tome 2.indd - Editions Dangles
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1. agisse de l observation directe extravertie des v nements ext rieurs ou de la rem moration introvertie de souvenirs ou d informations stock s l int rieur de l Esprit Notice succincte 21 Cette division basique est fondamentale car comme on le verra elle permet de visualiser en raccourci et souvent sur l instant comment l Esprit enregistre et comprend les donn es s enrichit ou s appauvrit s quilibre ou enfin de compte peut se d s quilibrer jusqu la psychose Entretien et alt ration du R cepteur et du D codeur L Esprit humain autant que celui de l animal est con u pour fonctionner en balance et en synchronisation continues entre la vision passive R cepteur et l analyse active D codeur Mais pour que chaque outil reste en bon tat il est n cessaire que le R cepteur ZS soit souvent orient vers l ext rieur et que le D codeur ZP entretienne son activit int rieure Faute de quoi leurs capacit s peuvent perdre de leur acuit jusqu l inefficacit g n ratrice d anarchie le R cepteur pouvant s opacifier jusqu la c cit et le D codeur se min raliser Et la complication ne s arr te pas l Ce travail R ception D codage concerne chaque Fonction Fonctions de l Esprit Log es dans les parois de la boule Amorc es par Jung qui n en a d fini que 4 ignor es par l univers Psy les 10 Fonctions sont les Structures fondame2. action dans l int r t le plaisir ou la n cessit La faim fait sortir le loup du bois Le Retentissement Primaire P ou Secondaire S Le Primaire r agit superficiellement en un temps premier sur l instant en un temps premier instantan plut t Le Secondaire r agit plus profond ment en un temps second Les Caract res Primaires sont Extravertis les Caract res Secondaires sont Introvertis Deux exceptions le Nerveux et le Passionn qui peuvent tre soit l un soit l autre 24 MALADIES MENTALES Les 8 caract res Les caract res d finissent donc les modes d adaptation du sujet aux v ne ments et clairent la logique des perturbations et pathologies possibles nE nA P Amorphe Peu d Emotivit nE Peu de tendance l Action nA R actions instan tan es P et provisoires aux v nements Risques peu de r alisation laisser aller parasitisme social Ces deux caract res ont en positif une capacit de r ceptivit et d adapta tion qui nous vaut de nombreux artistes notamment acteurs et musiciens nE nA S Apathique Peu d Emotivit nE Peu de tendance l Action nA Nature tranquille tendance passive S Doit apprendre chercher des situations dans lesquelles il est entra n Risque repli sur soi D ch ance Schizophr nie E nA P 2 types Nerveux extraverti Les r actions motionnelles instantan es aux v ne ments ext rieurs
3. expliquer l tiologie par la psychologie N pomuc ne est neurasth nique parce qu il a eu une m re castratrice affirme un psychanalyste parce qu il s est trop masturb pr tend un psy chiatre Mais tous deux sont incapables d expliquer pourquoi Romuald son fr re qui a eu la m me m re et qui s est masturb deux fois plus est un joyeux luron Causes implicites relatives aux structures Les causes implicites ou internes rel vent de la connaissance g n rale de l anatomie physiologie invisible de l Esprit et des particularit s tout aussi invisibles des Structures li es l Inn de chacun Ainsi s expliquent aussi bien la logique des perturbations que celle de comportements apparemment contra dictoires 203 TABLE DES MATI RES Notice SUCCESS den 17 Chapitre II Entr e en Psychatrie nadia 27 Chapitre II Obsessions et PhObiess ns ne ne 39 OR a ie ee a Ne 45 Chapitre IV ANGOISSE nd nn done en ados 55 Chapitre V Depressiooni eree e E E a nes 69 Le prince aux Ye x de POlOURS es sresnsartanmenneiansn 70 R CRE D PNR SE DE A 91 Chapitre VI Hysterie nn r T rE PTEE A 93 Jo l le cr ne qu on vita d ouvrit sis eridereeendien dus 109 Chapitre VII PARA On nd E a ERNA EANES 113 L pouse qui avait un trou dans la l E tirs sscrianceretaansestenter anses 124 Chapitre VIII Schizophrenie ninn e annenrnntaent 127 Le congr s des magiciens diDIOM S nissan 152 Chapitre IX Mani D
4. DIONSINE 525 eds sstoriterneneus dite etes tsiennce ter ales 155 Chapitre X L Enfant ses Bonheurs et ses Troubles 163 Chapitre XI LE SIG a ee on 185 Chapitre XII La Folie des Hommes et la Folie tout court 193 Le Conte du Quartz bien Taill dans la T te ss 196 R ferences eee 200 204 TABLE DES MATI RES du premier volume L Esprit humain clairement expliqu Digest n ccessaire mais insuffisant l attention des lecteurs qui n ont pas lu notre ouvrages pr c dent traitant en d tail de l Anatomie Physiologie de l Esprit humain dont voici la table des mati res Chapitre I Une r volution Proclamer le Savoir 9 Chapitre II Point d D p r ts sirisser reinaan irsini E a DEEA EN EESE EEE EEAS 11 Le Conte de la Zombification Parfaite ss 15 Chapitre III A la Recherche d une Notice de PEsprit 0 00 00eoseeeneeneeneeeeeenereereesrrsrrereeteeeereeseeee 17 Chapitre IV Justification de la Psychatrie Psychanalytique 0 0nonoseeoeeeee se eeeeseesereresserersreresereee 19 Crit res de la sant mentale Chapitre V L Ordinateur Psychique et son Programme ree reereererersrerreee 23 Chapitre VI Premi re Le on d Anatomie de l Esprit 27 Chapitre VII L intonstient Collectif nioma iniiae AN ina nain stone tn 39 L INDE TION MENM S BR Din a a 49 Chapitre VIII Centre d Volont Consciente 1
5. E P orientent ou d bordent la tendance l action nA Nature vibrante recherche du plaisir imm diat Risque le d sordre explosif Nerveux introverti Vibrations et motions int rieures multiples et anar chiques sans logique apparente Risque Hypocondrie E nAS Sentimental L Emotivit introvertie E S oriente ou domine la tendance l Action nA Id al lev perfectionnisme d vouement Risque culpabilit rumina tion nombrilisme anxieux schizo die nE A P Sanguin Exempt des effets de 1 Emotion nE Tendance aux actions imm diates A P R alisateur empirique Risque superficialit et peu d int r t pour les m andres subtils de la psychologie nE AS Flegmatique Peu troubl par l ext rieur nE M ne ses actions suivant ses id es profondes et ses principes A S Risque peu de communication sensible avec autrui E AP Col rique Esprit vibrant E P Entreprises rapides multiples et fi vreuses A P adapt es la r alit Enthousiaste sociable chaleureux R aliste con oit mal les m andres complexes de la psychologie Notice succincte 25 E AS Passionn Visions et actions personnelles vibrantes E et grandioses command es de l int rieur S C est le caract re de tous les grands chefs politiques et autres des meilleurs aux pires ou celui du tyran domestique qui sait tout et a toujours raison 2 types L Extraverti en pr
6. mode d emploi affectif et sensible se voit appliquer par son mari des normes de fonctionnement de tracteur agricole et que pour r parer les effets de la b vue il lui offre quelques pilules joliment color es 28 MALADIES MENTALES M decine et Psychiatrie deux domaines fondamentalement antinomiques Outre cet oubli du Bon Dieu et hors de toute pol mique la logique de l im passe est vidente M decine et Psychiatrie s obstinent traiter pareillement deux domaines fondamentalement antinomiques celui du corps mat riel et celui de l Esprit immat riel Qu on le veuille ou non le corps son anatomie et sa physiologie sont ma t riels et rel vent de l approche de la Science M dicale et de ses puissants moyens d investigation mat riels adapt s l observation et aux mesures pr ci ses pr l vements analyses autopsie radiographie chographie scanner etc Alors que pour explorer l Esprit univers al atoire d informations d id es et d motions il n existe qu un seul outil immat riel et subjectif celui l l Esprit du praticien fut il ou non m decin Et Bergson n arrange rien quand il affirme que seule l Intuition peut saisir sur l instant les remous toujours mouvants de l Esprit humain Ainsi la psychiatrie dans son concept traditionnel reste t elle r duite l ob servation des sympt mes regroup s en cat gories pathologiques et les endor mir sans pour autant en compr
7. 25 An din 51 Les Cent Jeunes Gens qui avaient Peur des Regards 55 Chapitre IX Les Fonctions de l ESprit 3 55554s scsi hen tiv inner 57 La Mission du Grand Savant DOctus usine siennes 87 Chapitre X La Caract rolotie 22 Se Re nn dei nine tree ie 91 205 Chapitre XI L Esprit au Masculin et f minin 111 Chapitre XII Pr lude FAMOUT sininen o in E CANANMNN NA ne 117 Chapitre XII L Amour AMOUTEUX 2525220 nan nn tn ei tante ere A 125 Les Cent Belles Jeunes Filles qui se Trouvaient Laides 0 0 n000n01000nn0nna0no aoao nan0a aane 135 Chapitre XIV La yie a DOI ana een aie ete due te ee 137 L alchimie du Couple Chapitre XV D viance et INTerdits 8 ss enserhenersisessssnisdnanrnnsiritssne ossi EENI 153 Chapitre XVI L amour Pervertir ss inenen rires reneis r a rainira nE EENE E LENSES ist ist renier EE 161 Chapitre XVII Les Motivations arne NT NE I E AA R AA E ERRE 165 Chapitre XVIII LE R VE ire A E TORA E A ds sms sion enr 172 La Damoiselle aux Cauchemars 193 Chapitre XIX Transcendance et Morale iniii a iis 195 Chapitre XX Morceaux Choisis de la Connaissance ssseeeeeeneeeeeet eiere ererrrtererstrrrrersrererrer rreren 199 Chapitre XXI D mythification de la Psychanalyse s oseseneeeeenseeeese sesen stetsrreestsrsrrestsrrsenrsessrnenst 217 Le Conte des Cinq Naufrag s volontaires snsnsssssisneineeri ens nnennennn seene seres enesenn ere ee 228 Chapitre XXII PSYChOS
8. Chapitre I Notice succinte l attention des lecteurs qui n ont pas lu notre pr c dent ouvrage L esprit humain clairement expliqu 18 MALADIES MENTALES RECEPTEUR DECODEUR O EXTRAVERTIES FONCTIONS INTROVERTIES ZONE SUPERFICIELLE CONSCIENT ZONE PROFONDE INCONSCIENT PERSONNEL INCONSCIENT COLLECTIF Fonctions vues de l ext rieur MODELE de L ESPRIT HUMAIN selon la Psychiatrie Psychanalytique Notice succincte 19 Description de l Esprit humain Un petit dessin vaut mieux qu un long discours attribu Napol on Ne pouvant expliquer l absolu de la Cr ation de tout ce qui existe de tout ce qui respire la science des hommes reste limit e en guise de consolation d finir des mod les souvent provisoires ayant quelque valeur pratique M me si les sensibilit s diff rent 1 Esprit humain repose sur le m me principe de base que l ordinateur une machine qui fonctionne avec des in formations Nous repr sentons donc l Esprit par une boule perc e d un trou au sommet Cette boule c est l ordinateur psychique Il inclut dans l paisseur de ses parois les Structures constitutives de tous les Esprits humains au m me titre que les parties constitutives du cerveau minemment variables en proportion et capacit s selon les personnes 10 Fonctions 5 Extraverties et 5 Introverties 6 donn es de Caract re P les masculin et f minin et leu
9. OMATIQUE 25555555 21 reset es e EE E EE RE 231 Chapitre XXIII Notre Non M thode de Travail 247 L Interview du Journaliste Papyrus Vinaigre ss 260 ES LAS EE A A 263
10. age aux USA pour se conforter dans l absurde N anmoins l illusion du succ s persiste depuis des d cennies D pression le traitement m dicamenteux doit viser la r mission compl te Quotidien du M decin 14 avril 2003 D pressions l efficacit des psychoth rapies utilis es seules n a pas en core t prouv e Professeur Grangier dans LA RECHERCHE Avril 2003 C cit ou mauvaise foi alors que l Orgueil de Gu rir et ses gu risons exemplaires c toient les ouvrages de Fran oise Dolto sur les rayons de la FNAC C est par les voies chimioth rapiques qu on peut esp rer sinon d cou vrir la gen se de la schizophr nie du moins apprendre mieux soulager les patients Extrait d une Conf rence du Pr X devant l Acad mie des Sciences Quotidien du M decin du 12 f vrier 1981 Reconnaissance vidente de l impasse pr sente et venir de la Psychiatrie Il est bien vrai que l approche de l Esprit par l Esprit pose de s rieux pro bl mes puisqu il importe que l Intuition psychologique du soignant soit pour le moins la mesure de la dimension de l Esprit humain en g n ral et celle du soign en particulier Approche des pannes de l Esprit Suivant la Psychiatrie Psychanalytique Malformations ou l sions organiques mises part toujours ou Presque d cel es par la M decine nul ne semble destin tre Malade Mental Donc la perturbation le
11. ans de cela cit dans l Orgueil de Gu rir Au chapitre Schizophr nie nous parlerons de S bastien 16 ans dont la Schizophr nie parano de dangereuse fut en quelques s ances transform e en subtilit psychologique Ses talents non r v l s taient l essentiel et la patholo gie r sultante un d r glage comme dans la meilleure et plus sophistiqu e des voitures de Formule 1 Probl me N vrose Psychose J ai tu as il a nous avons des probl mes On peut suivant la locution en usage parler de Probl me d s lors que l adaptation du sujet la vie et lui m me appara t satisfaisante mais qu il se retrouve trop souvent devant les m mes difficult s sentimentales familiales professionnelles ou qu il est anormalement inquiet anxieux triste ou mani feste de fa on r currente des troubles somatiques tels que digestion difficile sommeil perturb fatigue allergies ruptions cutan es etc Ces signes l gers qui peuvent para tre anodins n en sont pas moins des sympt mes d anomalies dans les r glages de l Esprit qui peuvent suivant les cas soit rester limit es leur stade soit se d velopper en direction de la N vrose ou de la Psychose Entr e en Psychatrie 33 Je suis tu es il est nous sommes n vros s Nous d finissons la N vrose comme une organisation psychologique qui nous emp che d atteindre au bonheur absolu ce qui condamne l esp ce humai ne osciller entre t
12. bitraires relatifs aux compor tements individuels et sociaux C est la Fonction des r gles et des lois Fonction des conventions Il sied de faire une Grande Ecole ou de fr quenter des gens bien Il est mals ant de roter table s crie la marquise honorable tradition r pond le mandarin chinois Sentiment froid ntroverti Fonction de l auto appr ciation ou de l auto d pr ciation Je suis sup rieur Je suis nul Je ne vaux rien Pens e Extravertie Fonction des raisonnements appliqu s l valuation des r alit s ext rieures sans intervention affective D marche scientifique math matique organisation industrielle valuation des principes de causes effet Valable pour la lionne qui calcule son attaque Pens e ntrovertie Fonction des raisonnements logiques appliqu s la sp culation int rieure C est la pens e philosophique par excellence On peut se poser la question du pourquoi nous sommes sur terre et philosopher sans fin sur le sujet puisqu il n y a pas de r ponse scientifique Intuition Extravertie Forme de connaissance qui ne recourt pas au raisonnement Petit Robert et nous ajoutons qui la diff rence de l imagination se v rifie dans les faits Fonction de la d couverte et de l invention de la perception directe et involon taire des liens invisibles qui peuvent relier entre eux des faits pars Intuition ntrovertie Fonction de la vision spontan e de
13. endre la logique et la nature L expression la plus flagrante de cette c cit tant les fameux D S M am ri cains Diagnostic and statistic Manual of Mental Disorders bible pour les tenants de la psychiatrie orthodoxe qui entendent r solument ramener les per turbations mentales et leurs m dications la description de leurs sympt mes L entreprise tant absurde les D S M 1 puis 2 puis 3 etc se succ dent r guli rement tels des rois d tr n s Ainsi peut on lire en synth se du Savoir ou plut t de l ignorance en vigueur D pression Jl n existe ni radio ni prise de sang qui puisse valider un diagnostic Enfin il faut bien reconna tre que m me s il existe des facteurs pr disposant et des v nements d clenchant personne ne conna t la cause pr cise d une d pression Extraits des maladies d pressives de Jean Pierre Oli chef de service de psychiatrie au centre hospitalier Sainte Anne Paris et du Pr Henri Loo Flammarion dit 2003 Entr e en Psychatrie 29 Un peu d histoire CATALOGUE PSYCHIATRIQUE CLASSIQUE DES MALADIES MENTALES Hier comme aujourd hui la compr hension de l Esprit par la Psychiatrie se limitant l observation des sympt mes et les sympt mes tant toujours les m mes le Manuel alphab tique de Psychiatrie d Antoine Porot P U F Ed 1964 auquel nous empruntons quelques lignes et d finitions est toujours d actualit Trad
14. incipe sensible la r alit et autrui L Introverti b tit des syst mes autoritaires dans l insensibilit autrui le dictateur Hitler Staline Paul Pot Risques crasement d autrui parano a folie des grandeurs Animus et Anima L Animus est la composante masculine de la femme qui lui conf re les ca ract ristiques masculines pens e rationnelle force adaptation aux r alit s mat rielles L Anima est la composante f minine de l homme qui lui conf re senti ment r ceptivit sensibilit aux tres intuition Chapitre II Entr e en Psychatrie Apr s avoir tudi en un premier ouvrage l anatomie physiologie de l Es prit vient la n cessit d en tudier les incidents de fonctionnement In vitables comme en toute machine d nomm s Maladies Mentales lesquelles ont jusqu pr sent t prises en charge par une sp cialit de la M decine la Psychiatrie Sans qu aucune explication coh rente ne leur soit trouv e Ceci parce que l inverse de tout appareil vendu dans les grandes ou pe tites surfaces tel qu un bigoudi chauffant le Cr ateur pour des raisons que nous ignorons pers v re livrer ce super ordinateur qu est l Esprit humain sans notice ni mode d emploi Chacun en est donc r duit improviser un modus vivendi et pour soi et pour autrui Or une notice de hasard ne peut convenir tous notamment lorsqu une femme qui rel ve d un
15. it et les r sultats qu il d livrera d pendront du bien fond des logiciels et programmes absorb s par le Conscient Les informations erron es ou insuffisantes pouvant se trans former en autant de virus perturbant toute la machine Ainsi appara t le r le prioritaire du Conscient charg de traiter l informa tion ce qui infirme consid rablement l approche Freudienne Zone Superficielle Zone Profonde R cepteur et D codeur Le Conscient assumant deux r les r ception et d codage nous avons t conduits distinguer deux niveaux dans le Conscient d nomm Zone Superfi cielle et Zone Profonde La Zone Superficielle plus particuli rement tourn e vers l ext rieur con ditionne l Extraversion Elle inclut un R cepteur con u pour accueillir pas sivement comme une lentille photographique ou une parabole de t l vision tout ce qui se passe aussi bien l ext rieur qu l int rieur de l Esprit La Zone Profonde plus particuli rement tourn e vers l int rieur condi tionne l Introversion Elle inclut un D codeur dont le r le est de d coder activement de quoi il s agit c est dire de comprendre ce que le R cepteur a capt Le R cepteur c est l appareil photographique le D codeur c est le photo graphe Toute acquisition ou compr hension consciente de l Esprit passe n cessai rement par la double op ration combin e de la r ception et du d codage qu il s
16. itionnellement les Maladies Mentales sont divis es en deux grands groupes les N vroses et les Psychoses Les N vroses sont des affections nerveuses tr s r pandues sans base anatomique connue et qui quoigu intimement li es la vie psychique du malade n alt re pas comme les psychoses sa personnalit et par la suite s accompagnent d une conscience p nible et le plus souvent excessive de l tat morbide Les Psychoses Sous ce terme g n ral sont d sign es les affections men tales les plus graves celles surtout que caract rise une atteinte globale de la personnalit par le processus pathologique La distinction entre Psychose et N vrose est importante d un point de vue pratique par ses incidences pronostiques et th rapeutiques son fondement th orique reste cependant assez impr cis Notre petit catalogue r sum des n vroses Anxi t tat d inqui tude lancinant plus ou moins motiv Angoisse tat de peur incoercible avec retentissements physiques boule dans la gorge n ud l estomac transpiration etc sans origine explicable Panique Acc s violent d angoisse D pressions Pleurs tat de malheur sans raison impuissance agir d go t de soi Les termes anciens de Asth nie Psychasth nie Neurasth nie et M lancolie sont rassembl s sous le chapiteau g n ral D pressions Mais comme le champ est plus complexe les augures parlent
17. ividu vit emmur dans un monde int rieur b ti sur des id es d lirantes associ es des hallucinations visuelles ou auditives Parano a ou Schizophr nie Parano de Ce qui vient d tre dit de la n vrose parano aque se poursuit par la Folie des Grandeurs et le d lire de pers cution Aujourd hui comme hier qu il s agisse des N vroses ou des Psychoses la Psychiatrie tend consid rer les troubles de l Esprit comme des entit s origina les au m me titre qu une jambe cass e une crise de foie une rougeole un cor au pied et se trouve dans l incapacit de voir la trame psychologique commune qui les sous tend Ainsi le discours pseudo savant ci dessous tay par les statistiques peut il faire illusion Entr e en Psychatrie 31 Quotidien du M decin mars 2003 L anxi t g n ralis e et l pisode d pressif majeur EDM surviennent souvent chez les m mes patients Cette comorbidit est soulign e par toutes les tudes pid miologiques notamment par la National Comorbidity Sur vey NCS qui retrouve au moins un pisode d pressif dans les ant c dents de 64 2 des patients souffrant d anxi t g n ralis e et une anxi t g n ralis e chez 17 2 des d prim s Wittchen et coll 1994 La question de la nature de l association comorbide entre anxi t g n ralis e et trouble d pressif est elle factuelle ou r elle Il tait videmment indispensable de faire le voy
18. maintenant de D pres sions l g res masqu es ou de V ritables D pressions ou encore de D pressions profondes voire encore D pressions r actionnelles 30 MALADIES MENTALES Obsessions Une id e un d sir un besoin une crainte obs dent le su jet sans qu il lui soit possible de s en d tacher peur de la maladie de la mort de l chec d sir de vengeance de se d truire de se laver les mains en continu etc N vrose Phobique Peur irraisonn e obs dante incontr lable d un objet d une maladie des microbes d un animal des excr ments etc Hyst rie Comportement motionnel excessif spectaculaire entra nant des perturbations psychosomatiques diverses sensations bizarres vanouisse ments paralysie pseudo pilepsie etc N vrose Parano aque Volont de domination m galomanie certitude d avoir toujours raison Dans la N vrose l int ress est en contact sensoriel avec la r alit alors que dans la Psychose il perd ce contact et voit ou entend des choses qui n exis ten pas hallucinations Catalogue des psychoses D lires Tous tats dans lesquels la pens e du sujet est en d calage par trop important avec la r alit Manie d pressive Maladie cyclique consid r e comme g n tique et irr versible qui s accomplit en deux temps excitation d lirante suivie d aboulie Schizophr nie Coup du monde ext rieur l ind
19. ntales de l Esprit bases et outils de l intelligence rationnelle sensorielle affective intuitive quivalentes aux organes pour le corps ou aux cylindres pour un moteur Sous zd velopp es elles jugulent nos moyens sont les racines de nos tour ments et l tat inconscient les racines des psychoses Sensation Extravertie Fonction de perception et d observation de la r alit ext rieure par les cinq sens Je regarde les passants dans la rue J coute le bruit de la pluie qui tombe Je go te une sauce pour l assaisonner Sensation ntrovertie Fonction de perception des ressentis l int rieur de soi Plaisirs et jouis sances int rieures bien tre mal tre malaises Je me sens bien je me sens mal Je jouis int rieurement d une musique Je savoure un met raffin C est le plaisir passif du drogu L orgasme par excellence rel ve de la Sensation Introvertie 22 MALADIES MENTALES Sentiment chaud Extraverti Fonction de la communication affective de l affection et de l amour tout autant que de la haine pour les tres r els J adore mon chat J aime ma femme Je d teste la tante L onie Sentiment chaud ntroverti Fonction des r veries et des repr sentations int rieures sentimentales et amoureuses J aime r ver du Prince Charmant J aime les romans d amour Fonction des romantiques Sentiment froid Extraverti Fonction de l thique des jugements de valeur ar
20. r s petits et grands n vros s A ce titre l imb cile heureux auquel on se r f re souvent n est pas n vros il est imb cile Dans le langage courant on parle de N vrose quand le Probl me a pris des proportions accentu es g nantes voire insupportables pour le sujet qui par ailleurs conserve toujours une perception normale de la r alit Pour la psychanalyse orthodoxe la n vrose appara t comme une sorte de monstruosit g n ralement ind logeable solidement ficel e au fond de l Inconscient Entre le Probl me et la N vrose il n y a pas de diff rence de nature il n y a qu une diff rence d intensit et de nuance verbale rassurante ou inqui tante La psychose La Psychose se d finit par une perte importante de contact avec la r alit Soit imaginaire l int ress est persuad m me quand il est seul dans une pi ce d tre en permanence observ par la police Soit sensorielle il entend des voix int rieures qui l insultent ou lui donnent des ordres il voit le Diable ou J sus Christ lui parler directement la t l vision Soit les deux il peut tre de surcro t charg de mission divine Causes explicites et causes implicites des perturbations Causes explicites relatives au v cu Ce sont les explications relatives au v cu du sujet visibles pourrait on dire auxquelles se r f re le plus souvent la tradition psychanalytique et psychiatri que quand elle tente d
21. rs composantes inverses Anima et Animus L Inconscient Collectif Celui ci g n tique commun tous les humains et m me aux animaux in clut les Arch types qui sont des concepts abstraits tels le Bien le Mal l Amour la Haine la Sup riorit l Inf riorit la Perfection l Imperfection la S curit l Ins curit etc Introduction des Programmes et Informations Nous repr sentons les informations que re oit l Esprit par des billes p n trant par l orifice du sommet Au moment o elles p n trent dans la partie sup rieure elles sont conscien tes vous regardez les passants par la fen tre et constituent le Conscient Apr s un certain temps nombre de ces informations vont descendre dans le fond de la boule tre oubli es devenir inconscientes vous aurez oubli les passants de la rue et constituer l Inconscient personnel quivalent la m moire de l ordinateur 20 MALADIES MENTALES Ainsi se d finissent deux tages le Conscient et l Inconscient Personnel L Inconscient Personnel n est pas ce lieu infernal objet de toutes les angois ses de Freud repris par l univers Psy mais tout simplement une m moire comparable celle de l Ordinateur incluant l ensemble de nos acquis de nos exp riences et souvenirs oubli s et aussi et surtout des id es justes ou erro n es que nous avons emmagasin es Comme pour tout ordinateur le fonctionnement de l Espr
22. sympt me ou la Maladie Mentale sont le signe de logiciels ina dapt s d fectueux ou manquants ou de d r glages des Structures ou encore la cons quence d un insuffisant d veloppement g n ral 32 MALADIES MENTALES Le sujet le plus atteint ayant toujours quelque l ment normal l importance de la perturbation peut se mesurer au rapport entre le pathologique et le sa tisfaisant Adalbert est tr s angoiss mais vient d tre admis dans une cole d ing nieur Comprendre une perturbation de l Esprit ne se limite donc pas consid rer le sympt me la port e de tous mais envisager l int ress dans sa globalit pr sente et m me dans ses d veloppements futurs L essentiel c est l ensem ble des moyens pr sents ou potentiels dont dispose le patient lesquels peuvent d passer largement ceux du th rapeute et non la perturbation si impression nante soit elle C est en sachant mobiliser le meilleur pour renflouer le moins bon qu on obtient des r sultats rapides Il n y a pas n cessairement de rapport direct entre la gravit des sympt mes et la difficult ou facilit de r solution merveill par l intelligence et la culture de mon ami le Docteur Jean For tin j clatai de rire devant les causes videntes de sa D pression install e qui l avait presque men au suicide et qui fut r solue en quelques s ances pour ne jamais r appara tre Il y a quelque trente
23. th mes ternels po tiques religieux so t riques ou magiques Fonction des grands religieux des voyants et aussi celle des illumin s Notice succincte 23 Remarque fondamentale sur les Fonctions et les donn es de Caract res Pour une compr hension claire les Fonctions et donn es de Caract re sont pr sent es de mani re unilat rale et sans nuance Dans la r alit chacun mais en proportion diff rente poss de toutes les Fonctions De m me entre l Emotivit et la non Emotivit l Activit et la non Activit la Primarit et la Secondarit suivant les personnes toutes les nuan ces sont possibles Caract rologie La Caract rologie de Ren Le Senne d finit non seulement des crit res de personnalit mais la mani re dont l Esprit de chacun canalise son nergie et peut fabriquer ses d s quilibres jusqu la psychose Les comportements se d finissent au travers de 3 caract ristiques plus ou moins prononc es Emotivit Activit Retentissement motivit E et non motivit nE L Emotivit est une r action vibrante animatrice de l Esprit spontan e et amplifi e aux v nements La non motivit laisse le sujet l abri de cette vibration Activit A et non Activit nA L Activit est une tendance naturelle agir en dehors de toute obligation Les caract res non Actifs qui n ont pas spontan ment cette tendance trouvent leurs motivations d
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