L`integration des activites de lecture/ecriture dans une simulation sur
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1. force de mutations subies par les diff rents domaines d activit et les moyens de communication se caract rise par une tendance diluer les fronti res de sorte que les limites entre le r el et le virtuel entre le jeu et le travail ne sont plus facilement perceptibles Le jeu est entr dans la r alit du travail et le jeu n cessite s rieux et travail Ya che 2007 17 C est la raison pour laquelle la didactique des langues a d s interroger sur ses propres outils de travail et sur son ad quation aux besoins d un public nouveau Il y a eu l obligation de rechercher de nouveaux modes d enseignement apprentissage de nouveaux terrains de nouvelles probl matiques ce qui s accompagne de la construction de nouveaux mod les en fonction d objectifs implicites ou explicites Pendant les dix derni res ann es on a pu remarquer un v ritable changement dans la mani re de faire vivre les simulations globales l origine tr s prescriptives et tr s balis es par les canevas d invention labor s par les chercheurs du BELC les simulations globales notamment dans les domaines professionnels o les temps de formation sont plus courts se sont affranchies de ces mod les pour devenir progressivement des cadres ou des sc nario de cadrage co existant avec d autres activit s Yaiche 2007 14 Le passage d une comp tence g n rale une comp tence plus sp cifique en fran ais langue2. trang re peut se faire lors d une formation linguistique professionnelle la demande d un public sp cialis qui ne veut pas tudier e fran ais mais du fran ais pour pouvoir s en servir ult rieurement dans l exercice de sa profession Or l une des contraintes d une telle formation est le temps limit dont ce public dispose Par la suite il faut leur proposer des formules plus intensives ct plus br ves qui s tendent sur un ou plusieurs week end ou sur une semaine pleine raison de 30 35 heures d enseignement En g n ral ces publics disposent d un certain niveau de fran ais minimum B1 conform ment au Cadre europ en commun de r f rence pour les langues et leurs buts convergent vers l actualisation du vocabulaire passif et 58 4 l acquisition d un vocabulaire technique simultan ment un int r t accru pour l obtention d une certaine fluidit dans la communication I en r sulte que le public joue un r le important dans le d marcage de la fronti re entre une simulation g n raliste et une S O S C est en fonction de ce public que l enseignant devra assigner tel ou tel objectif au lieu th me choisi pouvant transformer une simulation g n raliste dans une S O S et vice versa Si nous prenons par exemple la simulation l mmeuble initialement con ue comme une simulation g n raliste on peut la convertir en une S O S si le public concern s int resse l architecture l urba
3. Scientific Bulletin of Politehnica University of Timisoara Transactions on Modern languages Vol 7 No 1 2 2008 Buletinul Stiintific al Universit ii Politehnica din Timi oara Seria Limbi moderne L int gration des activit s de lecture criture dans une simulation sur objectifs sp cifiques lleana Neli EIBEN R sum L omnipr sence des documents crits dans la vie quotidienne d une personne allant de documents officiels jusqu petits mots priv s d importance nous a fait penser une possible exploitation en cours de FLE Bien qu elle soit une activit bas e sur l oral la simulation globale et plus exactement la simulation sur objectifs sp cifiques nous servira de cadre pour y int grer des activit s de lecture et d criture Dans cette optique nous insisterons sur quelques types de lecture susceptibles de correspondre aux attendes d un public cibl qui devra par la suite tre initi une certaine typologie des textes que les apprenants auront r diger dans l exercice de leur profession Mots cl lecture cr mage lecture balayage prise de notes compte rendu d un v nement simulation sur objectifs sp cifiques 4 Introduction Traditionnellement associ es l enseignement apprentissage de la litt rature la lecture et l criture qui feront l objet de notre tude repr sentent des r alit s de notre vie de tous les jours Partout dans la rue la maison au travai
4. ce majeure pour les d marches ult rieures Un v ritable aide m moire et un obstacle contre l oubli la prise de notes permet de ne pas surcharger notre m moire de mat riaux mais de les pr server sous un autre format pour s en servir ult rieurement D ailleurs cela impose d organiser les notes de fa on efficace pour qu on puisse y revenir aussi souvent que l on veut C est surtout cet emploi futur qui dicte les r gles et les principes de la prise de notes et nous allons essayer d en inventorier quelques uns dans ce qui suit Pour viter les notes mortes qu on n arrive plus d chiffrer et utiliser apr s un certain laps de temps il faut d abord mettre l accent sur quelques aspects mat riels comme par exemple la couleur des pages leur format les marges les intervalles etc Denis Baril dans son livre consacr aux Techniques de l expression crite et orale recommande la couleur blanche des pages pour des raisons de lisibilit et aussi le m me format pour toutes les pages Il est d conseill d utiliser des pages de diff rents formats parce que cela entrave la disposition et aussi la reliure qui permet de ne pas les parpiller ou les perdre De m me il est indiqu de les num roter pour ne pas les m langer et pour suivre plus facilement l encha nement des id es Pour ce qui est de la mise en page on doit laisser des marges et des intervalles entre les parties et n utiliser que les rectos pour en fai
5. constance notable Le d roulement de l v nement doit tre retrac aussi fid lement et objectivement que possible sans l ajout de commentaires personnels Quant au lecteur il doit avoir un acc s rapide aux informations du compte rendu c est pourquoi il faut viter de formuler des impressions vagues ou d utiliser des effets de style De m me la fragmentation du compte rendu en paragraphes surmont s la limite de titres et sous titres peut faciliter la r ception du message du texte Pour la r daction proprement dite d un compte rendu d un v nement il est recommandable de situer dans le temps et dans l espace l v nement et identifier les protagonistes de l v nement pr ciser le type d v nement incident accident conflit etc d crire dans l ordre chronologique le d roulement des v nements en s lectionnant les moments principaux ou faits essentiels trouver les articulateurs logiques ad quats d num ration d explication d illustration etc proposer en conclusion un constat une observation une demande une r clamation etc Les temps verbaux utilis s dans la r daction d un compte rendu sont le pass compos ou le pr sent permanent pour des constatations toujours valables Cela s explique par le fait que le compte rendu rapporte des faits pass s et il est r dig apr s la fin d un v nement Sans avoir puis le sujet notre approche pourrait tre comp
6. discours futur Les informations obtenues bien qu assez restrictives peuvent constituer un point de d part condition que les apprenants gr ce leurs savoirs r f rentiels puissent aller plus loin et d velopper le sujet Pour ce qui est de la lecture balayage scanning l enseignant peut proposer un rep rage de tous les mots crits diff remment en gras ou en italique ou des phrases entre guillemets susceptibles de mener la formulation des hypoth ses th matiques Secondaire la lecture cr mage ce type de lecture doit enrichir les informations d j acquises et confirmer ou infirmer les hypoth ses lanc es lors de la premi re tape de d cryptage L inventaire des quelques techniques de lecture pr sent es plus haut est repr sentatif pour une approche globale qui a une port e imm diate permettant l acc s au sens du texte sans qu il soit n cessaire de le d chiffrer enti rement 4 Les activit s d criture en contexte S O S Selon Sophie Moirand 1993 9 la situation d crit peut se d finir comme une situation de communication crite ce qui implique des scripteurs crivant et pour des lecteurs ou bien des lecteurs lisant des documents produits par des scripteurs production et ou r ception ayant lieu par ailleurs dans un lieu et un moment pr cis pour une raison donn e et avec des objectifs sp cifiques 61 Dans le cadre d une S O S nous avons affaire un scr
7. ipteur qui appartient un groupe social au sein duquel il a un statut social bien d fini ce qui influe beaucoup sur son mode de vie et son langage Il a galement un pass socio culturel qui influence ses productions verbales Par exemple si nous prenons le cas de la conf rence de presse le scripteur politique ou journaliste a d j fait exp rience de certains textes officiels sinon en langue cible au moins dans sa langue maternelle et il sait que son texte s adresse un lecteur virtuel C est la raison pour laquelle il doit mettre en concordance son intention de communication avec les repr sentations du lecteur auquel il veut communiquer le message Il doit lui faire part d un v nement auquel le dernier n avait pas particip mais dont il doit se faire une id e aussi claire et objective que possible Ces quelques aspects de la situation d crit en contexte S O S nous ont sugg r un travail de mod lisation qui comme le montre Parpette 1990 136 consiste faire d couvrir et expliciter un mod le pour la t che r aliser avant de demander faux apprenants des r alisations personnelles de cette t che Pour aider les apprenants accomplir leur t che nous voulons les sensibiliser certains types de textes mais nous limiterons notre enqu te la prise de notes et au compte rendu La prise de notes repr sente le point de d part le fondement et c est pourquoi nous la consid rons d une importan
8. l nous sommes en contact avec des textes lire Qu il s agisse de textes officiels notes de service rapports etc de textes publicitaires d articies de presse ou de petits mots de nos voisins pour des probl mes de tuyauterie c est toujours le m me processus nos yeux captent l information diss min e autour de nous Tout cela est galement valable pour l criture chaque jour nous sommes amen s crire des lettres des institutions officielles mais aussi des courriels ou des SMS nos amis Alors le grand d fi pour nous serait de casser les barri res qui limitent la lecture et l criture un seul domaine celui de la litt rature et de voir en quelle Assistant University of the West Timi oara 57 mesure elles seraient utiles dans un enseignement apprentissage fonctionnel du fran ais langue trang re Pour ce faire nous nous proposons d int grer la lecture et l criture dans une simulation sur objectifs sp cifiques un premier abord cela pourrait sembler incongru et audacieux mais en se penchant plus sur la question on peut constater que c est tout fait pertinent Bien qu elle soit essentiellement une activit orale la simulation globale est avant tout une activit complexe qui favorise les quatre comp tences compr hension expression orale mais aussi compr hension expression crite 2 Qu est ce que la simulation sur objectifs sp cifiques L poque postmoderne
9. l t e par une tude concernant la grammaire et le vocabulaire et leur int gration dans une S O S Il serait int ressant de voir comment on pourrait enseigner la grammairc lc vocabulaire tout cn faisant semblant d enseigner et les apprenants tout en faisant semblant d apprendre car le faire semblant se trouve la base de toute simulation En m me temps nous nous plairions croire que notre br ve analyse de quelques types de lecture et de structures textuelles pourrait tre l appui de tout travail de r daction fait par les apprenants experts l issue d une S O S 63 R f rences bibliographiques 1 ARIFON Olivier Jean Marc CAR et Antoinette ZABARDI Simuler pour n gocier Le fran ais dans le monde 306 1999 pp 36 39 2 BARIL Denis Techniques de l expression crite et orale Paris Editions Dalloz 2002 3 CALI Chantal Contextualiser les activit s de simulation dans un programme FOS intensif bilan d une formation la cr ation de sc narios de simulation Points communs 31 2007 pp 9 12 4 CALI Chantal Mireille Cheval et Antoinette Zabardi La conf rence internationale et ses variantes Paris Hachette FLE 1995 5 CORNAIRE Claudette et Claude Germain Le point sur la lecture Paris CLE International 1999 6 GERMAIN Claude Claudette Cornaire et Patricia Mary Raymond La production crite Paris CLE International 1999 7 GOHARD RADENKOVIC Aline L crit
10. mentation de la feuille de route de chacun des acteurs de l v nement de communication choisi de documents fonctionnels n cessit s par la simulation d autres documents d accompagnement utiliser avant la simulation ou posteriori On pourrait conclure que la S O S est une technique complexe qui vise les quatre comp tences compr hension crite orale expression crite orale et dont le r le dans une nouvelle didactique du F O S est bien soulign par Chantal Cali 2007 9 10 travailler en FOS avec l outil de la simulation c est re donner en classe beaucoup de place la n gociation des t ches des productions du sens aux changes de savoirs et savoir faire professionnels entre participants experts dans leur domaine et participants novices et la communication entre pairs en g n ral que ce soit pour la pr pararion du jeu ou pour toutes les activit s de feedback langagier posteriori 3 Les activit s de lecture en contexte S O S Pour aborder les activit s de lecture susceptibles de faire l objet d une S O S nous partons de quelques pr misses th oriques inh rentes notre approche Le profil du lecteur en est une Nous supposons que notre public adulte ayant au minimum un niveau B1 sinon B2 poss de d j une certaine habilet reconna tre les mots et des connaissances morphosyntaxiques facilitant la pr diction Par exemple il sait qu un article est plus souve
11. nisme etc Et inversement l H tel une S O S peut devenir une simulation g n raliste quand on ne s adresse pas des professionnels du tourisme mais un public plus large qui veut obtenir une am lioration de ses comp tences langagi res en fran ais Notre approche de la question ne serait pas compl te sans un court regard sur le r le de l enseignant dans une S O S car il faut se questionner sur l attitude adopter dans une telle situation et sur les connaissances ma triser dans le domaine de r f rence Au c ur d une formation en F O S r side souvent un double probl me un apprenant non sp cialiste de langues mais ayant de fortes connaissances r f rentielles de son domaine d activit et maniant les outils conceptuels qui y sont utilis s face un enseignant sp cialiste de langues et de didactique mais n ayant qu une connaissance limit e du domaine d activit de l apprenant et n en maniant pas toujours tr s bien les outils conceptuels Sagnier htip www francparler org La formule d un bin me qui r unisse un enseignant du FLE d tenteur d un savoir langagier g n ralis et un professionnel d tenteur d un savoir faire conforme la profession cible risque d tre inefficace et de soulever des probl mes de concertation sur l importance accord e aux aspects linguistiques et pragmatiques Pour un professeur de langues il serait id al de pouvoir suivre une formation en c
12. nt suivi par un substantif que par un adverbe et il s attendra voir certains mots appara tre dans un contexte particulier Apr s avoir d pass le stade du lecteur apprenti esclave de la lecture d chiffrage qui se caract rise par une certaine lenteur et une tendance traduire le texte en langue maternelle notre public dor navant affranchi n est plus m dus par le premier contact avec le texte Bien au contraire il est pr t s aventurer dans des hypoth ses contextuelles en s appuyant sur son exp rience du v cu et sur ses connaissances du sujet aborder Une remarque s impose l opacit culturel du texte peut entraver la compr hension c est pourquoi il doit appartenir au champ r f rentiel du lecteur Tout cela en raison du fait que la familiarit des apprenants avec le sujet tudi facilite la compr hension par un archivage et une mise jour des connaissances ant rieures grammaticales lexicales et r f rentielles Dans le m me ordre d id es nous accorderons la priorit la lecture globale du texte qui permettra au lecteur d effectuer un mouvement de va et vient entre les donn es du texte et son acquis linguistique et culturel D ailleurs le fait que le texte est tout un syst me bien articul et hi rarchis au sein duquel chaque unit 60 linguistique entretient avec les autres des relations d interd pendance Chuong 2003 29 permet d exclure de notre analyse la lec
13. ommunication aux t ches vis es lorsqu elles sont particuli rement complexes n gociation conduite de r union pr sentations diverses etc Cali 2007 11 une immersion dans le milieu cible ou un contact avec des professionnels lui permettant de prendre conscience des discours en circulation des fa ons de dire associ es des fa ons de faire particuli res un milieu Cali 2007 11 Il ne s agit pas de devenir un sp cialiste dans le domaine de sp cialit vis mais de se construire progressivement une relative familiarit qui permette l enseignant de communiquer facilement avec des sp cialistes Et cela d autant plus que l impr visibie fait partie de la simulation et toute une partie de son intervention p dagogique va se faire ad hoc en suivant les productions du groupe Au surplus comme nous l avons d j indiqu un peu plus haut l enseignant sera confront des participants experts qui doivent fonder leurs nouvelles connaissances sur des pr acquis bien s diment s dans l accomplissement de leurs t ches professionnelles ce qui suppose un effort suppl mentaire de sa part 59 Dans l laboration d un sc nario de S O S l enseignant doit se focaliser sur les besoins concrets du public cible et sur l emploi futur des connaissances acquises lors du stage Cela impose qu la base de toute S O S se trouve un dossier de guidage compos du sc nario de cadrage d un dossier de docu
14. re une manipulation ais e L en t te doit lui aussi comporter des donn es sur la date je lieu l int r t l utilisation et la provenance des notes Dans beaucoup de situations la prise de notes s av re tre une technique ardue qui malheureusement jouit de peu d attention dans les classes de langue et non 62 seulement Ecrire l essentiel avec un maximum de rapidit et d efficacit peut constituer une technique p rilleuse qui soul ve de nombreux probl mes trous de m moires id es d sordonn es notes incompl tes C est pourquoi il s impose de l optimiser et quelques conseils s av rent tr s utiles bien se pr parer s appuyer sur un glossaire d abr viations s quencer la prise de notes faciliter la relecture d velopper sa propre recette Germain http journaldunet com management 0604 Le compte rendu d un v nement c est celui qui nous int resse pour la S O S repr sente la restitution crite de faits que l on a v cus ou dont on a t t moin Gohard Radenkovic 1995 71 Son objectif principal est d offrir une image exacte et succincte ainsi qu un certain nombre d informations des interlocuteurs qui n ont pas eu l occasion d y assister On doit leur faire gagner du temps en leur transmettant une information utile un document de r f rence auquel ils peuvent se rapporter tout moment Pour ce faire il faut tre descriptif et n omettre aucune cir
15. strat gies et pratiques Paris CLE International 1995 8 Moirand Sophie Situations d crit Compr hension production en langue trang re Paris CLE International 1993 9 PARPETTE Chantal Formation linguistique et formation scientifique int gr es Le fran ais dans le monde num ro sp cial ao t septembre Publics sp cifiques et communication sp cialis e Beacco Jean Claude et Denis Lehmann coord Paris EDICEF 1990 10 VO Van Chuong Proc d s anaphoriques et lecture en FLE Le Fran ais dans le monde 327 2003 pp 29 30 11 YAICHE Francis Les simulations globales mode d emploi Paris Hachette 1996 12 YA CHE Francis Piloter une S O S rallyes classiques nouveaux circuits et tout terrain Points communs 31 2007 pp 13 17 Sitographie 1 GERMAIN Pierre Louis Cinq conseils pour une prise de notes efficace hitp fiournaldunei com management 0604 0604132prisedenoies shiml 26 04 2006 page consult e le 6 mai 2007 2 SAGNIER Christine Les m thodes et l usage des m thodes en FOS int r ts usages limites http www francparler org dossiers os htmtpoints Avril 2005 page consult e le 6 mai 2007 3 ZABARDI Antoinette Se former au Fran ais sur objectifs sp cifiques Entretien 31 01 06 page consult e le 6 mai 2007 64
16. ture s quentielle caract ris e par la compr hension successive d unit s d cod es les unes apr s les autres et d envisager une initiation de l apprenant la lecture cr mage skimming et balayage scanning La lecture cr mage skimming consiste parcourir le texte rapidement et de fa on non lin aire c est en quelque sorte faire un survol pour avoir une id e globale de son contenu Cornaire 1999 40 et la lecture balayage scanning qui est une lecture s lective en diagonale consiste rep rer rapidement une information pr cise Cornaire 1999 40 Mis dans une situation active l tudiant sera entra n identifier une s rie d l ments signifiants qui ne n cessitent pas une lecture lin aire du texte mais plut t un d chiffrement des didascalies et des l ments redondants Pour ce qui est de la lecture cr mage skimming nous proposons une tude pr liminaire des titres et sous titres des l gendes des photos des chapeaux des articles et des d buts de paragraphes qui doivent constituer un premier contact avec le texte Pour aider les tudiants dans leur travail on peut mettre leur disposition des tableaux qu ils devront remplir avec les informations requises Cette tape d identification des l ments extratextuels et textuels doit tre suivie par des op rations de liage entre les diff rentes informations pour r aliser une mise en commun utile dans la r daction du
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