes et de Documentation Sociales SEDS int gr au D partement des Affaires Sociales et Hospitali res et plac sous la responsabilit de Monsieur le D put Jean Marie CARRIER et la Biblioth que centrale provinciale plac e sous la responsabilit de Monsieur le D put Philippe GREISCH en charge de la culture se sont associ s pour r aliser en collaboration avec la M diath que de la Communaut fran aise une M diagraphie s lective consacr e au th me de la pauvret Ce catalogue propose un ensemble de r f rences utiles telles que des tudes sociologiques des r cits de vie des histoires pour enfants des documentaires des sites Internet Tous ces outils on t t recens
113. ue sur la possibilit de relais avant et apr s soit avec les services d aide pr coce soit avec les services d accompagnement le milieu ouvert tant repr sent par les SAP de la naissance 8 ans les SAI de 6 20 ans et les SAC de 18 la fin de la vie En collaboration avec la famille ces services assurent une aide ducative et psychoth rapeutique ainsi qu une information une aide et un soutien en vue de favoriser l autonomie en mati re de gestion de prise en charge des activit s quotidiennes de logement de travail de gestion budg taire de formation et de loisirs Cette deuxi me d finition insiste davantage sur le travail de partenariat et de collaboration avec les familles ainsi que sur les domaines illimit s de la nature de l aide apporter Il faut comprendre que dans un SAI il ne doit pas y avoir de programme d activit type exploiter nous ne disposons pas d un package limit pour r pondre aux demandes Au contraire au d part d une demande on tente de d velopper un programme d aide en puisant au maximum dans les ressources environnementales du jeune son r seau Les missions Accompagnement individuel Comme son nom l indique il s agit de tout type d accompagnement du jeune Activit s collectives Organisation d activit s de groupe en dehors des temps scolaires Accompagnement scolaire Se d cline sous plusieurs formes rem diation scolaire co
114. un projet original de rencontre un carrefour de la vie sociale Vous pouvez d s pr sent noter dans vos agendas que la 6 me dition de SOLIDARLON la solidarit tient salon Arlon aura lieu les 18 et 19 novembre 2010 au Hall Polyvalent Arlon l abri de nuit d Arlon Depuis l hiver 2008 un abri accueille pour la nuit des personnes sans domicile fixe leur offrant de la soupe une douche chaude et un lit La concr tisation de l abri de nuit est due la volont d une association de faits qui avait constat depuis de nombreuses ann es la probl matique des sans abris sur Arlon Il avait t constat galement qu aucun abri de nuit n existait en province de Luxembourg Les ducateurs de rue de la commune d Arlon faisant la m me constatation il a t possible avec l aide de la ville d Arlon et du CPAS de concr tiser ce projet d accueil Des locaux ont t am nag s et des budgets trouv s pour les repas Plus d une quarantaine de b n voles se relaient nuit apr s nuit pour faire fonctionner l abri Renseignements pierre jacob arlon be Cela fait donc la troisi me ann e en p riode d hiver qu il est donn la possibilit aux personnes sans domicile fixe de pouvoir dormir au chaud de se laver et de se restaurer En moyenne une dizaine de personnes des hommes majoritairement se pr sentent chaque nuit l abri L abri de nuit est accessible toute personne majeure sans aucune dis
115. ur le site de T l soc www fceds be 13 Consom action om action S Con Pr sentation des missions du service pr vention du Groupe Action Surrendetement Dans une strat gie de lutte contre le surendettement la volont de l quipe de pr vention cr e en 1996 au GAS a donc t de d velopper des programmes d information objective Pour r pondre cette mission diverses actions sont men es conjointement Des campagnes de pr vention sont r alis es dans les coles secondaires sur base de jeux de mises en situations et de d bats Le d cryptage de publicit la consommation les cr dits le surendettement sont des th matiques abord es lors des interventions propos es Afin de sensibiliser et de donner des informations pertinentes sur les causes du surendettement pour des personnes adultes diff rents fascicules ont t cr s Le budget le cr dit la consommation le cr dit hypoth caire sont notamment des th mes analys s dans ces brochures Un module de sensibilisation est mis la disposition des services sociaux afin qu ils puissent parler de certaines th matiques telles que l argent le budget le cr dit la consommation et le cr dit hypoth caire avec leur public cible Afin de sensibiliser les enfants d s 6 ans des dossiers et outils p dagogiques sont galement accessibles aux enseignants ainsi qu aux professionnels de l aide la jeunesse Un service d accompagne
116. vons re u 120 demandes pour 25 places On est oblig de faire un tri par rapport au projet p dagogique Il faut aussi g rer la pression ext rieure comme la question qu est ce qu ils font en attendant une place On ne peut pas prendre plus que le nombre imparti par l AWIPH On voudrait bien aider plus mais on ne peut pas On peut d velopper avec eux au j niveau tactile verbal des relations T empreintes de v rit s instantan es Avez vous des attachements ou des relations particuli res avec certains b n ficiaires J ai une tendresse particuli re pour Thierry qui nous a quitt il y a quelques semaines C est l motion du moment Je le suivais depuis 29 ans On les accompagne dans des parcours de vie Individuellement chacun leur titre il y a une relation particuli re Quand on perd l un ou l autre on se demande quelle a t sa travers e quel bonheur il a v cu etc On a des personnalit s aussi qui participent des ateliers th tre et qui sont attendrissantes car elles donnent tout En r gle g n rale ils ne trichent pas on peut d velopper avec eux au niveau tactile verbal des relations empruntes de v rit s instantan es Je peux aussi citer Gilles Didier Miguel Nancy etc Je pourrais en citer d autres Personnellement j ai aussi une grande tendresse par rapport aux familles car je suis plus au niveau de l accompagnement des familles Certaines sont tr s exigeantes d autres ont

Lutte contre la pauvreté

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