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Livret Colloque 2014 - Université Claude Bernard Lyon 1

1. le programme suivi les actions d am lioration mises en uvre et de pouvoir justifier les actions entreprises en conservant tous les documents susceptibles de lui tre demand s Il s agit par exemple d attestation de pr sence une activit de compte rendu de r union de r sultats d valuation de fiche de suivi d actions d am lioration exemple nouvelle proc dure de prise en charge le cas ch ant etc LISTE DES M THODES UTILISABLES DANS LE CADRE DU DPC Pour construire leurs programmes de DPC les organismes de DPC sont invit s choisir parmi les m tho des cit es ci dessous les mieux adapt es aux contextes de soins aux objectifs poursuivis aux attentes des professionnels et aux d marches d j entreprises Le tableau synth tique suivant pr sente la liste des m thodes selon un classement par type d approche Cette liste a vocation tre volutive Approche dominante activit s 1 P dagogique ou cognitive 1 1 En groupe e formation pr sentielle congr s scientifi que s minaire colloque journ e ee atelier formation interactive formation A completer par une activit d analyse universitaire des pratiques e revue bibliographique et analyse soit int gr e la d marche cognitive au d articles moment de l identification des besoins de formation ou de l valuation de l impact 1 2 Individuelle e formation distance
2. 20 16 d cembre 2012 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRAN AISE Texte 7 sur 70 Si OUI pr ciser la nature de ces liens notamment dans le cadre de l laboration de dipl mes universitaires pouvant tre reconnus comme programmes de d veloppement professionnel continu en pr cisant le s domaine s et le s public s cibl s II Qualit s et r f rences des intervenants Description de la structure comit de pilotage comit de recherche conseil scientifique en charge de la conception et de la mise en ceuvre des programmes de d veloppement professionnel continu et du profil des responsables de cette structure l aide de la d claration de profil jointe la demande d enregistrement Description des l ments sur lesquels l organisme se fonde pour choisir ses intervenants mode d exercice sp cialit formation grade universitaire membre d une soci t savante et de leur exp rience relative la ma trise des m thodes d analyse des pratiques professionnelles Ind pendance financi re L organisme d taille l origine de ses recettes a Inscription des participants b Cotisation des adh rents Organisme paritaire collecteur agr d Organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu ou organisme gestionnaire conventionnel e FIF PL f FAF PM g Entreprises fabrigant ou distribuant des produits de sant h Autres L organisme d clar
3. acquisition perfectionnement des connaissances comp tences lors d une activit explicite qui comporte un temps d di des objectifs p dagogiques des supports p dagogiques reposant sur des r f rences actualis es scientifiques r glementaires thiques organisationnelles consensus d experts valuation notamment de l acquisition des connaissances et une restitution des r sultats aux professionnels Ces deux activit s sont articul es entre elles sans ordre pr d fini et sont planifi es Ces deux activit s pr voient un temps d change entre les participants au programme et concernant leurs pratiques difficult s rencontr es modalit s de prise en charge r sultats obtenus L ind pendance de toute influence notamment l gard des entreprises fabriquant ou distribuant des produits de sant est garantie art 4021 25 du d cret 2011 2113 du 30 d cembre 2011 relatif l organisme gestionnaire du DPC OGDPC La confidentialit des donn es personnelles des professionnels de sant celles relatives leurs pratiques et celles des patients est garantie 2 Les supports utilis s papiers num riques Les supports utilis s pour d crire les pratiques recommand es supports p dagogiques r f rentiels d analyse des pratiques utilisent des r f rences scientifiques identifi es Les supports ne comportent aucune promotion Les auteurs des supports sont
4. assurance de personnes r flexions Martine REVERBERI M decin chef de la CNP sise esse pe 8 DPC quel bilan pour les universit s quelles perspectives Isabelle RICHARD Doyen de la Facult de m decine d Angers ss p 12 Perspectives le DPC en marche Philippe ORCEL Membre de la CSI du DPC des m decins ss sine 13 R f rences HAS m thodes et modalit s de DPC D cembre 2012 sense 14 JO Arr t du 12 d cembre 2012 Dossier d enregistrement ODPC 18 Arr t du 26 f vrier 2013 Orientations nationales De 22 Arr t du 19 juillet 2013 Crit res d valuation ses 26 IGAS Synth se du rapport d avril 2014 seen 29 Sch ma de fonctionnement du DPC ses seen 33 Notes ns nee etes detente re terne nettes D 31 KK K K K K K K K K K K Colloque DPC SU 2014 DPC Mode d emploi et change d exp riences Programme Jeudi 5 juin 2014 16h00 Accueil des participants caf et orientation vers les 3 ateliers 16h15 18h15 le DPC Mode d emploi et change d exp riences ateliers au choix Evaluation initiale de groupe en ateliers Discussion partir du r cent rapport de l IGAS A1 Salle V1 4 Enqu te de besoin et choix d une m thode de DPC o Animateurs Daniel SERENI et Claude CONRI A2 Salle V1 5 D claration des liens d int r t et gestion des conflits dans le cadre du DPC o Ani
5. e learning de la formation supports crits et num riques soit externalis e en compl ment de e formations dipl mantes ou certifiantes l activit cognitive et articul e avec elle autres que les dipl mes universitaires DU valid s par les CSI et la CSHCPP Certains DU valid s par les commissions scientifiques ind pendantes ou du Haut Conseil des professions param dicales permettent aux profes sionnels de valider automatiquement leur DPC Ils ne sont donc pas concern s dans cette liste art 4133 5 art R 4143 5 art 4153 5 art 4236 5 art R 4382 5 des d crets relatifs au DPC du 30 d cembre 2011 3 16 dominante activit s 2 Analyse des pratiques 2 1 Gestion des risques M thodes de revue de mortalit et de morbidit RMM comit de retour d exp rience CREX revue des erreurs m dicamen teuses REMED analyse a priori des risques analyse de processus analyse des modes de d faillance et de leurs effets AMDE 2 2 Revue de dossiers et analyse de cas groupe d analyse de pratiques staff des quipes m dico soignantes ou m dico techniques pratiques r flexives sur situations r elles r unions de concertation pluridiscipli naire revue de pertinence 2 3 Indicateurs e suivi d indicateurs e registres observatoire base de donn es e audit clinique 2 4 Analyse des parcours e che
6. infections nosocomiales infections li es aux soins la s curisation de la prise en charge de la th rapeutique m dicamenteuse du patient l h pital ou en ville circuit du m dicament la connaissance par les professionnels des responsabilit s juridiques des diff rents corps de m tiers la lutte contre le m susage et le d tournement de certains m dicaments la radioprotection des patients et des professionnels de sant en radioth rapie en m decine nucl aire en radiologie et en radio pharmacie IV Orientation n 4 contribuer l am lioration des relations entre professionnels de sant et au travail en quipes pluriprofessionnelles S inscrivent dans cette orientation les programmes de d veloppement professionnel continu ayant notamment pour objectifs l laboration de r f rentiels communs et de coop rations professionnelles la coordination de la prise en charge organisation plans de soins protocoles pluridisciplinaires dossier m dical notamment au niveau territorial relation entre m decins traitants et correspondants les coop rations entre professionnels de sant relevant des articles L 4011 1 et suivants du code de la sant publique la formation des ma tres de stage ou des tuteurs d tudiants des professions de sant le d veloppement des syst mes d information et le dossier m dical dossier m dical personnel et dossier pharma
7. l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu Arr te Art 1 La demande d enregistrement en qualit d organisme de d veloppement professionnel continu mentionn e l article R 4021 23 du code de la sant publique est constitu e d un formulaire comprenant notamment les informations figurant en annexe I du pr sent arr t La demande est accompagn e des pi ces justificatives qui figurent en annexe Le dossier d enregistrement comporte le dossier d valuation pr vu l article R 4021 24 du m me code et dont le contenu est pr cis en annexe du pr sent arr t La demande d enregistrement ne peut tre d pos e chaque ann e aupr s de l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu qu au cours des p riodes suivantes 1 Entre le 1 janvier et le 31 janvier 2 Entre le 1 avril et le 30 avril 3 Entre le 1 septembre et le 30 septembre La demande d enregistrement est mise en ligne sur le site de l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu http www ogdpc fr La demande d ment remplie et compl t e des pi ces justificatives est adress e a l organisme gestionnaire sous forme lectronique Les demandes d enregistrement rectificatives pr vues au I de l article 4021 23 sont pr sent es selon le calendrier mentionn ci dessus Art 2 Le dossier est r put complet si dans le d lai d
8. toute son importance et tout son int r t La qualit de nos pratiques de soins est au del de l obligation l gale d finie dans la loi HPST une obligation thique et d ontologique La France est la traine dans ce domaine car elle n a jamais su exploiter le potentiel consid rable de formation qu elle est capable de produire Les rivalit s querelles de clochers l ind cision des politiques en sont la cause Le DPC est une d marche qualit en ce sens o il incite chaque praticien am liorer par une action de formation un domaine o il a identifi des lacunes ou insuffisances lors d une premi re tape d analyse de ses pratiques Un programme de DPC consiste donc juxtaposer un volet analyse des pratiques et un volet approfondissement des connaissances l un et l autre devant r pondre des m thodes pr cises peu complexes pour la plupart labor es par la Haute Autorit de Sant Ces programmes sont port s par des organismes de DPC ODPC dont RhumatoDPC pour notre sp cialit voir par ailleurs l article de Blandine Gerbay valid s par la CSI Point important le financement de ce dispositif est loin d tre n gligeable avec une r mun ration des ODPC pour chaque programme d livr chaque praticien de plus les m decins lib raux sont indemnis s pour le temps pass dans leur programme de DPC et les m decins salari s peuvent faire ces programmes dans le cadre de leur temps de tra
9. tre l occasion de reposer de fa on pragmatique et financi rement soutenable la question d une obligation de formation continue des professionnels de sant Celle ci doit s envisager a partir d une palette de formats des formats de DPC la r alisation d un formation dipl mante KK K K K k K Le DPC en Philippe ORCEL 1 Membre de la Commission Scientifique Ind pendante du DPC des m decins Ca y est enfin Le DPC n est plus une illusion une arl sienne un mythe tous les l ments du dispositif sont en place le DPC a bien d marr Oh certes tout n est pas encore parfait et les d tracteurs peuvent encore se complaire dans leurs commentaires ironiques Il reste des r glages a peaufiner les programmes doivent tre d velopp s et am lior s les syst mes informatiques doivent tre am lior s la machine administrative doit am liorer sa fluidit Mais l important est d avoir pu enclencher la dynamique d avoir mis en marche la machine Car l enjeu n est pas n gligeable le DPC n est pas un acronyme sot rique sorti d un esprit technocratique voulant imposer une pression de contr le aux professions de sant Le DPC existe d j dans de nombreux pays nord am ricains europ ens continuing professional development ou CPD et ce concept a d montr qu il est parfaitement op rationnel et qu il contribue am liorer la qualit des pratiques C est bien l
10. 2013 Texte n 8 ARRETE Arr t du 26 f vrier 2013 fixant la liste des orientations nationales du d veloppement professionnel continu des professionnels de sant pour l ann e 2013 NOR AFSH1305484A La ministre des affaires sociales et de la sant Vu le code de la sant publique notamment les articles R 4133 3 R 4143 3 R 4153 3 R 4236 3 R 4242 1 et R 4382 4 Vu lavis de la commission scientifique ind pendante des m decins en date du 22 janvier 2013 Vu lavis de la commission scientifique ind pendante des chirurgiens dentistes en date du 14 janvier 2013 Vu lavis de la commission scientifique ind pendante des sages femmes en date du 25 janvier 2013 Vu l avis de la commission scientifique ind pendante des pharmaciens date du 26 d cembre 2012 Vu l avis de la commission scientifique du Haut Conseil des professions param dicales en date du 31 janvier 2013 Consid rant les objectifs du d veloppement professionnel continu qui comprennent l valuation des pratiques professionnelles le perfectionnement des connaissances l am lioration de la qualit et de la s curit des soins ainsi que la prise en compte des priorit s de sant publique et de la ma trise m dicalis e des d penses de sant Consid rant les actions figurant dans les conventions et accords organisant les rapports entre les professionnels de sant lib raux les centres de sant et l assurance maladie Consid rant l
11. Cela dit nous ne sommes pas l pour faire oublier que la formation continue des professionnels de sant d passe largement le cadre strict et l gal de l actuel DPC et chaque professionnel de sant continuera aussi se former au gr de ses motivations propres et avec les moyens adapt s sa personnalit KK KK KKK IN Le D veloppement professionnel continu l chelon europ en un r le pour les organisations professionnelles Fr d ric DESTREBECQ Directeur g n ral de l UEMS Le d veloppement professionnel continu DPC est reconnu comme faisant partie int grante de l thique professionnelle de la profession m dicale Selon la charte europ enne adopt e par l UEMS en 2001 D claration de B le le DPC est d fini comme les m thodes p dagogiques de mise niveau de d veloppement et de renforcement de la mani re avec laquelle les m decins appliquent leurs connaissances aptitudes et attitudes dans leurs activit s et environnement professionnels C est pourquoi l UEMS consid re le DPC comme essentiel pour assurer de hauts standards de pratique professionnelle cet effet le DPC est entendu comme englobant la sph re de la formation m dicale continu e FMC consid r e comme purement th orique Comme le r v lent les sondages successifs organis s par l UEMS le panorama europ en en mati re de DPC est largement diversifi certains pays ayant opt pour un mod le restrictif et contraignant alors que
12. code du travail la promotion professionnelle d finie l article L 6313 4 du code du travail la radioprotection des personnes pr vues l article L 1333 11 du code de la sant publique d finie l article L 6313 8 du code du travail l conomie et la gestion de l entreprise d finies l article L 6313 9 du code du travail le bilan de comp tences d fini l article L 6313 10 du code du travail la validation des acquis d exp rience d finie l article L 6313 11 du code du travail Fait le 26 f vrier 2015 Pour la ministre et par d l gation Le directeur g n ral de l offre de soins J Debeaupuis 26 juillet 2013 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANGAISE Texte 17 sur 102 Decrets arr tes circulaires TEXTES GENERAUX MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Arr t du 19 juillet 2013 relatif aux modalit s d appr ciation des crit res d valuation pr vues l article R 4021 25 du code de la sant publique NOR AFSH1314131A La ministre des affaires sociales et de la sant Vu le code de la sant publique notamment les articles R 4021 25 et suivants Vu l arr t du 12 d cembre 2012 relatif la composition du dossier de demande d enregistrement en qualit d organisme de d veloppement professionnel continu et du dossier d valuation pr vus aux articles R 4021 23 et R 4021 24 du code de la sant publique Vu la proposition
13. d autres ont mis en place un syst me sur base volontaire Dans le contexte de cette h t rog n it g n ralis e l UEMS a mis en place d s 1999 un syst me d accr ditation europ en de FMC DPC qui visait d s sa cr ation permettre aux m decins de valoriser leur participation des congr s internationaux organis s hors de leurs fronti res tout en b n ficiant de la garantie quant la qualit de ces v nements Pour ce faire des crit res explicites ont t dict s afin de guider le travail des experts charg s d valuer les programmes soumis accr ditation L UEMS t amen e cr er un tel syst me sur une base volontaire afin de soutenir les professionnels m dicaux dans leur devoir thique de maintenir leurs comp tences mais apporte galement une valeur ajout e en la cr ation d un r seau d autorit s nationales d accr ditation Ces autorit s nationales en contribuant l laboration d un corps commun de crit res pour l valuation des v nements de FMC DPC sont amen s am liorer leur propre degr d exigence et la qualit m me de leurs standards nationaux Ce m canisme t mis sur pied en dehors de tout cadre l gislatif europ en sur le sujet La directive europ enne sur la reconnaissance des qualifications professionnelles n a que tr s sporadiquement adress cette question La notion de FMC DPC dans le cadre de la directive n est apparue qu avec la directive consolid e adopt e e
14. et d taill e des modalit s de financement de l organisme et de ses ventuels sous traitants et des d clarations des liens d int r t de tous les membres de l instance d cisionnelle et du conseil scientifique lorsqu il existe 3 En cas de prestation indirecte locaux intervenant mise disposition de mat riel etc analyse des proc dures et moyens mis en uvre par l organisme visant pr server l ind pendance du contenu des programmes r Libert Egalit Fraternit REPUBLIQUE FRANCAISE Inspection g n rale des affaires sociales Controle de l Organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu et valuation du d veloppement professionnel continu des professionnels de sant RAPPORT DEFINITIF Etabli par Bertrand DEUMIE Philippe GEORGES Membres de l Inspection g n rale des affaires sociales Jean Philippe NATALI Interne de sant publique Stagiaire l Inspection g n rale des affaires sociales Avril 2014 2013 126R IGAS RAPPORT N 2013 126R 3 1 2 3 4 5 6 7 8 9 SYNTHESE Une nouvelle architecture de la formation continue des professionnels de sant a t cr e en 2009 dans le cadre de 1 loi dite HPST Elle a pris le nom de d veloppement professionnel continu DPC Le sch ma de cette architecture est simple les professionnels de sant ouvrent un compte aupr s d un organisme national d n
15. identifi s et leurs liens d int r ts sont port s a la connaissance des participants Les autres sources de financements ventuels sont affich es Les supports issus de la presse scientifique professionnelle respectent des crit res de qualit d crits dans une fiche sp cifique D cret 2011 2114 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des professionnels de sant param dicaux d cret 2011 2115 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des chirurgiens dentistes d cret 2011 2116 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des m decins d cret 2011 2117 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des sages femmes d cret 2011 2118 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des pharmaciens 15 3 Les intervenants auteurs formateurs concepteurs experts Tous les intervenants sont tenus de faire conna tre a l ensemble des participants en d but de pr sen tation programme session les liens d int r ts qu ils entretiennent notamment avec les entreprises et tablissements produisant ou exploitant des produits de sant m L expertise p dagogique scientifique ou m thodologique des intervenants est port e a la connais sance des participants 4 La tra abilit de engagement des professionnels Il est demand a chaque professionnel de sant de d crire son implication dans le programme de DPC en renseignant chaque ann e un bilan individuel d activit Celui ci comprend au minimum 1 besoins identifi s par le professionnel
16. interne 6 Moyens mis en uvre pour valuer les effets des programmes propos s aux professionnels de sant sur leurs pratiques am lioration de la qualit de la prise en charge volution des comp tences professionnelles 7 Coh rence du profil des concepteurs ou quipe de programme de DPC avec le public vis 8 Coh rence du profil des op rateurs mettant en uvre les programmes de DPC avec le public vis publications dans des revues professionnelles exp rience dans le domaine de l analyse des pratiques professionnelles et modalit s de communication de leurs liens d int r ts 27 26 juillet 2013 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANGAISE Texte 17 sur 102 9 En cas de sous traitance r alisation par l organisme d clarant d une partie du programme propos pr ciser les m thodes et la partie sous trait e 10 En cas de lien existant avec l universit capacit du dipl me universitaire int grer un programme de DPC Rubrique III ind pendance financi re de l organisme de DPC 1 Pourcentage du financement des entreprises fabriquant ou distribuant des produits de sant dans les recettes totales de l organisme sur la derni re ann e d exercice 2 En cas de pourcentage sup rieur 0 analyse des proc dures et moyens mis en uvre par l organisme visant pr server l ind pendance du contenu des programmes travers en particulier une pr sentation explicite
17. professionnel Parmi toutes les pistes possibles a r cemment favoris la mise en place de MOOCs Ainsi d s le d but de l ann e 2013 nous avons travaill sur un intitul E Learn Celui ci a t r alis dans le cadre d une formation cr dit e destin e aux enseignants Ainsi en tant que concepteurs nous avons resc naris les activit s propos es en prenant en compte l apport potentiel de la communaut partir de cette premi re exp rience d s la fin 2013 nous avons propos une formation autour des Mooc aux enseignants de notre Universit pour les aider dans la mise en place de leur projet A la suite de celle ci nous avons r alis un SWOT A partir de la vingtaine de projets identifi s initialement nous avons affin la d marche pour permettre aux enseignants d tre plus efficaces dans la mise en place de MOOCs sur la plateforme Claroline Connect Notre r le de concepteur implique donc un accompagnement essentiellement p dagogique et technique qui nous semble incontournable pour permettre aux enseignants de comprendre le fonctionnement d un MOOC de profiter des avantages li s cette forme de p dagogie tout en prenant en consid ration les limites qu elle entra ne et ce dans une logique d apprentissage K K K kK K k K A Massive Open Online Course du Centre Virchow Villerm une formation a distance de masse destin e a la sant publique Anto
18. 14 d cembre 2013 La concertation doit s tendre l laboration des textes afin que la r forme s labore sans ambigu t et recueille la meilleure adh sion des acteurs Une v ritable conduite de projet doit tre organis e pour la mettre en uvre 16 Les r sultats enregistr s par l OGDPC selon lesquels la hausse des effectifs ayant suivi une formation est conforme aux objectifs de croissance permettent de prendre le temps de cette concertation et de respecter les r gles de l art de la gestion notamment des projets informatiques 17 Un premier sc nario consiste maintenir le syst me actuel en en corrigeant les dysfonctionnements Dans ce cadre il s agit de redonner confiance aux acteurs dans le dispositif en consolidant le financement du DPC et en assortissant l obligation d un jeu de sanctions r elles Les proc dures doivent tre simplifi es et la qualit technique des formations assur e La mission propose galement d all ger la gouvernance de garantir une concurrence loyale entre organismes de formation et de clarifier les relations entre les employeurs et leurs salari s IGAS RAPPORT N 2013 126R 5 18 19 20 21 22 23 Le nombre important de retouches 4 effectuer peut cependant conduire s interroger sur des simplifications plus radicales du syst me actuel La mission a propos un jeu de sc narios sc narios 2 3 et 4 qui offrent un champ plus ouvert la concertat
19. D Colloque DPC SU DPC Sante Universite Jeudi 5 et vendredi 6 juin 2014 Formation Continue en Sant Universit PARIS DIDEROT we Site Villemin 3 colloque l association nationale des responsables universitaires de D veloppement Professionnel Continu en Sant Diffusion sur Internet par CANAL U en direct et en diff r Site de DPC SU http www dpcsu colloque fr SOMMAIRE DU LIVRET PEDAGOGIQUE Programme GU CONOG WE sai vodaavecdsseocatdave Pod Propos introductif Mary H l ne BERNARD Pr sidente et Patrick DISDIER Secr taire 50 2 Le d veloppement professionnel continu l chelon europ en un r le pour les organisations professionnelles Fr d ric DESTREBECQ Directeur G n ral de 5 3 Suivi du colloque 2013 Les MOOCs R le du concepteur Christophe BATIER Directeur Technique du service TICE de l Universit 21 p 4 R le de l enseignant Antoine FLAHAULT Co Directeur du Centre Virchow Villerm Paris amp Berlin 5 Le DPC opportunit majeure pour le d veloppement de la culture de s curit et la gestion des risques a l h pital Philippe MICHEL Directeur Qualit aux Hospices Civils de Lyon see 6 Formation m dicale continue et compagnie d
20. Domecq S Kret M Comparaison des deux Etudes Nationales sur les Ev nements Ind sirables graves li s aux Soins men es en 2004 et 2009 Rapport final a la DREES Minist re de la Sant et des Sports Paris septembre 2011 n 109 http www sante gouv fr IMG pdf serieetud109 pdf 3 Haut Conseil de la sant publique Pour une politique globale et int gr e de s curit des patients principes et pr conisations La documentation fran aise novembre 2011 64 pages http www hcsp fr docspdf avisrapports hcspr20111021_politiquesecuritepatients pdf 07 05 2012 IO de ces v nements vitables L homme est faillible nos organisations sont complexes les tablissements doivent penser et b tir leur syst me de management des risques sur l am lioration de la culture de s curit et sur l acquisition de comp tences non techniques telles que la communication la coop ration le lancement des alertes la gestion du stress etc Dans les tablissements de sant le DPC est donc une opportunit pour la gestion des risques s il contribue promouvoir de tels programmes qui doivent tre pluriprofessionnels pluridisciplinaires Aucune des m thodes de DPC valid es par la Haute Autorit de Sant n exclue une approche de gestion des risques Le DPC est galement une opportunit pour aider au d veloppement rapide d approches innovantes simulation travail en quipe dont la litt rature montre qu elles sont effi
21. PC Le professionnel de sant satisfait son obligation de DPC d s lors qu il participe au cours de chaque an n e civile un programme de DPC collectif annuel ou pluriannuel Ce programme de DPC doit tre conforme une orientation nationale ou une orientation r gionale de DPC comporter une des m thodes et des modalit s valid es par la HAS apr s avis la commission scien tifique ind pendante ou de la commission scientifique du HCPP ces m thodes et modalit s pr cisent les conditions qui permettent d appr cier la participation effective en tant que participant ou en tant que formateur un programme de DPC tre mis en uvre par un organisme de DPC enregistr et valu positivement par la CSI corres pondante de la profession ou la CS du HCPP D cret 2011 2114 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des professionnels de sant param dicaux d cret 2011 2115 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des chirurgiens dentistes d cret 2011 2116 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des m decins d cret 2011 2117 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des sages femmes d cret 2011 2118 du 30 d cembre 2011 relatif au DPC des pharmaciens Les organismes de DPC sont valu s par la commission scientifique ind pendante comp tente ou la commission scientifique du cf art R 4021 24 du d cret 2011 2113 du 30 d cembre 2011 relatif l organisme gestionnaire du DPC Si elle l val
22. and ensure the imple mentation of the technical and ethical rules when conducting a medical exami nation CDDC 3312 Mots cl s Service m dical d assurance m decin conseil mission contr le m dical confidentialit Ancien interne des H pitaux de Paris Ancien chef de clinique la facult de Paris Dipl m d expertise m dicale et odontologique Praticien hospitalier M decin Conseil en chef de la CNP Rev Fr Dommage Corp 2007 4 308 REVERBERI The technical rules evaluate the medical risk presented by the applicant insurance acceptance and assess in medical terms the sound foundation of requests to provide cover employment incapacity invalidity total irreversible loss of autonomy death etc When applying these technical rules medical confidentiality should be respected as well as the code of conduct appended to the New AERAS Convention and confidentiality of information relating to people s state of health must also be guaranteed Pour une meilleure clart dans la pr sentation les actions d un service m dical sont orient es en missions internes et externes la compagnie d assurance de personnes EN TERMES DE MISSIONS INTERNES Apporter sa comp tence technique m dicale et des conseils m dicaux aux services des diff rents contrats d assurance collective et d assurance individuelle Ces conseils m dicaux sont d livr s par les m decins conse
23. ant communique un compte de r sultat annuel d taillant les charges et les produits relatifs aux actions de formation et aux programmes de d veloppement professionnel continu attest par un commissaire aux comptes ou pour un nouvel organisme un budget pr visionnel Les d clarants tablissements publics de sant tablissements m dico sociaux publics et tablissements publics caract re scientifique culturel et professionnel communiquent un compte financier conforme au r glement g n ral sur la comptabilit publique Si dans cette rubrique le montant est diff rent de z ro l organisme justifie comment il garantit l ind pendance du contenu de ses programmes IV Identification des conflits d int r ts L organisme fournit les informations suivantes a Le s formulaire s de d claration d int r t 5 de l annexe b La structure personne charg e de pr venir et de g rer les conflits d int r ts c La fr quence d actualisation des d clarations d int r t V Engagement de l organisme Je 801851016 nom et pr nom agissant ma qualit pr sident directeur autre de l organisme nom de l organisme m engage pour le compte de l organisme garantir l exactitude des informations et documents fournis Cachet de l organisme Signature JORF n 0052 du 2 mars
24. ation et de la place des universit s dont il est pr cis qu elle n a pas t d finie Cette situation o la place de l universit dans la formation continue d un secteur majeur de l activit du pays est au mieux impens e au pire d ni e par certains acteurs est profond ment choquante l heure o la loi affirme le r le de l universit dans la formation tout au long de la vie et o l ind pendance des formations dans le domaine de la sant apparait comme un crit re majeur Le DPC comprenait son origine plusieurs intentions louables dont celle de proposer des formats innovants liant plus troitement valuation des pratiques et apport de connaissance L intention initiale des porteurs de ce projet n tait du reste pas d en faire l unique modalit de formation continue Les universit s se sont saisies du dispositif ont d pos des dossiers pour devenir ODPC dont la majorit sont en cours d examen par la CSI Deux types de strat gies ont t d velopp es la mise en place de formats courts et adaptation des modalit s p dagogiques des DU et DIU Beaucoup d acteurs partagent n anmoins le sentiment que des formations correspondant d autres standards p dagogiques que le DPC sont pertinentes dans un objectif d am lioration des pratiques de sant Elles sont galement n cessaires au d veloppement de nouveaux m tiers La r flexion ouverte par le rapport de l IGAS doit donc
25. caces pour am lioration la s curit de soins La limite leur d ploiement large tient notamment au fait qu elles sont tr s consommatrices de temps en formateur et pour les professionnels formation Le DPC est enfin une opportunit car ce faisant les professionnels et les tablissements r pondent une demande forte des usagers et aux dispositifs externes certification accr ditation des professions risque demande des assureurs et des certificateurs de type ISO etc Pour les tablissements ce type de programme de DPC a un r le f d rateur en lien avec les pratiques et les organisations de terrain Un indicateur de bonne pratique d un tablissement de sant ne serait il pas la proportion de professionnels validant leur DPC au travers de programmes multiprofessionnels et pluridisciplinaires KKK KKK 4 Reason J Human error models and management BMJ 2000 320 768 70 5 Michel P Millat La place de la formation a la gestion des risques dans le d veloppement de la culture de s curit des professionnels de sant Risques amp Qualit 2014 9 6 10 5 Boet S Jaffrelot M Naik VN Brien S Granry JC Simulation in healthcare in North America Update and evolution after two decades Ann Fr Anesth Reanim 2014 doi 10 1016 j annfar 2014 03 004 Epub ahead of print 7 Salas E Rosen MA Building high reliability teams progress and some reflections on teamwork training BMJ Qual Saf 2013 22 369 373
26. ceutique pr vus aux articles L 1111 14 et suivant du code de la sant publique logiciels d aide a la prescription ou la dispensation programme H pital num rique 2012 2016 la t l m decine d finie a l article L 6316 1 du code de la sant publique les mod lisations des communications interprofessionnelles l am lioration du travail en quipes de soins la gestion manag riale et des quipes la gestion conomique et la ma trise m dicalis e des d penses de sant V Orientation n 5 contribuer l am lioration de la sant environnementale En lien avec les axes d velopp s lors de la conf rence environnementale le d veloppement professionnel continu mettra notamment l accent sur la connaissance par les professionnels de sant des donn es existantes sur les liens entre pathologies et facteurs environnementaux les actions que peuvent mettre en place les professionnels de sant notamment celles inscrites dans le plan national sant environnement 2009 2013 et le plan national sant au travail 2010 2014 VI Orientations n 6 contribuer la formation professionnelle continue d finie l article L 6311 1 du code du travail S inscrivent dans cette orientation les programmes de d veloppement professionnel continu ayant notamment pour objectifs l adaptation et le d veloppement des comp tences des salari s d finies l article L 6313 3 du
27. de la commission scientifique ind pendante des chirurgiens dentistes en date du 18 avril 2013 Vu la proposition de la commission scientifique ind pendante des sages femmes en date du 19 avril 2013 Vu la proposition de la commission scientifique ind pendante des pharmaciens en date du 22 mars 2013 Vu la proposition de la commission scientifique ind pendante des m decins en date du 23 avril 2013 Vu la proposition de la commission scientifique du Haut Conseil des professions param dicales en date du 24 avril 2013 Arr te Art 1 Les commissions scientifiques ind pendantes et la commission scientifique du Haut Conseil des professions param dicales valuent les organismes de d veloppement professionnel continu sur la base des informations contenues dans le dossier d valuation joint la demande d enregistrement et au moyen des crit res figurant en annexe du pr sent arr t L appr ciation du crit re de l ind pendance financi re des organismes de d veloppement professionnel continu pr vu au 3 de l article R 4021 25 du code de la sant publique notamment l gard des entreprises fabriquant ou distribuant les produits de sant mentionn s dans la cinqui me partie du code de la sant publique constitue un l ment majeur de l valuation men e par chacune des commissions scientifiques Elle est destin e garantir strictement l ind pendance du contenu des programmes de d veloppement prof
28. doi 10 1136 bmjqs 2013 002015 IN R le du service m dical et des m decins conseils dans une compagnie d assurance de personnes M Reverberi Les objectifs de ce bref article sont de pr ciser le r le d un service m dical d une compagnie d assurance de personnes de synth tiser ses principales fonctions et d appr hender la diversit et l ampleur des domaines impact s La raison d tre d un service m dical est de concevoir r diger et faire appliquer les r gles techniques et d ontologiques de fonctionnement du contr le m dical Les r gles techniques visent valuer le risque m dical pr sent par les proposants l entr e dans l assurance et appr cier le bien fond au niveau m dical des demandes de mise en jeu des garanties incapacit de travail invalidit perte totale et irr versible d autonomie PTIA d c s L application de ces r gles techniques doit s effectuer dans le respect du secret m dical et du code de bonne conduite annex la nouvelle Convention AERAS et doit garantir la confidentialit des informations relatives l tat de sant des personnes Role of the medical department and medical advisors in a personal insurance company The aim of this brief article is to explain the role of the medical department in a personal insurance company summarising its main duties and its range and scope The purpose of a medical department is to design draft
29. e pacte territoires sant pour lutter contre les d serts m dicaux lanc le 13 d cembre 2012 Consid rant la strat gie nationale de sant lanc e le 8 f vrier 2013 Arr te Article 1 La liste des orientations nationales du d veloppement professionnel continu pour l ann e 2013 figure en annexe du pr sent arr t Article 2 Le directeur g n ral de l offre de soins est charg de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise 22 ORIENTATIONS POUR L ANNEE 2013 AU TITRE DU MINISTERE CHARGE DE LA SANTE Ces programmes sont conformes aux recommandations avis et travaux de la Haute Autorit de sant et des agences sanitaires et aux donn es acquises de la science Orientation n 1 contribuer l am lioration de la prise en charge des patients S inscrivent dans cette orientation les programmes de d veloppement professionnel continu ayant notamment pour objectifs la connaissance de l tat de sant la patient le et ou de la population vivant sur le territoire ou le professionnel exerce loptimisation des strat gies diagnostiques et th rapeutiques dans les pathologies aigu s et chroniques la promotion des parcours de sant et de soins comprenant pour le patient le juste enchainement de l intervention des diff rentes comp tences professionnelles li es directement ou indirectemen
30. ente le dossier d valuation modifi pour tenir compte des motifs ayant justifi l valuation d favorable Cette possibilit lui est ouverte dans un d lai maximum de quatre mois compter de la notification de son valuation d favorable par l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu 26 26 juillet 2013 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRAN AISE Texte 17 sur 102 Art 3 Les organismes de d veloppement professionnel continu valu s pour la premi re fois en 2013 et 2014 feront l objet d une nouvelle valuation par les commissions scientifiques dans un d lai de deux ans a compter de la date de leur premi re valuation en particulier au regard du crit re de l ind pendance financi re Art 4 Pour l ann e 2013 une p riode d enregistrement se situant entre le 1 juillet et le 5 ao t est ajout e aux p riodes d enregistrement pr vues au I de l article 4 de l arr t du 12 d cembre 2012 relatif la composition du dossier de demande d enregistrement en qualit d organisme de d veloppement professionnel continu et du dossier d valuation pr vus aux articles R 4021 23 et R 4021 24 du code de la sant publique Art 5 Le directeur g n ral de l offre de soins est charg de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise Fait le 19 juillet 2013 Pour la ministre et par d l gation Le chef de serv
31. essionnel continu des organismes qui pr sentent un dossier d valuation L valuation de chaque organisme est r alis e selon des modalit s d finies au sein du r glement int rieur de chacune des commissions scientifiques Les crit res sont class s en trois rubriques d finies en annexe Chaque crit re est not de 0 10 Pour tre valu favorablement l organisme d clarant doit obtenir la moyenne dans chacune des trois rubriques Dans la rubrique I l attribution d une note gale z ro aux crit res mentionn s au 4 ou au 7 est liminatoire Dans la rubrique l attribution d une note gale z ro aux crit res mentionn s au 2 ou au 3 est liminatoire Le score obtenu permet de d terminer une valuation finale rendue par chaque commission scientifique concern e qui se traduit par les mentions suivantes Evaluation favorable ou Evaluation d favorable Lorsque l organisme propose des programmes de d veloppement professionnel continu un public pluri professionnel l valuation est rendue par profession par chacune des commissions scientifiques concern es L organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu notifie l organisme d clarant le r sultat de chaque valuation L valuation d favorable fait l objet d une motivation explicite Art 2 L organisme valu d favorablement peut soumettre nouveau la commission scientifique comp t
32. ice adjoint au directeur g n ral de l offre de soins F FAUCON ANNEXE La capacit scientifique m thodologique et p dagogique de l organisme de DPC les qualit s et r f rences des intervenants et l ind pendance financi re sont appr ci es selon les crit res suivants Rubrique I capacit scientifique et m thodologique de l organisme de DPC 1 Identification d une instance d cisionnelle compos e en majorit de professionnels de sant 2 Validit des contenus scientifiques des programmes de DPC notamment v rification des crit res de qualit des documents issus de la presse scientifique professionnelle s ils existent identification d un conseil scientifique ou quivalent lorsqu il existe compos en majorit d experts concern s par les programmes de DPC envisag s 3 Prise en compte des recommandations des agences sanitaires et des soci t s savantes lorsqu elles existent et qu elles sont adapt es la pratique 4 R f rences aux m thodes et modalit s de DPC partir de la liste des m thodes d finies par la Haute Autorit de sant en qualifiant le type d approche dominante p dagogique ou cognitive analyse des pratiques int gr e l exercice professionnel dispositifs sp cifiques enseignement et recherche simulation Ce crit re est liminatoire 5 Pertinence du choix des m thodes et modalit s dans les programmes de DPC eu gard au contexte de soins aux ob
33. ils sur des dossiers d licats de candidats ou d assur s pr sent s par les gestionnaires l admission pour appr cier l tat de sant d un proposant et orienter les conditions d assurabilit en cas de sinistre incapacit invalidit PTIA d c s de contentieux ou de m dia tion pour pr ciser le bien fond de la demande de mise en jeu des garanties ou d une r clamation et donner un avis sur la conduite tenir compte tenu du contexte m dical Dans cette fonction de conseil sur dossier le m decin de si ge a un r le d interface entre l assur et les gestionnaires responsables de l acceptation du risque et du r glement du sinis tre 11 doit donner un avis de technique m dicale neutre et objectif la responsabilit de la d cision finale revenant a la gestion Arr ter une politique m dicale d entreprise lors de l laboration des diff rents produits apr s propositions formul es par les services de production sur les risques propres certains contrats et sur les bases du contr le m dical Le service m dical intervient dans la conception la validation le suivi des documents m dicaux et des supports techniques d appr ciation des risques m dicaux l admission et de reconnaissance des sinistres Les m decins conseillent la direction sur la d finition l volution de la doctrine m dicale et sur toutes questions d ordre m dical D velopper et optimiser la formatio
34. ine Flahault Professeur de Sant Publique Paris Descartes H tel Dieu APHP Universit Sorbonne Paris Cit France Co Directeur du Centre Virchow Villerm Paris amp Berlin Virchow Villerm est une initiative conjointe de la Charit Berlin et de l Universit Sorbonne Paris Cit en collaboration avec l INRIA R sum Les MOOCs mergent dans le champ de la formation apportant un nouveau mod le d enseignement qui repr sente un v ritable d fi pour les formations universitaires plus classiques Le Centre Virchow Villerm est une initiative franco allemande dans le champ de la sant publique qui a t lanc e d but 2014 avec notamment un programme de MOOCs francophone germanophone et anglophone Six MOOCs pr par s avec 1 ont t distribu s ce jour sur la plateforme France Universit Num rique FUN concernant des formations durant de 1 a 6 semaines en moyenne 5 semaines et couvrant des sujets allant des biostatistiques de base a la d mographie ou la science politique en passant par l pid miologie des maladies mergentes Au dela des effectifs importants d tudiants que ces plateformes de MOOCs permettent d atteindre a distance l un des l ments particuli rement innovants de ces enseignements a t la constitution de communaut s participatives et dynamiques travers les r seaux sociaux cr s autour de chacun de ces cours en ligne particuli rement lorsque ceux ci duraient pl
35. ion n cessaire La mission a b ti ces sc narios partir de deux id es directrices circonscrire le r le de l tat et corr lativement accro tre les responsabilit s des professionnels laisser au travail des professionnels et l exp rience le soin de r soudre un certain nombre de questions pour lesquelles manquent aujourd hui les donn es pour trancher Le deuxi me sc nario plus proche que les suivants de l actuel dispositif recentre les missions de l OGDPC sur la formation inter professionnelle et les priorit s de sant publique Tout ce qui a trait aux formations de DPC propre chaque profession ou secteur d activit rel ve des organismes gestionnaires sp cifiques ANFH OPCA FAF Le troisi me sc nario circonscrit le DPC un socle de connaissances actualiser que d termine le professionnel apr s valuation de sa pratique Ce socle est acqu rir aupr s d organismes de formation ayant t valu s Le quatri me sc nario consiste en l application du droit commun de la formation continue L obligation de l gale redevient d ontologique L OGDPC est supprim Les financements publics sont convertis en incitations notamment dans le cadre des conventions avec l Assurance maladie et pour les tablissements de sant le niveau de DPC est un l ment de la certification La mission marque sa pr f rence pour le deuxi me sc nario en ce qu il implique notamment un moindre changement in
36. jectifs poursuivis aux attentes des professionnels de sant et aux d marches d j entreprises sur la base des programmes propos s 6 Pertinence et argumentation du choix du mode pr sentiel et ou non pr sentiel nombre et identification des tapes pr vues par les m thodes et modalit s de la HAS sur la base des programmes propos s 7 Conformit du programme de DPC une orientation nationale ou r gionale Ce crit re est liminatoire 8 Pour la ma trise de stage conformit aux r gles cahier des charges r f rentiels d finissant le contenu du programme et la nature de l expertise dict es pour la m decine g n rale par le Coll ge national des enseignants et ma tres de stage et pour les autres sp cialit s ou disciplines par les enseignants concern s 9 Pour le tutorat conformit aux r f rentiels des comp tences du m tier consid r Rubrique capacit p dagogique de l organisme de DPC et qualit et r f rence des intervenants 1 Identification des besoins des publics cibl s en amont des programmes 2 D termination des objectifs du programme nombre pertinence clart en fonction des publics de professionnels de sant vis s 3 Qualit scientifique des contenus 4 Qualit des supports p dagogiques utilis s papiers num riques 5 Mise en uvre d une proc dure d am lioration de la qualit des programmes auto valuation valuation externe valuation
37. les remises en cause de r gles dict es apr s arbitrage politique les d lais trop serr s le choix technique hasardeux d un recours exclusif l informatique ont mis sous une pression excessive l OGDPC 4 IGAS RAPPORT N 2013 126R EEN 2915 1208 10 Enfin des blocages portent principalement sur le financement des organismes de formation par l industrie pharmaceutique et plus globalement l ouverture du DPC tout type d organisme de formation et sur le dispositif de leur valuation 11 Dans ce bilan la responsabilit de l OGDPC appara t limit e c est cette pression excessive qui lui a fait prendre certaines positions rigides et commettre des maladresses de communication 12 Le nombre la diversit de nature et la complexit des difficult s parfois major es par des acteurs qui se contentent de critiques et ne proposent rien n ont pas permis la mission une analyse approfondie de chacune d entre elles Ainsi il pas t possible d examiner de mani re d taill e la situation de chaque profession notamment des professions param dicales 13 La r forme de 2009 comportait des avanc es de principe qui n ont pour la plupart pas connu de concr tisation dans le DPC tel qu il fonctionne aujourd hui gt une obligation de formation commune toutes les professions de sant indiff rente au statut lib ral ou salari du professionnel gt une formation construite se
38. lit et de la s curit e maitrise de stage en d veloppement e formateurs pour des activit s de DPC 6 Simulation e session de simulation en sant e test de concordance de script TCS HAS Ce document est t l chargeable gratuitement sur www has sante fr D cembre 2012 Haute Autorit de Sant 2012 16 d cembre 2012 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRANGAISE Texte 7 sur 70 Decrets arr tes circulaires TEXTES GENERAUX MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Arr t du 12 d cembre 2012 relatif a la composition du dossier de demande d enregistrement en qualit d organisme de d veloppement professionnel continu et du dossier d valuation pr vus aux articles R 4021 23 et R 4021 24 du code de la sant publique AFSH1242103A La ministre des affaires sociales et de la sant Vu le code de la sant publique notamment les articles R 4021 23 et suivants Vu l ordonnance n 2005 1516 du 8 d cembre 2005 relative aux changes lectroniques entre les usagers et les autorit s administratives et entre les autorit s administratives Vu le d cret n 2010 112 du 2 f vrier 2010 pris pour l application des articles 9 10 et 12 de l ordonnance n 2005 1516 du 8 d cembre 2005 relative aux changes lectroniques entre les usagers et les autorit s administratives et entre les autorit s administratives Vu le d cret n 2011 2113 du 30 d cembre 2011 relatif
39. lon des m thodes communes tous alliant apport de connaissances le cognitif et l valuation scientifique et p dagogique des pratiques professionnelles m thodes valid es par la HAS gt l instauration d une proc dure d valuation pr alable des organismes qui n existe pas dans les autres secteurs de la formation continue gt le financement sp cifique de formations pluri professionnelles et inter sectorielles gt 1 lisibilit de l offre de formation offerte tous en un point unique gt la libert de choix de l organisme de formation par le professionnel gt le respect du droit de la concurrence 14 Aussi il appara t opportun de sauvegarder les principes de cette r forme La plupart des interlocuteurs de la mission conviennent des avanc es et certains se sont fortement engag s dans la mise en uvre de la r forme Les fortes oppositions sont concentr es sur quelques organisations En revanche une carapace de scepticisme entoure cette r forme dont beaucoup consid rent qu elle chouera 15 Cette derni re consid ration conduit la mission marquer une grande importance la mani re dont doit tre conduite toute modification apport e au dispositif Un r el travail de concertation approfondie doit aboutir un accord sur les grandes r gles du changement l image de ce qui a t r alis avec l accord national interprofessionnel sur la formation continue conclu le
40. mateurs Mary H l ne BERNARD et Jean Dominique de KORWIN A3 Salle V1 6 Am lioration des Pratiques Professionnelles et validation d un programme de DPC o Animateurs Patrick DISDIER et Vincent PIRIOU 18h30 19h15 Amphi 2 Accr ditation des congr s m dicaux europ ens dans le cadre du DPC Conf rence pl ni re de Fr d ric DESTREBECQ Directeur g n ral Union Europ enne des M decins Sp cialistes Bruxelles Discussion Mod rateur Daniel SERENI 19h15 Flute de champagne sur site et d ner libre Vendredi 6 juin 2014 9h00 Accueil des participants caf s ances en Amphi 2 9h15 Allocutions de bienvenue Amphi 2 Beno t SCHLEMMER Doyen de Paris Diderot Mary H l ne BERNARD Pr sidente de DPC SU 9h30 Suivi du colloque 2013 Mod rateur Daniel SERENI O en sont les MOOC Massive Open Online Course o Le r le du concepteur Christophe BATIER Directeur Technique du service TICE de l Universit Lyon1 Le r le de l enseignant Antoine FLAHAULT Ancien directeur de l Ecole des hautes tudes en sant publique 10h00 Restitution des ateliers Mod rateur Patrick DISDIER _ Synth se des travaux 5 mn atelier 15 mn Pr conisations de DPC SU o 15 mn de pr sentation Mary H l ne BERNARD Suivies de discussion 10h45 Courte pause 11h00 Formation et gestion des risques Mod rateur Claude CONRI Conf rences pl ni res de 20mn et 10 mn de discu
41. min clinique de soins e patients traceurs en d veloppement 2 5 Analyse de parcours e bilan de comp tences professionnel 3 Approche int gr e l exercice professionnel Ce sont celles o l organisation en quipe de l activit clinique biologique pharmaceutique quotidienne implique la fois une protocolisation et une analyse des pratiques e gestion des risques en quipe en d veloppement e exercice coordonn protocol pluriprofessionnel en r seaux maisons p les ou centres de sant 4 Dispositifs sp cifiques compl ter par une activit d acquisition des ces comp tences int gr e la d marche d analyse des pratiques au moment de l appropriation du r f ren tiel recommandation ou dans le cadre d une action d am lioration r aliser externalis e en compl ment de l activit d analyse des pratiques et articul e avec elle e accr ditation des laboratoires de biologie m dicale ordonnance 2010 49 du 13 janvier 2010 et art L 6221 1 du CSP e programme d ducation th rapeutique art 84 de la loi 2009 879 du 21 juillet 2009 e protocole de coop ration art 51 de la loi 2009 879 de la loi du 21 juillet 2009 e formation professionnelle tout au long de la vie professionnels param dicaux 5 Enseignement et recherche e publication d un article scientifique e recherche clinique en mati re d am lioration de la qua
42. n 2005 Directive 2005 36 CE Celle ci s est vue l g rement consolid e dans le cadre de la r vision aboutie en 2013 Directive 2013 55 UE mais ne pr voit qu une obligation envers les tats membres de faire tat sur une base r guli re de la mise en place et du fonctionnement de leur syst me national Malgr la n cessit croissante d assurer une comparabilit et compatibilit des diff rents syst mes la question de la FMC DPC toujours t reconnue comme partie int grante des domaines de la sant et de l ducation d s lors ressortissant directement des comp tences exclusivement d volues aux tats Membres C est dans ce vide juridique qu il tait n cessaire pour les organisations professionnelles d agir En instaurant une relation de confiance entre autorit s nationales et en s appuyant sur l expertise de professionnels minents l UEMS construit un syst me qui est ce jour le plus large m canisme d accr ditation et de reconnaissance international en Europe KK KKK KKK IO Massive Open Online Course Le r le du concepteur Christophe BATIER Directeur Technique du service TICE de l Universit Lyon1 batier univ lyon1 fr R sum Depuis plusieurs ann es l Universit Lyon 1 a pour principal objectif la modernisation et l am lioration de la qualit des enseignements Un des outils pour atteindre cet objectif est le service qui accompagne les enseignants dans leur d veloppement
43. n m dicale interne Les m decins conseils dispensent une formation aux gestionnaires afin de conforter leurs bases techniques et m dicales indispensables au traitement des dossiers l adh sion ou Rev Fr Dommage Corp 2007 4 307 310 9 ROLE DU SERVICE MEDICAL ET DES M DECINS CONSEILS DANS UNE COMPAGNIE D ASSURANCE 309 lors d un sinistre Ils participent aussi par leurs informations l entretien des bonnes relations avec les diff rents services Assurer la confidentialit des informations m dicales Le service m dical doit veiller l application des principales r gles respecter pour la circulation le stockage des informations m dicales tablies selon les r gles l gales d onto logiques et selon les recommandations du code de bonne conduite annex la nouvelle convention AERAS II forme les gestionnaires sur la d ontologie m dicale et le secret profes sionnel et valide leurs acquis sur la confidentialit EN TERMES DE MISSIONS EXTERNES Assurer un r le essentiel dans les changes des informations m dicales confidentielles Les m decins conseils doivent repr senter un passage oblig pour la circulation de toute information m dicale entre les secteurs internes de la compagnie d assurance les assur s et leurs m decins traitants Repr senter l assureur aupr s des diff rentes instances professionnelles Conseil de l Ordre des m decins m decins des Caisses de S curit Sociale associa
44. nel continu propos s a Les th mes trait s selon les orientations nationales ou r gionales b La liste des publics cibl s par cat gorie de professionnel de sant et mode d exercice c Les m thodes et modalit s valid es par la Haute Autorit de sant 2 L organisme fournit au moins un programme de d veloppement professionnel continu par cat gorie de professionnel de sant cibl qui comprend les l ments suivants a Le titre du des programme s b Le s th me s trait s selon les orientations nationales ou r gionales c La liste des publics cibl s par cat gorie de professionnel de sant et mode d exercice d Les m thodes et modalit s valid es par la Haute Autorit de sant Les moyens mis en uvre attestant de la recherche de la validit et de lefficacit du des programme s 3 L organisme de d veloppement professionnel continu a t il recours un ou plusieurs organismes prestataires OUI NON Si OUI pr ciser la d nomination et les informations administratives cf annexe I de l organisme prestataire de services qui il d l gue partiellement ou totalement une prestation Joindre la copie du contrat de d l gation de prestation ou la transmettre l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu dans les meilleurs d lais 4 L organisme de d veloppement professionnel continu entretient il des liens avec l universit OUI NON
45. omm Organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu OGDPC Les organismes de formation se font enregistrer apr s une valuation scientifique ind pendante aupr s du m me organisme qui publie les programmes disponibles auxquels les professionnels s inscrivent L OGDPC finance les formations et indemnise les professionnels Ce sch ma ne vaut cependant que pour neuf professions lib rales les autres professions lib rales relevant de m canismes de droit commun FAF La gestion de la formation continue des salari s hospitaliers s effectue dans les tablissements et par le truchement d un organisme paritaire collecteur agr OPCA Les salari s exer ant ailleurs que dans les tablissements de sant sont hors de ce sch ma La mise en place de cette architecture est maill e de nombreuses difficult s de nature diff rente Des dysfonctionnements affectent notamment les proc dures d inscription des professionnels ainsi que de leur indemnisation et l enregistrement des organismes n a pas encore abouti cause du lent d marrage de la proc dure d valuation Cette situation a conduit la ministre des affaires sociales et de la sant demander l Inspection g n rale des affaires sociales de proc der un contr le de l OGDPC Il est rapidement apparu la mission que les difficult s de fonctionnement de cet organisme ne prenaient qu une part relative dans les critiques port es par les diff rent
46. pation un programme de d veloppement professionnel continu Art 5 Le directeur g n ral de l offre de soins et le directeur de la s curit sociale sont charg s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique fran aise Fait le 12 d cembre 2012 La ministre des affaires sociales et de la sant Pour la ministre et par d l gation Le chef de service Le directeur g n ral adjoint au directeur de l offre de soins de la s curit sociale J DEBEAUPUIS F GODINEAU ANNEXES ANNEXETI INFORMATIONS RELATIVES ALA DEMANDE D UN ORGANISME DECLARANT D ENREGISTREMENT EN QUALITE D ORGANISME DE DEVELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU I Informations administratives relatives l organisme d clarant 1 Statut juridique de l organisme d clarant a Travailleur ind pendant b Soci t civile c Soci t commerciale d Association loi 1901 Groupement d int r t conomique f Groupement de coop ration sanitaire g Etablissement public de sant h Etablissement m dico social public i Etablissement de sant priv d int r t collectif j Etablissement de sant priv Etablissement public notamment tablissement public caract re scientifique culturel et professionnel ou le cas ch ant 1 Autre statut 2 Identification a D clarant personne morale d nomina
47. pement professionnel continu des professionnels de sant pour l ann e 2013 a fix deux orientations l orientation n 3 contribuer l implication des professionnels de sant dans la qualit et la s curit des soins ainsi que dans la gestion des risques et l orientation n 4 contribuer l am lioration des relations entre professionnels de sant et au travail en quipes pluriprofessionnelles fortement li es la s curit des soins En 2014 le minist re a fix dans la circulaire N DGOS RH4 2013 295 du 19 juillet 2013 sur les orientations en mati re de d veloppement des comp tences des personnels trois priorit s d velopper la gestion des risques au niveau d une quipe fFavoriser le travail en quipe passer d une quipe d experts une quipe experte assurer l articulation entre l quipe son tablissement de sant et le s organisme s professionnels Coll ge professionnel soci t Un num ro sp cial de la revue Risques et qualit vient d tre consacr la formation sur la gestion des risques Pourquoi L ensemble des pays consid re actuellement que l am lioration de la s curit de soins passe par un travail sur les facteurs humains et organisationnels associ s la survenue de 60 80 Leape L Berwick D Clancy et al Transforming healthcare safety imperative Qual Saf Health 2009 18 424 8 Michel P Lathelize M Quenon JL Bru Sonnet R
48. professionnel continu identification de l organisme auquel une prestation est d l gu e d nomination et adresse ANNEXE II PI CES JUSTIFICATIVES ACCOMPAGNANT LA DEMANDE D ENREGISTREMENT D UN ORGANISME DECLARANT 1 Copie des justificatifs d attribution du num ro SIREN ou SIRET du code NAF et le cas ch ant du num ro de d claration d activit en qualit d organisme formateur 2 D clarant personne morale extrait K bis bulletin n 3 du casier judiciaire du dirigeant 3 D clarant personne physique copie de la carte nationale d identit du passeport ou extrait d acte de naissance bulletin n 3 du casier judiciaire 4 Statuts et organigramme pour les personnes morales 5 D claration de liens d int r t des membres des instances de gouvernance ou des concepteurs de programmes 6 D claration de profil des membres des instances de gouvernance ou des concepteurs de programmes 7 Dossier d valuation ANNEXE INFORMATIONS RELATIVES AU DOSSIER D VALUATION JOINT LA DEMANDE D ENREGISTREMENT D UN ORGANISME DECLARANT L organisme d crit ses activit s et le cas ch ant son exp rience acquise dans le domaine de l valuation des pratiques professionnelles et de la formation continue I Capacit p dagogique et m thodologique de l organisme de d veloppement professionnel continu 1 L organisme d crit le contenu des programmes de d veloppement profession
49. r faire et son savoir tre En effet le r le du m decin conseil est particuli rement important dans la r alisation des missions qui lui sont confi es par l assureur et dans la clart et la fiabilit de ses conclusions m dico techniques doit donner un avis de technique m dicale objectif et ne doit subir aucune influence de l une ou l autre partie li e par le contrat d assurance et exerce son action en toute ind pendance Il faut insister sur la qualit et le professionnalisme du m decin conseil expert dans sa technique m dicale on ne peut pas devenir un bon expert si on n est pas rest un bon m de cin professionnalisme dans sa technique de m decin expert en assurance de personnes et dans sa dimension relationnelle qui fait partie int grante de la mission de contr le m dical qui doit se d rouler dans un climat de confiance de clart et de s r nit Rev Fr Dommage Corp 2007 4 307 310 _ DPC quel bilan pour les universit s quelles perspectives Isabelle RICHARD Doyen Facult de m decine d ANGERS Pr s de deux ans apr s la mise en place th orique du DPC tous les acteurs peinent trouver leur place dans un syst me dont la simplicit et l efficacit n est pas la caract ristique premi re Le rapport r cent de l IGAS sur le fonctionnement de l OGDPC soul ve des questions majeures dont celui du financement du DPC des modalit s de contr le du respect de l oblig
50. rioritaire am lioration de la prise en charge globale de la sant de chacun Le DPC instaur depuis 2009 s est structur au fil du temps avec la constitution de Organisme Gestionnaire de D veloppement Professionnel Continue OGDPC et la constitution des Commissions Scientifiques Ind pendantes CSI Bien sur il y a eu quelques remous mais le syst me fonctionne Pourtant il n est pas encore tr s connu et encore moins assimil par les professionnels de sant qui dans la morosit g n rale ambiante ont bien du mal se frayer un chemin travers les m andres du DPC en sant C est la raison pour laquelle DPC SU l association nationale des responsables universitaires de formation continue en sant a choisi ce th me pour en d battre alliant ateliers et conf rences invitant des responsables au plus haut niveau pour alimenter notre r flexion Notre souhait est D informer nos coll gues universitaires des r gles nouvelles D ouvrir les diff rentes actions de formations de l Universit l ensemble des professionnels de sant De f d rer les groupes de formation continue qui souhaitent progresser avec nous Cette action ne sera possible qu avec la ferme volont des doyens de favoriser le lien entre professionnels entre formation initiale et formation continue conduisant tout naturellement les tudiants avoir une v ritable culture du d veloppement professionnel continu
51. s acteurs du DPC qui remettaient en cause certains aspects de la r forme La mission a donc largi le champ de son investigation son terme le contr le de l organisme r v le des dysfonctionnements mais pas de manquements graves En revanche la mission constate que le DPC a d velopp un pais nuage de probl mes de nature extr mement diverse dans lequel il est possible de distinguer quatre strates L analyse de la r forme fait d abord appara tre plusieurs vices de conception L obligation de formation n a pas de contenu pr cis ni le volume d heures ni le contenu de la formation ne font l objet de prescription La sanction du manquement l obligation n est pas organis e et les al as budg taires qui affectent la construction des budgets de l OGDPC donnent aucune assurance qu il sera possible de financer le co t d un DPC g n ralis tous les effectifs de l ensemble des professions Ensuite la mission a constat quelques mauvais r glages La proc dure d valuation pr alable des organismes par des commissions scientifiques ind pendantes n apporte pas toute garantie de qualit et la proc dure de contr le a posteriori n est pas encore mise en place L organisation institutionnelle de l OGDPC fait obstacle une gouvernance claire En troisi me lieu la conduite de projet a t d fectueuse Dans un cadre juridique contraint par des textes qui empi tent sur la marge de gestion n cessaire
52. ssion chacune DPC et gestion des risques l h pital Philippe MICHEL PUPH Directeur de la qualit aux Hospices Civils de Lyon Regard de l assureur sur la formation et les comp tences Martine REVERBERI M decin conseil en chef de CNP Assurances et de LBPP praticien hospitalier temps partiel au CH de Raincy de Montfermeil 12h00 cocktail d jeunatoire 13h30 Assembl e G n rale de DPC SU 14h00 La mise en place du DPC dans la vie r elle Mod rateur Mary H l ne BERNARD Le DPC vu par les participants Evaluation par 5 QCM par boitiers votants en s ance R sultats de l enqu te aupr s des structures universitaires de DPC Analyse des r sistances o Isabelle RICHARD Doyen d Angers Comment am liorer l acceptabilit du DPC o Philippe ORCEL PUPH Paris Lariboisi re 15h45 Intervention de l OGDPC et messages emporter Monique WEBER Directeur g n ral de l OGDPC Claude CONRI et Patrick DISDIER 16h00 Cl ture des travaux Propos introductif Mary H l ne BERNARD Pr sidente de DPC Sant Universit Patrick DISDIER Secr taire de DPC Sant Universit Ce colloque DPC Mode d emploi et change d exp riences est l occasion de faire le point sur le DPC si controvers aujourd hui Le regroupement des professionnels de sant pr figur avec la m decine d quipe l quipe de soins constitue l volution logique pour atteindre notre objectif p
53. stitutionnel mais op re des simplifications substantielles sat pee we me 190 1100597 210 LNAWANNOILLONOS AXANNY UIZI ELOTON LYOddVu SVOI NOTES PERSONNELLES NOTES PERSONNELLES NOTES PERSONNELLES
54. t aux soins pr ventifs et curatifs la promotion des actions de pr vention ou de d pistage la ma trise des indications et contre indications des actes diagnostics et th rapeutiques des prescriptions en mati re de m dicaments de dispositifs m dicaux d examens biologiques de transports sanitaires les programmes d tudes cliniques et pid miologiques visant valuer des pratiques et actualiser et ou compl ter des recommandations de bonne pratique clinique la recherche et la critique de l information scientifique pertinente Il Orientation n 2 contribuer l am lioration de la relation entre professionnels de sant et patients S inscrivent dans cette orientation les programmes de d veloppement professionnel continu ayant notamment pour objectifs le d veloppement de l information et de l autonomie du patient de favoriser le bon usage et l observance des traitements l am lioration de la qualit de vie du patient et la prise en charge des personnes fragiles et ou handicap es et de leur entourage la pr vention de la maltraitance et la promotion de la bientraitance l am lioration de la prise en charge la douleur et la fin de vie des patients la formation l ducation th rapeutique permettre aux patients atteints de maladie chronique 23 d acqu rir ou de d velopper les comp tences dont ils ont besoin pour g rer au mie
55. tion sigle adresse du si ge social et si elle est diff rente adresse postale num ro de t l phone adresse lectronique b D clarant personne physique nom pr noms adresse postale num ro de t l phone adresse lectronique 19 16 d cembre 2012 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRAN AISE Texte 7 sur 70 Num ro SIREN ou SIRET code NAF et le cas ch ant num ro de d claration d activit en qualit d organisme de formation 3 Personnes ayant une fonction de dirigeant ou d administrateur nom pr nom qualit II Informations relatives l objet de l activit et au contenu des programmes de d veloppement professionnel continu de l organisme d clarant 1 Objet de l activit contenu des programmes de d veloppement professionnel continu propos s et m thodes et modalit s pr vues 2 Public de professionnels de sant concern m decins chirurgiens dentistes sages femmes pharmaciens et professionnels de sant param dicaux 3 Qualit et r f rences des intervenants a Identification des membres des instances de gouvernance ou des concepteurs de programmes nom pr noms statut professionnel titres et qualifications b Identification des experts pressentis intervenant dans le programme de d veloppement professionnel continu 4 cas de recours un organisme prestataire de service pour dispenser un ou plusieurs programmes de d veloppement
56. tions des m decins experts Les m decins conseils participent et interviennent activement aux congr s de la profes sion aux publications de la presse sp cialis e aux enseignements de diff rents dipl mes CAPEDOC capacit de m decine d assurance de personnes dipl mes d assurances de personnes permettant la transmission de leur savoir faire et la formation de nouveaux m decins experts Etablir des troits et de confiance entre le service m dical et son r seau de correspondants m dicaux La gestion la formation l animation et le suivi de ce r seau constituent pour le service m dical une pr occupation majeure Le r seau de correspondants m dicaux doit r pondre a deux types de besoins pour l assureur ses partenaires et ses assur s valuer l tat de sant des proposants l entr e dans l assurance r le auquel contri buent les m decins examinateurs et biologistes Appr cier lors de la r alisation d un sinistre incapacit invalidit PTIA les raisons m dicales qui motivent les demandes de prestations r le dans lequel interviennent sur mission les m decins conseils experts Le r seau de correspondants m dicaux est pour l assureur un partenaire avec lequel il entretient par l interm diaire du service m dical des rapports techniques et relationnels de confiance troits Un des r les essentiels du service m dical est de mettre la disposition des ser
57. uation est d favorable le suivi des programmes mis en uvre par cet organisme ne concourt pas pour le professionnel de sant au respect de son obligation de DPC 14 1 CONDITIONS PERMETTANT D APPRECIER LA PARTICIPATION EFFECTIVE D UN PROFESSIONNEL A UN PROGRAMME DE DPC Un programme collectif de DPC se con oit comme une d marche continue d am lioration de qua lit et de la s curit des soins qui permet de satisfaire l obligation individuelle des professionnels de sant qui y participent Ce programme a vocation s inscrire dans une d marche pluriannuelle appel e aussi parcours de DPC coh rente au regard des besoins des patients et des professionnels et de leur mode d exercice Les conditions qui permettent d appr cier la participation effective d un professionnel un programme de DPC sont les suivantes 1 Le programme Un programme de DPC associe deux activit s e analyse des pratiques professionnelles lors d une activit explicite qui comporte un temps d di r f rentiel d analyse reposant sur des r f rences actualis es scientifiques r glementai res organisationnelles thiques consensus d experts analyse critique et constructive des pratiques r alis es par rapport la pratique attendue des objectifs et des actions d am lioration suivi de ces actions et une restitution des r sultats aux professionnels e l
58. ue de la formation pharmaceutique continue de l valuation des pratiques professionnelles ainsi que les organismes de la formation continue conventionnelle les organismes de la formation professionnelle conventionnelle les organismes de formation continue dans le domaine de la sant dont les actions sont prises en charge par un organisme paritaire collecteur agr par un fonds d assurance formation r gis par le code du travail ou par l organisme agr mentionn l article 16 de l ordonnance n 2005 406 du 2 mai 2005 simplifiant le r gime juridique des tablissements de sant La situation des organismes figurant sur cette liste fait l objet d une pr instruction qui se fonde sur la disponibilit des pi ces cit es en annexe Cette pr instruction ne dispense pas les organismes concern s de d poser leur demande d enregistrement dans l une des p riodes mentionn es l article 4 1 Les actions de formation continue et d valuation des pratiques professionnelles concourant au d veloppement professionnel continu dispens es par des organismes cit s l article 4 II et par les organismes enregistr s en tant qu organismes de d veloppement professionnel continu et valu s favorablement l issue de l une des p riodes mentionn es l article 4 I permettent de d livrer aux professionnels de sant concern s au titre de l ann e 2013 des attestations justifiant de leur partici
59. un mois compter de sa r ception l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu n a pas fait conna tre l organisme d clarant les informations et pi ces justificatives manquantes L organisme gestionnaire notifie l organisme d clarant par voie lectronique la date laquelle le dossier complet a t re u Art 3 La d cision de refus d enregistrement prise par l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu est notifi e l organisme d clarant par voie lectronique avant la fin du d lai de trois mois mentionn au dernier alin a de l article R 4021 23 du code de la sant publique Art 4 I A titre d rogatoire pour l ann e 2013 Les deux p riodes d enregistrement se situent 1 Entre le 1 et le 30 juin 2 Entre le 1 et le 31 octobre 16 d cembre 2012 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE FRAN AISE Texte 7 sur 70 Le dossier est r put complet si dans le d lai de deux mois compter de sa r ception l organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu n a pas fait conna tre l organisme d clarant les informations et pi ces justificatives manquantes II A titre transitoire et jusqu au 30 juin 2013 L organisme gestionnaire du d veloppement professionnel continu publie sur son site une liste recensant les organismes agr s au titre de la formation m dicale continue de la formation odontologique contin
60. usieurs semaines L importance de disposer de ressources p dagogiques francophones sur Internet nous a sembl galement souligner Et enfin nous envisagerons les projets de certification cr dits ECTS associ s certains de ces cours x kk k k lon Le DPC une opportunit majeure pour le d veloppement de la culture de s curit la gestion des risques a l h pital Philippe Michel Directeur de l Organisation de la Qualit des Risques et des Usagers aux Hospices Civils de Lyon Le d veloppement professionnel continu est une opportunit pour la s curit des patients Dans les ann es 1980 a 2000 les efforts en mati re la s curit dans les systemes de sant ont t essentiellement d di s am liorer la s curit des quipements et autres dispositifs techniques A l instar du constat fait dans d autres pays que malgr ces efforts la s curit progressait peu en termes d incidence des v nements ind sirables graves associ s aux soins vitables les deux tudes pid miologiques fran aises ENEIS 2004 et 2009 n ont pas montr de diminution de cet indicateur global A la suite d un rapport du Haut Conseil de la Sant Publique le premier Programme national de la S curit des Patients a t lanc en 2013 dont l un des quatre axes prioritaires porte sur la formation et l valuation L arr t du 26 f vrier 2013 fixant la liste des orientations nationales du d velop
61. ux l volution de leur maladie la formation la relation professionnel de sant patient ou au partenariat soignant soign Orientation n 3 contribuer l implication des professionnels de sant dans la qualit et la s curit des soins ainsi que dans la gestion des risques S inscrivent dans cette orientation les programmes de d veloppement professionnel continu ayant notamment pour objectifs d am liorer la connaissance des enjeux de s curit sanitaire et des proc dures de d claration d v nements ind sirables de d velopper une culture de gestion des risques au sein des quipes pluri professionnelles de sant notamment travers les d marches qualit et les proc dures de certification de d velopper une approche sur la pertinence des soins et des actes par des outils adapt s son am lioration l accr ditation de la qualit de la pratique professionnelle des m decins d crite aux articles L 4135 1 et suivants l accr ditation des laboratoires de biologie m dicale d crite aux articles L 6221 1 et suivants du code de la sant publique la pr vention des v nements ind sirables li s aux soins s curit des soins gestion des risques a priori ou a posteriori y compris les v nements porteurs de risque iatrog nie m dicamenteuse notamment chez les personnes g es vigilances d clarations d v nements ind sirables
62. vail Les outils sont en place les ODPC travaillent la CSI commenc son travail d valuation et de validation nous maintenant de faire vivre le DPC pour le meilleur de nos pratiques KK K K K k K 1 Orcel P L abc du DPC ou Comment r ussir sa d marche qualit Revue du rhumatisme 2012 79 456 9 13 EVALUATION ET AMELIORATION DES PRATIQUES Developpement professionnel continu Methodes et modalites de DPC D cembre 2012 Ce document pr sente la liste des m thodes et des modalit s de DPC les conditions qui permettent d appr cier la participation effective des professionnels a un programme de DPC Ce document a t valid par la HAS 19 d cembre 2012 apr s avis des commissions scientifiques ind pendantes CSI des pharmaciens des chirurgiens dentistes et des sages femmes et de la commission scientifique du Haut Conseil des professions param dicales CSHCPP N B l avis de la CSI des m decins sera recueilli d s que celle ci aura t install e Pour les m decins cette liste a t labor e avec le concours d un organisme compos de conseils natio naux professionnels de sp cialit d exercice selon des modalit s d finies par une convention conclue entre cet organisme et l Etat art R 4133 4 du d cret 2011 2116 relatif au DPC des m decins Ce document est destin aux organismes de DPC qui mettent en uvre des programmes de DPC M THODE ET PROGRAMME DE D
63. vices internes des clients et des partenaires un r seau structur actualis inform disponible et comp tent Rev Fr Dommage Corp 2007 4 307 310 10 310 REVERBERI RO ee CP A Le service m dical doit constituer le r seau m dical gr ce des proc dures rigoureu ses permettant de recruter les meilleurs professionnels en m decine d assurance de person nes l animer et le former au meilleur niveau de technicit m dicale en lui pr cisant les r gles particuli res travers les diff rentes missions de contr le selon les sp cificit s des contrats de l assureur Cette animation et cette formation peuvent faire l objet d actions sp cifiques par le service m dical notamment envoi de mailings d enqu tes de bulletins de liaison et d information et organisation de s minaires qui regroupent les m decins conseils experts et dont les objectifs sont techniques et relationnels Soucieux du professionnalisme de ses correspondants le service m dical doit contr ler r guli rement l efficacit la qualit et la pertinence des rapports des m decins conseils experts sv Le r seau de correspondants m dicaux constitue un r el atout commercial vis vis des partenaires et il peut se d velopper si besoin au plan international Telles sont les missions du service m dical d une compagnie d assurance de personnes Voyons maintenant ceux du m decin conseil expert qui doit se distinguer par son savoi

Livret Colloque 2014 - Université Claude Bernard Lyon 1

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