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FNAS Infos n° 51

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1. 663 sont des femmes 37 sont des hommes la question tes vous parti en vacances en 2013 87 ont r pondu oui 13 ont r pondu non Ces pourcentages sont lar gement sup rieurs la moyenne nationale la question tes vous d j parti en vacances avec l aide du FNAS 49 ont r pondu oui 51 ont r pondu non Marc LANTERI pr sente ensuite diff rents types de s jours organi s s selon quatre axes l ordre h tels maisons de famille le mou vement vols secs s jours itin rants l utilit r sidence secondaire et la sophistication change de maisons s jour chez l habitant Les s jours de groupe rassemblent aussi bien la maison de famille et la r sidence secondaire que les s jours organis s par le FNAS ceci pr s que ces derniers ciblent des familles mais sans les racines familiales qui existent dans les maisons de famille et les r sidences secondaires Marc LANTERI souligne que les s jours propos s par le FNAS se si tuent au centre des quatre axes chambres d h te locations g tes villages de vacances campings Le D l gu g n ral signale que d sormais pour mieux r pondre aux attentes des ayants droit les s jours itin rants et les locations de derni re minute sont pris en charge par le FNAS Marc LANTERI classe ensuite les usagers par familles les babos changes de maison s jours yoga co villages co s jours dans le r
2. Fonds national d activit s sociales des entreprises artistiques et FNA octobre 2014 Ne baissons pas les bras A Compte rendu de l Assembl e g n rale du FNAS B Un point sur les r gles du FNAS ER T moignage des journ es d tude d Avignon a Carte postale de la f te d anniversaire Ne vous laissez pas surprendre Vos dossiers complets doivent parvenir au FNAS avant le 31 d cembre prochain pour que la prise en compte de votre v nement se fasse sur l ann e 2014 Voir en page 26 Attention afin que l quipe du FNAS consacre le maximum de temps au traitement de vos commandes 2014 en effet avant de pouvoir traiter vos commandes 2015 nous devons obligatoirement avoir termin le traitement de celles de cette ann e Pour am liorer et simplifier notre communication avec vous nous souhaitons utiliser le plus possible le courriel Merci de nous envoyer ou nous confirmer votre adresse courriels fnas net Indiquez nous si vous nous autorisez vous crire uniquement au sujet d un dossier en cours vous envoyer les informations sur les s jours organis s par FNAS vous faire part des informations et promotions que nos partenaires nous envoient SeqoudousxX f 9 L JUN I IIN SOI H EPOSON wea 9 UT 9H 20 4 3y Jn uig 3 essno q d VAS SUIPSM 9 sua Jawo g AUSINUE y JUSUIS PIIHIOA S91213 VS 0L SNPIIEAUI 6
3. USWESGSY 8 09 SJ 13 4 U3 1N8 4 9 AY ISNON G OLS JOUU y UION PO OUIBOJOUWY gZ Xne 0Q PIO p JU9W9 E UOZHOH 2 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Sommaire Compte rendu Carte postale Le quaranti me festoyant Journ es d tude d Avignon T moignage Carnet de voyage Mode d emploi Un point sur les r gles du FNAS Warning Mots crois s Grilles de prise en charge Renseignements pratiques Les derniers num ros de FNAS INFOS peuvent tre consult s sur le site www fnas net N 51 octobre 2014 dit par le FNAS 185 avenue de Choisy 75013 PARIS T l phone 01 44 24 72 72 T l copie 01 44 24 72 73 Directeur de la publication Patrick Harivel Ont particip la r daction de ce num ro Patrick Harivel Eva Loyer Pierre Andrac Sandra Trambouze Henri Uzureau Ont particip la r alisation l quipe du FNAS Credits photos Touristra vacances DR Michel Pezaud Pierre Andrac Nathalie Leton Olivier Cl ment Igor Brover Sylvie Latrille 123rf Cr ation conception Jo lle Brover Impression STIPA D p t l gal ISSN 0335 2374 Ne baissons pas les bras a conjoncture n est pas r jouissante tant en France que dans le monde Et pourtant il n est pas question de se lamenter ni de se r signer En cette p riode de rentr e le nouveau Conseil de gestion lu lors de l Assembl e g n rale du 30 juin dernier par les r
4. Alain RENAULT profite de ce moment pour faire part de son motion d assister sa derni re Assembl e g n rale du FNAS Il voque toutes ces ann es d engagement syndical et de militantisme au cours desquelles il a vu na tre cro tre et voluer cette belle institu tion qu est le FNAS Il est chaleureusement remerci pour son investissement et son d vouement vis vis du FNAS depuis 1977 et vivement applaudi par l Assembl e g n rale Avant d aborder le rapport de la commission de suivi le Pr sident donne la parole Christian SEVETTE peintre d corateur salari de l Op ra de Paris et Secr taire g n ral adjoint du SNAPAC CFDT p Christian SEVETTE lit une d claration titre personnel dans laquelle il revendique sa solidarit vis vis des inter mittents du spectacle pour trois raisons principales Premi rement il consid re que les structures syndicales et f d rales de la CFDT sont inadapt es la prise en compte des probl matiques du champ artistique et culturel ce qui conduit sa conf d ration adopter des positions qui se retournent contre les militants et contre elle m me Il estime que la culture occupe une place insuffisante dans les pr occupations de la CFDT Il cite exem ple du dernier congr s conf d ral qui a eu lieu r cemment Mar seille au cours duquel l intervention sur la culture n tait plac e qu en 146 position Deuxi mement il avance des raisons familiale
5. de la d gradation des conditions de r mun ration et engage les sa lari s prendre contact avec les d l gu s du personnel pour enta mer des discussions au sein de l entreprise et se mobiliser contre certains projets gouvernementaux qui pourraient avoir des r per cussions d vastatrices dans le domaine de la culture Il indique qu en supprimant l ensemble des conseils g n raux et leurs budgets sp cifiques ce serait un coup dur pour la culture et les dommages collat raux en seraient consid rables E La Secr taire souligne que cette perte serait d autant plus dramatique que les conseils g n raux sont aussi les plus importants employeurs occasionnels dans le secteur L enjeu de la lutte contre cette r forme territoriale est donc double il s agit de maintenir la fois le niveau de subventions et le niveau d emploi Elle remercie Alain BROSSEAU Tr sorier pour ses bons offices au sein des instances du FNAS pendant neuf ans Elle salue sa rigueur sa comp tence et ses conseils avis s et annonce qu l issue de l As sembl e g n rale Alain BROSSEAU ne briguera pas de nouveau mandat ayant pris sa retraite r cemment Le Tr sorier est vivement applaudi par l assistance Le Pr sident signale la pr sence dans la salle de Robert CARLIER Secr taire puis D l gu g n ral dans les premi res ann es du FNAS invit l occasion de ce quaranti me anniversaire E Robert CARLIER rappelle que lors de son
6. gles Voici les changements les plus importants Rendez vous sur notre site Www fnas net pour les nouvelles fiches du FNAS Mode d emploi 20 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Concernant les r gles d ouverture de droit tous les details sur le FNAS Mode d emploi Les structures relevant de la convention collective natio nale des Entreprises artistiques et culturelles celles du spec tacle vivant public doivent contribuer au FNAS Elles doivent communiquer au FNAS chaque trimestre en plus de leur contribution la liste des salari s qu elles ont employ s et leur temps de travail afin que le FNAS puisse valider leurs droits Les r gles d ouverture de droit d pendent du type de contrat de travail et sont bas es sur l quivalent de trois mois de travail temps plein pour un salari en CDI Pour les salari s en CDI ou en CDD de droit commun les permanents il faut au minimum 90 heures de tra vail au cours des trois derniers mois dans une ou plusieurs C est la convention collective appliqu e qui d termine si une entreprise de spectacle vivant doit ou non cotiser au FNAS structures contribuant au FNAS Les droits sont ouverts pour la dur e du contrat de travail et sont donc maintenus ou verts trois mois apr s la fin du contrat de travail Pour les salari s en CDD d usage les intermittents la dur e minimum d activit dans une ou plusieurs entre prises contribuant au FNAS
7. l ensemble les directions des entreprises artistiques et culturelles n ont pas brill par leur pr sence E Magali LACHASSAGNE consid re que les salari s perma nents les directeurs d entreprises artistiques et culturelles et les salari s intermittents sont tous dans le m me bateau Ils doi vent donc porter les m mes revendications vis vis des pouvoirs publics Elle nuance les propos de Claire GUILLEMAIN concernant la baisse des budgets certes toutes les structures du spectacle vivant su bissent des restrictions de subventions mais depuis le pacte de res ponsabilit du gouvernement les entreprises b n ficient de baisses de charges Aussi elles r cup rent une certaine marge de man ur vre qu elles pourraient utiliser pour am liorer les conditions des sa lari s notamment en augmentant la cotisation au FNAS E Alain RENAULT pointe un autre projet contre lequel il convient de se mobiliser le projet de r forme territoriale D apr s les nouveaux textes le tourisme le sport et la culture seront d sormais les pr rogatives des r gions et des communaut s de communes Ces secteurs seront donc fragilis s puisqu ils ne d pendront que du bon vouloir des lus locaux E Jean Fran ois PUJOL appuie ces propos La politique de Fran ois Hollande vis vis de la culture est pire que sous le gouvernement pr c dent Il rappelle que Nicolas Sarkozy avait gel le budget mais ne l avait pas baiss comme l
8. rale approuve le budget pr visionnel pour l exercice 2014 tel qu il est pr sent La huiti me r solution est approuv e la majorit moins une abstention Neuvi me r solution L Assembl e g n rale approuve le texte du nouveau R glement int rieur du FNAS La neuvi me r solution est approuv e la majorit moins vingt cinq abstentions Apr s avoir remerci l quipe du FNAS l ordre du jour tant puis Patrick HARIVEL l ve la s ance 14 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 1era ba l issue de cette AG les nouveaux membres du Conseil de gestion sont lus pour la CGT Coll ge moins de 10 salari s Hugues AUBIN Agn s D ISEP Agn s BOZEC Coll ge intermittents Patrick HARIVEL Cathy GRACIA Catherine AMBACH H l ne RAIMBAULT Bertrand MAON Fran ois DOREMBUS Coll ge CEC Eva LOYER Roland RONDINI Patricia COLIN Michel PEZAUD Laurent BERNARD Yannick PENOT Chantal JANSSENS DELOGE lue pour FO Coll ge intermittents Bhairavi MAHADEVIA lection du Bureau ex cutif l issue de l Assembl e g n rale les membres du Conseil de gestion ont proc d l lection des membres du Bureau ex cutif Sont lus Pr sident Patrick HARIVEL Secr taire Eva LOYER Secr taire adjointe H l ne RAIMBAULT Tr sorier Hugues AUBIN Tr sori re adjointe Catherine AMBACH STale S instruments eta chauf
9. Aussi le d ficit de l exercice 2013 n alarme pas le Commissaire aux comptes qui estime qu ce stade la p rennit du FNAS n est nul lement mise en cause Il est donc en mesure de certifier que les comptes annuels sont au regard des r gles et principes comptables fran ais r guliers et sin c res et donnent une image fid le du r sultat des op rations de l exercice coul ainsi que de la situation financi re et du patrimoine de l association la fin de cet exercice Alain BROSSEAU pr sente le budget pr visionnel 2014 E Les produits sont budg tis s hauteur de 7 733 800 euros soit une augmentation de 3 66 par rapport l exercice pr c dent E Les cotisations sont pr vues hauteur de 7 590 000 euros 3 25 dont 7 350 000 euros pour les cotisations de l exer cice 1 78 et 190 000 euros pour les cotisations sur exer cices ant rieurs 0 28 E Les autres ressources sont pr vues hauteur de 143 800 euros 30 72 Le Tr sorier esp re que les NAO contribueront l augmentation des cotisations de l exercice de 1 78 Il signale une reprise exceptionnelle sur exercices ant rieurs hau teur de 110 000 euros Il s agit de provisions qui avaient t faites en vue du d part en retraite de Chantal PORTE et de Frank LAVAN TURE pour verser les sommes dues au titre des primes de d part en retraite et pour pallier le cumul d emploi avec leurs successeurs au mois de ja
10. Ela p riode et la dur e pendant laquelle sera pratiqu e l activit E pour les h bergements la capacit de l h bergement et le nombre de personnes concern es Ele num ro de Siret de l organisme sauf conservatoires et mairies E le num ro d agr ment lorsqu il est n cessaire Ele nom et l adresse de la structure ou de la personne dispensant l activit Ele montant en euros de l activit factur e facture en euros ou montant converti avec justificatif Ela mention acquitt e Concernant les activites de s jours tous les details sur FNAS Mode d emploi fiche 2 Trois changements importants pour les s jours il n est plus in dispensable de pr venir le FNAS avant votre d part vous pouvez d sormais b n ficier de prise en charge sur vos vacances itin rantes et vous n avez plus besoin que l h bergement soit payant durant toute la dur e de votre p riple pour b n ficier de la prise en charge de vos frais de transport De plus les structures ayant un agr ment Jeunesse et ducation populaire appel auparavant Jeunesse et sport ouvrent droit prise en charge sur la grille n 3 D lais de pr venance vous n avez plus besoin de pr venir le FNAS avant votre d part m me si nous vous conseillons d envoyer votre dossier au pr alable Vous devez d sormais envoyer votre dossier complet ou les l ments n cessaires pour qu il le soit dans le mois qui suit votre retou
11. e 22 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Quelques am nagements sur les dates de transmission des dos siers pour que votre demande soit valide Pour les s jours m me si nous vous conseillons toujours de nous envoyer votre dossier l avance il n est plus indispensable de nous pr venir avant le d part Les nouvelles r gles sont La date de prise en compte d un dossier de prise en charge par le FNAS est celle de la r ception du dossier complet La prise en charge des activit s de loisirs se fera sur le plafond de l ann e de r ception du dossier complet Par d rogation les activit s effectu es les derniers jours d une ann e pourront tre prises en charge sur cette m me ann e si le dossier complet est post au plus tard le 4 jan vier de l ann e suivante le cachet de la poste faisant foi Pour que votre s jour puisse b n ficier d une prise en charge votre dossier complet doit parvenir au FNAS au plus tard 30 jours calendaires apr s la fin de ce s jour et au plus tard le 15 janvier pour un s jour d marrant en fin d ann e R gles de validit des factures l aussi nous avons pr cis ce qui est indispensable pour que nous puissions traiter votre demande Le FNAS n accepte que les factures r dig es en fran ais ou en anglais Dans tous les cas la facture doit comporter les l ments suivants E l activit pratiqu e E le nom du ou des pratiquant s de l activit
12. l gu g n ral indique qu il a entam une restructuration de l organisation du FNAS pour sortir de la s paration des fonctions d sormais chaque ouvrant droit se verra attribuer un r f rent dans l quipe du FNAS charg de traiter toutes ses activit s quelles qu elles soient Ce syst me permettra de cr er un rapport beaucoup plus direct pour l usager qui aura ainsi un interlocuteur attitr et une relation personnalis e Le D l gu g n ral remarque cependant que contrairement la plupart des organismes dont l image aupr s des utilisateurs a ten dance se d grader l usage la perception du FNAS est meilleure chez ceux qui l utilisent que chez ceux qui ne l utilisent pas Pour l heure la majorit des r pondants souhaite que le FNAS pro c de un r quilibrage entre la satisfaction de leurs attentes en mati re de s jours et la pratique de la mutualisation et du partage collectif et solidaire Dans l ensemble le sentiment qui pr domine chez les personnes interrog es est la satisfaction des services ren dus par le FNAS Le D l gu g n ral remercie Marc LANTERI pour cette pr senta tion Il invite les repr sentants du personnel pr sents dans la salle faire passer le message aux anciens salari s partis en retraite il existe pour eux des possibilit s de partir en vacances avec le FNAS sans prise en charge mais avec les tarifs pr f rentiels n goci s avec les voyagistes pour
13. les ayants droit Il invite aussi les repr sentants du personnel communiquer l adresse de ces retrait s au FNAS pour que ceux qui le souhaitent continuent recevoir FNAS INFOS Il signale galement que le logi ciel du FNAS devrait tre modifi prochainement pour prendre ventuellement en compte cette population selon les d cisions prises par le Conseil de gestion lection des membres du coll ge CEC au Conseil de gestion Le Pr sident proclame les r sultats du vote 7 Si ges sont pourvoir au coll ge des CEC Sur 68 lecteurs inscrits 66 ont vot 65 suffrages ont t valablement exprim s un bulletin tait blanc Liste CGT 62 voix Liste FO 3 voix Les 7 si ges sont donc attribu s la CGT va LOYER Roland RONDINI Patricia COLIN Michel PEZAUD Laurent BERNARD Yannick PENOT Chantal JANSSENS DELOGE FNAS INFOS n 51 octobre 2014 13 Fa N 30 juin 2014 Approbation des r solutions par vote bulletin secret Premi re r solution Apr s avoir entendu la lecture du compte rendu collectif de mandat l Assembl e g n rale approuve celui ci La premi re r solution est approuv e l unanimit Deuxi me r solution Apr s avoir entendu la lecture du rapport financier l Assembl e g n rale approuve celui ci La deuxi me r solution est approuv e l unanimit Troisi me r solution Apr s avoir entendu la lecture la le
14. quaranti me anniversaire du FNAS dignement f t les deux jours pr c dents lors d un s jour d die Paris Apr s lecture de l ordre du jour les travaux d butent par la consti tution de la commission des mandats compos e d Alain RENAULT Yannick PENOT Pierre ROMASZKO Laurent POINTURIER et Nathalie LETON Soumis au vote le proc s verbal de l Assembl e g n rale du 24 juin 2013 est adopt l unanimit sans modifications Suivant l ordre du jour va LOYER Secr taire pr sente le compte rendu collectif de mandat Alain BROSSEAU Tr sorier poursuit par l expos du rapport financier et les comptes de l exer cice 2013 clos le 31 d cembre publi s dans FNAS INFOS n 50 La Secr taire remercie vivement l quipe du FNAS pour son tra vail sur les donn es qui ont permis l laboration de ces rapports Pierre ANDRAC D l gu g n ral pr sente quelques statistiques relatives au site Internet de plus en plus fr quent Il fait part du travail en cours pour le simplifier et faciliter la navigation des inter nautes Il fait observer la mont e en puissance de la communication du FNAS sous forme d mat rialis e FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Le Pr sident invite l assistance au d bat K Yann GUILLOU apporte une pr cision sur les cotisations de l exercice en l g re augmentation de 0 85 qui n est qu un trompe l il En r alit la masse salariale
15. rations d pendant du minist re de la Jeunesse et des Sports ou d une f d ration d pendant du minist re de la Culture ou d tenteurs d un agr ment Jeunesse et ducation populaire pourront faire l objet d une prise en charge par le FNAS Par exemple les centres Aquaforme font partie des acti vit s sportives Le yoga est consid r comme une activit culturelle Les conditions d exercice des m tiers des ouvrants droit tour n es horaires irr guliers travail en soir e de nuit etc ne per mettant pas toujours d effectuer ces activit s r guli rement tout au long d une ann e la pratique occasionnelle ou ponctuelle de ces activit s pourra galement faire l objet d une prise en charge Pratique de Feldenkrais cette activit comportant dans sa pra tique le travail gestes et postures est consid r e comme pr ventive en mati re de sant et s curit au travail Cette activit est accessible par l AFDAS comme formation professionnelle tant dans un plan de formation d entreprise que par un DIF Les lus du FNAS estiment donc qu elle ne rel ve pas des activit s donnant lieu prise en charge et proposent que sur ces demandes l quipe du FNAS aiguille syst matiquement les ouvrants droit vers l AFDAS Cours musique danse cuisine couture peinture modelage poterie mod lisme vitrail etc Ils pourront b n ficier d une prise en charge aux conditions sui v
16. toujours des frais suppl mentaires un an sur deux notamment pour l envoi du mat riel de vote l impression des bulletins et des professions de foi etc D autre part il y a eu un doublon de poste pour le D l gu g n ral et l Assistante de direction puisque Frank LAVAN TURE et Chantal PORTE sont partis fin janvier 5 Alain BROSSEAU calcule qu en enlevant ces frais sp ci fiques la hausse r elle n est que de 2 173 euros p Le D l gu g n ral assure que l objectif est bien de main tenir les frais de gestion au m me niveau voire de les di minuer en travaillant notamment sur la probl matique de la convention de gestion avec AUDIENS Le D l gu g n ral souligne d ailleurs que les erreurs de saisie ne peuvent pas tre imput es uniquement AUDIENS beaucoup d en treprises ont manifestement du mal remplir convenablement les bordereaux de d claration Le Conseil de gestion envisage d labo rer un mode d emploi du FNAS destin aux entreprises qui com porterait notamment des conseils pour remplir correctement les formulaires De plus a t demand AUDIENS de remettre en place des contr les qui avaient t supprim s car ils prenaient trop de temps cette suppression a eu pour cons quences une augmen tation importante des erreurs sur les bordereaux Il serait donc ju dicieux de les r tablir En outre le FNAS et AUDIENS vont d velopper au maximum la t l transmission via le
17. 0 etde 14h 17h Pour les dossiers de prises en charge du lundi au vendredi de 14 h 17h Attention Votre num ro d ouvrant droit est indiqu sur le pr sent envoi au dessus de votre nom Notez le Si vous tes salari intermittent vous recevez ce num ro de FNAS INFOS car vos droits sont ouverts au moins jusqu sa date de parution
18. 1 A 30 juin 2014 Le D l gu g n ral expose l Assembl e les modifications qui ont t apport es au r glement int rieur E Farticle IIL 1 sur les temps de travail E l article III 2 sur la dur e des droits E l article III 3 sur les r gles aff rentes la constitution des CEC E Au titre IV relatif aux b n ficiaires notamment sur les enfants mineurs charge fiscale E Au titre V relatif aux prestations E Au titre VI relatif aux conditions d adh sion volontaire des CE de droit commun et des structures de droit public et collectivit s qui conform ment l article L7121 7 1 du code du travail n appliquent la CCNEAC que pour les salari s intermittents du spectacle qu elles emploient M Le paragraphe relatif aux sanctions a galement t compl t Pendant le d pouillement des votes Marc LANTERI pr sente les conclusions de l tude men e par ses soins sur les pratiques de vacances Celle ci a t r alis e partir de six entretiens qualitatifs aupr s de populations vivant dans trois parties du territoire le nord le centre et le sud Entretiens qui ont permis l laboration d un ques tionnaire d une vingtaine de questions Les questionnaires taient strictement anonymes Beaucoup d entre eux sont revenus par l interm diaire d une adresse mail cr e cet effet D autres ont t renvoy s par la poste Est rappel que c
19. 51 950 951 1 100 1101 1 250 GRILLE SEJOURS Grille s jours 1 Grille s jours 2 Grille s jours 3 s jours FNAS secteur associatif tourisme social secteur marchand Moins de 350 451 550 300 euros 751 850 951 1 100 Ch ques Lire et ch ques Disques L ensemble des prises en charge sur les ch ques Lire et ch ques Disques est limit la moiti du plafond de la grille Loisirs Vous pouvez par cons quent obtenir au maximum 31 ch ques par personne quelle que soit la tranche de quotient familial Les ch ques Disques ne sont plus limit s par le plafond URSSAF mais ils sont attribu s aux seuls ouvrants droit GRILLE LOISIRS Ch ques Lire et ch ques Disques 1 2 plafond Prix l unit Prise en charge Taux Plafond annuel du ENAS d duite de votre plafond Moins de 350 175 euros 350 450 163 euros 451 550 150 euros 138 euros Quotient 125 euros 113 euros 100 euros 88 euros 75 euros FNAS INFOS n 51 octobre 2014 27 751 850 851 950 951 1 100 1101 1 250 70 65 60 551 650 651 750 5 0 35 30 Le FNAS vous accueille Sur son site internet WWW fnas net Dans ses bureaux 185 avenue de Choisy 75013 PARIS m tro Place d Italie du lundi au vendredi l exception du jeudi matin de 10 h 12 h 30 et de 14 h 16 h 45 Au t l phone au 01 44 24 72 72 de 10h 12 h 3
20. E se regroupent devra pas nous faire oublier la politique gouvernementale Pro les salari s intermittents sont invit s nom 7 Blanche et rouge pour Rimbaud Pr position Demi mal 8 Il a fait monter la moutarde au nez des salari s inter mittents 9 Infirmit 10 Sigle spatial Etendus Tous les d tails sur notre site internet www fnas net Verticalement A Bondieuserie bigoterie B Pr nom d un personnage de p re de famille de dessin anim Ils sont aussi sur le web C Mange deux fois le soir Il sonde D Abr viation pas seule ment m dicale Pr nom africain E Il a re la terre Bi re F Langue Note Diffusa G Jeu de d s Plante jaune verte dans le titre d un po me d Aragon H Poss des Grand fleuve s il en est l Unit italienne R gle J Ceux qui partent l tranger avec le FNAS se doivent de ne pas l tre 26 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Grilles de prise en charge Pour une p riode de 12 mois ann e civile le montant des prises en charge du FNAS est limit e par le plafond annuel de la grille de prise en charge selon le type d activit par le plafond annuel de la grille globale qui repr sente le montant maximum de prise en charge toutes activit s confondues sauf colonie de vacances GRILLE GLOBALE Quotient familial Plafond annuel maximum par personne Moins de 350 Moins de 350 350 450 451 550 551 650 651 750 751 850 8
21. La troisi me journ e est donc celle avec Monsieur Robert Abirached qui a finalement le dernier mot tout a est tr s subjectif en core une fois Ne r fl chissons pas tout le temps Nous deviendrions monstrueux Enrichir votre vie voil le but de l Art et de la Litt rature fina lement ce ne sont pas exactement ses mots pardon mais l id e est l C est tout simple finalement Le but est la Enrichir notre vie a je comprends Alors tentons de cheminer encore et encore tentons aussi de rendre compte du chemin si les accidents nous le permettent chacun sa fa on chemin r el invent qui a t aurait pu tre sera Merci toute l quipe du FNAS pour cette grande organisation encore une fois L quipe visible et les petites mains de l ombre Sandra Trambouze com dienne 19 G Hiver Le moment de r server vos s jours pour l hiver prochain approche Rendez vous sur le site www fnas net pour retrouver vos destinations favorites et les nouvelles destinations que nous vous proposons notamment dans les Alpes du sud Orci res 1850 Vars et dans les Pyr n es Superbagn res Un nouveau partenariat avec Vacances bleues vous ouvre aussi de nouveaux horizons FNAS INFOS n 51 octobre 2014 19 MoM pbi Un point sur les regles du S FNAS L ann e coul e a te riche de nombreux changements et volutions de nos r
22. acture de votre s jour pour que le FNAS puisse effectuer une prise en charge sur vos frais de transport il faut que E au moins un des deux trajets aller ou retour soit cons cu tif avec l h bergement faisant l objet d une prise en charge par le FNAS E lorsque les deux trajets ne sont pas cons cutifs l h ber gement faisant l objet d une prise en charge la dur e totale du s jour voyage et h bergement ne d passe pas 4 semaines Dans ce cas le co t de base ne peut tre sup rieur aux frais r ellement engag s ni au double du co t de l h bergement E la dur e de l h bergement b n ficiant d une prise en charge est au moins de 3 7 de la dur e totale du s jour E la totalit des justificatifs de transport quel que soit le mode et d h bergement soient transmis au FNAS Les frais de transport sont calcul s sur la base du trajet le plus court de la commune du domicile celle du s jour E Transport en train la base de calcul est le tarif SNCF 2 classe sur pr sentation du des billet s E Autres moyens de transport la base de calcul est de 0 15 euros du kilom tre dans la limite du co t r el du trans port Il est n cessaire d en faire la demande sur votre fiche d inscription et de fournir les justificatifs Pour les voyages de saison uniquement les frais concernant le transport de la ville du domicile au lieu de rendez vous du d part collectif fix par le FNAS sont pris
23. ais ne se fait pas d illusions sur l efficacit des n gociations avec les em ployeurs au niveau national via les organisations syndicales et les repr sentants lus au FNAS Il remarque que bien souvent les di rections des entreprises redoutent bien davantage la confrontation avec leurs propres salari s et avec les d l gu s du personnel Il est tr s favorable des actions r gionales organis es par les syndicats mais recommande vivement aux salari s et leurs repr sentants d afficher leurs revendications dans chaque entreprise Il souligne que les luttes qui seront men es l ann e prochaine pour d fendre les salaires et l emploi dans le secteur seront d cisives car les cons quences de la r forme des collectivit s territoriales de la restructuration des r gions et des conomies exig es dans tous les organismes de service public n ont ce jour pas encore pris leur plein effet d s l an prochain la baisse des moyens accor d s la culture se fera cruellement sentir H Denys FOUQUERAY ressent les m mes inqui tudes si les d partements venaient dispara tre demain soi disant pour g n rer des conomies les budgets n augmenteraient pas pour autant bien au contraire le projet du gouvernement est bel et bien de les r duire Il signale un volet encore plus alarmant de la loi pour la cr ation artistique le minist re de la Culture envisage d autoriser les en FNAS INFOS n 51 octob
24. and ce que le projet d accord du 22 mars ne soit pas agr Elle met en garde contre le risque de faire le jeu des m dias et sur tout des pouvoirs publics en opposant les directions et les salari s Elle se d clare tr s inqui te par la r forme de la d centralisation et par le projet de red coupage territorial et appelle une mobilisation conjointe des salari s et des employeurs pour combattre ces poli tiques aux cons quences d sastreuses Enfin elle r affirme haut et fort son attachement au FNAS g Le Pr sident la remercie pour cette intervention mais fait remarquer qu la derni re rencontre entre le FNAS et la Commission de suivi dans les locaux du SYNDEAC il n y avait que la moiti des organisations d employeurs Il le regrette car ces ren contres sont faites pour que les organisations patronales et syndi cales puissent changer et avancer ensemble Claire GUILLEMAIN en convient mais rappelle que lors de L la commission de suivi organis e pour parler des activit s beaucoup d employeurs taient pr sents ils ont pos bon nombre de questions au cours de discussions tr s enrichissantes Elle ajoute que la commission de suivi est curieuse de conna tre les r sultats de l enqu te sur les pratiques de vacances et elle propose d laborer un calendrier de travail sur l ann e pour aborder les sujets que le FNAS souhaite voquer en pr sence des employeurs FNAS INFOS n 51 octobre 2014 1
25. antes Lorsque cette activit n est pas en lien direct avec le m tier de l ouvrant droit ou de l ayant droit ex cours de danse pour un danseur cours de chant pour un chanteur etc Lorsqu ils sont dispens s par un conservatoire une MJC ou une association Lorsqu ils sont dispens s par une entreprise ou une per sonne exer ant dans un cadre professionnel permettant une facturation respectant les r gles l gales La location de l instrument ou du mat riel n cessaire la pratique de l activit pourra faire l objet d une demande de prise en charge sous r serve que l activit pratiqu e soit elle m me prise en charge Prise en charge des places de cin ma Attendu le non respect des r gles aff rentes la protec tion de la production cin matographique le Bureau ex cutif estime que les cartes cin ma d acc s illimit ne peuvent en aucun cas faire l objet de prise en charge La prise en charge sur les places de cin ma se fera sur la base du total du prix des billets mis l occasion de chacu ne des s ances de projection sans que ce montant ne puisse d passer les frais r ellement engag s notamment le co t de la carte ou de l abonnement Sorties en bateau Elles ne feront l objet de prise en charge que lorsqu elles font partie int grante d une excursion ou d une visite cultu relle Une simple travers e ne pourra donc tre prise en charge en tant que loisir Les
26. ariale repr senterait 750 000 euros de cotisa tions suppl mentaires pour le FNAS E Denys FOUQUERAY informe l assembl e que les NAO de branche sont bloqu es depuis plusieurs mois les em ployeurs ayant propos une augmentation de 1 sur les salaires minima l exception de ceux des artistes permanents sachant que la plupart d entre eux sont les musiciens d orchestre et les choristes dont la grille de r mun ration est parmi les plus basses dans la convention collective Par ailleurs aucune augmentation n est accept e par les em ployeurs pour les salaires r els en dehors de la hausse convention nelle de 0 5 par an force de n gocier les repr sentants des salari s sont en bonne voie pour obtenir un accord sur les salaires minima afin de mettre un terme cette discrimination entre les cat gories de salari s Les employeurs devraient apporter une r ponse positive prochainement En revanche pour les salaires r els les organisations syndicales sont toujours dans l expectative pour le faible pourcentage suppl mentaire de 0 2 qu ils ont demand en sus de l augmentation FNAS INFOS n 51 octobre 2014 5 e 6 30 juin 2014 conventionnelle de 0 5 Denys FOUQUERAY fait remarquer que cette augmentation totale de 0 7 correspond ni plus ni moins l inflation Il plaide pour que les repr sentants du personnel et plus g n ra lement les salari s permanents et intermittents prenne
27. bordereaux de d claration aux diff rentes caisses Pour les aider la CPNE a travaill un projet men conjointement avec le minist re du Travail et le minist re de la Culture pour mettre au point un guide intitul dispositif d appui aux tr s petites entreprises visant accompagner celles ci dans la gestion de leurs obligations quoti diennes Sur la question de l augmentation des cotisations Jean Joel LE CHAPELAIN rappelle que malheureusement la situation finan ci re des employeurs dont les moyens sont de plus en plus res treints ne permet pas d y donner suite Le Pr sident demande Robert CARLIER d indiquer le montant de la cotisation patronale en 1974 lorsqu il tait Secr taire et D l gu g n ral du FNAS Robert CARLIER r pond qu au d part elle tait fix e 1 E de la masse salariale dans la convention collective Elle est pass e 1 25 et n a plus connu aucune volution Revenant sur les probl mes de comp tences des TPE il rappelle qu l poque elles taient volontaires pour faire leurs d clarations elles m mes et qu il n y avait pas les probl mes que l on rencontre aujourd hui Robert CARLIER s insurge contre la raison invoqu e par Jean Jo l LE CHAPELAIN pour expliquer le retrait des employeurs de la pr sidence du FNAS au moment de la r daction des premiers statuts du FNAS le SYNDEAC et les organisations syndicales de salari s s taient mis d acco
28. cture du rapport de Monsieur le Commissaire aux comptes l Assembl e g n rale lui donne acte de l ex cution de son mandat La troisi me r solution est approuv e la majorit moins une abstention Quatri me r solution L Assembl e g n rale approuve les comptes annuels bilan compte de r sultat et annexe de l exercice clos le 31 d cembre 2013 tels qu ils sont pr sent s La quatri me r solution est approuv e la majorit moins une abstention Ea Cinqui me r solution L Assembl e g n rale d cide imputer le d ficit de exercice clos le 31 d cembre 2013 qui s tablit 157 022 31 euros au compte report nouveau pour le ramener 137 178 11 euros La cinqui me r solution est approuv e la majorit moins trois abstentions Sixi me r solution L Assembl e g n rale d cide de mutualiser 25 306 74 euros des fonds non utilis s par les CEC en sommeil et provisionn s hauteur de 55 892 19 euros La sixi me r solution est approuv e la majorit moins une abstention Septi me r solution L Assembl e g n rale donne quitus plein entier et sans r serve aux membres du Conseil de gestion Monsieur le Pr sident et Monsieur le Tr sorier pour leurs actes de gestion et l accomplissement de leur mission La septi me r solution est approuv e la majorit moins une abstention Huiti me r solution L Assembl e g n
29. d part du FNAS en 1978 il y avait une quarantaine d entreprises cotisantes arl soit 200 fois moins qu aujourd hui Le budget tait d un peu moins de 1 million de francs soit l quivalent de 150 000 euros Il tait donc 50 fois moins lev qu actuellement Cela prouve la diminution consid rable de la masse salariale en principe le budget aurait d cro tre dans les m mes proportions que le nombre d entreprises ce qui n est pas du tout le cas Le D l gu g n ral annonce que son pr d cesseur Frank LAVAN TURE est galement pr sent mais remarque qu aucun des anciens pr sidents du FNAS n a r pondu l invitation qui leur avait t en voy e pour f ter le quaranti me anniversaire La ministre de la Cul ture Aur lie FILIPPETTI galement invit e n a pas donn suite g Patrick HARIVEL demande Pierre ANDRAC d apporter des claircissements sur la sixi me r solution PAssem bl e g n rale d cide de mutualiser 25 306 74 euros des fonds non utilis s par les CEC en sommeil et provisionn s hauteur de 55 892 19 euros i Le D l gu G n ral explique que cette r solution vise ap pliquer un article de la convention collective lorsque le FNAS a connaissance d un projet de cr ation de CEC dans une en treprise l entreprise continue cotiser l ancien taux le temps de constituer l instance et le FNAS provisionne ces cotisations jusqu ce que le CEC soit en mesu
30. du co t initial du s jour ou s il n est pas connu du co t maximal indiqu E si l aide ext rieure est sup rieure celle du FNAS aucune prise en charge du FNAS ne sera allou e E si l aide ext rieure est inf rieure celle du FNAS la somme vers e la famille repr sentera la diff rence entre la prise en charge du FNAS et l aide de l autre organisme Concernant les activites de loisirs tous les details sur FNAS Mode d emploi fiche 4 Les lus confront s l volution des demandes de plus en plus vari es ont surtout voulu pr ciser le cadre politique des prise en charge du FNAS sur les activit s de loisirs 24 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Abonnements revues compter du 1 janvier 2014 La prise en charge d abonnements des revues et ou magazines est r serv e aux enfants jusqu 16 ans r volus Les revues concern es devront clairement tre identifi es comme s adressant aux ayants droit vis s mention de tranche d ge Abonnements aux biblioth ques et aux m diath ques Pour affirmer la politique volontariste du FNAS en faveur de l ac c s la lecture le FNAS effectuera une prise en charge totale des abonnements aux m diath ques et aux biblioth ques sur pr sentation de la facture et ce compter de janvier 2014 Activit s sportives Seules les activit s sportives effectu es dans un cadre collectif relevant des organismes affili s aux f d
31. e gouvernement actuel entend le faire dans les cinq prochaines ann es Il se d clare constern par l attitude des employeurs qui ne protestent que timi dement en raison de leur sensibilit politique proche de celle des dirigeants en place Il revient sur la diff rence que faisait pr c demment Jean Jo l LE CHAPELAIN entre un CE d entreprise et une structure s appro chant d un CE sous forme d association de loi 1901 Ce renvoi sys t matique du FNAS sa structure juridique lui semble abusif estimant que dans les faits le FNAS ne fonctionne plus selon les statuts d association de loi 1901 en effet une telle association au rait le droit de modifier ses statuts en assembl e g n rale Ce n est pas le cas du FNAS qui pour ce faire doit passer par une commis sion paritaire Patrice MASS confirme qu effectivement une association E de loi 1901 est autonome pour modifier ses statuts sa guise Il estime donc que les employeurs ne peuvent argumenter sur la forme juridique du FNAS et qu ils ont fui leurs responsabilit s en quittant la pr sidence des instances Il rappelle galement qu il y a deux ans apr s avoir labor la nou velle convention collective les organisations syndicales et les orga nisations d employeurs s taient mises d accord pour ouvrir un troisi me cycle de n gociations portant non seulement sur les salaires mais aussi sur le champ des entreprises Il signale que les syndicats sont o
32. effet le rapport de branche est tabli sur la base des entreprises qui cotisent la pr voyance et la sant chez AUDIENS En outre elle estime qu AUDIENS outrepasse ses droits en adres sant des courriers aux entreprises car ce n est pas lui de d ter miner le champ conventionnel d une structure Elle pr conise de faire rapidement une mise au point avec ce groupe de protection sociale avant m me que les discussions sur l accord interbranche n aboutissent a Denys FOUQUERAY remarque que dans son rapport la commission de suivi prend acte que le d ficit de 2 mil lions constat il y a quatre ans est d sormais totalement r sorb et aele s en f licite Il s insurge contre cette phrase car les efforts pour r tablir l quilibre financier du FNAS ont t faits uniquement par les ayants droit qui ont d supporter des mesures restrictives Il rappelle que le FNAS a demand plusieurs reprises aux em ployeurs une augmentation du taux de cotisation m me symbo lique pour t moigner aux salari s leur solidarit mais que cela a t refus cat goriquement Il souligne qu une autre mani re de contribuer la progression des cotisations est d augmenter les salaires et le volume d emploi Certes les organisations patronales se mobilisent contre la baisse du niveau de subventions et participent aux marches pour la culture mais Denys FOUQUERAY constate que les employeurs eux m mes ne brillen
33. egistre de la sophistication les chercheurs d toiles vols secs s jours itin rants s jours de derni re minute qui ont besoin de r ve mais qui se situent dans un registre purement individuel les classiques h tels au carrefour de l individualisme et de l utilit les adeptes du village global campings villages vacan ces qui sont entre le s jour de groupe et l utilit ceux qui pronent le retour aux sources chambres d h tes gites s jour chez l habitant location simple ceux qui sont dans le repli familial maison de famille r sidence secondaire entre le s jour de groupe et l utilit Le FNAS est positionn entre les chercheurs d toiles les clas siques et le village global Il v hicule une image bas e sur les valeurs thiques et solidaires au service de l individu Concernant les s jours la plupart des r pondants n attendent pas vraiment d offre plus fournie de s jours de groupe ou de s jours rale o enfants En revanche ils souhaitent des modalit s de prise en charge plus simples et des d lais plus flexibles d inscription 658 des sond s disent conna tre les activit s de s jours du FNAS et parmi cette population plus de 80 sont d j partis avec le FNAS 42 ne connaissent pas les activit s de s jours du FNAS Marc LANTERI fait un point sur la notori t du FNAS L enqu te montre que les ayants droit co
34. en charge int gralement sur les m mes bases que ci dessus FNAS INFOS n 51 octobre 2014 23 M ooi Concernant les activites de s jours pour enfants et adolescents tous les details sur FNAS Mode d emploi fiche 3 Peu de changements quelques pr cisions ajout dans la liste des agr ments valides pour le FNAS de l agr ment Jeunesse et du cation populaire Limite d ge le FNAS fixe d sormais une limite pour les s jours scolaires en fonction du niveau d tudes et non plus de l ge de l enfant charge Les s jours scolaires pris en charge par le FNAS en grille Colonies sont les voyages effectu s dans le cadre scolaire jusqu au baccalaur at Les s jours des jeunes en classes pr pa ratoires et en formations post bac effectu es en lyc e g n ral ou professionnel BTS DUT DMA sont exclus Frais de transport Pour les s jours pour enfants et adoles cents la prise en charge des frais de transport est limit e aux tra jets r ellement effectu s par les parents pour les accompagner Cas des aides ext rieures Lorsque le s jour en colonie b n ficie d une aide d un autre or ganisme que le FNAS E si l aide est la m me pour tous les enfants la prise en charge est calcul e sur la base de la somme restant la charge de la famille E si l aide est calcul e selon le quotient familial la prise en charge du FNAS sera calcul e sur la base
35. epr sentants de l ensemble des sa lari s du spectacle vivant subventionn est au travail pour que le FNAS continue d tre un outil de solida rit et de mutualisation Tout au long de l ann e des commissions se r unis sent compos es d lus et de salari s Elles travaillent sur des propositions de destination de s jour sur de nouvelles id es d activit sur les dossiers de de mande atypique ou situation particuli re et gale ment sur le contenu du journal FNAS INFOS la demande des salari s des diff rentes r gions le FNAS organise des journ es d tude durant les quelles nous rencontrons les personnels permanents et intermittents lieu d change permettant d expli quer le fonctionnement du FNAS d entendre les d sirs et suggestions de chacune et de chacun Un lieu de parole libre De m me Avignon et ses journ es d tude Elles ont r uni cette ann e plus de quatre vingt personnes Nous avons pu ainsi lors de d bats anim s par des personnalit s r fl chir et questionner nos m tiers et nos pratiques artistiques et culturelles dans le contexte politique et social actuel En juin dernier nous avons f t le bel anniversaire du FNAS Depuis 40 ans le FNAS a su s adapter avancer Faisons travailler notre imaginaire pour ne pas subir cette aust rit que certains veulent nous imposer Nous ne pouvons accepter cette spirale infernale de la d gradation du secteur culturel ce
36. est de 450 heures ou 45 cachets ou 90 jours avec des quivalences lorsque plusieurs modes de comptabilisation sont utilis s 1 cachet quivaut 10 h et 1 journ e 5h 450 h 45x10h 90x5h Les droits sont ouverts pour 12 mois compter de la date du dernier temps de travail port la connaissance du FNAS permettant de d passer le seuil d ouverture Concernant les activites et investissements a caractere collectif tous les d tails sur FNAS Mode d emploi fiche 5 Le seul changement notable est la r criture de la r gle sur les arbres de No l d taill e plus haut Il est notamment devenu n cessaire de pr ciser qu un arbre de No l d entreprise au del d une distribution de cadeaux ou d un repas d quipe est une r u nion dans le cadre du travail des salari s et de leurs familles no tamment les enfants FNAS INFOS n 51 octobre 2014 21 poi Concernant les r gles generales de prise en charge tous les details sur FNAS Mode d emploi fiche 1 Rappels concernant les prises en charge sur des s jours Pour des raisons fiscales le FNAS effectue les r glements par ch que l ordre de l organisme s occupant de votre s jour En dehors des quelques d rogations ce principe d taill es dans FNAS Mode d emploi si le FNAS doit tablir un r glement l or dre de l ouvrant droit la prise en charge sera limit e au quart du plafond de la grille concern
37. ette tude a t motiv e entre autres raisons par la chute des activit s de s jours chez les permanents depuis deux ans Le Conseil de gestion s tait alors interrog sur les raisons de cette d saffection se demandant notamment si les activit s propo s es r pondaient aux besoins Toutefois jugeant dommage d carter les salari s intermittents de l enqu te il a t d cid de faire transiter celle ci par deux voies d une part les d l gu s du personnel qui avaient pour mission de transmettre le questionnaire tous les sa lari s permanents comme intermittents d autre part le site du FNAS sur lequel enqu te tait accessible en page d accueil pendant plusieurs mois Une centaine d intermittents ont r pondu mais ne sont pas forc ment repr sentatifs de cette population Marc LAN TERI souligne qu il n y pas relev de distorsion majeure entre les r ponses des permanents et celles des intermittents 859 questionnaires ont t retourn s au FNAS Ce succ s est d notamment l implication des repr sentants du personnel qui ont distribu les questionnaires au sein de leur entreprise et au s rieux de l quipe du FNAS qui a collect les informations renvoy es 12 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 Les 859 personnes ayant r pondu au questionnaire sont des salari s permanents 87 et des salari s intermittents 13 per sonnels administratifs 73 techniciens 25 K artistes 2
38. f l ambiance p s l ap ritif le SNOB a sorti se de participants et Les jeux dot s de deux s jours ont attir nombre jusqu au repas la participation n a pas faibli Autour des tables des discussions anim es FNAS INFOS n 51 octobre 2014 15 Le repas termin le SNOB nous a fait danser pour clore cette soir e 16 x AS INFOS n 51 octobre 2014 Les lus du FNAS et son quipe sont tr s heureux de cette belle soir e d anniversaire et esp rent que vous en garderez un bon souvenir En tant que d l gu g n ral je tiens particuli rement remercier l quipe du FNAS qui m a accompagne dans l organisation de cette belle soir e au c ur de ce week end festif cl tur par l Assembl e g n rale du FNAS Merci Serge au mus e des arts forains pour la qualit de son accueil et Touristra Vacances qui a offert aux deux grands gagnants des parties acharn es des jeux forains deux s jours de vacances Cette soir e n aurait pas pu tre la m me sans le soutien de nos partenaires TOURISTRA Vacances L agence Gobelins du Cr dit Mutuel AUDIENS Groupe Ch que D jeuner avec les Ch ques Lire et les Ch ques Disque Le CFPTS Pierre Andrac vacances cs 7 AUDIENS LE RES BE j e a pa CFh s N attendez pas la fin de l ann e pour passer vos commandes de Ch ques Lire et de Ch ques Disque au FNAS Les C
39. globale des entreprises artistiques et culturelles a baiss de 3 ME Un certain nombre d en treprises dot es d un CEC ont supprim des CDI et ont d sormais recours des CDD intermittents modifiant ainsi la r partition de la cotisation En effet pour un salari permanent 50 de la cotisation revient au FNAS alors que ce pourcentage est de 80 pour un sa lari en CDD intermittent Il convient donc d tre vigilant sur ce qui est dans les faits une baisse r elle de la masse salariale di va LOYER ajoute que le nombre d entreprises cotisantes essentiellement de tr s petites entreprises continue d aug menter mais que la courbe tend s infl chir H Le D l gu g n ral pr cise que non seulement la cotisation moyenne est en baisse constante depuis des ann es mais que de plus pour la premi re fois depuis la cr ation du FNAS le nombre de salari s permanents ayant des droits ouverts est en baisse Il fait remarquer que les tranches les plus basses de quotient familial sont celles sur lesquelles le FNAS fait le nombre le plus im portant de prises en charge de s jours Ce qui prouve que le FNAS joue pleinement son r le aider les foyers les plus modestes partir en vacances Aide d autant plus n cessaire que le co t des s jours a augment alors que le montant des prises en charge d activit s de s jours progresse B Patrice MASS sugg re d tablir une comparaison entre la structure des reve
40. h ques Lire et les Ch ques Disque font partie de la Solution Culturelle du Groupe Ch que D jeuner groupe ind pendant n 3 mondial sur le march des titres de services pr pay s Laboratoire d id es et d initiatives fonci rement militant le Groupe Ch que D jeuner fonde son originalit sur sa structure coop rative Mise en commun des moyens fonctionnement d mocratique accession la responsabilit et l initiative conomique sont appliqu s chaque tape de son d veloppement et pr valent sur la conduite de l entreprise L ensemble des hommes et des femmes de Ch que D jeuner maison m re du groupe sont soci taires selon le principe une personne une voix CFhP S ERIN 68 COR CON Mi ER i Lai Tomas Fu DT TT RE NOS FORMATIONS AU SERVICE DE VOS M TIERS POUR VOUS LEE A SE FOAMATIONS ovctontechaique tecenairea CONTINUES A Rigi papaa iiai L mmin hi glini G D maad irr la carie urrsbre Fi y ke Lll Thr TUA Eie y er PF E FNAS INFOS n 51 octobre 2014 L id e serait de raconter Ne pas s int res ser l accident ne pas le repr senter mais le raconter Raconter l accident et ou comment il aurait pu ne pas se produire Raconter comment les choses auraient pu tre diff rentes est Robert Abiracheb qui parle en faisant r f rence Brecht Avec ses 85 ans et tout ce qu il a v cu ce Monsieur du Th tre nous entortille dans les m andre
41. jour de nom breux artistes techniciens et personnel administratif rencontrent de plus en plus de difficult s vivre de leurs m tiers En effet les revenus des salari s sont en baisse ce qui porte cons quence sur les possibilit s de va cances et de loisirs Les annonces faites par le gouvernement concernant les r formes de la s curit sociale du red coupage des r gions des seuils sociaux et du prochain bud get du minist re de la Culture sont alarmantes de m me la nouvelle convention de l assurance ch mage Soucieux de la qualit de vie de ses ouvrants droit le Conseil de gestion restera vigilant et l coute des inqui tudes des salari s Cette rentr e est un peu comme une ann e de re doublement de classe Une impression de d j vu la diff rence que ce sont de nouveaux profs qui avec le soutien du Moi Pr sident lib ral veulent imposer leurs m thodes pour atteindre leurs objec tifs Eh bien continuons inventer et cultiver les graines d j sem es pour plus de solidarit R sistons Patrick Harivel Pr sident FNAS INFOS n 51 octobre 2014 3 A D lt e amp 4 Compte rendu de l Assembl e generale En ouverture Patrick HARIVEL Pr sident du FNAS salue l assistance et remercie Pa trice MARTINET directeur du Th atre de l Ath n e Louis Jouvet d accueillir Assem bl e g n rale du FNAS Il rappelle que celle ci parach ve le
42. juin 2014 dence tait assur e par un repr sentant du SYNDEAC le poids des employeurs tait quasi inexistant leur voix tait tr s minoritaire Il tait donc difficile voire impossible d influer sur les principales d cisions qui taient prises Les employeurs ont donc pr f re distin guer la gestion d sormais d volue part enti re aux repr sentants des salari s du suivi r gulier du FNAS par le biais d une commission de suivi en mettant une appr ciation annuelle et en organisant des rencontres r guli res Il souligne que la pr occupation des employeurs l gard des u vres sociales reste enti re car ces activit s ont une place essentielle dans la vie des salari s Pour sa part il milite pour multiplier les changes entre le FNAS et les organisations d employeurs afin que ces derni res s associent au d veloppement des activit s au sein des entreprises Il fait observer que les remarques mises dans le rapport de la com mission suivi ne rev tent aucun caract re pol mique il s agit juste d changer sur la vie et la gestion du FNAS dans l int r t des salari s Concernant les carts constat s entre les chiffres d AUDIENS ceux du FNAS et ceux du FCAP Jean Joel LE CHAPELAIN souligne que beaucoup d entreprises du secteur sont de tr s petite taille et qu elles n ont pas toujours les comp tences n cessaires pour s ac quitter correctement des t ches administratives notamment des
43. le SFA existent galement entre les techniciens les personnels administratifs et le SYNPTAC Pour sa part il souhaite relancer une v ritable repr sentativit du syndicat CGT dans l ensemble des d partements d outre mer tout en res pectant l ind pendance des syndicats locaux M Le D l gu g n ral signale que le FNAS s attache cr er du lien avec les ressortissants des d partements d outre mer notamment en invitant les lus aux journ es d tude Il se r jouit d y voir participer chaque ann e un certain nombre de re pr sentants de la Guadeloupe de la Martinique ou de la R union ce qui permet des changes tr s enrichissants En attendant le rapport de la commission des mandats le D l gu g n ral pr sente aux membres de l Assembl e g n rale l ensemble de l quipe salari e du FNAS FNAS INFOS n 51 octobre 2014 7 A 30 juin 2014 Alain RENAULT pr sente le rapport de la commission des mandats Il indique que l Assembl e g n rale peut valablement d lib rer e Pour le coll ge des entreprises de moins de dix salari s sur 20 repr sentants 7 sont pr sents et 12 sont repr sent s soit un total de 19 Pour le coll ge des salari s intermittents sur 40 repr sentants 11 sont pr sents et 16 sont repr sent s soit un total de 27 Pour le coll ge des CEC et des CE sur 68 repr sentants 28 sont pr sents et 38 sont repr sent s soit un total de 66
44. lorsque le d ficit s est creus en r gulant les d penses et en restreignant les prises en charge Il souligne que dans la ma tin e le Commissaire aux comptes a fait tat des bons r sultats ob tenus gr ce la mise en place de nouvelles r gles et d outils de gestion appropri s Denys FOUQUERAY constate que face au nouveau d ficit de 2013 m me si celui ci n a rien voir avec celui de 2009 le FNAS a une alternative soit poursuivre son activit l identique au risque de voir ce d ficit prendre de l ampleur ce qui conduirait la faillite dans quelques ann es soit restreindre encore les droits des usa gers en diminuant le volume et le montant des prises en charge voire la palette d activit s propos es Il trouve qu aucune de ces deux hypoth ses n est acceptable et insiste sur la n cessit d aug menter les recettes pour r pondre aux besoins des ayants droit Il lui para t donc l gitime de demander aux employeurs des efforts pour contribuer eux aussi la bonne sant financi re du FNAS Par ailleurs il estime que la commission de suivi est mal plac e pour critiquer la gestion du FNAS car ce sont bien les employeurs qui ont choisi de quitter la pr sidence des instances contre l avis des organisations syndicales H Jean Jo l LE CHAPELAIN ancien Pr sident du FNAS et de la Commission de suivi rappelle qu l poque o la pr si FNAS INFOS n 51 octobre 2014 9 AT 30
45. m ment reconna tre les crit res de discrimina tion Qu est ce qu une discrimination directe indirecte Diff rence entre une si tuation identique et une situation com parable sous forme ludique nous explorons des cas d cole dans l histoire des jugements rendus sur ce sujet Nous sommes dans une p riode o le droit est mobiliser Il existe Il faut l appliquer Puis citant une amie je crois Le droit de vient une menace cr dible Passionnant On s aper oit que l Europe cet endroit l de la juridiction est en avance par rapport la France cocorico Discussion avec les camarades le lendemain au petit d jeuner pour la plupart DP Oui Le droit est un bouclier Encore faut il savoir s en servir tre assez fort pour le porter Oui C est bien lourd un bouclier je pense Et on est plusieurs le penser Et le chemin d apprentissage est encore tr s long Mone Riga E l heure o nous imprimons il ne reste que quelques places pour le week end Riga du 30 10 au 2 11 14 Tentez votre chance Est ce que dans la vie face aux v nements aux discriminations aux accidents on peut tendre devenir plus brechtien qu aristot li cien Se mettre en distance de fa on bran dir le bouclier Parce qu en ce qui me concerne le bouclier est souvent envoy en l air C est ce que je me dis Et je ne suis pas la seule M
46. mi ceux qui ont travaill dans l ann e Rappel de la r gle Lors de cette f te r unissant parents et enfants les ca deaux de No l pour les enfants jusqu 16 ans r volus peu vent faire l objet d une prise en charge 100 d un maximum de 35 euros cette occasion le FNAS encourage vivement la r union des salari s permanents et intermittents artistes et tech niciens de la structure ainsi que leurs conjoints et leurs enfants Tous les salari s intermittents ont acc s cette activit d s lors qu ils ont t employ s dans la structure au cours de l ann e Les lus d cident de l ventuel nombre de jours de travail n cessaire pour participer cette activit Lorsque cette activit s accompagne d un pot ou d un repas auquel participent tous les salari s permanents ou intermittents avec leurs enfants une prise en charge de 80 avec un maximum de 15 euros par adulte et 10 euros Horizontalement par enfant est accord e 1 Alcool violent dont les intestins se souviennent deux mots 2 Cette nuit requiert un certain nombre de projecteurs Pour les structures dot es d un CEC 3 carlate anglais Mon allemand 4 Bosser dur Sans rire le FNAS ne participe au pot ou au repas S gol ne Royal avait mis l id e d y envoyer les intermittents que lorsque ces conditions sont remplies 5 Attacher Saisi phon tiquement 6 Ce doux pr nom ne plusieurs C
47. n tr s par les ressortissants de la CCNEAC outre mer m Suzie BELAIR d plore qu en Guadeloupe il n existe pas vraiment de syndicat luttant r ellement pour la culture Elle s inqui te pour l avenir car les budgets baissent et les conditions de travail se d gradent Elle souligne que dans les d partements outre mer plus qu ailleurs le sort des entreprises du spectacle d pend de la volont politique locale ce qui rend les combats encore plus difficiles Par ailleurs elle rel ve que les ayants droit qui r si dent en dehors de la m tropole ne b n ficient que faiblement des activit s du FNAS en raison de leur loignement g ographique Jean Fran ois PUJOL s tonne d entendre parler d une re E lative absence de syndicalisme en Guadeloupe car le SFA a depuis plusieurs ann es des relations suivies avec une artiste gua deloup enne adh rente au SFA et participante assidue aux journ es d tude du FNAS Cette repr sentante du personnel avait c ur de promouvoir et d fendre les droits des salari s du spectacle en Gua deloupe par le biais de son organisation syndicale Il reconna t ce pendant qu il est plus difficile de suivre ce qui se passe syndicalement en Guadeloupe car l organisation majoritaire l bas est la CGTG dont il convient de respecter les pr rogatives Denys FOUQUERAY confirme qu au nom de la lutte antico R lonialiste la CGT consid re les d partements d outre mer comme tant des pa
48. n es du FNAS et celles du FCAP peuvent s expliquer car un certain nombre d entreprises cotisent au premier mais pas au second Il souligne que les divergences de chiffrages entre le FCAP AUDIENS et le FNAS devraient tre aplanies par les discus sions en cours sur l accord interbranche visant mieux d finir les champs conventionnels du priv et du public En effet il existe ac tuellement un article qui stipule que les entreprises du secteur priv peuvent percevoir des subventions ce qui pr te confusion En revanche il s interroge sur les chiffres d AUDIENS qui collecte les cotisations pour toutes les entreprises de la CCNEAC ce titre les l ments devraient tre les m mes que ceux du FNAS Il signale que certaines entreprises qui cotisent aussi bien au FNAS qu au FCAP ont re u un questionnaire d AUDIENS leur demandant si elles appartiennent au secteur priv alors qu elles rel vent du secteur public Questionn s ce sujet les interlocuteurs d AUDIENS font syst matiquement r f rence au fameux article de l accord inter branche cit pr c demment Denys FOUQUERAY esp re donc que les discussions en cours aboutiront une remise plat des d fini tions permettant ainsi de pallier ces dysfonctionnements H Claire GUILLEMAIN reste surprise par les diff rences de donn es provenant d AUDIENS car cet op rateur est cens avoir une excellente connaissance des structures qui rel vent de la CCNEAC en
49. nnaissent le FNAS essentiellement par les d l gu s du personnel 405 citations par le comit d en treprise 258 citations et dans le cadre du travail 458 citations Le site Internet est cit 182 fois Le journal FNAS Info arrive apr s avec 181 citations Marc LANTERI pr conise de se pen cher sur cet aspect et d apporter des am liorations au journal qui devrait tre une des premi res sources d information La plupart des ouvrants droit souhaitent passer direc tement par le FNAS pour leurs s jours Globalement le FNAS est per u comme un organisme solidaire solide fiable et bien g r L accueil est qualifi de remarquable sur le plan hu main mais difficilement accessible il est visiblement compliqu de joindre quelqu un par t l phone Le site du FNAS est plut t appr ci En revanche le manque de flexibilit administrative est point du doigt Le D l gu g n ral souligne que ces appr ciations sont im pr gn es de l exp rience v cue par la personne interrog e un refus de prise en charge induit des notations plut t n gatives Ceux qui sont d j partis avec le FNAS utilisent facilement tous les modes de communication propos s Les personnes qui n ont jamais utilis le FNAS sont celles qui ont le plus de mal entrer en contact En conclusion les am liorations doivent porter sur l accessibilit le dynamisme de l administration le journal et la communication Le D
50. nt fait et cause pour d fendre leurs droits au regard de la d gradation de leur situation depuis quelques ann es Il souligne qu en d pit de la baisse du volume d emploi et de la stagnation voire de la r gression des salaires les efforts pour r sorber le d ficit du FNAS en 2011 ont t faits par les seuls salari s K Yann GUILLOU confirme ces propos et annonce que la pro chaine r union de NAO devrait avoir lieu le 7 juillet Il pr cise que la grille de r mun ration minimale de la convention collective est tellement basse que dans le champ seuls 30 des salari s sont pay s selon cette grille Cela signifie que si seuls les salaires minima sont augment s 70 des salari s n auront droit rien F La Secr taire invite les d l gu s du personnel se mobili ser dans les entreprises pour d fendre les r mun rations des salari s Elle met en garde contre la strat gie des employeurs qui ont souvent tendance chaque n gociation salariale renvoyer dos dos les salari s permanents et les salari s intermittents en opposant aux premiers les besoins li s la masse artistique et en prenant l argument du co t du fonctionnement vis vis des se conds Ce combat est d autant plus n cessaire que les dispositions de l accord national interprofessionnel du 22 mars sur l assurance ch mage vont engendrer une trappe aux bas salaires voire du tra vail dissimul B Jean Fran ois PUJOL partage ce constat m
51. nus des salari s et les activit s sociales du FNAS par quotient familial et par nombre de prises en charge ig Jean Fran ois PUJOL se montre assez mesur vis vis de cette demande car les quotients familiaux du FNAS sont calcul s suivant les revenus du foyer qui ne proviennent pas forc ment tous du spectacle il faut compter les ressources du conjoint qui peut travailler dans un tout autre secteur voire ceux des enfants rattach s au foyer fiscal Les tranches du FNAS ne peuvent donner une vision exacte des revenus dans les entreprises relevant de la CCNEAC Il souligne que les donn es les plus fiables en mati re de revenus proviennent du rapport de branche communiqu chaque ann e aux organisations syndicales Alain GABRIEL Commissaire aux comptes pr sente son rapport sur l exercice clos le 31 d cembre 2013 Il souligne que la comptabilit interne est de mieux en mieux ma tris e par l quipe comptable Si l ann e 2013 ressort avec un r sultat n gatif alors qu il tait positif l an dernier gr ce une meilleure gestion les effets de yoyo observ s il y a cinq ou six ans s att nuent Les outils mis en place depuis deux ans notamment le suivi trimestriel du budget pr vi sionnel permettent de d tecter les tendances inqui tantes et de r agir rapidement constituant au fil du temps une base statistique de donn es pouvant tre utilis e par les administrateurs pour g rer efficacement le FNAS
52. nvier E Les charges sont budg t es pour 7 733 800 euros 1 52 M Les activit s sociales devraient s lever 6 219 000 euros 1 04 dont 2 220 000 euros pour les activit s de s jours 1 24 3 308 000 euros pour les activit s de loisirs 0 69 et 115 000 euros pour les activit s et investissements caract re collectif 3 67 E Le poste formation communication et information s l ve 576 000 euros 3 11 M Les frais de gestion sont pr vus pour 1 514 800 euros 13 58 dont 1 449 800 euros de charges de gestion 17 02 et 65 000 euros de charges de gestion financi re 31 42 Il s agit globalement d un budget l quilibre avec un r sultat de l exercice 2014 0 F Patrice MASS soul ve un paradoxe dans ce budget qui pr voit des cotisations d exercice en hausse de 1 78 alors que le compte rendu collectif de mandat pointait une diminution des ressources en raison de la baisse de la masse salariale des sub ventions et du volume d emploi dans les entreprises de la CCNEAC Il prend acte de cette volont politique du FNAS qui envoie un mes sage en direction des employeurs pour leur demander de contribuer la bonne marche du spectacle vivant en France non seulement en se mobilisant pour le maintien des subventions mais aussi en veillant l emploi et la juste r mun ration des salari s p Le D l gu G n ral souligne qu une augmentation de 0 1 de masse sal
53. o miques du moment Je crois comprendre que c est vers a qu on tend Le discours est contradictoire Car la formation est valoris e dans le syst me expos Une dynamique de formation apporte les comp tences optimi santes que l emploi n apporte pas forc ment Pourtant l enrichissement personnel doit il avoir un but pr cis Et la performance la grande justification n est elle pas li e avant tout la notion de plaisir Plaisir de se ren dre sur son lieu de travail Plaisir d oser explorer pour rien des chemins de connaissance qui n au ront pas un impact direct sur le tra vail qui ne seront pas forc ment qualifiants mais qui enrichiront pleinement le salari sans objectif stressant de r ussite d objectif atteindre Bon Rien n est en place encore et mes impressions somme toutes n gatives sont peut tre injustifi es Le syst me reste par ailleurs inchang en ce qui con cerne les autres formes de stages de formation L image de l entonnoir me hante tout de m me M La deuxi me journ e est pas sionnante Michel Min ancien ins pecteur du travail nous am ne sur un autre terrain Qu est ce que la discrimination nous sommes dans le cadre du travail bien s r et plus particuli rement dans le cadre d une dis crimination homme femme Apr s un expos historique de l volution des droits dans ce domaine et le d corticage de quelques notions fondamentales co
54. que la baisse des subventions de l tat et des collectivit s territoriales la fin des finance ments crois s et les d sastres que vont engendrer les lois sur la d centralisation l ann e prochaine Elle met en avant la mobilisation des employeurs pour sauvegarder les budgets d volus la culture Pour sa part elle a particip aux marches pour la culture i va LOYER n en doute pas mais souligne que la mobilisa tion des directeurs de structure n a pas t la m me selon les territoires Dans sa r gion Languedoc Roussillon la quasi tota lit des participants aux marches pour la culture tait des salari s ses yeux la ligne cr ation n a pu tre sauv e dans le budget du minist re que gr ce l obstination des salari s et de leurs re 1er LR E pr sentants La mobilisation des employeurs ne s est d velopp e sans doute en raison des risques de gr ve qu au moment des n gociations pour l accord sur l assurance ch mage Pour sa part Denys FOUQUERAY fait une nette diff rence E entre les organisations d employeurs et les employeurs pro prement dits Il reconna t qu il n est pas facile en tant qu organisa tion de mobiliser les adh rents Il constate que lors des grandes manifestations qui ont eu lieu ces derniers mois un certain nombre d organisations d employeurs taient pr sentes ainsi que quelques directeurs d entreprise connus pour leur militantisme mais dans
55. r La prise en charge sur les s jours se fera l avance par un ch que du FNAS tabli l ordre de l organisme Pour cela lou vrant droit devra transmettre au FNAS son dossier complet suf flsamment t t avant le d part pour permettre son traitement et l envoi du ch que Dans le cas o le ch que ne peut tre tabli l ordre de l orga nisme la prise en charge sera limit e au quart du plafond de la grille concern e Dans tous les cas pour qu une prise en charge soit possible le dossier complet doit parvenir au FNAS au plus tard trente jours calendaires apr s la fin du s jour et pour les s jours de fin d an n e avant le 15 janvier de l ann e suivante S jours itin rants Lorsqu un ouvrant droit r serve plusieurs nuits cons cutives dans diff rents lieux d h bergement et que ces lieux entrent dans le cadre des prises en charge du FNAS cela pourra tre consid r comme un seul s jour Dans ce cas l ensemble de votre circuit est consid r par le FNAS comme une seule prise en charge pour l application de la limite deux prises en charge de s jours par an et par personne Frais de transport les frais concernant le transport pour votre lieu de s jour sont pris en charge au m me taux que le s jour sur les bases indiqu es ci dessous SNCF et autres moyens de trans port et sont imput s au plafond de la grille correspondante Lorsqu ils ne font pas partie int grante de la f
56. rd sur le principe de rapprocher le fonctionne ment de celui d un CE autant que possible il avait donc t d cid d opter pour un pr sident repr sentant des employeurs comme 10 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 dans un CE sachant que dans ce cas la voix des employeurs est de toute fa on minoritaire Aussi l argument du faible poids des em ployeurs au sein du Conseil de gestion ne tient pas E Jean Joel LE CHAPELAIN fait valoir que sur le plan juri dique pr sider une association telle que le FNAS n est pas la m me chose que d tre patron d une entreprise et de pr sider le CE ce titre E Claire GUILLEMAIN ajoute qu l poque le SYNDEAC tait la seule organisation d employeurs Aujourd hui ce n est plus le cas huit organisations d employeurs ont sign la CCNEAC Cette r alit est prendre en compte dans l volution du FNAS no tamment pour ce qui concerne la pr sidence Le d bat autour de la cotisation doit se faire avec ces huit organisations d employeurs et avec les organisations syndicales repr sentatives au sein de la com mission paritaire Patrick HARIVEL en convient mais insiste sur l inqui tude B des salari s face aux m diocres perspectives d emploi et la baisse du pouvoir d achat Il plaide pour que les employeurs pren nent conscience de l importance d ouvrir le d bat sur la cotisation m me si l augmentation n est que symbolique i Claire GUILLEMAIN invo
57. re 2014 trepreneurs remplacer les artistes professionnels d ment r mu n r s par des b n voles Si une telle mesure voyait le jour les cons quences seraient terribles dans le secteur Revenant la NAO il d montre l int r t de pr senter un front uni face aux syndicats d employeurs la prochaine n gociation du 7 juil let n existe que gr ce la coh sion des organisations syndicales de salari s qui ont toutes refus de signer le constat de d saccord pr sent par la partie adverse B Jean Fran ois PUJOL voit une raison suppl mentaire de se battre pour pr server la masse salariale si celle ci diminue le FNAS sera oblig de raboter le pourcentage de prise en charge sur chaque tranche de quotient familial sous peine de fermer bou tique dans quelques ann es H Laurent BERNARD apporte son t moignage sur une simple pratique des repr sentants du personnel la Sc ne natio nale de Valence pour cr er du lien avec les salari s d s que de nouveaux salari s permanents et intermittents arrivent les repr sentants du personnel viennent les rencontrer pour se pr senter et leur expliquer leur r le d interface avec la direction Il invite les lus pr sents dans la salle faire de m me dans leur entreprise pour fa voriser le dialogue entre les salari s et leurs repr sentants E Patrick HARIVEL estime que la situation actuelle doit inter peller chacun Il souhaite une prise de conscience collective
58. re de r cup rer les fonds S il n est tou jours pas cr au bout de deux ans l Assembl e g n rale suivante prend une d cision concernant l utilisation de ces fonds stock s au FNAS F Magali LACHASSAGNE demande si les m mes dispositions s appliquent pour les CEC en sommeil cause d une ca rence d lus Le D l gu g n ral r pond par l affirmative et insiste sur l importance d organiser des lections r guli rement m me si les pr c dents appels candidatures ont chou La Secr taire attire l attention sur une piste voqu e k r cemment par le ministre du Travail visant suspendre pendant trois ans les seuils au del desquels l entreprise doit obli gatoirement organiser des lections pour la repr sentation du per sonnel seuils tant accus s de freiner embauche Elle s insurge contre ce projet qui attaquerait le droit constitutionnel de repr sentation des salari s et qui aurait comme cons quences de les iso ler et de brider leurs revendications l instar du D l gu g n ral elle engage vivement les salari s veiller ce que leurs droits de repr sentation soient respect s Elle rappelle qu un droit qu on ne fait pas vivre tend dispara tre Ceci facilite la prise en compte du discours des d tracteurs des conquis sociaux Le Pr sident donne la parole Suzie BELAIR lue au CEC l Artchipel Basse Terre en Guadeloupe pour voquer les probl mes renco
59. s il soutient sa fille com dienne marionnettiste et facteur de marionnettes intermit tente du spectacle vivant Troisi mement il estime que sur le plan conomique le poids de la culture n est plus d montrer ses yeux le MEDEF devrait m me en tre le premier d fenseur Christian SEVETTE est tr s applaudi pour sa d claration F Claire GUILLEMAIN pr sidente de la commission de suivi salue l assistance Elle f licite Christian SEVETTE pour son discours courageux et rappelle que plusieurs organisations d em B FNAS neos n 51 octobre 2014 ployeurs ont c ur de d fendre un r gime quitable en r clamant une r vision profonde de l assurance ch mage Elle remercie le FNAS de l avoir invit e la soir e anniversaire au Mus e des Arts forains dont elle gardera un excellent souvenir Elle proc de ensuite la lecture du rapport annuel de la Commission de suivi qu elle conclut par des remerciements Frank LAVANTURE pour le travail accompli pendant de nombreuses ann es et souhaite le meilleur Pierre ANDRAC pour sa mission de D l gu g n ral Elle remercie galement vivement Jean Jo l LE CHAPELAIN ancien Pr sident du FNAS et de la commission de suivi pour son investis sement l gard du FNAS pendant bien des ann es Cette lecture tant achev e le Pr sident remercie Claire GUILLE MAIN et ouvre le d bat E Denys FOUQUERAY d clare que les diff rences entre les don
60. s de ses souvenirs et l on saute de pierre en pierre pour essayer de traverser ce grand fleuve de l Histoire qui nous am ne aux questions d aujourd hui Car aujourd hui comment faire cheminer le propos de l Art Faire cheminer ce propos tout en gardant son ind pendance d esprit et son int grit Et puis comment faire non plus seulement une action artistique mais bien une action culturelle Vastes questions en ces jours avignonnais Vilar se retourne rait dans sa tombe tellement le festival n est pas ce grand rendez vous populaire celui qui rassemble dont il r vait Comment les choses auraient pu tre diff rentes Comment peuvent elles tre diff rentes Je m entortille dans mes r flexions confuses W La premi re journ e est consacr e au CPF compte personnel de formation la nouvelle mesure qui sera mise en place en janvier 2015 pour remplacer le DIF actuel droit in dividuel de formation Sont invit s Jean Pierre Willems et Thierry Teboul de l AFDAS 18 FNAS INFOS n 51 octobre 2014 gt etre Avis NON Les choses ne sont pas encore tr s claires tous les niveaux Elles sont en devenir D o je suis j ai l trange impression qu une es p ce d entonnoir se pr pare La reconnais sance par la certification Je ne comprends pas tout On ne peut pas favoriser la forma tion de plaisir personnel La formation doit tre en ad quation avec les besoins con
61. s logiciels de paie pour supprimer terme la saisie manuelle source de fautes de frappe Claire GUILLEMAIN indique que les organisations d em ployeurs inciteront les entreprises basculer vers la t l transmis sion le plus rapidement possible Le D l gu g n ral donne ensuite des explications sur l augmenta tion des co ts salariaux alors que l effectif du FNAS est rest stable Il signale que ces derni res ann es le FNAS a vu un certain nombre de salari es prendre un cong maternit Deux d entre elles ont pris un cong parental Il a donc fallu les remplacer par des CDD qui sont plus co teux Une partie de la hausse est li e aux embauches n cessaires pour r sorber les anomalies sur les bordereaux En dehors de ces remplacements et de ces embauches pour g rer le surcro t de travail le co t salarial est inf rieur celui de l exercice pr c dent Claire GUILLEMAIN entend ces arguments mais r it re n anmoins les affirmations de la Commission de suivi H Denys FOUQUERAY juge irrecevable le commentaire de la Commission de suivi au sujet du d ficit Il rappelle que le r le du FNAS consiste proposer des activit s sociales et d ve lopper les prises en charge Au moment o le FNAS se trouvait en exc dent il tait normal de chercher informer le plus possible les salari s et largir leurs droits Il consid re que le Conseil de gestion a su prendre les d cisions qui s imposaient
62. t pas par leur pr sence dans les manifestations et sur le terrain Il tient pr ciser que ces remarques ne visent pas Claire GUILLEMAIN en tant que D l gu e g n rale de PROFEDIM mais qu elles s adressent bien la Pr sidente de la commission de suivi Il signale d ailleurs que PROFEDIM fait partie des deux organisations d employeurs qui se sont battues pour le non agr ment de l accord sur l assurance ch mage Claire GUILLEMAIN ne nie pas que les salari s aient t les E seuls supporter les mesures de restriction pour r sorber le d ficit mais souligne que celui ci tait li en partie des d cisions prises ant rieurement par les instances du FNAS pour largir les droits des utilisateurs Les modifications de r gles mettant g n ra lement deux ans d ployer pleinement leurs effets les cons quences ne s en sont fait sentir que tardivement mais il n en demeure pas moins que cet largissement des droits a eu un impact sur l quilibre financier du FNAS p Pour sa part Alain BROSSEAU trouve que la remarque sur la pr tendue hausse des frais de gestion est infond e en effet entre 2012 et 2013 les frais de gestion ont baiss de 2 27 E Le D l gu g n ral explique qu en 2014 certains co ts sont effectivement la hausse par rapport l ann e pr c dente mais pour des raisons bien pr cises d une part 2014 est une ann e d assembl e g n rale lective ce qui entra ne
63. travers es relevant de l acheminement sur un lieu de s jour pris en charge par le FNAS seront trait es suivant les r gles de prise en charge des transports li s aux s jours Activit s p che et chasse Le FNAS pourra effectuer une prise en charge sur le co t des permis de p che et de chasse timbre fiscal compris celui ci tant partie int grante du permis En revanche il n effectuera aucune prise en charge sur les diff rents types de titres participatifs des soci t s de p che ou de chasse Diners spectacles Ne sont pris en charge que les diners spectacles pr sent s par des structures dont l activit principale est le spectacle Le budget du FNAS n tant pas destin prendre en charge des repas ne sont pas pris en charge les diners spectacles organis s par des restaurateurs utilisant le spectacle comme un acces soire ou un argument de vente du diner Forfaits parcs de loisirs Les forfaits h tel transport entr e seront pris en charge en Activit s de s jours sur la grille 3 organismes Atout France selon les r gles du FNAS 3 jours 2 nuits minimum Les entr es simples seront prises en charge sur la grille Activit s de loisirs FNAS INFOS n 51 octobre 2014 25 Arbres de Noel Les mots croises E par Monsieur Henri Le FNAS laisse d sormais le choix aux d l gu s du personnel ou au CEC de d terminer Solutions en page 2 quels salari s sont invit s par
64. uverts la discussion mais il a le sentiment que les chambres patronales tra nent des pieds pour entamer ce troisi me cycle K Jean Jo l LE CHAPELAIN comprend le m contentement des salari s et assure qu il partage un certain nombre d analyses et de pr occupations M me si leur mobilisation n est pas la hauteur de ce qu attendent les organisations syndicales il affirme que les entreprises sont aux c t s des salari s pour lutter contre les projets du gouvernement Elles ne sont en aucun cas com plices de ce qu il qualifie de v ritable saccage de la culture Pour sa part il indique tre parfaitement en phase avec la ligne du SYNDEAC qui se d clare totalement solidaire des actions men es par les salari s Concernant le cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi CICE accord aux entreprises sur les plus bas salaires il fait observer qu il s agit d une aide toute relative La manne qu elle procure ne permet pas de d cider d augmenter la cotisation de fa on p renne p Patrice MASS signale cependant que dans son entreprise le CICE a permis d conomiser 30 000 euros ji Agn s LOUDES d l gu e PACA du Syndicat national des sc nes publiques SNSP admet que tous les employeurs n ont pas le m me degr d implication dans les combats qui sont men s actuellement mais elle pense qu il ne faut pas g n raliser certaines organisations patronales se mobilisent fortement et ont dem
65. ys Il souligne d ailleurs que les salari s ultra marins du spectacle retirent de leur nationalit fran aise bien peu d avantages et beaucoup d inconv nients du point de vue de la pro tection sociale Il explique qu il y a quelques ann es une artiste guadeloup enne Swanha DESVARIEUX avait effectivement sollicit le SFA l occasion d un passage Paris Quelque temps apr s un syndicat d artistes avait t cr localement le syndicat des salari s inter mittents du spectacle Sur les conseils du SFA ce syndicat s est tendu par la suite l ensemble des m tiers du spectacle Le SFA s est d plac en Guadeloupe plusieurs reprises ainsi que le FNAS Pour Denys FOUQUERAY le principal probl me qui s vit en Guade loupe dans le domaine du spectacle comme dans les autres sec teurs est le travail dissimul Ce th me a pu tre abord et faire l objet d un d bat avec les employeurs locaux lors d un forum sur l environnement social du spectacle en Guadeloupe Lors de ses d placements Denys FOUQUERAY avait rencontr des responsables de la CGTG avec lesquels le contact avait t excellent Peut tre les liens se sont ils distendus avec le temps mais il lui semble important de les resserrer et de faire vivre les syndicats qui se sont constitu s pour les mettre au service des salari s du spec tacle outre mer Il plaide pour que les relations qui se sont mises en place entre les artistes et

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