RÉFÉRENTIEL des Chambres d`Hôtel
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1. EEEE D EEEE gt gt R f rentiels chambres d h tel et purificateur d air suite Il s agit enfin de faire reconna tre l investissement d h teliers attentifs la qualit de l air int rieur et du bien dormir 2 OBJECTIF PRINCIPAL D finir un niveau de qualit optimum et sup rieur celui tabli par la l gislation fran aise et europ enne qui n voque que des produits chimiques et pas des allerg nes Il faut donner ces l gislations en r f rence et citer les parties pre nant en compte l hygi ne et l air int rieur d crets n 2011 1728 du et 2 dec 2011 et n 2012 14 du 5 janvier 2012 3 BASES DU R F RENTIEL 3 1 Etre transparent vis vis du consommateur en utilisant un mode de communication qui ne l induise pas enerreur 3 2 Assurer une approbation volutive Notation STAN DARD PREMIUM EXCELLENCE et un prin cipe du mill sime qui permettent de confirmer le niveau de qualit la suite d un audit bisannuel 3 3 Laisser une ouverture suffisante afin d adapter en permanence les exigences des progr s techniques et l volution de la l gislation europ enne en mati re de substances allergisantes 3 4 Appliquer le principe de pr caution concernant les interrogations soulev es par la communaut scientifique allergologique en cas d absence de r ponses scientifi quement valid es ou en attente de validations en cours Les articles du r f rentiel 1 PROMOTEUR ARC2. pour l anesth siste Donc code 1 quand nous travaillons seuls 4 Code phase de traitement Le code 1 identifie la premi re phase de traitement Le code 2 la deuxi me phase Le code 3 la troisi me phase Par d faut lorsqu il n y a qu une seule phase de trai tement le code est 0 5 Modificateurs voir tableau annexe 6 Code Association non pr vue Le code 1 signifie que l acte est tarif 100 Le code 2 signifie que l acte est tarif 50 7 Enfin le montant de l acte Saluons au passage l effort de simplification administra tive et nous obtenons par exemple dates w codes FETE x actes actes VN WOII FER eC SA O 9a Jo0979013 E CREO OA O S1 qe O remplir par le m decin frais de d placement montant des O AA di honoraires LD IK eus Mn nbre montant A ALE A ASIL PAIEMENT remplir par le m decin MONTANT TOTAL en eur s 1 2 3 LZE 1159 EEEE gt gt Revalorisations de certains actes techniques suite ANNEXE GRILLE DES MODIFICATEURS ET NOUVEAUX TARIFS CRIE DES MODIFICATEURS ET NOUVEAUX TARIS Et le 28 02 2014 et le 31 12 2014 FGRB001 40 70 43 15 FGRP005 40 70 43 15 gt gt Annonce A la suite de la prise de retraite sans successeur d un coll gue allergologue en 2012 et de ma d cision d arr ter mon activit lib rale la mi d cembre 2013 avec poursuite en cumul emploi retra
3. gue E icrsresisss Docteur Catherine PONNELLE Tr sori re 385 avenue Raymond Poincar 17000 La Rochelle T l 05 46 27 57 07 bureau syfal net www syfal net
4. qui est un facteur aggravant l asthme Une r glemen tation a t tablie en juillet 2010 concernant l obligation d indication sur l tiquetage des produits de construction et de d coration mais qui ne concerne pas encore ce jour les produits d ameublement Malgr tout cette r glementation permet de d finir des seuils de concentration Des objectifs de r duction ont t tablis comme par exemple une concentration cible de 10 microgrammes par m pour le formald hyde pour l ann e 2023 8 L aggravation de l asthme chez des sujets sensibilis s aux acariens au chat aux moisissures Alternaria alternata et aux blattes a t constat e en parall le avec l intensit et la dur e de l exposition dans un environnement clos 9 10 D autres moisissures Cladosporium Hlminthosporium Aspergillus sont galement en lien avec l asthme s v re 11 de nombreuses moisissures sont aussi directement toxiques pour les muqueuses respiratoires m me apr s un contact court et faible concentration dans l air notamment les mycotoxines dont le Stachybotrys qui peut provoquer de s v res pneumopathies Les particules biologiques peuvent aussi avoir une action directe toxique sur les muqueuses les moisissures en plus de l asthme et des rhinites allergiques peuvent tre respon sables de pneumopathie d hypersensibilit d infections pulmonaires de r actions d irritation oculaire cutan e et m me digestives
5. 12 15 Il a t bien d montr que le changement de lair int rieur avait une incidence sur le devenir des maladies respiratoires 16 Effects of air pollution on health Hales S Howden Chapman P BMJ 2007 Aug 18335 7615 314 5 Le traitement des chambres contres les moisissures am lio re directement l tat de sant des patients asthmatiques 17 Effects on patients with asthma of eradicating visible indoor mould a randomised controlled trial Burr ML et al Thorax 2007 Sep 62 9 767 72 Des mesures d am nagement de l environnement int rieur peuvent changer la gravit de la maladie la baisse des concentrations d allerg nes d acariens a permis une baisse de l hyperr activit bronchique 18 On constate aussi chez le patient asthmatique sensibilis une am lioration de la maladie gr ce la diminution des traces de phan res du chat 19 Un autre organe cible de l allergie est repr sent par les voies a riennes sup rieures la rhinite allergique est une maladie chronique qui a souvent des r percussions insi dieuses elle diminue de fa on significative la qualit de vie et le confort des personnes atteintes Elle se manifeste par une obstruction nasale permanente un coulement perma nent des ternuements r p tition une g ne des d man geaisons des muqueuses respiratoires Le r f rentiel international en liaison avec la maladie asth matique ARIA pour The All
6. AIR INT RIEUR CONTR L ILS SONT TRIPLES 1 D cerner une approbation concr tis e par un label de la communaut des m decins allergologues au sein de l AR CAA qui garantit aux visiteurs un environnement sain formald hyde et allerg nes 2 Diffuser au client d une chambre d H tel une explica tion claire des r sultats de l enqu te allergologique r ali s e dans son h tel et lui donner la possibilit de donner une appr ciation 3 Inciter les directions d tablissements h teliers confir mer leur service de bien dormir pour des personnes allergiques M THODOLOGIE E L objectif concerne la qualit de l air int rieur des zones de s jour des clients chambres Il est indispensable de e Mesurer un certain nombre de param tres de qualit de l air e Fixer des limites e Etablir des recommandations pour atteindre ces limites e Maintenir le contr le avec une p riodicit d terminer M Le d cernement du label un tablissement h telier n cessite e Une information sur les param tres respecter en ajou tant galement EE gt gt R f rentiels chambres d h tel et purificateur d air suite Chambre non fumeur Absence de plantes d int rieur Absence de blattes et cafards e Un contr le initial dans des locaux non a r s pendant au moins 2 heures avant l chantillonnage Nombre de chambres analyser par tablisseme
7. Ces deux r f rentiels ont t r alis s la demande de la marque DAIKIN pour le purificateur d air et du groupe ACCOR pour les chambres d h tel Cela va permettre de proposer la population qui souhaite am liorer la qualit de l air int rieur d avoir un produit qui a t soumis certaines exigences De m me qu aux personnes r sidant dans un h tel d avoir la possibilit de choisir une chambre o tout a t mis en uvre pour minimiser les risques allergiques Tous mes remerciements aux auteurs Isabelle Sullerot C cile Douillet Nahn Pham Thi Marie Christine Delseaux et Fran ois Lavaud qui a valid les documents R F RENTIEL des Chambres d H tel R dig par Le bin me membres experts de l ARCAA Dr Marie Christine DELSAUX et Dr Nhan PHAM THI Avec la participation technique et amicale de Michel Thibaudon du RNSA Sous la supervision scientifique du Dr Fran ois LAVAUD CHU Reims et du Pr Denis CHARPIN CHU Marseille Valid par la Pr sidente de l ARCAA Dr Isabelle Boss Mars 2013 SOMMAIRE AVERTISSEMENT Avertissement 1 Pr ambule Pr D ER RE en ET page 7 Ce r f rentiel est le r sultat d un partenariat de profession OS LE nels de sant sp cialis s dans les pathologies allergiques 20bjecut procipal Me page 8 nn i 5 AE QE r unis dans un groupe associatif repr sentatif de la commu 3 Les principes de base du r f rentiel page 8 naut des allergologues fran ais ARCAA associati
8. Re Dm OE S TEL ean F ncns Mobile amuse E Mail pour recevoir les infos du SYFAL sisi Etes vous adh rent o CSMF SML o FMF Ann e de naissance 1_1_1_1_1 Ann e d installation si install 1_1_1_1_1 o Cochez ici pour que vos coordonn es paraissent dans l annuaire du site www syfal net Avec votre adresse mail o Oui o Non Vous pourrez toujours modifier ce choix en acc dant votre compte J adh re au SYFAL et verse pour ma cotisation annuelle 2013 2014 la somme de 70 35 retrait s et tudiants incluant 15 euros pour l abonnement au SYFAL Magazine adresser accompagn de votre r glement par ch que libell l ordre de SYFAL au secr tariat Cachet et signature du praticien Anne THILLAY SYFAL 30 bd Marchant Duplessis 37000 TOURS 06 75 49 24 40 bureau syfal net Les informations recueillies sont n cessaires votre adh sion Elles font l objet d un traitement informatique et sont destin es au secr tariat de l association En application de l article 34 de la loi du 6 janvier 1978 vous b n ficiez d un droit d acc s et de rectification aux informations vous concernant Si vous souhaitez exercer ce droit veuillez vous adresser au si ge du SYFAL PPE 7 IAE O E E S CF des AL Justificatif de paiement de votre cotisation du 17 04 2013 au 17 04 2014 d couper et conserver Acguitt le nee la somme de 70 Euros BANQUE S ssssmaienaresmasmannes N dech
9. allergy and exposure to cockroach allergen in causing morbidity among inner city children with asthma N Engl J Med 1997 336 1356 63 10 Sporik R et al Exposure to house dust mite allergen of children admitted to hospital with asthma Clin Exp Allergy 1993 23 740 6 11 Hayes Jr D et al The effect of mold sensitization and humidity upon allergic asthma Clin Resp J2012 apr 24 doi 10 1111 1752 699X 2012 00294 x 12 Helbling A et al Respiratory allergy to mushroom spores not well recognized but relevant Annals of Allergy Asthma and Immunology 1999 83 17 9 13 Committee of Environmental Health Toxic effects of indoor molds American Academy of Pediatrics 1998 101 712 4 14 Gravensen S Fungi as a cause of allergic disease Allergy 1979 Jun 34 3 135 54 15 Reboux G et al Moisissures et Habitat Revue des Maladies Respiratoires 2010 27 169 179 16 Hales S et al Effects of air pollution on health BMJ 2007 Aug 18 3356 7615 314 5 17 Burr ML et al Effects on patients with asthma of eradicating visible indoor mould a randomised controlled trial Thorax 2007 Sep 62 9 767 72 18 Shapiro GG et al House dust mite avoidance for children with asthma in homes J Allergy Clin Immunol 1999 103 1069 74 19 Simpson A et al The role of allergen avoidance in the secondary prevention of atopic disorders Curr Opin Allergy Clin Immunol 2005 Jun 5 3 223 7 20 Bousquet J et al Allergic Rhinitis and its Impact on Asthma ARIA achievements in 10 ye
10. l eau Capacit purifier l air dans une pi ce de 40 m e Un biofiltre anticorps dont le r le est de capter et R tention des particules en fonction de leur taille aux dif d sactiver les allerg nes et les virus Il doit tre remplac f rents niveaux de puissance de l appareil la puissance Turbo les particules les plus fines lt 1 5 pm sont 88 40 0 3 pm tandis que l efficacit est bien meilleure en mode tous les ans e Un ioniseur plasma charge positivement les petites parti peu retenues pour les particules de cules de poussi re et de pollen Il est compos d une arma ture ionisante et derri re elle d un dispositif de d charge bas et silence de 92 70 La moyenne de r tention au milieu de plaques des p les oppos s Ces l ments sont des particules est 95 pour les particules lt 10pg et 90 pour les particules lt 7pg Test A2 selon la norme ISO 12103 1 Les mesures sont effectu es la puissance standard 189 m h c est le pour d monter et nettoyer par aspiration trempage et s chage selon les indications d un voyant lumineux e Un filtre lectrostatique pliss recueille les particules charg es positivement Il est remplacer p riodiquement centage de purification d un air pollu 1g h selon la taille voyant lumineux environ tous les ans des particules de poussi re Il est sup rieur 98 pour les e Un filtre photo catalytique d so
11. me temps que les informations disponibles sur les sites d information m dicale ou de sant sont rassurantes m me si l aussi le jugement est mesur 49 consid rant que ces informations sont plut t rassurantes A l oppos 36 ont le sentiment que ces informations ne sont pas rassurantes Le type d in formation recherch n influe pas sur le jugement port sur le contenu des sites consult s Le fait de disposer de rep res permettant d identifier les sites internet certifi s c est dire respectant la charte H O N de la fondation La Sant sur Internet rassurerait probablement sur le contenu des sites consult s On observe en effet que les Fran ais sachant identifier les sites certifi s sont plus nombreux que les autres juger que les informations qu ils lisent sur Internet sont fiables 81 contre 73 pour l ensemble des r pondants et rassurantes 66 contre 59 Pourtant seules 28 des personnes consultant des sites d information m dicale ou de sant savent si ces sites sont certifi s et parmi elles seulement 12 ne consultent que des sites certifi s A l oppos 71 reconnaissent ne pas savoir faire la diff rence entre les sites certifi s et les autres Une meilleure information concernant la certification des sites et leur identification permettrait donc tr s probable ment d am liorer les jugements relatifs la fiabilit et au caract re rassurant des informations disponibles LES US
12. qui consulte un m decin non conventionn r gle les actes dont il sera rembours suivant ces m mes modalit s La CPAM rembourse un peu mieux les actes techniques que les consultations Le tarif d autorit est selon les actes d environ 16 de leur valeur initiale arr t du 01 12 2006 Par exemple l acte FGRB003 c t 28 80 est abaiss un tarif d autorit de 4 61 lorsqu il est pra tiqu par un m decin non conventionn L Assurance maladie rembourse 70 de ce montant soit 3 23 Par cons quent un acte r alis par un m decin exer ant en secteur non conventionn co te moins cher en rem boursement l Assurance maladie Pourtant le patient qui consulte un praticien non conventionn ne b n ficie pas de r duction de sa cotisation l Assurance maladie Le patient qui fait le choix d un m decin non convention n assume son choix car il privil gie la qualit de la relation et de la prestation m dicale dans son ensemble Le m decin non conventionn peut offrir plus de dispo nibilit pour son patient prendre plus de temps pour l couter le recevoir dans un d lai plus bref Les vagues successives de d remboursement des m dicaments par l Assurance maladie alimentent indirectement aupr s des assur s la vision d une m decine progressivement d rembours e Le patient choisi de consulter un m de cin non conventionn comme il choisit un m dicament non rembours dont il est satis
13. te des sources utilis es avec 89 des citations Des moyens d information tr s divers tels qu Internet 64 les proches 64 et le pharmacien 63 vien nent ensuite devant les missions sant la t l vision 55 Les magasines sant ou les livres sp cialis s 33 et la radio 32 compl tent la hi rarchie La propension utiliser certaines sources varie sensible ment selon le sexe des r pondants 67 des hommes consultent Internet ce qui place cette source d information au second rang dans la hi rarchie des sources les plus utili s es par les hommes 67 les femmes ayant un peu moins recours ce vecteur 61 En revanche les femmes sont nettement plus nombreuses que les hommes s adresser leur pharmacien 67 contre 58 des hommes et s in former par le biais des missions sant la t l vision 61 contre 50 des hommes et des magazines sant ou des livres sp cialis s 40 contre 27 des hommes Logiquement les sources d information utilis es diff rent galement selon l ge des personnes interrog es Si 82 des moins de 35 ans disent chercher sur Internet des informations en mati re de sant seules 54 des personnes g es de plus de 35 ans en font de m me dont 49 des 60 69 ans et 28 des plus de 70 ans Le taux de connexion Internet beaucoup plus faible parmi les plus g s explique tr s largement cette diff rence S La propension consulter In
14. AA ASSOCIATION DE RECHERCHE CLINIQUE EN ALLERGOLOGIE ET ASTH MATOLOGIE REPR SENTANT LA COMMUNAUT ALLERGOLOGIQUE FRAN AISE 2 SOURCES PUBLICATIONS ET EXPERIENCES PROFES SIONNELLES SUR LE RISQUE ALLERGIQUE DANS UNE CHAMBRE D H TEL 3 CIBLE PROFESSIONNELLE PROPRI TAIRE D ETA BLISSEMENTS H TELIERS SOUHAITANT LA LABELLISA TION AIR INTERIEUR CONTR LE EN ALLERG NES ET EN FORMALDEHYDE COV 4 PUBLIC CONCERN USAGERS CONSOMMATEURS DE SERVICES H TELIERS 5 DOMAINE D APPLICATION CHAMBRES D H TEL 6 COMMUNICATION ET TIQUETAGE BASES SCIENTIFIQUES D UN R F RENTIEL QUALIT DE L AIR INT RIEUR DE CHAMBRES D H TEL Les raisons sanitaires de cette d marche de qualit sont les suivantes Les tudes pid miologiques ont montr une tr s forte aug mentation de la fr quence des maladies allergiques depuis les ann es 80 18 millions d allergiques et 4 millions d asth matiques en France De nombreuses raisons sont invo ER 8 qu es comme l exposition beaucoup plus importante aux allerg nes domestiques et aux polluants dits int rieurs que dans les d cennies pr c dentes e lien entre l exposition allerg nique la sensibilisation et les maladies respiratoires avait d j t clairement tabli en 2001 notamment par une synth se de 46 tudes 1 2 Le r f rentiel international OMS sur l asthme GINA pour Global Initiative on Asthma mentionne bien que la prise en char
15. AGES D INTERNET ONT UN IMPACT NEUTRE VOIRE POSITIF SUR LES RELATIONS PATIENTS M DECINS Seul un tiers 34 des personnes concern es dit ses m decins qu il consulte des sites d information m dicale tandis que 65 ne les en informent pas Le profil sociod mo graphique des r pondants n est pas discriminant sur ce point La r action des m decins cet gard appara t le plus souvent positive 67 des r pondants jugeant positive la r action de leurs m decins lorsqu ils apprennent qu ils consultent des sites d information m dicale ou de sant En revanche 31 ont le sentiment que leurs m decins r agissent n gativement Dans le d tail 39 des personnes qui consultent des sites d information m dicale ou de sant ont le sentiment que leurs m decins prouvent de l int r t pour leur d marche tandis que 20 pensent percevoir de l indiff rence de la part de leurs m decins 14 des r pondants pensent que leurs m decins prouvent de l tonnement ou approuvent leur d marche En revanche rares sont les personnes qui disent avoir d cel de l nervement 7 ou de l incompr hension 4 chez leurs m decins Preuve suppl mentaire du caract re positif de la r action des m decins face aux patients qui leurs disent consulter Internet pour s informer en mati re de sant 87 de ces derniers affirment que leur m decin leur apporte des pr cisions par rapport ce qu ils on lu sur Internet la majori
16. AM suspend l aide qu elle apporte aux m decins conventionn s qui consiste en une cotisation r duite l Assurance maladie La cotisation d Assurance maladie passe au tarif plein Un praticien non conventionn co te donc moins cher l Assurance maladie qui cono mise 2520 an d aide vers e la CARMF pour un m decin de secteur 1 Il est possible de conserver son affiliation au r gime g n ral de l Assurance maladie et de continuer faire pr lever sa cotisation maladie par l URSSAF choix par d faut ou s affilier la caisse du R gime Social des Ind pendants RSI comme les m decins de secteur 2 L Assurance maladie peut refuser d affilier un m decin non conventionn conform ment une d cision de la chambre sociale de la Cour de cassa tion du 9 avril 1998 L exercice hors convention ne procure aucune libert concernant l affilation la caisse de retraite CARMF dont l avenir est compromis Les cotisations au r gime des Allocations Suppl mentaires de Vieillesse ASV et au r gime d Allocation de Remplacement de Revenus pr retraite sont suspendues Ces cotisations repr sen tent 1467 pour l ASV secteur 1 et 0 035 du BNC pour l ADR Les points acquis sont conserv s Par cons quent il est prudent de souscrire une retraite compl mentaire loi Madelin ou autre 2 Le praticien non conventionn doit cotiser l URSSAF mais ne b n ficie d aucun abattement ou prise en charg
17. Dans le d tail il appara t que 65 des Fran ais ont d j consult Internet pour en savoir plus concernant une maladie ou ses sympt mes 65 Quatre sur dix 42 l ont d j fait pour obtenir des informations concernant un m dicament ou un traitement m dical ou des conseils pra tiques pour rester en bonne sant Plus du tiers des r pon dants 37 y recherchent des t moignages d autres patients tandis que seuls 15 sont en qu te de l avis d un m decin Il appara t que la recherche d informations sur Internet est le plus souvent motiv e par la curiosit et l envie d en savoir plus sur une maladie Ainsi 53 des personnes consultant des sites d information m dicale souhaitent s in former sur une maladie des sympt mes un diagnostic qui les concernent elles ou leurs proches Un tiers 37 d cla rent le faire par simple curiosit pour se renseigner sur des maladies ou des probl mes de sant qui les int ressent Respectivement 23 et 20 d entre elles le font pour mieux comprendre le diagnostic du m decin ou en savoir plus sur le diagnostic ou le traitement prescrit par le m decin 20 des Fran ais consultant des sites d information m di cale y recherchent des t moignages de personnes souffrant des m mes sympt mes qu eux et 17 le font pour tre capable de poser des questions pr cises leur m decin avant d aller le voir Signe de la confiance dont b n ficient les m decins seules 9
18. La revue du Syndicat des allergologues SY FAL syndicat 77 fran ais des allergologues Edito Allergologue un bonheur Allergologie un combat Le CNP allergo immuno La naissance du Coll ge National Professionnel d Allergologie et Immunologie R f rentiels chambres d h tel et purificateur d air gt Revalorisations de certains actes techniques Exercice hors convention mode d emploi Les cons quences des usages d internet sur les relations patients m decins N 17 Sept 2013 gt gt Sommaire EE oitorial par Daniel Vervloet Pr sident de la FFAL 3 Ze CNP allergo immuno La naissance du Coll ge National Professionnel Allergologie et Immunologie 5 EEE Commission AD a me ans 6 D R f rentiels chambres d h tel et purificateur Vatt 7 EEE Repalorisations de certains actes technigues sses l E xercice hors convention mode d emploi nn 15 EE les cons quences des usages d internet sur les relations patients m decins sssr 18 E 5 etin d adh sion 2013 2014 sunesinnienmaniannendinieneninse 20 NUM RO 17 SEPTEMBRE 2013 Directeur de la publication R gie Publicitaire Isabelle BOSS OERE 41 rue Saint S bastien R daction SYFAL 75011 PARIS Docteurs Jean Charles BONNEAU Isabelle BOSSE T l 01 49 29 11 40 Fran oise BOUTELOUP Habib CHABANE Annick DELELIS Charles DZVIGA Madeleine EPSTEIN Editeur Conseil Jean Charles FAROUZ Jacques GAYRAUD Je
19. an Pierre KALFON Nathalie GOLDSTEIN Fran oise LEPRINCE douard LETELLIER Val rie LIABEUE Impression Print Corp Catherine PONNELLE Georges Henri SCHREIBER EEE ID EEEE gt gt Allergologue un bonheur Allergologie un combat Chers amis Un grand merci tout d abord Isabelle Boss de me faire l honneur de signer cet ditorial Elle me donne carte blanche pour crire ces quelques lignes sur le mode philosophique humoristique catastrophique bref comme je le souhaite Alors je voudrai vous faire partager mon bonheur d avoir t d tre encore allergologue Y a t il plus beau m tier que de soigner hommes femmes enfants atteints d une P q g pathologie si diverse si complexe aux multiples visages aux multiples causes Y a t il plus beau m tier que de traiter non seulement une maladie mais des malades pour qui l origine m me de leurs maux est complexe relevant de l inn par la g n tique mais aussi de l acquis avec le mode de vie le travail l cole les loisirs l environnement avec ce que l on boit ce que l on mange ce que l on respire Oui nous pouvons tre fiers d avoir choisi un si beau m tier et chaque jour nous devons en ressentir bonheur et satisfaction Alors pour que ce bonheur s accomplisse pleinement il faut se battre pour que notre discipline soit mieux reconnue plus consid r e mieux r mun r e C est ce que fait le Syfal en pleine association avec la F d ration Fra
20. ars and futu re needs J Allergy Clin Immunol 2012 Nov 130 5 1049 62 21 Pauli G et al Faut il valuer et doser la charge allerg nique environnementale Rev Fr d Allergologie et d Immunologie Clinique 47 2007 333 335 22 Annesi Maesano I et al Poor air quality in classrooms related to asthma and rhinitis in primary schoolchildren of the French 6 Cities Study Thorax 2012 Aug 67 8 682 8 23 Gall ET et al Indoor Air Pollution in Developing Countries Research and Implementation Needs for Improvements in Global Public Health Am J Public Health 2013 Apr 103 4 e67 72 24 Peden D et al Environmental and occupational allergies J Allergy Clinical Immunology Feb 2010 125 2 150 158 Le dossier Daikin Dr Isabelle Robert Sullerot Dr C cile Douillet et Dr Fran ois Lavaud D cembre 2011 1 DESCRIPTION DE L APPAREIL MC707 mf h de 72 en mode silence 413 en mode turbo 212 en C est un appareil hybride qui combine plusieurs filtres qui mode standard Consommation lectrique W de 6 3 en mode silence 54 9 en mode turbo 13 0 en mode standard Puissance sonore dB A de 31 en mode silence 62 en mode turbo 45 en mode standard sont successivement travers s par l air purifier e Un pr filtre avec cat chines dont le r le est de d sactiver les germes rattach s aux grosses particules de poussi re et aux poils d animaux Il doit tre nettoy tous les 15 jours par aspiration et lavage
21. aux de d coration ou de mobiliers pr sentant des ce polluant est caract ristique de risques d mission Il est pr sent dans toutes les chambres ayant accueillies des fumeurs Lors de ce pr levement la temp rature et l hygrom trie compl teront l analyse Sp cification le taux mesur sur un pr l vement dyna mique doit tre lt 30ug m3 valeur rep re e Contr les continus 1 fois tous les 2 ans M me param tres M me chantillonnage EEEH Annexe I Bibliographie 1 Sporik R et al Exposure to house dust mite allergen Der p I and the development of asthma in childhood A prospective study N Eng J Med 1990 323 5092 7 2 Kilpelainen M Farm environment in childhood prevents the development of aller gies Clin Exp Allergy 2000 30 201 8 3 Bousquet et al GINA guidelines on asthma and beyond Allergy 2007 Feb 62 2 102 4 D Vervloet Magnan Rev Fr Allergol Immunol Clin 2001 41 103 10 5 Boulet LP et al Bronchial responsiveness increases after seasonal antigen exposure in non asthmatic subjects with pollen induced rhinitis Ann Allergy 1989 63 2 114 9 6 Moraly Parenti C Th se pour le doctorat en m decine Marseille 1996 7 Libby A Kelly and all The indoor Air and asth ma www medscape com 1 25 12 Curr Opinion Pulm Med 2012 18 1 29 34 8 www legifrance gouv fr decrets n 2011 1728 2 dec 2011 et n 2012 14 5 janvier 2012 9 Rosenstreich DL et al The role of cockroach
22. d affaire se redresse progressivement avec le temps avec risque de plafonne ment li la difficult de fid lisation des patients LES CONS QUENCES SUR LA PRATIQUE M DICALE Le m decin non conventionn doit remettre une feuille de soin au patient b n ficiant d une couverture sociale en France mentionnant les honoraires per us Comme pour ses confr res exer ant en secteur 2 le principe de tact et mesure doit tre appliqu par le m decin exer ant hors convention pour fixer ses tarifs 2 3 Les soins effectu s par le praticien non conventionn chez les patients b n ficiant de la couverture m dicale universel le CMU ne sont pas de pris en charge par l assurance maladie et le patient inform qui accepte de ce praticien devra r gler les actes Il est contraint de respecter le code de d ontologieet les recommandations de bonnes pratiques m dicales dict es par la Haute Autorit de sant HAS En cas d embauche d un professionnel de sant salari habilit pratiquer des actes seuls les actes du m decin non conventionn sont concern s et le salari continue coter les prestations qu il effectue dans le cadre conven tionn Le m decin non conventionn peut avoir une activit salari e en parall le et effectuer des actes conventionn s Il peut aussi exercer dans une clinique priv e et effectuer des actes conventionn s si la clinique est conventionn e et accepte de lui proposer un co
23. de est valu e 26 2 m h V rification de l inactivation de diff rents allerg nes par le proc d Flash Streamer D charge d lectrons et absorption par l apatite de titane Ces tests v rifient par un test ELISA la diminution de l acti vit de certains allerg nes sous l effet de la photocatalyse Il est noter que le purificateur qui a t test n est pas identi fi On remarque l inactivation de 99 des allerg nes de chat en 1 heure et en 4 heures de 99 5 des allerg nes de Dfarinae et de 98 5 des pollens de c dre De nombreux autres allerg nes sont galement d grad s en 4 heures On remarque la faible performance une heure sur la gliadine et l ovalbumine Les conditions de l exp rimentation sont tr s loign es de celles de l exposition naturelle aux allerg nes Limites de ces contr les L ventuel relargage de compos s n oform s n est pas tudi 3 LES TUDES CLINIQUES Aucune 4 LE MANUEL D ENTRETIEN Son examen attentif a relev plusieurs d faillances et conduit un change de questions r ponses avec l indus triel Page 1 conseils pour une utilisation correcte on aime rait plus de d tails en particulier comment placer l appareil par rapport aux ouvertures de la pi ce fen tres portes il faut pr ciser au consommateur que le placement proximi t des ouvertures n est pas conseill et qu il doit favoriser le passage de l air sans obstac
24. de leurs relations avec leur m decin En effet 36 consid rent que les relations qu ils entretien nent avec les m decins sont devenues plus constructives et bas es sur le dialogue et 30 estiment qu elles sont plus franches qu auparavant Un patient sur quatre 25 a le sentiment que sa relation avec son m decin est aujourd hui plus harmonieuse Logiquement les patients qui parlent de leurs recherches leurs m decins font part d un sentiment plus positif encore 52 pensent qu ils entretiennent des relations plus constructives avec leur m decin et 48 d entre eux affir ment que leurs relations sont davantage bas es sur le dia logue Pour 41 d entre eux leurs relations avec leurs m decins sont plus franches et 34 estiment m me qu elles sont plus harmonieuses Au total si 71 des Fran ais consultent d j Internet pour s informer en mati re de sant l tude r v le que le r le d In ternet dans la relation patients m decins pourrait s ac cro tre si des m decins venaient ouvrir leur propre blog ou site Internet En effet 62 des Fran ais affirment qu ils consulteraient le blog ou le site internet de leur m decin si ce dernier venait en ouvrir un dont 28 qui le feraient certainement A l oppos 37 des Fran ais n iraient pas consulter le blog ou le site internet de leur m decin Surtout si les patients qui naviguent d j sur Internet pour s informer en mati re de sant se montre
25. des recherches effectu es sur Internet ont pour objectif de v rifier l exactitude du diagnostic du m decin L ge et le sexe des r pondants n ont pas d influence notable sur les motivations qui les poussent consulter des sites d information m dicale Le moment auquel sont effectu es les recherches d informa tions m dicales vient conforter l id e selon laquelle celles ci sont le plus souvent motiv es par la curiosit en effet 70 des personnes consultant des sites d information m dicale d clarent aller sur Internet des moments qui n ont aucun lien avec la consultation d un m decin Une personne sur cinq 18 effectue des recherches juste apr s la consultation avec un m decin certainement pour comprendre confirmer ou en savoir plus sur le diagnostic formul et 10 des r pondants le font juste avant une consultation avec un m decin Si comme cela a t voqu plus haut Internet est dans l absolu une source d information jug e moins digne de confiance que d autres m decins et pharmaciens notam ment il n en demeure pas moins que les trois quarts des personnes consultant des sites d information m dicale 74 affirment que les informations m dicales ou de sant qu elles peuvent lire sur Internet leur paraissent fiables m me si ces informations sont le plus souvent jug es plut t fiables 60 que tout fait fiables 14 Six personnes sur dix 61 estiment dans le m
26. dorisant aspirer sans le particules de O 3 pm 10 pm d monter 2 DOSSIER DE CERTIFICATION Test de filtration des bact ries et des allerg nes et des moisissures Les mesures sont effectu es la puissance standard res Il comporte plusieurs l ments Caract ristiques physiques de l appareil Mesure du flux d air aux diff rents niveaux de puissance 11 pectivement 98 r tention moyenne des bact ries moins de lng m d acariens dans l air sain 92 r tention moyen g y ne des spores de P nicillium et Cladosporium gt gt R f rentiels chambres d h tel et purificateur d air suite Efficacit long terme L appareil fonctionne 8 heures par jour il est valu toutes les 3 semaines pendant 12 semaines maintien de l efficaci t sur la r tention des particules lt 10pg 97 1 et sur la fraction respirable lt 7ng 94 0 sur la r tention des spores myc liennes 89 6 sur la colonisation bact rienne de l air sain la fin de l exp rimentation elle est nulle Mesure de l mission d ozone Elle est de 4 pg m dans la pi ce exp rimentale de 42 m Mesure de la r duction des odeurs Elle est valu e sur la capacit r duire la densit des gaz lib r s par la fum e de cigarette ammoniaque ac tald hy de acide ac tique la puissance turbo elle est de 74 3 apr s une minute et de 95 3 apr s 30 minutes La capacit r duire le formald hy
27. e sur les cotisations d allocations familiales 5 4 CSG 7 5 CRDS 0 5 et FAF PM Fond d Assurance Formation de la Profession M dicale 91 en 2013 En revanche il est dispens de cotisation aux URPS 0 5 en vertu de l article L4031 2 du CSP La CPAM ne prend plus en charge comme elle le fait pour un m decin conventionn les 9 7 du montant du revenu net de d passements d honoraires du praticien pour l Assurance maladie maternit d c s et les 5 du montant du revenu net de d passements d honoraires jusqu au plafond puis les 2 9 des cotisations pour les allocations familiales Ces mesures ne p nalisent habi tuellement que les secteurs 2 qui optent pour l exercice hors convention 2 Le praticien non conventionn perd toutes les aides conventionnelles en cours ou venir aide la t l trans mission forfait m decin traitant P4P En revanche il n a plus l obligation de t l transmettre les feuilles de soins et ne pourra pas tre traduit devant un comit paritaire local CPL par le directeur de la CPAM dont il d pend L exercice hors convention n a aucune cons quence sur le contrat d assurance civile professionnelle RCP 16 Une des cons quences mesurable pour le m decin non conventionn est la baisse des revenus estim e par la CARMF pr s de 50 li e la perte d une partie importante de la patientelle qui n accepte pas d tre moins rembours e 1 Le chiffre
28. e du m decin prescripteur Le coll ge de la Haute Autorit de sant ayant valablement d lib r en sa s ance du 19 juin 2013 Vu les articles L 4011 1 et suivants du code de la sant publique Vu l arr t du 31 d cembre 2009 relatif la proc dure applicable aux protocoles de coop ration entre professionnels de sant modifi par l arr t du 28 mars 2012 Vu la demande d avis transmise par le Directeur g n ral de PARS Ile de France le 15 mars 2013 en application de l article L 4011 2 du code de la sant publique Vu l avis du Conseil National de l Ordre des M decins en date du 18 avril 2013 Vu l avis de la Soci t fran aise de dermatologie en date du 4 avril 2013 Vu l avis de l Union Nationale des Professionnels de sant en date du 10 avril 2013 Vu l avis de l Association Nationale de Formation Continue en Allergologie en date du 10 avril 2013 et int grant les avis de la F d ration Fran aise d Allergologie de la Soci t Fran aise d Allergologie de la Soci t de Pneumologie de Langue Fran aise du Coll ge des Enseignants en Allergologie du Syndicat Fran ais des Allergologues Vu l avis de la F d ration Fran aise de Pneumologie en date du 21 avril 2013 Vu Favis de l Association Fran aise pour la Pr vention des Allergies en date du 23 mai 2013 Consid rant que le protocole vise d l guer un e infirmier e la r alisation des tests cutan s des preuves fonctionnelles respi
29. ergic Rhinitis and its Impact on Asthma d taille la prise en charge de cette maladie chronique dont la part allergique est un pilier du traitement 20 Brozek JL et al J Allergy Clin Immunol 2010 Sep 126 3 466 76 Ces maladies allergiques sont une pr occupation majeure de sant publique les patients allergiques europ ens sont unis au sein de l European Federation of Allergy and Air ways Diseases Patients Associations Ils ont interpell les pouvoirs publics suite une enqu te r alis e dans 18 pays sur les allergies respiratoires qui a t pr sent e au Parle ment Europ en le 22 novembre 2011 afin de sensibiliser l opinion publique sur le diagnostic et l alt ration de la qua lit de vie des patients Il est important que les tablissements accueillant du public potentiellement sensible son environnement puissent par ticiper l am lioration de l air int rieur de leurs locaux et puissent mesurer la qualit de l air int rieur et en informer leur client le 21 LE R F RENTIEL La r alisation de ce r f rentiel est le r sultat d un partena riat entre des professionnels de sant sp cialis s dans les pathologies allergiques r unis dans un groupe associatif repr sentatif de la communaut des allergologues fran ais ARCAA association de recherche clinique en allergologie ER 9 et en asthmologie Elle a pour buts de d velopper une d marche de pr vention Sant et d approbatio
30. fait O TROUVER LES INFORMATIONS UTILES Plusieurs sites internet donnent des informations sur la proc dure d exercice hors convention et ses cons quences Les sites les plus informatifs sont les sites de syndicats m dicaux FMF CSME ou professionnels Droit M dical com Collectif Inter associatif sur la Sant CISS Solutions M dicales fr mutuelles Les sites institutionnels am lie fr sont pauvres en informations sur ce sujet Le portail Secteur3 org est un site profes sionnel d di mais h las toujours en construction CONCLUSION L exercice hors convention abouti finalement une situa tion o chacun est gagnant Le m decin qui subit moins de contraintes et tracasseries administratives dispense des soins de qualit gr ce des tarifs adapt s lui permet tant d investir dans sa formation les quipements et les conditions de travail personnel L assurance maladie fait des conomies sur les deux tableaux aupr s du m de cin et aupr s de ses patients qu elle rembourse tr s peu Le perdant du syst me serait le patient qui en usant de sa libert de choisir son m decin sera p nalis au niveau du remboursement alors qu il cotise l Assurance mala die taux plein C est probablement pour cette raison que l Assurance maladie craint le d conventionnement massif des m decins lib raux qui pourrait inciter les patients plus nombreux que les m decins r clamer un juste remboursement des presta
31. ge des allergies est capitale 3 ref Bousquet et al Allergy 2007 Feb 62 2 102 Un des organes cibles de l allergie est l arbre respiratoire qui absorbe passivement ces l ments de mani re quasi permanente environ 25 kg d air par jour sont conscien cieusement filtr s par nos poumons Au c ur de l air inhal on retrouve des prot ines allergi santes provenant des acariens de la poussi re des moisis sures des phan res d animaux domestiques 4 5 6 7 ou d autres organismes tels que des blattes ou d autres insectes ou arthropodes tels les punaises de lit ainsi que des allerg nes v g taux Ficus benjamina papyrus Lair int rieur est souvent plus pollu que l air ext rieur car qu il est moins fr quemment renouvel La pollution int rieure est la somme de ce qui provient de l ext rieur de l ha bitat et de polluants sp cifiques li s la construction ou l occupation humaine En dehors des allerg nes prot iques il existe une longue liste de sources de pollution chimique comme celles manant des produits m nagers d entretien des meubles des rev tements de sol contenant des sub stances toxiques lib rant des compos s organiques vola tiles COV Ces derniers ont t bien tudi s notamment les ald hydes des phtalates les COV du tabac ils agissent comme des cofacteurs de la gen se de maladies allergiques respiratoires Le formald hyde est un des principaux repr sentants des COV
32. ier Deux invit s permanents le pr sident de la FFAL et le pr sident de l ASSIM actuellement Daniel Vervloet et Estelle Seilles pharmacienne Dans la prochaine revue vous aurez de plus amples informations Je tiens remercier chaleureusement Jocelyne Just Daniel Vervloet et Jean Pierre Farcet pour tout le travail qu ils ont fourni pour la r daction des statuts et du r glement int rieur t che pour le moins complexe et fastidieuse mais n cessaire gt gt Commission HAS Isabelle BOSS Certains d entre nous dont Jean Pol Dumur avaient t sollicit s pour donner un avis la HAS concernant un confr re qui aurait souhait une formation pour des infirmi res de fa on ce qu elles puissent r aliser des actes d allergologte en l absence du m decin allergologue Apr s audition des avis demand s voici la r ponse de la HAS qui ne souhaite pas donner suite la demande de notre confr re Cela n interdit pas la pr sence d une infirmi re dans les cabinets pour r aliser des actes techniques en pr sence Ou m decin allergologue REPUBLIQUE FRANCAISE HAS HAUTE AUTORIT DE SANT AVIS N 2013 0055 AC SEVAM du 19 juin 2013 du coll ge de la Haute Autorit de Sant relatif au protocole de coop ration En allergologie r alisation de tests cutan s d preuves fonctionnelles respiratoires et de suivis de d sensibilisation par une infirmier e dipl m e d tat en l absenc
33. ite sur quelques vacations hospitali res la population sarthoise et de certains d partements limitrophes verra sa prise en charge allergologique lourdement amput e La venue de jeunes m decins allergologues sur Le Mans 72000 est souhait e Dr Dominique COU TTE 02 43 43 43 58 ou 02 43 23 13 10 ou dcouette ch lemans fr EEE IN EEEE gt gt Exercice hors convention mode d emploi Ce qui est agit par la CPAM comme une sanction peut tre un choix d lib r dans un souci d ind pendance vis vis du carcan de la convention et du dictat des caisses d Assurance maladie qui accentuent la p nibilit de l exercice m dical lib ral aujourd hui Cependant cette ind pendance n est que partielle et relative en r a lit La d cision de sortir de plein gr de la convention est aussi un droit Mais la d cision doit tre m rement r fl chie car il s agit d un aller simple la possibilit de retour n tant pas explicit e dans les textes En 2013 moins de 1 des m decins fran ais exercent en secteur non conventionn dit secteur 3 LES MOTIVATIONS L id e sans cesse martel e par les politiques d une pro tection sociale devenue argument lectoral l occasion a forg dans l esprit de beaucoup de fran ais l id e que les m decins non conventionn s ne sont attir s que par le profit Ceux qui ont fait ce choix n ont pas forc ment augment leurs revenus mais ils exercent dans des de meilleure
34. le Page 6 la question le biofiltre est il utiliser unique ment pendant l hiver Faut il alors le ranger pendant l t comme c est indiqu page 9 l industriel r pond que ce bio filtre concerne le traitement des virus pr sents g n ralement pendant la saison hivernale et que son utilisation est r ser ver pr f rentiellement pendant cette p riode de l ann e Page 7 la question que signifie la mention expulse des ions n gatifs Quelles en sont les cons quences Est ce dangereux l industriel r pond que la production d ions n gatifs am liore le ressenti d atmosph re saine mais engendre la formation d ozone en quantit infime E E g 12 Page 15 r glage de la sensibilit du capteur de poussi re n est pas explicite il faudrait pr ciser que plus il y a de pous si re liminer plus le d bit d air doit tre faible L industriel r pond que le manuel d entretien est traduit du japonais et que certains termes ou mentions m ritent d tre clarifi s Questions sur le co t de la maintenance l industriel pr cise que 3 filtres sont rempla ables les prix constat s sur le march varient entre 20 et 40 euros filtre Les autres l ments de filtration purification ne sont pas rempla ables mais doivent tre nettoy s lorsque le voyant de l appareil l indique la proc dure de nettoyage est d crite dans le manuel fourni Question sur la dur e de vie de l appa
35. n air int rieur contr l dans les chambres d h tels r serv es aux allergiques pour r duire l exposition et le risque de voir appara tre des sympt mes respiratoires Il a pour vocation de r pondre aux probl matiques suivantes La n cessit d un label de qualit de l air int rieur des chambres d h tel en France avec mesures d allerg nes et de polluants par un organisme ind pendant En effet des propositions voient le jour actuellement sans aucun contr le ni mesure La difficult pour le sujet souf frant d allergie respiratoire est d avoir les informations n cessaires sur la qualit de l air int rieur dans les lieux o il est susceptible de s journer titre professionnel ou per sonnel On a en effet pu montr qu une fr quentation m me courte dans un lieu public comme dans une cole ou une cr che pouvait avoir un effet d l t re sur l asthme et la rhinite 22 la volont d apporter une information claire aux h teliers jouant le jeu de la transparence l gard de leur client le et d sirant leur apporter une meilleure qualit de vie 23 24 Il s agira de faire travailler ensemble des professionnels de sant et des entreprises dans une collaboration perfectible en fonction des connaissances et des techniques pour apporter une meilleure sant de tous les citoyens OBJECTIFS DE LA D MARCHE HQE A HAUTE QUALIT ENVIRONNEMENTALE POUR ALLER GIQUES ET DE LABELLISATION
36. n aise Allergologie Des actions ont abouti comme le prouvent certains articles de cette dition La naissance d un CNP o l allergologie trouve toute sa place au sein de la F d ration des Sp cialit s M dicales en est un exemple significatif D autres actions sont en cours pour l honneur et la valorisation de notre discipline Tout sera fait pour qu elles aboutissent auvot Oui soyons heureux d tre allergologue out continuons le combat pour l allergologte Daniel Vervloet Pr sident de la FFAL EEE 3DD EE gt gt Le CNP allergo immuno La naissance Ou Coll ge National Professionnel d Allergologie et Immunologie par Isabelle BOSS Le CNPAI Coll ge National Professionnel d Allergologie et Immunologie a t officiellement cr le 12 septembre Parts Apr s avoir t d bout s il y a 4 ans par la FSM orga nisme regroupant tous les CNP parce que l allergologie n tait pas une sp cialit et que comme son nom l indique celle ci regroupe uniquement des sp cialit s m dicales Apr s avoir choisi l option de ne rien faire puisque nous n tions pas persona grata Apr s avoir longuement h sit entre l option CNP MEP que certains des membres du CA refusaient pour des tas de raisons d j explicit es dans ces pages Apr s avoir n goci fermement avec nos coll gues immunologistes qui eux aussi avaient la n cessit de former un CNP en dehors de la biologie laquelle ils taie
37. ne mani re de se lib rer de la crainte de contr les ou sanction que la CPAM peut leur infliger sous pr texte de d passements trop nombreux non autoris s secteur 1 ou excessifs secteur 2 Certains par Habib CHABANE Paris confr res ont demand d exercer hors convention apr s avoir eu de tels contr les ou sanction de la CPAM d autres les redoutant ont pr f r s en affranchir pour viter de tels contr les ou sanction Leur nombre de m decins hors convention ne cesse pourtant de s accroitre passant de 1 137 en 2002 1 611 en 2012 soit une augmentation de 42 en 10 ans selon les statistiques de la CARME Dans cet intervalle de temps le nombre de cotisants conventionn n a augmen t que de 0 3 En 2012 ils repr sentaient 1 3 des 125 819 lib raux cotisants 1 Ils sont en majorit des hommes 58 mais la proportion de femmes est sup rieure la moyenne nationale qui est de 33 La majorit des m decins hors convention exerce Paris et dans le Sud Est de la France LES TAPES L exercice hors convention est un droit inscrit dans le code de la s curit sociale Qu il s agisse d une premi re installation et pour les praticiens qui exercent en secteur conventionn l article L 162 15 du code de la S curit sociale pr voit que le m decin qui souhaite exercer hors convention en informe la CPAM de son lieu d installa tion par lettre recommand e avec accus de r ception Sa d ci
38. nt Si l h tel veut lab liser 1 ou 2 chambres le nombre total des chambres est analyser Si l h tel veut lab liser 3 5 chambres 2 chambres seront analyser Si l h tel veut lab liser 6 10 chambres seront analyser Si l h tel veut lab liser 11 15 chambres 4 chambres seront analyser Si l h tel veut lab liser 16 25 chambres seront analyser Si l h tel veut lab liser gt 25 chambres chambres seront analyser 3 chambres 5 chambres 20 des Les contr les consisteront Pr l ver de la poussi re Effectuer des pr l vements dynamiques simultan s pour les moisissures et le formald hyde Appr cier visuellement la pr sence de moisissures ou de t ches d humidit V rifier simplement le fonctionnement de la ventilation Lors de la premi re visite un examen visuel concernera toutes les chambres labelliser ainsi que certaines annexes comme les couloirs lingeries et r ception L examen visuel qui se fera pendant la prise des pr l ve ments consistera remplir une check list concernant Le num ro de la chambre tage surface approximative Description du nombre et taille de lits L existence d une fen tre ouvrante L existence d une ventilation d entr e d air v rification sommaire de son fonctionnement et de son entreien net toyage filtres La nature du sol La nature des murs La nature du plafond Le
39. nt plus dispos s consulter le blog ou site de leur m decin 71 seraient pr ts le faire on constate que 38 des Fran ais qui n utilisent actuellement pas Internet comme vecteur d information m dicale seraient enclins se connecter pour visiter le blog ou le site de leur m decin On note une fois encore que les plus jeunes se montrent les plus s duits par cette id e 76 des moins de 35 ans d cla rant qu ils consulteraient le site ou le blog de leur m decin si ce dernier venait en cr er un dont 34 qui le feraient certainement Les personnes g es de plus de 35 ans seraient moins enclines consulter le site ou le blog de leur m decin 54 mais ceci s explique une fois encore en bonne partie par le faible taux de connexion Internet des plus g s soulignons en effet que seuls 31 des 70 ans et plus iraient consulter le site ou le blog de leur m decin et que 50 ne le feraient certainement pas syndic fran ais des allergologues SYFAL Bulletin d adh sion 2013 du 17 avril 2013 au 17 avril 2014 o Mme Mlle o Monsieur NOM sms ssodememmemciseesensss Pr noms 5 scsscmsosecrer dunes cts Sp cialit Allergologue Exclusif o Autre pr cisez Secteur d exercice 10 20 30 Situation o Exercice lib ral o Exercice hospitalier ou salari o Etudiant ou retrait Adresse professionnelle ssessmesesenecnnmescnennessencnsamaenammenenmmansinuanse Code Postal
40. nt rattach s d office Les statuts et le r glement int rieur ont t vot s nous les publierons dans le prochain num ro quelques modifications ayant t apport es le d p t officiel la Pr fecture de police de Paris sera effectif dans le courant du mois d Octobre Les diff rentes structures et leurs repr sentants sont e Pour l Allergologie ANAFORCAL Evelyne Bloch Morot Fran ois Payot Michel Castelain Michel Migueres SFA Anne Tsicopoulos Antoine Magnan Beno t Wallaert J r me Laurent CEA Fr d ric De Blay Jocelyne JUST Alain Didier Pascal Demoly SYFAL Charles Dzviga Isabelle Boss Madeleine Epstein Jean Charles Farouz e Pour l Immunologie ASSIM Jean Fran ois Nicolas Jean Paul Fermand Olivier Boyer Yvon Lebran chu SFHI Anne Parissiadis Christophe Picard Jean Fran ois Eliaou Jean Luc Taupin SFI Fran ois Lemoine Jean Pierre Farcet Roland Liblau St phanie Fran ois Il y a donc 16 repr sentants de l allergologie 12 de l im munologie en revanche la parit Public Priv n a pas pu tre tablie eu gard au fonctionnement de l immuno logie qui est quasi exclusivement hospitalo universitaire Cependant celle ci est effective pour les allergologues Le bureau est compos de Jocelyne JUST pr sidente pour 2 ans Michel Castelain vice pr sident Jean Fran ois Nicolas vice pr sident Fran ois Lemoine secr taire Jean Charles Farouz tr sor
41. ntrat Il peut aussi exercer au sein d une clinique en secteur non conventionn en utilisant ses propres feuilles de soin Il existe aussi des cliniques non conventionn es ex l H pital Am ricain de Paris En cas d hospitalisa tion dans un tel tablissement 80 des frais de s jour et honoraires m dicaux sont pris en charge par la S curit sociale LES CONS QUENCES POUR LES PATIENTS La CPAM rembourse les actes de consultation pratiqu s par les m decins non conventionn s mais avec un tarif d autorit de 0 98 environ 4 de la valeur du C arr t du 09 03 1966 3 L Assurance maladie rem bourse 70 de ce montant soit seulement 0 70 par consultation Les b n ficiaires d une compl mentaire sant couvrant plus de 100 seront peine plus rem bours s Seuls ceux qui b n ficient d une mutuelle acceptant de rembourser les actes de praticiens non conventionn s auront un remboursement pouvant EE couvrir la totalit des frais En revanche l Assurance maladie rembourse sans minoration donc 70 du tarif de responsabilit les actes dont le montant est sup rieur ou gal 91 De m me toutes les prescriptions de m dicaments examens radiologiques chographiques explorations fonctionnelles examens biologiques actes param dicaux prescrits par le m decin non convention n sont rembours par l Assurance maladie En cas d ac cident du travail ou de maladie professionnelle le patient
42. on de Les articles du r f rentiel IA promoten EEA EE eee R E S E page 8 DSOULCES En Ce ec ee ee Ce ce page 8 d cible prolessionnelle Re ere Arrear ir page 8 A pubie Concerne a a e EE A page 8 6 domame d application esee eere page 8 G tiquetage et communication a e page 8 8 interpr tation des r sultats page 8 Le r f rentiel 1 Objectifs de la d marche HOE A page 9 2 M thodolosie mre a a a ere ee eee page 9 Annexes 1 Annee 1e Biblioerap nme A page 11 recherche clinique en allergologie et asthmologie Elle a pour objectif de d velopper une d marche de pr vention Sant par l approbation HQE A Haute Qualit Environ nementale pour allergiques et la labellisation air int rieur contr l de chambres d h tels en constatant une r duction significative de leur potentiel allerg nique Il a pour vocation de r pondre aux probl matiques suivantes L absence en France de certification d hypo allerg nicit de l air int rieur de chambres d h tels valid e par un orga nisme de professionnels ind pendants La difficult pour le consommateur souffrant d allergies d avoir disposition sur le march fran ais des lieux de repos chambres d h tels qui lui assurent un air int rieur contr l et un service de bien dormir La volont de soutenir les h teliers qui mettent l accent sur la pr vention des maladies allergiques dans leurs tablissements
43. ratoires la r alisation des suivis de d sensibilisation le renouvellement de la prescription initialement r dig e par le m decin d l gant et que les r sultats des tests sont ensuite analys s par le m decin d l gant lors d une seconde consultation m dicale Consid rant que les actes d rogatoires ne sont pas list s de fa on suffisamment pr cise notamment en ce qui concerne l exclusion des injections de d sensibilisation aux hym nopt res Consid rant que le m decin d l gant n est pas pr sent de fa on continue et que le protocole est insuffisamment complet pour garantir la qualit de la prise en charge du patient ADOPTE L AVIS SUIVANT Le coll ge de la Haute Autorit de Sant n est pas favorable l autorisation du protocole de coop ration En allergologie r alisation de tests cutan s d preuves fonctionnelles respiratoires et de suivis de d sensibilisation par un e infirmier e dipl m e d tat en l absence du m decin prescripteur Fait Saint Denis le 19 juin 2013 Pour le Coll ge le Pr sident Pr Jean Luc Harousseau sign 2 avenue du Stade de France F 93218 Saint Denis La Plaine CEDEX T l 33 0 1 55 93 70 00 Fax 33 0 1 55 93 74 00 www has sante fr N SIRET 110 000 445 00012 code APE 8411 Z EEHEHE CIE EEEN gt gt R f rentiels chambres d h tel et purificateur d air L RCAA 08 hecrone Ori en fogoge otf
44. reil la r ponse de l industriel est Il n existe pas de donn es usine concernant la dur e de vie des appareils n anmoins les premi res versions de ce mod le ont t vendues il y aplus de 10 ans sans que l on constate de retours ni de demande de remplacement 5 LES LABELS OBTENUS e Juin 2006 The British Allergy Fondation apr s l expertise du Pr Jean Emberlin universit de Worcester e date inconnue T V NORD convient aux personnes allergiques 6 CONCLUSION Le purificateur Daikin MC707 semble avoir une certaine efficacit dans l limination des allerg nes des micro organismes et du formald hyde et pouvoir r pondre la demande d une personne allergique et de ce fait peut obtenir le label Air Int rieur Contr l par les m decins allergologues de l ARCAA Toutefois nous mettons une r serve sur la production d ions n gatifs qui peut avoir de multiples effets sur la composition chimique et particulaire de l air et g n rer des produits de d gradations toxiques La production d ozone aussi limit e soit elle constitue galement un risque d augmenter les ald hydes les c tones ou les acides carboxyliques en r agissant au contact des mat riaux de construction d isolation et de d coration Nous demandons que d autres tudes soient effectu es afin d identifier et de mesurer les produits interm diaires et de d gradation g n r s par la photocatalyse et l ionisation subs
45. s conditions de travail conformes leurs convictions de bonnes pratiques de la m decine dans l int r t du patient La majorit des m decins ayant fait ce choix refusent de brader la m decine au nom d une politique sociale d magogique cautionn e par les syndi cats qui ont sign ces conventions avec l Assurance maladie Ils veulent proposer leurs patients une m de cine de qualit utilisant les meilleures techniques de soin Ils refusent de pratiquer une m decine gouvern e par les motivations comptables de l Assurance maladie qui ne cesse d imposer des contraintes aux m decins lib raux tant t consid r s par celle ci comme adver saires responsables de son d ficit abyssal tant t comme des alli s mais peu dociles Les raisons qui am nent prendre la d cision d exercer en secteur non conventionn sont multiples et varient selon que l on exerce en secteur 1 ou 2 Une des raisons est le refus de la spirale que nous impose l accroissement des charges sans revalorisation parall le des actes m di caux que certains d entre nous ont r solu en augmen tant leurs heures de travail A cela s ajoute le manque de respect croissant de certains patients qui n honorent pas leur rendez vous ce qui constitue une perte s che pour le m decin et augmente son exasp ration Au total ce cercle infernal risque d entrainer ses adeptes vers le burn out Enfin pour tous les m decins convention n s c est aussi u
46. secteur 2 non signataires du CAS ne peuvent les appliquer que pour leurs patients en CMU et AME C est l application de coefficients modificateurs qui permet d augmenter les tarifs c est pourquoi ils n ont pas chang sur le site AMELI Un modificateur est une information associ e un libell qui identifie un crit re particulier pour la r alisa tion de l acte et ou pour sa valorisation Il s applique une liste pr cise d actes Les modificateurs autoris s sont mentionn s explicite ment en regard de chacun des actes concern s Les nouveaux modificateurs sont les suivants O 9 Iet X 1 chiffre et 3 lettres Certaines caisses ont eu du mal g rer les modificateurs 99 XX c est un probl me informatique en cours de r solution comportant 2 lettres ou 2 chiffres identiques qui ne doit pas remettre en cause la validit de l augmen tation EN PRATIQUE Pour les FSE tous les diteurs de logiciels m dicaux ont re u les proc dures Pour pouvoir t l transmettre les FSE avec les nouveaux tarifs chaque praticien doit modifier la base tarifaire des actes concern s avec l aide de son diteur Concernant la facturation sur feuille de soins papier il convient de remplir une ligne par acte Pour chaque ligne l indication de la date de l acte 2 le code 7 chiffres ex FGRB003 3 le code activit e 1 si vous tes l op rateur principal e 2 ou 3 pour les autres op rateurs e
47. sion prend effet un mois apr s la date de r cep tion de son courrier par la CPAM Il n a pas besoin de fournir de justification pour motiver sa demande La CPAM adresse un courrier de confirmation et infor me l URSSAF de votre choix d exercice hors conven tion La CPAM fait parvenir au demandeur les feuilles de soin portant la mention Non conventionn Les num ros ADELI et RPPS restent inchang s Le code conventionn l est remplac par le code 0 Le praticien exer ant hors convention reste toujours soumis des dispositions du code de la S curit sociale du code de la sant publique du code de d ontologie m dicale et du code g n ral des imp ts Les profession nels de sant ayant quitt la convention ne doivent notamment pas inciter leurs patients d noncer leur cou verture sociale obligatoire Ils sont tenus de respecter l article L 114 18 du code de la S curit Sociale qui punit par un emprisonnement de six mois et d une amen de de 15 000 euros ou de l une de ces deux peines seule ment toute personne qui par quelque moyen que ce soit incite les assujettis refuser de se conformer aux pres criptions de la l gislation de S curit Sociale et notam ment refuser de s affilier un organisme de S curit Sociale ou de payer les cotisations et contributions dues 135 EEEE gt gt Exercice hors convention mode d emploi suite LES CONS QUENCES POUR L INT RESS La CP
48. t d clare m me que leur m decin le fait syst mati quement 24 ou le plus souvent 34 Les patients qui n informent pas leur m decin de leurs recherches sur Internet l expliquent une tr s large majo EE g 19 rit par le fait qu ils ne jugent simplement pas n cessaire d en parler leur m decin car ils font ces recherches par curiosit 82 Seuls 6 n en parlent pas leur m decin car ils souhaitent comparer son diagnostic avec les informa tions trouv es sur Internet et 4 reconnaissent avoir peur de la r action de leur m decin Le fait que certains patients ne disent pas leur m decin qu ils consultent des sites d information m dicale ou de sant ne saurait par cons quent tre interpr t comme un signe de d fiance leur gard d autant plus que 85 des personnes consultant des sites d information m dica le ou de sant d clarent que la confiance qu elles accor dent leur m decin est inchang e 10 affirmant m me leur faire plus confiance qu avant Seules 4 disent leur accorder moins de confiance De plus 88 des patients qui ne parlent pas de leurs recherches leur m decin disent lui faire autant confiance qu avant Il appara t en outre qu aux yeux d un certain nombre de patients qui consultent Internet pour s informer en mati re de sant le fait de disposer d Internet comme source d information dans ce domaine a m me contribu am liorer la qualit
49. ternet varie galement selon la ainsi 51 des plus modestes d clarent consulter Internet pour s informer en cat gorie socioprofessionnelle des r pondants mati re de sant contre 70 des m nages les plus ais s Si les sources d information sont multiples on observe tou tefois que les professionnels de sant b n ficient d un plus large cr dit que les autres sources d information utilis es Ainsi les m decins sont tr s nettement d sign s comme la source la plus digne de confiance 90 devant le pharmacien 40 Les sources d information autres que les professionnels de sant jouissent d une confiance bien moindre 17 des Fran ais citent Internet et leursproches 15 les missions sant la t l vision 10 les magazines sant ou les livres sp cialis s La radio ne recueille que 3 des citations Pr s du tiers 29 des personnes consultant des sites inter net d information m dicale citent Internet parmi les sources d information qu elles jugent les plus dignes de confiance 1 Docteur Fran oise LE PRINCE 71 DES FRAN AIS CHERCHENT DES INFOR MATIONS M DICALES OU DE SANTE SUR INTERNET Sept Fran ais sur dix 71 consultent aujourd hui Internet pour obtenir des informations en mati re de sant il s agit donc d une pratique tr s r pandue Parmi eux on d nombre une plus grande proportion de personnes de moins de 35 ans 87 que de plus de 35 ans 63
50. tions par les m decins non conventionn s Mais ce choix est en passe de devenir une option incon tournable pour de nombreux allergologues pour des rai sons conomiques compte tenu des sp cificit s de cette discipline et de la non revalorisation ad quate de leurs actes Sauf voir dispara tre l allergologie lib rale en France ou recruter les futurs allergologues dans les monast res la politique de sant actuelle ne nous laisse que peu alternative R F RENCES 1 SL Qui sont les m decins non conventionn s Quotidien du M decin du 02 02 2013 2 Garrigou Grandchamp M Exercer en dehors de la convention Un choix en passe de devenir une obligation pour le m decin lib ral fran ais 4p www fmfpro com convention article exercer en dehors de la convention html 3 L exercice lib ral de la m decine Honoraires m dicaux et taux de prise en charge par l Assurance maladie CIS Pratique fiche th matique n 44 2012 17 gt gt Les cons quences des usages d internet sur les relations patients m decins LES M DECINS SONT LA PRINCIPALE SOURCE D INFORMATION DES FRAN AIS EN MATI RE DE SANT DEVANT INTERNET LEURS PROCHES ET LES PHARMACIENS Lorsqu ils cherchent s informer en mati re de sant les Fran ais ont recours des sources d informations multiples m dicales comme non m dicales Le m decin g n raliste sp cialiste ou hospitalier arrive tr s nettement en t
51. tituant la pollution ambiante par une autre pollution potentiellement plus dangereuse pour la sant La certification sera r vis e conform ment aux normes en vigueur dit es dans le futur En outre l industriel doit sensibiliser le consommateur sur sa responsabilit dans l am lioration de sa qualit de vie en modifiant ses comportements dans la r duction des pol luants la source particules d allerg nes et Compos s Organiques Volatils et dans la fr quence d entretien d usage et de maintenance de ses quipements d aspiration de ventilation de climatisation de purification Une bro chure d taill e doit lui tre remise en compl ment du manuel d entretien qui doit tre modifi conform ment aux remarques mises pr c demment EEEH gt gt Revalorisations de certains actes techniques Par Madeleine EPSTEIN Lors de la mise en place de la CCAM en 2005 il tait pr vu que les tarifs cibles soient atteints en 2 ans Huit ans apr s on y arrive presque Tout le monde aura bien entendu remarqu la non ad quation entre ces tarifs et l augmentation du co t de la vie De plus contrairement ce qui tait pr vu au d part ces revalorisations effectives depuis le 1 juillet sont r serv es aux e m decins en secteur 1 e praticiens de secteur 2 qui auront sign le CAS contrat d acc s aux soins Sa mise en place est actuel lement pr vue au ler octobre Les m decins de
52. type de salle de bains Description sommaire des quipements La pr sence et le fonctionnement d une ventilation d extraction ER 10 La nature du sol La nature des murs La nature du plafond L tat des joints pr sence de traces de moisissures Il est vident que la simple pr sence de moisissures et ou l absence de ventilation exclut la labellisation de la chambre e Param tres mesurer et sp cifications Afin de garantir un air sain pendant le s jour des clients les param tres au minimum contr ler sont La mesure se fait dans des chantillons de poussi res de Les allerg nes d acariens et allerg nes de chat matelas et ou moquettes La technique est de type Elisa acariens chat bien valid e pour les recherches biolo giques Les sp cifications sont limite sup rieure lt 2pg m par chantillon Pour les phan res de chien la pertinence etant faible la recherche de cet allerg ne n a pas t retenu dans l labo ration du r f rentiel actuel Les moisissures utilisation d une technique permettant la d tection des moisissures viables et non viables culti vables et non cultivables dans l air Les sp cifications sont e Absence de moisissures toxiques e lt 10 CFU m de moisissures allergisantes Un examen visuel doit permettre de ne pas percevoir la moindre trace de moisissure Le formald hyde mat ri
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