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Technologie Appropriée - Research Information Ltd

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1. FARMING MATTERS Small scale agriculture for a sustainable Society For background to the news debates opinions and practical experiences read FARMING MATTERS FARMING MATTERS appears four hmes a vear To subscribe go to www agrniculturesnetwork org 7 i or send an e mail to subscriptions ileia org pA h C U cang UD Di land sstamitug Dii paii e fa F i A FARMING MATTERS lon T A z ai ui Wa AEII i The future of family fanning The Sahel gets greci gt Scducing Hie scientiis b Ti e Abonnez vous Technologie Appropri e Veuillez m envoyer Technologie Appropr e quatre Tec f alal n loi Jia An elgelel 18e num ros trimestriels pendant une ann e d butant RE oo te pot avec le num ro actuel Technologie Appropri e est probablement le p riodique le plus lu Veuillez compl ter le formulaire ci apr s ou remplir le au notes pa orgie lle Les de pts nouvelles ban de commande sur notre site internet meilleures pratiques et informations techniques sur un large ti SE La P ventail de sujets D autres p riodiques et sites internet sur le 5 i jes Kaa RE tete d veloppement sont apparus puis ont disparus mais Technologie d 52 US 104 abonnement individuel Appropr e est toujours rest consistent et une source s re D d information B Nom Paul Wagstalf conseiller agricole Concem Wordwide Le ce i CL Organisation i i Adresse CL CL T l
2. RE EE nr DE PET PR PM PR A DER TE D Type d INGUSTE v ren aa E nee rouen ROS AE aa RAD L LEE Nues Renvoyez Research Information Ltd Grenville Court Britwell Road Bumham Bucks SL1 8DF Angleterre Tel 44 1628 600499 Fax 44 1626 600488 info researchinformation co uk wwWw technologieappropriee com Technologie Appropri e tudes pratiques destin es aux pays mergeants Appropriate Technology tes vous coop rant fieldworker conseiller de politique conseiller chercheur ou chef de projet travaillant pour une O N G une organisation humanitaire une organisation internationale ou pour le gouvernement Abonnez vous Technologie Appropri e et conomisez 106 US 212 Copie chantillon disponible dans le format d Adobe Acrobat Visitez notre site Web wwWw technologieappropriee com
3. 1l est possible de contrecarrer et d liminer les souches productrices d aflatoxine lorsqu elles infectent les grains r duisant ainsi la contamination l afla toxine Il existe plusieurs souches bact riologiques non toxig nes end miques au Nig ria et celles ci sont utilis es dans l Aflasafe Pour le Dr Bandyopadhyay les souches bact riologiques non toxig nes peuvent tre utilis es pour r duire simultan ment la contamination l aflatoxine dans plusieurs cultures d une m me zone Selon lui la mani pulation de la composition des colonies 32 L Aflasafe peut traiter d autres cultures comme l arachide susceptibles d tre contamin es par les aflatoxines fongiques par exemple remplacer les souches forte production d aflatoxines par leurs cousins qui n en produisent pas dans le but de r duire le nombre de souches forte production d aflatoxine est une approche sens e visant r duire la contamination par l aflatoxine dans la totalit des cultures pr sentes dans une zone d termin e C est le United States Departement of Agriculture USDA D partement de l Agriculture des tats Unis et l IITA qui ont identifi les souches bact rio logiques non toxig nes utilis es dans le biocontr le au Kenya et au Nig ria Les fermiers les politiques les indus tries de l agro alimentaire et diff rentes ONG avaient exprim leur soutien pour que cette technologie puisse aboutir un produit f
4. 1l est essentiel que les pompes soient de tr s haute qualit fiables durables et avec un besoin d entretien proche de z ro pour une bonne produc tivit Avec l augmentation des ventes et le d veloppement de nouveaux concepts par la soci t KickStart a compris que produire seulement en Afrique n tait plus possible rapporte Nick Moon Directeur G n ral et co fondateur de KickStart Pour permettre de tr s hauts niveaux de production et de r sultats 1l tait n ces saire de centraliser la production de masse Actuellement cela peut tre fait plus facilement en Chine et KickStart comme beaucoup d autres soci t s a donc r cemment pris la d cision de transf rer la production de ses pompes en Chine Cette solution peu on reuse permettant l accroissement d une forte productivit a permis de rabaisser le prix d achat des pompes pour des milliers de familles et de les sortir ainsi de la pauvret pour toujours Nick Moon a ajout que puisque la demande augmente KickStart tudiera la r alisation d investissements cons quents n cessaires la mise en oeuvre d une forte production de masse et de qualit en Afrique Cons quences Les pompes manuelles permettent aux fermiers d irriguer facilement les cultures et de vendre des fruits et Technologie Appropri e Vol I No 1 l gumes de grande valeur tout au long de l ann e Chaque pompe peut multi plier le revenu agricole jusqu dix
5. Agriculture and Trade Policy IATP Institut pour la Politique Agricole et Commerciale bas aux Etats Unis a rapport que les n gociations de l OMC sont paralys es de mani re insoluble avec le Doha Round qui n est plus d actualit depuis longtemps Il sugg re que les ministres du commerce fassent machine arri re et trouvent un nouvel lan pour le commerce Cette conf rence a r sult en un syst me commercial affaibli et non www technologieappropriee com renforc englu dans un statu quo inacceptable d clare Anne Laure Constantin de l IATP D autres ont qualifi le Doha Round de mauvaise approche du moment Quelques soci t s civiles ont dit que la crise de l gitimit de l OMC est vidente car malgr la gravit des crises alimentaires financi res conomiques et climatiques son ordre du jour sur la d r glementation et la lib ralisation reste pour beaucoup identique celui de 2001 Mais un v nement potentiellement important est bien arriv en marge de la r union minist rielle de l OMC Quelques 22 pays mergents ont convenu d un accord qui vise r duire les droits de douane et autres barri res mises leurs exportations r ciproques C est une tentative pour stimuler le commerce Sud Sud un moment o l OMC tra ne en longueur Cela se fera dans le cadre du Global System of Trade Preferences among Developping Countries GSTP Syst me Mondial de Pr f rences Commerci
6. La sylviculture doit fournir des sources renouvelables de mat riaux de construction et des produits de premi re n cessit comme le papier Dans le m me temps ils doivent pr server le sol l eau et le milieu naturel de la vie sauvage Les choix des pauvres Les scientifiques agronomes les ing nieurs et les conomistes savent comment les fermiers faibles revenus pourraient augmenter leur production Il y a beaucoup de fa ons de pr server le sol et l eau de d sherber de cultiver de mani re ad quate et d adapter l exploitation aux cycles naturels qu ils pourraient suivre s ils les connaissaient et si a en valait la peine Les pauvres ont une exigence majeure la connaissance technique politique et conomique qui stimulera S Des leaders agricoles dans des pays d velopp s pr disent qu au lieu d utiliser de grandes quantit s de c r ales de l gumes secs et de r sidus d ol o prot agineux pour nourrir la volaille et les porcs celles ci iront directement la consommation humaine www technologieappropriee com la production et permettra ainsi un acc s quitable aux march s mondiaux Ils ont un inconv nient de taille personne ne les coute parce qu ils sont pauvres Le plus d influence qu ils ont se r sume leur vote au sein des Nations Unies ou s ils ont le contr le d une mati re premi re dont les nations riches ont besoin comme le p trole ou les minerais Ils peuve
7. el T l 254 20 273 1664 2044 2203 Portable 254 721 576531 734 721208 Fax 254 20 2732086 e mail gilbertm maendeleo atf org Site Internet www farmafrica org uk ou www maendeleo atf org Pour plus d information sur le projet Source MATF contactez Justus Ongiri Project Coordinator Africa Now P O Box 2514 Kisumu Kenya T l 254 20 2021181 e mail ongirijusto yahoo com Alt e mail kisumu africanow org Site Internet www africanow org Subscription Order Form INTERNATIONAL PEST CONTROL Please send me International Pest Control six issues for one year 156 US 312 Institutional 1 85 US 170 Personal 60 US 120 CEPA FAOPMA Member All subscribers have FREE online access to our fully searchable online archives covering all issues from 2004 to date The online licence for institutional subscribers covers all users at the subscription address Postcode Name Job title izaen o ieman ES ae Dept EE T Organisation Address Email All issues are now viewable in Flash based pageflip format see http researchinformation co uk ipco Complete the form opposite and fax or post back to Please send a proforma invoice l enclose a cheque drawn on a UK bank Please charge my Mastercard Visa Amex The Subscription Manager Research Information Ltd Grenville Court Britwell Road Burnham Bucks SL1 8DF UK Tel 44 0 1628
8. l irrigation repr sente pour les fermiers une somme importante de travail et de temps certains peuvent passer plus d une demi journ e transporter de l eau jusqu leurs parcelles de l gumes Pour r duire la p nibilit de cette t che le Dr Madhu Bhattarai du World Vegetable Centre Centre Mondial de Recherche pour le D veloppement des Cultures Mara ch res AVRDC et le Dr Manuel Palada ont d velopp un projet portant sur un syst me rudimentaire de pompes bon march La plupart des fermiers transportent l eau la main l aide de calebasses une coquille que l on a creus e et s ch e ou de seaux en plastique pour arroser leur l gumes Si la source est loign e un fermier peut tre oblig de passer la plus grand partie de sa journ e transporter l eau jusqu aux champs Par exemple un fermier de Segou au Mali arrose son champ d oignons deux fois par jour le matin et l apr s midi avec deux calebasses Il fait plusieurs voyages du canal la source d eau jusqu au champ pour irriguer sa parcelle d environ 500 m2 Il passe peu pr s quatre cinq heures par jour l accomplissement de cette t che pendant la saison s che La culture de l oignon n cessite trois quatre mois du semis la r colte son irrigation demande donc beaucoup de travail Une meilleure fa on Des outils simples et bon march de micro irrigation tels que des installa tons de goutte goutte partir de bid
9. servateur Installez de grosses pierres sur les bambous assez pour les maintenir vers le bas Croquis 1 A La m thode du r servoir ouvert Un r servoir ouvert est une cuve d environ 4 m de long On peut en fabriquer une en coupant verticalement et par la moiti deux bidons de 200 litres et en les soudant ensemble comme pour un cano Coupez les bidons avec un burin bout plat et un marteau aplatissez les bords tranchants avec un marteau Apr s avoir soud peignez l int rieur avec du bitume du goudron ou quelque chose dans ce genre pour prot ger les bidons de l rosion Mettez la solution dans la cuve La m thode du r servoir ouvert Coupe transversale d une cuve a Cuve avec bambous b Pierres servant maintenir la cuve en place c Niveau de pr ser vateur d Grosses pierres pour garder les bambous immerg s e B che plastique contre la pluie f Pierres servant maintenir le plastique en place L gouttage du bambou g B ton h Pr servateur en train de s goutter Technologie Appropri e Vol 1 No 1 l aide d un seau en plastique Avant de disposer le bambou dans la cuve coupez le la taille requise en le partageant si n cessaire afin de ne pas traiter du bambou qui ne sera pas utilis Tous les bambous devront tre recouverts de pr servateur Installez de grosses pierres sur les bambous assez pour les maintenir immerg s Croquis 1A Les bambous doivent rester
10. taire Plus de 200 familles d agricul teurs de Segou participent aux essais et l adaptation de syst mes de micro irrigation pour leurs potagers tels que les pompes p dales MoneyMaker d velopp es par KickStart Ils ont re u une formation pratique pour les m thodes de gestion d une bonne r colte Pr sentation Pour moi rapporte le Dr Bhattaria la pompe KickStart pr sente de tr s bonnes perspectives pour les jardins situ s le long des rivi res et m me pour l irrigation des l gumes situ s 75 80 m tres des rivi res 4 Li D CT p Mn i i m i i y uh pe e x Dr Bhattarai I en discussion avec un fermier Source AVRDC The World Vegetable Centre Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Il y a deux mod les de pompes p dales KickStart la pompe Super MoneyMaker Pompe p dales qui co te 49 500 CFA 103 et la pompe MoneyMaker Hip Pompe manuelle qui co te 22 000 CFA Chaque pompe n cessite un tuyau d arriv e qui co te 450 CFA au m tre et un tuyau de sortie qui co te 550 CFA au m tre Fabrication KickStart a essay de faire fabriquer des pompes en grande quantit en Afrique mais des mati res premi res de qualit inf rieure une main d oeuvre non qualifi e un manque de contr le de la qualit et un manque de mat riel de production ont rendu cela difficile Comme la plupart des utilisateurs de pompes vivent dans des zones rurales recul es
11. 40 jours le syst me de biogaz doit tre de grande taille Le syst me entier repose sur des cuves en plastique qu il est facile de se procurer son co t ne d passe pas 10000 Roupies 219 Le syst me le plus petit adapt aux familles se f Un grand syst me de biogaz convenant un restaurant d entreprise Source ARTI www technologieappropriee com consiste en deux cuves de 1000 et 750 litres Le dessus de chaque cuve est ouvert afin que la plus petite cuve puisse s ins rer dans la plus grande La grande cuve externe sert de digesteur La cuve interne install e la t te en bas l int rieur de la cuve externe sert de r servoir pour le gaz Au d part 1l faut d verser 20 kg de fumier et d eau dans la cuve pour que le syst me commence produire du m thane et cette r action demande environ 30 jours A pr s quoi un approvisionnement journalier en d chets alimentaires et v g taux maintient le syst me en production de gaz Popularisation du syst me En appliquant la technique du biogaz d velopp e par ARTI le Centre For Renewable Energy and Sustainable Technologies CREST Centre des Technologies Appropri es et des Energies Nouvelles et Renouvelables une branche du National Institute of Engineering NIE Institut National des Sciences Appliqu es est en train de populariser le syst me de biogaz fonctionnant partir de d chets v g taux pour la production de gaz usage c
12. 600499 Fax 44 01628 600488 Email info researchinformation co uk Web www researchinformation co uk Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Card no Expiry date Signature www technologieappropriee com Name on card Security CVV digits 23 G n ralit Agir face au changement climatique Les espoirs fond s sur la r duction des missions de carbone ont subi un revers incontestable avec le r sultat d cevant de la Conf rence sur le Changement Climatique organis e par les Nations Unies Copenhague en D cembre 2009 Pourtant dans le monde en voie de d veloppement les gens qui souffrent des cons quences du changement climatique agissent concr tement pour att nuer ses effets L action est n e de la n cessit de la prise de conscience que les vies sont en danger moins qu on agisse Des millions de gens doivent maintenant faire face un climat plus irr gulier des temp ratures plus lev es des pr cipitations impr vi sibles une fr quence accrue des inondations et des s cheresses et un plus grand nombre de ravageurs et de maladies Les gens qui vivent dans des zones arides et semi arides dans des zones inondables sur des les ou pr s des c tes sont particuli rement vuln rables Une organisation situ e Gen ve l Alliance Internationale d Action by Churches Together ACT Action commune des glises constitu e de plus de 130 organisations ayant un
13. A T Appropriate Technology de Septembre 2006 Radhakrishna Rao raconte avec quelle facilit ce syst me est install partout dans le pays L G E A Le syst me de biogaz d velopp par ARTI s est av r plus efficace pour la fabrication de m thane et d une plus grande facilit exploiter que les installations qui utilisent du fumier de b tail Les d chets alimentaires des graines provenant de n importe quelle plante de m me que les sous produits de la transformation de c r ales ol o prot agineuses non comestibles peuvent tre utilis s Selon l ARTI ces mati res organiques peuvent g n rer environ 250 kg de m thane par tonne de mati res sur la base d un poids sec Mais le plus important est que la r action ne n cessite qu une journ e pour se faire On a calcul qu il suffisait de deux kg de ces mati res chaque jour pour produire assez de gaz usage culinaire pour une famille de cinq personnes Le syst me de biogaz fonctionnant avec des d chets alimen taires l emporte favorablement compar un digesteur de biogaz familial n ces sitant au moins 40 kg de fumier par jour Celui ci aurait besoin de six huit t tes de b tail pour fonctionner ce que beaucoup de familles ne poss dent pas jit Gokhale et son syst me de biogaz qu il alimente avec des restes de nourriture a j p e Meie E a5 Es Source Ashden Awards De plus parce que le fumier demande une p riode de r tention de
14. ans et qui s est conclu en d cembre 2009 Ces r tributions de 1 5 par mois pour les adolescentes en plus du versement de 4 10 leurs parents ont r duit les taux d abandon de l cole d environ 40 pour cent Et pour chaque dollar suppl men taire qu une fille recevait au dessus d 1 l inscription augmentait d un Technologie Appropri e Vol I No 1 point de pourcentage confie Berk zler un conomiste responsable d un Groupe de Recherche et de D veloppement g r par la Banque Mondiale zler et ses coll gues chercheurs Sarah Baird de l Universit George Washington et Craig McIntosh de l Universit de Californie San Diego ont voulu analyser la meilleure fa on d utiliser les versements d esp ces connus sous le nom de Conditional Cash Transfers CCT Transferts Conditionnels d Esp ces pour stimuler les inscriptions scolaires des jeunes femmes en Afrique sub saharienne www technologieappropriee com m nages pauvres des zones rurales engag s dans la production et la commercialisation de denr es agricoles sp cifiques Pour plus de d tails contacter l International Fund for Agricultural Developement Via Paolo di Dono 44 00142 Rome Italy T l 39 0654591 Fax 39 065043463 email ifad ifad org web www ifad org Les taux d abandon sont lev s parmi les jeunes adolescentes au Malawi un des pays les plus pauvres d Afrique Une des raisons principales est le co t relat
15. ces terres pourraient tripler la production gr ce de nouvelles vari t de cultures pour terres arides qui offrent la fois des rendements plus lev s et de meilleurs r sidus de r coltes comme plus de tiges et de feuilles qui peuvent tre utilis s pour nourrir le b tail Les auteurs constatent aussi qu il faudrait investir plus pour mieux lever les animaux De mani re g n rale les auteurs demandent aux pays du G8 d honorer leur louable et fort engagement financier envers l agriculture des pays mergents par un engagement intel lectuel qui permettrait de comprendre les diff rents syst mes de production alimentaire et de d terminer o les productions agricoles ont atteint leur maximum et o elles peuvent encore progresser L article peut tre lu sur le site internet www ilri org ilrinews index php archives 1469 Pour plus d information contacter l International Livestock Research Institue PO Box 30709 Nairobi 00100 K nya T l 254 20 422 3000 Fax 254 20 422 3001 email MHerrero cgiarorg Web www ilri org Energie renouvelable Les syst mes de biogaz utilisant des d chets alimentaires sont pl biscit s En 2006 l Appropriate Rural Technology Institute ARTI situ Pune en Inde a gagn le Prix Ashden pour l laboration d un syst me de biogaz qui utilisait des d chets alimentaires plut t que le fumier du b tail pour produire du gaz usage culinaire Voir
16. continuer b n ficier des r sidus de l Aflasafe La production On estime environ 15 20 le traitement pour un hectare Le co t unitaire serait inf rieur si l Aflasafe tait fabriqu pour la commercialisation pour le moment il est fabriqu en laboratoire et l ann e derni re on a produit deux tonnes d Aflasafe Il est possible de produire l Aflasafe localement L objectif est de donner la licence de la technologie un chef d entreprise fiable du Nig ria qui pourrait fabriquer le produit en masse et le vendre Un plan de MT Vs Technologie Appropri e Vol I No 1 ER De La joie d un ma ssiculteur montrant un n pot d Aflasafe avani le traitement de son champ d veloppement est actuellement labor avec l AATF Les b n fices Les b n fices nets devraient tourner autour de 100 par hectare avec la vente d un ma s qui r pondrait aux normes de qualit des industriels Les b n fices pour la sant gr ce la r duction des aflatoxines pr sents dans la nourriture seront substantiels et rentables La r duction du nombre de cancers du foie dans les groupes vuln rables surtout parmi les femmes et les enfants fera conomiser de tr s fortes sommes d argent rien qu au Nig ria Il existe un march int ressant pour du ma s exempt d aflatoxine et de grandes soci t s agro industrielles conscientes de l importance de la qualit font beaucoup d efforts pour se procurer ce type
17. exemple voici quelques unes des opinions exprim es par des scientifiques agronomes au Royaume Uni Elles ont t publi es dans le magazine Farmers Guardian Des strat gies similaires Patrick Holden directeur de la Soil Association Association britannique de promotion de l agriculture biologique qui repr sente des fermiers biologiques a dit que nous devons minimiser l utilisation des intrants non renouvelables y compris l engrais azot et le p trole Cela signi fiera un retour la fertilit par la rotation des cultures Cela par contre changera radicalement les rendements Nous viserons une baisse de 40 en c r ales avec la part du lion allant aux tres humains plut t qu la consom mation animale une quantit accrue de l gumes et la fin de la production intensive de viande blanche Il pense que la majorit de la viande devra provenir de ruminants nourris au fourrage La production et la distri bution de l alimentation de base indig ne sera beaucoup plus localis e et saisonni re mettant fin la folie du commerce mondial portant sur une nourriture que nous pouvons faire pousser nous m mes tout en augmentant notre capacit de r sistance aux chocs venus de l ext rieur Il pr dit qu au lieu d utiliser de grandes quantit s de c r ales de l gumes secs et de r sidus d ol o prot agineux pour nourrir la volaille et les porcs celles ci iront directement la consommatio
18. fantastiques stockeurs de carbones L agriculture serait vue comme une aide pour r soudre les d fis pos s par le changement climatique L opinion des fournisseurs Le Dr Julian Little pr sident de l Agricultural Biotechnology Council Conseil de Biotechnologie Agricole qui repr sente les principales compagnies de l agro industrie d clare Les p nuries d eau dans le monde co tent d j des milliards de Livres Sterling chaque ann e cause de r coltes insuffisantes bien avant 2020 on disposera la fois de cultures www technologieappropriee com r sistant la s cheresse et de vari t s forts rendements avec un apport r duit en engrais Il recommande que les fermiers des pays riches prennent de l avance pour aider faire face aux probl mes de s curit alimentaire Pour cela les fermiers doivent avoir acc s tous les outils disponibles tels que les modifications g n tiques afin de produire plus de nourriture sur un plus long terme Richard Ashworth Membre du Parlement Europ en a dit que d ici 2020 de nouvelles priorit s de d penses telles que la s curit nerg tique le changement climatique et le contr le de la migration seront en concurrence pour une part du budget de l Union Europ enne Mais d ici 2020 il y aura un milliard de bouches suppl mentaires nourrir et la mise en garde des Nations Unies sur la pauvret alimentaire mondiale sera devenue une
19. femme et ses enfants Il a commenc par travailler comme agent de s curit dans une r sidence priv e tout en cultivant une parcelle de terre de 150 m2 proximit de sa maison Mais il dit que a n a jamais t suffisant pour couvrir les besoins alimentaires vestimentaires et m dicaux de base de ses quatre enfants Le salaire moyen de Mahmoud en tant qu agent de s curit est de 200 000 CFA par an soit approximativement 400 US Afin d accro tre son revenu annuel il a d cid de faire plus de jardin mais il tait sceptique quant l arrosage d une parcelle plus grande Il raconte qu il a vu la t l vision une publicit sur les pompes d irrigation KickStart MoneyMaker connue localement sous le nom de nafasoro et qu il a d cid d en acheter une Il n avait pas l argent et il a donc demand un pr t son patron Tous les deux s accordaient penser que c tait un bien qui permettrait un retour sur investissement rapide et rentable Mahmoud a achet la pompe en Octobre 2008 Depuis lors il a presque doubl son revenu annuel de 400 US 700 US par la vente de fruits et de l gumes Gr ce cet apport d argent suppl mentaire il peut rembourser quelques dettes tout en subvenant aux besoins de sa famille 16 www technologieappropriee com Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Un purateur d eau pour le grand public D apr s un rapport de l UNPD plus d un milliard de gens dans le monde n ont pas acc
20. le sommet surveillez le changement de couleur des feuilles Mettez les bambous dans un bidon pour r cup rer le surplus de pr servateur s coulant des www technologieappropriee com PRACTICAL ACTION Technology challenging poverty cannes Cette m thode peut tre utilis e la place de la m thode de Boucherie quand il y a juste quelques cannes traiter La m thode de Boucherie Cette m thode doit tre appliqu e sur des bambous frais le jour m me o ils sont coup s ou alors ils faut les conserver sous l eau Le pr servateur p n tre l int rieur du bambou par un processus de pression que l on peut cr er gr ce une pompe air ou une tour Dans ce dernier cas un bidon contenant le pr servateur est mis sur une tour de 4 6 m de hauteur et reli l extr mit des bambous par des tubes voir Croquis 2 et des colliers Au d but de la s ve s coulera de l extr mit inf rieure avec tr s peu de pr servateur La concentration du pr servateur dans cette s ve augmentera au fur et mesure de l coulement Cette s ve doit tre r cup r e Elle pourra tre utilis e de nouveau si on ajoute du pr servateur pour atteindre la concentration initiale La canne est pr te quand le pr servateur s goutte l autre extr mit du bambou Cela prend environ une heure V rifiez cela vous m me colorez le pr servateur pour pouvoir juger du r sultat ou utilisez un morceau de papier r ac
21. le manioc Traditionnellement en Sierra Leone les tubercules de manioc sont r colt s bouillis et consomm s Les limites de son utilisation conduisent souvent des trop pleins pendant les p riodes de fortes r coltes il y a donc peu d incitation augmenter la production Cela change car un programme de construction de centres de transformation a augment la demande pour les produits d riv s du manioc L image du manioc per u comme une culture r duisant la pauvret et assurant une s curit alimentaire a t relanc e avec la mise en service de cinq nouveaux centres de transformation Ces centres localis s dans cinq communaut s diff rentes devraient permettre de valoriser le manioc et donc ainsi stimuler sa production et engendrer de la richesse Les centres ont t fond s par le Common Fund for Commodities CFC Fonds Commun pour les Produits de Base avec un soutien de l International Institute for Tropical Agriculture ITA Institut International d Agriculture Tropicale le Sierra Leone Agricultural Research Institute SLARI Institut de Recherches Agronomes de Sierra Leone ainsi que d autres partenaires Cela am liorera aussi les moyens d existence et les revenus des fermiers et autres intervenants dans l industrie du manioc d clare le Professeur Lateef Sanni coordinateur de projet du Fonds Commun de Marchandises Et surtout cela cr era des march s et g rera la production de man
22. les fermiers ont dit que la raison principale pour laquelle ils voulaient d velopper une diversit un niveau local tait qu ils pensaient que l utilisation des semences hybrides les rendraient d pendants des firmes productrices de semences Des politiques portant sur les droits de propri t qui prendraient en consid 38 ration les besoins diff rents des hommes des femmes et des enfants ont aussi t vues comme une priorit Selon Pimbert Une conclusion importante du jury de fermiers est que la recherche bas e sur l acc s et le contr le de la terre tend ignorer les femmes et leurs besoins La recherche devrait prendre en consid ration les relations entre les femmes les hommes et les plus jeunes dans des tudes qui porteraient Sur qui acc s qui contr le la terre et les autres ressources naturelles Il a ajout qu il existe des diff rences nettes entre les opinions des citoyens et ce que les chercheurs agronomiques font et pensent par exemple l impor tance que les fermiers accordent l agro cologie qui prend en compte la ferme dans son ensemble plut t que les pr oc cupations plus limit es des chercheurs Pimbert pense que la recherche agronomique a r guli rement n glig les approches int gr es qui prennent en compte la complexit des fermes africaines et les comp tences des gt T4 has i ls z e Tr ma a bai s4 i ms b a b BE AT fermiers africains et
23. lien avec une glise principalement dans les pays mergents a rendu un excellent rapport Agir face au changement climatique Le rapport est constitu d tudes de projets dans 14 pays mergents Il pr sente les diff rents combats men s par les populations pour tre moins vuln rable face au changement climatique Les tudes de cas montrent qu alors que les probl mes sp cifiques rencontr s par les gens varient norm ment ce sont les connaissances et les ressources locales l ing nuit qui sont le point de d part de l att nuation et de l adaptation au changement clima tique Mais les gens qui doivent se battre tous les jours pour gagner leur vie peuvent ne pas tre conscients de l urgence agir pour s attaquer au changement climatique Une plus grande sensibilisation aux probl mes 24 est donc importante Une des tudes du rapport montre comment un projet dans le nord ouest du Bangladesh cherche donner plus de poids et de responsabilit s aux communaut s dans le but d att nuer le changement climatique gr ce une meilleure prise de conscience plus de savoir et de comp tences Et dans l Etat indien d Orissa les Equipes de Gestion des Catastrophes ont t form es au niveau des villages pour responsa biliser les gens par le biais d une plus grande sensibilisation aux probl mes et des comp tences de secourisme A Burma la prise de conscience du r le jou par la ligne de par
24. mais rien ne sera fait si le transfert de technologie continue se faire par le haut Il est n cessaire pour les chercheurs de se pencher sur les probl mes auxquels les fermiers font actuellement face et de se servir de cela comme point de d part pour leur recherche Les fermiers et les scien tifiques doivent d velopper de nouvelles technologies ensemble sur un pied d galit A ce moment l seulement une production agricole durable pourra tre r alis e Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Nouvelles br ves Les N ations Unies projettent de soutenir l agro Industrie des p Le United Nations International Fund for Agricultural Development IFAD Fonds International des Nations Unies pour le D veloppement de l Agriculture projette de pr ter 20 millions de Dollars un programme de r duction de la pauvret en milieu rural en R publique de Zambie en stimulant le d veloppement conomique rural par la conversion des petits producteurs en fermiers faisant des b n fices Le projet va directement b n ficier 30 000 m nages de petits producteurs principalement dirig s par des femmes Le projet selon l IFAD permettra aux fermiers d acc der la technologie pour augmenter leur production et am liorer la qualit de leurs produits en triant calibrant s chant et stockant mieux Les fermiers pourront aussi prendre de meilleures d cisions commerciales en fonction de renseigne m
25. petites r tributions allou es directement aux adolescentes ont un impact immense sur leur pr sence l cole Source Banque Mondiale r tribution condition qu elles aillent l cole 80 pour cent du temps scolaire soit la m me r tribution sans condition Les autres ne b n ficiaient d aucune r tribution et faisaient office de t moins de comparaison pour l tude Les filles cependant taient manifestement motiv es par leur r tri Comment les grandes prairies aident combattre le changement climatique Selon un nouveau rapport du FAO Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture les grandes prairies ont de vastes potentiels inexploit s d att nuation du changement climatique car elles absorbent et stockent le CO2 Les p tures et les grandes prairies ont une capacit de stockage du carbone qui pourraient surpasser celle des for ts si elle tait g r e correctement Les 3 4 milliards d hectares de grandes prairies au niveau mondial couvrent 30 pour cent de la surface des terres non gel es du globe et repr sentent 70 pour cent de ses terres agricoles Ces grandes prairies peuvent aussi selon un article du Review of Evidence sur les Drylands Pastoral Systems and Climate Change Syst mes Pastoraux et Changement Climatique dans les Terres Arides jouer un r le crucial pour aider plus d un milliard de personnes qui d pendent du b tail pour vivre s adapter au changem
26. reconstituent le sol 10 Source GTZ RyGRAC www technologieappropriee com touch par l Ouragan Stan Les glisse ments de terrain et les inondations provenant des rivi res en crues ont caus des dommages consid rables l agriculture locale En 2007 le Reconstruction Project and Risk Management in Central America RyGRAC Projet de Reconstruction et de la gestion du Risque en Am rique Centrale financ par GTZ a d marr un programme pour aider les fermiers moderniser leur syst mes de culture Le RyGRAC s est aussi engag instaurer des mesures pour conserver les versants et les terrasses et am nager des digues pour s curiser les routes contre les prochaines catastrophes naturelles La cartographie Le programme a commenc avec des ateliers auxquels participaient des villa geois des repr sentants des administra tions municipales de m me que des institutions nationales et le RyYGRAC Lors de ces r unions de villages 34 en tout les zones les plus sujettes aux inondations aux glissements de terrain et aux feux de for ts ont t identifi es tudi es ont fait l objet de discussions et un ordre de priorit a t tabli en fonction du niveau de risque Une cartographie des risques a t effectu e indiquant toutes les zones les plus susceptibles de subir des d g ts On a de m me indiqu toutes les zones qui n cessitaient le plus des travaux de conservation pour prot ger d
27. ries et les germes causant les maladies Le syst me fabrique de l eau de boisson salubre un prix de vente r volution naire de 30 Roupies par mois pour une famille de cinq personnes Le proc d de d veloppement du produit a permis la compagnie de d poser 14 brevets Le co t d un syst me d puration d une capacit de 18 litres est soit de 999 Roubpies 21 soit de 749 Roupies 16 en fonction du mat riel Le filtre rempla able qui stoppe automatiquement la fourniture d eau apr s une dur e de vie d environ une ann e pour une famille de cinq personnes est vendu 249 Roupies 6 et peut tre utilis pour purer 3 000 litres La cartouche rempla able du Tata Swach peut purer jusqu 3 000 litres d eau apr s quoi la cartouche stoppe Technologie Appropri e Vol 1 No 1 l arriv e d eau d clare Ashvini Hiran le Directeur d exploitation des produits destin s aux consommateurs chez Tata Chemicals L purateur d eau donne l utilisateur suffisamment de temps pour remplacer la cartouche et sera vendu comme produit de grande consommation On pourra se procurer facilement les cartouches tout comme n importe quel produit de consom mation du groupe Tata Le Tata Swach est le r sultat d ann es de collaboration entre plusieurs compagnies du Groupe Tata y compris TCS Tata Chemicals et Titan Industries Bas sur un concept innovateur d velopp par la TCS Innovation Labs TRDD
28. risque d tre attaqu par les termites 1 de Dieldrine ajout e au pr servateur est efficace Cependant la Dieldrine est une mati re dangereuse et son utilisation est ill gale dans certains pays Remarque le pr servateur restant peut tre conserv dans un bidon ferm pour une utilisation future Pour plus d information contacter Practical Action The Schumacher Centre for Technology and Development Bourton on Dunsmore Rugby Warwickshire CV23 9 Z United Kingdom T l 44 0 1926 634400 Fax 44 0 1926 634401 E mail infoserv practicalaction org uk Site Internet http www practi calaction org La Pr servation des Bambous a t tir e de Building with Bamboo Constructions en Bambous un manuel de Jules J A Janssen Practical Action Publishing http development bookshop com 1995 ISBN 1 85339 203 0 a Entr e du liquide b R duction du diam tre PVC c Chambre de pression PVC 100 mm de diam tre d Sortie d air tuyau plastique souple e Emballage m tallique f Manchon en caoutchouc g Bambou Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Gestion int gr e des ravageurs Du mais de meilleure qualit avec A flasafe Appropriate Technology de juin 2009 a dit un article sur le d veloppement d une m thode sure et naturelle de contr le des aflatoxines dans les champs Les aflatoxines de puissantes substances canc rig nes sont produites par une moisissure l Aspergillus fl
29. s l eau salubre Presque 80 pour cent des maladies survenant dans les pays mergents ont un lien avec de l eau souill e ce qui est la cause de trois millions de d c s pr matur s selon un rapport de l UNESCO D apr s une tude de l UNICEF rien qu en Inde 380 000 enfants meurent chaque ann e de diarrh es Pour am liorer la salubrit de l eau de boisson le Groupe indien Tata vient de lancer un purateur d eau pour le march du grand public L eau pure est l une des ressources naturelles les plus pr cieuses au monde Avec une grande partie de la population indienne n ayant pas acc s l eau salubre la mise disposition d un syst me d puration de l eau commode et abordable financi rement est aujourd hui l un des plus grands d fis technologiques et sociaux du pays En r ponse ce d fi Tata Chemicals a lanc le Tata Swach un purateur d eau unique en son genre et innovateur Une toute premi re version du produit a tout d abord vu le jour au cours de la phase de secours du Tsunami Le filtre fabrique de l eau propre et salubre sans avoir utiliser l lectricit ou l eau courante qui ne sont souvent pas disponibles en zones rurales L eau est pur e par le biais d une cartouche rempla able qui se trouve l int rieur du Swach Elle est remplie de cendres de balles de riz impr gn es de nano particules d argent Ces ingr dients naturels bas prix ont la facult de tuer les bact
30. surtout des frais peu lev s et une grande fonctionnalit 11 g Z German Technical Cooperation Des parcelles agricoles situ es sur des versants dans la communaut de Tuimay sont prot g es par des haies vives de Setaria Me F il PONT dit on a i j j L F m ee mi z Nacre iBEE Fr m my Lux r S p LES N et QI RE ZTA TH Des familles d agriculteurs touch es par l Ouragan Stan se remettent produire leur nourriture y compris avec des arbres fruitiers Source GTZ RyGRAC La s curit alimentaire des foyers ruraux est renforc e en encourageant les fermiers conserver de petits cheptels tels que des poules pondeuses des cochons et des Pelibueys une race locale de mouton poils Source GTZ RyGRAC 12 www technologieappropriee com Les syst mes agricoles Les familles d agriculteurs n ont re u ni subvention ni pr t mais on leur a donn des pelles des binettes etc de m me que des semences et du mat riel pour fabriquer du fumier organique Les familles ont fourni leur travail et des mat riaux locaux Le projet a encourag le d veloppement et l utili sation d engrais organiques et de pesti cides permettant ainsi de moins d pendre des produits chimiques Actuellement plus de 1 700 familles d agriculteurs ont r cup r leurs terres agricoles Les fermiers ont re u des conseils sur la diversification de la production agricole qui les aidera maintenir les revenus f
31. C la technologie Swach combine des ingr dients bon march tels que les cendres de balle de riz avec une nanotech nologie avanc e L efficacit du produit a t rigoureusement test e pour r pondre aux normes de niveau international d puration de l eau Les maladies v hicul es par l eau les maladies hydriques repr sentent la seule et la plus importante menace vis vis de la sant au niveau mondial avec les diarrh es la jaunisse la typho de le chol ra la polio et les gastro ent rites propag es par l eau contamin e Selon un rapport des Nations Unies en 2007 la moiti des lits d h pitaux sont occup s par des patients souffrant de maladies hydriques En Inde ces maladies sont la cause de d c s une fois et demi plus nombreux que ceux dus au Sida et deux fois plus nombreux que les d c s caus s par les accidents de la route Dans son commentaire sur le lancement du produit R Gopalak rishnan vice pr sident de Tata Chemicals d clare que L eau potable est un droit fondamental de l tre humain Le Tata Swach combine la technologie la performance la commodit et par dessus tout l accessi www technologieappropriee com bilit des prix pour faire b n ficier de ce droit fondamental des millions de consommateurs La compagnie a fait de l accessibilit des prix une part importante des ses efforts d inno vation Le Tata Swach a un r le jouer dans les efforts internationaux qui vi
32. Email Pri re de m envoyer la facture Ci joint un ch que l ordre de Research Information Lid Veuillez d biter ma carte de cr dit d tails ci dessous Mastercard Visa Amex Vous pouvez aussi consulter notre site intemet www technolog b I n ge F per vs i Veuillez compl ter ce formulaire et le renvoyer Responsable N de carte des Abonnements Research Information Ltd Grenville Court SES l n E Britwell Road Burnham Bucks SL1 8DF Angleterre Date d expiration N de s curit T l 44 1628 600499 Fax 44 1628 600488 Email info r searchinformation co uk Nom du titulaire de la carte www lechnologieappropriee eu 7 Eur 1 EA nsi Ve cHgnature ia prs m r ia Techno Incorporant agriculture amp Equipment International International A gricultural Development R dacteur David Dixon Carpenters Chetnole Sherborne Dorset DT9 6PF UK T l 44 0 1935 872 695 dixondavid2 sky com R dacteurs Conseillers John Madeley George Macpherson Abonnements pour 2010 Individuel 52 104 US par an Tout autre abonnement 158 316 US Publi trimestriellement en Grande Bretagne par Research Information Ltd Grenville Court Britwell Road Burnham Buckinghamshire SL1 8DF UK T l 44 0 1628 600499 Fax 44 0 1628 600488 info researchinformation co uk www technologieappropriee com Droits d auteurs 2010 Tout ou partie de cette publica
33. R dacteur Conseil Les fermiers du monde entier doivent doubler leur production dans les prochaines d cennies Beaucoup d entre eux pourraient faire cela tr s facilement si on leur proposait des prix corrects mais les fermiers situ s aux deux extr mit s de l ventail technique et conomique font face d normes changements Pour les plus pauvres cela pourrait signifier moins de main d oeuvre plus de m canisation et de connaissances scientifiques Une grande part de cela d pendra des prix qu on leur payera La sur production des pays riches et le d versement des surplus qui en r sultent sur les march s mondiaux a rendu impossible la survie des fermiers de subsistance Ils ne pouvaient pas tre comp titifs Ils ont du faire des choix douloureux rester agriculteurs et mourir ou aller chercher du travail dans les villes Les fermiers riches font face d autres d fis Certaines de leurs m thodes actuelles d truisent les ressources de base de leur agriculture la terre l eau et m me le climat Leurs m thodes d pendent des combustibles fossiles qui vont finir par s puiser ils hp me a boat 34 devront donc utiliser moins de combustible et peut tre employer plus de main d oeuvre Et pourtant dans les ann es venir les fermiers du monde entier doivent absolument trouver comment nourrir une population sans cesse croissante fournir des fibres pour la confection l isolation et l industrie
34. U5 104 Veuillez d buter mon abonnement avec l dition de Jan Mar Awr Jui Jui 5ep Oct Dec Les num ros trimestriels sont dit s en mars juin septembre et d cembre Vous pouvez connaltre des individus des coll gues et des amis dans les pays en vole de d veloppement qui trouveraient la Technologie Appronri e une ressource d information valable et vie changeante Pour Les aider eux m mes aider par la connaissance et les conseils que peut fournir Technologie Appropn e envisagez de leur placer un abonnement commandit C est disponible au taux personnel nous exp dierons les num ros par la livraison par avion directement au b n ficiaire PAIEMENTS Je joins un mandat ou un ch que pour le ou US Payable Research Information Ltd Veuillez facturer moi o mon organisation virera les frais d abonnement a votre compte bancaire Veuillez debiter mon Visa Mastercard Access American Express Nombre de carte Date d expiration d ch ance Nom surla carte eersssescscerce SOUS Si vous payez par carte de cr dit donnez svp absent l adresse du titulaire de carte si diff rent de l adresse de livraison ORGANISATIONS RESIDENTS de l UE Notre num ro de TVA EST dc suussss Nous ne sommes pas inscrits la TVA ne eme ee au ns et rent CFO ADO anioien E aires cordes de nc es A er QTESSE SNS SE RTE NE D I CE COS DOS vos AE o i dans as ra ar E ne ENE es due ee EA TE EE RP E a ns ee L
35. ablissements A Bangalore plusieurs grands b timents industriels projettent maintenant d installer des syst mes de biogaz utilisant des d chets culinaires pour r gler le probl me des r sidus alimentaires et produire aussi une nergie propre pour la cuisine de leurs restaurants d entreprise et de leurs caf t rias Ram Kumar pense que pour les sites industriels et les enclaves r sidentielles comprenant des caf t rias ce serait tr s avantageux d installer des syst mes de biogaz utilisant des d chets de cuisine Mais il insiste sur le fait qu il faudra faire tr s attention bien s parer les d chets organiques des autres produits non biod gradables Les technologies d ARTI ont t expos es au salon professionnel de Jinja en Ouganda Elles ont re u un prix du m rite De m me des coles de Tanzanie ont manifest leur int r t Les technologies d ARTI les plus connues peuvent tre visionn es sur des vid os et des CD Elles donnent des d tails tape apr s tape et sont disponibles aupr s d ARTI en Inde Pour plus d information contacter ARTI Maninee Apartments Survey N 13 Dhayarigaon Pune 411041 Maharashtra Inde T l 91 20 24390348 email contact arti india org web www arti india org g Z German Technical Cooperation Reconstruction apr s l ouragan Stan les fermiers guat malt ques relancent leur production En Octobre 2005 l Am rique Centrale et Mexico ont t d v
36. acilement disponible au Nig ria o la technique serait appliqu e pour la premi re fois en Afrique Le r sultat est Aflasafe www technologieappropriee com Source R Bandyopadhyay Le traitement L Aflasafe consiste en grains de sorgho qui ont t colonis s par quelques nanogrammes de souches bact rio logiques non toxig nes Les grains sont pandus la main dans les champs une densit de 10 20 kg par hectare environ deux trois semaines avant la floraison du ma s En deux trois jours les souches bact riologiques non toxig nes se mettent produire des spores et cela pendant encore trois semaines Les spores non toxig nes colonisent les mati res organiques et les r sidus d autres plantes dans le sol en lieu et place des souches bact riologiques qui produisent des toxines Les spores non toxig nes sont transport s dans les airs et par les insectes de la surface du sol jusqu aux pis de ma s rempla ant ainsi les souches bact riologiques toxig nes Il en r sulte une faible production d aflatoxines Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Le Dr Bandyopadhyay pense qu il faudra appliquer l Aflasafe une fois par an Nous savons que plus de 50 pour cent des souches bact riologiques non toxig nes sont pr sentes l ann e suivant le traitement l Aflasafe Nous rassem blons plus de donn es pour savoir si les fermiers peuvent faire l impasse d une ann e ou deux de traitement et
37. adhu Bhattarai Les le ons tir es de l adoption des pompes p dales actionn es par l homme dans les sites exp rimentaux du projet seront utiles d s lors que les gouverne ments nationaux et les agences de d veloppement envisageront des strat gies de propagation d une meilleure technologie En fin de compte un plus grand nombre de fermiers de la r gion pourront profiter d une red finition des technologies de la micro irrigation Le Dr Madhu Bhattarai est cono miste agronome l AVRDC et le Dr Manuel Palada est chercheur la retraite et a travaill sur la gestion des cultures et de l cosyst me Pour plus d information contacter le Dr Madhusudan Bhattarai AVRDC The World Vegetable Center Headguaters P O Box 42 Shanhua Tainan 74199 Ta wan T l 886 6 5837801 Fax 886 6 5830009 Email madhu bhattarai worldveg org web wwWw avrdc org Pour obtenir des d tails sur les pompes MoneyMaker contacter KickStart Mali Rue 19 Porte 96 Badalabougou Est BP EIG62 Bamako Mali T l 223 222 40 05 ou 223 223 74 22 Fax 223 222 34 59 E mail nafasoro kickstart org web www kickstart org Mahmoud Guindo Mahmoud Guindo s est battu pendant des ann es pour arriver joindre les deux bouts Ce Malien de 48 ans du Pays Dogon a subi la vie cr dit et a d emprunter des amis Il a d m nag Bamako la capitale du Mali il y a onze ans la recherche d un travail pour faire vivre sa
38. ales au sein des Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Pays Emergents En annon ant la d cision des 22 pays Jorge Taiana le Ministre des Affaires Etrang res et du Commerce International en Argentine a dit que les probl mes de n gociations commer ciales n existaient pas au sein des pays mergents Nous pouvons parvenir des accords nous pouvons travailler ensemble nous pouvons faire progresser nos ordres du jour a t il ajout Le GSTP des pays mergents n est pas chose nouvelle L id e est n e Mexico en 1976 quand le Groupe des 71 pays mergents a exprim le besoin d un syst me de pr f rences commer ciales en leur sein A Arusha et Caracas le Groupe a par la suite formul les principes qui sous tendent le GSTP En juin 2004 au Br sil les ministres des pays ayant particip au GSTP ont adopt la D claration de Sao Paulo et initi une s rie de n gocia tions commerciales dans la D claration de Sao Paulo Vingt deux pays envisagent maintenant un ensemble d engagements substantiels sur la lib ralisation du commerce pour venir en aide leur conomie Le commerce entre les pays AF gt Au Sri Lanka un projet cn la plantation d arbres et la rodu ti n d lectricit vise r duire la vuln rabilit en encourageant les populations rurales planter des arbres qui serviront de mati re premi re aux gazog nes fabriquant de l lectricit Technologie Approp
39. amen e une grande diff rence jusqu ce que les fermiers se mettent valoriser leurs produits Un rapport de Gilbert Muhanii On estime que sur la totalit des fruits produits dans l ouest du K nya princi palement des bananes et des ananas plus de 60 sont perdus apr s la r colte laissant seulement un tiers pour la vente sur les march s locaux et dix pour cent consomm s par les m nages Bien qu il existe un march lucratif pour les fruits frais les tentatives de ventes des surplus de fruits ont t contrecarr es par des courtiers qui cherchaient exploiter les producteurs pendant que les fruits s abimaient sous un soleil torride ou cause d une m t o pluvieuse Cette situation cependant est maintenant en train d voluer gr ce l introduction du s chage solaire qui transforme les moyens d existence et redonnent confiance aux fermiers qui voient d sormais la production de fruits comme une activit rentable Partenariats En 2008 l ONG Africa Now L Afrique Maintenant s est vue allou e une subvention pour une dur e de trois ans par le Maendeleo Agricultural Technology Fund MATF Fonds Maendeleo pour la Technologie Agricole de la FARM Africa Cette action a appuy plus de 68 initiatives dans toute la partie Est de l Afrique avec des subventions sur deux trois ans pour venir en aide aux petits exploitants agricoles Le projet d Africa Now en collaboration avec de bons partenariats proj
40. amiliaux Les syst mes de production agricole portent sur les arbres fruitiers comme les orangers les mandariniers les citron niers lime les manguiers les avocatiers les nances arbres qui produisent des fruits jaunes et sucr s des pommiers et des p chers Certains fermiers produisent aussi des l gumes dans des jardins ou des champs pour diversifier leur production et assurer une s curit alimentaire Les cultures les plus r pandues sont les pommes de terre les courges les tomates les choux les brocoli les haricots le cilantro coriandre et les radis Le RyGRAC GTZ organise le r tablissement et la r valuation des populations naturelles et des cultures end miques en particulier le ma s les haricots les arachides les citrouilles et autres vari t s Cette d marche est r alis e par le biais de foires exposition et de salons faisant la promotion de semences end miques Cela donne aux familles de la r gion la possibilit de se rencontrer et d changer des vari t s avec des fermiers qui peuvent ensuite les faire pousser sur leurs propres terres Le projet a encourag la conser vation et la gestion de cheptels pr sent s comme une autre fa on d am liorer la s curit alimentaire des familles rurales Ce programme inclut de petits animaux tels que des poules pondeuses des porcs et des Pelibueys une race locale de moutons poils Non seulement la famille peut se nourrir mais elle peut a
41. ant des diff rentes caf t rias du site d clare Brij Sethi le vice pr sident de l Environmental Division ci Waste Me j tomrcct Bio gas Plant C NIE CREST 4 Le syst me de biogaz install par le Centre For Renewable Energy and Sustainable Technologies Centre des Technologies Appropri es et des Energies Nouvelles et Renouvelables CREST une branche de l Institut National des Sciences Appliqu es NIE Il fournit aujourd hui du gaz usage culinaire un restaurant d entreprise Technologie Appropri e Vol I No 1 Source ARTI www technologieappropriee com de Wipro le syst me transforme environ chaque jour 200 kg de d chets alimentaires en biogaz et de ce fait conomise la consommation de 16 bouteilles de gaz Il a aussi remarqu que l limination des d chets la source et la production lente de boues repr sentent d autres avantages L entreprise indienne TCS soci t leader de conseils et de logiciels sur son site de Yankra la p riph rie de Mumbai utilise un syst me de biogaz d une capacit d une tonne par jour Fort du succ s de cette installation nous envisageons de mettre en oeuvre des projets semblables sur tous nos nouveaux sites ainsi que dans nos tablissements d j existants a d clar Pratik D Deshpande Directeur de l environnement de la s curit et de la sant On pr voit maintenant un syst me de biogaz dans les projets des nouveaux t
42. apr s eux se rentabiliser en 2 ou 3 ans Et en d pit de frais de d part plus lev s les syst mes solaires durables devraient tre plus conomiques long terme que les syst mes d irrigation moins on reux qui utilisent les pompes p trole gasoil ou essence avec l avantage suppl mentaire de ne pas mettre de gaz aoutent ils Selon Burney se concentrer sur les nouvelles technologies d irrigation destin es l agriculture pourrait tre la solution qui permettrait d chapper la pauvret dans l Afrique sub saharienne Le syst me photovolta que d irri gation goutte goutte pourrait tout fait changer la donne du d veloppement agricole au fil des ans Selon Naylor l irrigation solaire fournit une source d nergie plus propre moins sensible aux fluctuations des prix mondiaux Une meilleure productivit de l agriculture dans les pays mergents peut Jouer un r le crucial dans la r duction de la pauvret au niveau mondial et les technologies qui am liorent la productivit am nent l espoir des foyers qui ont toujours connu la pauvret Le CC En L OLEMBATAT 2 ge AL il wa Les autres co auteurs de l tude PNAS sont Lenmart Woltering et Dov Pasternak de L International Crops Research Institute for the Semi Arid Tropics ICRISAT Institut International de Recherche sur les Cultures pour les Tropiques Semi Arides au Niger et Marshall Burke du Departement of Ag
43. aris es C est peut tre judicieux d apporter un soutien direct aux adolescentes a confi zler Les chercheurs m nent actuellement des tests compl mentaires et des tudes au Malawi pour d ter miner entre autres choses l impact du programme sur les connaissances en math matique et en lecture Pour plus d information contacter The World Bank 1818 H Street NW Washington DC 20433 USA T l 202 473 1000 fax 202 477 6391 web www worldbank org 72 Vs se da ari atg A x U A le P TT EY Les grandes prairies ont de vastes potentiels inexploit s d att nuation du changement climatique car elles absorbent et stockent le CO2 Les p tures et les grandes prairies ont une capadit de stockage du carbone qui pourraient surpasser celle des for ts si elle tait g r e correctement 5 L Credit ILRI vivant de l levage Selon certaines estimations les grandes prairies sont aussi importantes pour la sauvegarde de la biodiversit car leur biodiversit potentielle est seulement un peu moins lev e que celle des for ts Mais il y a aussi des indications que la quantit d esp ces d animaux de micro organismes pr sents dans le sol et de vari t s de plantes que l on trouve dans les prairies d cline de mani re alarmante cause d une mauvaise gestion d une utili sation diff rente des terres et plus r cemment du changement climatique Technologie Appro
44. ast s par l Ouragan Stan Les pluies torrentielles les inonda tions et les glissements de terrain caus s par la temp te ont fait des milliers de morts et pr s d un demi million de sans abris D vastant tout sur son passage du sud de Mexico jusqu au Salvador les experts ont d crit l ouragan comme la pire catastrophe qui ait frapp la r gion depuis l Ouragan Mitch en 1998 Au Guatemala beaucoup de dommages ont t caus s aux terres agricoles les petits cultivateurs tant particuli rement gravement touch s En 2007 la German Technical Cooperation GTZ Agence de Coop ration Technique Allemande a lanc un programme de r habilitation Les populations pauvres des r gions rurales du Guatemala sont tr s vuln rables aux catastrophes naturelles comme l Ouragan Stan parce qu un manque de bonnes terres agricoles a oblig un grand nombre d entre eux par du fil de fer et garnis de terre J A Al Tag 4 LA SA Les routes et les ponts sont stabilis s avec des digues constitu es de vieux pneux reli s entre eux Les effondrements et les ravins sont combl s avec des troncs d arbres et de vieux pneux Les s installer sur des terres qui ne con viennent pas l agriculture et qui sont tr s sujettes aux inondations et autres glissements de terrain Le Bassin de la Rivi re Cuilco l Ouest du Guatemala a t s v rement Source GTZ RyGRAC m r sidus de plantes y restent et progressivement
45. avus et contaminent habituellement des r coltes alimentaires telles que les arachides le manioc l igname et le ma s Des chercheurs de l International Institute of Tropical Agriculture IITA Institut International d Agriculture Tropicale et leurs partenaires ont d couvert un cousin de l Aspergillus flavus qui non seulement ne produit pas de toxines mais en plus s oppose aux souches productives d aflatoxine et les limine Commercialis sous le nom d Aflasafe il est actuellement test par les fermiers Les fermiers nig rians qui ont particip aux essais d Aflatoxine sur leurs cultures de ma s disent que la qualit de leurs grains de ma s s est sensi blement am lior e Avec le traitement l Aflasafe mes pis de ma s sont plus propres atteste Christie Kpatuwak un ma siculteur de d Etat de Kaduna Un autre fermier Sanusi Liman de Zaria ajoute Depuis le traitement l Aflasafe la qualit de mon ma s s est vraiment am lior e avec des grains plus propres Les grains n ont pas de trace de maladie sur eux comme auparavant Les essais qui sont men s sur rau q Le i w k i M A Technologie Appropri e Vol I No 1 Des fermiers traitant un champ de ma s avec l Aflasafe environ 85 hectares de terres agricoles dans tout le Nig ria sont coordonn s par le Kaduna State Agriculture Development Programme Programme pour le D veloppement de l Agriculture dans l Etat d
46. chets alimentaires afin de pouvoir fournir un carburant propre leurs restaurants d entreprise et se d bar rasser du probl me de l limination des d chets alimentaires Par exemple Velankanni Tech Park VTP qui emploie 4 000 personnes produit plus de 100 kg de d chets alimentaires par jour Ils avaient recours un entre preneur ind pendant pour l limination des d chets Avec l aide d EGS un syst me de biogaz utilisant les d chets de cuisine d une capacit de 250 kg de d chets par jour a t install pour une somme de 50 000 Roupies 1080 Non seulement nous conomisons 200 Roupies par jour avec l limination des d chets mais nous produisons aussi environ 25 kg de gaz usage culinaire Nous conomisons environ 20 000 Roupies par mois confie V S Gangadhar Rao de VTP EGS aide aussi le Vydehi Institute of Medical Sciences and Research Centre Centre de Recherches et Institut des Sciences M dicales de Vydehi Bangalore installer un syst me de biogaz d une capacit de 300 kg Pour Ram Kumar les syst mes traitant de grandes quantit s peuvent aussi gagner des recettes suppl mentaires pour les cr dits carbone Wipro le g ant de la technologie de l information et des logiciels utilise aussi un syst me de biogaz d une capacit de trois tonnes pour son site Bangalore Nous avons vu cela comme une grande opportunit pour r utiliser les d chets alimentaires proven
47. de c r ales Un partenariat avec ces soci t s se d veloppe et on esp re amener les fermiers jusqu ce cr neau de i 2 jaa 7 F T JE ai L Mar WE TTL EAR he Mis i www technologieappropriee com ps Pa We ae VE WU PNY premi re qualit qui se chiffre en centaines de milliers de tonnes et en m me temps r duire l aflatoxine dans le ma s qu ils ont cultiv pour eux m mes ce qui am liorerait la sant de leur famille La r duction de la contamination par l aflatoxine contribuera aussi r duire des pertes li es au commerce mondial estim es 1 2 milliard de Dollars am ricains Les conomies africaines perdent environ 450 millions de Dollars am ricains par an cause de la contamination par l aflatoxine Sa pr sence emp che en effet tout commerce international car les produits agricoles qui d passent les niveaux de contamination admissibles sont exclus du march mondial Pour plus d information contacter le Dr Ranajit Bandyopadhyay IITA PMB 5320 Ibadan Nig ria T l 234 2 7517 472 Fax INMARSAT 873761798656 Email r bandyopadhyay cgiar org web www iita org Wi nni Source R Bandyopadhyay 33 Agriculture Une agriculture appropri e ces dix prochaines ann es Dans les dix ann es venir les fermiers du monde entier feront face des d fis dans leur mani re de cultiver et de produire la nourriture Un commen taire de George Macpherson
48. e canne On parlera d abord des m thodes traditionnelles ou non chimiques et ensuite des m thodes chimiques Tous les proc d s sont efficaces s res et rentables 28 Les m thodes traditionnelles Les avantages de ces m thodes sont un co t modique et une r alisation sans quipements sp ciaux Le durcissement d un massif Les cannes sont coup es mais laiss es sur place en position verticale L vaporation des feuilles r duit la quantit d amidon et donc les attaques de scarab es Cependant les attaques de termites ou la pourriture persistent L enfumage Le bambou est plac au dessus d un feu La fum e va noircir la canne et pourrait aussi provoquer des fissures On peut mettre des doutes sur l effet de long vit Le trempage Les cannes sont mises imm diatement apr s la r colte dans de l eau ou de la boue avec des pierres sur le dessus pour les y maintenir On les y laisse pendant plusieurs semaines et ensuite on les fait s cher une semaine enti re l ombre pas au soleil Le s chage Il faut ass cher le bambou On obtient cela en le laissant l air libre sous abri avec autant de mouvements d air que possible Cela peut prendre un ou deux mois Une derni re remarque g n rale si la population locale a l habitude d utiliser du bambou elle conna tra mieux les diff rences de long vit naturelle entre toutes les esp ces locales de bambous de m me que l effi cacit des trait
49. e Appropri e Vol 1 No 1 l ann e rapporta Rosamund Naylor directrice du programme sur la s curit alimentaire et l environnement et professeur de sciences environnemen tales Stanford Et en ce qui concerne le revenu des m nages les chercheurs ont trouv que les femmes qui utilisaient l irrigation nergie solaire produisaient d impor tantes quantit s de l gumes et gagnaient un revenu suppl mentaire gr ce leurs ventes ce qui leur permet tait d accro tre sensiblement au cours de la saison s che leurs achats de denr es fortement prot in es et autres produits de premi re n cessit Les avantages du projet se sont rapidement r pandus parmi les membres d autres communaut s rapporte Burney Par exemple dans une cole l mentaire les enfants du village ont suivi un cours pour apprendre quels taient les avantages de la technologie solaire de l irrigation goutte goutte Et elle ajoute le nouveau syst me donnait aux professeurs aux enfants et aux femmes ayant particip au groupe de fermiers un immense sentiment de fiert La durabilit Selon les chercheurs chaque syst me nergie solaire d irrigation goutte goutte couvre environ 1 24 acres 0 5 ES MORE NS t Mt OR SR RE hectare co te peu pr s 18 000 l installation et n cessite environ 5 75 par an pour l entretien Calcul selon les recettes pr visionnelles des fermiers le syst me devrait d
50. e Kaduna et financ s par l African Agriculture Technology Foundation AATF Fondation Africaine pour les Technologies Agricoles et par le projet MycoRed de l Union Europ enne La National Agency for Food and Drug Administration and Control NAFDAC Agence Nationale de Contr le de la Nourriture et des M dicaments voit l am lioration de la qualit des grains comme une avanc e www technologieappropriee com bienvenue Elle ajoute que la r duction des aflatoxines dans les grains profitera au pays de plusieurs mani res y compris par l am lioration de la sant et des revenus Les r sultats sur le terrain nous impressionnent et une derni re analyse est en cours Une r duction de la contamination par l aflatoxine signifie une am lioration de la nutrition et de la sant chez les fermiers constate le Dr Ranajit Bandyopadhyay l un des pathologistes d IITA qui m ne les essais Ces derniers ont d montr que l Aflasafe peut r duire la concentration d aflatoxine dans le ma s de 60 96 pour cent la r colte et au stockage Source R Bandyopadhyay 31 Gestion int gr e des ravageurs CE Un contr le naturel Les populations naturelles d Asperfillus flavus consistent en souches bact rio logiques toxig nes qui produisent de grandes quantit s d aflatoxine et des souches bact riologiques non toxig nes En introduisant des s lec tions de souches bact riologiques end miques non toxig nes
51. e qu eux seuls les m dicaments contrefaits pour le traitement du paludisme et de la tuber culose tuent 700 000 personnes chaque ann e C est l quivalent de quatre jumbo jets en pleine charge qui s craseraient tous les Jours Le rapport met nu le probl me sans cesse croissant des m dicaments contrefaits et ne r pondant pas aux normes qui peuvent constituer un tiers du lot th rapeutique dans certains pays africains Ces m dicaments douteux entrainent des d c s inutiles et des niveaux lev s de r sistance aux m dicaments Le rapport met en vidence des preuves plus choquantes telles que m Presque la moiti des m dicaments vendus en Angola au Burundi et au Congo ne r pondent pas aux normes m Environ deux tiers des traitements par artesunate anti palud en au Laos au Cambodge au Myanmar et au Vietnam ne contiennent pas suffisamment de principe actif m La plupart des m dicaments contre faits proviennent de Chine et d Inde Les tentatives actuelles pour lutter contre ce probl me par des r glements plus durs et des sanctions p nales ne visent pas les causes premi res de la contre fa on Pire beaucoup de pays ont des syst mes juridiques et r gle mentaires corrompus qui sont facilement exploit s par les criminels de la contre fa on de nouvelles lois ne feraient qu accro tre la corruption Les gouvernements exacerbent aussi le probl me avec les taxes et les droits de douane qui au
52. effet encourageant que le Comit sur la S curit Alimentaire Mondiale de l Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture ait r cemment fait un geste dans cette direction en modifiant la fa on dont ils discutent et se mettent d accord sur les politiques de s curit alimentaire Maintenant ce ne sera pas seulement les id es des conomistes des scientifiques et des politiques mais 1l y aura aussi celles des soci t s civiles et des organisations non gouvernemen tales en particulier les organisations repr sentant les petites fermes familiales les p cheurs les leveurs ceux qui n ont pas de terre les pauvres des villes les ouvriers agricoles et les ouvriers travaillant dans l alimentation les femmes les jeunes les consomma teurs et les natifs des r gions qui se Joindront tous leurs d lib rations Une autre volution dans ce sens se trouve dans les r unions tenues r cemment en Inde et dans l Ouest de l Afrique Dans cette publication de Technologie Appropri e nous avons parl des jurys citoyens pendant lesquels les fermiers et les leveurs ont eu leur mot dire sur l avenir de la recherche portant sur l agriculture et la nutrition en posant des questions et en gt y i Source Anitha Pailoor www technologieappropriee com lan ant des d fis aux chercheurs aux politiciens et aux repr sentants des entreprises agro industrielles sur leurs politiques et l
53. ements traditionnels pour toutes sortes d utilisation Les traitements chimiques Beaucoup de produits chimiques sont utilis s pour pr server le bois et le bambou Nous parlerons des plus r pandus Le CCA Composition Cuivre Chrome Arsenic dans la proportion de 3 1 4 est bon pour le bois mais pas pour les gens Les CCB et CCBF sont meilleurs B bore On trouve ASCU dans leurs d nominations commer ciales La concentration de la solution en eau devrait tre approximativement du m me pourcentage que celui de la r tention il s agit d une indication c d la quantit de kilos de produits www technologieappropriee com chimiques secs pr sents dans un m tre cube de bambou apr s traitement m en contact avec l air et le sol 8 12 m en contact avec l air mais pas le sol de 5 8 m sous abri bottes pannes 4 m sous abri toiture etc 3 M thode proc d modifi de Boucherie c d avec des pompes air dont la dur e en heures est gale aux pourcentages de r tention et de concentration cela encore est une indication approximative Pr cautions La plupart des pr servateurs sont toxiques Evitez tout contact avec la peau Portez des gants pour manipuler les pr servateurs et les bambous trait s tant qu ils sont humides Quiconque ing rera du CCA ou de l Octabor devra boire beaucoup d eau le lait est m me pr f rable et on l obligera vomir mettez les doigts a
54. enant d ailleurs Beaucoup de communaut s avaient d j utilis ces mat riaux auparavant Les digues construites avec de vieux pneux ont des avantages compar aux gabions ou au b ton Elles durent longtemps car elles supportent le climat elles sont souples elles laissent l eau les submerger sans affaiblir leur r sistance et il est facile de les riger et de les entretenir Un autre point positif concerne l environnement car les vieux pneux sont r cup r s dans les d charges et les rivi res Le co t est un avantage assez important Un m tre cube de mur fabriqu avec de vieux pneux co te 7 US compar 475 US pour du b ton arm ou 305 US pour des gabions www technologieappropriee com a y ET en uan r k E bs m g T German Technical Cooperation ne is si p Source GTZ RyGRAC Source GTZ RYGRAC Ces sommes comprennent les mat riaux le transport et la main d oeuvre Ces mat riaux sont la meilleure option quand on prend en consid ration les co ts les facteurs techniques et leur efficacit contre les risques Un autre grand avantage est qu ils offrent aux b n ficiaires l opportunit de travailler ensemble et cette exp rience peut les aider mener bien d autres travaux pour la r duction des risques dans le futur Les b n ficiaires voient et apprennent que la Gestion du Risque ne se r sume pas des mots et des formations mais avant tout et
55. ent climatique et r duire leur vuln rabilit On estime que les p tures stockent 30 pour cent du carbone contenu dans le sol au niveau mondial en plus de la quantit substantielle de carbone contenu dans les arbres les buissons les arbustes et l herbe Mais elles sont particuli rement sensibles la d gra dation des terres et la pression des populations qui veulent r pondre la demande extr mement croissante de viande et de produits laitiers De meilleures pratiques de gestion de la restitution des mati res organiques aux sols des prairies de la r duction de l rosion et de la diminution des pertes dues l cobuage et au sur p turage peuvent cependant contribuer stocker de grandes quantit s de carbone jusqu un milliard de tonnes par an selon certaines estimations Mais cela n cessiterait un effort mondial nergique et coordonn et un financement ad quat IT est aussi n cessaire de surmonter les barri res conomiques et socio politiques Elles comportent des probl mes de privatisation de parties communes et de baux ruraux des rivalit s de culture et un d ficit d ducation et de services de sant pour les communaut s nomades www technologieappropriee com bution qu elles d pensaient princi palement en effets personnels tels que des v tements L tude a r ussi faire revenir l cole des enfants qui avaient abandonn leurs tudes et garder les filles scol
56. ents ad quats sur le march et obtenir des prix plus lev s et plus stables gr ce des contrats agricoles Les pratiques agro industrielles et commerciales ainsi que les politiques seront am lior es par des interventions directes pour mettre les petits produc teurs en relation avec les march s et les Er z 3 si i f r n Lg is TA a E a i EE i Li u sul P g P f 1 a ar a etits cultivateurs en Zambie Eo E TENBA S AL DAIRY COOPERATIVE SOCIETY LTD re x Le gt LI aa 1 _ ER F LE gt ed Des petites entreprises agricoles re oivent une aide de l International Fund for Agricultural Development Fonds International pour le D veloppement de l Agriculture Source IFAD Carla Ferreira fournisseurs de produits Le programme d veloppera aussi les conditions qui permettront l extension de l agro industrie Il est n cessaire d aider les fermiers am liorer leurs op rations commerciales parti culi rement pour la diversification et la valorisation de leurs produits L objectif global du programme est d accro tre les niveaux de revenus des Des adolescentes sont r tribu es pour s inscrire l cole De petites r tributions vers es directement aux jeunes filles ont un impact immense sur leur scolarit au Malawi C est ce qui ressort d une tude men e sur un programme de transfert d esp ces pendant deux ans des jeunes filles de 13 22
57. er agricole Concern Worldwide w i w R p ne ere D gt r at AU P a S J NS si ST 1 f gi p X _ Veuillez compl ter ce formulaire et le renvoyer Responsable Source Nations Unies avant le d but de la Session annuelle de l Assembl e des Nations Unies Les OMD du Sommet du Mill naire de 2000 organis s par les Nations Unies visent diminuer la faim de moiti et r duire drastiquement les maladies les d c s maternels et infan tiles et autres maux d ici 2015 Les OMD sont trop importants pour chouer Nous sommes pr ts agir pr ts tenir nos promesses et pr ts faire de 2010 une ann e de r sultats pour les populations d clare le Secr taire G n ral des Nations Unies Ban Ki moon le sommet sera une opportunit d une importance cruciale pour redoubler d efforts afin d atteindre les objectifs Il a annonc que 2010 serait l ann e du d veloppement Les gouverne ments doivent urgemment et s rieusement prendre cela en consid ration Il ne nous reste que cinq ans d ici 2015 et nous sommes en retard sur les objectifs Il y a cependant eu des progr s dans certains pays Des indications nous prouvent que les objectifs peuvent tre atteints m me dans les pays les plus pauvres quand de bonnes politiques et de bons projets sont soutenus par les ressources ad quates commente M Ban nous pouvons et devons faire plus Voir http ww
58. er elle paye les frais de scolarit de son fils L avenir David Otieno pr tend que la pauvret n est pas enti rement due un manque de ressources mais plut t un manque de connaissances et de comp tences des fermiers pour surmonter leurs d fis Il ajoute Une r volution conceptuelle est n cessaire pour combattre la pauvret et assurer un Technologie Appropri e Vol 1 No 1 apport constant d argent aux m nages par la mise en valeur de ce qu ils poss dent Il pense que la valorisation des produits et la s curisation de la stabilit des march s ouvrira un plus grand potentiel beaucoup de familles d pendant de l agriculture parce qu elles obtiendront de meilleurs prix et une plus grande dur e de conservation de leurs produits David se montre optimiste et pense que les succ s rencontr s avec le s chage des bananes et des ananas et les initiatives de commercialisation sont une bonne indication du potentiel de ces secteurs Il ajoute qu ils cherchent actuellement la possibilit d une expansion vers d autres fruits comme la mangue et la papaye Gilbert Muhanji est le Responsable de Communication de la MATE FARM Africa Contactez le FARM Africa Studio House 4th Floor Argwings Kodehk Road Hurlingham P O Box 49502 00100 GPO Nairobi Kenya Take out a subscription to nternational Pest Control and get online access to the PC archives back to January 2004 Free 174
59. es terrasses ou des versants Ces d tails ont t pleinement attest s Dans les ateliers les id es d velopp es taient transcrites sur des fiches des panneaux des cartes et des dessins pour permettre aux analphab tes de participer on a pris en compte le niveau actuel de connaissance et les inqui tudes des populations vivant Technologie Appropri e Vol 1 No 1 dans les communaut s chaque partic ipant a indiqu l emplacement de sa ferme et des infrastructures expos es au risque des mesures appropri es la r duction des risques ont t analys es et assembl es garantissant l utilisation de m thodes et de techniques accr dit es qui incluaient des connaissances et des initiatives locales tout en optimisant l utilisation des ressources locales pour la mise en oeuvre de ces mesures Dans ces m mes ateliers on v rifiait la faisabilit des travaux et la fin les participants ont d fini dans un accord irr vocable le projet et la date pour la r alisation la participation et la contribution des villageois et des administrations municipales Tous les renseignements collect s ont t num ris s r pertori s et seront utilis s par les administrations munici pales et SEGEPLAN l autorit nationale charg e de l am nagement quand des plans seront tablis plus tard pour l am lioration des infrastructures comme de nouvelles routes des ponts des r seaux d eau etc Les zones les pl
60. esearch Institute ILRI Institut International de Recherche sur le B tail l International Food Policy Research Institute Institut International de Recherche sur les Politiques Alimentaires l International Water Management Institute Institut International de Gestion des Ressources en Eau et la Banque Mondiale encouragent les pays riches qui ont promis 20 milliards de Dollars am ricains pour l agriculture des pays mergents lors du sommet du G8 en Italie l ann e derni re voir au del des investissements habituels dans les entreprises Dans la plupart des r gions du monde les syst mes agricoles subissent des pressions intenses Mais les probl mes ne sont pas les m mes partout rapporte Mario Herrero le chef du service scientifique l ILRI et principal auteur de l article Par le Technologie Appropri e Vol 1 No 1 pass les fermiers ont d velopp la capacit s adapter de petits change ments en ce qui concerne le climat et l acc s des terres fertiles et l eau Mais la rapidit des changements constat s aujourd hui dans de nombreux pays mergents d passe la capacit de beaucoup s adapter Les petits agriculteurs mixtes en particulier en Afrique et en Asie ont t n glig s par les donateurs et les politiques parce qu ils cultivaient g n ralement de petites parcelles de terre o ils faisaient pousser de petites quantit s d aliments de base tels que le r
61. ette de donner la possi bilit 3 600 petits producteurs de bananes et d ananas de produire de transformer et de commercialiser leurs fruits Le Minist re de l Agriculture le Kenya Agriculture Research Institute KARI Institut de Recherches Agronomes du K nya et le Mache Natural Resources and Technologists Supplies MNRT collaborent ce projet Selon David Otieno le repr sentant 20 du pays pour Africa Now le concept innovant de multi partenaires de la MATF assure une meilleure respon sabilit des comptes de m me que l opportunit pour les m nages de se sortir de la pauvret par eux m mes au lieu de compter sur une aide ext rieure Nous devons en finir avec les vieilles traditions d aide au d veloppement o nous demandions aux b n ficiaires de quoi ils avaient besoin pour ensuite le leur donner Notre d marche est de responsabiliser les foyers d un point de vue conomique pour qu ils d veloppent ces bases conomiques au niveau du m nage et si le projet aboutit qu ils puissent alors se subvenir eux m mes Africa Now a introduit de meilleures pratiques agronomiques le d veloppement des entreprises la valorisation des produits et la commer cialisation Plus particuli rement dans les r gions de Homabay Vihiga et Busia situ es dans la partie ouest du www technologieappropriee com Helen Saiah dans son exploitation de production d ananas Source MATF K nya cela s es
62. eurs strat gies On esp re que ce processus d bouchera sur plus de prises de d cision collectives et assurera que la recherche r ponde aux besoins des communaut s agricoles Une grande quantit de nourriture produite est gaspill e parce qu elle n est pas conserv e correctement La surpro duction peut conduire une baisse de prix et du gaspillage La valorisation est une fa on de surmonter ce type de probl me et dans cette publication nous parlons de l installation de centres de transformation du manioc dans les pays d Afrique de l Ouest Ils permettent maintenant de faire passer le manioc du statut de culture de subsistance celui de g n rateur de revenus Dans les Philippines aussi les surplus de fruits qui habituellement finissaient par pourrir sur le sol changent maintenant les moyens d existence Un autre l ment important dans la production alimentaire est la disponi bilit de l eau en quantit suffisante Le Directeur G n ral de l International Water Management Institute Institut International de Gestion des Ressources en Eau lance un appel pour qu il y ait plus d aide pour les pompes bon march qui extraient les eaux de fond pour l irri gation Dans l Ouest de l Afrique ce sont les pompes p dales qui ont maintenant un v ritable impact En les soutenant correctement comme par exemple des prix d cents pour leurs produits les petits exploitants agricoles peuvent augmenter leur production
63. existe un nombre de facteurs diff rents en Afrique de l Ouest comme les types de sol sols alcalins ou acides etc une faible ma trise de l eau et une accessibilit et une disponibilit insuff isante des intrants Par exemple le protocole standard de l EPU demande aux fermiers de mettre les pastilles d ur e sept jours apr s le repiquage Mais l ur e n est souvent pas disponible au moment o on en a besoin dans les villages africains elle peut arriver un mois apr s le repiquage Nous menons des recherches adaptatives pour d ter miner jusqu quand l insertion de la pastille peut tre retard e sans mettre en danger la r colte de r1z Selon Fofana les fermiers de la Vall e de Kou qui ont utilis l EPU ont r colt environ 1 3 tonne ha de plus que ceux qui ont utilis les traitements fractionn s progressifs traditionnels d pandage d ur e en billes Les fermiers qui utilisent l EPU ont re u 171 000 Francs CFA ha 354 32 US de revenu suppl mentaire annuel par rapport ceux qui utilisent les techniques traditionnelles Le taux net www technologieappropriee com diff rentiel co t valeur tait d environ 2 5 Marius Sanon le chef de la Vall e de Kou a d clar Nous avons maintenant 1 260 hectares de riz plant s pendant la saison des pluies et autant de ma s pendant la saison s che A cause de la crise alimentaire de 2008 notre nouvel objectif est de deux r coltes de riz par an Pou
64. fois car trois ou quatre r coltes de fruits et l gumes peuvent tre faites chaque ann e L argent gagn avec la vente des produits fermiers peut tre utilis pour payer les salaires journaliers des ouvriers occasionnels ou pour s appro visionner en plus de nourriture de produits pour la ferme pour l cole ou la sant Une fois que leurs besoins de base sont satisfaits les fermiers ont alors la possibilit d investir dans l achat de vaches laiti res de poulets de t l phones portables et de syst mes solaires etc Irriguer avec les pompes L arrosage d un champ d oignons l aide de calebasses www technologieappropriee com Source AVRDC The World Vegetable Centre Source AVRDC The World Vegetable Centre 15 Eau z f If you cant irrigate it donf plant it Le Dr Manuel Palada lors d un stage de formation donne des conseils judicieux aux fermiers des zones arides Il y a une fa on plus simple des gar ons essayant une pompe p dales KickStart Source AVRDC The World Vegetable Centre Source AVRDC The World Vegetable Centre MoneyMaker aide les fermiers r pondre la demande de production Le fait qu ils puissent cultiver des fruits et l gumes pendant toute l ann e signifie que leur production r pond la demande du march Rien qu au Mali pour D cembre 2009 plus de 6000 pompes ont t vendues et plus de 5000 entreprises cr es Selon le Dr M
65. gmentent les prix des m dicaments r pondant aux normes Le rapport souligne la n cessit de dispositifs efficaces permettant aux personnes qui ach tent les m dicaments Technologie Appropri e Vol I No 1 de s assurer que ce qu ils ach tent est bien le v ritable produit Des syst mes de tra abilit utilisant des codes uniques qu il serait possible de v rifier gr ce un texto pourraient tre une solution Des rep res de marque de fabrique plus efficaces seraient aussi utiles Julian Harris l auteur du rapport d clare Beaucoup de pays pauvres ont des l gislations sur les marques peu d velopp es ou inexistantes ce n est X ES donc pas une surprise que les contre fa ons soient r pandues La libert de la presse la gratuit des tribunaux et de la commercialisation am lioreraient la qualit des m dicaments Le rapport complet Keeping it real est disponible aupr s de l International Policy Network Rooms 200 205 Temple Chambers 3 7 Temple Avenue London UK EC4Y OHP T l 44 20 53393 8410 web www policynetwork net Un rapport de l International Policy Network souligne que des dispositifs efficaces sont n cessaires pour permettre aux personnes achetant les m dicaments de s assurer que ce qu ils ach tent est bien le v ritable produit www technologieappropriee com Source WHO 27 La technologie lance un d fi la pauvret La preservation du bambou Pr ser
66. immerg s pendant toute une semaine trois jours pour les bambous coup s en deux Couvrez la cuve avec du plastique pour la prot ger de la pluie et mettez la hors de port e des enfants et des animaux Apr s le trempage installez les bambous utilisez des gants sur des morceaux de bois plac s en travers de la cuve Croquis 1B et laissez le pr servateur s couler dans la cuve pendant quelques heures Apr s quoi laissez les bambous s cher pendant une semaine sous un b ti l abri du soleil et de la pluie Une bonne variante pour les bambous coup s est la m thode de diffusion par l immersion immergez le bambou pendant 10 minutes comme pr c demment mais dans une concen tration plus lev e et ensuite enroulez le dans du plastique pendant une semaine Puis fa tes le s cher en position verticale pendant au moins trois Jours Les bambous trait s ne doivent pas tre brul s les manations provenant de ces feux sont toxiques Enfouissez les dans le sol loin des puits par exemple dans des latrines fosse parce qu elles sont toujours situ es assez loin des puits M thode de traitement utilisant un bidon Les cannes fraichement coup es doivent tre imm diatement install es la partie inf rieure en premier dans un bidon contenant le pr servateur Les feuilles toujours leur place servent de pompe gr ce au processus de la transpiration Apr s une ou deux semaines le pr servateur atteint
67. ioc Depuis 1990 la production de manioc en Sierra Leone est pass e de 172 200 tonnes en 1990 1 236 852 tonnes en 2007 Le Dr Alfred Dixon Directeur G n ral de l Institut pour la Recherche Agronome en Sierra Leone dit que l utilisation du manioc et la cr ation de produits tels que le gari un produit de base import du Niger a en fait cr de la demande pour la culture En cons quence le manioc arrive maintenant en deuxi me position apr s le riz en tant que produit de premi re n cessit avec des populations qui consomment la fois les feuilles et les tubercules L implantation des centres de trans formation a stimul l int r t pour la production de manioc dans les commu Une femme utilisant la m thode traditionnelle pour r per le manioc Technologie Appropri e Vol I No 1 www technologieappropriee com Source Godwn Atser IITA 41 Agro industrie LE Cal naut s locales Dorris Kargbo une agricultrice b n ficiaire du centre de transformation du manioc dans le village d Hamdalai dit que seulement dans sa communaut environ 40 groupes de fermiers ont t form s la production du manioc Chaque groupe comprend environ 30 fermiers Les groupes assureront la fourniture r guli re des tubercules de manioc au centre de transformation qui en fera du gari du foofoo des g teaux de manioc et des beignets de manioc entre autres choses Selon Kargbo cela cr era des emp
68. is kilogrammes et une meilleure qualit Il y a d autres avantages comme moins de mauvaises herbes et des pieds plus r sistants Avant le projet les n gociants contr laient le march obligeant quelquefois les fermiers vendre leurs produits des prix tr s bas Helen rapporte qu elle avait l habitude de vendre 5 Kshs sur le march local un ananas de trois kg et cependant le producteur se faisait duper avec un prix 2 Kshs il tait donc difficile de faire du b n fice Cependant avec la cr ation des groupes de fermiers selon Helen nous devenons plus forts et nous prenons maintenant les d cisions tous ensemble Le s chage solaire Quand le s chage solaire simple a t introduit Helen explique qu ils avaient fix le prix d un ananas frais 17 Ksh le kilogramme Je me sens motiv e pour planter plus d ananas ou d autres fruits comme les mangues et les papayes confie t elle parce que je sais qu avec un seul ananas de trois kilogrammes je peux gagner 51 Kshs Mon produit peut aussi durer plus longtemps gr ce au s chage et donc le gaspillage est r duit Avec ce nouveau syst me les ananas sont r colt s et regroup s gr ce aux diff rents groupes de fermiers qui forment la Communaut des Producteurs d Ananas d Homabay Les fruits sont ensuite transport s vers le centre de s chage local o ils sont pes s et pay s Les fruits sont pel s et d coup s avant d tre dispos s sur des c
69. it ou comme l acceptation de toute r clamation effectu e par l annonceur Technologie Appropri e Vol 1 No 1 le Appr opr iee Mars 2010 Volume 1 No 1 ISSN 0305 0920 Version imprim e ISSN 1751 6900 En ligne Tables des M ati res 4 10 14 20 24 27 28 31 34 41 Commentaire Rien ne pousse d en haut Nouvelles br ves Les Nations Unies projettent de soutenir l agro industrie des petits cultivateurs en Zambie Des adolescentes sont r tribu es pour s inscrire l cole Comment les grandes prairies aident combattre le changement climatique L investissement agricole doit se concentrer sur les petites fermes mixtes Energie renouvelable Les syst mes de biogaz utilisant des d chets alimentaires sont pl biscit s GTZ Agence de Coop ration Technique Allemande Reconstruction apr s l ouragan Stan les fermiers guat malt ques relancent leur production Eau Moins de travail avec un syst me d irrigation rudimentaire Un purateur d eau pour le grand public Des syst mes d irrigation nergie solaire am liorent les moyens d existence FARM Africa Des arboriculteurs b n ficient du s chage solaire G n ralit Agir face au changement climatique Le commerce un v nement important L ann e du d veloppement Sant Les m dicaments contrefaits tuent plus de 700 000 personnes chaque ann e La technologie lance un d fi la pauvret La preserva
70. ivement lev de la scolarit au coll ge Une autre raison est que les jeunes malawiennes ont tendance se marier tr s Jeunes et une fois qu une fille est mari e l cole c est fini rapporte zler La continuation de la scolarit pour les filles qui autrement auraient abandonn ne renforce pas seulement l instruction mais retarde aussi l ge du mariage et r duit le taux des grossesse pr coces et des maladies sexuellement transmissibles comme le Sida Dans un autre article les chercheurs ont trouv que le d but de l activit sexuelle tait retard de mani re importante parmi les Nouvelles br ves filles qui participaient au programme et leur probabilit de se marier ou d tre enceinte au bout d un an avait d clin De pr c dentes tudes ont sugg r que le simple fait d tre l cole peut mener ces r sultats esp r s mais la preuve n est pas suffisante confie zler L tude portait sur un chantillon de 3 805 jeunes filles et jeunes femmes g es de 13 22 ans dans 176 zones urbaines et rurales de la Zomba une r gion fortement peupl e avec des taux lev s d abandon et un r sultat faible d enseignement Selon une tude gouvernementale en 2005 les enfants abandonnaient l cole principalement cause du manque d argent Parmi ces jeunes filles 1 225 choisies au hasard percevaient soit une Une tude de la Banaue Mondiale a tabli qu au Malawi les
71. iz et le ma s tout en levant quelques vaches ch vres et autres poulets Et pourtant tous r unis ces fermiers nourrissent la plus grande partie du milliard de pauvres gr ce des aliments de base ainsi que de la viande Une nouvelle tude de l International Livestock Research Institue Institut International de Recherche sur le B tail rapporte que les donateurs devraient reconna tre le r le des petits agriculteurs mixtes particuli rement en Afrique et en Asie dans l alimentation de milliards de gens et investir plus dans ce secteur Source ILRI www technologieappropriee com populations d leveurs et d leveurs agriculteurs Pour plus d information contacter le FAO Viale delle Terme di Caracalla 00153 Rome Italy T l 39 06 57051 fax 39 06 570 53152 Email publications sales fao orsg L article complet est disponible sur le ftp ftp fao org docrep fao 012 i1135e i1135e00 pdf et des produits laitiers Selon l article ils sont la cl des efforts d intensifi cation de la production dans les pays mergents Selon l analyse une d marche int ressante est de canaliser les investissements dans le but de stimuler la productivit dans des zones marginales qui avec une approche correcte pourraient tre la prochaine g n ration de fournisseurs d alimen tation Par exemple les auteurs remar quent qu avec une bonne pr paration du sol et une utilisation judicieuse des engrais
72. laies de s chage solaire Une fois secs les fruits sont conditionn s en grande quantit et r cup r s par les acheteurs Valorisation et commercialisation La commercialisation se fait par le biais de partenariats avec le secteur priv C est important de savoir qui collecte les marchandises explique David Otieno 1l faut donc que des cha nes de supermarch comme Uchimi et Des officiels de la Communaut des Producteurs d Ananas d Homabay HPGCO posant pr s de leur s choir solaire Technologie Appropri e Vol I No 1 Source MATF www technologieappropriee com L52 matf Maendeleo Agricultural Technology Fund Nakumatt soient impliqu es Les institutions de micro finance participent aussi pour encourager les conomies Les avantages Selon Peter Okello le secr taire de l association des fermiers il y a eu un accroissement notable du revenu des m nages R gler les frais de scolarit n est plus un probl me J ai pu envoyer ma femme l universit gr ce aux recettes de mon exploitation et au march qui s est cr avec la technologie du s chage Peter ajoute qu avec le s chage solaire et l tab hissement d une cha ne logistique les fermiers ont maintenant l assurance d un march et de prix stables Helen confie qu elle cultivait avant des l gumes et du ma s mais elle n en retirait pas plus de 6000 Kshs par mois Maintenant je peux planter environ 150000 reje
73. les plantes Le reste est perdu Une fa on de r duire les pertes d azote et d am liorer l efficacit de l engrais est de transformer l ur e en pastilles et de les enfouir en profondeur dans le sol Dans son compte rendu Ketline Adolo nous explique comment cette technique d velopp e par IFDC voir NDT International Centre for Soil Fertility and Agriculture Centre International Pour la Fertilit des Sols et le D veloppement Agricole s est g n ralis e en Asie et fait maintenant son entr e en Afrique Des essais d Enfouissement en Profondeur de l Ur e EPU sont men s actuellement par 100 fermiers du Burkina Faso Bagre 150 fermiers de la Vall e de Kou et 150 fermiers Sourou Environ 200 fermiers et dirigeants de coop ratives ont particip r cemment une visite guid e des champs d PU dans la Vall e de Kou au Burkina Faso Apr s avoir visit les rizi res le Dr Abdoulaye Kombary Ministre D put de l Agriculture au Burkina Faso a encourag les fermiers appliquer m ticuleusement la technique de l EPU et a sugg r que l IFDC travaille en collaboration avec l Institut pour la Recherche Agricole et l Environnement Institute for Environment and Agricultural Research INERA afin de g n raliser l EPU dans tout le Burkina Faso Pour l EPU IFDC utilise une technique de fabrication qui concentre l ur e en pastilles que les fermiers disposent au niveau des racines du plant de riz quelq
74. leurs priorit s Un autre jury doit se r unir et des sessions seront tenues pour essayer de faire entendre les voix des fermiers au sein des discussions internationales Les r sultats seront combin s avec ceux des jurys qui se sont rassembl s en Inde et d autres qui doivent se rassembler en Bolivie et au P rou dans le courant de l ann e Ousmane Sy l ancien Ministre de l Administration du Territoire et des Communaut s Locales du gouvernement malien dit que l op ration donne la chance aux populations rurales d influencer les politiques agricoles et de d veloppement Pour plus d information contacter le Dr Michel Pimbert International Institute for Environment and Development 3 Endsleigh Street London WCIH ODD UK T l 44 0 20 7388 2117 Fax 44 0 20 7388 2826 email michel pimbert iied org web www iied org _ D it PERS AS ee ER NO ir E Sn ie AS Selon les dires d un membre du jury citoyen les chercheurs agronomes doivent prendre en consid ration les besoins des hommes des femmes et des enfants vivant dans les fermes www technologieappropriee com Technologie Appropri e Vol 1 No 1 L enfouissement en profondeur de l ur e porte ses fruits au Burkina Faso Dans la production de riz le co t de l azote peut atteindre un tiers de la totalit des co ts de production L pandage de billes est inefficace car en g n ral environ un tiers seulement de l azote est utilis par
75. lois pour notre population g n rera de la richesse et r duira la pauvret C est notre strat gie nous pour contribuer la r duction de la pauvret en Sierra Leone Tout en exprimant de la gratitude envers le projet du CFCMTA SLARI Kargbo pense que les centres de trans formation ont cr un march qui plus tard liquidera les stocks de manioc Cela r duira les pertes apr s 42 Une machine motoris e pour r per le manioc command e par IITA CFC en Sierra Leone r coltes et fera du manioc une production rentable conclut elle Pour plus de renseignements contacter le Dr Lateef Saani coordi nateur du projet IITA CFC ITA PMB RS e 0 de VS EN NES 7 GE Si T 3 n ae ee B s PE i i D T z TLETT a a 7 Un des centres recevant le soutien de IITA CFC www technologieappropriee com 7 K 1 A a A TE see n a cl i a 4 pe i PT pi Source Godwin Atser IITA 5320 Ibadan Nig ria T l 234 2 7517472 fax INMARSAT 8737 6179 8636 e mail iita cgiarorg email l sanni cgiar org web www iita org Source Godwin Atser IITA Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Souscrivez Aujourd hui Veuillez crire mon abonnement pour Technologie poropri e comme ci dessous Les prix incluent la livraison par avion Taux institutionnel prix d offre sp ciale Prix ordinaire Abonnement un an 4 num ros trimestriels 100uUS 200 15NUS 316 Taux personnel F52
76. ls ont besoin pour stimuler leur production d clare le Dr Kehinde Makinde de l AGRA Ces hommes et ces femmes sont les fantassins de la transformation de l agriculture africaine Ces comp tences leur permettront de s occuper correctement de leurs clients de faire prosp rer leur entreprise et de donner de Source AGRA Technologie Appropri e Vol 1 No 1 pha armchem ms l lan l ach vement de la R volution Verte africaine L AGRA est honor e de prendre part cette d marche La distribution aux fermiers ghan ens de semences de produits phyto sanitaires et d engrais a t entrav e par trop peu d informations sur la localisation des magasins vendant des intrants agricoles de qualit Selon les partenaires du GADD permettre aux fermiers de savoir o se trouvent les agro commer ants r put s et comp tents offrent des opportunit s promet teuses pour les fermiers de la r gion Distribution des concessions M Vesper Suglo le directeur de la Plant Protection and Regulatory Services Division PPRSD Division des Services de R glementation et de Protection des Plantes a mis l accent sur l importance de la certification et a d clar que les agro commercant e s doivent mettre profit les comp tences et les capacit s d velopp es lors de cette formation pour assurer leur r ussite Dans le cadre des activit s le projet a tabli les Geographic Information Systems GIS Syst me
77. mps Selon Fofana les pastilles pour l EPU ne sont pas encore produites pour la commercialisation en Afrique Mais r cemment des fermiers africains et des scientifiques ont visit des champs au Bangladesh o la technique de l EPU est appliqu e et lors de cette visite IFDC s est procur deux machines pastilles qui peuvent produire 400 Une d l gation africaine en visite au Bangladesh pour en savoir plus sur la technique de l Enfouissement en Profondeur de l Ur e kilogrammes de pastilles l heure Cela a suffi pour notre d monstration lors de la premi re ann e IFDC aidera les coop ratives agricoles locales acqu rir leur propres machines pastilles et encouragera les entrepre neurs locaux s occuper de la production de pastilles Ketline ADOBO est responsable de la communication d IFDC en Afrique Note du Traducteur IFDC tait auparavant connu sous la d signation www technologieappropriee com International Fertiliser Development Center Centre International pour le D veloppement des Engrais Sa d nomination a chang mais il continue tre cit sous le m me sigle Pour plus d information contacter IFDC PO Box 2040 Muscle Shoals Alabama 35662 U S A T l 1 256 381 6600 poste 380 E mail lloggins ifdc org Site Web wwWw ifdc org LE Source IFDC Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Agro industrie Les nouveaux centres de trans formation relancent
78. n humaine La viande sera plus ch re parce qu elle sera en quantit beaucoup moins importante Les animaux seront nourris l herbe au lieu des c r ales Selon lui cela sera possible en combinant les pratiques Technologie Appropri e Vol I No 1 ry L l RE Les pauvres des pays mer es Sn 7 e majeure la connaissance technique politique T in Eat LE um d ELLE gents ont une exigenc BF Pur M i T 1 et conomique qui stimulera la production et permettra ainsi un acc s quitable aux march s mondiaux agricoles traditionnelles et l exploitation de nouvelles technologies adapt es aux d fis du 21 me si cle Parlant au nom de ces fermiers qui utilisent les pesticides chimiques les engrais base de combustibles fossiles et les m dicaments pr ventifs d usage destin s au b tail Peter Kendall le pr sident de la National Farmers Union a confi au Farmers Guardian qu il pensait que les terres agricoles produiraient plus de biomasse d nergie solaire et olienne Il nous faudra utiliser les ressources de mani re plus efficace afin de r duire les missions de gaz effet de serre Je vois plus d exploitations revenant des syst mes mieux int gr s et de polyculture car les substances nutritives import es sont la cause de l augmentation des co ts nerg tiques La soci t reconnaf tra que les prairies et les terres cultiv es agissent comme de
79. nir de la recherche portant sur l agriculture et l ali mentation lors d une des deux s ances de jury citoyen qui se sont tenues S lingu au Mali Dans leur verdict les fermiers ont ajout que la recherche devrait passer des petites pr occupations telles que l am lioration d une seule culture des tudes plus larges qui prennent en compte l environnement dans lequel les fermiers travaillent Les jur s ont incit les chercheurs se concentrer sur l am lioration des cultures locales un appel qui faisait cho au verdict donn par un jury similaire qui se tenait en Inde l ann e derni re Et 1ls se sont montr s inquiets sur le fait que la recherche serait orient e vers la cr ation de semences hybrides pour am liorer des caract ris tiques telles que le rendement des cultures Ils ont demand plus de compr hension des chercheurs sur l cologie locale et les syst mes d exploitation agricole Les fermiers ont indiqu que la production des cultures devraient tre r alis e en coop ration avec la recherche destin e am liorer l cologie des sols dans lesquels les semences s lectionn es pousseraient rapporte Michel Pimbert directeur du programme portant sur l agriculture d veloppement durable la bio diversit et les moyens de subsis tance l International Institute for Environment and Development HED Institut International pour l Environnement et le D veloppement Selon Pimbert
80. nisation au sein du groupe confirme ces d clarations en ajoutant Le fait de se retrouver en groupes nous permet d obtenir des prix uniformis s et de n gocier directement avec les courtiers Cela nous permet aussi de regrouper nos produits au cas o un client passerait une grosse commande qui ne pourrait pas tre satisfaite par un seul producteur Bient t le groupe esp re pouvoir commencer s cher les bananes une d cision que les 15 membres du groupe esp rent bien voir r sulter en une augmentation des prix et une r duction de l enjeu journalier d avoir brader des fruits trop m rs Dans le village d Isiekuti o le projet est encore ses d buts les fermiers utilisent d j les bananes pour faire des g teaux ou du vin Selon Julius Lumeyo la valorisation du produit a montr le vaste potentiel que la culture repr sente pour eux A partir d une seule banane je peux faire du vin que je vends localement jusqu 150 Kshs Avec la technologie du s chage j ai l espoir que nous pourrons aussi nous diversifier en fabriquant des chips de bananes La culture et le s chage des bananes ont apport beaucoup d avantages aux fermiers gr ce un apport constant d argent aux m nages Mrs Gladys Anyollo dit que payer les frais de scolarit pour son fils n a jamais t plus facile elle ajoute quelquefois elle n a pas d acheteur alors l cole de son fils lui prend sa r colte et au lieu de la pay
81. nt faire peu de choses si ce n est attendre migrer ou rejoindre les rangs de ceux qui croient qu une r volution violente est n ces saire pour Survivre Les choix des riches Les riches pays industrialis s jusqu maintenant ont t capables de poursuivre des strat gies de production maximum un co t minimum quels que soient les co ts non financiers de leurs m thodes Les rivi res ont t d tourn es pour permettre l irrigation au d triment de ceux situ s en aval D normes quantit s de combustibles fossiles sont utilis es pour les engrais les pesticides la m canisation agricole et le transport au d triment du climat du niveau de la mer de la disponibilit de l eau douce et m me de la qualit de l air que nous respirons La science qui a fourni la connais sance pour tout cela apporte maintenant les preuves qu une mauvaise utilisation nous conduit des preuves incroyables car des nations enti res disparaissent sous les mers et d r a i ASENA E Technologie Appropri e Vol 1 No 1 des populations sont cours de nourriture et d eau Les politiciens reconnaissent enfin cela Les pays pauvres et les pays riches ont un besoin urgent de connaissances scientifiques conomiques et politiques appliqu es par les fermiers pour la survie et pour la paix Les m dias agricoles v hiculent ces savoirs sur la technologie et les march s et pour en citer un
82. ommer ants form s ont obtenu les certifications valid es par les agences gouvernementales M John Pwamang le directeur du Chemical Control and Management Control Centre de l Agence de Protection de l Environnement a insist sur le besoin d une certification pour s assurer que les produits vendus soient de qualit et que les intrants agricoles respectent l environnement L agence travaille en troite collaboration avec GADD dans ce but Dans ses remarques adress es au groupe lors du lancement le Dr Kofi Debrah de l IFDC a d clar les agr ments que vous recevez aujourd hui sont pr cieux mais souvenez vous que ce n est pas assez pour tre qualifi Vous devez exercer vos nouvelles comp tences pour d velopper votre entreprise et fournir plus de services de meilleure qualit aux fermiers Pour plus d information contacter l AGRA PO Box 66773 Westlands 00800 Nairobi K nya T l 254 20 3750 627 Fax 254 20 3750 653 email info agra allinace org web www agra alliance org 37 Agriculture Les fermiers de l O uest de l Afrique lancent un d fi aux chercheurs agronomes Les chercheurs agronomes devraient passer plus de temps am liorer les semences locales et moins de temps d velopper les vari t s hybrides venant d ailleurs disent les fermiers de l Ouest de l Afrique Un rapport de Bande Moussa Sissoko de SciDev Net Cinquante fermiers et p cheurs ont rendu leur verdict sur l ave
83. ons et de seaux des pompes basse pression m canis es ou p dales et des micro arroseurs conomisent du travail et pourraient permettre aux fermiers d accro tre leurs cultures mara ch res Bien que ces outils conomiques en main d oeuvre aient t introduits dans des parties relativement d velopp es de l Afrique tr s peu de petits exploitants connaissent la technologie particuli rement dans les r gions chaudes et s ches de l ouest de l Afrique Avec le soutien du Minist re des Affaires Etrang res du Gouvernement de Ta wan AVRDC a d velopp un nouveau projet portant sur une Micro irrigation abordable pour la Production Une fermi re utilisant un tuyau d arrosage L eau est tir e du fleuve Niger avec une pompe p dale KickStart 14 Source AVRDC The World Vegetable Centre www technologieappropriee com Mara ch re dans l ouest de l Afrique Des formations destin es aux fermiers et aux communaut s ont commenc avec pour objectif l intro duction de syst mes d irrigation et l explication de meilleurs m thodes de gestion de l eau Les activit s sont men es dans quatre pays le Niger le Burkina Faso le Mali et le Ghana En D cembre 2009 des scien tifiques de l AVRDC ont organis une d monstration sur ces technologies rudimentaires Segou au Mali en partenariat avec l Adventist Development and Relief Agency ADRA Agence adventiste du d veloppement et de l aide humani
84. pri e Vol 1 No 1 Le rapport sugg re que des mesures appuyant l am lioration de la gestion des prairies devraient inclure une r compense pour des comportements respectueux de l environnement qui comprendrait la fois des r tributions financi res et des incitations non finan ci res telles que l acquisition de comp tences et le partage des connais sances Il faudrait permettre un meilleur acc s aux m canismes actuels de financement et de d veloppement tels que le Global Environment Facility Fond Mondial pour l Environnement pour les efforts permettant une utili sation durable des grandes prairies et la restauration de leur potentiel de stockage du carbone En plus d att nuer le changement climatique de tels efforts contribueraient aussi s y adapter et am liorer les moyens d existence des L investissement agricole doit se concentrer sur les petites fermes mixtes Selon une nouvelle analyse publi e dans Science les petits cultivateurs sont la cl de la s curit alimentaire mondiale venir mais les aides et les politiques les n gligent Cet article met en garde sur le fait que les milliards de dollars promis pour stimuler la petite agriculture dans les pays mergents ont peu de chance de porter leurs fruits parce que les donateurs ne s engagent pas aider les petits fermiers mixtes qui cultivent des terres tout en levant des animaux Les auteurs de l International Livestock R
85. r alit et la s curit alimentaire un probl me majeur Il semble qu il y aura moins de surplus de nourriture les prix augmenteront les fermiers devront produire plus tout en endommageant moins le sol l eau et le climat L agro industrie d veloppera des produits qui r pondront ce nouveau sch ma de production La politique chinoise d autonomie alimentaire qui tout en aidant de nombreux ruraux s habituer la vie citadine permet aux fermiers qui sont rest s d utiliser plus de terre est un bon exemple pour le futur http wwvw farmersguardian com 35 Agriculture Les agro commer ants re oivent une certification pour approvisionner les fermiers en intrants Un projet s talant sur trois ans a vu le jour au Ghana Son objectif est d accro tre rapidement la productivit des fermes et les revenus des petits propri taires terriens Il vise faciliter pour les fermiers les achats des prix accessibles de semences de qualit et d engrais Le projet a t lanc en donnant une certification 594 agro commer ants et producteurs de semences afin de leur permettre d apporter aux fermiers les connaissances et les informations n ces saires pour accro tre leur production Avant d obtenir leur certification les agro commer ants ont suivi des stages partout dans le pays Dans la premi re phase de l ini tiative connue sous le nom de projet du Ghana Agro Dealer Development GADD D veloppemen
86. r la premi re r colte de 2009 les essais d EPU men s dans la Vall e de Kou regroupaient 55 riziculteurs qui ont travaill 35 parcelles de d mons tration couvrant un total de 500 m tres carr s et 20 parcelles s tendant sur 200 m tres carr s et destin es la recherche adaptative Abdoulaye Ou draogo le pr sident de l Union des Coop ratives Rizicoles de Bama a d clar Nous avons d cid de tester l efficacit et la rentabilit de l EPU avant de nous engager La saison des pluies a commenc et les r sultats sont int res sants Nous attendons de voir les r sultats de la saison s che pour savoir si la technique fonctionne vraiment Mais nous pouvons d s pr sent voir des diff rences notables Les champs d EPU sont plus verts et la taille et la qualit des panicules sont meilleures que dans les autres parcelles t moin Nous voulons aussi conna tre les co ts et comment assurer la production et la distribution des pastilles Boukari Ou draogo un fermier de la Vall e de Kou s inqui te de la somme de travail demand e par l EPU Avec l pandage un fermier peut couvrir une parcelle de 500 m tres en trois heures Avec l EPU il faut plus de six heures Mais Kindo Souleymane un fermier a fait remarquer que l EPU n cessite plus de temps mais il n y a 39 Agriculture qu un passage contre deux ou trois quand on utilise l ur e en billes En fait a fait gagner du te
87. rent s rieusement les cons quences de leurs conomies sur les populations pauvres Ce rapport est disponible sur le site internet http wwvw act intl org media documents S128 TacklingClimate Changel11209 pdf Pour plus d infor mation contacter ACT Coordinating Office Ecumenical Centre 150 route de Ferney P O Box 2100 1211 Gen ve 2 Suisse T l 41 22 791 6033 Fax 41 22 791 6506 Email mac act intl org web www act intl org 29 G n ralit L ann e du d veloppement i Les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement OMD sont trop importants pour chouer d clare le Secr taire G n ral des Nations Unies Ban Ki moon Un Sommet sur la Pauvret organis par les Nations Unies se tiendra en Septembre de cette ann e La finalit de ce sommet sera de stimuler les efforts pour atteindre les Objectifs du Mill naire pour le D veloppement OMD L Assembl e G n rale des Nations Unies a d cid que le sommet se tendra du 20 au 22 Septembre juste Technologie Appropri e Technologie Appropri e est probablement le p riodique le plus lu au monde pas acad mique mais plein d id es nouvelles meilleures pratiques et informations techniques sur un large ventail de sujets D autres p riodiques et sites internet sur le d veloppement sont apparus puis ont disparus mais Technologie Appropri e est toujours rest consistent et une source s re d information Paul Wagstaff conseill
88. ri e Vol I No 1 mergents a plus que tripl entre 1996 et 2006 atteignant 2 billions de Dollars am ricains selon la Conf rence des Nations Unies sur le Commerce et le D veloppement Et pourtant un plus grand potentiel existe Le commerce Sud Sud pourrait contribuer au redressement de la crise conomique et financi re mondiale Dans les pays o la s cheresse an antit la vie la captation de l eau est une activit extr mement importante Capter l eau pour s en servir au moment o on en a besoin est une partie cruciale des tudes de cas d crites dans le rapport sur le Br sil l Ethiopie et le K nya En Ethiopie on am nage de grands tangs de m me que des puits et des r servoirs et l eau de pluie est r cup r e des toits des coles et des tablissements de sant Au K nya des barrages de sable sont rig s pour permettre la fois aux maisons et aux fermes d avoir de l eau Au Br sil un syst me de captation de l eau de pluie et des installations de stockage de l eau aident la population s adapter des pr cipitations irr guli res et peu abondantes Les tudes men es en Ethiopie et au K nya mettent en vidence la vuln ra 22e mg Source Lankagas www technologieappropriee com bilit des leveurs et les actions qui sont entreprises pour renforcer leur capacit y faire face y compris les technologies de r cup ration de l eau L tude sur le K nya montre l impor
89. ricultural and Ressource Economics l Universit de Berkeley en Californie Les recherches ont t aid es par une subvention de l Environment Ventures Projects du Woods Institute for the Environment de Stanford Le Programme pour la S curit alimen taire et l Environnement est conjoin tement g r par l Institut Woods et le Freeman Spogli Institute for International Studies de Stanford Ashley Dean est le Directeur des Communications du Programme pour la S curit Alimentaire et l Environnement Progamm on Food Security and the Environment l Universit de Stanford Pour plus d information contacter Jennifer Burney Department of Geological and Environmental Sciences Stanford University Y2E2 Building Room 350 473 Via Ortega Stanford California 94305 USA T l email burney stanford edu web www stanford edu Les cultures de cette petite ferme d un village du B nin sont arros es par un syst me solaire d irrigation goutte goutte Technologie Appropri e Vol 1 No 1 www technologieappropriee com Source Marshall Burke FARM Africa Des arboriculteurs b n ficient du s chage solaire Depuis des ann es les fermiers de l ouest du K nya ont souffert du peu de rentabilit de leur travail Cela provenait principalement d un manque d acc s des m thodes agricoles innovantes de la raret des march s et des prix bas pay s pour leurs produits La conversion vers la production de fruits n a pas
90. s d Information G ographique un Technologie Appropri e Vol I No 1 i vd le 2 SE Lee rod Marragrinent S te Sp z Produet Kronleder and sale ure alf Farm Input ra gt XS ensemble de cartes permettant la local isation de plus de 3000 agro commer ants partout dans le pays mais leur distribution est in gale Les cartes pr voient le trac de zones avec des densit s fortes moyennes ou faibles d agro commer ants par population agricole Cela permettra un bon fonctionnement du projet avec l ouverture de plus de lieux d agro commerce par d autres donateurs ou d autres parties prenantes qui pourront mieux r pondre aux besoins des fermiers La seconde phase du projet visera former 1 000 agro commer ants suppl mentaires au niveau de base de la certifi cation On esp re que finalement il y aura plus de 3000 commer ants form s Crit res de formation En tant que partenaire du projet GADD les agences gouvernementales se sont mises d accord pour tablir des crit res pour la formation des agro commer ants dans tout le pays Lors de la premi re ann e du projet 233 sessions de stage ont t tenues dans le pays r unissant 875 agro commer ants 482 hommes et 112 femmes Sur ce nombre un total de www technologieappropriee com i Des agricultrices ghan ennes ach tent des engrais une commer ante ayant re u une certification Source AGRA 594 agro c
91. sent r duire les maladies hydriques Selon les cadres dirigeants le Tata Swach la traduction Hindi de propre r pond aux normes am ri caines de la US Environmental Protection Agency Agence pour la Protection de l Environnement des Etats Unis et ne n cessite pas d eau courante d lectricit ou d bullition Il est plus conomique que l eau bouillie moins cher que l eau en bouteilles et deux fois et demi moins on reux que le syst me d puration bas prix Pureit de la soci t Hindustan Unilever si on s en r f re aux donn es fournies par les compagnies Les cadres dirigeants disent que le mod le actuel ne neutralise pas les produits chimiques comme l arsenic ou le fluorure qui contaminent quelques eaux souterraines en Inde mais les futures versions le feront La production initiale se montera un million d unit s par an produites par une usine de Tata Chemicals Haldia dans le Bengale Occidental avec une progression pr vue de trois millions d unit s par an dans les cinq ans venir Les cadres dirigeants disent qu ils pr voient d investir un milliard de Roupies dans le projet au cours des cinq prochaines ann es et finalement d exporter le syst me d puration en Afrique Pour plus d information contacter Tata Chemicals Bombay House 24 Homi Mody Street Mumbai 400 001 India T l 91 22 6665 S282 Email info tata com Site Internet www fata com 17 Eau Des sy
92. ss environ 600 Kshs en prix de gros Willy Kisongok fonctionnaire la retraite est membre du Groupe Jitahidi qui a travaill avec Africa Now le Minist re de l Agriculture KARI et FARM Africa sur l am lioration des m thodes de culture de la banane Il dit qu il ne plante plus de ma s ou de haricots parce qu ils ne sont plus 22 DRE L Willy Kisongok a abandonn la culture du ma s et des haricots car les bananes rapportent plus L LA br 5 Kennedy Odhiambo Omollo a utilis l argent de la vente des ananas pour investir dans une entre Source MATF rentables Je r coltais au plus 3 sacs de ma s J en vendais deux pour 2 000 Kshs au maximum Si on prend en consid ration le temps pass et les efforts fournis a n en vaut pas la peine compar aux rendements de la banane Il explique que dans le temps les gens devaient r soudre leurs probl mes tout seuls et souvent ne disposaient pas des connaissances et des comp tences n cessaires pour se sortir de la pauvret Cependant Willy ajoute Il est encourageant que ceux d entre nous qui ont adopt la technologie aient pu la Vide Source MATF www technologieappropriee com transmettre aux autres villageois De m me le fait de former un groupe a augment leur capacit de n gociation et a permis la diffusion de l innovation par le biais des groupes d entraide Brian Gesicho le secr taire respon sable de l orga
93. st mes d irrigation nergie solaire am liorent les moyens d existence Selon un rapport d Ashley Dean des pompes nergie solaire install es dans des villages recul s du B nin permettent de fournir de l eau pour l irrigation de mani re rentable en particulier pendant la longue saison s che e AA z s DE 4 N ls gt e R va 3 p TVA Le lt gt lt ES T or re r F et OUT iii LEUR a Une femme nettoie un panneau solaire faisant fonctionner le syst me d irrigation goutte goutte dans un village du B nin Selon une nouvelle tude r alis e par l Universit de Stanford les syst mes d irrigation goutte goutte nergie solaire accroissent sensiblement les revenus des m nages et am liorent le r gime alimentaire des villageois qui vivent dans la partie aride de l Afrique sub saharienne Notre tude de cas sur des groupes de femmes agricultrices en zone rurale au B nin a r v l que l irrigation goutte goutte nergie solaire une technologie propre et comp titive au niveau des co ts a sensiblement am lior la nutrition et la s curit alimentaire de m me que les revenus des m nages en une ann e rapporte Jenniver Burney une intellectuelle titulaire d un doctorat participant au Programme sur la S curit Alimentaire et l Environnement Stanford De plus selon Burney les 18 Source Marshall Burke sys
94. t le d clin du financement national et inter national de l agriculture de la s curit alimentaire et du d veloppement rural dans les pays mergents Les d l gu s ont d cid de promouvoir de nouveaux investissements pour augmenter la productivit et la production d une agriculture durable de r duire la pauvret et de travailler pour atteindre la s curit alimentaire et l acc s la nourriture pour tous Il est vital d investir plus dans l agri culture bien s r mais 1l est bien plus important de savoir comment et o r aliser cet investissement L appel concernait une production agricole durable mais qu est ce que a veut dire Il ne fait aucun doute que l investissement ira dans la recherche pour le d veloppement de cultures r sistant la s cheresse aux ravageurs et ayant des rendements plus lev s Tous ces points sont fortement n cessaires mais en accomplissant ce travail nous ne devons pas oublier ou ignorer les besoins des petits exploitants agricoles et A Le Fu rer Aa ni B f m Bangalore en Inde Br E A nf bete ml Ni D E SE ai ir Dhi ML EP i Ti T LE 1 Des fermiers indiens rendent leur verdict lors de la Ra tapeerpu qui s est tenue r cemment l i vE TE TR P di Aa A Ut autres membres de la communaut Les inclure dans toutes les d cisions est crucial pour mettre un terme la faim et la malnutrition Il est en
95. t mes nergie solaire d irrigation goutte goutte permettent la population de ne plus d pendre des pr cipitations saisonni res ce qui limitait g n ralement les fermiers ne produire que 3 6 mois par an et engendrent la production de cultures diversifi es de grande valeur en Afrique rurale Projet pilote En 2007 avec le soutien du Stanford s Woods Institute for the Environment Burney et ses coll gues ont rejoint le Solar Electric Light Fund SELF organisme but non lucratif pour travailler sur un projet pilote portant sur l irrigation dans les zones rurales du B nin Le SELF a financ et g r l installation de trois syst mes nergie solaire d irrigation goutte goutte dans deux villages de la r gion de Kalal au www technologieappropriee com B nin Chaque syst me est utilis par un groupe local d agricultrices groupe qui consiste habituellement en 30 35 femmes lesquelles partagent les co ts d entretien de cette nouvelle technologie d irrigation L installation de cet quipement signifie que les femmes et les petites filles qui traditionnellement trans portaient l eau la main sont maintenant disponibles pour cultiver des l gumes en particulier pendant la saison s che Afin de mesurer l impact de la technologie solaire de l irrigation goutte goutte les chercheurs ont suivi des groupes de fermiers utilisant ces nouveaux syst mes d irrigation de m me que deu
96. t de l Agro commerce au Ghana on esp re avoir plus de 2000 personnes form es devenir commer ants en intrants agricoles Le projet est financ par l Alliance for a Green Revolution in Africa AGRA Alliance pour une k f Les fermiers du Ghana peuven 36 R volution Verte en Afrique Apr s la formation les commer ants recevront une certification pour la vente des intrants et la production de semences Ils auront appris comment g rer leur entre prise afin d accro tre leur commerce et d apporter aux fermiers les connais sances et les informations qui augmenteront leur production Le projet du GADD esp re augmenter la produc tivit des fermes les revenus et le bien tre de 850 000 petits cultivateurs en rendant les semences les engrais et les produits phyto sanitaires plus acces sibles et plus abordables financi rement Le projet est soutenu par le Minist re de l Agriculture et de l Alimentation et par l Environmental Protection Agency Agence de Protection de D es www technologieappropriee com l Environnement du Ghana en collabo ration avec l AGRA et l International Centre for Soil Fertility and Agricultural Development IFDC Centre International pour la Fertilit des Sols et le D veloppement de l Agriculture Former les agro commer ants est tr s important pour le d veloppement d un bon fonctionnement du march des intrants parce qu ils fournissent aux fermiers les informations dont i
97. t r alis par l intro duction du s chage solaire Il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond confie David Otieno Il y avait des disparit s dans la production parce que les fermiers ne poss daient pas les bonnes connaissances Quand le MATF a mis l id e de la technologie du s chage nous avons su imm diatement que a marcherait pour eux De meilleures pratiques agronomiques Selon Justus Ongiri le coordinateur du projet d Africa Now les fermiers qui ont particip aux groupes de formation utilisent maintenant de nouvelles m thodes de plantation dont l utili sation de la double rang e pour les pieds d ananas des engrais appropri s et des m thodes de contr le des ravageurs Tout cela a stimul la qualit et la quantit de leur production Helen Saiah une arboricultrice m re de quatre enfants cultive trois Technologie Appropri e Vol 1 No 1 acres de pieds d ananas dont 2 5 acres en location pendant quatre ans pour un montant de 7500 Ksh 98 Il y a longtemps avant ce projet je faisais pousser des ananas sur de simples rang es mais j ai appris par le KARI que ce n tait pas une bonne fa on de faire et J ai donc adopt la nouvelle m thode de plantation en doubles rang es Avec des simples rang es ses pieds d ananas produisaient des fruits de 1 5 2 kilogrammes Maintenant en doubles rang es elle obtient des rendements plus lev s des fruits plus gros de tro
98. tage des eaux et par le reboisement est une pi ce ma tresse du travail entrepris Une activit qui ressort du rapport est le contr le de l eau A cause du Le commerce changement climatique certaines r gions re oivent trop d eau avec trop d intensit et d impr visibilit tandis que d autres r gions subissent des pr cipitations plus faibles et plus irr guli res ainsi que des s cheresses Les deux ph nom nes leur causent d immenses probl mes Au Salvador les communaut s combattent les inondations brutales et les glissements de terrain qui les ruinent en semant de l herbe et en plantant des arbres qui fixent le sol en utilisant des syst mes d alerte pr coce et en tablissant une cartographie des communaut s risque Au N pal les menaces sur les vies dues aux inonda tions brutales et r p titives ont incit semer de l herbe et planter des arbres de la r gion un v nement important La septi me rencontre minist rielle de l Organisation Mondiale du Commerce OMC peine remarqu e par les m dias a aussi eu lieu en d cembre 2009 Le manque de couverture par la presse est compr hensible Contrairement aux rencontres minist rielles controvers es de l OMC de ces derni res ann es notamment Seattle en 1999 Doha en 2001 et Cancun en 2003 la derni re ressem blait plus un p tard mouill sans r el questionnement de la part du tr s discr dit Doha Round L Institute for
99. tance de l agro sylviculture la coexis tence sur la m me parcelle de cultures et d arbres Cela aide les fermiers se sentir moins vuln rables face au changement climatique tout en contribuant l enrichissement des terres arables ce qui est pr cieux en p riode de s cheresse Au Sri Lanka un projet associant la plantation d arbres avec la production d lectricit vise r duire la vuln ra bilit en encourageant les populations rurales planter des arbres qui servent de mati re premi re pour fabriquer de l lectricit Et un projet novateur en Afghanistan exploite l nergie de la technologie solaire et les ressources des communaut s rurales locales pour amener l lectrification solaire dans les villages Le rapport se conclut sur les paroles d une fillette de 10 ans parlant de son devenir sur une le des Philippines qui subit le changement climatique Je crois qu il y a encore de l espoir pour nous tous Il y a de l espoir et ce rapport fait la lumi re sur une partie de cet espoir Mais les populations des pays mergents doivent faire ce travail d att nuation et d adaptation parce que nous l Ouest nous ne pouvons pas contr ler nos missions de carbone L Ouest est responsable du probl me et les gens qui eux n en sont pas respon sables doivent consacrer du temps et des efforts pour y faire face Cette injustice profonde ne peut tre corrig e que si les gros metteurs de carbone ti
100. tif tournesol pour v rifier la concen tration Mettez les bambous en position verticale dans un bidon vide et r cup rez le surplus de pr servateur s coulant de la canne Remarque cette m thode ne s applique pas aux bambous parois fines La rentabilit de la pr servation D une mani re g n rale un bon pr ser vateur chimique peut augmenter la dur e de vie naturelle des bambous de 15 ans l air libre et de 25 ans sous abri Malheureusement tr s peu de donn es sont connues en ce qui concerne le prix de la pr servation L auteur a calcul partir d un cas concret en Afrique en 1985 que la pr servation effectu e avec Octabor dans un r servoir ouvert co te 30 pour cent du prix du bambou ce qui est certainement rentable Le m me taux a t trouv au Costa Rica en 1994 avec du bore et la m thode de 29 La technologie lance un d fi la pauvret La a Bidon sur tour b Tube r sistance la pression c Vannes d Tuyau en acier ou en fer e Raccordement des tubes avec des colliers f Bambous g Cuve d gouttage m thode de Boucherie Collier pour relier les bambous 30 www technologieappropriee com Boucherie le bambou co te 0 36 au m tre et le pr servateur 0 13 au m tre Pour une utilisation rentable du bambou dans le cadre de la construction il est important de se soucier de m thodes de fabrication Judicieuses Les termites Si le bambou
101. tion du bambou Gestion int gr e des ravageurs Du ma s de meilleure qualit avec Aflasafe Agriculture Une agriculture appropri e ces dix prochaines ann es Les agro commer ants re oivent une certification pour approvisionner les fermiers en intrants Les fermiers de l Ouest de l Afrique lancent un d fi aux chercheurs agronomes L enfouissement en profondeur de l ur e porte ses fruits au Burkina Faso Agro industrie Les nouveaux centres de transformation relancent le manioc Les diteurs expriment leur reconnaissance envers Misereor CAFOD ITDG Peace Corps et VSO pour le soutien apport Technologie Appropri e par la r gularit et le nombre lev de leurs abonnements Couverture Des fermi res sur les berges du fleuve Niger utilisent une pompe p dale pour puiser l eau d arrosage de leur parcelle de l gumes situ e proximit Source AVRDC Centre Mondial de Recherche pour le D veloppement des Cultures Mara ch res voir page 14 www technologieappropriee com 3 Commentaire Rien ne pousse d en haut La production agricole devra augmenter de 70 et plus entre maintenant et 2050 si l on veut nourrir une population mondiale estim e plus de neuf milliards d tres humains C est pour cette raison que le Sommet Mondial sur la S curit Alimentaire a t tenu la fin de l ann e derni re C est l qu il a t d cid de renverser la tendance d sas treuse de ce qui arrive maintenan
102. tion ne peut tre reproduite ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit ou utilis e dans un quelconque syst me de recherche d information sans la permission crite et pr alable de l diteur sauf pour ce qui suit 1 les abonn s peuvent reproduire seulement dans le cadre d une distribution interne les pages des points forts le sommaire des actualit s et les pages des tables des mati res sauf si ces pages sont vendues s par ment 2 Les abonn s qui ont souscrit The Copyright Licensing Agency Ltd 90 Tottenham Court Road London W1P 9HE UK ou The Copyright Clearance Center USA et qui payent la somme de 2 00 US de frais de reproduction par page peuvent reproduire des parties de cette publication mais pas des publications dans leur ensemble Le Copyright Clearance Center est situ au 222 Rosewood Drive Danvers Massachussetts 01923 USA T l 1 978 750 8400 Les Editeurs ou les R dacteurs rejettent toute responsabilit concernant toute blessure et ou dommage survenant aux personnes ou aux biens dans le cadre de la responsabilit du fabricant de n gli gence ou tout autre fait ou provenant de toute utilisation ou fonction nement de toute m thode produit mode d emploi ou id e contenus dans cette publication Les publicit s doivent se conformer aux standards thiques mais l insertion dans cette publication ne doit pas tre consid r e comme un gage de qualit de valeur ou de s cur
103. ts d ananas et je suis sure de r colter pour 40000 Kshs par mois Avec ces sommes amass es Helen a pu payer pour sa fille de 15 ans les frais de scolarit du coll ge s levant 30000 Kshs Caroline Owuor mari e trois enfants a pu multiplier sa production d ananas par cinq jusqu atteindre 30000 rejets en l espace de deux ans Son exploitation s est agrandie de 0 5 acres 3 5 acres Sa premi re r colte lui a fait gagner 30000 Kshs Avec cet argent elle a achet une vache 20000 Kshs a pay 3000 Kshs pour la garderie de son enfant et a pu aussi acheter de la nourriture et des m dica ments Carolyne esp re augmenter sa production afin de pouvoir se diver sifier dans d autres secteurs Gr ce la production d ananas Kennedy Odhiambo Omollo a pu investir dans une entreprise de moto taxi connue localement sous le nom de boda boda Il a gagn 48000 Kshs avec son exploitation et apr s avoir obtenu un pr t de 35000 Kshs aupr s d un parent il a pu acheter une moto Ce p re de deux enfants dit que les progr s qu il a faits l ont convaincu que la culture de l ananas est rentable et durable Kennedy a aujourd hui agrandi la superficie de sa ferme et a engag des ouvriers pour l aider 21 FARM Africa 6 s prise de moto taxi Les bananes A Gambogi un r gime de bananes avant l introduction de vari t s provenant de cultures de tissus atteignait une moyenne de 70 Kshs mais cela est pa
104. u fond de sa gorge au moins trois fois Consultez un docteur aussi vite que possible prenez un emballage du pr servateur avec vous et montrez le au docteur L acide borique le borax et le bore sont moins chers que les CCA et moins nocifs Pour l acide borique et le borax les d nominations commerciales incluent l Octabor La concentration de la solution est de 2 5 pour cent de chaque dissoudre dans de l eau chaude la r tention pour une utili sation sous abri seulement est de 5 kg m3 Pour le bore la d nomination dans sa totalit est Octaborate disodique t trahydrate la concentration est de 10 pour cent dans l eau Cependant les deux suinteront du bambou lorsqu il sera humide M thode m thode de r servoir ouvert ou m thode de Boucherie modifi e jusqu ce que l humidit dans 10 pour cent du volume du bambou ait disparue du c t inf rieur Le carburant diesel n est pas Technologie Appropri e Vol 1 No 1 toxique mais les scarab es n aiment pas son odeur Ils attendent que l odeur ait disparu ou qu ils aient vraiment faim Trois m thodes de traitement du bambou avec ces pr servateurs sont d crites ainsi Mettez la solution dans une cuve l aide d un seau en plastique Avant de disposer le bambou dans la cuve coupez le la taille requise en le partageant si n cessaire afin de ne pas traiter du bambou qui ne sera pas utilis Tous les bambous doivent tre recouverts de pr
105. ues jours apr s le repiquage Les plants de riz absorbent le pr cieux azote plus directement au fur et mesure de la lente dissolution de la pastille Ce proc d r duit de mani re significative la quantit d ur e qui se volatilise dans l atmosph re ou qui dispara t dans les eaux de fond L adoption de la technologie de l EPU comporte deux avantages principaux l accroissement des rende ments et la r duction des co ts de l engrais Ces deux avantages sont le r sultat de l efficacit de l absorption d un azote am lior rendu possible par une plus grande taille de la particule de l ur e et par la m thode du niveau d enfouissement Les fermiers appr cient l EPU car il leur conomise de l argent et du travail Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Ils doivent mettre l engrais juste une fois au lieu de deux ou trois fois avec la m thode traditionnelle d pandage de l engrais et 1l y a moins de mauvaises herbes qui poussent avec la technique de l EPU Autrement dit les fermiers utilisent moins d engrais tout en accroissant leurs rendements Les Gouvernements voient l EPU comme une fa on d utiliser des engrais on reux sur une plus longue dur e de temps et d conomiser de rares changes avec l tranger en r duisant ainsi les impor tations d engrais Le Dr Bidjokazo Fofana le coordi nateur de l EPU pour l Afrique sub saharienne d clare l EPU s est r pandu avec succ s en Asie mais 1l
106. ulinaire destin aux m nages et aux restaurants d entreprise Un syst me de d monstration utilisant des d chets organiques fournit aujourd hui du gaz usage culinaire au restaurant d entreprise du NIE Un porte parole du CREST a d clar qu environ deux kg de d chets culinaires produisent 500 grammes de m thane Il fait remarquer que l instal lation d un syst me de biogaz est la mani re la plus simple et la plus rentable d utiliser entre autres de grandes quantit s de d chets culinaires Il pense que la capacit du digesteur de biogaz peut tre adapt e aux exigences de l utilisateur De plus les r sidus du digesteur s av rent tre un tr s bon Technologie Appropri e Vol 1 No 1 engrais organique utiliser dans les jardins Enzen Global Solutions EGS une soci t de conseils aide les organisa tions installer des syst mes de biogaz qui produisent du m thane partir de d chets v g taux dans des conditions ana robies Ram Kumar Purushotham vice pr sident associ a expliqu que les d chets une fois ins r s dans le digesteur d marrent le processus de digestion ana robie gr ce au processus de m thanisation Selon lui un syst me traitant 350 500 kg peut fabriquer du gaz en quantit gale celle contenue dans une bouteille de gaz A Bangalore beaucoup de technop les et de grands ensembles industriels installent maintenant des syst mes de biogaz utilisant des d
107. us risque seront rapidement identi fi es et vit es Les mesures de protection Les mesures prises pour la conservation des versants proposaient des mat riaux de construction bon march Les hommes et les femmes ont particip aux travaux Ceux ci ont t effectu s en utilisant des mat riaux locaux plut t que du b ton car ils sont meilleur march plus faciles utiliser ne n ces sitent par de grandes comp tences techniques et les constructions peuvent tre rig es rapidement Les structures les plus utilis es pour stabiliser les terres en pente et r duire le risque d effondrement ou de ravinement taient des barri res ou des tranch es labor es avec des bambous et autres arbrisseaux qui retiennent les r sidus de plantes et reconstituent le sol Pour la protection des routes des ponts et des habitations des mat riaux tels que le bois de vieux pneumatiques des troncs d arbres des pierres des fils de fer ou des roseaux et des herbes ont t utilis s pour la construction des digues Tout se trouve localement et 1l n a pas t n cessaire de d penser de l argent pour Technologie Appropri e Vol I No 1 e f Le ir ln u a A j f 7 Jm t ri ha Pr 1E au F ma Pa F n EU ea EU EP ur a NL D Ten ONU Les terres agricoles ont t modernis es avec des arbres fruitiers et des tendues d herbes qui i p R a s eti An fixent le sol des mat riaux v
108. us d am nagement qui a Technologie Appropri e Vol I No 1 P L nj f Ma W On cultive des pleurotes en des familles b n fici d une participation locale a donn une plus grande confiance aux gens et les a encourag s eux et l admi nistration locale apporter plus Cela a permis au projet de r duire leurs contri butions Parce qu il est n cessaire de se plier aux politiques et aux conditions clima tiques les projets et les r alisations doivent tre souples pour aboutir Avec une adaptation au lieu des m thodes efficaces et rentables ont g n r un P pe F PA SS T s o www technologieappropriee com hu tres pour am liorer la s curit alimentaire et augmenter le revenu far u A j r 7 Bii bo Ua Fa Les familles ont t inform es des avantages faire pousser l Amaranthus g Z German Technical Cooperation Source GTZ RyGRAC sentiment de propri t et donc de durabilit Le projet a d montr qu il n y pas de solution ou de mod le type Chaque situation est diff rente et n cessite une souplesse de gestion Pour plus d information contacter Alois Kohler GTZ RyGRAC Edif Topacio Azul Of 303 13 Calle 2 60 Z 10 01010 Ciudad de Guatemala T l 502 24299615 email Alois Kohler gtz de En Source GTZ RyGRAC 13 Eau M oins de travail avec un syst me d irrigation rudimentaire Dans l ouest de l Afrique pendant la saison s che
109. ussi vendre Technologie Appropri e Vol 1 No 1 La biodiversit est encourag e par la tenue de foires aux semences qui aident les fermiers se procurer des vari t s locales Source GTZ RyGRAC localement le surplus d animaux pour am liorer ses moyens d existence et donner aux autres communaut s l opportunit d acheter du cheptel Retomb es Cette d marche de reconstruction apr s la catastrophe et de choix d un syst me agricole durable mettre en oeuvre a t vitale pour les communaut s Elles sont maintenant plus m me de s adapter et de surmonter les retomb es n gatives de nouvelles situations qu elles peuvent tre amen es vivre comme le changement climatique qui affectera les communaut s install es dans le bassin de la rivi re Cuilco Une totalit de 4 400 familles connaissent maintenant une vie plus sure parce que leurs routes sont s curis es et leur r gion est moins susceptible de subir des inondations et des glissements de terrain gr ce aux mesures de protection Un travail similaire est entrepris dans d autres r gions Plus de gens ont maintenant t form s pour pouvoir se pr munir contre les catastrophes naturelles et peuvent mieux faire face aux d sastres quand ils surviennent Conclusion Sans le projet la r gion n aurait pas t modernis e et les fermiers n auraient pas non plus t capables de restaurer leur agriculture Il ne fait aucun doute que le process
110. ver le bambou signifie m une gestion judicieuse du stockage et du moment de coupe couper le bambou lorsque le taux d amidon est faible m faire attention bien stocker le bambou dans un endroit sec m prot ger le bambou des projec tions de pluie construire un toit avec une avanc e m faire en sorte que le bambou s che rapidement et enti rement apr s que la pluie ait cess de tomber viter le contact avec le sol mettre des pierres pour la fondation etc voir Chapitre 5 de Building with Bamboo de Jules J A Janssen m poser le bambou sur l extr mit la plus fine Avant de s occuper de la pr servation 1l faudrait d abord discuter de la long vit naturelle Elle est plus faible que pour le bois et dans la plupart des cas elle est trop basse pour une dur e de vie rentable La dur e de vie d un bambou non trait est m en contact avec l air et le sol de 1 3 ans m sous abri de 4 6 ans m sous abri et sous un climat peu humide de 10 15 ans Normalement le bambou subit des attaques de moisissures pourriture seulement en cas d humidit et d insectes scarab es et termites Pour viter ces derniers le bois doit tre trait Malheureusement 1l est vraiment difficile de traiter du bambou les rev tements internes et externes sont tr s compacts et les vaisseaux au travers desquels un liquide pourrait tre inject ne couvrent que 10 pour cent environ de la coupe transversale d un
111. w un org millennium goals summitstroy shtml Abonnez vous Technologie Appropri e r Veuillez m envoyer Technologie Appropri e quatr Nom ieappropriee eu Organisation Adresse T l num ros trimestriels pendant une ann e d butant avec le num ro actuel Veuillez compl ter le formulaire ci apr s ou remplir le bon de commande sur notre site internet 158 US5 316 pour les institutions 1 52 US 104 abonnement individuel Email Vous pouvez aussi consulter notre site internet N de carte D z T E a O des Abonnements Research Information Ltd Grenville Court Britwell Road Burnham Bucks SL1 8DF Angleterre T l 44 1628 600499 Fax 44 1628 600488 Email info researchinformation co uk www technologieappropriee Da i eu Signature Date d expiration Nom du titulaire de la carte Pri re de m envoyer la facture Ci joint un ch que l ordre de Research Information Ltd Veuillez d biter ma carte de cr dit d tails ci dessous Mastercard Visa Amex N de s curit www technologieappropriee com Technologie Appropri e Vol 1 No 1 Sant Les m dicaments contrefaits tuent plus de 700 000 personnes chaque ann e Un nouveau rapport de l International Policy Network donne les d tails du tribu r voltant pay aux m dicaments contrefaits par les pays les moins d velopp s On estim
112. x villages t moins o les femmes continuaient cultiver des l gumes dans des jardins tradition nellement arros s la main Des enqu tes sur les m nages ont t men es au d but du projet en novembre 2007 et de nouveau en novembre 2008 Alimentation et revenu Les r sultats sont saisissants Selon Burney en seulement une ann e nous avons constat que les syst mes photo volta ques d irrigation goutte goutte ont eu des cons quences importantes sur la s curit alimentaire et la nutrition de m me que sur les revenus des m nages Selon Burney les trois syst mes d irrigation nergie solaire ont fourni en moyenne 1 9 m tre cube d eau par mois permettant des cultures de grande valeur telles que les tomates les gombos les poivrons les aubergines et les carottes Dans les villages b n fi ciant de l irrigation solaire la consom mation de l gumes est pass e de trois cinq portions par Jour avec le plus gros de l am lioration pendant la longue saison s che Dans un monde o 20 25 pour cent des maladies touchant les enfants sont dues la malnutrition de telles am liorations pourraient avoir de grandes r percussions dans l avenir Dix sept pour cent des b n fici aires du projet ont rapport ressentir une moins grande ins curit alimen taire cons quence remarquable de l acc s la fois aux produits de saison et aux produits disponibles tout au long de Technologi

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