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Contents
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54. BPO 5 SE R Quelques chiffres La formation s est tal e sur 315 heures et a port sur 11 sujets diff rents La dur e de formation par fonctionnaire a atteint les 46 heures Le nombre total des participants a atteint 251 fonctionnaires 85 institutions et administrations ont t invit es participer cette for mation ou y ont manifest leur int r t 69 ont effectivement pris part au programme r parties comme suit 50 institutions publiques libanaises sur un total de 63 en notant la participation des diff rents bureaux de l Office des Eaux et des organismes de contr le concern s 16 h pitaux publics sur 22 13 autorit s de tutelage sur 15 Trois administrations participantes n taient pas mentionn es dans la circulaire du pr sident du conseil des ministres le minist re de la D fense le minist re du Tourism et celui de l Agriculture Quant au niveau des participants il a vari entre les diff rents groupes en raison du manque de formation de certains et des opportunit s que d autres avaient de m me que le recrutement al atoire dans le secteur public au cours des derni res ann es La majorit des participants de diverses fonctions et cat gories ont montr un int r t et une participation notable et ont manifest leur souhait de participer de nouvelles formations notamment dans le domaine de l in formatique et des langues R partition des participants Hommes 60 Femmes 40
55. Nouvelle structure la Direction de la TVA p8 Nouvelles des Douanes p9 Dossier Formation de gestion financi re pour les comptables et responsables finan ciers des institutions publiques p10 Akhbar p12 Par les fonctionnaires Les riches et la course contre l imp t p14 La Lettre interne du minist re des Finances Formation de gestion financi re pour les comptables et responsables financiers des institutions publiques p10 EDITORIAL Entretien avec le Ministre des Finances Dr Jihad Azour L quipe de r daction de Hadith El Malia a effectu une interview avec Dr Jihad Azour suite sa nomination au poste de Ministre des Finances le 21 juillet 2005 Cet entretien visait passer en revue les d fis de l tape venir et se renseigner sur la vision du Minist re les moyens qu il compte utiliser pour restaurer la confiance des citoyens ainsi que sur son message aux fonctionnaires surtout aux plus jeunes parmi eux La r ponse du Ministre a t porteuse d espoir quant l avenir du minist re des Finances il a en effet voqu des projets ambitieux et clairs refl tant sa d termina tion planifier et r aliser le changement D fis et Perspectives En ce qui concerne les d fis le Ministre Azour a pr f r adopter le mot Perspectives de l tape actuelle et a estim qu elles seront principalement ax es sur la n cessit de faire du minist re un mod le pour l Adminis
56. SAINS SN DU 3 0 Atelier de travail national avec les ONG de la soci t civile Le 14 septembre 2005 sous le patronage du Ministre des Finances Dr Jihad Azour et en sa pr sence l institut des Finances l Institution Internationale pour la Gestion et la Formation et Amideast Liban ont organis un atelier de travail national sur la consoli dation des relations entre le minist re des Finances et les ONG de la soci t civile concernant les imp ts et taxes 75 participants repr sentant la soci t civile et le Minist re des Finances ont assist la c r monie d ou verture ainsi qu un grand nombre de responsables des organes gouvernementaux concern s et des insti tutions internationales Lors de la c r monie d ouver ture des discours ont t prononc s par M Nazem El Khoury membre du Comit ex cutif de l Institution internationale pour la gestion et la formation Madame Lina Freige repr sentant l Agence am ri caine pour le d veloppement international et Madame Barbara Batlouni directrice d Amideast enfin le Ministre des Finances Dr Jihad Azour a pris la parole pour clore la s ance Programme de l atelier Les s ances de travail ont regroup 35 repr sentants des ONG et du Minist re et ont t ax es autour de diff rentes affaires fiscales les principales recom mandations qui en r sultent se r sument comme suit m Poursuivre cette approche d ouverture la soci t civile
57. REPUBLIQUE LIBANAISE MINISTERE DES FINANCES Edit e par l Institut des Finances 22 octobre 2005 du 21 me si cle en suivant quatre axes principaux le d veloppement du capital humain la modernisation des m thodes de travail la cr ation d une culture institutionnelle parti culi re au minist re des Finances qui le doterait d une identit claire et distincte et le travail d quipe avec une vision unifi e des objectifs et de la charte de travail et de ses sp ci ficit s m Assurer le service public de qualit au moindre co t pour les citoyens m G rer la politique financi re et conomique avec sagesse et trans parence m introduire les r formes n cessaires pour cr er une administration moderne qui utilise des m thodes modernes de travail m Transformer le minist re des Finances en centre d attraction des comp tences et de d veloppement des capacit s du secteur public Et le Ministre Azour d ajouter que l une des actions prioritaires que nous chercherons r aliser au minist re des Finances consiste formuler une nouvelle vision et une strat gie d action pour le minist re libanais des Finances qui prenne en consid ration les derniers change ments qu a connus le pays les d fis venir et le d sir du peuple libanais de renforcer les chances de croissance conomique et de bonne gestion des finances publiques Service des contribuables et facilita tion des transactions p8
58. Commerce international la d clara tion douani re unifi e les syst mes de classification des marchandises le syst me harmonis la valeur des marchandises et leur origine et les statistiques euro m diterran ennes Les participants ont re u toutes les informations n cessaires relatives aux statistiques du commerce interna tional Ils ont galement t form L Institut des Finances a organis le premier pro gramme r gional de for mation Beyrouth dans le cadre du projet de la Banque Mondiale pour le renforce ment des capacit s de l Iraq Le pro gramme a dur du 12 au 15 juillet et a trait du sujet des Statistiques du Commerce ext rieur 13 fonction naires irakiens des secteurs public et priv y ont particip fonctionnaires de la Centrale des Statistiques des Douanes du Minist re du Commerce de la Banque Centrale et de la Chambre de Commerce La formation a t assur e par un nombre d experts du Programme des Nations Unies pour le d veloppement aupr s du minist re des Finances de la Direction des Douanes libanaises de l Administration Centrale des sta tistiques de la Banque du Liban et du Centre d informations commerciales au minist re de l Economie et du humaines J collecter ces statistiques les pr par Commerce Les discours et pr senta LES PRINCIPAUX POINTS TRAIT S L ouverture du commerce international est devenue une urgence dans le nouvel ordre m
59. selec tionn s Le d cret de d signation au poste de contr leur assistant en exercice visant la premi re partie de ces can didats a t mis vers le milieu de l ann e 2005 Le nombre L aministration des douanes poursuit l application des nouvelles technologies ce syst me fournit de nouvelles facilit s aux Douanes et l Administration publique et emploie des technolo gies nouvelles comme l Internet et autres moyens de communication avanc s Ont assist la c r monie le Pr sident du Conseil Sup rieur des Douanes M Akram Ch did le Directeur G n ral des Douanes le G n ral Assad Ghanem le PDG du Port de Beyrouth Hassan Koraitem le Directeur technique d ASYCUDA Gen ve Fabrice Millet le Conseiller aupr s du Ministre des Finances aux affaires douani res Georges Azar et un nombre de fonction naires et d agents douaniers En conclusion l expert Millet a apport une explication d taill e du syst me et de la n cessit de son adoption dans l Administration des Douanes Il s est galement f licit de l adoption par le Minist re des Finances de toute nouveaut technologique essentielle son projet de modernisation Dons la Croix Rouge Libanaise Deux quipes du PNUD ont pr sent au Minist re des Finances et l UNCTAD le 16 septembre dernier au si ge de l Institut des Finances le syst me douanier ASYCUDA World que le Minist re des Finances a l intention d utilis er dans le cadre d
60. ARRE E ot sus Mb ef it QUI pl fac ali ele hli isole pur vols LI loss
61. D partement des fonds b tis Beyrouth l Institut des Finances 3 organis une ses sion de formation sur la Loi de l imp t sur les fonds b tis pour la p riode allant du 28 juin au 8 juillet 2005 La session a trait de la Loi ainsi que du r glement et des circulaires concernant son application elle a galement pass en revue les principes de l imposition la m thode de calcul des imp ts l exclusion du cadre de l imp t les cas d exemp tion et d annulation le wakf et les p nalit s ainsi que plusieurs cas pratiques Le programme a t ex cut par le contr leur principal retrait M Mohammad Mousalli controleur interne et l inspecteur des Finances M Moustafa Alaeddine lesquels ont aid les contr leurs r cemment d sign s approfondir la compr hension de leurs t ches et de la Loi de l imp t sur les fonds tant donn e leur longue exp rience pratique dans ce domaine Pour compl ter ce pro gramme deux s ances de travail ont t consacr es aux principes juridiques et pratiques relatifs au m canisme d objection l imp t sur les fonds b tis et les d lais fix s pour r gler ce genre d objection avec M Emile Dirani J FORMATION L IDF LANCE LA FORMATION METIER Programme des grands contribuables Le 3 ao t 2005 le programme de formation adress aux contr leurs principaux et aux contr leurs du D partement des Grands con tribuables au minist re des Finances a t m
62. Finances Dr Jihad Azour et l am bassadeur S E Mme Asma Annissa La signature a eu lieu au cours d une c r monie tenue le 31 ao t 2005 en pr sence de M Elie Maalouf Directeur des Finances par int rim M Louai El Hajj Chehad Directeur des Recettes la Directrice de l Institut des Finances Mme Lamia El Moubayed Bissat et des repr sentants de l amicale libano pakistanaise Le Liban a d j conclu jusqu ce jour 41 accords visant viter la double imposition avec diff rents pays mesure qui encourage les investissements et am liore les recettes conomiques et financi res du Tr sor libanais JES FINANCES PE MINISTERE DES FINANCES Accueil d une d l gation gyptienne au service des grands contribuables Le MdF et l IdF ont accueilli les 18 et 19 ao t 2005 une d l gation du minist re gyptien des Finances compos de 7 hauts responsables dont un conseiller au ministre des Finances le directeur ex cutif du service des grands contribuables et d autres responsables dans les d partements de formation et de gestion de ressources humaines et informatique La d l gation s est rendue au service des grands contribuables pour observer les proc dures suivies et poser des questions aux responsables informatiques et ceci dans la perspective d tablir une relation de parte nariat durable et d tudier l exp rience libanaise relative
63. abis LL LAS le lt die ts fl gt X gt LS do als gt nn plis 5 E bts 0 Li gt
64. et la r vision Jinane Douaihy et Sabine Hatem Panama soit le paradis fiscal le plus peupl en entreprises de ce type avec 325000 soci t s enregistr es jusqu 2002 Mais les iles vierges britan niques talonnent l tat d Am rique centrale avec plus de 210000 soci t s soit pr s de 17 par habitant et envi ron 115 nouvelles chaque jour L utilisation la plus pratique de ces soci t s est la fraude fiscale en trans f rant discr tement actifs et revenus Par exemple Peter Graf p re de la championne de tennis Steffi Graf aurait soustrait au fisc plus de 62 7 millions de francs d tourn s vers une soci t cran au Pays Bas un pays tr s souple sur le plan fiscal Les revenus publicitaires et les primes de sa fille taient ensuite achemin s vers les Antilles N erlandaises et le Liechtenstein De m me Kitaro Watanabe milliar daire Japonais class 6 me fortune mondiale par le magasine Fortune a t arr t il est soup onn d avoir transf r pr s de 53 millions de francs sur les comptes des soci t s crans pour chapper ses cr anciers Bref pour la plupart de ces millionnaires ressortissants des pays o la pression fiscale est lourde trop d imp t tue l imp t C est pourquoi ils ont choisi de faire fuir leur fortune Parce qu leurs yeux l imp t ne fait que taxer le travail et la comp tence enregistr es LE SPORT FAVORI DES RICHES L
65. et organiser des sessions de formation sp cialis es pour le personnel et les volontaires des organisations de la soci t civile sur les imp ts a Clarifier et amender l article 5 de la loi des imp ts sur le revenu et de la d claration fiscale pour les non r sidents et reconsid rer le taux maximal fix pour les dons et contributions qui peuvent tre d duits des gains des soci t s commerciales m Adopter le principe d annualit des d clarations des imp ts sur le revenu et les salaires m Fixer un d lai pour les r ponses aux demandes de remboursement de la Taxe sur la Valeur Ajout e m Reconsid rer certains textes juridiques douaniers appliqu s aux associations m Proposer un panier d incitations aux ONG de la soci t civile pour les encourager assumer leurs obligations fiscales la fin de la r union un comit conjoint a t consti tu afin de rechercher des moyens visant ex cuter ces recommandations et proposer de nouvelles initiatives et activit s I NOUVELLES DU MINISTERE LE SERVICE DES CONTRIBUABLES AIDE A LA FACILITATION DES TRANSACTIONS M Haddad ne se plaint point du manque de personnel bien au con traire II consid re que 100 fonction naires dans sa Direction constituent un nombre suffisant Ces fonction naires peuvent contr ler la forme des transactions et en achever certaines le jour m me Ils peuvent r pondre aux questionnements des contribuables par
66. juin 2005 et le 6 juillet 2005 regroupant Un ST nombre de personnes LEE B 7 concern es par la ques 5 tion au sein des diff rentes directions des finances publiques et du Centre Informatique Les rencontres ont t inaugur es par le Directeur G n ral des Finances Mr Alain Bifani qui s est f licit des efforts actuels visant dynamiser le recouvrement et qui a soulign l importance du d veloppe ment de l action concernant la base de donn es actuelle sur les con tribuables et la n cessit d assurer une coordination entre les directions de v rification et de recouvrement afin de fournir un service rapide et efficace au citoyen Ces rencontres ont men une s rie de recommandations d taill es et des propositions multiples dont m uvrer l informatisation de tous les tableaux d imposition et annonces urgentes et fixer les d lais n cessaires pour l accomplissement de cette t che afin que les tableaux soient mis sur r seau lectronique et dot d un syst me de recouvrement m Poursuivre la question de notification des contribuables quant aux docu ments d imposition et uvrer l homog n isation des proc dures de notification m Proposer la formation d une quipe de travail pour poursuivre la ques tion des obstacles auxquels fait face le Minist re des Finances avec la soci t LibanPost m Proposer la constitution d une quipe de travail pour d terminer et uni fier la m thode de cal
67. juridiques afin de les aider contrer les infrac tions douani res Le formateur a d abord introduit la notion d in fraction douani re y compris celle relative aux marchandises et leurs cat gories avant d vo quer le r le et les droits des agents des douanes dans la v rifi cation des infractions douani res notamment le droit d inspection des marchandises des moyens de transport et des personnes et l ac c s aux registres et documents Il a insist sur les questions d in spection domestique de crime de trafic t moin et sur les moyens de v rification des infractions douani res Enfin le formateur a discut des infractions des mani festes et des r gles de notifica tion en mati re de plaintes douani res et autres affaires l gales Par ailleurs lors d une session de formation sur la technologie des marchandises M Elias Khazaka contr leur principal des affaires d inspection au Port de Beyrouth a pr sent un groupe d agents douaniers les principales carac t ristiques des marchandises les tapes de leur production et les modalit s d application des tarifs douaniers et ce du 21 au 29 juillet 2005 9 FORMATION DYNAMISER LE RECOUVREMENT DES FINANCES PUBLIQUES Dans le cadre des efforts d ploy s pour susciter une discussion approfondie autour du m canisme de recou vrement des finances publiques et de sa dynamisation cinq r unions de travail ont eu lieu entre le 1er
68. l Imp t sur le revenu sur la question du Droit du Travail et de son impact sur l im p t sur les salaires La formation a t labor e par l avocat Fadi Kahi et ex cut e par le juge Georges Attieh La session s est tal e sur 14 heures y compris des s ances de discussions et de cas pratiques du 30 ao t au 20 septembre 2005 puis du 22 septembre au 20 octobre 2005 Ces deux sessions ont vis promouvoir la culture juridique des fonc tionnaires et les aider comprendre le contrat de travail ses condi tions ses effets et les conditions de sa r siliation ainsi que les con s quences de la r siliation et les moyens de recours Elles se sont gale ment concentr es sur les relations collectives de travail pour ce qui rel ve de la validit de la conclusion du contrat de travail collectif et de son contenu Les correspondances administratives au sein de l administration publique Pour une meilleure connaissance des types de correspondances de l Administration publique et pour une bonne acquisition de la comp tence n cessaire l laboration de ces correspondances dans le cadre des lois administratives en vigueur et la bonne utilisation des disposi tions et clauses du Droit administratif relatif aux correspondances administratives l Institut des Finances a organis deux sessions de for mation sur les Correspondances administratives au sein de l adminis tration publique pour les fonctionnaires du minist re des F
69. que le budget 2006 en cours de pr paration allait mettre le Liban sur une nouvelle voie et qu il n impliquerait pas de nouvelles charges incombant aux citoyens Le ministre a ajout que le Tr sor avait subi des pertes concernant les droits d duits sur l essence sans aucun ajustement de la loi relative PAR LES FONCTIONNAIRES DES FORTUNES QUI ONT QUITTE LA FRANCE Des chefs d entreprise m Alain AFFLELOU pour la Suisse m Victor AMARA PDG de Sogeris pour Bruxelles m Caroline ARPELS pr sidente du conseil de surveillance de Van Cleef amp Arpels pour la Suisse m Corinne BOUYGUES pour la Suisse m Pierre Cardin pour la Suisse m Jean Louis DAVID aux les Ca mans m Fran ois DALLE ancien PDG de l Or al pour la Suisse Des artistes a Alain DELON en Suisse 8 Charles AZNAVOUR en Suisse Des sportifs m Henri LECONTE joueur de tennis m Alain PROST en Suisse Pilote de Formule 1 m Richard VIRENQUE en Suisse cycliste Gretta Mhanna Unit de Recherche et d Analyse Fiscale REDACTION ET PRODUCTION La lettre interne du minist re des Finances Edit e par l Institut des Finances Adresse 512 Corniche al Naher B P 16 5870 Beyrouth LIBAN T l 01 425147 9 Fax 01 426860 Site Web www if org lb R alisation Loubna Boustany Supervision Lamia El Moubayed Bissat Photographe Int l Pictures et la camera de l Institut Imprim e par Arab Printing Press Ont particip la r daction
70. t l phone ou par crit sans aucun probl me particulier Le Service des contribuables asans aucun doute soulag les administra tions et les fonctionnaires d une part importante du fardeau En cas d ap plication de ce syst me dans le reste des directions du Minist re des Finances et dans d autres administra tions publiques ce Service pourra sans aucun doute r aliser le d veloppe ment et la modernisation de l Administration en faveur aussi bien de l Administration publique que du citoyen Jl du Service des contribuables le citoyen arrive au premier tage du si ge de la Direction des revenus enregistre sa transaction au Registre de la Direction avec laquelle il a l in tention de traiter S il s av re que sa transaction est incompl te le fonc tionnaire le lui transmet imm diate ment pour qu il la compl te avant de la faire transiter par le processus habituel Mais si la transaction est compl te le fonctionnaire fixe au contribuable un d lai pr cis au bout duquel il pourra revenir r cup rer son dossier achev M Abdelhafiz Soubra d clare que 90 des transactions sont accomplies dans les d lais fix s Quant aux 10 qui restent elles accusent un retard d soit au volume ou la com plexit du dossier de la transaction ou bien un probl me dans la transac tion elle m me non visible au moment de sa pr sentation Dans ce cas le d lai octroy est prolong pour que le contribuable puisse se procu
71. A COURSE CONTRE L IMP T Point commun des nouveaux riches ils d testent voir leur fortune tomber dans les caisses du percepteur Pour y parer les 65 paradis fiscaux de la plan te ont tout pr vu pr te nom soci t cran Par tous les moyens les grosses for tunes tentent de passer au travers des filets des administrations fiscales m me les plus gourmandes Et la voie royale est de trouver un havre fiscal cumulant deux avantages une taxa tion voisine de z ro et un secret ban caire A l chelle de la plan te cette fuite des millionnaires engendre des flux colossaux 65 paradis fiscaux g rent 29500 milliards de francs plus de 40 de la fortune priv e mondi ale Destinations les plus pris es le Luxembourg la Suisse et les Cara bes En fait en quelques heures une soci t peut y tre cr e en totale confidentialit sans aucune obliga tion de r v ler l identit des propri taires Dans la course poursuite entre les riches et le fisc ce dernier est souvent perdant Les conseillers financiers utilisent les failles de la l gislation pour viter les taxes en toute l galit Pour acqu rir une soci t cl la main il suffit d envoyer un mail l un des sp cialistes de cette industrie de masques Le client re oit une liste impressionnante de plusieurs cen taines de noms De plus Panama accorde des r duc tions m 5 de r duction pour 50 soci t s crans achet es m 10 jusq
72. Le commencement d une nouvelle tape Sans aucun doute le programme a pr par le terrain une nouvelle tape dans la communication entre le MQF et les agences publiques autonomes Il demeure toutefois important que les responsables de ces institutions b n ficient de cette initiative en d veloppant leurs partenariats en vue d am liorer les pratiques communes dans l int r t public Aussi il est essen tiel que les fonctionnaires participants se conforment s rieusement leur engagement qui consiste am liorer leurs performances et transmettre les connaissances acquises tout en perectionnant leurs pratiques et en trou vant des solutions aux probl mes qui ponctuent leur travail quotidien AKHBAR La d l gation a aussi observ les outils de travail et le fonction nement de l IdF concernant l or ganisation des diff rents pro grammes de formation La visite s est termin e par un entretien du chef de la d l gation avec le ministre libanais des Finances En conclusion le conseiller du ministre gyptien des Finances a remerci le MdF pour son accueil et pour les services rendus afin de faciliter la moderni sation du MdF gyptien Le ministre de l Etat pour la R forme Administrative l IdF L IdF a accueilli le 18 ao t le ministre de l Etat pour la R forme Administrative Dr Jean Oghassapian qui s est entretenu avec le ministre des Finances Dr Jihad Azour sur la possibilit de financer des pro
73. aba fon shall se Ye au wall Lt le il ins Ji Rare six mil j 1 3 Se A ie TS
74. ables de la quatri me cat gorie A la suite des mutations connues par le Minist re et de la cr ation des nouvelles unit s l Administration et surtout les responsables de la Direction des Recettes demandent de plus en plus le d veloppement de pro grammes de formation pour fonc tionnaires il s agit de programmes int gr s introduisant fond au fonctionnaire sa nouvelle fonction et l aidant acqu rir les comp tences n cessaires pour qu il accomplisse les t ches qui lui incombent Les premiers de ces programmes ont t adress s au Service de Contr le des V rifications de la Direction des Recettes en mars 2005 Puis le pro gramme des fonds b tis a t entam avec les contr leurs nou vellement recrut s puis le pro gramme de formation des grands contribuables L Institut uvre actuellement en troite collabora tion avec les chefs des d parte ments et un certain nombre de contr leurs principaux et sous la supervision directe du Directeur des Recettes d velopper un pro gramme sp cial pour l audit de l imp t sur le revenu pour les con tr leurs charg s de cette t che ce programme sera mis en uvre partir du d but d cembre 2005 FORMATION DROIT DU TRAVAIL ET DROIT ADMINISTRATIF AU C UR DES SOUCIS DE FORMATION Introduction au Droit du Travail L Institut des Finances a organis deux sessions de formation pour les contr leurs principaux et les contr leurs du D partement de
75. ans r formateurs et que ces derniers se trouvent dans l Administration Notre r le en tant que responsables est de leur accorder la chance et de leur offrir le n cessaire en mati re d appui moral d assistance et de capacit s qui leur permettent de progresser chacun dans son d parte ment et dans son domaine de travail Lorsque nous leur fournissons les possi bilit s ainsi que les opportunit s de prise de conscience et de comparaison travers la formation l enseignement et le d veloppement nous pourrons plac er l Administration sur le bon chemin Dans ce contexte nous nous f licitons de l action de l Institut des Finances et de son r le dans cette op ration Et je ne peux que vous assurer de mon EDITORIAL Ces objectifs qui ne peuvent tre r alis s qu travers la r alisation des objectifs du minist re des Finances visent l am lioration de sa per formance de fa on r pondre aux exigences de l re du savoir et d en faire un facteur de concurrence en conomie afin d assurer le meilleur service possible pour la nation et les citoyens En outre les projets de modernisation et de d veloppement des finances publiques des d parte ments du cadastre des affaires fon ci res et des douanes seront pour suivis ainsi que le d veloppement des comp tences de leurs fonctionnaires et de leur personnel et ce par le biais de l Institut des Finances Une nouvelle approche Selon le Ministre nous nous
76. artyr M Rafic Hariri suite une proposition de l ancien ministre des Finances M Fuad Siniora A la fin de la c r monie des certificats de par ticipation ont t remis aux partici pants en pr sence d un grand nom bre de hauts responsables du MdF et d institutions publiques et priv es Des rapports ont t r dig s au courant de l ann e 2004 par le MdF l attention du Conseil des Ministres faisant tat de la situa tion des institutions publiques et valuant leur niveau de productivit de gestion financi re et comptable et leurs besoins en formation En l IdF a t charg cons quence Comptables CONTENU m Le budget La cl ture des comptes wm La comptabilit administrative Les march s publics L imp t sur le revenu Le droit de timbre La TVA wm La comptabilit commerciale Les normes comptables interna tionales m Les r glementations financi res et administratives r gissant les op rations des institutions publiques et leur contr le R partition suivant les fonctions Autres 4 De son c t l Institut des Finances respectera ses engagements de collaboration avec les institutions dans le d veloppement des com p tences des fonctionnaires afin d adapter leurs connaissances aux changements tous ces efforts ser vent certes l objectif ultime Offrir un service meilleur au citoyen et assurer une meilleure gestion des biens publics E
77. cteur public qui sont les parties directement et indirectement concern es quels sont les projets de modernisation propos s gt Analyse de la fonction RH au MdF quelles sont les unit s qui en sont charg es leur activit dans ce cadre L valuation de leur approche en terme de gestion moderne des RH et de leur capacit accompagner les projets de modernisation etc gt Le potentiel existant et les points faibles les conditions du progr s gt Les orientations strat giques propos es pour acc l rer le changement NOUVELLES DU MINISTERE CONSOLIDATION DE LA BONNE GOUVERNANCE AU MDF LANCEMENT DES COMIT S PARITAIRES DE CONSULTATION AVEC LE SECTEUR PRIV ET LA SOCI T CIVILE Comit s de consultation une vieille id e toujours nouvelle En 1999 le minist re des Finances a lanc une premi re initiative pour l tablissement d un dialogue entre les secteurs priv et public en vue d am liorer les relations entre les contribuables et l adminis tration financi re et douani re et d all ger les proc dures administratives En 1999 2000 l Institut des Finances a organis des r unions et tables rondes sur la relation entre l Administration financi re et douani re d une part et les contribuables d autre part auxquelles a particip une lite de repr sentants des deux parties Les comit s paritaires de consultation ont t fond s pour assurer le suivi de ces r u nions Ces comit s sont parvenus pr
78. cul des p nalit s de retard pour tous genres d im p t m Organiser l op ration de recouvrement des imp ts du contribuable en faillite et informatiser l op ration de faillite m R viser les rapports mis par le syst me de recouvrement en vue de les modifier ou de les revisiter en fonction des besoins des unit s de recou vrement et en vue de facilitater ces diff rentes t ches m Informatiser l op ration de paiement pour veiller ce que les sommes dues soient ray es imm diatement une fois pay es m Publier des guides et des publications s adressant aux citoyens afin de sensibiliser le contribuable et de lui faciliter son r le lors du recouvrement E PARTENAIRES DE FORMATION LE PROJET DE LA BANQUE MONDIALE POUR LE RENFORCEMENT DES CAPACIT S DE L IRAQ er les mettre et les publier selon les normes internationales est noter que l Institut des Finances a d j accueilli trois d l ga tions irakiennes durant l ann e 2005 ainsi qu une d l gation du minist re irakien du Plan et de la Coop ration pour le D veloppement et une autre du Conseil de contr le financier lesquelles sont venues prendre con naissance de l exp rience de l Institut des Finances dans le domaine de la formation continue et de la gestion des ressources 4 5 tions ont voqu divers sujets le com merce international et son impact sur l conomie irakienne les statistiques les normes et les r glements du
79. e la balance des paiements de l activit de la bourse et de la situation des finances publiques au courant des mois d ao t et septembre 2005 et de la stabilisation des march s financiers le MdF a par ailleurs t capable d augmenter le surplus au courant du mois d ao t 500 milliards de livres libanaises gt Un protocole de coop ration avec la BM contre le gaspillage Un protocole de coop ration a t tabli avec la Bnaque Mondiale visant valuer le niveau de gaspillage Il comprend par une tude des niveaux financier administratif et institutionnel une valuation et un rep rage des risques de gaspillage et de mauvaise gestion gt Le taux de change de la livre libanaise n a pas ete d battu N Y Le ministre des finances a d clar que le taux de change de la livre libanaise n a pas t discut au cours des r unions de New York indiquant que le FMI a chang de point de vue ce sujet dans la mesure o tout change ment du taux affecterait n gativement le Liban gt Un programme de r formes purement libanais Le ministre des finances a d clar plusieurs occasions que le programme de r formes serait purement libanais et que le projet propos par le gouvernement la communaut internationale refl terait largement les projets propos s par les partis politiques et les instances conomiques gt Budget 2006 pas de nouvelles charges sur le citoyen Le ministre des Finances a annonc
80. es En vue de faciliter les op rations d exportation et de r exportation des marchandises par conteneurs et pour all ger les t ches des exportateurs le Directeur G n ral des Douanes le G n ral Assad Ghanem a pris la d cision exceptionnelle mais dans le cadre des pr rogatives stipul es par l article 278 de la Loi des Douanes d autoriser les com pagnies de fret introduire temporairement les conteneurs vides qui leur reviennent et les d poser dans des places sp cialement am nag es cette fin et situ es hors de l enceinte douani re du Port de Beyrouth et ce pour une p riode maximale de six mois en vue de les r exporter vides ou pleins ceci s effectue en vertu de let tres d engagement relatives une telle situation La d cision du Directeur G n ral des Douanes suppose que soient couverts les con teneurs arrivant pleins de marchandises une fois d charg s dans les d p ts des douanes ou dans les d p ts des commer ants Ce m morandum est entr en vigueur le premier septembre 2005 M UNE FORMATION DE GESTION FINANCI RE ADRESS E AUX COMPTABLES ET AUX RESPONSABLES FINANCIERS DANS LES INSTITUTIONS PUBLIQUES m ment au sch ma comptable appliqu dans le secteur public libanais notamment de compt abilit partie double Parvenir une bonne application des normes de pr paration du budget et de cl ture des comptes et des march s publics Le programme s est tal sur deux
81. es efforts d ploy s pour int grer les nouvelles technologies dans son Administration La pr sentation a t effectu e par le Directeur du projet du PNUD aupr s du minist re des Finances M Salim Balaa qui a effectu un aper u des syst mes douaniers appliqu s par le Minist re des Finances pendant la derni re d cennie Il a ensuite soulign l importance du syst me douanier ASYCUDA que le Minist re compte introduire dans les activit s relatives l Administration des Douanes ainsi que ses hautes caract ristiques techniques qui auront un effet positif quant la facilitation des proc dures d import export notamment en ce qui concerne le r glement des proc dures douani res et des marchandises en effet d sormais une habitude Depuis 2000 la Direction des Douanes offre un don en nature la Croix Rouge Libanaise Cette ini tiative a t renouvel e cette ann e lorsque le personnel des Douanes a collect la somme de 6 920 000L L qu il a offert la Croix Rouge lors d une c r monie tenue le 13 septembre dernier au quartier g n ral de la Croix Rouge en pr sence du pr sident de l organisation le G n ral L on et du Directeur G n ral des Douanes le G n ral Assad Ghanem le Chef de la Section administrative le Commandant Jabbour Hanna et le Pr sident de la Direction des Affaires Administratives le contr leur principal Jamil El Debs E Facilit s d introduction temporaire de conteneurs vid
82. grammes de d veloppement administratif par la Banque mondi ale et le Fonds arabe pour le d veloppement conomique et social Suite leur r union les ministres ont donn une conf rence de presse au cours de laquelle le ministre Oghassapian a soulign l importance de l homog n it du pouvoir ex cutif de sa prise de con science des probl mes en question et sa cr dibilit Aussi il a mis l accent sur la mission des autorit s et de leur capacit mettre en application leur vision notamment au niveau du d veloppement des RH gt gt gt AU JOUR LE JOUR Formation des contr leurs en chef de la DG Sous le haut patronage du ministre des Finances Dr Jihad Azour et du ministre d Etat pour les Affaires administratives Dr Jean Oghassapian l Ecole Nationale d Administration a lanc le 12 septembre 2005 une for mation adress e aux contr leurs en chef aux contr leurs internes et aux chefs des d partements comptables la Direction g n rale des Finances Dans son discours le ministre Azour a soulign l importance de l objectif de cette formation qui consiste faire du MdF un mod le suivre au niveau du d veloppement des ressources humaines et des proc dures de travail Convention de non double imposition entre le Liban et le Pakistan Le Liban et le Pakistan ont sign un accord visant viter la double imposition Les deux pays ont t respec tivement repr sen t s par le ministre des
83. inances et d autres minist res du 12 au 23 septembre 2005 puis du 26 septembre au 7 octobre 2005 Le programme a trait du principe de hi rarchie administrative verticale et horizontale des types de correspondance et de la classification des textes de loi tout en insistant sur les instructions pratiques quant au contenu et la forme cette fin l Institut 3 coop r avec M Dany Gedeon premier contr leur au Conseil de la Fonction Publique Culture juridique et hi rarchie des lois L Institut des Finances a organis pour les personnes concern es au minist re des Finances deux s minaires avec des discussions les 18 et 21 juillet 2005 dirig s par M Emile Dirani et portant sur la distinction entre Droit public et Droit priv sur la hi rarchie des textes de loi les sources du Droit et la fa on dont il est appliqu ainsi que sur les sp ci ficit s des lois fiscales E 7 fr 71 7 5 Ty 1 7 7 f HA 47 H f AT LT 77 24 4 7 amp CONTENTIEUX DOUANIER ET TECHNOLOGIE DES MARCHANDISES AUX DOUANES Le 16 ao t 2005 50 agents des Douanes ont particip une ses sion de formation organis e l Institut des Finances sur le con tentieux douanier dirig e par M Suheil Ali Hassan ancien Directeur r gional de Beyrouth La session qui s est tal e sur 60 heures de formation avait pour objectif de doter les agents de la Douane des bases
84. ions avec les acteurs conomiques et les organisations non gou vernementales ONG de la soci t civile afin d voquer les probl mes auxquels font face ces acteurs vis vis du Minist re des Finances et de discuter d ventuelles solu tions La seconde tape de coop ration a t entam e avec la constitution de comit s paritaires de consulta tion charg s d assurer le suivi des r unions et de pro poser un m canisme efficace d application des proposi tions Entretien avec les acteurs conomiques et constitution d un groupe de suivi Le Ministre des Finances Jihad Azour a tenu le 14 sep tembre dernier l Institut des Finances une r union largie avec les pr sidents des instances conomiques au Liban en pr sence du Pr sident de l Union des Chambres libanaises l ancien ministre Adnan Kassar du Pr sident de l Association des banques Joseph Torbey et d un nombre de pr sidents de chambres et d in stances conomiques et financi res Cette r union a abouti la constitution d un comit de sept membres repr sentant les secteurs conomiques destin pour suivre le dialogue entre le Minist re des Finances et les institutions du secteur priv S minaire avec les experts et les sp cialistes en mati re de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption Le 9 ao t 2005 le Ministre des Finances a invit les experts et les repr sentants de la soci t civile actifs dans les affaires de bo
85. ires et aux commission naires ainsi qu d autres citoyens pour demander de l aide R gler la transaction dans un d lai pr cis Aujourd hui et apr s l tablissement ALES DU MINISTERE 0023 3 NOUVELLES DES DOUANES Du sang nouveau dans l Administration des Douanes de candidats concern es par ce d cret a t de 74 pour la plupart d tenteurs de dipl mes universitaires Dans le m me but le Conseil de la Fonction Publique a organis des concours limit s pour la promotion du grade de premier contr leur et de contr leur assistant celui de contr leur et ce au d but de l automne 2005 Les r sultats seront publi s durant la premi re moiti de novembre 2005 et seront suivis des d crets de promotion n cessaires A l issue de ce processus les postes de contr leurs adjoints vacants seront ult rieurement remplis Raymond Khoury Contr leur au Haut Conseil des Douanes Afin d accomplir parfaitement ses t ches l Administration des Douanes a d remplir les postes vacants depuis la suspension du recrutement il y a plus de onze ans en raison du d part en retraite de plusieurs fonctionnaires ayant atteint l ge l gal au sein des dif f rentes cat gories Pour introduire du sang nouveau dans l Administration le Conseil de la Fonction Publique a organis fin 2004 un con cours pour le poste de contr leur adjoint aux Douanes l issue duquel quelque deux cents candidats ont t
86. is en uvre Ce programme intervient l tape de pr paration des fonctionnaires pour l accomplissement de leurs t ches surtout dans le domaine d audit bancaire et des compagnies d assurance Le programme 3 d but avec une s ance pr para toire sur le plan de comptabilit public avec le Chef du D partement de l imp t sur le revenu M Sarkis Sakr suivie de deux sessions intensives la pre mi re sur le sujet de comptabilit bancaire avec M Elie Makdessi et la deuxi me sur le Code de la Monnaie et du Cr dit et les r gles d audit bancaire avec le Chef du D partement des Frais de trans port Mme Hayat Nader Il est noter que le programme de comptabilit bancaire a t accom pli en collaboration avec le centre d tudes bancaires et l Association des banques du Liban dans le cadre de l accord de coop ration sign avec l Institut des Finances Les nouveaux contr leurs au D partement des fonds b tis Dans le cadre de la pr paration des contr leurs leurs nouvelles La formation l Institut des Finances a connu durant l ann e 2005 un saut qualitatif important les activit s de formation s taient concentr es lors de ann es pr c dentes soit sur les programmes de formation continue pour les fonc tionnaires du minist re des Finances soit sur les programmes de formation pr paratoire des fonctionnaires ayant r cemment rejoint le minist re notamment les contr leurs et les compt
87. it du d veloppement des march s fin anciers et a voqu les d fis de contr le et d fis juridiques auxquels font face les autorit s doivent dans ce domaine E L Institut des Finances a cl tur les premi res wy activit s de coop ration avec le Centre r gional d assistance technique pour le Moyen Orient relevant du Fonds Mon taire International Metac ces activit s se sont concr tis es par un programme de formation sur les march s financiers et les instruments financiers mod ernes accueilli par l Institut du 5 au 16 septembre 2005 Le Programme a t coordonn par M Ralph Chami Directeur de la Section du Moyen Orient du Fonds Mon taire International Y ont particip 30 responsables PARTENAIRES DE FORMATION FORMATION ET COOPERATION L AMBASSADEUR DE FRANCE AU LIBAN F LICITE Parlement mais aussi par le dynamisme dont a fait preuve le tr s efficace Institut des Finances au Liban en organisant une s rie de s minaires autour de divers th mes conomiques et financiers en collaborant depuis 1996 avec l ADETEF pour des missions d assis tance technique dans le domaine des douanes des sta tistiques et de la comptabilit publique et en assurant la formation continue des fonctionnaires L ensemble de ces mesures tend former de jeunes fonctionnaires responsables et comp tents pour un service public plus efficient et s inscrit dans la strat gie de restructuration des ressources humai
88. l informatisa tion des formalit s fiscales La visite sur le terrain a galement compris la discussion du calendrier d activit du service gyptien des grands con tribuables et des besoins du service notamment en mati re de formation et d informatisation AKHBAR les deux minist res avait fait un grand pas en avant au cours de la Le Ministre Oghassapian derni re d cennie et qu elle a t Remettre en question les couronn e par un nombre de pro normes p dagogiques jets communs Cette visite du ministre Oghassapian l IdF prouve l impor tance du r le de l Etat dans le d veloppement des RH notam ment au sein des administrations publiques Pour conclure la directrice de l IdF Madame Lamia El Moubayed Bissat a pr sent les activit s de l Institut Le ministre Azour quant lui a et les outils de formation et de d clar que la collaboration entre d veloppement des RH I Le Ministre Azour Pour le recrutement et l assig nation des postes suivant les comp tences et le support aux r formateurs ECONOMIE FINANCES gt Des mesures pr ventives prises par le MdF Le ministre des Finances a soulign l importance des initiatives visant am liorer la situation conomique et financi re et appliquer les r formes requises De plus le minist re a pris une s rie de mesures pr ventives afin de parer tout impr vu li la situation politique ce qui a men une nette am lioration d
89. n tribuables qui poursuivent leurs op rations de bureau en bureau d tage en tage C est ce dynamisme dans ces deux directions avant la mise en fonction du Service des contribuables qui a fait des directions des fonds b tis et de l imp t sur le revenu Beyrouth un exemple suivre dans l organisation et la facilitation des op rations des contribuables Hadith El Malia a interview Messieurs Abdelhafiz Sabra Directeur des Fonds b tis et Elias Haddad responsable du Service des con tribuables relevant de la Direction des fonds b tis Avant l tablissement des sections des services des contribuables Avant le lancement du Service des contribuables l op rateur de la transaction devait l enregistrer au Registre de la Direction puis revenir quelque jours plus tard poursuivre son op ration aupr s du contr leur fiscal Au cas o sa transaction s av rait incompl te ou ses papiers insuffisants il ne pouvait qu y retourner pour com pl ter son dossier et revenir l en registrer nouveau au Registre Apr s le Registre de la Direction la transaction passait chez le contr leur fiscal puis chez le contr leur en chef et enfin chez le Chef de la Direction Le contribuable devait poursuivre sa transaction aupr s de toutes ces per sonnes jusqu finalisation Certes le contribuable est oblig de monter et de descendre les tages pour pour suivre ses transactions recourant aux fonctionna
90. n constituent la base pour l tape venir nous compterons sur les dirigeants qui jouiront de ces qualit s tout en veillant promou voir le r le des jeunes Jihad Azour en quelques lignes Dr Azour occupe le poste de ministre des Finances depuis juillet 2005 Auparavant il avait exerc six ans de suite les fonctions de Conseiller du ministre des Finances 1999 2005 M Jihad Azour jouit d une riche exp ri ence professionnelle tant dans le secteur priv que dans le secteur public Directeur Partenaire dans AM F firme internationale de consultation en management entre 1996 et 1998 il a repr sent un apport majeur dans la direction du bureau de Paris Avant cela M Azour a t conseiller du Directeur G n ral la Caisse des D p ts et Consignations entre 1993 et 1994 et a travaill dans d illustres firmes comme Mc Kinsey and Company et la Compagnie de Saint Gobain Fort de ses exp riences multiples M Azour a toujours eu la pr occupation de la formation et de l change des con naissances d o son exp rience comme professeur l Universit Am ricaine de Beyrouth dans le cadre du programme Masters Money and Banking M Azour est l auteur de plusieurs ouvrages et articles sp cialis s en particulier dans le domaine du droit de l conomie et du secteur bancaire per les capacit s de traitement lec tronique des formalit s et textes e government et e taxation communi
91. namiser la gestion des RH au sein du MdF Les chefs de d parte ments des diff rentes directions du MdF ont assist aux deux rencontres Ces rencontres ont t suivies par une br ve pr sentation des r sultats au ministre des Finances et aux directeurs g n raux afin de recueillir leurs recommandations quant la prochaine tape du projet E tion de l administration libanaise par des Le MdF b n ficie du soutien de l Union Europ enne dans un projet de r habilita experts sp cialis s ARLA cette aide tech nique porte sur des projets de modernisa tion notamment au niveau des Ressources Humaines Dans le cadre de ce projet le MdF accueille les experts Thierry Becheret et Samir Badr Ces experts ont ex cut la premi re phase de leur mission qui consiste valuer la situation et les pratiques exerc es en mati re de RH au MdF Pour ce faire les experts ont recouru dif f rents outils entretiens questionnaires visites sur le terrain et tude approfondie des lois Suite cette tape les deux consultants ont organis les 28 et 29 septembre des tables rondes afin de dis cuter avec les responsables concern s de l aboutisse ment de leurs recherches d approfondir les probl mes relev s et de recueillir des suggestions nouvelles qui orienteront leurs efforts Ces rencontres ont aussi vis exposer et discuter des LES POINTS DISCUT S gt Evaluation de la situation actuelle des RH dans le se
92. nes entam e dans l Administration Publique libanaise consciente qu une bonne Administration doit faire l objet d une gestion des ressources humaines exemplaire o les meilleurs et les plus comp tents acc dent aux plus hautes responsabilit s quelque soit leur origine sociale ou leurs appuis familiaux M L INSTITUT DES FINANCES 0 e le cadre du Colloque organis par les nu associations libanaise et fran aise des anciens l ves de l ENA le 25 Ao t 2005 autour du th me Le Management Public Une dynamique de transformation de l Administration Publique au Liban Son Excellence Mr Bernard EMIE ambassadeur de France au Liban s est exprim sur le r le cl de l Administration au sein de l Etat en termes de cr dibilit et de puissance d action Il a particuli rement insist sur l esprit de coop ration qui existe entre le Liban et ses partenaires fran ais et europ en dans le domaine de la modernisation administrative Cette coop ration effec tive s est non seulement traduite par des stages de for mations suivis par pr s de 110 fonctionnaires du minist re des Finances dans les diff rents Instituts de formation du minist re des Finances en France et l ENA et par une multitude de projets men s avec les minist res de la Justice de l Int rieur de la D fense et avec le UNE STRATEGIE DE DRH EN PARTENARIAT AVEC LUE Les ressources humaines Une mission d licate orientations strat giques propos es pour dy
93. nne gouvernance et de lutte con tre la corruption une s ance de discussion et de dia logue en vue d laborer une strat gie et un m canisme de travail visant consolider la bonne gouvernance au Minist re des Finances Les participants ont cherch d terminer les lieux et les risques d abus de pouvoir au Minist re des Finances Ils ont examin le point de vue du secteur priv et de la soci t civile dans ce domaine Ils ont galement pro pos des approches que le Minist re peut adopter afin d am liorer ses comp tences humaines et la qualit des services qu il offre aux citoyens et de lutter contre les ph nom nes d abus de pouvoir Ils ont aussi voqu les moyens que le Minist re peut suivre pour dynamiser la responsabilisation Enfin ils ont discut du r le que la soci t civile va jouer pour soutenir le Minist re des Finances afin d am liorer la qualit et le niveau de sa performance La rencontre a regroup des sp cialistes et des militants dans le domaine de consolidation de la bonne gouver nance parmi les responsables chercheurs et professeurs d universit ainsi que de haut responsables du Minist re des Finances avec leur t te le Ministre Dr Jihad Azour Le d bat a t mod r par le professeur Dr Randa Antoun Les participants ont pr sent leurs propositions et id es peuvant contribuer l labora tion d une strat gie globale de lutte contre la corrup tion E ERE
94. ondial Les donn es statistiques n ont aucune valeur si elles ne sont pas chang es ou utilis es On ne peut reconstruire Un pays au niveau de l conomie des institutions et des relations internationales sans sta tistiques exactes r guli res et mises la disposition de l tat et de ses partenaires int rieurs et ext rieurs L op ration de collecte d homog n isation de traitement d mission et de diss mination des informations requiert une coordination et une coop ration entre un grand nombre d acteurs publics et priv s Dans toutes les tapes de cette op ration il faut respecter les r gles et normes internationales devenues des con stantes du commerce international Il faut profiter des expertises et de l assistance internationale dans ce domaine Il faut galement profiter de l exp rience des tats qui ont connu des circonstances similaires et qui ont affront des difficult s similaires celle de l Iraq CL TURE DES PREMI RES ACTIVIT S DE COOP RATION AVEC LE CENTRE R GIONAL D ASSISTANCE TECHNIQUE POUR LE MOYEN ORIENT des march s financiers des banques centrales de la Palestine de la Jordanie de l Egypte de l Arabie Saoudite du Maroc d Oman et du Liban Le Programme visait approfondir les connaissances des participants concernant la nature des instruments financiers modernes et leur mode d emploi dans le domaine du financement et de la gestion des risques Il a galement tra
95. oposer plusieurs solutions une multitude de problemes fiscaux Le Ministre a voqu durant la r union les principaux projets d avenir notamment ceux concernant le lance ment du syst me NOOR 2 pour les douanes qui permet d introduire des donn es douani res distance la reconsid ration du quitus accord pour certaines transactions le lancement de nouveaux services lec troniques la modification du syst me d estimation des fonds b tis et l annulation des frais de la d clara tion fiscale Le Pr sident de l Union des Chambres libanaises Adnan Kassar a soulign quant lui que le secteur priv est en train de faire face de nombreux obstacles bureau cratiques Notre seul souci a t il dit est de faciliter l action gouvernementale dans les r gles et de donner sa chance au secteur priv acteur principal de la vie conomique En fin de rencontre un comit de sept membres a t constitu repr sentant les diff rents secteurs en vue de poursuivre le dialogue avec le Minist re ce comit joue actuellement un r le consultatif et fournit au Minist re les propositions et les solutions n cessaires la relance eeconomique Il se r unit p riodiquement dans le cadre d un m canisme clair et avec des objec tifs pr cis gt gt gt 4 jaw _ a DES FINANCES REMALNE 1 ch DES FINANCES et douaniers Le Ministre des Finances a tenu plusieurs r un
96. phases la premi re obligatoire por tant sur des sujets techniques comme la pr paration du budget et la cl ture des comptes et les lois La deuxi me partie facultative a englob des sessions de comptabilit commerciale et des ateliers portant sur les normes comptables interna tionales a 4 A d organiser le programme qui a t lanc le 11 janvier 2005 Approfondir les connaissances des personnes concern es par les lois r gissant les institutions publiques et leur contr le D velopper les connaissances des fonctionnaires travaillant sur les taxes et les droits impos s aux insti tutions publiques et les informer des normes d application Situer le cadre g n ral de la rela tion entre les institutions publiques et le MdF Doter les participants d outils leur permettant d appliquer les principes de comptabilit confor Sous le haut patronage du Pr sident du Conseil des Ministres M Fuad Siniora repr sent par le Ministre des Finances Dr Jihad Azour l IdF a c l br le 9 septembre 2005 la cl ture du programme de formation en gestion financi re adress aux comptables et respon sables financiers dans les institu tions publiques et les agences autonomes cette date couronne une des r alisations les plus impor tantes du parcours de l Institut au courant de 9 ans coul s dans la formation Ce programme a t organis la recommandation de l ancien Pr sident du Conseil des Ministres m
97. quer avec les citoyens d une fa on lec tronique et continue travers des comit s paritaires de consultation qui entameront bient t leur travail avec les instances conomiques les ordres des professions lib rales et les institutions de la soci t civile de sorte promou voir la communication entre ces secteurs et le minist re des Finances et passer d une simple communication une vraie interaction cibl e et construc tive Cette orientation mane de l at tachement au contenu de la d clara tion minist rielle en mati re d am lio ration de la qualit des services offerts aux citoyens et de respect de leurs droits et de leur dignit afin de gagner leur confiance puisqu ils repr sentent la cible principale pour l action et le r le des institutions et administrations tatiques et ce par le recours des m thodes de travail modernes simples rapides et transparentes dans l expan sion et le d veloppement des domaines du gouvernement lectronique comme moyen moderne au service des citoyens Ceci s effectue dans le cadre du respect des lois dont l application est de la responsabilit de l Administration et des administrateurs et qui constitue un des l ments principaux du ren forcement de la confiance des citoyens Le r le du potentiel humain Enfin le Ministre a parl du r le pri mordial que jouera le d veloppement du potentiel humain tout en soulignant qu aucune r forme n est possible s
98. rer ce qui manque sa transaction En ce qui concerne les obstacles auxquels les contribuables font tou jours face M Soubra d clare que le nombre de fonctionnaires est trop petit pour assimiler la croissance d mographique la croissance des affaires et des projets dans la ville de Beyrouth Sa Direction ne compte aujourd hui que 30 fonc tionnaires contre 40 en 1960 Pourtant le r glement des transac tions est d sormais plus rapide depuis l entr e en fonction du Service des contribuables LA DIRECTION DE LA TVA VOIT SA STRUCTURE Deux ans apr s la soumission du projet de loi sur l organisa tion de la Direction de la Taxe sur la Valeur Ajout e au Parlement la Loi no 691 du 24 8 2005 qui organise sa struc ture au sein du Mnist re des Finances la Direction des Finances Publiques a enfin t promulgu e Les cadres permanents de la Direction de la TVA sont com APPROUVEE pos s de 331 fonctionnaires des diff rentes cat gories relevant de quatre services la l gislation et les politiques fiscales les op rations l audit la d taxe et la coordination administrative et financi re avec pour chacun plusieurs d partements et des t ches pr cises l instar d autres administrations publiques les bureaux du Minist re des Finances et en particulier la Direction des fonds b tis et la Direction de l imp t sur le revenu grouillent de citoyens qui veulent r gler leurs transactions ou de co
99. tration Partenaires de Formation Cooperation Metac IdF p4 Projet de la Banque Mondiale pour SOMMAIRE Editorial le renforcement des capacit s de l Iraq p4 Formation Formation et cooperation Allocution de l ambassadeur de France au Liban p5 Strategie DRH en partenariat avec l UE p5 Nouvelles du Minist re Comit s de concertation p6 S minaires autour de la bonne gouver nance et la lutte contre la corruption p6 Programme de formation des fonc tionnaires au MdF p1 Formation en droit du travail et droit administratif p2 Dynamisation du recouvrement des Finances Publiques p3 Contentieux douanier et Technologies des Marchandises aux Douanes p3 EDITORIAL engagement dynamiser son r le au niveau de toutes les administrations du minist re des Finances Message du Ministre aux fonctionnaires Dans son message adress aux fonc tionnaires le Ministre Azour leur rappelle l importance de participer au changement de l approche adop t e en vue de r aliser les r ves des Libanais quant un avenir meilleur d tre porteurs du flambeau du changement l int rieur et en dehors de l Administration travers l accomplissement de leur r le avec respect des droits des citoyens Ils se doivent d tablir une relation de confiance entre le citoyen et l Administration Le Ministre a enfin conclu en affirmant que la comp tence et l thique de l l ment humai
100. trouvons actuellement dans une tape nou velle apr s la r forme des infrastruc tures et des proc dures pratiques il est temps d tendre le processus pour couvrir la relation avec les parties con cern es et de cr er une nouvelle vision du minist re des Finances Il est temps galement que nous commencions rechercher les meilleurs potentiels humains pour qu ils travaillent l o ils appartiennent selon leurs comp tences d velopper les m thodes de travail et renforcer le sens de respon sabilit et d thique du travail Pour r aliser ces objectifs des comit s ont t constitu s Ce sont soit des comit s compos s de fonctionnaires de diff rentes directions soit des comit s internes au sein de certaines directions Ils se r unissent p riodique ment pour comparer les points de vue unifier les applications prendre des d cisions cr er des ponts de commu nication interne promouvoir la com munication externe et faciliter les proc dures aux citoyens Service au citoyen et thique professionnelle Le Ministre Azour a soulign l impor tance du service des citoyens tra vers l am lioration de la qualit des services la r duction des obstacles la promotion de la transparence et la disponibilit des informations Le Ministre Azour a cit parmi les objectifs poursuivis promouvoir l thique du travail s attacher la transparence et la consolider d velop fonctions au
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