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010 - CARI
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1. LES SERVICES QUE LE C A R I ASBL OFFRE SES MEMBRES ABONNEMENT AUX CARNETS DU CARI 4 NUM ROS PAR AN ANALYSES DE MIELS ORGANOLEPTIQUE PHYSICO CHIMIQUE POLLINIQUE ANALYSES DE MIELS MIEL DE QUALIT 2 5 FB TI l PAR AN ETIQUETTES PERSONNALIS ES QUETTE SI LES MIELS ANALYS S R PONDENT AUX NORMES CARI CONSEILS PERSONNALIS S SUR SIMPLE DEMANDE SERVICE CONF RENCE GRATUIT POUR LES SECTIONS MEMBRES SERVICE CONF RENCE PR SENTATION DU CARI LES INTOXICATIONS LES ALLERGIES AU VENIN LE MIEL LE MAT RIEL APICOLE LES MALADIES DE L ABEILLE LA VARROASE LES NOURRISSEMENTS LA S LECTION ET L LEVAGE R LE DE L ABEILLE MELLIF RE DANS LA POLLINISATION DES PLANTES CULTIV ES FRAIS DE D PLACEMENT 5 FB KM COURS SUP RIEURS EN APICULTURE JOURN ES D INFORMATION LA D PISTAGE VARROASE ANALYSE DES PAPIERS D HIVERNAGE 25 FB LANGE ELISA CONSEILS Acc s AU CENTRE DE DOCUMENTATION REVUES LIVRES ARTICLES PHOTOCOPIES MEMBRES 2 FB P DIATH QUE ACC S PLUS DE 700 DIAPOSITIVES SUR DIVERS TH MES APICOLES R DUCTION DES FRAIS DE PARTICIPATION NOS ACTIVIT S Du c te du CARI COURS 1987 LA CONDUITE PERFORMANTE D UN RUCHER Apr s la pathologie apicole la s lection et l levage de reines le cours 1987 du CARI abordera le domaine plus concret de la conduite d un rucher Des techniques ration
2. A l extraction quantit d eau en pr sence d air sec d humidit par un miel est tr s rapide par exemple lorsque la teneur en humidit relative de l air est de 60 un miel pourra s hydrater jusqu contenir 18 3 d humidit situation d quilibre pour une humidit relative de l air de 80 la teneur en eau du produit passerait dans les m mes conditions 33 apr s une longue exposition En atmosph re s che et apr s extraction le miel se d shydratera uniquement en surface cosit lev e l change d humidit se fera difficile ment partir de la masse de miel vers l air atmosph rique A cause de sa vis A La tendance fermenter d un miel augmente avec le taux d humidit qu il contient Afin d viter cet inconv nient quelques pr cautions sont prendre lors de la r colte il faudra viter de stocker le miel opercul dans un local humide avant l extraction En effet le miel contenu dans les cadres offre une grande surface d change les opercules n tant pas imperm ables au passage de l humidit de l air dans dans le miel Par contre en stockant les cadres de miel opercul dans un s choir l apiculteur pourra faire baisser le taux d humidit du produit C est le seul moment o il pourra intervenir dans ce sens Apr s l extraction le miel devra tre transf r dans un maturateur ou un f t quip d un couvercle joint tanche ou conditionn en pots
3. COMMENT G TROP HUMIDE MON MIELS orne On peut provoquer tr s rapidement la cristallisation parfaite d un miel liquide sursatur en glucose Il suffit de l ensemencer l aide de cristaux naturels On choi sira une semence compos e de cristaux tr s fins comme 5 10 de ce pro duit seront dilu s successivement dans la masse de miel liquide provenant d un autre miel d j cristallis le miel de tr fle par exemple La temp rature du miel ensemencer sera d environ 27 C L apiculteur vitera d y incorporer des bulles d air f Il laissera reposer le m lange quelques heures en le d posant une temp rature de 14 C C est apr s l ex traction des cadres que se situe le moment le plus pro pice pour pratiquer la cristallisation dirig e car l op ration est alors r alis e sur un miel parfaitement liquide que l onn a pas refondre donc r chauffer La cristallisation dirig e pr sente un inconv nient majeur il est plus difficile de ma triser la coh sion duret ou souplesse du miel Etant donn qu un miel ne cristallise pas 27 C l apiculteur devra le refroidir le plus rapidement pos sible afin d induire la cristallisation Pour obtenir de meilleurs r sultats on peut lui conseiller d agiter lentement de mani re discontinue la masse de miel ensemenc e et de la ramener progressivement temp rature plus fra che Apr s quelques jours il le co
4. dire qu elles ne sont pas mortelles En d autres terms la mortalit constitue t elle un crit re suffisant de toxicit ou d autres cons quences d un traitement peuvent elles tre n fastes plus ou moins long terme pour les colonies C est pour r pondre en partie cette question qu nous avons mis au point une m thode respirom trique qui permet de mesurer de mani re rigoureuse les cons quences m taboliques d un traitement effectu une dose subl tale Int r t des mesures respiratoires Le production d nergie s effectue par oxydation de substances organiques stock es dans l organisme La consommation d oxyg ne est donc le reflet non seulement de l activit externe de l abeille la marche le vol la ventilation mais galement des m canismes internes n cessaires au bon fonctionnement de l organisme et notamment la thermor gulation La respirom trie fournit donc une information sur le bon tat g n ral des individus qui moyennant le contr le d une s rie de facteurs peut servir de crit re de toxicit L int r t d une telle mesure r side dans l tendue de la gamme de r ponse En effet les tests classiques de toxicit n ont qu une r pon se bin miale mort ou survie alors que la consommation d oxyg ne peut mettre en vidence des perturbations m taboliques m me si les individus trait s ne pr sentent aucun signe ext rieur d intoxication Il s agit donc d une techni
5. du 5e jour D ailleurs le l0e jour en moyenne 34 des abeilles trait es ont p ri pour seulement 5 des abeilles t moins Conclusions Cette r duction de la long vit des individus trait s au bromo propylate confirmrait donc l affaiblissement constat lors des mesu res respiratoires N anmoins il convient de souligner que ces ob servations m riteraient d tre confirm es dans des conditions plus fa vorables en particulier avec des groupes d abeilles plus importants afin d tre certain de b n ficier de l effet de groupe Il est toutefois vident que les mesures respirom triques permettent de d celer une intoxication qui ne se manifeste ni par un comportement anormal ni par des mortalit s imm diates Ce r sultat confirme tout l int r t de ce type de mesures d autant plus qu en faisant varier les param tres et notamment la taille du groupe d abeilles et la temp rature il est possible d tudier la thermor gu lation coloniale dont il serait essentiel de savoir comment elle est influenc e par les diff rents traitements
6. journ es Nous pouvons d j signaler que pareille initiation sera organis e l ann e prochaine m me poque Qu on se le dise Par ailleurs si vous tes int ress par l acquisition de la flore qui fut utilis e lors de ces journ es d initiation il suffit de verser 335 FB au C C P 001 1904330 05 4 place Croix du Sud 1348 LOUVAIN LA NEUVE avec la mention FLORE DE LA BELGIQUE Depuis 2 ans d j des essais sont en cours au C A R I en vue ILC d tudier le r le conomique de y l abeille mellif re dans la pol linisation des plantes cultiv es Des D travaux ont t r alis s sur colza OL f verole fraisier cornichon melon et tomate en Belgique et ga CO 6 TE EO lement sur avocatier et tangelo ABEILLES ET FRUITS Chez nous et ailleurs expos pr sent par Mich le LEMASSON le jeudi 16 octobre prochain 19H30 dans les locaux du C A R I au Laboratoire d Ecologie et de Bio g ographie Place Croix du Sud 4 1348 LOUVAIN LA NEUVE THEME DE L EXPOSE il est paru COMPTE RENDU DE LA JOURNEE D INFORMATION ANIMEE PAR MICHEL GONNET LE 9 MARS 1986 A LOUVAIN LA NEUVE En voici deux extraits pour vous mettre l eau la bouche L humidit Les sucres sont tr s hygroscopiques se chargent en eau s ils sont en contact avec l air Ils s hydratent humide ou inversement se d shydratent perdent une L absorption
7. pour moi le meilleur Prenons l exemple de sirop 600 1 600 grammes d eau pour 1 kg de su cre 40 kg de sucre et 24 1 d eau 1 Pratiquez une infusion 35 minutes de 130 grammes de m lange dans 2 litres d eau propre une infusion se pratique toujours en vase clos pour une non d perdition des principes volatils 2 Pendant ce temps faites bouillir 22 Titres d eau 3 Filtrez en exprimant impeccablement lin flanelle puis filtre papier cette infusion puis ajoutez la aux 22 litres 4 D s bullition faites fondre le sucre puis arr tez le feu jus te avant la seconde bullition 5 Ajoutez votre acide ac tique vinaigre d alcool ou vinaigre de cidre de pomme surtout pour le potassium et les oligo l ments si vous n avez pas massivement ajout pr alablement de l ortie dans votre m lange de th 300 cc de vinaigre de cidre de pom me pour 10 litres de sirop 6 Ajoutez pour terminer le jus d un citron adjuvant l acidifi cation du sirop par le vinaigre l abeille au bois dormant vous remerciera de cette semaine de bon th L ortie Ur tica dio ca qui contient de l azote des tanins de l acide formi que et gallique ainsi que du carbonate d ammonium employ e ces fins doit l tre massivement sous peine de rester r so lument inop rante De plus elle doit tre r colt e le plus possible l cart des milieux urbains elle s y charge trop fortement en plomb c est gal
8. r putation consid rable cause des rapports myst rieux qu il en tretient avec les abeilles Comme partout ailleurs dans le monde il est un interm diaire privil gi entre l abeille qui dispense la fois douceur et douleur et les autres hommes qui m connaissent les secrets de la soci t des abeilles et de la production de leur tr sor A condition bien s r que ce dernter ne pr sente pas d allergte certains types de pollen x sucr Mais de surcro t les producteurs de miel de thym voient leur prestige encore rehauss par les qua lit s alimentaires exceptionnelles et les vertus m di cinales particuli res attribu es leur produit Les investissements financiers sont n gligeables pour un rapport consid r comme suffisant ou m me lev Il s agit ici la fois d un avantage et d un vice r di bitoire de l apiculture traditionnelle qui consiste croire que les abeilles peuvent et doivent se d brouil ler seules pour vivre et produire des surplus exploita bles Ainsi la conversion l apiculture moderne est entrav e d un c t par le manque de connaissances sur la biologie de l abeille et d un autre c t par les in vestissements beaucoup plus lev s et les techniques de conduite plus compliqu es qu exige l utilisation des ruches cadres Pour ces raisons plusieurs tentatives de d veloppement de l apiculture moderne en r gion mon tagneuse et ailleurs se sont sold es par un ch
9. and il est r colt avec soin le miel peut tre de qualit in galable si les abeilles ont butin princi palement sur le thym Un certain m lange avec les r serves polliniques en augmente m me les vertus puis que le pollen repr sente un apport d acides amin s et de lipides qui ne peut tre que b n fique pour le consommateur conduite du rucher peut pr server les qualit s essentiel 2 L apiculture traditionnelle demeure une production d appoint son niveau optimal du moins s il est bien men les rendements sont augment s une ruche moderne peut produire entre 10 et 25 kg de miel parfois plus si l ann e est bonne Naturellement on obtient un miel mixte cau se de la transhumance mais une bonne organisation de la les du miel de thym avec sa couleur sa consistance son ar me et sa saveur si caract ristiques Mais cette ven tuelle diminution de la puret du produit d origine est largement compens e par l augmentation des rendements et la pr servation du cheptel Ce miel industriel est vendu non seulement aux parti culiers mais aussi des grossistes qui en assurent la distri bution dans les villes oO RD D AC W Q O OD O DRDO DR 2 DZA AA ZA 2292 d Aamann nanaon BARV tr s utile pour la famille non seulement sur le plan mat riel autoconsommation gratuite objet de cadeaux de ventes m dicament simple mais aussi sur le plan social Ainsi l apiculteur jouit d une
10. ctement apr s le traitement 1 h00 apr s le d but de l application de la mati re active et une autre apr s 24h00 afin de mettre en vidence une ventuelle persistance des effets du traitement R sultats Pour chaque traitement nous avons effectu 7 r p titions savoir la s quence mesure d un groupe t moin mesure d un groupe trait Consammations moyennes d oxyg ne par abeille en ml ab mesures directes ml ab 20 mesures apr s 24 h00 ml ab 10 em anni 2 Le tableau et l analyse statistique montrent une diminution de la con sommation d oxyg ne dans les cas marqu s d une x Cette diminution est plus importante lorsqu il y a x Analyse des r sultats et discussion Dans un premier temps le traitement l amitraz provoque une nette d pression de la consommation d oxyg ne qui serait le reflet d une perturbation de l activit immobilisation arr t de la ventila tion Par contre apr s 24h00 les abeilles trait es ne pr sentent plus de r action anormale Le traitement ne semble pas avoir de con s quences n fastes pour les individus trait s m me s il serait uti le d tudier les cons quences pour la colonie de la r action inm diate en particulier en ce qui concerne les ph nom nes thermor gula toires Par contre le traitement au bromopropylate n entrafne qu une l g re d pression de la consommation d oxyg ne mais qui se maintient du
11. e production moyenne de 68 3 Kg Dans la descendance de la reine ins min e artifi ciellement 4 84 six des filles ont donn 75 kg miel en moyenne La valeur maximale a t de 87 5 kg Plusieurs appareils ins miner taient galement expos s SCHLEY R F A HARBO U S A RENSON B GUILLAUME CH HOM D L appa reil belge a suscit un tr s vif int r t aupr s des participants Monsieur RENSON a d ailleurs t mis contribution au c t de Monsieur FRESNAYE et de Madame MIGNOT pour les sc ances de d monstration qui se sont tenues pendant toute la dur e du symposium Pour les personnes int ress es plus particuli rement par ce sujet nous disposons du r sum des diff rentes communications NOTEZ LE DANS VOTRE AGENDA LE 4e CONGRES D APICULTURE SE D ROULERA DANS LE DOMAINE UNIVERSITAIRE DU SART TILMAN LE DIMANCHE 19 OCTOBRE PROCHAIN CETTE MANI FESTATION EST ORGANIS E PAR LA F D RATION ROYALE PROVINCIALE LI GEOISE D PICULTURE F R P L A ET EST PATRONN E PAR L UNION DES F D RATIONS PROVINCIALES D APICULTURE DE WALLONIE CU F P A W POUR Tous REN SEIGNEMENTS T L PHONEZ AU 041 31 18 24 ou 67 06 48 manu DU MAROC CONDITIONS GENERALES DE LA PRODUCTION ET DE LA CONSOMMATION DES MIELS TRADITIONNELS ET INDUSTRIELS DANS LE HAUT ATLAS OCCIDENTAL suite et fin Par Freddy DAMBLON x 2 PRODUCTION INDUSTRIELLE La production industrie
12. ec Nous pensons que l apiculture en montagne et en particulier la production de miel de thym pourrait tre fortement am lior e gr ce des dispositions simples et pratiques comme cela se fait en Afrique intertropicale et par un effort de diffusion du savoir sur la biologie des abeilles Une ruche cadres avec essaim peut co ter et 600 DHS pi ce p entre 450 i 3 sur le fait que ce qui est important c est qu aucune for DES MESURES QUI S IMPOSENT i i Pour terminer nous voudrions insister sur la n ces sit et l urgence de prendre les mesures qui s imposent pour sauvegarder et am liorer les techniques traditionnel les en apiculture Plusieurs enqu tes men es par les tudiants de l Ins titut Agronomique et V t rinaire Hassan II stages de d veloppement 1981 1984 mettent en vidence une r gression de la production traditionnelle du miel La crise clima tique travers e et la r duction cons quente des floraisons en sont sans aucun doute responsables mais il faut peut tre y ajouter certains effets pernicieux du surp turage avant les floraisons A ces facteurs naturels viennent s ajouter d autres facteurs sociologiques li s la muta tion de la soci t marocaine Ainsi la plupart des jeunes gens se d sint ressent d une apiculture jug e non rentable et se tournent vers d autres activit s plus directement r mun ratrices ou migrent vers le
13. ement important IL Y A THYM ET THYM y Nous recevons notre thym entre autres d Espagne o il existe plus de quarante sortes de thyms Chacun contient son propre pour centage de thymol et de carvacrol Certains sont verts d autres noirs certains se boivent avec d lice et d autres non Pour tre officinal un thym doit poss der au moins 50 de thymol Souvent les thyms culinaires n atteignent pas ces normes d licieux au go t ils ne valent pas un pied bien mis pour la phy toth rapie apicole Si dans votre m lange vous ne d sirez pas remplacer comme le font certains ce thym de valeur inconnue par du thymol dissout dans l alcool 94 dit bon go t raison de 4 grammes pour 10 litres d infusion cultivez le serpolet qui sous notre climat se rapproche plus des normes officinales et il est plus agr able boire EN REGLE GENERALE Vous n obtiendrez desr sultats probants qu avec des plantes de qua lit et qui viennent obligatoirement du seul lieu les rendant de par diff rents composants officinales 6alsepareille de Jama que camomil le de Hongrie badiane de Chine etc Ne laissez jamais un sirop pr par avec des plantes dans un r cipient en fer blanc sous peine d annuler votre travail par une oxydation du liquide I vaut mieux le transvaser rapidement dans des r servoirs en plastique l id al tant d en faire plusieurs reprises et en moins grande quantit Il en est de m
14. ev e peuvent com mencer leur ponte plus rapidement que celles faisant l objet de ce rapport PE EE RE ER De meilleurs r sultats conomiques par la des cendance des reines ins min es artificiellement par le Dr C ROSENTHAL HAIM EFRAT I KAMER Isra l Dans les travaux d am lioration qui ont t effec tu s dans la Station apicole de S lection TRIFIN on a employ chaque ann e des colonies qui ont d pass de 50 la production moyenne des autres co lonies d abeilles En partant de ce mat riel biologique on a obtenu des combinaisons diff rentes par accouplement libre dans la station de s lection par accouplement dans une station de f condation contr l e et par ins mi nation artificielle On a obtenu les productions les plus lev es par tir de la descendance des reines ins min es artifi ciellement Pour la variation g n tique on a assur pour cette descendance l accouplement libre en rucher de s lection Par cette m thode on a obtenu de la des cendance des reines ins min es artificiellement une am lioration de rendement de 17 53 7 kg miel par rapport la production de reines ins min es artificiellement Par l ins mination artificielle r p t e et alter n e avec l accouplement libre en staticn de s lec tion on a obtenu une somme de caract res positifs Par cette m thode on a r alis partir d une com LA binaison r ussie un
15. g teau X UL A JE anti allopathie le Fr re A AE aA a NS G 11773 ms U AE t sd 7 SOLUTION DU PROBLEME N 2 AHO Mady BERIU ae is sl oo L ins mination artificielle est importante quand on parle de s lection dans l levage parce que c est le seul moyen pour un leveur de contr ler l origine des m les qui f condent telle ou telle reine Depuis sa cr ation cette technique objet de nombreuses recherches a rapidement volu C est pourquot Apimondia a organis du 11 au 14 mat dernier Toulouse un symposium consacr l ins mination scientifique et commerciale des reines d abeilles La plupart des expos s ont port sur des sujets tr s sp cialis s par exemple R gles d terminant la vitesse de p n tration des sper matozo des dans la spermath que d une reine ins min e artificiellement L int r t d au tres communications tait plus g n ral comme le prouvent les deux r J WOYKE ainsi que sur des r sultats de terrain sum s ci dessous Influence du nombre des accompagnatrices sur le d marrage de la ponte chez les reines d abeilles ins min es par J WOYKE Pologne Un lot de 70 reines g es de 7 jours ont t ins min es avec 8 mm de sperme Elles ont t intro duites par groupes de 10 dans des nuclei de f con dation monocadre avec 150 350 et 750 ouvri res et dans des nuclei Kirchain trois cad
16. ion des plantes fleurs Une vingtaine de participants taient au rendez vous Apr s avoir argument l int r t de l utilisation d une cl de d termination bas e sur les aspects organographiques morphologiques et cologiques de la plante le Docteur B BASTIN animateur de ces journ es illustra les diff rentes notions utilis es dans la cl de d termination par une s rie de diapositives Tr s rapidement place fut laiss e la pratique Il s agissait de d terminer la formule florale d un certain nombre de 2 e s 1 plantes fleurs mises la disposition des participants et d en pr ciser la famille le genre et l esp ce L aide de la cl de la x FLORE DE LA BELGIQUE B BASTIN et al gt L apr s midi de la deuxi me journ e se d roula dans le cadre champ tre des sentiers de la commune de Chaumont Gistoux o chacun r f pea put se rendre compte de son niveau de connaissance en la mati re Nous tenons remercier l ensemble des participants pour leur Fe oo e a x BASTIN B DE SLOOVER J R EVRARD C et MOENS P 1985 me Flore de la Belgique Pt ridophytes et Spermatophytes l usage des tudiants de candidature Ed U C L Louvain la Neuve 333 p collaboration active ces journ es Nos plus vifs remerciements s adressent galement au Docteur B BASTIN pour la comp tence et la gentillesse avec lesquelles il anima ces deux
17. lle de miel de thym est tr s r duite au Maroc Elle existe au nord d Agadir dans la r gion de Tamri principalement Comme les autres productions mellif res industrie lles elle se caract rise 1 par l emploi de ruches cadres mobiles essentiellement de type Dadant 2 par une conduite continue du rucher suivant les techniques apicoles modernes x Institut Agronomique et V t rinaire Hassan II D par tement d Ecologie V g tale et Pastoralisme Labora toire de Palynologie BP 6202 Rabat Instituts MAROC notamment avec nourrissement pendant les p riodes de diset te 3 par la pratique de la transhumance 4 par l utili sation des techniques industrielles d extraction et de con ditionnement du miel CONCLUSIONS Les avantages de la production industrielle sont vi dents meilleurs rendements salubrit des ruches et vi gueur des abeilles pr servation du cheptel lutte effica ce contre les maladies et les pr dateurs qualit et diver sification des produits r colt s miel pollen gel e royale cire propolis rentabilisation accrue de l apiculture l par la pollinisation des plantes cultiv es etc De plus 1 ce mode de production maintient le cheptel des abeilles Ainsi Malgr les avantages de l apiculture industrielle la production traditionnelle du miel et en particulier celle du miel de thym garde de s rieux atouts qu il con vient de ne pas n gliger Qu
18. lles Ed Paris 173 p Le Courrier du Livre GONNET M et VACHE G 1985 Le go t du miel Ed UNAF Paris 146 p RUTTNER F 1968 Les races d abeilles in R CHAUVIN Trait de Biologie de l Abeille Vol 1 Ed MASSON et Cie Paris 27 44 RUTTNER F 1982 Taxonomie et volution des races d abeilles du Bassin M diterran en consid r es d un point de vue cono mique Bull Techn Apicole 9 2 61 66 TAZI S 1985 L apicuiture traditionnelle au Maroc IAV Hassan II Rabat Maroc 10 p amp Varroase j nai A Effet de deux acaricides Amitraz Folbex VA sur le m tabolisme de l abeille par Dominique de BAETS Dominique de Baets a r alis son m moire de fin d tudes au laboratoire d Ecologie et de Btog ographie de l U C L Ila travaill sur diff rents produits acariceides actuellement sur IL a ainst tu le march pour la lutte contre la varroase di leur toxicit au niveau de la respiration de l abeille Plus personne n ignore la pr sence de la varroase dans notre pays mais l on s interroge toujours sur les moyens de lutter contre ce fl au Jusqu pr sent seule la lutte chimique et plus particuli re ment l amitraz et le bromopropylate fournit des r sultats appr ciables Mais qu en est il de la toxicit de ces mati res actives En effet m me si elles sont appliqu es des doses subl tales pour abeilles cela veut il
19. me pour les abreuvoirs Je travaille comme beaucoup d apiculteurs allemands en ajoutant dans l abreuvoir des infusions 15 minutes de m lange 10 grammes pour 20 litres d eau Je le fais afin que les larves soient directement en contact via les r col teuses d eau avec une eau pr ventive d layant leur pollen Res pectez les proportions sous peine de voir l abreuvoir d sert 5 gout tes d ammoniaque pour 12 litres d eau r amorceront rapidement les visites POUR CONCLURE La phytoth rapie tant chez l homme que chez l abeille n aboutit 2 pas aux miracles si vous usez de nourrisseurs dont je ne voudrais pas pour cracher dedans d eau impure de sucre trop longtemps stock en milieu humide de vieux rayons de nourrissements tardifs ou de les plantes la pr tout autre facteur favorisant des foyers d infection n y feront rien Plus que dans n importe quel autre domaine vention est de mise en apiculture Je ne veux pas entrer dans le conflit des pro ou il y a des nes dans les deux camps A Hanovre en 1953 ADAM disait le principal d savantage des mesures m dicinales est que quoiqu elles arr tent la maladie leur influence n est pas dura ble Une fois qu un rem de a t appliqu il doit tre continu faute de quoi une colonie une fois infect e pourra ventuellement 7 22 V0 Ur WE l tre encore af A R YR C est ici que la phyto se taille la part du
20. nditionne rapidement avant la prise en masse DU MIEL o a DS FIP sg A Mik y M rue Te ve ant COMMENT A UNE MAUVAISE CRISTALUSATION MON MIELS Tous les participants cette journ e en ont re u le compte rendu Si vous d sirez vous le procurer versez 80 FB pour les non membres ou 50 FB pour les membres CARI au compte 068 2017617 44 du CARI asbl avec la communication C R 9 MARS nuits fra ches g PLANTES amp NOURRISSEMENT EN APICULTURE par Didier FORTHOMME Pour les fervents de th s tisanes et autres infusions qui d sirent faire partager leur amour des d coctions leurs mou ches miel cet article traitant de v g taux pouvant entrer dans la composition des strops de stimulation et de nourris sement hivernal des recettes conseils commentaires et de l humour LES PLUS CONNUS Trois principaux th s sont actuellement vendus sur le march pour tre ajout s aux sirops Le SKLENAR est un m lange de m lisse de camomille d achill e mille feuille et de menthe il a une action que nous pourrions qualifier d entretien sur les abeilles Pr par raison de 40g 30 1 de sirop ce th est incomplet quant son action antinos mose Certains apicul teurs l enrichissent de pelures d orange et d absinthe en pr tendant que cette adjonction haussera de 1 ou 2 degr s la temp rature de la grappe hivernale avis
21. nelles performantes et orient es vers la OUVERT A TOUS ce cours d crira l aide de nombreux cas concrets les possibilit s qui s offrent production seront pr sent es aux apiculteurs pour conduire un rucher de 25 100 colonies de production Le type d abeille l environnement du rucher le ma t riel utilis le mode de conduite la r colte et le condition nement des produits seront abord s Une tr s large place sera r serv e l expos d exp riences personnelles C est ainsi que notamment Monsieur Guth Grand Duch de Luxembourg et Monsieur Goetz France viendront pr senter leur rucher et leur mode de travail De plus la visite de plusieurs exploitations apicoles est pr vue en saison Pratiquement ce cours de 40 heures se don nera Louvain la Neuve de la fin janvier au d but avril rai son d un dimanche sur deux Une participation financi re sera demand e 1000 FB pour le syllabus et les conf renciers trangers frais d excursion Toute personne int ress e par ce cours est pri e d envoyer une demande d inscription E BRUNEAU BP 26 1300 WAVRE TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIR SUR LA DETERMINATION ARE SE DES PLANTES ET QUE VOUS N AVEZ JAMAIS OSE DEMANDER DES PLAIES EI PRE OS O A ANNEE PROCHAINE Les samedis 7 et 14 juin dernier le C A R I organisait Louvain la Neuve une session consacr e la d terminat
22. que je ne partage absolument pas BIENENTEE Honig M nsgerdorff se compose lui de m lisse de thym d achill e millefeuille de sauge de matricaire d origan et de souci Son meilleur atout r side en ses qualit s stimulantes D s le mois d ao t comme nourrissement donnez au minimum pendant 20 jours un demi litre de sirop ti de quotidiennement pr par raison de 10g pour 10 1 de nourriture le r sultat est remarquable m me par Pour les voyages de transhumance il se composera de 20g de th pour 101 de nourriture en infusion donn e la plus chaude possible Le THE D ADOLF LUDWIG Ludwig s Qualit ts Bienentee reprend les m mes ingr dients en for ant un rien les proportions son mode d em ploi nous fait sourire par des remarques du genre faites preuve de grande propret en enlevant les abeilles mortes de la boisson qui l e t cru Je vous ai converti cela en grammes Ce qui est effrayant c est qu il a fallu que je le fasse En g n ral les pr cisions distil 1 es aux apiculteurs sont du genre je cite il est conseill de fabriquer le sirop dans les proportions suivantes prenez une botte d orties une poign e de sauge et un gros bouquet de thym cole est que les v g taux n ont absolument pas le m me mode op ration nel chez l abeille que chez l homme qu il serait simple d administrer quelques hypotenseurs ou racines de val riane en guise d antinervosis me de
23. que tr s fine permettant de constater ins tantan ment une perturbation de l organisme CA AUTRUI SN en t Appareillage Nous avons utilis un IRGA Infra Red Gas Analyser qui mesure la diff rence de concentration en CO entre deux flux d air l un pas sant dans la chambre de mesure o se trouvent les abeilles et l autre pr lev sur le courant principal venant de l ext rieur avant celle ci Le principe de la mesure repose sur la diff rence d absorption des in frarouges suivant la concentration en CO des flux d air Come les abeilles se nourrissent essentiellement d hydrates de carbone leur quotient respiratoire est proche de l unit donc le volume de Co expir est gal au volume d O inspir En reliant un potentiom tre enregistreur l appareil il est possible d obtenir un graphique traduisant l volution de l oxyg ne consomm durant la mesure et finalement il est possible de calculer le volume total d oxyg ne consomm j Durant la mesure les abeilles sont plac es dans une chambre res pirom trique double paroi afin d y faire circuler un courant d eau chaude permettant de maintenir la temp rature constante Conditions exp rimentales Il est indispensable de contr ler une s rie de facteurs influen ant le m tabolisme respiratoire afin de pouvoir effectuer des mesu res fiables Afin de nous rapprocher le plus possible des conditions rencontr es dans une ruche nou
24. rant au moins 24h00 N est ce pas l le signe d un affaiblissemnt g n ralis des individus incapables de retrouver un niveau d activit normal Afin de mieux cerner les cons quences d une telle situation nous avons mis au point un test de long vit tudiant la survie des abeilles t moins et des abeilles trait es Test de long vit Apr s la seconde mesure respiratoire les abeilles sont plac es dans des cagettes grillag es de 18 x 10 x 12 cm Elles disposent de candi et d eau volont Les cagettes sont plac es dans une pi ce l obscurit totale dont la temp rature est maintenue 29 C Selon RINDERER et BAXTER 1978 20 abeilles serait un minimm pour observer l effet de groupe les mortalit s sont enregistr es quotidiennement il R sultats Mortalit s cumul es moyennes en mortalit s cumul es en 3 100 50 t moins trait es t moins Discussion Il faut tout d abord constater que nous ne pouvons tirer des con clusions que pour les 10 premiers jours de l exp rience ensuite les mortalit s enregistr es chez les t moins deviennent trop importantes Cela s explique par nos conditions de maintien en particulier par la petite taille du groupe d abeilles et par l ge des individus 6 mois Deux pics de mortalit apparaissent chez les abeilles trait es un petit un jour apr s le traitement et un autre plus important aux environs
25. res avec le m me nombre d abeilles Comme t moins dix rei nes ont t introduites dans des nuclei avec 5 cadres normaux et 19 500 abeilles Les nuclei ont t v rifi s chaque jour et le d but de la ponte comme gt les temp ratures l ext rieur et l int rieur du nuclei ont t not es Des reines en nuclei monocadre avec 150 350 et 750 ouvri res ont commenc pondre apr s 13 12 et 10 jours respectivement Les reines dans les nuclei t moins avec 19 500 ouvri res ont pondu au bout de 7 jours Le nombre plus lev d abeilles soigneu ses a acc l r le d but de l oviposition des reines ins min es La temp rature ext rieure moyenne pendant l exp ri mentation tait de 19 5 C Dans la grappe des nuclei monocadres les 150 350 et 750 ouvri res ont engendr une augmentation de temp rature de 2 6 3 5 C et 4 2 C et dans les nu clei 3 cadres de 2 7 3 4 et 4 6 C par rapport la temp rature ext rieure La temp rature dans les nuclei t moins tait sup rieure de 11 4 C la tem p rature ext rieure C est pourquoi la temp rature plus lev e provoqu e par un nombre plus lev d abeil les accompagnatrices est un des facteurs qui acc l rent l oviposition des reines d abeilles ins min es artificiellement Des reines avec des nombres comparables d abeilles accompagnatrices mais plac es dans des conditions de temp rature ext rieure plus l
26. s abeilles agressives Le th le plus complet le plus efficace et de la meilleure qualit vous devez le composer vous m me en gardant toujours la base que je vous livre ci apr s m lez parts gales tilleul achill e millefeuille m lisse menthe poivr e serpolet gingseng entier pulv riser sauge officinale matricaire origan souci de quoi vous faire oublier les v tres corce d orange et ajoutez 3 parts d ortie dio que LE TILEUL COMMUN TILIA EUROPAEA L A NOTER Il est inutile de pulv riser des racines de gingseng lors de la confection du sirop stimulant d ao t En revanche cela devient imp rieux pour celui du nourrissement de septembre surtout si l hiver s annonce long car de toutes les fadaises crites sur le gingseng ne retenez qu un point sa principale vertu est de reculer le point de fatigue elle jouera un r le immense vers le mois de mars LA BONNE MARCHE A SUIVRE La plus belle fille du monde devenant l inutilit m me si l on en a perdu le mode d emploi voici mes yeux la seule fa on correcte de pr parer ce th Malgr les pens es logieuses de H RUTTNER Bienevater l gard des fondeuses sucre froid je ne peux tre du m me avis aucune bullitiond eau n est pratiqu e avec ce syst me et le nombre de ger mes dans ce sirop reste en quantit ahurissante avec tous les risques que cela comporte Le sucre de nourrissement fondu chaud est
27. s avons travaill de la mani re suivante Un groupe de vingt abeilles d hiver est plac pour le traitement et la mesure dans une cagette cylindrique permettant la marche de courts vols et la ventilation Les abeilles disposent en permanence de candi de composition rigoureu La temp rature est maintenue 35 1 C et Il convient de remarquer que ces conditions sement fix e et d eau l obscurit est totale exp rimentales et surtout une temp rature de 35 C entra nent selon divers auteurs une activit et une ventilation importantes coupl es une faible consommation d oxyg ne en regard de celle enregistr e lors de la mise en route des ph nom nes thermor gulatoires Protocole exp rimental Apr s avoir t pr lev es les abeilles sont plac es dans un bo cal occult afin d y tre trait es L amitraz est appliqu sous form d a rosol au moyen de l EDAR de la SRDI pendant 1 minute partir d une solution de Taktic 12 53 d amitraz dilu e 2 dans l eau Le traitement au bromopropylate se fait par fumigation 1 8 e ticket FOLBEX V A 370 mg de bromopropylate Contrairement au traitement pr c dent il n a pas t possible de respecter les doses utilis es dans la pratique pour le traitement d une colonie car dans nos con ditions exp rimentales elles provoquent des mortalit s inacceptables au sein du groupe d abeilles Deux mesures respiratoires sont effectu es une dire
28. s villes Si une telle ten dance persistait trop longtemps l apiculture traditionnel le pourrait dispara tre comme cela s annonce d j dans cer taines zones du Tafilalet Nous croyons que cette dispa rition constituerait une catastrophe irr parable non seu lement sur le plan conomique et social au niveau des famil les des douars et des r gions mais aussi sur le plan bio logique car le patrimoine g n tique des abeilles locales serait perdu Les g n ticiens apidologues sont tous d accord me locale poss dant des caract res adaptatifs irrempla ables ne soit perdue pour toujours RUTTNER 1981 Or les abeilles du Haut Atlas marocain nous apparaissent comme z parfaitement adapt es leur milieu r sistance la cha leur et au froid intenses distances de vol appr ciables grande facult d essaimage exploitation optimale de cour tes miell es bref toutes qualit s s sceptibles d tre mi ses en valeur par un apiculteur averti A notre avis apiculture traditionnelle et apicultu ure industrielle ne sont pas concurrentes Elles sont compl mentaires Le d veloppement de la premi re devrait tre per u la fois comme un fait conomique et comme un re nouveau culturel OR FRRDRRRRC DAS 009 0 Q 2 C2 CR O AA CS 2 92 EAST A EX TRAVAUX CITES ANONYME 1960 L apiculture au Maroc Min Agric Rabat Maroc 65 p FRERE ADAM 1980 A la recherche des meilleures races d abei
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