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1. Oppenheim Peter Forg cs Ces bandes vid o seront consultables la demande l Espace Vid o situ au 3 me tage dans les Collections contemporaines Commissaire Christine VAN ASSCHE 75191 Paris cedex 04 t l phone 1 44781233 t l copie 1 44 78 12 07 VITO ACCONCI Theme Song 1973 30 PAL son n b JO L BARTOLOM O La tarte au citron 1994 4 23 PAL son couleur LYNDA BENGLIS Video Mumble 1972 21 PAL son n b CLAUDE CLOSKY 200 bouches nourrir 1994 6 PAL muet couleur Mes vingt minutes pr f r es 1994 20 PAL son couleur MICHAEL CURRAN Amami se vuoi 1994 S PAL son couleur L heure autosexuelle 1994 6 27 PAL son couleur ROBERT FILLIOU And so on End so Soon done 3 times 1977 32 NTSC son couleur 14 Songs and 1 Riddle 1977 45 NTSC son n b Teaching and Learning as Performing Arts Part 2 1979 82 NTSC son couleur Telepathic Music NO7 The Principle of Equivalence Carried to a Series of 5 1977 15 NTSC son couleur PETER FORG CS The Diary of M N 1990 50 PAL son n b The Bartos Family 1988 60 PAL son n b DAN GRAHAM Past Future Split Attention 1972 1703 PAL son n b Performer Audience Mirror 1975 22 52 PAL son n b Two way Mirror Cylinder Inside Cube and a Video Salon 1992 1932 PAL son n b MARIE ANGE GUILLEMINOT Mes poup es 1993 32 PAL son couleur CARSTEN H LLER Jenny 1993 13 PAL son couleur REINIER KURPERSHOEK voir RO2. qui insiste sur les donations qui ont tant contribu modeler sa personnalit La Galerie du Mus e propose un dossier sur la Forme libre ann es 50 qui permet d effectuer des confrontations stimulantes entre les diverses disciplines couvertes par la collection Avec le Ruban sans fin c est l occasion de rendre hommage Max Bill disparu il y a quelques mois en exp rimentant dans l esprit d ouverture qui tait le sien ces carrefours qui marqueront davantage la pluridisciplinarit du Mus e de demain et en proposant ainsi une p dagogie active sur une p riode clef Au 3e tage la projection de deux uvres majeures de James Coleman dont Living and Presumed Dead r cemment acquis par le Mus e ainsi qu une troite concertation avec cet artiste ont incit plus largement actualiser la consultation de la collection vid o et orienter le nouvel accrochage du 3e tage sur l art conceptuel et le monochrome Dans les salles consacr es aux collections de design et d architecture on pourra enfin prendre connaissance de deux ensembles monographiques particuli rement importants celui des meubles de Charlotte Perriand et celui de l uvre de l architecte Antoine Grumbach qui a r cemment offert au Mus e un ensemble passionnant de maquettes et de dessins On pourra ainsi de nouveau mesurer le caract re dynamique et la richesse de la collection nationale sa capacit aujourd hui susciter des martingales inattendues
3. architecture Les principaux th mes s y constituent la ville construite sur la ville ou le palimpseste les ruines l arch ologie l histoire de l architecture le soubassement et la superstructure de verre 2 Paris le d montage de la ville pr sente des tudes de prospection et de mise en valeur du patrimoine Les villas et squares 1978 le Xe arrondissement 1979 d crivent les m canismes de la formation urbaine L tude urbaine du secteur Mare et cascades dans le XXe arrondissement de Paris 1979 illustrent ce processus 3 Oser figurer oser b tir rassemble les dessins de deux r alisations majeures Poitiers l H tel de la R gion Poitou Charentes 1986 et le Si ge de la DDE Direction D partementale de l Equipement 1988 qui t moignent de l architecture comme art de la m moire collective Par ailleurs le projet de la Rue Suger Paris 1989 r sidence r alis e pour les chercheurs trangers de la Maison des Sciences de l Homme refl te une m thode de travail associant des artistes Georges Rousse Claude Viallat Christian Jaccard Pierre Buraglio au rituel de fondation Les dessins de d couvertes et de r alisations qui accompagnent l Universit de Versailles Saint quentin en Yvelines et le Coll ge Vauban 1991 92 montrent quant eux comment l architecture fabrique la ville 4 La fabrique du temps r unit les tudes architecturales et urbaines r alis es en 1982 pour l Exp
4. nouvel am nagement int rieur qui s organise autour du vide et privil gie la libert de mouvement en tudiant avec beaucoup d int r t le probl me de rangement Sa rencontre avec Jean Prouv lui permet de perfectionner ses cr ations C est le point de d part d une nouvelle p riode avec l utilisation de mat riaux comme l aluminium De nombreux projets voient le jour en 1953 le Groupe Espace cr par Andr Bloc commande Charlotte Perriand une chambre d tudiant pour la Maison de Tunisie la Cit Universitaire de Paris dont l l ment principal est une Biblioth que mise au point par Jean Prouv et fabriqu e par les Ateliers de Max ville en petite s rie et en 1955 la table Tokyo qui figure dans l exposition synth se des arts dans les grands magasins Takashimaya aux c t s des tapisseries de Le Corbusier et des c ramiques de Fernand L ger Grande cr atrice de notre poque Charlotte Perriand a su la premi re bousculer les habitudes et remettre en question le r le des cr ateurs et des sp cialistes de l am nagement int rieur et ainsi cr er un nouvel art d habiter Diapositives disponibles pour la presse 1 Charlotte Perriand Salle manger Table extensible et fauteuil tournant 1928 72 x 180 x 91 cm 73 x 60 x 58 cm Collection Mnam Cci Centre Georges Pompidou Photo J C Planchet CNACGP 2 Le Corbusier Pierre Jeanneret Charlotte Perriand Chaise longue 1929 25 x 56 x 160 cm Collectio
5. AL son et muet n b et couleur Forming Sounds 1971 7 14 son n b 2 Stage Transfer Drawing Advancing to a Future State 1971 2 48 muet couleur 2 Stage Transfer Drawing Retreating to Past State 1971 2 57 muet couleur A Feedback Situation 1971 3 02 muet couleur 3 Stage Transfer Drawing Returning to a Past State 1971 3 muet couleur 2 Stage Transfer Drawing Returning to a Past State 1971 3 muet couleur Objectified Counter Forces 1971 2 06 muet couleur Shadow Project 1971 3 04 muet couleur Program 7 1971 Star Exchange 2719 PAL muet et nb NAM JUNE PAIK amp YUD YALKUT Video film Concert 1966 1972 et 1992 3450 PAL son n b et couleur Video Synthetizer and T y Cello Collectibles 1965 1971 2325 PAL muet couleur PHILIPPE PARRENO Un homme public 1995 30 PAL son couleur MARK RAPPAPORT Rock Hudson s Home Movie 1992 636 NTSC son couleur RON SLUIK amp REINIER KURPERSHOEK March Ritt 1993 18 PAL son couleur PIERRICK SORIN Pierrick et Jean Loup 1994 Un samedi avec Jean Loup Z PAL son couleur Pierrick et Jean Loup font de Ja musique 2 PAL son couleur Pierrick et Jean Loup font du foot 2 40 PAL son couleur Jean Loup et les jeux vid o 2 PAL son couleur IMOGEN STIDWORTHY Intimate 1994 4 20 PAL son couleur BEAT STREULI Allen Street New York 24th 5 1994 45 PAL son couleur Allen Street New York 29th 5 1994 45 PAL son couleu
6. N SLUIK DENIS OPPENHEIM Program 1 1970 30 PAL muet n b et couleur Material Interchange 1970 2 44 n b IdentityTransfer 197 l n b Rocked Hand 1970 3 34 couleur Compression fern Hand 1970 5 46 couleur Pressure Piece 1 1970 1 40 couleur Glassed Hand 1970 2 56 couleur Compression poison Oak 1970 2 46 couleur Compression fern Face 1970 5 22 couleur Leafed Hand 1970 3 44 couleur Program 2 1970 14 56 muet n b et couleur Extended Armour 1970 2 08 n b Gingerbread Man 1970 1 42 n b Nail Sharpening 1970 2 57 n b Toward Becoming a Devil 1970 2 20 n b Rocked Stomach 1970 2 48 couleur Fusion Tooth and Nail 1970 2 58 couleur Program 3 1972 1974 24 30 PAL son n b et couleur Brush 1973 4 56 couleur I m Failing 1972 1973 1 48 couleur My father s Socks 1972 5 50 n b Mittens 1974 4 21 n b Disappear 1972 5 57 n b Program 4 1970 1971 44 50 PAL muet n b Vibration 1 1971 13 30 Vibration 2 1972 1124 2 Stage Transfer Drawing Advancing to a Future State 1971 742 2 Stage Transfer Drawing Retreating to a Past State 1971 12 04 Program 5 1970 1971 3745F PAL muet n b et couleur Air Pressure Hand 1971 5 25 couleur Lead Sink for Sebastian 1970 4 42 couleur Nail Sharpening 1970 6 02 couleur Gingerbread Man 1970 1971 8 45 n b Fusion Tooth and Na l 1970 12 03 couleur Program 6 1971 1972 2718 P
7. amment avec leur projet de voiture lectrique Autre personnage important de ce mouvement Andr Bruy re dont la premi re oeuvre le centre de postcure difi en 1948 Fleury M rogis pour la f d ration des d port s pr sente avec une conomie de moyens une architecture o les courbes des parois se veulent hospitali res On peut galement citer les travaux d Emile Aillaud qui introduit po sie et sinuosit des volumes dans son projet de cr che des Francs Moisins 1958 1964 B n ficiant de l exp rience de la fluidit des formes engendr es par la technique du bois moul dans les ann es trente Alvar Aalto Marcel Breuer la cr ation mobili re accompagne ce mouvement de remise en cause du fonctionnalisme le plus strict Ray et Charles Eames dessinent un ensemble de meubles en contre plaqu dont le Paravent 1946 est une r f rence explicite la nature Courbure des lignes et d coupes irr guli res se retrouvent dans plusieurs mod les de table pi ce unique ou meuble de s rie de Carlo Mollino Andr Bloc d Isamu Noguchi Jean Roy re ou Pierre Guariche En 1958 l exposition universelle de Bruxelles ou la cr ation du si ge de l Unesco Paris n offrent gu re de tribune aux adeptes de la Forme libre Leur cr ation se poursuit mais dans une plus grande solitude Paradoxalement les ann es soixante sont l re de r alisations rendues possibles dans le design par l av nement g n ralis des plastiques
8. au point l atelier et sign e Le Corbusier Pierre Jeanneret Charlotte Perriand est pr sent e entre autres mobiliers en 1929 au Salon d Automne sous le titre l quipement de l habitation des casiers des si ges des tables puis dit e par Thonet Par sa volont d utiliser les mat riaux modernes produits de l industrie automobile et a ronautique elle sera proche de l Esprit Nouveau qui cl t en Europe C est l av nement dans les principales tapes de son oeuvre de ce qu il est convenu d appeler la p riode du tube chrom En 1937 Charlotte Perriand quitte l atelier de Le Corbusier non sans d chirement et s impose une p riode de r flexion la montagne Elle rompt avec l esth tique machiniste des cr ations de la rue de S vres et poursuit ses recherches partir de mat riaux naturels et de formes organiques Ainsi en 1938 elle cr e pour son studio de Montparnasse une table en forme faite de madriers de sapin r cup r s du Pavillon des Temps Nouveaux puis dessine un bureau en forme en 1939 pour J R Bloch le r dacteur en chef du journal Ce Soir Sa forme incurv e permettait de r unir centr s sur lui ses nombreux collaborateurs Invit e au Japon en 1940 elle y r side jusqu en 1943 Ce s jour apporte une dimension suppl mentaire sa pens e elle trouve dans la maison et dans la vie quotidienne japonaises des principes familiers de Le Corbusier l influence des l ments ext rieurs sur l habitat un
9. ccrochage 22 mai 23 septembre 1996 Collections permanentes Mus e 3e tage A l occasion du r cent don fait par Antoine Grumbach l Etat d un ensemble de dessins le Mnam Cci rend hommage l architecte urbaniste dont le travail traduit depuis bient t vingt ans une r flexion essentielle sur l emploi des vides des mouvements et du temps dans l architecture de demain ainsi que sur la complexit extr me du compromis historique existant entre patrimoine et modernit pr servation et adaptation opacit et transparence Architecte r parateur de villes plus soucieux de valoriser que de brutaliser l environnement Antoine Grumbach n en 1942 Oran s est toujours pr sent comme un partisan de l urbanisme discret et progressif Assimilant volontiers le dessin l criture po tique celui que l on pr sente comme l un des plus fins th oriciens de la ville a introduit dans l urbanisme fran ais de ces deux derni res d cennies une pens e du d tournement et du fragment visant revitaliser la cit plut t qu la raser la reconstruire plut t qu la construire L architecture lart de la m moire collective ainsi que la nomme Antoine Grumbach se pratique par s dimentations sur le papier comme sur les sites Ses dessins d analyses plus de cent vingt aux multiples entrelacs attestent clairement du principe d inach vement perp tuel des tissus urbains auquel l architecte faisai
10. cialement aux papiers coll s et la mise en valeur du lampadaire de Pierre Chareau La Religieuse 1923 acquis en 1995 ainsi que Braque Picasso Une salle est galement consacr e Robert et Sonia Delaunay non loin de la Salle L ger ainsi qu une salle Jean Arp faisant cho l exposition La forme libre ann es cinquante 22 mai 26 ao t pr sent e la Galerie du Mus e au 4e tage ts i Matisse Surr alisme Rouault j 3 Pevsner J Kandinsky bistes apri Ku pka e vence di i Hantal Es iki R alismes Abstraction m Russes L ger a st Efm Pollock Newman Lam Matta Chagali POLE Aici ps Man Ray Duchamp Rothko g k Gorky Soutine Vitlon Etienne Martin Dubuffet Soulages De Sta l Gr roeas CLETEETTEZETENTEETIE core DOraines hi vidie cin ma accueil CJ fibrairie du Mus e Raynaud Degottex Hartung Miilares Une salle est de nouveau enti rement d di e la pr sentation d un ensemble de sculptures d Antoine Pevsner provenant du legs de Madame Pevsner comme cela avait t le cas il y a deux ans La trav e consacr e au surr alisme int gre exceptionnellement la pr sentation des Trois Bleus 1961 de Mir en raison de l absence simultan e de certains Calder L association des uvres des ann es 50 de Dubuffet avec celles contemporaines de Giacometti est conserv e Enfin si Newman Rothko Kelly sont inscri
11. de ses installations comme en t moignent les multiples moyens mis en oeuvre pour impliquer les supports photographique cin matographique fims 16 et 35 vid o ou sonore dans une r flexion fondamentale sur l image et la perception A ce titre James Coleman peut tre consid r comme un plasticien conceptuel et non comme un photographe ou un vid aste attach aux sp cificit s techniques de son m dium Entre minimalisme et art conceptuel ses premi res installations rel vent d une conomie particuli rement rigoureuse Slide Piece 1972 par exemple consiste en une projection murale d une seule diapositive r p t e plusieurs fois et accompagn e de commentaires descriptifs de son contenu Par la r currence de l image et la divergence des descriptions le spectateur est amen ressentir le caract re in puisable et subjectif de ses propres perceptions De m me dans le film Playback for a Daydream 1974 o aiternent en gros plan deux dessins repr sentant une t te de canard et celle d un lapin l identification de l objet de la repr sentation est toujours diff r e et mise en valeur en tant que travail de discernement Plus tard les installations de James Coleman iront en se diversifiant Les modalit s de fabrication de l image et du son entrent alors dans la construction d un espace narratif o s imbriquent r alit fiction et m moire Box 1977 marque une charni re dans cette volution On y voit les images film es d
12. eZ Centre Georges Pompidou Direction de la communication Communiqu de presse Nouvel accrochage des collections historiques du Mus e partir du 8 mai 1996 au 4e tage Confi s en alternance aux conservateurs du secteur historique les nouveaux accrochages constituent tous les six mois environ un renouvellement partiel de la pr sentation des collections historiques Ce nouvel accrochage des collections historiques au quatri me tage du Mus e tient compte des pr ts accord s pour plusieurs expositions se d roulant hors les murs comme l int rieur du Centre Georges Pompidou Ainsi par exemple une partie de la Donation Louise et Michel Leiris pr sent e du 17 mai au 18 ao t la Galerie Nationale de Prague dans le cadre d une exposition intitul e Daniel Henri Kahnwe ler ses galeries et ses artistes vient modifier la partie cubiste tout comme l exposition Tokyo puis Kyoto 5 mars 19 mai 4 juin 18 ao t La dimension du Corps et celle de L Informe mode d emploi pr sent e au Centre Georges Pompidou du 22 mai au 26 ao t entra nent des modifications parmi les ensembles de Fautrier Giacometti Fontana Pollock Le parcours retenu pour ce nouvel accrochage partir du 8 mai met l accent sur les donations tout en conservant cependant les rep res habituels le d veloppement du fauvisme autour de 1907 un ensemble important de Matisse le cubisme avec une salle consacr e sp
13. et par la mise au point de la technique red couverte du b ton projet Mais le souffle pionnier aura disparu Dans le cadre du nouvel accrochage des Collections historiques permanentes 4 tage une salle Arp fera cho cette exposition partir du 6 avril 1996 Commissaire de l exposition Olivier Cinqualbre Direction de la Communication Attach e de presse Nathalie Garnier T l 44 78 46 48 Fax 44 78 13 02 SZ Centre DL Georges Pompidou Direction de la communication Communiqu de presse UMAGiNaige IRLANDAIS James Coleman Exposition 22 mai 18 novembre 1996 Collections Contemporaines 3 me tage Le Centre Georges Pompidou pr sente du 22 mai au 18 novembre 1996 au 3 me tage dans les Collections Contemporaines deux installations de James Coleman intitul es Living and Presumed Dead 1983 85 et INITIA LS 1994 L installation Box 1977 sera pr sent e dans l exposition L informe mode d emploi con ue par Rosalind Krauss et Yve Alain Bois dans la Galerie Sud mezzanine sud du 22 mai au 26 ao t 1996 D s ses d buts dans les ann es 60 James Coleman a entretenu un dialogue constant avec les courants critiques contemporains Sans doute favoris e par ses tudes l cole des Beaux Arts de Paris et l Acad mie Br ra de Milan o il entra en contact notamment avec le mouvement Arte Povera cette ouverture th orique est perceptible dans la composition et le fonctionnement
14. et stimulantes pour le public dans un constant va et vient entre le pass historique et le pr sent Nouvel accrochage des collections historiques Mus e 4e tage Nouvel accrochage des collections contemporaines Mus e 3e tage Nouvel accrochage de la Salle Design Charlotte Perriand Mus e 3e tage Nouvelles acquisitions vid o Espace vid o Mus e 3e tage Nouvel accrochage de la Salle Architecture Antoine Grumbach Mus e 3e tage La Forme libre ann es 50 Exposition Galerie du Mus e 4e tage James Coleman Exposition Mus e 3e tage
15. ise le pavillon de la firme Breda 1952 dont 75 191 Paris cedex 04 t l phone 1 44781233 t l copie 1 44 78 12 07 la courbe des voiles en b ton affiche une plasticit encore inhabituelle en architecture En 1954 la construction de la cit universitaire de Caracas 1954 est le lieu d un essai d int gration des arts Des oeuvres y sont expos es comme a projection dynamique au 30 me degr d Antoine Pevsner le Berger des nuages d Hans Arp mais on y trouvait aussi des travaux de Victor Vasarely de Fernand L ger ou d Andr Bloc Andr Bloc est sans doute le personnage cl de ce courant en raison de son r le ditorial la t te de l Architecture d aujourd hui Art d aujourd hui puis Aujourd hui art et architecture o sont publi s r guli rement des artistes expos s ici tels que Bram Van Velde C sar Domela Etienne B othy Jean Dieuzaide et bien d autres Son action de f d rateur au sein du groupe Espace et son propre travail artistique lui conf rent galement un r le important Celui ci le m ne de la sculpture Signal 1951 l architecture Maison Carboneras 1964 travers des recherches d espace sculptural Habitacles 1961 Il aborde galement et souvent en quipe d autres domaines comme par exemple le mobilier avec une chaise en s rie 1951 Il con oit avec la collaboration de Claude Parent des projets architecturaux s essaie galement au design industriel avec Claude Parent et Jan Lin Viaud not
16. lien par le recours aux signes de l criture ainsi Raymond Hains ou Marcel Broodthaers les oeuvres de ce dernier sont par ailleurs confront es avec celles de Robert Filliou et de Joseph Beuys dans des d marches incluant plus troitement l objet quotidien comme manifestation de la r alit C est ce m me int r t pour l criture comme signe substitut du r el qui sous tend la d marche de nombreux artistes du courant conceptuel comme Joseph Kosuth ou Lawrence Weiner Une autre composante de l oeuvre d Yves Klein est constitu e par la monochromie Cette utilisation de la couleur seule traverse l art du XX me si cle Depuis les uvres li es au groupe Z ro Piero Manzoni Enrico Castellani jusqu aux travaux de Robert Ryman ou de Claude Rutault diff rents aspects du monochrome sont ici pr sent s La derni re salle du parcours permet de pr senter certains artistes plus jeunes travaillant soit l image photographique et ou le texte soit le monochrome et ce dans une pratique distanci e face au r el et l histoire de l art Le parcours sera ponctu par une s lection de livres d artistes li s aux diff rentes salles conserv s dans les collections de la Documentation Biblioth que du Mnam Ceci Enfin cet accrochage pr sente l occasion du Festival l Imaginaire Irlandais deux grandes installations de l artiste irlandais James Coleman Living and Presumed Dead et INIT IA L S dont la r flexion s inscrit dans une p
17. n Mnam Cci Centre Georges Pompidou Photo J C Planchet CNACGP 3 Charlotte Perriand Table en forme 1938 69 x 183 x 125 cm Collection Mnam Cci Centre Georges Pompidou Photo J C Planchet CNACGP 4 Charlotte Perriand Bureau en forme 1939 69 x 226 x 96 cm Collection Mnam Cci Centre Georges Pompidou Photo J C Planchet CNACGP 5 Charlotte Perriand Casier mural _ 1939 60 x 199 x 44 cm Collection Mnam Cci Centre Georges Pompidou Photo J C Planchet CNACGP 6 Charlotte Perriand Biblioth que de la Maison de Tunisie 1952 162 x 353 x 53 cm Collection Mnam Cci Centre Georges Pompidou Photo J C Planchet CNACGP Commissaire Marie Laure Jousset Direction de la Communication Attach e de Presse Carol Rio t l 44 78 42 16 fax 44 78 13 02 Centre 2A Georges Pompidou Direction de la communication Communiqu de presse Nouvelles Acquisitions Vid o Espace vid o Collections contemporaines 3 me tage Mus e national d art moderne Les nouvelles acquisitions rel vent de trois directions des jeunes artistes fran ais pratiquant la vid o ma s aussi d autres modes de cr ation Jo l Bartolom o Claude Closky Marie Ange Guilleminot Philippe Parreno Pierrick Sorin des artistes europ ens t moignant du dynamisme de la cr ation vid ographique Micha l Curran Carsten Holler Beat Streuli des ensembles d artistes ayant marqu l histoire contemporaine Robert Filliou Denis
18. osition Universelle de 1989 notamment l tude du Site Est d sormais occup par la Biblioth que Nationale de France Plus tardive l tude d am nagement du secteur de la Joliette Saint Charles 1993 Marseille t moigne du souci d int grer la dur e dans la fabrique de la ville Un ensemble de carnets d tudes et d essais photographiques t moignent de la m thode de travail d Antoine Grumbach Commissaire Alain Guiheux Direction de la Communication Attach e de Presse Carol Rio Assist e de Laurence Joignerez Tel 44 78 42 16 Fax 44 78 13 02 Catalogue Publication dans la Collection Jalons dit e par le Centre Georges Pompidou l occasion de l exposition Texte d Anthony Vidler pr face d Alain Guiheux 64 pages 80 illustrations noir et blanc 17 couleur Prix 140 Frs Edition du Centre Georges Pompidou Attach e de presse Dani le Alers Tel 44 78 41 27 Fax 44 78 12 05 Mus e national d art moderne Centre Centre de cr ation industrielle A Georges Pompidou Collections Les collections permanentes du Mus e national d art moderne Centre de cr ation industrielle tout en conservant toujours leurs grands ancrages Braque Kandinsky L ger Matisse Picasso sont d sormais soumises une mobilit p riodique et leur accrochage fait l objet deux fois par an d une profonde transformation Aujourd hui la quasi totalit du 4e tage propose une lecture nouvelle de la collection
19. r Fifth Avenue South New York City 13th 7 1994 2x45 PAL son couleur YUD YALKUT voir NAM JUNE PAIK Centre Georges Pompidou PL Direction de la communication Communiqu de presse La Forme libre ann es 50 Exposition 22 mai 26 ao t 1996 Galerie du Mus e 4 me tage Apr s L esprit rationaliste des ann es 20 et 30 pr sent dans la Galerie du Mus e fin 1994 le Centre Georges Pompidou propose une exposition autour de La Forme libre th me f d rateur retenu pour aborder les ann es 50 les 70 oeuvres expos es sont issues des collections d arts plastiques d architecture et de design du Mus e national d art moderne Centre de cr ation industrielle Centre Georges Pompidou Ce mouvement qui recouvre touf la fois l inspiration puis e dans les formes organiques ou les formules math matiques et la volont d introduire po sie et lyrisme dans l h ritage fonctionnaliste s exprime le plus souvent par opposition En architecture il se d marque du brutalisme architectural et en design se situe en marge de la production d objets industriels des trente glorieuses naissantes Ce courant regroupe des attitudes diverses L oeuvre de Hans Arp pourrait tre consid r e dans sa totalit comme exemple m me du concept de la forme libre si toutefois son auteur le revendiquait Citons galement Charlotte Perriand qui d s 1935 con oit une table dont la d coupe du plateau rompt avec le fonctionnali
20. robl matique conceptuelle associant litt rature cin ma th tre et arts visuels Commissaire Marc Bormand 75 191 Paris cedex 04 t l phone 1 44781233 t l copie 1 44 78 12 07 A Centre Georges Pompidou Direction de la communication Communiqu de presse Nouvel accrochage de la Salle Design Charlotte Perriand 22 mai 23 septembre 1996 Mus e 3e tage Pr sent es dans l espace de la collection de design au 3 me tage du Mus e les pi ces de mobilier expos es ici allant des ann es vingt aux ann es cinquante t moignent du travail accompli par Charlotte Perriand Elle utilise les mat riaux les plus avanc s et compte parmi les cr ateurs de tout premier plan aux c t s de Le Corbusier Pierre Jeanneret N e en 1903 Paris elle est l ve remarqu e de l Ecole de l Union Centrale des Arts D coratifs en 1925 sous la conduite du d corateur Henri Rapin Le premier v nement d terminant pour Charlotte Perriand fut le Bar sous le toit en acier et aluminium anodis expos au Salon d Automne en 1927 Elle convaint Le Corbusier la vue des esquisses de la salle manger table extensible et fauteuils tournants de la faire entrer son atelier de la rue de S vres Elle est d embl e associ e pour l quipement d habitation dont elle aura la responsabilit jusqu en 1937 Elle confirme alors sa rupture avec l art d coratif et son entr e parmi les novateurs La chaise longue mise
21. sme des angles droits Le Corbusier lui cependant n emprunte cette voie qu exceptionnellement avec la chapelle de Ronchamp 1955 contemporaine du brutalisme de l unit d habitation de Marseille 1945 Ne ou du couvent de la Tourette 1952 1959 Diff rentes sources et r f rences dessinent les contours de ce mouvement le mod le organique exprim notamment dans le travail de l architecte designer italien Carlo Mollino le mod le math matique o puisent leur inspiration Max Bill pour Le ruban sans fin 1960 1961 et Antoine Pevsner Le Corbusier et X nakis pour le projet du Pavillon Philips de 1958 et Harry Bertoia pour son fauteuil Diamond 1952 enfin un mod le plus diffus privil giant lyrisme et po sie et puisant sa vitalit dans la fusion des disciplines tel celui d Andr Bruy re ou d Emile Aillaud d Andr Bloc ou d Isamu Noguchi La d cennie est jalonn e d v nements o s affirment les protagonistes de la Forme libre de d monstrations d int gration des arts dans l architecture ou plus simplement dans le nouvel environnement quotidien de rendez vous partisans d une synth se des arts Les premi res de ces manifestations sont italiennes la IX me triennale de Milan en 1951 o l arabesque lumineuse de Lucio Fontana pr sent e ici par un ensemble de croquis pr paratoires investit le plafond du pavillon de l architecte Luciano Baldessari et la foire de Milan l ann e suivante o le m me architecte r al
22. t d j r f rence dans son manifeste de 1976 in L Architecture d Aujourd hui n mars avril Ecrire Griffurer Regarder B tir V ritables exercices de gymnastiques ces traits et ces ratures sont travers s par la pr occupation d une vertigineuse confusion qui sous la fausse certitude de la g om trie essaie de nous faire croire que le plan a quelque chose voir avec l l vation Le dessin d architecture se donne comme une pratique magique proc dant par figures cach es r serv es aux initi s les plans ou postulant le possible d un regard l infini les l vations 75 191 Paris cedex 04 t l phone 1 44781233 t l copie 1 44 78 12 07 L architecture serait cette pratique de la perte que subit le dessin lorsqu il devient un b timent Pratique du d risoire tabli par la n cessit de la relation aux autres Un entrelacement obsessionnel tisse un syst me de lecture et dissimule des figures cach es dans les dessins les plus anodins En parcourant les vidences de nos d rives quotidiennes je me suis attach des bribes de discours en d composition qui mod lent par leur insistante r p tition l inconscient de mes architectures L exposition rend compte de la r flexion de l architecte urbaniste en quatre moments 1 Le laboratoire intime de l imaginaire d voile la source du travail le dessin personnel libre qui a d j un lien troit l
23. ts dans le parcours la pr sentation de la peinture am ricaine se trouve modifi e dans les espaces en double hauteur Les europ ens Alechinsky notamment dont le Mus e vient d acqu rir Le pass inaper u 1981 ainsi qu Etienne Martin T pies Hanta y sont pr sent s Commissaire Isabelle Monod Fontaine Direction de la Communication Attach e de presse Carol Rio t l 1 44 78 42 16 fax 1 44 78 13 02 SL sf wie Ve A Georges Pompidou Direction de la communication Communiqu de presse Nouvel accrochage des collections contemporaines Mus e 3e tage Le parcours met en parall le les d marches artistiques int grant l image du r el et les travaux rejetant ce r el au profit d une pratique centr e sur l essence de la peinture le monochrome Ces deux questions importantes marquant la cr ation contemporaine sont introduites par une salle consacr e la belle collection d oeuvres d Yves Klein conserv es au Mnam Cci D abord l int r t renouvel port par les artistes limage du r el partir de la fin des ann es cinquante est manifeste chez Yves Klein dans les Anthropom tries ou dans les peinture feu Tr s frappante chez Andy Warhol ou Malcom Morley cette relation entre peinture et r alit travers la mise en question de l image photographique se retrouve en Europe chez de nombreux artistes li s la figuration ainsi Herv T l maque ou Peter St mpfli D autres op rent ce
24. u match retour Gene Tunney Jack Dempsey en 1927 tandis qu une bande son nous fait p n trer dans l univers mental de Tunney au cours de la rencontre Avec le montage de diapositives intitul Seeing for Oneself 1987 88 les r f rences se multiplient cr ant un entrelacs de genres litt raires qui vont du r cit mythique l enqu te polici re en passant par le roman historique ou le m lodrame So Different and Yet 1979 80 Living and Presumed Dead 1983 85 Charon The MIT Project 1989 t moignent de ce maillage tr s serr au moyen duquel James Coleman parvient multiplier et d placer sans cesse les points de vue compromettant ainsi les tentatives d identification et d unification par le spectateur au travail dans la repr sentation de la perspective classique La d mat rialisation de l image enti rement rel gu e dans son essence aux processus de lecture qu elle engendre et le retour une certaine th tralit caract risent une d marche qui tend interroger la repr sentation non plus au moyen d une rupture radicale avec son pass ce qui fut le propre du modernisme mais au contraire par un d tournement subtilement entretenu de ses codes et de ses arch types Commisaire Christine Van Assche Direction de la Communication Attach e de presse Nicole Karoubi Tel 44 78 49 88 Fax 44 78 13 02 SZ Centre EE Georges Pompidou Direction de la communication Communiqu de presse Antoine Grumbach A
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