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numéro 219

1. A 4 Au moment de vos choix l information joue pour vous CONSULTATION NATIONALE un r le important 69 2 un r le parmi d autres 25 Je prends la parole un r le secondaire 66 sans r ponse 17 5 Pour votre information scolaire et professionnelle vous 1 Vous avez choisi les tudes que vous voulez avez besoin plusieurs r ponses possibles pour l ann e prochaine g n rale sur les diff rents enseignements ZA pour les 2 3 ans venir approfondie sur les m tiers et les tudes 823 au del de 3 ans 200 sur les comp tences ma triser 62 3 n a pas encore choisi 97 information de type magazine 21 2 sans r ponse 44 2 Vous avez une id e du m tier que vous voulez faire La France manque entre autres pr cise 28 4 D i SE P ri piena 518 d enseignants de techniciens industriels encore floue 30 1 aucune id e 83 les RENDEZ VOUS du SIO CE EEROUES 34 vous permettront de rencontrer des vrais professionnels de ces m tiers au deuxi me trimestre 3 Vous avez besoin d information pour les choix que vous devez faire oui 824 non 16 0 7 Soyez l coute de l information sans r ponse 16 TOUT cE QUE I6 DEMANDE CET UN ToB EPANOUISANT MARAANT DANS UN CADRE HUMAINS PR S DE cHEZ MD ts NARD ET LE VENDREDI PAS AVANT MHEURES CT Bien PAYE A VOTRE DISPOSITION Agriculteur de la production la transformation Car
2. L Association C line et St phane dans son livre Changer la mort le professeur Schwarzenberg rapporte ces paroles d une maman portugaise Dans toutes les langues il ya un mot pour dire qu on a perdu un p re on est orphelin un mari on est veuve il n y a pas de mot pour dire qu on perdu un enfant tellement ce n est pas naturel C est en pensant la mort de Christian Magali Marie Murielle Thierry Christophe Hischom et beaucoup d autres et pour que cette mort ne soit pas inutile que l association Christian Bohmme est cr e en juillet 1977 Puis l association se d partementalise pour devenir l association C line et St phane En dehors de toute opinion politique philosophique confessionnelle ou syndicale sans tenir compte des nationalit s les buts qu elle poursuit dans le cadre des maladies du sang sont divers participer l am lioration des conditions d hospitalisation sur le plan humain sur le plan mat riel fournir aux malades et aux familles toutes les informations sociales juridiques etc dont ils auraient besoi soutenir moralement financi rement les familles touch es par la maladie pre participer toutes les actions ayant pour but de sensibiliser la population nouvoir et aider la recherche h matologique Lettre d un enfant de Dano C est vrai Je ne te connais pas C est vrai Tu ne me connais pas Pourt
3. 58 rue Rabelais 49000 ANGERS ESEO 41 88 60 35 ou 7 rue du Bois d Amour PONT AVEN GUICHAOUA Philippe BTS K2A 89 Le Penker 29120 COMBRIT LAGADIC Anne TB 2 88 89 27 rue Beaumarchais 29000 QUIMPER LAGADIC Philippe TB 86 87 27 rue Beaumarchais 29000 QUIMPER RIVOAL Christian 2 T 60 Ing nieur Commercial en Elec Prof 15 Ter rue Beaumarchais 92500 RUEIL MALMAI SON FAVENNEC Patrice TB 87 8 rue du 19 mars 1962 29120 PONT L ABBE gt Etudiant Sup de Co GRENOBLE Jusqu en 1991 Universit de BAMBERG en Allemagne Bei Moll Hinterer Grabein 10 D 8600 BAMBERG PATEROUR Yannick 316 Vieille route de Briec 29000 QUIMPER LOSQ Olivier BTS 89 90 20 rue de Kerbervet DOUARNENEZ FICHOU Gabriel 29 retrait SNCF et Equipement 26 rue Ch Gounod 29000 QUIMPER BOTHOREL Louis 5 me AT 41 42 Ing nieur ECAM 12 bis rue Oswaldo Cruz 75016 PARIS BARGAIN Christian Term Indust 68 Chef d entreprise Electricit Keristou Vraz 29700 PLUGUFFAN EHRET Yannick TG 22 88 89 15 route de St Thomas 29170 PLEUVEN gt Etudiant Fac de Droit BREST PUSTOC H Jean 1 re en 37 Retrait 89 r sidence Chateaubriand 22100 DINAN LE POURHIET Catherine FC G3 Vente N gociation 90 7 rue Charles Le Goffic 22480 St NICOLAS DU PELEM LOUBOUTIN Marcel 41 Math Elem Retrait 30 chemin du Kerl dan
4. Comment d sormais expliquer celui qui croyait au r ve que ce r ve n est plus Comment expliquer celui qui v n rait l American Way of Life que l on n a plus besoin de lui et quil est m me devenu un fardeau encombrant pour la soci t Comment expliquer que la r ussite qu on a fait miroiter n arrivera jamais et qu il n y a pourtant pas de place pour le loser Comment expliquer que le monde qui se cr e et se pr cipite a perdu sa logique son identit sa coh sion Comment expliquer au d sesp r qu il a raison de l tre Hopper symbolisera tout cela sur ses tableaux II montrera des villes presque d sertes carc rales des chemins de fer sans train dont les rails s engouffrent dans le trou noir et b ant d un tunnel l cran scintillant d illusions du cin ma ne peut occulter la triste solitude de l ouvreuse Il peindra la d tresse presque prostr e de l tre tout entier r fugi en lui m me parce qu inapte appr hender le monde et communiquer avec l autre II montrera la routeet son univers clos et standardis la voiture le motel la chambre jonch e de valises non encore d faites la station service dans la nuit le train qui hurle au coucher du soleil l image lumineuse d une fen tre d immeuble dans la nuit urbaine ouverte sur un couple muet absent indiff rent Ic nes famili res mais insaisissables de la conscience am ricaine Hopper ne sera donc pas comme le furent Re
5. Fran ois PENNEC 90 Etudiant Paris CELSA PARIS IV Communication nous informe l arriv e imminente des premiers partiels part cela il s est bien adapt la vie parisienne Pour autant il ne ratera aucune occasion de revenir Quimper Priv de son Chef le SIO s est senti un peu orphelin en d but d ann e le temps que son successeur ait les commandes bien en main Fran ois va apporter du sang neuf au bureau de l Amicale II va y retrouver Isabelle COUSTANS 90 Les Lik siens de Paris peuvent contacter Fran ois Pennec R sidence Henri Planchat 18 rue des Pavillons 92800 PUTEAUX T l 1 47 74 97 28 ou 1 47 74 97 32 Isabelle COUSTANS 90 est tudiante Angers ESSCA Elle rejoint le bureau de l Amicale pour le dynamiser Les Lik siens d Angers peuvent la contacter 78 avenue du G n ral Patton 49000 ANGERS Nicolas KERRIEL 90 est en t re ann e ESTIT Ecole Sup rieure des Techniques Industrielles et Textiles Lille o il a retrouv d autres anciens Lik siens Guy MORVEZEN 53 LYON Je d couvre toujours avec plaisir le journal et l volution dynamique de notre vieux Lik s auquel je reste tr s attach J aimerais que les camarades de ce temps l donnent leurs nouvelles de temps en temps Le 150 me anniversaire a t une grande date et je r p te la joie que j ai eue de retrouver les murs et plus encore quelques uns de nos vieux professeurs F
6. Nalzu 29140 ST YVI P ESTIT LILLE t l 98 94 78 11 CARFANTAN Christelle 90 96 boulevard Victor Hugo 92200 NEUILLY SUR SEINE JAFFRE Plerre 74 Ing nieur T l com 59 rue Beethoven 29000 QUIMPER HAMBRE Michel 87 Charg de formation montagne et tourisme La Massouderre 74260 LES GETS BELBEOC H Anne TB 2 90 40 route de Brest 29000 QUIMPER gt UCO ARRADON Communication et Sciences du langage QUEAU St phane TF 3 90 1 rue de la Croix Rouge 29500 ERGUE GABERIC t l 98 59 50 06 EVEN Estelle ILEPS 90 3 chemin du Puits Vert Appartement 232 95000 CERGY t l 1 34 24 14 96 MORVEZEN Guy 53 m decin 38 rue Pierre Corneille 69006 LYON SUIVRE Jean Pierre Hasco t se d pense sans compter pour faire revivre l Amicale des Anciens El ves Petit petit elle vous voulez y adh rer l adresse et sions sont en page 32 FORMATION PERMANENTE e froid quelques compagnons d Emma s de R d n Ils leur apprennent plus particuli rement remettre en tat de marche des frigos endommag s Les compagnons tr s motiv s progressent rapidement au dire de leurs instructeurs CONSEIL ADMINISTRATION APEL LIKES 90 91 BUREAU Mme Fran oise COZAN 2 bis rue de l Hippodrome QUIMPER 98 530378 Vice Pr sidentes Coll ge Sainte Marie Mme M H l ne CONSTANC
7. BILLET D HUMEUR Depuis plusieurs semaines la presse relatant les diff rents v nements agitant le monde de l ducation a parl r guli rement du manque de pions dans les coles Toutle monde aura videmment rectifi le terme Il s agit de surveillants Je commence tre lass d entendre ces personnels tre trait s d une fa on si peu l gante Un pion est une pi ce qui se d place sur un chiquier au gr de l humeur d un joueur Un surveillant a un emploi du temps bien pr cis il n est pas balad droite et gauche Le terme de pion n est donc pas adapt sa situation A l heure o le racisme fait la une de l actualit il est navrant de constater qu en toute impunit la presse puisse traiter une cat gorie socio professionnelle avec une telle d sinvolture Les surveillants dans l enseignement catholique font partie int grante de la communaut ducative Doit on rappeler qu au Lik s nous leur devons les foyers socio ducatifs l encadrement d activit s ducatives et de loisirs en Coll ge l animation des diff rentes f tes de l cole et surtout le bon ordre et la discipline tant appr ci s et reconnus par les familles qui confient leurs enfants notre cole Reprenant un article du Fr re C Reinhardt Directeur des Etudes et Responsable d Internat consacr la canonisation du Fr re Mutien Marie nous ne devons pas perdre de vue qu il n y a pas de t che ingrat
8. Et il ne pleut ni plus ni moins qu avant Alors il est encore temps de se lancer De la musique la radio Un studio permet de sonoriser les caf tarias et les cours Toutes les installations ayant t mises au point gr ce M P Tanguy et sa remarquable quipe de 2 me ann e B P Installateur Conseil est pr vu une demi heure d mission par jour H las pour l instant malgr beaucoup de candidats seule une quipe a r ussi diffuser une mission construite Il faut dire que pour une demi heure d mission il faut beaucoup plus de pr paration La Radio ne s improvise pas mais j esp re que des candidats vont se pr senter De la radio la bible Un groupe biblique s est form pour quatre s ances par an sous la houlette du F Th ophile Penndu dont la r putation n est plus faire Cela se passe au centre pastoral entre 17 et 19h La prochaine rencontre tant fix e le 10 d cembre De la bible la philosophie J ai s rement oubli l une ou l autre possibilit Mais travers ces diff rentes activit s on se rend compte qu un jeune peut s il le d sire s panouir en d couvrant l autre I peut en donnant un peu de son temps d couvrir l exp rience de la p dagogie adapt e aux besoins d autrui Il ne subit plus alors l Ecole comme un lieu et un temps de passage oblig mais comme un instrument de sa propre construction I devient architecte de son avenir et b tisseur d un mo
9. il ya surtout des probl mes de gestion comment sont utilis s les fonds publics Qui est responsable de quoi Monsieur Le Ministre de l Education appelle les r gions au secours pour qu elles paient mais il ne les autorise pas d cider Pour notre part comme parents d l ves nous sommes tr ssatisfaits de la fa on dont sont g r s dans l enseignement catholique en toute clart les fonds publics et les fonds pri Cependant comme nous l avons d j fait plusieurs fois nous d plorons l insuffisance du forfait d externat fix par l Etat toujours inf rieur la r f rence pr vue par la loi qui est celle du co t d un l ve de l enseignement public Le fait que le Conseil R gional n assure pas non plus cette parit pour la part qui lui revient forfait public 1063 l ve forfait priv 946 Avec les familles de l enseignement public nous d plorons l insuffisance des postes d enseignants entra nant des classes charg es surtout en certaines mati res langues et souhaitons Une revalorisation de la fonction d enseignant Une meilleure organisation p dagogique des enseignements de lyc e moins encyclop diques et offrant aux l ves d favoris s de vraies fili res de promotion POINT DE VUE DU R DACTEUR Cela fait un bon bout de temps que votre r dacteur qui entre parenth se s entoure partir du prochain num ro d un comit de r daction attendait
10. s curit routi re Au nom des professeurs et des l ves nous leur adressons nos plus vifs remerciements Le point de vue des l ves de 204 Cette discussion sur la s curit routi re nous a aid s r fl chir et surtout comprendre qu un accident n arrive pas qu aux autes et que nous sommes quotidien nement confront s aux dangers de la circulation Le point de vue de Mme Elise Th paut professeur principal de 207 Les l ves ont suivi avec int r t ce qui a t d velopp par chaque intervenant La majorit estime que cela a provoqu chez eux une r elle prise de conscience quant leur attitude et celle des autres dans la rue et que cela a imm diatement entra n un changement de comportement AU LYC E TECHNIQUE B T S L E P EN PRODUCTIQUE UN NOUVEAU CENTRE D USINAGE Pour compl ter le parc machines commande num rique un Centre d Usinage Vertical CINCINIATI est arriv aux Ateliers Industriels la mi novembre Ce centre est quip d un directeur de commande NUM 750 de T l m canique Il s agit d une machine de capacit industrielle car d une puissance la broche de 10 Kw Elle est quip e d un changeur d outils automatique de 21 outils Poids de la machine 3800 kg Cet quipement important a t subventionn par des aides du Conseil R gional au titre des cr dits d impulsion Sa destination principale sera les classes de Bacc Professionnel
11. 85 BACCALAUREATS de TECHNICIENS F1 15 12 80 00 F2 5 5 100 00 F3 53 35 66 03 G2 66 61 9242 G3 72 68 94 44 TOTAL m 181 85 80 BTS Electronique Electrotechnique 16 7 4375 Comptabilit amp Gestion 46 34 739 Commerce International 2 2 96 55 TOTAL ni 69 75 80 BEP ACC 4 37 84 09 Vente Action Marchande 4 4 9361 Electrotechnique 49 a7 9591 ORS U 18 17 94 44 Maintenance des SMA 19 16 84 21 M tr du B timent 16 16 100 00 TOTAL 19 a77 91 70 CAP CAP 2 Dessinateur 10 5 50 00 ESAC 40 38 95 00 Vente 43 43 100 00 Op rateur R gleur 18 17 9444 CAP 3 Installateur Conseil 10 9 90 00 Electrotechnique 14 8 TOTAL 135 120 88 89 CAP Maintenance 9 18 9470 CAP Electrotechnique 35 3 TOTAL 54 51 445 BACCALAUREATS PROFESSIONNELS Productique M canique 14 9 6428 MOUVEMENT LYC EN MOUVEMENT LIK SIEN OCTOBRE NOVEMBRE Les Lik siens sont dans la rue Les Lyc ens dans la rue Doc Le Progr s de Cornouaille Le FORUM du Centre Pastoral a pleinement jou son r le pendant les JOURN ES A P E L DU LIK S L Association des Parents d El ves du Lik s estime que s il y a mouvement lyc en c est en bonne partie la suite de la d mission des adultes Pourquoi faut il attendre que les l ves revendiquent pour donner les moyens n cessaires en personnel enseignant et ducatif Il ya des probl mes financiers
12. A Saint Yves les l ves internes qui participent aux activit s du club photo le mercredi apr s midi pr sen teront partir de la mi janvier une exposition de tirages en noir et blanc consacr e au Lougre de l Odet Ce sujet ais ment retenu car il est d actualit et offre un int r t pour la prise de vues a motiv les l ves qui pour la plupart ont effectu au cours de ce premier tri mestre leurs premiers pas dans la photographie ASSOCIATION DES PARENTS D L VES LE LIK S UN DON UNE VIE Vous invite participer une CONFERENCE sur le don des organes le Mardi 8 Janvier 1991 20 h 30 l Auditorium du Lik s Entr e Place de la Tourbie Anim e par le Docteur Didier NOURY M decin Anesth siste au SAMU de Rennes Coordinateur R gional de France Transplant accompagn du D Madeleine COLOIGNER M decin Anesth siste de Quimper et du D WHEBE M decin Neurologue Avec la participation de l Association pour le Don d Organes et de Tissus ADOT 29 Humains du Finist re ASSOCIATION AMICALE DES ANCIENS L VES DU LIK S 20 Place de la Tourbie 29196 QUIMPER C dex COTISATIONS Abonnement au journal compris Adh rent 50F Soutien 80F Bienfaiteur 100 F Etudiants et Service National adh sion gratuite Abonnement 20 F CAISSE DE SOLIDARIT DES FAMILLES Permanences de 9h 11h30 Lundi 7 janvier 1991 Lundi 21 janv
13. Beg Meil 29170 FOUESNANT THOMAS Paul 62 Math Tech Directeur de production lectronique 50 rue Louis Bordier 33400 TALENCE JONDOT Yann Term 86 Sous lieutenant JONDOT 1e R giment Chasseurs Parachutistes Cap de Large 33127 MARTIGRAS JALLES QUINIO Catherine TA 1 89 90 30 rue X Grall 29500 ERGUE GABERIC T l 98 90 34 58 QUINIO Mika l TE 88 89 30 rue X Grall 29500 ERGUE GABERIC P ESEO ANGERS RONCE Piere 41 Math Elem Retrait 103 rue Victor Hugo 76600 LE HAVRE BERTRAND V ronique 84 BEP S 5 place de Penvillers 29000 QUIMPER CHARLOT Denise 22 rue Colonel Fabien 29730 GUILVINEC AVAN Yvezs Retrait AE 1924 22 rue de Denver 29200 BREST LE HIR Philippe 89 7 rue de Vouilk Bat A 75015 PARIS T l 1 40 43 99 HEMON Alain 72 rue F Buisson 44600 SAINT NAZAIRE BRECHARD Jean Christophe TB 89 2 rue du G n ral de Gaulle 29930 PONT AVEN THOMAS Laurent TF 187 Chef d atelier de Fabrication de mat riel m canique Le Loch Plogoff 29113 AUDIERNE LE GALL Christian TB 1 87 16 rue de Bir Hakeim 29000 QUIMPER gt Maitrise d anglais RENNES PLIQUET Guy Math Spe 89 24 route du Stade 29710 GOURLIZON P ICAM NANTES BERRE NORMAND H l ne 83 Professeur de fran ais 6 r sidence de Lodonnec 29750 LOCTUDY LE BALCH Rozenn 90 95 r
14. Economie avait sa pr f rence rien ne la laissait indiff rente y compris dans le domaine de la qu te spirituelle Avec d autres elle avait particip l interrogation que pose la vie de Marthe Robin et Dieu sait la profondeur des questions qui nous sont pos es Elle voulut aller plus loin plus pr s de la source Elle crivit Chateauneuf de Galance et en retour elle re ut non seulement une lettre du successeur du P re Finet mais le petit livre de Raymond Peyret Le secret de Marthe livre qu elle aima et dont elle aimait parler avec d autres Anne avait pour elle et pour tous ceux qu elle aimait et qui lui rendaient son affection toutes les promesses d une vie ardente pleine heureuse Elle est partie un matin de juillet dans la fulgurance de l clair vers d autres rivages Alors que vais je dire pour conclure ce portrait trop rapide que vais je dire moi disciple du Ressuscit pour qui la mort n est pas une brisure mais une transformation de la Vie que vais je dire ses parents ses amis que vais je dire pour vous Emmanuelle Myriam Philippe St phane et vous tous ses amis de classe qui l gitimement vous posez des questions sur le sens voire le non sens de ce qui d truit les liens humains qui vous unissaient Anne Anne au premier plan avec une amie Permettez moi seulement cette pri re que je prends pour vous dans le tr s beau livre de Michel Hub
15. I n y pas de meilleur exercice que cette v rification Il ya pour chaque exercice scolaire une mani re sp cifique d attendre la v rit avec d sir et sans se permettre de la chercher Une mani re de faire attention aux donn es d un probl me de g om trie sans en chercher la solution aux mots d un texte latin ou grec sans en chercher le sens d attendre quand on crit que le mot juste vienne de lui m me se placer sous la plume en repoussant seulement les mots insuffisants Texte de Simone Weil tir de Attente de Dieu Ed Fayard 1966 P 90 UNE TOUCHE DE BON ART Titre clin d il naissance d une petite derni re dans les rubriques du journal et premi re d une s rie de modestes rencontres avec quelques peintres quelques coles dont nous tenterons d voquer ici les traits marquants des uvres et des vies Petite lucarne ouverte sur la peinture cette rubrique n aura d autre ambition que de susciter la d couverte veiller la curiosit faire na tre l app tit ou d clencher les passions bref d largir le cercle de ceux que la vue d un Monet d un Bonnard ou d un Matisse acc lere le rythme cardiaque et merveille Mais alors qui serait le premier Depuis des lustres cela remonte au temps o j tais moi m me lyc en l image d un tableau dans mon vieux Carpentier Fialipa d anglais de Terminale tait rest e grav e en moi Le tableau montrait un fragment de rue am ri
16. pouse est chef de cabine Air France ont 2 enfants Mon s jour au Lik s est rest ind libile Quelle formation pour l avenir t Pol FRIANT 34 voque le souvenir d un ancien camarade de 3eme A Michel PERES r cemment d c d On apprend toujours trop tard que tel ou tel vivait encore et m ritait une visite propre voquer les souvenirs de la vieille maison qui n taient pas tous tristes Louis LE JONCOUR de Douarnenez tait au Lik s en 1923 Je suis un Ancien de l ann e de la r ouverture du Lik s en 1919 Avez vous beaucoup d adh rents de ma g n ra tion Qui dit mieux Yves AVAN 24 nous fait part du d c s au mois d ao t de ses camarades Guillaume TREUSSIER et Eug ne KERBIRIOU Yves Avan ancien de l ECAM r side Brest Arnaud POTIN 89 est en 2eme ann e au Lyc e Naval Brest o se trouvent d autres anciens Lik siens Il pr pare St Cyr Navale et ENSIETA ainsi que quelques concours civils Il encourage les TC venir le rejoindre et leur souhaite bonne chance et bon courage Clarisse LOUEDEC 89 en 2eme ann e BTS Commerce International au Kreisker Cela me fait tr s plaisir de recevoir des nouvelles de mes anciens camarades et profs par l interm diaire de ce journal Fran ois QUILLIVIC 74 est charg du Bureau Eclairage Public la DDE Il est aussi Pr sident du Club Cycliste Douarneniste qui compte 100 licenci s
17. rer le Projet ducatif analyse des probl mes qui se posent en cours d x cution et valuation au moins une fois l an des principaux aspects enseignement formation humaine cat ch se administration une organisation assez d centralis e de l cole suivant sa taille chaque secteur jouit de l autonomie qui lui est n cessaire pour faire face aux probl mes courants dans le cadre du Projet de l Etablissement et pour permettre la coordination entre les partenaires LES DEGR S DE L ASSOCIATION L esprit d association selon Saint Jean Baptiste de La Salle ne consiste pas enr gimenter les partenaires du Projet ducatif dans des pratiques uniformes I tient compte de la vari t qui existe parmi les ducateurs les jeunes et les parents niveau de foi d sir d implication comp tences et talents tats de vie La solidit du Projet et la garantie de son ex cution d pendent de la libert avec laquelle chacun y adh re Unaccord minimum est indispensable entre parents jeunes et ducateurs en particulier sur les valeurs humaines qui seront propos es tous former des jeunes comp tents ouverts loyaux simples solidaires des autres en particulier des plus d munis attentifs la dimension spirituelle de l existence Cet accord minimum constitue le socle partir duquel peut tre faite l annonce explicite de la foi ceux qui sont en mesure de l entendre I peut aussi aid
18. trace Ce sont ses tudes de Commerce encore un an avant le dipl me qui ont conduit Patrice l Universit de Bamberg Son adresse P F bei HOLL Hinterer Graben 10 D 8600 BAMBERG A bient t en Bretagne Gabriel FICHOU 29 notre ancien Tr sorier est toujours aussi actif et consacre sa retraite aux siens et de nombreuses uvres caritatives Jean PUSTOCH 37 est en retraite depuis 1980 Tout se passe bien Catherine LE POURHIET 90 apr s la FC Vente N goci tion est en contrat de qualification en tant que secr taire polyvalente pour 18 mois Transmet le bonjour ses anciens professeurs Pascal COIC 90 est en Bac Pro de d finition des Produits Industriels St JO Vannes Pierre Louis DECAUX 62 Architecte des B timents de France dans l Aude transmet son plus cordial souvenir tous Christian MOULLEC 89 apr s avoir pass les diff rentes preuves vient d tre admis dans l Arm e de l Air Il part en Janvier Sa future sp cialit les Transmissions Yves LE GUICHAOUA 75 et Martine sont heureux de vous annoncer la naissance de Lo c le 21 novembre Louis JOLIVET 41 nous annonce qu il est grand p re d un petit Similien depuis le 6 novembre 1990 Jo l ORVOEN 90 fait son service national l tat major de la 3eme r gion militaire Rennes Isabelle GELIN 90 est en 1 re ann e BTS Assurances Landerneau BTS tr s int ressant mais diff
19. 1990 Attribution par l UNESCO du Prix International de Alphab tisation l Institut des Fr res des Ecoles Chr tiennes Le 8 septembre 1990 en pr sence du Secr taire G n ral de l UNESCO l Institut International des Fr res des Ecoles Chr tiennes a re u le Prix International de l Alphab tisation Le Fr re John JOHNSTON sup rieur g n ral repr sentait Gen ve les 8 000 Fr res qui travaillent l ducation dans plus de 80 pays avec 50 000 ducateurs de toutes origines et de toutes religions Cette distinction veut r compenser le travail r alis depuis vingt ans notamment dans les secteurs de la plus grande pauvret cr ation de centres ducatifs au Sri Lanka dans les slums de l Inde dans les villes miseria d Argentine de Colombie animation de r seaux d ondes ducatives en Bolivie accompagnement de villages de pionniers au Cameroun mise en place de centres de leaders au Togo au Mexique protection et formation d indiens aux Guat mala centres de r cup ration aux Etats Unis au Qu bec mise en place en France de 20 classes mobiles pour la scolarisation des Gens du Voyage pr sence active sur des banlieues chaudes de Paris Lyon Le Caire au Cirque de Mafate L Ile de la R union Djibouti au Tchad accompagnement de jeunes d linquants et prisonniers Saint Etienne Saint Brieuc Barcelone Neuch tel Bronx Montr al cr ation de centres multiraciaux en Afrique du
20. 89 90 48 rue des Hospitaliers St Jean 29000 QUIMPER PRIOL Rolan ex TD 2 89 90 Langolien Cl den Cap Sizun 29770 AUDIERNE LOUZIER Emmanuel ex TB 2 89 90 11 all e Maurice Bon 29000 QUIMPER LE JOLIVET Nadine ex TG 21 89 906 34 avenue des Gl nans 29000 QUIMPER gt BTS Action Co Notre Dame des Marais FOUGERES MOURLET Axelle ex TC 2 89 90 17 rue St Matthieu 29000 QUIMPER NICOLAS Armelle ex TC 2 89 90 154 rue du G n ral de Gaulle 29510 BRIEC gt DEUG A UBO BREST MORET Elisabeth ex TG 31 89 90 21 rue Bisson 29900 CONCARNEAU MICHELET Christelle ex 2 ACC 2 89 90 HLM Square Jacquez Riou 29190 PLEYBEN BOLZER Jean 95 rue de la terre noire 29000 QUIMPER P re Jean PLUNIAN Timadeuc Br han 56580 ROHAN BOTHOREL Louis 12bis rue Oswaldo Cruz 75016 PARIS LE VELLY Jean Gramat 2 all e des An mones 33160 ST MEDARD EN JALLES BERROU Guillaume 4 R P Termier 29000 QUIMPER GUILLERM Jean Paul 2 all e Maurice Ravel 56180 PLOERMEL PENNEC Fran ois ex TD 2 89 90 17 rue Fran ois Menez 29000 QUIMPER COUSTANS Isabelle ex TD 2 89 90 route de Douarnenez 29180 LOCRONAN ou 78 avenue du G n ral Patton 49000 ANGERS GOIC Pascal ex 2 MSNP 89 90 20 rue Voltlaire 29730 TREFIAGAT LE GUILVINEC LE DEROUT St phane ex TC 2 89 90
21. ARS Pour faire vraiment attention il faut savoir comment s y prendre Le plus souvent on confond avec l attention une esp ce d effort musculaire Si on dit des l ves Mainte nant vous allez faire attention on les voit froncer les sourcils retenir la respiration contracter les muscles Siapr s deux minutes on leur demande quoiils font attention ils ne peuvent pas r pondre Ils n ont fait attention rien Ils n ont pas fait attention Ils ont contract leurs muscles On d pense souvent ce genre d effort musculaire dans les etudes Comme il finit par fatiguer on a l impression qu on a travaill C est une illusion La fatigue n a aucun rapportavec le travail Le travail est l effort utile qu il soit fatigant ou non Cette espece d effort musculaire dans l tude est tout fait st rile m me accompli avec bonne intention L attention est un effort le plus grand des efforts peut tre mais c est un effort n gatif Par lui m me il ne comporte pas la fatigue Quand la fatigue se fait sentir l attention n est presque plus possible moins qu on soit d ja bien exerc il vaut mieux alors s abandonner chercher une d tente puis un peu plus tard recommencer se d prendre et se reprendre comme on inspire et expire Vingt minutes d attention intense et sans fatigue valent infiniment mieux que trois heures de cette application aux sourcils fronc s qui fait dire avec le sentiment du devoir accompli J ai
22. E PROVOST Christophe ex FC G3 89 90 5 rue de la Rabine Qu vert 22100 DINAN JAOUEN Olivier ex BTS ELECT 2 89 90 Kernescop 29510 BRIEC DE L ODET CADOU Gu na l ex TE 89 90 Kervanval 56230 LE FAOUET TROLEZ Lydie ex TB 2 89 90 Sulvintin 29500 ERGUE GABERIC MORVAN Dominique ex TG 32 89 90 16 place Alexandre Mass 29000 QUIMPER gt BTS Action Com La Croix Rouge BREST COLOMBIER St phane ex TG 22 89 90 Beg Ar Veil Saint Evarzec 29170 FOUESNANT Service militire puis Ecole de Police Vannes ou Saint Malo LETORC H B n dicte ex TG 21 89 90 153 avenue de la Pointe 29130 FOUESNANT FRIANT Norbert ex TC 1 89 90 6 rue Lyautey 29000 QUIMPER DERNY Marianne ex TD 1 89 90 2 rue Guy Ropartz B P 432 29184 CONCARNEAU gt BTS Production Animale Lyc e Agricole Priv La Touche PLOERMEL LE LETTY Jacques ex BTS 421 89 90 13 rue Ar Vigouden 29120 COMBRIT ANSQUER Didier ex 2 Elec 2 89 90 6 r sidence de Magu rou 29170 SAINT EVARZEC gt Ecole des M tiers de l E D F Ste TULLE GRALL Christine ex TG 2 89 90 Kerfraval Saint Vougay 29440 PLOUZEVEDE GLINEC Fr d ric ex TD 2 89 90 91 chemin de Penhoat 29000 QUIMPER RANNOU Marie Pierre ex TB 2 89 90 Kerlouis 29500 ERGUE GABERIC gt DEUG 1 Sciences Eco UBO BREST FRECHIN Rachel ex TG 31
23. EN BEP Vente 1 le 28 septembre M Ferdinand NEDELEC p re de Melle Roselyne NEDELEC professeur d allemand au coll ge le 22 octobre Mme Bernadette BEGUIN m re de Ronan 204 Solenne 608 Gwenaelle AE 1981 1988 Rozenn AE 1979 1985 Yann AE 1979 1986 le 26 octobre C dric DONNART l ve de 1 re BEP Construction et Topographie le 28 octobre Douarnenez D c s accidentel de St phane EMILY l ve de 1 re G2 Pencran le 1 novembre BIGER l ve en l ve en 2 me ann e AU REVOIR ST PHANE Le 1e novembre au d tour d une route du Nord Finist re dans un accident banal s teignait jamais le sourire de St phane Nous tions nombreux l enterrement l ves professeurs rejoindre la foule immense des amis voisins relations de la famille Emily Roland choc devant ce qui appara t comme la cruaut du destin motion douleur mais aussi courage et foi intense des proches qui ont puis dans leur croyance en Dieu le soutien n cessaire St phane nous ne t oublions pas un camarade qui nous faisait souv nt rire toujours de bonne humeur il mettait une bonne ambiance dans notre classe Nous avons tous t touch s par sa disparition mais il reste pr sent parmi nous Peggy avant tout un ami avec lequel on pouvait discuter de tout Son temp rament sa joie son humour m ont tr s vite rapproch e de lui Isabelle Je
24. IN 8 avenue de K radennec QUIMPER 98 90 01 50 Coll ge Saint Yves Mme Henriette KERVRAN 34 Chemin de Kermahonnet QUIMPER 98 95 43 09 Lyc e M Jean Claude LUGUET 5 Kergarrec N vez CLOHARS 98 57 20 50 LEP Mme Laurence LE FLOC H 38 all e Sully QUIMPER 98 95 76 89 Secr taires Mme Laurence LE FLOC H 38 all e Sully QUIMPER 96 95 76 89 M Bernard POLINIERE 20 rue de l Ile d Houat QUIMPER 38 90 39 42 Tr sori re Mme Annie DOARE 7 rue Belle Ile en Mer QUIMPER 98 90 24 56 DELEGATIONS Coll ge Sainte Marie 4eme Tech Mme M H l ne CONSTANCIN 8 av de K radennec QUIMPER 98 90 01 50 3eme Tech Mme H l ne LE BIHAN Lot Seznec PLOGONNEC 98 91 76 28 Coll ge Saint Yves geme M LE BERRE 40 rue de la R publique QUIMPER 98 95 89 39 Seme M Maurice DORVAL 10 rue de Brest QUIMPER 98 95 41 04 geme M Joseph BIDEAU 9 rue de Kergariou QUIMPER 98 95 65 65 3eme Mme Henriette KERVRAN 34 chemin de Kermahonnet QUIMPER 98 95 43 09 Lyc e Seconde M LANCIEN Guy 2 all e Couchouren QUIMPER 98 90 62 49 M PENNANECH 44 rue du Ch teau QUIMPER 98 95 31 25 qes ABS M Jean Claude LUGUET 5 Kergarrec N vez CLOHARS 98 57 20 59 des EF M Alain KEROUEDAN 7 cit des Bruy res BRIEC 98 57 96 17 TABCD Mme Bernadette JEHAN 7 square de K r lan ERGUE GABERIC 98 90 77 25 TEF M Fran ois LE CAER 50 rue des Sources QUIMPER 98 55 49 89 1e etT G Mme Brigitte KERVELLA 20 rue de K relec
25. N 219 D CEMBRE 1990 cole Le Lik s 20 Place de la Tourbie QUIMPER T l 98950486 Abonnement 50 F Amicale Anciens l ves C M B ICI RADIO LIK S QUI VOUS SOUHAITE UN COMMUNAUT LASALLIENNE ENSEMBLE UN MOTEUR Apr s des ann es d incertitudes et d essais B de la Salle finit par constituer un groupe ferme etstable gage de succ s en invitant ses Fr res s associer devant Dieu pour que les pauvres soient instruits et vang lis s co te que co te 1694 Au cours de l histoire de l Institut des Fr res l Association fut le moteur des innovations et des avanc es Aujourd hui encore c est cette gr ce d Association qui convie Fr res et La cs tenir associ s des coles ou des centres d ducation chr tienne la port e des pauvres Ils mettent au point des m thodes ducatives visant surtout la promotion des milieux populaires Ils favorisent l enrichis sement mutuel entre tous les membres de la communaut ducative Ils aident chacun remplir son r le sp cifique jeunes parents ducateurs pr tres anciens l ves amis R gle des Fr res passim AUTOUR D UN PROJET D TABLISSEMENT L Association prend consistance autour d un Projet ducatif clair et pr cis Dans l ensemble international lasallien anim par les Fr res des Ecoles Chr tiennes ce PROJET est exprim divers niveaux au plan international des ducat
26. ODEUR Maxime APPLE Cork Irlande POULLELAOUEN Nicole THE MERCIER PRESS Cork Irlande QUEMENEUR Patricia SPINLAB Nashville Etats Unis QUERO Sophie DELAGRANGE S A Madrid Espagne QUINIOU Armelle EMCO WHEATON GMBH Francfort RFA RAULT Gw nol e JESCO DOSIERTECHNIK GMBH Hanovre RFA REMAUD Sophie DELTA DESIGN Sheffield Grande Bretagne RIPOCHE C line INTERNATIONAL DE REPUESTOS S A Barcelone Espagne SAVINA Marie Laure AIR RIANTA A roport de Shannon Irlande LIK S MAGAZINE Cette partie du journal o vous trouverez surtout des articles relatifs la vie extra l cole est l pour rappeler que le Lik s veut tre non seulement un lieu o l on tudie mais aussi un lieu de scolaire qui remontent de tous les secteurs de DES PROPOSITIONS A TRE ET A FAIRE Entre 8h35 et 8h50 le mercredi pri re possible avec les fr res Entre 12h et 13h30 Aide scolaire des plus jeunes Encadrement de tournois sportifs inter classes Labo photo Journaux t l vis s en anglais allemand ou espagnol T l parabolique Chorale Radio Informatique Echecs Tennis de table Mais aussi deux caf tarias deux salles de jeux Mais encore les diverses propositions du S 1 O du Centre Pastoral du C D I Entre 17h et 19h Aide scolaire dans des familles trang res Groupe biblique QUELQUES PR CISIONS SUR CES ACTIVIT S L aide scolaire Elle se propose d aider d
27. OR Philippe LM FOOD Londres MERIAIS F lorent NEDELEC Ga l COBB BREEDING CO LTD Chelmsford SKILLBEECH LTD Sauthampton CAVE WOOD TRANSPORT LTD Londres P AND O TANKMASTERS Liverpool WEKA TEXTIL IMPORT Varel R F A ABALEA Marie Laure AIR RIANTA A roport de Cork Irlande ABJEAN Sandrine AIR RIANTA A roport de Cork Irlande ADAM Odile SUCARN S A Barcelone Espagne ALLAIN St phanie DIAMANT ESPANA Barcelone Espagne BALCON Fr d ric AVIT EUROPE L T D Londres Grande Bretagne BEDIN St phanie COMERCIAL AGROMANCHA Dainel Madrid Espa BRAMOULLE C cile ASTURDINTEX COMERCIAL Gijon Espagne CHEVRIER Ga lle LOEWE OPTA GMBH Kronach RFA Grande Bretagne Grande Bretagne GOURVENNEC Patrick WALSH WESTERN INTERNATIONAL LTD Cork Irlande GOURVEST Sandrine PESQUERA ARTESANAL DEL MEDITERRRANEO Barcelone Espagne JUHEL Patricia HISPANO FRANCESA DE COMERCIO Barcelone Espagne Grande Bretagne Grande Bretagne LE CAM Magali COMPETITIVE EDGE Phoenix Etats Unis LE CLAINCHE Sylvie INTERCONFORT Dortmund RFA LE FLOCH Isabelle THYSSEN INDUSTRIE A G Remscheid RFA LE GUEN B atrice USIT LIMITED Cork Irlande LE LOC H Nadine BLARNEY WOOLLEN MILLS Cork irlande LEAL Marie France JAMES BRUEN LTD Cork Irlande LEON C cile TEE ESPANA S A Barcelone Espagne LOSTANLEN Ga lle MSAS CARGO INTERNATIONAL Munick RFA MAHE Ga dig MAGNET FABRIK Schramberg RFA Grande Bretagne NIVEZ Sophie DECLEOR New York Etats Unis P
28. Productique et les classes de Lyc e Technologique F1 Si l effort financier consenti est important il est justifi par le fait qu il faut coller le plus possible la r alit industrielle Outre la formation initiale il y a lieu d envisager moyen terme l utilisation de cette machine pour la formation UNE CLASSE QUI A ou les 2 me ann es BEP Installateur Conseil en lectro m nager J courte le titre officiel sinon il faudrait trois ignes Parmi les l ves les plus vieux du Lyc e Professionnel avez vous remarqu ce groupe trange qui sur la cour fumeurs se retrouve pour partager l ph m re joie de quelques bouff es de cigarettes Leur assurance fait plaisir voir surtout lorsque l on a encore dans les yeux le souvenir du m me groupe quatre ans plus t t o timides ils exhalaient en toussant quelques volutes trop fortes d une cigarette exhib e avec fiert devant quelques copains encore m dus s par une telle fausse assurance NON Mon propos ce jour n a pas pour but de noter leur changement psycho sociologique mais de leur rendre permanente inter entreprises Des projets sont d j lanc s d utiliser par exemple une journ e dans la semaine pour des personnels de l industrie form s sur la machine par des professeurs de l Etablissement Le Lik s adh re l organisme de formation du priv qui s appelle l AREP lequel publie actuellement un catalogue de forma
29. QUIMPER 98 53 82 60 1e Ann e M STEPHAN 2 hameau Menglaz POULLAN 98 74 57 61 22m Ann e Mme DUPONT TINGAUD 8 rue de la Trom nie QUIMPER 98 90 64 87 Caisse de Solidarit M Bernard POLINIERE 20 rue de l Ile d Houat QUIMPER 98 90 39 42 CA OGEC Mme A Marie HERVE Chemin de Lanadan CONCARNEAU 98 97 22 06 Mme Denise ROBIN 26 Avenue du Parc QUIMPER 98 95 02 87 Commission Pastorale Mme F COZAN 2 bis rue de l Hippodrome QUIMPER 98 530378 Lyc e Mme Anne Marie HERVE Chemin de Lanadan CONCARNEAU 98 97 22 06 UDAPEL M Alain KEROUEDAN 7 cit des Bruy res BRIEC 98 57 96 17 Mme Denise ROBIN 26 avenue du Parc QUIMPER 98 95 0287 LA BOURSE AUX LIVRES EN LYC E 100 Parents au service des familles 100 parents se sont relay s pour assurer 10 permanences de 8 heures chacune Objectif R cup rer 7 500 livres d occasion R ceptionner et affecter 4 600 Livres neufs sous un soleil qui incitait plut t partir se baigner Un grand MERCI tous ces b n voles parents et quelques grands l ves qui ont uvr au service des familles du Lik s MERCI notre tr sori re Annie Doar qui a manipul quelques 3 198 ch ques repr sentant la somme de 582 403 F ainsi qu Marie H l ne Nozahic qui nous a aid s pendant 7 ans BIENVENUE aux parents de 3eme que nous accueillerons d s la rentr e prochaine et ainsi la rel ve sera assur e La Pr sidente EXPO PHOTO
30. Sud etc Tout ceci t moigne d une action globale qui touche tous les aspects de la vie des Personnes et des Soci t s culturel familial professionnel ducatif politique social spirituel Car en dehors d une action globale il n y a pas d alphab tisa tion durable En effet l alphab tisation touche la dignit humaine et celle ci se nourrit d apports multiples qui tous font l alphab tisation Comme d autres organismes l Institut des Fr res des Ecoles Chr tiennes l a bien compris Ce Prix International s inscrit dans l histoire tricentenaire d un Institut de Religieux Educateurs qui toutes les poques a su se rendre pr sent des besoins ducatifs nouveaux au XVIIe si ce il cr e l cole populaire et un corps de ma tres chr tiens sp cialis s au XVIIIe il ouvre de nombreux pensionnats au XIXe il organise avec une grande souplesse des lyc es modernes des coles techniques commerciales artisanales agricoles des cours du soir pour apprentis s engage dans l abolition de l esclavage l Ile de la R union fait la gestion ducative et financi re de 5 centres p nitentiaires Au d but du XXe on le retrouve aux origines du syndicalisme chr tien CFTC et de la JOC rencontrant les jeunes du milieu populaire et de nombreux patronages et dans les derni res ann es en Fance il s est engag r solument aupr s des jeunes de l enseignement technique dans des institutio
31. ant Tu as couru pour moi Merci Peut tre j atteindrai un an Peut tre m me je deviendrai grand fus Pourra mieux s occuper de moi Mieux m alimenter mieux me soigner erci Gr ce toi Professeurs et l ves une m me motivation Bravo Saint Yves LA TECHNOLOGIE AU COLL GE Les l ves de 4eme et 3eme la recherche de march s pour des variateurs de lumi re et des amplificateurs t l phoniques ont r alis une enqu te aupr s de la population quimp roise Apr s les derni res recommandations du professeur nous sommes descendus vers le centre ville Munis de question naires nous pouvions commencer notre sondage Quelle a t votre motivation d achat A quel usage le destinez vous Pour quelle raison n en n avez vous pas achet A quel prix seriez vous dispos en acqu rir un Nous tions par quipes de deux l ves et nous nous partage mes le travail Ceux qui n taient pas l aise attendirent quelques instants avant de se lancer la conqu te d un premier passant Les gens taient plut t amus s que lass s par notre arriv e impr vue et nos questions embarras santes Ils taient sympathiques et r pondaient avec pr cision Bien s r quelques grincheux disant tre press s chappaient nos questions En une demi heure nous avons interrog environ six personnes par quipe Une fois le groupe r uni nous som
32. aut Prier les Paraboles D couvre moi le vrai sens et la finalit De toutes nos humaines r alit s La naissance l amour l amiti le corps Le travail la souffrance et la mort Viens Seigneur Toi qui aimes la Vie Et d sires tant nous la donner Viens ensemencer f conder le jardin de notre c ur Par ta parole qui est Esprit et Vie Semences de Ton Royaume Semences de Vie ternelle Mat LE QUEUX C DRIC C dric t re ann e BEP Construction et Topographie C dric malheureusement tu nous as quitt s mais tu es toujours avec nous dans notre c ur etnotre esprit parce que tu tais un tr s bon camarade Toujours ouvert aux autres et pr t les aider Tu savais mettre de l ambiance mais tu savais aussi tre s rieux quand il le fallait nous aurions aim que tu restes plus longtemps parmi nous On se souviendra encore des bons moments pass s ensemble que nous nous rem mo rerons toujours en arrivant en classe et en voyant ta place vide En dehors de l cole tu aimais pratiquer ton sport favori la boxe fran aise et de tous ceux qui te connaissaient personne ne pourra oublier ta joie de vivre C dric aucun tre ne pourra te remplacer Salut C dric on ne pourra pas l oublier TES COPAINS ASSOCIATION AMICALE DES ANCIENS L VES Nouvelles adh sions et cotisations jour MONANGE S verine ex TC 1 89 90 Croix de Kernel 29700 PLOMELIN L
33. bien travaill L attention consiste suspendre sa pens e la laisser disponible vide et p n trable l objet maintenir en soi m me proximit de la pens e mais un niveau inf rieur et sans contact avec elle les diverses connaissances acquises qu on est forc d utiliser La pens e doit tre toutes les pens es particuli res et d j form es comme un homme sur une montagne qui regardant devant lui aper oit en m me temps sous lui mais sans les regarder beaucoup de for ts et de plaines Et surtout la pens e doit tre vide en attente ne rien chercher mais tre pr te recevoir dans sa v rit nue l objet qui va y p n trer jue Mars et Michel R maud nous ont propos des textes tr s int ressants l un et l autre Qu ils en soient que quelqu un maintenant se charge de la chronique au jour le jour de la division La r daction Tous les contresens dans les versions toutes les absurdit s dans la solution des probl mes de g om trie toutes les gaucheries du style et toutes les d fectuosit s de l encha nement des id es dans les devoirs de fran ais tout cela vient de ce que la pens e s est pr cipit e h tiv ment sur quelque chose et tant ainsi pr matur ment remplie n a plus t disponible pour la v rit La cause est toujours qu on a voulu tre actif on a voulu chercher On peut v rifier cela chaque fois pour chaque faute si l on remonte la racine
34. caine un dimanche matin quelques vitrines de magasins dans l ombre un trottoir d sert baign de soleil une bouche d incendie allongeant son ombre sur le sol et l amorce sombre et s v re d un immeuble Image d pouill e ordinaire forte et obs dante jusqu incarner l id e m me que je me faisais de l Am rique La grande r trospective de 1989 Marseille ainsi que les quelques ouvrages qui lui ont t consacr s r cemment n ont fait que raviver le clich noir et blanc enfoui dans ma m moire Je d cidai donc d inaugurer ces quelques causeries coups de c urs en voquant ce peintre am ricain dont je me suis aper u depuis que les uvres taient connues de beaucoup mais le nom ignor de la plupart Edward Hopper N en 1882 le jeune Edward entreprit des tudes artistiques New York pour se destiner l illustration Fortement influenc par la culture europ enne et fran aise plus pr cis ment Hopper fit entre 1906 et 1910 de fr quents voyages et s jours prolong s dans les grandes capitales artistiques d Europe occidentale Mais c est Paris qui laissera l empreintre la plus forte sur le jeune peintre Celui ci en effet y eut la r v lation de la lumi re et de la couleur en d couvrant les tableaux impressionnistes Curieusement d ailleurs Hopper semble tre pass totalement c t de la v ritable fermentation artistique parisienne de l poque et n avoir eu aucun contact sur p
35. de La Salle propose des formations p dagogiques ducatives spirituelles des animations locales et le suivi d exp riences Le CENTRE LASALLIEN FRAN AIS offre une formation r partie sur deux ans ceux qui souhaitent entrer plus avant dans la spiritualit ducative de J B de La Salle et la d velopper dans le contexte moderne Outre ces possibilit s offertes aux ducateurs PAssociation La Salle et les divers Conseils de tutelle proposent aux institutions des visites globales de quelques jours sorte d audit qui aide les responsables mieux saisir le fonctionnement d ensemble de l tablissement et de ses structures les courants qui s y manifestent ex les possibilit s de d veloppement is de l organisation dioc saine des coles le R seau Lasallien ne se pose pas en concurrent Pour lui tutelle signifie animation et collaboration apport au dioc se d un concours ouvert et loyal selon la tradition venue de J B de La Salle Enfin au plan international europ en d abord cet ensemble apporte de multiples occasions de contacts r unions de Chefs d tablissements et d ducateurs qui peuvent s enrichir de leurs exp riences diversifi es changes scolaires linguistiques ou autres rencontres festives Un champ d action particuli rement urgent s ouvre en direction du Tiers Monde Rencontre des responsables de la Pastorale des coles lasalliennes de Bretagne LE 8 SEPTEMBRE
36. de de vie est tr s difficile surtout pour les femmes qui travaillent du matin jusqu au soir Elles doivent aller au march avant de cuire la nourriture pour toute la famille mais aussi travailler aux champs sans oublier la vitale corv e d eau Les hommes travaillent moins ils s occupent bien des champs mais passent beaucoup plus de temps palabrer en buvant du dolo le cidre de l bas Les Burkinab s vivent beaucoup en famille D ailleurs les villages sont construits sur ce principe Chaque village correspond une famille Lorsqu un enfant na t dans un village il appartient tous les villageois autant qu ses parents En fait ils sont tr s solidaires les uns des autres Leur vie professionnelle est tr s difficile Ils ex cutent des tas de petits boulots qui ne rapportent pas grand chose juste de quoi survivre Au point de vue scolarisation il manque s rieusement d tablissements pour accueillir l ves et ducateurs 15 des jeunes environ sont scolaris s soit dans des coles publiques ou priv es soit dans des coles priv es priv es pour les plus riches Ceux qui ont la chance d tre scolaris s se d foncent car c est pour eux la seule chance de s en tirer L agriculture au Burkina est en plein d veloppement gr ce des groupements tels que les G N A A M qui aident les paysans travailler plus facilement dans leurs champs gr ce la charrue tir e par un ne Ils aide
37. des Ecoles Chr tiennes avant la guerre de 1939 1945 on ne faisait pas ses humanit ss puisqu il n y avait ni grec ni latin au brevet Mais on apprenait intens ment les math matiques et le fran ais et en particulier les racines de notre langue Si bien que ceux qui poursuivaient comme je l ai fait leurs tudes au lyc e taient souvent tr s bien class s Je voudrais essayer de r habiliter l tymologie comme moyen fondamental de connaissance des origines et du mode de formation des mots nouveaux Etymologi v ritable du grec tymon logia fa on de parler Etymon mot source d o connaissance des mots sourc Cette connaissance implique deux postulats linguistiques 1 Les langues voluent les mots changent de forme et de 2 Cette volution est une d t rioration mais cela ne veut pas dire que le sens le plus ancien soit le vrai sens du mot L tude compar e des langues anciennes au d but du 19 me si cle a permis de reconstituer des racines indo euro p ennes l int rieur d une langue m re qui aurait t parl e au troisi me mill naire av J C et de formuler des lois phon tiques de l volution par laquelle les langues anciennes sont issues de l indo europ en sanscrit hittite grec et latin qui ont conserv le plus de racines communes Dans cette volution les lois phon tiques propres chaque langue jouent un r le essentiel et la g ographie linguistiq
38. dez vous du SIO avec des Ecoles Sup r des professionnels divers Reprise en janvier Information sur le programme par voie d affiches le journal lumineux Diode la radio ures des Facult s des STS et IUT Sans oublier le calendrier des CONCOURS le calendrier des journ es PORTES OUVERTES la distribution des brochures ONISEP certains niveaux de classe Quand les 3 mes et Terminales prennent la parole et parlent d Orientation 15 537 classes de 3 me et Terminale dont celles du Lik s ont t interrog es par l interm diaire des D l gu s El ves en 1990 soit 435 080 jeunes Concernant l ORIENTATION ils ressentent un r el besoin d inform important au moment du choix 70 n 82 et consid rent que celle ci joue un r le 11 la souhaite plus approfondie sur les m tiers et les tudes 82 et sur les comp tences ma triser 62 Ils pr f rent les rencontres avec les professionnels 85 mais appr cient l crit 42 contre 37 pour l audiovisuel qu ils consid rent indispensable 90 au moins en partie mais non suffisant Les mini stages en milieu professionnel ont galement leur faveur 64 ainsi que les visites en entreprises 48 ou les journ es sp ciales en tablissement 49 Pour eux l information devrait b n ficier d heures sp cifiques 45 plut t que d tre int gr e dans l enseignement d une discipline 27 ou dispens e en plus des cours 20
39. e de r ussir ses tudes D apr s moi le plus important pour tous ces jeunes c est ce que j ai lu sur une affiche Le slogan tait le suivant Que veux tu faire plus tard 2 VIVRE Le voyage tait presque trop bien organis Nous avons visit beaucoup d usines mais j aurais pr f r plus de contacts avec les villageois De tout ce que j ai vu ce qui m a vraiment le plus impressionn c est bien la mentalit des gens qui veulent s en sortir mais sans attendre une aide ext rieure ils sont tous aimables gentils serviables pr ts rendre service Mais cela tait peut tre d la couleur de notre peau Si je devais donner un conseil quelqu un en partance je lui dirais de ne pas partir en touriste mais de ramener des photos permettant de faire par la suite une information et surtout de tenir un journal de bord au jour le jour Car la meilleure fa on d aider les jeunes Burkinab s c est au retour de faire conna tre leur courage et leur volont de s en sortir Damien GERMAIN 2L1 RESULTATS 1990 Le Lik s Quimper Nombres d l ves TYPES d EXAMENS Pr sent s Re us BREVET DES COLLEGES Classes de 3 de Coll ge 236 213 90 25 Classes de 3 pr paratoires 19 17 89 47 Classes de 3 technologiques 51 37 7254 BACCALAUREATS GENERAUX A 14 10 7142 B 50 45 c 67 62 92 53 D 7 59 84 28 E 35 29 82 85 TOTAL 2 205 86
40. e en ducation chacun doit trereconnu et respect quel que soit l emploi qu il exerce pour peu qu il le fasse avec s rieux 1J MENS Conseiller Principal d Education Une direction l coute des l ves responsables cherchant s informer LA F TE DE L COLE A SAINT YVES Reportage Jean Pierre GRIFFON et Andr CALVEZ 1 Des visiteurs inattendus 2 Les danseuses de French Cancan 3 Quand la musique vous envo te 4 Dessiner c est gagner La foule est l 5 Le Roi du Raps 6 G nies en herbe 7 Concours de g teaux heureux jury ET A SAINTE MARIE Reportage photos Bernard MOALLIC 1 Derniers r glages avant la course 2 Hyper concentration au billard fran ais 3 Excellentes les cr pes de la Caf t ria 4 Tr s photog nique le volley au hall des sports 5 Des g nies pouss s en graine 6 Tr s applaudis 7 Ici aussi dessiner c est gagner Tous les ans avec le d part des Terminales de toutes s ries et l arriv e des 1 BEP et des 2des l quipe d animation change de visage Tous les ans le S 1 O essaie d am liorer la qualit de ses services L Autodoc acc s direct et rapide une documentation class e Voir ci dessous la liste de certaines publications Le Pr t 150 emprunts en deux mois Les Clips Vid o Clips de 10 12 minutes sur les formations les cyles d tudes en situation les m tiers Les ren
41. e ont particip fin mars d but avril une exp rience de pilotage de karts et une initiation aux r gles de conduite d un v hicule Cette campagne tait organis e par la ville de Quimper avec la collaboration de la Police Municipale dans le cadre d une campagne de s curit routi re Si sur Quimper les bless s graves ont diminu de 75 en dix ans une victime de la route sur trois a moins de 20 ans I ya 3 victimes sur 10 000 habitants Deux accidents sur trois ont pour cause la distraction C est ce qu ont pu lire les 250 l ves de Seme sur les panneaux affich s lors de la remise des r compenses aux 47 laur ats lik siens C r monie anim e par M Corentin Quaren adjoint au maire charg de la S curit par M Jean Le Coz ing nieur de la ville et deux motards de la police en pr sence du Fr re Directeur Une coupe a t remise Arnaud Cariou Fr d ric Bobier St phane Calvez et Emmanuelle Terouanne qui ont obtenu la note maximale 90 90 Jeanne Marie Riou et Pierre Yves Kersulec avec 89 90 ont chacun re u une montre Anticiper le principal conseil donn par M Le Coz Demandez vous toujours comment vont r agir les autres Comment va r agir cette voiture qui arrive dans le carrefour Comment va r agir ce pi ton au bord du trottoir Que va faire cette petite fille si le ballon lui chappe des mains R TRETOUT EN PREMI RE ET TERMINALE A B C D S La success
42. en r sulte des d viations nombreuses et parfois horribles du langage qui frappent l oreille et viennent intoxiquer le cerveau Cela s est propag au point de devenir une v ritable manie chez les publicitaires et en particulier les fabricants d enseignes car ils s imaginent ainsi frapper mieux les esprits en tant in 1 Peut on dire pourquoi fast foud sic est plus frappant que casse cro te ou que vite fait 1l y a galement la pouss e du vocabulaire technique anglo am ricain qui cr e une v ritable d pendance de la langue et donc une d cadence pouss e accentu e par la pression conomique et financi re Mais plusieurs linguistes ont montr qu on pouvait s en affranchir dans de nombreux domaines Comme le dit M Jacques Cellard ceci est possible partir de nos radicaux latins grecs ou germaniques La Coupe du fran ais des affaires organis e en r gion Centre par l Association pour Promouvoir le Fran ais des Affaires A F P A pr sid e par un inspecteur p dagogique r gional nie le confirme largement L enseignement de la s mantique et de l tymologie devrait donc faire l objet d attentions particuli res En outre il serait possible d y int resser le public par l organisation d un concours portant sur l origine et la formation des mots l tude des mots sources ou tymologie pour en faire l quivalent du concours de M Bernard Pivot sur l ortho g
43. er constituer une communaut visible de foi entre ceux qui partagent l engagement chr tien L existence de ces degr s dans l Association est n cessaire pour respecter les consciences les situations les talents divers Elle est rendue possible par une ambiance g n rale faite de fraternit d coute d acceptation des diff rences c est ces conditions que le pluralisme devient source d interpellation utile de remise en question et de compl mentarit COMMUNAUT LASALLIENNE LE R SEAU LASALLIEN Dans plus de 80 pays 9 000 Fr res des Ecoles Chr tiennes et plusieurs dizaines de milliers de la cs aid s de pr tres et de religieuses Et pr s d un million d l ves En France ce r seau inclut 7 500 ducateurs 1500 personnels plus de 1000 gar ons et filles 282 unit s d enseignement r parties en 172 institutions L esprit est celui de ASSOCIATION Fr res et L cs sont partenaires galit dans les responsabili t s et la mission d duquer chr tiennement les jeunes et dans les divers aspects qu elles rev tent administration enseignement Projet ducatif Tous s inspirent de J B de la Salle dans son attachement aux jeunes son sens de la cr ativit sa patience pour mener bien ses entreprises sa vie vang lique Ce R seau lasallien est pilot par L ASSOCIATION LA SALLE qui regroupe les chefs d Etablissements La cs ou Fr res Pour sa part l Institut
44. es jeunes de notre coll ge qui rencontent des difficult s d ordre scolaire Des l ves de terminales une bonne quinzaine se sont port s volontaires pour l exp rience Le directeur du Coll ge M Calvez les a mis en relation avec des sixi mes qui les appellent Monsieur et qui ainsi peuvent refaire surface en Anglais ou en Math Tr s riche exp rience le scolaire des trangers C est une possibilit offerte ux internes entre 17h30 et 19h qui acceptent de suivre dans les familles de jeunes trangers dans leur travail scolaire L exp rience est suivie par M Thierry Nau De l aide scolaire la d tente sportive D autres se sont propos s pour animer arbitrer aider la mise en place de tournois inter classes o des l ves de St Yves s affrontent de la Musique Du sport au sport c r bral Un club d checs est ouvert et anim par un professeur de physique M Delaire Chaque jeudi les chiquiers s animent et la concentration est reine Du sport c r bral l informatique Certains l ves sachant manipuler plus vite que leur ombre les claviers d ordinateur mettent leur exp rience au service d autres pour les initier cette appr hension indispensable du monde moderne De l informatique la musique La chorale chaque jeudi rassemble les voix d une trentaine de participants profs l ves Le F Claude Reinhardt dirige en douceur ce rassemblement venant des horizons les plus divers
45. et M et Mme Ren LE BERRE sont heureux de nous faire part du mariage de leurs enfants Nicolas et Marie D C S Avril 1990 d c s du p re de Christian GONIDEC professeur au Lik s Guy MENNECHET p re de Anne Yvonne 75 83 Fran oise 81 85 Ronan 77 86 Quimper le 14 juillet Herv CRENN AE 77 86 Bac D 84 BTS compta 86 fr re de Gilles 79 84 frapp par une leuc mie alors qu il tait moniteur la colo Notre Dame des Monts Arreau le 25 juillet Mme Louis BERNARD pouse de M BERNARD longtemps PTA au Lik s m re de Georges et Maurice AE le 27 juillet D c s accidentel d Anne LABORY AE 1982 1989 Bac B 89 TB1 s ur de Julien 607 le 29 juillet M BRIS Guy p re de Cyrille 1 re S3 et de Eva 74 82 BacB 82 le 31 juillet D c s accidentel d Odile MORV ZEN STAHL dans sa vingthuiti me ann e fille de Guy MORV ZEN AE 1953 le 13 ao t 1989 M Guillaume TREUSSIER dans sa quatre vingt deuxi me ann e p re de Didier TREUSSIER AR 59 65 et de Ronan TREUSSIER AE 61 67 le 23 ao t D c s Montpellier le 26 juillet du p re de Mme Francine LE HENAFF professeur au Coll ge M Andr BARBENOIRE p re de Yann FC Elect le 8 septembre D c s le 11 septembre du p re de Da 2 me ann e de BEP ACC D c s du fr re de Mme M France JOUEN enseignante au L P le 26 septembre D c s du p re de Fran ois COTT
46. eurs proposent des orientations g n rales riches de leur vari t d origine Puis les r seaux nationaux d coles laborent des instruments plus pr cis Enfin tout d bouche sur le Projet d tablissement qui s inspire de ces orientations mais qui s exprime selon le contexte local o l cole doit op rer Ce Projet d Etablissement ne se r duit pas un d coupage de programmes et l organisation de la di e Ceux qui le con oivent visent avant tout le service des jeunes service qu ils orientent vers le d veloppement de la personne tout enti re intelligence vie affective sociale et spirituelle Chacune des orientations retenues se traduit en objectifs sp cifiques Un tel Projet est labor au moins une premi re fois avec le concours de toutes les parties prenantes les jeunes les parents les responsables de l cole et les ducateurs Pour passer aux actes le Projet doit conduire sceller un vrai contrat entre ducateurs parents et jeunes Tous doivent le conna tre au moins dans ses grandes lignes Tous doivent le vouloir et se sentir solidaires pour en assurer le succ s Les ducateurs nouvellement engag s en prennent connaissance et acceptent d en suivre les orientations chacun selon ses responsabilit s Les structures aptes le faire r ussir sont mises en place Des valuations p riodiques en v rifient l ex cution En pratique
47. icile Nous sommes en permanence en relation avec les professionnels ce qui nous aide d finir notre avenir Je regrette cependant l ambiance amicale qui r gne au Lik s Les 5 ann es qui j y ai pass es sont plus que des souvenirs Le bonjour tous ceux qui se souviennent de moi Olivier HENAFF 90 est l ESEO Angers avec 9 autres camarades de la m me promotion 90 Parmi eux Herv GUTTIERREZ St phane LE DEROUT TAT CIVIL NAISSANCES Marc fils de Anne et Philippe LE STER professeurs le 27 juin Fran ois Xavier fils de Xavier SINQUIN AE 73 80 TC le 2 juillet Marine fille de Clotilde PAVY professeur le 19 juillet Julie fille de Christian GONIDEC professeur le 28 juillet Thibault fils de Roland LOHEAC professeur le 1 septembre Anne Laure fille de Jean Jacques AUTRET professeur au L P le 18 septembre Antoine troisi me enfant de Bernard GOARANT le 10 novembre MARIAGES Fran oise THOMAS de la PINTIERE AE 74 80 1D s ur de Gwen AE 78 82 3 me de Pol AE 71 79 TB avec Bruno COUDRAY en l Eglise de Br l s Val rie LOUESSARD et Gonzague POLLIE AE 78 81 TF 1 fr re de B n dicte AE 78 83 TD 1 le 1 septembre La Chapelle des Fougerets 35520 Isabelle MADEC AE 80 84 et Bruno LARCHEVEQUE le 29 septembre 1990 Beuzec Conq Madame Nicole MIDY surveillante d internat second cycle au Lik s
48. ier 1991 Lundi 4 f vrier 1991 Lundi 4 mars 1991 Lundi 18 mars 1991 Lundi 1 avril 1991 Lundi 15 avril 1991 Lundi 6 mai 1991 Lundi 3 juin 1991 FR RES DES COLES CHR TIENNES Province de Bretagne Commission JUSTICE amp PAIX Fr re Jean LE GUERNIC K rivoal B P 93 29103 QUIMPER C dex Notre Commission Justice et Paix soutient actuelle ment diverses uvres sociales ducatives ou culturelles dans les pays du Tiers Monde savoir au Burkina Faso divers centres d alphab tisation de formation professionnelle de r ducation physique des actions de d veloppement agricole au Cameroun diverses actions pour le d veloppement des villages dispensaire formation professionnelle Djibouti formation professionnelle Fr re Jean LE GUERNIC K rivoal B P 93 29103 QUIMPER C dex en libellant votre ch que l ordre de LA FONDATION DELA SALLE que nousavons associ e nos projets et qui vous d livrera un re u fiscal 5 joindre votre prochaine d claration de revenus R dacteur M Pierre CORIOU Directeur de la Publication Fr re No l BOIS C n 26424 Conception et R alisation BREIZ IMPRIMERIE LORIENT T l 97 64 16 42 D p t l gal 4 me Trimestre 1990
49. ies Tous frais enlev s il reste plus de 17 000 F distribuer la moiti ira l association C line et St phane l autre moiti au Tiers Monde Un effort g n reux payant Mode d emploi D abord juger Juger ses capacit s Puis s engager S engager courir tant de kilom tres Ensuite se faire parrainer papa maman papie mamie les amis ne peuvent pas refuser de donner 5 frs par kilom tre Enfin courir pour m riter l argent donn Courir courir pour se faire plaisir Courir courir courir pour aider apporter d autres ce qu ils voudraient obtenir ce qui nous fait courir la sant Le Coll ge a couru pour Le C R EN de DANO Burkina Faso le Centre de R habilitation et d Education nutritionnelle de Dano dirig e par S ur Marie Joachim s efforce de sauver les b b s d shydrat s atteints du kwashiorcor ou du marasme par une alimentation adapt e Les mamans y apprennent prolonger au village la m thode d alimentation pratiqu e au Centre Le Centre de DISSIN Burkina Faso une communaut de S urs s occupe de la r duction des polios apporte une aide aux aveugles victimes de l onchocercose tient un dispensaire et une maternit Dans un r cent courrier la responsable de la communaut exprimait le d sir de pouvoir construire une citerne pour recueillir les eaux de pluie L argent qui sera envoy cette communaut servira donc r aliser ce projet
50. ion de M LEQUEUX nous pr occupait quelque peu Sans qu on les ait le moins du monde sollicit s Domi remerci s 11 faudrait DU BON USAGE DE L ATTENTION En cette p riode des compositions trimestrielles j ai t amen comme les autres professeurs surveiller telle ou telle classe crois e ici les B r unis aux C ettel l ve de A aux c t s de tel l ve de D l telle moiti de tere G au coude coude avec telle moiti de Terminale d j Bel cum nisme Et j ai vu des visages tendus rougis contract s par une esp ce d effort musculaire Oui oui C est pourquoi j ai pens pouvoir livrer tous cette belle r flexion de Simone Weil sur l attention telle qu elle est sans commentaires Un mot tout de m me sur le personnage Simone Weil 1909 1943 fut une philosophe peu pr s inclassable tant donn s ses engagements et sa personnalit Elle a tout fait professeur de philosophie Auxerre ouvri re chez Renault combattante aux c t s des r volutionnaires espagnols r sistante Elle est morte en sanatorium puis e par les privations l ge de 34 ans Une vie fulgurante et combien remplie Elle a puis l inspiration de son uvre chez Plator dans la pens e chr tienne et dans la pens e r volutionnaire Le th me central de cette pens e la relation de l homme Dieu Elle a crit entre autres La pensanteur et la gr ce et La condition Ouvri re D M
51. lace avec les acteurs du renouveau esth tique Matisse Derain Braque Picasso La deuxi me r v lation fut de se rendre compte de tonnante coh rence entre les soci t s d Europe enraci n es dans leur pass et les diff rentes formes d art qu elles avaient engendr es L art l architecture la peinture n taient autres que les reflets de l identit de l me des peuples et s ancraient profond ment dans le temps En revanche l Am rique de ce tournant du si cle celle de Hopper n avait aucun art qui lui f t propre authentique tout venait d ailleurs d Europe de France de Paris Cette double prise de conscience fut le point de d part de toute la d marche picturale de Hopper et de toutes ses recherches pour tenter de doter l Am rique moderne d un art qui en serait le reflet fid le de l me de ses frustrations de ses obsessions et de ses r ves suspendus inachev s g ch s La vie cr atrice de Hopper a pous toutes les incertitudes et les interrogations d une soci t gigantesque en mutation dont les bases se trouvaient fragilis es et les normes remises en question par les progr s rapides trop rapides de l urbanisation et de l industrialisation sauvages effr n es o l individu semblait n avoir plus de place La ville se mettait soudain broyer ses habitants et la vie rurale excluait d racinait et expropriait tours de bras autant de sacrifices humains sur l autel de l argent roi
52. lik siennes d coup dans du contre plaqu 11 fallait faire 2800 km pour aller tuer le microbe diablotin situ l extr mit Mission largement accomplie c est 3 012 km qu accomplirent les l ves et les adultes professeurs surveillants m re d l ve et aum nier La participation de tous Cette journ e a t une r ussite gr ce la participation de tous les professeurs principaux s occup rent d une partie administrative assez lourde plusieurs circulaires distribuer expliquer commenter puis r cup rer avec l argent sur le terrain de Kermoguer les adultes pr sents s activ rent de longues heures durant au bon d roulement des op rations avec une mention sp ciale pour les secr taires Eurent aussi leur part dans ce succ s les personnes qui pr par rent et distribu rent les repas Mais bien s r les principaux acteurs de la r ussite furent les l ves Le fait qu un assez grand nombre d entre eux accomplirent un nombre de kilom tres sup rieur celui auquelils s taient engag s fut un signe de leur excellent tat d esprit Plus de 17 000 F distribuer Si cette journ e fut une r ussite par le bon esprit la motivation qui y r gn rent elle le fut aussi sur un autre plan la Course Tiers Monde Sant rapportera en effet 19 011 60 F Mille frans ont t donn s la Caisse de Solidarit du Lik s somme repr sentant le co t des photocop
53. mes repartis en direction du coll ge Cette s ance fut agr able pour tous de par sa richesse en p rip ties et son originalit De plus cela permit de nous exprimer et de mieux comprendre les gens Julien COUTEAU 304 N oubliez pas de cotiser la CAISSE DE SOLIDARIT Un jeune Espagnol tout ce premier trimestre au Coll ge Yo me Ilamo Bernardo Martinez Alberca Soy espa ol y he venido aqui para aprender franc s Me gustar a ser m dico es mi mayor ilusion Practico el franc s desde hace un a o y medio Tengo trece a os y aqui hago cuarto pero en Espana hago octavo de E G G Ensenanza General Basica Nosotros comenzamos la clase a las nueve y terminamos siempre a las 4 30 de la tarde A mi me gusta el futbol pero a n mucho m s el Bal ncesto Practico el Bal ncesto desde hace 4 a os Yo vivo en Barcelona donde se har n las proximas olimpiadas de verano Espero a todo Qumper en Barcelona en 92 Mi padre est profesor de historia y geografia y l ha sido profesor de Le Lik s tambi n Gracias a l y al se or J Pierre Hasco t estoy aqui porque son muy amigos En Quimper vivo en una familia Los alumnos de aqui son muy simp ticos y amables como tambi n 10 son los profesores Estoy en la clase 406 Adios BERNARDO Ce texie aurait d para tre en juin toutes nos excuses son auteur S CURIT ROUTI RE EN 5 me Tous les l ves des classes de 5 m
54. n bateau jusqu aux installations pr historiques sur pilotis de Unteruhidingen reconstitu es sur les eaux du Lac visite guid e Nous avons aussi visit la charmante ville de T bingen Le d part s est fait le 30 au matin et l apr s midi nous nous sommes arr t s Heidelberg o nous avons pu admirer le plus grand tonneau vin de ch ne du monde 221726 litres Nous avons bien s r pass bien d autres agr ables moments ne serait ce qu avec la famille ou les amis Nous attendons impatiemment l arriv e de nos corres pondants allemands qui s journeront chez nous du 30 avril au 10 mai prochain Pam la PICHON Beno t CALVEZ 201 Devant le ch teau de Meersburg au bord du lac de Constance Quelques images d une rentr e d j lointaine Rencontre l angle d un couloir Sous le signe de l effort une demi journ e de sport La 207 au grand complet par e pour les qualifications Intervention du Dr Frances Les l ves de Seconde ont re u l initiative du minist re de l Education Nationale une information tr s efficace sur la s curit routi re Tour tour M Le Coz responsable de la s curit routi re sur Quimper le brigadier chef Colombier responsable de la brigade motoris e de Quimper le Docteur Frances du SMUR de Quimper un ancien l ve que nous avons eu le plaisir de retrouver leur ont chacun de leur point de vue rappel les r gles l mentaires de la
55. nde meilleur Emmanuel BELLAN A la radio en passant par les checs en repassant par la musique pour aboutir la philosophie Et toi que fais tu de ton tre Photos L gendes P CORIOU POETS CORNER Pour une fois qu on tient un po te en s rie technique on ne va pas le l cher Sign E B Une flamme dans la nuit Une flamme dans la nuit Une plume attendant sans un bruit Cette flamme vive de plaisir Et illuminante de souvenir Cette longue plume Et le temps qui s accumule Cette flamme aussi vive que ton regard Et toute pleine remplie d espoir Cette plume d bordante d id es Et point e sur ce papier Cette bougie coulante de larmes Et pr te offrir sa flamme Cette pointe gorg e d encre Que seul le mouvement peut tendre Le mouvement et la flamme Et la plume est mon me La bougie peut s puiser Et l encre peut s cher Pourquoi attendre pour se rencontrer Simplement s entendre et s aider Telle une bougie clairant Ce papier tout blanc Que la plume caresse tendrement Telle cette flamme que je trouve en TOI Tel ce papier blanc que j imagine sans TOI Telle cette plume souvenir de TOI Christophe LE MESTRE TF3 2 Cette photo in dite d un de nos plus valeureux professeurs devrait vous inspirer une l gende ou un po me A vos plumes D FENSE DE L TYMOLOGIE Chez les Fr res
56. ndredi 28 septembre au Lik s sur le parking technique s est d roul e toute la journ e une expo indus trielle La Soci t DAEMI dont le si ge est Lyon est sp cialis e dans les expositions itin rantes travers toute la France bord de quatre semi remorques de 12m sp cialement am nag s 18 exposants ont pr sent un mini salon de syst mes techniques sophistiqu s Cette mini expo a permis aux futurs utilisateurs que sont les professeurs d Enseignement Technique de prendre des options sur des syst mes tels que cette fraiseuse didactique pilot e par ordinateur qui permet de faire un programme en FAO la pi ce dessin e sur l cran est directement usin e sur la fraiseuse D autres syst mes automatis s tels que l ouvre portail t l commande hydraulique un mod le chelle r duite d ascenseur ou un syst me de convoyage de Pour la physique appliqu e les appareils de mesures pi ces avec reconnaissance et d tection lectronique des formes ont notamment retenu l attention des visiteurs La robotique tait galement pr sente toutes les fonctionnali t s d un robot industriel pouvaient tre approch es avec les logiciels et mat riels pr sent s en fonctionnement Si l objet de cette journ e tait ax sur des syst mes destin s l enseignement technologique quelques indus triels de la r gion ont galement fait le d placement Une telle exposition ne peut tre qu enco
57. ne te connaissais pas depuis longtemps mais je l aimais et l appr ciais norm ment pour ta gentillesse ta sympathie et ta fa on de te comporter avec tes amis dans la vie de tous les jours Alexandre v quelqu un qui apportait beaucoup d ambiance et de bonne humeur dans la classe mais aussi un tre sensible et un bon copain Sophie aaas n Un copain qui savait nous faire rire mais qui nous a fait pleurer C dric St phane notre ami de 1G2 tu nous as quitt s mais ton image ton amiti restent dans nos esprits et dans nos c urs Bruno ANNE LABORY Toutes les barri res se briseront Et je poss derai l Infini Guy de Larigaudie toile au grand Large Elle rentrait la maison Et puis dans la fulgurance de l clair elle est entr e dans cette autre demeure dont le franchissement des portes reste un myst re qui nous fait peur et nous laisse muets devant l ultime interrogation En quelques lignes il me faut voquer son visage J esp re que m me si ces lignes viennent du c ur on ne pouvait qu aimer Anne elles seront justes et diront l essentiel Anne parmi nous dans ces deux classes de Premi re et de Terminale AB1 o nous avons chemin avec elle Anne c tait d abord la jeune fille qui nous faisait penser cet autre texte de Larigaudie Les jeunes filles sont l image pr cieuse de notre m re quand elle avait leur ge Anne c tait la gr ce merveilleu
58. noir ou Bonnard le peintre du bonheur de l insousciance de la joie de vivre mais le t moin attentif et sensible du trop rapide an antissement de la dignit de l homme par le progr Pourtant Hopper aura voulu croire en l homme en sa survie et en sa r demption Et c est encore une fois dans la lumi re du soleil ou de Dieu qu il pensera percer les chemins de l espoir Une lumi re modelant les formes sculptant les volumes organisant ou d structurant son gr l espace jusqu l abstraction L ultime d fense de l homme r sidait donc troisi me r v lation pour Hopper dans l l vation vers l abstrait et le spirituel Edward Hopper mourut New York en 1967 Michel REMAUD EN SECONDE Voyage Stuttgart du 19 au 31 octobre 1990 Nous sommes partis le 19 octobre 21h30 de la Place de la Tourbie en car direction Stuttgart accompagn s de Melle Kerou dan et de M Le Roux Nous avons d jeun Strasbourg et sommes arriv s au Wilhelmsgymnasium o nous avons t accueillis par nos familles R partis en groupes de trois l ves au lyc e nous avons particip pendant trois matin es aux cours des grands et des moins grands Les jours suivants nous avons visit la tour de t l vision de Stuttgart et nous avons pass une journ e au Lac de Constance visite guid e de Meersburg la photo nous montre tr s attentifs aux explications de la guide Nous nous sommes promen s ce jour l e
59. ns actives et chercheuses persuad que l aussi se joue l avenir pour les plus d munis Ainsi donc ce Prix International distingue une Institution ducative qui manifeste ainsi la pr sence de l Eglise du Christ un monde de pauvres d oubli s d exclus qui est la part privil gi e du J sus de l Evangile F Nicolas CAPELLE LA VIE DES DIVISIONS AU COLL GE JEUDI 25 OCTOBRE COURSE TIERS MONDE SANT Le Coll ge manifeste sa joie de l effort 11 y avait le traditionnel Cross du Nombre qui permettait d talonner les valeurs sportives mais tous les l ves ne se sentaient pas vraiment concern s par cette activit C est pourquoi d j l an pass l id e d une course plus motivante pour certains avait germ dans les esprits Le projet a pris corps et s est concr tis le jeudi 25 octobre veille des vacances de la Toussaint sous la forme d une Course Tiers Monde Sant Chacun se faisait payer ou se payait ses efforts pour venir en aide financi rement l association C line et St phane et au Centre de R habilitation et d Education nutritionnelle de Dano Burkina Faso ainsi qu au Centre de R ducation et Dispensaire de Dissin galement Burkina Faso 3012km La distance parcourue tait comptabilis e apr s chaque course Les maitres additionneurs la mat rialisaient sur une planche horizontale sur laquelle se d pla ait un superbe athl te aux couleurs
60. nt aussi obtenir de meilleures r coltes en r alisant la construction de diguettes ou de coupe vents Par contre l industrie a un tr s grand retard par rapport la France Dans les tr s rares usines le mat riel n est pas moderne ma s cela est en partie fait expr s car le manque de technologie moderne n cessite plus de main d uvre ce qui permet donc de donner du travail un plus grand nombre Pour ce qui est de la sant les Burkinab s n ont pas une tr s grande esp rance de vie Nous avons visit des l proseries et nous avons appris que la maladie n existerait plus sans doute dans quelques ann es gr ce de nouveaux traitements Mais le grand probl me reste le manque d hygi ne source de beaucoup de maladies diverses La personne rencontr e qui m a le plus marqu est le directeur des G Apr s ce qu il nous a dit sur le d veloppement de son pays j ai compris que ce sont des hommes comme lui qui sortiront le pays de la pauvret D autres personnes font aussi un travail admirable surtout dans le domaine de l ducation ce sont les fr res et s urs qui sont d vou s leur mission On voit beaucoup de jeunes qui font un petit boulot tel que cireur vendeur d eau de souvenirs de petites nourri tures mais des petits boulots sans grand avenir Certains arrivent tre couturiers menuisiers ou m caniciens mais la place la plus recherch e est celle de fonctionnaire D o l importanc
61. on peut aussi sugg rer de m nager des tapes dans la r alisation du Projet de choisir chaque ann e quelques objectifs de veiller l quilibre entre les r alisations ducatives administratives p dagogiques religieuses de respecter les diff rences entre ducateurs chacun s engage son niveau avec les comp tences qui sont les siennes et son rythme TOUS PARTENAIRES Fruit d une communaut vivante objet d une cr ation et d une mise au point incessantes le Projet d tablissement ne peut se passer d un maitre d uvre le Chef d Etablissement et le Conseil de direction I leur revient en particulier la pr occupation constante d entra ner enseignants personnels parents l ves s impliquer dans le Projet ducatif l art d veiller leur int r t le souci de l information l information qui descend pour faire conna tre le Projet l information qui remonte pour faire le point sur ses r sultats l tablissement de structures qui d veloppent la participa tion structures de r flexion de prises de d cision d administration de rapports avec l ext rieur la cr ation de groupes de travail et de recherche pour aborder tel probl me sp cifique la formation d quipes pour pr parer ensemble des cat ch ses des cours Parfois m me pour les publier au service d autres coll gues la charge de former les parties prenantes g
62. oute de Kerambelloc 29000 QUIMPER t l 98 53 31 28 HUELLOU Michel 75 Conseil en Communication Direct LD LE CHARTRE Fargues St Hilaire 33370 TRESSES JOLIVET Louis 41 16 rue R P Lebret 35400 SAINT MALO LE REST Christophe 90 La M tairie Neuve 29270 CARHAIX t l 98 93 08 94 gt l re ann e BTS Opticien lunetier l cole sup d Opticiens de Paris ORVOEN Jo l 90 Castellien 29790 CONFORT MEILARS t l 98 74 53 66 BODERE Patrice 90 18 impasse de Kersinal 29760 PENMARCH t l 98 58 20 41 GELIN Isabelle 90 Bourg 29690 BERRIEN gt t re ang e BTS Assurances St S bastien LANDERNEAU TOUTOUX Gis le 90 15 rue Paul S rusier 29520 CHATEAUNEUF DU FAOU t l 98 73 41 73 QUILLIVIC Fran ois 74 Assistant technique TPE la DDE 19 quai du Petit Port 29100 DOUARNENEZ t l 98 92 9166 LE BARS Marie Th r se TF 1 83 Technicienne Installations d Automatismes Automobiles Citro n Rennes 5 rue Pierre Brossolette 35136 ST JACQUES DE LA LANDE HASCOET Lo c 90 Keryeven 29180 GUENGAT t l 98 55 37 67 HENAFF Olivier 90 Trefeuntec 29550 PLONEVEZ PORZAY gt ESEO ANGERS DAERON Thierry 90 26 rue des Bruy res 29140 MELGWEN gt Math Sup Chateaubriand BIDEAU Joseph 62 architecte 9 rue Kergariou 29000 QUIMPER KERRIEL Nicolas 90
63. r res Joseph EVAIN Gabriel LE MEUR Jean COLLETER qui vont attachement amiti reconnaissance Notre camarade nous fait part du d c s accidentel de sa fille Odile g e de 28 ans en ao t 89 La cha ne d affection d amiti de pri res qui nous a entour s nous permet de retrouver go t la vie Estelle EVEN 90 fait des tudes d Education Physique l ILEPS et souhaite le bonjour ses anciens professeurs Yann JONDOT 86 sous lieutenant au 1e r giment Chasseurs Parachutistes Bordeaux m ne une vie exaltante Ise tient volontiers la disposition de ceux qui veulent des renseignements Paul THOMAS 62 Apr s l obtention d un BTS en Traitements de Surface a commenc sa vie professionnelle Nantes puis Angers BULL tout en poursuivant des cours au CNAM Puis c est Lannion CIT ALCATEL jusqu en 86 o il part Bordeaux TEKELEC TELECOM Cette derni re entreprise le conduira sans doute Grenoble la mi 91 Paul a pous une Remoise en 66 Ils ont 3 enfants dont l un d j dans la vie active navigant sur MIRAGE IV St phane SOURDIN ancien BTS CI 87 89 effectue deux ann es de coop ration au GABON au service de la mission catholique Adresse St phane SOURDIN Mission Catholique BP 30 MOANDA GABON Patrice FAVENNEC 87 Pont L Abb Quimper Nantes Grenoble et maintenant BAMBERG en Allemagne Il faut pouvoir suivre notre Vice Pr sident la
64. raphe On pourrait imaginer un texte truff de barbarismes anglicismes et autres incongruit s qu il faudrait corriger en commentant les expressions fautives et justifiant les expressions propos es en bon fran ais Nous serions heureux de conna tre les id es de nos lecteurs sur un tel sujet 1 On voit ainsi une des grandes banques fran aises fi re de sa cr ation des P E P sic Pierre TESSONNEAU D fense de la Langue fran aise n 154 septembre 1990 8 rue Roqu pine 75008 PARIS Texte transmis par F GABRIEL actuellement retir Guipavas qui n oublie pas qu il fut r dacteur du Lik s S JOUR AU BURKINA FASO 1990 Pour la quatri me fois les Fr res des Ecoles Chr tiennes de Bretagne ont propos un voyage de sensibilisation aux probl mes que conna t le Burkina Faso pays d Afrique de l Ouest o plusieurs Fr res ont t o sont encore en mission En juillet 1990 quatre l ves de BEP du Lik s ont profit de la tr s bonne organisation du Fr re Jean Le Guernic en compagnie de quatre l ves du Lyc e Saint Joseph de Lorient Voici ce que Damien a retenu du voyage Ce qui m a le plus impressionn dans ce pays c est l accueil que les gens nous r servaient Partout o l on allait les gens taient pr ts nous rendre service pourtant ils sont pauvres mais chacun semble heureux de ce qu il a Depuis mon retour j ai compris beaucoup de choses Par exemple leur mo
65. ri re arm e de terre Carri re de la s curit sociale Chimie laboratoire et industrie Carri re de l assurance Carri re de la banque Carri res para m dicales Devenir ing nieur De l lectricit l lectronique Documentation biblioth ques mus e Etre fonctionnaire avec le brevet un CAP un BEP Emplois du dessin industriel Explosion des mat riaux caoutchouc verres Education sp cialis e H telleri Instituteur M tiers du bois et de l exploitation foresti re M canique productique M canique de M tiers de l imprimerie et des industries graphiques restauration AGREABLE AicHE EN CoNTATS S I O MAC Le SIO s informatise gr ce l aide de l Association Amicale des Anciens El ves Une dizaine d l ves volontaires se forment activement la programmation dans ce but et certains d entre eux sont d j tout fait performants Un grand merci leur formateur b n vole Daniel LE BIGOT Le mat riel choisi est le nouveau MAC CLASSIC Hypercard Conception et programmation demandent plusieurs mois de tavail aux Animateurs jeunes et adultes du SIO Notre ambition est de cr er un produit susceptible d aider les jeunes CONSTRUIRE leur PROJET PERSONNEL AVEZ UNE PREFERENCE Pouf LA coulEUR CAHIERS DE L ONISEP M tiers de l ameublement M tiers de l habillement Mode et ses m tiers M tiers de la statistique M tiers du commerce M
66. rique de remorques a connu depuis une trentaine d ann es une croissance remarquable Celle ci est le r sultat du souci constant de r pondre aux besoins des agriculteurs et des efforts entrepris pour am liorer d une part la qualit du produit d autre part l organisation de la production A cela se rajoute l extension g ographique du r eau de distribution qui s inscrit dans l optique du march europ en de 1992 L apr s midi fut consacr lavisite d un parc de loisirs situ Milin Kerroc h en Sizun Celui ci fut cr en 1969 par un agriculteur qui voulait mettre profit la beaut d un site pour r pondre un besoin croissant en mati re de loisirs Le parc fr quent essentiellement par des familles offre calme et distractions promenade autour d un lac p che p dalos aire de jeux pour enfants A celase rajoutent bar cr perie et restaurant gr ce auxquels les visiteurs peuvent passer un moment fort agr able B T S CI deuxi me ann e Le mardi 23 octobre les 35 tudiants de B T S CI 2 ont visit le Salon International de l Alimentation Villepinte en r gion parisienne Ce salon auquel sont pr sents plusieurs milliers d exposants venus du monde entier leur a permis de couvrir ce qu tait une manifestation de cette dimension mais surtout de rencontrer de multiples responsables d entreprises dans le but d approfondir leurs diverses tudes pratiques en Commerce International appliqu ll
67. s ont aussi par le biais de ces contacts entrevu ce que pourrait tre leur avenir Ce d placement a de plus permis un grand nombre de ces tudiants de travailler une demie journ e au Centre de documentation du Centre Fran ais du Commerce Ext rieur Ils ont aussi selon leur choix visit la Cit des Sciences et des Techniques La Villette ou la Bourse J C LE GARS Les ereves ue 1 UA 3 ieurits n rate uu Kerroc h LES TG 22 A LANDIVISIAU SUPER ACCUEIL A RALLYE SUPER Le jeudi 15 novembre les l ves de TG 22se sont rendus Landivisiau Au programme deux visites Rallye Super le matin et la mairie de Landivisiau l apr s midi Excellent accueil Rallye Super o M Jumel le directeur a consacr l essentiel de sa matin e faire conna tre son entreprise Pr sentation de l entreprise gr ce un montage audiovisuel visite guid e de l entrep tet r ponses aux questions tout ce qu on veut savoir sur la distribution en le demandant L apr s midi avec une tourn e des quipements publics de la ville zones industrielles ateliers relais quipements scolaires sportifs sociaux les l ves ont pu juger de l importance de l action d une municipalit Une journ e bien remplie A Rallye Super un jus de fruit d honneur pour les TG 22 STAGES D T B T S COMMERCE INTERNATIONAL FAVENNEC Emmanuelle FLOC H Marie Anne KERVARECH Isabelle LARV
68. se de cette f minit dont notre monde a tant besoin et cela apparaissait aussi bien dans la lumi re de son sourire que dans l ensemble de sa mise toujours simple classique parfaitement ordonn e sa personne Anne c tait la gentillesse Elle avait pour elle les dons d une intelligence vive et d une personnalit d j affirm e Et pourtant jamais elle n a fait marque de la moindre suffisance par rapport aux autres C est certainement cette qualit qui la fit lire d l gu e de classe en Premi re la quasi unanimit Allons au del Anne c tait la d licatesse qualit li e la fois l intelligence de l espritet la richesse du c ur Qu on me pardonne cette anecdote personnelle elle n est qu un signe parmi d autres apr s l pisode du jeu la Bourse set l article d OUEST FRANCE qui suivit je signai un matin une de ces diatribes contre le sale argent et la Bourse exploiteuse du sang et de la sueur des pauvres contre le scandale qu tait pour moi le fait de voir une cole faisant r f rence J sus Christ se lancer dans ce jeu sordide que nos malheureux l ves en rest rent abasourdis Le lendemain matin Anne m attendait l entr e de la classe et elle me dit Je voulais vous demander pardon nous ne voulions pas vous faire de peine Pourquoi ajouterai je un commentaire Anne c tait aussi une volont de recherche d ouverture M me si l
69. tiers du commerce de d tail en alimentation M tiers du tourisme Musique art lyrique danse M tiers de la s curit P che et cultures marines Professeurs charg s des enseignements technologique et industriel S occuper d animaux Sp cial bureau bureautique comptabilit banque trans ports Secr tariat et bureautique Techniciens de recherche tudes essais contr le dans l industrie Travailler dans la construction Textile cuir habillement des industries de pointe Travailler dans les transports NOUVELLES D ANCIENS Philippe LE HIR 89 en 2 me ann e ENSADE Paris Toujours aussi actif vient de faire 4000 km en une semaine Navigue toujours d s qu il le peut A fait la Corla s week Fait des convoyages de bateaux aux Antilles ou ailleurs trouv un job chez Jeanneau Paris Dans la m me cole se trouvent Nicolas DORNIC 89 et d autres lik siens Pierre Louis DECAUX 62 transmet son plus cordial souvenir Louis KERVAREC 71 profite de l envoi de sa cotisation pour demander des nouvelles de ses anciens camarades est charg d affaires Paris Emmanuel JAOUEN 89 est l Ecole des Beaux Arts Rennes Il vient rendre visite au Lik s de temps en temps o il rencontre entre autres son ancien professeur d Arts Plastiques F Claude Letrionnaire Denis LE NAOUR 64 navigue sur Air France depuis 1973 10000 heures de vol sur Caravelle Airbus Boeing 747 Son
70. tion avec des moduls sp cifiques La publication de ce catalogue en sera faite prochainement dans les Entreprises Une raison suppl mentaire de cette acquisition est la perspective moyen terme de l ouverture d un BTS de type Productique M canique Cette formation donnera un d bouch sur place aux l ves de Bacc F1 Si actuellement les l ves n ont pas de grosses difficult s poursuivre leurs tudes en Bacc 2 le BIS largira la palette des formations correspondant aux n cessit s de l industrie moderne D LABAT DE LA CLASSE hommage de les remercier pour leur travail lors de l installation de RADIO LIK S et pour leur service apr s vente dans ce domaine Souvent quelque chose ne colle pas du fait des utilisateurs et c est vers eux imm dia tement que l on se tourne pour remettre les pendules l heure Alors ils r parent les b tises avec spontan it gentillesse et comp tence Que voulez vous de plus Toutes ces qualit s leur viennent elles de leurs professeurs Certainement C est l ambiance qui r gne en g n ral dans leur atelier MAIS c est surtout d au fait que ces l ves ont su brancher leur c ur sur les besoins des autres avec le sourire et la bonne humeur des gens comp tents qui ont compris que la technique n est rien si elle n est au service des autres BRAVO les I C et un grand MERCI E BELLAN LE FORUM EXPO INDUSTRIEL AU LIK S Le ve
71. ue permet de d terminer l aire d expansion de chaque mot par l tude des diff rents dialectes La connais sance des mots sources permet de cr er des mots nouveaux partir des racines anciennes mais en respectant les r gles de la s mantique pour obtenir des mots ayant un sens pr cis La clart d une langue repose en effet sur cette pr cision dans la nuance Et il devrait tre mis dans la t te de tous les Fran ais qui nous accablent d une d bauche de mots qu il est nuisible la langue et sa culture de fabriquer des mots qui n ont aucun sens dans aucune langue comme les nombreux mots en ing et ceux en rama Cela ne vise pas bien entendu les mots d riv s par alt ration de termes trangers comme redingote d riv de l anglais riding coat Mais la clart d une langue repose sur ses sonorit s Et ce titre l exemple cit devrait tre banni une deuxi me fois En ce qui concerne les mots et les r gles qui pr sident leur assemblage la recherche et le choix sont aujourd hui compromis par le tourbillon de la vie moderne et il est difficile de conserver une attitude r serv e Alain Rey r dacteur en chef des dictionnaires Le Robert Le journalisme audiovisuel oblige de nombreux pr senta teurs improviser partir de notes plus ou moins pr cises ou m me r pondre du tac au tac sans allusion dans des dialogues plus ou moins calmes et r fl chis Il
72. un petit espace dans le journal pour expliquer deux ou trois choses qui am liore raientson fonctionnement Le voil cet espace mais au milieu de la page consacr e au mouvement lyc en Alors vous attendez encore un peu pour en conna tre plus sur votre journal et vous supporterez bien que je dise deux mots sur le mouvement Tout d abord pour pr senter quelques excuses pour n avoir pas suivi pour Le Lik s l v nement avec toute l attention qu il m ritait Ensuite pour exprimer un regret que le corps professoral ne dispose plus d une structure de r flexion et de concentration qui lui permettrait lorsque surviennent des v nements impr vus d exprimer un point de vue au c t de celui de la direction ou de celui des parents d l ves P CORIOU Lundi 19 novembre les parents rencontrent le Bureau des d l gu s l ves Les parents se sont r jouis de r pondre la demande des l ves de les rencontrer Les lyc ens leur ont fait part de leurs revendications d doublement des classes de langues possibilit d apprentissage d une seconde langue en LEP revalorisation de la fonction des enseignants ouverture de l Ecole sur la vie professionnelle Les parents leur ont pr cis que leurs revendications rejoignaient beaucoup les leurs intervention en 89 aupr s du Conseil R gional et du Rectorat rassemblement des coles catholiques le 9 octobre 1990 Quimper
73. urag e C est la deuxi me fois que la Soci t DA MI effectue ce type d action la premi re ayant eu lieu en 1988 Tous les partenaires sont aussi sensibilis s des Chefs de Travaux aux Professeurs et leurs l ves et au del les chefs d Entreprise qui recrutent les techniciens eting nieurs form s sur ces syst mes D LABAT rre D INSTRUME UNE GAMME INDUSTRIELLE AU SERVICE de L ENSEIGNEMENT FABRICANT 4 ALIMEN ic COMMERCIAL Don o SAPS Des observateurs tr s int ress s deux robots p dagogiques une fraiseuse didactique S RIE G B T S C B T S K B T S COMMERCE INTERNATIONAL De Pont Aven au Salon International de l Alimentation B T S CI premi re ann e Le jeudi 4 octobre les 33 tudiants de B T S CI 1 ont t re us dans l Entreprise Les Galettes de Pont Aven Traou Mad par M Menth our responsable de cette dynamique entreprise Ils ont b n fici de toute l exp rience de ce chef d entreprise pour mieux approcher le concret du commercial et du commercial export d une P M E Ils ont aussi pu appr cier tout l investissement personnel qu une r ussite commerciale implique En bref ils ont d couvert un peu du chemin qui les attend Les BTS C11 Traou Mad Pont Aven SORTIE DES 1 GA 3 Le 10 octobre 1990 les l ves de 1 GA 3 sont accueillis par un responsable de l Entreprise Rolland Pencrean Cette entreprise sp cialis e dans la fab

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