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Dossier de presse SMCL 2006 - Salon des Maires et des

1. Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Edition Presse Communication Le secteur Edition Presse Communication 4 3 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants e Agence de communication agence e Edition v nementielle e Presse e Audiovisuel e Sonorisation e Communication par l objet Vous retrouverez ces exposants dans le pavillon 2 1 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re d Edition Presse Communication Agence de communication agence v nementielle GROUPE MEDIAS MEDIAS ET PUBLICITE sponsoring sportif m c nat culturel conception et r alisation d v nements r gie d dition agence conseil en communication conseil en strat gie de recrutement d mocratie participative d veloppement durable mobilier urbain communication ext rieure Audiovisuel INA Rassembler et conserver les images et les sons qui fondent notre m moire collective leur donner du sens et les partager avec le plus grand nombre depuis 1974 c est la mission premi re de l Ina Communication par l objet BORNEY Fabrique des drapeaux banderoles m ts et tout autre produit de pavoisement et de plv GENICADO Cr ateur fabricant importateur exclusif de sa propre gamme de bagagerie porte documents sacs dos sacs
2. DOSSIER DE PRESSE salon des maires et des collectivit s locales 19 20 21 novembre 2013 Paris Porte de Versailles salondesmaires com Le rendez vous de l achat public YA YaMrF nn ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE E E Contact Presse St phane BALLISTE 01 40 13 30 80 stephane balliste groupemoniteur fr Sommaire Pr sentation du Salon des Maires 2013 Fiche 1 Le Salon des Maires et des Collectivit s Locales 2013 mode d emploi temps forts et chiffres cl s Le Salon des Maires 2013 en chiffres Les temps forts du Salon des Maires 2013 Prix de l Innovation Troph es de la Commande Publique Tendances de l offre du Salon des Maires 2013 Informations pratiques Le march des Collectivit s Locales en 2013 Fiche 2 2012 l investissement local en hausse 2 7 2012 malgr la baisse de l pargne brute poursuite de l effort d investissement 2013 des contraintes sur les charges Fiche 3 Une commande publique de plus en plus durable Les Troph es de la Commande Publique 2013 Les 11 zones th matiques du Salon des Maires 2013 Fiche 4 Am nagement urbain Eclairage urbain Eclairage public d veloppement des quipements cin raires et ville intelligente La zone Am nagement urbain repr sente 15 8 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 5 B timent Travaux publics Voirie Obligation d inventaire et renouve
3. l autre sera planifi e apr s concertation avec les collectivit s comp tentes et les industriels sans surco ts au fil du renouvellement des quipements avec un horizon 2020 poursuit la feuille de route Cela accompagnera le marquage de recyclabilit triman qui figurera sur les produits recyclables d s 2015 Des consignes de tri simples seront privil gi es l option d un tri entre d chets secs et humides pourra tre tudi e Le gouvernement pr voit galement que les entreprises devront trier syst matiquement les principaux flux dont le papier le verre les m taux et le plastique Pour les d chets m nagers il s engage aussi g n raliser le recyclage des plastiques La collecte de tous les plastiques dont les emballages films et barquettes sera d ploy e En outre la limitation des sacs plastiques sera renforc e La feuille de route pr voit un d ploiement dans les cas pertinents des syst mes de consigne Elle veut aussi limiter la possibilit de mise en d charge aux seuls flux non valorisables En articulation avec la fiscalit l opportunit d une limitation par la r glementation des quantit s accept es dans les installations d limination de d chets sera tudi e Une attention particuli re sera port e aux d chets organiques et la fixation d une ambition sur la collecte s par e des biod chets en fonction des retours d exp rience des collectivit s qui l ont mise en place Le
4. Toutes les entreprises dont le chiffre d affaires est sup rieur 152 500 sont soumises une obligation d clarative Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Institutionnel Finances Services Le secteur Institutionnel Finances Services repr sente 14 7 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Associations F d rations Fondations Banques Etablissements financiers Bureaux d tudes Conseil Comptabilit Gestion D l gation de service public Formation Enseignement Gestion et valorisation du Patrimoine Ing nierie culturelle Minist res et organismes officiels Mobilier et mat riel de bureau Organisme de Certification Qualification Ressources humaines Int rim V P C Vous pourrez retrouver ces exposants dans le Pavillon 2 1 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re d Institutionnel Finances Services Associations F d rations Fondations AMORCE Association des collectivit s territoriales et des professionnels pour la gestion locale des d chets de l nergie et des r seaux de chaleur et de froid et de l environnement Fond e en 1987 f d re aujourd hui plus de 520 collectivit s territoriales et plus de 240 professionnels ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE L AMF repr s
5. la distribution du courrier au domicile 6 jours sur 7 l accessibilit bancaire la contribution l am nagement du territoire le transport et la distribution de la presse ORDRE DES ARCHITECTES Regroupe les professionnels qui remplissent les conditions fix es par la loi sur l architecture pour exercer la profession d architecte RSI Mission d assurer la protection sociale obligatoire de 5 6 millions de chefs d entreprise ind pendants actifs et retrait s artisans commer ants industriels et professionnels lib raux et de leurs ayants droits SENAT Organisme de Certification Qualification NF MOBILIER PROFESSIONNEL D livre les certifications NF des mobiliers professionnels et de bureau L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Mat riels Transports V hicules Fiche 12 En chemin vers la mobilit durable Troisi me appel projets Transports collectifs C est la mi mai 2013 que le ministre des Transports a d voil les r gles du troisi me appel projets Transports collectifs et mobilit durable dot de 450 millions d euros enveloppe globale de subventions que l Etat va consacrer soutenir les projets port s par les collectivit s locales de m tropole et d Outre mer hors agglom ration parisienne Ces 450 millions permettront de financer les projets de m tro de tramway fer ou pneu de tram train de bus en site propre ainsi que plus original les projets de na
6. lectronique nouvelles gammes Premium et Lediavision OXIALIVE Gamme d crans num riques leds int rieurs ou ext rieurs Am nagement urbain ADS DESIGN Large gamme adapt e l am nagement urbain et paysager la d coration v nementielle et saisonni re en faisant appel des technologies brevet es AVENIR URBAIN Bornes de propret d di es au ramassage des d jections canines Conseils pour l am nagement de solutions d di es la propret canine Cendriers de rue et de poches Disques aux normes pour zones bleues BRONZES STRASSACKER Lettres en bronze et aluminium Plaques comm moratives en bronze Fontaines en bronze et aluminium Sculptures et cr ations en bronze et fonte d aluminium DANCOP Leader europ en dans la fabrication de miroirs et produits de s curit DBV Produits b ton fabrique des l ments en b ton d coratif pour l am nagement ext rieur pour les b timents et les Travaux Publics ECO COMPTEUR Syst mes de comptage de v los et de pi tons HEKIPIA Concepteur et fabricant d quipements en bois naturel pour l am nagement des espaces fabriqu s en pin douglas bois naturellement classe 3 issu de for ts fran aises PLANAS FRANCE AMENAGEMENT URBAIN Fabricant de dalles b ton et mobiliers urbains pour am nagement des espaces publics RONDINO Concepteur et fabricant de produits d am nagements ext rieurs en bois TBD Conception r alisation fabrication sur mesure et installa
7. IPE AIR Isolation mur et plafond par projection de mousse expansive cellules ouvertes r sistance thermique r duction acoustique garantissant l tanch it l air avec z ro poussi res Etanch it l eau par projection chaud d une membrane polyur e SAN STAP R alise l tanch it l isolation et l anti condensation des anciennes toitures SPM INTERNATIONAL Panneaux de protection murale pare chocs mains courantes Travaux Publics EIFFAGE Troisi me groupe fran ais et quatri me en Europe dans le secteur du BTP et des concessions Eiffage exerce ses activit s travers cinq m tiers concessions et partenariats public priv PPP construction travaux publics nergie et m tal EUROVIA Eurovia est un des leaders mondiaux des travaux d infrastructure de transport et d am nagement urbain Eurovia propose un ensemble int gr d expertise travers quatre m tiers travaux d infrastructure de transport et d am nagement urbain exploitation de carri res production industrielle maintenance et services FEDERATION NATIONALE DES TRAVAUX PUBLICS FNTP Regroupe par l interm diaire de ses 20 F d rations R gionales et de ses 18 Syndicats de Sp cialit s les 8 000 entreprises de toutes tailles exer ant une activit de Travaux Publics POINT P TP N goce national de mat riaux plastiques b ton fontes pour les travaux publics VINCI CONSTRUCTION FRANCE Exerce les m tiers compl mentaires du b ti
8. Les volutions de la R glementation des terrains les nouvelles dispositions FAFA Le m c nat populaire est l expression de l attachement profond des citoyens leur patrimoine de proximit Par son expertise et les outils qu elle met la disposition des communes la Fondation du patrimoine aide mobiliser la g n rosit des particuliers et des entreprises tout en participant au renforcement de l attractivit des territoires Concerts visites de chantiers manifestations locales autant d opportunit s de se retrouver autour d une cause commune et de susciter des dons JEUDI 21 NOVEMBRE 2013 e _10h30 12h00 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence GROUPE MONITEUR Construire des quipements sportifs moins chers est ce utopique e 11h00 12h00 Pavillon 5 1 Salle 51 Conf rence FEDERATION FRANCAISE DE CYCLISME La cr ation du nouveau Centre National de Cyclisme Saint Quentin en Yvelines Construire une piste de BMX enjeux autour d un quipement de proximit moderne et fort potentiel e 14h00 15h30 Pavillon 5 1 Salle 51 Atelier technique La r forme du CNDS les nouveaux crit res pour renforcer l accessibilit aux pratiques sportives e _14h00 15h30 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence organis e par GROUPE MONITEUR D veloppement des sports de nature quelles opportunit s pour les collectivit s TIC MARDI 19 NOVEMBRE 2013 e 13h00 14h00 Pavillon 2 1 Salle
9. Affichage Billetterie Chronom trage BODET SPORT Tableaux d affichage sportif Solutions vid o LED et logiciel Planification et contr le d acc s Chronom tres et horloges WEEZEVENT Solution web pour les organisateurs d v nements Elle permet de cr er sa propre billetterie ou syst me d inscription et d envoi d invitations Aires de jeux BODY BOOMERS Con oit fabrique et distribue des appareils de sport de plein air destin s toutes les g n rations EUROPLAY NV Principal fabriquant belge des jeux d enfants certifi s pour collectivit s FITPARK Fabricant d appareils de fitness pour le plein air GROUPE KASO Conception r alisation maintenance d espaces de jeux pour enfants et adolescents LUDOMODUL Leader des jeux ext rieurs pour la motricit la p dagogie et la beaut PROLUDIC Am nagement d espaces de jeux de sports de loisirs en acc s libre TRANSALP SAS G n raliste fran ais des quipements de jeux d ext rieur et d quipements sportifs de proximit qui d veloppe une approche de niche sur le march Equipements mer et montagne CARATECH Tapis skieurs pistes de tubing piste de luge 4 saisons Equipements sportifs ACS PRODUCTION Con oit fabrique et installe pour les collectivit s des ouvrages permanents et d finitifs tels que des couvertures de terrains de sports des tennis couverts des tribunes des pr aux des abris des auvents ACL SPORT NATURE Con oit et fabri
10. en objectivant les bienfaits du v g tal en ville e 15h30 16h30 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence F d ration Nationale des Travaux Publics FNTP Bien s assurer pour couvrir ses risques le guide SMABTP AMF Le Groupe SMABTP assureur de r f rence des m tiers du BTP met son expertise au service des collectivit s territoriales La conf rence vous permettra de d couvrir le guide assurance qu il vient de r aliser avec l association des maires de France il pr sente aux collectivit s locales leurs risques et couverture d assurance La conf rence vous permettra galement de dialoguer avec les sp cialistes assurance du Groupe SMABTP JEUDI 21 NOVEMBRE 2013 Environnement amp Energie MARDI 19 NOVEMBRE 2013 e 11h15 12h15 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence SITA incitation et valorisation des d chets Syst me r pandu dans d autres pays europ ens la tarification incitative sera obligatoire fin 2014 en France loi Grenelle de 2009 Avec ce mode de tarification les d chets sont factur s selon la quantit produite pour inciter les usagers trier plus et r duire leurs d chets Quelles diff rences avec le syst me actuel Pour quels r sultats Quels enjeux pour les collectivit s et les citoyens Quel impact sur la valorisation des d chets e _12h30 13h30 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence SAFEGE SYRACUSE ou comment optimiser la gestion de vos services urbains Dans un contexte de forte urban
11. et en incitant la r alisation de sch mas de gestion des eaux pluviales dans les zones les plus expos es au ruissellement Pour pr venir les pollutions par les substances mergentes il annonce aussi pour 2014 un nouveau plan micropolluants int grant les m dicaments 2014 verra en outre le lancement d un nouveau plan national zones humides qui proposera des actions pour d velopper l appui l levage extensif en zone humide promouvoir la r alisation d une carte de r f rence l chelle nationale articul e la production d inventaires locaux renforcer la prise en compte des zones humides dans l am nagement urbain dans la pr vention des inondations et la lutte contre le changement climatique Autre mesure de la feuille de route pour am liorer la qualit de l eau et des milieux aquatiques faciliter les travaux de restauration des cours d eau et de pr vention des inondations Cela passe par la mise en place concomitante de la nouvelle comp tence milieux aquatiques et pr vention des inondations confi e aux tablissements publics de coop ration intercommunale EPCI fiscalit propre dans le projet de loi m tropoles ainsi que des financements d di s indique la feuille de route sans plus de d tails La feuille de route propose aussi une gestion p renne des ressources en eau pour limiter les conflits d usage II faut pour cela conjuguer s curisation court terme et gestion long terme de
12. gouvernement s engage galement mettre en place une cellule interminist rielle sur la lutte contre les sites ill gaux et les trafics associ s Strat gies r gionales d conomie circulaire Le troisi me chantier consiste d cliner l conomie circulaire comme un projet de territoires II concerne au premier chef les r gions en pr voyant l laboration de strat gies r gionales d conomie circulaire int gr es terme ans les sch mas r gionaux de d veloppement conomique Les r gions devront se doter de plateformes de connaissances des flux de mati res au niveau territorial et de connexion entre les acteurs La connaissance territoriale des gisements sera renforc e en incluant les d chets d activit s conomiques en particulier du BTP en lien avec les sch mas de carri res pr cise la feuille de route Les collectivit s devront mettre en place une comptabilit analytique sur les d chets et int greront des indicateurs de suivi des co ts dans les rapports annuels des maires sur les d chets Un observatoire national annuel d mat rialis des co ts et financements de la gestion des d chets sera produit par l Ademe Le gouvernement s engage saisir l automne le Comit pour la fiscalit cologique pour rendre un avis sur la trajectoire suivre d ici 2020 pour la fiscalit d chets en lien avec le Conseil national des d chets L assujettissement des entreprises la Teom taxe d enl
13. inscrire en ligne afin d obtenir leur badge lectronique et pr parer leur visite gr ce au plan interactif Contact Presse Salon des Maires et des Collectivit s Locales 2013 St phane Balliste T l 01 40 13 30 80 stephane balliste groupemoniteur fr Contact Presse 96 Congr s des Maires et des Pr sidents de Communaut s de France Marie H l ne GALIN T l 01 44 18 13 59 communication amf asso fr Rappel des d penses des collectivit s en 2012 et Etat des lieux en 2013 Fiche 2 2012 l investissement local en hausse de 2 7 Apr s avoir b n fici de la reprise de l activit en 2010 2011 les collectivit s locales ont support le contexte conomique et social au cours de l ann e 2012 atonie de l activit conomique d gradation du march du travail hausse du taux de ch mage En 2012 les collectivit s ont vu leurs marges de man uvre se r duire les ressources fiscales globales progressent de 2 5 mais les concours financiers sont gel s en valeur tandis que les charges sont en hausse sensible notamment celles li es au personnel Cependant les collectivit s ont accru leurs d penses d investissement 2 7 en ayant recours l emprunt Elles ont b n fici de conditions de financement adapt es en 2012 apr s le resserrement de l offre de cr dit bancaire observ en 2011 Et l encours de dette du secteur public local a augment significativement 2012 malgr la baisse
14. l accessibilit DMA Le CIH a annonc une concertation sur l adaptation des normes d accessibilit et la mise en place de l agenda d accessibilit programm laquelle les associations d lus locaux seront invit es participer La fin des travaux est pr vue pour fin janvier 2014 en principe et des soutiens financiers sp cifiques sont pr vus Le relev de d cisions du comit interminist riel du handicap r uni le 25 septembre 2013 reconna t une fois de plus que l ch ance de la mise en accessibilit du cadre b ti de la voirie et des transports en 2015 ne sera pas tenue Il constate qu au 1er juillet 2012 23 des tablissements recevant du public des EPCI n ont toujours pas r alis leur diagnostic d accessibilit eque 44 des communes n ont pas achev les diagnostics de leurs tablissements recevant du public ERP eque 13 des plans de mise en accessibilit de la voirie PAVE taient adopt s 14 R ussir 2015 Accessibilit des personnes handicap es au logement aux tablissements recevant du public aux transports la voirie et aux espaces publics Mars 2013 5 http www social sante gouv fr evenements colloques 2396 comite interministeriel du 2820 technique 2827 les mesures 2828 le releve des decisions 16269 html Au del de ce constat le gouvernement souhaite donner un second souffle la politique d accessibilit Pour y parvenir il a ouvert deux chantiers de con
15. notamment sur la sant humaine Les collectivit s sont des acteurs essentiels pour pr server et am liorer la qualit de l air Afin d initier encourager et concr tiser des actions territoriales efficaces et socialement quitables permettant une am lioration quantifiable de la qualit de lair l ADEME a initi en 2013 un nouvel appel projets destination des collectivit s territoriales AACT AIR Cet appel projet est galement ouvert aux organismes de recherche qui souhaitent d velopper ou exp rimenter avec des collectivit s des solutions innovantes e 14h15 15h15 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence SOCOTEC Qualit de l air int rieur comment optimiser les campagnes de mesure dans les tablissements scolaires accueillant les enfants de moins de 6 ans Les tablissements accueillant des populations sensibles et en tout premier lieu les enfants de moins de 6 ans devront avoir effectu un contr le de la qualit de l air int rieur d ici fin 2014 par un organisme sous accr ditation COFRAC Loi Grenelle 2 Fort de son retour d exp riences aupr s de diff rentes communes SOCOTEC acteur majeur de la ma trise des risques expliquera comment rationaliser la d marche et en optimiser le co t global e 15h00 16h00 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence GrDF Quels choix nerg tiques pour les mobilit s de demain Transports en commun en site propre TCSP Bus haut niveau de service BHNS pr serv
16. pourtant de taille Chaque ann e 1 3 milliard de m d eau sont perdus cause des fuites et 60 du r seau est constitu de mat riaux aciers fonte et PVC pouvant repr senter un risque sanitaire avertissent elles Sans compter que le retard pris dans le renouvellement risque d alourdir la facture pour les Fran ais Le rythme actuel de renouvellement moyen des quelque 850 000 km de canalisations en France est de 160 ans 23 affichant m me un taux sup rieur 500 ans Or une canalisation a une dur e de vie d environ 75 ans crivent 60 millions de consommateurs et France Libert s A raison de 150 euros au minimum par m tre de canalisation les associations estiment la facture de la r novation du r seau 4 5 milliards d euros par an sur la p riode 2015 2030 D cret n 2012 97 du 27 janvier 2012 relatif la d finition d un descriptif d taill des r seaux des services publics de l eau et de l assainissement et d un plan d actions pour la r duction des pertes d eau du r seau de distribution d eau potable ll Office national de l eau et des milieux aquatiques D claration de travaux proximit de r seaux DT DICT Les travaux projet s proximit de canalisations et r seaux enterr s doivent tre d clar s leurs exploitants avant leur ex cution au moyen de la d claration de projet de travaux DT par le ma tre d ouvrage et la d claration d intention de commencement de travaux DICT par l e
17. sa mission s inscrit dans une d marche d int r t g n ral au b n fice du consommateur citoyen ECO SYSTEMES Eco organisme agr par les pouvoirs publics depuis le 9 ao t 2006 assurant une mission d int r t g n ral mise en place partir du 15 novembre 2006 d un dispositif national pour collecter d polluer recycler et valoriser les D chets d Equipements Electriques et Electroniques en fin de vie ENTREPRENEURS DE LA FILIERE DECHET R seau professionnel qui regroupe une soixantaine de PME ind pendantes de la gestion des d chets MODULO BETON Conception et commercialisation de d chetteries modulables en b ton NICOLLIN SAS Sp cialis dans la collecte des ordures m nag res le nettoiement le transport et le traitement des d chets PACKMAT SYSTEM Concepteur et fabricant de mat riels de manutention et de compaction des quipements destin s l optimisation de la collecte en d ch terie et en porte porte PIZZORNO ENVIRONNEMENT Gestion globale des d chets et de la propret urbaine Collecte transport tri Valorisation et traitement des d chets ultimes SEPRA ENVIRONNEMENT Sp cialiste de la propret urbaine et collecte de d chets divers SEPUR Acteur majeur dans la gestion des d chets et la propret urbaine SITA Leader fran ais de l offre de solutions de gestion et de valorisation des d chets Eau DEGREMONT Sp cialiste mondial du traitement de l eau depuis plus de 70 ans FEDERATIO
18. trave aileron centrale saumure ATLANTIC MARINE Franchissements de routes voies SNCF rivi res Am nagements portuaires Embarcad res flottants Plateformes flottantes Constructions flottantes CMAR Sp cialis dans la fabrication de mat riels de voirie COLAS Entretien des routes et de toutes les autres formes d infrastructures de transport d am nagements urbains et de loisirs d quipements industriels et commerciaux DULEVO Un des leaders europ ens en mat riel de nettoyage pour l industrie et la voirie EUROVOIRIE Gamme BOM balayeuses et laveuses de voirie et quipements compactes EURO 6 EUROPE SERVICE Vente location de mat riels de d neigement balayage lavage espace vert GLUTTON Leader mondial d aspirateurs lectrique de d chets urbains et industriels LABOR HAKO Fourniture et entretien de mat riels de voirie v hicules sp ciaux porte outils multi fonctions quipements pour nettoyage industriel et espaces verts SEPRA Techniques innovantes en mati re de rev tement de chauss es urbaines SIGNATURE Solutions qui allient innovation et d veloppement durable pour am liorer la s curit routi re fluidifier le trafic et am nager le paysage urbain et routier TERTU Am nagement Routes Voies Vertes et Parkings glissi res de s curit garde corps murs antibruit passerelles s parateurs de voies bornes anti stationnement VILLETON Conception et mise en service de mat riels pour la viabi
19. veloppement la r alisation et l exploitation de centrales de production d nergie d origine olienne photovolta que et thermique VEOLIA ENVIRONNEMENT Am lioration de la qualit de vie urbaine r duction des pollutions lutte contre le changement climatique protection de l environnement pr servation des ressources WINDVISION FRANCE 1er d veloppeur olien construire des oliennes terrestres de 7 5 MW Gaz ANTARGAZ Propose des solutions gaz naturel et propane qui r pondent l ensemble des besoins des collectivit s assure d j la conception la construction l exploitation et la maintenance des r seaux publics et priv s sur plus de 700 communes en France PRIMAGAZ Acteur engag au service des collectivit s depuis plus de 150 ans propose des solutions concr tes pour am liorer l efficacit nerg tique du patrimoine b ti et des infrastructures TOTALGAZ Producteur et distributeur de gaz de p trole liqu fi s butane propane Recyclage et Valorisation ECO TLC Eco organisme des Textiles d habillement Linge de maison et Chaussures TLC Agr d tat en 2009 il a pour mission de favoriser la r cup ration et la valorisation des TLC usag s en France en collaboration avec toute la fili re soutien au tri industriel la R amp D et la sensibilisation des citoyens ECOFOLIO Organise finance et accompagne la collecte le tri et le recyclage des papiers LE RELAIS Lutter contre l exclusi
20. 1 Salle 21 Conf rence LA MAISON BLEUE Les enjeux de la mixit des modes d accueil pour la ville A l heure o la soci t et la famille connaissent des volutions majeures la petite enfance n cessite une nouvelle approche en termes de solutions d accueil Comment concilier l volution soci tale avec un accueil adapt et rendre les modes d accueil accessibles toutes les familles RAM Haltes garderies Multiaccueil r pondent chacun un besoin sp cifique La meilleure solution ne serait elle pas de cr er des espaces petite enfance proposant toutes ces solutions Comment mettre en place un tel dispositif MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 e 10h00 11h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence CNFPT Handicap l inclusion professionnelle dans la fonction publique territoriale nouvelle approche Une conf rence pour appr hender cette nouvelle notion dans la sph re des Ressources humaines Nous expliquerons les applications et les contraintes qui peuvent merger dans sa mise en uvre au sein des collectivit s L clairage d Andr Montan pr sident du FIPHFP apportera une expertise essentielle pour que les employeurs publics puissent aujourd hui et demain contribuer l inclusion professionnelle des personnes en situation de handicap e 15h30 16h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence MUTUELLE NATIONALE TERRITORIALE La protection sociale compl mentaire des agents territoriaux un outil de valorisation de la po
21. E Prix CORNILLEAU Ville sportive amp conviviale OLIVET est une commune qui favorise la pratique du sport en famille entre amis entre voisins Elle m ne des actions favorisant le renforcement des liens sociaux et interg n rationnels par le sport notamment gr ce au regroupement de ses quipements en acc s libre sur un large domaine la cr ation d un site internet de mise en relation des habitants qui permet chacun de trouver des partenaires sportifs ainsi que l organisation de manifestations sportives conviviales Contact Presse FIFAS C cile DUPAYS FIFAS Cecile dupays fifas com 06 62 85 40 32 FIFAS f d ration fran aise des industries sport amp loisirs LABEL 2013 Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Sport Loisir Tourisme Culture Le secteur Sport repr sente 13 5 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Affichage Billetterie Chronom trage Aires de jeux Colonie de vacances Centre de loisirs Culture Equipements mer et montagne Equipements sportifs Loisir Piscine Promotion touristique Sols sportifs Sport Tourisme Voyages Vacances Vous retrouverez ces exposants dans le Pavillon 5 1 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re de Sport Loisir Tourisme Culture
22. Salle 30 Conf rence Syndicat des Eaux de l Ile de France SEDIF Remise des Tr fles Phyt Eaux Cit s 2013 Devant l usage croisant des produits phytosanitaires cause majeure de pollution des rivi res n cessitant la mise en uvre de traitements toujours plus performants et co teux pour la production d eau potable le SEDIF premier service public d eau potable en France est l initiative du programme Phyt Eaux Cit s Le Comit directeur de ce programme d cerne chaque ann e des Tr fles Phyt Eaux Cit s afin de mobiliser et sensibiliser les communes de la r gion parisienne engag es dans l action Les tr fles sont attribu s aux communes sur la base des informations recueillies lors des suivis annuels e 16h45 17h45 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence CIMBETON Le b ton et l eau une pluie de solutions La fili re b ton se mobilise au Salon des Maires pour offrir aux collectivit s locales l occasion de d couvrir la diversit des fonctionnalit s du b ton La gestion de l eau est un service vital pour les villes et les territoires tout comme l vacuation des eaux de pluie qui repr sente un d fi de taille Les projets en la mati re rivalisent d ampleur et de vari t autour d un alli historique et indispensable qu est le b ton e 17h00 18h00 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence ERDF ERDF les r seaux de distribution au c ur de la transition nerg tique Le r seau de distribution d l
23. Salle 51 Atelier technique Comment penser la ville pour la pratique sportive Am nagements quipements bonnes pratiques Un peu plus de 25 des fran ais sont titulaires d une licence et pratiquent le sport en club lls sont pr s de 75 d clarer pratiquer une activit physique et sportive Les collectivit s souhaitent apporter des r ponses ces pratiquants hors clubs qu il s agisse de pratiquants autonomes ou pratique en communaut L am nagement de parc sportif urbain de bord de fleuve ou de rivi re le trac de circuits l installation d aires sportives et de p les de services sportifs constituent des r ponses indispensables cette nouvelle demande sociale e _14h00 15h30 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence GROUPE MONITEUR Sport Sant un enjeu partag Premiers retours d exp riences et bonnes pratiques Un peu plus de 25 des fran ais sont titulaires d une licence et pratiquent le sport en club lls sont pr s de 75 d clarer pratiquer une activit physique et sportive Les collectivit s souhaitent apporter des r ponses ces pratiquants hors clubs qu il s agisse de pratiquants autonomes ou pratique en communaut L am nagement de parc sportif urbain de bord de fleuve ou de rivi re le trac de circuits l installation d aires sportives et de p les de services sportifs constituent des r ponses indispensables cette nouvelle demande sociale e 16h00 17h30 Pavillon 5 1
24. Salle 51 Conf rence FEDERATION FRANCAISE DE GOLF Le Plan 100 petites structures golfiques 2009 2018 Un peu plus de 25 des fran ais sont titulaires d une licence et pratiquent le sport en club Ils sont pr s de 75 d clarer pratiquer une activit physique et sportive Les collectivit s souhaitent apporter des r ponses ces pratiquants hors clubs qu il s agisse de pratiquants autonomes ou pratique en communaut L am nagement de parc sportif urbain de bord de fleuve ou de rivi re le trac de circuits l installation d aires sportives et de p les de services sportifs constituent des r ponses indispensables cette nouvelle demande sociale e _16h00 17h00 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence GROUPE MONITEUR Equipements de proximit skate park Quels quipements sportifs pour les jeunes MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 e 09h00 14h00 Pavillon 5 1 Salle 51 Conf rence FEDERATION FRANCAISE DE FOOTBALL Tirage au sort du 8 tour de la Coupe de France e _10h30 12h00 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence GROUPE MONITEUR Rythme scolaires les facteurs de r ussite Retours d exp riences et impacts sur la gestion des quipements sportifs e _14h00 15h30 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence GROUPE MONITEUR Les r seaux sociaux quels usages pour la pratique sportive locale e 15h15 16h45 Pavillon 5 1 Salle 51 Atelier technique La d marche HQE dans les
25. collectivit s locales ont consacr aux politiques sportives 10 8 milliards d euros dont 9 4 milliards d Euros la seule charge des communes et des structures intercommunales Fait marquant de ces 15 derni res ann es l intervention des EPCI a sensiblement modifi la structuration du sport locale puisque les deux tiers d entre elles ont d cid d intervenir sur le domaine sportif L intercommunalit fait d sormais merger de nouveaux enjeux en particulier pour les grandes agglom rations et m tropoles Le sport un budget de 108 euros par habitant pour les EPCI en 2010 22 par habitant c est ce qu ont consacr en moyenne les communaut s urbaines les communaut s d agglom ration et les syndicats d agglom ration dans le sport en 2010 selon les informations financi res et fiscales de la Direction G n rale des Collectivit s Locales 20107 Un effort qui s l ve 652 millions d euros dont 368 en fonctionnement et 284 en investissement Le sport repr sente 2 5 du budget des EPCI 86 euros par habitant c est ce qu ont consacr les communes de plus de 30 000 habitants dans le domaine sportif selon l tude de la DGCL Fonctionne Investissem total Millions Part dans le valeur en par ment ent d euros budget habitant Sports 852 544 1396 3 7 68 Salles de sport gymnases 210 178 388 1 0 19 Stades 162 185 347 0 9 17 Piscines 243 89 332 0 9 16 Autres quipe
26. de l pargne brute poursuite de l effort d investissement En 2012 les d penses de fonctionnement des collectivit s locales ont augment de 3 1 niveau tr s sup rieur l inflation apr s 2 2 en 2010 et 2 8 en 2011 La croissance des frais de personnel a t particuli rement importante alors que les transferts li s la loi LRL sont achev s Cette hausse des frais de personnel est imputable en partie aux volutions du SMIC en janvier 2012 puis en juillet 2012 lesquelles se traduisent par un rel vement des indices de traitements les plus faibles dans la fonction publique Volume budg taire des collectivit s locales en 2012 D penses D penses D penses de fonctionnement d investissement Totales Montant Evolution Montant Evolution Montant Evolution en M d annuelle en M 4 annuelle en M d annuelle Bioc communal 84 5 3 1 42 1 3 6 126 6 3 3 D partements 56 0 3 1 15 3 0 4 71 4 2 5 R gions 17 2 2 7 10 8 2 5 27 9 2 6 Ensemble 157 6 3 1 68 2 2 7 225 9 3 0 Donn es hors gestion active de la dette Source DGFIP En revanche leurs recettes de fonctionnement ont volu plus mod r ment si les ressources li es aux imp ts locaux ont augment de 3 8 d une part en raison de la hausse des bases fiscales des imp ts m nages et d autre part de la croissance des imp ts conomiques l atonie du march immobilier s est traduite par un repli des droits de mutation ti
27. de sport conf renciers Brodeur et s rigraphe il r pond galement tous besoins de textiles et autres produits personnalis s Edition MAURY IMPRIMEUR Implant sur 6 sites industriels dans 5 d partements imprime sur 30 rotatives pour les plus grands diteurs de presse ou de livres fran ais et trangers CARRE BLANC EDITION Editeur de livres de qualit pour les collectivit s locales et territoriales proposant diff rents concepts de collections autour de th matiques comme le patrimoine l urbanisme l environnement l histoire le tout travers ses habitants WEKA Accompagnent les d cideurs des collectivit s locales dans diff rents domaines march s publics budgets et finances gestion des personnels et des services publics WOLTERS KLUWER Avec ses marques Dalian Lamy et ASH Wolters Kluwer leader des solutions d information professionnelle en France accompagne les collectivit s locales dans leurs domaines d intervention Presse ENVIRONNEMENT MAGAZINE N 1 de la presse professionnelle de l environnement et de l nergie apporte des solutions pratiques et concr tes pour une meilleure gestion de l environnement par les collectivit s territoriales GAZETTE DES COMMUNES Outil hebdomadaire d information et de travail des d cideurs territoriaux JOURNAL DES COMMUNES DURABLES Outil de r f rence pour les lus des moyennes et petites communes et leur offre des informations pratiques sur les enjeux quoti
28. des catastrophes qui a lieu le 13 octobre 2013 nous rappelle l importance de d ployer des moyens pour r duire les risques face aux catastrophes naturelles qui menacent notre territoire La France s est dot e en 2012 de l Observatoire National des Risques Naturels ONRN qui vient renforcer le lien entre les acteurs de l assurance et de la pr vention des risques naturels A l chelle europ enne aussi un plan est la l tude pour faire adopter une strat gie globale pour mieux se pr parer aux changements climatiques Alors que 26 000 communes fran aises sont concern es en majorit des risques naturels majeurs source INSEE comment les collectivit s s organisent elles pour assurer un d veloppement durable des territoires tout en garantissant une s curit des personnes et des biens Que pr voit la r glementation dict e par le Plan de Pr vention des Risques Naturels PPRN Quelles sont les obligations en mati re d information Quelles m thodes pour faire face aux catastrophes La culture du risque est elle en train d merger et de f d rer l ensemble des acteurs Les retours d exp riences nous permettront de faire le point sur ce sujet e _11h00 12h00 Pavillon 2 1 Village Territorial Conf rence Institut des routes des rues et des infrastructures pour la mobilit IDDRIM en partenariat avec LE MONITEUR et TECHNICITES C r monie de Remise des Prix Infrastructures pour la mobilit et la biodiversi
29. et 70 ne per oivent pas son projet ni ne connaissent ses missions Au final la communication des collectivit s a un impact plus efficace sur les aspects de la vie quotidienne que sur ceux politiques Cette information locale a par exemple plus tendance faire changer certaines habitudes 66 qu donner une image positive des lus 45 Ce point est particuli rement explicite dans le cas des supports digitaux des collectivit s plut t vus comme permettant de disposer d informations accessibles en permanence 55 ou de services administratifs en ligne 45 et marginalement consid r s comme des espaces d change avec les lus 9 Parmi la courte majorit des Fran ais qui a trouv bonne la communication de leur commune 52 ils sont 63 d clarer que cette communication les incite plut t aller voter lors des prochaines lections municipales Cela repr sente une plus value civique de 16 points calculent les auteurs de l tude sachant que en moyenne les Fran ais ceux trouvant la communication bonne et ceux l trouvant pas bonne r unis ne sont plus que 47 d clarer que cette communication les incite aller voter 5 Barom tre Epiceum Harris Interactive de la communication locale enqu te r alis e en ligne du 4 au 13 juin 2013 partir de l access panel de Harris Interactive Echantillon de 1 000 individus repr sentatifs de la population fran aise g s de 18 ans et plus
30. et audiovisuels professionnels LPTENT Sp cialiste dans le domaine de la tente Fabricant d abris pliants gonflables ou tubulaires SAMIA DEVIANNE Conception et la fabrication de tribunes t lescopiques fixes ou d montables et d quipements sc niques SCHREIBER Schreiber propose depuis 1815 la solution id ale pour l organisation de tous les v nements en plein air f tes r ceptions foires expositions manifestations culturelles SUD SCENIC Tapisseries sc niques et d cors de sc ne Tapisseries sc niques et d cors de sc ne TRIGANO COLLECTIVITES Fabriquant de mat riel v nementiel barnums tentes pour les collectivit s Espaces verts AGRESTA TECHNOLOGIES Sp cialis e dans la production de copeaux de bois stabilis s CAVAC BIOMATERIAUX Gamme d agromat riaux issus de la transformation des pailles de chanvre et lin cultiv localement ISS ESPACES VERTS Sp cialiste de la cr ation la r habilitation et l entretien des espaces paysagers et sportifs OFFICE NATIONAL DES FORETS Assure la gestion durable des for ts publiques relevant du r gime forestier r alise des prestations de service dans le domaine de la gestion de la for t des arbres et des espaces naturels PLANTE ET CIT Plateforme nationale d information technique et d exp rimentation sur les espaces verts et le paysage urbain WIEDENMANN R g n ration A ration du gazon Entretien du gazon Sablage Ramassage d herbe et de feui
31. handicap es et malvoyantes bornes bordures caniveaux marches blocs mobilier urbain columbarium escaliers fontaines fabrications sur mesure rev tements drainants murs de sout nement grilles d arbre etc MONDIAL GRANIT Pav dalle ext rieur dalle int rieur marche massive margelle de piscine poteaux palissade escalier couventine de mur mobilier urbain ardoise de toiture parement sph re de d coration pas japonais appui de fen tre Paysagistes REVERDO Fabrication et pose de rigoles m talliques et foss s m talliques pour viter le ravinement des chemins forestiers Sanitaires AXEURO INDUSTRIE Sp cialiste de la fabrication de sanitaires et d accessoires sanitaires en inox FRANCIOLI Sp cialis dans la r alisation de mobilier urbain et de sanitaires publics depuis plus de 40 ans GROUPE MAILLARD INDUSTRIE Concepteur et fabricant de sanitaires publics m caniques autonettoyants MPS MICHEL PLANTE SYST MES Conception fabrication et commercialisation de toilettes publiques entretien automatique SAGELEC Sanitaires auto nettoyants et anti Vandalisme pour lieux publics des cabines WC encastrer dans des b timents et des modules ext rieurs cl s en mains travers 3 gammes nature b ton et urbaine WALLGATE Sanitaires anti vandalisme pour collectivit Signalisation au sol routi re AMD GROUP Con oit et fabrique des syst mes de t l communication hautes fr quences d
32. initiale et continue Deuxi me objectif mis en avant accompagner dans leurs mutations les fili res et les territoires les plus concern s par la transition cologique et nerg tique Quatre fili res b n ficieront ainsi d un soutien renforc en vue de leur permettre d exprimer pleinement leur potentiel emploi et de faire face aux d fis d volution des comp tences qu elles rencontrent la fili re r novation nerg tique du b timent la fili re efficacit nerg tique active r seaux maisons b timents intelligents etc la fili re biodiversit et g nie cologique et la fili re bois Le gouvernement compte par ailleurs mettre en place d but 2014 trois d monstrateurs territoriaux de soutien aux reconversions professionnelles dans des bassins d emploi particuli rement concern s par la transition cologique et nerg tique afin de s curiser les parcours de salari s ou de demandeurs d emploi passant d un m tier fragilis un m tier en d veloppement li la transition cologique Par ailleurs les contrats de projet Etat r gions pour 2014 2020 accompagneront les mutations des bassins d emplois fili res et m tiers les plus concern s par la transition cologique et nerg tique Actions sp cifiques vers les jeunes et les publics fragiles Le gouvernement formule en outre l objectif de faire de l adaptation la transition cologique et nerg tique une priorit des politiques d emploi et de f
33. jusqu aux syst mes d clairage les plus r cents les crit res de performances d conomies d nergie de s curit et de confort visuel sont au c ur des exigences des acteurs de l clairage public des fabricants jusqu utilisateur final en passant par les ma tres d ouvrage et ma tres d uvre architectes concepteurs lumi re sans oublier les installateurs Aujourd hui ces enjeux sont d sormais incontournables Enjeux conomiques la consommation d clairage ext rieur environ 5TWh ne repr sente qu 1 de la production totale d lectricit en France mais correspond 48 des consommations d lectricit des collectivit s territoriales soit 18 de leurs consommations toutes nergies confondues Ce service public repr sente environ 37 de la facture d lectricit des communes Enjeux environnementaux des consommations contr l es des nuisances lumineuses limit es un clairage adapt aux seules exigences visuelles la garantie d une fili re de collecte et de recyclage etc Autant de crit res prendre en compte pour des installations respectueuses de l environnement que les lois Grenelle Environnement ont d sormais rendu obligatoires dans le neuf comme dans l existant Enjeux sociaux la s curit des personnes et des biens reste la premi re des priorit s qu elle soit imm diate s curit des d placements dans les espaces publics ou de long terme limitation des rejets de CO et des effets du
34. la collectivit Le marketing territorial l chelle d une ville est une d marche collective de valorisation et d adaptation des territoires des march s concurrentiels pour influencer en leur faveur le comportement de leurs publics par une offre diff rente dont la valeur per ue est durablement sup rieure celle des concurrents Le marketing territorial s inscrit donc dans une d marche visant associer les principaux acteurs concern s par l attractivit du territoire la ville en l occurrence Dans ce contexte la cr ation d une marque territoriale l chelle d une ville consiste mobiliser les acteurs sous une marque ombrelle neutre Outre cette fonctionnalit la marque territoriale vise renforcer l attractivit de la ville par un syst me de valeurs un discours ou des actions permettant de renforcer la notori t globale de cette destination par la puissance de la coh rence cr e La marque territoriale cr e l chelle d une ville peut tre globale viser plusieurs march s comme Be Berlin ou sp cifique un segment de march pr cis les touristes New York avec Love NY Des marques territoriales sous la charte graphique de la marque France La mission qui travaille depuis janvier 2013 sur la marque France a rendu public son rapport d tape le 28 juin 2013 Elle propose de cr er un logo une charte graphique un slogan pour la France et plus largement de mettre au p
35. les s jours nature dans le cadre scolaire et dans celui des centres de loisirs et de vacances Le nombre de missions de service civique propos es par les collectivit s et les tablissements publics devrait aussi tre d velopp Un r pertoire des missions relevant de la th matique environnement et r alis es depuis l origine du dispositif 12 des missions depuis 2010 sera mis en place en 2014 pour aider les collectivit s et les tablissements publics mieux identifier les types de missions au regard de leur champ de comp tences et de leurs attributions et rep rer les missions appropri es proposer dans le cadre de ce dispositif pr voit la feuille de route Enfin le gouvernement veut aussi impliquer la jeunesse les coliers les coll giens et les lyc ens dans la pr paration de l accueil de la grande conf rence Climat qui se d roulera en 2015 Paris Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Environnement Energie Le secteur Environnement Energie repr sente 13 4 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Assainissement individuel ou collectif Carburants D chets r cup ration traitement stockage recyclage Eau Electricit Energie Energies propres renouvelables Environnement Gaz Mesures Air Eau Gaz Nucl aire Recyclage et valorisation Traitement de l air Vous retrouverez ces exposants dans le Pavillo
36. leur journal papier dans leur bo te aux lettres ce qui tendrait montrer qu ils font bien la diff rence entre l information et les r clames d ordre commercial Pour autant papier et digital n entrent pas en concurrence ils se compl tent le web apportant une plus value essentiellement pratique accessibilit et services en ligne assurent les auteurs de l tude Avec une augmentation de 18 depuis 2011 le site internet des collectivit s locales Concurrence aujourd hui les m dias traditionnels comme les t l visions locales et r gionales De plus il faut noter l mergence de nouveaux supports digitaux comme les pages officielles des collectivit s sur les r seaux sociaux ou les applications officielles pour Smartphones La commune premi re collectivit communicante aux yeux des Fran ais La commune reste et de loin la collectivit qui illustre les meilleures pratiques de communication soulignent les auteurs de l tude 70 des personnes interrog es jugent son information utile 69 pensent qu elle les concerne directement et 66 l estime cr dible La collectivit qui arrive en deuxi me position est d sormais l intercommunalit devant les d partements les r gions et l Etat 71 des Fran ais d clarent savoir que leur commune fait partie d une intercommunalit ils en connaissent le nom et le p rim tre Parmi ces plus renseign s 76 ne connaissent toutefois pas le mode d lection des lus intercommunaux
37. loisirs ludoth ques et autres structures d accueil pour la petite enfance Services la personne OZ Leader dans les services la personne depuis 1996 et au service des habitants O est multi sp cialiste et propose des solutions de garde d enfants d accompagnement des personnes g es et en situation de handicap de m nage repassage et de jardinage Mobilier scolaire SOUVIGNET Fabricant fran ais de mobilier usage collectif structure bois ou m tal destin l quipement des salles polyvalentes cantines salles de classe internats ULMANN Fourniture de tableaux surfaces communicantes et am nagement d amphith tres locaux publics et priv s WESCO Con oit fabrique et distribue du mat riel p dagogique de motricit du mobilier scolaire Sp cialis dans l quipement des lieux d accueil de la petite enfance WIKI CAT Cr ateur et fabriquant fran ais d aires de jeux et de mobilier en bois massif pour cr ches et maternelles Services la personne FNASS Fonds National d Action Sanitaire et Sociale Association paritaire et pluraliste gestionnaire de l action sociale des personnels territoriaux depuis 1966 par une cotisation vers e par l employeur Social Sant ADEF RESIDENCES Acteur reconnu dans l accueil et l accompagnement de personnes en situation de d pendance depuis plus de 20 ans qui uvre aupr s des personnes g es et handicap es pour leur offrir un cadre de vie c
38. mentaire de retraite mutualiste des lus locaux GMF ASSURANCES 1 re mutuelle d assurance des agents du service public GROUPAMA 1 assureur des collectivit s avec plus de 50 des collectivit s assur es HARMONIE MUTUELLE Premi re mutuelle de France Harmonie mutuelle prot ge plus de 4 5 millions de personnes INTERIALE Mutuelle de r f rence de la Fonction Publique Gr ce ses connaissances m tiers son offre Sant amp Pr voyance garantit une protection sociale optimale aux agents des collectivit s territoriales IPSEC Con oit des r gimes collectifs de protection sociale pour couvrir tous les besoins des agents et de leur famille MAIF Premier assureur du monde associatif des tablissements publics dont tablissements scolaires Elle assure d sormais les petites communes MGS MUTUELLE GENERALE SANTE Sp cialiste de la protection sociale affili e la Mutualit Fran aise elle est reconnue par 1000 entreprises adh rentes r parties tant en secteur public que priv et en particulier dans les collectivit s locales MUT EST Sp cialiste de la fonction publique territoriale depuis plus de 65 ans protection sociale des agents territoriaux MUTAME R seau de mutuelles cr es par des territoriaux pour des territoriaux MUTUELLE GENERALE DES CHEMINOTS Mutuelle sant MUTUELLE NATIONALE TERRITORIALE 1 mutuelle de la fonction publique territoriale SOFAXIS Interlocuteur de r f rence des d cideurs loc
39. ments constituent des flux d informations qui r pondent la triple mission de Promotion de la ville la municipalit et les services municipaux Pr sentation l environnement conomique de la ville et un annuaire des professionnels R alisation de v ritables fonctions de service en ligne pour les administr s comme pour les visiteurs d passant les fronti res de la ville Communication de promotion communication inter villes communication locale communication de services etc Tous ces l ments constituent le Bouquet de Services en Ligne de la Ville cr ant ainsi la Mairie En Ligne L outil au service des usagers Mis en place par la collectivit locale territoriale ou administrative les nouveaux outils de communication utilisent les technologies Internet et permettent de fournir aux usagers un service public am lior par la simplification des relations avec l Administration l acc l ration des traitements et des proc dures une meilleure qualit des services notamment la disponibilit 24h 24 Ainsi la d claration de revenu sur Internet ou la demande de formules administratives par les outils de navigation Web simplifient les relations avec Internet La pr sence de conseillers virtuels pouvant r pondre dans des forums de discussions permet galement de cr er des services innovants personnalis s au service des administr s L outil de travail Internet Intranet Le d veloppement des services interacti
40. nagement du c ur de ville amp de sa p riph rie La valorisation du patrimoine et la s curit des biens amp des citoyens L mergence des b timents intelligents L accompagnement des nouvelles technologies que ce soit dans le d veloppement des territoires num riques ou la transition nerg tique e 11h30 12h30 Pavillon 2 1 Salle de r union Conf rence EMPLOIPUBLIC FR et RANDSTAD en partenariat avec la GAZETTE DES COMMUNES Les enjeux RH pour demain Depuis 2010 le barom tre RH des collectivit s locales est l tude de r f rence sur l volution des besoins des effectifs et des dispositifs de gestion des ressources humaines territoriales Il identifie les pratiques rep re les tendances du march et claire les enjeux venir e 13h00 14h00 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence AGENCE BIO L agriculture biologique dans les dynamiques de d veloppement territorial retours d exp riences et perspectives L Agence BIO pr sentera l actualit de l agriculture biologique en France avec l volution de l offre de produits bio et un clairage sur les principaux outils disponibles Des repr sentants de collectivit s territoriales et d acteurs de la restauration collective partageront leurs exp riences et pr senteront la dynamique de d veloppement des fili res bio dans leurs territoires e _16h30 17h30 Pavillon 2 1 Village Territorial Conf rence ASSOCIATION MODE D EMPLOI COURRIER DES MAIRES e
41. neige depuis 1990 Prix Ludique des PROFESSIONNELS DES AIRES DE JEUX ANNECY met en place des tudes d mographiques et sonde ses habitants avant et apr s la r alisation de ses projets pour mettre en uvre une politique globale en faveur de la participation des enfants des activit s ludiques de plein air Cette ad quation entre les besoins mesur s et exprim s permet d organiser une r partition spatiale des quipements coh rente et d en augmenter leur attractivit Prix LAFUMA Trail Running CHAVILLE accompagne ses habitants dans tous leurs objectifs de pratique du sport La ville enregistre un nombre de licenci s en progression constante aux sports de nature parmi lesquels la discipline du trail running est largement pl biscit e d un point de vue p dagogique travers une initiation la course nature d s l cole primaire de l animation avec l organisation du trail du Muguet et une mont e en puissance r guli re 170 participants en 2010 800 en 2013 et de la forte implication dans l Ecotrail de Paris de l esprit de la discipline avec des actions de pr servation de l environnement en faveur de l ONF Prix AGORESPACE Multisports CREIL promeut les pratiques auto organis es Elle s organise pour r pondre aux besoins de la population gr ce la mise en place de consultations r guli res questionnaires et tudes de satisfaction qui lui permettent de coller au plus pr s des attentes de ses administr s
42. oui comment la concevoir e _10h30 12h00 Pavillon 2 1 Village Territorial Club March s Troph e de la Commande Publique C r monie de remise du Prix de l Ethique 2013 Le Prix de l thique r compense une personnalit pour son engagement dans la d fense des valeurs fondamentales pour notre R publique la tol rance le respect des libert s individuelles la solidarit l galit devant le service public la d fense de l int r t g n ral Thierry MARX laur at du Prix 2012 et pr sident du jury 2013 remettra ce Prix SPORT LOISIR TOURISME amp CULTURE MARDI 19 NOVEMBRE 2013 e 9h00 12h00 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence FEDERATION FRANCAISE DE CYCLOTOURISME Tourisme et d placements v lo les collectivit s locales au c ur du d veloppement La F d ration fran aise de cyclotourisme vous pr sente tous les outils disponibles pour d velopper votre politique de d placements v lo dans le cadre du plan national v lo Il sera notamment question des itin raires cyclables en France lien d avenir entre les territoires mais aussi des am nagements et de l accueil pour le v lo dans les communes La matin e sera conclue par la signature des derni res Villes v lotouristiques labellis es e _11h00 12h00 Pavillon 5 1 Salle 51 Conf rence FEDERATION FRANCAISE DE RUGBY Le projet grand stade le nouveau r glement des enceintes sportives e 14h00 15h30 Pavillon 5 1
43. soci tal pour tous les acteurs publics et priv s Face l accroissement d mographique des s niors et l allongement de la dur e de vie les pouvoirs publics misent sur le maintien domicile des personnes g es Consid rant que 85 des personnes de plus de 60 ans vivent dans un logement priv le d fi court terme est de r habiliter les logements en adaptant l habitat aux contraintes et pratiques des s niors d finies lors d un diagnostic habitat mobilit 28 millions de logements seraient concern s Une v ritable r flexion est en cours pour appr hender les besoins des s niors en anticipant l int gration d quipements et ou normes dans la construction et profiter de l impulsion de la loi sur le handicap PMR fix e 2015 pour mutualiser les travaux Cette mutation d mographique oblige les collectivit s penser de nouvelles organisations de la ville durable et citoyenne en imaginant des quartiers interg n rationnels des villes intelligentes associant des services la personne et des technologies telles que la domotique C est autour de ces sujets que les collectivit s acteurs sociaux et professionnels du b timent se rejoindront pour partager leurs retours d exp riences et leurs projets e 10h00 11h30 Pavillon 2 2 Salle 22 Atelier technique Risques naturels comment organiser la pr vention et la coordination entre tous les acteurs Outils et m thodes La journ e internationale de la pr vention
44. veloppent des politiques volontaristes pour promouvoir l activit physique et sportive sur leurs territoires Les villes labellis es pour une dur e de 3 ans Ajaccio Annecy Aulnoy lez Valenciennes Baume les Dames Billere Castelnau le Lez Chang Chaville Courbevoie Creil Fontaine les Dijon La Garde La Grande Motte Le Trait Liverdun Ludres Maromme Mers les Bains Montigny le Bretonneux Montr vain Noyelles Les Vermelles Olivet Orl ans Petite Foret Pont Mousson Puteaux Rosny sous Bois Saint Gaudens Saint Martin d Uriage Saint Gilles Croix De Vie Saint S bastien sur Loire Saumur Sca r Schiltigheim Strasbourg Ussel Val de Reuil V nissieux Villerupt Les prix r compensent parmi les collectivit s territoriales labellis es celles qui m nent des actions dans des domaines sp cifiques 6 prix sont d cern s cette ann e E Prix FIFAS Ville ACTIVE de demain LUDRES a t choisi par le jury pour sa vision prospective sa gestion dans la dur e et son innovation qui permettront demain sa population de pratiquer en toute libert sur des infrastructures adapt es accessibles et anim es E Prix FIFAS ANMSM D couverte neige NOYELLES LES VERMELLES permet chaque ann e aux l ves de la classe de CE2 de partir en classe de neige Le s jour d une dur e de 10 jours est organis dans diff rentes stations de ski Cette commune de 2300 habitants aide financi rement l organisation des classes de
45. 07 5 millions d euros entre 2014 et 2015 Ces programmes n ont pas n cessairement vocation tre d velopp s de mani re synth tique dans tous les territoires mais doivent tre mobilis s en fonction des probl matiques identifi es localement Ils seront financ s par le Fonds interminist riel de pr vention de la d linquance FIPD qui soutiendra en priorit des actions inspir es par les bonnes pratiques locales r f renc es et qui seront diffus es l ensemble des acteurs Au total cette strat gie mobilisera pas moins de 107 5 millions d euros entre 2014 et 2015 auxquels s ajoutent les 56 5 millions d euros d j engag s en 2013 le tout tant compl t par les cr dits d autres minist res et ceux des collectivit s La strat gie traduit ce titre une inversion des priorit s par rapport au pr c dent plan le financement de la vid oprotection qui repr sentait auparavant jusqu 58 des cr dits du FI est ramen un tiers la vid oprotection fait partie des actions relatives la tranquillit publique Calendrier et modalit s de mise en uvre Le document pr cise enfin le calendrier et les modalit s de mise en uvre de la strat gie Les nouveaux plans d partementaux doivent entrer en vigueur avant la fin de l ann e 2013 Ils d finiront localement pour le reste de la mandature jusqu en 2017 le cadre de la politique du gouvernement en mati re de pr vention de la d linquance
46. 2013 Fiche 1 Le Salon des Maires et des Collectivit s Locales 2013 mode d emploi temps forts et chiffres cl s Organis par le Groupe Moniteur en partenariat avec l Association des maires de France AMF qui tiendra en parall le son congr s annuel le Salon des Maires et des Collectivit s Locales est le rendez vous national annuel des acteurs de la commande publique de leurs partenaires institutionnels et des prestataires sp cialis s dans la gestion les services l am nagement et le d veloppement des collectivit s territoriales Le Salon des Maires 2013 en chiffres 4 pavillons d exposition 11 secteurs d exposition 55 400 m2 10 ateliers techniques 760 exposants 73 conf rences exposants 57 000 visiteurs attendus 7 remises de prix Pour r pondre au mieux aux besoins et demandes des collectivit s locales le Salon des Maires 2013 est structur en 11 secteurs permettant aux visiteurs de cibler leurs recherches Am nagement urbain 15 8 des Informatique T l communications 7 8 exposants Institutionnel Finances et Services B timent Travaux publics Voirie 14 7 11 2 Mat riels Transports V hicules 6 3 D veloppement conomique 2 3 Pr vention S curit 4 Edition Presse Communication 4 3 Sport Loisir Tourisme Culture 13 5 Enfance Sant Social 6 7 Environnement Energie 13 4 Les temps forts du Salon des Maires 2013 Le
47. 21 Conf rence VOXYGEN Vocalisation ouvrir l acc s l information des populations illettr s ou mal voyantes La plus grande partie de l information des collectivit s est diffus e sous forme crite Ce m dia exclut toute une partie de la population qui serait plus r ceptive une communication par oral Voxygen met sa technologie innovante 100 fran aise au service d une solution automatis e qui permet de lire voix haute des pages Web avec une souplesse de navigation Les voix expressives naturelles propos es trouvent galement des applications dans toute la diffusion d informations d une collectivit e 13h45 14h45 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence ERDF Smartcity et gouvernance collaborative L arriv e simultan e du num rique des NTIC des nouveaux usages et des nergies renouvelables impose une modification structurelle du r seau public de distribution et de son mode de conduite Quels d fis doivent relever ERDF et les collectivit s pour soutenir le dynamisme local impuls par ces derni res et pour r pondre aux attentes des concitoyens e _15h00 16h00 Pavillon 2 3 Salle Uranus Conf rence Association Fran aise du Multim dia Mobile AFMM Etats des lieux des solutions de paiement mobile pour le stationnement en voirie Les communes en France sont de plus en plus nombreuses offrir aux automobilistes la possibilit de r gler sa place de stationnement avec son t l phone mobile Mulhouse St
48. DERATION DES CONSEILS DES CHEVAUX ET OU EQUIDES La fili re cheval repr sente un ensemble vaste et complexe qui regroupe plusieurs secteurs aux caract ristiques vari es Ils sont aujourd hui regroup s en r gion au niveau des Conseils des Chevaux et ou des Equid s et de la f d ration pour permettre aux institutions publiques d avoir un interlocuteur unique Grande surface alimentaire GROUPE LOUIS DELHAIZE Enseignes de distribution dominante alimentaire du groupe Louis Delhaize au travers de ses enseignes CORA sp cialis e dans le format hypermarch s et Supermarch s Match sp cialis e dans la distribution de proximit L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Edition Presse Communication Fiche 7 Journaux officiels Internet et supports digitaux outils de la communication locale Aujourd hui la ville et les collectivit s locales se doivent d offrir leurs administr s des solutions d acc s au r seau Internet Elles doivent permettre leurs administr s de communiquer avec les r seaux mondiaux d acqu rir les comp tences n es de l usage des nouvelles technologies et soutenir des initiatives locales Internet et Intranet outils de communication et de coh sion Internet Intranet Extranet sont des outils de communication qui ont le formidable pouvoir de permettre l usage des supports de communication quotidiens le texte l image le son la vid o principalement Ces l
49. ECKNISOLAR SENI Panneaux de signalisation lumineux et dispositifs d clairage autonomes par nergie solaire fonctionnant hiver comme t TRAFIC Feux de signalisations tous domaines Panneaux leds Signalisation des v hicules Radars p dagogiques VIA TRAFFIC CONTROLLING Fabricant de d tecteur volum trique doppler panneau cin mom tre compteur de trafic Stationnement STATOS Gestion du stationnement de courte dur e ABRI ECO ENERGIE Infrastructures de recharge des v hicules lectriques abri solaire parking solaire parking photovolta que abri toit photovolta que station de charge station de recharge lectrique pour voiture v lo ou scooter lectrique abribus toit photovolta que point avec borne et banc de recharge lectrique PENTAIR SCHROFF Nouvelle plate forme modulaire baptis e Park2Power qui propose des solutions de charge innovantes L actualit des Collectivit s Locales en mati re de B timent Travaux publics Voirie Fiche 5 Obligation d inventaire et renouvellement urgent des r seaux amp Guichet unique de D claration de Travaux Le d ploiement de la r forme de la pr vention des endommagements de r seaux vot e en 2010 dans le cadre de la loi Grenelle 2 est bien engag Cette r forme touche les exploitants de r seaux les ma tres d ouvrage les ex cutants de travaux et les gestionnaires du domaine public et expose tr s fortement les communes et leurs EPCI sur l
50. FLORY Cr ateur et confectionneur de v tements d image de v tements de travail d uniformes et de linge PROMO COLLECTIVITES Fabricant d uniformes police municipale et autres services fournisseur d accessoires se rapportant la tenue mat riel de d fense quipement v hicule Incendie mat riel RCY Proposant de nombreuses applications en textile technique quatre sp cialit s es barrages anti inondation les barrages antipollution les citernes souples incendie et les tentes de secours gonflables Radiocommunication Protection du travailleur isol TOWERCAST D s 1986 TowerCast proposait une offre compl te de diffusion FM partir de ses propres infrastructures 25 ans plus tard forte d un patrimoine de pr s de 500 sites et d un savoir faire technologique reconnu TowerCast affirme cette expertise sur trois march s majeurs Radio T l vision TNT et Interconnexions Vid oprotection T l surveillance ONET SECURITE S curit humaine Ing nierie et formation Accueil S curit lectronique Vid oprotection T l surveillance L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Sport Loisir Tourisme Culture Fiche 14 Equipement sportif les communes et les intercommunalit s en premi re ligne Il n est plus besoin de d montrer que l intervention des collectivit s territoriales est capitale dans l organisation du sport en France Premier financeur public les
51. Le CLSPD adaptera le nouveau plan d partemental aux sp cificit s du terrain et arr tera un plan local d actions de pr vention de la d linquance int gr au contrat local de s curit ou la strat gie territoriale de s curit et de pr vention de la d linquance Ce plan local fera l objet d une contractualisation entre le maire le pr fet le procureur de la r publique et si possible le pr sident du conseil g n ral Ensuite il sera laiss l appr ciation et l initiative des acteurs locaux le soin de d terminer s il y a lieu de d cliner ou non un niveau infra communal pr cise la strat gie Un groupe op rationnel pourra tre constitu pour chacun des trois programmes d action Dans les ZSP cette mission est d j remplie par les cellules de coordination op rationnelle du partenariat Pour chaque groupe les changes d information se font dans le respect du cadre l gal et des r gles d ontologiques propres chaque profession concern e La charte d ontologique du CLSPD en d limitera les contours Vers une police territoriale Dans un rapport pr sent en octobre 2012 deux s nateurs ont propos de cr er une police territoriale englobant polices municipales gardes champ tres et agents de surveillance de la voie publique Les deux s nateurs ont sond les 3 935 communes ou intercommunalit s dot es d une police ou de gardes champ tres et ont obtenu pr s de 50 de r ponses
52. Les rapporteurs constatent une v ritable explosion du nombre de polices municipales en France au cours des 25 derni res ann es Elles sont pass es de 5 600 agents en 1984 plus de 18 000 aujourd hui Il n y a pas une police mais des polices a soulign Fran ois Pillet cet gard L ensemble rev t en effet une tr s grande diversit avec des polices allant d un agent plus de 500 pour les plus grosses comme Lyon et Nice dont la police comporte 578 agents dont 353 policiers municipaux avec des missions tr s larges qui les rapprochent parfois de la police nationale Au fil des ans les missions ont volu les missions traditionnelles de proximit perdent du terrain les pouvoirs judiciaires des agents de police municipale se d veloppement au risque d une confusion avec ceux des forces nationales Pour rem dier ce qu il nomme une crise d identit de la profession le rapport a propos d englober policiers municipaux gardes champ tres et agents de surveillance de la voie publique ASVP sous un seul et m me uniforme la police territoriale avec un statut unique Le rapport met par ailleurs en lumi re une rupture de l galit des territoires De fait la r partition des polices municipales est tr s concentr e dans le Sud la r gion parisienne mais aussi le Nord Pas de Calais 812 agents et l Alsace 733 La palme revient la r gion Paca qui totalise 3 745 agents La mission s natoriale encourage galeme
53. MA BTP Le Moniteur et Accenture Sept Troph es des Travaux Publics seront remis aux entreprises de TP pr sentant les meilleures pratiques de la profession en mati re de sant au travail d usage des ressources naturelles d acceptabilit des projets d innovation concernant les processus mat riels les proc d s et techniques la recherche les nouvelles technologies num riques e 14h15 15h15 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence ADEME Comment conjuguer urbanisme et d veloppement durable sur le Grand Paris Cette table ronde permettra notamment de d battre du d veloppement durable d velopp dans les projets urbains avec un responsable de l ADEME un urbaniste et un consultant d veloppement durable e 15h30 16h30 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence F d ration Nationale des Travaux Publics FNTP Ecochantier vers un nouveau type de march s publics Les exigences d acceptabilit par les riverains et de performance environnementale impactent les politiques d achat de travaux des collectivit s territoriales La coop ration entre les ma tres d ouvrages et les entreprises en particulier dans la pr paration du chantier permet l mergence de solutions L Ecochantier fait bouger les lignes et interroge les formes contractuelles Au travers des t moignages d lus et de repr sentants d entreprises cette conf rence pr sentera un panorama de ces questions Conf rence en partenariat avec l association de
54. Mand Boulogne Issy Les Moulineaux et plus r cemment S vres La Ville de Paris pr voit le d ploiement de ce service pratique d but 2014 L AFMM propose de revenir sur les enjeux du paiement du stationnement avec son mobile ainsi que sur les moyens de paiement associ s ce service et l exp rience utilisateur qu ils proposent MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 e 10h15 11h15 Pavillon 2 3 Salle Uranus Conf rence WATCHGUARD Utilisation abusive d internet Facebook Ultrasurf jeux comment garder le contr le L utilisation abusive d Internet pose des probl mes de bande passante et de responsabilit L obligation de veille sur l acc s Internet afin d emp cher les actes de contrefa on rend la mise jour de votre charte Informatique et la mise en place de dispositifs techniques indispensables A l issue de la pr sentation il vous sera remis un guide des bonnes pratiques pour la charte Informatique r dig par le cabinet d avocats FIDAL e 11h30 12h30 Pavillon 2 3 Salle Uranus Conf rence ORANGE BUSINESS SERVICES Orange et la ville intelligente retours d exp riences de collectivit s locales sur les services aux citoyens Les r seaux d Orange sa capacit exploiter les donn es proposer des services d mat rialis s et mobiles sont au c ur de la transformation des villes Dans un cosyst me riche mais tr s fragment Orange en tant qu op rateur int grateur est un acteur pivot sur lequel les villes
55. N DES DISTRIBUTEURS D EAU INDEPENDANTS Regroupe la quasi totalit des entreprises priv es ind pendantes sp cialis es dans la gestion d l gu e des services publics d eau et assainissement LYONNAISE DES EAUX Production et distribution de l eau potable Assainissement des eaux us es et pluviales ONEMA et les AGENCES DE L EAU Etablissements publics nationaux sous tutelle du minist re en charge du d veloppement durable qui mettent en uvre la politique nationale de l eau et des milieux aquatiques SAINT GOBAIN PAM Solutions compl tes de canalisations SAFEGE Depuis plus de 65 ans SAFEGE accompagne ses clients dans l am nagement durable de la ville et du territoire Ing nierie pluridisciplinaire SAFEGE intervient dans les domaines de l eau et des infrastructures hydrauliques de l environnement et des d chets des infrastructures urbaines et de transport et des nergies et t l communications SAUR Gestion des services d eau et d assainissement SUEZ ENVIRONNEMENT Production et distribution d eau potable collecte et traitement des eaux us es Traitement et limination des d chets propret urbaine r habilitation des sites Electricit DIRECT ENERGIE Couvre tous les m tiers de la fourniture la production en passant par la distribution d lectricit et de gaz pour tous les clients particuliers professionnels et collectivit s locales EDF Int grant tous les m tiers de l lectricit de la pro
56. Syst me d alerte piscine HSB FRANCE Construction ou r novation de bassins de piscines publiques couvertes ou de pleins airs ludiques ou sportifs MAYTRONICS MG INTERNATIONAL Fournisseur de solutions pour l entretien et la s curisation des piscines priv es et publiques TECHNOX Conception et construction d quipements ludiques pour parcs d attraction et piscines toboggans et pentaglisses en inox planchers ailerons pour piscines TOPSEC EQUIPEMENT Distributeur automatique d articles de natation en D p t Gratuit ZELLER FRANCE Construction et r novation de piscines publiques en Inox Promotion touristique ARTCODE Agence sp cialis e dans la cr ation d applications mobiles pour smartphones et tablettes notamment pour le secteur du patrimoine et du tourisme ATOUT FRANCE Agence de d veloppement touristique de la France uvre pour le maintien de la comp titivit de la destination France et met ses comp tences au service des entreprises collectivit s et institutionnels pour les aider concr tiser leurs projets d investissement et accro tre leur attractivit TECHNIVUE Soci t innovante d imagerie a rienne par drones Valoriser les applications techniques des collectivit s sig et l attractivit des territoires Sols Sportifs EUROFIELD Producteur de gazons synth tiques destin s la pratique sportive et aux am nagements paysag s FORBO FLOORING Leader mondial du linol um gamme de sol
57. ans le domaine du radar AXIMUM Expert de la s curit et de la gestion du trafic sur tous types de voies voies rapides routes d partementales et voies urbaines DATACOLLECT TRAFFIC SYSTEMS GMBH Fabrication d veloppement et commercialisation de radars p dagogiques compteurs trafic d tecteurs de contact pour les deux roues et de leurs applications logicielles ELAN CITE Con oit et fabrique en France des radars p dagogiques EMAILLERIE RHENANE Signalisation et d coration en email HICON FRANCE Fabricant de signalisation de police et de signalisation temporaire certifi es r alisation de signal tique de rue et de zone d activit s marquage au sol panneaux afficheurs de vitesse LACROIX SIGNALISATION Signalisation routi re statique et dynamique signal tique mobilier urbain gestion et r gulation de trafic portiques et potences prestations de services pour la pose de mat riel et le balisage de chantier MAGYS Mesure non intrusive du trafic routier vid osurveillance autonome transmission sans fil information aux usagers SEA SIGNALISATION Offre globale d quipements d di s la s curit la gestion et l optimisation des carrefours feux tricolores signaux contr leurs syst mes associ s et logiciels SIGNALITE Produits de signalisation routi re tude de projet de signalisation sp cifique SIGNAUX GIROD Solutions globales de signalisation et d am nagement des espaces routiers et urbains T
58. anvier 2013 Dans les faits beaucoup de cimeti res comportent d j un espace cin raire depuis plusieurs ann es Avant cette loi l absence d un v ritable statut pour les cendres des d funts le fait que des familles conservaient souvent les urnes domicilie ainsi que le d veloppement des sites cin raires aux abords des cr matoriums tout cela a pu conduire ne pas am nager de site cin raire dont le co t sans tre insupportable ne pouvait passer inaper u dans le budget communal surtout pour une petite commune La loi a en effet balay un certain nombre d incertitudes D une part elle a conf r un statut juridique aux cendres des d funts Qualifi es de restes mortels elles sont totalement assimil es la d pouille du d funt ce qui n tait pas le cas auparavant D autre part la loi a encadr la destination des cendres en pr voyant que celles ci sont d pos es ou dispers es dans le cimeti re ou encore dispers es en pleine nature sauf sur les voies publiques L obligation pour les villes ou les intercommunalit s comp tentes dans le domaine des cimeti res de disposer d un site cin raire s ajoute ces r gles fondamentales La loi a donc ent rin la progression fulgurante au cours des derni res ann es de la cr mation comme mode de s pulture Alors que celle ci ne repr sentait que 0 4 des d c s en 1979 elle a concern plus de 32 des d funts en 2011 avec des chiffres bien sup rieurs
59. ati re d Informatique T l communications Cadastre SIG Cartographie BUSINESS GEOGRAFIC Editeur sp cialis dans la fourniture d applications cartographiques m tiers consultation mise jour aide la d cision en environnement Web INFO TP Conception de logiciel saisie de donn es mise en service et formation SIG ORDRE DES GEOMETRES EXPERTS Le g om tre expert accompagne les lus pour les op rations d am nagement urbain et rural les documents d urbanisme les travaux cadastraux les VRD la d termination des droits affect s la propri t D mat rialisation ACHATPUBLIC COM leader en France dans le domaine des services aux acheteurs publics avec plus de4 000 clients du secteur public et collectivit s locales exerce dans 3 grands domaines d activit les services couvrants la cha ne de l achat public l information et les formations professionnelles CERIG Editeur de logiciels pour collectivit s publiques certifi e qualit AFAQ Iso 9001 E Administration ARPEGE D veloppe et commercialise une gamme de logiciels attach s aux m tiers de gestion de la population et interconnect s avec des services en ligne CERTU Le Certu est un centre de ressources technique et scientifique sur l am nagement durable de la ville et des territoires Il value et valorise les savoir faire labore des m thodes et des outils diffus s notamment par le biais de ses productions ditoriales INEXINE Consei
60. ation de la qualit de lair impacts sur la sant publique et sur le prix des nergies la mobilit durable demeure une vraie pr occupation pour les collectivit s locales A l chelle de leur agglom ration ou de leur commune les lus sont confront s des choix techniques et conomiques de court terme mais doivent aussi pr parer lavenir Gr ce aux t moignages des repr sentants de Toulouse Nantes et Quimper nous reviendrons sur la place du GNV gaz naturel v hicule dans la politique de ces territoires et les perspectives d avenir avec l int gration d nergies renouvelables dans les transports gr ce au biom thane carburant e 15h45 16h45 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence GLOBAL WIND POWER Participation des acteurs locaux au financement de l olien quelles synergies partenariales La transition nerg tique repose en partie sur la capacit des territoires accueillir des moyens de production d centralis s La fili re olienne constituera terme une part significative du bouquet lectrique fran ais La participation locale au financement des projets oliens donne la possibilit aux acteurs des territoires de s impliquer de ma triser de b n ficier des retomb es conomiques li es l exploitation de l nergie du vent Comment faciliter l engagement des collectivit s locales et des citoyens Les enjeux les moyens Retours d exp riences en France et en Europe e 16h15 18h30 Pavillon 3
61. aux en mati re de protection sociale de gestion des ressources humaines et de performance publique Mat riel m dical DEFIBCALL Solution unique et globale de d fibrillateur op rationnel et connect DEFIBTECH Fabricant et distributeur de D fibrillateurs Automatis s Externes LAERDAL MEDICAL D fibrillateurs Automatis s Externes Philips leader mondial Formation aux gestes qui sauvent Mannequins de formation au massage cardiaque et bouche bouche grand public et secouristes SCHILLER FRANCE Fabricant fran ais et distributeur de d fibrillateurs automatis s externes leader en cardiologie depuis 35 ans Enfance Education BOT APIS Equipement jeux jouets mobiliers aires de jeux mat riel de motricit et de sport pour enfants CAP ENFANTS Cr ation et gestion de cr ches pour les entreprises et collectivit s P dagogie qui utilise la musique et l ouverture aux cultures comme fil conducteur pour l veil de l enfant CRECHES DE FRANCE Sp cialis en cr ation et gestion d tablissements petite enfance HABA FRANCE Mobilier en bois Partenaire incontournable dans l quipement des lieux d accueil petite enfance pour les petits la cr che RAM ou halte garderie et les plus grands l cole maternelle ou centre de loisirs LEA ET LEO Cr ateur et Gestionnaire de cr ches d entreprises et de collectivit s MATHOU CREATIONS Fabrique de mobilier pour cr ches halte garderie maternelles centres de
62. aux sociaux Facebook Twitter est pass entre mars 2012 et mars 2013 de 56 7 72 7 soit une belle augmentation annuelle de 28 2 Les collectivit s locales doivent int grer les r seaux sociaux comme un l ment de la r alit des pratiques des citoyens au c ur de leurs strat gies de communication affirme l tude bas e sur une ann e mars 2012 mars 2013 d analyse quantitative et qualitative aupr s des comptes officiels Facebook et Twitter de 176 collectivit s territoriales 50 villes 100 d partements 26 r gions Est il encore possible pour une collectivit de se passer des r seaux sociaux quand 75 des citoyens fran ais sont des internautes Moyens privil gi s de communication en termes de r activit et de proximit les r seaux sociaux sont souligne l tude une opportunit de construire le vivre ensemble pour les collectivit s qui semblent s en saisir bras ouverts Ainsi 39 des 50 grandes villes fran aises 55 d partements sur 100 et 22 r gions sur 26 se retrouvent sur les r seaux socionum riques 71 de ces collectivit s ont la fois un compte sur Twitter et sur Facebook L tude qui se pr sente comme un v ritable guide de l tat de l art de ces nouveaux usages qui condense un an d valuation et de r sultats rapporte que le nombre de fans internautes inscrits sur les comptes Facebook des collectivit s est galement en pleine expansion Paris Grenoble et Clermont Ferrand sont dans
63. ball 10 12 2 points P che 7 9 2 points Sports de boules 14 13 non significatif Tennis 8 6 2 points Source enqu te pratique physique et sportive 2010 CNDS direction des sports INSEP MEOS et enqu te MJS INSEP 2000 Cit es plus de 80 des pratiquants les motivations principales pour la pratique sont le contact avec la nature la convivialit rencontre avec les autres plaisir d tre avec ses proches amusement et d tente et la sant bien tre exercice et entretien physique tre bien dans sa peau Les motivations plus physiques sensation engagement et d pense physique sont en g n ral moins cit es que les pr c dentes On estime 250 an les conomies en mati re de sant g n r es dans les comptes de la S curit Sociale par une personne pratiquant r guli rement une activit physique 7 Enqu te Pratique physique et sportive 2010 CNDS Direction des sports 39 Villes Ludiques amp Sportives en 2013 et 5 Prix d cern s l occasion de la c r monie de r compense organis e sur le Salon des Maires mercredi 20 novembre 2013 de 18h 19h sur le Village Territorial au Pavillon 2 1 Co organis s par la FIFAS et le Groupe Moniteur sous le Haut Patronage du Minist re des Sports de la Jeunesse de l Education Populaire et de la Vie Associative le Label Ville ludique et sportive a pour objet de valoriser et r compenser les collectivit s territoriales qui d
64. baptis pass entreprise Le d partement de SEINE SAINT DENIS s est hiss la deuxi me marche du podium en mettant en place une politique globale de performance achat pour ses march s de logistique et de travaux qui prend en compte le d veloppement durable s Tourn e aussi vers un objectif de performance et de management de l achat public la ville de SAINT OUEN a gagn le troisi me prix du concours pour la mise en place de fiches qualim triques ax es sur le suivi de la qualit des prestations le respect des imp ratifs contractuels l valuation objective des fournisseurs et l incitation syst matique la n gociation La ville de LANNION a remport pour sa part le troph e dans la cat gorie des petites structures pour son action en faveur de lachat bio dans les cantines scolaires participant la lutte contre la prolif ration des algues vertes qui s vissent sur son territoire Pour plus d informations Sandrine DYCKMANS Chef de Rubrique achatpublic info Pr sidente du jury sandrine dyckmans achatpublic com 06 62 83 77 01 L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Am nagement urbain Eclairage urbain Fiche 4 Eclairage public d veloppement des quipements cin raires et ville intelligente Le d veloppement durable enjeu permanent de l clairage public Depuis les premi res lanternes d pos es au XVI si cle devant quelques portes et fen tres parisiennes
65. c dure sp cifications techniques art 6 conditions d ex cution art 14 march s r serv s art 15 renseignements fournis par les candidats art 45 crit res d attribution et droit de pr f rence art 53 Il est galement possible de prendre en compte le co t global d utilisation ou les co ts tout au long du cycle de vie des prestations travaux fournitures services faisant l objet du march dans les crit res d attribution des march s art 53 L article 53 introduit dans les crit res d attribution les performances en mati re d approvisionnements directs des produits de l agriculture Les march s li s un niveau d atteinte de performance environnementale sur la dur e sont pr vus par les articles 37 et 73 L article 75 contient des dispositions sp cifiques aux performances environnementales des v hicules moteurs Depuis 2008 cet enjeu a fait l objet de travaux sp cifiques dans le cadre du Grenelle Environnement Un comit op rationnel a trait de la question des achats publics dans les services de l Etat Il en est r sult une d marche d exemplarit pour les administrations Les acheteurs publics ont leurs dispositions plusieurs sites de ressources pour les aider int grer des crit res environnementaux et favorables au d veloppement durable gt Le site du Groupe d tude des march s D veloppement durable rattach l Observatoire conomique de lachat public propose une s rie de guide
66. cadre de l enveloppe de 20 milliards de pr ts sur fonds d pargne d cid e par le gouvernement soit le taux du livret 1 jusqu au 31 juillet 2014 e Les op rations de r novation urbaine et le programme d investissements d avenir sur la ville durable int greront l accessibilit Les 450 millions d euros consacr s l appel projet Transports collectifs et mobilit durable sont conditionn s la satisfaction des r gles d accessibilit Par ailleurs la nouvelle g n ration de contrats de plan Etat r gion int grera les enjeux de l accessibilit dans les transports Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Enfance Sant Social Le secteur Enfance Sant Social repr sente 6 7 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Accessibilit Aide et maintien domicile Assurance Mutuelle Pr voyance Enfance Education Fournitures g n rales Achat Foyers r sidences Maisons de retraite Maisons m dicalis es Mobilier scolaire Restauration collective Services la personne Social Sant T l assistance Vous retrouverez ces exposants dans le Pavillon 2 1 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re d Enfance Sant Social Assurance Mutuelle Pr voyance CAREL R gime compl
67. cales applicables d s 2014 Une attention particuli re sera port e la mise en coh rence des politiques publiques en s appuyant notamment sur le niveau r gional dans le cadre de la r gionalisation des fonds europ ens Le gouvernement souhaite aussi une am lioration de l efficacit du service public d eau et d assainissement passant par une optimisation des moyens et des co ts en rationalisant leur organisation notamment dans le cadre de la r forme pr vue dans le volet 3 des projets de loi de d centralisation II faut agir de fa on sp cifique dans les d partements d outre mer pour y am liorer les infrastructures d approvisionnement en eau potable et d assainissement via un plan DOM pluri annuel pr voit encore la feuille de route Enfin pour une meilleure application du principe pollueur payeur le gouvernement veut que la r flexion sur la fiscalit des ressources en eau engag e dans le cadre des travaux du sous groupe fiscalit des ressources en eau du Comit pour la fiscalit cologique soit poursuivie Un tiers des mangroves des outre mer sous protection Le volet biodiversit marine mer et oc ans de la feuille de route int resse tout particuli rement les territoires d outre mer Ceux qui le souhaitent pourront lancer l laboration de plans d actions prioris s pour le r tablissement du bon fonctionnement des cosyst mes marins et littoraux s inspirant de la m thode des plans d action pour l
68. certation en octobre 2013 L agenda d accessibilit programm e Ad AP pr conis par le rapport R ussir 2015 fera l objet d une concertation qui proposera le cadre national de ces Ad AP labor s ensuite au niveau local selon les sp cificit s de chaque secteur La concertation d finira aussi un dispositif de sanctions administratives financi res pour non respect des engagements pris dans le cadre des Ad AP L ajustement de l environnement normatif second chantier de concertation concernera les ERP la voirie et les transports Cette concertation s appuiera sur une s rie de rapports Les associations de collectivit s locales seront associ es cette concertation sous la pr sidence de Claire Lise Campion aux c t s de l Etat des associations de personnes handicap es des f d rations professionnelles etc Les conclusions devront tre rendues d ici fin janvier 2014 Elles permettront de compl ter et am liorer les dispositifs l gislatifs et r glementaires existants Quant la loi elle sera modifi e par ordonnance La Caisse des d p ts financera des projets de r novation lourde des ERP appartenant aux collectivit s locales la mise aux normes des infrastructures de transport et l acquisition de mat riel roulant adapt avec des pr ts allant de vingt quarante ans e Les investissements de tr s long terme b n ficieront de l abaissement temporaire de la tarification des pr ts accord s dans le
69. ces de 2015 doivent tre maintenues La s natrice estime que le report serait une erreur Claire Lise Campion qui avait t co auteure d un rapport s natorial cet t sur le m me sujet liste 40 propositions pour mobiliser et progresser et pour r ussir 2015 le titre de son rapport Parmi ces propositions des Agendas d accessibilit programm s pour les ERP existants Il s agirait de documents de programmation et de financement conclus d ici la fin 2014 et dont la mise en uvre pourrait s chelonner sur trois quatre ans voire plus Le rapport les assortit de deux conditions Une impulsion politique forte nationale et territoriale et l ajustement de celles des r gles qui apr s application se r v lent peu op rationnelles ou entra nent des co ts de mise en uvre excessifs S agissant de la voirie le rapport demande le maintien dans un premier temps de l aide technique des services d concentr s de l Etat et ensuite de confier la comp tence voirie des petites communes au niveau intercommunal Ce rapport a servi de base l laboration d un plan d actions gouvernemental valid lors du Comit interminist riel du handicap Vers une adaptation des normes d accessibilit Le comit interminist riel du handicap CIH r uni le 25 septembre a pr sent les r sultats du Point sur la mise en accessibilit tabli par la d l gation minist rielle
70. changement climatique Elle s accompagne de la recherche d une qualit de vie procur e par des ambiances lumineuses judicieusement r parties dans l espace public Les exigences sp cifiques de sant visuelle malvoyants personnes g es peuvent et doivent d sormais tre trait es de fa on plus pertinente Un tr s important potentiel de r duction des consommations En France 9 millions de lampes fonctionnent entre 3 500h an et 4 300h an pour une puissance install e d environ 1 260MW L analyse de l tat des lieux des installations confirm e par le Grenelle de l Environnement fait appara tre d importants besoins de r novations plus de la moiti du parc est compos e de mat riels obsol tes et nergivores La lampe vapeur de mercure est avec 50 lumens watt la moins efficace des sources d clairage public Elle quipe encore majoritairement les luminaires type boule qui clairent plus le ciel que la chauss et participent grandement la pollution lumineuse M me si l clairage ext rieur d une collectivit fonctionne 86 en heures creuses faible mission de CO celui ci participe la pointe de demande d lectricit en d but de soir e l hiver La majorit des installations doivent donc tre r nov es et des technologies efficaces sont disponibles le potentiel de r duction des consommations est norme Pour y parvenir il faut d sormais raisonner en co t global et au del de l investisse
71. concours des Prix de l Innovation du Salon des Maires 2013 r compensera les exposants du salon pr sentant un produit proc d mat riel syst me service ou technique novateur Le jury pr sid par Jacqueline GOURAULT S nateur Maire de La Chauss e Saint Victor 41 et compos de professionnels des collectivit s r compense dans chacune des 11 cat gories du salon les produits ou services les plus innovants Cette ann e 77 dossiers ont t re us Les visiteurs du salon pourront retrouver les laur ats et finalistes sur le plan de visite distribu aux accueils et aux points info du salon Les Troph es de la Commande Publique 7 dition qui ont pour vocation de r compenser les organisations soumises au Code des March s Publics ou l ordonnance du 6 juin 2005 Etat collectivit s h pitaux tablissements publics chambres consulaires qui cherchent am liorer l efficacit de leurs politiques d achat Remise des Prix Jeudi 21 Novembre 12h00 Salle 21 Pavillon 2 1 L application mobile Salon des Maires 2013 un nouvel outil qui permet e d avoir des informations sur les exposants et les animations du salon de s lectionner les exposants ou intervenants rencontrer de s lectionner les conf rences e de retrouver cette s lection dans l espace Ma visite e de localiser les exposants et d finir son parcours l aide du plan interactif e d tre inform en direct des v nemen
72. daires Photolight Curve Straight Lighty intelligents qui proposent des solutions hautes performances adapt es aux types de sites clairer Des solutions d clairage longue dur e 100 autonomes RAGNI Luminaires d clairage public et de mobilier urbain ROCH SERVICE Contr le de Conformit M canique des Ouvrages d clairage public Diagnostic photom trique Logiciel de gestion SOGEXI Equipementier de l Eclairage Public sp cialiste et leader fran ais de la connexion lectrique dans son environnement TECHNILUM Con oit et fabrique du mobilier urbain d clairage en aluminium TMC INNOVATION M ts d clairage public con us dans une logique d conomies d nergie Equipements lectriques BRM ENERGIE Etude et installation de chauffage d glise Mise aux normes des installations d lectricit et d clairage DBT Conception et fabrication de solutions de recharge pour les v hicules lectriques de bornes de distribution d nergie et de syst mes de contr le d acc s Conception et fabrication de transformateurs de courant pour la basse tension DEPAGNE Manufacture d appareillage lectrique pour la distribution ext rieure en basse tension HARTING D veloppe fabrique et vend des connecteurs lectriques et lectroniques des composants r seau ainsi que des solutions de c blage pour les r seaux ou les machines Equipements sc niques LA BOUTIQUE DU SPECTACLE Grossiste en quipements sc niques
73. dans les grandes villes Et le ph nom ne devrait s amplifier La lecture de certains sondages portant sur les intentions des Fran ais concernant leurs obs ques permet en effet de penser que la cr mation fera jeu gal avec l inhumation partir de 2030 Arr t du 25 janvier 2013 relatif l clairage nocturne des b timents non r sidentiels afin de limiter les nuisances lumineuses et les consommations d nergie Vers la ville intelligente Il n existe pas aujourd hui de ville intelligente Smart City gt proprement parler Cela dit l introduction des Technologie de l Information et de la Communication TIC dans la ville ouvre la voie de nouvelles fonctionnalit s de nouvelles mani res de g rer et de vivre la ville qui fa onneront les villes de demain Les objectifs de la ville intelligente se situent dans le prolongement de ceux de la ville durable et auront pour caract ristiques essentielles de Les conomies d eau l cr tement des p riodes de pointe dans la consommation d lectricit une consommation d nergie ma tris e gr ce aux dispositifs de mesure en temps r el une minimisation des pertes dues au vieillissement des r seaux etc Tous ces enjeux vont dans le sens d une optimisation de la gestion des ressources nerg tiques qui est un des objectifs principaux de la ville intelligente Ses modalit s de r alisation technique passent principalement par la mise en place de smart
74. dans une conomie mondialis e les territoires n ont d autre solution que de se d marquer les uns des autres pour attirer des investisseurs potentiels Les acteurs locaux engagent alors des politiques de marketing territorial qui reposent en grande partie sur leurs ressources patrimoniales Or chaque collectivit a son identit propre toutes sont diff rentes Chaque m thodologie de cr ation de marque doit donc tre adapt e son acteur et sa taille Marque territoriale d une ville et marque institutionnelle La cr ation et la mise en uvre d une marque territoriale l chelle d une ville ou d une agglom ration suscitent encore de nombreuses interrogations Souvent la d cision est prise de cr er ou relancer une marque territoriale et les quipes en charge de mettre en uvre cette orientation strat gique s interrogent parfois sur les points cl s aborder Voici quelques rep res pratiques Plus pr cis ment le marketing institutionnel ou public d une ville consiste promouvoir les activit s et services de la Ville notamment aupr s des habitants des activit s conomiques qui s y trouvent ou de touristes Dans ce contexte la Ville peut d cider de cr er une marque ou des marques pour se promouvoir globalement et ou pour des services sp cifiques accueil d entreprises service public de l eau quipements publics etc La marque cr e est alors une marque institutionnelle au service de la strat gie de
75. de la voirie des logements des transports des Etablissements Recevant du Public ERP des coles Mais c est le principe d une accessibilit universelle qui y est d finit La notion d accessibilit suppose de prendre en compte l int gralit de la cha ne de d placement dans la cit mais galement la culture les loisirs l information de mani re g n rale Alors que la maire est en premi re ligne pour relever le d fi de cet acc s tout pour tous les industriels partenaires sp cialis s des collectivit s territoriales ont d velopp et d veloppent des solutions pour construire une cit accessible tous Pour r pondre aux besoins de mise en accessibilit des plateformes d acc s autobus en b ton pr fabriqu permettent de cr er rapidement un arr t de bus avec ses rampes int gr es pour faciliter l accessibilit aux PMR Ces solutions d montables peuvent m me tre r utilises si l arr t doit changer d emplacement Nouveaux modes de production d nergie et nouvelles consommations A heure o les questions de consommation d nergie sont des pr occupations quotidiennes pour tous administr s comme collectivit s de nouveaux modes de production d nergie voient le jour Les visiteurs du Salon des Maires 2013 auront ainsi l occasion de d couvrir des hydroliennes estuariennes et fluviales pour la production d lectricit propre Installations qui ne n cessitent pas de g nie civil elles offrent des
76. diens des collectivit s L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Enfance Sant Social Fiche 8 2015 et la d licate ch ance de la mise en accessibilit 185 000 tablissements recevant du public ERP sont d sormais aux normes de 2015 selon un bilan fin 2012 de la d l gation minist rielle l accessibilit DMA rendu public le 25 septembre l occasion du Comit interminist riel du handicap 220 000 autres ont fait l objet de travaux R ussir 2015 ch ance de mise en accessibilit difficilement respect e Malgr la loi de 2005 qui fixe 2015 l ch ance pour que l espace public de la cit soit accessible aux personnes handicap es le r sultat est loin d tre atteint constate le rapport de la s natrice Claire Lise Campion sur l accessibilit rendu au premier ministre le 1 mars dernier L accessibilit des ERP existants mairies stades commerces h tels restaurants cabinets des professions lib rales salles de spectacle locaux associatifs progresse mais lentement tout comme la mise en accessibilit tr s progressive des transports surtout des r seaux interurbains SNCF et transport a rien et de la voirie A tel point que la France ne sera pas au rendez vous de 2015 Pour autant Claire Lise Campion n a pas pr conis pas de renoncer Pour ne pas freiner la dynamique a t elle crit je suis convaincue que les ch an
77. duction jusqu au n goce et aux r seaux acteur du march du gaz naturel il apporte des solutions bas carbone qui concilient d veloppement conomique et protection du climat ERDF Exploite entretient et d veloppe le r seau d lectricit qui lui est conc d par les collectivit s locales RTE Gestionnaire du r seau de transport d lectricit fran ais qui a pour mission l exploitation la maintenance et le d veloppement du r seau haute et tr s haute tension SERCE SYNDICAT DES ENTREPRISES DE GENIE ELECTRIQUE ET CLIMATIQUE R seaux et infrastructures nergie t l com FTTH clairage public tramways installation lectrique des b timents installation lectrique en industrie g nie climatique Energie E ON L un des premiers producteurs et fournisseurs de gaz et d lectricit engagement pour la transition nerg tique Double comp tence lectricit et gaz ECO ENERGIE SERVICE Soci t de Services en Efficacit Energ tique Elle ma trise toute la cha ne de valeur pour garantir le r sultat du Contrat de Performance Energ tique Audit nerg tique conception et d ploiement de solutions techniques compl t s par un dispositif de suivi des consommations d nergie ENERGIE PERSPECTIVE Solution op rationnelle et co produite par les acteurs locaux pour mettre en uvre le guichet unique de la r novation l chelon local Cette alliance entre collectivit s entreprises et artisans est un disposi
78. e gros uvre la voirie et le g nie civil PORTAKABIN Construction modulaire large gamme de b timents de qualit pour besoins temporaires ou permanents de salles de classe ou bureaux enti rement am nag s SOLFAB CONSTRUCTIONS MODULAIRES Conception et construction de b timents modulaires SNA Enveloppe du b timent tanch it asphalte bitume lastom re membrane synth tique couverture bac acier bardage mise en s curit des terrasses YVES COUGNAUD Fabricant fran ais de b timents modulaires Bureau d tudes Contr le GROUPE BTP CONSULTANTS BTP Consultants est la fois bureau de contr le coordonnateur SPS et diagnostiqueur immobilier SOCOTEC Gestion des obligations r glementaires Qualification immobili re multi domaines Optimisation des investissements et des d penses de fonctionnement Optimisation des infrastructures de transport et r seaux de la conception l exploitation et la maintenance Management des risques environnementaux Entretien Voirie Routes R seaux urbains ACOMETIS Fabricant de Saleuses Sableuses Saumureuses Solutions de d neigement globales Outils de raclage centrale de fabrication de saumure montage hydraulique AFHYMAT Gamme de produits destin e la viabilit hivernale un quipement complet passant de la saleuse la lame de d neigement ARVEL SNOW TEC Fabrication commercialisation de mat riels de d neigement saleuse saumureuse lame
79. e milieu marin DCSMM Ces plans comporteront un tat des lieux des connaissances disponibles notamment sur les r cifs coralliens les mangroves les milieux profonds les interfaces terre mer les esp ces invasives en vue de l identification des enjeux cologiques des actions de correction prioritaires et des financements mobiliser Le gouvernement propose en outre d actualiser le dispositif de protection des esp ces marines et des espaces naturels marins Il souhaite placer le tiers des mangroves des outre mer fran ais soit 35 000 hectares sous protection des esp ces marines et des espaces naturels marins Sur l ensemble du territoire national il propose parmi les principales mesures de renforcer les bonnes pratiques en milieu portuaire afin de pr server le bon tat cologique du milieu marin et des cosyst mes c tiers de r duire les macro d chets marins d aller vers une p che plus durable et de finaliser la r flexion sur une meilleure valorisation de l usage du domaine public maritime en prenant en compte les crit res environnementaux D veloppement de l ducation l environnement et au d veloppement durable Enfin sur l ducation l environnement et au d veloppement durable dernier volet de la feuille de route on retiendra l objectif d engager 10 000 projets d coles et d tablissements scolaires mettant en uvre des d marches en ce sens Le gouvernement souhaite aussi d velopper les sorties et
80. e plan organisationnel financier et en termes de responsabilit Obligation d inventaire Le d cret publi le 27 janvier 2012 exige que le descriptif d taill des r seaux d eau soit r alis au 31 d cembre 2013 L inventaire doit indiquer le lin aire de canalisation l ann e ou d faut la p riode de pose la cat gorie de l ouvrage eau potable ou assainissement des informations g ographiques et enfin les mat riaux et diam tres des canalisations recens es Ces descriptifs devront tre mis jour et compl t s chaque ann e Au del de cet inventaire les collectivit s sont tenues d atteindre des seuils minimaux de rendement fix s 85 pour les zones urbaines et 65 en zones rurales Si ce n est pas le cas la collectivit doit engager un plan d actions pour atteindre ces seuils En cas de manquement elle se verrait doubler le taux de la redevance pour l usage alimentation en eau potable due aux agences de l eau Les collectivit s ligibles peuvent toutefois obtenir des subventions aupr s de ces m mes agences pour r aliser leur inventaire L enjeu n est pas uniquement de se conformer un dispositif r glementaire mais galement de pr parer le renouvellement des r seaux pour les livrer en bon tat aux g n rations futures Le lin aire total pour le seul r seau d eau potable s l ve 906 000 km Eau et assainissement des r seaux renouveler d urgence 60 millions de consommateurs et la Fo
81. e s approprier la technologie En redonnant des espaces de paroles et d change coupl s des espaces d informations sur les projets ou actions en cours la mise en place de ces technologies permet de recr er une dynamique locale et de faire merger des ressources inattendues Le journal des collectivit s moyen d information sur la vie locale pr f r alors que se consolide le site internet officiel de la collectivit et qu mergent de nouveaux supports digitaux 48 des Fran ais ne jugent pas bonne la communication de leur commune pendant le mandat municipal qui s ach ve C est ce qui ressort de la troisi me dition du barom tre de la communication locale Le journal papier premier support de communication Le journal papier des collectivit s demeure quant lui ind tr nable avec 84 d utilisateurs tandis que le site internet des collectivit s grimpe 62 d utilisateurs en 2013 contre 44 en 2011 et 37 en 2009 41 des personnes interrog es d clarent m me utiliser souvent et 34 des utilisateurs consid rent qu il informe tr s bien Cette position leader du journal officiel des collectivit s est mettre en regard avec son mode de diffusion 83 des Fran ais pr f rent recevoir ce journal papier dans leur bo te aux lettres et 63 lui d cernent m me le titre de meilleur canal de r ception Et m me parmi les adeptes de l autocollant stop pub ils seraient galement 83 appr cier recevoir
82. ectricit est en pleine mutation autrefois charg de distribuer l lectricit produite et transport e en amont il doit aujourd hui tre en mesure d analyser et d anticiper de nouveaux usages Le r seau de distribution d lectricit doit s adapter pour accueillir l essor des nergies renouvelables le d veloppement de la mobilit lectrique et l volution des modes de consommation JEUDI 21 NOVEMBRE 2013 e _10h00 11h00 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence CERTINERGY Les Certificats d Economies d Energie un outil vertueux au service de vos administr s Quelles nouveaut s et innovations pour les collectivit s De plus en plus les collectivit s territoriales doivent faire face la hausse du co t de l nergie et au vieillissement des b timents en France Dans un contexte de restriction budg taire les CEE se r v lent une r ponse ces contraintes et une formidable opportunit dans la r novation de votre patrimoine et la satisfaction de vos administr s notamment dans la lutte contre la pr carit nerg tique Quels b n fices pour vos territoires e _10h00 12h15 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence GROUPE MONITEUR D partement Energie D centralisation nerg tique quel r le pour les acteurs de l nergie Le d bat national sur la transition nerg tique qui s est achev en juillet dernier a t l occasion d affirmer une nouvelle donne nerg tique port e par les territoire
83. ecyclage des d chets Elle engage la dur e de vie des produits l information du consommateur le d veloppement conomique et les ressources nationales En s appuyant sur les initiatives existantes sur les acteurs territoriaux sur le dynamisme des fili res le gouvernement souhaite progresser dans l organisation de ce nouveau mod le Il annonce l laboration d un plan D chets 2014 2020 qui contiendra des ambitions chiffr es notamment la r duction de moiti des d chets mis en d charge l horizon 2020 par rapport 2010 et l augmentation du taux de recyclage pour les d chets non dangereux et du BTP Une conf rence de mise en uvre attendue fin 2013 devra r unir les acteurs de l conomie circulaire pour suivre l avancement de la feuille de route qui d termine trois chantiers prioritaires Le premier entend changer nos modes de consommation et de production de distribution et de logistique vers une conomie plus efficace dans l utilisation des ressources Les mesures pr conis es consistent favoriser l co conception des produits pour augmenter leur durabilit leur r utilisation et leur r parabilit ainsi que leur recyclage Dans ce cadre les collectivit s locales seront incit es montrer l exemple dans leur politique d achats Autres dispositions retenues lutter contre les pratiques d obsolescence programm e et renforcer le pilotage la gouvernance et la mobilisation des fili res responsabi
84. ente pr s de 36 000 adh rents maires et pr sidents d EPCI CHAMBRE SYNDICALE DES G N ALOGISTES ET H RALDISTES COMITE NATIONAL OLYMPIQUE ET SPORTIF FRANCAIS CNOSF FEDERATION FRANCAISE DE SAUVETAGE ET DE SECOURISME La FFSS avec ses 400 structures r pond tous les besoins en sauvetage et secourisme formation au sauvetage et secourisme missions de S curit Civile sauvetage sportif et d veloppement des actions citoyennes FEDERATION NATIONALE DES JARDINS FAMILIAUX ET COLLECTIFS Cr e d veloppe r habilite g re et anime les jardins familiaux et collectifs dans le respect de l environnement et de la biodiversit FEDERATIONS FRANCAISES DE CYCLISME DE BADMINTON DU CYCLOTOURISME DE FOOTBALL DE GOLF DE NATATION DE RUGBY DE TIR A L ARC LA JOURN E NATIONALE DU COMMERCE DE PROXIMIT DE L ARTISANAT ET DU CENTRE VILLE Op ration de relations publiques et de communication dans la ville qui f d re les acteurs conomiques autour de la dynamisation l attractivit des centre ville et des quartiers PAVILLON BOIS CNDB COMIT NATIONAL POUR LE D VELOPPEMENT DU BOIS Organisme fran ais pour le d veloppement et la promotion de la fili re bois II d veloppe et met en uvre des strat gies de marketing et communication forme et accompagne les professionnels et r alise des publications pour d velopper l usage des produits et constructions bois aupr s de tous les publics SECOURS CATHOLIQUE CARITAS FRANCE Soutien d
85. erture 2G notamment dans le cadre du programme national d extension de la couverture en zones blanches pilot par la DATAR qui vise apporter la couverture dans les centres bourgs o aucun op rateur de r seau mobile n offrait de couverture Mise en place du tr s haut d bit mobile r pondre la demande croissante Les services de communications mobiles sont en train de suivre la m me volution que celle des services fixes une transition acc l r e vers le haut et le tr s haut d bit L acc s mobile s inscrit de plus en plus dans le prolongement des offres internet fixe haut et tr s haut d bit II assure au consommateur qu il soit particulier ou professionnel la continuit et l ubiquit de l acc s personnel aux services internet sur une grande diversit de terminaux en dehors de son domicile ou de son entreprise Ces services devraient tre prochainement disponibles partout et tout moment avec un confort d utilisation et une richesse d usages comparable aux acc s fixes domicile Le succ s de l internet mobile contribue modifier les usages en mati re de t l phonie mobile la voix et aux services de messages viennent progressivement s ajouter des services enrichis tels que l acc s internet et aux contenus multim dias Il offre galement de nouvelles perspectives en mati re de loisirs de mode de consommation des contenus num riques et d acc s la culture Les nouveaux terminaux disponibles
86. es de moins de 10000 habitants LOGITUD SOLUTIONS SAS Propose aux collectivit s locales des solutions informatiques d di es qui facilitent leur travail de la gestion de l tat civil en passant par la gestion administrative des polices municipales ou la planification des quipements des ressources SAIGA INFORMATIQUE D veloppements de logiciels de gestion propri taires et Open Source dition et distribution de logiciels de gestion SELDON FINANCE Con oit des logiciels financiers pour les Collectivit s Locales Mat riel informatique BNG Produits vid o multim dia outdoor ou indoor tactile ou non fixe ou mobile Solution d affichage dynamique Logiciel d affichage multi zones multi sites Ecran sans bordure mur d images Vid o projection LA BORNE MULTIMEDIA Sp cialis e dans la conception la fabrication l assemblage et la commercialisation de bornes multimedia interactives et Internet ainsi que le d veloppement de solutions logicielles Op rateur EUTELSAT Premier op rateur europ en de satellites de t l communications Eutelsat diffuse plus de 4600 chaines de t l vision destination de 200 millions de foyers dans le monde Large gamme de services fixes et mobiles de t l communications haut d bit et de diffusion de donn es pour les r seaux vid o professionnels et les r seaux d entreprise SSII Ing nierie CIRIL Editeur prestataire de services et h bergeur pour les collectivit s terr
87. es et des biens VAGO Soci t de services pour la gestion d aires d accueil des gens du voyage Mobilier urbain APRICO Commercialisation de mobiliers urbains conception et r alisation de messages d incitation la propret et la valorisation des d chets AREA Concepteur et fabricant de mobilier urbain et d quipements de sports et de loisirs d ext rieur BC FINANCE Conception Fabrication Location Vente Installation et Entretien d un mobilier de service de fontaine eau tr s innovant Fontaineo FONDERIES DECHAUMONT Fonderie de fonte ductile concevant et fabriquant des pi ces pour assainissement mobilier urbain ou pi ces la demande GUERY Fabrication et vente de mobiliers urbains quipement pour les collectivit s MAMIAS Equipements de clochers horlogerie monumentale et d difice Fabricant d horloges publiques de rue Horloges florales thermom tre d difice barom tre d difice installation de paratonnerres sonorisation d glise et horloges de mar es METALU INDUSTRIES INTERNATIONAL Fabricant d quipements portuaires pontons fixes ou flottants et accessoires pour ports de plaisance ports de p che fluviaux ou maritimes Haltes nautiques Embarcad res Fabricant de passerelles pi tonnes fixes et flottantes Fabricant de structures aluminium diverses MEFRAN COLLECTIVITES Jeux d ext rieur complexe et quipements sportifs mobilier urbain chafaudages podiums postes de secours abr
88. es personnes et territoires les plus marginalis s ou isol s par la mise en r seau et le partenariat et pour combattre l exclusion sous toutes ses formes en s engageant avec les personnes qui la subissent SNVEL Syndicat professionnel des V t rinaires SPA Premi re association de protection animale en France Banques Etablissements financiers BANQUE POSTALE Filiale bancaire du Groupe La Poste CAISSE D EPARGNE Gamme compl te de financements adapt s aux besoins des collectivit s et leurs sp cificit s r glementaires CAISSE DES DEPOTS institution financi re publique qui finance le logement social la politique de la ville et les infrastructures CONFEDERATION NATIONALE DU CREDIT MUTUEL Partenaire financier des collectivit s territoriales et des EPCI CREDIT AGRICOLE Offre de produits et services cr dits mon tique pargne assurance pour r pondre aux attentes des collectivit s CREDIT SOCIAL DES FONCTIONNAIRES Son r le est de s lectionner les services de cr dit d assurance et d pargne les plus adapt s aux agents des services publics SOCIETE GENERALE L un des tous premiers groupes de services financiers de la zone euro Avec 150 000 personnes dans le monde son activit se concentre autour de 3 grands m tiers Assurances Banque Priv e Banque de Financement amp d investissement Bureaux d tudes Conseil Formation EGIS Groupe de conseil et d ing nierie dans les domaines des trans
89. flotte v hicules de service ou utilitaires espaces verts nettoyage livraison les modes d acquisition achat location et les syst mes de gestion de ces v hicules et les transports en commun 2 les dispositifs utilisant des v hicules lectriques v hicules en libre service ou en autopartage plateformes de livraison de marchandise 3 Les dispositions locales d incitation l acquisition et l utilisation des v hicules lectriques pour les particuliers et les entreprises stationnements infrastructures de recharge aides financi res l acquisition zones ou voies r serv es aux transports doux autoris s aux v hicules lectriques 4 La communication et la sensibilisation aupr s du public Expositions conf rences activit s ludiques ou culturelles Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Mat riels Transports V hicules Le secteur Mat riels Transports V hicules repr sente 6 3 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants e Carrossier Equipementier e Mat riels e Constructeur automobile e Transports publics e Entretien de voirie e V hicules e Mat riel d espaces verts e V hicules nergie propre e Mat riel de nettoyage Vous retrouverez ces exposants dans les Pavillons 2 2 2 3 et 3 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux atte
90. fs et transactionnels permet une conomie tr s importante dans toutes les t ches administratives Ces applications permettent un automatisme qui augmente consid rablement les d lais de r ponse et de production de documents administratifs et d enregistrement d information dans les registres l gaux Ces m mes d veloppements transactionnels mis au service de l conomie locale permettent de diffuser les productions ou les savoir faire locaux Outre les services d information le d veloppement des services interactifs et transactionnels permettront une conomie tr s importante dans toutes les t ches administratives Ces applications permettront un automatisme qui augmentera consid rablement les d lais de r ponse et de production de documents administratifs et d enregistrement d information dans les registres l gaux L outil de formation Internet Le d veloppement des outils de communication s accompagne de la mise en place de lieux permettant la population de consulter d utiliser et de s approprier ces technologies Des lieux publics de consultation des services qui compl tent le raccordement des usagers leur ville en ligne par les r seaux traditionnels r seaux c bles par exemple Sur ces serveurs l administr trouve des espaces tels que petites annonces bourse d emploi de proximit espace associatif espace d change de services espaces de soutien scolaire ou tout simplement un espace permettent la population d
91. gement urbain Espace verts Transport V hicules Signalisation Pavillon 2 1 Accessibilit Enfance Education EN TRAMWAY Station Porte de Versailles Pavillon 2 2 et 2 3 Associations Formation Int rim Fournitures g n rales EN METRO Station Porte de Versailles ligne 12 Culture Loisirs Tourisme Institutionnel Finances sn m hes is SF urbain Pr vention panaia D veloppement conomique Mutuelles Assurances EN BUS ta um BT techniques Es re er resse Communication Sant Social EN VOITURE Porte de la Plaine porte C de L Parking visiteurs porte C
92. grids Outre un acc s une gamme de services plus diversifi s le citoyen usager devient lui m me producteur d informations en op rant un retour d exp riences sur l tat de fonctionnement de ces services L utilisation des syst mes d information et des moyens de communication internautiques permet au citoyen usager de signaler sa collectivit une avarie technique un dysfonctionnement cr ant une boucle de r troaction allant des utilisateurs aux dispensateurs de services Sur le plan de la gouvernance l acc s facilit aux informations open data r pondant ainsi l imp ratif de transparence des activit s publiques comme la possibilit d une interaction croissante entre le citoyen et le politique vont galement dans le sens d une plus grande participation des parties prenantes La ville intelligente est celle qui m nagera la cr ation d un espace public num rique o l aller retour entre le gouvernant et le gouvern sera acc l r Il s agit de d passer les approches sectorielles s parant transport nergie et b timent pour mettre l accent sur les interactions entre ces diff rentes composantes rendues possibles par le d veloppement des TIC Cette approche syst mique de la ville dont tout le monde s accorde reconna tre aujourd hui la n cessit se heurte toutefois de nombreux obstacles li s notamment la pr dominance des approches traditionnelles par silos Si les TIC en sont une compo
93. haleureux et adapt leurs besoins ASSOCIATION DES PARALYSES DE FRANCE Mouvement national de d fense et de repr sentation des personnes ayant un handicap moteur et de leur famille ASSOCIATION NATIONALE DES PREMIERS SECOURS l AN P S est une des associations nationales de s curit civile agr es par le Minist re de l Int rieur pour la formation et les actions de secours UNCCAS L Union Nationale des CCAS est l unique repr sentant national des centres communaux et intercommunaux d action sociale L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Environnement Energie Fiche 9 La deuxi me feuille de route pour la transition cologique Le gouvernement a publi le 27 septembre sa nouvelle feuille de route pour la transition cologique issue des travaux de la deuxi me conf rence environnementale qui s est tenu les 20 et 21 septembre Les 50 mesures qui la composent sont class es en cinq th mes correspondant aux cinq table rondes de la conf rence Economie circulaire Emploi et transition cologique Politique de l eau Biodiversit marine mer et oc ans et Education l environnement et au d veloppement durable Un nouveau plan d chets 2014 2020 Le minist re de l Ecologie affirme donc dans la feuille de route vouloir faire de le l conomie circulaire abord e pour la premi re fois une priorit en affirmant que ce concept va bien au del du r
94. ion Fili re alimentaire et agricole Grande surface alimentaire Grande surface de bricolage Grande surface marchande Promotion industrielle et commerciale des entreprises et des territoires Vous retrouverez ces exposants dans le Pavillon 2 1 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re de D veloppement conomique D veloppement conomique AQUISAVOUR Syst me de e commerce de proximit avec livraison domicile en v hicule lectrique MY MAJOR COMPANY L une des toutes premi res plateformes de financement participatif mondiale Distribution CARREFOUR PROXIMITE France Les enseignes de Carrefour proximit enrichissent l offre multi format du groupe Carrefour CAMIF Camif Collectivit s distribue et installe des quipements publics Elle accompagne les collectivit s et tablissements scolaires dans la r alisation de leurs projets Fili re alimentaire et agricole APCA Chambres d agriculture Cr es en 1924 les Chambres d agriculture forment un r seau au service du d veloppement des agricultures et des territoires Elles accompagnent les agriculteurs sur les aspects techniques conomiques et administratifs et contribuent au dynamisme des territoires en lien avec les pouvoirs publics et les collectivit s BEISER ENVIRONNEMENT Leader de la vente de mat riel agricole par correspondance FE
95. ion des d penses et des recettes de fonctionnement a perdur En effet la croissance des d penses d aide sociale la charge des d partements est li e la situation du march du travail laquelle se d t riore sensiblement de puis mi 2011 L article 48 de la LFR 2012 pr voit un fonds de soutien aux d partements dot de 170M pr lev s sur les ressources de la Caisse nationale de solidarit pour l autonomie CNSA Les r gions disposent de ressources contraintes que ce soient le panier de recettes fiscales sur lesquelles elles n ont pas de pouvoir de taux ou les concours financiers dont les montants sont quivalents ceux de 2011 Face ces recettes peu dynamiques elles supportent des charges la hausse li es au personnel et la comp tence transport Malgr des capacit s de financement en retrait elles ont maintenu leur niveau d investissement et pour cela ont eu recours fortement l emprunt Leur taux d endettement atteint pr s de 85 fin 2012 2013 des contraintes sur les charges L activit conomique devrait rester faible en 2013 et la situation sur le march du travail ne devrait pas s am liorer court terme Les collectivit s locales ont pr par leur budget 2014 en tenant compte des contraintes sur les ressources et sur les charges D s septembre 2012 la r duction des dotations tait annonc e hauteur de 750 millions d euros en 2014 et en 2015 pour contribuer au redressement des c
96. is festifs mobilier d int rieur mat riel lectoral illuminations de No l MOBEXTAN Cr ateur de mobilier urbain en bois PLAS ECO Con oit et fabrique du mobilier urbain en plastique ROSSIGNOL Con oit des quipements de propret pour une utilisation en ext rieur et en int rieur SABACAUCHO Potelets m moire de forme et tous types de pi ces industrielles en lastom res SERI En d veloppant son savoir faire depuis 1979 SERI est devenue la r f rence comme concepteur et fabricant de mobilier urbain SOTRALINOX Sp cialiste de l am nagement d espaces publics et priv s avec une gamme compl te de produits standards et des solutions personnalis es mobilier urbain signal tique solutions d clairage public TOLERIE FOREZIENNE T lerie Fine Industrielle Mobiliers Urbains Panneaux d affichage amp Signal tique Pavage Dallage ECOGRANIC LE PAVE DEPOLLUANT Plus de 30 ans d exp rience dans la fabrication de dalles et de bordures d coratives Rev tement modulaire d coratif en b ton EcoGranic le premier et seul rev tement au monde brevet et certifi comme tant capable d liminer jusqu 80 de la pollution urbaine NOX particules fines GIRPAV Sp cialiste dans la fabrication de dalles et pav s style XVIII me et tous les accessoires de finition pour sols urbains KRONIMUS Pav s et dalles ponc s flamm s grenaill s etc syst mes de pavages syst mes d acc s pour personnes
97. isation d outils ou de pratiques permettant d valuer ou d am liorer la performance conomique de l achat d actions en faveur du d veloppement durable raisonnement en co t global n gociation chartes fournisseurs s curisation des proc dures insertion de clauses environnementales et sociales d finition d une strat gie achats PALMAR S troph es dela commande publique Les collectivit s de ROYAN 17 de la SEINE SAINT DENIS 93 et de SAINT OUEN 93 dans la cat gorie g n rale et la commune de LANNION 22 dans la cat gorie petites structures sont les heureux laur ats de l dition 2013 des Troph es de la Commande Publique sixi me du genre Les membres du jury se sont r unis mardi 5 novembre pour distinguer les quatre meilleurs projets Le choix n a pas t facile car une petite dizaine de dossiers avait d ind niables qualit s pour se hisser dans le palmar s Les jur s ont t particuli rement sensibles au guide op rationnel de la candidature que la direction de la commande publique et des affaires juridiques de ROYAN a mis en place Destin aux services de la commune ce guide les aide s y retrouver dans la jungle des pi ces de candidature fournir La ville pr pare actuellement une brochure d aide aux entreprises et un document sur les erreurs ne pas commettre lors de la r ponse un march public S y ajoutera au premier semestre 2014 un coffre fort lectronique
98. isation et de rar faction des ressources naturelles comment optimiser la gestion des services urbains SYRACUSE vous offre une approche d centralis e et multidisciplinaire des flux eaux d chets nergies au niveau d un b timent d un quartier ou d une ville pour vous aider dans vos d cisions d am nagement e 14h45 15h45 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence COCERT Energies renouvelables le cadastre solaire un outil innovant au service de votre collectivit La soci t luxembourgeoise Cocert sp cialis e en efficacit nerg tique pr sente le Cadastre Solaire Il s agit d un outil innovant destination des collectivit s locales permettant d valuer avec grande pr cision le potentiel d ensoleillement de chacune des toitures pr sentes sur votre territoire L originalit de cette innovation repose sur sa capacit tre un outil d aide la d cision pour chacun des citoyens e _15h00 16h00 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence SUEZ ENVIRONNEMENT La qualit de l eau est elle en danger La responsabilit des collectivit s peut tre engag e face aux nouveaux enjeux de la qualit de l eau Des techniques d analyses toujours plus fines permettent de d tecter des micro polluants jusque l invisibles Face au bruit m diatique qu en est il de la qualit r elle de l eau en France N est il pas temps de ramener le discours une r alit plus juste Experts et responsables politiques sont invit s a
99. ispositions des codes et lois pour lesquelles comp tence leur est donn e pr cise la note de l ONPM En termes de statut policiers municipaux gardes champ tres et agents de surveillance de la voie publique seraient regroup s au sein de trois cadres d emploi comportant trois grades chacun Le ministre de l Int rieur a donc le 29 octobre 2012 d voil les grands axes de son futur projet de loi sur la police municipale La future loi cr era tout d abord un nouveau cadre d emploi unique issu de la fusion de ceux de policier municipal et de garde champ tre Ce qui impliquera une formation commune sans doute assortie de sp cialisations compl mentaires en fonction du type de missions que l agent sera amen effectuer police de l eau de la chasse etc Les agents de surveillance de la voie publique ASVP disposeront pour leur part d un statut venant pr ciser leurs missions verbalisations vid oprotection IIs devront galement suivre une formation initiale obligatoire ce qui n est pas le cas aujourd hui Il est galement question de rendre obligatoire la signature d une convention de coordination entre les communes disposant d une police municipale quel que soit le nombre d agents avec le pr fet Le maire devra obligatoirement informer le conseil municipal de l emploi qu il compte faire de sa police municipale le fonctionnement dans le respect de la libre administration des collectivit s territoriales Le texte dev
100. itoriales Plus de 1000 sites op rationnels en France m tropolitaine et Outre Mer LIBRE LOGIC Soci t de conduite de projets informatiques pour les collectivit s et administrations T l phonie BOUYGUES TELECOM Op rateur global de communications lectroniques Mobile Fixe TV Internet et Cloud ORANGE T l phonie fixe et mobile SFR COLLECTIVITES 2e op rateur t l coms fran ais Services mobile fixe Internet et de t l vision SFR est dot du r seau le plus complet et d ploie de fa on active le tr s haut d bit fixe et mobile L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Institutionnel Finances Services Fiche 11 2013 ann e de maintien de l investissement Plus de 71 de l investissement public a t r alis par les collectivit s locales en 2012 Dans un contexte conomique moins favorable que les ann es pr c dentes celles ci ont maintenu leur effort d investissement malgr la diminution de leur niveau d pargne brute En effet leurs charges courantes notamment les frais de personnel ont progress plus rapidement que leurs recettes de fonctionnement En 2013 les collectivit s locales ont vot leurs budgets primitifs dans un contexte conomique et social similaire celui de l ann e 2012 les dotations de l Etat sont maintenues en valeur tandis que les recettes fiscales sont plus ou moins dynamiques selon la nature de l imp t Les d cisions d investissement d
101. itut national de recherches arch ologiques pr ventives participe la diffusion de la connaissance arch ologique aupr s du public ouverture de chantiers au public expositions publications production audiovisuelle colloques Mobilier et mat riel de bureau BIC Fabrique et commercialise depuis plus de 60 ans des produits d criture HOWE Equipement mobilier des espaces de r union de formation d accueil et de restauration Minist res et organismes officiels ADEME L Agence de l Environnement et de la Ma trise de l Energie participe la mise en uvre des politiques publiques dans les domaines de l environnement de l nergie et du d veloppement durable AGENCE BIO Groupement d int r t public en charge du d veloppement et de la promotion de l agriculture biologique ALLOCATIONS FAMILIALES CNFPT Centre National de la Fonction Publique Territoriale Charg de la formation tout au long de la vie des agents des collectivit s locales MINISTERE EN CHARGE DU TOURISME MINISTERE DE LA REFORME DE L ETAT DE LA DECENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE MINISTERE DE L COLOGIE DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ENERGIE MINISTERE DE L INTERIEUR MINISTERE DES SPORTS DE LA JEUNESSE DE L DUCATION POPULAIRE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE MINISTERE DU TRAVAIL DE L EMPLOI DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL LA POSTE Entreprise de services de proximit investie de quatre missions de service public
102. ivergent en fonction des collectivit s et du cycle lectoral leur endettement devrait augmenter sensiblement en 2013 compte tenu d un recours l emprunt plus soutenu Un niveau d investissement peu dynamique mais toujours lev Le fl chissement des marges de man uvre financi re depuis deux ans limite la possibilit pour les collectivit s locales d augmenter sensiblement leurs investissements En 2013 ils progressent de 1 7 volution modeste en comparaison de celles observ es en 2009 13 2 et 2007 10 3 derni res ann es pleines des mandats municipaux Les investissements locaux dans leur ensemble sont en effet sensibles aux ch ances lectorales des municipalit s ces derni res pesant avec les groupements un poids consid rable dans les d penses d investissement totales environ 65 Cette progression limit e refl te la tendance g n rale du mandat Alors que les deux derniers mandats ont enregistr une croissance annuelle moyenne des investissements de 3 4 en volume celui commenc en 2008 affiche une baisse moyenne de 1 2 Pour autant cette faible croissance des investissements ne doit pas faire oublier que les masses investies demeurent cons quentes Avec 53 9 milliards d euros les investissements de 2013 d penses d investissement hors remboursement de dette approchent le niveau historique de 2009 54 2 milliards d euros Cycle lectoral oblige c est bien le bloc communal qui concentre la hausse de
103. l l Europe quel bon chelon pour l avenir nerg tique e 13h00 14h00 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence MINISTERE DE L ECOLOGIE DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ENERGIE Projet environnemental comment g rer la concertation L objectif du programme de recherche Concertation D cision Environnement du minist re de l cologie est de comprendre le fonctionnement et les enjeux des processus de concertation pour l laboration et la mise en uvre des projets environnementaux La conf rence permettra de pr senter les principaux enseignements issus des 20 recherches soutenues par le programme et de les confronter l exp rience des praticiens de la concertation et des ma tres d ouvrage e 13h45 14h45 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence SERCE Interdiction des d tecteurs de fum e ioniques comment r pondre vos obligations r glementaires en mati re de s curit incendie Depuis novembre 2011 les d tecteurs de fum e ioniques doivent progressivement tre retir s des syst mes de s curit incendie et remplac s par d autres technologies Quelles sont les obligations r glementaires des collectivit s pour leurs b timents Comment y faire face Les organisations professionnelles repr sentatives ont cr l association QUALDION pour r pondre ces questions et faciliter la mise en uvre de cette nouvelle r glementation e 14h00 15h30 Pavillon 3 Salle 31 Atelier technique R seaux d eau Commen
104. l et cr ation de sites Internet ou Intranet officiels des collectivit s locales et territoriales Edition et diffusion de solutions de gestion de contenus Open Infolive JVS MAIRISTEM R f rence en mati re de logiciels d administration on line dans les mairies services des eaux et communaut s de communes MYGALOO Int gre l ensemble des services dans un portail d di aux villes et aux acteurs de la vie associative locale Gestion des r seaux Internet Intranet OXYD Propose des services d h bergement d di et d infog rance avec comme principal segment de client le les entreprises publiques Offre sur mesure tant en termes d infrastructures que budg taires h bergement cloud housing messagerie d entreprise noms de domaine RUCKUS WIRELESS Soci t innovante dans la technologie sans fil d veloppe fabrique commercialise des produits Smart WiFi r seaux sans fil intelligents Logiciels ABELIUM Logiciels m tiers sp cifiques la gestion des structures d accueil d activit s et de loisirs pour les tablissements Petite Enfance Enfance et Jeunesse Scolaires et les tablissements de Loisirs et Temps libre AGYSOFT Progiciel de gestion des achats et march s publics AIGA Logiciels sp cialis s dans le secteur social BERGER LEVRAULT Logiciels administratifs et sp cialis s Solutions d mat rialis es Edition COSOLUCE Gamme innovante de logiciels de gestion pour les collectivit s local
105. la ressource en eau en faisant la promotion des conomies d eau notamment via des pratiques agricoles moins consommatrices d eau et en am liorant la qualit des milieux aquatiques tout en s curisant l approvisionnement par la sortie du moratoire sur les retenues de substitution Le gouvernement m nera un travail en vue de faciliter la r utilisation des eaux us es trait es et r visera l arr t de 2010 en la mati re Plus de transparence dans la politique de l eau Autre chantier jug prioritaire garantir la transparence de la politique de l eau pour le consommateur Cela passe par la r forme et la simplification du syst me d information sur l eau sur la base d un audit ind pendant Un d bat pluraliste sur l ouverture des donn es sur l eau sera organis par le Comit national de l eau CNE d but 2014 Le gouvernement propose galement de revoir le cadre des factures d eau en vue d en am liorer la diffusion et la compr hension par le consommateur qu il r side dans un habitat individuel ou collectif Le CNE sera charg de construire une proposition d volution d ici fin 2014 Dernier chantier du volet eau de la feuille de route am liorer l efficacit de la politique de l eau Pour y parvenir il est sugg r de renforcer la gouvernance locale en mandatant un groupe de travail partenarial pour proposer des orientations visant am liorer la gouvernance des instances de bassin mais aussi lo
106. le haut du panier avec respectivement une augmentation sur une ann e de 809 865 fans 62 000 et 14 276 Concernant l usage de Twitter Paris se distingue galement avec 31 154 abonn s sur une ann e tandis que Bordeaux prend la seconde place avec 14 571 abonn s suivie de Toulouse avec 14 160 abonn s Pour les r gions et les d partements l tude montre qu ils progressent plus fortement en termes d abonn s sur Twitter que de fans sur Facebook Des disparit s qui peuvent s expliquer par des strat gies de communication et de cibles diff rentes Se professionnaliser pour s duire davantage Si les outils du Web 2 0 sont r guli rement utilis s par les services administratifs pour consulter les citoyens les r seaux sociaux peuvent tre aussi d extraordinaires lieux de proximit avec les citoyens et de promotion du territoire affirme l tude Avec 48 millions d internautes en France en 2013 la communication num rique est devenue un v ritable enjeu Les attentes sont tr s fortes vis vis de ces nouveaux canaux de communication cela oblige les collectivit s se professionnaliser dans leurs approche de ces outils Car ces fortes progressions pr sence sur le web et abonn s cachent en r alit un faible ancrage au sein des populations nuance l tude qui rel ve des taux de p n tration nombre de fans ou d abonn s par rapport la population allant de 4 64 pour les villes sur Facebook en moyenne 0 17 po
107. lit largie du producteur REP Concernant ces derni res la feuille de route rappelle que le projet de loi sur l conomie sociale et solidaire pr sent fin juillet renforce le recours aux entreprises agr es d utilit sociale par les co organismes Elle assure aussi qu aucune nouvelle fili re REP ne sera cr e court terme m me si des extensions cibl es et coh rentes du p rim tre de certaines fili res REP seront valu es Harmonisation des consignes de tri d ici 2020 Toujours au chapitre de l conomie circulaire le deuxi me chantier vise impulser une nouvelle politique industrielle permettant de concr tiser l conomie circulaire gr ce l am lioration de l efficacit du geste du tri et la recherche d innovations technologiques sur les produits les process et les mat riaux Pour cela le programme d investissement d avenir et bpifrance seront mobilis s pour soutenir l innovation et le programme de soutien de l Ademe la politique d chets sera poursuivi et adapt dans le sens des nouvelles orientations Le contrat de fili re portant sur la valorisation industrielle des d chets tabli dans le cadre du Cosei comit strat gique des co industries et qui inclut un pacte conomie circulaire et recyclage des d chets sera mis en uvre compter de novembre 2013 annonce encore le gouvernement Une harmonisation progressive des couleurs des poubelles et consignes de tri d une collectivit
108. lit hivernale avec l quipement complet de porteurs Habillement professionnel ANETT et CIE Location entretien d articles textiles et d hygi ne pour entreprises et collectivit s Hygi ne CS3D La chambre syndicale 3D de D sinfection D sinsectisation et D ratisation repr sente les professionnels de la lutte antiparasitaire GROUPE PLG Acteur incontournable du march de l hygi ne professionnelle SANIVAP Equipements pour le nettoyage et la d sinfection par la vapeur WERNER ET MERTZ FRANCE PROFESSIONAL Large gamme de produits de nettoyage haute performance co con us ou co labellis s pour les professionnels et le grand public Immobilier CM CIC IMMOBILIER Concevoir des op rations d am nagement et de promotion r pondant aux objectifs de d veloppement d finis conjointement avec les collectivit s locales FEDERATION NATIONALE DES SOCIETES COOPERATIVES HLM Organisation f d rant 170 coop ratives d Him sp cialistes de l accession sociale la propri t du logement locatif social de la gestion de copropri t s de l am nagement et du lotissement NEXITY 1er acteur int gr des m tiers de l immobilier rassemble tous les m tiers et services immobiliers PROCIVIS IMMOBILIER Lutte contre l habitat indigne et la pr carit nerg tique adaptation du logement au handicap et au vieillissement copropri t s d grad es promotion lotissement services immobiliers construction de maisons individ
109. litique sociale de la collectivit A quelques mois des lections municipales la protection sociale compl mentaire constitue une opportunit pour les collectivit s de d velopper et valoriser leur politique sociale en faveur de leurs agents Un an apr s la parution du d cret concernant la participation financi re de l employeur territorial comment les collectivit s ont elles utilis ce nouvel outil Une enqu te bilan et le t moignage de deux collectivit s clarifieront cet enjeu JEUDI 21 NOVEMBRE 2013 e 15h30 16h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence GROUPE CHEQUE DEJEUNER Les usages num riques et nomades les cl s du d veloppement conomique et social A l heure o les supports se d mat rialisent les usages citoyens n cessitent une approche innovante La simplicit et la s curit forment l axe de r flexion de ce mieux vivre en ville D s lors comment int grer la notion de mobilit dans les secteurs du transport du stationnement du commerce des services sociaux L originalit des innovations mobiles repose sur l int gration de toutes les tapes information achat validation suivi de compte partage d informations Services et d veloppement conomique MARDI 19 NOVEMBRE 2013 e 10h00 12h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Atelier technique L habitat social construction r habilitation et mise aux normes de logements pour les personnes g es Bien vieillir en France est un enjeu
110. llement urgent des r seaux amp Guichet unique de D claration de Travaux La zone B timent Travaux publics Voirie repr sente 11 2 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 6 D veloppement conomique Marketing territorial Marketing institutionnel et D veloppement conomique des territoires La zone D veloppement conomique repr sente 2 3 des exposants du Salon des Maires 2018 Fiche 7 Edition Presse Communication Journaux officiels Internet et supports digitaux outils de la communication locale La zone Edition Presse Communication repr sente 4 3 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 8 Enfance Sant Social 2015 et la d licate ch ance de la mise en accessibilit La zone Enfance Sant Social repr sente 6 7 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 9 Environnement Energie La deuxi me feuille de route pour la transition cologique La zone Environnement Energie repr sente 13 4 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 10 Informatique T l communications Des collectivit s de plus en plus connect es aux r seaux sociaux La zone Informatique T l communications repr sente 7 8 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 11 Institutionnel Finances Services 2013 ann e de maintien de l investissement La zone Institutionnel Finances Services repr sente 14 7 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 12 Mat riels Trans
111. lles Fun raire Cin raire BONNERY GRANIT INOX D veloppe un nouveau type de columbariums partir de cases en inox avec portes en granit GRANIMOND Sp cialis depuis plus de 30 ans dans l implantation d espaces cin raires Mat riau le granit GRANITERIE PETIT JEAN Fabricant de monuments fun raires et columbariums Granit issu des carri res Vosgiennes Fabricant fran ais de produits de voirie pavage et dallage en granit ICARUS ACCROCHEZ DES ETOILES Si ges Pens e Columbarium Hymne la vie Cand labres Les El gantes MEAZZA Gamme de columbariums en granit et quipements venant compl ter l am nagement d un Espace Cin raire Jardin du Souvenir Table de c r monie MUNIER COLUMBARIUMS Cr ation d espaces cin raires personnalis s OGF Am nagement de cimeti re columbariums cavurnes supports de m moires espaces de dispersion mobilier ossuaires caveaux reprise administrative et technique des concessions r alisation et entretien de monuments comm moratifs construction et gestion d l gu e de cr matoriums Gestion et contr le d acc s en milieu urbain Gestion des aires d accueil VAUBAN SYSTEM Fabrication de solutions de contr le d acc s vid o surveillance et intrusion Ces solutions permettent aussi de g rer une aire de camping cars un port ainsi qu une d chetterie BRICARD Produits et solutions pour le contr le d acc s la s curit des personn
112. loc communal effort d investissement li au calendrier lectoral 2013 constitue la derni re ann e avant les lections municipales au printemps 2014 Les communes devraient donc poursuivre leur effort d investissement malgr des perspectives de ralentissement de l pargne brute Le bloc communal conserve un pouvoir de taux sur des ressources fiscales m nages dont les bases voluent favorablement et sur la CFE La situation du bloc communal appartient globalement saine Dans le cadre du FPIC apr s 150M r partis en 2012 360 M seront redistribu s en 2013 D partements pression forte sur les charges d intervention Les perspectives conomiques pour 2013 devraient entrainer une hausse de la demande sociale et donc des d penses la charge des d partements Ces derniers anticipent nouveau une contraction des droits de mutation en 2013 et devraient stabiliser leur niveau d investissement malgr un repli de l pargne brute Ils devraient faire appel au march bancaire pour des niveaux d emprunts quivalents ceux de 2012 et leur stock de dette devrait encore s amplifier pendant l ann e 2013 R gions des marges de man uvre limit es Selon les premiers l ments des budgets primitifs les r gions pr voient de contenir leurs d penses de fonctionnement face des recettes atones sur lesquelles elles nont quasiment plus d opportunit s de levier Les r gions pourront financer environ 37 de leur in
113. maires et aux pr fets Cette obligation d extinction des feux une bonne partie de la nuit doit permettre d conomiser l quivalent de la consommation annuelle d lectricit de 750 000 m nages d viter l quivalent de 250 000 tonnes de CO et de r aliser une conomie de 200 millions d euros Des d rogations ne sont possibles sous l autorit des pr fets que dans les cas suivants les veilles de jours f ri s les illuminations de No l lors d v nements caract re local d finis par arr t pr fectoral et dans les zones touristiques d affluence exceptionnelle ou d animation culturelle permanente Sont exclus du champ de cet arr t les clairages int rieurs de logements les clairages destin s assurer la s curit des b timents les clairages publics de voirie Quant aux enseignes publicitaires elles restent r gies par le d cret n 2012 118 du 30 janvier 2012 qui impose leur extinction entre une heure et six heures du matin Les cimeti res s adaptent la mont e de la cr mation La loi du 19 d cembre 2008 relative la l gislation fun raire fait obligation aux communes de 2 000 habitants et plus c est dire les villes au sens de l Insee de disposer d au moins un site destin au d p t et la dispersion des cendres Apr s une transition de quatre ans voulue par le l gislateur pour laisser le temps aux communes d adapter leurs cimeti res la mesure est entr e en vigueur le 1 j
114. ment du g nie civil de l hydraulique et des services VRD CANALISATEURS DE FRANCE F d re 350 entreprises sp cialis es dans la fourniture la pose et la r habilitation de canalisations d eau potable d eaux us es et de gaz PLYMOUTH Sp cialiste de la signalisation protection et d tection des r seaux enterr s POLIECO Acteur majeur de la fabrication de fourreaux de protection et de tubes assainissement POLYPIPE Offre compl te consacr e la gestion de l eau produits et solutions pour les r seaux secs et humides ainsi que pour la gestion int gr e des eaux pluviales L actualit des Collectivit s Locales en mati re de D veloppement conomique Fiche 6 Marketing territorial Marketing institutionnel et D veloppement conomique des territoires Accentu es par la mondialisation la concurrence et la comp titivit entre territoires se retrouvent toutes les chelles et dans tous les domaines industrie tourisme Les pouvoirs publics rivalisent alors d ing niosit pour promouvoir leur territoire Cette capacit attirer et retenir les facteurs mobiles de production et ou la population s appuie dans certains cas sur des politiques de marketing territorial avec la cr ation d une marque de territoire Utilis e depuis des d cennies par la grande distribution la strat gie de marque est depuis une dizaine d ann es d sormais adopt e par les collectivit s territoriales Ins r s
115. ment initial tenir compte notamment de la performance des lampes des luminaires et des syst mes qui les g rent des co ts d exploitation de maintenance et de recyclage Ceci dans un cadre r glementaire profond ment modifi suite aux conclusions du Grenelle de l Environnement Vitrines bureaux fa ades de b timents extinction de l clairage nocturne obligatoire depuis le 1 juillet Depuis le 1 juillet dernier la nouvelle r glementation sur l clairage nocturne des bureaux des magasins et des fa ades de b timents est entr e en vigueur L arr t du 25 janvier 2013 encadre la dur e de fonctionnement de ces installations invit es teindre les clairages inutiles la nuit de 1 h 7h du matin Pour rappel l clairage des fa ades des b timents non r sidentiels comme les monuments mairies coles gares entreprises ou encore entrep ts devra donc tre coup au plus tard 1 heure du matin Il en est de m me pour les vitrines de magasins qui doivent tre teintes entre 1h et 7h du matin ou une heure apr s la fermeture lorsque l activit se poursuit apr s 1h Enfin les clairages int rieurs des locaux usage professionnel au premier rang desquels les bureaux devront aussi tre teints au maximum une heure apr s la fin de l occupation des lieux Ces mesures se veulent avant tout p dagogiques Mais les contrevenants risquent jusqu 750 euros d amende les contr les revenants aux
116. ments sportifs ou de loisir 158 88 246 0 7 12 Manifestations sportives 78 1 79 0 2 4 R partition services communs 291 36 379 1 18 Total 1143 580 1775 4 7 86 L enqu te r v le que les communes de 10 30000 habitants consacrent 94 euros par habitants dont 64 en fonctionnement 1 Les finances des communes de 10 000 habitants et plus en 2010 DGCL Avril 2012 La pratique sportive des Fran ais Selon la derni re tude du Centre National pour le D veloppement du Sport 65 des personnes g es de 15 ans et plus et r sidant en France ont d clar avoir pratiqu au cours des douze derniers mois une ou plusieurs activit s physiques ou sportives APS au moins une fois par semaine En comptabilisant l ensemble des personnes pratiquantes y compris les occasionnelles et celles qui ne pratiquent qu en vacances ce sont 89 de la population qui de pr s ou de loin sont concern s par l exercice d une APS L tude r v le par discipline l volution des pratiques sur 10 ans Tableau 3 L volution des familles d activit s et activit s les plus d clar es de 2000 2010 Familles d activit s et activit s Taux 2000 Taux 2010 Evolutions Marche 45 57 12 points Nage 31 41 10 points Course hors stade 14 20 6 points Gymnastique 12 17 5 points Sports m caniques I 6 5 points V lo 27 32 5 points Danse 2 7 5 points Tennis de table 5 8 3 points Musculation 6 8 2 points Ski TI 13 2 points Foot
117. n 3 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re d Environnement Energie Assainissement individuel et collectif AGUR Gestion d l gu e des services publics d eau et d assainissement AQUALTER Conception et construction de station de traitement d eau potable d eaux us es et de boues de station d puration en France et l international BIOROCK Solutions d assainissement individuel compactes qui fonctionnent sans lectricit CHOLTON Gestion par d l gation de services publics d assainissement et d eau potable pour les collectivit s DFM EPURATION Maintenance des ouvrages station d puration individuelle et collective pour des acteurs publics et priv s D pannage des installations stations d puration SPI ENVIRONNEMENT D l gataire des services publics d eau potable et d assainissement PME familiale et ind pendante exp rience centenaire D chets r cup ration traitement stockage recyclage CNIM Constructeur et exploitant de centres cl s en main de valorisation de biomasse et de d chets Ensemblier du traitement multifili res des d chets il en con oit les proc d s tri traitement biologique combustion r cup ration et valorisation d nergie ECO EMBALLAGES SA Pilote le dispositif du tri et du recyclage des emballages m nagers Entreprise priv e agr e par l Etat
118. ndation Danielle Mitterrand ont lanc le 4 juillet 2013 une nouvelle enqu te participative pour acc l rer l tat des lieux des canalisations en France A quatre mois des lections municipales l objectif est de sensibiliser lus et citoyens l urgence conomique et sanitaire de la question Alors que la loi pr voit un inventaire d taill des r seaux avant la fin 2013 la plupart des collectivit s sont dans l impossibilit de le faire affirment les associations Sur les 850 000 km de canalisations que constituent le r seau de distribution d eau potable de nombreux dysfonctionnements ont t constat s une d gradation de la qualit des eaux distribu es et d importantes fuites dans les canalisations collectives En France 190 000 litres d eau sont gaspill s toutes les 5 secondes Les pertes en eau potable enregistr es le vieillissement constat des canalisations ainsi que les mat riaux utilis s consid r s comme polluants ou trop fragiles constituent trois indicateurs d alerte sur l tat du r seau des canalisations de distribution en France Elles r v lent aussi une fois encore l absence d informations fiables et la faiblesse des efforts entrepris pour garantir le maintien de la qualit du service de distribution et d assainissement Selon les deux associations seules 8 des communes ont compl t la base de donn es g r e par l Onema et pour 75 d entre elles les donn es semblent aberrantes L enjeu est
119. nement entend faire de la transition cologique et nerg tique un levier d attractivit et de d veloppement qualitatif de l emploi et de la formation Pour valoriser et rendre plus visibles les m tiers et les comp tences qui lui sont li s il pr conise d tendre ou de cr er de nouveaux cadres de labellisation pour leur reconnaissance notamment dans le secteur de la r novation et de la construction et de faire merger un ou des p les universitaires de formation et de recherche de r f rence environnementale l horizon 2015 en coh rence avec les p les de comp titivit en s appuyant sur les universit s coles et organismes de recherche d un m me site impliquant notamment les tablissements d enseignement sup rieur et de recherche du minist re de l Ecologie et en tenant compte des innovations p dagogiques li es au num rique afin de d velopper une approche coh rente des enjeux formation recherche innovation Eau renforcement de la lutte contre les pollutions Le premier objectif est de pr server et am liorer la qualit de l eau et des milieux aquatiques Pour cela la premi re mesure est de renforcer la lutte contre les pollutions li es aux nitrates et aux produits phytosanitaires en mobilisant tous les leviers d action incitatif meilleure mobilisation des fonds europ ens et poursuite des programmes des agences r glementaire approbation des nouveaux programmes d action nitrates d ici mars 2014 e
120. nondations autant d exemples qui militent pour le maintien d une agriculture vivante dans ces espaces aux portes des villes e 18h00 19h00 Pavillon 2 2 Salle 22 Remise de Prix Les Prix de l Innovation 2013 Le concours des Prix de l Innovation du Salon des Maires et des Collectivit s Locales r compense les exposants pr sentant un produit proc d mat riel syst me service ou technique innovants pour le march des collectivit s locales Chaque ann e une centaine de dossiers class s en 11 cat gories correspondant aux espaces th matiques d exposition du salon sont examin s et s lectionn s par un jury compos de professionnels du monde des collectivit s locales lus directeurs territoriaux journalistes e _18h30 19h30 Pavillon 2 1 Village Territorial Remise de Prix C r monie de remise des Prix Territoriaux 2013 Ces Prix r compensent les initiatives innovantes dans les Collectivit s territoriales pour am liorer les services aux usagers gestion emploi ducation d veloppement durable sans oublier des actions de formation et de pr vention ou d ouverture la culture MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 e 11h15 12h15 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence SPIE SPIE au service de vos projets pour une ville performante et durable SPIE contribue au d veloppement des villes intelligentes Au travers de son expertise et de son r seau europ en d implantations r gionales SPIE participe L am
121. nt les regroupements intercommunaux et va jusqu proposer de donner la possibilit de donner un pouvoir de police d l gu au pr sident de l intercommunalit Regrouper sous le terme unique de polices territoriales l ensemble des services locaux charg s de la s curit polices municipales gardes champ tres polices rurales agents de surveillance de la voie publique C est ce qu a propos l Observatoire national des polices municipales ONPM dans ses propositions remises au groupe de travail pilot par le pr fet Jean Louis Blanchou le 7 f vrier 2013 Une proposition qui rejoint celle du rapport s natorial d octobre 2012 A l instar de ce rapport l observatoire pr conise la cr ation d un statut unique pour l ensemble de ces professionnels les agents de la police territoriale seraient des agents d positaires de l autorit publique travaillant sous l autorit territoriale du maire Ils se trouveraient sous le contr le du procureur g n ral et sous l ordre des officiers de police judiciaire territorialement comp tents d s lors qu ils agissent dans un domaine judiciaire Ils exerceraient des missions relevant de la comp tence du maire en mati re de pr vention et de surveillance du bon ordre de la tranquillit de la s curit et de la salubrit publiques Ils seraient charg s d assurer l ex cution des arr t s de police et de constater par proc s verbaux les contraventions auxdits arr t s ainsi qu aux d
122. ntes et besoins des visiteurs en mati re de Mat riels Transports V hicules Carrossier Equipementier Constructeur automobile RENAULT Constructeur automobile TOYOTA Pionnier et leader de la technologie hybride Mat riel Espaces verts COCHET Balayeuses de voiries et Taille Haies sur tracteurs et tondeuses Aspirateurs de feuilles JOHN DEERE 1 fournisseur mondial de mat riels et services destin s l agriculture et l exploitation foresti re un des principaux fournisseurs de mat riels et services destin s aux travaux publics l entretien des espaces verts au march des paysagistes et l irrigation KUBOTA Importateur et distributeur de mat riel agricole et espaces verts PELLENC Machines quipements et des outillages lectroportatifs technologie lithium ion pour les secteurs de l agriculture sp cialis e et l entretien des espaces verts et publics ROUSSEAU Conception fabrication et commercialisation de mat riels d entretien des accotements routiers et des espaces verts Mat riel de nettoyage 3D Distribution de v hicules de nettoiement urbain et services associ s Gamme compl te de solutions sp cifiques ou modulables aux applications vari es voirie chantiers zones rurales centre ville r seaux autoroutiers KARCHER Balayeuses et aspirateurs de voirie v hicules porte outils balayeuses manuelles autotract es et autoport es autolaveuses et monobrosses nettoye
123. ntion Ces bouleversements auront galement des cons quences sur la coordination des travaux notamment dans le cadre des investigations compl mentaires Et toutes les communes devront disposer d un ordinateur en libre service pour les personnes n ayant pas acc s internet Calendrier de la r forme Avril 2012 le guichet unique est ouvert aux usagers ma tres d ouvrage et entreprises de travaux mais sans obligation Juillet 2012 application de la nouvelle r glementation en substitution au d cret du 14 octobre 1991 Les ma tres d ouvrage et les entreprises de travaux ont obligation d utiliser le guichet unique pr alablement tous travaux Janvier 2013 entr e en vigueur des sanctions et jusqu au 30 juin enregistrement cartographique des zones d implantation des r seaux Janvier 2017 obligation d attestation de comp tences pour les encadrants de projets encadrants de chantiers et conducteurs de travaux Janvier 2019 obligation de fonds de plan et trac s g or f renc s pour les r seaux sensibles enterr s en unit s urbaines Pour les r seaux situ s hors des zones urbaines la date limite est fix e au 1er janvier 2026 12 http www reseaux et canalisations ineris fr Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de B timent Travaux publics Voirie Le secteur B timent Travaux publics Voirie repr sente 11 2 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d acti
124. o en est on sur les r alisations et les plans d accessibilit Focus sur les projets et les bonnes pratiques initi es sur le territoire e 11h45 12h45 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence F d ration Nationale des Soci t s d Am nagement Foncier et d Etablissement Rural FNSafer M nagez votre territoire de l observation l action fonci re De nouvelles r gles s imposent aux documents d urbanisme pour consommer moins d espace Comment r aliser vos projets de territoire dans le respect de ces nouvelles obligations Cette conf rence autour de t moignages d lus vous permettra d changer de conna tre les outils et services d observation fonci re pour un am nagement durable et de rencontrer le r seau d experts des Safer qui vous accompagne dans la mise en uvre de vos projets fonciers e 12h30 13h30 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence VAL HOR Le Grand Tour Cit Verte au Salon des Maires et des Collectivit s Locales Les nouvelles dimensions du v g tal en ville Le Grand Tour Cit Verte d marche initi e par Val hor s adresse tous les lus d un territoire ainsi qu leurs collaborateurs qui s int ressent la place du v g tal du jardin du paysage et de la nature en ville Le v g tal entre dans une nouvelle phase celle des projets structurants et des grands travaux Apr s un tour de France r alis entre mai et septembre 2013 le Grand Tour Cit Verte revient sur 7 projets structurants
125. oint une strat gie de communication coh rente Parmi les 22 propositions avanc es certaines concernent plus sp cifiquement les collectivit s territoriales qui ont d velopp au fil des ann es des marques territoriales Depuis peu m me les r gions s y sont mises l image de la Bretagne ou de l Alsace Le rapport propose ainsi que soit cr e une charte graphique ombrelle pour la marque France qui puisse unifier l ensemble des marques territoires existantes Cette charte ne vise pas remplacer l existant logos slogans marques collectives mais bien plut t les accompagner par une juxtaposition rendue possible dans une recherche de coh rence pr cise le rapport Le principe serait d unifier la communication des acteurs et agences d pendant de l Etat notamment dans les domaines directement conomiques exportations attractivit tourisme mais aussi d accueillir les marqueurs graphiques des territoires r gions ou m tropoles L int gration dans cette marque des acteurs priv s volontaires se revendiquant de la marque France et des produits ou services consid r s comme fabriqu s en France est galement envisag e Cette marque doit tre forte quand c est la France qui s exprime directement elle doit tre discr te mais pr sente quand elle accueille et met en valeur une marque de territoire ou d entreprise l identit propre pr cise le document Autre proposition du rapport cr er un groupement d int r t c
126. omptes publics En 2013 les d penses de personnel devraient augmenter tr s sensiblement compte tenu des charges suppl mentaires li es aux personnels revalorisation du SMIC hausse des cotisations la Caisse Nationale de Retraite des Agents des Collectivit s Locales r forme des rythmes scolaires En termes de ressources les perspectives d volution sont favorables malgr l atonie de l activit conomique sur les recettes attendues de CVAE 7 5 tandis que la situation du march immobilier va se traduire par une contraction des Droits de Mutation Titre On reux Le gel du montant des concours financiers est maintenu pour 2013 Le fonds national de p r quation des ressources intercommunales et communales FPIC a t mis en place en 2012 Il constitue le premier m canisme national de p r quation horizontale pour le secteur communal Il s appuie sur la notion d ensemble intercommunal compos e d un tablissement public de coop ration intercommunal fiscalit propre EPCI et de ses communes membres LOI n 2012 958 du 16 ao t 2012 de finances rectificative pour 2012 La cotisation sur la valeur ajout e CVAE est l une des 2 composantes de la contribution conomique territoriale CET Elle est due par les entreprises et les travailleurs ind pendants qui r alisent un chiffre d affaires partir d un certain montant et est calcul e en fonction de la valeur ajout e produite par l entreprise B
127. on par la cr ation d emplois durables au moyen de la collecte s lective du tri et de la valorisation des Textiles Linges de maison et Chaussures TLC NANTET LOCABENNES Prestation de service propret urbaine gestion des d chets exploitation de d ch teries interventions d urgence 24h 24 d construction d samiantage pour le secteur public et priv et le d veloppement de fili res de recyclage innovantes RECYBIO Solution sur mesure pour la collecte s par e des biod chets m nagers en apport volontaire un conteneur semi enterr et un service innovant garantissant une collecte efficace et des gisements de haute qualit SECHE ENVIRONNEMENT Gestion des d chets m nagers et des d chets dangereux des m nages travaux de d pollution et de r habilitation de sites et friches industrielles SEMARDEL Collecte traite et valorise les d chets m nagers et d activit conomique SERVECO Solutions innovantes et cologiques pour valoriser les d chets alimentaires D shydratation des bio d chets Equipements li s aux huiles alimentaires usag es L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Informatique T l communications Fiche 10 Des collectivit s de plus en plus connect es aux r seaux sociaux Collectivit s locales et r seaux sociaux Selon la premi re tude annuelle Collectivit s locales et r seaux sociaux le taux de pr sence des collectivit s territoriales sur les r se
128. onnement et adapt aux besoins d usage Elle promeut les bonnes pratiques par une communication adapt e d finie par l ensemble des acteurs de la fili re COMATELEC SCHR DER Gamme compl te de luminaires LED pour l clairage routier urbain illuminations ECLATEC Sp cialis dans l clairage depuis 1927 Eclatec con oit produit et commercialise des luminaires et des ensembles d clairage ext rieur FONTES DE PARIS clairage public et architectural HYSEO Gamme d clairages urbains autonomes et conomes LAMECO Fabricant fran ais depuis 10 ans d clairage urbain en bois lamell coll METALOGALVA Commercialisation de colonnes m talliques pour l clairage public MIIDEX Eclairage conomie d nergie Sources et luminaires LED et fluo compactes NOVEA ENERGIES Sp cialiste des syst mes d clairage autonomes en nergie ORSTEEL LIGHT Concepteur et fabricant de luminaires et projecteurs professionnel OSRAM L un des principaux fabricants d clairage dans le monde Pr sent sur toute la cha ne de valeur des composants aux solutions d clairage en passant par les luminaires complets les syst mes de gestion de lumi re et les ballasts lectroniques PHLER PHOTOLUMINESCENT ETUDES ET REALISATIONS Etudes et r alisation de syst mes photoluminescents garantissant la s curit et le confort du pi ton dans les rues de la ville et les immeubles lorsque l clairage est teint PHOTOMATON 3 gammes de lampa
129. onomique GIE issu du rapprochement des principaux op rateurs publics concern s pour fournir la marque France son agence op rationnelle publique priv e L identification d un organisme charg du pilotage de la marque France est une condition n cessaire de la mise en uvre d une politique de marque pays explique le rapport Des contrats pour les collectivit s territoriales Ce GIE serait constitu d int r ts divers publics parapublics priv s et il serait principalement issu du rapprochement de trois entit s existantes Ubifrance l Agence fran aise des investissements internationaux Afii et Atout France un GIE en charge de la promotion du tourisme en France Il reprend l ensemble des comp tences des entit s sous jacentes sans remettre en cause la sp cificit de chaque secteur mais en les coordonnant au maximum pr cise le rapport Une structure qui fait cho la grande agence France international que le gouvernement compte cr er partir de la fusion entre Ubifrance et l Afii pour d velopper les exportations fran aises D apr s le rapport le GIE de la marque France compterait trois coll ges dont un regroupant les r gions et un certain nombre de collectivit s infrar gionales dont les m tropoles Les deux autres coll ges seront constitu s par des repr sentants de l Etat minist res concern s et des entreprises Enfin pour les collectivit s l id e serait de mettre en place des contra
130. ormation tout au long de la vie Dans le cadre des emplois d avenir et des contrats de g n ration il souhaite d velopper des actions sp cifiques vers les fili res et les m tiers correspondants pour l insertion professionnelle des jeunes et des publics fragiles notamment les personnes en situation d exclusion de handicap etc Pour adapter l offre de formation initiale et continue le gouvernement indique vouloir poursuivre la prise en compte de l ducation l environnement et au d veloppement durable dans les formations technologiques et professionnelles de l enseignement scolaire et de l enseignement sup rieur Il veut galement faire de la transition cologique et nerg tique et de ses cons quences sur les besoins de comp tences un volet obligatoire des contrats de plan r gionaux de d veloppement des formations professionnelles d s leur prochain renouvellement Les formations des demandeurs d emploi aux m tiers porteurs de la transition cologique et nerg tique ou qui font l objet de difficult s de recrutement seront d velopp es dans le cadre du plan 30 000 formations prioritaires pour l emploi et poursuivies en 2014 Il sera en outre propos d orienter une partie des financements du fonds paritaire de s curisation des parcours professionnels par le biais d un appel projets d di vers l accompagnement des mutations conomiques parmi lesquelles la transition cologique et nerg tique Enfin le gouver
131. ources naturelles d r glements climatiques menaces sur la biodiversit conditions de travail inhumaines et r gression sociale les pouvoirs publics ont plus que jamais un r le d exemple jouer et notamment par le biais de leurs achats En effet la commande publique repr sente un levier conomique important 10 du PIB Conscientes de ces enjeux nombre de collectivit s d tablissements publics ou de minist res ont d cid de passer de l intention l action en d veloppant une commande publique responsable plus respectueuse de l environnement et du bien tre social Regroup s au sein de r seaux r gionaux d acheteurs publics ces diff rents acteurs mutualisent leurs exp riences et innovent ensemble Le recensement 2010 des march s publics en France par l observatoire conomique des achats publics montre une progression importante des clauses sociales et environnementales dans les march s par rapport 2009 La proportion de march s comportant des clauses sociales est pass e de 1 9 2 5 La proportion de march s comportant des clauses environnementales est pass e de 2 6 5 1 Le Code des March s Publics version 2012 impose aux acheteurs publics de tenir compte des objectifs de d veloppement durable en amont lors de la d termination des besoins satisfaire art 5 Cette obligation peut ensuite se traduire par la pr sence de dispositions environnementales et sociales aux diff rents stades de la pro
132. ourisme Culture gt TIC Am nagement urbain MARDI 19 NOVEMBRE 2013 e 10h30 12h00 Pavillon 3 Salle 31 Atelier technique Eclairage public mise en lumi re des sols de la v g tation des points singuliers illuminations festives Quels outils quels moyens Usages et bonnes pratiques L clairage public est un v ritable enjeu pour les collectivit s En effet il doit r pondre la contrainte budg taire car il s agit du 2 me poste de d penses des communes et au 1er poste de consommation d lectricit Il se doit galement de respecter les dispositions environnementales pr vues par le Grenelle de l environnement et la politique d conomie d nergie Enfin il doit assurer la qualit de service visant la s curit des biens et des personnes et le maintien du cadre de vie Ces engagements s associent galement la dynamique d attractivit des territoires et de valorisation des espaces publics qui m nent les communes globaliser leur projet urbain Sol v g tation b tisse festivit quels sont les nouveaux proc d s d clairage pour mettre sa ville en lumi re Quel cadre r glementaire faut il suivre Quels outils et pour quels usages Des experts viendront t moigner des bonnes pratiques et des retours d exp riences e 10h30 12h15 Pavillon 4 3 Salle Oc anie Conf rence F d ration Nationale des Travaux Publics FNTP Remise des Troph es des Travaux Publics En partenariat avec le groupe S
133. peuvent s appuyer Orange Smart Cities est un partenaire des collectivit s locales Retours d exp riences d lus sur les solutions mises en place pour leurs citoyens JEUDI 21 NOVEMBRE 2013 e 11h15 12h45 Pavillon 2 2 Salle 22 Atelier technique Villes 2 0 L Open data et l int gration dans le Cloud Quels enjeux quels usages et quelle s curisation des donn es pour une collectivit Outils m thodes et cadre r glementaire La ville 2 0 bouleverse les modes de communication des collectivit s et louvre vers le champ de l interactivit et de lopen data Le projet de loi de d centralisation va rendre obligatoire l ouverture des donn es publiques des collectivit s locales L enjeu est important car les donn es transmises li es aux transports publics la gestion des d chets au service de l eau la voirie aux activit s conomiques et financi res vont contribuer l attractivit conomique touristique et sociale des villes Cette ouverture soul ve de nombreuses interrogations quant au stockage des informations l utilisation et la s curit des donn es et au droit des citoyens L mergence du Cloud offre aux collectivit s de nouvelles perspectives de mutualisation et de transmission Dans ce contexte qui ouvre un potentiel de croissance comment les collectivit s appr hendent elles cette obligation Quel cadre r glementaire Quels usages Expert et collectivit s t moigneront des nouveaux enjeu
134. ports V hicules En chemin vers la mobilit durable La zone Mat riels Transports V hicules repr sente 6 3 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 13 Pr vention S curit Strat gie nationale de pr vention de la d linquance et nouvelle police territoriale La zone Pr vention S curit repr sente 4 des exposants du Salon des Maires 2013 Fiche 14 Sport Loisir Tourisme Culture Equipement sportif les communes et les intercommunalit s en premi re ligne La zone Sport Loisir Tourisme Culture repr sente 13 5 des exposants du Salon des Maires 2013 Le programme des v nements du Salon des Maires 2013 Fiche 15 Les 6 Th mes d Ateliers et Conf rences du Salon des Maires 2013 Th me Am nagement urbain Programme d taill des Ateliers techniques Conf rences exposants Th me Environnement et Energie Programme d taill des Ateliers techniques Conf rences exposants Th me Sant Social Programme d taill des Ateliers techniques Conf rences exposants Th me Services et d veloppement conomique Programme d taill des Ateliers techniques Conf rences exposants Th me Sport Loisir Tourisme et Culture Programme d taill des Ateliers techniques Conf rences exposants Th me TIC Programme d taill des Ateliers techniques Conf rences exposants Plan Accueil Presse du Salon des Maires 2013 Pr sentation du Salon des Maires
135. ports de la ville du b timent de l industrie de l eau de l environnement et de l nergie GROUPE SCE Offre int gr e de comp tences en urbanisme et paysage ing nierie des infrastructures et environnement Assistance ma trise d ouvrage tudes et ma trise d uvre ICF ENVIRONNEMENT Sp cialiste des sites sols pollu s et du conseil environnemental savoir faire reconnu d expertise et de ma trise des risques intervient dans le conseil les tudes ing nierie les travaux de d pollution et de r habilitation de sites IRH INGENIEUR CONSEIL L Eau l Air la Terre le D veloppement Durable pr l vements mesures conseils Ma trise d uvre et assistance ma trise d ouvrage eau et air Conseil tudes ing nierie Travaux sites et sols pollu s SODERELC Ma trise d ouvrage des constructions publiques en assistance ma trise d ouvrage mandat de ma trise d ouvrage conduite d op ration tudes pr alables ou en partenariat public priv Gestion et valorisation du patrimoine AS TECH SOLUTIONS Editeur de progiciels de gestion des services techniques et du patrimoine ASSOCIATION ACTA VISTA Fond e en 2001 ACTA VISTA est une association qui r alise des chantiers de formation aux m tiers du patrimoine sur les monuments historiques d int r t patrimonial et collectif FONDATION DU PATRIMOINE Promeut la connaissance la conservation et la mise en valeur du patrimoine national INRAP L inst
136. que des quipements sportifs des espaces multisports des cl tures et des aires de glisse ALCOR EQUIPEMENTS Conception location et vente de tribunes modulaires caract re temporaire ou d finitif extensions de Stades BOWLING STAR Vente et location patinoire cologique sans eau lectricit garantie 12 ans modulable recyclable d montable entretien minimum stockage facile glisse optimale CAMMA SPORT Equipements sportifs et ludiques Espaces Multisports Terrains de Hat Trick Terrains de Soccer Skatepark Equipements pour stade Equipements pour salle de sports Parcours sportifs Equipements de Plein Air CHABAL SPORTS Terrains multi sports innovants au design unique GROUPE SAE TENNIS D AQUITAINE Constructeur de courts de tennis depuis 50 ans Con oit fabrique et commercialise galement des espaces ludiques et sportifs de la marque CITY STADE pour les collectivit s les clubs les coles HUSSON INTERNATIONAL Aires de jeux terrains multisports tribunes t lescopiques LOSBERGER FRANCE Concepteur et fabricant d espaces auvent pr au b timent ferm isol ou non construction cl s en main Piscine A amp T EUROPE Plus de 40 ans d exp rience en mati re de conception production et r alisation de piscines en acier inoxydable prot g HEXAGONE Savoir faire en solutions piscines Gamme de robots aspirateurs Gamme d Aquabike et d Aquagym Gamme de mise l eau des PMR mobile ou ancr e
137. quipements sportifs initi e par l association AIRES dans le cadre de sa convention et attribu e par l organisme certificateur Certiv a la certification NF HQE Equipements Sportifs permet de distinguer en France comme l international les quipements sportifs dont les performances environnementales nerg tiques de sant et de confort correspondent aux meilleures pratiques actuelles Quels sont les r f rentiels existants Quel impact sur la conception des quipements Quel impact sur la gestion e 16h00 17h00 Pavillon 5 1 Salle Am rique Conf rence GROUPE MONITEUR Bassins nordiques solution alternative ou compl ment aux piscines couvertes e 16h45 18h15 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence LA FONDATION DU PATRIMOINE Le m c nat populaire un outil efficace au service du patrimoine et du d veloppement des territoires Le m c nat populaire est l expression de l attachement profond des citoyens leur patrimoine de proximit Par son expertise et les outils qu elle met la disposition des communes la Fondation du patrimoine aide mobiliser la g n rosit des particuliers et des entreprises tout en participant au renforcement de l attractivit des territoires Concerts visites de chantiers manifestations locales autant d opportunit s de se retrouver autour d une cause commune et de susciter des dons e 17h00 18h00 Pavillon 5 1 Salle 51 Conf rence FEDERATION FRANCAISE DE FOOTBALL
138. rait tre examin au S nat dans le premier semestre 2014 13 Rapport d information de MM Fran ois PILLET et Ren VANDIERENDONCK fait au nom de la commission des lois n 782 2011 2012 26 septembre 2012 2 Observatoire des polices municipales Projet de cr ation d une police territoriale 7 f vrier 2013 Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Pr vention S curit Le secteur Pr vention S curit repr sente 4 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Alarmes Equipements de Protection Individuelle Gestion du risque Habillement et Equipements professionnels Incendie mat riel Pr vention Radio communication Protection du travailleur isol S curit Vid o Surveillance T l surveillance Vous retrouverez ces exposants dans le pavillon 2 2 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re de Pr vention S curit Gestion du risque POINT ORG SECURITE Prestataire sp cialiste du document unique d valuation des risques professionnels FEDERATION NATIONALE DE PROTECTION CIVILE 3 missions principales avec les actions de secours tenues de dispositifs pr visionnels de secours la formation aux gestes de premiers secours l aide humanitaire et sociale Habillement et Equipements professionnels GROUPE MULLIEZ
139. rd hui d une priorit pour les lus car elle participe concr tement au d veloppement des territoires Des r alisations concr tes isolation et clairage public seront pr sent es ainsi que des grands projets d am nagement e 14h00 15h30 Pavillon 3 Salle 31 Atelier technique RT 2012 entre enjeux et obligations Quels moyens et quels outils face l obligation de mise en uvre Depuis le 1er janvier 2013 la R glementation Thermique 2012 RT 2012 est entr e en vigueur pour les b timents neufs pr vus pour de l habitation r sidentiel ou pour tout autre usage tertiaire L enjeu est de r duire durablement les d penses nerg tiques en agissant sur les constructions neuves qui doivent d sormais r pondre au label BBC B timent Basse Consommation en pr sentant en moyenne une consommation d nergie primaire avant transformation et transport inf rieure 50 KWh m2 an contre 150 KWh m2 an environ avec la RT2005 Ce dispositif est renforc par le Plan B timent Durable qui se projette sur les b timents responsables pour 2020 Ces exigences soul vent les probl matiques de structuration de la fili re du b timent de la responsabilit et du cadre r glementaire de la garantie de la performance nerg tique de la certification et du financement Nous verrons avec quels moyens les collectivit s s organisent pour r pondre ces obligations Sant Social MARDI 19 NOVEMBRE 2013 e 11h45 12h45 Pavillon 2
140. rges externes La hausse des frais de personnel devrait rester soutenue compte tenu notamment de la hausse pr vue des taux de cotisation la Caisse nationale de retraite des agents des collectivit s locales CACL Les collectivit s envisagent dans leurs budgets primitifs une faible hausse des recettes de fonctionnement malgr la forte croissance d j observ e sur les produits de CVAE 7 5 et l volution favorable des bases des taxes m nages En effet les produits des droits de mutation titre on reux vont p tir de la contraction des transactions immobili res Le montant des concours de l Etat reste stable en valeur compte tenu du gel de l enveloppe norm pr vu par la Loi de Finances pour 2013 En d pit de la hausse des d penses de fonctionnement plus rapide que les recettes le montant de l pargne brute devrait se maintenir voire faiblir l g rement dans les r gions et les d partements Le budget d investissement est pr vu en l ger repli avec un nouvel effort pour les subventions d quipement vers es au d triment des d penses d quipement direct Les d partements et les r gions devraient recourir l emprunt pour des montants comparables ceux de 2012 et leur taux d endettement devrait progresser 18 La cotisation sur la valeur ajout e CVAE s applique aux entreprises entrant dans le champ d application de la cotisation fonci re des entreprises et dont le chiffre d affaires CA exc de 152 500
141. rise d ouvrage dans la programmation des ouvrages suivi administratif et financier des dossiers aide au financement NOX INGENIERIE Offre globale d ing nierie conception de b timents et infrastructures priv s et publics en y apportant toutes les composantes de la construction ing nierie b timent g n rale et sp cialis e infrastructure et g nie civil assistance ma trise d ouvrage LA MAISON ABORDABLE Une maison qui affiche un prix tout fait accessible sans aucune majoration li e d ventuels frais interm diaires OBM CONSTRUCTION Leader de la construction industrialis e depuis plus de 40 ans Savoir faire en syst mes constructifs Bois et Mixte Bois M tal TB DESIGN Maisons ossature bois individuelles ou en domicile partag sp cialis es dans le maintien domicile pour le monde rural Ces maisons sont co nerg tiques et modulaires R novation et entretien des b timents Second uvre ATC Artisan campanaire Restaurateur et cr ateur d ensembles campanaires cloches horloges beffrois carillons jacquemarts carillons urbains paratonnerres BIARD ROY Restauration de beffrois installation de beffrois neufs abat son lectrification de cloches horlogerie monumentale protection foudre travaux en hauteur et d acc s difficile GLASTINT Renfort de l isolation thermique conomies d nergie protection solaire s curit vis vis mises aux normes Analyse Diagnostic Devis Pose
142. s investissements avec respectivement 2 9 pour les communes et 42 pour les groupements fiscalit propre Les d partements diminuent leurs d penses pour la quatri me ann e cons cutive 2 5 11 3 milliards d euros tandis que les r gions les maintiennent depuis 2008 environ 8 5 milliards d euros M me si les masses investies par les d partements et les r gions sont moins importantes compar es au poids du bloc communal elles sont cependant de nature infl chir la courbe des investissements communaux et intercommunaux En 2013 les d penses d quipement du bloc communal sont en effet financ es pour plus de 10 par des subventions en provenance des conseils g n raux et r gionaux Le soutien de ces niveaux ayant tendance se r duire ces derni res ann es les subventions des conseils g n raux destination des communes et intercommunalit s se sont par exemple r duites de plus du tiers depuis 2007 le bloc communal doit compenser cette perte en limitant ses investissements en augmentant son autofinancement ou encore en sollicitant davantage l emprunt 2013 un exercice budg taire comparable 2012 dans un contexte lectoral L exercice budg taire 2013 se pr sente dans un contexte conomique et social comparable Selon les budgets primitifs la croissance des charges des collectivit s li es l exercice de leurs comp tences ne devrait pas ralentir malgr une moindre progression des achats et cha
143. s Ecomaires e 16h00 17h00 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence PLANTE amp CITE Trame verte et territoire La Trame verte constitue un des outils phares des lois Grenelle pour enrayer la perte de la biodiversit Elle se d cline 3 chelles nationale r gionale et locale Les collectivit s sont aujourd hui amen es int grer dans leurs politiques locales la pr servation des trames vertes Quels atouts repr sentent elles pour les projets de territoire Comment les planifier et les g rer avec l ensemble des acteurs Les intervenants apporteront un clairage m thodologique MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 e 10h00 11h00 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence SOGELINK Th me venir e 11h15 12h45 Pavillon 2 2 Salle 22 Atelier technique Accessibilit Objectif 2015 bilan des r alisations en cours et des bonnes pratiques L Accessibilit pour tous en 2015 A 2 ans de l ch ance les collectivit s se mobilisent pour r pondre l objectif La loi pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es du 11 f vrier 2005 fixe le principe d une accessibilit g n ralis e int grant tous les handicaps qu ils soient d ordre physique visuel auditif ou mental mais galement les mobilit s r duites Cadre b ti tablissement recevant du public ERP voirie et transports publics sont concern s par cette mise en accessibilit pour 2015 A fin 2013
144. s et les acteurs locaux Reste transformer l intention dans la future loi sur la transition nerg tique attendue en 2014 Dans ce nouveau paysage quel sera le r le des grands acteurs du secteur de l nergie qui privil gient d j depuis plusieurs ann es la proximit avec les collectivit s Le point avec les plus importants d entre eux e _10h00 11h00 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence MINISTERE DE L ECOLOGIE DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ENERGIE Direction g n rale de l nergie et du climat L am lioration de la qualit de lair ext rieur un enjeu national et local Cette conf rence aura pour objectifs de sensibiliser les lus sur la probl matique de la qualit de l air travers une pr sentation des enjeux sanitaires environnementaux et conomiques des outils et actions mobilisables pour agir concr tement en montrant l articulation entre les diff rents chelons du national au local d un retour d exp rience d une commune qui agit concr tement sur la qualit de l air e 11h15 12h15 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence EDF Direction des Syst mes Energ tiques Insulaires Efficacit nerg tique et d veloppement du territoire en Corse et Outremer La recherche de l efficacit nerg tique est vertueuse pour la collectivit pour les clients et pour l environnement Elle participe la cr ation d emplois et au d veloppement des fili res professionnelles Il s agit aujou
145. s territoires dans les transports de la vie quotidienne au grand b n fice des habitants des quartiers concern s s est f licit le ministre dans un communiqu Certains projets portent sur des tramways des bus haut niveau de service des m tros du transport urbain par c ble t l ph riques des tram trains des navettes maritimes ou fluviales ou des syst mes favorisant l usage du v lo Une vingtaine de projets consiste en des solutions d information multimodale ou des p les d change multimodaux L Etat a pr vu une enveloppe de 450 millions d euros pour soutenir ces projets avec la volont de promouvoir ceux qui favorisent le d senclavement des quartiers prioritaires et l accessibilit pour tous insiste le minist re La s lection des projets devant tre annonc e la fin de l ann e 2013 et les collectivit s auront jusqu fin 2016 pour d marrer les travaux date apr s laquelle les subventions ne pourront tre vers es D velopper la mobilit lectrique C est l un ph nom ne nouveau m me si nombre de collectivit s utilisent d j plusieurs v hicules lectriques dans leur flotte ou leurs transports en commun Mais un tel d veloppement doit faire l objet d une r flexion globale autant pour r guler le trafic que pour r duire la pollution de lair ou proposer des services de mobilit optimum pour les citoyens Les principaux aspects prendre en compte sont 1 les v hicules v hicules de
146. s th matiques sur les march s publics durables Guide d achat relatif aux produits et prestations d entretien des espaces verts Guide sur les achats issus du commerce quitable Guide relatif la prise en compte du co t global dans les march s de ma trise d uvre et de travaux Impact conomique de l achat public durable gt Une plate forme lectronique de recueil et d change de documents soutenue par l ADEME permet aux acheteurs publics d changer sur leurs pratiques dans le cadre du site ADEME sur l achat public responsable gt L Union des groupements d achats publics propose sa page Eco rep res et r pertorie les colabels garantissant la fois la qualit d usage du produit et ses caract ristiques cologiques 8 http www economie gouv fr daj liste des guides gem DD 7 http www achatsresponsables com index php nb_rec 32 8 http www ugap fr une demarche ecoresponsable_27242 html Etat des lieux des Collectivit s Locales en 2013 L achat public au c ur du Salon des Maires 2013 gt Jeudi 21 Novembre 2013 10h00 12h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence Le Club March s Groupe Moniteur S curit de l Achat public faut il une charte de d ontologie Conf rence organis e par Groupe Moniteur Club March s Troph e de la Commande Publique Prise ill gale d int r ts d lit de favoritisme la profession d acheteur public a toujours t un m tier risq
147. sante forte l avenir de la smart city tiendra la capacit qu aura la ville devenir intelligente en mettant en place de nouvelles formes de gouvernance en favorisant l appropriation par les usagers de ces nouveaux dispositifs et en identifiant des mod les conomiques viables qui en soutiendront le d veloppement Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Am nagement urbain Eclairage urbain L am nagement urbain et l clairage urbain repr sentent 15 8 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Affichage urbain Am nagement urbain D coration lumineuse Eclairage urbain Equipement lectrique Equipements sc niques Espaces Verts Fun raire Cin raire Gestion des aires d accueil Gestion et Contr le d acc s en milieu urbain Mobilier Urbain Pavage Dallage Paysagistes Phytosanitaire Sanitaires Signalisation au sol routi re Stationnement Vous retrouverez ces exposants dans les Pavillons 2 2 2 3 et 8 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re d Am nagement urbain Affichage urbain ACE ELECTRONIQUE Panneaux d affichage messages variables monochromes et full color Afficheurs sportifs Panneaux de signalisation Technologie diodes leds CHARVET INDUSTRIES Concepteur de solutions de communication par affichage
148. solutions durables de production d lectricit aux collectivit s d sireuses de varier leur mix nerg tique Par ailleurs les motorisations hybrides viennent d sormais quiper les laveuses de voirie et font de ces mat riels des quipements plus silencieux et moins polluants Les quipements de lavage sont aliment s par des batteries lithium ion derni re g n ration batteries recharg es par alternateur lors des d placements de la laveuse Informations pratiques Mardi 19 Mercredi 20 et Jeudi 21 Novembre 2013 Paris Expo Porte de Versailles 75015 Paris Pavillons 2 1 2 2 2 3 3 et 5 1 Horaires d ouverture Mardi 19 Novembre 9h00 19h00 Mercredi 20 Novembre 9h00 19h00 Jeudi 21 Novembre 9h00 18h00 Moyens d acc s M tro ligne 12 direction Mairie d Issy station Porte de Versailles Tramway Ligne T3 arr t Porte de Versailles Autobus ligne 39 80 PC Voiture Porte de la Plaine Parkings publics Porte C Parking C salon PLAN D ACC S des maires ACCUEIL PRESSE SALON et des collectivit s locales Pavillon 4 96 Congr s des Maires Pavillon At ENTREE PORTEA Acc s pi tons Porte de Versailles Pavillon 4 Congr s des Maires ENTREE SALLE DE PRESSE ACCREDITATIONS Accr ditation Presse Inscription visiteurs Liste des exposants Plan interactif et Programme complet disponibles sur www salondesmaires com Les visiteurs sont invit s se pr
149. sur le march smartphones et tablettes notamment permettent un acc s des contenus multim dias plus riches et modifient les comportements des utilisateurs qui consomment de plus en plus de services de donn es Le d veloppement des acc s mobiles a aussi un impact significatif sur l conomie Il constitue un levier de la croissance conomique en particulier pour les op rateurs et les industriels I participe au d veloppement durable des territoires en contribuant directement ou indirectement la cr ation d emplois et l am lioration de la comp titivit des territoires et de la productivit des entreprises 1 Rapport public d activit de l ARCEP 2012 Juin 2013 Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de Informatique T l communications Le secteur Informatique T l communications repr sente 7 8 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants Bureautique Cadastre SIG Cartographie D mat rialisation E Administration Gestion des R seaux Intranet Internet Informatique Logiciels Mat riel Informatique Op rateur PAO DAO SSII Ing nierie T l communications T l phonie Transmission voix et donn es Vous retrouverez ces exposants dans le pavillon 2 1 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en m
150. t 2013 e 11h15 12h15 Pavillon 2 3 Salle Uranus Conf rence MY MAJOR COMPANY Le financement participatif nouvelle source de revenus pour les collectivit s Restaurez votre patrimoine d veloppez l conomie locale et culturelle et irriguez le tissu associatif avec MyMajorCompany e 13h30 14h30 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence GEO PLC Transition nerg tique quel financement pour vos territoires conomiser l nergie n cessite une expertise fine pour apporter une solution de financement globale aux ambitions de la transition nerg tique Pour vos territoires quels sont les processus int gr s qui vous permettront de conduire les chantiers de la sobri t et de l efficacit nerg tique e 14h15 15h15 Pavillon 2 2 Salle 22 Conf rence IMPRIMERIE NATIONALE La nouvelle carte multiservices des collectivit s un passeport pour la confiance et l innovation L Imprimerie Nationale pr sente l offre UniPass qui rationalise unifie la gestion physique et logique des identit s des collectivit s UniPass prot ge de mani re fiable durable et p renne le patrimoine les syst mes les applications et les donn es des collectivit s contre tout acc s non autoris et elle accompagne les collectivit s dans leurs programmes de d mat rialisation e _14h30 15h30 Pavillon 2 1 Village Territorial Conf rence GAZETTE DES COMMUNES et COURRIER DES MAIRES Barom tre du service public municipal L Observa
151. t valuer les co ts et la gestion de la r novation et entretien des r seaux La gestion des r seaux d eau est un point crucial pour les collectivit s et repr sente un enjeu sanitaire et environnemental fort L urgence est donn e pour r nover les 856 000 km de canalisations eau potable qui chaque ann e enregistrent des pertes de 1 3 milliard de m d eau Les dispositions du Grenelle pr voient notamment le lancement d action sp cifique pour g n raliser la d tection des fuites dans les r seaux et participer la r alisation d inventaires et diagnostics pour atteindre un objectif de 15 de perte en eau contre une moyenne de 25 pouvant m me aller jusqu 40 sur certains territoires Confront s aux probl mes de vieillissement des r seaux et de complexit technique les gestionnaires de r seaux doivent r pondre aux d fis de garantir la qualit de l eau la continuit de l alimentation et la r duction des pertes en eau tout en pr servant le cadre urbain Quelles solutions pour planifier et optimiser la r novation des r seaux Comment valuer les co ts Du diagnostic la r novation les acteurs t moigneront des op rations en cours ou venir r pondant aux probl matiques soulev es e 14h15 15h15 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence ADEME La qualit de lair est un v ritable enjeu sanitaire L ADEME vous aide agir La pollution atmosph rique est l origine de nombreux impacts environnementaux
152. t GAZETTE DES COMMUNES Barom tre des relations entre les associations et les collectivit s locales La grande originalit de ce barom tre est de croiser pour la premi re fois les r ponses des associations et des collectivit s Il permettra sur la base des donn es objectives de faire avancer le partenariat n cessaire entre les collectivit s locales et le tissu associatif pour d velopper les territoires montant des subventions accord es et volution de celles ci domaines de coop ration modalit s de conventionnement aides en nature e _18h00 19h00 Pavillon 2 1 Village Territorial Remise de prix C r monie de remise des Labels et prix Ville ludique et sportive 2013 Ville ludique et sportive valorise et r compense les Collectivit s locales qui d veloppent des politiques volontaristes pour promouvoir l activit physique et sportive sur leurs territoires JEUDI 21 NOVEMBRE 2013 e _10h00 12h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Club March s Troph e de la Commande Publique S curit de l Achat public faut il une charte de d ontologie Prise ill gale d int r ts d lit de favoritisme la profession d acheteur public a toujours t un m tier risques Mais la d mocratisation du sourcing l encouragement bien conna tre son environnement n cessitent plus que jamais d aider les agents adopter un comportement ad quat Une charte de d ontologie peut elle r pondre ce besoin Et si
153. t au c ur des pr occupations des acheteurs publics Ainsi l dition 2013 du Salon des Maire sera l occasion de d couvrir des gammes de mobiliers urbains et des syst mes d clairage autonomes en nergie Fonctionnant au moyen de batteries aliment es par des panneaux photovolta ques ces quipements s affranchissent de tous travaux lourds de g nie civil et de g nie lectrique Les bornes d clairage LED les bancs avec bornes de recharge pour t l phones portables les stations de recharge de v los scooters et autres v hicules lectriques voire m me des dispositifs d infirmations d peuvent d sormais tre install s sans frais de tranch e de c ble de raccordements au r seau et d ajout de comptage lectrique Leurs co ts de fonctionnement sont d s lors tr s r duits puisqu il n y a ni consommation lectrique ni abonnement S ajoute ces quipements des dispositifs de maitrise de la consommation nerg tique d tecteurs cr pusculaires d tecteurs de pr sence mode veille Les mat riels d entretien des accotements et de la voirie sont eux aussi polyvalents Un seul et m me v hicule permet d sormais toute l ann e le fauchage l lagage le nettoyage des signalisations le balayage le salage et le raclage des chauss es en passant d une activit une autre sans changer d outil Accessibilit permettre l acc s tout pour tous La loi Handicap de F vrier 2005 a instaur l accessibilit
154. t fiscal largissement de l assiette de la redevance phytosanitaire d s 2014 et suppression du taux r duit de TVA pour les engrais L objectif vis est notamment de supprimer la prolif ration des algues vertes sous 10 ans souligne la feuille de route Par ailleurs comme l avait annonc le premier ministre 1 000 captages prioritaires seront identifi s et des plans d action pouvant inclure notamment le d veloppement de l agriculture biologique et de l agro cologie pour garantir la qualit de la ressource en eau seront labor s et d ploy s Ces plans d action seront initi s d ici la prochaine Conf rence environnementale Le passage au z rophyto dans toutes les collectivit s sera aussi encourag Pour poursuivre l am lioration du traitement des eaux us es domestiques il est pr vu de rendre l assainissement non collectif ANC plus efficace et moins complexe pour le particulier en am liorant l application des normes de fa on encourager son d veloppement et pr venir les risques d investissements inadapt s ou trop co teux tout en gardant les m mes exigences environnementales Un bilan des services publics d ANC est annonc pour fin 2013 suivi de propositions d volution du dispositif d s 2014 Le gouvernement compte galement am liorer la gestion des eaux pluviales en revoyant les r gles de gestion et de traitement du temps de pluie par le syst me d assainissement non collectif d ici la mi 2014
155. tif innovant pour am liorer acc l rer simplifier la r novation nerg tique de l habitat Energies propres renouvelables ABO WIND Fermes oliennes cl en main ECOCINETIC D veloppe commercialise et installe des hydroliennes au fil de l eau destin es aux zones fluviales et estuariennes les pico hydroliennes FONROCHE ENERGIE Acteur majeur des nergies renouvelables de r f rence mondiale avec une expertise sur les m tiers du photovolta que de la m thanisation de la g othermie et de l clairage autonome Fonroche a une ma trise totale de la chaine de valeur de chacun de ses m tiers de la conception la fabrication de l installation la maintenance GLOBAL WIND POWER intervient tous les stades d un projet olien A construit le premier parc olien public en France celui de Montdidier H2AIR D veloppe construit et exploite des parcs oliens terrestres IDEX SERVICES Acteur de l efficience nerg tique travers son offre de services li s l nergie et l environnement Idex optimise les ressources nerg tiques utilis es pour assurer le bien tre thermique de ses clients et r duire l empreinte carbone du territoire JUWI ENR Partenaire des collectivit s dans leurs projets olien solaire photovolta que et demain biomasse OSTWIND INTERNATIONAL D veloppement construction et exploitation de parcs oliens sur l ensemble du territoire fran ais VALECO Sp cialis dans le d
156. tion de mat riels de brumisation haute pression URBA TP Groupe national sp cialis dans l am nagement urbain D coration lumineuse BLACHERE ILLUMINATIONS Conception fabrication vente et location de d cors et d corations lumineux festifs pour rues places et ronds points Cr ation fabrication et vente de mat riels lumineux guirlandes pour d coration de sites int rieurs et ext rieurs Conception sc nographie et projets de mises en lumi re urbaines FESTILIGHT ILLUMINATIONS D coration lumineuse et festive mat riels d cors lumineux guirlandes cordons rideaux d cors sujets 3D suspensions solutions d affichage dynamique dalles LED murs d crans LEBLANC ILLUMINATIONS GROUPE LEBLANC Leblanc Illluminations r volutionne l illumination festive int grant son design innovant les derni res technologies LUMIFETE Motifs de d corations lumineuses Guirlandes Blasons Logos D cors personnalis s D cors de rue Eclairage urbain AGRIMEER Eclairage public autonome Lampadaires solaires Energies propres Bureau d tudes pour l clairage public lampadaires solaires panneaux solaires Bornes d clairage photovolta que Mise en valeur du patrimoine par l clairage AFE Depuis 1930 l Association fran aise de l clairage rassemble l ensemble des experts de la fili re de l clairage et de disciplines vari es s unissant pour un clairage ma tris respectueux de son envir
157. toire des services publics locaux pr sente la premi re tude nationale d valuation des services publics municipaux L analyse des perceptions des usagers panel national et habitants des villes partenaires permettra de retirer des enseignements sur les principales dimensions de leur relation au service public municipal e 15h30 16h30 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence ADECCO GROUPE FRANCE La responsabilit sociale des villes handicap insertion le temps de l action Les villes portent les enjeux soci taux d aujourd hui et de demain et particuli rement ceux li s l emploi des personnes les plus fragiles La responsabilit de la collectivit est pos e quant ses obligations vis vis du handicap et l introduction syst matique des clauses d insertion dans les appels d offres Ce d bat verra la rencontre d experts d acteurs du secteur et des repr sentants du r seau Adecco tr s engag dans la lutte contre les exclusions e 16h45 17h45 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence LES CHAMBRES D AGRICULTURE Periurbain agriculteurs collectivit s un partenariat gagnant pour des solutions innovantes En zone p riurbaine les collectivit s trouvent dans le partenariat avec l agriculture locale des r ponses leurs attentes en termes d alimentation de qualit dans la restauration collective de chauffage conome en nergie des quipements collectifs de r duction des consommations d eau de pr vention des i
158. tre on reux DMTO destin s aux collectivit s locales tandis que le niveau des concours de l Etat subit le gel en valeur de l enveloppe norm e comme en 2011 Aussi le niveau de l pargne brute a t il l g rement baiss en 2012 il est d environ 312 4MdE Malgr ce repli de l pargne brute les collectivit s locales ont maintenu globalement en 2012 un niveau d investissement hors remboursement de la dette sup rieur celui de 2011 soient 55MdE C est dans le secteur communal que les d penses d investissement progressent le plus significativement En revanche tous les niveaux de collectivit s compte tenu de l volution faible de leurs ressources d investissement affichent un recours plus important l emprunt En effet l acc s au cr dit s est d tendu au cours de l exercice 2012 Fin 2012 l endettement des collectivit s a progress nettement Loi n 2004 809 du 13 ao t 2004 relative aux libert s et responsabilit s locales Le bloc communal malgr l volution favorable des ressources de fiscalit directe locale enregistre en 2012 un tassement de sa capacit de financement Cependant il poursuit son effort d quipement entam en 2011 en le finan ant par un plus large recours l emprunt Par ailleurs 2012 est le premier exercice de mise en uvre du FPIC m canisme national de p r quation horizontale qui a redistribu 150ME Dans les d partements l effet de ciseau entre volut
159. ts pour inciter la coh rence entre l Etat et les collectivit s territoriales Les auteurs du rapport proposent d inciter les collectivit s territoriales n gocier et faire valider leur d marche de marketing territorial aupr s des partenaires de la politique de marque France Cette mesure serait inscrite dans la r forme de la d centralisation Ainsi les principales collectivit s r gions et m tropoles seraient amen es signer avec le GIE un contrat sur le mod le du contrat de destination en cours de mise en place dans le secteur du tourisme L objet d une telle incitation n est pas de freiner ou de remettre en cause l identit particuli re de tel ou tel territoire pr cise toutefois le rapport mais plut t de s assurer de la coh rence des initiatives gage d une plus grande efficacit pour l ensemble des partenaires Outre ces mesures le rapport propose de se doter d un portail internet f d rateur nomm france fr et g r par le GIE de lancer le France store en compl ment de ce portail internet et de tenir annuellement un 14 juillet conomique sous forme d une Conf rence nationale de la marque France en pr sence du chef de l Etat Les r ponses du Salon des Maires 2013 en mati re de D veloppement conomique Le secteur D veloppement conomique 2 3 des exposants du Salon des Maires 2013 et les secteurs d activit conomique suivants D veloppement conomique Distribut
160. ts et autres informations du salon Rappel En 2012 57 962 visiteurs dont 46 d lus 25 de d cideurs territoriaux et 29 de visiteurs issus du secteur priv de la ville ont particip au Salon des Maires Tendances de l offre du Salon des Maires 2013 Le Salon des Maires et des Collectivit s Locales est le seul rendez vous annuel national qui r unit tous les grands acteurs de la commande publique avec l ensemble de leurs partenaires institutionnels ou sp cialis s dans la gestion les services l am nagement et le d veloppement des villes d partements et r gions de France Premi re manifestation professionnelle du secteur des collectivit s locales ce salon offre aux d cideurs de lachat public lus et d cideurs territoriaux des r ponses et solutions concr tes aux probl matiques et besoins rencontr s dans l exercice quotidien de leurs missions Le Salon des Maires est un outil au service des d cideurs locaux afin d optimiser de rationaliser et de mutualiser leurs d penses Des solutions polyvalentes et mutualis es pour des d penses rationalis es et optimis es Alors que la question du d veloppement durable et du respect de l environnement est pr sente l esprit de tous les communes intercommunalit s d partements et r gions de France sont la recherche de solutions permettant des conomies d nergie La question de l efficacit nerg tique de ces mat riels v hicules et quipements es
161. uelles Mise en accessibilit des b timents AXSOL Importation et distribution de solutions alternatives d accessibilit COMPOECO La Rampe PMR PASSCOMPO est une passerelle d acc s qui r pond la loi de 2005 sur la mise en accessibilit des b timents SODIMAS 1er Fabricant fran ais ind pendant con oit fabrique et distribue des ascenseurs complets des modernisations et des mises en conformit Outillage PEWAG FRANCE CHAINERIES LIMOUSINES Fabrication de chaines en acier haute r sistance pour le levage l arrimage les quipements agricoles maritimes Promotion Construction AAMOI ASSOCIATION D AIDE AUX MAITRES D OUVRAGE INDIVIDUELS Aide pour les ma tres d ouvrage mise disposition d une biblioth que et de listes de contacts Rencontres avec les organisations professionnelles Intervention aupr s des instances officielles CENTRALE DE CREATION URBAINE Premier sp cialiste fran ais du montage de projet urbain en partenariat public priv EPARECA ETABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL D AMENAGEMENT ET DE RESTRUCTURATION DES ESPACES COMMERCIAUX ET ARTISANAUX Accompagne les collectivit s dans la reconqu te de leurs espaces commerciaux et artisanaux de proximit GROUPEMENT OTA CONCEPTION REALISATION Conception architecturale et technique de b timents publics et priv s en ossature bois suivi complet des tudes pr liminaires jusqu la r ception de chantier conseil et assistance la ma t
162. ues Mais la d mocratisation du sourcing l encouragement bien conna tre son environnement n cessitent plus que jamais d aider les agents adopter un comportement ad quat Une charte de d ontologie peut elle r pondre ce besoin Et si oui comment la concevoir Conf rence sur inscription clubmarches groupemoniteur fr Animateur s Jack LAHALLE Coordinateur national des rencontres march s Groupe Moniteur Intervenant s Samuel DYENS DGA des services du Conseil G n ral du Gard et Pr sident de l ANJT Cyril COUP Avocat Docteur en Droit Avocat associ Cabinet Goutal Alibert amp Associ s Paris Toulouse Bordeaux Alain VERGNE Responsable des achats Direction de la commande publique de la Communaut Urbaine de Bordeaux Jean Marc BINOT R dacteur en chef Achatpublic info gt 13h00 Remise des Troph es de la Commande Publique 2013 troph es dela commande publique Organis s par le journal achatpublic info et le Groupe Moniteur les Troph es de la Commande Publique ont pour vocation de r compenser les organisations soumises au Code des March s Publics ou l ordonnance du 6 juin 2005 Etat collectivit s h pitaux tablissements publics chambres consulaires qui cherchent am liorer l efficacit de leurs politiques d achat L ambition est de r compenser les actions des acheteurs publics qu il s agisse d innovation dans le domaine de la m thodologie et ou de l organ
163. ues ou industrielles ou des eaux pluviales Des collectivit s impact es par la r forme Les communes ou leurs EPCI lorsque les comp tences ont t transf r es sont lourdement impact es par cette r forme car elles endossent potentiellement tous les r les exploitant de r seaux ma tre d ouvrage ex cutant de travaux et gestionnaire du domaine public En tant qu exploitants de r seaux clairage public et signalisation des feux elles sont tenues de s enregistrer sur le guichet unique de cartographier leurs r seaux sensibles de les classifier dans les trois cat gories pour r pondre aux DT transmises et d int grer les r sultats des investigations compl mentaires dans un d lai de six mois En tant que ma tres d ouvrage elles consultent le guichet directement ou par l interm diaire d un prestataire d aide lancent des investigations compl mentaires leur frais venant de donn es en classe B ou en cofinancement pour les donn es existantes en classe C et fournissent la totalit des l ments de proc dure de concertation pr alable DT mises DT re ues et retour des IC lors des proc dures de consultation des entreprises de travaux Les agents des services techniques charg s d effectuer des interventions dans le sous sol proximit des r seaux sensibles devront recevoir une qualification sp cifique et les collectivit s locales se conformer une proc dure d habilitation des personnels autorisation d interve
164. ur le site du secr tariat g n ral du Comit interminist riel de pr vention de la d linquance SG CIPD Cette strat gie succ de au plan national de pr vention de la d linquance et d aide aux victimes 2010 2012 arriv son terme fin 2012 et fixe le canevas des actions locales de pr vention pour les quatre ans venir Si le bilan du pr c dent plan est jug globalement satisfaisant le document pointe les r ticences des maires s emparer des possibilit s que leur offrait la loi du 5 mars 2007 Des maires qui par ailleurs n ont pas toujours trouv la r ponse ad quate leurs besoins La nouvelle strat gie repose elle sur une gouvernance locale renouvel e le maire est confort dans son r le de pivot mais le r le du conseil g n ral est renforc celui ci est associ plus directement l laboration du plan d partemental de pr vention de la d linquance Autre diff rence la strat gie vise tout particuli rement les zones de s curit prioritaires ZSP et les quartiers de la politique de la ville Ses orientations seront d clin es dans les plans d partementaux et int gr es dans les contrats de ville 2014 2020 pr cise le document Concr tement cette strat gie repose sur trois programmes d actions la pr vention de la d linquance des jeunes les plus expos s la pr vention des violences faites aux femmes et l aide aux victimes la tranquillit publique 1
165. ur les r gions sur Twitter toujours en moyenne r alis e par l agence de communication Les Argonautes pour l institut Edgar Quinet octobre 2013 Couverture et qualit des r seaux mobiles Les particuliers les entreprises mais aussi et surtout les lus et les collectivit s territoriales sont tr s attentifs aux questions li es aux services mobiles L arriv e d but 2012 d un quatri me op rateur de t l phonie mobile comme l attribution des fr quences du tr s haut d bit mobile 4G dont les premiers d ploiements sont d j engag s ont relanc les questions et les d bats li s la couverture et la qualit des services mobiles Chacun des trois op rateurs historiques couvre en 2G plus de 98 de la population m tropolitaine et satisfait donc aux obligations qui lui incombe en vertu de son autorisation en termes de pourcentage de la population couvrir Le quatri me op rateur ne disposant pas de r seau 2G il b n ficie cependant jusqu en 2018 d un droit l itin rance 2G sur les autres r seaux Les zones grises qui sont couvertes par un ou deux op rateurs 2G mais pas par les trois repr sentent 1 23 de la population et 11 7 de la surface m tropolitaine Dans la majorit des cas ces zones grises sont couvertes par deux op rateurs 1 03 de la population et 8 29 de la surface m tropolitaine Les op rateurs 2G ont poursuivi en 2012 leurs investissements pour l extension de la couv
166. urs haute pression lectriques ou thermiques mobiles ou stationnaires aspirateurs poussi res et eau poussi res injecteurs extracteurs Accessoires et d tergents NILFISK D veloppe depuis plus de 100 ans du mat riel de nettoyage professionnel et est devenu l un des leaders mondiaux dans la fabrication des solutions et quipements professionnels de nettoyage TENNANT FRANCE Production commercialisation et entretien de balayeuses aspiratrices de voirie et de machines de nettoyage industriel Transports Publics LEITNER Constructeurs de Syst mes de transports par C ble Tramway A rien Mini m tro Funiculaire T l ph rique D brayable T l cabine V hicules LINDNER Constructeur v hicule polyvalent MAM STRAGER V hicules communaux LOUVEO Location moyenne dur e de v hicules de particuliers et utilitaires V hicules nergie propre MEGA Constructeur de v hicules respectueux de l environnement GOUPIL Conception et fabrication de v hicules lectriques pour les collectivit s L actualit des Collectivit s Locales en mati re de Pr vention S curit Fiche 13 Strat gie nationale de pr vention de la d linquance et nouvelle police territoriale Strat gie nationale de pr vention de la d linquance 2013 2017 La strat gie nationale de pr vention de la d linquance 2013 2017 valid e fin mai par le Premier ministre a t en ligne au mois de juillet dernier s
167. utions pour gymnases salles de sport salles polyvalentes GERFLOR Rev tements de sols souples Solutions innovantes d coratives co responsables pour le sol et sa p riph rie JUNCKERS FRANCE Sp cialiste des parquets massifs techniques pour le sport les salles polyvalentes les sc nes et les environnements fort trafic JUTA Conception et fabrication de gazons synth tiques usages sportifs et paysagers Gazons sportifs Gazons multisports Gazons ornementaux LANO SPORTS Gazons Synth tiques Paysagers et Sportifs LIMONTA SPORTS Fabricants de rev tements et sols sportifs Football Rugby Hockey remplissage naturel pour gazons synth tiques et de gazons synth tiques d coratifs TARKETT FRANCE Leader dans l industrie des gazons synth tiques Vacances Voyages Tourisme ANCV L Agence Nationale pour les Ch ques Vacances a pour mission de favoriser l acc s aux vacances et aux loisirs pour tous Elle joue un r le essentiel dans le d veloppement de l activit conomique et le maintien de l emploi saisonnier dans les territoires Le programme des v nements du Salon des Maires 2013 Fiche 14 Les 6 th mes de conf rences du Salon des Maires 2013 Les Ateliers techniques et Conf rences exposants du Salon des Maires sont regroup s en 6 th mes gt Am nagement urbain gt Environnement amp Energie gt Sant Social gt Services et d veloppement conomique gt Sports Loisir T
168. ux d bats MERCREDI 20 NOVEMBRE 2013 e _10h00 11h00 Pavillon 3 Salle 31 Conf rence JUWI EnR Energies renouvelables ces communes qui ont choisi une croissance verte Alors que les dotations de l Etat diminuent certaines communes conservent leur dynamisme Elles ont choisi de miser sur leurs ressources naturelles pour r pondre aux attentes de leurs habitants Venez partager l exp rience d un maire qui a d cid d accueillir un parc olien sur son territoire il y a 5 ans L AMRF et juwi EnR vous proposeront des pistes de r flexion pour que vous puissiez vous aussi engager une croissance verte sur votre commune e _10h00 11h00 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence GrDF Le projet Compteurs Communicants Gaz un maillon n cessaire pour une politique d efficacit nerg tique au profit des territoires et des clients finals GrDF pr voit de d ployer ses compteurs communicants permettant de relever quotidiennement distance les compteurs de gaz entre 2016 et 2022 L objectif principal de ce projet est de favoriser la ma trise de l nergie Sa r ussite n cessite l implication de toutes les parties prenantes Les collectivit s locales sont un acteur majeur de la r ussite du d ploiement et de l utilisation des donn es au service de l efficacit nerg tique e 11h15 12h15 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence SOLAIRE DIRECT Th me venir e 12h30 13h30 Pavillon 3 Salle 30 Conf rence RTE Du loca
169. vement des ordures m nag res pourrait tre supprim au profit d une seule redevance sp ciale indique la feuille de route Pour d velopper l cologie industrielle et territoriale EIT dans les territoires le gouvernement veut d finir une strat gie nationale en 2014 et produire un guide m thodologique destination des collectivit s De plus les nouveaux contrats de plan Etat r gions CPER soutiendront l EIT Emploi quatre fili res prioritaires Le volet emploi formation et transition cologique de la feuille de route se donne pour premier objectif de mieux conna tre les effets sur l emploi de la transition cologique et nerg tique pour mieux s y adapter Dans la continuit de la conf rence sociale il s agit de d velopper les analyses prospectives relatives aux secteurs d activit s m tiers et comp tences de la transition cologique Il faudra m ler une approche sectorielle en int grant notamment une analyse sp cifique des comp tences li es la transition cologique et nerg tique dans le rapport sur les m tiers de demain qui sera partag entre l Etat les r gions et les partenaires sociaux au premier semestre 2014 et une approche territoriale en intensifiant les travaux territoriaux sur les besoins en comp tences et en formation Le gouvernement affirme galement sa pr occupation de partager ces volutions pour mieux prendre en compte leurs cons quences en mati re d emplois et de formation
170. vestissement apr s s tre acquitt es du remboursement de leur dette en capital Ce ratio faiblit depuis 2002 Les r gions envisagent de maintenir leur effort d investissement en faisant appel l emprunt pour le financer Leur niveau d endettement devrait atteindre 20MdE fin 2013 Taux d autofinancement net 70 0 60 0 r gions d partements secteur communal 50 0 40 0 30 0 20 0 10 0 ou o0 o 00 w oo 0 A oc 00 20 20 0 a Premiers r sultats Estimations Sources DGFiP DGCL La cotisation fonci re des entreprises CFE est l une des 2 composantes de la contribution conomique territoriale CET avec la cotisation sur la valeur ajout e des entreprises CVAE Contrairement la taxe professionnelle dont elle reprend l essentiel des r gles la CFE est bas e uniquement sur les biens soumis la taxe fonci re Cette taxe est due dans chaque commune o l entreprise dispose de locaux et de terrains Etat des lieux des Collectivit s Locales en 2012 Fiche 3 Une commande publique de plus en plus durable La commande publique fran aise 87 8 milliards d euros en 2011 selon les chiffres de l Observatoire conomique de l achat public Elle constitue un levier majeur pour orienter les march s vers une meilleure prise en compte du d veloppement durable A l heure o notre mode de consommation montre ses limites puisement des ress
171. vette fluviales ou maritimes et de t l ph riques urbains Les projets concernant les modes lourds seront subventionn s hauteur de 20 30 millions d euros du kilom tre le bus haut niveau de service de 5 8 millions du kilom tre les transports par c ble hauteur de 20 millions d euros par projet Un bonus sp cial est pr vu pour les projets contribuant l am lioration de la dessert des quartiers prioritaires de la ville qui b n ficieront d un taux major de 10 La contribution de parkings v los quant elle sera subventionn e hauteur de 500 000 euros En revanche les projets de v lo en libre service et d auto partage ne sont pas ligibles La nouveaut de ce troisi me appel projets concerne les projets concourant un objectif chiffr et contractualis de report modal c est dire de report de la voiture vers les transports collectifs Contractualis signifiant ici que les subventions ne seront vers es qu au vu de la r alisation de l objectif chiffr Les collectivit s locales ont pr sent pr s de 120 projets pour un investissement global d environ 5 8 milliards d euros en r ponse l appel d offres lanc par le gouvernement portant sur les transports collectifs et la mobilit durable cl tur le 15 septembre Le nombre de projets d passe largement les pr visions du minist re preuve que la transition cologique peut tre impuls e et concr tis e au plus pr s de
172. vit conomique suivants B timent Bureau d tudes Contr le Construction Entretien Voirie Routes R seaux urbains Hygi ne Immobilier Mise en accessibilit des b timents Outillage Promotion Construction R novation et Entretien de B timents Second uvre Travaux Publics VRD Vous retrouverez ces exposants dans le Pavillon 2 2 Parmi ces secteurs d activit conomique on peut noter la pr sence des exposants suivants qui r pondront aux attentes et besoins des visiteurs en mati re de B timent Travaux publics Voirie B timent BELLIARD Sp cialiste de la charpente couverture LES CONSTRUCTIONS DASSE Constructions modulaires et industrialis es MATHIS Gamme EcoConstruction des quipements publics cl s en main la fois cologiques conomiques conomes en nergie en 6 9 mois chrono Savoir faire et d innovation dans la construction bois MIDALI FRERES L entreprise intervient sur plusieurs secteurs d activit s Les r seaux humides Les r seaux secs Le b timent g nie civil Le terrassement La topographie et les tudes Le retraitement des mat riaux L affermage de r seau d eau et d assainissement PAREXGROUP Solutions couvrant un large domaine d applications dans l univers de la construction la d coration et la protection des fa ades du b ti neuf et du b ti ancien l isolation thermique par l ext rieur la pr paration des supports et la pose du carrelage l
173. x cutant des travaux Toute d claration doit obligatoirement tre pr c d e d une consultation du guichet unique accessible en ligne qui recense la totalit des r seaux pr sents sur le territoire Afin de garantir la s curit des chantiers effectu s sur le domaine public ou sur des propri t s priv es proximit des ouvrages souterrains a riens ou subaquatiques et limiter les risques d accident les exploitants des r seaux doivent obligatoirement enregistrer et mettre jour les zones d implantation de leurs r seaux et ouvrages sur le t l service du guichet en ligne Les r seaux concern s sont les canalisations de transport de distribution et les canalisations mini res contenant des hydrocarbures liquides des produits chimiques liquides ou gazeux des gaz combustibles de vapeur d eau d eau et de tout fluide caloporteur ou frigorig ne les lignes lectriques et r seaux d clairage public les installations destin es la circulation de v hicules de transport public ferroviaire ou guid m tros tramways t l ph riques etc les canalisations de transport de d chets par dispositif pneumatique sous pression les installations de communications lectroniques les canalisations d eau sanitaire industrielle ou de protection contre l incendie en pression ou l coulement libre y compris les r servoirs d eau enterr s et les canalisations d assainissement contenant des eaux us es domestiq
174. x de la ville 2 0 e 14h15 15h15 Pavillon 2 1 Salle 21 Conf rence TEAMNET E administration usages et bonnes pratiques pour une organisation et des services aux usagers pertinents Pr curseur en mati re d e administration la Ville de Tourcoing a mis en uvre avec succ s un vaste projet de t l services et de d organisation de ses services autour des solutions d administration lectronique telles que le parapheur lectronique M Jaysing JEEAWOCK Dir de l Informatique et des T l communications de la Ville de Tourcoing a conduit ce projet Il pr sentera le retour d exp rience de la Ville et les b n fices constat s les solutions adopt es ainsi que les crit res de choix et les fonctionnalit s indispensables pour s quiper d un e parapheur Plan d Acc s Presse du Salon des Maires 2013 salon PLAN D ACC S des maires ACCUEIL PRESSE SALON et des collectivit s locales Pavillon 4 96 Congr s des Maires Pavillon Salon des Maires et des Collectivit s Locales Deponien hi se s dleet v hicul qes lo liques Entr e salon EGET congressistes Pavillon ENTREE PORTE Acc s pi tons Porte de Versailles Pavillon 4 Aires de Jeux Equipements sc niques Congr s des Maires Energie a E a ENTR E SALLE DE PRESSE Meme l entretien de wi ACCREDITATIONS Durs et d espaces ver Bureau d tude Contr le Illuminations Eclairage urbain Pavage Dallage Am na

Dossier de presse SMCL 2006 - Salon des Maires et des

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