Home

Nattitude : tendances, bonnes pratiques et témoignages

1. Un organigramme avec des responsables par th me nergies d chets communication des actes d engagement de vos collaborateurs sur des petits gestes r aliser au quotidien des aide m moire aux points strat giques parties communes vestiaires du personnel postes de travail en cuisine jardin Exemple l h tel La P rouse Les clients et les employ s qui signalent des fui tes de robinet d clenchent une fiche d actions correctives qui Indique au technicien de mainte nance les Interventions qu il doit r aliser Une alerte quotidienne sur l Outlook de l ordina teur de la r ception leur rappelle vers 10h du matin qu ils peuvent si la luminosit le permet teindre les lampes du hall Impact annuel 980kW d conomis 7 ampoules x 7 heures x 55 W x 365 jours des r unions rapides d explication sur le plan d actions de l tablissement et les r sultats attendus etc Participer des concours des troph es ou des v nements en lien avec le d veloppement durable permet de valoriser l entreprise et d impliquer son personnel Semaine du d veloppement durable Troph e environnement entreprise ACFCI Club PLan te Gagnante de l ADEME F te de la Nature Semaine europ enne de r duction des d chets etc b Les clients un fort impact Les consommateurs sont de plus en plus sensibles la pr servation de l environnement chez eux conomies d nergie uti
2. Bravo l Auvergne un r seau de PME agro alimentaires auvergnates http www bravo lauvergne com produits php D PARTEMENTALE POUR Le comit de promotion des produits de l Allier qui dite un r pertoire de produits fermiers artisanaux et de pme http produits allier com La Mission Agro Alimentaire du Cantal qui a pour objet d aider les PME agroalimentaires d velopper leurs ventes http www cantalexpansion fr MAAC html Le comit de promotion des produits de Haute Loire et l Alliance fermi re des Volcans pour le Puy de D me qui ont dit un catalogue de producteurs fermiers sur leurs territoires respectifs http www haute loire chambagri fr Promotion des produits agricoles html LOCALES POUR Saveurs du Livradois Forez un r seau au service des produits locaux et des consommateurs Constitu l initiative du Parc Naturel R gional Livradois Forez ce r seau est destin mettre en valeur les produits et savoir faire locaux et d en faciliter l acc s Le consommateur aura ainsi l assurance de trouver des produits de qualit fabriqu s sur le territoire du Parc dans des points de vente identifi s et ce de fa on 107 r guli re Terroirs des Combrailles une initiative valorisant les produits d une vingtaine de producteurs fermiers et artisanaux du territoire 108 ANDR PERRIER cuisinier oques d Auvergne Le Bourbon Yssingeaux en Haute Loire Pr sident AL
3. La verveine odorante en cuisine la verveine odorante parfume agr ablement les plats exotiques et se marie particuli rement avec volailles et poissons Elle donne une d licieuse tisane principalement r put e pour ses propri t s digestives stomachiques Elle est galement utile en cas de stress angoisses Insomnies ou d pression Le Jardin gourmand Secrets de recettes AP RITIF L ESTRAGON Ingr dients 70 g d estragon frais 1 bouteille de vin blanc sec 1 gousse de vanille 2 cuill res soupe de miel 200 ml de cognac Recette faire mac rer l estragon avec le vin blanc et la gousse de vanille coup e dans le sens de la longueur pendant une douzaine de jours Filtrer remettre la vanille qui restera jusqu la fin de la bouteille ajouter Le miel et Le cognac Laisser reposer encore 8 Jours avant d gustation Conservation au moins 2 ans DIGESTIF L HYSOPE Ingr dients 1 poign e de tiges et de feuilles fraiches d hysope 2 cuill res caf de graines de coriandre 1 litre de cognac et 200 g de miel Recette concasser grossi rement les graines de coriandre Les verser dans un bocal ajouter l hysope et le cognac Laisser mac rer 10 jours Filtrer et ajouter Le miel Laisser fondre pendant l 3 jours puis mettre en bouteille D guster avec mod ration Conservation 1an AP RITIF LA SAUGE Ingr dients 25 g de feuilles de sauge 1 b ton de cannelle 1 litre de vin
4. dramatiques dramatico lyriques vocales chor graphiques de pantomimes de marionnettes de vari t s etc ou bien y participe et dont les membres ne re oivent de ce fait aucune r mun ration mais tirent leurs moyens habituels d existence de salaires ou de revenus trangers aux diverses activit s artistiques des professions du spectacle L amateur peut n anmoins b n ficier de remboursements de frais r ellement engag s pour une prestation sur pr sentation des pi ces justificatives L organisateur doit obligatoirement assurer ses b n voles contre tous les risques encourus et cela pendant toute la dur e de leur intervention En cas de vente le producteur amateur doit pr ciser dans les termes du contrat que l ensemble du groupe est amateur et b n vole Professionnel Tout individu recevant une r mun ration pour une activit du spectacle est consid r comme professionnel Une production professionnelle est un spectacle dont les artistes les techniciens et les cr ateurs sont r mun r s et de ce fait assujettis toutes les obligations Juridiques sociales et fiscales en vigueur gt Les modes de r mun ration e Les contrats Les artistes sont r mun r s sous forme de salaire l exception de ceux inscrits au registre du commerce pouvant tre r mun r s sous forme d honoraires Tout contrat pass avec un artiste moyennant r mun ration est pr sum tre un contrat de travail ar
5. marquages r glementaires Sigles volontaires marques priv es autres marquages non sp cifiques Voir la liste des guides pour consommer durablement www mescoursespourlaplanete com Acheter et Consommer mieux de l ADEME acheter et consommer GUIDE DES LABELS AS Y DELA CONSONHATION RESPONSABLE EOMON 2009 2010 BA Le an ies ieh par men can 2 Oy gg Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE valoriser votre d marche environnementale d Sources d inspiration ADEME guides fiches pratiques affichages expositions autocollants etc peuvent vous accompagner dans cette d marche Guide de l co communication gt PNR des Volcans d Auvergne guide pratique sur les co gestes disponible affichages disponibles guide nature en poche gt Afnor outils de communication li s l colabel europ en affichage logo Le label Clef Verte met disposition de ses adh rents un panel d outils li s la communication environnementale 13 exemple de politique environnementale exemple de questionnaire de satisfaction pour analyser le retour clients sur les impacts environnementaux au cours de leur s jour exemple de texte concernant le nettoyage des serviettes de toilettes Voir les outils R seaux h bergements h tellerie ayant d velopp une charte d engagement environnementale Best Western www bestweste
6. La composition est diversifi e et color e elle permet ainsi d gayer l ensemble de la structure tout en favorisant les essences adapt es ce type d environnement Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE Concernant l herbe et le gazon l aussi la r flexion a t men e avant tout par la volont d tre le plus en accord possible avec la nature environnante L entretien est donc guid par deux principes fondamentaux L utilisation ma tris e d un herbicide une fois par an le m langer avec un colorant naturel bleu permet de limiter les risques d usage inutile et surdosage dans une m me zone Une tonte mulching l herbe est coup e en petits morceaux et laiss e sur place Il n y a donc plus de ramassage et plus de sac poubelle L herbe est r utilis e directement comme engrais naturel limitant ainsi les d penses d engrais chimiques Le sol est moins sec et la pratique beaucoup plus cologique 33 34 Evasion nature au pays des lacs et des volcans Camping La AM NAGEMENTS La v g tation de proximit a galement t mise contribution Des haies viennent renforcer l aspect naturel des emplacements L encore gr ce une taille sp cifique Les propri taires ont veill casser l impression rectiligne des haies traditionnelles Des feuillus ont galement t plac s chaque extr mit Certaines haies naturelles ont galement t conserv es permettent de ma
7. Les manifestations occasionnelles reposent souvent sur l activit de b n voles Il n existe pas de d finition juridique du b n volat Certains textes pr cisent cependant le principe du b n volat et en fixent les contours Selon le Conseil conomique et social juin 1989 Est b n vole la personne qui s engage librement pour mener une action non salari e en direction d autrui en dehors de son temps professionnel et familial Est consid r e comme b n vole toute personne qui intervient dans une association sans percevoir aucune contrepartie financi re et d s lors que l activit n est pas consid r e comme professionnelle c est dire r mun r e m me si des professionnels peuvent pratiquer leur activit sur une base b n vole HALBA B n dicte B n volat et Volontariat la Documentation fran aise 2003 Il ressort de ce texte que le b n volat repose sur les notions suivantes c est une action volontaire le b n vole ne peut tre contraint de quelque fa on que ce soit c est une action sans contreparties financi re o quivalente c est une action effectu e pour une association ou une ONG Ces trois l ments sont constitutifs de la pr somption de b n volat pour le diff rencier d une activit salari e Le texte pr cise galement qu un artiste professionnel peut avoir une activit b n vole si les conditions du b n volat sont respect es et si l
8. a Identifier les d perditions thermiques L un des moyens pour identifier Les d perditions thermiques est de faire r aliser un audit nerg tique Il mettra en lumi re les probl matiques et contraintes du b timent sur la base des consommations constat es souvent sur 3 ann es Il fournit une estimation de la consommation nerg tique en KWh m an de votre tablissement un co t moyen de celle ci et son impact en mati re d missions de gaz effet de serre Il peut galement donner des recommandations techniques qui permettent de conna tre les mesures les plus efficaces pour conomiser l nergie Pour trouver un professionnel l Espace INFO gt ENERGIE le plus proche de chez vous Vous pouvez le trouver en t l phonant au 0810 060 050 ou www infoenergie org 19 0 IV TH MATIQUES ENVIRONNEMENTALES Veiller l efficacit de l isolation mur 15 cm mini R gt 3 7 m K W Toiture 30 cm mini R gt 7 5 m K W Vitrage Uw lt 1 4W m K Ventilation r gul e ou et double flux Production haut rendement chaudi re b S inscrire minima dans le cadre r glementaire La directive europ enne du 16 d cembre 2002 sur la Performance nerg tique des b timents qui repose en particulier sur les principes suivants des exigences minimales de performance nerg tique ainsi qu un diagnostic pour les b timents neufs et existants Le gouvernement fran ais a traduit cette direct
9. aux transports et globalement on mange mieux La notion de terroir est encore tr s pr sente On a des labels des garanties d origine la tra abilit des aliments est meilleure Et surtout il y a la grande aventure des AMAP Depuis dix ans l Association pour le Maintien d une Agriculture Paysanne a pris de l ampleur et surtout elle rev t une dimension de d veloppement une sorte de couveuse agricole pour les jeunes agriculteurs qui veulent s installer Le fonctionnement des AMAP est adapt une consommation domestique des commandes pass es d une semaine sur l autre et un temps de rendez vous fixe pour r cup rer ses achats n anmoins nombreuses sont les tables d h tes qui s approvisionnent aupr s d AMAP ou m me de structures plus importantes qui y font certains de leurs achats Pour trouver une AMAP proche de chez vous http www reseau amap org Les locavores ont aussi leurs d tracteurs qui mettent l accent sur une forme de repli sur soi au travers de l isolationnisme alimentaire sur une approche biais e par une mesure centr e exclusivement sur la distance parcourue de l aliment fini et non sur l impact cologique du mode de production par exemple et enfin sur la perte de d bouch s que constituerait ce choix pour les pays mergents D apr s un article de l express fr 105 L alimentation au c ur de nouvelles aspirations c Slow Food pour une alimentation bonne p
10. votre paysage Ils cr eront identit style ambiance cachet et myst re Les ornements ont toujours fait partie des am nagements car ils apportent une similitude visuelle avec les pi ces de la r sidence et assurent la continuit de celle ci Ils sont aussi le meilleur moyen pour personnaliser les lieux et par cons quent se les approprier Mais le facteur le plus important reste l int gration de ces l ments C est la seule fa on de permettre leur mise en valeur tout en donnant un cachet qui fait partie int grante du paysage Chaque chose doit donc tre sagement r fl chie pour que le d cor fusionne avec son environnement Vu Astuces pratiques Voici donc quelques possibilit s statues pots objets antiques tonnelles mosa ques 3D miroirs bacs fleur pierres s ches Cr er des sentiers pieds nus on s y prom ne sans chaussures permettant ainsi chacun de re d couvrir les sensations provoquer par la marche sur un sol naturel agr ment d une vari t de mat riaux diff rents sables graviers corces dalles c est surtout l occasion rare d veiller tous ses sens Le meilleur moyen pour ne pas se tromper est d utiliser des l ments locaux qui donneront naturellement au jardin du caract re Il vaut mieux viter tout de m me les l ments compl tement d connect s de l esprit des lieux Evasion nature au pays des lacs et des volcans Cam
11. 102 en 2006 soit pr s de deux fois plus qu en 1960 veiller la qualit nutritionnelle des produits 39 des achats de produits alimentaires sont pour 20 consacr s la viande aux fruits et aux l gumes apprendre manger quilibr pour 18 26 sont consacr s aux produits transform s assurer une offre vari e et diversifi e pour 6 Le temps de pr paration du d ner repr sente d velopper le patrimoine culinaire et gastronomique 46 mn en 2008 contre 60 minutes en 1988 pour 4 La restauration rapide a augment de 5 par an en moyenne entre 2000 et 2008 Source CREDOC L alimentation au c ur de nouvelles aspirations Tendances manger Local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE ans la cuisine aussi on cultive les paradoxes et on suit les tendances On peut aussi au travers des choix op r s et traduits la carte du restaurant illustrer les valeurs de l Auvergne et jouer cette carte Des ph nom nes comme les crises alimentaires la forte croissance des cas d ob sit ou la multiplication des reportages sensation sur les d rives de l agro industrie ont sensibilis les consommateurs au lien entre alimentation et sant Les campagnes d information sur ce th me marquent les esprits En 2006 le minist re de l Agriculture et de la P che a confi au CR DOC la r alisation d un barom tre des perceptions alimentaires afin de cerner les atte
12. Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE I TENDANCES Nature partage et inspiration B UNE DIFFUSION ARTISTIQUE INSOLITE La partie qui suit met en vidence des initiatives qui vont l encontre des codes habituels du tourisme Il s agit non pas d amener des visiteurs vers des lieux culturels mais bien de proposer ces activit s au sein des lieux de vill giature qu ils fr quentent le plus commerces h bergements 1 Des h bergements mus es L H TEL PFISTER MILWAUKEE US ARTISTE EN R SIDENCE DE LA CR ATION L INTERACTION http www thepfisterhotel com L h tel a r nov son centre d affaires pour y inclure un studio et une galerie d art L artiste en r sidence cr e son uvre peinture pendant la semaine et le week end il ouvre son atelier aux clients de l h tel Reginald Baylor l artiste a aussi en charge les visites de la galerie d art dans le cadre des forfaits Overnight Art Package Par ailleurs il accueille des groupes scolaires pour leur expliquer son processus cr atif Au m me titre qu un groupe de musique lit r si dence dans une salle de concert un artiste pein tre peut trouver refuge dans un h bergement touristique s improvisant aussi lieu de r sidence et de cr ation L id e est de mettre disposition de l artiste une pi ce de l tablissement dans laquelle il instal lera son atelier Il peut alors s atteler la cr
13. Elle r gule l influx nerveux et r duit aussi les spasmes de l estomac et du colon La menthe poivr e elle ne sert pas seulement la pr paration de tisanes digestives et d salt rantes elle permet aussi de parfumer quelques plats Le pavot de Californie en infusion pour une nuit paisible Le persil on conna t tous les usages culinaires du persil excellente source de vitamine C ce qui en fait un excellent anti ge La pimprenelle elle est dou e de vertus h mostatiques puissantes c est dire qu elle est capable d arr ter ou de ralentir les h morragies tant en interne qu en externe En usage interne la d coction de racine est tonique digestive et ap ritive Elle est galement recommand e pour soulager les diarrh es Le pissenlit ses fleurs et ses feuilles sont comestibles sa racine est m dicinale et ses fleurs ont des vertus cosm tiques Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE La pomme lorsqu on avance en ge la pomme devient plus pr cieuse encore car elle prot gerait de la maladie d Alzheimer et am liorerait les capacit s cognitives intellectuelles des seniors Le pourpier la base du fameux r gime cr tois il est rempli d antioxydants Ses feuilles se mangent en salade et son suc b n ficie d un pouvoir cicatrisant et antibact rien sur la peau Le romarin les feuilles s ch es conf rent leur ar me aux viandes r tis rago ts jardini res l gumes vape
14. Les vacances prennent une tout autre signification En raison de la remise en question des religions traditionnelles de la d saffection massive l gard des pratiques religieuses et des lieux de culte des id ologies et des valeurs en d route du rythme de vie effr n le mat rialisme ne satisfaisant plus la qu te de bien tre les gens perdent leurs rep res et se retrouvent sans boussole Pierre Volle et Sophie Rieunier professeurs et experts dans le comportement de consommation soulignent que consommer se conjugue au verbe tre et non plus avoir Dans un monde superficiel les gens cherchent trouver un quilibre donner une profondeur leur vie Dans cette foul e Rapha l Liogier aussi directeur de l Observateur du Religieux constate un ph nom ne de mutation des vacances qui s oriente vers la recherche du d veloppement personnel Les vacances ne sont plus per ues comme un moyen de se reposer du travail Depuis Les ann es 1990 on assiste au passage du tourisme passif temps de repos au tourisme actif d veloppement personnel ouverture sur d autres cultures pratique d activit s qui exigent un d passement de soi apprentissage aide aux peuples d munis Depuis les ann es 2000 le tourisme s ouvre la spiritualit la recherche du bien tre au besoin de comprendre d autres cultures de rompre avec le quotidien de faire Le point sur sa vie de reprendre son souffle et de
15. a tion de son uvre La diff rence est qu il laisse cet atelier en acc s libre aux clients de l h tel et autres curieux Ainsi ce lieu de cr ation devient aussi lieu de rencontres o l artiste et Le visiteur interagissent autour de cet art L h bergeur cr e donc la sur prise et offre son h te la possibilit de s mou voir L H TEL ANDAZ LONDRES PENDANT LA LONDON BOOK WEEK LARTI STE SE D PLACE LA CULTURE AU SERVICE DE L H TE wwWw andaz com Durant la London Book Week en avril dernier le client qui le souhaitait pouvait recevoir la visite d un conteur pour lui lire une histoire o un extrait de livre dans sa chambre v tu d un pyjama rayures et assis dans un fauteuil c t du lit Le visiteur pouvait choisir un livre parmi une s lection ou encore b n ficier du service de biblioth rapie en se laissant guider par les suggestions 595 de M Barr Source veilletourisme ca article Une histoire avant le dodo la diff rence de la r sidence l artiste n int gre pas l h bergement En revanche il intervient bien dans son enceinte sur demande du client sous forme de partenariat avec l tablissement Ainsi l h bergeur propose une prestation facultative ses h tes qui peuvent leur guise inviter ce conteur dans leur chambre le temps d une his toire Une belle op ration de communication que cette proposition un brin humoristique 56 I TENDANCES Nature par
16. autres ici pas de t te t te En v rit on pourrait mais mes clients ne viennent pas pour a A la table du Domaine de la Siarre on partage beaucoup un repas des discussions souvent tr s anim es les L alimentation au c ur de nouvelles aspirations trucs et astuces du chef des rires C tait un pari au d part mais ans apr s je n ai aucun regret IL y a les cours aussi Ils sont dans le m me esprit ce n est pas un cours magistral L organisation du cours correspond la pr paration collective des diff rents plats du repas pris en commun Tout le monde met la main la p te J ai lanc aussi il y a quelques mois des cours pour enfants c est g nial D abord parce que chez les enfants aussi il y a des passionn s on devine des vocations et puis c est une mani re tr s ludique tr s spontan e de cuisiner Dans un registre assez diff rent nous faisons du team building sans le savoir En fait les managers cherchent des activit s faire partager leurs quipes pour les souder partager l esprit d quipe La cuisine r pond bien cet objectif c est tr s diff rent comme ambiance peu l aise au d marrage du cours le groupe est compl tement d tendu et l ambiance est tr s conviviale la fin Et les produits L aussi changement radical de fonctionnement par rapport mon ancien restaurant je n ai quasiment pas de stock pas de carte juste un menu qui ch
17. boutique C2 BB a loppose de la chaine hoteliere http veilletourisme ca 2010 05 11 hotel lifestyle autopsie d E2 80 99un concept http veilletourisme ca 2009 10 28 artistes en residence nouveaux acteurs dans 1 E2 80 99experience touristique http veilletourisme ca 2009 12 11 une histoire avant le dodo La Revue Espaces H bergement touristique du futur Analyses crois es N 275 Novembre 2009 WW W revue espaces com A visiter pour s inspirer Horizons Rencontres Arts Nature www horizons sancy com Festival Volcan de Montpeloux www vallee de lance com Association Art Gens www arteens net La F e Crochette www lafeecrochette net La Tourn e des Fermes Dakot http theatre dakote free fr Gramercy Park Hotel www gramercyparkhotel com Les Auteurs Nomades LIRA www letransfo fr Festival Les Mondes Crois s www mondes croises com Festival des ap ros musique de Blesle http aperosmusique blesle com Jardins en sc ne www Jardinsenscene picardie com Lectures sous l arbre www lectures sous larbre com Une dition assur e par la MIATA Mission d ing nierie et d am nagement touristique d Auver gne un service du Comit R gional de D veloppement Touristique d Auvergne T l 04 73 29 49 30 miata crdt auvergne fr R daction V ronique Delarbre LE TRANSFO V ronique Jal CRDTA Marc Mourguiart LE TRANSFO Natacha Sibellas LE TRANSFO Magalie Vassenet CRDTA Tendances bien tre Documen
18. conduite elle ne se peint pas de vert elle est tout cela D clin es comme pour une personne les valeurs de l Auvergne qui sous tendent la fois sa nature profonde et son d veloppement venir sont La puret et une forme de naturalit bienfaisante Le bien tre l quilibre personnel la qualit de la vie La dimension humaine le partage le lien social L nergie la force la cr ativit Si ces valeurs sont ancr es dans l identit profonde de l Auvergne si elles sont justifi es prouv es par des faits et des preuves certaines sont moins per ues que d autres La naturalit par exemple est tr s spontan ment associ e l Auvergne ses espaces vierges Ses lacs etc En revanche les notions d nergie de cr ativit et dans une moindre mesure de cr ation de liens sont moins visibles pourtant les faits sont l elles doivent tre davantage valoris es L Auvergne pour tre attractive a besoin simultan ment de tous ces l ments qui se confortentet se compensent les uns les autres Elle a aussi besoin de plus de concertation dans les messages de communication de plus d attention port e aux valeurs diffus es par les diff rentes actions men es C est l objet d un travail collectif d laboration d une plateforme de marque partag e pour l Auvergne et d un guide de communication Ainsi l Auvergne se dote d un filrouge commun qui guide les acteurs publics et priv s dans leur choix Il donne
19. des bios Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE DIAGNOSTIC ET D G TS LUTTE Feuilles jaunes d color es ou gris tres se dess chant Toiles minuscules araign es Cotyl dons et jeunes feuilles transperc es de nombreux petits trous Fruits v reux Feuilles d vor es Arbres Asperge lis Pomme de terre ventuellement aubergine Pommier Plantes potag res Nombreux petits boucliers cireux brun tres o blanch tres Enduit noir tre fumagine Petits insectes brun rouge ou noir et blanc Feuilles d vor es Larves orange Insectes ray s Duvet blanc sur branches Chancres Plants d vor s la racine Pulv riser de l eau r guli rement sur le feuillage Produit base de soufre Arbres et arbustes huile de p trole en hiver Arroser si le sol est sec Filets anti insectes Plantes r pulsives Nichoirs m sanges Pi ges ph romones Bandes en carton ondul sur les troncs 37 Nichoirs m sanges Filets anti insectes Insecticide bio base de Bacillus thuringiensis Huile de p trole t hiver Huile de colza en toute saison Enl vement manuel Insecticide bio base de pyr thre Enl vement manuel Insecticide bio base de pyr thre Bande englu e sur le tronc Savon noir 15 g l d eau alcool br ler 0 15 l l d eau Carottes ou betteraves enfonc es dans le sol Entretenir son jardin les bons gestes Princip
20. handicap s A noter l ensemble de ces points concerne l entre prise son quipe mais galement ses fournisseurs En choisissant par exemple des produits issus de commerce quitable ou de circuits courts l entre prise au travers de sa politique d achat contribue un d veloppement quilibr 4 LES D MARCHES La d marche SA 8000 est un standard de responsabilit soci tale qui d fend des conditions de travail d centes permet aux entreprises de mieux communiquer avec ses parties prenantes http www sa intl org Par ailleurs ISO pr pare un nouveau r f rentiel sur ce th me iso 26000 Il est quasi certain que ces d marches actuellement plus adapt es aux grosses entreprises vont vivre une mutation pour s adapter des PME de service comme ce fut le cas des d marches qualit puis des d marches environnementales 5 UN DIAGNOSTIC RH RESSOURCES HUMAINES PAR VOTRE CCI Pour s y pr parer prendre contact avec votre CCI qui a cr une plate forme RH gt 5 conseillers sp cialis s sont mobilisables sur le territoire r gional sollicitez Le conseiller tourisme de votre secteur il vous orientera gt Ils proposent des diagnostics RH pour mesurer l organisation de l entreprise en termes de Gestion Pr visionnelle des Emplois et des Comp tences GPEC en termes de recrutement anticipation d finition pr cise du poste diffusion s lection en termes de motivation d
21. r serve que les industriels d clarent aupr s du minist re charg de la sant les dispositifs de traitement de l eau mis sur le march et que les installateurs gardent la disposition de l administration la liste des dispositifs install s Les usages professionnels et industriels l exception de ceux requ rant l usage d une eau destin e la consommation humaine Carnet d adresses amp r f rences Cabinets Coach Omnium amp Spas Caroline Marcoux http www coachomnium spa com caroline marcoux coachomnium spa com EUROSPA Marc P pi et Karen Luart http www eurospa org karen luart eurospa org DDASS Gilles Bidet http auvergne sante gouv fr dd_dr descri63 htm DO amp CO www doandco fr tatiana doandco fr T moins Alta Terra Virginie et St phane Serre http www altaterra cantal com Chateau d Ygrande Pierre Marie Tissier http www chateauygrande fr fr intro Auberge des Montagnes Vincent Fages http www auberge des montagnes com Domaine Saint Roch Bruno Promeyrat www hotel auvergne saintroch com La Picote Monsieur Brunet http lapicote free fr Huttopia St phane Duc www camping indigo com lire Grand Angle Hors S rie n 1 sur le bien tre dit par ODIT en avril 2006 Version t l chargeable 10 ou consultable au CRDTA http www odit france fr publication grand angle hors serie n C2 B01 Eco Guide 2007 manuel de gestion environnemen tale pour les h berge
22. Bio coh rence vient en compl ment du label AB il entend d fendre les sp cificit s de l approche fran aise dilu e dans le nouveau r glement europ en http vwww alternativebio2009 fr Leurs r seaux en Auvergne Auvergne Biologique cette association regroupe les 4 associations d partementales de producteurs en agriculture biologique AB Sur le site r gional figure un r pertoire des producteurs http www auvergnebio fr Auvergne Biologique a initi Auvergne Bio distribution en 2007 Il s agit d une soci t de type coop ratif qui regroupe des producteurs et des transformateurs bio de la r gion Auvergne sur une plateforme initialement d di e aux restaurants collectifs Avec ses 3 ans de recul la plateforme envisage de s ouvrir progressivement gt court terme elle pourrait livrer les restaurants commerciaux respectant ses contraintes de commandes type et conditionnement des produits et de livraisons d lais volumes tourn es gt moyen terme elle pourrait proposer d autres types de produits plus sp cifiques plus en phase avec des attentes de chefs de restaurants commerciaux Pour savoir comment travailler avec cette plateforme Nathalie CARTHONNET 06 33 86 00 51 info auvergnebiodistribution fr Tendances manger local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations ASTRID URSEM Auberge des Liard
23. Crit re 25 Formation du personnel Relations personnel entretiens individuels ann es comparaison ratios niveaux de performance Mise en place d un plan de formation du personnel d valuation prenant en compte des indicateurs de tablis dans La m me activit www tourbench info personnel actuel et nouveaux salari s pour faire comprendre la d marche d colabel et les objectifs Exemple de Plan d actions environnemental atteindre a QUOI COMMENT QUAND La formation ou sensibilisation doit avoir lieu nm RES x EEEN Objectifs ann e X Responsable Actions r aliser Situation actuelle D lai fr quence au moins une 1 fois par an E Ala r ST Valoriser de 5 Responsable Relev et valuer la conso Dans un d lai de 4 semaines apr s l embauche de D re n o e Fiche suivi conso remplir Non faite Tous les mois nouveaux salari s par exemple explication de la eo P i ui aei E alorIser de 0 esponsaDte ettre en place des pacs lt d marche dans le contrat de travail ee E Re a de ee vec D chetterie 3 mois Exemple de pr sentation type pour amorcer une r flexion R bL M d avec votre quipe et pr senter les diff rents labels Tri des d chets dans Taaa ar a Pas de tri quip P environnement femme poubelles de tri papier et 6 mois 100 des chambres de chambre information clients 1 seule poubelle Crit re 25 Mise en place de proc dures crites ou des IV TH MATIQUES ENVIRONNEMENTA
24. assurance tous risques ou bien hors transport ce dernier sera pris en charge par le transporteur ou le pr teur Quelles que soient les modalit s fix es entre les diff rents partis il est recommand de se procurer aupr s de la compagnie d assurance mobilis e un certificat d assurance et de le transmettre aux pr teur et emprunteur des uvres e Le droit d auteur L organisateur de l exposition doit prendre connaissance de l ensemble des r gles relevant du droit d auteur afin de lui viter d exercer cette activit dans l ill galit Ce qu il faut savoir est que l auteur de l uvre d apr s le code de la Propri t Intellectuelle b n ficie d une tr s forte protection de son uvre qu il en soit toujours le propri taire ou non Cette protection comprend des attributs d ordre intellectuel moral et patrimonial LE DROIT MORAL Le droit de divulgation Cela revient au droit de l artiste de d cider de la publication de son uvre aupr s du public Le mode de divulgation est aussi le choix de l artiste et un tiers ne pourra le modifier sans accord pr alable de l artiste Le droit de repentir ou de retrait Il s agit du droit de la part de l auteur de retirer un droit d exploitation accord ou de refuser de transmettre un client des uvres command es Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas Le droit
25. biodiversit r glementation et mode d emploi La charte LPO Principe 1 Je cr e les conditions propices l installation de la faune et de la flore sauvages En prot geant les oiseaux et la nature en veillant la tranquillit des lieux en particulier pendant les p riodes sensibles comme lors de la nidification et des grands froids En diversifiant et en am nageant selon la surface de mon Refuge des milieux favorables la faune et la flore sauvages comme une haie champ tre une mare ou un mur de pierres s ches En privil giant la plantation d esp ces qui poussent naturellement dans ma r gion plus r sistantes aux conditions climatiques et adapt es la faune locale Principe 2 Je renonce aux produits chimiques En adoptant un mode de gestion cologique de mon Refuge et en pr f rant les techniques manuelles de d sherbage ou les produits biologiques si une intervention est vraiment n cessaire En pr f rant les engrais naturels compost purin d ortie etc pour les plantes exigeantes comme les arbres fruitiers ou les l gumes en favorisant les associations de plantes et les auxiliaires r duisant les maladies Principe 3 Je r duis mon impact sur l environnement En adoptant des gestes cocitoyens notamment en utilisant raisonnablement les ressources naturelles comme l eau et en recyclant mes d chets m nagers Vivre au jardin une richesse gourmande Pri
26. c per les risques et les contraintes Cas particulier des baignades atypiques ou artificielles Elles ne correspondent ni la d finition d une eau de baignade pr vue par la directive europ enne 2006 7 CE l eau tant trait e ni aux r gles fix es pour les piscines l eau n tant ni d sinfect e ni d sinfectante En cons quence les r gles sanitaires ou de conception sont insuffisamment pr cises l heure actuelle L AFSSET a t saisie fin 2006 pour valuer les risques sanitaires associ s ces types de baignade et de permettre de les encadrer r glementairement Autre cas particulier la r cup ration des eaux de pluies L Arr t du 21 ao t 2008 relatif la r cup ration des eaux de pluie et leur usage l int rieur et l ext rieur des b timents autorise uniquement la r cup ration des eaux de pluies des toitures inaccessibles L Arr t du 17 d cembre 2008 relatif au contr le des installations privatives de distribution d eau potable des ouvrages de pr l vement puits et forages et des ouvrages de r cup ration des eaux de pluie fait obligation de d claration en mairie de rejet au r seau d assainissement L arr t du 21 ao t tablit la liste des usages de l eau de pluie autoris s les usages ext rieurs arrosage lavage des v hicules l vacuation des excr tas et le lavage des sols hors piscines titre exp rimental le lavage du linge sous la
27. co ts b R f rentiels 2 L colabel europ en a Proc dures et co ts b R f rentiels c Outils d accompagnement l colabel 3 Autres labels environnementaux Il D MARRER VERS UNE D MARCHE ENVIRONNEMENTALE 1 Les tapes d un programme environnement personnalis a Premi re approche b Formations adapt es du CRDTA et ou des CCI c Pr diagnostic environnemental d Diagnostic approfondi 2 Les aides financi res selon vos besoins a Financer une intervention externe en amont b Financer un investissement c Monter un dossier pour l colabel europ en d Financer votre audit de certification e Outils de travail disponibles au CRDTA IIl ECO COMMUNIQUER VALORISER VOTRE D MARCHE ENVIRONNEMENTALE 1 Eviter le green washing des co messages pertinents 2 Les outils de communication a Les employ s premiers relais b Les clients un fort impact c Fournisseurs et autres partenaires d Sources d inspiration 3 Mention Ecolabel europ en des objectifs sp cifiques IV TH MATIQUES ENVIRONNEMENTALES 1 La gestion des d chets a Le point sur la r glementation b Le r le de la collectivit locale c Vos obligations d Les types de d chets e La gestion des d chets dans votre tablissement comment s y prendre f M mo colabel europ en gestion des d chets 2 Le syst me de management environnemental a Le programme d actions b Le recueil de la
28. d art Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE I TENDANCES Nature partage et Inspiration FESTIVAL VOLCAN DE MONTPELOUX CHAQUE T LA CR ATION EN PLEINE RUPTION AU SEIN DU CRAT RE Office du Tourisme de la Vall e de l Ance Haut Forez Saillant 63 www vallee de lance com Il est organis par l Office du Tourisme de la Vall e de l Ance Saillant exactement dans le Parc Naturel R gional du Livradois Forez La magie du festival est en partie due la sp cificit de son cadre Car pour Le moins originale la sc ne de spectacles est mont e en plein c ur d un crat re d orgues basaltiques t moignage naturel d une ancienne chemin e volcanique Ce d cor naturel remarquable laiss l tat brut est donc d j par nature spectaculaire Par cons quent les spectateurs sont privil gi s puisqu ils peuvent profiter la fois du spectacle naturel du cadre et des propositions artistiques valoris es par cet environnement Par ailleurs les acteurs de ce festival souhaitent d velopper des actions tout au long de l ann e c est pourquoi en dehors du festival ils mettent aussi en place des balades th matiques ax es sur la g ologie Ces 2 exemples parviennent magnifier un lieu un site exceptionnel L artiste est stimul par la contrainte Tout lieu peut susciter la cr ation vote parc votre jardin votre terrasse 2 Des v nements cr atifs
29. et d cal s qui surprennent et am nent changer de regard LA TOURN E DES FERMES DAKOT PROXIMIT ET D CALAGE LE TH TRE L O ON NE L ATTEND PAS Compagnie Le Petit Th tre Dakot H risson 03 http theatre dakote free fr HE D D EH ES i E La compagnie Le Petit Th tre Dakot propose en plus de ses cr ations artistiques une autre forme de cr ativit en cherchant cr er de petites formes th trales Elle choisit donc de se produire dans des lieux insolites qui ont une toute autre vocation que celle de salle de spectacles Elle organise l v nement La tourn e des Fermes Dakot qui investit les fermes les unes apr s les autres dans une grange ou encore une cour En 2009 la compagnie a opt pour une tourn e des jardins et leur prestation artistique se d roulait au c ur des potagers 51 Cette envie de surprendre est aussi l expression d une volont de profiter de ces moments pour tisser des liens entre des mondes qui restent souvent parall les et qui se croisent peu en milieu rural des artistes des fermiers et un public 5e Il TENDANCES Nature partage et Inspiration GRAMERCY PARK HOTEL Concept hotelier Lifestyle New York http www gramercyparkhotel com lan Schrager pionnier du genre a une approche tr s singuli re qui consiste penser qu un h tel agr able ne se limite pas un b timent Il s ap
30. et du rayonnement national de l v nement ainsi que de son apport positif l image du Sancy La poursuite de l v nement est assur e sans remise en question en fin d dition Les financements cependant restent tre consolider L v nement Horizons en termes de d veloppement durable apporte beaucoup notamment dans les petites communes du Sancy qui b n ficient davantage des retomb es conomiques de l v nement et dont l attachement communes l v nement est marqu Horizons le tourisme auvergnat aux sommets de son art Des uvres d art en plein Sancy au d tour de promenades les touristes et amateurs d art d couvrent des cr ations originales dans ce splendide cadre naturel Jean Fran ois Dubourg maire de Mont Dore se r jouit du rayonnement d Horizons sur sa ville Autour des uvres les habitants se sont lt appropri s ce projet qui am ne les gens r fl chir sur le sens de la cr ation et sur la beaut B METTRE EN RELIEF LA DIVERSIT DU R SEAU DE LIBRAIRIES INDEPENDANTES LIRA AUTEURS NOMADES Auteurs nomades la litt rature d senclav e L association des libraires ind pendants d Auvergne LIRA invite depuis cette ann e des auteurs fran ais et trangers se d placer de librairie en librairie travers la r gion au cours de rencontres chaleureuses et conviviales Cette initiative manant d ind pendants attach s autant d fendre leur autonomie q
31. illustrateurs d crits litt raires et scientifiques auteurs de tapisseries ou textiles muraux de mosa ques et de vitraux Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas gt L AGESSA L AGESSA est charg e du recouvrement des cotisations sociales dues sur les revenus artistiques per us par les artistes auteurs qui ne rel vent pas de la Maison des artistes notamment les photographes les illustrateurs d crits litt raires et scientifiques les auteurs de logiciels et les auteurs d uvres audiovisuelles Les revenus artistiques des crivains donnent lieu cotisations aupr s de l Association pour la gestion de la s curit sociale des auteurs Contrairement ce qui se pratique pour les autres travailleurs ind pendants c est la structure appel e diffuseur de verser l AGESSA S agissant de la contribution diffuseur son taux est fix 1 de la r mun ration brute hors taxe vers e l artiste Par ailleurs les artistes auteurs sont assujettis la TVA au taux de 5 5 Cependant ils b n ficient d une franchise en base de 37 400 Ainsi si leurs recettes annuelles sont inf rieures ce montant ils sont exon r s de TVA moins qu ils aient choisi de la payer en renon ant la franchise Il sera donc n cessaire de demander l artiste de pr ciser sa situation au regard de la TVA a 5 LE B N VOLAT
32. j ai b n fici d une bonne m diatisation il y avait moins d offres qu aujourd hui et j avais investi en relations presse Les deux ann es suivantes ont t plus fluctuantes maintenant l activit se stabilise c est une niche en termes de chiffres d affaire mais c est un bon outil de fid lisation les clients sont fiers de conna tre le chef quand ils reviennent et c est un 115 l ment de valorisation pour les m dias les r seaux etc Vous avez une boutique Oui mais modeste mon sens il faudrait un espace d di et une personne responsable pour qu elle fonctionne vraiment Actuellement ce sont les confitures du ch teau qui se vendent le mieux des produits vraiment sp cifiques et plut t de l alimentaire Nous allons quand m me l toffer un peu www chateauygrande fr 116 L alimentation au c ur de nouvelles aspirations 5 PLUS DE PARTAGE ET DE LIENS Derri re cette tendance de fond se cachent tous les choix li s la proximit la recherche d un lien fort avec les producteurs qui donnent du sens Ce sont galement toutes les pratiques autour de la convivialit table la table d h tes Les potagers guid s tout le travail de lien au territoire pour une consommation identitaire la simplicit volontaire Extrait Article Globe veilleur Qualifi de tendance lourde de la soci t le d veloppement personnel et spirituel sera la reli gion du XXI si cle a
33. la diversit du r seau de librairies ind pendantes C Jardins en sc ne valoriser un r seau de jardins priv s et publics LE TOURISME Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE monde de sens et d motion que et thique d une part le d veloppement a mondialisation la crise financi re conomi durable l extension d internet et des r seaux sociaux d autre part d peignent un monde qui chan ge Le tourisme aussi change la fa on de consommer une destination la recherche de liens de sens dans les rencontres dans les visites dans les d couver tes tout bouge Ces pr occupations universelles d cologie de qu te de bien tre de retour aux sources de convivialit d envie de partager et de vivre une exp rience dictent notre mani re de vivre de nous nourrir et aussi d appr hender nos loisirs Le choix d une destination touristique est donc pleinement dict par ces nouvelles envies Ce nouveau monde en train de na tre est plus sensible la diversit la mixit la cr ativit et l ouverture vers les autres mais aussi plus soucieux de simplicit de vrai d quilibre d change d cologie de citoyennet Ce retour la simplicit la v racit de rapports humains sinc res et sans tape l il ce sens de l essentiel l Auvergne l incarne aujourd hui comme de tout temps Elle ne c de pas une envie soudaine de racheter sa
34. leur inventivit o leur c t pratique Jury compos principalement d industriels et sp cialistes du marketing Il ne s agit donc pas d un label officiel de qualit Saveur de l ann e Label non officiel Marque propri t de la soci t Monadia d livr e une s lection de produits agroalimentaires apr s d gustation par un panel de 120 consommateurs Gi je vous dis d veloppement durable quoi pensez vous Protection de l environnement respect de la plan te NSP ECOLOGIE Energie renouvelable propre conomie Avenir nouvelles g n rations Innovations technologiques transports maisons Energie solaire photovoltaique Recyclage tri Autre Salaires ch mage Pollution Arnaque mode Agriculture et moyens de production bio raisonn e Quelque chose qui dure projets produits Commerce quitable Pays pauvres en d veloppement Economie Attentions de tous les jours Eoliennes Equit meilleure r partition des richesses Qualit de vie Sant 28 24 CL 17 9 8 6 5 5 4 4 4 4 4 3 3 3 3 3 3 2 1 5 10 15 20 25 30 Source CREDOC Enqu te Consommation 113 114 L alimentation au c ur de nouvelles aspirations 4 PLUS DE BIEN TRE Apr s la d cennie du light et du r gime hypocalorique draconien bourr d interdits l heure est d sormais une approche plus globale du bien tre la fois
35. lui transmettant des informations par exem ple sous forme d e mailing informatifs travers un fichier qualifi ou d invitations nominatives format mail ou papier mais aussi en organisant des temps forts comme un rendez vous de pr sentation vernissage pour les expositions ou rencontres pour le spectacle vivant Dans le cas de l Hostellerie de la Maronne et de Josef Ciesla l artiste a un blog sur lequel est fait mention de sa pr sence l hostellerie de la Maronne L inverse devrait bient t tre vrai aussi une page d di e avec toutes les uvres et leur prix Pourquoi ne pas aussi profiter d un site Internet existant celui de l h bergeur et de l artiste pour ajouter des informations sp cifiques ce projet Certains optent pour une page compl tement d di e l artiste et quelques unes de ses uvres La presse peut aussi relayer l information De mani re g n rale la presse locale sera automati quement contact e Toutefois il ne faut surtout d autres ajoutent un encart la page d accueil pas se fixer de limites car plus on communique habituelle et mieux c est C est pourquoi il est envisageable de convier la presse r gionale voire nationale et M Decock organise un vernissage pour marquer le internationale en fonction du type d v nement lancement de l exposition En amont il a constitu son et d artiste fichier qualifi il a list les galeries les acheteurs d art le
36. montage de l op ration sera diff rent avec cette dimension collective B SE FAIRE ACCOMPAGNER 1 J affine mon projet Le premier temps de la r flexion est maintenant termin La phase suivante est un appui en provenance d experts dans le but d affiner ses id es Professionnels sp cialis s dans les domaines en question le travail des charg s de mission du TRANSFO consiste accompagner la mise en place des projets Ils apportent leur exp rience et leur savoir faire et aident aborder des points que l on n aura pas forc ment envisag techniques r glementaires Leur objectif est aussi d valuer la viabilit du projet et d apporter des a ajustements si n cessaire pour y parvenir 2 O trouver les ressources a Accompagnement de projet Les charg s de missions au TRANSFO sont sp cialis s par disciplines Flavie Lejemtel 04 75 28 76 30 flavie lejemtel letransfo fr Th tre danse arts de la rue et cirque Romain Bard 04 75 28 83 47 romain bard letransfo fr Musiques amplifi es Marc Mourguiart 04 73 28 87 94 marc mourguiart letransfo fr Musiques actuelles Martine Sabatier 04 73 28 83 48 martine sabatier letransfo fr Voix Musiques classique et contemporaine Fran oise Dubosclard 04 73 28 87 91 francoise dubosclard letransfo fr Politiques territoriales Livre et lecture 58 IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas b Les artistes L ANN
37. ouverture du spectacle une pr sentation de l organisation ou de l association du spectacle propos des artistes qui vont se produire ou de faire prononcer par une personnalit locale quelques mots d accueil et de bienvenue La pr paration d un temps d change rencontre avec les artistes l issu de la repr sentation peut galement tre mis en place Ce temps d change peut permettre la vente de disque livres ou autre ainsi que la signature d dicace par les artistes Cette rencontre doit cependant tre r fl chie et pr par e en amont avec les artistes a 3 L ORGANISATEUR OCCASIONNEL DE SPECTACLES D FINITION ET OBLIGATIONS Un organisateur occasionnel de spectacles est celui qui n a pas pour activit principale l exploitation de lieux de spectacles et la production ou la diffusion de spectacles l organisation d un spectacle est donc pour lui une activit inhabituelle Une loi du 18 mars 1999 relative la licence d entrepreneur de spectacles dispense les organisateurs occasionnels de la possession de cette licence et autorise l exercice occasionnel de l activit d entrepreneur de spectacles dans la limite de 6 repr sentations annuelles par toute personne physique o morale qui n a pas pour objet ou pour activit principale l exploitation de lieux de spectacles la production ou la diffusion de spectacles les groupements d artistes amateurs b n voles faisant occasionnellement appel un ou p
38. par une trame bien r fl chie pour tre certain d aborder l ensemble des sujets sans oubli Par ailleurs ce recueil d informations doit aussi tre envisag aupr s de la client le directement Pour cela il existe un certain nombre d outils qui lui permettent de retranscrire son ressenti Le questionnaire Le Livre d or Les r seaux sociaux un jeu concours pour inciter les visiteurs s exprimer etc Je m appuie sur mes objectifs initiaux Pour valuer son action il est important de faire un rapprochement avec les objectifs fix s initialement Cela revient reprendre point par point ses objectifs et mesurer le niveau d atteinte de chacun d eux d o l importance en amont de se fixer des objectifs pr cis et quantifiables titre d exemple pour mesurer la r sonance d une action il est int ressant de comptabiliser le nombre d articles de presse le type de m dia qui a relay l information Si l objectif tait de conqu rir de nouveaux publics recenser le nombre de ces publics atteints par le biais de l action Pour cela penser mettre en place un syst me de comptage 5 Je soul ve des pistes d am lioration Enfin le d pouillement des avis permet de mettre en vidence tant les points positifs de l action qu il sera int ressant de renforcer que les points n gatifs qu il faudra am liorer Par ailleurs son propre ressenti doit bien videmment tre pris en compte Il viendr
39. partager ces convictions avec ceux qui y sont ouverts http www lesliards com Tie L alimentation au c ur de nouvelles aspirations Se LES PRODUITS SOUS APPELLATION D ORIGINE PROT G E AOP label europ en AOC label fran ais Pour l AOP c est un savoir faire ancien et localis qui est vis Cette mention identifie un produit sp cifique et typique li son origine g ographique L Appellation d Origine Contr l e implique un lien troit entre produit territoire et savoir faire L AOC peut concerner les vins les produits laitiers les fruits et l gumes les olives et huiles d olive les volailles les miels En Auvergne 5 fromages sont AOP le Cantal le Salers le Bleu d Auvergne la Fourme d Ambert et le Saint Nectaire Chacun est d fendu par un syndicat lesquels se sont rassembl s dans l Association Fromages d Auvergne pour assurer une promotion collective et initier la Route des fromages AOP d Auvergne www fromages aoc auvergne com Sous AOC galement la lentille verte du Puy et le B uf Fin gras du M zenc www lalentillevertedupuy com WwWw aoc fin gras du mezenc com Et depuis 2010 les C tes d Auvergne ont rejoint les viticulteurs de St Pourcain La f d ration des viticulteurs du Puy de D me http www fedeviti puydedome com Le syndicat Aoc St Pourcain WwWw vin saint pourcain fr 4 LES PRODUITS SOUS IGP L Indication G ographique Prot g e IGP est un signe officie
40. peuvent ainsi prendre un volume et des couleurs int ressantes suivant la p riode comme au printemps par exemple avec les pissenlits 35 L animal Le jardin est un ensemble vivant l entretenir favorise la pr sence d une bonne biodiversit Plus le jardin compte d esp ces v g tales plus nombreuses seront les esp ces animales limitant ainsi les risques qu une population prenne le pas sur l autre l existe un pr dateur pour chacune des esp ces Sur ce principe il est judicieux d attirer dans son jardin les pr dateurs des insectes ou animaux ind sirables Les oiseaux tels que les m sanges hirondelles se nourrissent d insectes et de larves les chouettes de rongeurs limaces et sauterelles les h rissons de limaces et d escargots Pour les attirer il suffit de leur installer une mangeoire un abreuvoir et un endroit pour nicher ou se cacher Entretenir son jardin les bons gestes Un certain nombre d insectes sont d excellents auxiliaires pour Le jardinier Ce sont eux qui l aideront gratuitement et cologiquement r guler les populations de ravageurs rien ne sert de les traiter syst matiquement et polliniseront les fleurs et les l gumes L encore il existe plusieurs fa ons de les attirer v g taux vivants ou morts pailles fagots tas de pierre 36 L eau Partant du principe que l eau est un bien puisable il convient d en limiter au maximum l usage et de l utiliser b
41. physique et de sant Dor navant plus d interdits absolus mais une recherche d quilibre d harmonie en tout de la mesure Tendances alimentaires En mati re de tendance la jeune soci t Nutrifizz fait son march en humant l air du temps lors du SIAL Ce salon International de l alimentation se tient Paris tous les 2 ans et pr sente tout ce qui se fait de nouveau en mati re d aliments Cinq tendances semblent durablement se d marquer la sant le plaisir la naturalit la praticit l thique Ces tendances constituent la fois une grille de lecture de l innovation en mati re de produits de grande consommation mais pourquoi pas aussi de guide pour l laboration d une carte de restaurant attractive www nutrifizz fr Dans un contexte m diatique intense avec le programme Plan National Nutrition Sant cette sensibilit l importance du bien manger pour la sant croit de mani re tr s forte Le Minist re de la Sant au travers du site www mangerbouger fr et des diff rentes ditions campagnes et promotion de nouveaux gestes En la mati re le principe de base est celui de l incorporation ch re aux sociologues il repose sur l association inconsciente par le consommateur des qualit s premi res de l aliment consomm des promesses ou menaces pour son corps l nergie du b uf la puret du lait alimentaires r pand la bonne parole Elle se traduit par la
42. que a marchera Dans cette rencontre j ai t sensibilis e la complexit des d marches administratives pour recevoir des artistes dans le g te Contrat de b n volat GU 50 Je ne sais pas encore et je vais tudier tout a e Le versement des cotisations gt Pour le spectacle vivant le GUSO Le Guichet unique Guso www guso com fr permet aux organisateurs occasionnels de spectacles vivants qui n ont pas pour activit principale l exploitation de lieux de spectacles et la production ou la diffusion de spectacles d effectuer toutes les d marches n cessaires l embauche d artistes et de techniciens du spectacle vivant Toute personne physique particulier commer ant profession lib rale et toute personne morale de droit priv association entreprise comit d entreprise h tels restaurants ou de droit public collectivit territoriale tablissement public service de l Etat qui n ont pas pour activit principale ou pour objet l exploitation de lieux de spectacles de parcs de loisirs ou d attraction la production ou la diffusion de spectacles emploient sous contrat dur e d termin e des artistes du spectacle article L 7121 2 du code du travail ou des techniciens qui concourent au spectacle vivant Un formulaire unique et valant contrat de travail le carnet Guichet unique permet de r gler en une seule fois et un seul interlocuteur toutes les cotisat
43. questions pouvant tre pos es aux clients IV TH MATIQUES ENVIRONNEMENTALES manuels li s aux questions environnementales d veloppement durable choix de tenue vestimentaire Sujets traiter respectueuse de l environnement etc Economies d nergie Exemples d outils de suivi pouvant tre mis en place Economies d eau Kaa Check lists fonctions ou service femme de chambre Substances chimiques jardinier accueil cuisine reprenant le travail attendu D chets Exemple de note de services pour le personnel Des aides m moires aux points strat giques LaClef Verte vestiaires cuisine Exemples d actions en faveur de l environnement Dossier environnement disponible par tous aupr s du personnel classeur intranet qui reprend les diff rents items L td l Formation information formation l utilisation de la d marche suivi conso d chets co achats co 18 5 s oa ne lutins des produits d entretien au d veloppement durable communication maintenance TD EE nn d chets Tableau de bord ou d indicateurs de responsabilit eneee PA AB PAEtse One Mise en place de procedures pour les op rations de sociale service ou th me consommation d eau Lu one mit AE QUESNOnE maintenance proc dures d achats prenant en compte d nergie produits chimiques pour valuer la ARE lt des crit res de durabilit et tra abilit d marche et les r sultats comparaison mois
44. r r ET E Ke ENV SE L TE e iot d PE se a BY ba E i DUT T e mA 1e Vos US y a Ag it A 7 j n Ae Em mi Ver mal a CR Fr LEE j opr g Ce f K 1 LA GESTION DES D CHETS Cette partie repose sur l intervention de B n dicte Friot conseiller environnement pour les CCI du Puy de D me a Le point sur la r glementation Le contexte r glementaire g n ral prend appui sur Le code de l environnement Partie l gislative Livre V Titre IV Chapitre 1 Elimination des d chets et r cup ration des mat riaux articles 541 1 541 50 et Livre Titre Il Chapitre IV Autres modes d information article 124 1 Ce code d finit les priorit s de gestion des d chets pr voit la r alisation de plans d partementaux et r gionaux pour l limination des d chets pr sente la nomenclature des installations class es pour la protection de l environnement et pr voit la d livrance d autorisations pr alables pour l exploitation d unit s de traitement ou stockage des d chets Il d finit galement La responsabilit du producteur l obligation de valorisation mati re o nerg tique le tri la source amp la r duction la source la qualit du repreneur qui doit tre agr contrat avec le d tenteur la tra abilit sur traitement d chet Un d cret sur la conception des emballages vise la r duction des volumes d finit les seuils sur quantit mati r
45. rouge 2 cuill res soupe de miel Recette mettre la sauge et la cannelle dans le vin rouge laisser mac rer 10 jours puis filtrer ajouter le miel laisser encore reposer 8 jours avant d gustation LIQUEUR DE THYM Ingr dients 2 poign es de thym 1 gousse de vanille 1 zeste de citron bio 1 demi litre de cognac 1 litre d eau et 600 g de miel Recette faire mac rer le thym avec la vanille et le citron dans le cognac pendant 15 jours Faire chauffer l eau et ajouter Le miel M langer et laisser refroidir Filtrer le cognac et y ajouter le sirop M langer Laisser reposer avant de consommer Conservation 1an Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE 46 Carnet d adresses amp r f rences Paysagistes T moins Eliane AUBERGER paysagiste Sycomore Architecture 62 avenue Edouard Michelin 63100 Clermont Ferrand T l 04 73 92 44 88 sycomore auberger wanadoo fr eliane auberger wanadoo fr Alain BOZZO chambres d h tes Domaine de Gaudon 63520 Ceilloux www domainedegaudon fr domainedegaudon wanadoo fr Jean Claude CHATILLON paysagiste consultant paysage Patrimoine et cadre de vie Orphanges 63320 St Floret T l 04 73 96 79 11 06 82 07 57 95 chatillon_ consultant _paysage yahoo fr Claudine CORMERAIS chambres d h tes A la Buissonni re 43410 L otoing http alabuissonniere com alabuissoniere hotmail fr Emmanuel PENICAUD chambres d h tes Ch teau de Saint Saturn
46. traitement contemporain des espaces mm F _ cl A ce stade le projet a t valide par la DRAC l Architecte des B timents de France et l Architecte des Monuments Historiques et a obtenu le soutien de la R gion Auvergne et du Minist re de la Culture L id e est de r aliser diff rentes tranches de travaux pour taler la charge financi re associ e tout en r alisant chaque tape un progr s imm diat et si possible permettant une ouverture partielle au public Plus de renseignements www chateaudesaintsaturnin com 28 Composer son jardin tout un art partir de l la question principale se po ser est La suivante sur quel s l ment s intervenir La r flexion doit alors se faire en termes d axes d chelles et de dimensions L ELEMENT VEGETAL C est l l ment principal du jardin C est lui qui lui donnera ses couleurs ses senteurs et son volume Mieux vaut donc ne pas se tromper lors du choix des arbustes plantes et arbres Comme tout autre l ment le jardin appartient un environnement bien pr cis et il faut bien videmment le prendre en consid ration lors de la phase de cr ation L altitude l orientation du jardin l ensoleillement sont autant de points ne pas n gliger Autre l ment de taille l entretien des v g taux est lui aussi prendre en compte d s le d part pour viter la surcharge de travail v Astuce pratique La prairie fl
47. visites de parcs et jardins et le spectacle vivant 15 compagnies investissent les 13 pars et jardins autour de spectacles V ritable projet commun Jardins en Sc ne unit les acteurs du territoire r gional Le CRT Picardie CR de Picardie et les associations Spectacle vivant en Picardie et Parcs amp Jardins Il est aussi tout fait possible de s unir entre acteurs issus de secteurs d activit s diff rents L id e est donc de proposer une initiative com mune en r alisant un projet qui m le les deux activit s Ce croisement d activit s est tr s ten dance et attractif Carnet d adresses amp r f rences Professionnels du tourisme et de la culture LE TRANSFO 7 All e Pierre de fermat CS30518 63178 Aubi re cedex T l 33 0 4 73 28 83 40 www letransfo fr Natacha Sibellas adjointe au directeur charg e de la communication et de l information T l 04 73 28 87 90 natacha sibellas letransfo fr V ronique Delarbre administratrice T l 04 73 28 83 40 veronique delarbre letransfo fr Flavie Lejemtel Th tre danse arts de la rue et cirque T l 04 73 28 76 30 flavie lejemtel letransfo fr Romain Bard Musiques amplifi es T l 04 73 28 83 47 romain bard letransfo fr Marc Mourguiart Musiques actuelles T l 04 73 28 87 94 marc mourguiart letransfo fr Martine Sabatier Voix musiques classique et contemporaine T l 04 73 28 83 48 martine sabatier letransfo fr Fran oise Dubosc
48. 11 gt Engager son tablissement dans un colabel journ es Cessions venir dans le cadre du plan de formation du CRDTA 17 octobre et 07 novembre 2011 Clermont ferrand c Le pr diagnostic environnemental gratuit Les chambres de commerces proposent l intervention gratuite d un conseiller environnement Il permet de r aliser soit un audit r glementaire environnemental de votre tablissement point de situation au regard de la r glementation sous forme d une synth se visuelle des points et pratiques am liorer co cartes tat des lieux au regard d un colabel europ en ou cl verte soit une transposition du dispositif Objectif Economie d Energie des PMI centr sur la consommation nerg tique audit de factures nerg tiques et premier plan d action Ce premier pas permet d j de visualiser les priorit s de l entreprise et de programmer les phases principales de son plan d action Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE d Le diagnostic ou accompagnement plus approfondi Suivant les r sultats du pr diagnostic une intervention compl mentaire peut s av rer n cessaire gt soit pour la mise en place d un Syst me de Management Environnemental gt soit pour l approfondissement d un point technique sp cifique pour l nergie en particulier Possibilit de prise en charge du diagnostic par l ADEME de 50 70 Un cahier des charges type
49. FC ou encore mieux LED selon les cas Choisir des appareillages m nagers A minimum Appareillage B et sup rieurs interdits la vente en 2014 Groupe de ventilation Micro WATT Comparateur d achats des produits respectueux de l environnement www guide topten com Sobri t sur l eau R duire le nombre de point de puisage et penser la r cup ration d eau de pluie pour Les sanitaires l arrosage des espaces verts Le lavage des sols Le lavage des v hicules etc Stopper les fuites Limiter les d bits Possibilit d installer des limiteurs de pression 3 bars 60 Chasse d eau double d bit r gl e 20 urinoirs Installation de mousseurs 4 Installation de mitigeurs but e bas d bit 80 Bouton poussoir Installation d appareils de classe A minimum lave linge lave vaisselle IV TH MATIQUES ENVIRONNEMENTALES d Mesurer ses consommations Plusieurs moyens et outils pouvant tre utilis s Enregistreur de temp rature et humidit 60 Factures Compteurs et sous compteur Eau par zone eau chaude avant chaque ballon 60 Compteur lectrique 80 clairage int rieur clairage ext rieur Zone d activit cuisine zone de sommeil administration ventilation Compteur d nergie 500 Contacts utiles Bureau d tude Enthalpie Malvi res Bureau d tudes thermiques www enthalpie org http www
50. Formation 2 l colabel et ou SRSRMUIEN du groupe de travail 2 candidats un colabel Etc 10 I CO COMMUNIQUER valoriser votre d marche environnementale 1 VITER LE GREEN WASHING DES CO MESSAGES PERTINENTS Communiquer sur des faits concrets et de r els engagements Ne pas abuser d arguments cologiques Expliquer de mani re simple et pr cise m me technique Bannir le ton moralisateur viter toute forme de contrainte Expliquer le b n fice pour l environnement notamment par rapport aux comportements attendus gt Privil gier l approche p dagogique et ludique gt D cliner les messages sous plusieurs formes Penser tout le monde les clients bien s r mais aussi les salari s les fournisseurs les partenaires Choisir le bon lieu pour le bon message faire en sorte que le message soit visible par tous par exemple privil gier les endroits o le client est susceptible de s attarder chambre table du petit d jeuner accueil Quels supports pour quel message Message Informatif thique Formel Valoriser ses engagements et efforts Exemples Interne Affichages charte interne codes Lettre d information note de service Newsletter etc Externe Site internet newsletter blog CD Affichages engagement charte logos label Choix des outils internes carte brochure menu en papi
51. GUEUX TRELISSAC T l 05 53 04 17 71 www francoistourismeconsultants com HEADLIGHT Anne Beaufreton cabinet conseil positionn sur l accompagnement l obtention de l colabel europ en TA rue de Courtalin 77 000 Magny le Hongre T l 0160 42 71 71 www headlight fr GROUPE ACTION CONSEIL Vincent Vilain sp cialis H tellerie de Plein Air 2296 avenue Pierre Beno t 40990 Saint Paul les Dax T l 06 86 88 29 30 Cr dits photos Banque d images du CRDTA Phovoir Fotolia com T moins labellis s H tel R gis et Jacques Marcon Ecolabel europ en Auberge des Liards Clef Verte Camping Vaubarlet Clef Verte Camping Murol Clef Verte lire Le Globe Veilleur Ecolabel europ en www eco label com Clef Verte www laclefverte org Green globe www greenglobe org Fiches techniques t l chargeables sur www magestour com Communiquer sur sa d marche environnementale Sensibiliser pour faire agir mes clients Sensibiliser pour faire agir mon quipe CRCIA Nord Pas de Calais Espace entreprise Mission environnement www strategie environnement fr www strategie environnement fr Outils Qui etes vous Hotel Restaurant Guide des labels et de la consommation responsable en t l chargement sur www mescoursespourlaplanete com Acheter et Consommer mieux Guide ADEME en t l chargement sur www ademe fr visiter pour s inspirer EN FRANCE ET EN EUROPE H tel La P rouse www
52. IL fixe Les normes d hygi ne et de s curit applicables aux piscines et baignades am nag es gt L arr t du 7 avril 1981 fixe les dispositions techniques modifi par l arr t du 18 janvier 2002 LES PISCINES La r glementation en cours de r vision ch ance 2009 2010 n est pas aujourd hui adapt e pour les piscines familiales et m dicales est bas e sur la taille des bassins plus que sur la fr quentation de l tablissement axe les recherches analytiques sur la qualit de l eau des bassins est centr e sur les risques sanitaires pour les baigneurs Les obligations de moyens une eau filtr e d sinfect e amp d sinfectante une eau du r seau AEP bac tampon des produits et proc d s utilis s issus de la liste des produits autoris s un apport d eau de 30l par jour et par baigneur une reprise des eaux au 50 par la surface une vidange annuelle pour les piscines saisonni res Piscines gt 240m de contraintes notamment en terme de temps de recyclage calcul galement en fonction de la fr quentation Pour les campings il est pr f rable de respecter les temps de recirculation tels qu impos s aux piscines gt 240m 93 Les obligations de r sultats garantir Les conditions d hygi ne et de s curit des usagers respecter Les normes physiques bact riologiques chimiques gt assurer un traitement correct d s
53. ITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations 2 PLUS DE NATURALIT Dans la continuit des tendances voqu es pr c demment quelques concepts montants m ritent pr cisions a De saison et local r humaniser l acte de consommation Consommer des produits hors saison c est l assurance soit d un cycle de production non naturel ex culture sous serres soit d une zone de production loign e quoi qu il en soit c est tr s consommateur d nergie et tr s producteur de gaz effet de serre Les circuits courts Le sont la fois en termes de distance de la zone de production fourchette de 80 km maximum et de nombre d interm diaires 1 maximum Remettre la saison et la proximit au c ur de la carte d un restaurant c est accepter de faire varier r guli rement ses menus d adapter ses propositions aux disponibilit s c est donc plus d inventivit dans la cuisine plus de recours des produits m connus et une cuisine plus cr ative qui sensibilise et parfois r duque les client les et leur dit l int gration locale du restaurant dans lequel ils mangent L int r t est triple il s agit la fois de d velopper son territoire de r duire les pollutions et aussi de singulariser l exp rience v cue par ses clients Les fili res sont souvent organis es par territoires de dimension variable avec diff rents profils d adh rents UNE CHELLE R GIONALE POUR
54. LES Exemple de tableau de suivi Indicateurs ENERGIE AE DE SUIVI DES CONS TIONS D NERGIE ACHE DE SUIVI DES CONSOMMA TIONS D i Eg Source lectricit gaz de ville Soupe I R s paie berg Lsage Sembnres Ettpes Ciara L oeil jur pour a a pra 3 GESTION DE L NERGIE ET DE L EAU Contexte Les ressources naturelles s puisent Le prix des nergies fossiles s envole Et l activit humaine provoque un changement significatif du climat qui a d ores et d j des r percussions importantes La communaut internationale s est donc fix comme but de diviser par deux les missions de gaz effet de serre avant 2050 l chelle de la plan te La r duction des consommations nerg tiques li es l utilisation des b timents est l une des principales priorit s La r habilitation thermique et nerg tique des b timents est donc le chantier majeur pour r duire significativement la contribution des structures d accueil touristique Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE Quelle marche suivre pour la r habilitation nerg tique de mon b timent et la limiter ma consommation nerg tique Pour y voir clair dans la gestion de l nergie d un b timent il vaut mieux distinguer les MOYENS de la produire et les USAGES pour lesquels on en a besoin 1 Je r duis mes besoins la source Comment r pondre ces besoins de la fa on la moins impactante sur l environnement
55. Nattitude tendances bonnes pratiques et t moignages Tome 1 Nattitude tendances bonnes pratiques et t moignages Collection Nattitude Tome 1 AUVERGNE NOUVEAU MONDE TOURISME SOMMAIRE Ecolabels mode d emploi j Accueillir des artistes de l envie p 3 24 p 25 46 la r alisation p 4 74 Tendances bien tre Tendances manger local D 27 sainement amp intelligemment p 99 119 Ecolabels mode d emploi Les grands principes m thodologiques et les appuis mobilisables Document de synth se Journ es techniques Ecolabels dit par Le CRDTA 2011 Beaucoup de bonnes raisons pour bien faire ous avez d cid d atteindre un colabel C est un choix ambitieux il vous am nera traiter de nombreuses questions qui mobilisent beaucoup de partenaires autour de vous et deman dent de multiples comp tences un peu de temps etc Ce document bas sur l exp rience d un premier groupe d h bergements motiv s rassemble les ressources dont vous aurez besoin au fur et me sure de vos progr s D autres parties viendront s ajouter au fil de l avancement des projets N h sitez pas galement consulter Le r pertoire collaboratif assembl par les prestataires du r seau Nattitude Ce mode d emploi est volutif et collaboratif LES RESSOURCES CHOISIR QUEL COLABEL MODALIT S CRIT RES ET TARIFS 1 La Clef Verte a Proc dure et
56. OEO Nombre de chambres 20 A 2 Nombre de chambres en r novation ja COUT DE CREATION D UN SPA EXEMPLE 2 2 i 2 Nombre de jours ouverts LEE T E E M me TENETE ac ee Dur e moyenne s jour 1 5 Accueil boutique 15 1 15 ON E E E PODANA 15 1 15 Nombre de clients sur l ann e 10 065 Sauna 15 1 15 Spa circuit de massage bassin 20 1 20 Douche sensorielle amp glace 4 1 4 H tel Urbain H tel Resort Surface repos 30 1 30 ee a m o hi 15 personnes a CAPTURE HAUTE 6 9 20 25 vo Douches vestiaires 3 4 12 WC 4 5 5 14 Surface flux 30 0 5 1 36 Prix au m HT 2 000 2 250 2 500 TOTAL 421 400 474 075 526 750 A EE a SL AT PS a aaa ES D S UE a aa a E a ETS a UNS PR a a aan a n aa a a E CS a DD a a a i a a a a CE ES OS a A Cas pratiques espace fitness Equipements d pass s plus en phase Les difficult s T rois propri taires d h bergements Nattitude avec les attentes des client les tr s art de vivre du L externalisation des soins pr sente plusieurs ayant r cemment investi dans un espace bien ch teau ils devenaient un frein au d veloppement de difficult s tre Spa ont t invit s partager Leur exp rience l tablissement Le propri taire a donc cr l tage n cessite d atteindre un seuil critique pour fid liser du ch teau un hammam une salle de d tente et une une partenaire esth ticienne cabine de soins dont il a soign la d coration pose des probl mes de gestion de son emplo
57. OFFRES POUR QUELS PROFILS Des attitudes variables li es au degr de pratique pour le n ophyte on privil giera les offres d couverte avec un prix d appel et une s curisation un accompagnement lors de la consommation pour le passionn on proposera plus d originalit de sp cificit correspondant au lieu des offres fid lit pour Le curieux qui essaie tout une fois on d veloppera des forfaits d couverte panachant plusieurs activites enfin pour le sportif des offres couplant fitness et Spas un environnement architectural plus sobre Qui oriente l offre et inversement Karen Luart fait quant elle le point sur l volution permanente de l offre en toffant son propos notamment avec la pr sentation de quelques quipements chiffr s LA CONSTRUCTION ET LE DESIGN DU SPA plus soign une ambiance relaxante ax e sur l quilibre la rupture avec le monde ext rieur Pour Caroline Marcoux le design l am nagement des espaces en tenant compte des flux de circulation de clients les ambiances cr es par les senteurs les jeux de lumi res et de couleurs le fond sonore sont autant Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE d l ments qui contribuent l impression g n rale donn e au client et qui lui Inspireront une d tente physique mais aussi intellectuelle 81 Selon Luc Demolombel architecte sp cialiste des Spas le risque c est la duplication d tablissem
58. R P Soissons Etablissements repr sent s Alta Terra Auberge des Montagnes Ch teau d Ygrande Domaine des Gandins H tel R gis et Jacques Marcon se Pipe il RATES T ki TH i PPEEIYTE LLY LOT PAIN Er LEE TT UNS aitt 1l A pat a t a Jora En L i r g T x T Ti a EE n m ap r i P L ie i z FF 3 a i p a 5 a d F h Fa T 1 Us Le i j f a un s t F HE b h L d r r P j n T F 4 A Re gH PT fer N Lu i a Tendances manger local sainement amp intelligemment Document de synth se dit par le CRDTA 2011 Experts T moins Anis Etoile Nathalie Gr goris Le Bourbon Andr Perrier NUTRIFIZZ Emilie Chans aume Ch teau d Ygrande Pierre Marie Tissier et David Martin et C line Gryson Auberge Les Liards Astrid Ursem Domaine de la Siarre Jean Marc Pourcher 100 a mondialisation la crise financi re D conomique et thique d une part l extension d internet et des r seaux sociaux d autre part d peignent un monde qui change Le tourisme aussi change la fa on de consommer une destination la re cherche de liens de sens dans les rencon tres dans les visites dans les d couvertes tout bouge Ces pr occupations universelles d cologie de qu te de bien tre de retour aux sources de convivialit d envie de partager et de vivre une exp rience dictent notre mani re de vivre de n
59. T Jeune Loire et ses rivi res Nombre de couverts 40 Menus de 22 56 Proportion d achats directement aux producteurs 90 Andr Perrier 90 d achats faits aupr s de producteurs vous tes un puriste vous faites a temps plein Puriste peut tre passionn en tout cas c est s r Cela ne s est pas fait du jour au lendemain Ce qui prend du temps c est le d marrage d une relation pour trouver le s bon s producteur s du bon produit de s entendre sur le type de produits recherch s le mode de fonctionnement etc Ca prend du temps L alimentation au c ur de nouvelles aspirations mais c est aussi du bon temps Et puis mon temps jai appris le g rer avec ce fonctionnement l Moi je visite je rencontre je pose des questions ensuite je deviens conteur avec mes clients Je fonctionne comme cela toute l ann e m me en vacances je suis un d couvreur gourmand cette ann e nous sommes all s Gu rande pour rencontrer en direct mon producteur de fleur de sel Je dois dire que a change tout les clients sont extraordinairement contents et la relation que l on noue avec eux pour la cuisine comme pour le service est beaucoup plus riche plus personnelle Nous faisons ainsi du tourisme dans l assiette Un article fid le Est ce que ca change votre fa on d exercer votre m tier Oui assur ment je suis obligatoirement cr atif lt Avant on faisait les menus pour un
60. UAIRE DES PROFESSIONNELS DU TRANSFO Le projet tant clairement d termin il est maintenant question de trouver les artistes Notons que souvent les ressources sont le r sultat de rencontres tre l affut des activit s culturelles expositions manifestations etc qui se d roulent sur son territoire est sans doute le meilleur moyen de tisser son propre r seau en d couvrant les uvres et aussi les artistes Toutefois pour ceux qui n ont pas eu l occasion de rencontrer des artistes en phase avec leur projet une base de donn e est consultable librement sur le site internet du TRANSFO Il s agit de l annuaire des professionnels Sont donc r pertori s des artistes du spectacle vivant et seront aussi bient t disponibles des contacts d artistes plasticiens http www letransfo fr annuaire list LES SERVICES PUBLICS D DI S Pour information ci dessous des structures publiques de la r gion Auvergne d di es au domaine de la culture Conseil R gional d Auvergne le service culturel T l 04 73 3185 85 http www auvergne org conseil regional html DRAC Direction R gionale des Affaires Culturelles T l 04 73 4127 00 http www auvergne culture gouv fr FRAC Auvergne Font R gional d Art Contemporain T l 04 73 90 50 00 http www fracauvergne com Conseil G n ral de l Allier service culture T l 04 70 34 40 03 http www allier fr Conseil G n ral du Cantal service culture T l 04 71 46 59 92 directio
61. UES ENVIRONNEMENTALES Ne pas m langer les d chets dangereux avec les d chets non dangereux mettre un bordereau de suivi des d chets dangereux BSDD sauf si d p t en d chetterie ou remise un collecteur de petites quantit s Pour les huiles alimentaires usag es le recours un collecteur est implicitement obligatoire d Les types de d chets Les d chets assimilables aux d chets m nagers Des emballages Cartons caisses boites de conditionnement Plastiques bouteilles produits d accueil portions individuelles M taux boites de conserve a rosols barquettes aluminium Verre bouteilles bocaux Bois cagettes Des papiers Journaux magazines papiers administratifs enveloppes Des d chets fermentescibles ou organiques D chets alimentaires pluchures restes de repas D chets d entretien des espaces verts gazon feuilles Des textiles Nappes draps chiffons Et textiles sanitaires essuie tout nappes papier Des d chets ultimes Pots de yaourts nappes papier souill es Les d chets sp ciaux dangereux pour l environnement Des r sidus de bacs graisse Mati res de vidange extraites des s parateurs graisses Des huiles alimentaires usag es Huiles de friture Des produits dangereux Produits chimiques d entretien Solvants peintures vernis pots de peinture vernis vi
62. a galement alimenter le bilan Cette ultime phase vise donc d finir des pistes d am lioration concr tes Il s agit de s appuyer sur les informations recueillies pour d gager quelques grands axes strat giques qui peuvent tre d am liorer la communication aupr s des relais la visibilit des uvres 69 70 IV IMAGINER des perspectives communes FAIRE EXISTER LA COMMUNAUTEDE COMMUNES ET LA COHESION RENCONTRES ARTS NATURE SANCY 63 par Nathalie Fort Cr er du lien v nement situ au c ur du Parc naturel r gional des Volcans d Auvergne PNRVA cr en 2007 au sein de la Communaut de Communes du Massif du Sancy compos e de 11 communes dont les principales sont La Bourboule Le Mont Dore Besse Super Besse St Nectaire La cr ation d v nementiels sp cifiques au territoire communautaire et stipul e dans les statuts de l Office de Tourisme du Sancy L objectif est donc de r aliser un v nement communautaire faire participer d une fa on galitaire petites et grandes communes en impliquant les lus et les acteurs du territoire prestataires h tels restaurants et agriculteurs Un parti pris nature Inscrites dans une d marche environnementale les uvres r alis es pour Horizons utilisent des mat riaux respectueux de l environnement et ou des nergies renouvelables comme l olien ou le solaire afin de pr server les sites qui b n ficient pour la plupart de mes
63. a les points cl s aroline Marcoux rappelle que prendre la d cision d quiper son tablissement d un Spa implique de ma triser plusieurs enjeux marketing c est un levier de diff rentiation de son offre d image et de fid lisation Pour Olivier Petit du cabinet BDO MG H tels et Tourisme le Spa est devenu tellement Incontournable qu il s agit aujourd hui surtout d viter de se d marquer n gativement de sa concurrence en n en proposant pas commerciaux c est une source de diversification un produit d appel pour de nouveaux march s et de nouvelles cibles financiers c est un investissement et un fonctionnement qu il faut ma triser pour le rentabiliser L existence d un Spa pour un h bergement touristique constitue un crit re de choix pour 93 des clients alors que seulement 34 le consomme effectivement contribue augmenter la dur e du s jour am liore le taux d occupation entre 0 5 et 2 points de plus Rep res 1800 2500 m hors gros uvre 1500 m avec pour un Spa 5 10 du chiffre d affaire en charges d exploitations eau lectricit personnel commercialisation R GLE N 1 ANTICIPER Le soin apport en amont la programmation et la conception des lieux d termine la fois son attractivit et l optimisation de son mode de fonctionnement un concept bien d fini facile communiquer et diff renciant
64. ales maladies rem des bios MALADIE PLANTES CONCERN ES DIAGNOSTIC ET D G TS LUTTE Cloaue du p cher pecher Jeunes feuilles boursoufl es rouge tres D coction de pr le ou liciteur 4 P Mauvais d veloppement Fongicide base de cuivre bouillie bordelaise par exemple NP Aree uiters Taches brunes aur ol es de blanc sur les fruits D coction de pr le ou liciteur Fruits momifi s restant accroch s aux branches Fongicide base de cuivre bouillie bordelaise par exemple Maladie des taches Rosi Feuilles jaunes avec des t ches arrondies D coction de pr le ou liciteur noires Fe allant du violet au noir Fongicide base de cuivre bouillie bordelaise par exemple 38 Arbres et arbustes fruitiers D coction de pr le ou liciteur O dium asters concombre Feutrage blanch tre sur les feuilles et les pousses ie Fongicide bio base de soufre courgette rosier Pourriture grise Nombreuses Feutrage gris sur les feuilles les pousses les fruits er les SEE attaqu s D coction de pr le ou liciteur Apparition de pustules blanch tres orang es ou brunes Vari t s r sistantes D coction de pr le ou liciteur Rouilles Nombreuses sur le feuillage ou les tiges selon la plante h te Foncicide B ongicide base de cuivre bouillie bordelaise par exemple et les types de rouilles mis en cause lie a E D formation des fruits couverts d un feutrage brun oliv tre Vari t s r sistantes D coct
65. ange en permanence sur une ardoise je fais mes achats en fonction des r servations et je cr les recettes en fonction des produits propos s par mes fournisseurs J ai trouv beaucoup de producteurs int ressants proximit dans le Parc du Livradois Forez et mes clients recherchent eux aussi cette proximit www domainedelasiarre com Tendances manger local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE Carnet d adresses amp r f rences Quelques conseils Anis Etoil http anisetoile org Nutrifizz http www nutrifizz fr Anachronique http www anachronique fr Quelques contacts Wwww reseaubio com R seau de conseil et d approche bio de la restauration lancement en juin 2010 wwyw terrevivante org annuaire www biocoop fr www ethiquable com www senfas com www masalchi fr wwvw artisansdumonde org www mescoursespourlaplan te com www naturopolis fr www annuairebio fr www lemarchecitoyen net lire Au menu aujourd hui la sant Tendances d veloppement personnel Les nouvelles tendances de consommation Barom tre de la consommation de produits Bio 2010 Le march des produits r gionaux tude XERFI Le Plan National Nutrition amp Sant Se nourrir d abord se faire du bien ensuite CREDOC L alimentation par la sant CREDOC D finition de l alimentation durable CREDOC 2009 Les tudes CREDOC sur l alimentation Barom tre 2009 des perceptions alimentaires Extrait
66. arbre com Le concept est de se trouver en pleine nature au pied d un arbre par exemple et d couter des auteurs conter leurs propres crits 1000 m d altitude entre Auvergne et Rh ne Alpes toute une semaine est consacr e des lectures et des rencontres autour de la po sie contemporaine Cet v nement conna t son succ s uniquement gr ce au bouche oreille Au d but quelques accros des lectures haute voix pr sent il faut r server quelques temps l avance pour esp rer participer Des s ances de lecture sous l arbre donc mais aussi spectacles et animations rythment les journ es En 2010 vingt six librairies en Auvergne et en Rh ne Alpes s associent l v nement Un temps juste Loin de tout clinquant les Lectures sous l arbre lt se veulent un temps juste o la parole circule entre tous o la beaut des rencontres avec les uvres avec les auteurs n a d gale que la simplicit des lieux des chemins forestiers un lac de montagne un atelier de typographie l ombre d un marronnier les C vennes l horizon Jean Fran ois Manier directeur artistique En r sonance Horizons Rencontres Arts Nature ou le Festival du volcan de Montpeloux les lieux sont plus simples plus cocons l ambiance est simple directe proche L aussi on peut donner du champ un v nement en lui donnant le cadre qui permettra au public de vivre quelque chose d atypique
67. artiste tant intermittent du spectacle le contrat qui le lie au P le emploi est galement respect Le b n volat s adresse aux associations exclusivement et il n est pas possible d avoir recours des b n voles pour une soci t commerciale ou une collectivit locale Si pour une activit donn e il existe un lien de subordination la pr somption de salariat s impose L activit ne pourra donc pas tre b n vole La recherche du lien de subordination est la source de nombreuses requalifications en contrat de travail il convient donc d tre tr s prudent lorsqu on a recours au b n volat puisque le lien de subordination est tabli d s que Le b n vole per oit une contrepartie somme en esp ces CD livres billets gratuits un document sign entre l organisateur et le b n vole 63 64 IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas d termine les conditions d ex cution de la t che confi e au b n vole des consignes strictes ou pr cises sont donn es au b n vole et que celui ci agit sous le contr le et la direction de l association Cour de cassation 2 chambre civile septembre 2005 Le b n vole peut tre rembours des frais occasionn s par une mission l euro pr s sur justificatifs Encore convient il d user de ces remboursements avec mod ration car ils pourraient tre consid r s comme des avantages en nature et d s lors requal
68. au respect du nom et au respect de l uvre La paternit de l uvre revenant naturellement l artiste il est en droit de demander de faire figurer son nom ou pseudonyme ou de pr server au contraire l anonymat Le respect de l uvre impose l acqu reur ou emprunteur des r gles d accrochage et de pr sentation qui correspondent la demande de l artiste LES DROITS PATRIMONIAUX Le droit de reproduction Le droit de repr sentation La transmission des droits d exploitation Le droit de citation C LA MISE EN VALEUR DE L ACTION Enrichissant d un point de vue humain oui lucratif pas toujours Le cadre m me de la r union La Puce l Oreille est une salle de spectacles qui l an pass sa premi re ann e a accueilli plus de 250 soir es concert C tait un peu trop et cette ann e on pense lt a rer la programmation et la recentrer sur ce qu on aime la chanson fran aise alternative Jean explique que monter une salle de spectacles n est pas une chose facile et qu il faut prendre bien en compte les obligations en mati re de s curit et les formalit s administratives et l importance de mesurer les objectifs de l entreprise Ainsi pensant au d but que l emplacement de la salle devant un lyc e permettrait de s attacher cette client le l quipe de la Puce l Oreille a d bien vite renoncer au bout de 2 3 semaines travailler les apr s midi sans recette on a rang les ba
69. by foots Heureux de son choix et conscient des difficult s qu il entraine Jean l assume pleinement ce n est pas toujours facile au point de vue financier mais c est une belle aventure humaine Il faut en faire sa t te c est aussi l id e lt simple et vraie que d fend A Decock h telier et amateur d art qui au termed un tour de France la rencontre d artistes en France fait exposer des sculptures dans les jardins de l hostellerie de la Maronne Cantal A l inverse du principe de m c nats des grandes banques de France qui g rent des valeurs financi res li es aux uvres d art il d fend une pratique amateur et dilettante Je fonctionne au coup de c ur et pars du principe que si la d marche est coh rente et dict e par le go t de l h bergeur pour ce qu il expose la r sonance avec le public viendra avec le temps 1 Ambassadeur de la proposition artistique Ce type d v nement est un projet partag entre l artiste et l h bergeur avec des engagements r ciproques La base pour l h bergeur est de bien conna tre l artiste et plus encore sa d marche L artiste quant lui a besoin de ressentir les lieux et de s en impr gner La coh rence entre l h bergeur et l artiste travers les lieux est donc indispensable il faut que l h bergeur soit sensible aux uvres de l artiste et que l artiste soit inspir par les lieux L change est essentiel Des liens se cr ent
70. com Au jardin www aujardin info Plantes et jardins www plantes et jardins com visiter Prieur Notre Dame d Orsan 18170 Maisonnais T l 02 48 56 27 50 www prieuredorsan com prieuredorsan wanadoo fr Une dition assur e par La MIATA Mission d ing nierie et d am nagement touristique d Auvergne Un service du Comit R gional de D veloppement Touristique d Auvergne T l 04 73 29 49 30 miata crdt auvergne fr Cr dits photos A la Buissoni re L otoing 43 Aux jardins des Th venets Espinasse Vozelle 03 Chaulieu Domaine de Gaudon Ceilloux 63 Camping La Ribeyre Murol 63 Ch teau de St Saturnin 63 OSerge Bullo Camping Indigo Royat 63 OR Etienne Ch teau d Ygrande Ygrande 03 J rome Mondi re La Picote Cisternes la For t 63 OPHOVOIR OFotolia com Accueillir des artistes de l envie la realisation Document de synth se Journ e technique du 20 septembre 2010 MLET AA Rn Edit par le CRDTA en partenariat avec le Transfo octobre 2010 AN SART ET CULTURE ti EM REGION AUVERONE Experts T moins Le Bief LZWINGER Domaine des Grandes Cotes 03 M DIETSCHI LIRA A BRANGER Auberge de Concasty 15 M CAUSSE Horizons M VASSENET Jardins des Th venets 03 Lynn et Olivier CHAULIEU Hostellerie de la Maronne 15 A DECOCK Des chambres avec vues sur l art n ce mois de septembre la ferme r nov e de La Puce l Oreille Riom 63 h bergeai
71. conviction personnelle en faveur de cette artiste et de ses uvres Lynn Chaulieu n aura aucun mal pr senter ce travail et porter naturellement la d marche de Val rie Brunel aupr s des visiteurs Elle fera le lien avec l artiste et ses uvres et proposera aux personnes d sireuses de d couvrir l atelier de l artiste et d ventuelles autres expositions Enfin elle portera le projet jusqu son ultime objectif la vente des uvres M me si par choix elles n ont pas souhait afficher le prix des uvres Lynn Chaulieu sera en mesure de les donner Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas e Les cartels Afin d apporter des informations sur chacune des uvres les cartels explicatifs sont commun ment utilis s Ils sont tr s vari s et les informations qu ils mettent disposition aussi Elles peuvent reprendre les points suivants en int gralit ou partiellement Titre de l uvre Nom de l artiste Date de r alisation Texte explicatif voire notice Prix de l oeuvre L emplacement du cartel doit galement tre bien pens carilne doit pas g ner la perception de l oeuvre et en d tourner l attention Il est important de le placer toujours au m me endroit pour l ensemble des oeuvres Les sources d clairage L organisateur de l exposition doit aussi prendre conscience de l importance de la lum
72. coup plus rapidement Une assise en sable mignonette permet aux diff rents l ments de bien se m langer et se caler En altitude un m lange de b ton l ger est suffisant 8 sacs de sables pour 1 sac de ciment l ne faut pas h siter utiliser les ressources locales pour constituer sa base tuiles romanes bois pouzzolane Composer son jardin tout un art L L MENT EAU Dans ces petits coins du terrain o la v g tation fait une merveille la pr sence d eau et le mouvement de celle ci ajoutent un aspect tranquillisant aux espaces ext rieurs C est un espace de d tente et de r flexion o le calme domine et o la symphonie de l eau fait oublier tous les sons environnants Un endroit essentiel dans un jardin o il fait bon se retrouver pour se ressourcer Objet d ornement et de qui tude il sait s adapter aux diff rents styles de Jardin Qu il soit stagnant ou anim il sera un p le d attraction pour toute la famille autant pour les enfants avec l entretien des poissons que pour les parents qui veilleront au bon d veloppement des plantes et fleurs S il est bien con u au d part ce biotope se transformera rapidement en un milieu quilibr qui fonctionne et se d veloppe en compl te autarcie Un bassin r ussi cr era une v ritable harmonie dans votre Jardin en donnant l illusion d une mare naturelle Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE z Ve Astuces prati
73. ction toujours aussi essentielle au bien tre faire baisser la temp rature du corps pour retrouver son m tabolisme de base PISCINE La piscine de nage traditionnelle se mue en bassin multi activit s tant t quip d animations telles que des geysers Li plaques be de bulles champagne cols de cygne ou cascade elle pourra recevoir des transats bouillonnants immerg s en inox Des projecteurs sub aquatiques animent le bassin en jeux de lumi res color es des haut parleurs sub aquatiques apportent une dimension sensorielle suppl mentaire avec un d veloppement possible vers un concept polysensoriel tr s pointu pour des moments th matiques ou v nementiels Une zone dite active compl te l ensemble pour la pratique de l aquagym de l aquabike ou simplement nager Le repos et la relaxation 78 SALT LOUNGE Une bulle de tranquillit aux murs habill s de briques en sel de l Himalaya r tro clair es pour une ambiance douce et chaleureuse Design pur tabourets et tables d appoint en sel n bulisation de particules salines aux micro l ments bienfaisants banquettes ou fauteuils en bois confortables coussins ou banquettes chauffantes en mosa que Ici ne r gne ni chaleur excessive ni atmosph re humide un endroit propice la d tente et aux changes conviviaux ou aux discussions d affaires SALLE DE REPOS SENSORIELLE Cette zone trop souvent n glig e do
74. culier la faune et la flore qui y sont associ es et plus globalement la biodiversit Mode d emploi et inscription QUI PEUT CR ER UN REFUGE LPO Tout le monde Particuliers propri taires ou locataires avec l accord du propri taire mais aussi coles municipalit s associations entreprises institutions O Partout En zone urbaine ou rurale c est un jardin un verger un parc un tang une exploitation agricole La surface du refuge importe peu m me le plus petit jardin peut se r v ler extraordinaire avec un peu de patience et d enthousiasme COMMENT En s inscrivant au r seau par courrier o par internet dossier t l chargeable partir de http www lpo fr refugeslpo chezvous docs BulletininscriptionRefugescharte pdf en s engageant respecter l esprit de la Charte en d crivant le terrain Le co t de l inscription Refuges LPO pour les particuliers en 2010 propri taires locataires de terrains est de 35 D s l inscription les nouveaux membres re oivent un coffret contenant les l ments indispensables la cr ation du Refuge LPO un panneau permettant d officialiser et de faire conna tre le Refuge LPO un nichoir m sanges installer 3 mini guides Les am nagements naturels au jardin 10 mesures simples pour accueillir La biodiversit Les oiseaux des jardins 55 esp ces communes reconna tre et Un refuge sans chasse pour la
75. d une publication CREDOC Une dition assur e par La MIATA Mission d ing nierie et d am nagement touristi que d Auvergne un service du Comit R gional de D veloppement Touristique d Auvergne T l 04 73 29 49 30 miata crdt auvergne fr R daction V ronique Jal Cr dits photos Banque d images du CRDTA Phovoir Fotolia com 119 Le dispositif Nattitude imagin par la r gion Auvergne en 2008 a pour vocation de soutenir Le d veloppement d une offre d h bergements touristiques en phase avec les valeurs du territoire et les attentes des client les En juin 2011 Nattitude rassemble plus d une centaine d h bergements soit plus de 7000 lits h tels campings g tes chambres d h tes villages de va cances b n ficiant d une promotion collective et de temps de rencontres En parall le une centaine d autres h bergements b n ficient galement de cet effet r seau et d un programme d aides techniques et financi res leur permettant de faire voluer leur offre pour rejoindre le groupe Nattitude Le fonctionnement en r seau la valorisation des t moignages locaux et des bonnes pratiques la multiplicit des outils les th mes choisis pour alimenter le programme de rencontres des professionnels de l h bergement en font une d marche riche d changes et de r flexions novatrices sur les vacances en Auvergne et la fa on d apporter une exp rience m morable nos h tes Nattitude oriente galement bon nomb
76. des Huiles d entretien des moteurs Des piles et batteries gt Des n ons lampes conomie d nergie Des toners et cartouches d encre rouleaux de fax Des DEEE Ordinateurs fax Imprimante mat riels lectriques divers e La gestion des d chets dans votre tablissement comment s y prendre http tri recyclage ecoemballages fr le guide du tri 1 G rer les d chets produits a Dresser l inventaire des d chets produits Restauration en cuisine d conditionnement pr paration des repas plonge en salle distribution consommation des repas entretien de la salle du bar H bergement dans les tages entretien des chambres des parties publiques r ception et blanchisserie Administration e d chets de bureau Service technique b valuer les co ts relatifs cette gestion c Tri 2 R duire la production de d chets R duire la production la source Eviter les objets usage unique Privil gier les bouteilles de verre consign es Eviter les conditionnements individuels Privil gier les distributeurs ou contenants rechargeables R utiliser ou prolonger la dur e d utilisation R utiliser nappes serviettes en chiffons bouteilles en verre IV TH MATIQUES ENVIRONNEMENTALES gt Tri des d chets organisation Chambres mettre une 2 poubelle pour papier Administratif corbeille papier stockage pour t
77. des Montagnes Pailherols 15 a fait d couvrir l ambiance particuli re de sa Ferme de d tente Salon am nag musique zen si ge massant Luminoth rapie sauna hammam salle de musculation et soins sur place dispens s par une professionnelle autant d l ments qui ont transform s cette demeure pourtant perch e entre les Monts du Cantal et de l Aubrac en lieu attrayant capable d offrir sa client le ce qui est devenu la cl de r ussite de l tablissement des moments d exception Sur cet exemple la cr ation d un espace bien tre correspond tr s clairement un choix ax sur l attractivit d un tablissement isole Le Spa n a pas vocation constituer un centre de profit compl mentaire mais bien un l ment de la strat gie commerciale de l h tel Quelques chiffres et indicateurs de fonctionnement L auberge des Montagnes fonctionne avec une quipe permanente de 11 personnes l ann e dont 3 personnes sur l ensemble du Spa une pour l entretien et la machinerie une autre sur toutes les r servations et enfin une derni re sur la v rification des nettoyages les commandes et le bon fonctionnement de tous les quipements L ensemble de l activit a t d l gu une esth ticienne Ind pendante l Auberge ne pr l ve pas de commission L auberge qui cautionne cette activit en la proposant ses clients veille la qualit de la prestation suit la satisfact
78. e m me ann e et plusieurs configurations durant leur existence Le tout est de savoir bien coordonner et revitaliser l ensemble JARDINER AU NATUREL LES PRINCIPES DE BASE Le v g tal Chaque plante poss de son propre calendrier mieux vaut donc le respecter au moment des semis Cela garantira de meilleurs r sultats Les plantes locales b n ficient de la meilleure adaptation au biotope r gional Ce sont les plus r sistantes aux al as climatiques et les mieux adapt es aux sols Certaines plantes sont plus exigeantes en ressources que d autres Si elles sont plant es toujours au m me endroit elles auront tendance puiser le sol En cons quence elles seront moins robustes moins pro ductives et plus sensibles aux maladies La solution consiste donc faire tourner les cultures Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE l existe des solutions alternatives l usage des pesticides chimiques Certaines plantes parfois consid r es tort comme des mauvaises herbes ont un pouvoir r pulsif naturel contre certains nuisibles Les radiquer ne sert donc rien mieux vaut les contr ler gr ce un d sherbage m thodique Il n est pas obligatoire d effectuer une mise blanc chaque tonte Une gestion diff renci e des espaces la tonte ne s effectue pas partout au m me moment permet d all ger la t che et de cr er des paysages vivants les zones laiss es l tat naturel
79. e ou encore dans un h bergement quand on a trouv l tincelle Le fil tirer et que l on joue l id e fond 3 Des v nements qui laissent Le temps g n rent la relation humaine et provoquent l change AUTEURS NOMADES LES RENCONTRES DE LIRA A TRAVERS TOUTE L AUVERGNE LES CRIVAINS LA RENCONTRE DE LEURS LECTEURS Association des Libraires Ind pendants en R gion Auvergne Auvergne de septembre juin www letransfo fr L Association LIRA Libraires Ind pendants en R gion Auvergne propose l v nement Auteurs nomades Les rencontres de LIRA Il permet aux libraires ind pendants de valoriser leur savoir faire et leur attachement aux auteurs Ils accueillent des auteurs qui se d placent dans plusieurs librairies de la r gion la rencontre de leur public Il peut s agir de lectures de d dicaces ou juste de moments de rencontre Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE Il TENDANCES Nature partage et inspiration FESTIVAL MONDES CROIS S Association Mondes Crois s Olivia Chastel Murat 15 www mondes croises com L association Mondes Crois s uvre en faveur du d veloppement des activit s artistiques et culturelles essentiellement ax es sur les danses et musiques du Monde Elle propose chaque ann e un rendez vous intitul Le Festival Mondes Crois s Les organisateurs de ce festival souhaitent permettre au public et aux ar
80. e but de l association LIRA est maintenant de p renniser cette action De nouveaux partenariats avec les collectivit s locales permettront cette manifestation de prendre une dimension territoriale de proximit Des perspectives communes peuvent tre envi sag es entre ind pendants professionnels Car ils se rejoignent autour des m mes objectifs augmenter leur visibilit contribuer une dyna mique culturelle du territoire d velopper des par tenariats mutualiser Les d penses tre attractif en mobilisant des auteurs t te d affiche Par cons quent se regrouper permet d at teindre ses objectifs individuels de mani re collective L id e d un partenariat avec le r seau d h bergements Nattitude est sugg r e les tourn es organis es avec les auteurs pourraient se rapprocher et faire quelques tapes de lecture dans les tablissements A suivre C VALORISER UN R SEAU DE JARDINS PRIVES ET PUBLICS JARDINS EN SC NE PICARDIE La manifestation Jardins en Sc ne existe gr ce une volont des acteurs du territoire de la Picardie d inciter les touristes de la r gion et les r sidents visiter les nombreux parcs et Jardins picards Sous l impulsion du CRT de Picardie 2010 repr sentera la 2 dition de la manifestation A cette occasion les visiteurs peuvent investir 13 jardins picards historiques romantiques ou potagers Le choix des organisateurs a t de m ler deux activit s les
81. e p riode plus ou moins longue puis on passait les commandes au march Aujourd hui c est l inverse ou presque En tout cas je m adapte aux disponibilit s des produits Et petit petit la conversion se fait totalement parce que les clients ne comprennent les exceptions que si elles sont explicables le poisson de mer les fruits exotiques etc mais pas le pain ou l huile Sur la question des prix aussi il y a souvent des pr jug s Quand on ach te un agneau entier au kilo il revient moins cher mais cela m oblige aussi tout cuisiner les bas comme les beaux morceaux Moi je consid re qu acheter des produits de saison locaux bruts entiers etc c est le meilleur moyen d entretenir mon m tier de cuisinier et de lui donner du sens c est mon fil rouge et je trouve ca motivant Label ou pas label Pas label Les labels servent rassurer un consommateur loin du producteur Je n en ai pas besoin puisque derri re chaque produit je peux mettre un visage de producteur et ca va visiblement cela suffit mes clients et ils en redemandent Quel sens donnez vous tout a Un h tel restaurant c est une entreprise non d localisable J ai besoin de mon territoire pour attirer mes clients pour le leur faire d couvrir j ai besoin de produits issus de ce territoire j ai donc aussi besoin des producteurs nous avons tous besoin les uns des autres Mes achats en plus d un r le de valorisation du terri
82. en harmonie avec le positionnement de l tablissement dans lequel il va prendre place des cibles bien identifi es et r alistes une carte des prestations con ue en amont des lieux pens s pour r duire les co ts de fonctionnement R GLE N 2 OPTIMISER La ma trise des co ts d investissements et d exploitation la relation avec le partenaire cosm tique identifier en amont et n gocier une strat gie tarifaire adapt e et un fonctionnement en yield management appliqu au Spa 83 pour une meilleure gestion des plannings proposer aux clients de r server les soins au moment m me de la r servation de l h tel pour lisser Les multi saisonnalit s de ce type d activit s li es la destination au moment de la journ e faire varier la tarification en fonction Rentabiliser son Spa les points cl s R GLE N 93 FID LISER Une politique de Ressources Humaines adapt e selon le positionnement vis et le volume d affaire r alisable une des d cisions cruciales sera l arbitrage de recourir soit des salari s soit des intervenants externes L int gration de personnel parfaitement bien form vu le niveau d exigence des client les para t n anmoins difficile pour des tablissements de petites tailles dans lequel le personnel doit tre polyvalent et bien occup On le verra dans les illustrations qui vont suivre le recours un partenaire ex
83. energies renouvelables org Guides pratiques t l chargeables sur www ademe fr wWww renovation ecologique org les Amis de la terre www negawatt org Tous les exemples voqu s dans ce guide sont disponibles sur le site professionnel www pro auvergne tourisme info ou aupr s de C line Coudouel Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE 21 ce V Pour aller encore plus loin la responsabilit sociale u del de la stricte prise en compte environ nementale que ce soit par conviction pro fonde ou par obligation progressivement vont s installer de nouvelles pratiques de nouvelles obligations en mati re notamment de responsabilit sociale ou soci tale 1 L ENJEU Placer au m me niveau d importance la performance conomique environnementale et sociale de l entreprise pour un d veloppement le plus quilibr possible Au niveau de l entreprise touristique il s agira de renforcer l attractivit de l emploi touristique et de stabiliser Les quipes pour p renniser son activit e LES LEVIERS Les conditions et la qualit de vie au travail temps de travail r mun ration int ressement La s curisation et la stabilisation des postes annualisation CDI La qualification recrutement pertinent formation continue Les perspectives d volution 3 LES POINTS CRITIQUES Le respect des droits syndicaux s curit hygi ne L galit homme femme
84. ent pour attiser la sur l effet nouveaut bien repris par la presse notamment curiosit des participants autour de son bain storvatt et Les transporter dans l univers si particulier d un tablissement la fois riche en surprise et respectueux de son environnement Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE La Baignade Biologique conception exploitation et cadre r glementaire QU EST CE QU UNE BAIGNADE BIOLOGIQUE Les baignades biologiques sont des baignades La situation en France et en Europe no k dont la qualit de l eau est maintenue Le cadre r glementaire en France uniquement par un traitement biologique Fonctionnement des baignades y compris s curit l exclusion de tout traitement biocide algicide sanitaire ou bact ricide physique ou chimique Exemples Aspects conomiques DIFF RENTS TYPES DE BAIGNADES BIOLOGIQUES Eaux stagnantes Eaux courantes 89 P R S E NTATI O N D L A F B B Descriptif Filtre biologique Zone de r g n ration r seaux d entreprises ma tres d uvre et ma tres EE d ouvrage Type Absence de pompes non 50 70 Son r le en cinq points Type 2 Nettoyage de surface skimmers seulement non 50 60 1 promouvoir la baignade biologique en France Type3 Nettoyage de surface circulation active de l eau non 45 55 2 intervenir aupr s des politiques et administrations entre zone de baignade et zone de r g n ration pour la mise en place et l accompagne
85. ents tous semblables Ils doivent avoir un caract re propre chaque lieu bas sur l identit locale plus original des concepts uniques et attractifs d quipements li s l eau plus beau un design correspondant la client le vis e plus vert davantage d conomie d nergie voir Les Dutchtub amp Storvatt deux nouveaux quipements l gers peu co teux moins de 7k et conomes en nergie 82 Le Spa un march qui explose LE CONCEPT une grande vari t des concepts adapt s de nouveaux profils de consommateurs des Spas pour hommes ados gays par exemple des Spas th matiques des Spas express abordables avec des prix bas Le Spa jet 15K un investissement important mais qui fonctionne en suite avec un personnel r duit Pour le cr ateur de Cing Mondes L exigence des clients est triple des soins apportant une vraie exp rience de relaxation et de beaut une architecture et un espace favorisant une vraie ergonomie ainsi que des produits cosm tiques professionnels et naturels Les Spas qui pourront apporter ces prestations sont certains de r ussir LES SOINS Le massage reste LE produit star la valorisation des ressources naturelles et des traditions locales des menus de soins de plus en plus sophistiqu s de plus en plus adapt s aux besoins du client un bon rapport qualit prix Lits de flottaison et bai
86. er recycl encre biologique Mise en place d un slogan ou personnage Abonnement des magazines environnement magazine Terra economica coccinelle pour les enfants etc Message R actif Pr ventif Interactif R duire les impacts environnementaux au cours du s jour Exemples Interne Associer les volontaires de l entreprise R compenser les initiatives prime verte Former son personnel Choisir un responsable colo au sein de l entreprise S minaires internes cr ation de comit environnement Participer des challenge des prix etc Externe Mise en place de guides des bonnes pratiques environnementales Mise en place de questionnaires de satisfaction sur l environnement Outils destination des enfants message sous forme de jeux BD Education active l environnement par la valorisation du patrimoine naturel autour de la structure disposer de livres de guides r pertorier les esp ces v g tale Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE IIl CO COMMUNIQUER valoriser votre d marche environnementale 2 LES OUTILS DE COMMUNICATION a Les employ s premiers relais Pr f rer une information continue des actions de communication ponctuelles quelques id es une bo te id es et des r compenses pour les meilleures id es des challenges ludiques qui conomisera le plus d nergie qui recyclera le plus de d chets
87. es l ments qui se confortent et se compensent les uns les autres Cette construction collective chacun peut y contribuer par ses propres actions En tant qu acteurs du tourisme vos messages le soin apport l ambiance de votre maison la chaleur de l accueil que vous r servez vos h tes l ancrage local de votre carte de restaurant votre programmation culturelle etc peuvent ou pas aller dans le m me sens et apporter de la valeur Tendances manger Local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE L Auvergne des valeurs tr s actuelles QUELQUES CHIFFRES Donn es AGRESTE INSEE CREDOC 2007 2009 Les m tiers de l alimentation Ils comprennent l artisanat le commerce alimen taire de proximit l h tellerie et la restauration 308133 entreprises dont 98 5 ont moins de 20 salari s 1 1 million d actifs soit 4 du total national dont 60 4 dans l h tellerie restauration 91 milliards d de chiffre d affaires dont 49 pour l artisanat et le commerce alimentaire de proximit L agriculture en France 56 du territoire m tropolitain 66 9 milliards de chiffre d affaire 1 02 million d actifs 4 de l emploi total Les industries agroalimentaires IAA 10 300 entreprises dont 97 de PME 405 000 emplois e 134 3 milliards d de productions et 32 7 milliards de valeur ajout e 101 Les IAA produisent 95 des aliments que les consommateurs fran ais ach ten
88. es Volcans f d re de nombreuses associations du Puy de D me en premier lieu mais galement d Auvergne il regroupe dans un guide papier consultable en ligne les coordonn es de nombreux producteurs http www puydedome com IDINFO 904 97742 Accueil Paysan est un groupement de paysans qui prenant appui sur leur activit agricole mettent en 109 place un accueil touristique et social en relation avec tous les acteurs du d veloppement local Sa vocation est l accueil en monde rural sous tous ses modes par des hommes et des femmes qui vivent en monde rural et qui veulent faire d couvrir leurs activit s agricoles et le milieu dans lequel ils vivent www accueil paysan com La Jonquille une association de producteurs fermiers l chelle de l Auvergne qui a pour vocation notamment de faciliter la vente directe Sur www la jonquille fr la liste des producteurs adh rents par territoire et type de produits voir aussi le site www goutzi fr initi par quelques membres de cette association pour d velopper la vente en ligne de produits d picerie notamment le r seau des AMAP qui peuvent tre adapt es aux petits h bergements ou aux commandes de produits tr s sp cifiques http www reseau amap org L alimentation au c ur de nouvelles aspirations e LES PRODUITS BIQ L c est le mode de production qui est garanti et il existe en fait 4 cahiers de charges identifiant des produits biologique
89. es investissements Espaces Info Energie des d partements www infoenergie org T l 08 00 50 38 93 Avec l aide financi re des Conseils g n raux examiner au cas par cas Allier Cantal e Haute Loire e Puy de D me c Monter un dossier pour l colabel europ en gt Avec l appui d un stagiaire La pr paration d un dossier d co labellisation peut s av rer assez lourde en termes d enregistrements produire de documents de preuve rassembler d outils mettre en uvre Pour vous faciliter ces d marches le CRDT noue progressivement des relations avec l Institut Europ en de la Qualit Totale IEQT Vichy qui forme des animateurs et responsables OSE Ces tudiants s orientent peut tre plus naturellement vers l industrie et pourraient d couvrir le secteur du tourisme l occasion de leurs stages Selon leur niveau leur stage dure entre 4 et 6 mois ils peuvent ainsi finaliser votre formation et vous faire gagner du temps vers votre colabel D autres formations peuvent galement convenir avec des stages d finis de mani re plus ou moins autonomes et ambitieuses Prenez contact avec le CRDTA qui re oit beaucoup de demandes de stages Contact IEQT de Vichy Universit Blaise Pascal CCI Moulins Vichy 5 15 rue Montaret BP 12538 03205 VICHY CEDEX 05 T l 04 70 30 41 46 vichy ieqt org www ieqt org d Financer votre audit de certification Vous tes pr ts pour l c
90. es toxiques pr cise le dossier technique de conception de l emballage Le Grenelle de l environnement qui dicte des objectifs moyen terme R duire de 7 la production d ordures m nag res et Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE assimil s par habitant sur 5 ans 35 de recyclage en 2012 et 45 en 2015 pour les d chets m nagers et assimil s Diminuer de 15 d ici 2012 les quantit s partant l incin ration ou au stockage b Le r le de la collectivit locale gt Les collectivit s locales ont la responsabilit des d chets des particuliers Les d chets d activit s h tels restaurants commerces sont assimil s aux d chets des m nages Ils peuvent tre limin s par la collectivit 15 mais ce n est pas une obligation gt Financement du service TEOM bas e sur la valeur locative au titre de l imp t foncier Redevance sp ciale en fonction du service rendu c Vos obligations valoriser Les d chets d emballages par r emploi ou recyclage Plus de 1100 litres semaine vous devez vous assurer de leur valorisation Pour valoriser vos d chets vous pouvez les remettre la collecte s lective de la collectivit avoir recours un op rateur priv Les apporter en d chetterie Moins de 1100 litres semaine vous pouvez les remettre la collectivit si une collecte est en place vous devrez trier vos d chets 16 IV TH MATIQ
91. est Le seul label cologique officiel europ en utilisable dans tous les pays membres de l Union Europ enne En France il est d livr par AFNOR Certification organisme certificateur ind pendant C est une marque volontaire de certification de produits et de services S agissant d une certification de services la d marche est plus lourde en amont Elle suppose de r unir les pi ces justificatives justifiant la r ponse aux exigences du r f rentiel Ea E h i L envoi du dossier d clenche un audit de l tablissement 6 7h sur place Le dossier est mettre jour tous les ans Un nouvel audit est effectu tous les deux ans CHOISIR Quel colabel Modalit s criteres et tarifs Co ts pour les g tes et chambres d h tes si Le dossier est complet il n y a pas d audit Co t ann e 1 300 droit d acc s Ann e 2 100 usage de la marque Ann e 3 200 renouvellement Ann e 4 100 Si besoin d un audit 500 pour les h bergements de 6 30 chambres Co t ann e 1 audit droit d entr e 1000 Ann e 2 200 pour les h bergements de plus de 30 chambres Co t ann e 1 frais d audit droit d entr e 1900 Ann e 2 500 Ann e 3 1500 Ann e 4 500 b R f rentiels L colabel europ en atteste la conformit des produits et ou services aux exigences pr cis es dans des r f rentiels applicables chaq
92. et l envie de monter un projet commun mane le plus souvent d une rencontre d une histoire d hommes a Je connais la d marche de l artiste 65 l Lynn Chaulieu des JARDINS DES TH VENETS 03 rencontre Val rie Brunel artiste peintre de mani re fortuite Particuli rement int ress e elle choisit de faire plus ample connaissance avec l artiste en visitant son atelier Immerg e dans l univers de Val rie elle est compl tement s duite par sa production artistique et sa d marche C est ce qui va les amener envisager un projet commun 66 IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas La rencontre est donc bien souvent la base du projet Toutefois il est important de rappeler la n cessit de connaitre et d adh rer aux id es et la d marche de l artiste La coh rence entre l image v hicul e par l artiste son uvre et celle du lieu est primordiale Pour cela il est important de prendre le temps de faire connaissance avec l artiste tout simplement se d placer changer et partager Puis Val rie souhaite son tour d couvrir l univers de Lynn Chaulieu Elle visite Les Jardins des Th venets la vue du site le coup de c ur est maintenant r ciproque et tout particuli rement pour la piscine cach e l int rieur de l h bergement Val rie tombe sous le charme de ce lieu tr s atypique Elle Imagine parfaitement investir ce lieu pour exposer ses uvres Bien que Lynn Chaulie
93. et logiques elles sont pour autant trop souvent oubli es petit rappel Pour qui et pourquoi Pour son plaisir personnel pour son activit com merciale pour ses invit s Pour quel usage Que va t on y faire Pour tre dehors ou en profiter depuis l int rieur Pour quel investissement Am nager son jardin entra ne forc ment un inves tissement sur le long terme c est un co t mais c est aussi une charge suppl mentaire qui peut prendre du temps un jardin volue en permanence son entretien aussi BIEN D MARRER Personnaliser son jardin certes mais partir de quoi Chaque lieu est diff rent et poss de sa propre particularit Partant du principe que ce qui est beau et naturel un endroit ne l est pas forc ment ailleurs il est inutile et surtout contre productif de se contenter d un simple copier coller Au contraire plus que de rechercher l effet il faut partir du potentiel de son jardin pour se calibrer sur ses possibilit s en rechercher les particularit s et l tat d esprit pour parvenir cr er une certaine coh rence et harmonie dans la phase de r alisation Et pour parvenir cela il faut avant tout prendre le temps d observer V4 Astuce pratique Le meilleur am nagement c est celui qui ne se voit pas Splendeur m di vale en pays arverne Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE Le projet de restauration des jardins du Ch teau de Saint Sa
94. eurie Cette belle alternative au gazon est en fleurs durant toute la belle saison et r clame peu d entretien Orient e vers l co jardinage elle attire papillons abeilles oiseaux et autres petits animaux utiles aux plantes et au jardinier Des prairies fleuries il en existe pour tous les types de sol rocaille terrain sec zone humide pour toutes les expositions pour tous les go ts et pour toutes les envies Certaines sont d di es aux papillons d autres aux abeilles ou aux oiseaux d autres encore ont pour vocation d loigner les pucerons les doryphores et autres Insectes nuisibles Composer son jardin tout un art LES PALISSADES G n ralement destin es garantir une certaine intimit voire davantage de s curit elles peuvent aussi servir compartimenter le jardin Une surface qu on peut embrasser d un seul regard n offre gu re de surprises Par contre pour le visiteur qui d couvre un Jardin pour la premi re fois comme pour le jardinier qui y circule chaque jour des chambres de verdure sont comme les pi ces d une maison Chaque volume correspond une atmosph re avec d autres couleurs d autres senteurs et d autres activit s Le potager l enclos des poules le compost et la cabane outils sont autant de zones pouvant tre compartiment es Les grandes surfaces de pelouses peuvent aussi se r duire au profit de l am nagement de parcelles s par es par des palissades Une
95. exploitation et cadre r glementaire 2 Syst mes de traitement de l eau A filtre non immerg UV d contamination apport d oxyg ne comp tition entre les MO Filtration R tention du phosphore par les MO et adsorption sur les grains A filtre immerg plante b mi i E a F UV d contamination absorption filtration via zooplancton s dimentation r tention du P par les Plantes comp tition entre les MO Filtration R tention du phosphore par les MO et adsorption sur les grains Traitement de l eau par filtre naturel Zooplancton Projet DANA 13 baignades analys es en 2007 et 2008 42 454 729 individus m Filtration moyenne entre une fois tous les 10 60 jours et 2 5 fois par jour Cladocera Bosmina Ceriodaphnia Daphnia de gauche droite Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE La r glementation anticiper les risques et les contraintes G illes BIDET ing nieur sanitaire la DDASS du Puy de D me a explicit l environnement r gle mentaire et sanitaire actuel et venir des piscines Spas bain remous et autres quipements d di s au bien tre Les r f rences r glementaires Code de la Sant Publique articles L1332 1 L 1552 9 et D1332 1 D1332 13 Arr t du 7 avril 1981 gt Loi n 78 733 du 12 juillet 1978 gt D cret n 81 324 du 7 avril 1981 modifi par le d cret n 91 980 du 20 septembre 1991
96. ff rents supports de communication Des fiches explicatives ou fournir une liste des principaux gestes respecter lors du s jour dans un guide des bonnes pratiques environnementales est souvent mis disposition par les h teliers IE Bourne VIP ms names mots mie L h tel La P rouse Nantes a d velopp un programme d actions intitul Very Important Pratiques destin sa client le Des fiches clients dans les salles de bains des affichages sur les choix des produits propos s au petit d jeuner Lien h tel La P rouse Le g te Ailleurs est ici Dienne Cantal met en avant sa politique et ses choix environnementaux Cette information est relay e dans les chambres de chaque h te Voir ses messages Exemples d autres types de messages utilis s Nos enveloppes le papier utilis pour le courrier comme le papier toilettes sont en papier recycl L eau de pluie est r cup r e pour l arrosage des plantes et un syst me de r cup ration de cette eau pour alimenter les toilettes et le lave linge est pr vu dans le futur proche R utilisez votre linge de bain et de lit durant votre s jour il sera renouvel selon vos souhaits il vous suffit de le d poser sur le sol Pr f rer la douche au bain c est g n ralement diviser par trois sa consommation d eau Ne pas laisser couler l eau du robinet pendant que l on se brosse les dents permet d co
97. g espace professionnel php La Clef Verte La proc dure se fait en amont sur dossier en d claratif puis une fois par an en saison une campagne de visite est organis e Un jury se prononce sur la conformit de l tablissement gt Le dossier est renouveler tous les ans Co t il est d compos en frais fixe de dossier de 60 puis est variable selon la taille de l tablissement 2 par chambre ou par emplacement avec une r duction 1 5 pour les adh rents de l UMIH ou de la FNHPA Le co t minimum est fix 200 et maximum 800 b R f rentiels La Clef Verte est attribu e sur une base de crit res internationaux communs tous les pays Ces crit res couvrent diff rents champs la politique environnementale la gestion de l eau la gestion des d chets la gestion de l nergie les achats responsables le cadre de vie et la sensibilisation l environnement Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE Pour une information plus pr cise sur les crit res vous pouvez consulter les cahiers des charges qui vous concernent Campings Gites et chambres d h tes H tels R sidence de tourisme et Villages de vacances T l chargez les r f rentiels sur le site internet de la Clef verte rubrique proc dure crit res de s lection http www laclefverte org procedures clef verte php 2 L COLABEL EUROP EN a Proc dure et co ts Cr en 1992 l colabel europ en
98. gnoires hydromassantes un inves tissement assez lev 25k permettant de r duire les co ts de personnel tout en offrant un service de bonne qualit LES SERVICES de plus en plus pointus contribuent l ambiance mais galement au chiffre d affaire du Spa tisanerie bio collation s lection musicale tr s personnalis s privatisation de l espace pour une dur e d termin e int gration des quipements directement dans les espaces privatifs du client coaching un personnel de plus en plus qualifi non seulement dans ses techniques mais aussi dans le relationnel et ses aptitudes linguistiques une segmentation des usages pas d enfants trop jeunes ou trop bruyants mixit r fl chir par plages horaires par exemple 1 Cit dans Grand Angle hors s rie n 1 consacr au bien tre dit par Odit France LE MARKETING Ayant construit leur culture Spa et d sormais capables de juger de la qualit d une offre les client les recherchent plus de transparence et de crit res objectifs davantage de publicit et d images qui refl tent r ellement le produit et qui n voquent pas seulement le r ve davantage de texte d crivant objectivement le Spa et ses traitements davantage d honn tet et de v rit dans le marketing du Spa davantage de preuves Karen LUART EUROSPA Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE Rentabiliser son Sp
99. holest rol lev L anis leurs grains qui sont en fait des fruits renfermant plusieurs graines contiennent une huile essentielle riche en an thol aux puissantes propri t s digestives et carminatives qui aident chasser les gaz Le basilic il est digestif et carminatif et prot ge contre les maladies cardiovasculaires La bourrache elle a un effet calmant sur les ruptions cutan es Elle est galement suppos e molliente expectorante et adoucissante Id al pour lutter contre l inflammation des voies respiratoires et des muqueuses La camomille romaine elle a des propri t s digestives et s datives Efficace notamment contre les Insomnies Les bourgeons chaque tape de leur existence et m me d s leurs tout premiers instants les plantes veulent notre bien C est ce que d montre la gemmoth rapie l art de soigner par les bourgeons Le chou permet de lutter contre les douleurs articulaires Le coquelicot il soulage les affections respiratoires et convient aux peaux s ches et fragiles Le citron riche en vitamines le citron est galement source d antioxydants qui prot gent la paroi des vaisseaux et l on peut le recommander en cas de fragilit vasculaire jambes lourdes varices Le cynorrhodon source de vitamine C il contribue pr venir rhumes et affections grippales Il a galement des vertus antifatigues diur tiques et anti diarrh iques La consoude outre le fai
100. hotel laperouse f www perousevip com Ecolodge des Chartrons http www ecolodgedeschartrons com H tel restaurant Les Orangeries www lesorangeries com R SEAUX REVALIS www revalisever com colabel BEST WESTERN www bestwestern monopole com KAWAN VILLAGES KAWAN Nature www kawan villages com CLUB MED www clubmed corporate com D CHETS Tri des d chets http tri recyclage ecoemballages fr le guide du tri ACHATS DURABLES Comparateur d achat co responsable www guide topten com Une dition assur e par La MIATA Mission d ing nierie et d am nagement touristique d Auvergne un service du Comit R gional de D veloppement Touristique d Auvergne T l 04 73 29 49 30 miata crdt auvergne fr R daction C line Coudouel et V ronique Jal Fa L t 07 mX kam Le Mg m er e B LR 5 de i ba j m Nattitude c te jardin Document de synth se dit par Le CRDTA septembre 2010 Experts Eliane AUBERGER paysagiste Sycomore Architecture Jean Claude CHATILLON paysagiste consultant T moins Alain BOZZO Domaine de Gaudon Claudine CORMERAIS A la Buissonni re Emmanuel PENICAUD Ch teau de Saint Saturnin Christian POMMIER Camping La Ribeyre b Am nager ses ext rieurs les bons r flexes AVANT TOUT BIEN R FL CHIR SON PROJET vant de d marrer son projet d am nagement de ses ext rieurs il faut se poser Les bonnes questions Simples
101. i GUIDE NATTITUDE c LES PARTENAIRES SUR CE PROJET Sur une p riode de septembre 2010 septembre 2011 le CPIE amp Le CRDT gt co animent le groupe pilote cr ent et valuent un r f rentiel A21 accompagnent les structures volontaires Pour chacune d entre elles cr ation d un comit de pilotage interne l entreprise r alisation d un diagnostic d finition des axes de progr s sur les sph res environnementale conomique et sociale laboration d un plan d action priorisation r alisation de certaines actions et identification des ressources mobilisables valuation du plan d action et de la d marche A21 pr parant l obtention de l colabel europ en valuent et diffusent les nouveaux outils C5 CA Carnet d adresses amp r f rences Quelques cabinets Cette liste n est en rien exhaustive elle est seulement indicative et peut tout fait s enrichir de nouveaux contacts qui nous seraient communiqu s Pour une liste exhaustive prendre contact avec le GEFIL www gefil or Daniel KUBICKI Consultant nergie conseil amp Formation 03800 GANNAT T l 04 70 90 83 21 www kubicki fr Ga lle OUTIER TOUR Habilis Accompagnement Formation Audit Environnement S curit amp Tourisme Durable T l 06 64 30 98 48 www tourhabilis over blog com FRANCOIS TOURISME CONSULTANTS Guillaume B reau cabinet conseil environnement formations etc 24 750 PERI
102. i re pour la pr sentation des uvres Et le choix du mode d clairage a donc une importance particuli re pour la sc nographie Il s agit de mettre disposition un clairage au service des oeuvres et du public Ce qui induit d apporter des alternatives l clairage pr existant et standard Les principales sources de lumi re artificielle sont les lampes fluorescentes tubularres les lampes incandescence standard et les lampes tungst ne halog ne La direction de la lumi re est galement un l ment important qui ne se laisse pas au hasard Le syst me le plus souvent utilis est celui sur rail lectrique Lors du d roulement de l v nement qu il s agis se d un concert ou d une exposition Le r le du propri taire des lieux est tr s important Il de vient l ambassadeur de la proposition artistique Il fait le lien entre l artiste et le public et doit tre m me d expliquer les choix de livrer des infor mations sur le contexte de ce projet sur l artiste son contact sa d marche son lieu de cr ation et sur les uvres les tarifs le type de r alisa tion En fonction des envies de chaque acteur les r les de chacun peuvent videmment tre nuanc s ou au contraire accentu s Toutefois il est clair que la finalit de l artiste ne doit pas tre occult e l artiste a besoin de vendre ses uvres C est pourquoi l affichage des prix des uvres tant sur les lieux de l exposition que sur le
103. i du temps au regard des demandes souvent tr s courts termes des clients g n re des frais de transport importants si l on veut r pondre chaque demande pas toujours contigu s Les indicateurs k T SA a 7 1 A A A CET Lu Hi TE HER ee ares Une commercialisation qui doit tre aussi structur e que les autres activit s syst matiquement propos e lors de chaque r servation t l phonique module de pr r servation sur notre site ouverture la client le locale avec d veloppement de synergies avec la restauration entr e sur un coffret cadeau Smart Box bien tre r f rencement sur internet LE CH TEAU D YGRANDE S immerger dans un espace d tente au c ur de la nature bourbonnaise Une concurrence per ue comme d loyale vis vis des masseurs kin sith rapeutes Mieux vaut en avoir un peu que pas du tout C est avec ces mots que Pierre Marie TISSIER propri taire du ch teau d Ysrande 03 d buta et donna le ton son intervention Pour lui a ne fait aucun doute disposer d un espace d tente est un plus incontestable Une demande principale non satisfaite l activit ludique autour de l eau Le ch teau disposait jusqu en 2008 d une piscine ext rieure d un sauna d un bain bouillonnant et d un Cas pratiques Se ressourcer dans une ferme d di e au bien tre Apr s ce premier clairage concret Vincent Fages gestionnaire de l Auberge
104. ible aupr s des personnes ressources professionnels du spectacle vivant conseillers techniques des collectivit s journalistes Cette approche permet de confirmer a priori que les objectifs sont pr cis et r alistes et donne une mesure de l accueil des partenaires financiers engag s Cibler Le public d finir quel type de population le spectacle est destin locale r gionale jeune familiale Quelles seront les motivations des populations accueillies Le choix de la date et des horaires correspondront ils a priori aux disponibilit s des populations vis es Une fois Le projet d fini il reste communiquer sur son contenu D finir une strat gie de communication Reste souvent le point faible des porteurs de projet Il s agit pourtant d une tape d cisive Diversifier les supports de communication pr sente un atout non n gligeable Il faut galement cibler les m dias et faire en sorte qu ils prennent conscience de l v nement de mani re claire concise et agr able a 0 LA MISE EN UVRE DU PROJET L organisation de spectacle de 1 10 source IRMA http crd irma asso fr article php3 id_ article 58 1 Le cadre r glementaire 2 Autorisation pr alable Mairie police et gendarmerie 3 La s curit du lieu La commission de s curit Le service de secours Le service de s curit 4 Les assurances 5 La Sacem Se reporter galement au site www sacem fr 6 Les droit
105. ifi s en salaire en cas de contr le En r sume l emploi de b n voles demande la plus grande attention l activit b n vole n ayant pas pour objet de proposer une alternative l emploi salari Les associations qui ont recours au b n volat doivent souscrire une assurance responsabilit civile aupr s de leur compagnie d assurance Cette assurance couvre les dommages subis ou occasionn s par les b n voles durant leur activit Elle peut tre compl t e par une assurance volontaire souscrite aupr s de la Caisse d assurance maladie b L organisation d expositions d arts sculpture peinture int rieur ou ext rieur etc Le pr t des uvres L emprunt des uvres peut se faire aupr s de l artiste directement art contemporain ou bien aupr s de structures r f rentes telles que des galeries pour des collections priv es ou encore des mus es centres d art FRAC etc pour des collections publiques Il faut savoir que l emprunt de certaines collections publiques n cessite de formuler la demande dans un d lai minimum de 6 mois e L assurance des uvres Plusieurs possibilit s soit le pr teur prend en charge l assurance soit l emprunteur Bien souvent cela revient l emprunteur Les modalit s d assurance peuvent aussi varier Elle peut prendre effet d s le transport et jusqu au retour au lieu d origine transport aller retour dur e de l exposition de clou clou ce qui correspond l
106. in 63450 Saint Saturnin www chateaudesaintsaturnin com chateausaintsaturnin yahoo fr Christian POMMIER Camping La Ribeyre Jassat 63790 St Victor la Rivi re T l 04 73 88 64 29 www camping laribeyre com laribeyre free fr lire Michel BOTINEAU Les Plantes du Jardin M di val Belin novembre 2003 Marie H l ne BENETIERE Jardins vocabulaire typo logie et technique ditions du patrimoine 2006 Fr d rique CHEVALIER Trucs et astuces du Jardiner Bio City ditions Hachette Livres mars 2009 Fr d rique CHEVALIER Oignon recherche Carotte d sesp r ment City Editions Hachettes Livres f vrier 2010 Gilles CLEMENT Le jardin en mouvement De la vall e au parc Andr Citro n Atelier Hubert Tonka et Jeanne Marie Sens Saint Herblain 1994 Claude EVENO Le jardin plan taire Editions de l Aube G menos 1999 Paul ISEINR Encyclop die des Plantes M dicinales Larousse 2007 Richard MABEY Food for Free Borch 2004 Anne MCINTYRE Les 100 rem des base de plantes Solar f vrier 2008 Marie Claude PAUME Sauvages et comestibles Edisud f vrier 2005 Pauline PEARS et Sue STICKLAND Jardinage Biologi que Nathan 1995 Eric PR DINE Jean Paul COLLAERT L art du potager en Carr s Edisud 2005 consulter Terres Vivantes http boutique terrevivante org LPO www lpo fr Association des jardiniers de France www jardiniersdefrance com Ecopaysage www amenagementsecologiques
107. intelligemment GUIDE NATTITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations b L exemple des locavores une petite tendance tr s symbolique d un mouvement de fond Manger des produits de proximit pour r duire les d penses d nergie relancer des microterroirs et respecter les saisons tel est le credo de ces nouveaux consommateurs Locavores le terme d signe ceux qui ont d cid de ne plus consommer que des denr es venues de moins de 160 km de leur domicile Il s inscrit dans une pr occupation nouvelle de mesurer les food miles ou distances parcourues par nos aliments avant d atterrir dans nos assiettes Ce choix a des cons quences cologiques On diminue drastiquement son empreinte carbone en n achetant plus d aliments import s par avion la place on soutient des producteurs locaux et on mange de saison En se rendant au Farmer s Market ou en s inscrivant une CSA Community Supported Agriculture l quivalent de nos AMAP voir ci contre des milliers d Am ricains court circuitent les g ants de l agroalimentaire et de la distribution Des caf t rias et des restaurants s appuient enti rement sur cette id e comme Urban Rustic Manhattan ou la cantine du si ge de Google rebaptis e 150 Mile Cafe ou encore le tr s couru Farmer s Diner du Vermont dont le menu affiche le portrait de tous les fermiers partenaires En France on n a pas le m me rapport aux distances
108. ion client le professionnalisme de la prestataire En revanche le sauna Le hammam la piscine sont en libre service Une attention particuli re est port e aux enfants par le personnel en termes de s curit et de satisfaction ils ont un r le important de prescription Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE Les indicateurs 37 L Auberge des Montagnes jouant de son isolement pour cr er une atmosph re tr s tr s douillette a r alis un espace totalement autarcique qui permet ses clients de s immerger dans une ambiance bout du monde et ce dans un tr s grand confort Cas pratiques Alta Terra est un concept original de lieu de bien tre dans la nature il fallait donc trouver un Les indicateurs quipement la hauteur de ce positionnement le Storvatt tait parfait conome en eau trait au brome en bois donc parfaitement int gr son environnement en ext rieur donc tr s en harmonie avec la nature peu co teux 6KE ALTA TERRA Prendre un bain norv gien deux pas du Puy Mary R unissant dans un paysage de carte postale chambre d h tes caf gourmand hammam sauna et bain nordique Alta Terra situ Lavigerie 15 est au diapason de l esprit Nattitude Premier tablissement d Auvergne avoir adopt Trente minutes ont suffit St phane SERRE Le Storvatt Virginie et St phane ont pu capitaliser propri taire de l tablissem
109. ion de pr le ou liciteur rP Chute des feuilles et dess chement des jeunes rameaux Fongicide base de cuivre bouillie bordelaise par exemple Chlorose Vigne Duvet blanc sur branches Chancres Produit anti chlorose D coction de pr le faire bouillir 200g de pr le s che dans 1 litre d eau de pluie durant 30 minutes filtrer et laisser reposer plusieurs jours diluer au 1 10 avec de l eau Cette solution peut tre utilis e en pulv risation directe sur les plants ou en protection pr ventive sur le sol au printemps et en automne La pr le se r colte de la mi juin la mi juillet Vivre au Jardin une richesse gourmande LE JARDIN UN ATOUT S DUCTION Et pourquoi ne pas franchir Le pas Les espaces ext rieurs sont des espaces riches usages multiples Zone d agr ment lieu de d tente et ou de loisirs ils assurent une client le en manque de verdure un acc s direct la nature Ils peuvent donc se transformer en v ritable atout s duction le tout est de savoir les utiliser bon escient Comment faire Il faut commencer par communiquer sur la richesse de ces espaces via les diff rents supports de communication que peut utiliser n importe quel prestataire dans la promotion de son tablissement Internet flyers carte postale Cela permettra de valoriser le travail effectu travers l image la photo prend ici toute son importance puisque c est elle qui donne la premi re impression Les pla
110. ions sociales Urssaf Cong s spectacles Audiens Assedic Afdas m decine du travail L adh sion est gratuite et assure une s curit totale dans les d clarations et les paiements Une assistance t l phonique n Azur 0810 863 342 permet de conna tre directement le montant verser et les d marches effectuer ainsi que tout renseignement compl mentaire Les formulaires sont remis directement par l artiste ou Le technicien ou adress s pr renseign s l employeur sous 48 heures Depuis le T janvier 2004 le dispositif de simplification des d marches administratives est obligatoire pour tous les organisateurs qui n ont pas pour activit principale le spectacle vivant et ce sans limitation du nombre de repr sentations organis es Les organisateurs ne pouvant ou ne souhaitant pas acc der au Guso peuvent faire appel des secr tariats artistiques ou prestataires de services qui Ss occuperont de l ensemble des d marches et cotisations moyennant une participation financi re L organisateur n est plus employeur Concernant les artistes auteurs il existe deux organismes agr s par l Etat pour la gestion de leurs assurances sociales gt La Maison des Artistes Elle est charg e du recouvrement des cotisations sociales dues sur les revenus artistiques per us par les auteurs d uvres graphiques et plastiques peintres sculpteurs graveurs dessinateurs textiles graphistes illustrateurs autres que les
111. ions possibles Soins et massage peuvent tre pratiqu s par des prestataires ext rieurs La spa suite privatisable permet d offrir une palette large de rituels et protocoles esth tiques et spa pour une prise en charge d tente et beaut compl te VESTIAIRES Cabine de d shabillage douche WC et coin remise en beaut compl tent les casiers vestiaires dont certains privatifs lou s aux abonn s Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE 73 Le Spa un march qui explose ce jour on d nombrerait environ 500 Spas en France incluant les Spas h teliers 30 du march Les Days Spas les instituts Encore r serv il y a peu une client le de luxe le Spa s est d sormais largement d mocratis L poque est un recentrage sur soi compl tement d culpabilis en m me temps qu une dramatisation de l environnement quotidien C est dans ce contexte que se comprend l panouissement du march du Spa Il s agit d un march en pleine expansion o l offre est nombreuse la concurrence forte la ba nalisation menace il faut donc merger Caroline Marcoux a introduit cette premi re journ e technique Nattitude en rappelant quelques fondements relatifs l volution de la demande Par Spa Sant Per Aqua on d signe deux types d activit s et de lieux soit humides ce sont les quipements aquatiques et les enveloppements soit secs ce sont les activit
112. ique qui se d veloppe L id e est d accueillir une troupe son domicile Le public est souvent restreint des invitations priv es Dans ce contexte l change et l interaction sont naturellement privil gi s L id e originale est de proposer des productions dans des lieux qui n ont pas cette vocation Ici l id e est d accueillir des artistes dans son pro pre appartement et de le transformer le temps d une soir e en sc ne de spectacles Ce qu il faut retenir dans cette pratique est que le spectacle vivant entre autres peut tr s bien s adapter des lieux autres que des th tres ou des sc nes de spectacles Et plus encore cette salle improvis e permet une proximit des artistes et une convivialit plus vidente Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas Les ressources humaines enfin on pourra en d duire les ressources humaines qu il faudra mobiliser Il peut s agir de b n voles ou de sa propre quipe A 59E POSER LES BONNES QUESTIONS Marc Dietschi a eu un coup de coeur pour le groupe de rock agricole les Flying Tractors et d sire cr er un v nement autour de leur musique dans le cadre du Domaine des Grandes C tes en Allier J aimerais valoriser la fois le concept de rock lt agricole et le milieu rural de la manifestation en faisant par exemple appel des traiteurs et brasseurs l
113. it tre un l ment fort du projet tant par son agencement et sa d coration que par la qualit de repos et d tente qu elle offrira vos clients atmosph re cocooning nn ss 5 p Par ka L i w wave dream Approche high tech avec le concept wave dream pour un effet sous marin exceptionnel l Alphasphere cr e par Sha artiste viennois et chercheur dans les domaines de la perception ou bien encore approche cocooning plus classique avec chemin e lits de repos sur matelas d eau chauffant plaid liseuse et couteurs individuels visuels r tro clair s ou r troprojection d images captur es en temps r el dans la nature environnante alphasph re Le repos et la relaxation COLOR LOUNGE Un lieu branch dynamique et tonique o la convivialit est de mise En p riph rie effets chromatiques et Jeux d images groupe d assises confortables qui invitent au bavardage bar jus de fruits ou l gumes frais pour compl ter la remise en forme CABINE DE SOINS Le massage est de loin le soin le plus appr ci par les clients fr quentant les spas puisque pl biscit par 82 d entre eux C est donc un passage quasi oblig dans un parcours bien tre complet Soins esth tiques vis e relaxante ou technique peuvent compl ter cette prestation Dans tous les cas la les cabine s de soins devront tre polyvalentes pour anticiper les volut
114. ive europ enne 2006 7 CE et l article L1332 2 du Code de la Sant Publique ne s applique pas vu que l eau est captive et ne circule pas librement ni aux r gles fix es pour les piscines art D 1332 1 et suivants du Code de la Sant Publique l eau n tant ni d sinfect e ni d sinfectante LES PRINCIPAUX TEXTES DE R F RENCE Le protocole d exp rimentation dit de Combloux d finit le mode d exploitation de la premi re baignade biologique publique r alis e en France La circulaire de la Direction G n rale de la Sant du juin 2008 pas d avis favorable ou non mettre par la DDASS ARS ouverture et exploitation sous la responsabilit du maire pr l vement hebdomadaire obligatoire Les recommandations de L AFSSET du 30 juillet 2009 relatives l valuation des risques sanitaires li s aux baignades artificielles La circulaire de la Direction G n rale de la Sant du 8 juillet 2010 pr voit l analyse des Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoques aureus pour les baignades artificielles et tablit des seuils de conformit Une r glementation est attendue pour le printemps 2011 Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE La Baignade Biologique conception exploitation et cadre r glementaire RECOMMANDATIONS AFSSET 30 juillet 2009 pour les baignades publiques en eaux captives en g n ral et par filtration biologique en particulier 1 Les recommandations AFSSET po
115. ive par la mise en place de dispositifs de r glementation de sensibilisation et d incitation Engager une r habilitation thermique globale d un b timent vocation touristique ou une r novation doit donc s inscrire minima dans la r glementation thermique 2005 sachant que cette r glementation sera obsol te dans 2 ans RT2012 Pour en savoir plus http isolation comprendrechoisir com La sobri t sur l eau chaude sanitaire Pour r duire Les consommations d eau chaude Veiller limiter au strict n cessaire le nombre de point de puisage d eau chaude Installation de douche plut t que de baignoire Limiteur de d bit et pomme de douche 6L min dans l id al Installation de mousseurs Installation de robinet thermostatique temporis R cup rer la chaleur de la douche Produire de l eau chaude avec des nergies renouvelables g othermie solaire bois Pour en savoir plus sur la r glementation thermique www rt batiment fr c Pr conisations et actions pouvant tre mises en place pour La sobri t thermique Veiller limiter les gaspillages et les d perditions Courant d air gt perm abilit R gulation mal r gl e T C int rieure lt 19 C r glementaire Comportement des occupants sensibilisation des client les et du personnel La sobri t lectrique Eclairage Fin des ampoules incandescence en 2013 gt Choisir des ampoules L
116. l europ en d origine et de qualit qui tablit un lien g ographique entre un produit et une r gion Elle d signe un produit originaire d une r gion dont une qualit d termin e la r putation ou une autre caract ristique peut tre attribu e cette origine g ographique et dont la production et ou la transformation et ou l laboration ont lieu dans l aire g ographique d limit e 5 SP CIALIT TRADITIONNELLE GARANTIE STG 1982 Produits alimentaires frais et transform s sauf vins et spiritueux D livr e par l INAO Un savoir faire traditionnel souvent attach une origine g ographique mais pas n cessairement Exemples Jambon Serrano Mozzarella 6 LES PRODUITS SOUS LABEL ROUGE Ce label garantit une qualit organoleptique sup rieure contr l e d s l amont jusqu la commercialisation N la demande d aviculteurs exc d s par la pi tre image du poulet de batterie ce label garantit une qualit organoleptique sup rieure contr l e d s l amont jusqu la commercialisation G r par une structure collective organisme de d fense et de gestion ODG Plus de 200 produits en France de l agneau au pain en passant par le bar d levage la pizza ou la raviole du Dauphin Exemples Poularde jaune Veau sous la m re Beurre de baratte Seul signe officiel garantir une qualit sup rieure des produits 7 L ALIMENTATION DURABLE RAISONNEE ETC Dans ce concept encore flo
117. l y ait un cart tr s fort Je fabrique aussi davantage de choses du pain des viennoiseries des confitures Ca prend du temps Je pense qu en r alit j en gagne Je fais plus de choses moi m me c est vrai mais maintenant je me d place tr s peu pour tous mes appros j ai essentiellement mon AMAP et le magasin Bio Au d but de la saison je me fais livrer les ingr dients que je ne peux pas trouver sur place p tes haricots farine sp cial caf th mais aussi de la bi re et du vin et apr s c est juste les ingr dients frais que je dois acheter r guli rement Le temps je l ai pris avant pour cr er l AMAP J aime le principe le fait de se voir une fois par semaine de pr voir ensemble et comme il n y en avait pas proximit de chez moi alors avec d autres bien sur je l ai faite Ca donne mati re discussion avec vos clients Mes clients sont chez moi en vacances pour se lt reposer et se d tendre c est vrai que beaucoup 111 sont d j sensibilis s mais pas tous je ne leur impose rien je pr sente mon menu les aliments bio les producteurs etc puis Je r ponds leurs questions quand il y en a et les discussions d marrent r guli rement J aime que le repas soit un temps de sensibilisation et de r flexion personnelle je montre les l gumes anciens j explique mes techniques de jardin potager Chacun peut faire un peu son chelle et pour moi c est important de
118. la mise en eau de la piscine PARAM TRES NORMES La r glementation anticiper les risques et les contraintes COMMENTAIRES Eau de javel chlore gazeux hypochlorite de calcium A d terminer en fonction du pH et du Chlore libre DPD n 1 Staphylocoques pathog nes 0 pour 90 des chantillons Le dispositif repose sur l exploitant et sa capacit assurer une auto surveillance tenir jour le carnet sanitaire faire respecter la Fr quentation Maximale Instantan e faire respecter le r glement int rieur informer les baigneurs sur les r gles d hygi ne entretenir r guli rement les installations r aliser ses autocontr les 2 fois jour relever les teneurs en chlore pH et v rifier la transparence de l eau 1 fois jour apporter de l eau neuve 50 70l j usager conseill 1 fois semaine doser le stabilisant Plus de d tails sur le site http auvergne sante gouv fr environn qualieau piscine htm La r glementation anticiper les risques et les contraintes SPAS ET BAINS REMOUS R glementation La r glementation appliqu e est celle des piscines en pr vention du risque sanitaire Code Sant Publique L 1332 1 L 1332 9 A l exception des baln oth rapies ou baignoires de relaxation qui sont vidang es nettoy es et d sinfect es apr s chaque utilisation Il existe n anmoins une ambigu t de l article L 1332 1 piscine ou bain qui consid re le
119. lard Politiques territoriales Livre et lecture T l 04 73 28 87 91 francoise dubosclard letransfo fr Centre Culturel LE BIEF 17 rue de Goye 63600 AMBERT T l 04 73 82 16 59 culture lebief wanadoo fr Lionel Zwenger directeur Association LIRA 4 rue Antoine Moillier 63160 BILLOM T l 06 77 14 92 44 libraires auvergne orange fr Anne Branger pr sidente Odette Roquette d l gu e Horizons Rencontres Arts Nature Office de Tourisme du Sancy 6 avenue du G n ral Leclerc 65240 Le Mont Dore T l 33 0 4 73 65 20 21 Magalie Vassenet responsable d v nement m vassenet sancy com Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE T moins Domaine des Grandes Cotes 03 Marc Dietschi www domaine des grandes cotes com Auberge de Concasty 15 Martine Causse www auberge concasty com Jardins des Th venets 03 Lynn et Olivier Chaulieu www jardins des thevenets com Hostellerie de la Maronne 15 Alain Decock www maronne com Val rie Brunel artiste peintre Chamali res www valeriebrunel odexpo com Jean Fran ois Dubourg maire du Mont Dore Daniel Gauttier librairie Papageno Clermont Fd 73 74 Carnet d adresses amp r f rences lire Le Globe Veilleur http veilletourisme ca 2008 04 24 des hotels pas comme les autres http veilletourisme ca 2006 09 29 et si la culture allait a la rencontre des touristes http veilletourisme ca 2004 03 02 lhotel XC2 AB
120. lisation des produits bio et cologiques gestion des d chets sont devenus courant Prolonger leurs efforts en vacances leur deviendra de plus en plus naturel Pour de meilleurs r sultats privil gier l approche p dagogique et surtout ludique en d clinant les messages sous plusieurs formes Chez nous le tri est un jeu qui amuse beaucoup les enfants car nous avons install de grands filets environ 2 m sous quelques panneaux de baskets pour collecter les bouteilles plastiques recycler Incroyable ils se chamaillent pour faire le tri Camping nautic international Caurel Clef Verte 1e IIl CO COMMUNIQUER valoriser votre d marche environnementale Pensez proposer des jeux de soci t sur le th me du d veloppement durable ou des DVD documentaires sur la r gion ou sur les grands d fis environnementaux Contacter les fournisseurs de jeux colos Bioviva la nature en jeu Idsolaires organisateurs d ateliers p dagogiques D autres messages sont port s en continu par des personnages que l on suit tout au long du s jour T 0O au Vert Plateau Allier T 0 pr sente et explique aux enfants comme aux adultes en s appuyant sur les quipements pr sents sur le site les nergies renouvelables les probl mes li s l utilisation de l eau le tri des d chets Lien Vert Plateau De mani re plus informelle l co communication passe par l affichage sur le lieu du s jour et sur les di
121. lusieurs artistes de spectacles percevant une r mun ration M me si ces entrepreneurs sont dispens s de l obligation de d tenir une licence les repr sentations doivent faire l objet d une d claration aupr s de la pr fecture du d partement ou de la mairie o a lieu la premi re repr sentation publique au moins un mois avant la date pr vue L organisateur occasionnel de spectacles peut relever de statuts multiples association entreprise individuelle soci t commerciale collectivit publique comit d entreprise voire particulier l occasion d un v nement priv Dans le cadre de l engagement d artistes l organisateur occasionnel est assimil un organisateur non professionnel du spectacle vivant Attention l organisateur occasionnel de spectacles peut parfaitement faire appel des artistes professionnels engag s directement ou par l interm diaire de producteurs de spectacles a 4 L EMPLOI D ARTISTES gt Amateur ou professionnel e Amateur Le terme de groupe amateur ou d individu amateur d signe toute personne b n vole qui organise et produit un spectacle vivant sans percevoir de r mun ration Un d cret de 1953 donne la d finition suivante Est d nomm groupement d amateurs tout groupement qui organise et produit en public des manifestations Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas
122. ment d une r glementation appropri e Type4 Nettoyage de surface filtration en mat riaux inertes oui 30 50 3 r pondre aux besoins des professionnels et Type5 Nettoyage de surface filtration en mat riaux oui gt 20 ma tres d ouvrage documentation recherche scientifique conf rences sp cifiques soit pour l adsorption du P 4 assurer la repr sentativit et La d fense des soit pour mettre du N disposition du Biofilm int r ts de la profession 5 repr senter la France au sein de l association internationale pour la baignade Biologique IOB La Baignade Biologique conception exploitation et cadre r glementaire LA SITUATION EN FRANCE ET EN EUROPE En France trois baignades publiques municipales sont en activit COMBLOUX 74 MONT PRES CHAMBORD 41 et LA CHAPELLE SAINT SAUVEUR 71 En Europe de nombreuses baignades biologiques publiques existent en Allemagne En bleu baignades biologiques communales En vert baignades biologiques publiques en combinaison avec sauna En rouge baignades biologiques priv es accessibles au public h tels campings etc Ann e 1 r alisation Nbre de baignades Autriche 1991 30 Allemagne 1990 140 Suisse 2000 6 Italie 1996 5 France 2002 5 LE CADRE R GLEMENTAIRE EN FRANCE Les baignades biologiques ne sont soumises ni la r glementation relative aux eaux de baignade car la d finition d une eau de baignade pr vue par la direct
123. ments touristiques http www auvergne tourisme info upload brochure Bro chure_Ecoguide pdf Le Globe Veilleur http veilletourisme ca 2004 04 07 conjuguer tourisme et bien etre la grande aventure du spa lere partie http veilletourisme ca 2004 04 07 la grande aventure du spa ieme partie mais qui frequenteles spas http veilletourisme ca 2007 04 03 le spa en hotel sim ple service complementaire ou centre deprofits http veilletourisme ca 2008 02 07 les tendances 2008 pour des spas en C2 ABsante C2 BB A visiter pour s inspirer EN FRANCE ET EN EUROPE La ferme de Marie http www fermesdemarie com La ferme thermale d Eug nie les bains http www michelguerard com Les sources de Caudalie http www sources caudalie com Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE Les Cinq Mondes http www cingmondes com franchise Daniel Jouvance http www espacemer danieljouvance com accueil htm La gr e des Landes http www lagreedeslandes com La clairi re http www la clairiere com La ferme de Divali http www lafermededivali com DANS LE MONDE Banyan Tree http www banyantreespa com si Six senses http www sixsenses com Une dition assur e par la MIATA Mission d ing nierie et d am nagement touristi que d Auvergne un service du Comit R gional de D veloppement Touristique d Auvergne T l 04 73 29 49 30 miata crdt auvergne fr Cr dits photos J Damase D Frobert J Mondi re PHOVOI
124. n tre sans superflu ni artifices B Une diffusion artistique insolite 1 Des h bergements mus es Dans des vitrines de boutiques 3 Dans des appartements particuliers IIl PASSER L ACTION LE M MO VOUS GUIDE PAS PAS A Se poser les bonnes questions 1 Qui je veux toucher Quelles sont mes contraintes B Se faire accompagner 1 J affine mon projet O trouver les ressources a Accompagnement de projet b Les artistes 3 Mes obligations a L organisation de spectacles th tre concerts lecture etc a1 La faisabilit du projet a l La mise en uvre du Projet a 3 L organisateur occasionnel de spectacles d finition et obligations a 4 L emploi d artistes a 5 Le b n volat b L organisation d expositions d arts sculpture peinture int rieur ou ext rieur etc C La mise en valeur de l action 1 Ambassadeur de la proposition artistique a Je connais la d marche de l artiste b Mon h bergement s adapte l artiste c J assure le lien avec l artiste 2 La communication autour de l artiste et de ses uvres a Sur les lieux b Surinternet c Aupr s des clients cibles des relais D L valuation de l action 1 Je recueille les ressentis Je m appuie sur mes objectifs initiaux 3 Je soul ve des pistes d am lioration IV IMAGINER DES PERSPECTIVES COMMUNES A Horizons faire exister La communaut de communes et la coh sion B LIRA mettre en relief
125. n culturelle http www cantal fr Conseil G n ral de la Haute Loire service culture T l 04 71 07 43 71 service patrimoine http www ce43 fr Conseil G n ral du Puy de D me service culture T l 04 73 42 20 20 http www puydedome com 3 Mes obligations En tant qu organisateur d v nement culturel l h bergeur doit r pondre un certain nombre d obligations Toutefois il est vident que l organisation d une exposition d art ne se d roulera pas de la m me mani re que celle d un concert C est pourquoi la partie suivante distingue tr s nettement ces disciplines Par ailleurs l organisation de deux v nements m me s il s agit des m mes disciplines ne peut tre dupliqu e l identique Chaque v nement m rite une r flexion propre et donc une organisation sur mesure a L organisation de spectacles th tre concerts lecture etc a 1 LA FAISABILIT DU PROJET D finir Le projet Les moyens disponibles Tout porteur de projet culturel doit pouvoir d finir son projet Si l uvre existe au pr alable il s agit d un projet de diffusion Si au contraire l uvre est suscit e on parle de cr ation Pour identifier son projet et organiser le montage d un spectacle il est g n ralement n cessaire de mobiliser un ensemble d objectifs r unir les acteurs de sa mise en uvre trouver les financements publics et priv s pour soutenir le projet et cibler le public auquel on souhaite s adres
126. nant on parle de produits cosm tiques naturels provenant du pays d implantation Cela plait autant que les grandes marques car les clients recherchent le contact avec la nature enfin une tendance un peu transversale li e l cologie et l authenticit par exemple le bio Spa C est l exemple de la Ferme d Eug nie dont parle Michel Gu rard son cr ateur Nous nous sommes appuy s sur le terroir local l harmonisation avec la nature les plantes qui cr ent une v ritable ambiance pendant les soins La Ferme thermale est un lieu de vie unique en son genre Par ailleurs pour le cr ateur de Cing Mondes toutes les r gions sont int ressantes Fondamentalement chaque terroir a ses atouts et il existe des milliers de plantes Chaque r gion a ses ressources naturelles il suffit de les observer et de les int grer voir la gr e des Landes Le Spa un march qui explose UN MARCH PLUS POPULAIRE ET PLUS MASCULIN Caroline Marcoux pr sente le profil des pratiquants de 30 65 ans avec un c ur de cible essentiellement f minin entre 30 et 45 ans 70 Les hommes nouveaux consommateurs recherchent massages fitness sauna et hammam Les femmes elles restent ax es sur les massages et les soins corps et visage une demande de soins et massages en duo couple ou amis en forte progression des client les urbaines et actives plut t ais es QUELLES
127. ncipe 4 Je fais de mon Refuge un espace sans chasse pour la biodiversit En m engageant ne pas chasser dans mon Refuge s il se situe dans une zone o la chasse peut s exercer En entreprenant toute d marche utile mon initiative et avec les conseils de la LPO pour que la chasse puisse y tre interdite dans les meilleurs d lais Plus de renseignements LPO Auvergne bis rue du Clos Perret 63100 Clermont Ferrand T l 04 73 36 39 79 auvergne lpo fr Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE Quel int r t Le cas du Domaine de Gaudon Alain Bozzo Ceilloux 63 Le parc de 4 ha est le v ritable tr sor des lieux C est un espace d licat divis en trois parties parc ornemental parc sauvage et zo nes humides qu Alain s attache pr server et valoriser C est donc naturellement qu il a pris contact avec les services de la LPO pour devenir son tour un refuge pour la faune et la flore locale Ila ainsi dot son parc d une ving taine de nichoirs qui accueillent aujourd hui rouges gorges martin p cheurs et d une plate forme d observation depuis laquelle la client le peut aujourd hui admirer la faune r gionale Pour compl ter ces am nage ments les propri taires des lieux fournissent galement jumelles brochures explicatives et planches descriptives du parc aux plus cu rieux Au vu de l investissement ce petit plus apporte finalement beau coup la
128. nomiser 9 litres d eau par minute Si vous d tectez une fuite ou un goutte goutte merci de le signaler la r ception ou de remplir la fiche de maintenance afin que nous puissions y rem dier Un robinet qui fuit c est jusqu 120 litres de perdus par jour En teignant la veille de la t l vision pendant la nuit vous conomisez l quivalent de son utilisation pendant e films Affichage internet visible et fourni Exemple L h tel les Orangeries a d velopp un Blog Eco label Exemple de textes pour le nettoyage des serviettes La Clef Verte IIl CO COMMUNIQUER c Fournisseurs et autres partenaires Faire le choix de fournisseurs locaux fili res courtes acheter durablement et le faire savoir tablir son cahier des charges environnement pour le choix de ses fournisseurs sont autant de bonnes pratiques qui peuvent tre mise en place Comment reconna tre les produits qui minimisent leurs impacts sur l environnement tout en conservant leurs performances La r glementation oblige les entreprises donner certaines informations environnementales sur certains produits Parall lement de mani re volontaire de nombreuses entreprises ont fait de l environnement ou du d veloppement durable un facteur de diff renciation marketing pour leurs produits Mais comment s y retrouver dans tous les logos officiels et Les marques de reconnaissance Il existe des
129. ns panoramiques et les visites virtuelles en 360 sont deux techniques recommand es et le texte et de faire le lien entre la faune et la flore pr sentes sur place et l environnement direct Plus qu une simple contemplation les espaces ext rieurs peuvent galement permettre la mise en place de certaines activit s sentiers de d couverte lieu d observation balades th matiques partir de l un v ritable produit touristique associant h bergement activit s th matiques sur Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE les jardins peut tre cr Ce produit une fois mis en place peut servir attirer ou fid liser de nouvelles client les Ce produit enfin peut tre partag et entra ner une collaboration entre diff rents h bergements Bref de multiples solutions utiliser sans mod ration Les Jardins de L otoing Claudine Cormerais Chambres d h tes A la Buissonni re L otoing 43 Claudine Cormerais propri taire de la chambre d h tes A la Buissonni re L otoing a depuis plu sieurs ann es compris l importance donner ses ext rieurs Cette amoureuse de la nature travers son association Les amis de L otoing a ainsi construit ann es apr s ann es un projet la fois touristique cologique agrico le et culturel sur son territoire et au sein m me de son tablissement Son objectif Valoriser Le patrimoi ne humain la faune et la flore pour de mani re plu
130. ns le d veloppement de toute une palette de stages et d activit s nouvelles atelier d gustation stage de cuisine pour les grands les petits les quipes en s minaire de p tisserie de je ne exp rience in dite manger dans le noir ludique Voir http www onnejouepasatable com Ce type d offre g n re rarement beaucoup de volumes de r servations mais il a l norme vertu de donner du relief une offre souvent tr s similaire et d attirer ainsi l attention des m dias des r seaux et donc de faire parler de vous 117 118 JEAN MARC POURCHER Domaine de la Siarre Sermentizon 63 Nombre de couverts 15 Ticket moyen 45 50 boissons comprises Approvisionnements locaux de 50 Au Domaine de la Siarre le chef est toujours en sc ne vous tes exhibitionniste Peut tre En fait j ai cuisin de nombreuses ann es enferm dans ma cuisine bien loin des clients Parfois c est bien quand l humeur n est pas au beau fixe mais comme a n arrive jamais J avais envie de contacts de discuter de montrer de partager C est un restaurant assez inhabituel racontez nous Vid o La cuisine est ouverte comme elles le sont maintenant dans les foyers Bien s r cela demande plus de soins et d attention et surtout beaucoup de rigueur Autre particularit il n y a qu une grande table dans le prolongement de la cuisine et les clients s assoient les uns c t des
131. nt qui s duit une part croissante de la client le aujourd hui en manque d espaces naturels pr serv s Des visites de d couverte de la faune et de la flore y sont programm es et permettent aux vacanciers de d couvrir la nature environnante Aujourd hui gr ce tous ces efforts et suite une enqu te de satisfaction men e aupr s de sa client le Le camping sait que son parc s duit 98 des personnes ayant s journ sur place Un v ritable avantage concurrentiel ne surtout pas n gliger Plus de renseignements www laribeyre com Entretenir son Jardin les bons gestes FAIRE LES BONS CHOIX ne corv e pour certains un plaisir pour d autres Le tout est de savoir faire les bons choix D s le d part il faut donc se dire qu un am nagement bien con u ne n cessitera pas un norme entretien tout d pend du style choisi A l inverse il vaut mieux faire preuve de r alisme et viter de se dire qu un am nagement sans entretien peut exister cela ne sera jamais le cas ENTRETENIR POURQUOI L entretien du jardin permet avant tout de conserver et de profiter pleinement du paysage durant des ann es C est ce travail r gulier qui apporte la plus value l investissement de d part Autrement dit un jardin gagne en valeur s il vieillit bien En effet chaque l ment qui le constitue volue change prend du volume Les espaces ext rieurs peuvent ainsi prendre plusieurs visages durant un
132. ntes des consommateurs qui reposent en partie sur des croyances et des repr sentations collectives Les r sultats de la deuxi me vague juillet 2007 r v lent que pour un Fran ais sur cinq se nourrir est d abord une n cessit La recherche du plaisir arrive en deuxi me position mais d sormais elle est presque rattrap e par une pr occupation l incidence de l alimentation sur la sant Entre 2007 et 2008 des changements importants ont eu lieu en raison du contexte d augmentation des prix des produits alimentaires La sensibilit aux prix est exacerb e et conditionne un comportement frugal orient vers les fondamentaux moins de qualit de marques plus de prix En 2009 les tendances observ es se stabilisent Pourtant quelques signaux de recherche de sens consommation de produits durables d origine r gionale apportant du go t se font jour et annoncent une volution des repr sentations de l alimentation Barom tre 2009 des perceptions alimentaires 103 Extrait d une publication CREDOC L alimentation au c ur de nouvelles aspirations 1 P LU S D F S E N S Cette app tence pour les valeurs montantes du local et du r gional constitue une aubaine DE SIMPLICIT incontestable les experts de XERFI montrent dans cette tude que le march recouvre en fait ET DE NATURALITE a 3 r alit s qui constituent autant de segments de a Le march des produits r gionaux march sp cifiques n
133. ocaux J ai contact le Transfo qui m a aid prendre en compte les difficult s pratiques de la mise en oeuvre et de la n cessit de travailler en quipe Le projet avance 1 Qui je veux toucher Il est essentiel de savoir qui s adresse le projet Marc Dietschi cible son projet destination de sa client le mais il souhaite l ouvrir un public ext rieur compos de locaux et de visiteurs 1 Quelles sont mes contraintes Le budget Quelle est mon enveloppe Quelles autres ressources je peux mobiliser Le lieu D terminer l espace d di l v nement et mesurer la surface disponible La jauge il faut galement valuer Le nombre de personnes attendues et savoir que les enjeux ne seront pas les m mes normes de s curit places de parking suivant la jauge A titre d exemple Marc Dietschi du Domaine des Grandes C tes Target 03 souhaite d velopper des animations culturelles autour de son h ber gement avec un objectif actuel d une par an Son id e est de proposer une animation qui soit en harmonie avec son site et dans l esprit de son h bergement roulottes et yourtes investir un champ pour un concert La programmation serait elle aussi coh rente puisqu il a pens du rock agricole avec le groupe local les Flying Tractors Au del de son activit d h bergeur il souhaite que cela permette de mobiliser les nergies locales l chelle du ter ritoire ALT le
134. oir des galets ou autre rev tements qui en marchant dessus massent la vo te plantaire Les chocs thermiques successifs stimulent la circulation sanguine des membres inf rieurs soulagent et apaisent les jambes fatigu es procurant une sensation de fra cheur et de l g ret C est un pr alable id al la pratique du sauna ou du hammam Une version plus simple consiste placer des bacs carrel s quip s ou non d un syst me baln o devant un banc carrel chauffant pour pratiquer des bains de pieds altern s De la bonne pratique du bien tre SAUNA Le rituel du sauna dit finlandais qui se pratique une temp rature entre 80 et 100 C et un taux d humidit de 3 6 est tr s pris des sportifs apr s l effort pour liminer les toxines Le rite qui consiste verser une eau aromatis e sur les pierres chaudes du po le et r partir la vapeur ainsi produite en faisant tournoyer une serviette fait encore monter la temp rature dans la cabine pour le plus grand bonheur des puristes Le mode soft ou bio lui fonctionne une temp rature de 50 60 C et gr ce un humidificateur reli son po le g n re un taux d humidit de 30 40 exempt de toute production de vapeur La chaleur plus douce m nage la circulation et active la sudation chez les non initi s au rituel du sauna Les effluves d herbes aromatiques participent au bien tre Ce mode est particuli rement appr ci
135. olabel Europ en Audit blanc 50 pris en charge par l ADEME dans le cadre d un accompagnement plus global Audit de certification 50 pris en charge par le Conseil r gional d Auvergne plafonn 1200 jour Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE I D MARRER Vers une d marche environnementale e Des outils de travail disponibles au CRDTA sur demande Le CRDTA anime des groupes de travail pour favoriser les changes entre professionnels Ces groupes Un tableur pour s auto valuer en regard de b n ficient de l intervention des partenaires mobilis s autour du projet Nattitude l ADEME le CPIE l colabel europ en tr s pratique pour suivre ses l AFNOR des cabinets sp cialis s progr s gt Les instructions de lecture de l colabel europ en Formation 1 ORRE Guide de lecture lien ne Constitution l colabel et ou d Des outils documentaires et m thodologie oo HETOURS de travail 1 Frame du classeur Environnement colabel M mo des co achats Tableau de bilan des consommations d eau Tableau de bilan des consommations d nergies R unions techniques co communication d chets SME produits d tergents nergie etc Auto valuation Sensibilit du milieu local Auto valuation R glementation applicable ECOLABEL lt Crit res environnement de Camping Qualit Plan d actions remplir Eco guide du CRDTA lien L
136. on escient Plusieurs pratiques peuvent alors tre utilis es R cup rer l eau de pluie installer des r cup rateurs sous les goutti res un puit ou tout simplement utiliser l eau de source permet un arrosage optimal et moindres frais Le binage est galement une pratique appropri e Effectu un ou deux jours apr s une forte pluie ou un bon arrosage il ameublit la terre en assure une meilleure a ration et permet d liminer les herbes parasites La remont e d eau par capillarite la surface du sol et par cons quent son vaporation sont ainsi consid rablement frein es Le paillage est un compl ment efficace du binage Les r sidus du nettoyage des vivaces et des tailles diverses peuvent alors tre utilis s pour tre tal s sur la terre Cette technique permet en effet de limiter l arrosage limite l vaporation et maintient un bon taux d humidit le d sherbage chimique le ph nom ne de battance tassement de la terre sous l action de la pluie et favorise la vie microbienne Arroser bon escient d s que les derni res traces d humidit ont disparu la surface du sol plut t le matin qu en pleine chaleur et privil gier l arrosage individuel Certaines plantes sont galement moins consommatrices que d autres La fertilit de La terre Pour fertiliser Les plantes rien ne remplace les engrais naturels compost fumier terreau de feuilles guano Riche en mati re organi
137. on musicale Blesle et par l m me de faire d couvrir le village Chacun sa fa on cr e des lieux et des moments qui permettent l change la cr ation de lien la discussion C est un apport facile mettre en uvre pour peu qu on y ait pens en amont Il contribue pour beaucoup au souvenir 93 Il TENDANCES Nature partage et inspiration 4 Des moments de simplicit de bien tre sans superflu ni artifices JARDINS EN SC NE COCONS VERTS POUR SPECTACLES VIVANTS CRT Picardie amp Spectacle vivant en Picardie EPCC Etablissement Public de Coop ration Culturelle www jardinsenscene picardie com La particularit de ce e co festival est qu il se Tour om en t La Picardie r branit Nos 5 F PE aa e Plus pr cis ment il investit 13 jardins de Picardie qu ils soient historiques potagers ou romantiques L initiative est partie d une volont de faire d couvrir ces jardins et d augmenter leur fr quentation Comme pour Horizons les compagnies prennent possession des lieux et les jardins ne se limitent pas des d cors Ils font partie int grante du spectacle et de la cr ation CD r SAS JARDINS dem SCENE d roule dans des jardins LECTURES SOUS L ARBRE 43 ET 42 Organis es par l association Typographie amp po sie en collaboration avec Cheyne diteur et r alis es en partenariat avec La Com die de St tienne www lectures sous l
138. oners cartouches reprise fournisseur Cuisine mettre en place plusieurs conteneurs au d conditionnement Rechercher les endroits les plus pratiques pour implanter les poubelles suppl mentaires plastiques m taux Entretien reprise fournisseurs pour DEEE n ons ampoules basse consommation Valoriser les d chets organiques Composter les d chets verts avec ou sans les d chets de cuisine gt Eliminer les d chets sp ciaux Retour aux fournisseurs toners cartouches d imprimantes N ons ampoules basse consommation D chetterie ou collecteurs sp cialis s huiles alimentaires usag es vidanges des bacs graisses piles restes de peintures huiles moteurs f M mo colabel europ en gestion des d chets Le r f rentiel colabel europ en fait r f rence la gestion des d chets dans les crit res suivants Crit re 17 tri des d chets par les h tes Crit res 18 tri des d chets par cat gorie tri des d chets dangereux Crit re 19 produits jetables Crit re 20 conditionnement des petits d jeuners 2 LE SYST ME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL Le syst me de management environnemental SME est un mode d organisation interne sp cifique qui permet de structurer la d marche d am lioration permanente vis vis de l environnement Pour les aspects environnementaux retenus comme prioritaires l tablissement tablit un programme d intervention objectifs e
139. ous nourrir et aussi d appr hender nos loisirs Le choix d une destination touristique est donc pleinement dict par ces nouvelles envies Ce nouveau monde en train de na tre est plus sensible la mixit et l ouverture vers les autres mais aussi plus soucieux de simplicit d quilibre d change et de citoyennet Ce retour la simplicit la v racit de rapports humains sinc res et sans tape l il l Auvergne l incarne aujourd hui comme de tout temps Elle ne c de pas une envie soudaine de racheter sa conduite elle ne se peint pas de vert elle est tout cela D clin es comme pour une personne les valeurs de l Auvergne qui sous tendent la fois sa nature profonde et son d veloppement venir sont le lien la nature les valeurs humaines le sens du partage l inventivit et la rigueur ou l exigence de qualit Si ces valeurs sont ancr es dans l identit profonde de l Auvergne si elles sont justifi es prouv es par des faits et des preuves certaines sont moins per ues que d autres La naturalit par exemple est tr s spontan ment associ e l Auvergne ses espaces vierges ses lacs etc En revanche les notions d nergie de cr ativit et dans une moindre mesure de cr ation de liens sont moins visibles pourtant les faits sont l elles doivent tre davantage valoris es L Auvergne des valeurs tr s actuelles L Auvergne pour tre attractive a besoin simultan ment de tous c
140. ouveaux eldorados de la fili re alimentaire Le cabinet d tude XERFI publiait en d cembre 2010 une tude approfondie sur les produits r gionaux moteurs de l innovation en mati re d agroalimentaire 1 l offre locavore r pond aux attentes qualitatives et cologiques du consommateur la recherche de produits savoureux et sains mais aussi respectueux de l environnement 2 l offre r gions et terroirs correspond des sp cificit s culinaires r gionales Ce segment est en partie structur autour de petites marques r gionales parfois r unies sous des banni res communes Pour l Auvergne Bravo l Auvergne Terroir des combrailles saveurs du livradois etc Ce ph nom ne leur parait prendre appui sur 2 axes extrait de la synth se 1 La mont e en puissance de tendances socio comportementales ax e autour du locavorisme consommation de produits fabriqu s pr s de chez soi 3 l offre made in France promise un bel avenir m me si elle s loigne de l offre locavore et r gionale Le besoin de r assurance des consommateurs en mati re d alimentation se manifeste par une mise en avant de plus en plus pr gnante du made in France de la part des industriels agroalimentaires Le second est en lien avec la crise le penchant au repli sur soi qui tend favoriser le made in France AN Wi MNI ti WA Tendances manger local sainement amp
141. par les femmes Opter pour un po le mixte permet de choisir entre ces deux modes pour personnaliser l offre bien tre propos e au spa HAMMAM En Occident le terme hammam s applique de mani re impropre au bain de vapeur qui n est avec 3 la salle ti de les salles de gommage le bassin et la salle de repos qu une des composantes de la pratique traditionnelle du hammam Son atmosph re 45 C de chaleur et satur e d humidit ouvre les pores et pr pare la peau au gommage qui lib re la couche sup rieure de l piderme des cellules s ches et mortes qui l entravent et la pr pare efficacement au soin ou au massage qui suivra Sa vapeur chaude et aromatique incite s alanguir dissipe les tracas quotidiens engendre l assouplissement des articulations et des muscles et procure par l m me une profonde d tente FRIGIDARIUM O BAINS FROIDS Dans la Rome antique le frigidarium tait la partie des thermes o se pratiquaient les bains froids Pour lui assurer un maximum de fra cheur les architectes le b tissaient en g n ral du cot nord avec un minimum a l d ouvertures sur l ext rieur afin d viter l accumulation de la chaleur solaire De nos jours fontaine glace pil e cabine de glace Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE aux murs couverts de givre ou snowroom rempli de neige fra che et poudreuse ont avantageusement remplac ces bassins en remplissant la m me fon
142. parente un individu avec sa personnalit son esprit et son authenticit Il suscite une r ponse motionnelle tout comme une uvre d art D ailleurs l Art fait partie int grante de son concept Le parti pris r side dans le jusqu auboutisme du cr ateur Son angle d approche est le c t tr s tendance baroque et excessif Le Gramercy Park Hotel au c ur de New York est une illustration de ce concept Au del de ces chambres soigneusement agenc es personnalis es et d cor es elles sont uniques car chaque l ment qui la compose est une v ritable uvre d art les tissus les photographies les peintures etc Les clients peuvent aussi d couvrir dans le hall du Gramercy Park Hotel des uvres d art du 20 si cle par les c l bres artistes Andy Warhol et Damien Hirst notamment Les uvres pr sent es changent r guli rement et les clients li s au monde de l art sont invit s pr senter des uvres du m me calibre et de la m me excellence Le client est donc invit participer au projet Cette id e d impliquer ses clients est assez percutante originale mais aussi tr s atypique Proche de l h tel mus e il s agit d une opportunit rare et totalement nouvelle de d couvrir des uvres d art dignes d un mus e dans un lieu intime et inhabituel Sortir du cadre tirer profit d un parti pris cela peut se faire la mani re du Gramercy outran ce ou de la Compagnie de th tre en d calag
143. petite collection de plantes aromatiques une roseraie un coin de repos une mare De cette mani re un jardin de quelques ares seulement peut devenir tr s vite un labyrinthe sensations Nattitude c t jardin GUIDE NATTITUDE r S lo Astuces pratiques Pour viter que la palissade ne cr e un sentiment d enfermement avec sa paroi opaque continue pourquoi ne pas l installer en biais de mani re laisser un jour entre chaque section ou disposer des palissades compos es de lattes inclin es Au sein du jardin le regard pourra d j deviner l un ou l autre l ment d couvrir de l autre c t Les plessis beaucoup utilis s au Moyen Age sont de nouveau la mode Il est facile de les r aliser soi m me des branches fines sont 29 tress es entre des piquets Pour cr er une certaine harmonie il faut choisir des essences r sistant bien au pourrissement et ne pas h siter d cliner les diff rents types de tressage Et si des piquets m talliques et deux forts treillis rempla aient les piquets et le palissage traditionnels en bois Galvanis s rouill s ou remplis avec des pierres de lave qui apportent une note de chaleur au sein du m tal ces l ments apportent une touche contemporaine vos ext rieurs Et les d chets de taille Plus simple que le broyeur ou le compost les branches taill es peuvent tre tass es entre deux rang es de piquets Se forme ainsi une palissade au
144. ping La Ribeyre 63 Christian Pommier 1 71 CONTEXTE Situ 830 m d altitude sur d anciennes terres agricoles forte tradition d am nagement Terrains plats et herbes naturelles Un sous sol de 36 m de profondeur de terres arables ce qui pose probl me car les arbres poussent tr s vite CHOIX DES V G TAUX Une soixantaine d essences d arbres diff rentes est pr sente sur Le camping mais attention le choix des esp ces n a pas t li au hasard certaines ont purement t limin es les arbres qui pleurent trop salissants Les feuillus avec de grandes feuilles ex marronniers diminuent trop la luminosit les arbres aux branches trop cassantes ou tout simplement les arbres trop grands trop dangereux les m l zes perdent trop d aiguilles ce qui pose probl me pour les goutti res notamment L arbre id al semble donc se rapprocher du prunus petites branches pas cassantes et petites feuilles id al galement pour l entretien L objectif g n ral ne pas perdre de vue est d viter d avoir trop d arbres sur l ensemble du parc Cela permet de limiter la perte de lumi re mais aussi et surtout l humidit pr gnante dans les for ts Les fleurs sont galement importantes au camping L approvisionnement se fait chaque ann e aupr s des horticulteurs locaux le gel trop fort cette altitude en hiver emp che de conserver les plants d une ann e sur l autre
145. que ils ont un fort pouvoir fertilisant Les associations gagnantes L ail plant au pied des p chers fraisiers rosiers et pommes de terre il les prot ge des maladies et leur permettra d avoir une croissance harmonieuse L aneth en compagnonnage elle est utilis e pour loigner les pucerons les araign es rouges et les teignes des poireaux Le basilic on peut le cultiver c t d autres plantes qui b n ficieront de sa pr sence choux courges haricots ou bien encore entre les pieds de tomates La lavande c est l amie du rosier car elle en loigne pucerons et fourmis Mettre 100g de fleurs et feuilles dans 1l d eau porter bullition puis une fois refroidi Vaporiser sur les colonies de pucerons et sur les voies de passage des fourmis La m lisse laisser infuser 100g de feuilles fra ches dans 1l d eau bouillante et on obtient un excellent r pulsif contre les fourmis Le thym c est le meilleur ami de l aubergine des tomates et des pommes de terre Il loigne les chenilles les fourmis les pucerons et la pi ride du chou Entretenir son Jardin les bons gestes RAVAGEURS Acariens Altises Carpocapses des pommes poires noix prunes Chenilles Cochenilles Crioc res Doryphores Pucerons lanig res Taupins 22 PLANTES CONCERNEES Nombreuses Noyer poirier pommier prunier Nombreuses notamment potag res et fruiti res Principaux ravageurs rem
146. ques Pas besoin de trop se creuser la t te dans la phase d am nagement la recherche de simplicit engendrera un effet naturel M me si le bassin naturel est privil gier dans certains cas il est plus simple d int grer un bassin en plastique Ce dernier s adapte notamment particuli rement bien l l ment min ral La mise en sc ne de la zone humide est un point important comment le bassin sera 31 t il aliment Quelles plantes Pr sence d animaux Il faut prendre en compte ces diff rents l ments dans la phase de r flexion Le bassin n cessite un ensoleillement de 5 6 heures par jour Plus il sera profond plus il aura besoin de soleil Il vaut mieux galement ne pas le construire proximit d un arbre la tomb e des aiguilles ou des feuilles favoriseraient alors la formation de vase En t un chauffement lev et rapide sera tr s nuisible la vie aquatique En hiver il vaut mieux viter de briser la glace cela effraierait ou r veillerait de mani re trop brutale les poissons l vaut mieux viter de construire son bassin en fond de cuvette Cette derni re recueille Les eaux de pluie ayant lessiv le terrain en amont qui polluent ainsi votre espace de d tente Ie Composer son jardin tout un art UNE TOUCHE D ORIGINALIT Incontournables les objets de jardin sont constitu s de petits ou de gros l ments qui donneront une touche unique et enchanteresse
147. r fl chir Le besoin d accomplissement se traduit par la volont de donner du contenu aux vacances tant sur Le plan physique qu intellectuel ou manuel et par le besoin d authenticit de vivre des choses vraies travers ses multiples exp riences le voyage comporte une dimension motionnelle et spirituelle Tendances manger local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations b Ses multiples confessions De la religion la spiritualit la qu te de bien tre le cheminement travers des lieux des rencontres des motions des activit s prend diff rentes avenues immersion dans la d marche religieuse et spirituelle d un peuple visite d une destination mythique retraite m ditation recueillement je ne p lerinage v nement liturgique ou musical reconstitution d un p riple tir d un v nement d une tradition d un livre d un film randonn e ascension d une montagne communion avec la nature la mer ressourcement repos convalescence bien tre d couverte de soi sant di te relaxation sports et activit s physiques apprentissage de diverses techniques artisanales et artistiques Les gens leur retour de voyage ne diront pas qu ils ont fait tel pays mais plut t qu ils ont v cu telle ou telle chose Jean Fran ois Rial PDG de Voyageurs du monde Cette tendance s illustre da
148. re de projets de cr ations ou de r habilitation d h bergements de tout type ste AUVERGNE NOUVEAU MONDE TOURISME Nattitude tendances bonnes pratiques et t moignages Tome 1
149. recherche d une alimentation moins grasse moins sucr e plus quilibr e plus riches en fruits et l gumes frais On voit d sormais fleurir de nouvelles tendances en mati re de cuisine sant de v g tarisme le retour en force des l gumineuses des l gumes anciens des aliments bruts et complets ou de a cuisine base de plantes sauvages et de fleurs Si le Plan National Nutrition Sant ou encore le GEMRCN Groupe d Etude des March s Restauration Collective et Nutrition concernent essentiellement la restauration collective la restauration commerciale peut galement tre concern e par la volont de distinguer les restaurateurs qui cuisinent des produits frais locaux de saison etc De plus les objectifs nutritionnels vis s sont parfaitement extrapolables un menu de restaurant commercial plus d quilibre plus de sant c est aussi un service important pour les clients Tendances manger local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations CH TEAU D YGRANDE Ygrande Allier Pierre Marie TISSIER propri taire David MARTIN Chef de cuisine Nombre de couverts 45 Ticket moyen 45 appros en direct gt 50 Quel est le r le de la cuisine dans l attractivit du Ch teau PMT Nous avons un ch teau classique avec un spa et une piscine dans un environnement tr s nature avec un tr s beau parc un potager Nos clients
150. rn monopole com Revalis www revalisever com colabel G tes Panda http www gites panda fr 14 IIl CO COMMUNIQUER valoriser votre d marche environnementale 3 MENTION COLABEL EUROP EN DES OBJECTIFS SP CIFIQUES Eco communication vers les h tes Crit re 7 Arr t du chauffage ou climatisation notice explicative Crit re 8 Notice d information sur l extinction des lampes Crit re 12 Utilisation des poubelles dans les toilettes Crit re 14 Information sur les changement des draps et serviettes sur demande Crit re 15 Information sur le rejet des substances dans les points d vacuation des eaux us es mercure plomb Crit re 18 Notice explicative sur le tri des d chets d chets m nagers et substances dangereuses Crit re 19 Utilisation des produits non jetables Crit re 22 Transports publics Crit re 26 Conseil pour contribuer aux conomies d eaux salle de bain La plupart du temps les messages sont consign s dans un livret d accueil global l tablissement V TH MATIQUES ENVIRONNEMENTALES our entrer pr cis ment dans chacune des parties abord es ci dessous pensez vous reporter L Eco Guide manuel de gestion environnementale qui d taille par m tier ou partie d h bergement des recommandations en mati re de gestion des d chets de l eau de l nergie des achats etc nm A RE re Ea D OR EE MT mn Da Vo La ga r T
151. romotionnels qu elles ditent et distribuent Pour une information compl te et facile utiliser voir le mini guide des labels de la consommation responsable r alis avec le concours de l ADEME http www mescoursespourlaplanete com labels php idType amp idFamProd Le but choisir Les labels qui correspondent le mieux la cuisine et l esprit de l h bergement 1 LES PRODUITS FERMIERS En parlant de produits fermiers on d finit le producteur Le terme est prot g comme mention valorisante mais n a pas encore de d finition homog ne notamment pas de logo cahier des charges commun ou organismes de contr le N anmoins il existe une charte nationale d engagement en 8 points qui pose les bases Les producteurs fermiers sont agriculteurs ils doivent produire leur mati re premi re eux m me la transformer eux m mes dans des ateliers de petite taille ils sont responsables de leur produit jusqu au dernier maillon de la fili re Les r seaux en Auvergne Bienvenue la ferme ce r seau d accueil la ferme a t initi et g r par les chambres d agriculture il en existe dans chaque d partement les agriculteurs int gr s dans ce r seau pratiquent quasi syst matiquement la vente directe on peut donc y trouver les contacts utiles par produit ou par territoire http www bienvenue a la ferme com auvergne Voir aussi les CIVAM et Accueil Paysan Le collectif Alliance fermi re d
152. ropre et juste Autre exemple de cette lame de fond de recherche de sens autour du principe alimentaire Le d veloppement du mouvement mondial Slow Food Voyant l impact de la mondialisation sur le monde culinaire et la propagation des cha nes de fast food Carlo Petrini riposte en lan ant Slow Food en 1986 Ce mouvement qui s oppose la standardisation et la banalisation alimentaire vise sauvegarder la biodiversit et le patrimoine alimentaire mondial tout en 106 souscrivant la th orie du d veloppement durable On parle m me d co gastronomie Bas sur trois principes le bon le propre et le Juste Slow Food met en valeur les produits d un terroir et le savoir faire des artisans Il a aussi pour but de redonner aux consommateurs l envie et la curiosit de d couvrir les modes de production les savoir faire les m tiers de cultiver le plaisir des sens et surtout de prendre le temps d appr cier Aujourd hui il compte plus de 100 000 membres dans 153 pays Pr sent en France avec plus de 50 associations locales Slow Food prot ge et relance des productions rares et menac es sous le vocable sentinelles que certains chefs utilisent en cuisine En Auvergne par exemple la lentille blonde de St Flour fait partie de ces productions de m me que les fromages Salers ou Cantal issus du syst me Tradition Salers devraient la rejoindre prochainement http www len
153. s AB L agriculture biologique est un mode de production agricole sp cifique respectueuse des quilibres cologiques visant la pr servation des sols et des ressources s naturelles par la non utilisation de produits chimiques de synth se et d Organismes G n tiquement Modifi s OGM le logo AB est attribu sur la base d un r glement europ en il s agit d une certification Elle garantit qu un aliment est issu d un mode de production respectueux des quilibres naturels qui s interdit l utilisation des produits chimiques de synth se et fait du bien tre animal une pr occupation majeure http www agencebio org DEMETER il s agit d un label priv de certification de produits issus de l agriculture biodynamique La biodynamie ajoute aux enjeux de la Bio ceux d une meilleure connaissance des rythmes cosmiques utiles la r g n ration des sols au travail de la terre et aux soins apport s aux cultures www bio dynamie org logo europ en NATURE amp PROGRES autre label priv compl mentaire vise une agriculture coh rente issue d une vision globale La mention est attribu e la fois partir d un NATURE cahier des charges technique mais aussi PROGRES artir d une charte prenant en compte les aspects environnementaux sociaux et conomique http www natureetprogres org producteurs charte_ nature_progres html BIO COHERENCE dernier n de la famille Bio le label
154. s Egliseneuve des Liards Puy de D me Nombre de couverts 18 couverts en table d h tes Ticket moyen 18 Proportion d achats BIO au moins 90 a Astrid plus de 90 de BIO c est une fixation Oui on peut dire a Pour moi ce n est pas une question de mode mais de convictions personnelles valables pour l alimentation mais pour le reste aussi le b ti les v tements etc je crois que manger Bio c est plus sain pour celui qui mange plus respectueux de l homme et de la plan te Donc je fais ce choix pour mon restaurant c est une sorte d engagement Je cuisine aussi v g tarien et j utilise beaucoup de vari t s m connues ou oubli es Bio toujours bio d o qu il vienne Non mais je suis de moins en moins oblig e de lt choisir entre proximit et bio Ce qui n tait pas le cas au d part mais ces derni res ann es la fili re bio s est bien d velopp e on trouve presque de tout en Auvergne Je n ach te loin que ce ne qui pousse pas ici et je n ach te en non bio presque uniquement lorsque je fais des repas de groupes pour lesquels mes producteurs n ont pas le volume suffisant Et le prix Je n ach te pas de la m me fa on que chez un grossiste je fais des choix plus restreint j ai une petite carte Et puis j observe que les prix varient mais pas toujours dans le m me sens parfois acheter local et bio me co te plus cher et parfois c est l inverse in fine je ne crois pas qu i
155. s Spas et jacuzzis comme des piscines alors que les DDASS et les gestionnaires s accordent dire que les exigences de qualit ne sont pas bien adapt es aux Spas en raison de leurs caract ristiques techniques Il est en effet ind niable que les probl mes de qualit microbiologiques sont plus fr quents dans les Spas Il n existe aucun texte sanitaire qui voque les activit s de remise en forme lacune La r glementation n est donc pas toujours adapt e ces activit s quine se d roulent pas forc ment en bassin Entretien et maintenance Circulaire du 31 d cembre 1998 l gionelle circulation en 30 minutes vidange 2 3 fois par semaine d sinfection des filtres 1 fois par semaine d sinfection de l eau en amont avant arriv e dans le bassin contr le 2 fois par Jour de la concentration en chlore et du pH Plus de d tails http auvergne sante gouv fr environn qualieau spa43 pdf Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE La r glementation LES EAUX DE BAIGNADE Contr le organis par les DDASS en lien avec les collectivit s r sultats affich s proximit des sites de baignade en cours de saison Une r vision de r glementation et des proc dures se met en place pour am liorer le suivi l identification des sources de probl mes et l information des baigneurs et in fine la qualit globale des eaux de baignades Les grandes tapes se d ploient jusqu en 2015 ant
156. s esth tiques les modelages les massages Selon le responsable du p le Tourisme et Loisirs d Accor sans ambition th rapeutique le Spa constitue une exp rience vivre 1 ou heures pendant lesquelles on va pouvoir l cher prise Cette attente d exp rience renforce l importance cruciale de la mise en sc ne du lieu qui sollicitant les 5 sens permet la relaxation Pour Caroline Marcoux le march du Spa est port par 4 types d attentes la sant et plus largement le bien tre corporel avec par exemple les M di Spa ou les Spas issus de l univers des m decines douces type Ayurveda Cette tendance en mati re touristique est galement nourrie par des offres plus globales qui rassemblent fitness beaut nutrition conseil en hygi ne de vie voir La ferme Divali ou la Clairi re la tendance esth tique il s agit l plut t des soins type institut ou qui peuvent rejoindre la tendance sant par le biais des cures minceur des drainages voir La Ferme d Eug nie ou Caudalie la tendance spirituelle illustr e par les Spas 1 Cit dans Grand Angle hors s rie n 1 consacr au bien tre dit par Odit France 2 Voir Carnet d adresses amp r f rences page 97 th matis s culture du monde et art de vivre qui jouent sur l exp rience Pour le directeur de production de Jet Tour on est de plus en plus sensoriel pr s de l motion du naturel Mainte
157. s fondations les journalistes sp cialis s etc Ce fichier est sa premi re p pite il l alimente et le fait vivre r guli rement Pour l occasion il r alise des cartons d invitation qu il enverra aux contacts de son fichier qualifi c Aupr s des clients cibles des relais Enfin il ne faut pas n gliger les relais locaux Il s agit des commerces des institutionnels et de structures de proximit Offices du tourisme Alain Decock affiche clairement son r le dans une optique de vente d uvres il a pris le parti d afficher les prix IlL se consid re d ailleurs comme galeriste Tous n ont pas la m me approche Lynn Chaulieu par exemple laisse le soin de la vente l artiste m me si elle contribue cet objectif dans la mise en relation entre le client et l artiste Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas D L VALUATION DE L ACTION 1 Je recueille les ressentis Pour pr parer l dition n 2 il faut faire Le bilan et repasser en revue les objectifs initiaux D cider de renouveler l op ration ou l arr ter Changer de lieu ou de p riode Pour cela les avis ext rieurs sont tr s formateurs Le ressenti de l artiste avec qui l action a pu se r aliser est un tr s bon appui Cela peut se faire de mani re tr s informelle autour d une discussion Toutefois il est plus efficace d entamer ce travail
158. s g n rale favoriser le lien entre l homme et son envi ronnement Appuy s par des professionnels sp cialis s dans le domaine de l am nagement des ext rieurs uni versitaires architectes paysagistes les membres de cette association sont parvenus cr er un vaste ensemble de jardins pour l accueil de visites d ani mations et de stages sur le th me de l histoire des hommes et des plantes depuis la p riode gallo romai ne Jusqu nos jours Aujourd hui apr s plusieurs inven taires botaniques faune aviaire papillons diurnes et un gros travail de r novation des terrasses c est donc tout un patrimoine qui revit Les touristes peuvent ainsi loisirs parcourir les sentiers de d couverte et d inter pr tation et s merveiller devant cette nature si particuli re devenue aujourd hui un v ritable produit d appel pour ce territoire Chez elle Claudine ne manquera pas d expliquer aux plus curieux l origine et l histoire de chacune des roses de sa roseraie ou des plantes aromatiques de son jardin en espalier Plus de renseignements Les amis de L otoing www creatifs culturels auvergne com et A la Buissonni re http alabuissonniere com 39 Vivre au jardin une richesse gourmande LE JARDIN UN REFUGE POUR LA BIODIVERSIT Devenir refuge LPO pour quoi faire La Ligue pour la Protection des Oiseaux a pour but de prot ger les oiseaux et Les cosyst mes dont ils d pendent et en parti
159. s sup ports de communication flyers site internet est courant 2 La communication autour de l artiste et de ses uvres Afin d atteindre ses propres objectifs et de valoriser l artiste il s agit de mettre en place des actions de promotion Pour cela il peut s appuyer sur 3 grands types d actions auxquelles Alain Decock dans son h bergement de L HOSTELLERIE DE LA MARONNE 15 r pond parfaitement Il propose une exposition de l artiste Josef Ciesla qui travaille dessins pastels et sculptures a Sur les lieux 67 Pour mettre en valeur Josef Ciesla peintre et sculpteur Alain Decock a choisi d exposer ses uvres dans les parties communes de l h tel et de lui d dier un espace sp cifique avec un book et un cran tactile Il est int ressant de proposer l artiste un lieu d di un book ou un cran reprenant un pano rama de quelques unes de ses uvres Des docu ments peuvent aussi tre dit s pour l occasion flyers ou cartes de pr sentations de l exposition Un autre moyen de communiquer sur l artiste est de proposer des ateliers ou des stages ax s sur la discipline en question au sein de l h bergement ou dans une structure partenaire L artiste peut m me tre volontaire pour participer ce type d activit et animer l un des ateliers ou toute autre initiative IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas b Sur internet Promouvoir consiste s appuyer sur son r seau en
160. s voisins 7 La taxe fiscale sur les spectacles de vari t s 8 L ouverture d un d bit de boissons temporaire 9 L emploi des artistes 10 Les b n voles T1 L am nagement du lieu source LE TRANSFO Fiche pratique r alis e par Guillaume Leybros et C dric Vall de re Gomis soci t Scenik l Cf pi ce jointe 12 L accueil du public sources agence culturelle d Alsace E book de l organisation de spectacle LE TRANSFO Le public qui est destin le spectacle et qui a justifi tous les efforts accomplis jusque l doit faire jusqu au bout l objet des soins attentifs de l organisateur En plus des pr cautions de base concernant le confort et la s curit des spectateurs il faudra s assurer que tout a vraiment t fait pour leur permettre de profiter pleinement de la repr sentation tant sur le plan des conditions de confort physique acoustique et visuel respecter les capacit s de la salle les 60 de fumer assurer un chauffage suffisant et sans nuisances faire en sorte que les sanitaires soient propres et en nombre suffisant fermer Le bar pendant les prestations des artistes nuisances ext rieures du bruit des all es et venues des sonneries de t l phones portables des flashes des photographes Au sein de l quipe d organisation des personnes seront assign es l accueil du public attentives toute h sitation ou demande de renseignement Il est galement possible de pr voir en
161. satisfaction clients c Le management du personnel 3 Gestion de l nergie et de l eau a Identifier les d perditions thermiques b S inscrire minima dans le cadre r glementaire c Pr conisations et actions pouvant tre mises en place d Mesurer ses consommations V POUR ALLER ENCORE PLUS LOIN LA RESPONSABILITE SOCIALE 1 L enjeu 2 Les leviers 3 Les points critiques 4 Les d marches 5 Un diagnostic RH par votre CCI VI POUR UNE VISION GLOBALE LA D MARCHE AGENDA 21 1 L objectif 2 Les partenaires sur ce projet VII CARNET D ADRESSES amp REFERENCES CHOISIR quel colabel Modalit s criteres et tarifs le double int r t de constituer la fois un axe de travail structurant une finalit de reconnaissance e choix de viser un colabel officiel pr sente L alternative principale Les labels les plus r pandus en France pour les h bergements touristiques sont l colabel europ en certifi par l AFNOR et la Clef Verte d livr e par l association du m me nom Nous rassemblons l Les informations principales et ou Les lieux o trouver celles qui manqueraient 1 LA CLEF VERTE a Proc dure et co ts L association a simplifi sa d marche l inscription se fait directement en ligne dans la partie espace pro chaque candidat cr e son compte puis remplit en plusieurs fois si n cessaire sa fiche de candidature http www laclefverte or
162. sein du jardin dont la partie centrale varie en fonction de la couleur et de la section des branches 30 Composer son jardin tout un art LES ALL ES Comme souvent c est en amont que se fait la moiti du travail car l am nagement des acc s ne s improvise pas D une part une r flexion est n cessaire pour bien d terminer le plan du projet les axes et les ouvertures Pour simplifier il est pr f rable que l all e devant mener au garage m ne bien au garage ou qu un beau dallage ne soit pas constamment tach par les fruits d un arbuste D autre part parce qu une fois la tranch e d un cheminement creus e et le massif de rosiers d plac dans le cadre d un r am nagement il sera tr s difficile de revenir en arri re Oui plus est le plus r sistant des rev tements se d formera s il n est pas correctement pos Aussi l une des premi res choses faire est de cr er une pente pour l vacuation des eaux de pluie vers un caniveau lat ral qui rejoint un puisard ou le r seau d vacuation de la maison Il faudra ensuite pr parer le sol par un d caissement combler la tranch e avec des sous couches de sable et de tout venant stabiliser la couche sup rieure et proc der enfin la mise en place des dalles ou pav s Ve Astuces pratiques La r ussite d une all e vient de la stabilit de la base Attention cependant la base en b ton les pierres ont tendance se d chausser beau
163. ser Le choix de la programmation L organisation d un concert d une lecture d un spectacle de th tre ou de conte d une exposition Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas incidence tant sur le plan financier qu administratif technique et sur les moyens humain n cessaire sa mise en uvre Plusieurs pr requis sont utiles Donner un objectif fondamental au projet en lui donnant une r elle lisibilit et en s assurant qu il est partag par l int gralit de l quipe Exemples d objectifs Actions p dagogiques promotion d un genre artistique contribution l animation locale promotion d artistes r gionaux Construire une quipe et d finir les fonctions et pr rogatives de tous ses membres salari s b n voles professionnels prenant part l action culturelle Avoir une bonne connaissance du contexte culturel local r gional ou national pour situer le projet face son environnement analyse de l impact socio conomique et touristique souhait analyse des partenariats possibles le milieu scolaire les entreprises S assurer du soutien des partenaires cl s et v rifier qu il n existe pas d obstacle majeur la conduite du projet Mieux vaut une pr figuration du projet pour confirmer sa recevabilit valuer son ambition et recueillir les avis et conseils Tester le projet le plus en amont poss
164. squer galement certains b timents ET POURQUOI PAS UN PEU D ORIGINALITE Autre atout important du camping la pr sence d un parc aquatique d une surface de 2000 m Sur place l ambiance est plut t aux lunettes de soleil maillots de bain et chaises longues La mise en sc ne de cet espace est donc primordiale cascades geysers rivi re contre courant toboggans autant d l ments qui renforcent l impression de d paysement des estivants Le choix des v g taux a donc t effectu en cons quence Les feuillus r gionaux ont laiss place cette fois ci des essences plus lointaines Un cart ma tris et compr hensible La client le du camping est principalement une client le familiale Or on le sait les enfants sont souvent un public prescripteur Les s duire est donc important C est la raison pour laquelle pour agr menter son parc et pour le plaisir des plus petits M Pommier n a pas h sit tailler certains de ses arbres en formes humaines ou animales Ribeyre 63 LES RETOMB ES Les 13 ha de parc sont un v ritable plus commercial non n gligeable pour le camping et ce pour plusieurs raisons l garantit l ensemble une int gration quasi parfaite dans la vall e de Jassat Les cueils des campings traditionnels sont vit s de grandes all es de mobil homes avec des emplacements maximis s et une sensation d empilement et l espace garanti Un positionneme
165. ssurer que le producteur dispose bien de la licence 2 et il est conseill de demander une copie des d clarations uniques d embauche En plus on peut demander une attestation de fourniture de d clarations sociales ou fiscales un extrait d inscription au registre du commerce ou d immatriculation au r pertoire des m tiers une attestation sur l honneur de l emploi r gulier des salari s Le risque tant qu en cas de d fection du producteur tourneur l organisateur soit consid r comme l employeur du plateau artistique et doive assumer le paiement des charges sociales 61 62 IIl PASSER L ACTION le m mo vous guide pas pas Jeunes arrivants dans l h tellerie comment faire valoir la production artistique locale d 4 b 3 B fn Di k 1 CI PL Emilie Mazeyrat qui depuis deux mois g re la r sidence Les Balcons du Sancy Picherande s interroge sur les possibilit s qui s offrent elle pour mettre en valeur les artistes du village Je suis passionn e par la photographie et les arts lt plastiques et de mon petit village j ai souvent eu d penser de l essence pour aller en ville o sont les expositions Notre installation est toute r cente et nous ne disposons pas encore proprement parler d un budget pour l animation culturelle Mais j aimerais par exemple organiser des lectures pour que la romanci re de mon village puisse rencontrer les touristes et les habitants Mais est ce
166. structure Il donne un at trait suppl mentaire ce parc et offre la client le la possibilit de red couvrir les joies simples de la nature le temps d une balade Plus de renseignements www domainedegaudon fr 41 4e uitte cr er un potager autant qu il soit le plus joli et fonctionnel possible C est exactement la r flexion par Lynn Chaulieu propri taire de la chambre d h tes Aux Jardins des Th venets Espinasse Vozelle dans l Allier Amoureuse de la nature Lynn apr s avoir suivi une formation d agricultrice en culture bio a choisi de r a m nager ses ext rieurs pour en faire un espace intime et tranquille o les plantes aromatiques c toient ro ses et l gumes Aujourd hui ces 9 ha de parc consti tuent plus qu un simple agr ment pour sa structure C est un lieu de repos et de d couverte pour sa clien t le qu elle initie aux joies simples du jardinage mais c est galement de l qu elle tire La plupart des pro duits utilis s pour la table Un v ritable d lice des sens o senteurs riment avec saveurs Plus de renseignements wwWw jardins des thevenets com Le jardin gourmand Coup de projecteur clair sur une vingtaine de plantes aromatiques hautes en couleur et en saveurs aux propri t s m dicinales souvent m connues L ail c est un puissant antimicrobien aux vertus tonifiantes id al pour lutter contre les baisses de tensions art rielles et un taux de c
167. t une journ e technique du r seau d h tes Nattitude organis e en partenariat avec le Transfo sur le th me Accueillir des artistes de l envie La r alisation Aider faire vivre le beau et le beau faire vivre les maisons pour tous ceux qui partagent cette envie d un tourisme cr atif et sensible de nombreuses pis tes se pr sentent Des v nements et festivals co responsables invi tant des artistes investir les coins de nature aux projets fous d h tels uvres d art en passant par des initiatives engag es dans la cr ation de lien social et la d couverte de l autre les id es ne man quent pas Mais comment les r aliser travers des r cits d ex p rience concrets et l indispensable tour d horizon des contingences administratives et techniques l h bergeur esthe te et concern par i les travaux d artis tes dispose ainsi de tous les moyens de mettre en uvre de nouvelles colla borations SOMMAIRE LE TOURISME MONDE DE SENS ET D MOTION II TENDANCES Nature partage et inspiration Des d marches culturelles porteuses de valeurs 1 Des v nements qui magnifient la naturalit du site ou du territoire Des v nements cr atifs et d cal s qui surprennent et am nent changer de regard 3 Des v nements qui laissent le temps g n rent la relation humaine et provoquent l change 4 Des moments de simplicit de bie
168. t L 7121 du code du travail Le contrat de travail doit tre Individuel Les salari s techniques et artistiques du spectacle du cin ma et de l audiovisuel ex cutent leur travail sous le r gime du contrat dur e d termin e CDD L article L 3243 3 du code du travail pr cise que la remise d un bulletin de salaire est obligatoire Le paiement par ch que ou la d livrance d autres justificatifs ne dispense pas l employeur de remettre un bulletin de salaire au salari Le contrat doit toujours tre adress l artiste avant le jour de la manifestation L emploi peut se faire selon deux types de contrat le contrat d engagement et le contrat de cession Le contrat d engagement est conclu directement avec l artiste ou un des artistes mandat s quelquefois par l interm diaire de son agent Il fait de l organisateur l employeur l gal des artistes L organisateur doit donc tablir les bulletins de salaires et toutes les d marches et cotisations qui en d coulent Le contrat doit tre tabli et adresse l artiste avant le spectacle La d claration unique d embauche DUE doit aussi tre effectu e aupr s de l Urssaf avant l embauche www due fr Le contrat de cession des droits d exploitation d un spectacle vivant est conclu entre le producteur o tourneur et l organisateur Dans ce cas l organisateur ach te le droit de diffuser le spectacle mais n est pas l employeur des artistes L organisateur doit s a
169. t cibles d finis et accept s au plus haut niveau de l tablissement avec un responsable d sign des moyens affect s et des d lais d obtention sur les r sultats attendus Ecolabels mode d emploi GUIDE NATTITUDE a Le programme d actions Dans l co label europ en Crit re 24 Information sur la politique de protection de l environnement de l tablissement laboration d un programme d actions visible et revu tous les ans eau d chets nergie produits chimiques Sa diffusion est libre site web affichage Crit re 24 R daction d une d claration simple dat e et sign e par le repr sentant l gal de l tablissement Crit re 26 Pr sentation du label cologique Exemple de plan de programme d actions de l h tel La P rouse 17 Exemple de politique environnementale Clef Verte Exemple de d claration de l h tel la P rouse b Le recueil de la satisfaction clients Questionnaires clients Dans l colabel europ en Crit re 24 Recueillir Les observations et suggestions des clients au moyen de questionnaires et expliquer leur prise en consid ration Le questionnaire peut tre sp cifique ou Int gr dans les questionnaires qualit existants peut tre sous format papier ou en ligne doit privil gier les questions ferm es doit tre diffus au cours du s jour ou en diff r peut tre distribu sous d autres formes boite id es jeux Exemple de
170. t de synth se Journ es techniques f vrier 2009 d cembre 2010 dit par le CRDTA mai 2011 Experts Caroline MARCOUX Coach Omnium amp Spa Karen LUART EUROSPA Gilles BIDET DDASS Tatiana DAULT Soci t Do amp Co Dirk ESSER Association Fran aise pour les Baignades Bios AFBB T moins Virginie et St phane SERRE Alta Terra Pierre Marie TISSIER Ch teau d Ygrande Vincent FAGES Auberge des Montagnes Bruno PROMEYRAT Domaine St Roch Monsieur BRUNET La Picote St phane DUC Huttopia De la bonne pratique du bien tre 76 Pratiquer le hammam et le sauna implique de respecter les proc dures suivantes gt se doucher se savonner se rincer et s essuyer soigneusement avant de p n trer dans la cabine voire emprunter le parcours phl bologique dit Kneipp ou les bains altern s pour pr parer son organisme au Sauna ou au hammam gt au sauna o l on s journera entre 10 et 15 minutes toutes les parties du corps pieds compris poseront sur une serviette afin d viter que la transpiration ne p n tre le bois poreux par d finition m me si les essences utilis es pour fabriquer les saunas sont extr mement dures et denses ce qui n est pas hygi nique et risque de le tacher gt au hammam o l on passe une quinzaine de minutes on rincera les banquettes avant de s asseoir et en quittant la cabine gr ce au tuyau dit Kneipp pr vu cet effet gt en sortant
171. t et transforment 70 de la production agricole fran aise Elles p sent 3 5 du PIB La restauration collective 3 milliards de repas par an e 73000 restaurants e 17 milliards d de chiffre d affaires La gestion directe est majoritaire avec 68 du secteur Elle emploie environ 230000 professionnels Elle comprend la restauration scolaire et universitaire 38 la restauration hospitali re 48 la restauration d entreprise et des administrations 15 et des secteurs divers arm e prisons congr gations L Auvergne des valeurs tr s actuelles Le barom tre des perceptions Les comportements alimentaires de l alimentation 2009 Le minist re de l alimentation de l agriculture et de la p che a montr que les consommateurs attendent que la politique de l alimentation men e par les pouvoirs publics serve Plus de 100 repas par an et par personne sont pris hors foyer La restauration hors foyer repr sente 5 6 milliards de repas par an L alimentation domicile repr sente 13 5 des budgets de consommation des m nages en 2008 contre 25 en 1960 Cette part peut repr senter jusqu 50 du budget des m nages les plus pauvres maintenir l activit agricole et l emploi dans le domaine agroalimentaire pour 23 encadrer les prix des produits de premi re n cessit pour permettre tous de se nourrir pour 28 des personnes interrog es Les plats pr par s repr sentent 41 des repas
172. t qu elle soit un excellent acc l rateur de compost c est aussi une des meilleures plantes cicatrisantes La coriandre riche en vitamine et C le jus de ses feuilles est un excellent moyen de calmer les ruptions cutan es Le Jardin gourmand Le fenouil commun toute la plante est comestible mais ce sont surtout les graines qui sont m dicinales Diur tiques elles luttent contre la r tention d eau digestives elles soulagent efficacement les ballonnements L iris la racine de l iris a des propri t s expectorantes diur tiques et l g rement purgatives La lavande en cuisine quelques fleurs de lavande grain es peuvent agr menter les cr mes et desserts aux fruits raison d une petite cuiller e caf de fleurs s ch es par tasse l infusion est avant tout anxiolytique calmante et s dative recommander le soir avant le coucher Mais c est surtout en parfumerie et cosm tique que la lavande excelle Antiseptique et anti Inflammatorre elle traite et soulage les affections et les irritations cutan es Son parfum est la fois relaxant et stimulant Le lierre il contient des saponines 5 8 au pouvoir lavant et moussant il est galement r put pour son action contre la cellulite La m lisse elle donne une saveur fra che aux viandes rouges ou blanches salades de fruits et de l gumes soupes et puddings Elle est plus souvent utilis e pour ses vertus calmantes et relaxantes
173. tage et inspiration 2 Dans des vitrines de boutiques WALKING THE STREET SYDNEY Source veilletourisme ca article Et si la culture allait la rencontre des touristes Cet v nement qui se d roule Sydney pendant toute une semaine est remarquable Il s agit de mettre en sc ne des uvres artistiques en investissant les vitrines des boutiques du centre ville de King Street Ainsi au d tour des rues le simple passant ou l il averti peut profiter de ce spectacle quelque peu insolite L effet de surprise est garanti Ce type de manifestation s articule autour d une collaboration qui r unit dans ce cas des com mer ants dans un projet commun L id e est de participer la diffusion artistique travers une exposition originale investir Les vitri nes des boutiques au m me titre qu une galerie d art V ritable fil conducteur du tissu commer ant de la commune cela participe l animation d un lieu de mani re originale et cela soul ve par l m me l id e de d velopper un r seau et des initiatives communes 3 Dans des appartements particuliers LA COMPAGNIE DE TH TRE DE LAVERUNE MONTPELLIER LA CULTURE S INVITE CHEZ VOUS i www defilenaiguille perso cegetel net Certaines disciplines artistiques comme le th tre parviennent Investir de nouveaux lieux qui par d finition n ont pas vraiment pour vocation premi re d accueillir des artistes Le th tre d appartement est une prat
174. terne est la solution retenue par la majorit des prestataires mais avec toujours une r elle difficult programmer le volume d activit d un intervenant ce qui pose des probl mes de fid lisation du prestataire et de ma trise du niveau qualitatif R GLE N 4 COMMERCIALISER Un plan strat gique marketing et commercial Finie l conomie de cueillette la gestion d un Spa performant demande une v ritable strat gie de commercialisation client le de proximit coffret cadeau s jour int gr Caroline MARCOUX Coach Omnium amp Spa Tendances bien tre GUIDE NATTITUDE Exemples d tude de faisabilit as de projet p renne sans tude de mar CO T DE CR ATION D UN SPA EXEMPLE 1 pP ch de faisabilit technique fonction ne Ab cabines toBlen nelle et financi re Si Accueil boutique 4 60 1 4 60 Pour l h tellerie des tudes existent qui Hammam 460 1 460 d terminent la progression de TO possible Sauna 4 50 1 4 50 gr ce la cr ation d un spa ils sont mettre Douche sensorielle amp glace 3 30 1 3 30 en relation avec les ratios d exploitation de Cabine soins humides 5 70 1 5 70 l tablissement et orientent vers le budget Cabine de soins duo 8 50 1 8 50 possible consacrer au projet Vestiaires 5 20 4 12 80 WC 2 50 5 5 8 75 Surface flux 30 0 30 1 8 70 Castellas 3 2 500 m 5 000 m Taux d occupation h tel 0 55 TOTAL 148 125 177 750 Nombre de personnes chambre 1 V
175. tille blonde fr contribue la formation des tudiants futurs agriculteurs et cuisiniers au travers du programme de regards crois s rats des villes et rats des champs d veloppe la culture alimentaire et la conscience de consommateurs au travers d ateliers de visites de rencontres encourage et valorise les bonnes pratiques de producteurs d artisans de commer ants de restaurateurs mais aussi de territoires au travers de chartes pour la Haute Qualit Alimentaire www slowfood fr Le mouvement fait tache d huile et s adapte aux villes les Slow Cities au tourisme le Slow Travel etc Les Slow Cities des villes de plus de 50 000 habitants qui misent sur l am lioration de la qualit de vie des citoyens sur la pr servation des particularit s du milieu sur la qualit de l accueil et sur les bonnes pratiques environnementales r duction de la circulation automobile utilisation du transport en commun etc Le Slow Travel respecte deux principes prendre son temps et s immerger dans le lieu visit Il minimise l impact sur l environnement tant physique que culturel incite le voyageur d couvrir son rythme les environs et les fa ons de vivre des gens Il utilise les transports en commun il ach te des produits locaux il savoure la cuisine locale et il prend surtout le temps www slowfood com Tendances manger local sainement amp intelligemment GUIDE NATT
176. tistes de se rencontrer ils cr ent donc un lieu d di ces changes Apr s le spectacle il devient possible de discuter avec les artistes notamment autour d un repas convivial Par ailleurs au del du festival l ancrage avec le territoire se fait toute l an n e travers des changes avec la Sc ne Nationale de Clermont Ferrand g ME FESTIVAL DES AP ROS MUSIQUE DE BLESLE nas e DE LA MUSIQUE 2 72 TOUS LES COINS DE RUE Association Les Ap ros Musique Bernard Saint L ger pr sident Blesle 43 http M aperosmusique DE blesle com Le Festival des Ap ros Musique de Blesle est organis dans l esprit d un v nement convivial o tout le monde se m lange le public et artistes 13 14 15 AO T 2010 En effet ce festival est une vraie f te qui invite couter comme participer Dans les rues aux terrasses des caf s sous la Halle ou ailleurs tous les jours toute heure de nombreux rendez vous sont programm s Les concerts se succ dent et des surprises peuvent aussi survenir comme des moments d improvisation Des professionnels se m lent aux amateurs qui se retrouvent sollicit s pour partager un moment de musique L objectif est d inciter chacun participer et contribuer la convivialit de cette rencontre Par ailleurs durant tout le festival des expositions diverses sont organis es dans les vitrines du village L objectif est bien de cr er une animati
177. toire souvent grandioses de le faire sur une dur e de 4 mois forme d art ph m re qui ne dure que le temps d une dition d Horizons de juin septembre et enfin de revendiquer un engagement cologique travers notamment les crit res de s lection des artistes et de leurs uvres L artiste doit justifier notamment de la prise en compte de la sp cificit du territoire la mise en place d une relation troite entre l uvre et le site la transmission d un message environnemental par l utilisation de mat riaux naturels du territoire ou utilisant l nergie renouvelable et des mat riaux recycl s HORIZONS RENCONTRES ARTS NATURE Nathalie Fort Office du Tourisme Sancy 63 www horizons sancy com l originalit et le caract re novateur de l uvre le respect de l chelle du territoire selon le site choisi Il s agit d un v nement local qui a acquis une renomm e nationale voire internationale Ce projet est l initiative de la communaut de communes du Massif du Sancy qui regroupe 11 communes Le concept se traduit par la cr ation d uvres contemporaines l chelle d un site naturel choisi sur chacune des communes 11 uvres sur T sites Les artistes investissent le site d di et se l approprient d s la cr ation Jusqu la r alisation c est l artiste qui s adapte au territoire et non l inverse Le pari repose sur un triple parti pris il s agit d int grer des cr ations
178. toire ont aussi cette fonction conomique mettre en forme un r seau entre tous ces acteurs c est l objectif de la d marche BBM Bon et Bien Manger en Jeune Loire que nous venons de lancer et qui b n ficie d un bon accueil Comme cela cette conomie se d roule toute l ann e www le bourbon com Tendances manger Local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations 3 QUALIT QUELLE QUALIT Derri re ce mot se cachent de nombreuses d finitions selon que l on parle de qualit environnementale organoleptique sociale nutritionnelle sanitaire etc La notion de qualit en mati re alimentaire renvoie l univers des labels Un point s impose sur le niveau et la nature de la garantie de chaque label officiel et peut tre aussi sur les autres ceux qui ressemblent des labels mais n en sont pas vraiment La lisibilit du choix en dit aussi beaucoup sur ses propres priorit s et sur ce que veulent exprimer la cuisine et la carte a Les signes officiels de qualit et leurs r seaux en Auvergne Les SOQ signe officiel de qualit sont Le plus souvent organis s en syndicat ou associations En r gle g n rale ils peuvent distribuer des listes de leurs adh rents avec leurs coordonn es mais souvent insuffisamment qualifi es en termes de modes de distribution par exemple Ces associations sont souvent int ressantes pour les supports p
179. turnin 63 Emmanuel P nicaud n ne restaure pas les jardins d un ch teau de n importe quelle mani re d autant plus lorsque ceux ci sont inscrits au titre des Monuments Historiques Au ch teau de Saint Satur nin rien n est donc fait au hasard Suivi d un projet d envergure tape par tape PREMI RE TAPE rechercher les traces d ventuels l ments historiques qui auraient pu orienter le projet Une tude pr alable la restauration des jardins a donc t conduite avec l aide de deux architectes d exp rience M H l ne Sirieys et M Marie Eug ne H raud et en collaboration troite avec les services comp tents de la DRAC et du Minist re de la Culture Les r sultats de ces recherches ont r v l peu d l ments tangibles laissant ainsi aux propri taires une certaine marge de cr ativit DEUXI ME TAPE donner un sens au projet Les travaux de restauration ont pour but de redonner au jardin une composition qui corresponde l architecture du ch teau et offre des possibilit s vari es de cheminement et de d couverte tout en permettant l ouverture la visite Les enjeux retenus pour la recomposition sont donc de retrouver une hi rarchie d espaces retrouver des cloisonnements proposer des circulations diff renci es conserver le dialogue avec le paysage Avec comme principes de ne rien d truire mettre en valeur les ma onneries du parc opter pour un
180. u travailler ensemble met en valeur la cr ation et le territoire Odette Roquette nous explique que depuis sa cr ation l association s est pos e la question de l am lioration de la qualit du service apport au public dans un secteur du livre secou par les fluctuations conomiques Pour elle l op ration Auteurs nomades met en valeur les librairies comme un outil d am nagement du territoire dans le sens o elle contribue am liorer l attrait de ce territoire il s agit de diversifier Les partenariats pour diversifier les publics LIRA l Association des Libraires Ind pendants en R gion Auvergne a programm d octobre 2009 juin 2010 l animation Auteurs nomades les rencontres de LIRA sur l ensemble du territoire auvergnat Les librairies ind pendantes des quatre d partements de la r gion Auvergne invitent le public rencontrer des auteurs en partenariat avec des collectivit s des 71 biblioth ques des associations Elles souhaitent par cette action augmenter leur visibilit en tant qu agent culturel sur le territoire tant urbain que rural Les libraires ind pendants sont des professionnels du livre d fenseurs de la diversit et de la cr ation ditoriale et assurent le maillage conomique et culturel des territoires Actu Cantal Webmagazine ilaca info Auteurs nomades des rencontres de LIRA Aurillac 3 mai 2010 par Didier 7e IV IMAGINER des perspectives communes L
181. u Les consommateurs int grent des notions assez vastes la fois celles concernant le mode de production de l aliment son origine ses labels son emballage ses qualit s intrins ques etc C est une notion qui reste difficile manier parce que complexe et d passant les approches existantes si l on prend l exemple du Bio ou du commerce quitable cf cahier de recherche n 270 CREDOC comment les consommateurs d finissent ils l alimentation durable dans le premier cas l effort porte sur la dimension environnementale du mode de production Tendances manger local sainement amp intelligemment GUIDE NATTITUDE L alimentation au c ur de nouvelles aspirations transports ou l nergie utilis e pour produire A l inverse les produits issus de commerce quitable garantissent la justice sociale de l change mais ne portent pas sur le mode de production ou encore sur le mode de transport L absence de label oblige les consommateurs d velopper leurs propres comp tences pour choisir en toute conscience L encore quels que soient les choix de l tablissement c est leur sens leur dimension qu il faudra chercher expliquer et mettre en valeur conna tre galement Elu produit de l ann e Prix d cern apr s enqu te aupr s d un chantillon de 22 000 consommateurs qui se prononcent sur une liste d finie de produits Les produits doivent se distinguer par leur nouveaut
182. u ait un avis sur les productions de l artiste le choix des uvres revient compl tement Val rie Brunel elle reste ma tre du choix artistique ii LA mer L une des conditions sine qua non pour r ussir une telle collaboration est l envie de l artiste d investir les lieux Par ailleurs chaque artiste a sa sensibilit et peut avoir des attentes tr s per sonnelles C est pourquoi il met naturellement le besoin de se rendre sur les lieux pour s en im pr gner A partir de l il peut imaginer le cadre de sa pro position artistique et en d duire Les uvres qu il souhaitera exposer Il peut aussi ressentir une envie particuli re quant l espace et cela peut parfois surprendre car il peut souhaiter investir une pi ce plus qu une autre sans forc ment tenir compte de la logique des lieux A titre d exem ple un artiste nous a confi avoir opt pour une cave vout e alors que l h bergeur disposait d une autre salle adapt e aux expos e La mise en espace Il est important de comprendre que la mise en place d une exposition ne revient pas seulement la phase d accrochage proprement technique des oeuvres Il s agit bien de mener une r flexion sur le lien entre le lieu et les uvres afin de pr parer la rencontre entre l artiste et le public La s lection des uvres de l exposition et cette phase d accrochage incombent naturellement l artiste c J assure le lien avec l artiste Enfin forte d une
183. u personnel s curit d emploi possibilit d volution r mun ration individualis e ambiance de travail responsabilit et autonomie en termes de formations entretien annuel connaissance des dispositifs de financement des formations programme personnalis Un programme de formations en rapport Structurer votre recrutement Motiver et fid liser votre personnel en h tellerie restauration VI Pour une vision globale la d marche agenda 21 n projet conjoint CRDTA CPIE est actuelle U ment en cours Il doit permettre d adapter la d marche d Agenda 21 aux h bergements touristiques L Agenda 21 ne concerne aujourd hui que les collectivit s et le Comit 21 gestionnaire natio nal serait tr s int ress par une exp rience pilote de d clinaison en Auvergne 1 L OBJECTIF Dans Le prolongement de la d marche d co labellisation il s agit de cr er les bons outils avec un groupe d tablissements tests pour mettre en coh rence leurs diff rents niveaux d action en mati re de management environnemental de politique d achat de r novation de ressources humaines etc en accompagnant un groupe pilote d h bergements touristiques mettant en uvre une d marche de d veloppement durable Agenda 21 en co cr ant un r f rentiel Agenda 21 sp cifique adapte ces structures en valuant le r f rentiel colabel europ en et la d marche Agenda 21 Ecolabels mode d emplo
184. ue cat gorie de produits ou services Pour d couvrir les r f rentiels h bergements touristiques et campings c Outils d accompagnement l colabel europ en Gr ce au stage d une tudiante de l IEQT de Vichy nous disposons aujourd hui d un document d auto diagnostic et de suivi et d une synth se de lecture appliqu e de l colabel 3 AUTRES LABELS ENVIRONNEMENTAUX Moins r pandus en Europe l Australien Green Globe www greenglobe org plus lourds en termes de proc dures mais reconnus gr ce au champ d actions couverts l iso 14001 http www iso org iso fr iso 14000 essentials ou l EMAS Eco management and Audit Scheme http ec europa eu environment sme cases cases10_ fr htm plus sectoriels le WWF et les g tes Panda www gites panda fr les H tels au Naturel des Parcs Naturels R gionaux www hotels au naturel com Ecog te de G tes de France www ecogite fr I D MARRER Vers une d marche environnementale 1 LES TAPES D UN PROGRAMME ENVIRONNEMENT PERSONNALIS a Premi re approche Elle doit tre faite par Le conseiller tourisme de votre chambre de commerce pour les ressortissants CCI et ou le cas ch ant par l quipe de visite Nattitude du CRDTA gt Visite de suivi du conseiller tourisme ou Audit Nattitude et contrat de progr s quels besoins prioritaires pour l entreprise b Des formations adapt es du CRDTA et ou des CCI par exemple en 20
185. une douche abondante et altern e douche dite cossaise s impose Elle pourra tre sensorielle et combiner diff rents jets des temp ratures diverses le tout combin la diffusion d ar mes sp cifiques et des jeux de lumi res color es autant de stimuli qui compl tent la sensation de bien tre On terminera par une douche aussi froide que possible cascade ou seau de douche avec pour objectif de retrouver son m tabolisme de base gt utiliser la glace pil e produite par la fontaine glace inhaler l air menthol de la cabine de glace aux murs couverts de givre ou se frictionner avec la neige fra che et poudreuse du snowroom acc l re encore ce processus gt une vingtaine de minutes au repos allong et au calme dans une ambiance douce et la semi p nombre est un passage oblig Il sera compl t par la phase de r hydratation tisanes ti des ou jus de fruits ou de l gumes fra chement press s et peut tre suivi d un massage Ce rituel peut tre r p t 2 3 fois d affil e et ce plusieurs fois par semaine au fur et mesure que le corps s habitue cette pratique qui sollicite fortement le syst me cardio vasculaire PARCOURS PHL BOLOGIQUE DIT DE KNEIPP Ce parcours phl bologique bas sur la m thode dite Kneipp est un couloir d eau avec passage des jambes devant des Jets dont la temp rature est comprise entre 12 et 15 C Le sol du bassin peut recev
186. une ligne guide ceux qui veulent contribuer alimenter collectivement l image de l Auvergne Cette construction collective chacun peut y contribuer par ses propres actions En tant qu acteurs du tourisme vos messages le soin apport l ambiance de votre maison la chaleur de l accueil que vous r servez vos h tes l ancrage local de votre carte de restaurant votre programmation culturelle etc peuvent ou pas aller dans le m me sens et apporter de la valeur 49 50 II TENDANCES Nature partage et Inspiration a beaut des paysages d Auvergne n est plus tant une id e d fendre qu une v rit qu il est doux de rappeler Les liens qui peuvent s y tisser sont durables et chaleureux Mais ces valeurs cl s naturalit et partage ne sont pas les seules en effet les talents de l Auvergne font vivre au quoti dien son dynamisme et sa cr ativit Les personnes rassembl es ce lundi sont sensibles cette r alit A DES D MARCHES CULTURELLES PORTEUSES DE VALEURS Ces valeurs intimement li es l Auvergne sont exprim es en diff rentes circonstances par des festivals des concerts des expos ici ou ailleurs Les identifier les analyser les d cortiquer In fine les dig rer et les r adapter ses propres projets tel est l objectif de la partie qui suit 1 Des v nements qui magnifient la contemporain en milieu rural l chelle de paysages naturalit du site ou du terri
187. ur Tonique et digestif le romarin stimule la fonction biliaire Il soulage les maux de t te et les affections respiratoires En cosm tique il convient surtout aux peaux grasses tendance acn ique et aux soins capillaires En bain il soulage fatigue et douleurs et stimule la circulation 44 Le Jardin gourmand La sauge officinale plante m dicinale par excellence la sauge soulage aussi bien les affections respiratoires digestifs que les troubles hormonaux f minins Le souci Les fleurs de souci sont comestibles mais sont surtout appr ci es pour leurs propri t s m dicinales et cosm tiques car elles renferment des substances tr s douces mucilages pectine latex En interne tisane le souci soulage les douleurs digestives En externe lotion mac r t cataplasme il est exceptionnel hydratant calmant cicatrisant antiseptique il convient toutes les peaux m me les plus fragiles Le thym l infusion de thym tr s agr able est digestive et soulage les troubles gastro intestinaux mineurs Le thym est surtout utile en tisane ou en inhalation pour pr venir ou soulager les affections respiratoires rhumes et bronchites En lotion l infusion soigne les petites plaies coupures corchures et calme les irritations cutan es En cosm tique elle convient aux soins des peaux jeunes tendance acn ique Utilis e en eau de rin age la d coction forte estomperait les premiers cheveux blancs
188. ur toutes baignades en eau captives pas seulement les baignades biologiques Pour toutes les baignades en eaux captives pas seulement les baignades biologiques change de tout le volume d eau dans la baignade en 12 heures pour les baignades par filtration biologique les changes peuvent se faire en partie par de l eau trait e biologiquement Pour chaque baigneur dans l eau en m me temps 10m de volume de la zone de baignade Etablir un profil de vuln rabilit de la baignade Mettre au meilleur niveau les mesures d hygi ne des baigneurs LES LIMITES DE CONCENTRATION DES PRINCIPALES BACT RIES Eau douce Eau sal e UFC 100 ml UFC 100 ml Escherichia coli UFC 100 ml Ent rocoques intestinaux UFC 100m1 Pseudomonas aeruginosa Staphylococcus aureus Cryptosporidium ssp et Giardia Autres contr les Indicateurs d absence de d veloppement de microalgues et Cyanobact ries comme pour les baignades en eau libre Transparence de l eau gt 1m En plus pour les baignades filtration biologique Pour chaque baigneur jour 10 m d eau pendant les heures d ouverture volume de la zone de baignade eau de remplissage apport e eau filtr e biologiquement Toute eau recycl e doit tre trait e EL Temp rature max 23 25 C Ent rocoques intestinaux lt 40 UFC 100 ml Escherichia coli lt 100 UFC 100 ml Je La Baignade Biologique conception
189. ures de protection environnementales ZNIEFF Natura 2000 Un travail en amont est r alis pour l installation des oeuvres avec le Parc Naturel R gional des volcans d Auvergne ainsi qu avec l Institut National de Recherche Agronomique INRA et la Chambre d Agriculture du Puy de D me p J T i C QE Base F 5 pn LITE e a Travaill es en atelier ou r alis es sur place en collaboration avec les acteurs du territoire chacune des oeuvres s inscrit dans un rapport de r ciprocit avec leur environnement imm diat et participent ainsi la red finition du rapport entre l homme et la nature Aussi Horizons a pour ligne directrice l art et l engagement environnemental Pour d marquer l v nement et assurer sa p rennit et sa l gitimit dans le monde de l art exigence de qualit dans le choix des artistes choisir des artistes en phase s entourer de sp cialistes de l art Se cr er un r seau de Journalistes sp cialis s art architecture design titre d exemple le premier comit de s lection tait pr sid par Didier Ottinger conservateur au centre Pompidou Paris et chaque appel candidature g n re 250 dossiers re us d artistes du monde entier Accueillir des artistes de l envie la r alisation GUIDE NATTITUDE IV IMAGINER des perspectives communes Une r ussite Depuis la 3 dition en 2009 les acteurs du territoire du Sancy sont convaincus de la port e
190. viennent chercher un s jour nature amp raffin la cuisine doit porter les m mes valeurs DM Ma cuisine sans tre di t tique ou r gionale a toujours privil gi les modes de cuisson les plus sains utilis beaucoup de l gumes de poissons et pour les laitages les fruits et l gumes les vins les huiles etc beaucoup de produits locaux M me chose pour les enfants je propose des menus vari s avec toujours un l gume PMT Pour moi ce type de cuisine a du sens elle positionne mon tablissement elle lui donne des valeurs et du caract re en un mot elle le rend singulier Et pour vous David Le ch teau s est engag dans une d marche dAgenda 1 et d colabel Ma contribution se fait par mes achats de plus en plus de bio du local du direct producteurs Petit petit surtout au gr s des rencontres qu il faut apprendre provoquer je fais voluer mes fournisseurs Label ou pas label DM Label Pour moi c est un gage de r gularit de qualite et de fiabilit Pour les clients c est une assurance aussi m me si je suis persuad e que pour eux c est la proximit qui a le plus d importance Vous avez lanc ily a 4 ans des cours de cuisine au ch teau pourquoi Vid o PMT Pour deux raisons principales pour cr er une activit hors saison et pour cr er une actualit qui int resse les m dias ou les r seaux Laura fallu 3 ans pour installer ces cours La premi re ann e
191. vous est propos reprenant les principaux l ments faire pr ciser De m me les tablissements Nattitude constituent progressivement un r seau d co fournisseurs et d co consultants que vous pouvez utiliser pour trouver des solutions vos diff rentes probl matiques I D MARRER Vers une d marche environnementale 2 LES AIDES FINANCI RES SELON VOS BESOINS a Financer une intervention externe en amont gt Vous avez identifi un probl me pr cis plus lourd g rer Vous avez la possibilit de faire une tude plus approfondie sur un th me strat gique pour l entreprise ou un accompagnement externe pour mettre en uvre votre syst me de management environnement par un bureau d tude sp cialiste gt Vous voulez faire un audit blanc pour l co label europ en soit par un consultant soit directement par l AFNOR Prise en charge possible ADEME R gion 25 750 max D partement FEDER b Financer un investissement Vous avez identifi Les am liorations n cessaires qui vont impliquer des investissements vous avez la possibilit de solliciter Avec l appui du Conseil R gional d Auvergne Plan Bois Energie Plan soleil R gion 25 ADEME D partement Investissements ligibles Solaire thermique eau chaude chauffage Chaudi re bois Photovoltaique Guichet unique pour le montage des dossiers de subventions pour les tudes et l

Nattitude : tendances, bonnes pratiques et témoignages

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Nattitude : tendances, bonnes pratiques et t&eacute;moignages

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Nattitude : tendances, bonnes pratiques et témoignages