COMPTE-RENDU DE LA RÉUNION DU CONSEIL DE
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1. penses li es au salaire des gardiens Apr s tude par le service RH de ces demandes Mme CADIOU pr sente au conseil les arbitrages qui ont t pris lesquels constituent une stricte application du d cret de d cembre 2008 sur les rubriques de salaire qualifi es de non r cup rables et qui sont expos s ci dessous Nature de la d pense R cup rable Non r cup rable Taxe sur la pr voyance xX Cotisations employeur la mutuelle DEXIA X Maladie Cotisation employeur au r gime de pr voyance X d c s invalidit Forfait social X Cotisation abondement de l employeur au PEE X Cotisation employeur la retraite suppl mentaire X compter du 1 1 2011 Avantages en nature pendant la p riode de X cong s des gardiens compter du1 1 2011 Des OD viendront le cas ch ant rectifier les sommes rembourser aux locataires lors des r gularisations des charges de l exercice 2011 Le SLC pr cise que si la pr voyance est r cup r e aupr s des locataires les remboursements vers s par l organisme de pr voyance doivent tre d duites des charges La RIVP confirme cette d duction et pr cise que si elle ne peut tre faite informatiquement une OD manuelle sera r alis e Enfin la RIVP pr cise que les accords arr t s avec les repr sentants des locataires ne sont pas remis en cause Question diverse Pr sentation d pliant sur les troubles de voisinage Un d pliant sur le Mie2. compteurs d eau Comme convenu une r union th matique de pr paration s est tenue avec les repr sentants des locataires le 10 novembre 2011 Malgr la diffusion de la pr sentation par mail les repr sentants des locataires regrettent qu aucun compte rendu ne leur ait t adress Pour rappel l option prise par la RIVP consiste prendre en charge les travaux d installation des compteurs individuels mais la possibilit offerte par la loi SRU d opter pour une individualisation des contrats de fourniture d eau n est pas retenue En cons quence les locataires n auront pas supporter le co t des travaux susvis s mais la RIVP continuera Us r percuter sur leurs charges le montant des frais de location d entretien et de relev des compteurs individuels Mme Simon d taille les deux tapes de ce projet une premi re phase portant sur le patrimoine non quip de compteurs individuels d Eau Froide et en priorit les groupes non quip s de compteurs individuels d EC et sur les sites multi groupes une seconde phase concernant le patrimoine d j quip avec le remplacement des compteurs rel ve manuelle en place par des compteurs radio ou t l relev s Lors de la r union pr paratoire les changes ont principalement port sur les points suivants Quel type de compteur individuel installer t l relev et radio relev Pour des questions de co t les locataires sont favorables aux comp
3. les ECHOS de la RIVP Pour rappel ce journal interne est publi deux fois par an en mars et en octobre Le d tail de la proposition soumise par la RIVP aux membres du CCL est la suivante Mise disposition des 6 associations membres du CCL de la 3 de couverture de chaque num ro S paration de la page d di e en 3 colonnes pour permettre 3 associations de proposer un article par num ro 1 500 signes par colonne accord s chaque association Transmission des articles la RIVP 6 semaines avant la parution du journal Premi re contribution attendue pour le num ro d octobre 2012 compte tenu de la p riode de r serve li e aux lections Un projet de charte de d ontologie est galement diffus en s ance aux membres du CCL pour avis Les associations pr sentes rejettent le contenu de la proposition faite par la RIVP notamment la mise leur disposition d une seule page consid rant que cela ne leur permet de s exprimer qu une seule fois par an La RIVP pr cise qu il n est pas possible de rajouter de pages suppl mentaires au journal interne En l absence de consensus sur les modalit s de cette contribution aucune d cision n est prise et ce point sera rediscut en 2012 si les associations de locataires membres du CCL le souhaitent Charges gardiens La RIVP s tait engag e fournir plusieurs r ponses des questions formul es par la CNL et le SLC sur la r cup ration ou pas de certaines d
4. COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL DE CONCERTATION LOCATIVE DU 22 NOVEMBRE 2011 PRESENTS Conf d ration G n rale du Logement Marie Jeanne Robert Conf d ration Nationale du logement Oualid Akkari Martine Declerc Michel Chevallier Syndicat du Logement et de la Consommation Pierre Spinat Maouaheb Mouelhi Consommation Logement et Cadre de Vie Bruno Tourame Martine Depuy Georgette Scoury Association Force Ouvri re Consommateurs Durdica Topolcanji Droit au Logement Safiatou Fadiga RIVP Serge Contat Tassadit Cadiou Olivier Perret Christophe Gerbenne Virginie Blin Denis Isabelle Jegou Claire Simon Didier Goupil Anabelle Joly EXCUSE Association Force Ouvri re Consommateurs Rahma Ghiatou DIFFUSION tous les participants pr sidents d amicales et associations de locataires RIVP Approbation du compte rendu de la r union du 20 septembre 2011 l est distribu en s ance une version modifi e du compte rendu reprenant une partie des commentaires formul s par le SLC La RIVP s engage adresser les prochains projets dans une version qui puisse permettre aux associations d apporter des correctifs aux documents La CLCV regrette que les pi ces jointes n aient pas t communiqu es avec l ordre du jour ainsi que le pr voit le PCL Le compte rendu de la r union du 20 septembre 2011 est approuv par le Conseil mais des pr cisions sont n anmoins apport es sur certains points les repr sentants
5. des locataires demandent qu un retour soit r alis par la RIVP sur les actions engag es vis vis d EDF afin de pouvoir disposer des consommations sur les groupes en chauffage lectrique individuel Mme Simon confirme que la d marche a d j t entreprise mais que ces donn es sont difficiles obtenir A la demande de la CNL la RIVP s engage retransmettre le mail de r ponse adress aux Membres du CCL le 28 octobre 2011 relatif la position de la RIVP sur le d ploiement des antennes relais suite la suspension de la charte de la ville de Paris sur la t l phonie mobile puisqu il semblerait que certains membres ne l aient pas re u Concernant les enqu tes ressources 2012 la CNL indique que l Info RIVP pr sent e lors du CCL du 20 septembre 2011 aurait g n r des inqui tudes aupr s des locataires Pour la RIVP la seule sp cificit du contenu de ce document par rapport aux ann es pr c dentes est le lancement conjoint des enqu tes SLS et OPS 2012 et aucun retour dans ce sens n a t signal La CNL demande que ces documents soient syst matiquement pr sent s aux locataires en amont ce qui est accept Parmi les commentaires propos s par le SLC et non retenus par la RIVP on retrouve la question de la diffusion aux repr sentants des locataires des pi ces des march s notamment de travaux pass s par la RIVP M Contat confirme qu il ne souhaite pas s engager sur ce point Pour le SLC ces l men
6. en vue d quiper prioritairement les immeubles d pourvus de compteurs retenir des compteurs en Radio relev avec solution r versible vers du t l relev le co t support par le locataire doit tre quivalent ceux qui ont d j des compteurs l installation de compteurs dans les parties communes se d cidera au cas par cas puisque le prix du compteur sera dans le BPU Le planning est le suivant e Appel d offre 1 tranche f vrier 2012 Attribution avril mai 2012 D ploiement un an compter de mai 2012 e Appel d offre 2 march d but 2013 Attribution 2 me trimestre 2013 s D ploiement deux ans compter de juin 2013 Une information sera r alis e aupr s des locataires concern s sur les modalit s pratiques de ce d ploiement les incidences ventuelles en termes de co t ainsi que les actions de sensibilisation qui pourraient tre men es pour accompagner le projet Pr sentation du projet de travaux sur les ILM 28 Mme Joly chef de projet ILM 28 informe le conseil du lancement d une mission confi e au cabinet HTC afin d tablir un tat des lieux escalier par escalier des 27 groupes d immeubles constituant le parc HLM 28 soit 7 986 logements au total La pr sentation de cette mission est jointe au dossier remis aux membres du CCL Au del de ce diagnostic la mission va galement permettre de e d finir les besoins de travaux afin de mettre ce patrimoine en conformi
7. est d atteindre un objectif annuel d change quivalent 20 des attributions sur le contingent Ville de Paris Le SLC fait remarquer que l tat des logements repris est parfois un frein l acceptation de l change par le locataire La RIVP confirme que les travaux r alis s dans les logements propos s un change sont similaires ceux effectu s pour les attributions mise en conformit embellissement si n cessaire M Contat informe le Conseil de la mise en uvre en 2012 du dispositif pr vu par l art L 442 3 3 du CCH instaurant la perte du droit au maintien dans les lieux des locataires dont les ressources d passent de de 200 les plafonds de ressources pendant deux ann es cons cutives La CNL fait remarquer qu il s agit de cas isol s et que ce dispositif conduit exclure du parc les locataires qui font la mixit sociale sur les groupes est confirm qu aucune proposition de relogement ne sera propos e aux locataires concern s puisque la r glementation ne le pr voit pas La CLCV et le DAL consid rent que ces locataires n ont pas vocation tre maintenus dans le parc conventionn Il est galement r pondu la CNL que la gestion des demandes d change est de la comp tence de chaque agence en lien avec les services attributions localis s en direction territoriale Pour conclure il est annonc qu un mode d emploi des changes sera pr sent lors d un prochain CCL Individualisation des
8. par la RIVP en mati re d conomie d eau Par ex WC double poussoir 3 6L mitigeurs au lieu de m langeurs douche ou sabot au lieu d une baignoire standard mousseurs limitateurs de d bit sur vier douche ou lavabo r cup ration d eau de pluie etc Le SLC rappelle qu en 2009 lors des premi res discussions sur ce march le projet de CCTP avait tait communiqu au groupe de travail sur les compteurs d eau et s tonne que cette fois cette communication n ait pas eu lieu demande donc et comme la RIVP l a d j pratiqu sur d autres march s que le cahier des charges de ce march leur soit communiqu afin de pouvoir participer pleinement la concertation sur ce sujet La RIVP refuse cette demande pour les motifs d j voqu s en pr ambule et parce qu il n est juridiquement pas possible de communiquer des pi ces de march s des tiers avant la publication du march Le SLC demande que la RIVP apporte une r ponse argument e aux locataires sur le fondement juridique voqu Il est rappel que la demande porte bien sur les projets et non les documents d finitifs qui feront l objet de l Appel d Offre En compl ment il est rappel que les crit res de choix des prestataires en interne sont les suivants le prix constitue entre 50 80 du crit re la Valeur technique entre 20 et 50 Pour conclure il est act en s ance les choix suivants dans le march lancement de deux march s distincts
9. retien robinetterie que du contrat de pose des compteurs individuels La CLCV demande si la RIVP souhaite g n raliser o pas les contrats robinetterie sur les groupes Mme Simon confirme que ce point fera l objet d une r flexion en 2012 Pour M Contat ce type de contrat sera g n ralis s il est d montr qu il permet de faire des conomies et donc de minorer la facture du locataire La CNL est d favorable l option t l relev dont il conteste le cot intrusif Pour la RIVP la protection contre les ventuelles atteintes la vie priv e des locataires se garantit dans le cahier des charges des exploitations de donn es type de donn es et fr quence de transmission La CLCV demande si l impact financier pour les locataires a t estim Pour les groupes sans compteurs l impact sera le prix de la location du compteur Pour les groupes quip s de compteurs les prix existants sont tr s variables et souvent assez proches des prix des futurs compteurs Dans tous les cas il devrait y avoir une baisse de la consommation d eau 5 10 constat s chez les bailleurs qui ont fait la d marche Concernant les surco ts ventuels de ce projet sur la quittance des locataires la CNL rappelle que la loi SRU oblige les bailleurs mener ce chantier dans un souci d quit entre les locataires D une mani re plus g n rale que l installation de compteurs d eau individuels la CLCV souhaiterait conna tre les actions men es
10. t et am liorer sa performance e fournir la RIVP un outil d aide la d cision pour arbitrer et hi rarchiser les interventions et construire un programme de travaux Il n entre pas dans la mission du prestataire de visiter l int gralit des logements sur ces sites toutefois 2 4 logements maximum par groupe pourront tre sond s La CNL s interroge sur le partenariat avec les associations de locataires et demande si le financement de ces travaux sera support par les locataires Mme Joly confirme que toutes les amicales pr sentes sur ces sites seront rencontr es par la RIVP afin de connaitre leurs attentes S agissant du financement de ce projet dot d une enveloppe de 90 millions d Euros sur 10 ans il sera int gralement assum par la RIVP Le SLC demande si les travaux d j annonc s aux locataires de certains groupes seront r int gr s dans le programme de travaux Pour la RIVP la mission d HTC devrait forc ment mettre en vidence et confirmer la n cessit de mener les travaux d j identifi s Par contre il ne s agit pas d un crit re prioritaire dont il sera tenu compte lors des arbitrages et de la hi rarchisation des interventions Contribution des associations de locataires au journal interne RIVP Lors des r unions des 1 f vrier et 20 septembre 2011 il a t voqu avec les associations de locataires membres du CCL la cr ation d une rubrique d di e l expression des associations dans
11. teurs radio relev s car le mod le retenu est compatible avec le t l relev Installation ou pas de compteurs individuels dans les parties communes pour permettre la d tection des fuites solution non souhait e par la CNL compte tenu du surco t engendr pour les locataires Une nouvelle option est galement pr sent e en s ance suite aux changes men s entre la RIVP et Eaux de Paris sur la fourniture et la pose de kits conomiseurs d eau S agissant de l exp rimentation d j lanc e avec Paris Habitat les repr sentants de la CNL et du SLC pr cisent qu elle est limit e 15 000 logements et qu il est trop t t pour en dresser un premier bilan La CLCV pr cise galement qu un projet de Charte de l eau des bailleurs sociaux est en pr paration sous l gide de la mairie de Paris La RIVP est partie prenante de la r daction de cette charte Pour le SLC la priorit reste l installation des compteurs d eau chaude et le traitement des multi groupes c est dire quand Un compteur g n ral alimente plusieurs groupes Dans un souci de maitrise des charges support es par les locataires il demande que le type de compteur retenu soit le compteur Radio Relev ce d autant que la RIVP a retenu une solution qui permet l volution vers le t l relev est possible Le SLC pr cise par ailleurs que le probl me de fuite invoqu pour favoriser la pose de compteurs t l relev s d pend plus d un contrat d ent
12. tions de logements formul es et 1 bail sign w Peu de locataires se sont d clar s int ress s par la d marche engag es par la RIVP Les principaux enseignements de cette enqu te r v lent que les locataires int ress s pour r duire la taille de leur logement taient d j identifi s par la RIVP et que l exception li e l ge du locataire pr vue par les textes permet de prot ger la tranche de population la plus concern e par la sous occupation La finalit de la RIVP reste de faire voluer le bilan pour atteindre de meilleurs r sultats et poursuivre les efforts engag s par les services attributions vis vis des locataires int ress s La RIVP tient pr ciser la complexit du traitement des dossiers d change de logements impact de la faible rotation sur les d lais de formulation des propositions niveau d exigence des locataires particuli rement lev concernant le logement propos Un r le de mod rateur des repr sentants des locataires est attendu vis vis des locataires pour leur faire prendre conscience de nos contraintes Il est rappel que tous les logements lib r s ne peuvent tre propos s un change compte tenu du jeu des droits de r servation et que les changes restent difficiles r aliser sur le contingent pr fectoral o la priorit des attributions est destin e aux relogements DALO et lorsque le logement est r serv par une collecteur 1 Pour rappel l objectif de la RIVP
13. ts doivent tre communiqu s aux associations car ces march s ont une incidence soit sur la vie quotidienne soit sur la quittance des locataires et qu il ne s agit en rien de se substituer la RIVP M Contat rappelle que contrairement aux organismes d Him les statuts des SEM ne permettent pas aux repr sentants des locataires de si ger au sein des CAO pr cise que les march s pass s par la RIVP portant sur les charges r cup rables sont tenus la disposition des locataires lors des contr les annuels Il est par ailleurs r pondu la CLCV que les contrats sont recens s au si ge et qu il est possible de les consulter sur demande Une r ponse pr cise sur la fourniture des pi ces de march est attendue par le CCL Bilan de l enqu te sous occupation Les principales caract ristiques de ce bilan sont pr sent es en s ance En termes de locataires concern s par le dispositif o 1736 locataires destinataires du courrier et tenus inform s du dispositif et des aides la mobilit propos es par la RIVP o 58 des locataires taient g s de de 65 ans donc prot g s par la loi o 46 des locataires taient log s dans le parc ex ILM 28 o 45 des locataires concern s occupaient un F5 et Les r sultats au 1 novembre 2011 o Faible de taux de r ponse 27 o Taux de refus lev 85 des locataires ayant r pondu o 68 locataires int ress s par un changement de logement pour plus petit a 2 proposi
14. ux vivre ensemble est remis en s ance et sera mis disposition des gardiens RIVP pour tre d ploy courant novembre Les repr sentants des locataires et la RIVP partagent la m me analyse d une mont e de l intol rance sur les sites et d une recrudescence des troubles de voisinage Il est galement indiqu qu une campagne de communication inter bailleur RIVP PARIS HABITAT SGIM SIEMP vient d tre lanc e sur ce th me afin de sensibiliser les locataires aux bienfaits d un comportement responsable et respectueux dans leur immeuble D clin e en 3 th mes les d gradations le bruit et la propret elle touchera au total plus de 230 000 foyers parisiens et se d roulera entre d cembre 2011 et juin 2012 Prochain Conseil de Concertation Locative Mardi 7 f vrier 2012 9 h 30 la direction territoriale Sud Place d Italie 75013 PARIS
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