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Saviez-vous que 2008 - Centre jeunesse de Québec
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1. sud xne sanoi sassog Suollls el NOUNS s su zu suosieauewg q U0H9E uon lur suosieabuewap Sasnaunos SelueJopoleu sajuepuoge sasjepsan Saleul6eA s n d ulbea np uol6a suep sunajnop puel6 np uolBai ej Suep sinenoi 19 vole Queuun seJnl0Jq ap uonesues siuad np 86elluaualnoo3 Saueld sajeyiuab senJJaA eddu6 euoJpuAs suosieabuewap sues 9 9318 aauelno uondni9 saulewas g e ua 10ESS E EdS p san 8199 N Xnel584SIu9ualno58 p no SJnalnop ap ayjiqissod 9n6le snld aun snos siew ej anod anb sauolduAs saway S ln ns xne Jnalnop siuad np Jnaualuli e suosieahuewap 3ueuun ua anlnJq ap uonesuas 808U5uelqnoulelo 102 l saide yuawaubles 09 l 5908 juepuad Jnalnop jueuun ua aJnl0Jq ap uonesu s SaleuJoue sajeulben Sa Jad auuuuouy z u seuuolduuAS auuuejl z u seuuolduuAS EPIS HIA HdA ilEnu b sadiapy 8 yoseu OWUOU9HL AS 199410 0 peipAwejyo Les ITSS peuvent tre contract es de plusieurs fa ons D abord certaines se transmettent par du mat riel souill ou des aiguilles servant aux tatouages l injection de drogues ou I electrolyse Les donn es disponibles indiquent que p
2. Invitez les lire le Savais tu que le fr re cadet du Saviez vous que qui s adresse aux jeunes suivis en centre jeunesse Responsabiliser le jeune couter ce que le jeune dit tout en le responsabilisant ex ne pas faire les choses sa place Ce dernier est responsable de son cheminement et de ses choix Martin 2007 Aider le jeune se fixer des objectifs r alistes Martin 2007 Proposer l abstinence comme solution possible mais non unique Martin 2007 Respecter le rythme du jeune dans le processus de changement et lui laisser du temps pour prendre ses d cisions Bergeron amp Tremblay 2004 Refl ter les contradictions 20 Explorer avec le jeune la diff rence entre ses comportements actuels et son id al Cette discussion risque de provoquer un inconfort favorable au changement Bergeron amp Tremblay 2004 Martin 2007 ex Tu d sires quitter le centre de r adaptation mais tu consommes de fa on abusive lorsque tu sors Faire ressortir les avantages et les d savantages li s la consommation balance d cisionnelle Bergeron amp Tremblay 2004 Aider le jeune poser un regard diff rent sur sa situation Martin 2007 pour semer en lui une confusion qui pourrait perturber sa dynamique habituelle et l amener entrevoir la possibilit de faire les choses diff remment ex Y aurait il d autres fa ons de r pondre tes besoins Comment crois
3. bile Le terme s est transform avec le temps pour donner cholera latin l poque on associait la col re un r chauffement de la bile chaude chole Dubois 2005 La col re au m me titre que la tristesse la peur le d go t la joie et la surprise est l une des six motions fondamentales universelles Les travaux d Ekman ont d montr que les expressions faciales de ces motions taient reconnues partout dans le monde et ce m me chez les nourrissons Ekman Campos Davidson amp De Waals 2003 Autrement dit la col re est inn e et nous avons tous la capacit de l exprimer et de la reconna tre De fa on g n rale la col re traduit un m contentement de l irritation ou de la frustration en r action diverses situations besoin insatisfait provocation manque blessure ou sentiment d injustice Vidal 2005 Comme le souligne Larivey 2005 cette motion est souvent dirig e tort ou raison contre la personne ou l objet que l on consid re responsable de notre frustration Habituellement d sagr able vivre elle se caract rise par des expressions faciales ex froncement des sourcils tension des 4 l vres redressement des paupi res et des r actions physiologiques telles que des tensions musculaires une sensation de chaleur des Explosion Col re tremblements et une acc l ration du rythme cardiaque due une Agressivite augmentation du taux d adr naline Ekman et al 2003
4. SAVIEZ VGUS QUE DES REPONSES A VOS PREOCCUPATIONS CLINIQUES D CEMBRE 2 2008 en De el COL RE LULERE OPOECCIVIT c AGRESSIVITE CHANGEMENT ETUDIANTS 7 EQUIPE D ANIMATION SCIENTIFIQUE Patrick Arial Isabelle Fournier Carole Anne Mere Jasmine R Perrea lt mile Pich ng FAIT i x n gt AJ ienaa ANT Centre jeunesse de Qu bec F Institut universitaire GE A TAIF SEU Mr r bi P d AAA AEE AEEA QU m a LANCIA AN d ik x r 2 Ha K 1 v ZK 42 A ap 2 d r KE K E 5 WA erb bbb SAMEZ VOUS QUE DES R PONSES VOS PR OCCUPATIONS CLINIQUES AVANT PROPOS La r daction d un texte vulgaris et synth tis selon des standards d criture scientifique repr sente un travail rigoureux Cette ann e cinq tudiants ont conjugu leurs efforts afin de livrer aux intervenants des centres jeunesse des articles visant les pauler dans leur pratique sociale quotidienne Rappelons que la formule Saviez vous que ne pourrait avoir la m me port e sans l inestimable contribution des intervenants qui l origine acceptent de nous rencontrer et de partager leurs pr occupations cliniques Nous tenons remercier particuli rement l unit Azimut Gouvernail l unit Odyss e Escale ainsi que le foyer Du Parc qui ont g n reusement particip identification des th matiques
5. faire l manipule il ment il n est pas sinc re et il ne d sire pas modifier sa situation La seule fa on de s en sortir c est l abstinence 19 La conviction de l intervenant quant la capacit de changement du jeune aura des r percussions positives sur le processus d intervention Martin 2007 Exploiter les ressources du jeune individuelles et sociales Refl ter les bons coups et les qualit s du jeune ex sa d termination son courage son investissement dans des t ches simples Mobiliser l entourage Le soutien social i e amis famille personnes significatives rend l intervention plus efficace Centre Andr Boudreau 2006 Le processus de r adaptation sera aussi influenc par la fa on dont les jeunes et leur entourage font face au probl me de toxicomanie Angel amp Angel 2003 Mialon 2001 Les limites de l intervention individuelle de plus en plus reconnues incitent les chercheurs et les professionnels accorder une importance accrue au syst me familial et social du jeune Boily amp Bitaudeau 2002 Donner de l information objective sur les drogues Les jeunes et leur famille doivent tre inform s sur les diff rentes substances psychoactives et sur les pratiques qui entourent l usage des drogues de synth se Lebrun et al 2005 Cela aide non seulement les jeunes faire des choix clair s sur leur consommation mais aussi les parents mieux comprendre la probl matique
6. 1994b Jeunes 7 16 ans Chiens pr sents dans le Source d amour de compagnie et suivis par les services centre et les unit s de d affection de l enfance et r adaptation AAA R f rence aux chiens lors d motions h berg s en centre de intenses ex col re tristesse r adaptation D veloppement du sens des responsabilit s Enfants g s de 3 13 Trois rencontres par Humeur plus joyeuse Martin amp Farnum 2002 ans souffrant d un semaine pendant 15 Augmentation de l nergie trouble envahissant du semaines une rencontre Augmentation de l attention d veloppement avec une balle une avec Initiation plus fr quente de conversations et un chien en peluche et une d changes avec l intervenant avec un vrai chien TAA Kogan Granger Gar ons de 11 6112 Une rencontre par Augmentation des confidences Fitchett Helmer ans souffrant d un semaine pendant 12 Am lioration de l attention en classe amp Young 1999 trouble de d ficit de semaines TAA D veloppement de certaines habilet s l attention avec sociales ex interactions avec les pairs hyperactivit Diminution de l hyperactivit et des comportements oppositionnels Sentiment d tre plus en contr le Verret 2006 Enfants hospitalis s Visite d un chien pendant Am lioration du bien tre psychologique ex en oncologie au une journ e lors d une lus heureux souriant Centre hospitalier p riode d hospitalisation ei
7. ne son lot de changements dans la vie des jeunes notamment au plan de la sexualit Le corps se d veloppe les d sirs amoureux et sexuels s intensifient ce qui incite certains jeunes explorer leur sexualit avec une autre personne On estime que l ge moyen de la premi re relation sexuelle est de 15 ans Vers 14 ans pr s de 7 des jeunes sont actifs sexuellement et ce pourcentage s l ve 45 autour de 17 ans Parmi ces jeunes les gar ons ont eu en moyenne 3 6 partenaires et les filles 2 4 partenaires Frappier Duong amp Malo 2006 Le tableau 1 permet de comparer certaines pratiques sexuelles chez des jeunes Canadiens g s de 14 17 ans et qui sont actifs sexuellement 1 Les jeunes devaient avoir exp riment au moins une fois une pratique sexuelle Il est noter que les pourcentages associ s aux diff rentes pratiques sexuelles sont beaucoup moins lev s lorsque la population de r f rence comprend l ensemble des jeunes et non seulement les jeunes actifs sexuellement 24 Tableau 1 Les pratiques sexuelles des jeunes actifs sexuellement Jeunes actifs sexuellement Masturbation mutuelle Un peu plus de 50 P n tration anale Pratiques sexuelles Donn es tir es de Frappier et al 2006 Les infections transmissibles sexuellement et par le sang ITSS appellation ITSS a remplac celle de maladies transmissibles sexuellement MTS afin d inclure les infections qui se t
8. plusieurs questions demeurent en suspens et m ritent r flexion de la part de l ensemble du personnel des centres jeunesse afin de soutenir les d veloppements futurs et de mieux s adapter aux modifications apport es En voici quelques unes e Comment limiter le recours au tribunal Comment r pondre aux besoins sp cifiques des jeunes suivis en centre jeunesse aux prises avec un important probl me de consommation Comment offrir des services de qualit la client le en consid rant les dur es maximales de placement et la clarification du projet de vie Comment composer avec l augmentation du nombre de fugues dans les services de r adaptation l interne autrement que par une mesure d encadrement intensif e Dans le cadre de mesures interimaires comment s assurer de rendre des services de qualit en tenant compte du d lai octroy Comment favoriser la participation des membres de la famille dans le processus d intervention et plus particuli rement le p re Comment int grer ad quatement en intervention le nouveau motif de signalement mauvais traitements psychologiques Force est d admettre que pour un certain temps encore il faudra accepter le d s quilibre car l adaptation au changement est un processus lent et exigeant pour l ensemble des membres d une organisation Dans un effort de concertation les expertises devront tre d cloisonn es afin de mieux r pondre aux probl m
9. 2008 Les motivations et les valeurs constituent un autre volet important de l ducation la sexualit Lintervenant peut amener le jeune d terminer ce qu il esp re retirer d une relation sexuelle ex admiration approbation attention affection amour Lacroix amp Cloutier 2006 et valuer si les valeurs auxquelles il adh re Valeurs de r f rence correspondent celles qu il met en pratique Valeurs de pr f rence B rard 2008 De plus l intervention devrait aider le jeune reconna tre les repr sentations de la sexualit v hicul es par diff rents m dias et prendre conscience de leurs limites et de leur influence sur sa propre vision de la sexualit et sur celle des jeunes de son ge B rard 2008 Par la suite le jeune pourra prendre des d cisions qui correspondent ses valeurs et ses motivations personnelles Enfin les questions relationnelles devraient tre discut es avec les jeunes B rard 2008 En effet plusieurs d entre eux consid rent qu il leur manque d information sur la violence conjugale et sur tous les aspects motionnels et de la communication entre adolescents et entre parents adolescents Frappier et al 2006 p 13 Par exemple on peut parler de d sir de s duction de communication de complicit d intimit de sentiments d motions de partage ou de volont de plaire B rard 2008 Campanelli 2006 Pelletier 2007 Si un jeune accorde de l importance la
10. Larivey 2002 Pers cution Envahissement Sa manifestation tant d abord interne la col re peut aussi g n rer une r action ext rioris e En fait elle peut provoquer des r actions ets d intensit variable allant de l incompr hension l acc s de col re voir la Exasp ration ntolerance figure 1 De plus il arrive que la col re dissimule d autres motions Impatience Incompr hension Frustration Questionnement comme la tristesse Son expression permet entre autres de lib rer les tensions de r tablir l quilibre interne Vidal 2005 et peut prendre l ment d clencheur diff rentes formes dont l agressivit Figure adapt e de Fortin 2003 Lagressivite tymologie le mot agressivit vient de l expression latine aggredi signifiant aller vers ou attaquer l est synonyme de contact Dubois 2005 Consid r e comme l une des manifestations de la col re l agressivit prend racine la jonction de facteurs biologiques psychologiques et sociaux Berkowitz 1993 Il s agit d un instinct naturel d une nergie pulsionnelle s exprimant de mani re r elle o imaginaire Ekman et al 2003 Larivey 2002 On lui reconna t deux formes particuli res l agressivit hostile et l agressivit instrumentale l agressivit hostile est r active car elle survient suite un l ment d clencheur et cause du tort aux personnes et aux objets l agressivit inst
11. Mallon 1994 La zooth rapie La zooth rapie a t d velopp e dans les ann es 1960 par Boris Levinson psychologue am ricain pour enfants Endenburg amp Baarda 1995 partir des ann es 1990 l int r t pour cette approche d intervention alternative n a cess de cro tre Aujourd hui elle se pratique aupr s de client les vari es de tous ges La zooth rapie est men e par un intervenant qualifi et un animal entra n dans un but clinique ou r cr atif Clinique Amis Maux 2008 Elle peut tre pratiqu e aupr s de personnes qui pr sentent diff rentes difficult s isolement manque de stimulation sensorielle handicap physique d linquance faible estime de soi violence difficult s d apprentissage troubles de comportement et 34 retards d veloppementaux Zooth rapie Qu bec 2008 Le recours la zooth rapie n est pas recommand avec des jeunes impulsifs ou qui ont une histoire de cruaut envers les animaux Mallon 1994b Reichert 1998 Elle comprend deux principaux volets soit la th rapie assist e par l animal TAA et les activit s assist es par l animal AAA La th rapie assist e par l animal TAA La th rapie assist e par l animal s inscrit l int rieur d une d marche d intervention qui fait appel aux animaux comme outils et m diateurs afin d atteindre des objectifs th rapeutiques pr cis Clinique Amis Maux 2008 Parish Plass 2008 Ces objectifs doivent tre cl
12. abord es dans le pr sent ouvrage Nous esp rons que ces zones de collaboration recherche pratique seront porteuses de nombreux autres projets tout aussi stimulants Cmi ic Doc milie Dionne Professionnelle de recherche quipe d animation scientifique Centre jeunesse de Qu bec Institut universitaire Responsable du projet milie DIONNE R vision linguistique Annie VAILLANCOURT Mise en page et graphisme tienne DIONNE Impression Impressions de Beauce inc Notes Dans le pr sent texte le masculin est utilis sans aucune discrimination et dans le seul but d all ger le texte Le contenu de ce document est plac sous la responsabilit de l auteur et il n engage pas le Centre jeunesse de Quebec nstitut universitaire Tous droits reserv s La traduction et la reproduction totale ou partielle de ce document sont autorisees a la condition que la source soit mentionnee Production Diffusion Centre jeunesse de Qu bec nstitut universitaire 2915 avenue du Bourg Royal QU BEC Qu bec G1C 352 T l phone 418 661 6951 T l copieur 418 661 5079 Site Internet www centrejeunessedequebec qc ca institut index Le nombre d exemplaires tant limit apr s puisement des copies vous tes invit s consulter le site Web du Centre jeunesse de Qu bec la section Institut universitaire sur les jeunes en difficult sous l onglet documentation TABLE DES MATI RES Un p
13. abuse Clinical Child Psychology and Psychiatry 13 1 7 30 PARSHALL D P 2003 Research and reflection Animal assisted therapy in mental health settings Counseling and Values 48 47 56 REICHERT E 1998 Individual counselling for sexually abused children A role for animals and storytelling Child and Adolescent Social Work Journal 15 3 177 185 SERPELL J A 2000 Creatures of the unconscious Companion animals as mediators Dans Podberscek A L Paul E S amp Serpell J A Companion Animals and Us Exploring the Relationship Between People and Pets pp 108 124 New York Cambridge University Press VERRET P 2006 avril La magie d un r ve Programme de zootherapie en oncologie p diatrique Centre m re enfant du centre hospitalier universitaire de Qu bec Qu bec PowerPoint pr sent au Congr s du R seau des soins palliatifs du Qu bec ZOOTHERAPIE QUEBEC 2008 Du lien homme animal a la zooth rapie Consult en juin 2008 sur le site WEB de Zooth rapie Qu bec http Awww zootherapiequebec ca index php option com_content amp task view amp id 44 amp ltemid 46 39 Sadapter au changement pas toujours vident Les modifications apport es la Loi sur la protection de la jeunesse LPJ LIDD nu in OU in st 22 Par Patrick Arial tudiant la ma trise en psycho ducation Avec la collaboration de Chantal Beauregard B Sc coordonnatrice des services de r adaptation int
14. cancer du col de l ut rus Lacroix Cloutier 2006 Pour pr venir ces complications une personne active sexuellement devrait passer des tests de d pistage tous les ans ASPC 2007 Des chantillons d urine et de sang suffisent pour d pister les ITSS suivantes chlamydia gonorrh e syphilis h patites B et C VIH sida Toutefois le d pistage n est pas possible pour toutes les ITSS et ne cible que celles qui sont les plus susceptibles d tre contract es MSSS 2006 De plus il peut y avoir des faux n gatifs i e aucune infection n est d tect e alors que la personne est infect e puisqu il faut parfois plusieurs mois avant de pouvoir d pister certaines ITSS MSSS 2006 2Pour plus de d tails sur ce mode de transmission consulter l adresse lectronique suivante http www msss gouv qc ca sujets prob_sante itss index php aid 50 27 Les facteurs associ s aux pratiques sexuelles risque Au cours des ann es 1980 des efforts de pr vention ont t d ploy s par plusieurs pays occidentaux pour limiter l pid mie de sida qui faisait rage La d couverte de traitements efficaces pour att nuer les sympt mes du sida et pour ralentir l volution du VIH a contribu banaliser la maladie aux yeux de la population faisant chuter l efficacit des messages de pr vention du VIH sida et des autres TSS Lacroix amp Cloutier 2006 Outre la banalisation du VIH sida le manque de connaissa
15. inconv nients voir le tableau 3 il permet de profiter pleinement de la relation sexuelle en lib rant les partenaires des pr occupations li es aux relations sexuelles non prot g es Pelletier 2007 et att nue les probl mes d jaculation pr coce v cus par certains gar ons Lacroix amp Cloutier 2006 Tableau 3 Inconv nients associ s au condom et solutions pour y rem dier Appliquer une goutte de lubrifiant l int rieur R duit les sensations utiliser un condom mince MR 20 Pr parer les condoms l avance les faire installer Diminue la spontan it par le ou la partenaire Laisser les condoms la vue les installer sans en parler dire ce que l on ressent utiliser l humour Suscite de la g ne Laisse croire une absence de confiance Parler de marque de respect Tableau adapt de Lacroix amp Cloutier 2006 La r duction des m faits souvent appel e s curisexe ou safer sex consiste en des pratiques sexuelles dont l utilisation du condom qui r duisent grandement les risques d infection Par exemple le s curisexe recommande de ne pas prendre de sperme o de sang menstruel dans la bouche lors de relations orales Aide Suisse contre le Sida 2006 Si un jeune contracte une ITSS ll faut s attendre toutes sortes de r actions de la part d un jeune qui re oit un diagnostic d ITSS honte col re anxi t etc De plus cette situation peut engendrer des prob
16. synth se L intervenant 17 4 4 8 PERREAULT N BEGIN H MICHAUD J amp DENONCOURT I 2006 Drogues du viol et agression sexuelle perception des jeunes en milieu coll gial Drogues sant et soci t 7 2 11 48 RIOUX M 2000 Vecstasy qu est ce donc Echo toxico 10 2 11 ROUILLARD P 2008 Troubles psychotiques induits par les amphetamines Document de formation avril 2008 Qu bec Sommet des deux rives SANT CANADA 8 GENDARMERIE ROYALE DU CANADA GRC 2004 Rapport d analyse des drogues de synth se saisies au Qu bec Octobre 2002 avril 2004 Consult en mai 2008 sur le site WEB de la Gendarmerie royale du Canada http www remp grc gc ca ac infos gen publications rapport rapp f htm SAUNDERS N 1993 E for Ecstasy Londres Nicholas Saunders and Alexander Shulgin SCHNEEBERGER P amp DESROSIERS M 2001 Les nouvelles drogues au Qu bec Rapport au Comit permanent de lutte la toxicomanie Montr al Comit permanent de lutte la toxicomanie 23 Ne m attrape pas si tu peux La sexualit et les infections transmissibles sexuellement et par le sang ITSS chez les jeunes st Par mile Pich tudiant au baccalaur at en psychologie Avec la collaboration d Andr Tardif coordonnateur des services de liaisons avec les communaut s et de pr vention au MIELS Qu bec SAVIEZ VOUS QUE La sexualit chez les jeunes L adolescence am
17. tels que des difficult s d attention et d organisation Decleire amp Picard 2005 etil est important de les identifier afin de ne pas transf rer sa col re sur une personne ou un objet non concern D velopper certaines habilet s sociales Certaines habilet s facilitent la r gulation de la col re Trudeau Le Blanc et al 2007 par exemple r pondre la taquinerie d fendre ses droits ou n gocier Ces habilet s permettent une meilleure ma trise de soi et favorisent la communication Diff rentes activit s d apprentissage contribuent au d veloppement de ces habilet s Elles doivent tre adapt es au profil du jeune Canaliser la col re et l agressivit Puisque la col re et l agressivit sont galement synonymes de dynamisme interne il peut s av rer int ressant d en tirer profit En effet celles ci peuvent tre canalis es dans certaines activit s physiques Vidal 2005 telles que le karat le hockey ou la danse De m me l agressivit peut tre utile dans certains sports qui r glementent les agressions et les coups port s ex combat ultime boxe football La col re et l agressivit peuvent galement favoriser l expression de la cr ativit travers la musique la peinture le dessin ou encore l criture Ces m thodes constituent de bonnes avenues afin d exprimer la col re ressentie et d evacuer sainement l agressivit Le potentiel de violence l est n cessaire de savoi
18. traversent une re de changement importante Dans le sillage des modifications l gislatives adopt es le travail en contexte de protection de la jeunesse a connu de profondes transformations qui affectent autant l intervention psychosociale que la r adaptation l va sans dire que cette vague de bouleversements s accompagne d une p riode de d s quilibre et d incertitudes pouvant mener une r sistance au changement Tel que mentionn pr c demment une r action de r sistance est tout fait l gitime d autant plus que certaines r alit s relatives aux modifications apport es la LPJ peuvent tre d routantes titre d exemple l augmentation du nombre de fugues dans les services de r adaptation l interne constitue l une des principales cons quences du resserrement des crit res de recours l h bergement dans une unit d encadrement intensif Du c t psychosocial les intervenants sont d sormais contraints de clarifier un projet de vie pour l enfant en respectant les tr s courts d lais des dur es maximales de placement En contrepartie certaines modifications s av rent d j prometteuses tant pour la pratique des intervenants que pour le bien tre des enfants par exemple la suppression du nombre limite d ententes sur mesures volontaires l int rieur d un d lai maximum de deux ans et les nouvelles mesures pour les s jours prolong s en fin de placement videmment une p riode d adaptation s av re n cess
19. tu que tes parents se sentent par rapport ta consommation x Ouellet amp Turcotte 2002 Travailler avec la r sistance ee SE Pour en savoir plus sur les drogues et leurs effets GRIP Montr al Le jeune peut parfois r sister au processus de r adaptation ex baisse de motivation sentiment d obligation de faire les choses refus de collaborer ou de se pr senter aux rencontres l importe de consid rer cette r sistance non pas comme un obstacle au changement mais bien comme une source d information fort pertinente quant aux difficult s v cues par le jeune Explorer avec le jeune le sens de ses r sistances i e les nommer chercher avec lui les causes possibles ainsi que les b n fices secondaires qu il retire de sa consommation essayer de comprendre quels besoins ses r sistances r pondent tenter de faire des liens avec l histoire de vie du jeune etc Lorsque le jeune r siste lui pr senter la d marche comme une occasion de parler de sa consommation Bergeron amp Tremblay 2004 ou d autres sujets qui le pr occupent Ed 21 R f rences ANGEL S amp ANGEL P 2003 Les toxicomanes et leurs familles Paris Armand Colin BERGERON J amp TREMBLAY J 2004 Guide d introduction aux strat gies de l entrevue motivationnelle Document de travail Version pr liminaire 1 3 2 Qu bec Centre de r adaptation Ubald Villeneuve BOILY N amp BITAUDEAU I 2002 Place a la
20. 08 Reichert 1998 permet d obtenir de l information sur le jeune capacit entrer en relation et ses syst mes de communication Bernatchez 2008 augmente le sens des responsabilit s Kogan et al 1999 Mallon 1994 Mallon 1994b procure au jeune le sentiment d exercer un certain contr le ex activit s faire avec l animal permettant de remplacer ce qu il a appris dans son milieu familial Parish Plass 2008 apporte du r confort lorsque le jeune a besoin de proximit physique Parish Plass 2008 agit comme figure d attachement Parish Plass 2008 Les risques potentiels associ s la zooth rapie Malgr ses nombreux avantages la zooth rapie comporte certains risques Parmi ceuxci figure la transmission de maladies et d infections par les animaux Par contre l observation de quelques mesures d hygi ne et de s curit r duit grandement ces risques lavage des mains avant et apr s la visite de l animal visite d un animal entra n a ne pas l cher ou gratter et bonne sant de l animal Brodie Biley amp Shevvring 2002 La s curit des jeunes qui re oivent la visite d un animal peut galement tre assur e en choisissant un animal et un intervenant certifi s Cette certification atteste que en plus d tre en sant l animal a un bon temp rament qu il est ob issant et que l intervenant a compl t une formation en zooth rapie Jalongo et a 2004 Il est aussi possibl
21. 121 LEVINSON B M 1969 Pet Oriented Child Psychotherapy Springfield Charles C Thomas MALLON G P 1994a Cow as co therapist Utilization of farm animals as therapeutic aides with children in residential treatment Child and Adolescent Social Work Journal 11 6 455 474 MALLON G P 1994b Some of our best therapists are dogs Child amp Youth Care Forum 23 2 89 101 MARTIN F amp FARNUM J 2002 Animal assisted therapy for children with pervasive developmental disorders Western Journal of Nursing Research 24 6 657 670 MCNICHOLAS J amp COLLIS G M 2001 Children s representations of pets in their social networks Child Care Health and Development 27 3 279 294 MCNICHOLAS J GILBEY A RENNIE A AHMEDZAI S DONO J A amp ORMEROD E 2005 Pet ownership and human health A brief review of evidence and issues British Medical Journal 331 7527 1252 1254 MELSON G F 2003 Child development and the human companion animal bond American Behavioral Scientist 47 1 31 39 OWNBY D R JOHNSON C C amp PETERSON E L 2002 Exposure to dogs and cats in the first year of life and risk of allergic sensitization at 6 to 7 years of age Journal of the American Medical Association 288 963 972 PARISH PLASS N 2008 Animal assisted therapy with children suffering from insecure attachment due to abuse and neglect A method to lower the risk of intergenerational transmission of
22. J Y DUONG J amp MALO A 2006 Connaissances attitudes et comportements en sexualit d adolescents et de m res d adolescents au Canada Pro Ado 15 1 2 1 19 LACROIX C amp CLOUTIER R 2006 La sant sexuelle a se prot ge 1 a sexprime 4 1 24 LAMBERT G MARKOWSKI E amp MINZUNZA S 2008 Portrait des infections transmissibles sexuellement et par le sang ITSS au Qu bec Consult en juillet 2008 sur le site WEB du minist re de la Sant et des Services sociaux hitp publications msss gouv qc ca acrobat f documentation 2008 08 329 01 pdf MINISTERE DE L DUCATION DU QUEBEC amp MINISTERE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MEQ MSSS 2003 L ducation a la sexualit dans le contexte de la r forme de l ducation Qu bec Minist re de l ducation MINISTERE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS 2008 Campagne de sensibilisation et d information 2008 2009 soutenant la pr vention des ITS chez les jeunes Consult en juin 2008 sur le site WEB du minist re de la Sant et des Services sociaux http www msss gouv ac ca sujets prob_ sante itss index php campagne 2007 2008 MINISTERE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS 2007 Vaccin contre l infection par le virus du papillome humain VPH La vaccination une bonne protection Consult en juin 2008 sur le site du minist re de la Sant et des Services sociaux http publications msss gouv qc ca acrobat f documenta
23. LLABORATION AVEC TELE QUEBEC 2003 Chroniques de la violence ordinaire pisode 11 Colere Montr al T l Qu bec CORRAZE J 1997 From sociobiology to pathology or from aggression to violence Evolutions psychomotrices 9 37 115 125 CRICK N R amp GROETPETER J K 1995 Relational agression gender and social psychological adjustment Child Development 66 710 722 DECLEIRE L amp PICARD C 2005 Pr venir l agressivit est ce possible La Revue de la m decine g n rale 222 196 198 DUBOIS J 2005 Grand dictionnaire tymologique et historique du fran ais Paris Larousse EKMAN P CAMPOS J J DAVIDSON R J amp DE WAALS F 2003 Emotions Inside Out 130 Years After Darwin s the Expression of the Emotions in Man and Animals New York Annals of the New York Academy of Sciences 2003 FIORENTINO L 2004 Intervention Enfance Famille guide ressources pour favoriser la croissance des enfants 4 livret l agressivit Montr al Les Services d Aide la Famille Juive de l Institut Baron de Hirsch 12 FORTIN S 2003 Thermom tre de la col re Montr al Centre hospitalier universitaire m re enfant de Sainte Justine CHU Sainte Justine LARIVEY M 2005 La col re une motion simple Consult en mai 2008 sur le site WEB de redpsy http www redpsy com guide colere html LARIVEY M 2002 La puissance des motions comment distinguer les vraies
24. aire afin de s approprier ces mesures et de mieux composer avec les d fis que pose cette tape transitionnelle Faire face au changement est ce possible Pour avoir envie de changer il importe de percevoir les avantages rattach s au changement Les efforts consentir pour s adapter risquent en effet de para tre moins co teux lorsque l on reconna t le bien fond du changement et l int r t qu il repr sente Le simple fait de d tenir une information pertinente et positive relative au changement est susceptible de modifier favorablement nos attitudes en regard de celui ci Magnusson 2005 Voici donc quelques conseils pouvant permettre une meilleure compr hension des modifications apport es la LPJ et du m me coup maximiser les chances de s approprier ce changement Conna tre les motifs des changements apport s la LPJ Diff rentes situations probl matiques en protection de la jeunesse ont amen des groupes d experts proposer des am liorations la LPJ Certains des constats suivants sont l origine de leurs r flexions la proportion lev e d enfants plac s les multiples d placements v cus par la client le la hausse du nombre de situations n cessitant un passage au tribunal la complexit et la lourdeur du processus judiciaire le non respect du caract re exceptionnel de la LPJ servait trop souvent de porte d entr e 42 dans le syst me de services offerts aux enfants et aux familles en
25. airement d finis et leur atteinte doit tre valu e Elle vise notamment mieux comprendre le jeune faciliter l expression de ses motions susciter une introspection apporter un changement et augmenter sa qualit de vie Parish Plass 2008 Elle s exerce individuellement ou en groupe Parish Plass 2008 Lors de la premi re rencontre l intervenant pr sente l animal au jeune en lui demandant par exemple s il a d j eu un animal dans sa famille quel type de relation il entretenait avec lui ou s il n en a jamais eu lequel il aimerait avoir Face un enfant en bas ge ou un jeune timide l intervenant peut passer par l animal pour lui poser des questions ex Fido aimerait savoir comment tu te sens Reichert 1998 Lorsque le jeune est l aise en pr sence de l animal des comparaisons entre le comportement humain et le comportement animal sont faites Gonski 1985 L intervenant pr sente galement au jeune des mises en situation qui mettent en sc ne l animal et lui demande de nommer des cons quences ou des solutions concernant un comportement ou un probl me Gonski 1985 La TAA peut aussi prendre la forme de jeux de r les auxquels l intervenant le jeune et l animal participent Les activit s assist es par l animal AAA Les activit s assist es par l animal visent augmenter la motivation et la participation des personnes des activit s r cr atives et de loisirs afin d am liorer leur q
26. au Qu bec comme tant de l amph tamine ou de l ecstasy sont plut t compos es de m thamph tamine Sant Canada amp GRC 2004 Associ es aux valeurs de rapidit et de performance de la soci t contemporaine ces drogues peuvent facilement laisser miroiter de nombreux bienfaits Gaudet 2007 dans C t amp Hanfield 2007 La proportion de jeunes du secondaire consommant de l amph tamine est pass e de 7 en 2000 9 4 96 en 2006 avec une l g re diminution entre 2004 et 2006 Dub et al 2007 Sa popularit augmente en fonction du niveau de scolarit des jeunes et les filles sont plus nombreuses que les gar ons en faire usage Dub et al 2007 Comparativement l ensemble des Canadiens de 15 ans et plus 6 4 96 la consommation d amph tamine est particuli rement lev e chez les Qu b cois du m me groupe d ge 8 9 96 Sant Canada 8 GRC 2004 D ailleurs la methamphetamine arrive au deuxi me rang des drogues illicites les plus consomm es chez les jeunes Qu b cois apr s le cannabis et avant la coca ne et l h ro ne Dub et al 2007 Lebrun et al 2005 En outre il importe de mentionner que malgr sa m diatisation le Crystal Meth m thamph tamine l tat pur sous forme de cristaux habituellement fum e se consomme surtout dans l Ouest canadien rarement au Qu bec Jacques 2008 Martin 2007 15 Les anorexig nes coupes faim et les m dicaments utilis s dans le traiteme
27. conna tre ces indices d s leur apparition permet de mieux g rer cette motion S approprier des moyens d autor gulation Un moyen d autor gulation est une fa on personnelle de s adapter une r action inappropri e de col re Prendre conscience de ses forces et de ses limites favorise l identification et l application de ses propres moyens d autor gulation Par exemple admettre que l on prouve de la difficult ma triser l intensit de sa col re facilite la mise en place de diff rentes strat gies d autor gulation telles que se mettre l cart se fermer les yeux prendre l air ou couter de la musique l en va de m me pour l vocation d une situation positive ou d une pens e apaisante Trudeau Le Blanc et al 2007 La respiration profonde aide aussi se calmer car elle ralentit le rythme cardiaque et diminue la pression sanguine Identifier la ou les causes de la col re Chercher identifier la ou les causes de l tat col rique est une autre strat gie permettant de mieux g rer cette motion Repenser aux moments r cents qui pourraient en tre la cause et identifier le d clencheur exact permet de remettre les choses en perspective Trudeau Le Blanc et al 2007 Il est ainsi possible d viter les situations ou les sujets qui provoquent la col re Plusieurs facteurs peuvent tre l origine de cette motion ex mauvaise alimentation manque de sommeil sevrage d pression troubles cognitifs
28. des fausses Montr al Les ditions de l Homme TELLIER G 2007 l agressivit chez le pr adolescent ou l adolescent Le m decin du Qu bec 42 4 71 79 TRUDEAU LE BLANC P LE BLANC M amp BERNIER M 2007 L activit d apprentissage de moyens et d habiletes pour la r gulation de la col re 2 d Document de formation Montr al Boscoville ULRICH P 2004 2005 Les approches s curitaires en milieu de travail ou interagir aupr s d un jeune mentalement souffrant en d tresse ou qui pr sente des comportements antisociaux Document de formation sur mesure pour le professionnel de premi re et de deuxi me ligne Mandeville Expertise SENS inc VERLAAN P amp DERY M 2006 Les conduites antisociales des filles comprendre pour mieux agir Montr al Presses de l Universit du Qu bec VIDAL G 2005 Pour une approche syst mique dans l valuation des situations de violence conjugale Intervention 122 70 79 13 Speed Crystal E GH Special K difficile de sy retrouver La consommation de drogues de synth se chez les jeunes n r mr CIN OU e st UF Par Jasmine R Perreault tudiante la ma trise en service social Avec la collaboration de Caroline Jacques M Serv Soc ts coordonnatrice des services externes et responsable des communications au Centre de r adaptation Ubald Villeneuve SAVIEZ VOUS QUE Qu est ce qu une drogue de synth se Les drogues de sy
29. difficult un arrimage d faillant entre les partenaires le manque d acc s l information n cessaire pour prendre des d cisions clair es une mesure d encadrement intensif mal d finie non uniforme et soulevant des questionnements quant au respect des droits des jeunes Dumais amp Topalian 2007 Consulter les diff rents documents de r f rence Rapport du Comit d experts sur la r vision de la Loi sur la protection de la jeunesse intitul La protection des enfants au Qu bec une responsabilit mieux partager T l chargeable sur nternet l adresse suivante http publications msss gouv ac ca acrobat f documentation rapports comiteprotecjeunes Manuel de r f rence sur la protection de la jeunesse T l chargeable sur Internet l adresse suivante Guides de formation LPJ distribu dans le cadre du Programme national de formation PNF L info LPJ r alis par l Association des centres jeunesse du Qu bec ACJQ et l Association qu b coise d tablissements de sant et de services sociaux AQESSS en partenariat avec le minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS distribu aux deux mois par l ACJQ via Lotus Notes Plan d action pour adapter nos pratiques en fonction des nouvelles dispositions de la LPJ Direction du d veloppement de la pratique professionnelle et des affaires universitaires DDPP AU 2007 changer avec des personnes ressources Coll gues Cadres Pe
30. e ex tenter de nuire aux relations d un individu son insu La violence suppose un rapport de force entre des personnes Corraze 1997 Elle peut se manifester tant sur le plan physique que psychologique ex humiliation d nigrement d valorisation privation isolement contr le Vidal 2005 En somme il est important de retenir que la col re et l agressivit ne conduisent pas forc ment la violence Elles sont aussi des sources d nergie et de dynamisme interne Vidal 2005 Afin de bien les g rer voici quelques pistes de r flexion et d intervention Lagressivite chez les tout petits l agressivit est un ph nom ne normal observable au cours de la petite enfance En fait l agressivit physique est une tendance inn e plus marqu e vers l ge de 2 ans qul s att nue ensuite progressivement Brendgen et al 2008 Cette diminution progressive des comportements agressifs s explique entre autres par une plus grande capacit de n gociation et de partage dans la r solution des conflits et par l influence importante des pairs et des adultes qui agissent titre de mod les prosociaux Boivin 2003 Lorsqu ils sont f ch s les jeunes enfants peuvent manifester de l agressivit physique ex agripper quelqu un o un objet pousser griffer etc mais la manifestation de ces comportements n est g n ralement pas fr quente En effet on estime que seulement 5 10 des enfants continuent pendant leur enfance et
31. e de diminuer les r actions allergiques de 95 si l animal b n ficie de soins d hygi ne ad quats Ownby Johnson amp Peterson 2002 et sil est baign et soign imm diatement avant l intervention Jalongo et al 2004 Pour les jeunes fortement allergiques des mesures peuvent tre adopt es afin de diminuer la r action allergique ex observer l activit en demeurant distance de l animal pr senter l activit dans un endroit bien a r ou l ext rieur l importe par contre de clarifier la nature de l allergie du jeune et d en parler a son m decin avant de le faire participer une telle activit Jalongo et al 2004 37 R f rences BECK AM amp KATCHER AH 2003 Future directions in human animal bond research American Behavioral Scientist 47 1 79 93 BERNATCHEZ A 2008 Dossier cole Charles Bruneau Projet d exp rimentation Consult en mai 2008 sur le site WEB de Zooth rapie Qu bec http vvvvvv zootherapiequebec ca index php option com content amp task view amp id 70 amp ltemid 47 BRODIE S J amp BILEY FC 1999 An exploration of the potential benefits of pet facilitated therapy Journal of Clinical Nursing 8 4 329 337 BRODIE S J BILEY EC amp SHEVVR NG M 2002 An exploration of the potential risks associated with using pet therapy in health care settings Journal of Clinical Nursing 11 4 444 456 CLINIQUE AMIS MAUX 2008 Th rapie assist e par l ani
32. erne au Centre jeunesse de la Mont r gie SAVIEZ VOUS QUE Le changement et la r sistance au changement ph nom nes interreli s Synonyme de modification et de transformation le changement se rapporte a ce qui volue se modifie ne reste pas stable Le Nouveau Petit Robert de la langue francaise 2009 Il repr sente le passage d un tat un autre et n cessite g n ralement un effort d adaptation afin de retrouver un tat d hom ostasie Parfois souhait et positif d autres fois per u n gativement ou v cu contre son gr le changement demeure n anmoins un incontournable dans la vie H raclite disait d ailleurs rien n est permanent sauf le changement Bien qu il place souvent l individu en situation de d s quilibre pour un certain temps le changement est une tape n cessaire afin d voluer Tremblay 2004 Mais qui dit changement dit r sistance au changement Bareil amp Boffo 2003 toute variation de son milieu susceptible d entra ner une modification de ses normes de ses quilibres l organisme r pond en opposant une r action compensatrice Saget dans Tremblay 2004 p 203 La r sistance au changement constitue donc une r action naturelle d un syst me qui tente de maintenir un tat d quilibre relatif Huot 2003 Elle se d finit comme l expression implicite ou explicite de r actions n gatives l endroit de l intention de changement II s agit de l mergence de forces re
33. ervenants Mauricie et Centre du Qu bec Agence de la sant et des services sociaux de la Mauricie et du Centre du Qu bec et Domr my Mauricie Centre du Qu bec JACQUES C 2008 Drogues de synth se tour de piste Document de formation mars 2008 Qu bec Centre de r adaptation Ubald Villeneuve 22 LEBRUN M C FRADETTE J amp FALLU J S 2005 Consommation de drogues de synth se effets risques et pistes d intervention L intervenant 2 2 13 16 LLORENS N 2004 Les drogues de synth se et le ph nom ne Rave Montr al Gendarmerie royale du Canada MART N K 2007 Substances psychoactives toxicomanie et pistes d intervention Document de formation d cembre 2008 Qu bec Centre de r adaptation Ubald Villeneuve MCKIM WA 2000 Psychomotor stimulant Dans WA McKim ed Drugs and Behavior An Introduction to a Behavioral Pharmacology pp 224 245 Upper Saddle River Prentice Hall MIALON A 2001 L accompagnement de l entourage Alcoologie et addictologie 23 2 194 198 MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS 2007 Les jeunes et les drogues de synth se Consult en mai 2008 sur le site WEB de Biblioth que et Archives nationales du Qu bec http bibnum2 banq qc ca pgq 2007 3499222 pdf OUELLET B amp TURCOTTE D 2002 La th rapie centr e vers les solutions Intervention 116 112 126 PENNORS E J amp THERIEN A 2001 Drogues de
34. es mergents et de retrouver graduellement un tat d quilibre En ce sens composer avec les ressources disponibles tout en demeurant ouverts cr atifs et solidaires s av re essentiel La patience l implication de tous les acteurs concern s de m me qu une vision long terme repr sentent des atouts majeurs pour l adaptation de chacun et surtout pour la qualit des services offerts aux jeunes et aux familles en difficult 46 R f rences BAREIL C 2004 La r sistance au changement synth se et critique des crits Cahier no 04 10 Ao t 2004 Montr al HEC BARE L C amp BOFFO C 2003 Qui dit changement dit pr occupation et non plus r sistance Dans KARNAS G VANDENBERGHE C amp DELOBBE N dir Bien tre au travail et transformation des organisations actes du 12 congr s de psychologie du travail et des organisations Actes de colloque AIPTLF tome 3 pp 541 551 Belgique Presses universitaires de Louvain COLLERET TE P DELISLE G amp PERRON R 1997 Le changement organisationnel th orie et pratique Qu bec Presses de l Universit du Qu bec DIRECTION DU D VELOPPEMENT DE LA PRATIQUE PROFESSIONNELLE ET DES AFFAIRES UNIVERSITAIRES DDPP AU CJO U 2007 Plan d action pour adapter nos pratiques en fonction des nouvelles dispositions de la LPJ Qu bec Centre jeunesse de Qu bec Institut universitaire DUMAIS J amp TOPALIAN V 2007 Implantation de la n
35. et de 2 cycle universitaire Le r sultat de la d marche r affirme une fois de plus la pertinence d allier l univers de la recherche celui de l intervention dans la r ponse sociale offerte aux jeunes en besoin de protection Ra 2 NOUVEAUTE Surveillez la parution d une toute nouvelle publication le Savais tu que une revue haute en couleur destin e aux jeunes des centres jeunesse partir de th mes qu ils ont eux m mes identifi s Recherche g Intervention ber 154 valuation de programme ST RS E 247 GE e EL 5 EL A C CAES Formation
36. et une popularit s tendant bien au del du milieu des raves Lebrun et al 2005 Rioux 2000 14 Quelles sont les drogues de synth se Lamph tamine et ses d riv s Noms populaires Speed Pill Meth Ice Crystal Tina Pilule et les noms repr sentant le logo sur le comprim tels que Peanut Star Moon Playboy etc Apparence comprim capsule poudre cristaux plus rare au Qu bec M thodes de consommation les plus courantes ing r e aval e et pris e sniff e Cat gorie stimulant majeur du syst me nerveux central L amph tamine et la methamphetamine produisent des effets euphorisants et stimulants MSSS 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Il ya augmentation de l nergie de la vigilance et une impression de d cuplement de la force physique et des capacit s intellectuelles chez la personne qui en fait usage Lebrun et al 2005 Martin 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Bien que ces deux substances aient des effets similaires la m thamph tamine a un potentiel de d pendance plus lev MSSS 2007 et est beaucoup plus puissante car elle p n tre plus facilement la barri re h mato enc phalique Lebrun et al 2005 Pour cette raison et parce qu elle co te moins cher produire la m thamph tamine est davantage appr ci e par les consommateurs et les vendeurs Lebrun et al 2005 Actuellement la majorit des pilules ou capsules vendues sur le march noir
37. eter 1995 15 6 des gar ons manifestent des conduites agressives directes comparativement seulement 0 04 des filles l inverse 174 des filles manifestent des conduites agressives indirectes comparativement 2 des gar ons Toutes formes confondues il existerait tr s peu de diff rences entre les gar ons 27 96 et les filles 21 6 96 dans la pr valence des conduites agressives Tout probl me s rieux d agressivite devrait tre signal un professionnel de la sant puisque la plupart des troubles psychiatriques neurologiques et neurodeveloppementaux s accompagnent de sympt mes d agressivit Corraze 1997 Tellier 2007 11 R f rences AMERICAN PSYCHIATRIC ASSOCIATION APA 1996 Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux 4 d Paris Masson BERKOWITZ L 1993 Aggression its Causes Consequences and Control New York Mcgraw Hill BOIVIN M 2003 L analyse psychosociale des conduites agressives et le d veloppement des conduites agressives Consult en mai 2008 sur le site WEB de l cole de psychologie de l Universit Laval http vvvvvv psy ulaval ca labocs PSY12236 agress3p pdf BRENDGEN M BOIVIN M VITARO F BUKOWSKI W M DIONNE G amp TREMBLAY R E 2008 Linkages betvveen childrenis and their friend s social and physical aggression Evidence for a gene environment interaction Child Development 79 13 29 CIRRUS PRODUCTIONS EN CO
38. etit coup main pour ne pas en venir aux poings La col re l agressivit et la violence chez les jeunes Speed Crystal E GH Special K difficile de s y retrouver La consommation de drogues de synth se chez les jeunes Ne m attrape pas si tu peux La sexualit et les infections transmissibles sexuellement et par le sang ITSS chez les jeunes Chat va bien La zooth rapie et les jeunes S adapter au changement pas toujours vident Les modifications apport es la Loi sur la protection de la jeunesse LPJ tudiants de l quipe d animation scientifique t 2008 l avant de gauche droite Carole Anne Mercier milie Dionne mile Pich l arri re de gauche droite Isabelle Fournier Patrick Arial Jasmine R Perreault Un petit coup de main pour ne pas en venir aux poings La col re l agressivit et la violence chez les jeunes U a 2 Par Carole Anne Mercier etudiante au baccalaureat en psychologie Avec la collaboration de Nadine Lanct t Ph D en criminologie professeure agr g e a la facult d ducation de l Universit de Sherbrooke SAVIEZ VOUS La col re l agressivit et la violence sont des concepts troitement li s et fr quemment utilis s de mani re indiff renci e dans la litt rature Pourtant ces trois expressions ont une tymologie et un sens bien diff rents La col re tymologie le mot col re vient du grec kh l qui signifie
39. ez les jeunes Beck amp Katcher 2003 Martin amp Farnum 2002 Parmi les bienfaits physiques on note une diminution de la pression sanguine Friedmann Katcher Thomas Lynch amp Messent 1983 et du rythme cardiaque Martin amp Farnum 2002 en pr sence de l animal Les propri taires de certains animaux ex chien cheval sont galement en meilleure forme physiquement puisque leur animal les oblige a bouger Brodie amp Biley 1999 Sur le plan psychologique les animaux offrent un soutien important aux jeunes font partie int grante de leur r seau social et surclassent m me certaines relations humaines en termes d importance McNicholas amp Collis 2001 Comme ils ne jugent pas et n ont pas d attentes ils sont une source inconditionnelle d acceptation d amour et d affection Brodie amp Biley 1999 Clinique 33 Amis Maux 2008 Katcher amp Beck 1983 Ils facilitent la cr ation de liens affectifs tout en diminuant le sentiment de solitude Endenburg amp Baarda 1995 Mallon 1994b McNicholas et al 2005 Melson 2003 Les animaux favorisent aussi les jeux le rire le plaisir l harmonie Brodie amp Biley 1999 Clinique Amis Maux 2008 Endenburg amp Baarda 1995 Parish Plass 2008 et apaisent les chagrins et l anxi t Friedmann et al 1983 Martin amp Farnum 2002 La naissance et la mort d un animal sont des exp riences riches en apprentissages et propices aux discussions Par exemp
40. famille Famille et toxicomanie Drogues sant et soci t 1 1 9 16 CENTRE ANDRE BOUDREAU 2006 Le bien fond de la programmation du Centre Andr Boudreau Saint J r me Centre Andr Boudreau CENTRE CANADIEN DE LUTTE CONTRE LALCOOLISME ET LES TOXICOMANIES CCLAT 2005 La m thamph tamine fiche de renseignements Ottawa CCLAT COMIT PERMANENT DE LUTTE A LA TOXICOMANIE DU QU BEC CPLT 2006 Drogues savoir plus risquer moins Montr al Stank COTE E amp HANFIELD C 2007 La drogue de son poque La Presse 26 octobre 2007 Actualit s CYR J F LEONARD L amp CHAMPAGNE P 2002 Amphetamines et d riv s Dans Leonard L amp Ben Amar M Les psychotropes Pharmacologie et toxicomanie Montr al Presses de l Universit de Montr al DUBE G TREMBLAY R TRAORE I amp MARTIN 2007 Enqu te qu b coise sur le tabac l alcool la drogue et le jeu chez les l ves du secondaire 2006 Consult en mai 2008 sur le site WEB de l Institut de la statistique du Qu bec http www stat gouv qc ca publications sante tabac06_pdf htm FLEURY E 2007 Les temps changent les drogues aussi Le Soleil 16 f vrier 2007 Actualit s GARCEAU BRODEUR M H 2006 Ecstasy et sexualit une tude exploratoire au Qu bec Drogues sant et soci t 5 2 111 113 HOULE M amp LECOURS M 2006 Les amphetamines Un bilan des informations disponibles l intention des int
41. h rapie s av re particuli rement appropri e pour les jeunes victimes d abus ou de n gligence En raison de leurs exp riences pass es avec les adultes de leur famille ces jeunes ont tendance se m fier des relations avec les adultes en g n ral et sont susceptibles de devenir eux m mes abuseurs ou negligents La pr sence d un animal en th rapie aide diminuer les craintes les appr hensions l anxi t et la m fiance de ces jeunes envers l intervenant Parish Plass 2008 Reichert 1998 On attribue souvent ce dernier des qualit s similaires l animal qui l accompagne ex amical accessible sans pr jug s authentique Clinique Amis Maux 2008 Reichert 1998 L animal permet galement de d velopper de nouvelles strat gies d adaptation pouvant mettre fin au cycle de l abus Parish Plass 2008 Le tableau suivant pr sente quelques tudes d montrant l efficacit de la zooth rapie aupr s des jeunes Tableau 1 Exemples d tudes d montrant l efficacit de la zootherapie 5075 Type de zootherapie Efficacite de la zootherapie Mallon 1994a Jeunes 7 16 ans Petite ferme avec Augmentation du sentiment de bien tre suivis par les services animaux proximit du apr s une visite la ferme de l enfance et centre de r adaptation D veloppement plus rapide du lien de h berg s en centre de AAA confiance r adaptation D veloppement du sens des responsabilit s Aide la r adaptation Mallon
42. ions de d tente d ivresse de relaxation musculaire de somnolence des difficult s de coordination des mouvements et une diminution de l anxi t Lebrun et al 2005 Martin 2007 MSSS 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 petite dose l effet du GHB peut ressembler celui d une consommation d alcool Pennors amp Th rien 2001 Certains jeunes affirment que cette drogue cr e une sensation similaire a l euphorie occasionn e par plusieurs consommations d alcool mais plus faible co t et sans le mal de t te du lendemain Lebrun et al 2005 Par contre il est difficile de bien doser sa consommation une petite quantit suppl mentaire pouvant tre de trop ce qui entra ne des risques semblables une surconsommation d alcool i e somnolence difficult d locution et de coordination des mouvements maux de t te vomissements perte de m moire temporaire etc Jacques 2008 MSSS 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Les risques sont encore plus lev s lorsque le GHB est m lang avec de l alcool puisque les effets se multiplient dramatiquement pouvant entra ner une perte de conscience des convulsions une diminution du rythme cardiaque une baisse de la tension art rielle une difficult respirer et m me la mort Lebrun et al 2005 Martin 2007 MSSS 2007 17 Le GHB a t m diatis comme tant LA drogue du viol Martin 2007 MSSS 2007 Par contre tr s peu de cas de
43. l dane 1091 1281U02 uou Y A Q l nx s 1987009 uou Y A Q l nx s 1987009 Sajuajouin ues sajjas a6s06 ap jew SeluelJodul sauie1Bluu 314914 SanbneuyduwAl Suollpue6 s p ainjjua spiod ap anbiuoiyo anBnez asoajanuouow ej e Juejqwassa ieddilb 1813 Sn19 n 09 l ins 010 q noq el suep UO suep snue ins xne tu b saue6Jo se ins sas no sayoue q saBnol sasoi seniisn s m d s ulo Apuo2 Jeuune aynaipip eddilb awojpuAs xneuolbes Suoll6ue6 sap uogezuaw ne syuawuejooid Snue 39 puel6 al siuad ai ins Seuuoly sejeuiBea siosed S UNeln 09 8 S81A8 S Jns Seuuaj S8911P9I9 ap Jassie sues saulewas g ua jJuassiian6 Inb s l in sap ueuuop sasnainojnop sen s dnolb l s ln ls A s n d S9910 099p Sallas 19 29910 aulun assiunel saauejnd suondni sajeulwopge sinajnop sanbinsef sasiejew 1 no s slein ni sinajnop enbiuoiyo an60ej saules6iw saasneu a1eBa 314914 3409dde p asiejew ap eJ9u96 1913 54100 np silod Sa ins sajua Saeuyaue q 5 Bues ap sa61of nbsiol SunJq Se6noJ sajed sunig s sul p ajqisiA siqnd np ej Suep sasuaju suosieabuewaq xnellu96 sauebuo seule suras lllB Sa IASUI Sapno9 seuBiod s 610p olx li
44. l mes sexuels et conjugaux et changer la perception qu a le jeune de son image corporelle Pour ces raisons et pour pr venir les complications il est important que le jeune soit suivi par un professionnel de la sant Paradoxalement le diagnostic d une ITSS peut aussi avoir certains c t s positifs notamment d amener le jeune r fl chir sur ses comportements sexuels et sur l importance qu il accorde sa sant rectifier ses connaissances et d velopper sa capacit d affirmation Lacroix amp Cloutier 2006 31 R f rences AGENCE DE SANT PUBLIQUE DU CANADA ASPC 2007 ITS les infections transmissibles sexuellement Consult en mai 2008 sur le site WEB de l Agence de sant publique du Canada http www phac aspc gc ca publicat std mts pdf sti pamph fpdf AIDE SUISSE CONTRE LE SIDA 2006 Protection Safer Sex et Safer Use Consult en juillet 2008 sur le site WEB de lAide Suisse contre le Sida http www aids ch f information hiv_aids schutz php B RARD A M 2008 La relation sexuelle revue et recadr e a sexprime 11 1 16 BOYCE W DOHERTY M FORTIN C amp MACKINNON D 2003 Etude sur les jeunes la sant sexuelle le VIH et le sida au Canada Toronto Conseil des ministres de l ducation du Canada CAMPANELLI N 2006 O en est l intimit dans les relations sexuelles des adolescents La particularit des relations orales genitales a sexprime 6 1 12 FRAPPIER
45. le la venue au monde d un animal repr sente une occasion privil gi e pour parler de sexualit et expliquer le commencement de la vie Endenburg amp Baarda 1995 La mort d un animal peut quant elle tre v cue douloureusement voire dramatiquement par un jeune l est donc important de discuter ouvertement des sentiments de ce dernier et de les normaliser car la fa on dont ses proches composeront avec cette situation aura un impact sur sa perception de la mort en g n ral Endenburg amp Baarda 1995 Outre ces bienfaits les animaux peuvent galement contribuer au d veloppement des relations sociales amp Biley 1999 Mallon 1994b McNicholas et al 2005 e des habilet s de communication Filiatre Millot amp Montagner 1983 et Guttman Predovic amp Zemanek 1983 dans Beck amp Katcher 2003 de l estime de soi Beck amp Katcher 2003 Clinique Amis Maux 2008 Endenburg amp Baarda 1995 Martin amp Farnum 2002 Reichert 1998 e de l empathie Levinson 1969 Parish Plass 2008 du sens des responsabilit s Beck amp Katcher 2003 Clinique Amis Maux 2008 Endenburg amp Baarda 1995 Melson 2003 e de la tol rance et de l auto contr le Levinson 1969 Pour toutes ces raisons les animaux aident les jeunes a traverser certaines preuves difficiles telles que la s paration des parents ou le placement hors du milieu familial Katcher amp Beck 1983
46. leur adolescence manifester des niveaux d agressivit lev s Brendgen et al 2008 l arrive que l agressivit s accompagne de comportements d opposition ou de provocation ex s obstiner refuser de respecter les r gles emb ter d lib r ment les autres tester les limites Lorsque ces comportements d passent largement ce qui est attendu d un jeune du m me ge et qu ils nuisent de fa on significative la vie familiale sociale et scolaire on parle d un trouble oppositionnel avec provocation American Psychiatric Association APA 1996 Puisque le processus de socialisation inhibe les comportements agressifs la p riode pr scolaire constitue une tape charni re pour la r gulation des comportements d agression physique d o l importance de favoriser l apprentissage de comportements prosociaux chez l enfant d s les toutes premi res ann es de sa vie Brendgen et al 2008 Pour ce faire l tablissement et le respect de r gles et d habitudes de vie tant la maison que dans les autres milieux que fr quente l enfant ex groupe de jeu garderie lieux publics sont n cessaires Reconna tre ou renforcer les comportements positifs et d courager les comportements inopportuns sont galement de bonnes strat gies pour mod rer les comportements agressifs des tout petits Fiorentino 2004 La gestion de la col re Voici quelques strat gies permettant aux jeunes suivis en centre jeunesse leurs parents et a
47. lit et aux normes en la mati re Les jeunes int grent ces messages et les diffusent entre eux de sorte que m me ceux qui ne sont pas encore actifs sexuellement ressentent une pression exp rimenter diff rentes activit s sexuelles Campanelli 2006 L ducation a la sexualit Aborder la question de la sexualit avec des jeunes demande beaucoup de flexibilit car il faut adapter les interventions en fonction de leurs connaissances de leur exp rience et de leur aisance en discuter l ducation la sexualit doit se faire dans le respect avec ouverture nuance et d licatesse Campanelli 2006 La simplicit la cr ativit et la diversit des activit s ducatives peuvent galement faciliter les changes avec un jeune Minist re de l ducation du Qu bec MEQ amp MSSS MSSS 2003 Lorsqu un jeune parle des relations amoureuses ou sexuelles de ses amis l intervenant peut saisir l occasion pour discuter de sexualit avec lui Pelletier 2007 Eintervenant doit accepter d tre tonn par certaines questions des jeunes et rester franc sur les limites de ses connaissances personnelles MEQ MSSS 2003 peut aussi se questionner sur sa vision de la sexualit en g n ral et sur celle des adolescents d terminer la perception qu il aurait de la sexualit s il tait un adolescent dans le monde actuel et en discuter avec des coll gues Pelletier 2007 Bien que le r alisme soit essentiel en interven
48. lleure acceptation de l hospitalisation universitaire de de l enfant AAA Augmentation de la r ceptivit au traitement Qu bec Satisfaction du personnel en regard de l activit ex t che non alourdie 36 Ajoutons qu en tant que co intervenant l animal rend l intervention plus chaleureuse agr able conviviale et moins intimidante Clinique Amis Maux 2008 Parish Plass 2008 provoque des rires et de l excitation m me chez les jeunes les plus hostiles et les plus isol s plac s dans les organismes de services l enfance Gonski 1985 facilite la cr ation du lien de confiance entre le jeune et l intervenant Gonski 1985 Mallon 1994a Mallon 1994b Parish Plass 2008 aide le jeune tre plus r ceptif en diminuant sa r sistance l inconnu Clinique Amis Maux 2008 maintient l attention du jeune et suscite sa curiosit Melson 2003 encourage le jeune tre plus ouvert et l aide discuter de choses personnelles Parish Plass 2008 Reichert 1998 encourage les comportements naturels et spontan s ainsi que les communications et les interactions Parish Plass 2008 sert d outil pour d velopper des strat gies et des habilet s qui pourront tre adopt es avec les pairs Bernatchez 2008 Parish Plass 2008 permet de travailler des th mes comme la s paration la perte le deuil l affection et l acceptation de soi Parish Plass 20
49. llier 2007 A ce sujet il peut tre int ressant de recourir la m thode ACC Antecedent Comportement Cons quence qui consiste se demander qui tait l o l v nement s est d roul quand s est il produit et ce qui s est pass exactement Fiorentino 2004 Quelques faits int ressants Dans la religion catholique la col re est consid r e comme l un des sept p ch s capitaux ce qui peut expliquer en partie notre difficult la reconna tre la vivre ou accepter ainsi que notre propension la r primer ou a la censurer Cirrus Productions amp Tele Quebec 2003 10 Les expressions faciales des motions ex la col re sont en partie h r ditaires Les nerfs et les muscles faciaux sont contr l s par des g nes transmis de g n ration en g n ration afin de faciliter la reconnaissance des besoins de l enfant par le parent Ekman et al 2003 50 des agressions physiques commises par les enfants en bas ge sont d termin es par des facteurs g n tiques les autres cas tant associ s des facteurs environnementaux uniques et non partag s Brendgen et al 2008 La fr quence des agressions physiques diminue partir de 3 4 ans alors que la fr quence des gestes d agressions indirectes ex ridiculiser diffuser des ragots harceler tenir des propos d sobligeants augmente de fa on importante entre l ge de 4 et 7 ans Brendgen et al 2008 Selon Crick et Groetp
50. lusieurs personnes infect es par des h patites et le VIH sida sont des utilisateurs de drogues injectables Lambert et al 2008 Les ITSS peuvent galement se transmettre lors de relations orales par contact entre des liquides corporels ex s cr tions vaginales sperme liquide pr jaculatoire sang salive et des l sions dans la bouche o dans la r gion g nitale ASPC 2007 Les relations vaginales et anales exposent toutes les ITSS les relations anales tant particuli rement risque car de petites d chirures peuvent facilement se cr er sur la peau du rectum ASPC 2007 Les possibilit s de traitement varient beaucoup selon les TSS les infections bact riennes ex chlamydia gonorrh e syphilis trichomonase et les parasites ex gale et morpions se gu rissent mais les infections virales ex h patite C herp s g nital VPH VIH sida sont souvent incurables les traitements r duisent la gravit de leurs sympt mes et les risques de complications Des vaccins pr ventifs ont t d velopp s pour les h patites et B MSSS 2006 ainsi que pour les deux principales souches du VPH MSSS 2007 Des complications graves sont craindre si certaines ITSS ne sont pas trait es assez t t Par exemple la chlamydia et la gonorrh e peuvent entra ner l infertilit chez la femme et des difficult s permanentes uriner chez l homme alors que l infection par le VPH augmente les risques de d velopper le
51. mal Consult en juin 2008 sur le site WEB de Clinique Amis Maux ENDENBURG N amp BAARDA B 1995 The role of pets in enhancing human wellbeing Effects on child development Dans Robinson l The Waltham Book of Human Animal Interactions Benefits and Responsibilities of Pet Ownership pp 7 17 New York Pergamon FRIEDMANN E KATCHER AH THOMAS S A LYNCH J J amp MESSENT PR 1983 Social interaction and blood pressure Influence of animal companions The Journal of Nervous and Mental Disease 171 8 461 465 GONSKI YA 1985 The therapeutic utilization of canines in a child welfare setting Child and Adolescent Social Work 2 2 93 105 INSTITUT DE ZOOTHERAPIE DU QUEBEC 2007 Le service d animation Consult en juin 2008 sur le site WEB de l Institut de zooth rapie du Qu bec http www institutdezootherapie ac ca servicesO asp JALONGO M R ASTORINO T amp BOMBOY N 2004 Canine visitors The influence of therapy dogs on young children s learning and well being in classrooms and hospitals Early Childhood Education Journal 32 1 9 16 38 KATCHER A H amp BECK A M 1983 New Perspectives on Our Lives With Companion Animals Philadelphia University of Pennsylvania KOGAN L R GRANGER B P FITCHETT JA HELMER K A amp YOUNG K J 1999 The human animal team approach for children with emotional disorders Two case studies Child amp Youth Care Forum 28 2 105
52. n et l int gration Voir la figure 1 Labont amp Desbordes 2003 Dans le m me ordre d id es les phases de changement peuvent s apparenter au processus de deuil surtout lorsqu il s agit d un changement impos et subi l intensit de chacune des phases de ce processus i e choc d ni col re marchandage d pression acceptation est tributaire de l ampleur du changement v cu ou de l importance accord e par l individu ce changement Figure 1 Le cycle du changement Figure tir e de Labont amp Desbordes du groupe IRIS Consultants amp Partners 2003 Changement N pf Sentiment PER amp SATISFACTION PEUR s r Pi es d CONENTR ES PRUDENTES D GENEREUX Sentiment Sentiment CONFIANCE HR RANCUNE o Pens es 6 b Pensees PRA MATIQU ES T SCEPTIOU ES cc ortement 5 8 Comportement CE PRODUCT F RES STANT el Z Sentiment 5 Sentiment ANXIETE CREATIVES 5 Cones Comportement ortement Ze ENERGIQUE MPE ODUCTIF o Uv FO ERTE INCON 1Pour plus de d tails consulter le livre On Death and Dying What the Dying Have to Teach Doctors Nurses Clergy and Their Own Families K bler Ross 1969 41 Les modifications de la LPJ un vent de changement pour les centres jeunesse Depuis l entr e en vigueur de la nouvelle Loi sur la protection de la jeunesse LPJ en juillet 2007 les centres jeunesse du Qu bec
53. nces des jeunes par rapport aux diff rentes ITSS constitue sans contredit l un des facteurs de risque les plus importants Les r sultats d une tude r alis e aupr s d l ves canadiens du secondaire r v lent que ceux ci poss dent des connaissances limit es ou erron es sur les ITSS Boyce et al 2003 Par exemple seulement la moiti des jeunes de 3 et 5 secondaire savent qu une personne atteinte d une MTS peut tre asymptomatique Aussi certains jeunes croient tort que les contraceptifs oraux les prot gent des ITSS un peu moins de 40 96 des jeunes disent ne pas s tre servis du condom lors de leur derni re relation sexuelle parce qu ils utilisaient un autre moyen de contraception certains gards les connaissances semblent m me avoir diminu avec le temps les jeunes de 1989 taient de 20 30 mieux inform s que ceux de 2002 sur le VIH sida ex fa ons de contracter le virus moyens de protection m thodes de d tection Boyce et al 2003 Qui plus est l tude montre que les jeunes pensent tre bien inform s alors qu ils ont des lacunes importantes sur ce plan Cette double ignorance est particuli rement inqui tante car tant peu ou mal renseign s des jeunes peuvent prendre des moyens inad quats pour limiter les risques d infection Certaines croyances ou attitudes des jeunes par rapport aux ITSS m nent aussi des pratiques sexuelles risque Entre autres les jeunes qui croient que leur pa
54. nt du trouble de d ficit de l attention avec ou sans hyperactivit TDAVH tels que le Ritalin et le Concerta sont des d riv s de la famille des amphetamines Cyr Leonard amp Champagne 2002 Jacques 2008 Lebrun et al 2005 Martin 2007 Ces substances produisent sensiblement les m mes effets dans le cerveau sur les neurotransmetteurs Toutefois la l galit des m dicaments garantissent une qualit de la substance qu on ne peut comparer avec les drogues illicites Rouillard 2008 Comme l amph tamine et ses d riv s entra nent une diminution de l app tit il est possible de mieux comprendre avec tout ce qui entoure le culte de la minceur pourquoi ce type de drogue est si invitant pour les filles Houle amp Lecours 2006 D autres effets secondaires peuvent galement se faire sentir lors de la consommation de ces drogues tels que des tics faciaux des grincements de dents une crispation de la m choire et plus forte dose des convulsions des troubles parano des et un tat psychotique MSSS 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Apr s un pisode de consommation les gens ressentent habituellement une extr me fatigue ont une humeur depressive et sont irritables ce que l on appelle le down Centre canadien de lutte contre l alcoolisme et les toxicomanies CCLAT 2005 Rouillard 2008 Les sympt mes de sevrage sont la fatigue l insomnie ou l hypersomnie des r ves intenses et d plaisants une augmenta
55. nth se aussi connues sous le nom de designer drugs sont des mol cules chimiques cr es enti rement par l humain ex amphetamine metamphetamine ecstasy GHB et k tamine comparativement aux substances psychoactives qui proviennent en partie de la nature telles que la marijuana la coca ne et l h ro ne Lebrun et al 2005 Minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Les drogues de synth se sont fabriqu es en laboratoire par des chimistes clandestins commun ment appel s les cooks Comit permanent de lutte a la toxicomanie du Qu bec CPLT 2006 MSSS 2007 Puisque ces derniers ne suivent pas de recettes strictes en bout de ligne deux substances du m me nom peuvent tre tr s diff rentes en ce qui concerne leur composition les ingr dients utilis s et les quantit s et leur apparence Sant Canada amp Gendarmerie royale du Canada GRC 2004 Les drogues de synth se sont elles nouvelles Les drogues de synth se ont fait leur apparition au cours des ann es 1900 Schneeberger amp Desrosiers 2001 et ont t particuli rement associ es aux raves au d but des ann es 2000 Depuis ce temps on assiste a une augmentation de la consommation de ces drogues dans la population g n rale et ce surtout chez les jeunes Houle amp Lecours 2006 Ce qui est r ellement nouveau avec ces substances c est donc leur usage r cr atif r pandu aupr s des jeunes
56. ntissage de moyens et d habiletes pour la r gulation de la col re 2 d Trudeau Le Blanc et al 2007 Le tableau suivant pr sente diverses strat gies d intervention aupr s de jeunes qui manifestent des comportements agressifs Tableau 2 Comportements adopter en pr sence d un jeune agressif S abstenir de tout geste ou comportement pouvant tre consid r comme agressif ex garder les mains dans une position non menacante Toujours regarder le jeune dans les yeux et ne pas lui tourner le dos Respecter l espace vital du jeune tout en exigeant qu il respecte notre espace Manifester de l int r t par rapport a la situation et maintenir le dialogue Reformuler les propos de l autre ex Si je comprends bien tu es en col re parce que Maitriser son langage corporel et sa propre agitation motrice car ils traduisent des motions attention la contamination Eloigner toute personne hostile envers le jeune ou qui voudrait s immiscer dans l intervention Tenter de comprendre le comportement ou le point de vue du jeune mais accepter aussi de ne pas tout comprendre l incomprehension pouvant tre g n ratrice de pulsions agressives Tableau adapt de Decleire amp Picard 2005 Ulrich 2004 2005 Il est important de noter les caract ristiques des comportements agressifs probl matiques ex la fr quence l intensit le moment l endroit et les circonstances Fiorentino 2004 Te
57. ouvelle Loi sur la protection de la jeunesse Cahier du participant Programme national de formation Montr al Association des centres jeunesse du Qu bec HUOT H 2003 L apprentissage en ligne et la gestion du changement sur le plan humain Consult en juin 2008 sur le site WEB du Centre d expertise des grands organismes http vvvvvv grandsorganismes gouv qc ca cego lapp DocRepository 1 Reseaux Formation Apprentissage ligne simplifie pdf K BLER ROSS E 1969 On Death and Dying What the Dying Have to Teach Doctors Nurses Clergy andTheir Own Families New York Simon amp Schuster Touchstone LABONTE R amp DESBORDES C 2003 Rien n est permanent sauf le changement Consult en juillet 2008 sur le site WEB de Mastership http Avww mastership fr news management changement htm LE NOUVEAU PET T ROBERT DE LA LANGUE FRAN AISE 2009 Dictionnaire alphab tique et analogique de la langue fran aise Paris Dictionnaires Le Robert MAGNUSSON K 2005 Le cycle de changement positif Pour alimenter la r flexion Document 17 Lethbridge Universit de Lethbridge MINISTERE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS 2008 Manuel de r f rence sur la protection de la jeunesse Version pr liminaire Qu bec MSSS MINISTERE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS 2004 La protection des enfants au Qu bec une responsabilit mieux partager Rapport du Comit d experts sur la r vision de la Loi su
58. parent ou d une autre personne mise en cause par un signalement pour tous les motifs d intervention moins que le tribunal ne l ordonne interdiction formelle de diffuser dans les m dias de l information permettant d identifier un enfant et des parents suivis en protection de la jeunesse Objectif 6 Baliser le recours exceptionnel l h bergement dans une unit d encadrement intensif Modifications l gislatives Pr cision des motifs et des circonstances justifiant qu un enfant puisse tre h berg dans une unit d encadrement intensif Possibilit pour le jeune et ses parents de contester cette mesure devant le tribunal Obligation d aviser syst matiquement et sans d lai la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse lorsqu il y a d cision d h berger un jeune dans une unit d encadrement intensif et informer cette commission des d cisions qui pourront tre prises par le tribunal Interdiction de recourir l h bergement dans une unit d encadrement intensif ou une mesure d isolement des fins disciplinaires Tableau adapt du MSSS 2008 MSSS 2004 Un an apr s l entr e en vigueur de la nouvelle LPJ o en sommes nous Les phases d implantation et de mise en action des nouvelles directives r sultant des amendements apport s la LPJ sont compl t es Relever le d fi de composer avec les cons quences relatives au changement n est pas toujours vident ce jour
59. r la protection de la jeunesse Qu bec MSSS TREMBLAY M 2004 L adaptation humaine un processus biopsychosocial d couvrir Montr al Editions Saint Martin VISINAND M 2003 Le r le attendu des professionnels RH lors d un changement organisationnel M moire de ma trise Montr al HEC 47 SAVIEZ VOUS QUE chaque t l quipe d animation scientifique b n ficie du soutien d tudiants dynamiques qui mettent leurs comp tences au service de l intervention sociale en r pondant aux pr occupations cliniques des intervenants en centre jeunesse mi ai Led E TY Pour une quatri me ann e cons cutive le Centre jeunesse de Qu bec nstitut universitaire pr sente sa Bi revue Saviez vous que une revue ax e sur les pr occupations cliniques des intervenants qui travaillent en contexte de protection de la jeunesse Par le biais de recensions d crits vulgarisees des tudiants font le point sur l tat actuel des connaissances dans plusieurs sph res de la pratique sociale col re agressivit violence drogues de synth se ITSS zooth rapie et adaptation au changement Avec cette formule l quipe d animation scientifique souhaite offrir une vitrine aux travaux de recherche r alis s sur les jeunes et les familles en difficult En plus de soutenir le transfert de connaissances ce projet offre une exp rience de vulgarisation scientifique des tudiants de 1
60. r reconna tre le potentiel de violence d un jeune afin d intervenir le plus pr cocement possible et d viter les actes de violence Pour ce faire trois indicateurs de violence peuvent tre utiles soit les ant c dents de passage l acte les changements de comportement et l agitation motrice Ulrich 2004 2005 Concernant les ant c dents de passage l acte il est important de se demander si le jeune a une histoire de violence S est il d j bless intentionnellement A t il port des coups et caus des blessures autrui ou d truit du mat riel A t il un parent ou un environnement violent Ces signes peuvent tre annonciateurs d un comportement violent ventuel En ce qui a trait aux changements de comportement il est indiqu de v rifier si le jeune a chang de comportement ex intimidation provocation menace S exasp re t il se met il l cart s isole t il Lors d une interaction change t il subitement de comportement Dans l affirmative le jeune est plus risque d un passage l acte Enfin en ce qui concerne l agitation motrice il importe de v rifier si le jeune est plus agit qu l habitude Se promene t il de long en large Agite t il ses pieds et ses mains Bouscule t il les autres d truit il le mat riel Si tel est le cas il y a de fortes chances que le jeune pose un geste violent dans un avenir rapproch voire imminent 1Pour plus de d tails consulter le document L activit d appre
61. ransmettent par le sang et celles qui ne pr sentent pas de sympt mes Lambert Markowski amp Minzunza 2008 Cette nuance est importante puisque plusieurs jeunes contractent des ITSS souvent asymptomatiques titre d exemple l incidence de la gonorrh e chez les filles de 15 19 ans a connu entre 2004 et 2007 une augmentation de 250 Lambert et al 2008 De m me les hommes de 15 24 ans repr sentent 49 de la population masculine infect e par la chlamydia alors que les femmes de cette tranche d ge repr sentent 72 des cas f minins Lambert et al 2008 La plus fr quente des ITSS le virus du papillome humain VPH serait contract e par 20 96 40 des femmes de moins de 30 ans Minist re de la Sant et des Services sociaux MSSS 2008 Le tableau 2 pr sente les sympt mes les modes de transmission et les possibilit de traitement des ITSS les plus connues 25 alqeJnoul 1 4 Ul295A Jens sioued yjeed sloped men JUSANOS ellled stoped E ES Es za zm sanbiuebio sapinbi 1 J92 u07 s sn nbnulu need e need felu b 1061002 A9Bul aseyd Supp ajgissod S AH28 suoisa no sebeanes 49800 s llinbi senbiuebio sapinbi Y A 0 l nx s 1081002 uou no l nx s 11019 1981u02 uou no janxas 101 9 3281u02 A l nx s 283u02 uols
62. relation qu il entretient avec son ou sa partenaire il est plus probable qu il d cide de prot ger leur sant sexuelle en utilisant le condom Les pratiques sexuelles privil gier Les comportements sexuels s curitaires peuvent tre abord s sous trois angles l abstinence l utilisation du condom et la r duction des m faits Bien qu il semble radical de parler d abstinence un jeune actif sexuellement il s agit n anmoins du meilleur moyen d viter de contracter une TSS Trente neuf pour cent des jeunes actifs sexuellement et 78 des autres jeunes disent consid rer l abstinence comme une option valable et 80 jugent qu on ne fait pas suffisamment la promotion de l abstinence chez les adolescents Frappier et al 2006 p 15 L intervenant peut discuter de l abstinence avec les jeunes pour qu ils en aient une vision plus positive et qu ils consid rent davantage cette alternative 30 l utilisation du condom risque d tre plus populaire que l abstinence aupr s des jeunes parce qu elle permet de concilier la protection contre les ITSS la contraception et l activit sexuelle la condition de respecter le mode d emploi Lacroix amp Cloutier 2006 M me si pr s de 90 des jeunes pr voient utiliser le condom dans leurs prochains rapports sexuels Boyce et al 2003 76 disent l avoir fait lors de leurs derni res relations sexuelles Frappier et al 2006 Bien que l utilisation du condom comporte divers
63. rodeur 2006 Mais sur le plan de la sexualit l atteinte de l orgasme est plus difficile Garceau Brodeur 2006 et il y a une diminution importante de la capacit rectile chez l homme Saunders 1993 C est pourquoi la consommation de Viagra achet sur la march noir gagne en popularit chez les consommateurs masculins Jacques 2008 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Toutefois la combinaison du Viagra avec certaines autres substances peut tre extr mement dangereuse Schneeberger amp Desrosiers 2001 Les autres effets secondaires de l ecstasy sont semblables ceux de l amph tamine et de la methamphetamine en plus de l hyperthermie fi vre de la d shydratation et de la r tention urinaire MSSS 2007 Selon la GRC l ecstasy pure MDMA se fait actuellement tr s rare Qu bec et est beaucoup plus co teuse que la m thamph tamine GRC 2007 dans Fleury 2007 Souvent les jeunes croient acheter de l ecstasy alors qu ils se procurent en fait de la methamphetamine ou un m lange de produits contenant ou non de la MDMA ecstasy Autres drogues de synth se Noms populaires G GH P tit jus Liquid ecstasy mais ce n est pas de l ecstasy Apparence poudre blanche liquide incolore et inodore vendu dans une fiole M thode de consommation la plus courante ing r aval m lang ou non dans de l eau ou une boisson Cat gorie d presseur du syst me nerveux central Le GHB procure des sensat
64. rsonnel du contentieux Association des centres jeunesse du Qu bec ACJQ Directeurs de la protection de la jeunesse 43 Conna tre et comprendre les six principaux objectifs du projet de loi 125 et appliquer les modifications apport es Voici les six objectifs vis s par les changements apport s la Loi sur la protection de la jeunesse et quelques modifications l gislatives en lien avec ceux ci Objectif 1 Favoriser la continuit et la stabilit pour les enfants Modifications l gislatives Clarification du principe visant maintenir l enfant dans son milieu familial privil gier le placement s il y a lieu aupr s de personnes significatives pour l enfant impliquer les parents tout au long du processus Fixation de dur es maximales de placement en fonction de l ge de l enfant Modification du R glement sur la r vision de la situation d un enfant Objectif 2 Promouvoir la participation active de l enfant et de ses parents aux d cisions et au choix des mesures qui les concernent Modifications l gislatives Privil gier des moyens qui permettent l enfant et ses parents de participer activement la prise de d cision et au choix des mesures qui les concernent introduire plusieurs mesures visant favoriser les ententes entre les parties extension du d lai accord au DPJ pour appliquer des mesures de protection imm diate de 24 48 heures suppression du nombre limite d ententes sur mes
65. rtenaire a toujours utilis un moyen de protection et n a jamais contract d infections o ceux qui cessent d utiliser le condom lorsqu ils connaissent mieux leur partenaire sont plus risque de contracter une ITSS Lacroix amp Cloutier 2006 De plus le sentiment d invuln rabilit et la pens e magique qui am nent les jeunes croire que les TSS c est seulement pour les autres peuvent entra ner des comportements risque MSSS 2008 La consommation d alcool et de drogues avant une relation sexuelle est relativement fr quente chez les jeunes 38 des gar ons et 21 des filles de 5 secondaire Elle peut diminuer l tat de vigilance et alt rer le jugement D ailleurs jusqu 6 des jeunes de 5 secondaire disent ne pas avoir utilis le condom lors de leur derni re relation sexuelle en raison d une consommation de substance s psychoactive s Boyce et al 2003 28 La pression sociale subie par les jeunes sur le plan sexuel constitue galement un facteur de risque non n gligeable Que ce soit la t l vision au cin ma ou sur Internet les jeunes sont expos s une multitude de contenus caract re sexuel qui contribuent banaliser la sexualit et renforcer certains st r otypes Lacroix amp Cloutier 2006 La plupart du temps ces contenus glorifient les actes sexuels sans m me sugg rer la protection MSSS 2008 p 8 influen ant les perceptions des jeunes quant la sexua
66. rumentale est proactive c est dire qu elle est anticip e et permet d atteindre certains buts Contrairement l agressivit hostile elle n a pas pour objectif de nuire autrui Cette derni re forme d agressivit exprime une volont de s affirmer et de confronter Boivin 2003 Corraze 1997 Bien utilis e elle peut devenir une source de dynamisme interne et de mobilisation Vidal 2005 La violence tymologie le mot violence vient des expressions latines violentia et violar qui signifient respectivement abus de la force et agir de force sur quelqu un ou quelque chose Dubois 2005 La violence est un ph nom ne complexe dont la d finition et la compr hension varient selon les poques les milieux les normes culturelles et les individus Corraze 1997 Vidal 2005 Pour certains auteurs elle s apparente l agressivit hostile telle que d crite plus haut Concr tement elle se d finit comme une atteinte l int grit physique ou psychologique d une personne par exemple la contrainte la force ou l intimidation Vidal 2005 Expression d une force brutale la violence peut tre ext rioris e ex s en prendre autrui ou des objets ou retourn e contre soi ex automutilation ou tentatives de suicide Deux formes d agression o de violence sont distingu es dans la litt rature Verlaan amp D ry 2006 directe ex blesser physiquement ou verbalement un individu et indirect
67. strictives en vue de limiter ou de faire obstruction la tentative de changement Collerette Delisle amp Perron 1997 dans Huot 2003 p 21 La r sistance au changement est la norme plut t que l exception Visinand 2003 40 Cette r sistance s explique entre autres par le fait que l individu doit quitter sa zone de confort pour s aventurer vers de nouvelles avenues souvent empreintes d incertitudes l doit s adapter au contexte mergent se familiariser avec des t ches et des responsabilit s inhabituelles apprendre et adopter de nouveaux comportements et surtout abandonner les habitudes qul faisaient partie de son quotidien Bareil 2004 En fait selon Tremblay 2004 le plus exigeant lors d une p riode de changement est de prendre conscience des avantages de ce changement pour soi m me et pour les autres et ce malgr les doutes possibles quant la validit et la faisabilit du changement Le cycle du changement Certains auteurs con oivent le changement de mani re cyclique c est dire comme une succession d tapes n cessaires avant d en arriver une int gration pleine et enti re du changement amorc Par exemple le groupe IRIS Consultants amp Partners pr conise un mod le de changement en milieu organisationnel l int rieur duquel figurent les pens es les sentiments et les comportements associ s six tapes de changement la perte le doute l inconfort la d couverte la compr hensio
68. t encore par voie intrapulmonaire fum e ou intraveineuse inject e L administration par ces voies est susceptible de provoquer un rush c est dire une euphorie intense s apparentant une sensation orgasmique McKim 2000 mais pouvant avoir des cons quences importantes sur la sant l injection d amph tamine et ses d riv s gagne en popularit en Europe de l Est et dans l Ouest canadien cette pratique pourrait donc ventuellement tre plus fr quente au Qu bec Lebrun amp al 2005 Qu bec certains consommateurs recourent la m thode du parachute Elle consiste grainer le comprim le mettre dans un mouchoir et l avaler l effet est plus rapide mais les risques encourus sont aussi plus lev s Quelques pistes d intervention Le jeune est souvent ambivalent par rapport sa consommation et il n est pas rare que son entourage ex parents amis intervenants enseignants initie une d marche de r adaptation ou d montre une plus grande motivation au changement que lui Bergeron amp Tremblay 2004 Ces pressions ext rieures influencent parfois positivement le cheminement du jeune l est donc important de ne pas essayer d liminer celles ci mais bien de les utiliser comme levier motivationnel aupr s du jeune Bergeron amp Tremblay 2004 Voici quelques pistes d intervention Ne pas tenir compte des mythes et des pr jug s tels que Si le jeune n est pas motiv il n y a rien
69. tion il faut viter d utiliser un ton moralisateur et plut t se coller la vie des jeunes sans quoi le message sera rejet MSSS 2008 p 9 Metaphoriquement les jeunes peuvent concevoir la sexualit comme un man ge dans un parc d attractions Pelletier 2007 ils portent davantage attention au plaisir qu ils peuvent en retirer qu aux dangers auxquels ils s exposent en l essayant En reprenant cette m me image il est possible de sensibiliser le jeune au fait que l on s abandonne davantage au plaisir d un man ge lorsque l on sait que ce dernier est s curitaire Pelletier 2007 29 L ducation a la sexualit devrait entre autres porter sur la sensualit i e plaisir prouv avec les cing sens et la cr ativit B rard 2008 Hautement sollicit s les sens s habituent aux stimuli extr mes et r agissent moins aux stimulations plus subtiles reli es notamment l expression de la sensualit Premo amp Geet thier 1995 dans B rard 2008 qui permettent des relations sexuelles tr s satisfaisantes m me si le condom est utilis Contrairement la recherche du plaisir tout prix par des sensations sexuelles tr s intenses la sensualit propose la d couverte graduelle de la satisfaction sexuelle et offre un plaisir garanti MEO MSSS 2003 p 30 La cr ativit quant elle peut tre encourag e dans la stimulation des cinq sens et des zones rog nes de l ensemble du corps B rard
70. tion de l app tit et une agitation ou un ralentissement psychomoteur Rouillard 2008 La s v rit maximale du sevrage dure de 2 4 jours et une am lioration significative peut s observer apr s 7 10 jours Roulllard 2008 Ecstasy MDMA Noms populaires E XTC Pilule Apparence comprim capsule poudre blanche M thodes de consommation les plus courantes ing r e aval e et pris e sniff e Cat gorie hallucinog ne stimulant perturbateur du syst me nerveux central l ecstasy qui fait aussi partie de la famille des amphetamines Martin 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 a suscit une grande curiosit avec l arriv e des raves et de la musique techno au d but des ann es 2000 CPLT 2006 MSSS 2007 Schneeberger amp Desrosiers 2001 Cette substance procure un effet psychostimulant de moindre intensit que les amph tamines et modifie les perceptions sensorielles surtout tactiles Llorens 2004 MSSS 2007 Elle est appr ci e pour le sentiment de grande confiance en soi qu elle procure et parce qu elle augmente la capacit d introspection et les comportements empathiques i e le go t de communiquer et de se mettre a la place des autres Lebrun et al 2005 Martin 2007 Pennors amp Th rien 2001 Rouillard 2008 16 Sehneeberger amp Desrosiers 2001 Les sensations de proximit interpersonnelle et de sensualit sont amplifi es Garceau B
71. tion pig feuillets f27b pdf MINISTERE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX MSSS 2006 Guide qu b cois de d pistage des infections transmissibles sexuellement et par le sang Consult en juin 2008 sur le site WEB du minist re de la Sant et des Services sociaux http publications msss gouv gc ca acrobat f documentation 2005 05 317 03 padf PELLETIER J 2007 Entre les transformations les frissons les passions et toutes les questions petit guide a l usage des parents pour discuter de sexualit avec leur adolescent Qu bec Minist re de la Sant et des Services sociaux 32 Chat va bien La zooth rapie et les jeunes Par Isabelle Fournier tudiante la ma trise en service social Avec la collaboration de Val rie Gosselin M Ps co directrice et psychologue la Clinique Amis Maux Inc SAVIEZ VOUS QUE Les animaux sont omnipr sents dans la vie des jeunes que ce soit a la maison chez un voisin dans la litt rature les films ou les jeux Beck amp Katcher 2003 On estime que 70 des jeunes se confient r guli rement un animal Serpell 2000 Qui plus est les propri taires d animaux consid rent g n ralement ceux ci comme des membres part enti re de leur famille McNicholas et al 2005 Les bienfaits des animaux sur les jeunes La majorit des tudes d montrent que les contacts avec des animaux procurent des bienfaits physiques et psychologiques importants ch
72. ualit de vie Clinique Amis Maux 2008 Elles s effectuent sur une courte p riode de temps et se d roulent g n ralement en groupe sans n cessairement avoir d objectifs th rapeutiques pr cis atteindre Clinique Amis Maux 2008 Aucune valuation n est donc requise Les AAA incluent la visite animali re ex un intervenant et un animal rendent visite aux jeunes plac s dans une unit de r adaptation l animation animali re ex des ateliers sont offerts l cole sur la pr vention des morsures ou sur les diff rents animaux et le service animalier ex le jeune s occupe des poissons ou de l oiseau accueilli dans son foyer de groupe Institut de zooth rapie du Qu bec 2007 Les intervenants doivent veiller bien pr parer la tenue d une AAA afin de maximiser les chances de succ s changer avec les jeunes sur la fa on adequate d interagir avec les animaux les aider pr parer des questions poser aux zooth rapeutes valuer la pertinence pour chaque jeune de participer aux activit s d terminer qui ne pourra pas en profiter ex allergie importante peur des animaux planifier la s paration du jeune et de l animal si n cessaire Jalongo Astorino amp Bomboy 2004 Parshall 2003 35 L efficacit et les avantages de la zootherapie ll existe tr s peu d tudes portant sur l efficacit de la zooth rapie en contexte sp cifique de protection de la jeunesse Par contre selon la litt rature la zoot
73. ures volontaires l int rieur d un d lai de deux ans 5 de poursuivre pour une p riode d un an les mesures de protection sur une ase volontaire la suite d une ordonnance Objectif 3 S assurer du caract re exceptionnel de l intervention d autorit de l tat dans la vie des familles Modifications l gislatives Regroupement des motifs d intervention en six grandes cat gories i e abandon n gligence mauvais traitements psychologiques abus sexuels abus physiques et troubles de comportement s rieux red finition des motifs d intervention ax s davantage sur les cons quences pour les enfants que sur les comportements des parents ou des enfants eux m mes Pr cisions apport es aux responsabilit s du DPJ et des dispensateurs de services obligation du DPJ d informer et d accompagner les enfants et leurs parents vers d autres ressources du milieu lorsqu ils ont besoin d aide et que le DPJ n intervient pas ou n intervient plus 44 Objectif 4 Concilier la protection des enfants et le respect de la vie priv e Modifications l gislatives Autorisation pour les tablissements de communiquer des renseignements confidentiels au DPJ sur l enfant les parents ou toute autre personne mise en Cause par un signalement lorsque ces renseignements sont en lien avec le motif de compromission et n cessaires pour assurer la protection de l enfant Approbation accord e au DPJ de consulter le dossier de l enfant d un
74. ux intervenants de mieux g rer leur col re Conna tre les tapes de r gulation de la col re Le tableau suivant pr sente six tapes simples qui peuvent faciliter la r gulation de la col re Tableau 1 tapes de r gulation de la col re tape 1 Je m arr te tape 6 Je parle de ma col re si possible ou si n cessaire la personne concern e au moment appropri Tableau tir de Trudeau Le Blanc Le Blanc amp Bernier 2007 Reconna tre la col re Plusieurs indices pr curseurs de la col re sont envoy s par le corps et agissent titre de signaux d alarme indices corporels comportementaux motifs et cognitifs Trudeau Le Blanc et al 2007 Les indices corporels se manifestent entre autres par des tremblements de mains ou de jambes un manque de salive dans la bouche une sudation plus importante ainsi qu une raideur au niveau du cou Certains signes pr curseurs se refl tent davantage dans les comportements ex agitation bousculades coups dans le vide r pliques cris alors que d autres sont plut t d ordre motif ex hostilit irritabilit impatience peur tristesse La pr sence obsessive de sc narios agressifs ex insultes humiliation agression envers une personne ainsi que les perceptions constantes d hostilit de col re et d agressivit de la part d autrui sont quant eux des indices cognitifs de la col re Demeurer alerte et apprendre re
75. viols ou d agressions sexuelles reli s au GHB ont t recens s au Qu bec Jacques 2008 Lebrun et al 2005 l est plus exact de parler DES drogues du viol car beaucoup de drogues ou de m langes de drogues incluant l alcool sont susceptibles de rendre une personne vuln rable MSSS 2007 Toutefois l alcool est la drogue la plus souvent ing r e lors d agressions sexuelles ou de viols l agresseur et sa victime en ayant g n ralement tous les deux consomm Jacques 2008 Lebrun et al 2005 Perreault B gin Michaud amp Denoncourt 2006 Noms populaires K Special K Kit Kat Ket Apparence cristaux poudre blanche liquide vendu dans une fiole M thodes de consommation les plus courantes pris e c sniffee et ingeree aval e Cat gorie anesth sique dissociatif perturbateur du syst me nerveux central La k tamine est une substance l gale dans un contexte de soins commercialis e sous le nom de Ketalar et utilis e par les v t rinaires et les m decins comme anesth siant CPLT 2006 Jacques 2008 Lebrun et al 2005 Martin 2007 Pennors amp Th rien 2001 faible dose la ketamine peut stimuler mais plus forte dose des effets s datifs se font sentir Lebrun et al 2005 Elle provoque une sensation de flottement des hallucinations des r v lations mystiques ainsi que des id es psych d liques Jacques 2008 Martin 2007 Pennors amp Th rien 2001 Les usagers peuvent a
76. voir l impression de sortir de leur corps La consommation de k tamine peut aussi engendrer des conduites agressives des troubles parano des un tat psychotique une anesth sie perte de sensibilit et une paralysie s v re avec pr servation de l tat de conscience appel e K Hole MSSS 2007 La loi de l effet E PIC L effet d une substance sur une personne r sulte d une interaction entre le produit P consomm l individu I et le contexte C dans lequel ce dernier consomme ce que l on nomme la loi de l effet E PIC Martin 2007 MSSS 2007 Pennors amp Therrien 2001 Cette interaction d termine l exp rience globale d une drogue voir le tableau 1 Pennors amp Therrien 2001 18 Tableau 1 Loi de l effet E PIC quantit taille facteurs culturels et ethniques puret 27 accessibilit du produit poids ep fr quence de consommation Ge EE normes lois religion i i a D tol rance au produit RSS 5 i gq milieu familial attentes envers le produit combinaison avec d autres produits a 3 entourage p exp riences pass es a m thode de consommation personnalit ambiance satisfaction li e aux sph res de vie EE moment de la journ e Concernant la m thode de consommation l amph tamine est absorb e plus rapidement lorsqu elle est prise par voie intranasale sniff e et beaucoup plus rapidemen
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