"Safe-spéléo" - Société Suisse de Spéléologie
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1. Les particularit s de Dans un milieu tr s sp cifique le plongeur sp l o est avant toute chose un sp l ologue utilisant la plong e comme moyen d aller au bout de son exploration et non un plongeur en eau libre d sirant diversifier ses plong es Contrairement la plong e de loisir l exploration des conduits noy s requiert un mat riel particulier savoir des bouteilles robinetteries s par es et prot g es munies chacune d un d tendeur et d un manom tre l clairage au m me titre que la ges tion de l air technique des tiers est capital il doit tre multiple et ne pas g ner la progression Comme Ariane dans l antre du Minotaure le fil guide est le meilleur ami du plongeur souterrain est indispensable mais peut se r v ler son pire ennemi s il est mal utilis En r gle g n rale il est illusoire dans ce type de plong e de compter sur l assistance d un quipier Les techniques de progression sur corde et la l g ret du mat riel rendent possible une pratique individuelle voire soli taire de la sp l o Rien de plus facile que d accrocher un kit sa ceinture et de d valer des puits Rien de plus facile non plus que de les remonter m me si c est un peu plus p nible Cette apparente simplicit a le d savantage de masquer les r elles difficult s que peuvent pr senter les incursions sou terraines Mais de quoi parlons nous aurait il donc des risques si2. 3181236 31901031305 D 5 5 5 3 Edito 4 La sp l o quels risques 2 quelle pr vention Les habitudes et les gestes 5 qui sauvent l accompagnement de groupes de n ophytes 6 SOUS terre 3 H 6 La m thode 3x3 F pour une pratique s re COUVERTE DU MILIEU de la sp l o 8 La Soci t suisse de sp l ologie 9 Clubs et adresses utiles d 10 Un accident sous terre un d fi m dical et technique pour les sauveteurs 2 L L l assurance sp l o de la SSS D couverte du milieu souterrain Faire rimer plaisir avec responsabilit sp l o est source de bonheur Aller sous terre c est chapper aux contraintes qui rythment et fa onnent notre quotidien Dans le d dale des couloirs souter rains personne ne nous dicte notre comportement Pour ceux qui l appr cient ce milieu myst rieux repr sente un espace o la libert 2 D 2 individuelle peut s exprimer par le biais d une activit sportive ou scientifique enthousiasmante Pourtant descendre sous terre n est pas sans risques La facilit procur e par les techniques individuelles de progression sur corde est trompeuse Elle ne devrait pas faire oublier que n importe quel incident peut avoir des cons quences graves pour la personne qui en est victime bien s r mais aussi pou
3. l endroit de l accident atten dant que son tramsport vers la sur face puisse d buter Durant cette phase la lutte contre le refroi dissement est capitale de m me que celle contre les douleurs et l aggravation de l tat de sant La pr sence de m decins s av re indispensable Cependant il a de mira cles malgr l am lioration des techniques de progression souter r raine des connaissances m di cales les accidents souterrains repr senteront toujours un d fi Un d fi demandant beaucoup d nergie et de temps Il s agit donc d en r duire la pro babilit au maximum S VIV l assurance sp l o de la SSS la meilleure garante pour tre ien assur contre les accidents souterrains La Soci t suisse de sp l ologie assure tous ses membres actifs contre les accidents relatifs la pratique de la sp l ologie aupr s de la Winterthur Assurances avec laquelle un contrat collectif a t sign Sp cialement adapt e aux besoins des sp l os cette assurance couvre l ensemble des activit s li es l exploration souterraine l approche des cavit s pratique de la sp l o dans le monde entier la sp l o solitaire plong e en rivi re lac en siphon la pratique de l alpinisme sous toutes ses formes consid r dans ce cas comme un entra nement la sp l o l utilisation d e
4. yi i ants SO par ct alarme Op SECOURS 4 s re de la sp l o Soi m me Ses co quipiers La grotte boire Sans attendre d avoir soif pas oublier de Manger souvent de Petites quantit s Niveaux d eau d bit des Cascades Marques de crue Courants d air L quipement en g n ral est il praticable et efficace en toute situation 2 Les 5 Sont ils bien plac s tes 2 L quipement est il en bon tat 2 Les Passages difficiles sont ils franchissables par tout le monde m andres puits arros s rivi res 2 POINT Qui force Ja gro d passe aUSsi ses Propres limites E formation au sein de la SSS les stages La SSS met sur pied des stages de formation aux quatre coins du pays initiation la sp l ologie perfectionnement topographie les clubs Les clubs eux m mes proposent des soir es ou des journ es de formation o sont entra n es les techniques de progression souterraine et les m thodes de d gagement d quipiers indispensables ma triser si l on pratique la sp l ologie verticale les changes Que ce soit lors de congr s d assembl es ou soir e la SSS organise des pr sentations ou des d bats relatifs des aspects particuliers de la s curit en sp l ologie l hy
5. Chaque participant doit tre quip au minimum d un casque avec jugulaire d un clairage frontal fix sur le casque de v tements chauds de bottes de souliers de marche 5 Chaque participant doit tre assur contre les accidents de sp l ologie 6 En cas d accident souterrain partout en Suisse les secours doivent tre demand s via la centrale d alarme la REGA au N 1414 en pr cisant qu il s agit d un accident de sp l ologie La Soci t suisse de sp l ologie et son institut l ISSKA d clinent toute responsabilit cas d accident m me si les recomman dations donn es dans ce document ont t respect es PRINCIPES DE BASE s se former conna tre ses limites conna tre ses quipiers les pr visions m t o annoncer ses intentions s assurer m t o r visions tion g n rale sur articuliers ole 2 n aa sur la grotte endroits niveaux cipitations e e eut l eau d eau 2 QUIPER CORRECTE piles En aa carbure eau EE SE eat Aus de ee chaussures e cagoule le group eier Ser 1 cordelette GE plod j le cnx macie p nourrure EP P crayon 1 sang A 94m 1 I apier at riel
6. Protec tion de la nature S curit Ensei gnement Archives nationales et Bibliographie internationale les quels servent d interface entre la SSS et les non sp l ologues tout en collaborant troitement avec les commissions de la 599 Localisation des clubs de SSS 2 SSS Ticino Soci t Sp l ologique Genevoise 3 Groupe Autonome Genevois de E Sp l ologie Sp l o Club de Nyon Sp l o Club de la Vall e de Joux Groupe Sp l o Lausanne SSS Naye Sp l o Club du Pays d Enhaut Groupe de Sp l ologie St Exup ry Vouvry Groupe Sp l o Rhodanien Sp l o Club Cheseaux Sp l o Club du Nord Vaudois les Trogl hobbies Groupe Sp l o Takaramp Nord vaudois Sp l o Club des Pr alpes Fribourgeoises Sp l o Club du Vignoble Neuch telois Sp l o Club du Val de Travers Sp l o Club Ind pendant La Chaux de Fonds Sp l o Club des Montagnes Neuch teloises Groupe Sp l o Troglolog Neuch tel 20 Cl 22 24 23 26 28 29 30 el 32 33 34 36 38 SE Groupe Sp l o La Neuveville Groupe Sp l o des Franches Montagnes Groupe Sp l o Bienne Sp l o Club Bienne Boujean Sp l o Club Jura Groupe Sp l o Porrentruy SGH Bern SGH Interlaken Speleoclub Netopyr H hlengruppe Grenchen H hlen Team Basel SGH Basel Arbeitsgemeinschaft Liestal SGH Lenzburg Arbeitsgemeinschaft Regensdorf Ostschwe
7. te et l g re elle peut se r v ler capitale en cas d attente prolong e sous terre Avec la flamme de la lampe ac tyl ne comme source de chaleur elle permet au sp l o en attente dans la position de la tortue de lutter efficacement contre le froid LES IMPR VUS DE LA SP L O VERTICALE Descendre et monter sur une corde avec les techniques adapt es Un jeu d enfant Mais attention l illusion Tout pratiquant de la sp l o logie verticale doit s entra ner faire face des situations impr vues et urgentes Que faire par exemple si un cama rade pour une raison X se trouve bloqu sur la corde Le d gager rapidement est indispensable Faut il chercher le monter ou le descendre Faut il installer une corde de secours et couper la sienne Des solutions existent Mais elles demandent un appren tissage et un entra nement r gulier A AEE de groupes de n ophytes dans les grottes 1 Pour de n ophytes dans des grottes 3 personnes exp riment es au minimum devraient tre pr sentes 2 groupe qui visite une grotte ne devrait pas compter plus de 5 n ophytes 3 Le responsable du groupe doit s informer pr cis ment sur les dangers que peut pr senter la cavit visit e puits risques de crue et sur les condi tions m t orologiques loca les fonte des neiges risques 4
8. additionn es d autres erreurs ou v nements ext rieurs finissent pas avoir des cons quences dramatiques M me si l on ma trise sur le bout des doigts toutes les techniques sp l o encore faut il ne pas n gliger l acc s aux cavit s n est pas exceptionnel que les entr es de grottes soient situ es dans des endroits d acc s difficile voire p rilleux Au bagage technique du sp l o doit alors s ajouter une bonne connaissance de la montagne et de ses dangers a t il risque d avalanche Faut il viter de franchir tel passage de nuit Est il n cessaire de pla cer une corde fixe 2 Bref r fl chir plut t que gu rir Sud es et gestes ge peuvent sauver SAVOIR RENONCER Lorsque l on a attendu avec impatience le moment d une belle exploration souterraine il est difficile d y renoncer Pourtant si se sent pas en forme si les conditions m t o sont limite 51 il faut parfois avoir le courage et la modestie de dire NON sera pour une autre fois PENSER ET BOIRE R GULI REMENT Sous terre le temps passe vite et l on n glige souvent de 5 et de boire Mais avec le froid et l effort les besoins en nourriture et en liquide sont pourtant bien r els Satisfaire ces besoins physiologiques contribue fortement demeurer en forme plus longtemps EMPORTER DANS SON CASQUE UNE COUVERTURE DE SURVIE Discr
9. h niquement les chercheurs et leur permettent de mener leurs travaux dans des endroits parfois fort l s l int rieur des montagnes Sur la base de cette proximit entre personnes aux comp tences diverses et compl mentaires se d veloppe une tude toujours plus vaste et riche du milieu souterrain helv tique ou tranger En effet les sp l ologues suisses se montrent aussi tr s actifs en dehors de nos fronti res puisque chaque ann e plusieurs exp ditions interclubs sont mises sur pied l tranger Si convivialit esprit d ouverture partage d exp riences sont des notions importantes au sein de la SSS son travail s appuie tout m me sur une structure bien ta blie dans laquelle diff rentes com missions Scientifique Publications Formation Secours Plong e Patri moine Mat riel Biblioth que et Documentation jouent un r le de premier ordre L Institut suisse de sp l ologie et de karstologie ISSKA Afin de l aider remplir ses diff rentes missions et de mieux faire conna tre et reconna tre son travail dans un cercle plus large que celui des sp l ologues pouvoirs publics coles grand public milieux aca d miques organisations diverses la SSS s est dot e derni rement d un institut l ISSKA Etabli La Chaux de Fonds 155 dispose d un point de con tact al manique Zurich L ISSKA compte six secteurs d acti vit Recherche scientifique
10. izerische Gesellschaft f r H hlenforschung Winterthur Arbeitsgemeinschoft H llochforschung H hlengruppe Muotathal H hlenforschergruppe BELG H hlenclub Alpstein utiles Soci t suisse de sp l ologie case postale 37 1020 Renens SSS SGH speleo ch www speleo ch ISSKA Institut suisse de sp l ologie et de karstologie case postale 818 2301 La Chaux de Fonds T l 032 968 66 88 Fax 032 968 66 89 info isska ch www isska ch Infos m t o es T l 162 M t oSuisse e T l 157 52 720 Gen ve 24h 24 informations et conseils personnalis s en fran ais T l 157 52 82 Locarno 8h et 14h30 16h00 en italien 157 52 620 Zurich 24h 24 en allemand Fax 157 126 260 www sma ch Infos avalanches e T l 187 ENA Davos Fax polling Mode d emploi 0900 59 20 20 Fran ais 0900 59 20 22 Allemand 0900 59 20 21 0900 59 20 23 www sl ch Les accidents souterrains surve nant en Suisse sont relativement peu nombreux Mais toutes les interventions pr sentent d impor tantes difficult s techniques et ou m dicales En raison des probl mes d acc s et d vacuation la dur e moyenne des sauvetages avoisine les 30 heures et plusieurs dizaines de secouristes peuvent tre engag s Une simple jambe cass e peut conduire une op ration d enver tel sp l o qui se fractura un f mur 400 m tres de pro fondeur dan
11. manifestes dont le brave visiteur de cavernes devrait se m fier 2 Sans chercher forc ment les distinguer les risques rencontr s lors de la pratique de la sp l o se dans deux grandes cat gories Parmi les risques propres l environnement souterrain le danger de crue est le premier qui vient l esprit Rares sont les r seaux souterrains qui ne r agissent pas de fortes pr cipitations Certains sont m me r put s dangereux et le bon sens devrait nous dissuader d y p n trer si les condi tions climatiques sont d favorables l instabilit des parois la pr sence d boulis de roches glissantes peuvent aussi tre source d accidents la plong e souterraine C est pourquoi la plong e en solitaire se r v le dans bien des cas pr f rable et cela n cessite une formation particuli re qui n est pas dispens e dans les coles de plong e en lac ou en mer Cependant conna tre ses limites et renoncer c est aussi faire preuve de sagesse Eh Il y eu un choc Regarde donc si tient toujours Le risque le plus sournois est probablement celui repr sent par l eau froide Que ce soit en progressant dans une rivi re souterraine en franchissant des bas sins d eau calme ou des puits arros s le contact pr vu ou impr vu crue avec de l eau glaciale entra ne pour le sp l o une d perdition d nergie spectac
12. pothermie l alimentation les avalanches la m t orologie information Par le biais de ses publica tions et de ses commissions de Formation et des Secours les questions de s curit font l objet informations l attention des sp l ologues La Soci t suisse de sp l ologie La Soci t suisse de sp l ologie est une association d amis du monde souterrain Depuis 1939 ann e de sa fondation elle encourage la Pratique scientifique et sportive de la sp l ologie l tude des massifs calcaires karsts et les exp di tions dans les zones karstiques en Suisse ou l tranger Elle cher che am liorer la connaissance du monde souterrain suisse et en sauvegarder l originalit et la beaut Pour atteindre ces objectifs la SSS f d re 39 clubs regroupant actuel lement 1 100 membres Lieu d change privil gi entre per sonnes issues de diff rents milieux culturels et professionnels mais qui partagent la m me passion la SSS cultive une conception de la sp l ologie marqu e par le respect du milieu souterrain Les changes entre sp cialistes biologistes g ologues pal onto logues et les simples sp l olo gues font partie de la vie courante au sein de cette soci t Les sp cialistes transmettent leurs connais Sances et forment les sp l ologues aux aspects scientifiques et cul turels Quant eux les sportifs fins techniciens encadrent tec
13. r ses co quipiers et pour les secouristes La configuration m me des conduits souterrains exigu t profon deur loignement peut causer des difficult s d vacuation que l on ne rencontre nulle part ailleurs m me pas en haute montagne cela s ajoutent les conditions climatiques agressives de milieu froid humidit qui contribuent aggraver les effets d accidents m me mineurs Le but de cette brochure n est pas de donner des le ons aux sp l os d butants ou confirm s Elle vise plut t sensibiliser ceux et celles qui sont attir s par le milieu souterrain aux risques qu ils encourent r fl chir leur responsabilit individuelle au sein d une quipe et leur donner une s rie d informations et de recommandations utiles Mais cette brochure s adresse aussi aux sp l os que l on dit ment s En effet la pratique r guli re et durable de la sp l o ne suffit pas forc ment prendre conscience des dangers li s cette activit Attentif au but fix topographie exploration photographie etc et pris dans une certaine routine le sp l o confirm peut en arriver ne plus tre suffisamment attentif la progression elle m me passage oblig et parfois n glig pour parvenir pied d uvre En d autres termes partons sous terre avec intelligence et veillons ce que cette belle et saine passion ne conduise pas au drame Bonne sp l o
14. s un grand gouffre des Pr alpes et qui dut patienter pr s de 50 heures avant de revoir le jour Lorsqu un probl me survient cours d exploration souterraine accident puisement il faut compter plusieurs heures pour que les premiers secouristes arrivent aupr s du bless Dans un milieu aussi hostile qu une grotte cela peut conduire assez rapidement un tat d hypothermie Les gestes prodigu s par les camarades qui accompagnent la personne pui s e ou bless e sont donc fonda mentaux La sp cificit du milieu souterrain et des techniques de progression qui y sont utilis es n cessite l en gagement de secouristes sp cia lis s En Suisse cette fonction est assum e par le Sp l o secours suisse Cr e l initiative de SSS cette organisation collabore troitement avec la REGA depui 1981 Le Sp l o secours suisse comp te huit colonnes r gionales une colonne nationale de renfort dess sp cialistes en communications en minage ainsi que des plongeurs et une quin zaine de m decins Au total pr s de 200 secouristes l am nagement des obstacles quipement cordes pompage d sobstruction 5 entre _ le lieu l accident et la sortie la cavit peut durer plusieurs heu res voireplusieurs jours L action 4 prioritaire des secouristes est don la stabilisation de la victime
15. ulaire con duisant rapidement l hypothermie Si l environnement souterrain pr sente certains dan gers objectifs c est bien s r celui qui le parcourt de savoir en d jouer les pi ges Partir avec un mat riel adapt et flambant neuf ne suffit pas Encore faut il tre pr t faire face aux nom breux impr vus qui risquent de se pr senter d ficience de l clairage puisement d un camarade blessure ventuelle longue attente dans le froid avec le danger d hypothermie que cela suppose etc Dans la pr paration d une exploration souterraine une attention particuli re doit tre accord e la con naissance de ses propres limites celles des autres sa facult d valuer les risques aux conditions climati ques et dans la pratique de la sp l ologie verticale sa capacit d intervenir rapidement pour d gager un camarade bloqu sur une corde S engager dans une exploration sans avoir os abor der sinc rement ces questions sans avoir os faire part de ses limites ses copains parce qu on aurait risqu de passer pour un d gonfl pourrait soudain se r v ler dramatique lors de l apparition d un accroc m me modeste dans le d roulement que l on croyait parfaitement huil de l exp dition L exp rience montre malheureusement que les gros p pins sont souvent dus un encha nement d erreurs d appr ciation qui prises individuellement ne sont pas fondamentales mais qui
16. xplosifs dans le cadre des prescriptions l gales Par leur dur e et le recours un nombre lev de secouristes h licopt re pompiers m decins artificiers sp l os secouristes les op rations de recherche et de sauvetage peuvent tre tr s on reuses Pour viter toute mauvaise surprise aux sp l os l assurance collective de la SSS couvre ces frais hauteur de 100 000 francs ef 000 YASSI SSS S22UDINSSY 560 48 51 DI 4 2 s p 22016 21n4201g SLNIWADUIWIY SSS DI Ja 4 071 55 2 942N N 2211 5 NOISSIIAWE 5 01 pyy OIPNIS 4195506 UILIDW peuuey 91 soq y d ojoud Awy SIIHdYADOLOHd 13 SSS 0 51 21601091995 op 9491206 YYSSI SNISS1Q
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