LQ255 - Lacan Quotidien
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1. Lacan Quotidien publi par navarin diteur INFORME ET REFL TE 7 JOURS SUR 7 L OPINION CLAIR E comit de direction pr sidente eve miller rose eve navarin gmail com r daction et diffusion anne poumellec annedg wanadoo fr conseiller jacques alain miller r daction coordination anne poumellec annedg wanadoo fr comit de lecture pierre gilles gueguen jacques alain miller eve miller rose anne poumellec eric zuliani dition cecile favreau luc garcia bertrand lahutte pour l institut psychanalytique de l enfant daniel roy judith miller pour babel Lacan Quotidien en argentine et sudam rique de langue espagnole graciela brodsky Lacan Quotidien au br sil angelina harari Lacan Quotidien en espagne miquel bassols traductions chantal bonneau espagnol maria do carmo dias batista lacan quotidien au br sil designers viktor amp william franchboizel vwfchzl gmail com technique mark franchoizel amp olivier ripoll m diateur patach n vald s patachon valdes gmail com ecf messager yahoogroupes fr liste d information des actualit s de l cole de la cause freudienne et des acf responsable philippe benichou pipolnews europsychoanalysis eu liste de diffusion de l eurof d ration de psychanalyse responsable gil caroz amp uqbar elistas net liste de diffusion de l association mondiale de psychanalyse responsable oscar ventura secretary amp nis2. en somme Jouissez sinon rien BPO versus d sir Dans L Ethique de la psychanalyse Lacan montre Cr on en ma tre de la bonne conduite des habitants de la cit Il dicte la loi pour le bonheur de tous est du c t de la jouissance des biens des commandements insens s du m me c t que les experts Or Lacan le rappelle le d sir n a jamais jouit d aucun bien et il n y a pas d autre bien que ce qui peut servir payer le prix pour l acc s au d sir C est du c t du d sir que se situent r solument les sept femmes qui montent sur sc ne pour dire une par une sans mode d emploi ce qu elles peuvent formuler de leur plaisir Elles abordent parfois la mani re concr te dont elles jouissent mais avec beaucoup d humour et de parcimonie Elles parlent de leurs parcours une par une se racontent font un r cit de leur d sir Elles tournent avec leurs mots et leurs corps autour de leur jouissance Elles la bordent un peu sans pr tendre au rapport Anna g rit beaucoup racontant que son d sir passe par des histoires amoureuses et charnelles multiples Adolescente la rencontre avec la sexualit semble avoir t plut t joyeuse La transmission d un certain savoir s tait bien faite entre la m re et la fille Certaines pratiques la mode oui elle les d fend si c est pour le plaisir Son d sir est aussi de nous dire quelque chose de cette gaiet l Quant Isabelle elle insiste sur ceci
3. ce qui a pu soutenir la rencontre de son corps avec un autre c est quand l autre a entendu qui elle tait en tant qu une Elle n tait plus un prototype ni un corps r ifi En mati re de passion nous dit Lacan au del de l autre c est toujours l tre que le partenaire vise sur le versant de la haine ou sur celui de l amour Une rencontre sexuelle heureuse a pu tre possible pour Isabelle lorsque l autre N s est adress ce qu elle tait au del de son corps en dehors du seul r el de la jouissance En voilant un peu le corps en tant qu objet dont on jouit le sien ou celui de l autre Femmes avec des femmes femmes avec des hommes cette conf rence gesticul e est un r cit de d sir en vers libres vers libres politis s dont ces sept femmes trouvent la force collective de parler Alors elles laissent franchement leur morsure elles ont en effet du mordant dans le discours du ma tre qui en ressort boiteux Le titre de leur spectacle Le clito un petit nom qui en dit long 20 20h Ct A Le clito un petit nom qui en dit long Notes 1 G rard Wajcman Les experts la police des morts Paris PUF 2012 2 Jacques Lacan Le S minaire Livre VII L thique de la psychanalyse Paris Seuil 1986 chapitre XXI paragraphe 2 page 323 3 Ibid chapitre XXIV paragraphe 3 page 371 4 Jacques Lacan Le S minaire Livre VI Le d sir et son interpr tation le on du 18 mars 1959 in d
4. org liste de diffusion de la new lacanian school of psychanalysis responsables dominque holv et et florencia shanahan EBP Veredas yahoogrupos com br uma lista sobre a psican lise de difus o privada e promovida pela associa o mundial de psican lise amp em sintonia com a escola brasileira de psican lise moderator maria cristina maia de oliveira fernandes POUR ACCEDER AU SITE o l attention des auteurs Les propositions de textes pour une publication dans Lacan Quotidien sont adresser par mail anne poumellec annedg wanadoo fr ou directement sur le site lacanquotidien fr en cliquant sur proposez un article Sous fichier Word Police Calibri Taille des caract res 12 Interligne 1 15 Paragraphe Justifi Notes manuelles dans le corps du texte la fin de celui ci police 10 e l attention des auteurs amp diteurs Pour la rubrique Critique de Livres veuillez adresser vos ouvrages NAVARIN DITEUR la R daction de Lacan Quotidien 1 rue Huysmans 75006 Paris e
5. sp cifiquement pour cette Recommandation m rite que l on s y arr te Pratiques novatrices et orientation psychanalytique De tr s nombreux enfants et adolescents autistes sont pris en charge dans des structures de soins p dopsychiatriques publiques ou associatives Ces structures ont t peut tre n est il pas inutile de le rappeler pionni res dans leur prise en charge alors que les enfants autistes taient encore rel gu s au fond des salles communes des h pitaux psychiatriques parmi les oligophr nes et les microc phales et consid r s comme des arri r s Ces structures de soins au fil des ann es de l exp rience qui s est accumul e des r ussites des impasses des checs aussi sont parvenues construire un dispositif de prise en charge particuli rement labor tissage serr de pratiques ducatives p dagogiques psychoth rapiques o la parole de l enfant autiste fut elle rare logorrh ique ou nigmatique tait re ue et ce dans une forte exigence thique de respect pour lui et pour ce qu il y avait de plus singulier chez lui Les psychanalystes qu ils fussent psychiatres ou psychologues quand ils n ont pas t l initiative de ces pratiques novatrices y ont pris une place d terminante par la r flexion qu ils ont fortement soutenue par les questions qu ils ont amen es et par le travail qu ils ont pas pas effectu aupr s des jeunes patients et de leur famille Cette place est r
6. NUMERO 255 Je n aurais manqu un S minaire pour rien au monde PHILIPPE SOLLERS Nous gagnerons parce que nous n avons pas d autre choix AGNES AFLALO wWwwW lacanauotidien fr Lacan Quotidien Conf rence gesticul e BPO Bonnes Pratiques Orgasmiques Par Claire Zebrowski Fin octobre tait donn e Rennes une conf rence gesticul e sur la question du plaisir f minin organis e par les associations Questions d galit et Le Pav La conf rence gesticul e est un concept assez ancien d j port notamment par le mouvement de l ducation populaire et qui est en train de faire sa place parmi les formes de la repr sentation sc nique mi chemin entre le spectacle et la conf rence entre le th tre et la th orie la conf rence gesticul e tente un alliage audacieux entre le corps en acte et un certain savoir en mouvement Ici la repr sentation passe au second plan derri re la pr sence d hommes et de femmes ayant pris acte de la vacuit du savoir dans l Autre et qui tentent malgr cela de dire quelque chose sur le monde dans lequel ils vivent C est la pr sence et le d sir qui comptent plus que l esth tique et la performance Pour cette conf rence gesticul e sur le plaisir f minin sept femmes sont sur sc ne Elles ne sont pas actrices mettent au travail la question de leur d sir et de leur jouissance et essaient d en transmettre quelque chose Le dispositif sc nique est simple et ing nie
7. apidement devenue indispensable tant aupr s des patients que des soignants qui au quotidien avaient faire avec les modes d expressions symptomatiques polymorphes paradoxaux d routants parfois violents et souvent tr s angoissants auxquels ces enfants confrontent ceux qui s occupent d eux Le travail de r flexion d laboration de parole soutenu par ces psychanalystes avec les infirmiers les ducateurs les p dagogues et tous les membres des quipes soignantes est ainsi devenu la condition essentielle pour que des effets th rapeutiques puissent continuer tre possibles malgr la rudesse des tableaux cliniques Pour t moigner de ce travail de multiples articles pr sentations vignettes cliniques ont t publi s par ceux qui taient engag s dans ces institutions g n ralement dans les ouvrages des soci t s de psychanalyse ou les revues de p dopsychiatrie afin de rendre compte non pas de travaux sur des cohortes non pas d tudes randomis es mais au contraire d exp riences singuli res de rencontres impr vues de cheminements inesp r s Aux antipodes des tudes dites scientifiques l volution des enfants n y taient pas mesur e en se fondant sur une norme r f renc e l adaptation sociale l aide d un outil standardis mais en s appuyant sur le jeune patient lui m me et sur ce qui chez lui faisait au fil du temps point notable d volution A l intersection des sciences huma
8. aut est que ce savoir du XXIe si cle na que tr s peu de restes symboliques Il est orient du c t du r el et de la jouissance Autrefois il y avait de grands discours sur les raisons pour lesquels l homme et la femme surtout naissent p cheurs et doivent remettre leur jouissance Dieu Il y avait le cat chisme qui racontait des histoires Aucune nostalgie c est certain Aujourd hui c est autre chose il y a le Tu dois jouir mais Tu dois jouir selon le manuel normatif des Bonnes Pratiques Orgasmiques pour pr tendre au bonheur La norme c est le jouir le jouir de ces multiples objets eux aussi fragment s En mati re de rapport sexuel c est flagrant Pas de discours amoureux dans la bouche des experts ce serait d ailleurs une antith se un expert du discours amoureux Restent alors trois pauvres signifiants r duits des lettres qui ne font pas bord ne tamponnent pas le r el BPO e B pour Bonnes il y a les bons et les mauvais l ves ceux qui s appliquent au discours du ma tre et ceux qui sont pas tout dans ce discours La Bonne attitude est ce qui est tiquet comme tel par les experts c est dire normalis e P pour Pratiques mode d emploi pour la r ussite du rapport savoir efficace mani re d tre efficiente Le ratio effort produit r sultat obtenu doit tre rentable e O pour Orgasmiques jouir jouir jouir banni re des soci t s capitalistes la croix et la banni re
9. c les enfants et leurs parents Que cela soit le fait de pr suppos s antipsychanalytiques de m pris pour un travail consid r comme non scientifique ou d une confiance born e et exclusive dans un mod le calqu sur les sciences exactes ne nous importe finalement que peu Car en s engageant dans l valuation d un champ de pratique qui la d passait et pour lequel elle n tait pas comp tente en y appliquant une m thodologie inappropri e la H AS a fait la d monstration d un manque de rigueur et d une absence d humilit une d marche bien peu scientifique Docteur Jean Pierre Bretheau Directeur d h pital de jour 1 Pr sentation des principes fondateurs de la HAS http www has sante fr portail jcms c 452561 principes fondateurs 2 HAS ANESM Recommandation de bonne pratique Autisme et troubles envahissants du d veloppement interventions ducatives et th rapeutiques chez l enfant et l adolescent M thode Recommandations par consensus formalis Recommandations mars 2012 3 Sur le consensus formalis http www has sante fr portail jcms c 272505 recommandations par consensus formalise rcf POLITIQUE Deux articles de Jacques Alain Miller Le Point fr Sur le site Le Point Un serial Killer l UMP KKK ANNONCE 1 k A f HA a LIE de conferences Nouvelle re nouveaux objets nouvelles pathologies de la jouissance le ler d cembre 2012 14h30
10. caines des troubles mentaux qui privil gient les th ories neuropsychologiques et les abords comportementalistes dont le but affich est une adaptation sociale mesur e l aide d chelles chiffr es donc scientifiquement compatibles en se r f rant exclusivement au D S M qui a cr l inepte fourre tout des T E D la HAS a r solument tourn le dos au mod le fran ais de soins l uvre dans les institutions de p dopsychiatrie et leurs soixante ann es d exp rience Recourir la m thode du consensus formalis revient en l esp ce introduire un biais qui d s l origine d s le travail premier de recherche bibliographique 3 oriente le r sultat et les conclusions puisque seule une petite partie de l objet tudi celui qui est chiffrable ou bien consid r comme d int r t scientifique peut y tre inclus le reste qui n est rien d autre que l essentiel tant cart car non saisissable par une telle d marche Inefficience Cette m thode telle qu elle a t utilis e par la H AS se r v le inappropri e et inefficiente pour appr hender et rendre compte du travail au singulier complexe et intriqu qui fonctionne dans la grande majorit des institutions de soins pour enfants et adolescents Y recourir revenait cr er les conditions d un chec En proc dant ainsi la H A S a fait le choix d ignorer la plus grande partie de l exp rience accumul e par ceux qui au quotidien ont travaill ave
11. ccompli avoir l air fra che et poser bouche entrouverte comme un mannequin de publicit Dans ce discours du ma tre la jouissance f minine n est pas toute mais cela n a rien voir avec la jouissance de La femme Le discours des experts en bonnes pratiques orgasmiques sous tend en effet plusieurs choses que l on retrouve souhait dans nos magazines et magasins D abord le rapport est suppos exister le signe dominant est celui de la r ussite du a marche Oui le rapport sexuel existe sous le signe de la jouissance s il est assorti des bonnes conduites qui y m nent Ensuite le discours traditionnellement monolithique du ma tre est aujourd hui le discours parcellaire des experts Il O punur n a pas chang il est simplement plus fragment Il est n Sexualit DCR D r parti selon les diff rents secteurs des experts convoqu s sur les plateaux de t l vision politologues conomistes et m me l occasion psychanalystes Enfin le discours du ma tre est certes plus fragment mais prodigue toujours un savoir pour servir le ma tre Et ici en dc extases sexuelles l occurrence le ma tre c est la jouissance phallique assortie de si cles de patriarcat et de monoth isme sous couvert de la libert sexuelle pour tous Les experts en BPO deux hommes dispensent un savoir aux femmes sur le label BPO ou comment faire jouir les hommes L autre nouve
12. ines des sciences sociales de la psychanalyse de la m decine le travail fait par ces institutions de soins ces h pitaux de jour ces I M E se poursuit aujourd hui Choix r solu d une m thode biais e Pour produire sa recommandation de mars 2012 sur Autisme et troubles envahissants du d veloppement 2 la HAS a utilis la m thode du consensus formalis Cette m thode comprend sch matiquement trois temps essentiels une recherche bibliographique tendue qui se fait en interrogeant partir de mots cl s les grandes bases de donn es biom dicales et psychologiques francophones et anglophones ce qui conduit ensuite la r daction de propositions une cotation de la valeur scientifique de ces propositions qui donneront lieu par une s rie d aller retour entre les groupes de travail la r daction de recommandations cot es depuis un grade A valeur scientifique tablie jusqu un grade C faible niveau de preuve Lorsqu aucune gradation n est possible on recourt une d cision dite de consensus entre experts autrement dit entre membres des groupes qui participent la cotation La cotation est alors not e Accord d Expert AE Ces trois temps d terminent le r sultat autrement dit la Recommandation la recherche bibliographique par les mots cl s utilis s et les banques de donn es interrog es la cotation par la valeur scientifique attribu e aux documents le consen
13. it KKK AUTISME Evaluation de la HAS la rigueur scientifique Par Jean Pierre Bretheau La Haute Autorit de sant pr sente sur son site internet les principes qui fondent son action la rigueur scientifique en constitue l un des piliers Elle pr cise ce qu elle inclut sous ce terme Les avis rendus et les recommandations labor s par la H A S sont fond s sur des arguments scientifiques particuli rement sur la notion de niveau de preuve scientifique Ces avis et recommandations s appuient sur les donn es scientifiques les plus actuelles et refl tent l tat des connaissances un moment donn Elles sont r alis es l aide d une m thode rigoureuse explicite reproductible et sans a priori c est dire ne s appuyant pas sur une opinion d j constitu e Le doute formul est le reflet du doute des scientifiques 1 Cette exigence de rigueur scientifique est rappel e sur le document de recommandation de bonne pratique Autisme et autres troubles envahissants du d veloppement interventions ducatives et th rapeutiques coordonn es chez l enfant et l adolescent II est pr cis en page 2 Les RBP Recommandations de Bonne Pratique sont des synth ses rigoureuses de l tat de l art et des donn es de la science 2 L insistance que met la H AS se fonder sur le discours de la Science pour justifier son action et ses d cisions de mani re g n rale et plus
14. sus par l orientation th orique des diff rents experts En s engageant dans l laboration de ce document de bonne pratique la H A S savait qu elle allait aborder un sujet particuli rement risqu car peu tay par des travaux scientifiques incontestables et tr s peu consensuel les oppositions conceptuelles y tant particuli rement vives Les d cisions par Accord d Experts AE y seraient par cons quent pr dominantes Ignorer l essentiel En cherchant valuer les interventions ducatives et th rapeutiques chez l enfant et l adolescent par cette m thode qui se veut rigoureuse scientifique et consensuelle 2 la m me qui est utilis e pour valuer par exemple en obst trique l efficacit de l expression_abdominale durant la 2 me phase de l accouchement il tait pr visible que la H AS allait laisser de c t ignorer n gliger cette tr s importante somme d exp riences accumul es depuis plus de soixante ann es par les psychanalystes et tous les soignants des institutions pour enfants et adolescents qui travaillent avec eux du fait m me que ce qu ils en rapportaient n tait constitu que d exp riences singuli res non chifirables et de ce fait consid r es sans valeur scientifique Or du singulier la H ASS ne sait que faire En voulant toute force appliquer une d marche scientifique au champ de la p dopsychiatrie en choisissant de se caler sur les conceptions nord am ri
15. ux sept chaises au devant droite un tapis o les sept femmes peuvent se retirer tour tour et au fond un cran o sont parfois projet s avec une lucide impertinence les sch mas des appareils sexuels masculin et f minin extraits de manuels scolaires de biologie Et surtout les casseroles qu elles tra nent plus ou moins grandes plus ou moins sonnantes famille ducation religion et bien d autres Autour du plaisir f minin entre le corps et la parole cette conf rence gesticul e ne discr dite pas la jouissance masculine elle l invalide en tant que toute C est la jouissance f minine qui monte ici sur sc ne pas toute et qui r ussit le tour de force de se dire sans placer les spectateurs en position de voyeurs Un peu plus proche du symbolique un peu plus loin du r el que nos s ries t l vis es la sc ne devient le lieu du d sir Experts en BPO Deux femmes travesties en hommes en costume gris aux larges paulettes discutent sur le bord de la sc ne Dans leurs mains le manuel des BPO les Bonnes Pratiques Orgasmiques Les deux experts la voix assur e au corps droit aux mouvements tr s verticaux num rent tour tour les crit res de r ussite du rapport sexuel Pour les hommes c est assez simple ne pas s endormir trop t t Pour les femmes c est plus compliqu il faut tre docile mais pas trop faire semblant mais pas trop et puis se doucher une fois l acte a
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