Garder espoir - Association québécoise de prévention du suicide
Contents
1. grand plus il exige que rien d essentiel ne lul soit sacrifi Gilbert Choquette m ES Les processus contr l s versus les processus automatiques Conscience Attention Effort Contextes situationnels Les processus contr l s versus les processus automatiques Leviers d intervention Identifier des exceptions Trouver des solutions d ja utilis es Dur e de l intervention limiter Plus lentement le rythme est different Tout le monde parle de progr s et personne ne sort de la routine mile de Girardin Les deuils en contexte de vieillissement Facult s sensorielles Vie sociale Vie amoureuse Changement s physique s et physiologiques Sant Milieu vie Les deuils en contexte de vieillissement Risques sociaux absent isme tensions Incivitit s Les nergies d gag es Les Ressontis eseou et 3 s Engagement S rE E z r R organisation personnelle Le changement Le temps se met en n cessaire uvre La digestion du changement NERGIE FAIBLE a D PRESSION gt enne Risques performantiels et personnels s curit qualit co ts RPS risques psychosociaux Les deuils en contexte de vieillissement Leviers d intervention Valider si les id es suicidaires sont en lien avec une tape de deuil Si tel est le cas l aider dans le travail de deuil Conna tre ses comp tences et ses limites A2. Vieillissement Garder espoir Grand forum de la pr vention du suicide 16 octobre 2014 Vieillissement Garder espoir AQPS ae Soci t Alzheimer DE QUEBEC Association qu b coise de pr vention du suicide Lucie Pelchat conseill re la formation Association qu b coise de prevention du suicide Hugo Lanoux intervenant social La Societe Alzheimer de Qu bec Objectifs de l atelier Adapter nos interventions en respect du rythme du v cu et des caract ristiques particuli re la client le a n e suicidaire Prendre conscience de nos filtres perceptuels envers les personnes g es suicidaires et leurs impacts sur nos interventions Utiliser des strat gies d interventions favorisant l espoir en contexte de vieillissement QE Les filtres et les biais perceptuels Les filtres et les biais perceptuels L histoire d Agnes Les filtres et les biais perceptuels Des filtres perceptuels influencent la fa on dont nous interpr tons les situations Ces filtres sont influenc s par de multiples facteurs la culture le v cu les experiences le moment le lieu le contexte les connaissances etc Ces filtres font en sorte que l objectivit est impossible Les filtres et les biais perceptuels Ce sont ces distorsions que nous appelons des biais perceptuels Ces biais auront une consequence sur notre fa on d interpr ter une situation et d intervenir Ce qui es
3. ccompagnement tre avec Etre accueillant pr sent et empathique Etre l coute sans tre directif Respecter son rythme et sa r alit Comprendre la nature des deuils et le contexte du vieillissement C est en racontant l histoire de son deuil qu on fait son deuil Jean Monbourquette Les besoins humains ba Le besoin d ternit Au del de ces n cessit s premieres existe t il malgr tout quelque chose dont tu as encore besoin Les philosophes et nous galement pensons que oui Nous affirmons que tu ne vit pas seulement de pain Tu as videmment besoin de nourriture Et aussi d amour et de tendresse Mais il y a autre chose dont tu as besoin c est de savoir qui tu es et pourquoi tu vis Ton besoin d ternit d immortalit ou tout simplement de temps n est pas d crit par Maslow Qu il soit r fl chi ou non c est pourtant un besoin bien r el Le besoin d eternite Leviers d intervention Se questionner soi m me quant sa dimension spirituelle et ou philosophique sa fin de vie sa propre mort sa finalit d existence avant et apr s la mort Accueillir et accompagner sans pr judice la personne a n suicidaire dans son questionnement quant sa dimension spirituelle et ou philosophique sa fin de vie sa propre mort sa finalit d existence avant et apres la mort La soci t parfaite est celle o la possibilit de la r alisati
4. de d veloppement Les t ches de la vie Les t ches de la vie Le bagage de vie influence notre fa on de r agir face l environnement Au moment pr sent Les t ches de la vie Joies Peines Deuils Manques Limitations Realisations Decouvertes Experiences Les t ches de la vie L tre humain a des t ches accomplir a chaque stade de son d veloppement Des liens peuvent tre faits entre les t ches a accomplir au cours de la vie et notre fa on de r agir aux v nements au grand ge m Le bagage de vie d une personne a n e influencera sa fa on de r agir aux v nements qui composent son quotidien Les t ches de la vie Apprendre la confiance Apprendre le contr le Adolescence Diff rencier sa personne Adulte tablir des relations affectives Maturit Encaisser les coups Vieillesse Justifier Sa vie Cons quences de t ches non r alis es Prime enfance crainte d tre abandonn Enfance peur de ne pas tre la hauteur des attentes des autres Adolescence crainte d tre rejet Une personne a n e qui s isole et vite les contacts avec autrui Les t ches de la vie En conclusion Nous savons que chaque tape de la vie repr sente une t che accomplir Nous devons nous rappeler que si la t che n est pas accomplie elle refait surface plus tard et risque de laisser des traces surtout en situation de changements de d
5. des besoins ou des motions Identifier et utiliser le sens le plus utilis Le toucher si la personne accepte exemple main sur la main Humans have many levels of awareness consciousness Feelings when validated lose their strength When ignored feeling gain strength Early well established emotional memories stay Naomi Feil L adaptation S lection Optimisation Compensation L adaptation Leviers d intervention Respecter le rythme Lui permettre d identifier ce qui est code positivement Qu est ce qu elle fait encore Qu est ce qu elle aime Qu est ce qui est important pour elle La vie cest comme une bicyclette il faut avancer pour ne Pas oerdre l quilibre Albert Einstein n J La selectivite socio emotionnelle Pr parer le futur vs le moment present _IConditionn par notre sentiment de finitude i g axe sur le moment present Relations ax es sur l attachement motif Malgr nous on int gre les st r otypes qu on est un fardeau pour tout le monde et vient un temps o on souhaite d barrasser le plancher Ainee de Montreal La s lectivit socio motionnelle Leviers d intervention Explorer un futur pas trop lointain Se centrer sur le moment pr sent amour ou liens affectifs forces Reconna tre une situation d abus de n gligence ou de violence Plus un amour est
6. euil et de maladie Les t ches de la vie Leviers d intervention Nous intervenons aupr s de personnes qui portent leur propre bagage de vie Nous devons valider leurs emotions et leur langage alors qu elles travaillent accomplir une t che non accomplie Y voir l expression de la vivacit et l effort de continuer se battre Every adult whether he is a follower or a leader a member of a mass or of an elite was once a child Erik Erikson La validation comme levier d intervention Cette approche fut labor e par Naomi Feil travailleuse sociale am ricaine dans les ann es 60 Cette approche s appuie sur la th orie d Erik Erikson sur les t ches de la vie La validation La validation utilise l empathie Ce qui n est pas de l empathie aLa sympathie mLa confrontation mLa diversion la distraction la redirection aLa psychanalyse mLa reassurance sLes mensonges th rapeutiques mLa condescendance Quelques techniques de validation plus appropri es Se concentrer Se centrer sur la personne se Synchroniser avec elle se mettre dans sa peau Utiliser des mots apaisants et concrets Reformuler Utiliser la polarite Imaginer le contraire ou la similitude et faire se souvenir Quelques techniques de validation non verbale plus appropri es m Maintenir un contact visuel sincere et proche Parler d une voix basse et affectueuse Associer des gestes avec
7. on de soi serait offerte tous les individus Abraham Maslow Vivre c est vieillir rien de plus Simone de Beauvoir Sources et r f rences a CATHCART T KLEIN D Kant et son kangourou franchissent les portes du paradis petite philosophie de la vie et apr s par les blagues ditions du Seuil 2010 pour la traduction fran aise CONSEIL DES AINES DU Qu bec Avis sur l gisme envers les a n s tat de la situation 2010 D DE HAMILTON CONTRE LA MALTRAITANCEDES PERSONNES AGEES Gouvernement du Canada COUTURE A HARBOUR M E LANOUX H TREMBLAY M P TREPANIER L VAILLANCOURT J Formation l intervention en contexte de maladie d Alzheimer Recueil de lectures La Soci t Alzheimer de Qu bec 2013 DIANE E PAPALIA SALLY W OLDS Le d veloppement de la personne tats unis 1978 DEVILLE C Les 7 tapes du deuil physique social ou professionnel www cdeville fr 2009 FEIL N Validation mode d emploi Editions Pradel 1997 https vfvalidation org validation naomi_valdiation overheads 2009 ppt 258 2 FREUD S Deuil et m lancolie 1915 dans M tapsychologie Gallimard Paris 1968 GAARDER J Le monde de Sophie Editions du Seuil 1995 Saal C Deuil blanc comment surmonter la souffrance CHUV Magazine p 22 www alzheimer vaud ch KUBLER ROSS E On death and dying Macmillan Editions New York 1969 LAUZON S ADAM A La personne g e et
8. ses besoins Editions du Renouveau P dagogique 1996 LE SEMIOSCOPE La pyramide de Maslow www semioscope free fr 2012 conception F d ration Nationale des Chambres Professionnelles du Conseil http www fncpc org FNCPC MINIST RE DE LA FAMILLE ET DES A N ES MINIST RE DE LA SANT ET DES SERVICES SOCIAUX Vieillir et vivre ensemble Gouvernement du Qu bec 2012 MONBOURQUETTE J L attachement et le deuil www maisonmonbourquette com 2012 SECRETARIAT AUX A N S Rapport de la consultation publique sur les conditions de vie des a n s Gouvernement du Qu bec 2008
9. t retenir c est que l intervenant doit utiliser constamment son jugement pour identifier ces filtres perceptuels et viter la cristallisation des biais Les filtres et les biais perceptuels Filtres Biais Impacts vd Vos moyens pour att nuer l impact des biais perceptuels Des moyens pour att nuer l impact des biais perceptuels Prendre un temps d arr t pour l analyse viter l impulsivit Prendre le temps dans les heures ou les jours qui suivent d analyser a nouveau la situation Favoriser des echanges cliniques avec un ou des collegues Qu est ce qu on dit a une personne g e qui parle de suicide Comment intervenir Qu est ce qu on fait Ca me derange je me sens impuissante Jeune intervenante de Chicoutimi Les pr jug s sont pour ainsi dire la ruse instinctive des hommes ils r solvent travers eux bien des choses qu il leur aurait t difficile de d cider par la r flexion et tout cela sans effort Georg Christoph Lichtenberg Le vieillissement en tant qu tape du d veloppement de la personne D un point de vue th orique les sp cialistes du d veloppement humain qui tudient le cycle vital de la conception la mort deviennent conscients du fait que la vieillesse nest pas tout simplement le bout de la route qui ne pr te pas cons quence mais une p riode normale d volution avec ses propres caract ristiques et ses propres objectifs
Download Pdf Manuals
Related Search