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Supermarchés bio: Pourquoi tant de difficultés

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1. E Vous rappelez vous d une exp rience cl qui vous aurait d cid consommer des produits bio C tait intuitif Je voulais le meilleur pour mon corps comme ce mordu de ba gnole qui disait qu il voulait la meilleure essence pour son tacot Quand j ach te des produits bio je sais que je contribue la protection de la nature et du sol En plus de la nourriture bio nous nous engageons aussi pour la production d centralis e d nergie pour une voie douce contre les centrales atomiques Cela forme un tout Que pensez vous des paysans et paysannes bio Quelles sont les caract ristiques qui les distinguent Nous connaissons personnellement mais pas au point de le tutoyer an cien conseiller national Ruedi Baumann et aussi Andrea H mmerle Les paysans bio sont simplement plus respectueux de l environnement pleins d gards et ont une pens e globale Nous sommes mem bres du VKMB et les petits paysans sont majoritairement bio et font attention pr server le sol Interview Ir ne B hm et pourtant elle tourne propos de louverture de la certification A Galileo Galilei a d abjurer sa d couverte et conviction que la terre tournait C tait la seule possibilit de passer la t te hors du n ud coulant qui lui enserrait d j litt ralement la gorge Aujourd hui on sourit de ces poques o les nouvelles d couvertes taient consid r es comme d moniaques par les dirigeants leurs d f
2. Offre Vache brune n e janv 03 en chair env 68 OB avec cornes portante depuis 4 5 06 ad quate comme vache m re ou nourrice Gottfried Hiestand t l 044 784 79 81 Divers Qui changerait avec nous maison ferme du 10 au 25 02 2007 Famille avec 3 enfants cherche ferme bio v comme activit accessoi re proximit domaine skiable Avons 7 vaches stabulation libre logettes salle de traite 1 cheval de selle superbe habitation excellente situation belle r gion pour promenades pied et cheval dans le Fricktal Aussi int ress s par d autres changes de vacances t l 062 878 11 43 bioactualit s 10 06 21 at ST eer AR as LT GA et ERP Les SU ERA A 1 H 1 T 1 L D Fa AN 1 A 4 E 22 E CONSOMMATION Hans Pfister devant son magasin bio le s G nterli Lucerne o il fait ses achats hebdomadaires Pourquoi achetez vous des produits bio Parce qu ils sont plus sains J ach te des produits bio depuis environ vingt ans Ils sont plus naturels nont pas t trait s avec des produits chimiques ils ne contiennent pas de produits phytosanitaires de synth se ils sont plus authentiques Les produits transform s ne contiennent en outre pas de colorants d hormones ou de vitami nes artificielles comme dans le functional food Cela ne joue pas de r le si on part du principe qu il n y a pas de diff rence entre les vitamines naturelles et arti
3. doit il changer Le degr de regroupement des producteurs biologi ques suisses au sein d une seule et m me F d ration est unique sur le plan in ternational Et la force de leur marque le Bourgeon est unique elle aussi En m me temps l union bio et la force de la marque sont mises sous pression Des producteurs bio cherchent leur salut en dehors de la F d ration et le commerce louche sur les produits biologiques bon march import s de l tranger Voil des ann es que les fabricants d veloppent leurs propres marques et le Bourgeon se retrouve sur les produits c t de la marque du fabricant Le Bourgeon n est plus irrempla able Ce sont des d fis qui exigent union et force si on veut se rapprocher d une nou velle croissance voire de La Suisse Pays Bio L Assembl e des d l gu s a accept le budget de la r vision du Concept di recteur avec la participation de la base mais tous les membres n appr cient pas les longs d placements et les intermina bles d bats d id es Le nouveau Concept directeur ne doit cependant pas tre en fant par un cercle restreint d initi s nous voulons une large discussion La solution Internet une plate forme internet viendra en effet compl ter un atelier de r flexion d une journ e la Conf rence pour l Avenir L avantage de cette forme moderne de d bat n est pas seulement la diminution des co ts mais aussi et m me surtout pour les fermes isol es l
4. galit des chances de se faire entendre sans oublier la transparence de la discussion Bien s r c est inhabi tuel d adresser ses interventions un cran plut t qu des interlocuteurs en r union mais qui dit d veloppement dit changement des habitudes et le futur commence d j lors de la d finition de la vision d avenir L information d taill e sur tout ce proces sus de r vision et sur la Conf rence pour l Avenir se trouve la page 10 d ms Markus Arbenz Directeur de Bio Suisse TABLE DES MATI RES E bioactualit s COMMERCE 4 Supermarch s bio la crise Avec Yardo St Gall et R geboge Winterthur deux des quatre supermarch s bio de Suisse connaissent de graves difficult s Comment le commerce biologique sp cialis peut il survivre c t de la Coop et de la Migros BIO SUISSE 8 Lancement de la discussion sur le nouveau Concept directeur Un large d bat doit dominer jusqu fin 2007 ou d but 2008 la gen se du nouveau Concept direc teur de Bio Suisse Tous les membres sont convi s participer activement la r flexion 10 Agenda annuel de Bio Suisse 11 Certification Une forte majorit pour l ouverture Depuis 2008 toutes les soci t s qui rempliront les conditions contractuelles fix es par Bio Suisse pourront faire non seulement les contr les mais aussi la certification CONSEILS 12 Normes sociales 13 SwissGAP Vente directe Transformation f
5. tienne Kottelat a t lu la CLI L AD a confirm l lection d tienne Kottelat comme membre de la CLI Commission de labellisation des im portations Bio Suisse a trouv en tienne Kottelat une personne motiv e et comp tente La CLI compte donc maintenant de nouveau quatre mem bres CV Agro BTA et Bio Suisse il pense que le Bourgeon y perdra en outre une partie de son pouvoir commercial Cet avertissement na t pris c ur que par une petite minorit de d l gu s Plusieurs soci t s pourront donc l avenir contr ler et certifier les fermes Bourgeon La question de l augmentation de la parti cipation de Bio Suisse au capital actions de la soci t de contr le et de certification bio inspecta AG annonc e en ao t est donc d finitivement r gl e Le nouveau syst me entrera en vigueur en 2008 C est la deuxi me fois que les d l gu s se pronon aient sur cette question qui avait suscit bien des pol miques En avril 2005 l ouverture de la certification avait but sur la majorit qualifi e des deux tiers n cessaire pour toute modification des statuts Cet obstacle a donc mainte nant pu tre pass Nouveau r le pour Bio Suisse Jusqu maintenant seule la soci t bio inspecta AG certifie les producteurs Bourgeon et les preneurs de licences en treprises de transformation Les contr les bio peuvent par contre tre effectu s par quatre soci t s agr es Pour les pro
6. Qualit tsfragen in der Milchverar beitung Kursleitung J rg H drich Auskunft Anmeldung Verein f r biologisch dynamische Landwirtschaft Anita Werren 4144 Arlesheim Tel 061 706 96 43 a werren demeter ch detailliertes Kursprogramm erh ltlich VERMARKTUNG Neue Wege in der Vermarktung Wann Mittwoch 28 Februar Wo FiBL Frick Inhalt Auch die Preise f r Bioprodukte ge raten zunehmend unter Druck Nicht alle Landwirte k nnen ihr Ein kommen mit einem Nebenerwerb oder durch Zupacht von mehr Land aufbessern Eine Strategie ist die Wertsch pfung der eigenen Pro dukte zu erh hen und die Vermark tung selbst in die Hand zu nehmen Das ist aber oft nicht ganz einfach Welches sind die Faktoren f r eine erfolgreiche Vermarktung Welche M glichkeiten gibt es f r meinen Betrieb In der Schweiz gibt es schon einige erfolgreiche Beispiele Forscher analysieren diese Projekte auf St rken und Schw chen und geben Tipps Kursleitung Hansueli Dierauer FiBL Beratung Auskunft Anmeldung FiBL Kurssekretariat Ackerstrasse Postfach 5070 Frick Tel 062 865 72 74 Fax 062 865 72 73 E Mail kurse fibl org detailliertes Kursprogramm erh ltlich PETITES ANNONCES E Cherche Petit home pour adultes handicap s cherche pour 2007 un agriculteur professionnel v g ou pas surcharg par sa propre ferme pour sa petite ferme biodynamique Conditions de travail r guli res Pri re d adres ser votre cand
7. e St Gall dans le meilleur quartier commercial invoque des erreurs d appr ciation Dans des magasins de cette grandeur les clients du self service sont beaucoup plus nombreux et deman dent peu de conseils j avais beaucoup trop de personnel et donc des frais fixes beaucoup trop lev s Maigrir pour progresser Keel l ancien chef de Reform M ller se s pare m me de l approvisionnement r Marasme Lucerne et Lausanne Comme deux exemples pass s l ont montr les projets de grands magasins bio ont beaucoup de difficult s dans les villes moyennes Okomotive tel tait le nom optimiste d un projet d marr Lucerne dans les ann es no nante par des bio convaincus L id e d un grand centre bio choua cependant progressivement la droguerie et le magasin WWF se retir rent les g rants du magasin bio et du take away chan geaient souvent et la boucherie bio n a tenu que peu de temps Il manquait alors la comp tence professionnelle car le projet tait port avant tout par des id alis tes analyse Armin Kull Le directeur du magasin WWF mentionne cependant aussi des diff ren ces personnelles entre les concern s diff rences qui auraient contribu au naufrage cause de la concurrence professionnelle de la Migros et de la Coop il pense que les grands centres bio sont peu prometteurs Nous devons nous sp cialiser dans certaines niches commerciales et pouvoir conseiller de mani re
8. tre d finie en fonction du type dentreprise et pouvoir maintenir durablement les infestations au niveau le plus bas possible Lapplication des objectifs et des direc tives signifie pour certaines entreprises et dans certaines conditions une modifica tion de la pratique actuelle Voil pourquoi un d lai transitoire jusqu au 01 01 2008 leur est accord viter les r sidus viter toute contamination de produits Bourgeon par des r sidus de produits de traitement est absolument prioritaire Les principaux probl mes sont toujours les m mes cellules de silos pas tanches tanch ification insuffisante des locaux qui doivent tre n bulis s non respect des d lais d attente oublier de d stocker les marchandises pendant les n bulisations ou les gazages Pour tudier cette probl matique le FiBL a fait des essais en collaboration avec la soci t Desinfecta Dienstleistung AG Le potentiel de contamination des produits pour les gazages comme p ex la phosphine utilis e pour d sinfester les cellules des silos grains est lev si M le silo nest pas tanche Cest norma lement le cas des silos m talliques et pour les silos en b ton a d pend de l ann e de construction M le gazage d une marchandise conven tionnelle est effectu dans une cellule juste c t du stock de marchandise bio O se trouvent les documents Le r glement Lutte contre les parasites pendant le stockage et la tr
9. Mercredi 7 mars 2007 Lieu Neuch tel Programme Le Congr s annuel de la viticulture biologique organis par le FiBL et Bio Suisse est l occasion de s in former sur l volution actuelle de la production et du march de conna tre les derniers r sultats des recherches et d avoir des changes avec des coll gues Points forts r sultats des recherches et exp riences dans la r gulation des ma ladies de la vigne progr s dans la production de plants viticoles bio derni res exp riences avec les c pages r sistants La qualit des vins de ces c pages pourra tre jug e en d gustation Traduction simultan e pour les par ticipant e s francophones Responsable Andi H seli Service de conseil du FIBL Renseignements et inscriptions FIBL Secr tariat des cours Ackerstrasse Postfach 5070 Frick t l 062 865 72 74 fax 062 865 72 73 kurse fibl org programme d taill sur demande DIVERS Pesticide residues on organic produces sampling assessment and interpretation Date Monday April 2 Wednesday April 4 Place FiBL Frick Content Pesticide residues in organic pro duction are a sensitive topic and critical for the image of the sector Therefore inspection bodies but also operators need professional tools and concepts to handle cases of suspicion regarding organic prod ucts which are not in compliance with the Regulation EEC 2092 91 Annex III No 9 This course provides a broad
10. comp tente dit il Le fait bioactualit s 10 06 que le magasin WWF n ait pas march s explique selon lui entre autres par la forte concurrence de la Coop sur les premiers articles en textiles bio qui avaient du succ s comme par exemple les sous v tements et les chaussettes En m me temps que Lucerne tentait son d mar rage Lausanne verdissait elle aussi La sup rette bio nomm e Biovillage tint bon durant trois ans puis fit faillite Les investissements dans les ins tallations techniques et les am nagements in t rieurs taient trop lourds et le loyer trop cher pour un centre commercial mal signal malgr une client le int ress e cela nous a achev s se souvient une des personnes impliqu es S y rajouta aussi le fait que l exp rience lausannoise tait tomb e en pleine r cession et en pleine phase de lancement des produits bio la Coop qui d veloppait sa ligne bio tours de bras Quelque chose bouge cependant en Romandie la Suisse romande devrait de nouveau avoir un supermarch bio au printemps prochain Bonne chance pld mb gional que nombre de magasins bio met tent en avant pour se profiler Travailler avec plus de trois gros fournisseurs est trop lourd du point de vue la logistique Cela ne l emp che pas de vendre comme r gionaux les produits de la Suisse orientale que lui livre le grossiste Eichberg AG M me s il ne parle plus de 13 succursa les en quatre ans Keel conserve so
11. consultation d but du printemps 2007 E entre janvier et avril lire une deux fois par semaine sur Internet les protocoles des discussions du Groupe de r flexion M tous les membres exprimeront leurs contributions dans leur langue maternelle La compr hension d une deuxi me langue nationale n est donc pas une condition mais un avantage Veuillez communiquer votre in tention de participer ce pro cessus jusqu la mi janvier en indiquant votre adresse compl te et en confirmant les conditions ci dessus bio bio suisse ch Le directeur Markus Arbenz r pondra volontiers vos questions t l 061 385 96 10 jf mn Se FS SE pm mm h i STE si d RR OI ZE Bio Suisse veut insuffler dans la discussion sur le nouveau Concept directeur ce vent de renouveau qui vient de ses propres rangs Ou souffle t il plut t de l ext rieur Une photo de la f te du jubil d argent le 18 ao t sur la Place F d rale Berne o une banderole accro ch e sur le Palais F d ral tout entour d chaffaudages et de protections semblait signaler le nouveau d part tant d sir par la jubilaire et ses membres les fermes bio f d ral Et au nom du ciel qu est ce que nos coll gues PI se per mettent avec leur nouvelle publicit t l vis e On pourrait carr ment penser que la Coccinelle est un nouveau label bio La place se r tr cit l argumentation devient plus difficile Quest ce quon fait
12. d pense traditionnellement tonnamment peu pour sa nourriture surtout dans les villes majorit protestante Il n y a B le qu une seule picerie fine vraiment bien achaland e Globus Delicatessa et a se d sagr ge Et en plus cette vague du tou jours encore moins cher et du toujours plus radin plus malin qui d ferle depuis des ann es D apr s H hener la situation unique en Europe du commerce de d tail suisse emp che elle aussi l mergence d une force bio ind pendante et v ritablement forte Migros et Coop avec leur part de march de 75 ont beaucoup plus fortement mi s sur la tendance bio que les supermar ch s de l tranger ce qui a litt ralement asphyxi le commerce sp cialis Contacts cuisine et traiteur Est ce donc peine perdue que de vouloir faire du business en bio Stefan M ckli le directeur de Via Verde ne le pense pas Si l emplacement est bon le magasin bien con u et l entrepreneur foprtement engag il est possible de r ussir Ce nest selon lui pas la grandeur qui est d cisive Heureusement car le commerce bio ne peut de toute fa on pas concurrencer les surfaces de vente des deux plus grands distributeurs et le sentiment despace quelles communiquent Pour se d marquer encore mieux de la Migros et de la Coop il sera important d investir dans le conseil Vu que le per sonnel co te cher M ckli conseille de d l guer les travaux routiniers monoton
13. des priorit s quon se fixe Si l auto vient avant la nourriture cest bien clair qu il ne restera plus beaucoup d argent OG Que pensez vous des lignes bon march des grands distributeurs Je n y recours jamais videmment il y a des gens qui ont vraiment de la peine qui nont peut tre que 400 francs par mois pour la nourriture pour toute la famille J ai de la peine mimaginer a car nous avons besoin du double pour deux per sonnes Faites vous attention la provenance des produits Oui Il faut qu ils viennent de la r gion pas d Afrique du Sud ou de Nouvelle Z lande Cest aussi valable pour le vin France Italie Allemagne Suisse mais certainement pas Am rique Il s agit aussi d une r flexion sur le gaspillage d nergie quand on pense qu un kilo de pommes d Afrique du Sud engloutit un d cilitre de p trole Que signifient pour vous les labels bio par exemple le Bourgeon Le Bourgeon est pour moi une garantie de qualit quant au reste je ne le regarde m me pas Sauf s ils viennent d Allemagne Si Paul vend ici des produits allemands qui ne portent pas le Bourgeon je mai pas de probl me mais si des produits suisses arborent une coccinelle ou je ne sais pas quoi d autre cela fait d j longtemps que je mai plus mis les pieds la Migros je nai pas confiance Le Bourgeon est tout simplement le label le plus connu Je fais aussi confiance aux produits trangers qui ont le Bourgeon
14. seul atout qui reste au commerce sp cialis est le conseil mais qu une rationalisation est n cessaire Le self service nous permet d tre plus efficaces mais nous devons conserver la comp tence du conseil Les charcuteries sont donc maintenant vendues pr embal l es dans la vitrine du self service mais le filet de b uf continuera d tre vendu seulement l tal bioactualit s 10 06 Photos Christian Ulrich 6 n Bal 0 x Kal T n Bed D On trouve de grands rayons non food chez Vatter Berne qui b n ficie d un excellent emplacement photos et au R geboge un peu moins bien plac en tant derri re la gare de Winterthur conomiser sur la nourriture Le dilemme entre les frais de personnel et l intensification du conseil est aussi bien connu d Andreas H hener du magasin bio b lois du m me nom o le pain le fromage et la viande ne sont pas vendus en self service Le contact personnel et le conseil sont selon lui un des atouts qui permettent de se d marquer des grands distributeurs Ce routinier du bio doute que le para dis souvre pour le commerce cologique R troc d au dix septi me rang des soucis de nos concitoyens l environnement a en effet perdu beaucoup de son importance Lorsque les temps sont peu s rs on co ECHT BIO Le programme ECHT BIO veut proposer aux com merces bio affili s une communication commune qui souligne leur comp t
15. tre tromp s Lorsque des produits bio et non bio sont fabriqu s dans une ferme bio les flux des marchandises doivent aussi tre docu ment s pour les produits non bio journal des fabrications bulletins de livraison des ingr dients recettes listes d assorti ments Si cela nest pas fait il est impos sible de contr ler la s paration des flux des marchandises Si seuls des produits conventionnels sont commercialis s le contr le bio se contente de contr ler que les d clarations sont correctes Produits parall les la vente simul tan e de qualit s bio et conventionnelle d un m me produit reste interdite La d finition des produits parall les est du ressort des commissions de labellisation Les cas suivants sont d j d finis M les produits vendus emball s ne sont jamais consid r s comme des pro duits parall les M les produits tiquet s individuelle ment ne le sont pas non plus bioactualit s 10 06 M pour les denr es en vrac fruits l gu mes les pommes sont des produits parall les quelles que soient les vari t s la m me chose est valable pour les salades M les fromages de la m me sorte sont consid r s comme des produits pa rall les p ex gruy re doux et gruy re sal mais le gruy re et le tilsit ne sont pas des produits parall les D claration Aucune r f rence la ferme bio ne peut tre faite sur des produits conventionnels Le magasin de la ferme ne peut pas
16. une solution praticable et elle esp re que malgr la lib ralisation de la transformation fermi re les producteurs Bourgeon mettront de nombreux pro duits Bourgeon dans leurs magasins dans leurs stands de march et dans les assiettes de leurs h tes Christoph Fankhauser Bio Suisse Le commerce de b tail le commerce de fourrages et la fabrication d herbe d shydrat e doivent se faire contr ler et certifier partir de 2007 C est une exigence de l Ordonnance f d rale sur l agriculture biologique Particle 1a de lOrdonnance f d rale sur l agriculture biologique OBio stipule que les marchands de b tail sont soumis aux contr les Cela signifie que tous les marchands interm diaires doi vent fournir leur propre certificat bio en cas de revente On parle de commerce interm diaire si des animaux font un s jour chez un marchand ou si le d compte facturation d une vente est fait par un marchand et non directement entre deux paysans bio Les transporteurs d animaux agrico les ne doivent toujours pas tre contr l s ni certifi s pour autant que leur prestation se limite un mandat de transport entre les paysans bio X et Y On entend par ani maux agricoles ou de rente toutes les sortes d animaux des familles suivantes porcins bovins ovins caprins quid s volailles En est exclu le commerce des animaux d agr ment qui ne sont pas des tin s tre commercialis s comme p ex les lapins pou
17. vente directe Dans de nombreux cas la l gislation sur les denr es alimentaires impose aux transformateurs fermiers et aux producteurs qui font de la vente directe une obligation de s annoncer ou d avoir une autorisation es entreprises agricoles qui transfor ment et commercialisent des produits doivent s annoncer le plus vite possible aux autorit s cantonales de contr le des denr es alimentaires Les producteurs qui ne vendent aux consommateurs que des produits primaires non transform s p ex pommes de terre fruits lait cru ne doivent pas sannoncer Les entreprises d j enregistr es aupr s des autorit s can tonales de contr le des denr es alimen taires sont consid r es comme annonc es et ne doivent rien entreprendre de plus Les entreprises suivantes doivent s annoncer M Les entreprises qui ne savent pas si elles sont enregistr es M Les entreprises qui ont commenc leur activit apr s le 01 01 2006 M Les entreprises qui ont beaucoup de changements depuis la derni re ins pection p ex autres produits nou veau responsable transformations importantes Autocontrole de la vente directe Ceux qui fabriquent des denr es ali mentaires et les remettent au consom mateur sont soumis l ordonnance sur les denr es alimentaires qui table sur le principe de l autocontr le Les me sures prises en mati re de personne responsable de risques d hygi ne de temp ratures de recettes d ti
18. ville ne demande pas tre servi La cliente bio qui a le temps et qui s int resse aux aliments quelle ach te ou qui entretient une relation troite avec un certain magasin appr ciera la possibi lit d tre servie et conseill e La propor tion de self service devrait donc varier en fonction de l emplacement et du type de client le Comment le commerce biologique sp cia lis peut il se maintenir c t de la Coop et de la Migros En occupant intelligemment les vides lais s s en bio parles grands distributeurs Cela peut tre par exemple dans des secteurs comme le fromage le vin le th le pain ou les cosm tiques naturels Limportant est que les consommateurs sachent quelles prestations sp cifiques ils attendent des magasins sp cifiquement bio La commu nication et la pr sentation ext rieures des commerces bio par exemple en prenant un stand dans les foires r gionales les f tes de rue ou les march s hebdomadaires sont donc tr s importantes De nombreux clients bio croient encore que les magasins bio ont le m me assortiment que la Coop mais en plus cher Ni l un ni l autre ne sont justes mais personne ne le dit aux gens Les supermarch s bio doivent ils se rappro cher les uns des autres et chercher des syner gies dachat de logistique de marketing Non mon avis les quelques rares maga sins dispers s dans la moiti du pays nen retireraient pas assez d avantages mais il en ira tout au
19. 10 06 bio ctualit s LE MAGAZINE DU MOUVEMENT BIO D CEMBRE ANVIER Supermarch s bio Pourquoi tant de difficult s Page 4 Bio Suisse Bient t un nouveau Concept directeur Page 8 hi Ouverture de la certification a y est Page 11 Le we E Nuremberg Allemagne 15 18 2 2007 Salon Pilote Mondial Quand l agriculture biologique porte t elle des Produits Bio les meilleurs fruits BioFach vous informe Le rendez vous du monde bio e Convaincant la demande de produits de qualit bio augmente e Complet informez vous sur les tendances internationales recueillez des conseils et r coltez les exp riences faites dans le domaine de l agriculture biologique e Irr sistible plus de 2 100 exposants pr senteront une gamme de produits bio de qualit certifi e provenant du monde entier e Frais innovations se rapportant aux fournitures agricoles et ef au mat riel de vente Organisateur Informations BioFach est patronn par g p p N rnberg Messe Handelskammer Vols non stop visitorinformation Deutschland Schweiz Zurich Nuremberg IFAM Fax 41 0 44 2 83 61 00 Organic Agriculture Movements N RNBERG MESSE fairexpert handelskammer d ch ch ar FIP E 7 h CC Rei KSE S LINUS SILVESTRI AG Commerce de b tail 9450 L chingen SG T l 071 757 11 00 Fax 071 757 11 01 mega Email kundendienst Isag ch HER el Site Internet www bioweidebeef ch Commercialisation et conseil Li
20. LE DERNIER MOT E b tail Il est vrai que cette herbe nest pas bio mais elle est pour moi beaucoup plus cologique et doit de toute fa on finir en compost d une mani re ou d une autre Hansruedi Schlegel Ulmiz FR On ne peut pas interpr ter le Bourgeon n importe comment propos de l article Importations avec le Bourgeon quoi combien do a vient bio actualit s n 9 novembre 2006 En tant qu ancien collaborateur de Bio Suisse j ai particip moi m me dans les ann es nonante la certifica tion Bourgeon des produits trangers Lapplication des strictes exigences n es dans les conditions suisses tait impi toyable Vraiment Mais c tait et a reste juste encore aujourd hui car un label ne doit pas tre interpr t nimporte comment au fait m me pas dans le cadre d une je nen croyais pas mes yeux en lisant l di torial d Eugen Oggenfuss dans le m me num ro grande part d autocontr le effectu par les pro ducteurs Bourgeon Je suis aujourd hui un consommateur pur et dur de produits Bourgeon et je suis heureux que l assortiment qua litativement et quantitativement limit des produits Bourgeon suisses soit enrichi et compl t par de bons produits trangers Cela me permet en effet de jongler entre la Coop la Migros et le petit commerce pour avoir une alimen tation presque 100 bio dont tous les composants un effet secondaire bienve nu pour un fan d
21. a F d ration Bio Suisse tout ne va pas for c ment pour le mieux au sein du mouve ment bio Le faible murmure des premi res voix critiques sest transform en un puis sant ch ur de femmes et d hommes m contents Cela fait un bon moment quon ne fait plus le poing dans sa poche mais quon sen sert pour taper sur la table De nombreux membres donnent libre cours leur mauvaise humeur dans le courrier des lecteurs du bio actualit s Que se ca che t il l derri re Si c tait si simple de trouver la r ponse cette question Bio Suisse l aurait fait depuis longtemps Et on continuerait publier avec entrain des gros titres positivistes Peut tre Des imitateurs dans notre sillage Il y a 25 ans le Bourgeon tait bien isol dans les vastes campagnes et l agriculture pouvait quon nous pardonne cette for mule outranci re tre d peinte toute en noir et blanc C tait aussi assez simple pour les consommateurs convaincus si on voulait faire du bien l environnement et soi m me il suffisait d acheter des produits Bourgeon En toute confiance Le Bourgeon tait super classe Tout a chang aujourd hui Le Bourgeon est cer tes toujours classe mais plus super Il a de la concurrence Quelle est en fait la diff rence entre M Bio et Naturaplan Et pourquoi y a t il du Naturaplan avec et sans Bourgeon Que repr sente Max Havelaar Les pro duits bio vendus par Manor viennent ils aussi de fermes B
22. aga sin participant aux d gustations et lisant les textes des emballages dit Menti Cela permet de g n rer plus de chiffre d affai res condition que le personnel soit pr sent et informe activement les gens sur les produits nouveaux ou compl mentaires Menti veut par contre diminuer limpor 60 0 1998 1999 2000 2001 tance des vitrines de service partir de cette ann e une partie de la viande et du fromage sera pr emball e Menti veut at tirer au R geboge une client le nouvelle et plus jeune Il faut pour cela une bonne ambiance et nous l avons d j Fournisseurs locaux qualit top sa voir faire conseil nous devons montrer aux gens que nous offrons ces avantages et cest pourquoi le marketing est si impor tant Par exemple l quipe du R geboge se r pand certains jours dans la ville en patins roulettes inline et munie d ac tions de concours et de prospectus pour Le march bio en Suisse de 1998 2005 Parts de march des diff rents distributeurs 2002 2003 2004 2005 Coop m Vente directe Bourgeon E Migros Magasins di t tiques et bio Spar Volg et divers Grands magasins boucheries boulangeries Dans un march en forte croissance le chiffre d affaires bio tait au total de 574 mio Fr en 1998 et de 1183 mio Fr en 2005 les magasins di t tiques et bio n ont que faiblement progress de 150 172 mio Fr Ils ont donc continuellement perdu des parts d
23. alimentaires manque de clart au sujet de la nouvelle proposition de r glementation de la flexibilit au niveau des pays 1 la nouvelle proposition de rendre le logo de l UE obliga toire pour tous les produits Le Conseil des ministres doit en d battre en d cembre Le texte complet sera ensuite transmis au parlement europ en et si ce dernier ne renvoie pas le texte en bloc il reviendra en mars devant le Conseil des ministres pour adoption d fini tive L application est pr vue deux ans apr s l adoption donc au plus t t en 2009 Otto Schmid FiBL Une super promotion sans baisse de prix Sagenhaft Biok se Fabuleux Le fromage bio tel est le titre d un pro gramme propos aux magasins bio par Eichberg Bio AG et der Bio Plus AG pour promouvoir les ventes de sp cialit s fro mag res tonnantes et d licieuses sans toucher au prix Ce programme qui a d marr au d but 2006 se focalise chaque mois sur une certaine sorte de fromage bio qui va tre pr sent e sous sa forme authentique dans les talages la coupe Le fromage est alors toujours accompagn d un d pliant qui pr sente la r gion d o il vient et la fromagerie qui le fabrique ainsi qu un vin qui lui convient et une recette gourmande Les promotions accompa gn es de d gustations sont effectu es par le personnel des magasins Le premier bilan interm diaire tir apr s une demi ann e est positif pendant l ac tion tous l
24. ansforma tion sera imprim et envoy au mois de janvier En attendant il se trouve d j sur le site internet de Bio Suisse www bio suisse ch gt Documentation gt Preneurs de licences gt Cahier des charges et r glements Tous les documents suppl mentaires mentionn s dans cet article la check list des exigences minimales la liste des entreprises de d sinfestation reconnues par Bio Suisse la liste des produits an tiparasitaires chimiques de synth se peuvent tre t l charg s depuis le site internet de Bio Suisse en utilisant le lien suivant http wwuw bio suisse ch fr documentation preneurslicence Icp M les cellules bio ne sont pas a r es apr s le gazage d une cellule voisine conte nant de la marchandise convention nelle Un nettoyage suffisant doit tre effectu apr s la n bulisation d installations situ es dans des locaux vides En outre le premier lot transform apr s la n bulisation doit tre commercialis sans le Bourgeon Exp rimentations avec des auxiliaires Dans lentreposage biologique les pos sibilit s de lutte directe sont limit es Lutilisation d auxiliaires repr sente une alternative int ressante aux produits chimiques de synth se pour combattre de mani re naturelle les parasites des stocks mais dans les entreprises de l industrie agroalimentaire l utilisation cibl e dor ganismes auxiliaires tait jusqu mainte nant limit e des essais pr
25. autrement que les autres Est ce qu on fait mieux Si oui pourquoi Si non pour quoi Voulons nous seulement tre diff rents des autres Et en quoi voulons nous nous diff rencier Devons nous r elle ment nous diff rencier Le Bourgeon a fait un travail de pionnier en agriculture biologique et un grand nombre d imi tateurs surfent dans son sillage Il y a un risque de les voir le d passer Le Bourgeon court le risque de rester quelque part sur le carreau O allons nous Voil une question que bien des gens se posent et qui va impr gner la discussion sur le Concept directeur Voulons nous tre de tr s nombreux producteurs et productrice Bourgeon membres de la F d ration ou voulons nous tre moins nombreux Une partie pourrait r pondre comme ceci Cest clair soyons le plus nombreux possible car nous avons comme vision la Suisse Pays du Bio Nombreux en tout cas parce que la diff rence avec lOrdonnance bio est en fait minime Nombreux je suis pour parce que sinon la salade des labels sera encore plus confuse Nombreux Car seul notre nombre pourra nous donner un poids politique et une influence sur la Coop Ce nest quen tant nombreux que serons capables de survivre On pourrait alors entendre ceci de l autre c t On ne pourra survivre que si on reste un petit nombre En tout cas pas de croissance n importe quel prix La qualit est plus importante pour nous que la croissance Plus petits nous so
26. ctures bien r d es Vue de cette mani re la d cision du Comit de Bio Suisse de cesser de sopposer l ouverture de la certification et de lib rer la voie aux concurrents tait sage Dans le num ro d octobre du bio ac tualit s Alfred Sch deli regrette que le ton se soit durci entre les paysans bio et que les luttes soient toujours plus rudes J aimerais lui opposer que de tels d m l s sont le signe que le mouvement bio nest pas encore scl ros qu il vit et quil bouge Tout notre mouvement est le r sultat de longues ann es de d m l s douloureux avec l agriculture conven tionnelle Quest ce que les initiateurs du FiBL nont pas d prendre sur eux jusqu la reconnaissance actuelle de l Institut Le mouvement bio lui m me est ja lonn de d cisions fortes La cr ation de Biofarm en est un exemple l histoire de Bio Gem se AV AG en est un autre Et si on compare la Bio Suisse des d buts avec celle d aujourd hui on ne peut que se frotter les yeux d tonnement au sujet du d veloppement fulgurant quelle a connu en vingt cinq ans Elle avait t constitu e dans le seul but f d ratif de prot ger le Bourgeon Aujourd hui elle est une interlocutrice prise au s rieux jusque dans les plus hautes sph res de la Conf d ration Croire que les plus r centes d cisions vont faire revenir le calme serait une illusion Il y a encore beaucoup faire pour atteindre la vision de La Suisse Pays Bio si nou
27. cuments peuvent tre t l charg s depuis le site internet d Agrosolution L ch ancier pr voit que tous les commer ants y c les producteurs qui font de la commercia lisation doivent s annoncer jusqu fin 2006 La certification doit tre termin e d ici fin 2007 Les producteurs sans ac tivit s de commercialisation ont jusqu bioactualit s 10 06 13 14 SwissGAP fin f vrier 2007 pour sannoncer Selon les possibilit s les contr les seront effectu s d ici fin 2008 Que co te SwissGAP D La taxe annuelle se monte 145 francs plus une taxe d inscription et le cas ch ant les co ts des documents S y rajoutent encore les frais de contr le Les organismes de contr le estiment que le contr le suppl mentaire pour SwissGAP durera entre trois et cinq heures Qui fait les contr les SwissGAP D Les organismes de contr le bio bio inspecta et BTA proposent Les documents t l chargeables et les exigences techniques se trouvent sur www agrosolution ch aussi les contr les SwissGAP Lors de leur inscription les producteurs bio doivent absolument mentionner que le contr le doit tre fait par leur soci t de contr le bio Cest la seule possibilit de faire des contr les combin s Combien de travail en plus D Les entreprises SwissGAP doivent fournir une documentation impor tante On ne sait pas encore combien de temps il faut compter en pratique Il est recommand de commencer pa
28. de pas par un besoin exag r d harmonie ont trouv des mots positifs pour quali fier le travail effectu ces derniers mois par le Comit et le secr tariat Nous sommes d accord avec le changement expliquait ainsi Kurt Siegrist un d l gu d Oberwald car ce sera positif pour les paysannes et paysans bio Et de bonnes personnes sont arriv es au secr tariat On doit leur laisser la marge de man uvre dont elles ont besoin pour pouvoir faire du bon travail Une bienvenue atmosph re de renou veau r gnait donc sur l ensemble de cette Assembl e En introduisant la discussion du Concept directeur qui dominera en 2007 les activit s f d ratives de Bio Suisse cf p 8 9 le Comit a ouvert un espace propice sa transformation en r alit M me le sujet principal l ouverture de la certification a t d battu sans v ritable passion Les d l gu s appuyaient clairement l ouverture Max Eichenberger le pr sident de la CLTC Commission de labellisation de la transformation et du commerce a tout de m me pris la parole avec conviction pour avertir pr alable ment des cons quences de cette d cision l ouverture est la mode dans toute l Eu rope mais il faut aussi tenir compte du fait que cela fait perdre de leur influence aux f d rations de producteurs bio et leurs marques Clairement d avis que ouverture ne permettra pas de r soudre les probl mes entre bio inspecta Bio Test
29. den Pflanzenschutz schwierige Jahr deutlich zeigte Die FiBL Obstbautagung bietet die Gelegenheit sich im Bioobstbau auf den neusten Wissensstand zu bringen und den Austausch mit Kol legen und Kolleginnen zu pflegen Praktiker Fachleute vom Handel sowie Forscher und Beraterinnen pr sentieren praxisgerecht Entwick lungen Trends und neueste Unter suchungsresultate Kursleitung Andi H seli FiBL Beratung Auskunft Anmeldung FiBL Kurssekretariat Ackerstrasse Postfach 5070 Frick Tel 062 865 72 74 Fax 062 865 72 73 E Mail kurse fibl org detailliertes Kursprogramm erh ltlich Fachkurs Feld und Gartenobstbau Wann Montag 8 bis Freitag 12 Januar 9 00 16 30 Wo Landw Zentrum Ebenrain 4450 Sissach und verschiedene Praxisbetriebe Inhalt Pflanzung und Pflege von hoch st mmigen Obstb umen Die wich tigsten Themen Pflanzung Schnitt Sortenkunde D ngung Pflanzen schutz und Unfallverh tung Kursleitung Andreas Buser Ebenrain Kosten Fr 250 inkl Kursunterlagen exkl Verpflegung Auskunft Anmeldung bitte unverz glich an Landw Zentrum Ebenrain Kurssekretariat 4450 Sissach Tel 061 976 21 21 E Mail schulen lze bl ch IMPRESSUM bioactualit s 15 me ann e Lem O SUISSE Parution 10 fois par an vers le 15 du mois sauf en janvier et en ao t Tirage 904 exemplaires fran ais 7832 exemplaires allemands certifi WEMF 2003 Abonnements annuels r siliables pour f
30. ducteurs agricoles ce sont bio inspecta AG et die Bio Test Agro BTA et pour les entreprises de transformation ce sont bio inspecta AG SOS et IMO l avenir toutes les soci t s qui remplissent les conditions contractuelles fix es par Bio Suisse pourront faire les contr les et la certification Cette nouvelle organisation modifie le r le de Bio Suisse dans le processus de contr le et de certification Bio Suisse va liquider ses actions de bio inspecta AG et renforcer ses activit s de contr le des so ci t s de contr le et de certification Ces audits provoqueront de nouveaux co ts mais le nouveau syst me a l avantage dof frir les m mes conditions de travail tou tes les soci t s Lorganisation actuelle avait mis en place une solidarit tarifaire en faveur des r gions marginales ainsi que de la Suisse romande et du Tessin La libre concur rence qui va r gner maintenant pourrait menacer cette solidarit tarifaire Pour que cela ne soit pas le cas Bio Suisse va inclure les conditions correspondantes dans les contrats Les n gociations autour de ces conditions vont certainement en gendrer de nouvelles discussions sur cer tains points cruciaux Budget de 7 4 millions adopt Les d l gu s ont accept le budget 2007 soumis par le Comit Les recettes pr vues Les d l gu s de Bio Suisse ont vot en faveur de l ouverture de la certification pour 2007 sont inf rieures celles pr vues pou
31. e des conomies Stefan Menti par exemple parle de ses exp riences dans le domaine de la sant On peut en retirer norm ment Ces figures cl s sont cependant fortement individualistes au point de se mettre el les m mes en travers du chemin admet ouvertement Andreas H hener im possible de mettre ne serait ce que trois dentre nous autour de la m me table ou derri re la m me id e Pour le commerce sp cialis en bio la solution pourrait donc tre de doper l individualisme par toujours plus de professionnalisme et d esp rer que la conjoncture actuellement favorable permettra une nouvelle croissance de la demande de produits bio Pieter Poldervaart und Markus B r Occuper les vides laiss s en bio par les grands distributeurs Les supermarch s bio ont ils une chance en Suisse Si oui comment la mettre profit Le bio actuali t s a pos la question Toralf Richter un grand connaisseur du march biologique suisse qui est pass l ann e derni re de la recherche FiBL la pratique Bio Plus AG bio actualit s Les supermarch s bio boo ment en Allemagne alors quen Suisse ils luttent pour survivre Quest ce que Keel Vatter amp Co font faux Toralf Richter Premi rement la relation des consommateurs suisses avec la Migros et la Coop les deux entreprises qui domi nent le march est unique Cela laisse peu de placeauxautresacteurs quiveulentven dre du bio dans des supermarch s A
32. e mar ch Chiffres Bio Suisse signaler aux habitants de Winterthur des cours d alimentation saine Le commerce sp cialis tangue Le d marrage morose de St Gall et le quasi crash de Winterthur se refl tent aussi dans les statistiques qui illustrent l volution du march bio sur les huit der ni res ann es la part de march des ma gasins bio et di t tiques a r gress pour passer de plus d un quart un maigre 15 Depuis 2002 le chiffre d affaires bio du commerce sp cialis stagne environ 170 millions de francs cf graphique Lorsquon cherche les causes de cette forte baisse on voit clairement quel point l volution des grands distributeurs a gratign l unicit des commerces sp cialis s pourtant bien tablie Voil par exemple la Coop qui joue atout en lan ant continuellement de nouvelles sp cialit s r gionales bio tout en damant le pion au commerce sp cialis aussi dans le domai ne du non food Avec la Coop la Suisse a d j depuis longtemps son supermarch bio fait la coniquement observer Andreas H hener pionnier b lois de la sc ne des supermar ch s bio La Migros mise quant elle sur son De la r gion Pour la r gion Ce pro gramme qui mise avant tout sur la r gio nalit comprend aussi bien des produits bio que des articles conventionnels Face cette concurrence Thomas Vatter du supermarch bio bernois Vatter land analyse que le
33. ence et la signale un large public La visibilit de cette campagne passera no tamment par l engagement de Renzo Blumenthal comme Mister Echt Bio la comp tence du conseil le large assortiment bio le plaisir gastronomique et l engagement personnel des magasins ECHT BIO Ce programme a t lanc par Eichberg Bio AG et Vanadis AG qui ont toutes deux leur si ge Seon S y sont maintenant aussi rattach es Horai AG et Via Verde AG pour en savoir plus www biopartner ch et www echt bio ch Communication et logistique d approvisionnement communes ECHT BIO cr era t il les synergies dont le commerce bio a besoin O s agit il d utiliser la re lation dynamique entre les grossistes les magasins et les consommateurs biopartner pour inf oder les magasins son propre syst me de distribution Albert Keel de Yardo y participe et trouve que l offre de marketing de ECHT BIO est r ellement bonne Il pense que cela permettra notamment aux petits ma gasins qui ne peuvent pas se le permettre tout seuls d acc der des moyens professionnels de commu nication Andreas H hener d taillant bio B le met des r serves Premi rement le programme exclut les non affili s et ensuite il sugg re que tout le reste n est pas certifi bio En outre la campagne s puise en actionnite et impose trop de choses aux magasins qui y participent bioactualit s 10 06 nomise constate H hener Le Suisse
34. enseurs tax s de folie voire ex cut s Le cas de Galileo Galilei nest qu un exemple particuli rement frappant parmi de nombreux autres On a heureusement fait des progr s depuis Vraiment Chez nous en Suisse personne ne risque sa vie quand il nonce des v rit s d sa gr ables mais des journalistes russes ou des politiciens sud am ricains vivent en core dans une peur mortelle quand ils ex priment leurs critiques sur les puissants Les probl mes du mouvement bio ne peuvent pas tre compar s cela mais comme tout mouvement qui prend de ge et dont les comportements types se cristallisent il court lui aussi le risque d isoler les d viationnistes issus de ses propres rangs Chacun et chacune dentre nous peut tre soumis la tentation de refuser des changements pourtant n cessaires Ici un p re qui ne laisse son fils aucune libert pour essayer quelque chose de nouveau l une m re qui couve ses enfants et les emp che de devenir ind pendants Ici un pr sident qui d ter mine dictatorialement la destin e de son association jusqu ce que les membres d missionnent l un politicien qui ras semble les b nis oui oui autour de lui et qui laisse un vide apr s son d part Nous avons tous une certaine force d inertie et souvent une forme de c cit qui nous emp chent deffectuer temps les cor rections de cap n cessaires la sant de ceux qui ne se cramponnent pas ind fi niment des stru
35. entation soit remplac e partir de 2009 par une ordonnance g n rale du Conseil qui contiendra en plus des principales r gles de production de d signation et d im portation aussi les objectifs et les principes de l agriculture biologique De nombreux points critiqu s ont t am lior s au cours des derniers mois sous la pression de nombreux pays membres et du secteur priv On en est depuis lors d j au troisi me projet d taill Ce projet est maintenant discut au niveau politique et non plus au niveau technique Certains points sont insatisfaisants limitations de la communication des organisations labelli satrices au sujet des diff rences avec l ordonnance de l UE manque de clart au sujet de l obligation de reprise des certificats d organismes de contr les priv s par d autres organismes de contr le s ils ont t tablis au niveau des labels La pr sidence finlandaise et la Commission europ enne ont signal fin novembre que ces deux points controvers s devaient tre supprim s D autres points doivent encore faire l objet de discussions formulation de la contamination OGM reprise de la r gle mentation de l UE qui quivaut en pratique un seuil de tol rance de 0 9 oui r glementation des importations manque de clart au su jet de la reconnaissance des organismes de certification 1 r glementation des contr les champs de conflits poten tiels avec le contr le des denr es
36. ermi re 15 Contr le obligatoire pour le commerce de b tail et de fourrages 16 Strat gie durable contre les parasites des stocks RUBRIQUES 18 Br ves 19 Agenda 20 Petites annonces 20 Impressum 21 Consommation 22 Le dernier mot Photo de couverture Comp tente et amabilit Sarah Betschart vendeuse professionnelle en pleine action au supermarch bio Yardo de St Gall Photo Sylvan M ller Fabrik Studios bioactualit s 10 06 3 Winterthur cherchent r duire la main d uvre en augmentant la part de self service tout en assurant un conseil de bonne qualit UT ar w i i Di D Photos Markus Les supermarch s bio ne marchent vraiment pas super bien La presse suisse a abondamment parl cet automne des difficult s des supermarch s bio Yardo St Gall et R geboge Winterthur Tous deux ont d supprimer des postes et le R geboge doit trouver d urgence un million de francs pour pouvoir nouer les deux bouts ces trois prochaines ann es Qu est ce qui ne marche pas Les supermarch s bio sont florissants en Allemagne non Bio actualit s a men l enqu te 4 ct il y a une ann e avec de grands objectifs et pr s de 20 colla borateurs et collaboratrices Il en reste maintenant 10 Albert Keel na pas rem plac les d parts normaux et vient de licencier deux personnes pour cause de restructuration Le concepteur de Yardo cette cha ne de supermarch s bio super design lanc
37. es l informatique En optimalisant les pro cessus des commandes on peut utiliser ses employ s pour conseiller la client le et lui faire d couvrir de nouveaux assor timents La diversification du service pourrait permettre de renforcer le chiffre d affaires une part toujours plus grande de l alimen tation est consomm e hors du domicile dans des cantines des restaurants des take away et des snacks En Suisse cet te consommation hors de chez soi atteint d j 35 Le commerce bio pourrait lui aussi prendre une plus grosse part de ce g teau ambulant et l utiliser pour mettre en valeur les marchandises qui arrivent bient t la date de p remption au lieu de les jeter Yardo par exemple va d velopper son bistrot et met des tables dehors m me en hiver Vatter et H hener font eux aussi des sandwichs et ont install des coins caf Le R geboge donne comme Yardo des cours de cuisine et propose un service traiteur aux organisateurs d v nements et de r unions Nous pensons galement laisser le bistrot ouvert en dehors des heu res douverture du magasin pour augmen ter le chiffre d affaires explique Stefan Menti du R geboge D apr s ses derniers chiffres le R geboge aurait r ussi ven dre en 2006 sur la place de Winterthur 2 5 millions de francs de produits bio de plus quen 2005 Les commer ants interrog s sont tous d avis qu une centrale d achats interr gio nale permettrait de fair
38. es alternatives Toutes les entreprises qui stockent ou pr parent des denr es alimentaires doi Lutte contre les parasites des stocks qu est ce qui change Voici une vue d ensemble des modifica tions du r glement Lutte contre les pa rasites pendant le stockage et la transfor mation qui doivent tre compl tement appliqu es d ici au 01 01 2008 1 Dispositions pour l laboration d un concept g n ral de lutte contre les parasi tes avec la Checkliste pour la lutte contre les parasites exigences minimales pour les petites entreprises qui ont leur propre concept g n ral de lutte contre les para sites disponible sur le site internet de Bio Suisse cf encadr O se trouvent les documents qui contient entre autres E d finition de la responsabilit pour la lutte contre les parasites M analyse des risques M analyses des points faibles architectu raux hygi niques et organisationnels E rapport annuel pour le contr le de r ussite documentation compl te sur les activit s 2 La mise en place et le suivi des syst mes ad quats de monitoring sont du res sort des entreprises de d sinfestation re connues par Bio Suisse la liste actuelle se trouve sur le site internet de Bio Suisse et bioactualit s 10 06 les nouvelles entreprises reconnues y se ront rajout es au cours de l ann e 2007 3 La reconnaissance des entreprises de d sinfestation renforce certaines exigen ces E
39. es fromages en promotion ont profit d une multiplication des ventes jusqu 17 fois plus par rapport la m me p riode de l ann e pr c dente et apr s la fin du mois de promotion les ventes sont rest es nettement plus hautes que d habitude Les m mes succ s sont enregistr s pour le vin recommand pour le fromage en question En outre l action ne cannibalise pas le reste de l assortiment de fromages au contraire elle anime l ensemble de la vente de fromage Certains magasins signalent une augmentation des ventes de fromage de 60 depuis le d but de l action par rapport l ann e pr c dente Les augmentations des ventes montrent cependant aussi de nettes fluctuations d une sorte de fromage l autre Les fro mages du programme promotionnel sont donc s lectionn s avec le plus grand soin Douze nouvelles promotions de ce type sont en pr paration pour 2007 Toralf Richter Bio Plus AG Seon Pour se renseigner aupr s de l auteur t l 062 769 00 87 tr bio plus ch bioactualit s 10 06 19 20 E AGENDA INTRODUCTION Cours d introduction de 4 jours aux bases de l agriculture biodynamique Programme La notion d individualit appli qu e l agriculture La fumure biodynamique et les soins aux plantes Les pr parations biodynamiques pulv riser Le compostage sp cificit s du compostage biodynamique Les rythmes du cosmos influen cent ils le comportement du sol et des plan
40. essus remplit cette auto d claration pour les e es sociales conform ment la v rit La personne responsable s engage tenir la d claration jour en cas de modifications et de rem dier dans un d lai utile aux lacunes existantes Les personnes charg es du contr le peuvent examiner l auto d claration et les justificatifs n cessaires Signature Cheffe d exploitation Nombre d employ s DI 4 5 10 extrafamiliaux 011 20 O gt 20 salaires et pour les contrats de travail ainsi que les adresses des offices cantonaux du travail et les adresses cantonales pour commander les contrats types pour les employ s agricoles Bio Suisse mettra en place une ligne t l phonique pour r pon dre aux questions concernant les exigen ces sociales et l autod claration Le formulaire d autod claration au banc d essai chez Caroline et Rolf Streit Berner Galgenen SZ bioactualit s 10 06 Diff rences cantonales Au printemps dernier la question des contr les avait suscit la controverse lors de l adoption de ce nouveau chapitre du Cahier des charges Le groupe de travail charg de l application sest inform fond sur les contr les du droit du travail effectu s par les diff rents cantons Il a constat qu il y a de grandes diff rences d un canton l autre Au canton de Vaud par exemple le respect du droit du tra vail est d j contr l chaque ann e dans 10 des entrep
41. et ornementales gt Arboriculture petits fruits vigne gt Production animale sant animale gt conomie march statistiques gt L agriculture biologique internationale gt tudes du FiBL Tout trouver d un seul chid gt Choisissez parmi les 250 publications disponibles Dates Mercredi 17 janvier 2007 et Mercredi 31 janvier 2007 Lieu Institution de Serix Pal zieux Village VD Objectifs Programme J h site me lancer mais je suis fortement int ress Ou alors je me suis inscrit et j aime rais savoir ce qui m attend Quoi qu il en soit avant d entre prendre une reconversion je dois savoir quoi m en tenir afin de pouvoir m y lancer sereinement Ce cours aborde les points suivants les exigences pour le label Bourgeon et l ordonnance bio les cons quences conomiques attendues pour votre exploitation la pr sentation des partenaires de la fili re bio le t moignage de producteurs bio exp riment s la connaissance du syst me de contr le et de certification Organisation Prom terre et SNVA Intervenants Pascal Olivier CNAV Christian Bovigny Prom terre Christian Hockenjos Association Bio Vaud Co t Prix 100 francs 200 pour les non membres Renseignements et inscriptions Prom terre Secr tariat de FormaPro t l 021 614 24 35 formapro prometerre ch VITICULTURE Congr s de la viticulture biologique Date
42. ficielles on peut alors bien consommer de la vitamine C artificielle mais quand on conna t la diff rence on sen passe volontiers Il en va de m me pour les autres additifs ou er bioactualit s 10 06 Photo Oliver Lang Hans Pfister commercant ind pendant 6030 Ebikon Hans Pfister 58 ans vit en m nage commun avec sa femme de 59 ans Il exploite un commerce d lectronique industrielle et se d signe lui m me comme un bon vivant II mange et boit de tout ce qui a le go t de l authentique et qui lui pla t Il se passionne pour l histoire de la poste et pour les timbres des ann es 1862 1907 et il enseigne le judo Lucerne satz Ce que la nature nous donne est bon et nous refusons tout le reste dans notre m nage e Quels produits achetez vous toujours en bio lesquels jamais En fait toujours tout Il my a aucun pro duit que je nach te pas en bio combien estimez vous la proportion de produits bio dans votre m nage environ 95 ou 98 pour cent En g n ral o achetez vous vos aliments En g n ral chez Paul au G nterli et quel quefois aussi la Coop Je fais mes achats hebdomadaires le vendredi Je viens en v lo la Coop j ach te les produits bio s il men manque pendant la semaine p ex du pain ou des yogourts Trouvez vous que les produits bio sont trop chers Moi pas mais cest toujours relatif Cela d pend de la quantit d argent dont dis pose un m nage et
43. idature crite Wohnheim H chmatt 3616 Schwarzenegg F Wulff t l 033 453 16 63 Couple cherche pour la saison d estivage 2007 un alpage vaches Avons de l exp rience traire et fromager dans des alpages bio et de meter Aimerions bien conduire nous m mes la ferme env 18 20 vaches laiti res quelques g nisses et veaux L id al serait une ferme pour toute l ann e aussi l hiver Faire offres au FiBL Ackerstrasse 5070 Frick Chiffre BA 105 3011018 Cherche r gion ZH AG app 1 2 pi ces ou 1 pi ce dans ferme Possibilit d aider au m nage t l 043 455 90 04 Petite ferme mara ch re avec vente directe cherche main droit pour le chef d exploita tion mara cher re avec c ur et intelligence Aimez vous la qualit Aimez vous la diversit Voulez vous recueillir les fruits de votre travail Alors envoyer votre candidature Gm esgarte Schirmensee Mark Gnant Bahnhofstrasse 2 8714 Feldbach Femme de 36 ans cherche ferme bio ou analogue habitation contre travail pour 4 ans pendant mes tudes environs ville de Zoug Exp rience travaux d table et agricul ture Depuis avril 07 t l 0049 0 7073 5389 d s 18 00 heures t c bosch t online de Jeune couple plein d initiative cherche ferme louer pour agriculture biologique Offrons bonne formation et exp rience pratique avec r f rences Faire offres biobauer freesurf ch ou au FiBL Ackerstrasse 5070 Frick Chiffre BA 105 3011019
44. il faut que l offre de conseil aux pre neurs de licences aille dans le sens du r glement priorit la pr vention sur veillance r guli re m thodes alternati ves au lieu des pesticides E il faut obtenir le permis correspondant dans le cadre de la formation dispens e par la F d ration suisse des d sinfesta teurs FSD E il faut proposer un large ventail de proc d s alternatifs proc d s thermi ques physiques et m caniques p ex utilisation de kieselgur et d auxiliaires d s que les m thodes sont au point pour la pratique E il faut se soumettre aux audits effectu s par Bio Suisse pour contr ler la r us site de l application du r glement par les entreprises de d sinfestation 4 Il y a davantage de produits autoris s pour les traitements n cessaires mais ces traitements ne doivent tre effectu s qu en dernier recours et s il est av r que c est la derni re possibilit Ordre de prio rit pour les traitements 1 traitements localis s des recoins qui servent d abris 2 n bulisation 3 gazage La liste des produits chimiques de syn th se autoris s pour le traitement localis des recoins qui servent d abris pour les n bulisations et pour les gazages est main tenant s par e du r glement et elle peut tre t l charg e depuis le site internet de Bio Suisse 5 Il est encore possible d effectuer soi m me des traitements avec des pestici des mais il y a de no
45. in d cembre Distribution Aux exploitations agricoles et aux entreprises sous licence BIO SUISSE abonnements Fr 49 tranger Fr 56 diteurs FiBL Institut de recherche de l agriculture biologique Ackerstrasse Postfach 5070 Frick T l 41 0 62 865 72 72 Fax 41 0 62 865 72 73 www fibl org BIO SUISSE Association Suisse des organisations d agriculture biologique Margarethenstrasse 87 4053 B le T l 41 0 61 385 96 10 Fax 41 0 61 385 96 11 www bio suisse ch R daction Alfred Sch deli Markus B r Thomas Alf ldi FiBL Christian Voegeli Bio Suisse Manuel Perret Suisse romande bioactualites fibl org Traduction Manuel Perret 1412 Ursins Maquette Daniel Gorba Impression Brogle Druck AG Postfach 5073 Gipf Oberfrick Publicit Nicole R lli FiBL Postfach 5070 Frick T l 41 0 62 865 72 04 Fax 41 0 62 865 72 73 nicole roelli fibl org BIOLOGISCH DYNAMISCH Einf hrungskurs biologisch dynamischer Landbau obligatorisch f r Umsteller Wann Montag 15 bis Samstag 20 Januar Wo Bio Schwand 3110 M nsingen Inhalt Wesentliche Grundbegriffe des biologisch dynamischen Landbaus wie Betriebsindividualit t irdis ches und kosmisches Leben Kr ftewirkungen der Planeten Studium am Landwirtschaflichen Kurs Herstellung Anwendung und Wirkung der Pr parate Vermarktungsfragen Obstbau Alpwirtschaft Anthroposophie Mondrhythmen und Planetenwir kungen Gem sebau Viehzucht
46. ipants et le g n reux soutien du Fonds Coop Naturaplan Le petit fr re de plan te bio suisse le support d enseignement Vivre le bio s est d j trans form en digne successeur du projet il est activement utilis par de nombreux enseignants du cycle sup rieur Ce document peut tre command gratuitement sur www planetebiosuisse ch ml Bio Suisse l Olma Les visiteurs de l Olma ont t g t s avec des sp cialit s charcuti res de qualit bio Bio Suisse a pr sent aux 400 000 visiteurs de la plus grande foire de Suisse 19 sortes de saucis ses venant de sept cantons dont les produits prim s l t dernier par le concours de qualit de Bio Suisse Le stand de Bio Suisse a re u au cours des 11 jours de la foire quelque 40 000 visiteurs qui ont notamment pu tenter leur chance au jeu lectro nique du Memory Bio ml Le r pertoire des cours 2007 du FiBL vient de sortir La nouvelle peut int resser tous nos lecteurs qui comprennent l allemand La brochure Biolandbau Fachkurse 2007 pr sente 18 sessions de formation d une ou plusieurs journ es Les th mes vont des grandes cultures la trans formation la commercialisation et la certification en passant par la pro duction de poulettes la protection des plantes en mara chage les questions commerciales pour la production porcine les vergers haute tige et le greffage de la vigne Les cours sont con us pour les producteurs les enseignants les c
47. les Bains Schwyzer Biobauern Assembl e g n rale 06 03 2007 09 30 Marktst bli Markt halle Rothen thurm Schwyzer Viehvermarktungs AG Landstr 33 Rothenthurm VOB Assembl e g n rale 14 02 2007 Heen 3 me March Bio de la Suisse 01 09 2007 09 00 17 00 Weinfelden orientale Verein Schweizer Bio G rtnereien 19 20 01 07 ss Ftan Engadin www biopflanzen ch Agenda annuel de Bio Suisse Assembl es des d l gu s S ances de la CLA 25 01 2007 Commission de labellisation agricole 06 03 2007 Conf rences des Pr sidents 27 03 2007 08 05 2007 12 06 2007 31 07 2007 S ances du Comit 20 21 09 07 06 11 2007 20 03 2007 11 12 2007 10 04 2007 S ances de la CLTC Di 06 02 2007 15 05 2007 Commission de labellisation Di 03 04 2007 de la transformation et du commerce ER ep Di 04 09 2007 Di 20 11 2007 Foires avec stand 15 18 02 2007 de Bio Suisse 22 24 06 2007 bioactualit s 10 06 Ouverture et renouveau L Assembl e des d l gu s de Bio Suisse a ouvert la certification Bourgeon qui tait jusqu ici bien pro t g e Cette d cision a t prise dans une ambiance g n rale de confiance et de renouveau pr s les longues et tumultueuses discussions tenues au sein de la F d ration au sujet de la certification du Bourgeon l Assembl e des d l gu s qui sest d roul e le 15 novembre Olten tait domin e par des voix conciliantes M me les d l gu s qui ne frappent d habitu
48. leur moyenne d achats par client Trois types de concepts de magasins sont donc conseiller au pre mier chef 1 Magasins de petite et moyenne grandeur misant sur une s lection de produits et sur un super emplacement grands centres commerciaux gares a roports o ils vendent exactement le genre de produits qui correspondent aux besoins d une client le de passage press e On peut ici tranquillement s inspirer des Toralf Richter conomiste et expert en marketing bio concepts des entreprises conventionnelles p ex les Pronto Shops de Coop Il nest pas toujours n cessaire d avoir un assorti ment complet de produits bio 2 Magasins qui misent sur une troite relation avec leurs clients et qui sont donc m me de leur vendre une grande partie de leurs besoins alimentaires hebdoma daires 3 Les petits commerces bio qui se concentrent sur un seul type d assorti ment comme par exemple les boutiques de mode bio ou de cosm tiques naturels les salons de th bio avec p tisseries bio Le march bio va t il renouer avec la crois sance en Suisse La croissance est d j de retour Rien que Photo Thomas Alf ldi pour le commerce biologique sp cialis on peut sattendre pour cette ann e une progression de 5 7 pour cent Conseil ou self service anonyme que veut le client bio du futur Le client bio nexiste pas Le client bio qui veut vite compl ter ses achats dans un ma gasin bio du centre
49. liminaires Cest pourquoi le FiBL soutenu finan ci rement par le Fonds Naturaplan assure le suivi dessais grandeur nature dans un silo dans un entrep t dans une boulange rie dans un moulin et dans une entreprise demballage en collaboration avec une entreprise de d sinfestation Desinfecta Dienstleistung AG et le producteur d auxiliaires Andermatt Biocontrol AG Les r sultats obtenus jusqu ici sont tr s encourageants Bien que la limite suppor table d infestation ait t atteinte dans le cas des teignes il a t possible de renon cer presque totalement aux traitements chimiques et le retardement de l appari tion des parasites par rapport aux ann es pr c dentes tait tr s net Gabriela Wyss FiBL bioactualit s 10 06 Photos Andermatt Biocontrol Markus Z ger 17 E BR VES Rumpe d missionne Frank Rumpe d missionne de son poste de directeur de bio inspecta AG pour fin ao t 2007 45 ans il d sire de nouveau entreprendre quelque chose de neuf apr s les cinq ann es pass es la t te de la soci t de contr le et de certification de Frick Il d sire r aliser un de ses r ves quel que part dans le vas te monde peut tre en reprenant une entreprise agricole biologique ou alors dans le domaine des nergies renouvela bles D s qu il aura vid son bureau il commencera par s envoler pour Vancouver sur la c te ouest du Canada L il sautera sur son v lo pour p daler en profi
50. lit pas Jusqu ici c tait toujours l acheteur qui tait sanctionn partir du moment o les marchands sont contr l s et certifi s le marchand fautif pourra tre poursuivi en cas d infraction Lobligation de se soumettre au contr le et la certification sera appliqu e d s le 01 01 2007 pour les marchands de b tail et de fourrages grossiers partir dela saison de contr le 2008 les animaux et les four rages grossiers qui nauront pas t achet s des paysans bio ou des marchands cer tifi s seront consid r s comme non bio et sanctionn s en cons quence Le contr le du commerce des animaux agricoles et des fourrages grossiers ne se fera norma lement qu au niveau de l Ordonnance bio Pour le Bourgeon le commerce des ani maux agricoles et des fourrages grossiers nest pas soumis au contr le Martin Suter bio inspecta Aussi pour les mises de b tail jamais sans le certificat du marchand ns Photo Beat Bapst L bioactualit s 10 06 15 16 E CONSEILS Une strat gie durable contre les parasites pendant la transformation et le stockage Pr venir surveiller en permanence traiter seulement si c est vraiment n cessaire et en vitant que les produits Bourgeon puissent tre contamin s par des r sidus tels sont les objectifs du nouveau r gle ment pour la lutte contre les parasites dans les entreprises agroalimentaires et commerciales certifi es Bourgeon e r gle
51. lors quen Allemagne un supermarch bio re pr sente pour de nombreux consomma teurs un lieu d achat quivalent ceux des nombreuses cha nes de supermarch s les magasins et les supermarch s bio ne sont pour la plupart des consommateurs suis ses qu un compl ment aux achats de base effectu s la Migros ou la Coop Deuxi mement les loyers sont nette ment plus lev s en Suisse pour des em placements comparables En Allemagne aussi les chiffres d affaires par m tre carr diminuent nettement partir d une surfa ce de vente de 300 m tres carr s Le poten tiel de chiffre d affaires des supermarch s bio est semblable dans les deux pays Un supermarch bio ne peut donc r ussir en Suisse que si les loyers sont supportables Et troisi mement la r ussite d un commerce bio prend du temps Impossible de r ussir sans d velopper progressive ment une client le bien fid lis e De ce point de vue la t che est plus simple pour des magasins comme Vatter ou R geboge localement bien enracin s que pour un nouveau venu comme Yardo Comment est ce que a marche ailleurs Existe t il un mod le s r qui soit applica ble en Suisse Au vu de la structure tr s sp ciale du commerce de d tail suisse on ne devrait pas suivre de trop pr s les mod les tran gers En Suisse on ne peut r ussir dans le commerce bio que si on a un nombre de clients extraordinairement lev ou si on peut arriver une haute va
52. ment Lutte contre les pa rasites pendant le stockage et la trans formation de Bio Suisse ayant toujours t source d incertitudes et les produits quil autorise ne correspondant plus la situation actuelle il a t enti rement r vis La nouvelle version de ce r glement donne la priorit aux mesures pr ventives et aux contr les r guliers des locaux et des installations de production prophylaxie et surveillance Il s agit long terme demp cher le plus possible de cas d infestations pendant le stockage et la transformation et donc de diminuer l utilisation des produits pour les traitements localis s des recoins et de ceux pour les n bulisations et les ga zages des locaux vides Il est en tout cas n cessaire d viter toute contamination de produits Bourgeon par des r sidus de produits de traitement Ce nouveau r glement ne concerne pas la lutte contre les parasites dans les en treprises agricoles Bourgeon car elle est r gl e dans les dispositions d application de la CLA Commission de labellisation agricole Priorit la pr vention Dans la ma trise des parasites en bio la pr vention a la priorit absolue sur toute forme de lutte Lapplication du nouveau r glement vise obtenir long terme l abandon si possible total des traitements chimiques de synth se Pour y arriver l utilisation des pesticides doit tre pro gressivement diminu e par la combinai son avec des m thod
53. mmes plus cr dibles Ce nest quen restant uni ques en notre genre que nous pourrons nous distinguer de tous les autres labels bio Nous prenons le risque de voir le nombre de membres diminuer parce que nous sommes convaincus que cela nous renforcera long terme Les consomma teurs nous comprennent mieux quand nous nous diff rencions des autres Nous faisons notre travail avec une profonde conviction int rieure et il nous arrive de nager contre courant Toute question cache une cascade de nouvelles questions de nouvelles th ma tiques Cest la discussion sur le Concept directeur qui fera ressortir lesquelles sont pr pond rantes Qui va participer Bonne question Tous ceux qui ont des solutions miracles devraient participer la discussion du Concept directeur Sont aussi invit s tous les autres ceux qui ne peuvent pas sortir des rem des miracles de leur chapeau toutes les voix criti ques Tous ceux qui font encore le poing dans leur poche Et tous ceux qui len ont d j sorti Tous ceux qui discutent constructivement qui pensent l avenir qui aimeraient faire uvre de pionniers dans notre F d ration Les femmes et les hommes Les Romands les Tessinois les Romanches les Suisses allemands Les paysans de montagne et les mara chers de plaine Les grands et les petits Ceux de gauche et ceux de droite Les fonda mentalistes et les n olib raux Pour que l avenir la majorit de la F d ration ti
54. n objec tif ambitieux de b tir un r seau de filiales Yardo dans toute la Suisse Il est actuelle ment en phase finale de n gociation pour un emplacement Zurich Oberstrass Le potentiel de cet endroit sera selon Keel d cisif pour l avenir Un arc tendu se rompre En plus de Yardo le R geboge larc en ciel a aussi fait n gativement parler de lui ces derniers mois Cette coop rative cr e en 1982 a eu les yeux plus gros que le ventre en assumant des travaux qui ont co t 1 2 millions de francs La situation derri re la gare sest av r e d favorable et les chiffres d affaires sont rest s inf rieurs aux attentes Mesure d urgence le nom bre de postes de travail a t r duit de 31 23 Stefan Menti selon ses propres dires de n ophyte dans la branche ayant accept de soccuper de l assainissement de ce na pe SN Vague de solidarit depuis les articles de presse sur les difficult s conomiques du R geboge les chiffres d affaires sont la hausse et le 11 novembre photos lors du premier anniversaire du supermarch bio de Winterthur le magasin et le bistrot taient tr s bien fr quent s vire bio malmen par la temp te invoque la concurrence massive de la Migros et de la Coop Il faut alors tre particuli rement fort dans le conseil pour par exemple si gnaler aux allergiques les produits qui leur conviennent Cest tonnant de voir le temps que la client le passe dans le m
55. ndra en mars 2007 un endroit bien centr pour d finir les questions fondamenta les Le Groupe de travail r digera ensuite un projet de Concept di recteur qui sera envoy en consul tation aux organisations membres et tous ceux qui participent au processus Le Concept directeur sera discut et corrig lors des Conf rences des Pr sidents Apr s la r daction finale parle Groupe de travail le Concept directeur sera adopt d abord par le Comit puis par l Assembl e des d l gu s Ce processus d laboration du nou veau Concept directeur sera donc probablement totalement termin en automne 2007 ou au printemps 2008 Toutes les personnes qui partici pent cette large discussion se r uniront lors de la Conf rence pour l Avenir et entre deux les dis cussions et le travail se feront via Internet Bio Suisse cr era un fo rum internet sp cialement con u pour cela Qui cherchons nous Ceux qui veulent participer la dis cussion pour le nouveau Concept directeur doivent avoir le profil suivant E esprit d ouverture et go t pour les d bats constructifs M tre pr t informer en perma nence au moins cinq personnes de son entourage agrobiologi que sur le processus d labora tion du Concept directeur M avoir acc s Internet pour pou voir suivre les discussions on line du Groupe de r flexion E se tenir disposition de sa pro pre organisation membre pen dant la p riode de
56. nus Silvestri L chingen SG natel 079 222 18 33 Jakob Spring Kollbrunn ZH natel 079 406 80 27 Hans Gantenbein M hledorf SO natel 079 423 14 62 pour la Suisse romande Votre chance nous cherchons de nou veaux producteurs de Bio Weide Beef Nous cherchons Nouveaux producteurs de Bio Weide Beef e Partenaires pour achat de remontes et engraissement SS l e partenaires avec vaches m res et engraissement d l evage Eleveurs de vaches m res bio pour la production d Aubrac Eleveurs de vaches m res bio pour la production de remontes aux f ocons d engraissement Vos avantages Possibilit s d coulement int ressantes et durables dans les l T programmes Bio Weide Beef et Aubrac Bio e tr s app tibles e pour un apport nerg tique quilibr Nous commercialisons g R e exempts de poussi re et de germes Reproducteurs Aubrac g nisses 1 pour vaches m res remontes d engraissement bio veaux d tal bio petits veaux bio porcs bio truies bio porcelets bio vaches de r forme bio Rabais de Fr 4 100 kg T l phonez nous nous vous conseillerons volontiers valable jusqu au 13 janvier 07 Dans votre www ufa ch LANDI SUISSE La gen se du nouveau Concept directeur se fera sur Internet Progresser par le changement c est le slogan que le secr tariat de Bio Suisse se donne pour 2007 Seulement dans quel le direction un secr tariat au service d un mouvement qui se montre branl
57. onseillers les contr leurs ainsi que les experts des soci t s des autorit s et des f d rations Les conf renciers sont des sp cialistes de la pratique du conseil de la recherche du commerce des f d rations et de l administration Cette brochure de 28 pages peut tre t l charg e gratuitement depuis www fibl org gt Bildung gt Schweiz gt FiBL Kurse ou tre command e gratuite ment au FiBL Ackerstrasse 5070 Frick T l 062 865 72 72 Fax 062 865 72 73 info suisse fibl org rs Pesticides plut t plus que plut t moins D apr s le dernier rapport annuel dit par la direction g n rale de TUE pour la sant et la protection des consommateurs la concentration de pesticides dans les denr es alimentaires aug mente 45 des fruits des l gumes et des c r ales consomm s en Europe en 2005 taient contamin s contre 42 l ann e pr c dente Et 23 4 des produits contiennent des r sidus de deux huit pesticides diff rents Pour la premi re fois la direction g n rale de la sant a examin sous la loupe aussi la nourriture pour b b s on trouve des r si dus de pesticides dans 8 7 des produits et 2 7 des produits d passent les limites permises Sources www mdrgf org Lib ration 07 11 06 tat des lieux pour la nouvelle ordonnance bio de l UE Le nouveau projet d ordonnance bio de l UE fait l objet d in tenses discussions depuis d cembre 2005 Il est pr vu que l actuelle r glem
58. ourgeon Pourquoi y a t il des produits Bourgeon avec et sans la mention Suisse Le bio et le Bourgeon sont ils la m me chose Que deviennent La Conf rence pour l Avenir cherche des participants Le nouveau Concept directeur de Bio Suisse devra r pondre ces trois questions fondamentales M Que voulons nous obtenir ces prochaines ann es M Qu est ce qui est important pour nous E Comment atteindre le but Tout ce processus durera environ une ann e La direction g n rale du projet sera assur e par un Groupe de travail dirig par la pr sidente Regina Fuhrer Le directeur Markus Arbenz le coordinateur de la F d ration Christian Voegeli ainsi qu une productrice et un pro ducteur bio en feront aussi partie Le Groupe de r flexion qui com prend les membres du Comit les pr sidents des commissions tech niques et de labellisation ainsi que les pr sidents des organisations membres soit au total quelque 50 personnes sera charg de four nir des inputs concrets pendant le processus de d veloppement bioactualit s 10 06 et d en valuer le contenu Une Conf rence pour l Avenir r unis sant une centaine de membres de la base de toutes les langues et r gions de Suisse d finira les points centraux et les axes strat giques Comment le processus se d roulera t il Le Groupe de r flexion et le Groupe de travail pr pareront ensemble la journ e de la Conf rence pour l Avenir qui se tie
59. ous pouvez t l charger la Directive n 7 de l OFSP depuis le site internet suiavant http www bag ad min ch themen ernaehrung 00171 01551 index htmllang fr tions sur SwIssGAP Certaines entreprises commerciales exigent aussi que les produc teurs bio respectent les normes du syst me d assurance qualit SwissGAP Les soci t s de contr le proposent des contr les combi n s avec les contr les bio Qu est ce que SwissGAP gt SwissGAP est un nouveau syst me d assurance qualit qui s inspire de la norme europ enne EurepGAP GAP est l abr viation de Good Agricultural Practice qui correspond en fran ais BPA Bonnes pratiques agricoles Ce pro gramme a t d velopp pour les entrepri ses agricoles conventionnelles Les fermes bio remplissent d j une grande partie de ces exigences et vont naturellement plus loin sur de nombreux points des exigences de base Seules l hygi ne et la s curit du travail ne figurent pas dans le Cahier des charges de Bio Suisse Qui a besoin de SwissGAP La Coop et la Migros exigent que leurs fournisseurs aussi les pro ducteurs bio de fruits de l gumes et de pommes de terre respectent SwissGAP Ceux qui ne sont pas s rs d avoir besoin de SwissGAP doivent s informer aupr s de leurs acheteurs Comment s annoncer D Les entreprises doivent s annon cer par crit ou par Internet Agrosolution t l 031 910 53 20 www agrosolution ch Tous les do
60. quetage et de tra abilit doivent tre consign es par crit pour l inspection des denr es alimentaires L obligation de tenir ces registres est ind pendante du fait qu il s agisse ou non d une entreprise bio Un mode d emploi et des formulaires actualis s sont disponibles en allemand aupr s d Agridea Lindau t l 052 354 97 00 L actualisation de la documentation fran aise sera faite en 2007 par Agridea Lausanne renseignements Mme Astrid Maillard t l 021 619 44 70 M Les entreprises qui arr tent leur acti vit Autorisation obligatoire Les entreprises qui produisent transfor ment ou commercialisent des denr es ali mentaires dorigine animale peuvent tre soumises autorisation Les entreprises qui ne transforment que des mati res pre mi res v g tales nont pas besoin d autori sation Les petites entreprises et celles dont la commercialisation est strictement loca le peuvent tre exempt es de l autorisation obligatoire On peut tabler sur le fait que lobligation d avoir une autorisation est R ponses aux ques plut t exceptionnelle pour la transforma tion fermi re Il faut clarifier avec les auto rit s cantonales si une entreprise a besoin d une autorisation On peut se r f rer la Directive n 7 de POFSP Office f d ral de la sant publique Lautorisation doit tre demand e aux autorit s cantonales de contr le des denr es alimentaires Christoph Fankhauser Bio Suisse i V
61. r 2006 Le budget adopt par les d l gu s pr voit un d ficit de 33 000 francs Le d bat sur le budget a t marqu par l adoption d une motion de Bio Grischun et des Schwyzer Biobauern partir de 2008 et jusqu nouvel ordre les fonds PSL devront tre affect s directement aux mesures de promotion des ventes pour le secteur du lait Le Comit devra pr sen ter PAD du printemps 2007 un concept montrant comment les fonds PSL seront utilis s partir de 2008 Christian Voegeli Bio Suisse Alfred Sch deli bioactualit s 10 06 Photo Thomas Alf ldi 11 12 Photo Hans Ramseier Normes sociales place la responsabilit personnelle Pour l application des exigences sociales en Suisse la CLA Commission de labellisation agricole veut tenir les promesses qui ont t faites lors de l introduction de ce chapitre du Cahier des charges Tout sera bas sur la responsabilit personnelle et aucun contr le ni sanction suppl mentaires ne sont pr vus pour 2007 L autod claration pour les exigences sociales est pr vue pour aider les entreprises Bourgeon respecter les exigences l gales et se trouver du bon c t en cas de contr le cantonal U formulaire de deux pages A3 inti tul Autod claration exigences so ciales sera au centre de l application du nouveau chapitre du Cahier des charges Il sera envoy en 2007 toutes les entrepri ses Bourgeon avec les autres documents des contr le
62. r l autoapprovisionnement ou les animaux domestiques comme les cochons ventre pendant Fourrages grossiers et herbe d shydrat e D apr s l article 1c de l OBio les mar chands de fourrages grossiers doivent tre contr l s et certifi s L application est pour 2007 Pour pouvoir tre compt s comme fourrages bio les fourrages grossiers doi vent donc tre achet s directement des paysans bio ou un marchand certifi Les certificats des fournisseurs devront tre pr sent s lors du contr le des fermes bio Les installations qui transforment de l herbe ou d autres fourrages grossiers tombent aussi sous le coup du contr le stipul par l article 1c de l OBio S il sagit d une transformation fa on de sa propre mati re premi re un contrat de sous traitance suffit pour autant que l entreprise de transformation ne travaille pas pour plus de cinq agriculteurs bio partir de six agriculteurs l installation de d shydratation de l herbe doit conclure un contrat de contr le avec un organisme de contr le accr dit Davantage de s curit Les statistiques des sanctions r v lent r guli rement que les lacunes les plus fr quentes concernent le commerce de b tail Les animaux agricoles sont en effet sou vent achet s en toute bonne foi en pensant que leur statut bio est en ordre Le contr le des documents r v le cependant tr s sou vent que les animaux que lon croyait bio ne le sont en r a
63. r lire les exigences techniques et de d finir les mesures qui sont n cessaires pour l entre prise Les producteurs bio doivent remplir les m mes formulaires que leurs coll gues non bio mais il y a des all gements un simple oui peut r pondre de nom breuses questions des exigences techni ques si le contr le bio na pas mentionn de lacunes Ces points sont list s au point 2 3 du formulaire Donn es de l exploita tion de production Quand faut il que tout soit rempli D Au moment du contr le les docu ments doivent tre compl tement remplis au moins pour les trois mois pr c dents Lautocontr le doit tre fait et une culture au moins doit tre pr sente au champ ou en stock Et si j ai encore des questions gt Les questions peuvent tre pos es Agrosolution aux conseillers agri coles et aux organisations professionnel les Markus Wittmer Bio Suisse Nouveaut s pour la transforma tion fermi re et la vente directe Lors de l AD du 19 avril 2006 les d l gu s ont abrog le principe de la globalit dans le domaine de la transformation fermi re du commerce et de la vente directe La restauration la ferme est aussi tou ch e par cette d cision V A du 01 01 2007 les fermes bio pourront aussi fabriquer transfor mer et commercialiser des produits non bio Le point central est la d claration cor recte des diff rentes qualit s Les consom mateurs ne doivent pas
64. re de nouveau la m me corde et dans la m me direction Photo Adrian Moser bioactualit s 10 06 9 10 B rner Bio Bure Assembl e g n rale 11 01 2007 09 00 15 30 Th me de l apr s midi microorganismes efficaces S minaire d hiver 21 02 2007 09 30 16 00 Sol Fertilit du sol carac t ristique du sol et travail du sol r dui WE des d l gu s 17032007 10 00 17 00 K llken ag 60 ans de Bioterra Journ e 09 10 06 07 des jardins bio ouverts Bioforum Schweiz Discussion du M schberg Beaulieu Bio Fribourg est h te Lausanne d honneur Sommet bio dans le ca Entre autres Conf rence sur l influence 16 17 01 07 dre du Bio March 22 24 06 2007 Bio Fribourg Assembl e g n rale 15 02 2007 Salon Mednat Agrobiorama 28 03 01 04 07 Herzberg 5025 de la Lune sur les plantes Asp ob Aarau les animaux et les hom mes et autres activit s Schulhaus 6232 Geuensee Bio Luzern Week end du Herzberg 27 28 01 07 Assembl e g n rale 05 03 2007 Cours sur la vente directe 20 03 2007 Bio Neuch tel Assembl e g n rale 16 02 2007 Bio Ring Appenzellerland Assembl e g n rale 17 01 2007 Bio Vaud Assembl e g n rale 16 03 2007 Neuch tel Matin Visite de Abbaye de la fromagerie Fontaines Andr Apr s midi AG avec la pr sence de Markus Arbenz directeur de Bio Suisse 20 00 Krone Gais AR 09 30 Centre Pro Natura de Champ Pittet Yverdon
65. rises agricoles Lobjectif des autorit s est de rendre obligatoire des contr le de cet ordre de grandeur dans toute la Suisse Le groupe de travail est donc par venu la conclusion que cela n aurait pas de sens deffectuer des contr les suppl mentaires du c t du bio Les contr leurs de bio inspecta et de BTA nont d ailleurs pas la formation n cessaire pour faire de tels contr les Sy rajoute la difficult que chaque canton a ses propres dispositions d taill es en mati re des droits des tra vailleurs Le contr le bio 2007 se bornera donc contr ler si l autod claration a t remplie et sign e Les retardataires se ver ront signifier l obligation de le faire pour le contr le 2008 Le respect des exigences sociales sera donc ainsi totalement remis la res ponsabilit personnelle des entreprises Bourgeon Bio Suisse est convaincue quel les sont conscientes de leurs responsabili t s et qu aucune entreprise Bourgeon na envie demployer de la main d uvre en violantledroit du travail Lautod claration est donc un outil qui permettra aux pro ducteurs de constater les ventuelles la cunes et qui les aidera les corriger Les entreprises bio pourront ainsi attendre en toute qui tude les contr les cantonaux et ne courront pas le risque de se voir r duire les paiements directs pour violation du droit du travail Hans Ramseier Bio Suisse Annonce et autorisation obligatoires pour ceux qui font de la
66. s Toutes les entreprises qui emploient de la main d uvre non fami liale devront remplir ce questionnaire Ce formulaire permettra aux entreprises de savoir quoi elles en sont avec les droits des travailleurs et s il y a des lacunes liminer Si cest le cas la direction de entreprise pourra tablir elle m me un plan de mesures qui pr sentera quand et comment les lacunes seront corrig es Le seul point sur lequel le Cahier des charges de Bio Suisse va plus loin que la l gislation est l obligation de conclure un contrat de travail crit avec tous les employ s Lautod claration sera accompagn e d un mode demploi expliquant comment remplir le formulaire donnant les r f rences des prescriptions l gales fournis sant des mod les pour les d comptes des Doit tre remplie par le ou la B D re i chef fe d exploitation AUTO D CLARATION EXIGENCES SOCIALES Exploitation Num ro d exploitation bio Chef fe d exploitation une voir plusieurs employ e s des apprenti e s des stagiaires ou des aides temporaires mplir cette d claration conform ment au chapitre 8 du Cahier des charges de Bio Suisse du entreprises qui tiennent jour une liste du personnel ou un autre document de contenu quivalent peuvent remplir les onditions d engagement pages 2 3 globalement par groupe de statut se r f rer au manuel explicatif ec un ast risque galement dans le manuel explicatif annex l
67. s vou lions autre chose nous ne serions pas cr dibles et pour que l ensemble de no tre soci t soriente d apr s des principes cologiques Dans quelques ann es cette toute r cente d cision ne sera qu un petit pisode sur un long chemin Mais certai nement pas un pisode sombre Werner Scheidegger Madiswil BE Le bon foin du voisin propos de l article Affouragement bient t 100 bio pour les vaches bio actualit s n 9 novembre 2006 D Cent pour cent de fourrages bio gr ce la production contrac tuelle Il me semble que le trait manque la cible Les ann es normales il est bien clair que le cheptel doit tre nourri avec les fourrages de la ferme Il y a cependant eu une succession d t s secs et pluvieux qui ont laiss derri re eux de grands manques de fourrages dans les fermes purement herbag res Les fermes avec grandes cultures sont plus flexibles et peuvent en cas de besoin agrandir la sur face des d rob es fourrag res Les ann es 2003 et 2006 nous ont heureusement gratifi s d un deuxi me printemps en automne Nous avons donc t prot g s des sc narios de crise australiens c d les abattages pour manque de fourrage Si ce cas extr me devait se pr senter je ne voudrais pas devoir importer du foin bio de Tch quie pour combler le trou Je pr f rerais en effet et de beaucoup pou voir utiliser avec mes propres machines les prairies extensives de mon voisin sans
68. se pr senter comme magasin bio ou comme magasin Bourgeon si des produits conventionnels y sont vendus Les produits conventionnels doivent tre identifiables comme tels sans avoir besoin de poser la question Restauration la ferme Il est possi ble de proposer aussi bien des mets bio logiques que conventionnels Si des mets sont identifi s par le Bourgeon le chapitre Cuisine avec produits Bourgeon du r glement Restauration doit tre respect Ce chapitre r gle avant tout l utilisation correcte du Bourgeon sur les cartes des mets Transformation fa on Gr ce aux n gociations de Bio Suisse avec l OFAG les producteurs peuvent continuer de tra vailler avec des transformateurs fa on sous traitants sur la base de contrats de sous traitance transformation fa on Les transformateurs fa on ne peuvent pas travailler pour plus de cinq produc teurs par ann e Si un transformateur fa on d passe cette limite il doit conclure un contrat de licence l ann e suivante Le transformateur fa on doit comme aujourd hui tenir un journal des fabrica tions Nouveau le transformateur fa on peut acheter lui m me des ingr dients comme p ex les pices ou le lard Le pro ducteur doit exiger une copie des pi ces concernant ces ingr dients facture cer tificat bio v attestation OGM car elles seront v rifi es lors du contr le bio Bio Suisse esp re avoir trouv pour ce r glement
69. sques d ac ton mie putzstart est sp c autour du v lage syit CHF 300 Un retour en chaleur vite gain ew SH n cas d ac i A A Glen d aliment starter habituel ne E i ement de CE S up invesiiss ee 0 avec putzstart Diminution de la perte de poids en d but de lactation et d infertilit AZ Bon d marrage e H ES Fu H GI Ee et nl de la lactation M hle Rytz AG 3206 Biberen T l 031 754 50 00 www muehlerytz ch mail muehlerytz ch et votre conseiller r gional UI PROV Andermatt Biocontrol Pas encore en lutte par Confusion Les produits pour la lutte par confusion aupr s de Andermatt BIOCONTROL AG Stahlermatten 6 CH 6146 Grossdietwil T l 062 917 50 05 e Fax 062 917 50 06 www biocontrol ch sales biocontrol ch RK L Antenne romande M Jeanrenaud 079 632 35 63
70. tant pleinement de l t indien Destination Washington DC als Premi re pr sentation publique de Bio Schwand Entre 600 et 800 visiteurs ont r pondu samedi 2 d cembre l invitation de Bio Schwand la journ e des portes ouvertes sur ses locaux encore vides Le nouveau centre bio de M nsingen BE dans la vall e de l Aar se pr sentait pour la premi re fois un large public de la r gion et du mouvement biologique suisse La visite conduisait les invit s travers les b timents encore vide de cette ancienne cole d agriculture Bio Schwand avait pu signer dans les temps avec le Canton de Berne tous les contrats n cessaires la reprise du site L association des locataires qui g re l entreprise agricole depuis l ann e 2000 s tant inopin ment retir e du projet Bio Schwand cherche maintenant un autre partenariat als 18 bioactualit s 10 06 Plan te bio suisse la fin de son p riple Apr s trois saisons tr s riches en succ s et plus de 6000 visi teurs contents une multitude d articles de presse positifs et de r actions satisfaites des familles paysannes plan te bio suisse a mis un terme d finitif son p riple dans le cosmos bio Il en reste de nombreuses exp riences intenses et des tas de souve nirs merveilleux des discussions avec les jeunes donc avec les consommateurs bio de demain Tout cela n aurait pas t possible sans l norme engagement de tous les partic
71. tes Le paysage et la diversit comme facteurs de sant pour l agriculture et pour l homme 1 Une nouvelle approche pour soigner les plantes La recherche biodynamique Les r sultats Pratiques sp cifiques pour l le vage pour les grandes cultures et les cultures l gumi res et l arboriculture Pratiques sp cifiques pour la viticulture Emploi des pr para tions r duction des doses de cuivre et de soufre comment cr er de la diversit dans le vi gnoble la biodynamie peut elle se prolonger la cave r g n ration du vignoble rythmes et emploi des pr parations travail du sol taille rognages semis greffage plantation etc Visites sur le terrain Dates 6 f vrier 2007 11 et 12 avril 2007 15 juin 2007 Lieu L Aubier H tel Restaurant et Ferme Fromagerie 2037 Mont zillon Neuch tel Information programme d taill et inscription Association pour la Biodynamie 4144 Arlesheim Anita Werren t l 061 706 96 43 mobile 078 745 48 81 RECONVERSION L AGRI CULTURE BIOLOGIQUE Cours d introduction de 2 jours satisfaisant aux exigences de Bio Suisse Public vis Agriculteurs int ress s par l agricul ture biologique Producteurs ayant commenc la reconversion Dur e Deux jours gt Bases formation et perfectionnement gt Reconversion directives intrants adresses gt Cultures fourrag res et grandes cultures gt Mara ichage plantes aromatiques
72. trement si il y a une fois sept Yardo et cinq R geboge et qu ils veulent coop rer entre eux et avec d autres Interview Markus B r bioactualit s 10 06 7 8 E BIO SUISSE Un nouveau concept directeur pour tirer la m me corde Bio Suisse lance une vaste discussion pour la r vision de son Concept directeur La F d ration a besoin pour cela de la collaboration de ses membres et la base l aidera d terminer les questions qui feront partie de ce d bat Le nouveau Concept directeur devra r pondre trois questions fondamentales Que voulons nous obtenir ces prochaines ann es Qu est ce qui est important pour nous Comment atteindre le but l y a 25 ans quelques paysannes et pay sans audacieux et souvent raill s se sont rassembl s pour changer l agricultu re et pour tirer ensemble la m me corde R trospectivement et avec la distance on pourrait croire quensuite tout est toujours all de l avant sans probl mes L histoire de Bio Suisse est en effet ponctu e de quel ques gros titres conqu rants D j 4000 fermes reconverties au Bourgeon Coop monte dans le train des paysans bio Le lait bio un hit Le bio boome Le chiffre d affaires des produits bio franchit la barre du milliard Ceux qui r duisent l agri culture biologique et les personnes qui la font des chiffres et des gros titres ne rendent cependant justice ni l une ni aux autres Vingt cinq ans apr s la cr ation de l
73. u Bourgeon comme moi laissent de coquettes taxes de licences dans l escarcelle de Bio Suisse Cest un fait que les importations mettent mal le caract re saisonnier de loffre Bourgeon mais je nach te pas plus de tomates Bourgeon en hiver que d autres produits farfelus qui remplissent les rayonnages de nos grands magasins La responsabilit personnelle doit tout de m me commen cer quelque part Matthias Scheurer Secr taire syndical B le bioactualit s 10 06 23 Le leader du commerce des ufs bio hosberg Ae Ze Cierhandel 8630 R ti ZH T l 055 251 00 20 rA p z a a yy 4 AC rit RER D J p 8 e e Ze P gt 2 7 Lot Ay KM WE i V r AASS TRUAN TRTA Ke ah EE SL AUS PARE Z SET Le d x IO ai DACH Le ST An e L y Ce a d H F i F f Cod Dia e Ber Ze a a 4 im Y d f G po d d Visitez notre site internet vous y trouverez des informations actuelles pour les clients et les fournisseurs www hosberg ch BIO kagfreiland CH 5070 Frick x Q i LL E T mm U AZB PP Journal Veuillez s v p communiquer la nouvelle adresse AA vw M hle Rytz AG Agrarhandel und Bioprodukte geg isaues putzstart ee formul pour ma triser les risqu i i ace Putzstart Votre potentiel d conomie gr ce a ton mie en moins gai L investisse Me ent start Vos avantages Ma trise des ri
74. understanding about sources of contamination and critical control points in organic farming and processing in the interpretation of analysis reports and residue cases for adequate sampling procedures Pots en verre avec couvercle Bouteilles avec fermeture canette Pour toutes sortes d aliments Marmelades fruits l gumes Formes et grandeurs diff rentes de 0 4 di jusque 1 litre Bouteilles avec fermeture canette 2 5 dl jusque 1 litre Echantillons gratuits avec liste des prix demande www shop fibl ors bioactualit s 10 06 Crivelli Emballages e CH 6830 Chiasso amp 091 647 30 84 Fax 091 647 20 84 crivelliimballagei hotmail com in field and processing situations and for the necessary procedures that need to be initiated in case of positive analysis results Tools and templates ready to be used in the field will be provided with compre hensive training documents Moderation Gabriela Wyss and Marlene Heeb Contact Inscription FiBL Kurssekretariat course office 5070 Frick phone 0041 0 62 865 72 74 e mail kurse fibl org details soon on www fibl org OBSTBAU Bioobstbautagung Wann Freitag 26 Januar Wo FiBL 5070 Frick Inhalt Durch neue Anbaumethoden und techniken konnte die Ertragssicherheit kontinuierlich verbessert werden Trotzdem sind noch verschiedene Optimierungs m glichkeiten zur Sicherung der Ertr ge zu erarbeiten und umzu setzen wie das vergangene f r
75. uvelles restrictions E c est possible seulement sur deman de E le d sinfestateur doit avoir le permis correspondant et un nouveau cours pour les traitements effectu s par l entreprise de Bio Suisse elle m me pourra tre suivi partir de novembre 2007 6 En cas de traitements grande chelle il faut tablir un rapport annuel contenant une r trospective effectuer un contr le de la r ussite et faire des propositions d am liorations ew mt Ka F 7 we KS VE Raf wa KL L f vent avoir un concept de lutte contre les parasites Une check list qui contient les exigences minimales pour les concepts de lutte contre les parasites dans les petites entreprises et qui peut tre largie aux en treprises risques peut tre t l charg e depuis le site internet de Bio Suisse cf en cadr O se trouvent les documents Les entreprises risques sont celles qui stockent ou transforment des c r a les ou d autres produits secs et qui font souvent des n bulisations et des gazages grande chelle Ces entreprises doivent avoir un concept g n ral de lutte contre les parasites particuli rement complet et d taill Les parasites comme les teignes et les col opt res peuvent tre identifi s par un syst me de monitoring qui pr voit au minimum six contr les complets de l entreprise par ann e et une p riodicit ad quate pour le relev des pi ges La fr quence des nettoyages doit

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