14 octobre 2013
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1. habitude aux tudiants de le consulter pour se tenir au courant des v nements venir des associations Le bilan moral est adopt l unanimit Le bilan financier est adopt l unanimit Ana s de SAINT MARTIN propose que la salle passe aux questions diverses les associations suivantes n tant pas encore arriv es II CHANGE D INFORMATIONS SUR LES QUESTIONS DIVERSES Nicolas ROBIN rappelle la DVU que les associations ont unanimement fait remonter leur souci de se voir octroyer une adresse e mail du type sciencespo fr Il demande si elles auront cet outil leur disposition pour l ann e venir Julien PALOMO indique que lors des inscriptions de d but d ann e le format d adresse e mail souhait e tait toujours sciences po org Il assure que l adresse choisie par les associations sera valable pour sciencespo fr Les informations rentr es par les associations lorsqu elles ont d pos leur dossier de candidature ont bien t enregistr es et leur adresse sera bien enregistr e sous ce format Nicolas ROBIN demande s il serait possible de faire parvenir la liste des pr sidents d associations pour les informer de cette nouvelle Julien PALOMO indique qu au cours de la semaine chaque association recevra un mail r capitulatif de ses droits et devoirs ainsi que des moyens logistiques mis leur disposition Cela correspond finalement un mode d emploi de la vie associ2. v nement n a pas t aussi bien rempli que le BDE l esp rait Il ajoute que le BDE est heureux d avoir pu perp tuer les services pr c dents et en cr er de nouveaux sweatshirts de promotion Acadomia et bons plans Disney qui ont rencontr un fort succ s Des comptes LCL ont galement t cr s et ont aid les tudiants internationaux avec leurs soucis bancaires Des guides de l tudiant ont aussi t distribu s en d but d ann e et se sont av r s fort utiles Cependant un manque de visibilit a t d cel sur le site internet de l association et sur Picasso qui n a pas su trouver d utilisateurs que ce soit les associations qui publient sur le site ou les tudiants qui le consultent Au niveau de l animation Le BDE indique que cinq soir es ont t organis es et ont rassembl de 500 1 200 personnes Le BDE exprime sa satisfaction d avoir pu faire participer les associations ces soir es Par ailleurs le Prix Philippe Seguin a permis de redonner de la visibilit au BDE Enfin il indique que le gala a t une r ussite et que la capacit du diner a pu tre augment e Il informe ensuite que le bilan financier est positif et que les partenaires traditionnels Deloitte L Or al et le Cr dit lyonnais ont t consolid s Le BDE se dit galement heureux d avoir pu entretenir de bonnes relations avec l administration tout au long de son mandat Clotilde HOPPE revient sur le peu d
3. sans les orientations directrices du nouveau directeur Il est par ailleurs vident qu il faudra laisser un peu de temps au niveau directeur pour s installer son nouveau poste Ana s de SAINT MARTIN insiste sur le fait que le sujet est d battu depuis longtemps et que la fiche de poste du responsable du d veloppement durable est pr te Julien PALOMO rappelle que la situation tait in dite est que le personnel des services g n raux et de l immobilier ont d faire face cette absence aussi bien que les associations Marie POURCHOT souligne que le budget d veloppement durable a t supprim en attendant un responsable Julien PALOMO explique que pour recruter dans une situation financi re tendue ce budget a t gel Nicolas ROBIN ajoute qu un budget a t retir pour financer cela alors qu il n y avait pas de revirement Julien PALOMO indique que sur les 85 000 55 00 ont t gel s sur les budgets 2012 et 2013 pour un recrutement qui n a pas eu lieu Nicolas ROBIN demande si cette d cision vient de la DVU Jacques de CHAMPCHESNEL r pond que non Il confirme que d s que le directeur de la DSGI sera nomm il sera interrog sur l ensemble des sujets BDA SPE etc Nicolas ROBIN juge qu il sera possible de parler de tout cela plus positivement lors du bilan de mi mandat Julien PALOMO pr cise que ce bilan est proche dans le temps et que le sujet demande une ann e de travail et q
4. INSTITUT D TUDES POLITIQUES DE PARIS DG 11 13 COMMISSION PARITAIRE PROC S VERBAL de la s ance du 14 octobre 2013 Pr sents Augustin HARB Clotilde HOPPE Rapha l OLLIVER MREJEN Nicolas ROBIN et Ana s de SAINT MARTIN Renaud BOULANT Absents ou excus s Billie GOLDSTEIN procuration Ana s de SAINT MARTIN Agathe LE BERDER procuration Augustin HARB et Daniel MUGERIN procuration Ana s de SAINT MARTIN Assistaient la s ance Jacques de CHAMPCHESNEL directeur de la vie universitaire Delphine GROUES directrice ex cutive des tudes B rang re GAV AUDO coordinatrice de la vie associative et syndicale Julien PALOMO responsable de la vie tudiante Bureau des Arts Bureau des El ves Alice LAPIJOVER Sciences Po Environnement Marie POURCHOT Sciences Po Environnement Icham ABOU CHAIBA Junior consulting Constance BRAUN Association sportive Maxime Braun Association sportive Am lie Guignabert Association sportive Jean Christophe SATTLER Association sportive x x k I Pr sentation du rapport d activit s des associations permanentes bilan moral et financier p2ets IL change d informations sur les questions diverses p 4 COMMISSION PARITAIRE PROCES VERBAL de la s ance du 14 octobre 2013 Ana s de SAINT MARTIN ouvre la s ance 17 h 14 I PR SENTATION DU RELEV D ACTIVIT S DES ASSOCIATIONS PERMANENTES BILAN MORAL ET FINANCIER Ana s BOURG ancienne pr s
5. PIJOVER informe ensuite que les d penses sont sup rieures aux recettes mais assure que cela est tout fait explicable Les achats et autres charges concernent principalement le commencement de l activit caf Concernant les frais de publicit s elle indique que toutes les impressions sont faites en dehors de Sciences Po puisque l tablissement n est pas encore cologique Les charges li es aux voyages et aux d placements concernent le projet Partir Vert qui soutient les tudiants choisissant un mode de d placement autre que l avion Le projet subventionne la tonne carbone conomis e Le fonds d impulsion environnementale soutient les associations qui choisissent des fournitures vertes et agissent en faveur de l environnement Ensuite la dotation aux amortissements concerne l amortissement du chalet SPE et de l activit caf frigo lave vaisselle Enfin l association b n ficie d une dotation aux provisions pour d pr ciation des actifs circulants Cela correspond la d pr ciation du stock de gourdes et de sweats puisque SPE pense les vendre un prix inf rieur au prix d achat Alice LAPIOVER indique que l amortissement du chalet doit se faire sur quatre ans Elle explique que la convention est ren goci e tous les six mois et que le caf peut tre ferm n importe quand pour des raisons d hygi ne Dans les d penses doit tre prise en compte la caution pour la machine caf Elle pro
6. Par ailleurs les strat gies de communication sont constamment d velopp es et le site internet le27 net est dynamique Le site internet et la tr sorerie de l AS ont galement t renforc s L AS a maintenu ses deux objectifs principaux qui sont l largissement des activit s travers la participation accrue des internationaux et des premi re ann e et de mettre la pratique sportive comp titive au centre de l activit de l AS via le financement renforc des diff rentes comp titions Le bilan sportif est exceptionnel avec un record en Crit et en championnat de France ainsi que des titres puisque l quipe f minine de rugby a t championne de France l ann e pr c dente tout comme le kilom tre athl tique L AS a aussi remport des troisi mes places notamment avec le hand masculin La compagnie de dance Hardcore a t cr e avec succ s Les CREPS ont galement rencontr un beau succ s Au niveau v nementiel un nombre record d v nements a t organis une vingtaine dans l ann e Les Tripl tades se sont encore d velopp es les coll giales se sont encore plus install es dans le paysage SciencesPiste puisque pour la premi re fois le BDA a accompagn l AS aux coll giales L AS a aussi particip l int gration des internationaux et des premi re ann e les semaines ski et surf ont t un succ s Le cross lanc l ann e pr c dente s est galement d velopp p
7. atisfait du travail effectu pour d velopper la base d activit s de l AS et en particulier des efforts qui ont t faits pour travailler avec les associations non permanentes Am lie GUINABERT rappelle que chaque ann e une convention r gissant les relations entre Sciences Po et l association est sign e entre l AS et la DVU or l ann e pr c dente elle n a pas t sign e Elle demande si cette convention sera sign e cette ann e si cela et utile ou non et si oui s il faut travailler dessus Cette convention est normalement obligatoire pour les associations permanentes Julien PALOMO r pond qu pr sent que Sciences Po est dot e d une direction la convention pourra tre sign e Il souligne que l ann e pr c dente aucune association n a sign sa convention Les conventions devraient tre soumises signature entre le 1 r et le 10 novembre Jacques de CHAMPCHESNEL ajoute que c est un probl me r current de tous les financements de la vie associative puisque les budgets se font sur les calendriers civils Le bilan moral est adopt l unanimit Le bilan financier est adopt l unanimit Ana s de SAINT MARTIN demande que le prochain bilan soit un peu plus d taill car les membres de la commission ne connaissent pas forc ment tous les acronymes Am lie GUINABERT indique qu un document tr s d taill avait t r alis en avril Elle pensait qu un document plus l ger
8. ative chose qui avait t demand e en 2012 mais qu il n avait pu tre r alis Ana s de SAINT MARTIN indique avoir envoy un message Sciences Po Environnement pour les avertir qu ils pouvaient venir de suite s ils le souhaitaient I PR SENTATION DU RELEV D ACTIVIT S DES ASSOCIATIONS PERMANENTES BILAN MORAL ET FINANCIER Ana s de SAINT MARTIN propose que les membres de SPE se pr sentent Marie POURCHOT indique tre la pr sidente de l association Sciences Po Environnement pour cette ann e Elle est accompagn e d Alice LAPIOVER vice pr sidente Alice LAPIOVER indique qu elle pr sentera le rapport financier explicit Elle indique que les produits d exploitation de l association sont principalement de deux ordres la vente de marchandise et la subvention d exploitations Les subventions sont des montants allou s en CDE 200 ont t vers s pour un jardin situ Reims o des vignes sont plant es La subvention de la communication a consist en l achat de pulls promotionnels Lors de la semaine du d veloppement durable diff rents ateliers ont t install s En ce qui concerne la subvention pour Les Parisiennes l association a t soutenue via lachat de fournitures vertes Enfin la subvention du Labo photo est d di e au BDA concernant le retraitement des d chets du Labo Au niveau des ventes deux projets sont en cours le projet miel et le projet caf Alice LA
9. e popularit de la plateforme Picasso et estime cela dommage car il s av re tre un outil important pour montrer la vie des associations Elle demande si le nouveau mandat r fl chit une mani re de changer cela Le BDE r pond que le BDE a obtenu les codes de la plateforme assez tard et qu il a t impossible d alimenter le site en d but d ann e Une fois les codes accessibles le BDE a fait de la communication autour du site mais 1l tait trop tard les tudiants avaient d j pris leurs habitudes pour l ann e scolaire Le BDE informe qu il faut d abord informer les associations premiers utilisateurs de Picasso que c est un outil qui est fait pour elles et qu elles ont tout int r t en profiter Par ailleurs lors de la semaine de reconnaissance le BDE a fait le tour des associations pour les informer de l existence de la plateforme Une campagne d affichage et de promotion de Picasso est pr vue et une d monstration de l utilisation du site a t effectu e lors de la r union de pr sentation des associations reconnues Le but tait de montrer aux associations que Picasso et facile et rapide d utilisation De plus les v nements qui seront mis sur Picasso seront r int gr s sur le calendrier g n ral des associations pr sent en page d accueil du nouveau site du BDE qui sera mis en ligne d ici deux semaines La communication aupr s des associations se termine il faut pr sent donner l
10. es seront ses attributions Il revient ensuite sur le point positif de la modification du calendrier de succession du bureau de l association Cette succession se fait pr sent avant les vacances d t Ce changement de date permet de r soudre un certain nombre de probl mes Cela facilite effectivement la transition et facilite le transfert d informations Marie POURCHOT explique que cette modification de date sera effective partir de l an prochain et que le bureau actuel a t lu le 11 septembre Alice LAPIJOVER ajoute qu une quipe de transition a assur la permanence entre les deux quipes Ana s de SAINT MARTIN revient sur le r f rent Plan vert et rappelle que c est un sujet qui est discut depuis un moment Elle estime qu il serait bien de commencer obtenir des r ponses Julien PALOMO r pond qu il n a pas de r ponses fournir et souligne que l tablissement a pass une ann e compl te sans directeur des services g n raux et de l immobilier Une annonce ce sujet devrait tre faite la semaine suivante Une fois qu une personne sera nomm e ce poste il sera possible d obtenir plus d informations sur le sujet Il assure qu un directeur sera pr sent pour l ann e 2013 2014 Il confirme qu un certain nombre de projets dont le Bilan carbone ont t bloqu s par les quipes actuelles des services g n raux Mais il souligne qu il est compliqu de lancer de tels projets
11. idente du BDA indique qu elle proc dera une pr sentation rapide du bilan Elle estime que le bilan g n ral est tr s positif et ajoute que l ann e pr c dente l association a comptabilis 1 640 adh sions ce qui est un record Cela est significatif de l engouement des tudiants pour les actions mises en place par le BDA Elle informe galement que le BDA a essay de s ouvrir plus aux premi res ann es et aux tudiants internationaux Cet effort s est traduit par une forte pr sence lors des journ es d int gration et c est d ailleurs durant cette p riode que le plus grand nombre d adh sions a t enregistr Le BDA a par ailleurs tach de se rendre plus visible aux tudiants via les r seaux sociaux et les v nements tudiants Ana s BOURG pr cise que les tudiants ont mis des avis tr s positifs par rapport aux gros v nements comme la journ e D dicaces la semaine du cin ma la semaine des Arts etc Ces retours positifs sont la preuve que ces v nements profitent vraiment aux tudiants et pas seulement au BDA Ana s BOURG souligne que l ann e pr c dente il y a eu peu de nouveaut s car le BDA souhaitait consolider ce qui avait t fait auparavant ce qui permet l association de se p renniser Il y a tout de m me une nouveaut qui a tr s bien fonctionn c est le p le arts plastiques qui a t cr au d but du deuxi me semestre Ce p le connait une affluence grand
12. iers notamment en contenant les subventions de Sciences Po 25 environ du budget Il trouve cela tr s encourageant par rapport l tat dans lequel se trouvait l association il y a cinq ou six ans Par ailleurs il rappelle qu auparavant la commission paritaire que les subventions de la direction de la vie universitaire taient r parties en fonction des diff rents projets du BDA Il est maintenant question de passer une dotation globale de 20 000 avecune amorce de 5 000 au premier semestre et 15 000 au second semestre Il r it re ses remer ments et se dit confiant quant au nouveau BDA Nicolas ROBIN se dit satisfait de voir un bilan d association tr s majoritairement positif Il demande ensuite si le BDA a d j song d marcher les petites associations qui avaient des envies de projection ext rieure par exemple Le BDA r pond que c est plut t l inverse qui se produit savoir que les petites associations d marchent le BDA pour b n ficier de sa position de leader dans le milieu du cin ma Sciences Po Nicolas ROBIN demande galement s il est vrai que le BDA ne fait pas de b n fices sur les ventes flash Le BDA r pond qu il s agit d une erreur avec la cotisation de l Op ra et qu il a corrig cela Nicolas ROBIN demande si cela ne posera pas de probl me en d but d ann e quand il faudra engager des frais Le BDA indique que cela ne devrait pas poser de probl me ca
13. issante jusqu pr sent Elle revient galement sur le march de No l qui a t enti rement mis en place par le BDA Elle souligne que le BDA a continu de participer aux Tripl tades avec de nouvelles preuves et qu il s engage pr sent dans le Mini Crit en participant un maximum d preuves artistiques Elle aborde ensuite les difficult s financi res de l association et revient sur la journ e D dicaces Elle indique que l v nement a t moins bien accueilli par les tudiants Le BDA cherche donc actuellement des solutions pour relancer cette journ e en r duisant le nombre d auteurs par exemple et en se concentrant sur les auteurs plus appr ci s des tudiants De plus le cin club souffre d un probl me d affluence Certaines s ances sont en effet d sertes De plus le club co te tr s cher en droits d auteur Enfin la semaine des Arts subit un d ficit de 1 800 Ce chiffre n est pas alarmant puisque tous les autres v nements taient soit l quilibre soit positifs Elle explique ce d ficit par la soir e organis e cette semaine l Elle se d roulait trop loin dans un endroit trop grand et lors d une p riode d examens La nouvelle quipe r fl chira donc des solutions pour conserver cette soir e tout en r duisant son ampleur Ana s BOURG aborde ensuite les difficult s de management et informe que l association a t victime de son succ s Beaucoup d tudian
14. n PALOMO exprime le m contentement de la DVU et assure que le pr sident sortant sera sermonn s il vient Il souligne qu en neuf ans au poste de responsable des associations c est la premi re fois qu il voit une association rendre son rapport dans la nuit malgr un bon nombre de relances Ana s de SAINT MARTIN ajoute que la remarque avait d j t faite lors de la derni re commission paritaire des associations qui s tait tenue en avril Julien PALOMO assure que Julien Gruber ne doit pas prendre cela personnellement puisqu il vient de prendre ses fonctions mais il l encourage retenir la le on pour sa prestation de la commission paritaire d octobre 2014 Nicolas ROBIN insiste sur le fait que les bilans d une association permanente de cette envergure poss dant des locaux doivent tre publi s de mani re transparente Ana s de SAINT MARTIN demande s il faut attendre le pr sident sortant ou si la commission peut voter le fait que le vote sera report la prochaine commission paritaire Nicolas ROBIN se demande s il sera possible de faire rentrer une pr sentation d association dans l ordre du jour de la prochaine commission Il faudrait avoir pris connaissance des documents auparavant et n effectuer que le vote Le report de vote des bilans moral et financier de Junior consulting est adopt l unanimit Julien Gruber s excuse de ce contretemps Ana s de SAINT MARTIN demande que les rep
15. n audit a galement t lanc Jean Christophe SATTLER poursuit en indiquant que l AS requ rait de nouvelles sources de financement et qu un partenariat a t lanc avec PwC PricewaterhouseCoopers L ann e pr c dente ce partenariat atteignait les 2 000 cette ann ele partenariat devrait tre d un montant de 3 000 L AS s emploie chercher de nouveaux partenariats continuellement pour diversifier ses sources de financement L AS a galement tenu rationaliser certains v nements qui taient devenus dispendieux comme le Criterium ou certaines soir es Par ailleurs l AS tient soutenir l activit sportive Sciences Po et ce quelle que soit sa forme C est pourquoi l association a t tr s g n reuse au niveau des comp titions sportives Les huit quipes ayant acc d aux championnats de France ont co t 14000 L AS a galement soutenu des comp titions l tranger le Crit et le CREPS L AS a aussi financ la prolongation des Tripl tades qui se sont tenues pour la deuxi me ann e et a rencontr un vif engouement aupr s des premi re ann e Il pr cise que tout cela un co t mais l AS est heureuse de le financer Jean Christophe SATTLER informe galement que l AS a soutenu deux quipages du 4 L Trophy un quipage la Course de l EDHEC et a fourni une aide substantielle aux Parisiennes Il pr cise ensuite que lorsque l association re oit les subven
16. nt d j un cross elle n a pas sponsoriser tous les cross mis en place par les diff rentes associations de Sciences Po En revanche l AS est pr te les accueillir pour travailler ensemble Jean Christophe SATTLER indique que l AS finit l ann e avec un b n fice de 5 K De plus le p le comp tition est autofinanc par les cotisations et il en va de m me pour le p le associatif Puis il explique que jusqu en 2011 les r sultats de l AS taient assez importants 50 60 K Il ne faut pas oublier que l AS mettait de l argent de c t pour le Monar Crit Depuis qu il s est d roul le r sultat s est stabilis autour de 5 10 K 10K l ann e pr c dente et 5 K cette ann e Cela correspond l objectif qui avait t fix avec le bureau pr c dent Ce montant devrait tre similaire pour les ann es venir ce qui n est pas excessif compte tenu du chiffre d affaires r alis par l AS Il rappelle que la tr sorerie est en transition depuis la s paration de l AS et de la DVU La DVU s occupait auparavant des entrainements et l AS prenait en charge les comp titions Il ajoute que l AS est favorable cette organisation Il souligne que l AS a travaill de mani re rigoureuse au niveau de sa comptabilit et que l association est pr sent dot e du logiciel Ciel qui lui permet de travailler avec les normes fran aises De plus l AS travaille de pair avec un expert comptable U
17. ociation sont dus l absence d un directeur des services g n raux et de l immobilier Elle rappelle que SPE a deux missions entre autres de r duire l impact environnemental de Sciences Po Une grande partie des projets de l association sont li s cette mission et ont des difficult s tre mis en place Par exemple le projet Compensation carbone a t pr sent l ann e pr c dente SPE aurait aim tablir le bilan carbone en ce moment m me or l autorisation de proc der n a toujours pas t d livr e Elle demande quand sera nomm le futur responsable du d veloppement durable quel sera son r le Sciences Po et quelles seront ses relations avec SPE Marie POURCHOT esp re voir na tre un travail de coop ration Elle indique que SPE souhaite r ellement agir au niveau du campus et recentrer ses activit s sur les services li s aux tudiants Alice LAPIOVER souligne que SPE souhaiterait que les tudiants puissent participer par exemple au moment du Bilan carbone et d acqu rir les comp tences li es au verdissement du campus Marie POURCHOT informe que plusieurs projets but p dagogiques sont pr vus par SPE dont le Bilan carbone Elle estimerait dommage que ce genre d initiatives disparaissent Augustin HARB f licite SPE pour le caf qui rencontre un grand succ s aupr s des tudiants Il se joint Marie POURCHOT et demande quand le r f rant du d veloppement durable arrivera et quell
18. ont abord s L association sera convoqu e un certain horaire Icham ABOU CHA BA demande s il peut tre convoqu entre 18 h 30 et 18 h 45 Julien PALOMO constate qu Icham ABOU CHA BA est encore tudiant et propose de contacter son ma tre de stage pour lui expliquer qu il est convoqu par un conseil central de son cole Icham ABOU CHA BA indique que ce n est pas un probl me mais trouve cela emb tant Julien PALOMO estime qu une convocation de la commission paritaire de l IEP de Paris ne devrait pas tre un probl me La s ance est lev e 18 h 56 11
19. pose ensuite de regarder plus en d tail le projet caf qui tait le projet principal de SPE l ann e pr c dente Elle rappelle que deux ans auparavant 6 000 avaient t allou s ce projet Pis elle explique quoi correspondent les entr es du document Les ventes de marchandises correspondent tous les produits vendus pendant les trois mois d ouverture Les achats de mat riel quipement et travaux correspondent des achats li s l ouverture du caf L achat de marchandises correspond tous les achats effectu s pour pouvoir vendre les marchandises de caf par la suite La location correspond la location de la machine caf Elle souligne que l entr e primes d assurances est pr sente car le caf a t assur puisque sortant de ce que fait SPE habituellement et n tant pas non plus couvert par l administration La capacit d autofinancement est n gative et donc l activit est certes d ficitaire de 211 61 mais certaines d penses li es l ouverture du caf l ignifugation des locaux pour 230 par exemple ne seront plus r it r es Sans ces d penses la capacit d autofinancement serait positive Cette ann e le projet sera associatif ce qui signifie que cinq ou six tudiants g reront le caf plein temps et organiseront les permanences Cette quipe a d j commenc travailler sur l ouverture prochaine du caf Elle ajoute
20. que l activit caf b n ficie pr sent d un compte bancaire ce qui facilitera la gestion de son fonds Marie POURCHOT aborde le bilan des projets de l ann e pr c dente et informe que plusieurs projets ont pu tre repris L ouverture de la caf t ria est un grand succ s tant donn que le projet tait en route depuis environ cinq ans Par ailleurs de grands v nements ont pu tre organis s la conf rence avec Rajendra K PACHAURI et Pascal CANFIN De plus de grands efforts ont t effectu s en interne pour optimiser l efficacit des transmissions futures Des outils ont donc t cr s pour faciliter la gestion de l association wiki mail listes etc Malgr tout du travail reste encore effectuer en termes de communication pour tre plus visibles aupr s des tudiants D ailleurs la semaine du d veloppement durable a connu un succ s moindre ce qui avait t pr vu L association a galement d faire face une autre d convenue En effet l apiculteur a t ses ruches du toit du 13 rue de l Universit au motif qu elles n taient pas rentables Un manque de communication flagrant a t subi puisque SPE n en avait pas t inform e temps Il eut t pr f rable que l association soit mise au courant plus t t des difficult s rencontr es par ce projet pour tenter de les r soudre Marie POURCHOT constate qu un grand nombre des probl mes rencontr s par l ass
21. r sentants de l AS se pr sentent Am lie GUINABERT est le pr sident sortant Constance BRAUN est le pr sident actuel de l AS Jean Christophe SATTLER est le tr sorier sortant Maxime BRAUN est le tr sorier entrant Am lie GUINABERT explique que les deux axes de l AS sont de p renniser les projets de l ann e pr c dente communication d veloppement d v nements lanc s par le bureau pr c dent rationalisation des outils de travail de la tr sorerie et de la comptabilit recherche accrue de nouveaux partenaires et de mettre la performance au centre de l activit de l AS Cela s est traduit par le lancement des Parisiennes un tournoi international le financement pouss des comp titions financement des tournois et r mun ration des coaches Les quipes 2 cr es l ann e pr c dente ont galement t p rennis es Enfin la s curit est au centre de tout cela via une nouvelle gestion des licences et des certificats m dicaux Globalement le bilan est tr s positif puisque l AS a r ussi tous ses v nements sportifs L association a remport le Crit pour la troisi me ann e cons cutive De plus deux weekends CREPS ont t organis s Les comp titions FFSU ont t un succ s puisque huit quipes sont qualifi es en championnat de France ce qui est une premi re dans l histoire de Sciences Po Les v nements parasportifs sont galement une r ussite ski soir es et Tripl tades
22. r le BDA a veill conserver une tr sorerie importante pour la transmission au nouveau bureau Le BDA indique que le sujet a t abord et que cela apporte une meilleure visibilit pour les projets Il ajoute que les adh sions rentrent assez rapidement gr ce la semaine de l int gration et que le livret mis en place par le bureau pr c dent n a pas t entam Ana s de SAINT MARTIN propose de passer au vote et demande s il vaut mieux proc der un vote global ou s par pour chaque bilan Julien PALOMO indique que les votes sont toujours effectu s s par ment pour chaque bilan Ana s de SAINT MARTIN demande que le compte des procurations soit effectu Delphine GROUES indique que Daniel MUGERNN et Billie GOLDSTEIN donnent leur procuration Ana s de SAINT MARTIN De plus Agathe LE BERDER donne la sienne Augustin HARB Le bilan moral est adopt l unanimit Le bilan financier est adopt l unanimit Le BDE indique qu en 2013 le mandat du BDE a consist en la consolidation du bilan positif de l ann e pr c dente Il a galement men bien les trois missions du BDE int gration des tudiants services et animation de la vie tudiante Le BDE se dit tr s satisfait de l int gration des tudiants internationaux qui ont particip massivement aux v nements organis s par le bureau Cependant le weekend d int gration a rencontr quelques difficult s dans la mesure o l
23. tait pr f rable Icham ABOU CHA BA s excuse de son retard Ana s de SAINT MARTIN lui explique qu il a t d cid de reporter le vote lors de la prochaine commission paritaire Icham ABOU CHA BA demande si cette r union se tiendra bien le 4 novembre Ana s de SAINT MARTIN lui confirme la date et ajoute que les membres n avaient pas les documents pour tre en mesure de voter Icham ABOU CHA BA s en tonne Delphine GROUES r pond que les documents ayant t envoy s dans la nuit il tait trop tard pour les tudier Jacques de CHAMPCHESNEL lui rappelle que les documents doivent tre transmis une semaine avant la commission paritaire pour que les membres puissent les tudier en d tail Icham ABOU CHA BA comprend qu il n est pas question de l heure d envoi mais de la date 10 Jacques de CHAMPCHESNEL lui rappelle qu il a t plusieurs fois recontact Icham ABOU CHA BA demande s il tait pr vu que le vote soit report Jacques de CHAMPCHESNEL lui explique que c est la commission paritaire qui a souverainement d cid ce jour de reporter le vote Icham ABOU CHA BA demande s il est possible de changer l horaire Ana s de SAINT MARTIN r pond que les commissions paritaires commencent 18 h Icham ABOU CHA BA demande qui sera pr sent cette commission Ana s de SAINT MARTIN lui r pond que Junior consulting sera seule et que les autres sujets de la commission paritaire ser
24. tions en f vrier mars elles ne servent plus grand chose puisque la majorit des budgets sont d j arr t s Il serait donc bon de les recevoir plus t t pour plus de visibilit Le r le de la tr sorerie est entre autres de pr voir Ces subventions ont bien entendu t utiles mais il aurait fallu les avoir plus t t Puis il aborde la proc dure de remboursement des boursiers L AS consid re que cette politique ne fonctionne pas de mani re optimale puisqu au lieu d obtenir une liste des l ves boursiers de la part de la DVU l AS re oit une somme qu elle est charg e de restituer sous forme de ch ques aux boursiers qui doivent venir les chercher Or un grand nombre de boursiers ne viennent pas r cup rer ces ch ques Il faudrait donc repenser cette proc dure Jean Christophe SATTLER fait ensuite part du probl me de r mun ration de coaches L AS n est pas habilit e les r mun rer et cela entra ne des difficult s L AS demande travailler avec la DVU pour trouver un moyen de r mun rer les coaches pour leur pr sence lors des comp titions ce qui n a pas t fait jusqu pr sent Il faut savoir que l AS met de l argent de c t cette fin d s le d but de l ann e et les coaches appr cient ce geste Rapha l OLLIVER MREJEN aborde le bilan moral et indique qu il allait demander un bilan plus d taill Mais il reconnait qu apr s pr sentation le bilan est plus explicite Il se dit s
25. ts de premi re et deuxi me ann e se sont investis dans l association La difficult est souvent de continuer faire les choses pour les tudiants et non pour l association Il a fallu rappeler cela aux diff rents membres tout au long de l ann e qui avaient tendance se laisser emporter dans des projets trop importants Elle revient ensuite sur la transmission avec l quipe pr c dente qu elle estime r ussie Les deux quipes taient en contact r guli rement et se sont consult es tout au long de l ann e Elle estime tr s important que cette transmission soit r ussie pour faire en sorte que l association n existe pas seulement d une ann e sur l autre mais qu elle perdure de mani re logique et suivie Elle conclut en remerciant Sciences Po qui a t une aide financi re et logistique pr cieuse Elle remercie galement le BDE car sans eux le BDA ne pourrait rien faire Enfin elle remercie tous les membres de son quipe qu elle estime soud e Enfin elle estime que le succ s du BDA est grandement d au fait que les membres du bureau ont pris conscience de l importance de se remettre en question et de remettre en question tous les v nements organis s Julien PALOMO indique que la direction de la vie universitaire remercie le BDA sortant d avoir poursuivi les efforts entam s par ses pr d cesseurs Il estime que les interlocuteurs sont tr s fiables et que le BDA fait des efforts financ
26. u il sera possible d en parler lors de la prochaine commission paritaire Le bilan moral est adopt l unanimit Le bilan financier est adopt l unanimit Ana s de SAINT MARTIN demande que le repr sentant de Junior consulting se pr sente Julien Gruber indique tre le nouveau directeur de Junior consulting et pr cise qu il devrait tre rejoint par le pr sident sortant Icham ABOU CHAIBA Ana s de SAINT MARTIN informe que l AS doit effectuer sa pr sentation 18 h 30 et que cela laisse donc peu de temps Junior consulting Elle ajoute que la commission paritaire n a pas eu les bilans moral et financier de Junior consulting Julien Gruber r pond que les bilans ont normalement t envoy s dans le courant du weekend B reng re GAV AUDO indique les avoir re us dans la nuit vers 1 h du matin Elle souligne avoir laiss l association une semaine de d lais suppl mentaire et que les bilans ont tout de m me t envoy s en retard Ana s de SAINT MARTIN d clare que Julien Gruber peut effectuer sa pr sentation mais que la commission ne pourra pas voter les bilans Il faudra donc voter lors de la prochaine commission paritaire Julien GRUBER explique qu il ne connait les dossiers que depuis le mois de juin et ajoute que le pr sident sortant devrait arriver sous peu Ana s de SAINT MARTIN fait remarquer Julien Gruber qu il est d j 18 h 20 et que l AS arrive dans dix minutes Julie
27. uisqu un partenariat a t sign sur le projet Les soir es se sont galement d velopp es et un nouveau syst me de billetterie a t mis en place pour proposer des entr es prix r duit aux tudiants pour les grands v nements sportifs L ancien site internet a t supprim car trop vieux Un wiki a t cr pour recenser tous les cours de sport disponibles leurs horaires les lieux et la description des sports L AS a aussi souhait augmenter sa visibilit via des vid os des articles et des affiches qui promouvaient la vie sportive de Sciences Po Am lie GUINABERT conclut en indiquant que l AS a souhait mettre en place une passation efficace En effet une nouvelle r partition des r les au sein du bureau a t effectu e De plus il faudra poursuivre les efforts effectu s pour trouver un nouveau fournisseur de mat riel sportif Cette ann e le nouveau fournisseur a un nouveau fournisseur qui devrait tre plus efficace Elle rappelle que l ann e pr c dente un groupe de travail a t mis en place avec la DVU avec des r unions mensuelles L AS esp re que tout cela portera ses fruits La convention qui n avait pas t sign e l ann e pr c dente devrait tre rediscut e cette ann e Les subventions des Parisiennes pour l ann e qui d bute sont en cours de discussion Enfin vis vis des v nements concurrents de l ann e pr c dente notamment les cross PAS estime que poss da
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