Volume 3 - ctb
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1. Phase 2 gt Ensuite le partenariat entre le promoteur et des institutions nationales et internationales a permis la vulgarisation de ses acquis dans plusieurs localit s et le d marrage de l activit dans ces milieux Les obstacles externes aux actions ont inspir les strat gies d velopp es gt Ainsi en dans la perspective de lutte contre la d forestation le promoteur a propos au Service Allemand de D veloppement l apiculture comme solution qui f t accept e gt Face la satisfaction du charg d affaire de l ambassade des Pays Bas le promoteur obtient un nouveau financement de 24 Millions dans le cadre du Projet PAFI Ce financement a permis La formation et la dotation en ruches 5 personne des chasseurs d abeilles astreints la plantation chaque ann e d un Z hectare de fruitiers manguiers et anacardiers gt La mise en place des coop ratives et union de coop ratives d apiculteurs ainsi que leur suivi permanent par les animateurs du CIAT Phase 3 Transfert des comp tences du CIAT aux coop ratives et Union de coop ratives gt Appui des partenaires aux coop ratives Phase 4 gt Appui des partenaires techniques et financiers gt R organisation de la fili re apicole 5 R sultats obtenus Phase 1 gt Ma trise des techniques apicoles gt Mise au point de mat riels apicoles modernes gt Production de miel de meilleure qualit Phase 2 37 Petit Pro2. e Restitution en pl ni re des r sultats des travaux de groupe expos des r sultats par groupe suivi de discussions des amendements et de synth se avec la mod ration du formateur e Production groupe 1 en rapport avec la question 1 les fonctions n cessaires pour la promotion des fili res agricoles et de ces Cha nes de Valeurs Ajout es CVA fourniture intrants production transformation commercialisation La production a donn lieu des d bats qui ont conduit comprendre que les notions de fili res et CVA ne sont 16 enti rement ma tris es par les participants Un besoin de renforcement de capacit s des acteurs ici en formation est not et il faut peut tre la combler En majorit les participants ne disposent pas de connaissances tendues sur ces concepts Dans l lan l quipe AIMAEP a annonc qu elle envisage des s ances de mise niveau des cadres du MAEP sur les CVA Toutefois le formateur a consenti un effort de clarification sur l approche des CVA en distinguant les fonctions les activit s les acteurs au niveau micro m so et macro L encadr ci dessous r sume l approche Encadre1 l approche CVA sur les trois niveaux i TS Value um ad Perspective sur 3 niveaux V ASX Source GIZ 17 Session sur la pr paration de l tude de cas du CIAT En pr lude la s ance de cas pratiques le directeur du CIAT a t invit animer une s ance sur les activit s du CIAT
3. finalit s conditions de r ussite d marche et outils de capitalisation diagnostic des pratiques de capitalisation et de communication dans les structures et projets l auto valuation de la gestion des connaissances modalit s 6 d application de la d marche et des outils de capitalisation aux fili res agricoles et synth se sur le processus de capitalisation des exp riences l tude de cas capitalisation des exp riences sur le PPP de la fili re apicole avec le CIAT M thodologie identification des exp riences de PPP avec les groupes d acteurs par visite sur site analyse des exp riences de PPP avec les groupes d acteurs le point des travaux de groupe l analyse des exp riences avec les groupes d acteurs la pr paration de la restitution des r sultats des travaux de l tude de cas la restitution des travaux de capitalisation la synth se des r sultats de l tude de cas et r flexion sur le m canisme de formalisation au sein des structures du MAEP pour une capitalisation syst matique des acquis la planification de la suite du processus suite et fin l valuation de l atelier la cl ture de l atelier et d part des participants Apr s un rappel des termes de r f rence de l atelier le pr sent rapport rend compte du d roulement des sessions de formation ainsi que les contenus analyses et synth ses qui les ont meubl es La premi re journ e a t essentiellement consacr e au voyage et l installati
4. le processus transformation des le ons tir es en information utilisable et 11 l utilisation de l information capitalis e les outils s minaires et ateliers publications et articles etc r sultats et les exemples Apr s l expos des tapes il y a eu une s ance d changes et de questions r ponses entre les participants avec la facilitation du formateur Il s est agi de savoir comment v rifier la fiabilit des informations et donn es recueillies Les changes ont permis de noter qu il faut s adresser aux structures autoris es utiliser la triangulation prouver les sources et contenus des informations travers les publications Se m fier des sources mass media comme radio et surtout v rifier les sources et les contenus Sur la question de la liaison entre les services de production des donn es et informations et les services de stockage et de conservation des donn es et son impact sur la fiabilit des donn es quelques recommandations ont t formul es I s agit du renforcement de capacit s des agents qui sont au poste de statistique et la documentation revoir l encrage institutionnel et en ce sens se fixer sur le cadre r glementaire qui pourrait aider r aliser les liaisons la fin de cet atelier de formation Le projet AIMAEP en fin juin 2011 devra faire inaugurer le centre de documentation du MAEP avec communautarisation interne des documents intranet consulter directement depuis les postes te
5. marche et les outils Il a permis de d voiler les besoins de renforcements de capacit s sur les approches de CVA et de fili res agricoles telles que rappel es dans les recommandations Les engagements pris par les responsables du projet AIMAEP pour la satisfaction des points de recommandations formul s par les participants constituent un gage d espoir pour l aboutissement heureux du processus amorc 24 ANNEXES 25 Annexe 1 Contacts des participants l atelier de formation des cadres du MAEP sur la capitalisation des acquis dans la promotion des fili res agricoles Centre CIAT Komigu a 21 26 F vrier 2011 AIMAEP N Nom et pr noms Structure de Contacts provenance 1 BIO Edwige DPLR 97 76 98 99 90945747 2 DESSOUASSI C Eug ne D P ches 97 58 03 52 yahoo fr 3 BANSOU Abdel Kader DRH 97121605 akbansou live fr 4 GOKOU G rard Cossi D P ches 97872817 gokougerard 9 yahoo fr 5 YOUSSOUFOU Marouf DPLR 97132803 90030164 6 LIGAN D sir DAGRI 97197883 7 SOULE Abdou Hamidou DE 97988454 90083073 souleabdou Q9 yahoo fr 8 TCHOBO Aim SAPS DPP 96044019 90034091 aimetchobo1 yahoo fr 9 YAI K gnid DRC CERPA 90036084 97238946 10 HOUSSOU Alexis Gilles P DICAF 96982809 11 HOUESSOU Richard Composante 97197894 2 AIMAEP richard houessou Q btcctb org 12 ASSOGBA MIGUEL Virginie Assistante 95 05 36 00 primabj 9 yahoo fr technique nationale AIMAEP 13 GRIMAUD Honor Eug ne AIMAE
6. ratives subsistantes difficult s persistantes au plan technique manque de souches d abeilles propices l levage Opportunit s perte des colonies par l Europe avec les insecticides et l opportunit de miel bio Menaces 19 Le ons 1 Une d finition claire des cahiers des charges et le partage du financement entre bailleurs producteurs et les prestataires est une condition pour la r ussite de la promotion l apiculture au sein des communaut s 2 Pour la p rennisation des activit s apicoles il faut faire du b n ficiaire du projet un op rateur conomique et non un assist 3 e Prise de parole par les participants et s ances question r ponse Le CIAT collabore ce jour avec 8 coop ratives de taille moyenne de 12 personnes Le CIAT s att le constituer une banque de colonies s lectionn es avec les performances m chancet et production des abeilles Mise en analogie des exp riences du CIAT avec les exp riences dans le secteur cotonnier la fili re laiti re actuellement promue par le PAFILAV Proposition de m thodes pour mieux g rer les coop ratives parrainage pour entrer dans le cercle des coop rants Aussi les participants ont ils voulu savoir si le directeur du CIAT a capitalis et document son exp rience Oui Vid o cahier de l apiculture Mais il avoue n avoir pas de produits de capitalisation outre les rapports des projets e Explication des attentes de
7. un report de la date de tenue du premier tour des lections au del du 06 mars 2011 Par ailleurs il a t sugg r que le groupe de travail propose avec la facilitation des consultants les TDR l endroit de AIMAEP Les deux axes d analyse majeurs qui d termineraient la suite du processus sont reddition de compte aux structures respectives des participants et la prise en compte de la p riode de perturbations due aux lections Apr s une discussion compl mentaire il a t retenu le d marrage au 14 mars 2011 et le cas retenu est ABC TCHAOUROU Il a t sugg r que les consultants finalisent des TDR cette fin Formulation des recommandations ci dessous expos es Evaluation de l atelier de formation Le r sum est ci dessous pr sent Points forts formation th orique doubl e de formation pratique approche d andragogie participative environnement d apprentissage propice pertinence des th mes clart dans l expose les explications maitrise du th me Points faibles courte dur e du cas pratique mat riel de projection d faillant insuffisance du background des participants sur les concepts de CVA et de PPP Suggestions am lioration du dispositif de pr sentation meilleure pr paration logistique et mat rielle partage des sources tendues de documentation sur le concept de capitalisation et formation des participants sur l approche de CVA RECOMMANDATIONS Les recommandations essentielles que le
8. de chaque phase et de comparaison analytique des r sultats obtenus avec les hypoth ses de d part et les processus initi s les objectifs ont volu dans le temps 5 Pour la valorisation il s agit de d finir qu est ce qui sera fait apr s le rapport de capitalisation Comment communiquer les le ons tir es d autres personnes 27 Groupe N 1 ETUDE DE CAS CAPITALISATION DES EXPERIENCES SUR LE PPP DE LA FILIERE APICULTURE AVEC LE CIAT Pr sidente Mme BIO Edvige Rapporteur Mr SOULE Abdou Hamidou Membres YOUSSOUF Marouf LIGAN D sir HOUSSOU Alexis 1 DOCUMENTATION IDENTIFICATION Pr sentation de la situation Processus d identification de l action Objectifs de l action Strat gie de mise en ceuvre R sultats obtenus 1989 Le spectre massif des jeunes ont la d cision de l auto emploi d ann e blanche auquel s est ajout le ch mage amen le promoteur 1989 1994 Face la situation du moment le promoteur avait b n fici des conseils et formation de son professeur d allemand en apiculture d o cette Initiation du projet apiculture L id e d lever les abeilles pour avoir du miel est une id e recue de la documentation et du professeur d Allemand laquelle le promoteur a cru Il a saisi l opportunit qu elle L auto emploi La cr ation d une source de revenu pour satisfaire ses besoins et ambitions Apprentissage de l ac
9. la suite des cas pratiques par le formateur analyse des d terminants des succ s et causes des checs en ayant vue les processus mis en oeuvre e Pr sentation de l agenda de la visite de terrain et arrangements logistiques Quatri me journ e 24 F vrier 2011 Etude de cas capitalisation de l exp rience de promotion de l apiculture par le CIAT documentation et analyse Visite d une coop rative d apiculture Kinnoukpannou 20 EN ONY Visite de la mieillerie par les participants Documentation de l exp rience par les participants S ance d changes avec les membres de la coop rative de Kinnoukpannou 21 Cette session a t l occasion de discuter du cas pratique qui a d but par une visite de site illustr e ci dessus Ensuite les participants ont consacr le reste de la journ e des travaux en groupe pour analyser l exp rience Cinqui me journ e 25 F vrier 2011 Point des travaux analyse des exp riences avec les groupes d acteurs pr paration de la restitution des r sultats des travaux de l tude de cas restitution des travaux de capitalisation synth se des r sultats de l tude de cas et R flexion sur le m canisme de formalisation au sein des structures du MAEP pour une capitalisation syst matique des acquis e Production des travaux de groupe sur l tude de cas voir annexe 3 e Discussion en pl ni re des productions et harmonisation des approches de production des r su
10. partage ou de diffusion ont t pr sent es Il s agit de l accroche c est ce qui frappe et oblige pr ter attention puis de Ja cl de lecture c est ce qui permet de comprendre l accroche et la signature qui permet d identifier l auteur du message port par l accroche et sa cl de lecture e La transformation des le ons tir es en informations peut n cessiter une assistance ext rieure e La session sur la d marche et les outils de la capitalisation s est achev e par une pr sentation du formateur sur les outils qui permettent de faire le choix des exp riences ou th mes capitaliser Il s agit notamment des outils de classement classement hi rarchique simple classement par paire classement par matrice de crit res La pratique et le mode d emploi de ces outils ont t test s avec l exemple de 4 fili res agricoles savoir le coton anacarde palmier huile et mais Session sur le diagnostic des pratiques de capitalisation et de communication dans les structures et projets ou l auto valuation de la gestion des connaissances e Le formateur a fait un point d honneur l auto valuation de la gestion des connaissances travers la question du diagnostic des pratiques de capitalisation et de communication dans les structures et projets Les 14 axes d appr ciation de ce diagnostic sont les modalit s de circulation de l information dans l organisation la dynamique des changes la concertation l inno
11. rer et de r duire l interm diaires des services allemands il a donc cr en 1994 le Centre de Formation et de Perfectionnement en Apiculture CEFPA devenu plus tard CIAT qui allie apiculture et cotourisme l activit de formation devenant moins rentable Premi re exp rience de partenariat avec la SNV travers le PPDD petits projets de d veloppement durable de 9 millions pour former les chasseurs de miel dans la for t de Wari maro o le d boisement tait inqui tant Les premiers r sultats satisfaisants ont conduit un projet plus grand de 24 millions et plus tard le PAFI Projet d apiculture fruiti re int gr finance hauteur de 185 millions et un compl ment de 45 millions CFA La n cessit de constituer un p turage pour les abeilles a conduit inciter les 18 producteurs planter chacun 2 ha de plantations d anacardier pour la majorit De cette tape et d s lors que la production apicole s accroit il a fallu d velopper le volet de collecte et de mise en march collectif du miel car en deux ans de PAFI on a collect 35000 tonnes de miel par 750 personnes dont 200 femmes organis es en 14 coop ratives Les objectifs ont t d pass s mais au m pris des proc dures car pour la fabrication des ruches l expertise des menuisiers n existait pas et donc il n y avait pas la possibilit d avoir les proforma A la suite de l valuation du projet un projet formul pour un montant de 1 5 milliards at
12. Cr ation de l Union des coop ratives 714 apiculteurs form s Production de 35 000 litres de miel Vente de 22 000 litres de miel au SIAGRO Burkina Disparition des coop ratives 2006 2011 Appui du PFSE Projet de Fourniture et de Service d Energie aux Apiculteurs Financement des activit s des apiculteurs par le PFSE Faible productivit des colonnies d abeille Apiculteurs form s et quip s 4 mielleries construites et quip es 4 coop ratives Obtention de prix d excellence de la banque mondiale par certaines coop ratives 31 3 PRINCIPALES LECONS A TIRER Production Transformation Commercialisation Avoir des Apiculteurs motiv s Choisir les apiculteurs selon des crit res pr cis savoir tre chasseur d abeille ou producteur de miel et accepter payer sa part sociale et droits d adh sion la coop rative Disposer d une exploitation fruiti re ou foresti re Organiser les apiculteurs en coop rative Former les apiculteurs sur les techniques de r colte du miel Aider quiper les apiculteurs en leur donnant des ruches des fumoirs la tenue appropri e etc Eviter la d sertion des abeilles Eviter les feux de brousse pour une augmentation de la production du miel Visiter et suivre r guli rement les colonies d abeilles dans les ruches Tuer les pr dateurs fourmis surtout les Acqu rir du savoir faire dans l utilisati
13. P 90029637 97233141 grimhonon2 yahoo fr 14 HOUENOU Boris Consultant Golf 97096117 borisenagnon yahoo fr Expertises 15 SEWADE Patrice Consultant Golf 97723700 patsewade 9 yahoo fr Expertises 16 TOKANNOU Ren Consultant Golf 95287350 rtokannou Q yahoo fr Expertises 26 Annexe 2 Productions des groupes de travail sur l tude de cas de la capitalisation de l exp rience de promotion de l apiculture par le CIAT Quelques observations de l quipe de consultants sur les productions des participants Production du groupe 1 Points forts 1 Essai de phasage de l histoire r cit de l exp rience de promotion de l apiculture 2 Essai d analyse phase par phase mais d marche inappropri e et non syst matique 3 Essai de formulation de le ons en rapport avec les aspects sp cifiques du r cit Points faibles 1 Pr sentation du rapport uniquement sous forme de tableau pr sentation peu narrative 2 Double phasage documentation en fonction du temps d une part et analyse en rapport avec les fonctions au sein d une fili re agricole ne facilite pas la coh rence des analyses et formulations de le ons 3 Formulation souvent incompl te des legons tir es Exemple Organiser les transformateurs en coop rative On pourrait se demander pourquoi il faut le faire qu est ce que cela permet de gagner ou d viter 4 Effort insuffisant d identification des objectifs
14. R publique du B nin MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE MAEP PROJET D APPUI INSTITUTIONNEL AU MINISTERE DE L AGRICULTURE DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE AIMAEP ETUDE SUR LA CAPITALISATION DES EXPERIENCES DE PROMOTION DES FILIERES AGRICOLES AU BENIN SOMMAIRE 1 INTRODUCTION eanmnrtenthan dream nine IRE UOS pis 3 2 CONTEXTE ET JUSTIFICATION eris so in E rn ERI EERRA YAN ETRAS SEE EU Ee Ay S 3 3 OBJECTIFS DE LA FORMATION sis no ttis eo Pra Sh PS ESSET PENIS AES TUNER PERSA FUE S NUS ALPE ANE US 5 3 1 Objectif SOA beendet enti eai cia vit fd Ca d fte uou 5 32 Ob j tifs SP CIMENS NIU O nn 5 RESULTATS ATTENDUS amant annee 5 5 DORE DE LA FORMATION reisien ieinter un dis 6 6 LIEU DE LAEFORMJATION esrise oe pu Ra RbS CERRO SEEN AEN SSRSS ensi PERI RO RAM eitek 6 T PRODUITS A FEIENDUS ennemie emen E OI UII NU faerit ehas 6 8 SYNTH SE DES SESSIONS DE FORMATION eeeeenetetentnt ttn tnter nnne 6 9 R COMMANDATIONS ss oeistepin pUEeISR E REIR NM QAM X EN EXON SM ES CARE IS 23 10 CONCLUSION nement nettes sin cue na ie abr aries 24 ANNEXES miam i OI EP montent rotin nude 25 Annexe 1 Liste et contacts des participants au Centre CIAT Komigu a see 26 Annexe 2 Productions des groupes de avale RE d iugis A RE nn ass 27 1 INTRODUCTION Dans le cadre de son appui institutionnel au MAEP le projet de la CTB d volu cette mission appel AIMAEP a initi une tude sur
15. T 1 Pr sentation de la situation initiale 1972 1989 le pays a opt pour un r gime r volutionnaire bas sur le Marxisme L ninisme De 1972 1986 il tait caract ris par le recrutement syst matique la fonction publique des cadres sortis des universit s et coles professionnelles A partir de 1986 il y a eu le gel des recrutements li la crise conomique La persistance de la crise en 1989 a entra n le non paiement des salaires aux fonctionnaires et l ann e blanche sur le plan scolaire Le d sespoir cr par cet tat de choses a provoqu la d scolarisation des plus jeunes oblig s d entreprendre leurs propres activit s 2 Processus d identification Dans le contexte ci dessus d crit Mr Sariki GNANTANMOU a commenc en 1989 les activit s apicoles au si ge actuel de l H tel Triangle avec 4 ruches 3 Objectifs de l action Changements concrets attendus de l action Au d marrage de ses exp riences en apiculture le promoteur tait la recherche des voies et moyens de subsistance vu l impossibilit d insertion dans la fonction publique Il visait donc l am lioration de ses conditions de vie par des initiatives personnelles dont l apiculture 4 Strat gie de mise en ceuvre gt Elle a vari en fonction des phases de l exp rience Phase 1 Dansun premier temps elle a consist l exp rimentation la maitrise des techniques apicoles par le promoteur 36
16. Y Solliciter le service d un communicateur comp tent 5 PERENNISATION DES ACQUIS Cr erun label en suivant toutes les tapes allant de la tra abilit la certification et autres Rendre les b n ficiaires plus professionnels par leur participation au cofinancement des activit s Doter l activit apicole d un compte d exploitation tous les niveaux Mettre un accent sur le suivi appui des membres des coop ratives 34 Production du groupe 2 Points forts 1 Essai de reconstitution avec des compl ments d information de diverses sources permettant une meilleure compr hension 2 D coupage du r cit en phase pour en faciliter l analyse et la formulation de legons 3 Effort d analyse pour faire ressortir les d terminants des succ s et les causes des checs mais non exploit pour la formulation des le ons Points faibles 1 La pr sentation du document rev t un style trop t l graphique 2 Non exploitation des possibilit de contact t l phonique avec les acteurs pour compl ter les informations manquantes 3 Analyse insuffisante de chaque phase en rapport avec son ou ses objectif s 4 Analyse insuffisante de toute l exp rience lecons tirer de la vente group e du miel par exemple 5 inclusion des l ments d analyse dans les r sultats 6 Formulation des le ons de fa on trop g n rale Etc 35 DRAFT DE LA CAPITALISATION DE L APICULTURE AU CIA
17. ces partenariats dans le cadre dela promotion de la fili re apicole Cette s ance introductive s inscrit dans la premi re phase de la d marche de capitalisation enclencher la documentation sur les exp riences pass es ou en cours dans ce centre pour la promotion apicole Pr sentation du directeur du CIAT monsieur YANTANON Sarki par ailleurs directeur de la soci t es triangles une triade de 3 activit s qui s imbriquent d abord l apiculture dont le d veloppement a donn lieu la menuiserie qui au d part devrait fabriquer les ruchers et plus tard la restauration Encadr 3 L histoire de la promotion de l apiculture par le CIAT L id e de la cr ation du CIAT est n e en 1989 ann e o le promoteur a connu une ann e scolaire blanche Et voyant le risque de ch mage pendant avec le concours de son ma tre de la langue allemande un allemand il a initi l activit d apiculture Le miel produit est servi au petit d jeuner dans le petit restaurant qui est n e sur les lieux Au d tour d un petit d jeuner et en face de la relation entre la profondeur croissante de la nappe phr atique dans la commune de S gbana et le d boisement le promoteur a avanc l id e d aider les riverains des forets trouver une nouvelle activit toute trouv e l apiculture Ainsi a commenc le premier cas de formation des paysans l apiculture avec l appui financier du Service Allemand de D veloppement DED Dans le souci de se lib
18. e processus de la capitalisation 4 appr hender les contours de la restitution et maitriser le contenu des th mes afin que la restitution soit parfaite 5 avoir une meilleure compr hension et ma trise des outils et d marches de capitalisation des exp riences et acquis 6 comment appr cier ce qui existe valuer ce qui est faire par rapport la pr vision e La v rification de la prise en compte des attentes des participants par le contenu du programme et harmonisation Cette session introductive a t sui de celle relative la d finition des concepts Session D finition des concepts Recueil des d finitions sur la base du background des participants par brainstorming sur cartes m taplan Pour les participants la capitalisation est 1 l action de capitaliser 2 faire la synth se des exp riences acquises 3 la conservation des acquis d un processus 4 un processus continu 5 une accumulation de connaissances utiles dans un domaine donn 6 documenter 7 des exp riences non document es 8 faire l tat des lieux en vue d une utilisation future 9 enregistrement des donn es d une fili re du d but la fin 10 l archivage des donn es pour leur utilisation Clarification des propositions des participants et analyse de ce qui est vrai et bien dit et ce qui ne l est pas en rapport avec la s mantique du concept de capitalisation Synth se des approches de d finition propos es par les part
19. e que le Projet AIMAEP de concert avec la DPP du MAEP s est propos d appuyer des cadres centraux du minist re pour la r alisation d une tude en mati re de capitalisation d une exp rience r ussie bonne pratique dans la promotion des fili res agricoles au B nin Au cours de l ann e 2010 et 2011 le th me de capitalisation choisi porte sur l exp rience de partenariat public priv dans le secteur agricole Dans le cadre de la r alisation de ces travaux de capitalisation l tape de l tat des lieux vient de s achever et c est celle de la formation des cadres qui va suivre avec une tude de cas pratique sur un partenariat public priv r ussi dans la 4 promotion des fili res agricoles Une fois form s ces cadres seront accompagn s par le consultant pour r aliser une tude de cas durant trois quatre semaines Le rapport de leurs travaux sera finalis par le consultant et diffus apr s un atelier de validation 3 OBJECTIFS DE LA FORMATION 3 1 Objectif global L objectif global de la formation est de renforcer les capacit s techniques des cadres du MAEP en mati re de capitalisation 3 2 Objectifs sp cifiques Former une douzaine de cadres du MAEP sur le processus de capitalisation concepts approches d marche tape outils Appliquer les acquis de la formation dans le cadre d une tude de cas sur le partenariat public priv dans le secteur agricole 4 R SULTATS ATTENDUS A l issue de cette forma
20. entre coop ratives d apiculteurs et CIAT gt Relance de la production de miel L augmentation de la production de miel d ann e en ann e l existence de march malgr le prix pratiqu nettement sup rieur celui du miel r colt traditionnellement prouvaient l atteinte certaine des changements attendus par le promoteur La valorisation du miel par le promoteur lui m me a favoris la cr ation d une valeur ajout e au produit qui a d termin la r ussite dans l activit Les diff rents financements obtenus le savoir faire du promoteur son dispositif de suivi les renforcements de capacit s et l organisation des apiculteurs en coop ratives constituent les l ments d terminants des succ s enregistr s L augmentation de la productivit des plans d anacarde la r duction de la p nibilit des activit s g n ratrices de revenus des femmes l am lioration des revenus des agro apiculteurs l augmentation du prix d achat du miel l existence du CIAT comme centrale d achat la diversification des activit s agricoles la r alisation d infrastructures communautaires reconnus par les communaut s renforcent les succ s obtenus Le retrait du CIAT sans le transfert des comp tences aux coop ratives et unions de coop ratives taient l origine des checs connus Il en est de m me que l absence d approche l absence de manuels de proc dure la non implication de toutes les parties prenantes notamment les bailleurs de f
21. es outils de capitalisation aux fili res agricoles e Synth se des sessions th oriques de la formation e Expos des consignes TDR de conduite des travaux de groupe et discussions en pl ni re sur les sp cificit s de la capitalisation des 15 exp riences de promotion des fili res agricoles ax e sur le partenariat public priv e Organisation des participants en deux groupes de 5 membres chacun pour conduire les travaux en groupe pendant 45 minutes e Tous les groupes traitent le point 1 des TDR et la r partition est faite comme suit dans l encadre ci dessous Encadre 2 TDR des travaux de groupe Groupe 1 1 Rappelez les diff rentes fonctions n cessaires pour la promotion ad quate d une fili re agricole et ses chaines de valeurs 2 Sur la base de vos connaissances actuelles de la d marche de capitalisation pr sentez les aspects les plus pertinents de la promotion d une fili re agricole qui peuvent faire l objet d une capitalisation 3 Pr sentez les sp cificit s prendre en compte dans un processus de capitalisation d une exp rience de promotion d une fili re agricole Groupe 2 1 Rappelez les diff rentes fonctions n cessaires pour la promotion ad quate d une fili re agricole et ses chaines de valeurs 2 Quels sont les aspects les plus pertinents consid rer dans la capitalisation d une exp rience de promotion de fili re agricole ax e sur le partenariat public priv et pourquoi
22. icipants Remarque sur le fait que la plupart des propositions se rapportent la premi re tape de la capitalisation D finition essentiel retenir transformation des connaissances en savoirs changeables Pour ce faire on a recours la plupart des propositions des participants Mais on aussi besoin d aller au del des propositions pour faire des analyses et tirer des le ons pour soi m me ou faire conna tre d autres Discussion autour des termes connaissances savoirs changeables savoirs partageables Les nuances autour de ces termes ont t clarifi es entre les participants avec la facilitation du consultant Discussion entre les participants sur les concepts de bonne pratique agricole BPA de capitalisation et m mes de tragabilit Deux exemples de ces cas de BPA et de tra abilit ont t voqu es par un participant exp rience de gestion de la tragabilit de l ananas 9 b ninois et exp rience de gestion de la qualit des crevettes b ninoises sur le march europ en e Mise en exergue de l utilit d un sch ma qui retrace le processus de conduite de la capitalisation Ici le souhait a t mis d laborer un m canisme qui engage la formalisation d un m canisme entre les diff rentes structures du MAEP de sorte faire naitre une culture de capitalisation et un syst me des gestion des connaissances dans les structures travers des points focaux de chacune des structures ici pr
23. icole et la promotion des fili res agricoles en particulier Mais ces expertises rel vent davantage de ses cadres et agents pris 3 individuellement plut t que d une m moire institutionnelle capable de perp tuer ces acquis ind pendamment du turn over ou d part la retraite de ses cadres exp riment s et comp tents A ce sujet les r centes tudes institutionnelles et organisationnelles sur le MAEP montrent que les informations disponibles ne sont pas suffisamment exploit es L absence d une culture de capitalisation et de valorisation d exp rience devient une pr occupation majeure pour la sauvegarde de la m moire institutionnelle du MAEP Ce constat devient encore plus pr occupant quand on sait qu environ 75 des cadres sup rieurs et agents de maitrise du Minist re seront la retraite dans trois ans sans qu aucune strat gie de rel ve ne soit d finie et mise en oeuvre L adoption d un syst me de capitalisation d exp rience dans une logique d organisation apprenante apparait donc comme une priorit du MAEP dans le cadre de l am lioration de la mise en oeuvre de son programme d administration et de gestion du secteur agricole Il s av re indispensable de mettre en place un syst me de conservation de transmission et d organisation structur e de comp tences et acquis existant tout en anticipant sur les besoins en comp tences nouvelles C est pour accompagner le MAEP solutionner judicieusement cette contraint
24. isition des terres et mise en place de plantations d anacardes par les apicultrices am lioration des revenus des apiculteurs Les parties surlign es sont des ajouts des consultants 29 2 ANALYSE Phases Potentialit s Obstacles Succ s Echecs 1989 spectre d ann e blanche ch mage massif des jeunes auto emploi Audace d une option d auto emploi Esprit novateur Initiation du projet d apiculture 1989 1994 conseils et formation du professeur d allemand en apiculture Initiation du projet Existence de personnes ressource formateur Conseil du professeur d Allemand pour un projet d apiculture Cr ation CEFPA Centre de formation pour la promotion de l apiculture de l entreprise les apiculture Triangles Financement du projet par des bailleurs GTZ 1994 1999 Financement du projet cr ation de 14 D marrage CEFPA et LES TRIANGLES par des bailleurs GTZ travers PPDD Petits Projet de D veloppement Durable Coop ratives de 12 apiculteurs chacune 4 mielleries bien quip es et fonctionnelles 30 Analyse 45 apiculteurs form s 1999 2005 Projet PAFI Financement du projet par la GTZ Existence d exploitations Absence d une tude de march pour l coulement du miel produit Non professionnalisation des acteurs de la filiere apicole Mauvais transfert de comp tences aux acteurs
25. jet de D veloppement Durable gt Obtention d un financement de 9 Millions du Service Allemand de D veloppement Formation et quipement de 45 personnes Wari Maro cet quipement est constitu de 10 ruches modernes par personne Mise au point de mat riels apicoles traditionnels am lior s gt Production de Litres de miel Projet PAFI Obtention de 24 Millions de l Ambassade des Pays Bas Formation et dotation en ruches 5 personne des chasseurs d abeilles Application par les apiculteurs form s des techniques am lior es de production de miel Plantation de hectares de fruitiers Augmentation de la production de miel de meilleure qualit 4000L 1999 35000L 2000 Augmentation de la productivit des plants d anacarde Mise en place de 14 Coop ratives de service 715apiculteurs Unions de coop ratives Phase 3 Obtention de 45 millions de l Ambassade des Pays Bas Autonomie de gestion des coop ratives et union de coop ratives Retrait du CIAT dans le suivi et la gestion des coop ratives d apiculteurs Mauvaise gestion des fonds allou s aux coop ratives et Unions de Coop ratives Baisse de la production de miel au sein des coop ratives crises dislocation Phase 4 gt Obtention d un financement de du Projet de Fourniture des Services d Energie PFSE 38 gt Contractualisation des liens
26. la capitalisation des exp riences et acquis de la promotion des fili res agricoles Dans le processus de mise en ceuvre de cette tude une session de formation sur les concepts la d marche et outils de la capitalisation a t envisag e au profit des cadres du MAEP Cette formation s est d roul e au Centre Int gr d Apiculture Tropicale CIAT dans le village Komigu a 12 Km de Parakou sous la supervision du Secr taire G n ral du MAEP Coordonnateur du Projet AIMAEP Apr s un rappel des termes de r f rence TDR de cette formation contexte et justification objectifs r sultats attendus dur e lieu et produits attendus le pr sent rapport rend compte des activit s d velopp es et fait la synth se des principaux r sultats obtenus 2 CONTEXTE ET JUSTIFICATION Le Projet d Appui Institutionnel au MAEP AIMAEP vise renforcer les capacit s organisationnelles administratives et techniques du Minist re de l Agriculture de l Elevage et de la P che MAEP afin qu il puisse jouer son r le de facilitation et de r gulation en mati re de promotion des fili res agricoles Ce projet s inscrit dans le cadre du programme d appui au secteur agricole conclu entre la Belgique et le B nin et vient renforcer les interventions actuelles et futures en mati re d appui la diversification et la promotion des fili res agricoles Le MAEP a acquis une masse d exp riences et d expertises importantes dans le secteur agr
27. ltats des contenus des productions et corrections des aspects moins fournis avec la facilitation du formateur e Discussions entre les participants l quipe AIMAEP et l quipe de consultants sur la poursuite du processus l am nagement des modalit s de l exercice sur un cas pratique de promotion de fili re agricole par PPP Le consensus a t obtenu sur la conduite de la capitalisation d un cas de PPP pendant 3 4 semaines avec le comit pilote du MAEP Il s agit du cas de AFONKANTAN BENIN CASHEW de Tchaourou L quipe AIMAEP devra prendre toutes les dispositions mat rielles logistiques et administratives pour permettre la r alisation de ce cas pratique Sixi me journ e 26 F vrier 2011 Planification de la suite du processus suite et fin Evaluation de l atelier cl ture de l atelier et d part des participants e Les discussions au sujet de la planification de la suite du processus ont permis de retenir dans un premier temps les points suivants d marrage partir du 07 mars lieu ABC TCHAOUROU Contacter le R CPA de Tchaourou pour faciliter les d marches sur place Tchaourou mise en place d une quipe de facilitation avec AIMAEP compos e de TCHOBO Aim et de BANSOU Kader Ces propositions ont t amend es et compl t es par l quipe AIMAEP qui sugg re de prendre en compte les 22 9 derni res volutions sur la situation politique notamment celle lectorale au Benin o il pourrait tre envisag
28. on de la cire propolis et du pr paration du savon de la pollen dans la bougie des pommades et des produits th rapeutiques Former les transformateurs sur les techniques d utilisation du miel et de ses d riv s Organiser les transformateurs en coop rative Respecter les clauses de contrats avec les partenaires pour garantir des march s Former les commer ants sur les techniques de pr sentation du miel et de ses d riv s Organiser les commer ants en coop rative 32 Principales le ons tirer margouillats pour viter le d part des abeilles Chasser les colonies d abeilles improductives au bout de deux ans Organiser des visites d changes entre apiculteurs R colter et collecter le miel suivant les r gles d hygi ne sanitaire Livrer le miel au centre de collecte ou la miellerie Produire le miel selon les cat gories de consommateurs Deux types de miel sont produits miel clair et pais puis miel peu clair et plus liquide Respecter les clauses de contrats avec les partenaires Produire du miel de qualit en respectant les normes teneur en eau 15 1896 par exemple et la phe de maturation Faire analyser le miel par des laboratoires agr s Installer tendre et diversifier les exploitations fruiti res 4 VALORISATION 33 Y Documenter les diff rentes phases de cette exp rience pour une meilleure Valorisation capitalisation de la fili re apicole
29. on des participants et du dispositif de formation La deuxi me journ e a t meubl e par la session introductive et les sessions relatives la d finition des concepts des principes finalit s conditions de r ussite de la capitalisation Elle s est achev e par l introduction de la session relative la d marche et aux outils de la capitalisation La session introductive a d marr par les interventions des Responsables du projet AIMAEP pr sents l atelier GRIMAUD Honor ASSOGBA MIGUEL Virginie et HOUESSOU Richard e Situation du contexte de l atelier de formation e Exposition des conditions mat rielles et les arrangements logistiques pour les participants e Exhortation la convivialit et mise en relief de l importance de cette activit pour l institutionnalisation de la pratique de capitalisation dans le MAEP Cette session introductive s est poursuivi par e Des propositions d amendements au programme par quelques participants e La pr sentation des participants et de l quipe de consultants e Le recueil des attentes des participants par brainstorming et la r alisation des nuages d attentes Ces attentes entre autres sont 1 Maitriser les techniques de capitalisation dans les domaines de l organisation paysanne 2 comprendre et maitriser la d marche et le processus de capitalisation des acquis du secteur apicole et en particulier sur les activit s du sous secteur levage 3 bien comprendre l
30. onds l encadrement la recherche l inexistence de textes r glementant l activit l inexistence d ouvriers sp cialis s dans la confection des mat riels techniques apicoles La m connaissance des performances des colonies d abeilles et l insuffisance des colonies d abeilles l attaque des abeilles par les pr dateurs justifient les checs connus La d finition d un cadre de partenariat public priv le d veloppement d une approche fili re favoriseraient l atteinte de meilleurs r sultats La pr servation et la protection de l environnement l am lioration des revenus le syst me de production int gr e la r duction de la p nibilit du travail des femmes justifient l utilisation des ressources engag es Les changements obtenus ne sont pas durables 6 Formulation des principales lecons L approche fili re bas e sur le partenariat entreprise producteur a permis d am liorer les performances de production et de sauvegarder les ressources naturelles Cette approche 39 n est pas durable car toutes les fonctions li es la promotion d une fili re ne sont assur es Il faut renforcer le syst me actuel par le partenariat public priv 7 P rennisation des acquis Renforcement de l approche fili re bas e sur le partenariat public priv 8 Conclusions et recommandations Encourager les actions du CIAT qui contribuent la diversification agricole la r duction de la pauvret et la protection de l en
31. rminaux des agents Ceci entre dans le cadre dans le nouveau syst me de suivi valuation La troisi me journ e 23 f vrier 2011 a t meubl e par le rappel et les changes de clarification la poursuite des pr sentations sur la d marche et les outils de capitalisation le diagnostic des pratiques de capitalisation et de communication dans les structures et projets l auto valuation de la gestion des connaissances les modalit s d application de la d marche et des outils 12 de capitalisation aux fili res agricoles et la pr paration de l tude de cas du CIAT Rappel des notions ant rieures et fixation des points cl s retenir sous forme de session question r ponses La d marche de capitalisation suite Recueil par brainstorming des outils de collecte de donn es au niveau de l tape de l identification documentation guide d entretien Fixation des outils avec la facilitation du formateur Ainsi les outils tels que le revue documentaire les enqu tes l observation les entretiens la photographie cartographie ont t expos es expliqu es discut es entre les participants Les modes d emploi les limites et les compl mentarit s de ces outils ont t abord es Les formes d analyse analyse qualitative et analyse quantitative ont t discut es suivant leurs principes limites avec identification des outils utiles Le principe de la compl mentarit de ces outils a t stipul comme as
32. s participants ont formul se rapportent La n cessit d un renforcement de capacit s des participants sur les approches de fili res agricoles et de chaines de valeurs ajout es les concepts de partenariat public priv les outils et m thodes de 23 planification de suivi valuation et l analyse statistique des informations e La mise disposition des participants les supports lectroniques labor s dans le cadre de cet atelier de formation e La n cessit pour le MAEP d apporter son appui la promotion de l apiculture afin de garantir son encadrement son d veloppement et sa durabilit 10 CONCLUSION L atelier de formation des cadres de MAEP sur la capitalisation durant cinq jours de travail a permis de conduire une session th orique et une session pratique sur le concept son application sa d marche les outils de conduite ses produits et leur valorisation Le cas pratique sur la promotion de l apiculture par le CIAT a permis de conduire une application pratique de la d marche et de faire des essais de formulation de le ons partir du r cit et des interviews r alis es Ce qui n est qu un avant go t pour l acquisition de l expertise dont les participants auront besoin pour la mise en oeuvre de la d marche au quotidien dans leurs diff rents services De l avis g n ral des participants cet atelier a tenu son pari quant la connaissance de la capitalisation travers le concept la d
33. sentes Session sur les Principes les Finalit s et les Conditions de r ussite de la capitalisation e Recueil des vues et r flexions spontan es des participants avec la facilitation du consultant sur les principes de la capitalisation e Intervention du consultant pour pr ciser quelques principes cl s de la capitalisation savoir a participation la n cessit de situer les exp riences dans leur contexte et l ignorance optimale e Le m me exercice a t fait par rapport aux finalit s de la capitalisation et par rapport aux conditions de r ussite Pour les participants les finalit s de la capitalisation sont Constitution d une m moire institutionnelle p rennisation des acquis n cessit de partage des savoirs changeables et mettre la disposition des usagers une masse d informations e Mise au point des grandes finalit s par le facilitateur avec un renvoi fr quent au document de formation e Pour les conditions de r ussite de la capitalisation apr s les discussions sur les propositions des participants le consultant les a num r es comme suit encrage institutionnel ouverture d esprit 10 disponibilit s temporelles mat rielles et logistiques et capacit des participants ce niveau et notamment en ce qui concerne l ouverture d esprit le formateur a mis en relief que la premi re condition de r ussite de la capitalisation est l homme et dont la volont de partage est d terminante pour r u
34. ssir la capitalisation Session 4 sur la d marche et les outils de la capitalisation Rappel sommaire des trois tapes du processus identification documentation analyse et valorisation partage Exposition de l tape de l identification documentation d une exp rience travers ce en quoi cela consiste la description du processus les outils revue documentaire cartographies discussions interviews individuelles ou collectives structur es ou non les r sultats base de donn es rapport narratif etc et les exemples Exposition de la deuxi me tape savoir l analyse Celle ci a t d roul e travers la d finition mise en exergue des liens de causalit entre les r sultats et les processus qui y ont contribu et d duction d enseignements le processus phasage des exp riences appr cier les choix op r s en rapport avec le contexte de l exp rience pertinence efficience durabilit etc valuer les r sultats et tirer les le ons les outils SEPO les r sultats enseignements le ons tir s et les exemples Cette analyse a t tay e par l exemple du Projet d Urgence d Appui la S curit Alimentaire PUASA dans la promotion de la fili re rizicole pour combattre la crise alimentaire de septembre 2008 Exposition de la troisi me phase savoir la valorisation Les tapes de d finitions transformation de la connaissance d un individu ou groupe d individus en information pour d autres individus
35. tend de d marrer Par ailleurs le CIAT a d velopp avec d autres projets et structures des PPP On peut citer entre autres les PPP avec le ProCGRN PAMF PGFTR PAE etc L une des r centes collaborations qui a donn lieu des formations et la cr ation de coop ratives est celle du CIAT avec le PFSE Projet de fourniture des services d nergie Exp rience avec le PFSE dans les communes de DASSA SAVE et TCHAOUROU appui aux riverains des forets et vivant avec les sous produits du bois Formation des riverains production individuelle et non en coop rative collecte et vente au CIAT suivi des producteurs apr s projet par les agents du CIAT Quelques coop ratives issues de l action avec le PFSE subsistent encore Avec elles le CIAT a initi un PPP Mise en contrat avec les coop ratives cr dit pour construction de ruchers et pay es par annuit s en nature Mais depuis il faut avouer que les clauses de contrats ne sont pas respect s et ainsi de moins en moins de contrats quoique les r flexions sont en cours pour envisager des formes de contrats avec une implication des CLCAM Encadr 4 Sommaire des succ s checs lecons tir es Opportunit s et valorisation de l histoire de la promotion de l apiculture par le CIAT Succ s des femmes propri taires de terres et de plantations 14 mieilleries construites un r seau de collecte et de vente de miel Echecs disparition des coop ratives mauvaise gestion des coop
36. tion Les concepts m thodes et outils de capitalisation applicables au secteur agricole sont ma tris s par les participants Une tude de cas sur une forme de partenariat public priv dans le secteur agricole est effectu e La capitalisation des exp riences de promotion des fili res agricoles dont entre autres une exp rience r ussie de Partenariat Public Priv est ma tris e par les participants 5 DUR E DE LA FORMATION e 5 jours de session de formations th orique et pratique e 3 4 semaines d tude de cas d une exp rience de PPP dans le secteur agricole 6 LIEU e Parakou au CIAT Komigu a site de formations th orique et pratique e Sites tude de cas 7 PRODUITS ATTENDUS Les produits attendus de l atelier de formation sont e Le rapport de l atelier incluant les r sultats de l tude de cas sur PPP e Un support de formation sur la capitalisation d exp riences modules de formation e Un rapport d tude de cas sur une exp rience r ussie de PPP dans le secteur agricole 8 SYNTH SE DES SESSIONS DE FORMATION Cette partie du rapport r sume toutes les sessions qui ont meubl la formation avec la mise en relief de leurs contenus respectifs des changes et discussions entre les participants et la synth se de l essentiel retenu l issue des discussions De fa on successive les sessions de formation ont abord les points suivants d finition des concepts principes
37. tivit et essai de production apr s formation 1994 Cr ation CEFPA Centre de formation pour la promotion de l apiculture de l entreprise les Triangles puis du CIAT Cr dit PPDD de 9 millions donn par l ambassade de l Allemagne pour la formation et l quipement de 45 Apiculteurs 1999 2005 PAFI cr ation de 14 Coop ratives de 12 apiculteurs chacune 4 mi leries bien quip es et fonctionnelles Cr ation de l Union des coop ratives 714 apiculteurs form s En 2000 production de 35 000 litres de miel vente de 22 000 litres de miel 28 Identification offre face au ch mage ambiant et s est engag son exp rimentation Cr dit PPDD de 24 millions donn par l ambassade de l Allemagne pour la formation et l quipement d Apiculteurs dans les communes de Banikora Sinend et Tchaourou par le PAFI en 1999 En 2006 D marrage de l appui du PFSE Projet de Fourniture et de Service d Energie raison de 2300 FCFA le litre au SIAGRO Burkina checs des coop rateurs avec le transfert de comp tences disparition des coop ratives avec le transfert de comp tences En 2006 Appui du PFSE Projet de Fourniture et de Service d Energie Formation et quipement des apiculteurs Construction et quipement de miellerie cr ation de coop ratives Obtention de prix d excellence de la banque mondiale par certaines coop ratives Acqu
38. tuce pour un quilibre dans la conduite de la documentation En cela les contraintes de temps et de ressources ont t not es comme limites au choix d un outil ou une forme d analyse pour conduire la phase de documentation L tape de l analyse a t abord e Le formateur exemples et explications l appui a pass le processus de conduite de la phase de l analyse Il s agit d un processus qui consiste raconter et rep rer les tournants d cisifs changement de m thodes ou d acteurs cl s p riodes intenses d activit s ou abandon d activit s d finir les phases de l exp rience qui sont les p riodes entre deux tournants d cisifs successifs analyser chaque phase s par ment analyse des objectifs des hypoth ses des m thodes et outils des lacunes des acteurs de la participation des succ s et des checs analyser globalement le r cit 13 comparaison des phases causes et cons quences des changements examen des tendances et tirer les le ons ce qu il est conseill de faire et comment le faire donc le mode d emploi ce qu il faut viter e Avant de passer la troisi me tape celle de la valorisation le formateur a expos l outil SEPO e La troisi me ou derni re tape de la d marche de capitalisation est la valorisation partage et la diffusion Le formateur a indiqu que cette tape peut tre une affaire sp cifique des sp cialistes des communicateurs Les composantes essentielles d un outil de
39. vation le d veloppement du partenariat Ces axes sont appr ci s travers des grilles de notation qui affectent des scores Tous les acteurs partenaires de la structure sont appel s dans un effort commun noter la structure au vu de ces axes Les formes d exploitation des r sultats issus de cette auto valuation ont t indiqu es aux cadres du MAEP Cette partie a donn lieu une suite de discussions d une part par les participants et de fixations d id es d autre part par le formateur Il a signal que pour l efficacit de cette affection de notes il est utile de faire les scores sous anonymat Les changes ont permis de comprendre que l objectif de cet exercice n est pas l image que l on obtient mais plut t ce qu on fait ensuite pour l am liorer Il est attendu que l image devrait tre perfectionn au regard de l optimum Pour encadrer un tel processus il ne serait pas superflu de songer une gestion par le personnel interne peut tre de facon rotative par divers agents acteurs de la structure Enfin ces axes et les outils de leur exercice permettent d identifier des objets de capitalisation tr s souvent les points phares et positifs Dans le contexte de l administration et du respect de la hi rarchie certains participants ont sugg r que ce processus soit enclench et facilit par une expertise ext rieure tout au moins pour catalyser le processus Session sur les modalit s d application de la d marche et d
40. vironnement Poursuivre le renforcement des capacit s des acteurs la base Mieux Organiser la fili re apicole Aider le CIAT mettre en place un dispositif qui concourt au renforcement du partenariat public priv 40
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