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Mai / Juin

1. Apprenants Une quipe d anesth sie un m decin etuninfirmier participe l exercice simul Ce mannequin peut galement tre d plac pour former sur leur lieu de travail des quipes d autres services soins intensifs urgences etc Disponible sur B App Store Application gratuite JULIEN GREGORIO PHOVEA mai juin 2013 10 Pulsations Internet pour vivre des motions Pour Serge Tisseron les nouvelles technologies offrent aux adolescents ce quils recherchent toujours des Sensations fortes Docteur en psychologie et psy chiatre Serge Tisseron est direc teur de recherche l Universit Paris X Nanterre Auteur d une quarantaine d ouvrages il est c l bre pour avoir r v l le se cret de la famille d Herg par tir de la seule tude des albums de Tintin Serge Tisseron s int resse galement aux espaces virtuels ainsi qu aux change ments provoqu s par les nou velles technologies Entretien o les r ponses fusent telles des tirades d un seul souffle gt Serge Tisseron est directeur de recherche l Universit Paris X Nanterre Pourquoi les jeunes s approprient ils tellement les nouvelles technologies Dans la mesure o les adultes uti lisent beaucoup les t l phones mobiles et les tablettes tac tiles les plus jeunes les imitent pour avoir l impression de de venir grands plus vite Ensuite quand ils d couvrent que leurs
2. G LLI La g 2 en F Post it de communication Et puis il ya aussi ces post it gt Le petit patient peut d corer la chambre virtuelle selon ses go ts Il y retrouvera entre autres le dossier bien entendu virtuels que le pa m dical le calendrier des visites m dicales une liste des m dicaments ainsi que des fonctionnalit s tr s utiles tient peut utiliser pour communi quer avec les quipes soignantes si par exemple il a constat une Calendrier erreur de prescription Toutes les informations de l espace Kid SETransplant sont mises jour en continu Soit automatique ment par synchronisation avec le dossier informatis h berg aux HUG Soit par l infirmi re de JULIEN GREGORIO PHOVEA Jul 19 jo ivier mhod Poltinique de p diatrie Mere we sert LS fi paf Bet Pnau coordination case manager qui sereine set le POOLE g re la plateforme i En 2012 les HUG ont t re dimanche 10 F vrier 10h00 connus officiellement comme policinique de p diatrie le Centre suisse des maladies ee j ensnar ft detr E du foie de l enfant Depuis 1989 RARE plus de 130 enfants y ont t p orngar ur derie THS une transplant s Les projets KidsA EE mines mazing et KidsE Transplant sont soutenus par la fondation Art res gt L enfant peut par exemple programmer lui m me le calendrier des visites et recevoir sur son t l phone portable Andr Koller des textos de rappel Les
3. partir de l histoire r cente la situation actuelle de l RhOpital esquisse les grands Changements attendus dans une vingtaine de domaines d activit s aussi divers que la p diatrie la psychiatrie les SOINS palliatifs oncologie ou encore la m decine communautaire Morceaux choisis avec le d partement de m decine interne de r habilitation et de g riatrie la neurochirurgie et l thique Les d fis de la m decine interne Les patients souffrant datteintes multiples et chroniques vont augmenter et parall lement la pression sur les co ts Le d partement de m decine interne de r habilitation et de g riatrie des HUG plac sous la responsabilit du Pr Arnaud Perrier offre une structure tr s bien adapt e pour r pondre aux situations qu affronte un h pital de nos jours Cepen dant la m decine interne g n rale a devant elle de grands d fis I y aura de plus en plus de personnes du troisi me et du quatri me ges Le nombre de patients souffrant d atteintes multiples simultan es et chro niques va donc continuer d aug menter La n cessit d avoir davantage de g n ralistes se fera plus forte Parmi les priorit s mener des recherches sur les personnes g es souffrant de plusieurs pathologies gt demeurera forte Or aujourd hui d j il y a un d ficit de praticiens dans cette sp cialit Les tudiants com mencent leurs tudes avec des envies de devenir g n raliste
4. MAGAZINE Er s SE mai juin Ael oe A 201 3 pitaux Universitaires de Gen ve C ERE FA i A n CE LT 1 ry Po LT EE skera WarEr k 1 EE HO Actualit 4 5 Projets i a A et KidsAmazing Reportage 24 25 ji R O e _ave P UOTS Es Dossier 11 17 ein la Vue e LL a O T V FONDATION FOYER HANDICAP NOTRE TOUT NOUVEAU CAF RESTAURANT Lundi vendredi g E N Petit d jeuner 7h 19h 1 F7 Ph Midi ap ritif Sur place l Brunches l emporter aami Soir es priv es CAF RESTAURANT 5 Rue des Caroubiers 5 1227 Carouge T l 41 0 22 309 11 05 resto5 foyer handicap ch www foyer handicap ch nergie Croc A 1619 donnez Don du sang la votre rue Gabrielle Perret Gentil 6 1205 Gen ve t l 022 372 39 OI www dondusang ch csm sa ch Bulletin dabonnement o Je d sire m abonner et recevoir gratuitement Pulsatigns O Madame O Monsieur Nom Pr nom Rue N NPA Ville Pays E mail Date Coupon renvoyer Pulsations H pitaux Universitaires de Gen ve direction de la communication et du marketing avenue de Champel 25 1211 Gen ve 14 Suisse Vous pouvez aussi vous abonner en ligne sur www hug ge ch abonnement pulsations CR mai juin 2013 Pulsations 3 Mal amp JUIN Actualit 4 amp 5 KidsETransplant un projet pour la vie Ecran tactile g ant SOS peluches S curit avant tout
5. d tre au plus pr s des tres dans leur quotidien la fin de leurs tudes une majorit d entre eux choisissent les sp cialit s mieux consid r es et plus r mun ratrices Des r formes sont donc envisager mais l h pital seul ne peut pas tout Les politiciens et les as surances doivent galement se pencher sur le probl me et trouver des solutions Collaboration intercantonale Autre priorit mener des re cherches sur les personnes g es souffrant de plusieurs pathologies Comment les ma ladies et les m dications qui leur sont associ es intera gissent elles Affiner la com pr hension de ces ph nom nes lt LL gt IE a JULIEN GREGORIO sera une aide pr cieuse pour le g n raliste Le laboratoire de recherche du d partement y travaille mais il faut souhai ter qu une v ritable prise de conscience se fasse et qu on multiplie les tudes Troisi me axe ni moins impor tant ni plus simple la collabo ration intercantonale Elle est n cessaire pour plusieurs ral sons La diminution des co ts bien s r Les investissements en mati re m dicale sont de plus en plus importants viter certains doublons est bienvenu Mais pas seulement Vaud et Gen ve souffrent tous les deux de l troitesse de leurs bassins de population insuffisants pour assurer un r el niveau d ex cellence Une alliance entre le CHUV et les HUG Pour cer taines activit s souffle
6. tat Le fameux staphylocoque r sistant la m thicilline MRSA conna t son taux le plus bas de puis 1998 avec pour corollaire des conomies de 2 2 millions de francs r alis es ces quatre derni res ann es r pond le Pr Pittet De m me toutes les autres bact ries multir sistantes sont sous contr le aux HUG C est un travail de tr s longue haleine avec une surveillance assidue pour reconna tre les probl mes l o ils sont et intervenir de fa con cibl e sur les facteurs de propagation rel ve le Pr Pittet Conclusion les infections noso comiales c est dire acquises l h pital restent stables 10 alors que la population risque augmente davantage de per sonnes risque et pr sentant plusieurs maladies De plus si on consid re les quatre princi pales infections urinaires pneu monies du site chirurgical et du sang le taux est de l ordre de 5 ce qui est tr s bas pour un h pital universitaire de notre taille pr cise le sp cialiste l arriv e ces efforts conjugu s am liorent la s curit des soins Giuseppe Costa ICPIC 2013 Du 25 au 28 juin les HUG organisent la 2 conf rence internationale sur la pr ven tion et le contr le des infec tions Les experts mondiaux du domaine animeront des conf rences d bats et autres ateliers Au programme no tamment la r sistance an tibiotique des clips vid os de promotion de la pr ven tion des
7. install e dans le laboratoire de laris c est dire dans lequel ne circule pas le sang qui peut tre greff e sans risque de re jet et avec un r sultat souvent spectaculaire Le patient b n ficie ainsi d une nouvelle corn e parfaitement fonctionnelle Pas de contrainte d ge non plus la corn e d une personne g e peut tre en parfaite sant et faire l objet d une greffe sur un patient jeune CE th rapie cellulaire des HUG en salle blanche c est dire dans un environnement contr l de haute s curit r pondant aux cri t res europ ens les plus lev s dans ce domaine explique la Dre Chiodini Les corn es sont conserv es en milieux de culture dans des tuves 31 degr s pour une dur e maximale d un mois Des analyses virologiques bac t riologiques et morphologiques sont r alis es afin de d terminer quelles seront les com es valides pour une greffe ce stade l quipe du Pr Ha fezi interviendra pour r aliser cette chirurgie de transplanta tion au moyen de lasers extr mement performants dont le service d ophtalmologie des HUG a fait l acquisition en 2012 Pour sa premi re ann e d acti vit la Banque de corn es de Gen ve pr voit de d livrer une soixantaine de ces pr cieux tis sus ophtalmiques dont une ving taine seront transplant s chez des patients genevois Cette nouvelle banque est destin e r pondre ensuite aux besoins de l ensemble de la
8. particuli res le pr l vement de la corn e tant assimil tort au des infections et des maladies dont la plus grave est le k rato c ne qui touche essentiellement des patients jeunes La corn e se d forme vers l avant jusqu se rompre et peut conduire une c cit pr cise le Pr Hafezi Le k ratoc ne constitue la pre mi re indication pour une greffe de corn e devant des infections graves et des traumatismes La corn e est un tissu non vascu JULIEN GREGORIO PHOVEA mai juin 2013 14 Pulsations corn es r LT EE ri C3 ET mm Ci E m m L 1 L 1 LI Li L TE L L L hin kai L 2 E L 1 ss L ai L E T gt La corn e est trait e en salle blanche c est dire dans un environnemement contr l de haute s curit r pondant aux crit res europ ens les plus lev s don d un il Cette m thode de recensement est couram ment pratiqu e dans d autres pays d Europe o elle est bien per ue rel ve Diane Moretti Un environnement de haute s curit Le recensement des donneurs po tentiels et l obtention du consen tement des proches constituent l un des grands challenges de ce programme L tape suivante est tout aussi d cisive puisqu elle va consister analyser et stoc ker les corn es dans des condi tions de s curit maximales Notre banque de corn es est
9. socialisation les personnes qui ont de nombreux contacts sur Internet en ont souvent dans la vie r elle Les risques sont sur tout li s l tat mental de la personne quelqu un avec un d faut de reconnaissance dans la vie court le risque de se sur exposer sur Internet Comment favoriser les bonnes pratiques Les parents ont un r le duca tif majeur jouer en cadrant le temps d cran de leurs enfants et en s int ressant aux activit s qu ils y d ploient L cole elle doit informer en donnant au ni veau primaire d j des rep res est essentiel d expliquer d s cet ge les mod les conomiques et marketing d Internet jeux vi d o Facebook Google Skype Youtube etc Toutes les occa sions doivent tre saisies pour rappeler aux enfants leur droit l intimit et leur droit l image ainsi que les trois r gles de base qui r gissent Internet tout ce qu on y met peut tomber dans le domaine public y restera ter nellement et tout ce qu on y trouve est sujet caution et ne doit pas tre cru avant d avoir t confront d autres sources Des conseils pour les parents Ils se r sument dans la r gle du 3 6 9 12 Eviter le plus pos sible les crans avant 3 ans le jeune enfant a d abord besoin de rep res spatiaux et tempo rels que rien ne permet mieux de construire que les jouets tra ditionnels et les livres d images C est pourquoi quand un b b joue il aime
10. Buffat et Marie H l ne Stauffacher Les prochaines rencontres ont lieu les mardis 14 mai et 4 juin 14 05 amp 11 06 Maquillage Look Good Feel Better De 14h 16h H pital B timent C ss rue Gabrielle Perret Gentil 4 022 372 61 25 florence rochon hcuge ch A http www lookgood feelbetter ch fr atelier rencontres php La fondation propose gratuite ment une fois par mois un ate lier de mise en beaut par le maquillage pour les patients atteints d un cancer Les pro chains ateliers ont lieu les mar dis 14 mai et 11 juin Inscription obligatoire par t l phone ou par courriel Parce que c est nous un recrutement personnalis de qualit pour postes fixes ou temporaires temps complet ou temps partiel un r seau d interlocuteurs dans des h pitaux institutions laboratoires cabinets m dicaux et m me aupr s de particuliers des consultants chevronn s ayant une double expertise dans le domaine des RH et des m tiers de la sant une grande fiabilit avec l appui d Interiman Group Medicalis SA e mai juin 2013 16 05 amp 13 06 Philosophie Alexandre Jollien De 12h30 13h30 auditoire Marcel Jenny S rue Gabrielle Perret Gentil 4 entr e libre A http setmc hug ge ch Dans le cadre des laboratoires de philosophie organis s par le ser vice d enseignement th rapeu tique pour maladies chroniques SETMC Alexandre Jollien pro pose jeudi 16 mai une r flexion sur le
11. Editeur responsable Bernard Gruson Responsable des publications S verine Hutin R dactrice en chef Suzy Soumaille pulsations hug hcuge ch Abonnements et r daction Direction de la communication et du marketing Avenue de Champel 25 CH 1211 Gen ve 14 T l 41 0 22 372 25 25 Fax 41 0 22 372 60 76 La reproduction totale ou partielle des articles contenus dans Pulsations est autoris e libre de droits avec mention obligatoire de la source R gie publicitaire Im dia SA Herv Doussin T l 41 0 22 307 88 95 Fax 41 0 22 307 88 90 hdoussin imedia sa ch Conception r alisation csm sa Impression ATAR Roto Presse SA Tirage 33000 exemplaires D codage 89 Un mannequin high tech pour apprendre Invit 10 Internet pour vivre des motions Dossier ophtalmologie Votre vue nous regarde 12213 L ophtalmologie voit plus loin 14 15 16 17 18 Banque de corn es Espoir pour la DMLA Les traitements qui sauvent la vue Sculpter les corn es Texto Point fort 19 Bernard Gruson s en va la fin d une re 20 21 Que seront les HUG l horizon 2025 22 Un livre pour comprendre les HUG 23 Texto Reportage 2425 IAM roule avec l UOTS Junior 26 27 Pourquoi dois je porter des lunettes 2829 Rendez vous V cu 30 Je suis sortie d un mauvais r ve Perp tuer la tradition suisse Pr Farhad Hafezi m decin chef du service d opht
12. b n voles qui prennent en charge les nounours peluches et pou p es c est un moyen sympa thique pour exp rimenter une premi re prise de contact avec des patients Plus de 2000 enfants sont at tendus durant ces cinq jours la Rotonde du Mont Blanc Au vu du succ s populaire de l H pital des nounours les organi sateurs ont d cid de doubler l v nement Une autre di tion aura lieu en automne pro chain Elle sera r serv e aux coles qui n ont pas trouv de place en mai Andr Koller dy Z JULIEN GREGORIO PHOVEA A l H pital des nounours est un excellent moyen de d dramatiser les actes m dicaux s raisons d tre client Cr dit Agricole CX CR DIT AGRICOLE FINANCEMENTS suisse sA mai juin 2013 Pulsations 7 S curit avant tout AUX HUG les Staphylocoques dor s bact ries multir sistantes et autres infections Sont traqu s par l effort concert des soignants Lutter contre les infections est non seulement un leitmotiv mais encore une fiert des HUG tel point qu ils sont aujourd hui une r f rence mondiale dans le domaine l occasion de la 5 Journ e mondiale de sensibi lisation l hygi ne des mains qui a lieu le 5 mai tour d hori zon avec le Pr Didier Pittet res ponsable du service pr vention et contr le de l infection SPC sur les principales actions mises en place L hygi ne des mains par friction avec un
13. centre du champ de vision La DMLA appara t fr quemment chez les personnes g es 1 2 entre 50 et 65 ans 10 entre 65 et 75 ans et 25 entre 75 et 85 ans Astigmatisme irr gulier D formation de la corn e caus e par le k ratoc ne page 16 une infection o un traumatisme AU contraire de l astigmatisme com mun il ne peut pas tre corrig avec des lunettes mais par une op ration Cette affection peut mener la c cit compl te Elle ne touche que 0 2 de la popula tion mais presque exclusivement des jeunes et adolescents qui ont encore toute leur vie devant eux Banque de Ouverte en avril elle est destin e dans un premier temps des patients genevois en attente d une greffe Gen ve une centaine de per sonnes victimes d une atteinte de la corn e esp rent une greffe pour retrouver une vue correcte En Suisse la liste d attente est estim e 800 personnes S il existe des banques de corn es ailleurs dans notre pays elles ne suffisent pas combler les besoins ce qui n cessite d im porter de l tranger ces mem branes essentielles la vision et qualifi es de fen tre de l il R cemment accr dit e par Swissmedlc la Banque de cor n es de Gen ve est dirig e par le Dr Zisis Gkatzioufas chef de clinique au service d oph talmologie et par la Dre Flo rence Chiodini biologiste Elle a la particularit d avoir t d velopp e et de fonctionner en
14. enfants de 13 ans en Europe sont myopes Myopie hyperm tropie astigmatisme les probl me de vue commencent d s le plus jeune ge Explications avec le pr Georgios Panos chef de clinique au service d ophtalmologie des HUG comment a marche la vision Le syst me visuel fonctionne comme une cam ra l il reli e par des c bles le nerf optique un Ordinateur le cerveau Dans l il il y a galement une lentille travers laquelle passe la lumi re et un film la r tine o l image est imprim e Cette image est trans port e au cerveau qui permet de la visualiser Pourquoi Vois je toujours net Comme la cam ra qui fait des zooms selon la distance pour se concentrer sur une image l il fait la m me chose gr ce un muscle respon sable de cette action On appelle cela l accom modation Ainsi tu peux regarder un avion dans le ciel et ensuite lire un livre l inverse voir mal c est g n ralement voir flou Quels sont les principaux probl mes Ce ne sont pas des maladies mais des troubles de r glage r fraction de l il Il s agit de la myopie l hyperm tropie et l astigmatisme En quoi consiste la myopie Tu vois mal de loin mais bien de pr s parce que l image n arrive pas sur la r tine mais devant elle Comme pour un appareil de photo c est un pro bl me de Mise au point Ii se manifeste en g n ral apr s l ge de 10 ans Les signes sont assez faciles identifier
15. fitness gt S ensuivent quatre longs et p nibles mois d hospitalisation Traitements lourds base de cortisone physioth rapie er goth rapie logop die J tais tr s fatigu e mais petit petit j ai reparl et remarch Au sortir de l H pital Beau S jour elle a encore des difficult s s exprimer et se d placer Elle poursuit sa r ducation et commence un traitement base d interf ron b ta injec tions domicile trois fois par semaine afin de diminuer le nombre de crises Cela a bien march pendant une ann e Puis pendant six mois j ai eu des pouss es tous les mois quoi cela ressemble t il Une crise prend plusieurs formes perte d quilibre sons ampli fi s dans le cerveau lorsqu on vous parle paralysie d une moil ti de visage C est douloureux et cela demande cinq jours de traitement ambulatoire avec des perfusions quotidiennes Nouveau traitement de fond Apr s ce p nible semestre on modifie sa prise en charge et elle revit D sormais elle ira une fois par mois une de mi journ e l h pital pour un nouveau traitement de fond un Immunosuppresseur en intravel neuse Je n ai plus faire trois JULIEN GREGORIO PHOVEA fois par semaine ces piq res qui me replongeaient dans ma maladie L on y va une fois on prend un bon petit d jeu ner des lectures on rencontre des soignants qu on conna t J y vais dans cet tat d esp
16. infections ou encore des innovations en mati re de pr vention D j organi s e Gen ve en 2011 la pre mi re dition avait connu un norme succ s avec la pr sence de 1200 personnes provenant de 84 pays A www icpic2013 com G C Nous recrutons des secr taires m dicales Envoyez votre candidature Bianca Mottironi Placement de personnel fixe et temporaire teamadministration acces personnel ch Retrouvez nos offres sur www acces personnel ch 022 310 50 40 D codage mai juin 2013 Pulsations 8 Un mannequin high te pour apprendre Le programme SimulHUG a acquis SimMan 36 UN mannequin Dourr d lectronique Il r agit automatiguement a injection dun m dicament cligne des yeux convulse ou encore transpire Objectif am liorer la qualit des soins et les comp tences du personnel lors de formations qui simulent des op rations ou des situations d urgence Figurants D autres anesth sistes qui sont apprenants dans un autre sc nario jouent le r le du chirur gien et de l instrumentiste Ils observent leurs coll gues pre nant en charge le patient et par ticipent galement au d briefing Salle de contr le Dans une salle attenante l assistant technique et l ins tructeur supervisent le sc nario de l op ration fictive 10 15 minutes Alors que le premier pilote les r actions du mannequin et enregistre l exercice le second ob serve la performance et p
17. partenariat avec le Programme Latin du Don d Organes PLDO dirig par Diane Moretti 800 personnes en Suisse attendent une greffe de corn e Greffe sans risque de rejet La corn e fait partie int grante du syst me optique Elle ressemble une lentille transparente recou vrant l iris et la pupille et permet la lumi re de p n trer l int rieur de l il Il s agit d un tissu conjonctif pouvant tre sujet Deux coordinateurs locaux prennent en charge le recen sement des donneurs potentiels et l organisation des pr l ve ments qui seront effectu s au d partement de pathologie cli nique des HUG en collaboration avec le Dr Alexander Lobrinus Le Pr Fahrad Hafezi m decin chef du service d ophtalmolo gie r alisera avec son quipe les greffes de corn es Les dons de corn es provien dront de patients d c d s aux HUG Apr s un d c s nous avons 24 heures pour prendre contact avec les proches du d funt afin de recueillir un consen tement au don de corn es explique Christophe Rennes son coordinateur local du PLDO Nous avons t form s pour tre l coute des proches et les aider r fl chir sur la volon t pr sum e du d funt sans Ja mais les contraindre ni chercher les convaincre Cette fa on de contacter des proches en deuil par t l phone leur do micile contribue faire mieux accepter un don d organe qui suscite parfois des r sistances
18. patient pris en charge par le Centre suisse des maladies du foie de l enfant CSMEFE aux HUG Lettres de sortie des hos pitalisations rapports de consul mai juin 2013 tations et de radiologie statut vaccinologique courbes de crois sance r sultats de laboratoire allergies etc Toutes ces informa tions essentielles et bien r elles sont impeccablement rang es dans les classeurs tag res tiroirs livres et ordinateur de la chambre virtuelle Et elles sont accessibles en un clic de souris C est une application ludique et infiniment s rieuse Parce que la qualit et l esp rance de vie de nos jeunes patients d pendent de la rigueur avec la quelle ils suivent le traitement qu on leur a prescrit Or cette discipline la capacit s autono Pulsations 4 KidsETransplant un pr miser et la parfaite observance th rapeutique ils ne l acqui rent que gr ce une bonne compr hension de leur tat de sant argumente la Pre Barbara Wild haber m decin cheffe du ser vice de chirurgie p diatrique et responsable du CSMFE Calendrier programmable La chambre virtuelle une plate forme baptis e KidsE Transplant constitue un outil au long cours En effet des tudes ont montr que la transition entre la prise en charge p diatrique et adulte re pr sente une p riode de risque accru de rejet du greffon chez Ecran tactile g ant Tous les gamins du monde en r vent Aux HUG elle
19. pitaux licencier Ce n est pas le cas aux HUG Et ce n est pas un hasard D s mon arriv e la t te des HUG en 1999 j ai dot l institution d outils de mana gement professionnels En 2006 2009 nous avons r alis des gains d efficience consid rables avec l op ration Victoria et nous poursuivons l ef fort avec l action Per4mance Nouvelle Maternit nouveau B timent des Lits B timent des laboratoires nouvelle P diatrie Vous passerez la post rit comme un b tisseur Toutes ces constructions taient n cessaires Imaginez qu au jourd hui nous disposons d un c t d un plateau tech nique hors pair de l autre des chambres six et par fois sept lits En 2016 le nouveau b timent des lits ne comportera que des chambres d un ou deux lits Le B timent des laboratoires est r alis gr ce un financement mixte public priv C est une premi re dans l histoire des h pitaux Oui Non seulement nous l avons financ avec des partenaires priv s mais les HUG ont trait directement avec les banques sans passer par l Etat R sultat le projet sera r alis en 10 ans au lieu des 15 habituels Et sur tout nous avons ainsi regroup les laboratoires en un seul lieu Andr Koller re di JULIEN GREGORIO PHOVEA mai juin 2013 20 Pulsations Que Seront les HUG Le livre Les HUG 2013 enjeux et perspectives lire en page 22 aborde
20. qui travaillent dans les r gions ru rales sur cette faune risque sur les moyens de reconna tre les diff rentes esp ces et sur la prise en charge des victimes de morsures Tr s utile tant en termes de pr vention que de soins cet ouvrage crit par le Pr Fran ois Chappuis et par Emilie Alirol en partenariat avec des coll gues allemands et n palais s inscrit dans un projet de collaboration plus vaste que m ne le service de m decine internationale et humanitaire des HUG diri g par le Pr Louis Loutan Le guide en anglais ou en n palais peut tre t l charg gratuitement l adresse sui vante www tinyurl com nepalsnakes N SANS BUT LUCRATIF mai juin 2013 19 Pulsations Bernard Gruson sen Va la fin dune amp re Le d part de Bernard Gruson marque la fin dune p riode Arriv en 1989 nomm pr sident du comit de direction des HUG en 1999 son mandat prend fin le 31 mal prochain Si dans l esprit des Genevois les h pitaux publics ont un vi sage cest celui de Bernard Parlait on d j autant d efficience votre arriv e en 1989 Gruson Retour sur une carri re riche en succ s et en coups de gueule Non Nous sortions d une poque o l argent et les co ts de la sant ne posaient pas encore les m mes probl mes qu au jourd hui L Etat comblait les d ficits des h pitaux sans discuter De ce fait l efficacit de la ges tion et la pens e m d
21. r p ter et compl ter les examens sanguins puis en informer le m decin responsable de l UCI explique le Dr Jean Luc Zilte ner m decin adjoint l UOTS Des tests cardiologiques sont aussi effectu s en collaboration avec le service de cardiologie Dr Philippe Meyer un lectro cardiogramme ECG au repos un ECG d effort et une chocar diographie pour d pister des troubles du rythme cardiaque et autres anomalies TEXTE GIUSEPPE COSTA PHOTOS JULIEN GREGORIO PHOVEA Un test de bio imp dance lec trique mesure la composition corporelle eau graisse et masse non grasse afin de d terminer un plan alimentaire quilibr Des tests physiques de per formance d endurance mesure de VO2 max et du seuil ana robie sont galement pr vus deux fois par an avec Cy ril Besson physiologiste de l effort Nous dispo sons d une technologie de pointe pour mesurer la force et la puissance notamment un cyclo ergom tre de der ni re g n ration Cet appareil indique entre autres la puls sance de chaque jambe et constate ainsi des d s qui libres qui pourraient engen drer des probl mes du bassin ou du dos d taille le Dr Zilte ner Et de conclure Jous ces r sultats permettent d tablir un plan d entra nement indi vidualis Suivi en course Autre volet de l activit le suivi lors des stages de pr paration ou des preuves Nous veillons trouver une place di
22. sub micron pr s Le rayon laser du premier fait 0 05 millim tre de diam tre Celui du second est tellement fin qu un chirur gien pourrait sculpter des frises dans un cheveu mai juin 2013 S COrn es 17 Pulsations gt Le Pr Farhad Hafezi modifie le profil de la corn e au submicron pr s en utilisant la pr cision d un laser Excimer Pour op rer les corn es avec un maximum de s curit c est essentiel Nous n avons que deux yeux Il n est pas question de faire courir des risques nos patients souligne le Pr Hafezi Complications Environ 10 des patients consultent le service d ophtal mologie des HUG pour traiter des complications li es des interventions sur la corn e r a lis es dans des centres priv s dans des conditions qui laissent d sirer lire encadr Comme cette jeune fille de 22 ans op r e fin 2012 dans une clinique hongroise pour un prix plus que modeste autant que les standards m dicaux appli qu s tel point qu elle a perdu aujourd hui 75 de son acuit visuelle Des cas comme ce luI ci nous en voyons tous les mois et en provenance de par tout y compris de Suisse ou de Gen ve pr cise le Pr Hafezi En dehors de ce type de com plication la plupart des patients viennent pour un astigmatisme irr gulier Cette pathologie est caus e par un k ratoc ne lire en page 16 une infection de la corn e ou un traumatisme Au contraire de l astigmatism
23. t ou tard elle touche tout le monde D s 45 ans dans le sud de la Gr ce Apr s 80 ans sous nos latitudes pr cise le m decin chef de service D s pr sent le service d oph talmologie pr pare le futur en inscrivant la recherche clinique au rang de ses priorit s Notre ambition est claire couvrir l entier du champ de la recherche de la biologie mo l culaire aux tests de phase III ndlr essais sur un large chan tillon de population pour v rifier la s curit et l efficacit d un m dicament Mais aussi disposer de tous les moyens de la souris aux machines high tech pour trouver des r ponses th rapeu tiques aux pathologies de l il 12 Pulsations volt D pr sentes et venir avance le Pr Ha ezi Un programme impression nant cicatrisation de la corn e th rapie g nique lire en page 15 et implant r tinien pour les maladies de la r tine pr ven tion de la myopie par cross lin king ou du glaucome gr ce une lentille qui mesure la pres sion de l il Cette derni re est actuellement en test dans notre service pr cise l oph talmologue A l horizon 2030 quoi ressemblera l ophtalmologie Pr dire l avenir en m decine est toujours hasardeux J ai une anecdote ce propos Jeune postdoctorant j annon ais les th rapies g niques lors d une Cataracte L opacification du cristallin rend l image indistincte et mal contras t e Les personnes
24. th me La vacuit ou le ciel de l esprit comment lais ser passer les nuages Et jeudi 13 juin une conf rence intitul e La solitude la d pendance et l interd pendance l art d tre avec les autres Afin de facili ter le d bat un texte est publi quelques Jours avant sur le site internet du SETMC 18 05 amp 15 06 Conf rence Caf des aidants De 9h30 11h entr e libre grue Amat 28 A Wwww seniors geneve ch Cit seniors organise chaque mois un caf des aidants afin d offrir aux personnes qui s investissent aupr s d un proche en perte d au tonomie un espace convivial o partager des exp riences Les prochaines rencontres ont lieu les samedis 18 mai et 15 juin Parce que c est vous Infirmier infirmi re sp cialis s SG Aide soignante Physioth rapeute ergoth rapeute Assistante m dicale Secr taire m dicale Assistante sociale Rue Jacques Dalphin 11 1227 Carouge t l 41 0 22 827 23 23 e www meldicalis ch 28 Pulsations 19 05 Concert Haydn 15h salle Ajuriaguerra S chemin Petit Bel Air 2 Ch ne Bourg entr e libre A Wwww arthug ch L Ensemble instrumental ro mand sous la direction d Eric Bauer interpr te la symphonie n 44 en mi mineur de Joseph Haydn le dimanche 19 mai R p titions les samedi 18 et dimanche 19 14h 21 05 Journ e Ob sit 11h30 14h auditoire Jenny et autres sites hospitaliers S rue Gabrielle Perret Gentil 4 D stigma
25. touch es sont souvent blouies Une intervention chirurgicale est aujourd hui le seul traitement efficace pour cette af fection La fr quence augmente avec l ge une personne sur dix est concern e avant 65 ans une sur cinq partir de 65 ans et plus de 60 des personnes g es de 8 ans et plus Glaucome Indolore et insidieux le glaucome est la premi re cause de c cit dans le monde Il est souvent d une augmentation de la pres sion Intra oculaire et entra ne peu peu une alt ration du champ vi suel En Suisse il concerne 2 des personnes de plus de 40 ans US IOIN conf rence en 1995 Zurich D minents confr res ont ri os tensiblement et quitt la salle Aujourd hui nous en sommes aux applications cliniques conclut le m decin chef Andr Koller Les yeux exorbit s de Marty Feldmann dans Frankenstein Junior inoubliables Ils ont marqu des g n rations de cin philes En fait c est la maladie de basedow que l acteur bri tannique doit cette surprenante particularit physique Aujourd hui les patients viennent de toute la Suisse pour traiter aux HUG cette pathologie stigmatisante Les personnes les plus touch es sont les femmes fumeuses de plus de quarante ans rappelle le Pr Dion Pa ridaens m decin associ au service d ophtal mologie et expert mondial en chirurgie orbitale et oculoplastie A la fin des ann es 90 il avait am lior et import en Europe u
26. tu n arrives pas lire au tableau tu pr f res tre tout pr s de la t l ou tu plisses les yeux pour voir un peu mieux Et les FAR ada de l hyperm tropie Cette fois l image arrive derri re la r tine Si l hyperm tropie est faible ce qui est normal jusqu 6 7 ans tu vois bien de loin et de pr s car ton muscle compense mais tu pourras avoir 26 mai juin 2013 Pulsations mal la t te ou tre fatigu le soir Si l hyper m tropie est forte ta vision est mauvaise de loin mais surtout de pr s car ton muscle n ar rive plus compenser S il y a une forte hyper m tropie seulement dans un il tu risques de d velopper une aMmblyopie Que Se passe t il en cas d astigmatisne C est un probl me de surface corn e de l il normalement elle est parfaitement ronde comme un ballon de football mais l elle res semble un ballon de rugby Du coup la lumi re a deux points de fixation au lieu d un seul sur la r tine et tu verras le chiffre 5 comme le 6 et le 3 comme le 8 comment traiter ces troubles II faut aller chez un ophtalmologue p diatrique Tu auras le choix entre porter des lunettes ou des lentilles de contact La chirurgie r frac tive est aussi une solution mais il faut avoir au moins 20 ans D finition L amblyopie est une situation o la vision dans un il n est pas bien d velopp e cause d une forte hyperm tropie d un fort astig matisme ou d un
27. En 2013 nous continuons un appareillage professionnel de vous soutenir vous accompagner et vous conseiller au mieux L expertise d un audioproth siste dipl m e Une cabine acoustique certifi e Un mat riel professionnel certifi e Un r seau reconnu Acousti Acousticentre Fondation Centrales SRLS Centre Rue de Rive 8 1204 Gen ve Tel 022 311 28 14 Fax 022 312 24 05 geneve acousticentre ch R veillez le philanthrope qui sommeille en vous Ensemble soutenons la recherche m dicale et le bien tre du patient fondation art t l 022 372 56 20 www arteres org One PLACEMENT Emplois temporaires et fixes Laissez nous prendre soin de vous Nous recrutons e Infirmier e s e Aides soignant e s qualifi e s e Sages femmes e Pu ricultrices e ASSC Aide en soins et sant communautaire e Secr taires m dicales e El ves infirmi r e s One Placement SA Boulevard des Tranch es 52 1206 Gen ve 41 0 22 307 12 12 travail ge oneplacement com www oneplacement com
28. Suisse latine Catherine Pr laz mai juin 2013 15 Pulsations Espoir pour la DMLA Les HUG coordonnent un projet de recherche de six millions deuros sur un nouveau traitement de la d g n rescence maculaire Le principe est simple L es poir norme La r alisation tr s difficile La th rapie g nique consiste utiliser un g ne pour traiter une maladie g n tique ou modifier un comportement cellulaire Des milliers d essais sont en cours dans le monde cancers maladies cardiovas culaires infectieuses neurolo gies ou encore maladies de la r tine L Union europ enne a allou en novembre 2012 un fonds de recherche de six mil lions d euros un projet portant sur la d g n rescence maculaire li e l ge DMLA qui repr sente la premi re cause de c cit des personnes g es dans les pays industrialis s C est la plus grosse subvention jamais attribu e en ophtalmologie 15 millions de personnes touch es par la DMLA en Europe Publicit maitres opticiens JULIEN GREGORIO PHOVEA ne li e age Ce consortium r unit douze par tenaires europ ens mais l inves tigateur principal est aux HUG et l Universit de Gen ve la Pre Gabriele Thumann m de cin adjointe agr g e au service d ophtalmologie Et d expliquer ses objectifs Une des compli cations de la DMLA est l appari Ua tion de vaisseaux pathologiques d truisant la r tine d
29. acte du glaucome de l orbite lire ci contre ou encore chirurgie et th rapie g nique de la r tine lire en page 15 pour ne citer que les principales Gr ce l ouverture en avril de la banque de corn es lire en page 14 un savoir faire exceptionnel et des appareils de haute tech nologie comme le Femtolaser nous avons cr un nouveau p le de comp tence national la transplantation des corn es souligne le Pr Hafezi Premi re consultation de Suisse pour le traitement du k ratoc ne une grave maladie d g n rative des adolescents ce service traite galement chaque ann e 100 150 cas d infections de la corn e parfois s v res entre autres avec un proc d r vo lutionnaire ayant remport de nombreux prix dont celui de l innovation aux HUG en 2012 lire en page 16 En chirurgie du glaucome nous pratiquons une technique innovante dite non p n trante C est dire que nous op rons sans perforation de l il Les risques de complications sont ainsi moindres pour le patient souligne l ophtalmologue Besoins accrus Avec le vieillissement de la po pulation les besoins en soins vont cro tre de fa on exponen tielle L ge constitue en effet un facteur de risque majeur pour les principales maladies de l il comme la d g n rescence ma culaire li e l ge DMLA le glaucome ou la cataracte Cette derni re par exemple est li e l exposition au soleil T
30. almologie Quelqu un aux Etats Unis a peut tre invent une nou velle m thode pour traiter ma maladie Cette r flexion d un patient est compr hensible car il est l gitime de ne pas tout conna tre de l histoire de l ophtalmologie moderne la premi re op ration de ca taracte Jacques Daviel en 1747 ophtalmologue fran ais enterr Gen ve L inven tion de la chirurgie de d col lement de r tine Jules Gonin Lausanne Le tonom tre qui mesure la pression oculaire examen de base lors de chaque visite Encore un Suisse Hans Goldmann Berne Le test au tomatis du champ visuel pour le glaucome Franz Fankhau ser Berne L ophtalmologie moderne est surtout une ophtalmologie suisse Nous perp tuons cette tra dition par des comp tences uniques en Suisse pour la ges tion des maladies de la corn e avec une th rapie g nique de la DMLA qui entrera en phase clinique en premi re mondiale chez nous et avec la premi re banque de corn es de Gen ve Pour vous pour la population genevoise pour la vie Ludique cette application met toutes les informations personnelles de l enfant greff du foie port e de souris 130 enfants transplant s du foie depuis 1989 aux HUG C est une chambre magique On y entre par acc s s curis nom et mot de passe Tout y est virtuel Murs d co et mobi lier tout sauf le dossier et la documentation m dicale du pe tit
31. de l association Lightforsight21 est double D une part elle entend mener des campagnes d information pour faire mieux conna tre la tech nique du cross linking De l autre elle permet des petits patients d tre trait s aux HUG moindre co t Quelque septante centres d oph talmologie r partis dans une trentaine de pays dans le monde se sont d j associ s cette op ration A K 16 Pulsations cofond un institut et cr l ap pareil qui r alise ce traitement Aujourd hui ce dernier est uti lis dans 106 pays et quelque 200000 patients en b n ficient chaque ann e rappelle le m decin chef du service d ophtal mologie K ratite infectieuse Mais ce n est pas tout Une nou velle application de cette tech nique le C EyeO device a d ores et d j t brevet e Cette fois ci Gen ve En fait la ribofla vine soumise au rayonnement ultraviolet en plus de renforcer les cross links a des propri t s antiseptiques puissantes Nous avons d couvert qu on peut uti liser quasiment la m me tech nique pour traiter les infections de la corn e k ratites infectieuses m me les plus s v res reprend l ophtalmologue Contrairement au k ratoc ne les infections de la corn e sont fr quentes notamment cause des lentilles de contact Elles constituent la troisi me cause de c cit dans le monde Aux Etats Unis elles repr sentent quelque 75000 cas par an Et rien qu Ge
32. des m thodes et des protocoles qui permet tront de d livrer une th rapie g nique pour d autres formes de r tinopathies se r jouit la Pre Thumann Aujourd hui le seul traitement efficace pour la DMLA consiste en l injection d anticorps pour inhiber la prot ine VEGF mais ce traitement est lourd injec tions tous les mois cher et efficace chez 30 40 des patients Notre approche peut toucher tous les patients en am liorant sensiblement leur qualit de vie rel ve l oph talmologue noter que cette maladie neurod g n rative touche plus de 15 millions de personnes en Europe en alt rant la vision des d tails d o des difficult s voire une im possibilit de lire ou de recon na tre les visages Giuseppe Costa examens de la vue lentilles de contact lunettes instruments 022 735 29 11 www horizoncreation ch photo Shutterstock mai juin 2013 Les traitements qui sauvent la vue Cross linking et GEye device ces nouvelles th rapies de la corn e viteront la c cit des milliers de patients par an Le k ratoc ne est une mala die de la corn e qui touche quelque 5000 personnes en Suisse surtout des jeunes d s 13 ans Jusqu en 2002 seule une transplantation de corn e pouvait emp cher la c cit Avec les risques de rejet ou de complications que comporte une op ration de ce genre Il faut savoir galement que si la premi re greffe tient une ving tai
33. e quipe cycliste professionnelle IAM Cycling Install e Nyon elle est suivie au niveau m dical par les HUG Plus pr cis ment par l unit d orthop die et de traumatologie du sport UOTS Pourquoi ce choix La tradi tion de s rieux des HUG milite en leur faveur et nous voulons nous panouir au niveau inter national avec des partenaires suisses r pond sans h siter Michel Th taz fondateur et pa tron de l quipe C est un beau projet qui com prend un volet d exploration fonctionnelle de sportifs de haut niveau et un autre de m decine de terrain Cela nous stimule toujours progresser ajoute le Dr Jacques Menetrey m decin adjoint agr g responsable de l UOTS M me si les relents de dopage planent autour de ce sport Notre position est claire on ne prescrit aucun produit interdit Les athl tes ne peuvent rien attendre de nous dans ce domaine Nous soute nons IAM dans sa volont d tre le repr sentant d un cyclisme nouveau rel ve ce dernier Examen physique complet Concr tement l UOTS assure un suivi m dico sportif com plet tous les coureurs Celui ci comporte le suivi longitudinal roule avec ou passeport biologique de mand par l Union cycliste in ternationale UCI consistant en des tests sanguins et uri naires tous les trois mois En cas de grosses anomalies des param tres h moglobine h matocrite r ticulocyte dosages hormonaux nous devons
34. e commun elle ne peut pas tre corrig e avec des lunettes et est susceptible de conduire la c cit Le restant des cas concerne des d g n rescences de la corn e ou des anisom tro pies soit un conflit entre l image de droite et celle de gauche Finalement les op rations dites de confort celles qui per mettent un myope un pres byte ou un hyperm trope de se passer de lunettes ne re pr sente qu un quart de l acti vit dans la chirurgie r fractive Andr Koller 0 05 millim tre est le diam tre du rayon laser du Femtolaser Pr cautions l mentaires Selon les statistiques internationales 1 des patients de chirur gie r fractive souffre d une complication li e une interven tion de mauvaise qualit Pour viter des ennuis qui peuvent perdurer tout au long de la vie assurez vous que les condi tions suivantes soient remplies e le chirurgien qui vous op re traite au moins 150 cas par an e il r alise galement les examens pr et postop ratoires e l quipement m dical utilis pour l op ration n a pas plus de trois ans e a d coupe de la corn e est r alis e au Femtolaser A K JULIEN GREGORIO PHOVEA Publicit DANS SES R VES SA MAMAN NE DEVAIT PAS TRE INVALIDE orphelin ch UNE COUVERTURE D C S INVALIDIT D S 4 CHF MOIS Les tensions entre m decines reconnues et dissidences re montent l Antiquit Elles sont analys es dans l ou
35. e par terre Sa m re croit qu il y a quelque chose qui cloche avec ses yeux Th o va donc voir l ophtal mologue Il apprend qu il devra d sormais porter des lunettes en tout temps Sous forme de conte illustr ce livre explique le probl me de la vision le plaisir de bien voir et comment mieux ac cepter la situation Il contient galement une section infor mative destin e aux parents et aux ducateurs Rubrique r alis e en partena riat avec la Radio T l vision Suisse D couvrez les vid os sur leur site Internet RTSdecouverte ch Rendez vous Mal amp JUIN 13 05 D pistage M lanome H pital rue Gabrielle Perret Gentil 4 de 13h 16h Place de la Fusterie de 10h 16h 022 372 94 23 l occasion de la Journ e na tionale du cancer de la peau le bus sant du service de der matologie des HUG propose au grand public une information et un d pistage gratuit de 10h 16h sur la place de la Fusterie Pour les collaborateurs des HUG un d pistage gratuit est orga nis le m me jour au 4 tage de la policlinique de dermato logie de 13h 16h Publicit 14 05 amp 04 06 Conf rence Sexologie De 19h 20h30 gs rue Amat 28 entr e libre A Wwww seniors geneve ch Cit seniors organise chaque mois un caf sexologique afin d offrir un espace o pouvoir parler librement de sexualit Les d bats sont anim s par deux sexologues les Dres Ju liette
36. e solution hydro alcoo lique demeure la premi re me sure de pr vention Les cinq indications la d sinfection mises en vidence par les HUG avant le contact patient avant le geste aseptique apr s le risque d exposition un liquide biolo gique apr s le contact patient et apr s le contact de l environ nement du patient sont deve nues un standard universel de soins Nous sommes pass s d un peu plus de 60 d obser vance en 2009 pr s de 70 en 2012 se f licite le Pr Pittet gt Le programme VigiGerme a uniformis les pratiques d hygi ne et de pr vention Publicit personnel JULIEN GREGORIO PHOVEA qui ne baisse pas pour autant la barre L objectif trois ans est d atteindre 80 et d am liorer le suivi des deux premiers moments Pour ce faire nous misons sur des actions qui tien dront compte des sp cificit s des services Plus de 13000 collaborateurs form s Autre fer de lance du SPCI le programme VigiGerme Depuis son lancement en 2003 plus de 13000 collaborateurs ont t form s Ce programme a uni formis les pratiques d hygi ne et de pr vention friction des mains port de gants masque de soins blouse chambre indi viduelle d isolement etc afin de prot ger les patients et les collaborateurs du risque infec tieux De fait il joue un r le pri mordial pour briser la cha ne de transmission de germes r sis tants aux antibiotiques R sul
37. existe la nintendo g ante Cet cran interactif aux dimensions d une table de salon baptis KidsA mazing constitue en r alit un formidable outil de communi cation pour les soignants les jeunes patients et leurs parents Alors du bout des doigts elle mat rialise des images d or ganes sur la surface hyper r active de l cran g ant et les assemble dans un corps en coupe anatomique Fascinant Une op ration fait toujours peur m me aux adultes Mainte nant pour dissiper ces craintes et ces angoisses on se met tous autour de la table Papa maman le petit patient et moi On touche l cran les objets s animent on regarde comment a se passe Ce n est pas seulement un meil leur v hicule de l information c est aussi un excellent moyen pour favoriser les relations entre patients et soignants reprend la Pre Wildhaber Seuil technologique Une bonne partie des d velop pements reste concr tiser terme la base de donn es de s l cran g ant devrait contenir 5 UN atlas anatomique des clips g vid o des photos et des ob jets 3D Le tout con u et r a gt lis pour rester accessible aux enfants Avec cet outil p dagogique de haute vol e la chirurgienne fran chira un seuil technologique Avant J illustrais mes explica tions avec une poup e en pe luche et des dessins gribouill s sur une feuille de papier C est dire le progr s souligne la m decin che
38. ffe du service de chirurgie p diatrique J adore C est compl tement g nial pour expliquer une op ra tion aussi complexe que la trans plantation d un foie ou montrer comment se d roule une appen dicectomie s enthousiasme la Pre Barbara Wildhaber On la croit sur parole mais rien ne vaut une bonne d monstration Une information de qualit pour A K les petits et les grands gt JULIEN GREGORIO PHOVEA ojet les jeunes adultes transplant s du rein Ce constat vaut gale ment pour les adolescents gref f s du foie i En cr ant pour nos petits pa a tients et leur famille un espace gt Avec l application KidsETransplant les enfants greff s du foie aux HUG ont toujours sous la main les donn es virtuel sympa o ils trouvent des jour essentielles pour leur suivi m dical informations jour essentielles pour leur suivi m dical nous favorisons leur transition vers la m decine adulte et am lio rons leur devenir long terme reprend la Dre Val rie McLin h patologue p diatrique et res ponsable m dicale du CSMFE Outre le dossier m dical on y trouve galement quelques fonc tionnalit s tr s utiles Comme un calendrier des visites m dicales accroch au dessus du bureau et une liste des m dicaments L enfant peut lui m me program mer ces deux outils pour rece voir sur son t l phone portable des textos de rappel m i m lt en e 15 0 o
39. i re simple et concr te ces projets contact arteres org 022 372 56 20 www arteres org L application airCHeck livre des informations en temps r el sur la qualit de l air en Suisse Lanc e par les can tons en collaboration avec la Ligue suisse contre le can cer et la Ligue pulmonaire suisse l application acces sible sur iPhone et Android affiche les taux de poussi res fines d ozone et de dioxyde d azote De plus elle donne acc s aux donn es des sta tions de mesure cantonales et nationales et fournit des informations sur les sources des polluants et leurs r per cussions sur la sant IPhone Android mai juin 2013 Pulsations Pour la deuxi me ann e cons cutive l unit de m decine p nitentiaire voit ses travaux de recherche distingu s par des confr res trangers Elle a remport deux prix lors du Congr s international de m decine p nitentiaire qui s est tenu Ma drid en novembre dernier Les deux tudes r compens es ont trait aux maladies infectieuses en milieu carc ral Elles illustrent la mission fondatrice de cette unit savoir offrir aux d tenus une qualit de soins quivalente celle dont b n ficie l ensemble de la population la recherche d un poste la recherche de personnel Contactez votre quipe sp cialis e dans le M DICAL d mai juin 2013 Pulsations Reportage Depuis novembre 2012 la Suisse compte nouveau un
40. ico cono mique avaient beaucoup moins d importance qu aujourd hui En 1995 les HUG regroupent la g riatrie la psychiatrie l H pital de Lo x et l H pital cantonal Quels taient les enjeux de cette r forme La mise en r seau de ces quatre tablissements tait devenue indispensable pour r aliser des conomies d chelle des gains d efficience et surtout am liorer la trajectoire des patients Elle suivait une double logique fu sion d une part et d centralisa tion de l autre qui confiait aux d partements m dicaux la res ponsabilit de leurs d penses et de leurs recettes Avec quel b n fice pour les patients Une am lioration du suivi et de la qualit des soins Aujourd hui on trouve normal d aller aux ur gences d tre hospitalis en g riatrie puis transf r en r ha bilitation sans perte de temps sans formalit administrative inutile Avant la r forme le par cours du patient s apparentait une course d obstacles Re pli s sur leurs sites respectifs les h pitaux ne coop raient pas assez En 1998 vous criviez d j La mission des HUG est balis e par une double exigence celle de la qualit et celle de l efficience N a t on rien r solu depuis Tout n est pas r gl mais nous nous sommes adapt s Les co ts de la sant voluent plus vite que la capacit collective les assumer C est une ten dance g n rale en Europe qui oblige de nombreux h
41. informations sont synchronis es avec le dossier m dical informatis h berg aux HUG Pulsations 6 mai juin 2013 SOS peluches La 7 dition de l H pital des nounours a lieu du 14 au 18 Mal sur la Rotonde du Mont Blanc La nounoursologie enregistre chaque ann e des progr s pa tants Pour cette 7 dition les organisateurs ont par exemple ouvert un espace laboratoire Savoir A www hopitaldes nounours com publicit I n y a que des bonne des deux c t s de la fronti re Outre une am lioration vidente des soins prodigu s aux petites peluches cette nouvelle pres tation a pour but de sensibiliser les enfants aux techniques et l importance des prises de sang Par ailleurs et pour r pondre au succ s de l ann e 2012 un second appareil IRM imagerie par r sonance magn tique sera install en radiologie Enfin pour la premi re fois une demi jour n e a t r serv e des centres sp cialis s et des associations pour enfants avec un handicap ou une maladie chronique Le th me retenu cette ann e est le handicap moteur D dramatiser Destin aux enfants de 4 7 ans l objectif de cette manifestation les HUG 2 Bd des Philosophes 1205 Gen ve T 41 022 737 62 00 www ca financements ch INR v UE Pli oi est de d dramatiser l h pital et les actes m dicaux Pour les tu diants en m decine et ceux de la Haute cole de sant tous
42. le Pr Per rier les deux structures seraient bien inspir es de se mettre en semble Aujourd hui d j dans le domaine de la neurochirur gie les lignes de partage entre les deux entit s ont t n go ci es Le Pr Perrier esp re que le stade de la coop tition ce curieux m lange de coop ration et de comp tition sera bient t d pass au profit d une n ces saire et franche collaboration Claire Monnier Rochat mai juin 2013 horizon 2025 21 Pulsations Comp tences autour du cerveau Karl schaller m decin chef du Service de neurochirurgie veut cr er un centre de renomm e internationale Le cerveau et sa d couverte c est dans l air du temps la r cente attribution d un Fonds europ en l EPFL touchera les activit s des HUG principale ment celles de la neurologie et de la neurochirurgie C est au Pr Karl Schaller de mener son combat pour la modernit L ac tuel m decin chef du service de neurochirurgie est arriv Gen ve fort de ses ambitions d un futur centre de neuros ciences cliniques int gr la mani re des mod les fran ais Lyon en Allemagne ou aux tats Unis Il est regrettable que le patient admis aux urgences suive un v rtable parcours du combattant box d urgence consultation d cision concertation avec le ser vice de neurologie et avec le neurochirurgien le cas ch ant soins intensifs SUIVI etc On perd un temps pr cieux p
43. mmenses b timents hos pitaliers Quel est le quotidien de ces milliers de femmes et d hommes en blouses blanches ces chercheurs et ces ensei gnants qui prennent tant et si bien soin de nous Et quelles preuves traversent les pa tients Pour en savoir un peu plus des auteurs sont all s la rencontre de ceux qui font l h pital chaque jour Pour les interviewer et rendre compte de ce qu ils vivent pensent et ressentent les d fis qui les attendent et qu ils ne cessent de relever les motivations qui les animent les difficult s qui les rattrapent les espoirs qu ils veillent Et demain Cet ouvrage Les HUG enjeux et perspectives destin la fois un large public et des per sonnes averties comporte aussi bien des textes que des images Partant de l histoire r cente 1995 marque la naissance des HUG par la fusion des diverses entit s hospitali res genevoises pour aborder la situation ac tuelle de l h pital ce livre vient ouvrir des perspectives voire des visions utopiques l hori zon 2025 dans une vingtaine de domaines d activit s Chacun d entre eux forme un chapitre compos d une photographie historique avec sa l gende des illustrations actuelles et Pulsations 22 LES HUG 2013 ENJEUX amp PERSPECTIVES TEE lt E ajar iera E oi i des reproductions d uvres d art hospitali res Ces documents entourent un texte de fond en deux parties crites
44. n ve une ving taine de patients chaque ann e perdent leur corn e la suite d une telle infection Notre proc d limine 99 9 des bact ries de l il en 120 secondes L innovation a d j remport plusieurs prix Au d but de l ann e nous avons cr une spin off Emagine SA D ici deux ans environ cette m thode devrait tre disponible grande chelle pour les patients se r jouit le Pr Farhad Hafezi Andr Koller Sculpter le La chirurgie r fractive met en uvre des techniques et des quipements de pointe pour le bien de VOS yeux Pour r parer ou am liorer leur vue avec une s curit optimale le service d ophtalmologie ap plique les techniques les plus r centes et n utilise que des ap pareils de derni re g n ration Et en chirurgie r fractive qui dit quipement de pointe dit Fem tolaser et laser Excimer Ces deux machines de haute pr cision sont aujourd hui ce qui se fait de mieux En fonction de la pathologie deux approches sont utilis es Soit on modifie directement la surface de la corn e soit celle ci est ouverte comme le capot d une voiture profil e de l in t rieur puis referm e avec la lamelle pr alablement d cou p e explique le Pr Farhad Ha fezi m decin chef du service d ophtalmologie Pour chacune des deux tapes les HUG dis posent de l outil ad quat Fem tolaser pour ouvrir la corn e et Excimer pour la sculpter au
45. ne d ann es la seconde dure moins longtemps 9000 personnes en Suisse souffrent du k ratoc ne JULIEN GREGORIO PHOVEA Aujourd hui la progression du k ratoc ne peut tre stopp e en cing minutes Sans greffe sans op ration s exclame le Pr Farhad Hafezi m decin chef du service d ophtalmologie Comment Tout simplement en renfor ant les propri t s biom caniques de la corn e En effet le k ratoc ne est une maladie qui affaiblit les liens mi croscopiques entre les fibres collag nes constitutives de son tissu les cross links Dans les ann es 90 un chercheur alle mand le Pr Th o Seiler a d couvert que la vitamine B2 la riboflavine soumise des rayons ultraviolets acquiert la propri t de renforcer ces fameux liens D s 1999 le Pr Hafezi en col laboration avec Th o Seiler en treprend les premi res tudes cliniques Zurich Puis tout est all tr s vite En 2002 j ai gt La vitamine B2 riboflavine est soumise un rayonnement ultraviolet ce qui renforce les propri t s biom caniques de la corn e Lightforsight21 En septembre 2012 le Pr Farhad Hafezi a lan c une association but humanitaire baptis e Lightforsight21 Chez les enfants trisomiques la maladie du k ratoc ne est vingt fois plus r pandue que dans la population H las faute d in formation elle est encore trop rarement prise en charge indique le sp cialiste Le but
46. ne technique am ricaine swinging eyelid de chirurgie re constructive qui rend un aspect normal aux paupi res de patients atteints par cette maladie auto immune Le basedow n est bien entendu pas la seule maladie trait e par ce sp cialiste Ce dernier prend galement en charge les tu meurs des paupi res b nignes ou malignes La reconstruction des paupi res apr s r sec tion de tumeurs n cessite une expertise particu li re La paupi re est un organe indispensable pour le bon fonctionnement de l il Celui qui l op re doit disposer d excellentes connais sances en physiologie note le Pr Paridaens Parmi les autres principales pathologies prises en charge citons encore celles qui touchent les voies lacrymales et la pt se soit un abaisse ment des paupi res sup rieures Cette affec tion touche environ 10 des porteurs de verres de contact rigides Une tude r cente a mon tr que les personnes avec des verres souples peuvent galement tre concern es mais dans une moindre proportion pr cise le sp cia liste n erlandais Actif depuis 2011 au service d ophtalmologie des HUG le Pr Dion Paridaens op re chaque ann e une centaine de patients La plupart en ambulatoire 80 AK D g n rescence maculaire li e l ge DMLA Il s agit d une d gradation du centre de la r tine la macula Ce processus est la cause d une ab sence ou d une forte d ficience de l information visuelle au
47. our le patient dit le Pr Schaller Selon le principe time is brain chaque minute compte On pourrait ima giner la m me proc dure d ad mission d un cas critique que celle des urgences de la chirur gie cardiaque o le patient est conduit par le m decin du car diomobile directement au bloc Le 144 clarronne une vie sau v e en 90 minutes Pourquoi pas ce m me mod le pour le cerveau Alors imagi nons Assist par des sp cia listes de l imagerie m dicale de pointe les sp cialistes se gt Gr ce l imagerie 3D 4D le neurochirurgien intervient dans le cr ne avec une pr cision maximale raient r unis autour d un m me patient une fois le diagnostic pos pour une intervention au cerveau o sur la colonne iden tifi e comme tant ce qu il faut faire Dans le cas d une h sita tion du chirurgien en derni re minute le patient tant toujours endormi et sous contr le une discussion in vivo pourrait avoir lieu entre le neurologue le neu Perspectives incertaines de l thique Parmi les questions qui se poseront dans le futur l une est essentielle le b n volat aura t il en core les moyens d exister On peut imaginer un futur o les pressions sur l efficience des pro cessus l h pital seront telles qu il pourrait tre difficile pour les membres du Conseil d thique d avoir la disponibilit d y participer Lors d un enjeu vital il arrive que l avis doive tre donn dans la jo
48. parents en savent moins qu eux ils utilisent encore plus les tech nologies num riques pour leur chapper Enfin ces outils cor respondent bien leurs pr oc cupations vivre des motions des sensations tr s intenses et en m me temps avoir la possi bilit d entrer en contact direct tout en gardant une distance Quelles attentes cherchent ils satisfaire Comme toujours d couvrir le vaste monde sans avoir leurs parents coll s leurs basques Un adolescent r ve d tre libre de toute attache Le fait qu il en r ve ne veut pas dire qu il soit pr t l assumer Sur Internet il peut jouer cache cache en utilisant des identit s d em prunt Ce n est pas nouveau l adolescence est une p riode o l on mime la vie adulte on invente des histoires pour se rendre int ressant aux yeux du groupe La personnalit se construit cet ge quel r le jouent les nouvelles technologies En ayant des identit s multiples on peut se d couvrir soi m me L exploration de soi est structu rante l adolescence Une tude montre que les adolescents vont rencontrer de pr f rence sur In ternet des camarades de leur ge qu ils connaissent d j alors que les adultes cherchent vivre des choses qu ils ne connaissent pas Et les b n fices et risques li s Internet Les r seaux sociaux ont pour quelqu un de timide un effet d sinhibiteur positif Ils struc turent et offrent une meilleure
49. partir de l interview d une personnalit pour se ter miner par le principal une es quisse de ce que seront les HUG l horizon 2025 De plus chaque chapitre comporte plu sieurs vignettes avec quelques chiffres donnant une id e de l ampleur et de l int r t du su jet trait ainsi que des rep res biographiques des personnali t s ou des domaines trait s Jacques Boesch 1 So mue a Les auteurs sont all s la rencontre de ceux qui font l h pital chaque jour Savoir Les HUG 2073 enjeux et perspectives publi aux ditions du Tricorne Cet ouvrage peut tre command au prix de Fr 50 sur A www tricorne org Publicit fondation art S pour la recherche pour le bien tre du patient E HE care more help more Eduquer notre syst me im munitaire contre nos cellules canc reuses D velopper l immunoth rapie comme traitement contre les cellules souches tumorales Lutter contre les maladies m ta boliques li es l ob sit en comprenant le cycle naturel des cellules responsables Initier une nouvelle th rapie mol culaire contre le dia b te S curiser la transplan tation de cellules souches neuronales chez des pa tients atteints de la mala die de Parkinson pour une plus grande performance Tels sont les cinq nouveaux projets en recherche m dicale que la fondation Ar t res a d cid de soutenir cette ann e Souhaitez vous contribuer de man
50. perp tue ainsi une r putation helv tique bien an cr e dans la communaut m dicale internationale C est en effet peu connu du grand public l ophtalmologie est suisse comme la gastro nomie est fran aise ou le cin ma am ricain C est Gen ve au XVIII si cle que Jacques Daviel op re la premi re cataracte Zurich au d but du XX qu Alfred Vogt met au point la lampe fente qui quipe aujourd hui tous les ophtalmologues du monde A Lausanne vers 1920 que Jules Gonin r ussit en premi re mon diale un traitement du d colle ment de la r tine Et dix ans plus tard Berne Hans Goldmann invente la tonom trie standard toujours actuel pour mesurer la pression de l il 40 000 consultations par an au service d ophtalmologie des HUG Et la liste est loin d tre exhaus tive Mais il serait plus juste de dire qu elle est suisse et al lemande rectifie le Pr Farhad Ha ezi m decin chef du service d ophtalmologie qui s est for m Zurich dans les ann es 90 avec le pionnier de la chirurgie r fractive lire en page 17 le Pr Th o Seiler ophtalmologue et physicien originaire du Bade Wurtemberg Point fort la transplantation des corn es Aujourd hui le service d ophtal mologie ce sont 1500 op rations environ 40000 consultations par an et des prestations uniques en Suisse Toutes les sous sp cialit s y sont repr sent es chirurgie de la corn e de la catar
51. r les plus jeunes qui ne savent pas lire pour conna tre l acuit visuelle Ensuite l ophtalmologue utilise un microscope qui s appelle lampe fente permettant d clairer et d examiner les structures de l il la corn e le cristallin et la r tine Troisi me et derni re tape des gouttes sont mises dans les yeux pour dilater la pupille ll s agit de mesurer la r fraction de l il avec une haute fiabilit et d examiner encore une fois la r tine plus en d tail en ayant un champ visuel plus grand explique le Dr Panos S il y a un trouble de r fraction myopie hyperm tropie astigmatisme il pourra prescrire des lunettes Et de pr ciser En cas de faible hyperm tropie qui tr s souvent dispara t avec l ge on peut porter des lunettes de repos le soir G C Le livre et le site sont conseill s par le Centre de documentation en sant qui met en pr t des ouvrages et se situe au CMU av de Champel 9 022 379 50 90 www medecine unige ch cds AS tu de bons yeux Ces deux images ont 7 d tails qui les diff rencient Quels sont ils Entoure les 27 Lire Th o veut bien voir une histoire sur les lunettes Texte de Stefan Boonen Illustrations de Pauline Oud Editions Enfants Qu bec 2007 Th o a beaucoup de diffi cult s jouer la balle et regarder la t l vision Un jour il d cide de grimper un arbre avec sa meilleure amie Il rate une branche et tomb
52. rend des notes pour conduire ensuite le d briefing postsimulation Ce moment de la formation 40 50 minutes est crucial pour l am liora tion des connaissances et comp tences TEXTE GIUSEPPE COSTA PHOTOS MAREK DONNIER GLOBALVISION R F RENT DR GEORGES SAVOLDELLI Cam ra Il y en a trois deux filmant 360 et une plans fixes Elles per mettent l instructeur et au technicien de la salle de contr le de suivre l volution de la situation simul e et au besoin de la modifier selon les actions et comportements des apprenants Moniteur Facilitateur C est un formateur qui participe l op ration fictive Il conna t le sc nario influence son d rou lement et renseigne les acteurs lorsque le mannequin atteint ses limites technologiques Mannequin SimMan 3G est bourr d lectronique et destin si muler diverses situations cliniques Il transpire pleure convulse parle cligne des yeux Il peut tre intub ven til r anim perfus et r agir l administration de m dicaments Il est transportable contr lable par wifi et dot d un compresseur et d une batterie notamment pour g n rer la respiration et le rythme cardiaque VISITE VIRTUELLE sur l application Pulsations pour l iPad Appareil qui surveille les para m tres vitaux du patient durant l intervention Ceux ci peuvent tre modifi s de fa on corres pondre la situation clinique
53. rit dit elle d tendue et souriante D sormais elle travaille mi temps toujours au CICR car elle tait trop fatigu e 100 et retrouve le moral apr s deux ann es de travers e du d sert C est comme si j avais fait un mauvais r ve Heureusement mes parents ma s ur et le Dr Chofflon ont toujours t tr s pr sents Cela va mieux et j avi serai le moment venu souffle t elle En 2009 effet collat ral de tous les m dicaments pris une ost on crose aseptique Cons quence elle est op r e d une proth se totale de hanche L aussi c est un vieux souve nir La d marche est l gante et s re Elle reprend tout comme avant et commence m me des cours collectifs au fitness 33 ans Alexandra Lendais profite de ses apr s midis pour faire des balades avec le chien de ses parents passer du temps avec son neveu et sa ni ce ou encore reprendre des cours d anglais Aujourd hui je suis comme avant 2006 Ma maladie ne doit pas m emp cher d avoir une vie amoureuse ou des en fants Je g re bien ma situation au quotidien et ne pense pas dans dix ans J ai d cid de me laisser vivre au jour le jour Ce n est pas de l insouciance mais juste sa fa on d affronter l avenir avec une scl rose en plaques Giuseppe Costa En Suisse la moiti de votre subvention pour l audition a disparu Notre coute elle reste enti re Quatre certifications Acousticentre vous garantissent
54. s Hes so Haute Ecole Sp cialis e de Suisse occidentale Formation continue O O 000 NNN Fachhochschule Westschweiz Plus de renseignements sur Institut et Haute Ecole de la Sant Av Vinet 30 1004 Lausanne La Source T l 021 641 38 00 Lausanne mai juin 2013 30 Pulsations Je suis Sortie d un mauvals reve Apres deux ans de cauchemar Alexandra gere d sormais bien ses traitements li s Sa Scl rose en plaques et se laisse vivre Tout d un coup je ne pouvais plus marcher ni parler J avais des difficult s articuler comme lorsqu on a trop bu Mars 2006 Alexandra Lendais 26 ans tra vaille au Comit International de la Croix Rouge CICR et vient de rentrer du Darfour On pense qu elle a attrap une maladie l occasion de ce d placement professionnel Investigations aux HUG imagerie r sonnance magn tique IRM ponction lombaire batterie d examens L sions l IRM Le couperet tombe scl rose en plaques une maladie inflam matoire du syst me nerveux central On m a annonc la forme cyclique avec r mission Comme on a vu des l sions l IRM cela signifiait que j avais fait des crises auparavant sans les rep rer Je ne savais pas vrai ment quoi m attendre mais Juste que ce n tait pas bon se souvient elle d un ton pos Alexandra vit aujourd hui comme avant la maladie Elle a m me commenc des cours collectifs au
55. s Etudes des Pratiques Sociales E CARA Certificat d aptitude la recherche action Interventions sp cifiques de l infirmier re en sant au travail n e pr s de six millions de per sonnes dont plus de 600000 sont des non fumeurs victimes du tabagisme passif Sport Manifestation sportive mobi lit douce le Maradon a pour objectif de sensibiliser la popu lation et les instances politiques au don d organe La journ e d bute 15h avec des activit s pour les transplant s et leurs proches circuit p destre et cy cliste 20h le grand public est convi un concert de rock Journ e l occasion de la Journ e in ternationale du don du sang le centre de transfusion sanguine des HUG pr sente une exposi tion itin rante MPark en par tenariat avec la Migros Les 14 et 15 juin les visiteurs pourront donner leur sang sur place Liaison et orientation dans les r seaux de soins Int gration des savoirs scientifiques dans les pratiques professionnelles de la sant Aspects et soins m dico l gaux dans le domaine de la violence interpersonnelle Evaluation clinique infirmi re Cin ma Le cin club du R seau sant pour tous des HUG organise jeudi 13 juin 20h la projection du film Sarajevo mon amour La s ance est suivie d un d bat avec la Dre Shqipe Shehu Bro vina psychiatre en ville et le Dr Javier Bartolomei psychiatre responsable du p le migrant
56. scr te au sein de l quipe Etre pr sent sans g ner les coureurs note le Dr Gregory Ornon chef de clinique l UOTS Au d part durant la course comme le soir l h tel le m decin exa mine un genou enfl traite CEE gt LL Suites une plaie pose un tape prescrit un m dicament pro pose des compl ments alimentaires ou de la vitamine C etc Surtout il est in dispensable en cas de coup dur Comme le 6 f vrier dernier lorsque Kevyn Ista lanc 60km h dans le sprint final prend une barri re et vole par dessus son v lo Verdict traumatisme cr nien ainsi qu une fracture et une luxa tion du coude Apr s avoir trait l urgence Narbonne nous avons ra patri le coureur pour r aliser un bilan radiologique complet scanner aux HUG C est en suite un chirurgien sp cialiste du membre sup rieur le Dr Ni colas Holzer qui l a op r se souvient le Dr Ornon L UOTS cheville ouvri re du nouveau centre de m decine de l appareil locomoteur et du sport et qui d tient le label de Swiss Olympic Medi cal Center depuis 2004 fournit toutes ces prestations non seu lement ces athl tes de haut niveau mais galement tout un chacun Elle a en effet vo cation tre une plate forme de m decine du sport et de suivi pour des sportifs de tous niveaux ainsi que pour des pa tients mobilit r duite Pourquoi dois je por Le 39 des
57. strabisme il qui louche Dans ce cas le cerveau a la capacit de choi sir la bonne image et de supprimer la mau vaise et par cons quent l il qui voit mal ne d veloppe jamais une bonne vision Le traitement doit se faire avant l ge de 7 ans et consiste mettre un cache sur le bon il pour stimuler la voie visuelle d ficiente et ainsi restaurer la vision de l il amblyope ter des lunettes Internet Il a la forme d un globe il mesure 2 5cm de diam tre p se environ 8g etil est so lidement reli au cr ne par 6 muscles qui lui permettent de bouger dans toutes les di rections Il contient la majo rit des cellules sensorielles du corps humain et poss de un jumeau identique De quoi s agit il De ton il bien s r Pour savoir comment les yeux fonctionnent d couvre le dossier pr par par la Biblioth que des sciences et de l industrie portail des sciences et des technologies WwWwwyw cite sciences fr fr bibliotheque bsi Un examen indolore Il ne faut pas avoir peur d un examen chez l ophtalmologue Cela ne fait jamais mal car on ne pique pas On utilise juste la lumi re et des lunettes pour examiner la personne Le Dr Georgios Pa nos chef de clinique au service d ophtalmologie se veut d en tr e rassurant envers les plus jeunes avant d expliquer comme se passe une consultation La premi re tape consiste tester la vision avec des chiffres ou des dessins pou
58. tant flairer porter la bouche tenir dans la main Pas de console de jeux avant 6 ans Internet partir de 8 9 ans mais accompagn Enfin Inter net seul partir de 11 12 ans mais sans connexion depuis la chambre et pas de mani re illi mit e et en ayant expliqu les risques que sont le plagiat la pornographie et le harc lement Giuseppe Costa Bio 1948 naissance Valence Dr me 1975 th se de m decine 1982 Haddock et le fant me du Chevalier la question du p re dans les Aventures de Tintin 1996 Secrets de famille mode d emploi 2001 directeur de recherche l Universit Paris X Nanterre 2007 La r silience 2012 R ver fantasmer virtualiser du virtuel psychique au virtuel num rique Outre les sous sp cialit courantes Pages 12 13 le service di phtalmologie offre des prestations Unique comme l Jens te mai juin 2013 ophtalmologie TranSplantations traitements novateurs du k ratoc ne des infections de la corn e et du glaucome programme de recherche europ en en th rapie g nique de la r tine le service dophtalmologie des HUG offre une gamme de prestations unique en Suisse Le service d ophtalmologie des HUG est en passe de devenir l un des premiers centres en Suisse pour les comp tences cliniques et la recherche trans lationnelle recherche qui utilise les avanc es scientifiques pour mettre au point des nouvelles th rapies Il
59. tiser et informer C est dans ce double but que le pro gramme Contrepoids dresse ses stands l H pital et sur les autres sites des HUG l occa sion de la Journ e internationale de l ob sit On pourra y mesu rer la tension art rielle le rap port poids taille le tour de taille se regarder dans des miroirs d formants d couvrir les produits du label Terre Nature ou encore assister des conf rences no tamment celle de la Dre Patricia Hudelson sur le th me de ob sit travers les cultures G les m tiers de la sant medicalis Conf rence Pour am liorer une relation de couple renforcer la qualit du lien ou tout simplement pour changer avec d autres couples en coutant et partageant ses aspirations mutuelles Cit se niors organise un mercredi par mois des caf s couples Les prochaines rencontres anim es par la Dre Juliette Buffat m decin psychiatre et Jean Marie Bourgeois ing nieur conseil ont lieu les mercredis 29 mali et 26 juin Tabac La journ e est ax e sur l inter diction de la publicit pour le tabac sa promotion et son par rainage Il a t d montr que l interdiction de la publicit fait baisser le nombre de personnes qui commencent o continuent fumer L pid mie mondiale de tabagisme tue chaque an Publicit Action communautaire et promotion de la sant Sant des populations vieillissantes E DHEPS Dipl me des Haute
60. traiter la d pression en allant corriger sur place dans le cerveau les cellules qui ne font pas leur travail proprement On collabore avec le Pr Krause sur la th rapie cellulaire C est ex traordinaire de penser toutes ces comp tences r unies au tour du cerveau Daniel Bernard JULIEN GREGORIO PHOVEA mai juin 2013 Un livre pour comprendre les HUG Dans Les HUG 2013 enjeux et perspectives les auteurs sont all s la rencontre de ceux qui font h pital chaque jour Si l on devait citer l institution genevoise avec laquelle nous entretenons les relations les plus attachantes les H pitaux universitaires de Gen ve se raient sans aucun doute plac s en t te de liste Mais ce choix reste ambivalent car il rel ve simultan ment de la crainte de l accident ou de la maladie ils peuvent toucher nos proches et chacun d entre nous dans ce que nous avons de plus cher notre sant et de l assurance d tre pris en charge et bien soign s par des quipes m dicales par faittement comp tentes et hu mainement attentives Or ces relations sont sans cesse ravi v es sous les feux de l actualit Pas un jour sans que les m dias ne mentionnent un fait di vers une d couverte m dicale prometteuse un r cit extraor dinaire ou une donn e impres sionnante directement li s la vie des HUG Derri re la blouse blanche Mais qu en est il vraiment Que se passe t il r ellement dans ces i
61. ue la sur production d une prot ine VEGF et la sous production d une autre PEDF Notre but est d in troduire un g ne qui va fabriquer une prot ine produisant davan tage de PEDF afin de stopper la croissance des nouveaux vals seaux Concr tement il fau dra compter une heure au bloc op ratoire s agira de pr le ver sous anesth sie locale un fragment d iris 1 2 mm de lui int grer la mol cule d ADN contenant le g ne responsable le plasmide et de le r injecter sous la r tine afin qu il entre dans les cellules E au gt Pour diagnostiquer une d g n rescence maculaire li e l ge l ophtalmo logue pratique un examen du fond de l il LINDEGGER Cours de Rive 15 Gen ve lindegger optic ch Plusieurs tapes Voil pour la th orie En pratique il reste encore passer de nom breuses tapes D abord une phase pr clinique 2013 14 ll s agit d optimaliser le plasmide d en mettre au point la produc tion et de finaliser les tudes sur les cellules animales avant de passer l homme rel ve la Pre Thumann Dans la fou l e Swiss Medic l organe fa tier qui r glemente et contr le les produits devrait donner son feu vert 2014 15 Enfin l tude clinique de phase 1 2015 16 pour s assurer de la s curit portera sur dix pa tients suivis aux HUG et dix Vienne Si cette tude arrive terme avec succ s on pour ra d velopper
62. urn e Je ne sais pas si l avenir cette r activit restera possible sur la base du vo lontariat s interroge la Pre Samia Hurst bio thicienne et consultante en thique du Conseil d thique clinique des HUG Avec cette obligation d efficience accrue la vitesse de r activit sera une n cessit Les difficult s venant de la standardisation des processus pourraient causer un effritement de la dimension thique si on n y prend pas garde Mais on pourrait imaginer la question inverse une judiciarisation de la soci t m nerait elle une forme d obligation d avoir recours une consultation d thique pour se couvrir Et la Pre Hurst ajoute Ce n est pas la vocation des services de soutien thique Ce serait dommage qu ils s orientent vers des prestations de validation plut t que pour une aide la r flexion Olivier Delhoume roradiologue et le neurochirur gien et sans le r veiller sans le remettre en chambre l tage ou aux soins intensifs on ferait tout de suite le geste le mieux appropri au cas se pr sentant Musique d avenir On doit ab solument aller dans ce sens poursuit le Pr Karl Schaller S il est venu Gen ve alors qu on lui faisait un pont d or Bonn c est pour participer la cr ation d un centre de renom m e internationale la hauteur des ambitions des HUG De main c est aussi vers la neu ropsychiatrie que nous nous tournerons de plus en plus On entrevoit de
63. vrage Les m decines compl mentaires dirig par Bertrand Graz jusqu aux volutions ac tuelles vers des m decines int gratives en Suisse et dans le monde particuli re ment aux Etats Unis Sous leur influence se d veloppe une nouvelle mani re d va luer s rieusement diverses th rapies dans l intention d sormais officielle de les int grer avec discernement dans le syst me de sant Edi tion Le Savoir suisse 2012 Chaque ann e en Suisse le cancer du col de l ut rus tue une centaine de patientes Or environ 30 40 des femmes ne participent pas au d pistage et risquent de d velopper un cancer du col Les HUG ont lanc en sep tembre 2011 une tude pour mieux comprendre les r sis tances ce d pistage pudeur manque d argent de temps ou d information Peuvent participer cette recherche les femmes g es de 25 69 ans qui n ont pas effec tu cet examen depuis trois ans et plus Elles b n ficie ront d un d pistage gratuit la Maternit ou par autopr l vement vaginal domicile Contact Isabelle Royannez Drevard au 022 382 42 70 http gyneco obstetrique hug ge ch S K Sharma D P Pandey K B Shah F Tillack F Chappuis C L Thapa E Alirol amp U Kuch Les serpents venimeux du N pal repr sentent un dan ger pour les habitants Deux collaborateurs des HUG ont particip un guide photo graphique informant les pro fessionnels de la sant

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