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PDF, 2,50 MB - Cour des comptes

1. H convient de rappeler galement que le tiers de couai appara t es dans un document c r outre le fait qu il est soumis des obligations de confidentialit il est l exploitant de la plate forme d mat rialis e Les candidats doivent imp rativement l identifier pour pouvoir se connecter et participer aux ench res De plus il est le garant de la proc dur d ench res Toutes ces missions ont t clairement d finies dans le c hier de consultation transmis aux entreprises en mai 2006 pour la passation du march d ench res lectroniques assistance et r alisation d ench res sur une plate forme h berg e Concernant l information de la CAO le format du rapport est tr s encadr par le secr tariat de la CAO et il n a pas pour but de d tailler l organisation mat rielle d une consultation Le rapport comporte cependant des informations synth tiques page 13 pour le lot 1 et page 31 pour le lot 4 qui ont permis aux lus curieux de cette proc dure innovante de poser de nombreuses questions et d changer sur le d roul avec l administration De plus un PTE _ repr sentant de la pr sidente de la CAO tait pr sent aux ench res En conclusion peu de consultations se sont d roul es avec un tel degr d information et de formation de tous les acteurs parties prenantes cette consultation Conc rnant le lot 4 3 candidats ont au march et deas ont t d clar s non conformes
2. Par ailleurs le fait d avoir opt pour des PGI respectivement HR Access et SAP dans le cadre de deux corisultations pr cises n implique nullement une relation exclusive ou 7130 d s quilibr e avec les diteurs concern s Ainsi divers int grateurs ont propos des solutions bas es sur SAP dans le cadre de projets post rieurs r f rentiel Patrimoine d cisionnel Compte famille et d mat rialisation des factures la Ville n a pas retenu ces propositions et a opt pour d autres solutions techniques De mani re analogue lors de la consultation relative la refonte des applications concours un int grateur a propos une solution base HR Access et c est une autre solution qui a t retenue La Ville n est donc pas prisonni re de ses choix initiaux en mati re de PGI elle conserve et exerce son libre arbitre et fait au cas par cas les choix les plus conformes ses int r ts dans le respect des proc dures de march s publics qu elle engage 2 La gouvernance du SDI 2 1 La d finition et la priorisation des projets page 11 La Chambre semble regretter que les projets et leur programmation paient pas t plus pr cis ment d finis d s l origine Or la d cision d laborer un sch ma directeur que a t un acte de nement majeur du d but de la mandature qui a impliqu pr s de trois cents cadres repr sentatifs des m tiers de la Ville dont beaucoup n appartenaient pas
3. Le bordereau de prix scinde ces prestations afin de permettre de moduler les S prestanons EE demand es en fonction des besoins La recherche de candidatures E r daction de la fiche de poste analyse des composantes du m tier des activit s a des comp tences et du profil souhait n concertation avec l environnement re hi rarchique 27 30 pr sentation d une synth se des conditions de recrutement appel candidature selon toutes les modalit s adapt es publication d ns des supports sp cialis s utilisation de contacts connus notamment pr s lection des candidats ayant des profils conformes la fiche de poste conduite d entretiens individuels pour les candidats retenus L assistance au recrutement communication la DSTI service des ressources humaines des candidats retenus en short list CV lettre de motivation compte rendu d entretien s pr sentant les points de force et de faiblesse pr tentions salariales assistance de la DSTI service d affectation et service des ressources humaines dans les n gociations avec le candidat Le march a t notifi le 20 f vrier 2007 au cabine Y qui a propos une offre r pondant pleinement au cahier des charges Lors de la m me r union le repr sentant du cabinet Y a re u deux fiches de poste presentant des ROSES en attente recrutement depuis plusieurs mois administrateur SAP fi
4. On peut ainsi relever quelques d cisions majeures du CSST qui figurent dans les diff rents compte rendus et dossiers des r unions qui ont t transmis la Chambre le CSSI a arr t les r gles du jeu SDI r partition des r les MOA MOE m thode d laboration du budget SDI il a d cid de la mise en place d un reporting projet et en a approuv le dispositif d cembre 2003 gt il a approuv le lancement d une action de formation qui a permis une cinquantaine de chef de projet MQA de s approprier une culture commune de projet d cembre 2003 il a command l tude bilan mi parcours janvier 2005 et l tude gains et apports etc S agissant du lancement des projets NT Le il validait chaque ann e la r partition du budget SDI par direction et par proj et ce qui au passage d montre qu aucun projet n tait lanc sans son aval o en d cembre 2003 pour le programme 2004 o en juin 2004 pour le programme 2005 o en septembre 2005 pour le programme 2006 o en juin 2006 pour le programme 2007 o o en avril 2007 pour le programme 2008 o en d cembre 2008 pour le programme 2009 il a approuv le lancement de nombreux projets majeurs qui lui ont t pr sent s ex help desk en janvier 2005 patrimoine en juin 2005 SI social d mat rialisation des s ances du cons il de Paris janvier 2006 biblioth ques et pr ts et collection des mus es juin 20
5. une fourchette article 77 du code L s candidats ne se prononcent pas pour l essentiel au vu de cette fourchette car ils disposent de plusieurs autres moyens pour valuer les d penses pr visionnelles sur le march un montant nominal est d fini un devis quantitatif estimatif doit tre compl t par eux P DQE correspond une commande type pour la dur e du march il comporte l ensemble des l ments qui vont tre couramment command s En outre pour permettre aux candidats de d terminer les es de la pers nne publique __et donc de proposer des mat riels au meilleur QU le pr ambule du CCTP du march actuellement en vigueur pr cise que La Personne Publique compte un parc d environ 23 000 past s de travail d ploy s dans ses services etles coles Le cycle de renouvellement des mat riels est de 4 ans dans les services et de 5 ns dans les coles Les post s de travail sont acquis depuis 2003 avec des extensions de garantie sur site de 3 ans et depuis 2004 avec d s extensions de garantie sur site de 4 ans La majorit des imprimantes sont Ge gtises depuis 2004 avec des extensions de raar de 3 ou 4 ans sur site Cet cart n a pas constitu un obstacle pour Denis de ts tr s Co npecite lors de l attribution du dernier march Par rappo t au march pr c dent une configuration type pour un mat riel haut de gamme revient 550 61 euros TTC contre 1016 60 TTC en 2004
6. Ce march gr ce l organisation des ench res a permis d obtenir un gain de 47 par rapport A l estimation de l administration 21 30 La clause figurant dans le march de mat riel bureautique de 2004 autorisant la vente aux agents de la Ville aux conditions du march a t retir e du march 2007 La DSTI confirme qu l poque aucune publicit n a t faite sur son existence aupr s des personnels Organisation des ench res lectroniques page 36 La Ville de Paris a particuli rement veill mettre en place un dispositif assurant la qualit de P information L org nisation des ench res est mentionn e conform ment aux oblicatons pos es par le code dans l AAPC Le r glement de consultation conti nt un article article 8 ainsi que 6 sous articles __ relatifs au d roulement des ench res articles 8 1 8 2 8 3 8 4 8 5 8 6 Les candidats ont tous re u un r glement des ench res co r dig par la DAJ la DSTI et Bravo Solution tiers de confiance retenu pa la Ville DE la voie d un march public Les candidats retenus pour participer aux ench res ont tous t form s par bre Solution la soci t a pris un rendez vous avec chacun d entre eux Durant cette session de formation de deux heures environ chacun a pu poser toutes les questions qu il souhaitait sur le d roul de l op ration se connecter sur la plate forme et simuler un d roulement d ench res
7. cf rapport d attribution A l analyse des offres et avant la tenue des ench res lectroniques il est apparu gue Poffre du candidat restant tait inf rieure de 16 l estimation du march Effectivement le r glement de la consultation m avait pas pr vu l abandon des ench res en cas d offre unique dans la crainte d une ventuelle entente Mais si tel avait t le cas l analyse des offres se serait arr t e ce stade avant la tenue des ench res Le march aurait donc t attribu pour un montant inf rieur de 16 l estimation du march Les prix obtenus n auraient pas t plus int ressants En effet une offre techniquement acceptable et inf rieure de 16 au montant de l estimation de l administration ne peut tre d clar e inacceptable au titre du 1 de l article 35 T du code des march s publics L administration ne pouvait doric demander la commission d appel d offre de d clarer le lot infructueux et de l autoriser n gocier 22 30 Respect de l obligation d absence de r f rence des marques page 37 En effet les services informatiques dans la r daction des documents de consultation sont bien conscients qu utiliser une marque au lieu de se r f rer une norme technique n est pas satisfaisant au regard de l objectif d galit de traitement des candidats C est d ailleurs pourquoi des noms de marques ne sont fournis que lor
8. s anomalies relev es par la Chambre et ne disposant pas dans le rapport d l ments tangibles sur ces anomalies n est donc pas en mesure de r pondre cette affirmation E 13 30 3 1 1 1 3 pages 24 25 La Chambre remarque que le SDI comporte des CP d pens s sur des AP ant rieures au lancement du SDI ma s comme elle n indique pas pr cis ment les donn es prises en compte il est difficile d tablir l exactitude des chiffres cit s Tout au plus indiquera t on que le fait qu une d pense soit engag e sur une autorisation de programme dont la date de cr ation est ant rieure au d marrage du SDI n implique pas ipso facto que cette d pense soit trang re l objet du SDI En effet plusieurs APDF existantes ont t affect es au budget de la DSTI lors de la cr ation de cette direction en 2002 avant la refonte des APDF intervenue pour le budget 2003 dont les cr dits encore non engag s ont pu tre utilis s pour amorcer ou porter des projets inclus dans le SDI D s lors seule une analyse noe ui re par engagement permettrait d affecter les cr dits Plus g n ral ment la Ville fait observer que l ensemble du PIPP rel ve d une _ programmation en CP et non en AP Ce choix politique permettant de disposer d une vision pluriannuelle claire de li impact du programme d investissement sur les cubres budg taires et l volution de la dette sur la p riode Les cr dits de paiemen
9. t atteints forte expansion 75 et modernisation du par de postes de travail neuf postes sur dix datent de moins de quatre ans extension consid rable et s curisation du r seau qui relie d sormais 2000 sites contre 300 en d but de SDI rationalisation de la production informatique transformation compl te du paysage applicatif marqu e la fois par la r alisation d importants projets m tiers ex cr ches biblioth ques tat civil Je d veloppement de l administration lectronique et la mise en oeuvre de grands syst mes _ d information f d rateurs RH finances syst me d information g ographique etc De ce bilan largement positif et de ces progr s tr s significatifs le rapport d finitif ne rend que faiblement compte M me si le rapport d finitif est moins critique que le rapport provisoire les faiblesses dans _le pilotage d nonc es par la Chambre sont exag r es au regard du taux de succ s important des projets du SDI un seul projet arr t et plus d une centaine men s bien comme cela est d ailleurs d velopp dans les points correspondants du corps de la r ponse La Chambre fait une lecture erron e de l action du Comit Strat gique des Syst mes d information etelle n glige l apport des autres structures de gouvernance instances projets instances Sequana etc Pour autant si la Ville ne partage pas l opinion de la Chambre relativ
10. La fonction march l DSTI page 34 ner nl 3 3 1 2 Guides de proc dures pag 34 men Res A E OET 20 lt 3 3 1 3 Les outils de reporting E AN 3 3 2 La passation des march s publics informatiques pages 3637 e nn 20 3 3 2 1 La passation des march s de mat riels DHTEAU IQUES nn ne ner 3 3 2 3 Le march de refonte du syst me d informations financi res et comptables pagesi 39 2 les conditions d ex cution du marcti page AO eee enenenniennnee 7 a La passation des bons de CONMMANES creme 24 b la passation d un march de prestations similaires A Se 29 3 3 2 3 Le march de tierce maintenance des applications informatiques page Ale ee 3 3 2 4 Le march d assistance pour le recrutement de collaborateurs de la DSTI page 42 21 3 3 3 Le contr le des d lais de paiement et L application de la r glementation relative aux int r ts MOTAOIECS RE ne EN E E R en sengeres 28 3 3 3 1 Les d lais de paiement Mon Te iris a 3 3 3 1 1 R ception d s factur s ie DT Er E R IE a 3 3 3 1 2 Validation du service fait EAS paskiesesseseiretesssesnsrarensertarera sanesndeasearerrn tett 3 3 3 2 Mesure du d lai global de paiement se en Lt 2 30 La synth se du rapport d observations d finitives La synth se du rapport met particuli rement en exergue les points n gatifs du syst me qu elle a examin passant sous si
11. La relation MOA MOE pagel2 13 gi r bo ci da SDI et la cr ation d une direction onnegue de one exercice ont _ t les deux ctes fondateurs de la strat gie de la Ville en mati re de syst me d information l instauration d une s paration des r les d volus la ma trise d o uvre MOE et la ma trise 7 d ouvrage MOA est le fait marquant de la gouvernance mise en place Cette S paration bienvenue des r l s de MOA IMOE a mis fin la confusion ant rieure des responsabilit s et a eu pour effet b n fique que les ma trises d ouvrage se sont APRES E leurs projets et s y sont impliqu es bien d avantage qu par le pass _ Les r les respectifs ont t clairement nonc s d s Porigine et les r gles de gestion et les processus r sultant ont t progressivement pr cis s et explicit s Mais il s est agi d un 8 30 changement majeur que l organisation et le personnel concern ontassimil progressivement ce qui n a rien d anormal 2 3 Le r le du CSSI pages 13 14 La Chambre estime que le Comit Strat gique des Syst mes d Information CSSD fonctionne d avantage comme un lieu d information des participants que comme une instance de d cision Cette affirmation n est pas fond e Le CSSI est certes une instance dont les participants re oivent de l information mais aussi un lieu de d bats et de d cision une instance de pilotage en somme
12. d ouvrage pour l assistance et l acquisition d quipements dits d extr mit et la DSTI Toutefois pour faciliter le pilotage de la d pense informatique la Ville a mis en place des outils de suivi qui vont au del des normes pos es par la comptabilit publique c est ainsi que la Ville a d fini une mission d di e pour le budget d investissement et que pour le budget de fonctionnement un suffixe 0 permet d isoler les d p nses informatiques Par exemple pour les d penses de maint nance 6156 pour la maintenance ordinaire et 6156 0 pour la maintenance informatique RS i Cr C est ainsi que la Ville a t en mesure de fournir la Chambre tous les l ments permettant de consolider la d pens informatique en La Ville am liore r guli rement son dispositif de suivi c est ainsi qu il est envisag de centraliser tous les AP et CP relevant sur SDI sur le budget de la DSTI compter du budget 2010 y 3 1 1 1 1 page 24 _ La Chambre estime que la mission SDI ne recouvre pas toutes les d penses d investissement informatique nn Sur la base d un sondage la Chambre estime que certaines d penses informatiques n dehors du scolaire et de l industriel seraient inscrites pour un montant de 21 8 ME sur la p riode 2004 2007 dans d autres missions que la rubrique SDI des missions informatiques La Ville n ayant pas eu connaissance d
13. de poursuivre le projet moyennant quelques inflexions Si cette d cision appara t a posteriori comme mal fond e il n en demeure pas moins qu elle a t prise au niveau qui s imposait 12 30 3 1 Gestion des ressources financi res 3 1 1 Les comptes de la fonction informatique 1 3 1 1 1 Le budget d quipement affect la mission SDI page 23 La Chambre d plore la lisibilit insuffisante des comptes de la fonction informatique La Ville fait observer qu il n existe aucune obligation l gale ni r glementaire pour une collectivit locale de tenir une comptabilit par destination de l usage de ses fonds affect s des d penses informatiques ou de t l communications Celles ci correspondent n cessairement plusieurs chapitres et natures budg taires pr vus par les diverses nomenclatures comptables applicables la Ville et au D partement de Paris ainsi qu leurs services dot s d un budget annexe ou leurs tablissements publics et aux mairies d arrondissement Quant la codification fonctionnelle pr vue par ces m mes nomenclatures elle ne r pond pas aux besoins de la cat gorisation souhait e par la Chambre Le partage voulu pour des raisons fonctionnelles entre la ma trise d ouvrage et la ma trise d uvre conduit n cessairement l clatement des budgets allou s par la collectivit parisienne entre le budget municipal et le budget d partemental entre les directions ma tres
14. etc Le seul examen des comptes rendus des r unions trimestrielles du CSSI ne suffit donc pas fonder un jugement sur la qualit de la gouvernance du SDI 2 4 Les outils de suivi de projets page 14 La mise en uvre d un reporting mensuel concernant 36 projets du SDI a marqu aux yeux ides acteurs l importance que le secr tariat g n ral attache aux projets SDI IL s agissait d un dispositif innovant et bien des gards atypique puisqu il impliquait une remont e directe de l information transmise par le chef de proj jet au secr tariat g n ral sans passer par le filtre hi rarchique _ Ces tableaux taient principalement destin s aux membres du CSSI Les tableainc mensuels constituaient la source principale du tableau de bord SDI trimestriel labor par le charg de mission SDI du Secr tariat G n ral diffus aux membres du CSSI qui comprenait une synth se de 2 3 pages ainsi que le recueil des fiches les plus r centes relatives chaque projet en cours La mise en oeuvre de ce dispositif nouveau n a pas t sans difficult d autant que le support _ mat riel choisi s est av r assez malcommode la qualit des informations produites a t tr s variable selon les projets ou plut t selon le chef de projet charg de les renseigner _ La Chambre ne pr sente dans son rapport d observations provisoires que l analyse du reporting relatif trois projets qui r v lent diverses ins
15. ficient pas de cette majoration Sur 154 agents ayant per u la prime informatique en 2006 75 d entre eux 15 agents ont _ re u le maximum ma s 7 soit 11 ag nts ont b n fici d une majoration inf rieure au plafond et 18 n ont per u aucune majoration Cett situation montre qu une modulation des attributions de la prime informatique est effectu e au sein de la Ville de Paris m me si les montants maxima sont plus fr quents la DSTI que dans les autr s directions 3 2 6 Analyse d un cas particulier page 33 La Chambre commente d favorablement les conditions dans lesquelles a t prononc le maintien en d iachement aupr s de la Ville de Paris de M X ing nieur des T l communications qui exer ait l poque les fonctions de directeur de la DSTI La chronologie des faits non contest s par la Chambre est la suivante Le d cret 2006 96 du 1 f vrier 2006 a modifi la situation administrative de MX Article 20 alin a 2 Les ing nieurs des t l communications qui alors qu ils taient en position d activit France T l com ont t plac s en position de d tachement ou en position hors cadres hors de France T l com et de ses filiales sont rattach s p ur leur gestion au minist re de l conomie des finances et de l industrie A Pour r gulariser sa situation modifi e par ce d cret M X directeur de la DSTI a adress au MINEFI sa nouvelle admini
16. l ambitieux programme d investissement pr vu pour la mandature 2001 2007 cette volont s est traduite par le rassemblement des quipes concern es au sein AE nouvelle direction la DSTI Pour r pondre cette ambition la DSTI depuis sa cr ation en 2002 a construit une politique de gestion de s s ressources humaines autour de trois axes Adapter la structure des emplois L volution des technologies la r partition MOA MOE et la rationalisation des processus ont des incidences fortes en mati re de ressources humaines le personiel de la DSTI doit se recentrer sur les t ches forte valeur ajout es passer du faire au faire faire Adapter la structur des emplois pour r pondre au besoin affirm de qualification technique et de comp tences d management de projet a t tr s t t identifi comme une priorit _ Une analyse prospective des emplois a permis de d gager les ax s d volution pr voir des transferts se font depuis la cat gorie C vers la cat gorie A des transformations de postes permettent cat gorie quivalente de faire voluer les emplois vers la fili re techniques plut t que la fili re administrative postes de SA transform s en technicien sup rieur d attach s n ing nieurs par exemple les d parts en retraite t mutations sont l occasion de red finir le poste afin d adapter l recrutement aux comp terices recherch es pour disposer des m
17. page 5 Offre de maintena ce n incluant pas la mise en place de Ja version majeure de SAP Article 8 10 du CCTP maintenance curative et r g ementaire question 2 R ponse 2 mise au point page 2 k 2 les conditions d ex cution du march page 40 _ a La passation des bons de commandes En 15 mois l administration a d ploy l application sur le budget annexe de PASE puis sur celui du D partement sans recourir des bons de commandes ce qui d montre l ad quation de la solution mise en service par rapport au CCTP du march ceci dans le respect des co ts t des d lais pr vus ce qui st peu h bituel des projets aussi complexes que l d ploiement z d un progiciel de gestion int gr e PGI Ce n est qu apr s mise ei production du Se ra en mai i 2007 que la Ville a t en mesure d appr hender pleinement tous les impacts de Padoption du progiciel de gestion int gr e SAP tant long terme pour les services concern s qu court terme pour la bonne z ex cution du march d r alisation du syst me d information comptable La mise en place d un PGI repr sentant un cart tr s important par rapport aux lt pratiques d velopp es sur les anciens syst mes administration s est alors efforc e d apporter une r ponse aux nouveaux besoins d am liorer l ergonomie de la solution pour faciliter EI accompagnement du changement et garantir la productivit par un certain
18. 06 planning DJS et SI permis de construire et paysage de la rue en y novembre 2006 compte famille et portail associations juillet 2007 etc E Enfin l approbation d CSSI n tait nullement acquise par principe i Le CSSI refus le lancement du projet help desk premi re mouture en juin 2004 etta demand qu il lui soit soumis nouveau apr s recadrag PR il a d cid au ferme de d bats nourris de surseoir a lancement de SIAM uillet 2004 tant que certaines conditions de succ s ne seraient pas remplies ce qui a abouti in fine l ab ndon du proj et et ta cr ation du programme Sequana 5 9 30 Il s est prononc sur la poursuite du projet courrier en d cidant des infl chissements importants du projet quelque soit le jugement qu on puisse porter aujourd hui sur la pertinence de la d cision prise alors on ne peut nier que le CSSI a bien t saisi et qu il a jou son r le de pilote Enfin il convient de souligner que le CSSI n a jamais eu vocation tre le lieu unique de la gouvernance La gouvernance du SDI se joue et s est exerc e aussi dans d autres fee comit s de pilotage et comit s de validation des projets s minaire de f vrier 2005 sur la cr ation du programme Sequana autres r unions pr sid es par le Secr taire G n ral comit de pilotage administration lectronique comit s de piintage statepue et op rationnel Sequana cellul de pilotage SDI
19. REPONSE du Maire de PARIS Mode d emploi du document _ Les r ponses sont organis es selon le plan du rapport d observations d finitives Pour faciliter le rep rage du lecteur dans le document on a fait figurer en gr s les num ros de paragraphe du rapport la CRC ainsi que les num ros de page Ex 1 1 Etat des lieux des syst mes d information de la Ville de Paris en 2001 page 6 Enfin les phrases en italiques sont des citations extraites du rapport de Ja Chabe Cette r ponse jointe au rapport engage la seule responsabilit de son auteur conjormdneni aUx dispositions de l article L 241 11 du Code des juridictions financi res 1 30 Sommaire La synth se du rapport d observations d finitives seen mA 1 Une mise niveau majeure des infrastructures et des syst mes aoran E EE us 3 2 Le pilotage des projets essence 3 3 L valuation du co t de la mise niveau de ses syst mes 4 4 Les ressources humaines d di es l informatique ss 4 5 Les march s publics berne 4 Le corps du rapport d observations d finitives eee 1 Un sch ma directeur informatique pour doter la Ville de syst mes d information performants s 1 2 L laboration du sch ma directeur informatique SDD er eerr rettees A E EE E E 5 1 2 1 L implication des mairies d arrondissement dans le SDI page 7 S 12 52 R partition des comp tences entre les directions utilisatrices et la DSTI page 9 6 1 2 6 La pri
20. a r alisation des investissements page 26 rene difficult relev e par la Chambre dans sa conclusion et compte tenu des r ponses apport es par la Ville est une difficult technique des informations fiables ont t fournies et elles ne n cessitent rau un traitement Sn pour en reconstituer une consolidation globale i S 3 1 1 4 Les d penses de fonctionnement page 27 Na Chambre critiqu le fait que la Ville n a pas t en mesure de Done u tat consolid des d penses de fonctionnement int grant les d penses de personnel et de formation Or les tats r capitulatifs des d penses de fonctionnement fournis par la direction des finances portaient sur les natures 6064 fournitures et consommables 611 prestations de services 6122 redevances de cr dit bail mobiten 6135 locations mobili res 61558 14 30 entretien de biens mobiliers 6156 maintenance 617 tudes et recherches 6182 documentation g n rale 6281 concours divers 6288 autres services ext rieurs La Chambre disposait galement outre les tats sur les d penses de formation de l ensemble des ETP d di s aux fonctions informatiques un co t moyen des d penses de personnel pouvait donc tre calcul La Chambre rel ve le poids croissant des op rations de maintenance S il est incontestable que la nature de d pense relative la maintenance repr sente le poste le plus important des d penses d
21. ander des prestations non pr vues l origine et qui exc daient les limites du march initial C est pourquoi la Ville a n goci un march de prestations similaires en respectant scrupuleusement le code des march s publics Au final et compte tenu des enjeux tr s forts de ce projet strat gique de modernisation le co t est toutes choses gales par ailleurs tout fait comparable voire inf rieur celui de projets PGI analogues men s par exemple l Etat 4 30 Le corps du rapport d observations d finitives 1 Un sch ma directeur informatique pour doter la Ville de syst mes d information performants 1 2 L laboration du sch ma directeur informatique SDI 1 2 1 L implication des mairies d arrondissement dans le SDI page 7 En g n ralisant partir de l exemple de Luci logiciel de gestion des cr ches la Chambre estime que les mairies d arrondissements ont t insuffisamment associ es l laboration du SDI qu en cons quence leurs besoins ne sont pas compl tement satisfaits C est inexact Fe Les mairies d arrondissements ont bien t associ es l laboration du SDI et leur implication ce stade a t efficace puisque tous les projets les concernant ont t correctement identifi s Au del de cette implication initiale des mairies d arrondissements repr sentatives ont t d ment associ s l expression des besoins dans tous les pro
22. ar le secr tariat g n ral en 2005 lors de la cr ation des directions responsables de march pour les directioris en charge d un secteur achat important Six directions de la Ville sont structur es sur ce mod le Depuis sa cr ation il convient de noter que la direction a t ainsi en mesure de r pondre aux besoins de l ensemble de la Ville en mati re informatique sans arr t d un projet rupture d approvisionnement interruption de service sur les march s op rateurs notamment et en toute s curit juridique pas de d passement du seuil des march s gr ce une politique rigoureuse de gestion des enveloppes M La structuration t l organisation du bureau des march s et de l achat a d ailleurs servi de socle pour la construction fonctionnelle de l outil EPM et facilitera P volution vers la direction des achats qui vient d tre cr e TE T OE _ Ainsi le bureau des march s a accompagn la mise en place du SDI en mettant en uvre des proc dures innovantes capables de r pondre aux nouveaux enjeux de l informatique ench res invers es afin d optimiser l s co ts dans le domaine de la bur autique o des conomies d chelle importantes peuvent tre r alis es sans ob rer la qualit technique des mat riels dialogue comp titif afin de permettre la construction de solutions pertinentes dans des environnements de plus en plus complexes tant d un point de vue fonctionnel que tec
23. au cercle troit de sp cialistes en syst mes d information Il s agissait de remettre en mouvement l administration parisienne dans un domain strat pique d laiss depuis de longues ann es LE Pour ce faire il fallait donner un lan fixer des objectifs ambitieux et d finir grands traits le chemin pour y parvenir C est pourquoi la d marche a t volontairement concentr e sur une p riode relativement courte sept mois dont trois consacr s l identification initiale des besoins par les directions ce qui ne permettait pas de b tir un plan plus d taill et de d finir plus compl tement les projets Le choix a t fait de mettre imm diatement la Ville en mouvement et donc d ngager imm diatement les premiers travaux en se laissant la possibilit d op rer les ajustements n cessaires au fil de l eau sur la base du r sultat des tud s qui pr c dent la r alisation des grands projets La Ville ne regrette nullement ce choix initial qui consistait afficher des obj ectifs tr s ambitieux au SDI tout en y affectant des moyens r alistes puisque la strat gie appliqu e a produit les effets escompt s mise niveau globale du parc et des infrastructures r alisation de nombreux projets m tiers importants et mise en oeuvre de plusieurs syst mes d information transverses f d rateurs et structurants RH Finances Aliz Syst me d Information G ographique HE 2 2
24. che publi e au BMO du 18 08 2006 e charg de la sous direction de la production fiche publi e au BMO du 03 1 1 2006 Le repr sentant du cabinet Y a galement rencontr cette occasion les responsables hi rarchiques afin de pr ciser les attentes des services et d affiner la fiche de poste Des retards sont intervenus dans le circuit de validation et de signature du bon de commande ils expliquent la date qui y figure 28 02 2007 Toutefois dans les faits le cabinet poss dait toutes les informations utiles pour proc der ses recherches d s le 20 f vrier Disposant dans son vivier de candidat potentiels pr sentant les comp tences t le profil adapt s pour le poste de charg de sous direction il a pu ainsi mettre en uvre l ensemble des prestations pour lesquelles il a t pay et permettre le recrutement d un collaborateur encore en poste ce jour De m me le cabinet a Bun pour le deme po te dans la m me semaine plusieurs Cv de candidats potentiels qui ont t re us par le service concern Toutefois les questions salariales ayant n cessit des n gociations plus longues le d uxi me recrutement n a abouti qu en Juin Il convient enfin de souligner qu il s agit du seul cas constat sur les dossiers t transmis et es l l ensemble des miandatements contr l s 3 3 3 Le contr le de d lais de paiement et l application de la r glementation relative aux int
25. d un march de prestations similaires r se Ce march concerne des prestations qui si elles n taient pas incluses dans le march initial avaient t envisag es comme possibles et c est d ailleurs pourquoi lavis d appel public la concurrence ainsi que le r glement de la consultation de l appel d offres pr voyaient la lt possibilit de march s compl mentaires ou de march s similaires Deux raisons principales expliquent la passation de ce march de prestafions similaires La consultation a t pr par e par la DSTI en 2005 soit deux ans avant le premier d marrage or l p rim tre exceptionnel par son ampleur du projet a connu des volutions fonctionnelles et orga isationnelles pendant ce d lai Ensuite il convient de rapp ler que la ville de Paris a refondu en une seule des applications d un anciennet allant jusqu 25 ans reposant sur une cinquantaine de bases de donn es ce qui constitue une avanc e majeure pour l transparence et la lisibilit d s omptes de la collectivit Cette fusion n cessitait donc une phase _ important de reprise de donn es Or durant l ex cution du march les r prises d _ donn es effectu es pour l mise en place du d partement se sont d roul es dans des conditions particuli rement difficiles et n ont pu tre r alis es qu en raison de _ volumes sensiblement plus faibles que ceux pr vus pour la Ville Les d
26. du tableur ce qui donne arithm tiquement un d lai de liquidation et non de mandatement nul La principale raison du d lai nul provient d un circuit d fectueux dans la r ception de la facture facture re ue directement par un service op rationnel non dat e enregistrement trait e pour attestation du service fait dans le service op rationnel et transmise alors seulement la section de la comptabilit qui l enregistre et la liquide souvent dans la m me journ e 29 30 La fiabilit de ces tableaux non con us pour un suivi statistique mais des fins de gestion respect de la proc dure et relance aupr s des services op rationnels d pend bien videmment du respect par l ensemble des services de la proc dure d finie en mati re de circuit des factures La mise en place prochaine des CSP comptables dot l arriv e et le traitement des factures de l attestation du service fait devrait permettre de r soudre ce probl me en rendant syst matique le suivi du d lai global de traitement Les instructions donn es par la direction des finances dans la r partition du d lai global de paiement des factures 40 jours depuis le 1 janvier 2009 attribuent 13 jours au comptable public pour le paiement des mandats et 27 jours l ordonnateur pour le traitement et l ordonnancement de la d pense Sur ces 27 jours la direction des finances bureau F5 s en r serve cinq d lai r duit de m
27. e la qualit d la gouvernance elle est cependant tout fait consciente de ses marges 3 30 de progr s en la mati re Dans le cadre de son deuxi me sch ma directeur elle vient ainsi d instituer une proc dure formelle de lancement des projets SI qui inclut une valuation selon la m thode Mareva des gains et apports attendus de l investissement Elle a galement d cid de faire voluer ses outils de reporting et d en tendre le p rim tre l ensemble des projets du SDI x Alors qu elle d plorait dans le rapport provisoire l incapacit de la Ville valuer de mani re pr cise le co t de la mise niveau de ses syst mes la Chambre reconna t finalement qu il est intrins quement difficile de cerner le p rim tre des d penses informatiques D s lors m me si les d penses relatives chaque projet ne sont pas individualis es en comptabilit elles peuvent tre reconstitu es en tant que de besoin ce qui permet la Ville d inscrire ses d cisions dans une logique de rapport co t efficacit contrairement ce qu affirme la Chambre Concernant la carence relev e dans la vision patrimoniale la Ville qui A ce const t a engag un plan de progr s en la mati re visant aboutir moyen terme la certification des compies de lacollectivit parisienne En mati re de gestion des ressources humaines impliqu es dans les syst mes d information la Chambre d nonce la mul
28. e de cinq emplois nouveaux 3 23 Qualification des agents page 31 La Chambre critique le niveau de qualification de certains agents de la a DSTI qu elle juge Pn insuffisant La Ville ne peut souscrire cette conclusion trop g n rale La cr ation de la DSTI a t marqu e par la volont de la doter des personnels les plus aptes F r aliser Pambitieux programme pr vu Les quipes ont donc t construites selon deux axes quelques recrutements de comp tences rares qui n existai nt pas la Ville chef du bureau des r seaux par exemple et un r d ploiement s lectif de personnels titulaires ou contractuels issus de l ancienne direction de l informatique et de la logistique et des services informatiques des directions un choix guid par la n cessit de continuer 5 attacher des 16 30 comp tences qui avaient permis certaines directions de mettre en place une informatique certes autonome mais performante La DSTI a donc choisi de conduire une politique des ressources humaines pragmatique autour de deux orientations organiser la mont e en comp tences des agents en place dot s d une solide connaissance de la Ville et des outils en place et qui devaient continuer s adapter proc der des recrutements de profils haute technicit d abord pour compl ter les effectifs puis pour remplacer les d parts mobilit retraite etc Quelques uns des age
29. e envergure D s que la DSTI a pris acte de l int r t incontestable de cette nouveaut elle Fa utilis e pour le projet EPM dont le lancement a suivi celui du SI Finances Elle a continu y recourir chaque fois que partir de besoins d finis par la ma trise d ouvrage uvre et la ma trise d oeuvre des solutions fonctionnellement et techniquement complexes devaient tre construites La Chambre voque des probl mes de non conformit En r alit il agissait d ambigu t dans la r ponse du candidat et les r ponses apport es aux demandes de pr cisions sur SOn offre adress es dans les conditions pr vues au Code des march s publics ont permis de lever ces ambigu t s et de v rifier qu il n y avait pas de discordance avec le cahier des charges Comme le pr voit le code des march s dans son article 59 IL une mise au point a donc t _ faite avec le titulair elle int gre les r ponses du candidat aux demandes de pr cisions sur son offre et ne corrige en aucun cas des points de non conformit Nombre de licences Article 10 1 du CCAP Le droit d utilisation de la iena est conc d pour un nombre illimit d utilisateurs question 3 r ponse 3 et mise au point page 5 Incoh rence du planning et reprise des donn es en cours d xercice non comprises dans Je forfait Article 2 3 2 du CCTP strat gie de r prise des donn es question 5 R ponse 5 et mise au point
30. e fonctionnement propres l informatique il n apparait pas dans la section de fonctionnement du budg t municipal de la DSTI d augmentation importante jusqu en 2007 mais plut t une relative stabilit les sommes liquid es sur le 6156 0 s l vent 4 276 324 en 2004 4 153 964 en 2005 3 915 264 en 2006 puis une augmentation sensible en 2007 4 751 938 Cette volution est mettre en relation avec celle des d penses d investissement rappel e plus haut et d montre que la Ville s est globalement mise en situation d augmenter de fa on tr s significative son patrimoine tout en contenant ses co ts de fonctionnement D La Chambre souligne que la gestion du portefeuille applicatif doit s appuyer sur des tudes pr alables des co ts induits Or la Ville de Paris a d cid l occasion de l laboration puis du commencement de la mise en uvre du second SDI de conduire syst matiquement avant tout lancement d un projet nouveau de quelque importance une tude selon la m thode Mareva qui permet d appr hender le co t global d un projet et sa rentabilit 3 2 Les ressources humaines mobilis es par le SDI pages 30 et suivantes La Chambre note le travail r alis en mati re de ressources humaines qui a t effectivement un point cl pour la r ussite du SDI T En effet lorsque la municipalit parisienne a souhait r organiser la fonction informatique pour mener bien
31. emple d termination du nombre d tapes en fonction de crit res de routage ou crit res personnalis s par direction Une autre illustration de ces besoins nouveaux est apport e par les concepts de R alisation Op ritionnelle ROPY et Groupe de R alisation Op rationnelles GROP Ces concepts ont t labor s par la direction des Finances au cours des phases de sp cification afin de pouvoir suivre de mani re analytique ou budg taire les co ts des op rations Ces nouvelles r gles de gestion ont n cessit d adapter notamment un certain nombre d interfaces Certains bons de commandes pr sentaient des caract ristiques techniques tr s sp cifiques la mise en place de SAP Ainsi la mise en uvre d outils tels que HACMP et RMAN n avait pu tre pr vue et a fait l objet d une nouvelle expression de besoin une fois les quipes techniques Ville form es et conscientes de certaines possibilit s afin d assurer une meilleure _ disponibilit du syst me Aliz De m me le nombre d environnements maintenir et le transport d objets entre ces environnements ont conduit la Ville demander une automatisation de ces t ches afin de les s curiser et d en r duire les d lais a Enfin les bons d command pour ces besoins compl mentaires ont t pass s de mani re relativement rapproch e pour des questions de planification et de vue d ensemble des am liorations apporter a DE b la passation
32. essit d unit s d oeuvre v ritables mini forfaits C est d ailleurs ainsi que le march de Tierce Maintenance Applicative a permis de maintenir plus de 300 applications selon une proc dure rigoureuse de contr le de la qualit et du co t Afin d objectiver la cotation des prestations la DSTI a ainsi adopt un syst me de cotation reconnu dans la profession le syst me en points de fonction tel que d fini par PIFPUG I convient d abord de rappeler que le calcul en points de fonction est la norme sur la quasi totalit des prestations un fait relev par la Chambre qui indique que le m rch pr voit quatre types de prestations et qu il n est voqu que le cas des prestations de type 4 La pr sentation ainsi faite est donc partielle et doit tre replac e en contexte Les prestations qui taient pr sent es en journ e ne constituent pas l essentiel du march de tierce maintenance applicative puisqu il s agit de prestations de conseil et d assistance technique parmi laquelle le transfert de comp tences Tous les autres typ s de prestations sont cot s en unit s d uvres et en points de fonction Le montant de ces prestations est tr s limit au regard des autres types de prestations L analyse des offres pr sent e en commission d appel d offres reposait notamment sur un devis quantitatif estimatif DQE portant sur toute la dur e du march et repr sentatif des besoins va
33. essus de march que vient de d finir la DSTI un comit de pilotage r unissant des chefs de projet un repr sentant du bureau de la programmation budg taire et du contr le de gestion un repr sentant du bureau des ressources humaines et un repr sentant du bureau des march s et de l achat L obj ectif est de mettre en place une carte d identit du processus march qui insiste sur le suivi en amont des besoins et du contexte conomique afin de permettre Pachat B le plus avantageux L aide la gestion des proc dures de march apport e par EPM va permettre aux agents du bureau des march s et de l achat de consacrer plus de temps ces tapes parentes de la qualit de L achat public 3 3 1 3 Les outils de r porting La DSTI dispose d un tableau d bord d taillant pour chacune d s deux sous ion techniques les march s en cours selon l objet le type de proc dure la dur e les montants Un _ deuxi me tableau permet de suivre les reconductions et un troisi me les march s notifi s par ann e Le suivi des trois tableaux a t confi un agent bien identifi du bureau En effet apr s avoir dans un premier temps tenu un tableau global le bureau choisi de dissocier ces documents afin de r duire les risques de perte d informations importants lors de la mise jour d un tableau grand nombre d entr s Le tabileau des march s notifi s peut ainsi sans risque tre mis jou
34. f des d lib rations visant explicitement le libre et titre d exemple le programme fonctionnel du dialogue comp titif informatisation _ des cimeti res pour lequel un des crit res de choix des candidatures pr cise explicitement capacit professionnelle et technique pour conduire et r aliser le projet notamment dans le monde du libre 50 Enfin avec la construction et la publication du logiciel EPM bons et passation ides march s un mod le original a t d fini Solution choisie au terme d un dialogue comp titif ouvert durant lequel diverses solutions ont pu tre mises en comip tition EPM a t construit enti rement base de composants libres La solution une fois d ploy e a t mise disposition de la communaut d lib ration du 24 novembre 2008 et d cision du 26 mars La communaut des utilisateurs va tre anim e par le titulaire du march Plusieurs dizaines de collectivit s territoriales ont d ores et d j manifest leur int r t pou EPM La Chambre crit La ville r duira probablement san recours aux solutions propos s par le leader actuel des progiciels bureautiques ce qui g n rera des conomies de co t de licence En revanche l entr e des grands progiciels de gestion int gr e pose nouveau la question de I ind pendance vis vis des diteurs Une entit aussi complexe et importante que la Ville de Paris se doi de disposer de sy
35. faire Au demeurant le probl me est moins simple qu il y parait car certains maires d arrondissement forts de leur pr rogatives en mati re d attribution des places en cr ches pr f rent disposer de leur propre outil de gestion des commissions d attribution et ne souhaitent pas s ins rire dans un projet int gr ST A nofer qu sur un sujet comparable int ressant un autre type d quipement de proximit la gestion des inscriptions scolaires Papplication qui a t d velopp e Gepi est utilis e par les bureaux des coles des mairies d arrondissement et ne pose aucun probl me 5 30 1 2 5 2 R partition des comp tences entre les directions utilisatrices et la DSTI page 9 A propos de l Assistance ma trise d ouvrage AMOA Compte tenu de l ampleur du SDI la Ville n a jamais envisag de se passer compl tement d AMOA externe que ce soit pour b n ficier de comp tences pointues ou pour tirer parti de l exp rience acquise sur des projets de m me nature ou encore pour mener des actions de grande ampleur sur un laps de temps limit exemple formation de 1500 personnes sur quelques semaines La cr ation de la cellule d AMOA interne envisag e lors de l laboration du SDI visait plus modestement limiter l ampleur du recours des ressources externes d AMOA et surtout faciliter le d marrage des projets en donnant la Ville la capacit de mener par elle m me des tude
36. formatage de la partie planning par exemple ne permettait 11 30 r f rentiel espace vert sectorisation des bureaux de vote r f rentiel propret pas de suivre les multiples jalons que comporte un programme regroupant une douzaines de projets De plus certains projets du programme SIG SI propret gestion des rbres d alignement faisaient d j l objet d un suivi particulier C est pourquoi il a t d cid de d clarer termin le projet SIG dans le cadre du reporting SDI d s lors que les deux projets centraux BOSS et i BOSS avaient t men s bien Le suivi ult rieur de ce programme tait assur hors reporting dans le cadre du comit de pilotage SIG auquel participe un repr sentant du SG E Mais le programme SIG tait bien loin d tre termin et donc le besoin d une ma trise d ouvrage SIG centrale qui concerne pr cis ment la gestion de ce programme demeurait le rappel r current de ce besoin dans le tableau de bord SDI tait donc parfaitement d lib r et ne r sultait nullement d un d faut de mise jour 2 6 Le projet de gestion du courrier pages 17 19 Le rapport de la chambre ne consacre un d veloppement qu un seul projet la gestion du courrier Or il convient de souligner qu il s agit du seul projet SDI qui ait du tre arr t avant son terme un seul chec sur pr s de 100 projets men s bien dans le cadre du SDI cela constitue en r al
37. hnique accords cadres multi attribution de prestat ir s permettant une rationalisation optimum des co ts dde 19 30 3 3 1 2 Guides de proc dures page 34 Le conseil de la Chambre de finaliser ce guide a t suivi les fiches de proc dure du bureau des march s ont fait l objet d un recueil valid par la hi rarchie Ces documents sont de deux ordres des fiches usage externe qui ont vocation cadrer et formaliser les relations avec les services techniques et qui sont donc r dig es en cons quence et des fiches usage interne qui ont pour vocation d encadrer et guider le travail des r dacteurs Ces fiches ne s adressent donc qu un public averti pour lequel la seule r f rence la jurisprudence est suffisamment claire penser aux cons quences de l arr t Tropic implique une s rie d actions dont par Son oi publier un avis d attribution De plus le progiciel d laboration et de passation des march s EPM fournit d sormais tous les acheteurs des fiches pratiques sur la proc dure mises au point par la DAJ Celle ci les enrichit mesure que les r f rents EPM des directions lui soumettent des questionnements Ce nouvel outil permet donc aux r dacteurs du bureau des march s de disposer des informations pertinentes adapt es chacune des proc dures qu ils g rent partir du progiciel Au del des seules fiches proc dures ou d annexes th matiques c est un v ritable proc
38. i montrait que le besoin du service existait toujours La DSTI n aurait donc pas pu d cider du non 1 renouvellement des agents d s lors qu elle n avait aucun motif valable pour le faire La vision que retient la Chatnbre en utilisant un extrait d un rapport d audit de l IGVP est r ductrice En effet sur les 39 dossiers d agerits communiqu s 18 concernent des agents contractuels de cat gorie A 17 ont un dipl me gal ou sup rieur au baccalaur at Quant au dix huiti me il est noter que sa comp tence technique issue d une longue exp rience et o renforc e par de nombreuses formations suivies est reconnue largement tant en interne par _ses coll gues qu en externe par les D prestataires ou les directions ma trise d ouvrage Ces situations idees sont Dien le fruit du contexte due propre au domaine de T infoimatique o les premisis cursus se sont construits sur TH CXDEENRE et le parcours E individuel S agissant du cas s particulier d s agents identifi s lt comme aeiee techniques rappelons A que les agents de la DSTI ont t r partis entre les diff rents m tiers r pertori s en fonction de l exercice majoritaire d un m tier tant entendu qu ils peuvent exercer tout ou partie des activit s qui sont d crites dans la fiche m tiers elle m me cible un niveau de responsabilit qui peut diff rer TE Il convient donc de n ancer l observation
39. ier du 9 octobre a Par ailleurs si la lettre de mission confi e l int ress par le Secr taire g n ral la suite de sa nouvelle affectation a t formellement diffus e avec un l ger retard le contenu de cette mission avait t expos lors de plusieurs changes entre les directeurs concern s de sorte que la diffusion m me de ce document a rev tu un simple int r t de confirmation Au demeurant ladite mission a comme pr vu dur quelques mois au terme d squels M X a finalement rejoint son administration d origine a 3 3 La fonction march la DSTI page 34 Le jugement global que contient le rapport provisoire sur l organisation de la fonction march s de la DSTI repose sur des insuffisances relev es tant dans la passation des march s qui ont t contr l s que dans leur ex cution Pour tre tout a fait objectif iF conviendrait de pr ciser que les points n gatifs relev s par la Chambre ne concernent en r sum que 6 march s sur 371 notifi s durant la p riode contr l e Il convient de noter tout d abord que pour r pondre ses missions la DSTI s est dot e d s sa _ cr ation d un bureau centralis des march s et de lachat en capacit non seulement de suivre les proc dures et de les S curiser mais galement d accompagn r et de conseiller lacte d achat d s la d finition des besoins Cette organisation correspond l organisation pr conis e p
40. il ordinateurs imprimantes le projet Centre de loisirs a conduit une commande de 700 ordinateurs portables imprimantes et t l phones Par ailleurs il a fallu de mani re urgente remplacer le parc informatique des coles et des coll ges acquis en 1999 et 2000 sur un march de cr dit ba l Environ 10 000 ordinateurs ont _ t achet s pour cette op ration Dans ce contexte la DSTI a choisi d anticiper le risque et donc afin d viter la rupture d approvisionnement de r lancer rapidement ce march La march bureautique de 2004 page 36 La clause faisant r f rence une n gociation ponctuelle n a pas t utilis e Elle ne devait plus figurer dans le march suivant Son maintien dans un des lots est une erreur mat rielle elle ne fait l objet d aucune mise en uvre La question de P quilibre dans les march s bons de commande entre une estimation des besoins au plus juste un instant T et la n cessit pour une direction transverse d tre en mesure de r pondre une volution des demandes nouveaux projets d cisions politiques _ est au c ur de Ja probl matique de lachat Tout d abord il convient de noter que l cart de 1 4 autoris par le code 2004 a disparu du code 2006 o il est d sormais possible de passer des march s bons de commande sans montant minimum ni montant maximum Le code distingue bien le recensement des besoins de la fixation d
41. it un r sultat remarquable la litt rature professionnelle faisant tat de taux d chec complet projets arr t s projets lanc s compris entre 15 et 25 La qualit de la gouvernante mise en place pour piloter le SDI n est videmment pas compl tement trang re ce bon r sultat d ensemble TE Par ailleurs la Ville ne partage pas l analyse de a Chambre selon laquelle l insucc s du projet courrier serait principalement imputable des carences de gouvernance L chec r sulte de la combinaison de plusieurs facteurs inad quation du produit taille insuffisante de F diteur eu gard aux charges d int gration de sa solution au sein d une entit aussi complexe que la Ville de Paris d f illances individuelles erreurs d appr ciation dans la conduite du projet En d pit des imperfections relev es par la Chambre propos du reporting effectu via la fiche projet SDI les d cideurs concern s directeurs DSTI et DALIAT ont bien t tenus inform s par leurs quipes de l avancement et des difficult s du projet et cette information a t partag e avec le repr sentant du SG soit dans les r unions des instances r guli res du projet _ soit au cours de r unions ad hoc Compte tenu du d roulement insatisfaisant du projet le Secr taire g n ral a t saisi le 15 avril 2005 L analyse qui a_pr valu alors tait que les difficult s taient surmontables et qu il y avait donc lieu
42. j ets qui les concernent Dans un premier temps deux projets concernant tr s directement les services des mairies ont t lanc s par la DDATC qui a troitement associ les services de terrain la construction du projet d s les sp cifications il s agit de la num risation des actes d Etat civil t de la gestion informatis e des listes lectorales SIGLES g Dans un deuxi me t mps la Ville a associ les mairies la d finition et la mise en place des logiciels transverses Aliz GO EPM La DSTI a galement lanc des projets enti rement d di s aux mairi iries d mat rialisation des s ances des conseils d arrondissement dans la continuit de da d mat rialisation du Conseil de Paris retransmission des s ances des conseils d arrondissement l aussi en prenant appui sur l exp rience du Conseil de Paris pS En 2008 la DSTI a galement organis une journ e porte ouverte enti rement d di e aux mairies et leurs besoins LANCE f Le projet Luci logiciel de g stion des cr ches cit dans le rapport constitue une exception en effet dans c cas pr cis initi avant le SDI les quipes projet pendant la phase de sp cifications n ont pas pris suffisamment le besoin particulier des mairies d arrondissement gestion des commissions d aftribution des plac s en cr che et le Secr tariat G n ral leur a demand ult rieurement de le
43. lence ou minorant le plus souvent les progr s r alis s alors m me qu ils taient patents ou en cours sur la p riode la plus r cente Elle a notamment insuffisamment mis en perspective la situation initiale et les progr s substantiels qui ont t r alis s d autant plus substantiels que la situation initiale tait particuli rement ob r e Les l ments qui suivent sont destin s pr senter une vision plus quilibr e et plus contemporaine de P tat de l informatique de la Ville de Paris En effet ainsi que l a tabli l audit r alis par Andersen Consulting en d but de mandature 2001 la situation de la Ville en mati re de syst me d information tait critique organisation inadapt e de la fonction informatique g n ratrice d inefficacit et d incoh rences absence de vision strat gique obsolescence des syst mes applicatifs carences importantes en mati re de s curit infrastructures tr s loign es de l tat de l art autant de constats qui permettent de mesurer l ampleur du d fi relever TEA En r ponse cette situation d urgence la Vilie a d s 2002 cr une direction informatique clarifi les r les et responsabilit s des acteurs et elle s est dot d une feuille de route ambitieuse le Sch ma Directeur Informatique Au terme de la p riode du SDI m me si tout n est pas termin les principaux objectifs de cet effort de modernisation sans pr c dent ont
44. lu s par la Ville de Paris Dans ce document le montant des prestations de la premi re ann e tait valu par l administration 1 531 739 83 euros a les prestenes de type 4 ne repr sentaient que 194 500 euros soit 12 69 du total La pr sence dans le CCTP de recours au devis est une impr cision et n a aucune valeur puisque c est le bon de commande qui fait foi Il convient de noter que les r commandations de la CMPE d avril 2008 ne pouvaient tre connues cette date par la Ville de Paris Payis d appel public la oncurrence ayant t publi le 23 mai 2006 La DSTI a cart progressivement la pratique du taux journalier de ses march s en vue d assurer une plus meilleure ma trise de ses co ts 3 3 2 4 Le march d assistance pour le recrutement de collaborateurs de la DSTI page 42 Devant ses difficult s recruter certains profils de haute technicit et fortement sp cialis s la DSTI a souhait l aide d un cabinet de recrutement Les prestations pr vues dans le march d assistance de la DSTI dans le recrutement de ses collaborateurs Sont celles habituellement pr vues dans ce type de contrat cf article H 2 de Tacte _ d engagement CCAP et ne pr sentaient pas de sp cificit particuli re Le d lai de 8 jours laiss aux organismes leur permettait tout f it de faire une offre adapt e partir des prestations standard qu ils assurent par ailleurs
45. m me marque Le lot 1 du march cit a d ailleurs t attribu un nouveau constructeur pour la Ville DELL ce qui t moigne de la non discrimination par marque Le candidat devenu titulaire DELL s est bien inscrit dans les m mes gammes de performances qu c lles d crites tout en proposant ses propres produits diff rents de ceux list s Enfin la DSTI pr cise bien ou quivalent chaque fois qu une marque doit tre cit e pour des questions de compatibilit Le march bureautique 2007 page38 Les notations financi res des lots 2 3 et 4 sont tr s explicitement d taill es et ont fait l objet de v rifications Pour ce qui concerne le lot 1 s agissant d ench res lectroniques la m thode employ e est complexe les coefficients de pond ration sont directement int gr s dans le co t de l offre E 3 3 2 3 Le march de refont du syst me d informations financi res et comptables _ pages 39 La Chambre rel ve qu une proc dure de dialogue comp titif aurait t plus adapt e qu un appel d offre pour c march 23 30 Or la proc dure de dialogue comp titif tait alors une proc dure nouvelle inscrite seulement depuis 2004 dans le code des march s Lors du lancement du march aucune direction de la Ville de Paris ne lavait encore exp riment e et il tait apparu alors risqu d initialiser une telle proc dure avec un march de cett
46. moratoires lorsqu ils sont dus 30 30
47. n du service fait partie des proc dures et documents tudi s dans le cadre de la cr ation des CSP comptables L abandon des visas multiples au sein des services op rationnels a t conseill lors de la refonte des proc dures internes qui a accompagn la mise en place du syst me Aliz Uri document unique celui qui sera adopt pour l application de d mat rialisation des factures donnera lieu la mise en place d une proc dure des visas lectroniques gt AODEOS gt limit e vr isemblablement un visa unique 3 3 3 2 Mesure du d lai global de paiement La Ville reconna t que le suivi des d lais de paiement doit tre am lior et qu il peut arriver que les services datent la r ception de la facture au moment m me de l arriv e de cette facture dans les services charg s de la liquidation alors m me que cette facture a d j transit par plusieurs bureaux ou services La Ville poss de d sormais avec Aliz un SI int gr qui lui permettia des progr s importants en la mati re La mise en service d Aliz eba la mise en place des CSP et de la d mat rialisation des factures rendra possible la centralisation de l arriv e des factures ce qui permettra de leur attribuer la v ritable date de r ception Cette nouvelle organisation vise aussi diminuer les d lais de paiement conform ment aux nouvelles obligations r glementaires et assurer le paiement des int r ts
48. nombre d automatisations en vue du d marrage du p rim tre Ville Elle s est attach e pour ch que besoin exprim v rifier son bien fond ja pr sence ounon de ce besoin dans le CCTP et rappeler Pint grateur dans sa responsabilit d garant du bon i fonction ement de fa solution en lui veillant ce qu il tire pleinement profit des possibilit s offertes par le PGI dans le respect de son offre et du CCTP Cene CHE toutefois n a pas 24 30 emp ch qu au vu des impacts organisationnels r v l s par les tudes pr alables au d veloppement des volutions soient imm diatement d cid es par la collectivit l int r t de celle ci tant d en disposer le plus t t possible videmment pour les utilisateurs finaux mais galement pour b n ficier du d veloppement g n ral plut t que prendre le risque de r gressions en cas de d veloppements ult rieurs titre d exemple les op rations de r gularisation ont bien t demand es dans les prestations forfaitaires et ont t r alis es par l int grateur mais la n cessit de d velopper des outils d automatisation de ces op rations de r gularisation est apparue apr s la mise en uvre de la solution De m me des d veloppements li s aux circuits de validation ou workflows de SAP se sont r v l s n cessaires alors que ce concept m me n avait pas t envisag lors de l laboration du CCTP ex
49. nts actuellement en poste la DSTI taient employ s par la Ville depuis pr s de 20 ans en 2002 La loi de juillet 2005 a effectivement compte tenu de leur ge et de leur anciennet la Ville conduit transformer automatiquement leur contrat en CDI Rappelons qu leur recrutement ann es 80 les cursus de formation du secteur taient encore en cours de finalisation Si ces agents ne disposaient pas tous d une formation initiale dans le secteur informatique ils avaient d velopp par la formation ou par l apprentissage en situation une exp rience et de r elles comp tences sur le secteur c est sur la base de ces acquis qu ils ont t recrut s Ces comp tences ont t renforc es durant leurs ann es d exercice la Ville et taient utiles aux projets confi s la DSTI Leurs contrats ont t renouvel s La Ville avait tout perdre de se d faire de leur connaissance des syst mes Par ailleurs le droit europ en a conduit et conduit encore faire des CDI aux CDD employ s depuis plus de 6 ans en dehors m me des cas pr vus par l article 3 de la loi du 26 janvier 1984 En l occurrence il aurait t tr s contestable de ne pas renouveler ces contrats Le j juge administratif CAA Paris 10 f vrier 2009 req n 08PA01247 a ainsi annul l d cision de non renouvellement d un CDD pour motif d int r t du service car l administration concern e a recrut post rieurement un autre CDD ce qu
50. oiti depuis j janvier 2009 La partie allou e aux directions pour le traitement et la liquidation des factures est donc de 22 jours 27 jusqu en d cembre 2008 Les d lais moyens de certification du service fait relev s par la Chambre 11 jours en 2006 et 12 en 2007 sont donc parfaitement compatibles avec le respect du d lai global de paiement r glementaire Le d lai de cinq jours indiqu par la Chambre ne constitue qu un objectif interne fix par le bureau du budget suite la mise en place du nouveau syst me d information comptable Aliz en 2008 et la r vision des proc dures internes qui l a accompagn e iE s agissait d un objectif final atteignable progressivement dans un d lai non pr cis et li la dissociation du traitement du service fait du support mat riel de la facture Les d lais relev s pat la Chambre doivent tre jug s l aune du respect du d lai global de paiement r glementaire et non d objectifs internes non pertinents pour les ann es indiqu es L attention port e la dur e de la certification du service fait constitue un des enjeux principaux de la mise en place des CSP comptables et am ne les directions concern es r viser leurs proc dures pour dissocier cette certification du support de la facture Le respect du d lai global de paiement constitue bien videmment un des objectifs prioritaires des CSP La g n ralisation d un document unique pour la certificatio
51. onn es s tant r v l es beaucoup moins homog nes que pr vu les conditions conomiques du march en mati re de reprise des donn es taient inappropri es Vu les risques pour gt l int grit de la comptabilit de la Ville de Paris l administration se devait de i 25 30 s curiser les travaux par un dispositif de r p titions et d automatisation plus industrialis Ce dispositif troitement li la solution retenue constitue une bonne part des prestations demand es au titre du march prestations similaires Les conditions de la n gociation d crites par la Chambre sont erron es La n gociation s st d roul e en trois temps avec les r sultats suivants Lors de la premi re r union de n gociation il est apparu que la premi re offre du titulaire portait sur un p rim tre beaucoup plus large que celui demand par l administration Un recadrage en ce sens a donc t effectu Les prix forfaitaires et bons d commande ont galement t jug s trop lev s 46 pat rapport au march initial et une demande d ajustement a t formul e l gard d Accenture Lors de la deuxi me r union de n gociation l offre du titulaire avait diminu de 28 21 pour la partie forfaitaire par rapport la premi re offre en prenant en compte la fois le retour au just p rim tre d intervention et la r vision de l offre la baisse de 5 38 Les prix unitaires pour la par
52. opres sites Internet ou intranet des collectivit s territoriales en France ou l tranger Qu bec ou d autres entit s publiques ou priv es les plus r centes r alisations annonc es dans ce domaine concernent le portail de la Ville de Marseille et celui de M t o France En 2005 le Conseil a de nouveau autoris le versement TA le libre de plusieurs outils e d velopp s par Paris dans la m me d lib ration il permet galement au Maire d adh rer l Adullact Cette association des d veloppeurs et utilisateurs de logiciels libres dans les administrations et les collectivit s territoriales promeut l usage du libre dans les col ctivit s Un lu repr sentant de la Ville si ge effectivement dans ses instances et y a un r le actif 6 30 En parall le pour chaque projet applicatif les choix se sont organis s autour de deux axes examen due des offres progicielles libres existantes sur le march qui sont galit de pertinence fonctionnelle et de co t privil gi es d finition en parall le d une charte de d veloppement et dans les contrats clause de propri t intellectuelle assurant la Ville la capacit de verser dans le libre si elle le souhaite les d veloppements r alis s pour elle par les int grateurs La plupart des d lib rations et DCE des march s lanc s sont porteurs de ces contraintes La Ville a fourni la Chambre un tableau r capitulati
53. ouble emploi puisque le SG tait pleinement inform E 3 243 Projet SIG page 16 La Chambre a cru relever une incoh rence la Ville lui a d montr que la contradiction relev e n tait qu apparente mais la Chambre en conclut n anmoins que le tableau de bord ne r pond pas son objectif diffuser une information synth tique et fiable qui doit pouvoir tre comprise sans demande d explication compl mentaire A D En l occurrence les membres du CSSI destinatair s du tableau de bord taient pleinement inform s de la situation expos e ci dessous si bien que le tableau de bord ne leur paraissait nullement incoh rent l T Le terme de Syst me d Information G ographique SIG est en effet utilis pour d signer deux concepts diff rents le programme SIG et les projets qui le composent le programme SIG consiste organiser la production la gestion et le partage de _ donn es g ographiques et d velopper des SI r pondant des besoins m tiers ilse d compose donc en trois volets pr sent s dans le rapport de synth se SDI page 27 o mise en place d un serveur spatial projet BOSS o mise en place d un portail f d rateur i BOSS o des applications m tiers utilisant ou produisant des donn es g olocalis es etc Le suivi du programme SIG via la fiche SDI s est r v l malais car le document est con u pour suivre un projet unique le
54. r ts Moratbires 3 3 3 1 Les d lais de paiement 3 3 3 1 1 R ception des factures __ Pour les ann es 2006 t 2007 la CRC s est fait communiquer r les tableaux de suivi one des fact res parvenues la section de comptabilit de la DSTI qui trac nt le parcours et les d lais des factures depuis l enregistrement l arriv e jusqu la liquidation a apr s certification du service fait Une s lection de march s op r e par la CRC lui de galement t communiqu e par cette m me section afin qu elle puisse se livrer un trav il de v rification sur pi ces Leur mill sime indique une notification en 2005 et 2006 28 30 Si le d lai moyen relev par la Chambre 11 jours para t correct au vu de l tude sur pi ces des march s retenus selon la m thode de calcul choisie les chiffres varient de 6 14 jours on peut mettre un doute sur la repr sentativit des march s choisis s agissant de march s d tudes o un petit nombre de liquidations est effectu e et d s lors qu il s agit de liquidations plus complexes et donc plus longues que pour les march s de fournitures En effet les r sultats de tels sondages sur d autres march s notamment des march s de fournitures diff reraient sensiblement en fonction du nombre de factures et de la nature des d penses les factures relatives des d veloppements applicatifs sont souvent remises l occasion de rendez vo
55. r par tous les r dacteurs alors qe les deux PIQUE continueront de relever d une personne unique L existence de ces tableaux est temporaire e EPM fournira moyen terme des instruments de suivi automatique des march s pour chaque direction incluant des statistiques UE par type de march s lanc s par proc dure par montant ainsi que des indicateurs de suivi d lais des proc dures taux de r ponse aux consultations Jen e 3 2 La pasea ton des march s publics informatiques pages 36 37 33 2 L La passation des march s de mat riels bureautiques E Le march bureautique de 2003 page 36 20 30 Le premier march bureautique n a pu tre correctement dimensionn par la DSTI qui a du les relancer Il convient d abord de souligner qu il s agissait pour la direction d assurer pour la premi re fois son r le de direction transverse Au moment de sa passation l s grandes lignes du SDI taient connues mais certains arbitrages ou l ments nouveaux sont intervenus et ont chang le volume des besoins sur les premi res ann es C est ainsi que les premiers projets du nouveau sch ma directeur qui ont t mis en uvre ont pu l tre gr ce un d ploiement beaucoup plus rapide que pr vu du r seau dans 1 500 nouveaux sites comprenant des tablissements et servic s qui m avaient jamais t quip s Par exemple le projet LUCI a impliqu l achat de 320 postes de trava
56. s pr liminaires sans tre p nalis e par les d lais inh rents aux proc dures de march s publics me Si le projet de cr ation de cette cellule n a pu ne au d but du SDI faute d accord sur les cr ations de postes la constitution progressive partir de 2005 et par red ploiement de l quipe Sequana qui us au jourd hui PAS releve de cette m me d marche 1 26 La prise en compte des logiciels libres dans le SDI page 10 Le titre figurant dans le rapport une mise en place de la solution libre plus difficile que pr vu n est pas conforme la r alit dans la mesure notamment o elle m conna t les l ments les plus r cents La n anmoins cans la Ai de Baa OO Ar Logiciels libres dans Je ae de serons nn sur un parc global de 1 100 serveurs 500 disposent d un syst me d exploitation linux et sur 300 serveurs h bergeant une base de donn es 70 d entre eux utilisent les logiciels MYSQL et postgres en lieu et place des outils ORACLE D autre part la Ville a d s 2002 lanc en mati re de d veloppement applicatif et de choix d applications une politique coh rente mise en place par tape et qu elle DOME jusqu auje jourd hui D s 2002 l outil de gestion de contenu Lut ce a t vers la communaut du libre par le Conseil de Paris d lib ration du 9 septembre 2002 cet outil a t choisi par de nombreuses entit s pour d velopper leur pr
57. se en compte des logiciels libres dans le SDI page 0 Re a 6 2 La gouvernance du SDI ieessneneneneeneeeeeeeeenneree rene g 2 1 La d finition et la priorisation des projets page 11 8 2 2 La relation MOA MOE page12 13 s00101 RE ET s ries 8 2 3 Le r le du CSSI pages 13 14 PP O E E Le arsarseeessres TOE E EOT 9 2 4 Les outils de suivi de projets page 14 A a n CR Le 10 2 4 1 Projet Salsa gestion de laide l gale poir les RQ g es et les Hersonnes handicap es page 15 ss issseessessnserrenenensereensserstieneenennenesnsesses Lost 10 2 4 2 Projet Go gestion de op rations de travaux HR ROC panerpeenennenenenennnenenetnte 11 2A 3 Projet SIG page 16 sen ELT E E nn ARE Il 2 6 Le projet de gestion du courrier pages EE CEE e Mo 12 3 1 Gestion des ressources financi res conan TE D 3 1 1 Les comptes dela fonction informatique seeser sepeerrseee eee itmsent ee AU ae R S aa 13 3 1 1 1 Le budget d quipement affect la mission SDI page 23 rennes 13 3 1 1 2 Incertitudes relatives au co t de la r alisation des investissements page 26 14 3 1 1 4 Les d penses de fonctionnement page 27 NN 14 3 2 Les ressources humaines mobilis es par le SDI pages 30 et suivantes A 15 3 2 3 Qualification des agents page E EE ENA E E E NE T E E E Le T CO 3 2 5 Les r mun rations accessoires page 33 Re res 18 3 2 6 Analyse d un cas particulier page 33 ES 18 3 3
58. sque c est absolument n cessaire la bonne information des candidats uniquement dans le cas de mat riels actuellement utilis s par la Ville les documents pr cisent alors que ces informations sont donn es titre indicatif Par exemple pour r pondre un march de maintenance de mat riels un candidat doit conna tre l tat du parc savoir si il est homog ne ou h t rog ne pour tre en mesure de chiffrer au plus juste sa r ponse Dans le cas cit le document en annexe du r glement d la consultation pr cise bien que ce r f rentiel est fourni titre indicatif A titre d information le r f rentiel de la personne publique est aujourd hui compos de l Par ailleurs le CCTP pr cis dans soi pr ambule que Dans un souci d conomie et de rigueur de gestion t chnique il a t d cid depuis 2003 d laborer un r f rentiel portant sur les mat riels les plus couramment utilis s poste de travail fixes et portables imprimantes et t l copieurs compter de la notification du pr sent march Ainsi les diff rentes entit s de la personne publique s nt tenues de s quiper sauf rares exceptions avec ces mat riels r f renc s par la DSTI SDPR Ces deux l ments d information permettaient aux candidats d aller au plus pr s de la demande de la personne publique en fournissant des mat riels coh rents de m me gamme de performances et non de la
59. st mes d information performants fiables et robustes et ce tout particuli rement dans des domaines aussi s nsibles que la paie et la con administrative RH ou les fonctions budget comptabilit finances Dans ces domaines il n existe aucune solution progiciell base de logiciel libre qui i puisse r pondre aux besoins de la Ville de Paris Par ailleurs la construction de solutions par d veloppements sp cifiques dans des domaines aussi complexes est aventureuse difficult sp cifier fonctionnellement calibrer L architecture technique apte suppo ter la charge tout cela induit des d lais HHPOrAUR de r alisation t des risques forts de non aboutisseiment du proj et D s lors qu une offre progiciel adapt e existe le recours une telle solution est donc la seule d marche acceptable aux plans conomique et strat gique C est ainsi que la Ville de Paris sur ces deux domaines sensibles a t amen e choisir des solutions certes propri taires mais surtout robustes car issues de dizaines voire centaines d ann es homme de recherche et d veloppement p r les quipes des diteurs et valid es par l utilisation qu en font de tr s nombreuses entit s publiques et priv es de grande taille en France et dans le monde Les choix de la Mairie de Paris ne sont pas d ailleurs si singuliers puisque P Assistance Publique Hopitaux de Paris et l Etat ont fait exactement les m mes
60. stration gestionnaire une demande de maintien en d tachement formellement il s agissait m me d une demande de d tachement puisqu il s agissait du premier d tachement partir du MINEFL Cette demande a t vis e par le Secr tair G n ral plus haute autorit administrative de la Collectivit qui a manifest ainsi son assentiment Le MINEFI a fait droit cette demande par un arr t de d tachement en date du 27 mars 2006 mais la Ville n a pas re u notification de cette d cision LT ET Le 21 septembre 2006 la Ville a nomm un nouveau directeur de la DSTL en lieu et place de MX et affect concomitamiment ce dernier au secr tariat g n ral de la Ville de Paris 18 30 Le 9 octobre 2006 par courrier au ministre d l gu l industrie la Ville a formalis tardivement son acceptation du d tachement de Monsieur X La teneur de ce courrier et des pi ces aff rentes sur lesquels se fonde l interpr tation de la Chambre s explique par un double dysfonctionnement l absence de notification la Ville par administration dont relevait M X de la d cision de d tachement de celui ci une erreur des services internes de la Ville qui ont m connu les conditions dans lesquels le d tachement avait t demand avec l accord du Secr taire G n ral Ce sont donc deux erreurs administratives regrettables mais banales qui sont l origine de la r daction inappropri e du courr
61. sur les 12 architectes techniques en poste 4 agents disposent d un niveau inf rieur ou gal au baccalaur at 1 un niveau bac 2 1 niveau bac 3 z 3 niveaux bac 4 et 3niveau bac 5 Au total 60 ont un niveau sup rieur bac 2 Les agents qui pr sentent le niveau de formation le plus lev ont t recrut s Fe moins _de 6 ans Trois des quatre agents pr sentant i niveau de formation initiale le plus faible ont 17 30 t recrut s avant 1998 Enfin il est noter que suite au d part la retraite de l un d entre eux il a t remplac dans ses fonctions par un ing nieur titulaire 3 2 5 Les r mun rations accessoires page 33 La Chambre mentionne que la prime de fonction informatique vers e aux agents titulaires de la Ville affect s des fonctions de traitement de l information n a pas de caractere discriminant et n est pas un l ments de gestion des ressources humaines Cette affirmation trop g n rale m riterait d tre nuanc e _ En effet si la DSTI tous les b n ficiaires de la prime informatique en 2006 ont effectivement per u une majoration Parmi eux trois seulement ont per u un montant inf rieur au plafond r glementaire fix 25 du montant moyen de la prime en l occurrence 18 98 20 83 et 24 09 En revanche il convient de noter que sur l ensemble de la Ville d autres agents per oivent la prime informatique et que tous ne b n
62. t budg t s dans la section de r glement sont r partis par chapitre et nature budg taires sans lien direct avec les autorisations de programmes sur lesquelles les _ cr dits ont t r serv s et les d penses engag es D s lors ces cr dits servent indistinctement payer les factures r sultant de cr ances ant rieures au SDI comme et celles relatives au SDI Il n y a pas de cantonnement des cr dits au sein de la section de r glement en fonction de l anciennet plus ou moins grande des AP Des cr ances ind pendantes du SDI mais relevant bien de d penses informatiques ont donc t r gl es dans la p riode consid r e 2003 2007 tout comme des d penses relevant de ce m me SDI ont t r gl es post rieurement 2007 Il faut en la mati re distinguer entre e stock des cr ances susc it es et la masse des r glements effectu s sur la p riode ce n est pas le SDI qui int gre des paiements r sultant d cr ances ant rieures c est la masse des cr dits de paiement allou s qui permet le r glement de ces cr ances Sinon il eut fallu cantonner les cr ances et distinguer dans l enveloppe des cr dits de paiement vot s ceux destin s nel du l pasa de c ux affect s au u r glement du pr sent _ Les l ments de r ponses apport s l ensemble du paragraphe 3 1 1 1 l vent les r serves dans l Dee des Lu imputables au SDI 3 1 1 2 Incertitudes relatives au co t de I
63. tie commande ont t diminu s de 22 8 par rapport l offre initiale Ils sont effectivement rest s sup rieurs de 13 par rapport au march initial alors que la Ville pr voyait une augmentation de 8 mais les prix des ressources comp tentes en mati re de PGI avaient parall lement augment de fa on substantielle sur le march notamment pour le secteur public avec la mise en place l tat et l AP HP du m me produit Parall lement l administration a affin son expression de certains besoins qui devaient fair l objet de prestations bons de commande et a d cid de les inclure dans les prestations forfaitaires comme le recommandent les bonnes pratiques d achat public afin de n gocier dans les meilleures conditions Une premi re proposition sur ce nouveau p rim tre a t remis ayec la deuxi me offre Lors de la troisi me r union d n gociation sur le p rim tre revisit l offre forf itaire d Accenture tait en baisse de 8 3 RS QE La sinc rit du rapport la commission d appel d offres ne peut donc tre remise en cause L administration a effectivement obtenu des baisses significatives et objectives du titulaire l valuation des propositions devant se faire sur des p rim tres comparables 26 30 3 3 2 3 Le march de tierce maintenance des applications informatiques page 41 La Ville de Paris partage totalement l avis de la Chambre sur la n c
64. tiers et profils adapt s UE Ua E 3 Je processus de recrutement a t affin pour permettre une meilleure s lection des candidats DR E 15 30 Augmenter l effort de formation pour adapter les comp tences Organiser la mont e en comp tences des agents cr er des parcours de formation individualis s sont indispensables pour suivre l volution des m tiers du secteur informatique Le plan pluriannuel de formation de la DSTI reprend ces orientations avec des formations c ur de m tiers dans des secteurs langages et outils de pointe SAP Urbanisation Linux Vista Voix sous IP IP R seaux outils de la production Business object et des formations des outils m thodologiques communs mutualisation des bonnes pratiques gestion et planification des projets mod lisation Aris plan de formation aux proc dures ITIL CMMI Les mesures de rationalisation en termes d organisation et de gestion des cr dits d l gu s par la DRH pour les formations m tiers ont t mises en oeuvre recueil de besoins organisations de sessions collectives formations sur mesures mise en concuirence des organismes permettent d optimiser les cr dits disponibles La gestion s fait au plus pr s la taille de la DSTI permet un suivi tr s fin des actions de formation quantitativ ement t qualitativement La passation d un accord cadre pour l organisation des formations m tiers devrait perme
65. tiplication des contrats dur e ind termin e destin s pallier le manque de personnels titulaires Or la Ville a rigoureusement respect la r glementation et sa _ gestion est conforme aux bonnes pratiques eu gard aux particularit s de ces m tiers La Chambre estime que la gestion des march s informatiques de la Ville est caract ris e par une insuffisante d finition des besoins Cette appr ciation n est pas recevable du fait de son caract re trop g n ral au regard du nombre de march s examin s Elle est en eff t principalement fond e sur deux l ments la relance par anticipation en 2004 d un march d quipement bureautique en raison du dimensionnement insuffisant du march PaA mais celui ci a t pass en 2002 alors que la DSTI nouvellement cr e s installait dans son r le de direction transverse et le march relatif au projet Aliz Sur ce dernier point il convient de noter qu il s agissait d un projet sans pr c dent la Ville par son ampleur et sa complexit et que la solution a pu tre d ploy e avec succ s sur le budget _ de l aide sociale l enfance et sur celui du D partement dans les d lais pr vus au march dans le cadre du forfait initial Cependant au vu de ce retour d exp rience et pour r ussir dans de bonnes conditions le d ploiement ult rieur une toute autre ch lle sur l ensemble de la Ville il s est av r n cessaire de comm
66. ttre d optimiser encore les moyens disponibles Optimiser les moyens disponibles par des mesures d amelioration de l organisation Ils agit effectifs constants d obtenir un gain qualitatif et un d but d alignement sur les meilleures RUES Pour cela plusieurs mesures ont t mis s e uvre Er d ploiement d outils de pilotages adapt s gestion de portefeuille de projets suivi des charges mod lisation des besoins un march est en cours pour acqu rir ces outils Un accompagnement des chefs de projet a t mis en uvre pour une mod lisation des pratiques de conduite de projet ARE mise en place d une d marche qualit un plan d action a t elabo afin de guider les services vers une d marche globale et des certifications individuelles dans certains secteurs production notamment r organisation des fonctions support achat approvisionnement et contr le de gestion des transformations d emplois ont permis un premier ajustement par la cr ation d un poste de contr leur de gestion de cat gorie A De nouveaux ajustements seront propos s lors des prochains exercices budg taires notamment pour prendre en compte la cr ation des CSP et de la direction de l achat _ El est donc tr s r ducteur de stigmatiser comme le fait le rapport au 3 2 1 un d calage par rapport l ambition initiale en relevant npener que Ja DSTI n a b n fici Lo sa cr ation qu
67. uffisances voire incoh rences que la Ville ne conteste d ailleurs nullement Mais la Chambre a eu galement acc s au reporting relatif d autres projets sans que c lui ci ait suscit l s m mes r serves Il n est donc pas HE de BR partir d un petit nombre d exemples noter de plus que ce botte ne con tituait pas l unique source d infon ation du Secr tariat G n ral sur les projets SDI un repr sentant du SG participe aux comit s de pilotage des principaux projets et le directeur du programme Sequana 1 membre du secr tariat G n ral supervise directement tous les projets du programme Tirant toutefois les le ons de cette pr mi re exp rience et consciente des marges de progression du dispositif initial de reporting la Ville a d cid de le faire voluer dans le cadre du SDD gt rejoignant en cela les pr conisations de la chambre 24 1 Projet Salsa gestion d Paide l gale pour les personnes g es et les personnes handicap es page 15 Le epon analys porte sur une p riode de deux ans couvrant la majeure partie de la phase d tude pr alable d finition e et de la consultation Ainsi qu il est pr cis dans le mode 10 30 d emploi du reporting le co t initial ne peut tre valablement renseign qu l issue de l tude pr alable qui d finit le contenu et les contours du projet C est ce moment que l information co t initial est fig e et de
68. us de chantier alors que la date d mission est ant rieure tandis que les factures relatives des acquisitions de mat riels sont souvent envoy es ou remises simultan ment la livraison avec parfois des d lais de liquidation tr s courts La proc dure en place la section de comptabilit de la DSTI i impose l enregistrement de la facture d s son arriv e comme l a constat sur pi ces la CRC quell que soit la modalit d acheminement de la facture En effet celle ci n arrive pas toujours par voi postale et n est pas toujours en d pit des dispositions nonc es dans les march s t pr cis es dans le formulaire type de bon de commande celui utilis avant la mise en uvre du syst me Aliz adress e cette section De nombreux repr sentants des prestataires soit techniques soit commerciaux ont l habitude de remettre personnell ment d s factures l occasion de passages la DSTI pour des raisons de travail Ils peuvent les remettre soit directement la section de comptabilit soit leurs correspondants des services op rationnels qui ont la consigne dans ce cas de la faire parvenir dans les plus brefs d lais la section comp tente pour les traiter Il convient de remarquer que les instructions r glementaires rappel es par la Chante pr cisent qu en l absence d une preuve formelle d envoi par le cr ancier par exemple un envoi postal par courrier recommand a
69. v c avis de r ception c est la date appos e par FPordonnateur qui pr vaut et non la date d mission de la facture De plus et bien videmment la date qui marque le d but du d lai de paiement doit tre post rieure la fin de la prestation qui fait l objet de la demand de paiement Or il arrive que des cr anciers anticipent par _ l mission d une facture cette date factur qui ne peut commencer tre trait e que passee 2 c tte date Le La section comptable de la DSTI rappelle r guli rement aux tiers cr anciers la n cessit dans leur propre int r t de lui adresser directement leurs factures Ce rappel est syst matique lors des demandes d miormaton GE cr anciers aupr s des compHnies liquidateurs de cette section 7 833 12 Validation du service fait Le tableau d enregistrement des Peares mis en place parle bureau du budget de la DSTI est un outil interne de suivi dont l objet premier concerne le tra age des factures dans Jeur circuit entr services aux fins de certification du service fait Il vise d abord le respect _ d une proc dure interne et n a que secondairernent une fonction de calcul du d lai de paiement pour la partie du d lai global comprise entre l arriv e de la facture et sa liquidation Dans les tableaux 2006 et 2007 un certain nombre de dates ne sont effectivement pas remplies et mises de ce fait 0 dans les formules de calcul
70. vient la base partir de laquelle les d rives ventuelles sont appr ci es La Chambre indique que les informations contenues dans les tableaux ne sont jamais comment es dans la fiche de synth se aussi les objectifs poursuivis par l application Salsa restent ils inexpliqu s Or le tableau de bord est bien le seul outil de pr sentation de l volution des projets informatiques accessibles aux non sp cialistes du domaine Le tableau de bord synth tique comprenant une seule ligne par projet il est mat riellement impossible d y exposer les objectifs de chaque projet C est pourquoi les destinataires de la synth se pouvaient galement consulter la fiche projet correspondante sur laquelle les contenus et enjeux taient d crits en termes parfaitement intelligibles par des non sp cialistes 242 Projet Go gestion des op rations de travaux Les informations reprises dans ce rapport he sont relatives qu aux phases amont du projet tude pr alable et d but de la consultation I s agissait ce stade d un reporting quasiment pro forma dont on aurait donc pu faire l conomie Go est en effet un projet Sequana qui fait donc l objet d un suivi tr s r gulier via la participation d un repr sentant du SG tous les _ comit s de validation fonctionnelle et aux comit s de pilotage strat gique Dans ce cas particulier la fiche r porting tait per ue par le chef de projet comme faisant d

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