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Bibliographie .................. H-58

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1. F ES Sak Leg ES ne PMA des compos s de la quinine des compos s quater naires ainsi que l acide ricinol ique et ses compos s IIs agissent en se combinant avec les liaisons soufre et hydro g ne l int rieur des spermatozo des bouleversant ainsi leur m tabolisme 72 En fait la distinction entre surfactif et bact ricide n est pas toujours nette car certains bact ri cides agissent en alt rant les caract ristiques superficielles et le pouvoir des bact ries 13 17 37 Surfactifs et bact ri cides ont fr quemment un effet synergique qui fait du pro duit combin un spermicide plus efficace que l un ou l autre des ingr dients employ isol ment Administr s sous sur veillance m dicale directe intervalles fr quents ou sous forme concentt e certains de ces agents peuvent agir gale ment contre des infestations vaginales communes telles que la trichomoniase ou la monoliase mais rien ne prouve qu ils aient une forte activit bact ricide lorsqu ils sont employ s normalement comme contraceptifs Parmi les agents fortement acides qui sont le plus suscep tibles de servir de spermicides se rangent l acide lactique Varide boriqu les acides tartrique et citrique ainsi que la gomme arabique qui tait d ja utilis e dans la Gr ce antique pour bloquer le col On ajoute parfois de petites doses d agents acides d autres ingr dients spermicides
2. ue RATES lois de nombreux Etats interdisent la publicit pour les pro duits contraceptifs La t l vision am ricaine accepte les an nonces publicitaires concernant les pulv risations et douches vaginales servant des fins cosm tiques mais elle refuse celles qui ont trait aux contraceptifs vaginaux Les pays europ ens et le Japon dressent des barri res moins rigoureuses contre la publicit sur les contraceptifs et l on trouve des annonces dans les journaux et revues mais non la t l vision En Su de la publicit sur la mousse est large ment r pandue m me au cin ma La plupart des pays en d veloppement admettent les annonces publicitaires sur la r gulation des naissances qui ne sp cifient pas des types particuliers de contraceptifs L Inde la Cor e Sri Lanka la Jama que et le Kenya ont autoris les annonces concernant les pr servatifs masculins mais les pr parations vaginales n ont pas encore fait l objet d une promotion comparable De fa on g n rale tout commer ant de d tail est autoris vendre des contraceptifs vaginaux bien que certains tats am ricains et quelques pays essaient de ne permettre la dis tribution qu aux seules pharmacies agr es Dans certains pays europ ens tels l Allemagne la Su de le Danemark et le Royaume Uni on peut acheter les contraceptifs vaginaux dans des boutiques sp cialis es en produits rotiques Les ventes par correspondance sont im
3. VLGL ELGL Xneuiea spndesesjucs ap XIOU9 UN suep spiz9e sjUaIpaBuy neajqej anbiBjag jeuoneuieiu ASN Wild 9 LL H me MER de ed ne ae et Belated Fee th mre is a cu a Ho OR LE l avance La pr paration est vers e du bidon dans l applica teur sous forme d un liquide qui au moment de l emploi se transforme en mousse dans le vagin Puis en 1974 Emko a commercialis un r cipient applicateur en forme de tam pon garni l usine de six doses pr alablement mesur es il demeure ind finiment pr t servir et d livre de la mousse au moment de l emploi Le prix est lev de l ordre de 1 80 dollar pour six applications mais il pourrait baisser dans l avenir Au Japon la soci t Eisai a mis au point de petites tablettes moussantes contenant un notiveau surfactif l ther de p m thanyiph nyl polyoxy thyl ne 8 8 couramment ap pel TS 88 Les tablettes sont rondes avec un trou central qui les fait ressembler des petites bou es de sauvetage blanches Elles moussent rapidernent et ont un puissant ef fet spermicide Le film contraceptif hydrosoluble est la forme la plus r cente des spermicides vaginaux ily a plusieurs ann es qu on Hongrie Hotay a mis au point un film hydrosoluble de mati re synth tique alcool de polyvinyle servant de support pour le bromure de c tyl pyridinium CPB acti vit
4. Contr le de qualit et s curit Les spermicides posent de v ritables probl mes dans la r glementation des drogues Nombre de produits actuelle ment en usage ont t lanc s avant qu aucun pays n ait mis en place un r gime de r glementation bien organis En Grande Bretagne par exemple la plupart des produits jouis sent d une licence de droit qui leur a t accord e par le Committee for Safety of Medicines et qui sera r vis e par ce comit d apr s un calendrier tabli Alors qu on a mis au point quelques preuves pour tester l efficacit des spermi cides on n eh a gu re con u pour en valuer fa s curit L absence d effets nocifs signal s dans le pass est l argu ment majeur en faveur de l innocuit des formules exis tantes mais il est indubitable que tout produit nouveau comme le C film fera l objet d un examen beaucoup plus rigoureux Sur le plan biologique un spermicide pourrait alt rer le mat riel g n tique contenu dans la t te du spermatozoide sans tuer celui ci et produire des anomalies apr s la f conda tion ou bien il pourrait tre absorb en quantit s infinit si males et porter atteinte la sant de la femme ou du foetus en cours de d veloppement La premi re de ces hypoth ses n est tay e par aucune preuve les recherches dans le sens de la seconde n ont port que sur certains compos s du mercure Alors qu on ne trouve dans la litt rature aucune indicati
5. droite Mousse Emko USA Mousse Delfen USA C Film Suisse Rang e du bas de gauche droite Ovules Rendell G B Gel e CCC Japon Tablettes moussantes Gynomin G B oe Le fait ie plus important compte tenu des moyens de distri bution actuels est que les contraceptifs vaginaux ne n ces sitent aucune surveillance de la part des services de sant I suffit qu ils soient conditionn s sous une forme commode et qu ils soient accompagn s d une notice donnant des ex plications simples sous forme de dessins Au total bien que les pr parations vaginales chimiques ne puissent jamais rem placer les contraceptifs oraux la st rilisation les DIU ou les pr servatifs masculins il n en reste pas moins qu elles peuvent servir de moyens commodes de recours ou de rem placement L introduction de p tes de gel es et de diverses mixtures dans le vagin afin de pr venir la conception se range sans conteste parmi les m thodes les plus anciennes et les plus simples de ma trise de la f condit D s le XIX si cle avant J sus Christ les Egyptiens m langeaient du miel du natron carbonate de sodium et de la fiente de crocodile pour former une p te contraceptive vaginale Au IV si cle avant 50 r 40 Pourcentage d chec parmi ceux qui cherchent a diff rer ou viter la grossesse J sus Christ Aristote cite l
6. ROVINSKY J J Clinical effectiveness of a contraceptive cream Obstetrics and Gynecology 23 1 125 131 January 1964 135 RYDER N B Contraceptive failure in the United States Family Planning Perspectives 5 3 133 142 Summer 1973 136 SANDBERG E C and JACOBS R Psychology of the mis use and rejection of contraception Medical Aspects of Human Sexuality 6 6 34 70 June 1972 137 SANDER F V and CRAMER S D A practical method for testing the spermicidal action of chemical contraceptives Human Fertility 6 5 134 137 October 1941 138 SANHUEZA H Personal communication April 23 1974 139 SEIBELS R E The effectiveness of a simple contraceptive method Human Fertility 9 2 43 47 June 1944 140 SHAPIRO L H A new contraceptive aerosol foam Obste trics and Gynecology 26 3 420 423 September 1965 141 SIEGEL J J Emko Company Personal communication March 15 1974 142 SIEGEL J J Emko Company Personal communication November 1 1974 143 SINGH B Anti VD effect of spermicides Response to Letter to the Editor Medical Aspects of Human Sexuality 7 8 268 September 1973 144 SINGH B Personal communication February 21 1974 145 SINGH B CUTLER J C and UTIDJIAN H M D Studies on development of a vaginal preparation providing both prophy laxis against venereal disease and other genital infections and contraception ll Effect in vitro of vaginal contracept
7. cliniques avec et sans activit sexuelle Divers tests sp ciaux ont t imagin s pour mesurer in vitro l activit des l ments spermicides L un des plus anciens mis au point par Baker au cours des ann es 1930 implique quarante huit op rations diff rentes 7 8 Des variantes en ont t propos es par Brown et Gamble 20 59 60 61 62 Sander et Cramer 137 Millman 111 Davidson 36 Carruthers 24 et Harris 73 Beaucoup d entre elles sont maintenant combin es dans l Epreuve de pouvoir spermi cide global agr e par la F d ration internationale pour le planning familial IPPF 90 130 L preuve de l IPPF est jug e positive si 1 0 ml d une solution au 1 11 immobilise la totalit des spermatozo des contenus dans 0 2 ml de sperme dans les 40 secondes qui suivent le m lange du sperme et du spermicide Chaque produit doit subir victorieusement l preuve trois reprises avec du sperme provenant de trois donneurs diff rents ou cinq reprises avec du sperme pr lev sur six donneurs diff rents 90 130 Mais toute la question est de savoir si le pouvoir spermicide mesur in vitro a un rapport quelconque avec l efficacit clinique de la pr paration 2 102 Des travaux men s par Johnson et Masters par exemple donnent penser que la distribution et la fonction m canique des contraceptifs vagi naux pourraient amoindrir leur pouvoir spermicide Apr s avoir tudi des photographies intravagin
8. ett alterna tiv for antikonception Vaginal foam an alternative for con traception Lakartidningen 65 11 1113 1119 1968 11 BEEBE G W Contraception and fertility in the southern Appalachians Baltimore Williams amp Wilkins Company 1942 274 p 12 BELSKY R L Chemical contraception Paper presented at the expert group meeting on the production and distribution of contraceptives in the developing countries sponsored by UNIDO in conjunction with UNFPA New York November 22 24 1971 Vienna United Nations industrial Development Organization December 13 1971 6 p 13 BERBERIAN D A COULSTON F and SLIGHTER R G Laboratory evaluation of a new contraceptive gel with tricho monadicidal and moniliastatic properties Toxicology and Phar macology 1 366 376 July 1959 14 BERNSTEIN G S Clinical effectiveness of an aerosol contra ceptive foam Contraception 3 1 37 43 January 1971 15 BERNSTEIN G S Conventional methods of contraception condom diaphragm and vaginal foam Clinical Obstetrics and Gynecology 17 1 21 33 March 1974 16 BLACK T R L A survey of contraceptive markets in four African countries Journal of Biosocial Sciences 4 287 298 1972 H 58 la syphilis ne r siste pas la p nicilline ma s elle atteint de plus en plus d individus dont une proportion croissante r agit mal l antibiotique La d couverte d une pr paration vaginale qui aurait la fois des propri
9. probl mes de transport et de promotion font obstacle une distribution commerciale en particulier dans les zones rurales des pays en d veloppement Mais s il tait possible de vaincre le scepticisme largement r pandu parmi les m decins l gard des m thodes de ma trise de la f condit qui ne font pas appel leurs pre scriptions ces probl mes pourraient tre r solus eux aussi Il est certain qu il existe de par le monde beaucoup de r gions o d anciennes traditions populaires pr chent en faveur de la contraception vaginale amenant d s l abord les femmes accepter plus volontiers cette m thode que d autres techniques plus modernes M thodes de compl ment pr cieuses Personne de nos jours ne saurait pr coniser un programme de planification familiale qui mettrait l accent sur l emploi des contraceptifs vaginaux comme m thode principale de ma trise de la f condit La question est de savoir si ces pr parations trouvent leur place dans le cadre des pro grammes modernes de planification familiale c t d autres m thodes et dans affirmative quelle est cette place C est ainsi qu on conseille parfois d associer les contraceptifs vagi naux aux DIU pendant les tout premiers mois qui suivent la mise en place et aux pr servatifs masculins pendant la p riode la plus f conde du mois Au cours de la lactation ils peuvent renforcer l effet contraceptif de l allaitement L ab sence de r action
10. que la plupart des r sultats ne sont pas comparables entre eux et qu ils n apportent s rement pas la preuve d finitive de l efficacit des m thodes vaginales ou d une marque de produit confront e une autre marque ll n en reste pas moins que certains points mergent d tudes r centes plus compl tes qui ont t r sum es dans le tableau 4 voir aussi les r f rences bibliographiques n 10 26 55 103 108 109 116 122 124 140 150 Les TS TO RTT TT oS TR taux de grossesses varient entre environ 2 pour 100 ann es femme dans plusieurs tudes relativement limit es et un maximum de pr s de 40 C est dans une r cente enqu te men e dans des r gions d velopp es avec les mousses Emko et Delfen que l on trouve le plus grand nombre de taux d chec uniform ment bas moins de 5 pour 100 ann es d exposition soit dans la client le priv e soit parmi des consuftantes de centres de l IPPF qui avaient choisi volon tairement les mousses soit dans le cadre d autres pro grammes o les patientes taient r guli rement suivies Plu sieurs tudes publi es aux Etats Unis font tat par exemple de femmes qui ont t amen es la pratique du produit par des agents de la planification familiale de m me cat gorie ethinique et sociale qui leur ont communiqu leur propre confiance dans le produit 14 21 23 91 127 164 Par contre deux tudes d mentent les faibles taux que d autres chercheurs
11. spermicide qu il a appel C film 72 Charg de non oxynol 9 en tant qu agent spermicide le C Film est d sor mais sous brevet de l USV Pharmaceutical Corporation et saus licence de fabrication et de vente c d e des labora toires britannique suisse et italien Des recherches sont en cours dans plusieurs pays europ ens et le C film est vendu en Grande Bretagne en tant que moyen contraceptif de compl ment On peut distinguer quatre grands types de contraceptifs chi miques emploi vaginal les cr mes gel es et p tes qui sont expuls es d un tube par pression les ovules les mousses sous forme de tablettes ou en bombes sous pression et les films solubles voir tableau 2 Chaque pr paration se com pose de deux l ments un support relativement inerte ou excipient et un agent spermicide actif Toutes agissent la fois m caniquement en formant une barri re qui ralentit la progression des spermatozoides et biochimiquement en im mobilisant ou en d truisant les spermatozo des qui ont t bloqu s Dans le groupe des produits qui sont appliqu s par pression d un tube se rangent les cr mes les gel es et les p tes Leurs diff rences essentielles r sident dans leurs caract ristiques physiques Les gel es et les p tes sont pr par es partir de divers excipients solubles dans l eau comme par exemple la g latine et la gomme adragante Ce v hicule et le spermicide qui y e
12. vente porte porte distributeurs matiques tout autant que dispensaires o phar i agr es Leur prix varie entre 0 02 et 0 45 dollar environ par application nofi i Le d faut majeur d s m thodes vaginales est eur taux d chec relativement lev Compar s aux partisans d la pilule des DIU et m me du pr servatif les adeptes des contraceptifs vaginaux ont une forte incidence de grossesses accidentelles Une enqu te men e aux Etats Unis en 1970 a montr que parmi les couples qui pratiquaient la contra ception dans le dessein de retarder ou d viter une nais sance 31 de ceux qui se servaient de mousse voyaient survenir une grossesse non d sir e dans les douze premiers mois d emploi contre 6 pour ceux qui avaient adopt la pilule 8 des adeptes du DIU 17 de ceux qui avaient les cr mes gel es et ovules TODIDIFRE LUE OCTOBRE 1976 Edition anglaise publie en janvier 1976 CHIMIQUES Ce Bulletin consacr aux contraceptifs vaginaux chimiques a t pr par par aymond Belsky B S E E et l quipe du Popul h Information Program George Washington University USA a partir de communications publi es de travaux in dits et de discussions particuli res avec diff rents chercheurs L auteur tient remercier S A Baker Elizabeth Connell E C Corderoy John D Cutler Henry Elkins Thomas Gingrich Norman Hardy
13. 126 124 OKUYAMA M UCHIDA S and AIHARA R Contraceptive effect and physical feeling with the use of a surface active agent E 136 Neo Sampoon Loop Tablets In Neo Sampoon Loop Tab lets Tokyo Eisai Company Ltd undated p 83 90 125 OLUSANYA P O Nigeria Cultural barriers to family plan ning among the Yorubas Studies in Family Planning No 37 January 1969 p 13 16 126 PALMER B Schmidt Laboratories Inc Personal com munication November 12 1974 127 PANIAGUA M E VAILLANT H W and GAMBLE C J Field trial of a contraceptive foam in Puerto Rico Journal of the American Medical Association 177 2 125 129 July 15 1961 128 PARISER G C film use effectiveness studies 1972 1973 Paris USV international 1974 Unpublished 129 PEARL R The natural history of population New York Oxford University Press 1939 416 p 130 PEEL J and POTTS M Textbook of contraceptive practice London Cambridge University Press 1969 297 p 131 PIOTROW P T and LEE C M Oral contraceptives 50 mil lion users Population Report Series A No 1 Washington D C George Washington University Medical Center Population in formation Program April 1974 26 p 132 POTTS M Personal communication October 11 1974 133 RAWES W E and GARDNER H L Herpesvirus and cervi cal cancer In Greenblatt R B ed Medical gynecology San Juan Puerto Rico Searle amp Company 1972 p 23 29 134
14. 1974 98 LICHTMAN A S DAVAJAN V and TUCKER D C film a new vaginal contraceptive Contraception 8 4 291 297 Octo ber 1973 99 LINCOLN R Personal communication October 8 1974 100 LONG J H CAREY M L HELLEGERS A E and PENTECOST M P The vaginal douche observations on some of its effects Western Journal of Surgery Obstetrics and Gyne cology 71 3 122 127 May June 1963 101 LUCAS J B The national venereal disease problem Medi cal Clinics of North America 56 5 1073 1086 1972 102 MacLEOD J SOBRERO A J and INGLIS W In vitro as sessment of commercial contraceptive jellies and creams positive correlation between laboratory tests and clinical use awaits further investigation Journal of the American Medical Associa tion 176 5 427 431 May 6 1961 103 MARCUS S A clinical study of a new contraceptive cream jel Journal of American Medical Women s Association 16 5 383 385 May 1961 104 MARGOLIS A J CAVANAUGH A T and EMS M Con traception with gel alone Fertility and Sterility 13 3 265 269 1962 105 MARTIN J B Tolerance to repeated application of a foam contraceptive in the human vagina Clinical Medicine 69 9 September 1962 Reprint 3 p 106 MASTERS W H and JOHNSON V E Human sexual re sponse Boston Little Brown and Company 1966 366 p 107 MATSUMOTO Y S KOIZUMI A and NOHARA T Condom use in Japan Studies in Family Planning 3 1
15. fait que beaucoup de m decins se refusaient encore conseiller la r gulation des naissances ou m me en parler les contraceptifs taient surtout vendus sans ordonnance ou par correspondance aux consomma teurs qui n taient prot g s par aucune norme officielle de s curit ou d efficacit De nos jours les contraceptifs vaginaux fabriqu s domi cile et les spermicides simples sont toujours employ s dans de nombreuses r gions du monde C est ainsi que l usage d un tampon de bourre de coton et d huile de moutarde est tr s r pandu dans certaines parties de linde et qu on a signal ailleurs la pratique aux m mes fins des douches de Coca Cola 130 132 Agents surfactifs Si on les compare avec la masse des recherches qu a exig es au cours de c s derni res ann es la mise au point des con H 44 traceptifs st roides et des DIU les travaux qui ont t con sacr s aux pr parations spermicides sont relativement peu abondants La tendance moderne s est orient e vers les con traceptifs vaginaux qui associent un agent spermicide dont l activit est d montr e un excipient qui se dissoudra ou se dispersera rapidement dans toute la cavit vaginale et ne provoquera d irritation ni a l femme ni son partenaire Par ailleurs les consid rations de toxicit et de s curit ont amen certains fabricants liminer les compos s ventuel lement dangereux tels que l
16. g n rale de l organisme fait des contracep H 42 tifs vaginaux un bon substitut pour les femmes chez les quelles les contraceptifs oraux ou les DIU ont occasionn des effets secondaires Pour les couples jeunes les m thodes vaginales peuvent con stituer une initiation simple la contraception A l autre extr mit de l ventail des ges les femmes qui approchent de la m nopause peuvent trouver que beaucoup de ces pro duits assurent une lubrification vaginale bienvenue tout en les prot geant contre une grossesse tardive tous les ages les femmes qui ont des relations sexuelles peu fr quentes ou celles qui ont oubli de prendre r guli rement la pilule peuvent trouver dans les contraceptifs vaginaux la protec tion n cessaire de temps autre Des essais de laboratoire ont d montr que tous les contra ceptifs vaginaux habituels inhibent des degr s variables le d veloppement des microorganismes responsables des mala dies v n riennes Des tudes cliniques actuellement en cours aux Etats Unis permettront de d terminer si les femmes qui se servent de pr parations vaginales peuvent escompter une telle protection contre ces maladies Fig 1 Exemples de divers contraceptifs vaginaux Rang e du haut de gauche droite Cr me Antemin G B Cr me gel e Immolin USA Tablettes moussantes Neo Sam poon Loop Japon Tablettes moussantes CCC Japon Rang e du milieu de gauche
17. i d 1 2 i g i i i j o Que gt m 20 N 10 0 i Pilule Pr servatif Diaphragme Douche M thode eee Fig 2 Pourcentage d chec parmi les couples qui cherchent diff rer ou viter une grossesse non d sir e au cours de le premi re ann es d exposition par m thode et par intention SOURCE Ryder 135 H 43 Siner Ser agent s es rer ge SU LE sant des produits fabriqu s TE eee a ER a Ra Le coit interrompu tait largement pratiqu par les popula tions rurales de l Europe au cours des XVIIIS et XIX si cles Avec ta migration vers les villes due la rapide crois sance d mographique qui a accompagn la r volution industrielle d autres formes de contraception se r pan dirent sur le march C est un pharmacien anglais Walter Rendell qui a t le premiera introduire dans le commerce en 1885 un contraceptif vaginal sous la forme d un ovule pr par partir de beurre de cacao soluble et de bisulfate de quinine 7 le bisulfate de quinine a t remplac par i hydroquinone spermicide plus puissant en 1939 lors qu on d couvrit que l activit du bisulfate de quinine tait entrav e par le beurre de cacao A la fin du XIX si cle Annie Besant l animatrice du mouvem
18. m thodes aas M thode du temps d exposition M thode de la dilution sur plaque D veloppement 3 apr s k Contraceptif iee a pH 1 5 10 Co Vie pH D veloppement minutes d exposition a __ Gel e vaginale Certane 10 4 6 10 7 5 Cr me Contra 50 6 9 10 7 5 Mousse Contra 10 7 5 10 7 5 Cr me Cooper 1 6 7 10 7 6 Cr me Delfen 20 5 2 10 7 6 Mousse Delfen 50 4 9 20 7 6 Concentr Emko 50 7 4 20 7 5 Concentr Emko A 50 7 1 20 7 2 Concentr Emko B 50 7 2 20 7 2 Concentr Emko spermicide 20 7 0 20 7 3 Mousse Emko 10 7 3 10 7 4 Immolin Vaginal 50 4 9 10 7 5 Gel e vaginale Koromex A 10 6 0 amp 50 7 5 Gel Lanesta 10 5 6 10 7 5 Ovules Lorophyn 10 5 4 10 7 5 Milex Crescent 10 5 7 10 7 5 Cr me Ortho 1 6 2 1 7 4 Gel e Orthogynol 10 5 5 10 7 4 Gel Preceptin 1 5 6 zA 7 4 Ramses Vaginal 50 6 7 50 7 5 aLa suspension bact rienne pour ces exp riences contenait environ 10 CFU par 0 1 mi les plaques de milieu s lectif de Thayer Martin ensemenc es taient incub es 37 C dans un incubateur CO2 ba Seules ont t test es des dilutions 50 20 10 et 1 dans le s rum physiologique CoH des milieux apr s addition du contraceptif diff rentes concentrations dR sultats obtenus a partir de deux plaques pour cha
19. ont attribu aux mousses Tietze et Lewit rapportent un taux de grossesses de 28 3 au bout de 12 mois parmi 779 Am ricaines qui employaient la mousse Emko Ce chiffre calcul par la m thode des tables de sur vie est inf rieur au taux de grossesses indiqu dans la m me tude pour les femmes qui se servaient uniquement de ge l es o de cr mes 36 8 mais il est sup rieur celui des femmes qui associaient diaphragme et gel e 17 8 160 Une tude portoricaine de Paniagua et af fait tat d un taux d chec de pr s de 30 pour 100 ann es femme avec la mousse Emko 127 voir tableau 4 Ces chiffres sont lev s si on les compare aux taux de grossesses obtenus avec les contraceptifs oraux ou les DIU Les tablettes moussantes Neo Sampoon Loop qui sont fabriqu es au Japon ont donn des taux de grossesses aussi bas que 3 2 d apr s une communication r cente portant sur 587 femmes d agriculteurs japonais 82 Mais d autres tudes concernant des tablettes moussantes ont fait tat de taux d chec atteignant 38 3 pour 100 ann es femme voir tableau 4 Une enqu te encore in dite sur le C film entreprise dans plusieurs centres a indiqu un taux global de grossesses de 5 3 pour 100 ann es femme au bout de 5 194 ann es femme de pratique 128 D autre part la British Family La F d ration internationale pour le planning fa milial fournit sur demande une description d taill e de l Epreuve agr e de p
20. quent que les ovules ne fondent pas compl tement ce qui donne lieu une distribution insuffisante du contraceptif dans le vagin 86 Mesure de l efficacit Plus difficile encore que la mesure de l efficacit de exci pient et du spermicide consid r s s par ment est la tenta tive d valuation de celle du produit compos dans ses mo dalit s r elles d mpioi Lorsqu il s agit de contraceptifs li s au coit c est dire du pr servatif du diaphragme et des pr parations chimiques vaginales l emploi correct locca sion de chaque rapport sexuel sans exception est plus im portant que tout autre facteur C est pourquoi on tablit parfois une distinction entre efficacit th orique ou physio logique et efficacit pratique L efficacit th orique re fl te l aptitude intrins que d un contraceptif donn emp cher la conception en supposant qu il est utilis cor rectement sans erreur humaine ni n gligence Les taux d ef ficacit th orique ne font intervenir que les checs de la m thode et sont exclusivement bas s sur les grossesses sur venues au cours d une pratique r guli re de la contracep tion Selon les auteurs les taux attribu s l chec de ia m thode varient entre 0 4 164 et 7 6 88 pour 100 an n es femme et il semblerait donc que l efficacit th orique des contraceptifs vaginaux soit assez lev e voir tableau 4 L efficacit pratique traduit ce qui se produit effe
21. t s contraceptives et prophylactiques des mala dies v n riennes repr senterait un pas d cisif dans la lutte contre Ja propagation de ces maladies Un pareil agent serait le premier contraceptif f minin fournir le genre de protec tion double m me dans certaines limites contre les mala dies v n riennes et la grossesse qu offre depuis longtemps le pr servatif masculin 35 BIBLIOGRAPHIE 17 BOLCH O H Jr and WARREN J C In vitro effects of Emko on Neisseria gonorrhoeae and Trichomonas vaginalis American Journal of Obstetrics and Gynecology 115 8 1145 1148 1973 18 BONE M Acceptability of the services In Bone M Family Planning Services in England and Wales An enquiry carried out on behalf of the Department of Health and Social Security London Her Majesty s Stationery Office 1973 p 33 44 19 BRADFORD W P Screening for gonorrhea In Epidemic venereal disease Proceedings of the Second International Venereal Disease Symposium St Louis Missouri 1972 New York Pfizer Inc 1973 p 48 51 20 BROWN R L and GAMBLE C J A method of testing the rela tive spermicidal effectiveness of contraceptives and its applica tion to ten commercia products Human Fertility 5 4 97 108 August 1940 21 BUSHNELL L F Aerosol foam a practical and effective method of contraception Pacific Medicine and Surgery 73 353 355 November December 1965 22 CALDWELL J C and WARE H The evolution o
22. x t I GELEES USA Jeunes consultantes de dispen saire contact es mensuellement Margolis Cavanaugh 104 Lanesta Gel et Erns 1962 Kasabach 1962 Frank 1962 Tietze Pai Taylor et Gamble 1961 Koromex A Consultantes de dispensaire Koromex A Consultantes de dispensaire urbain contact trimestriel Porto Jeunes mari es faibles 462 Rico revenus rurales contact trimestrie Koromex Lactikol Lorophyn Ortho Gynol Preceptin ee CREMES Rovinsky Delfen Consultantes de dispensaire 1964 b n ficiant de l assistance m dicale SS Tyler Delfen dose 1965 enti re Delfen demi dose Delfen demi dose Consultantes de dispensaire milieu des ann es 1950 Comme ci dessus eS Statistiques combin es 6 enqu teurs dans les ann es 1950 EE OVULES Godts 1973 TABLETTES Syn A gen Belgique N C 1 344 MOUSSANT ES Furusawa et al Neo Sampoon Consultantes de dispensaire 1968 Loop g es de 25 35 ans pour la plupart ER Ishihama et Inoue Neo Sampoon Femmes d agriculteurs g es 1972 Loop de 25 35 ans pour la plupart Tyler Delfen Statistiques combin es 11 i 1965 enqu teurs dans les ann es 1950 Dingle et Tietze Durafoam Consultantes de dispensaire M 1963 faiblement motiv es i contact tr
23. 0 251 255 October 1972 108 MEARS E Chemical contraceptive trial Il Journal of Re productive Fertility 4 337 343 1962 109 MEARS E and PLEASE N W Chemical contraceptive trial Journal of Reproductive Fertility 3 138 147 1962 110 MILLER V KLAVANO P A and CSONKA E Absorption distribution and excretion of phenylmercuric acetate Toxicology and Applied Pharmacology 2 344 352 May 1960 411 MILLMAN N A critical study of methods of measuring spermicidal action Annals of the New York Academy of Sciences 54 806 824 1952 112 MORIARITY P Ortho Pharmaceuticals Personal communi cation March 19 1974 113 MURAKAMI U KAMEYAMA Y and KATO T Effects of a vaginally applied contraceptive with phenylmercuric acetate upon developing embryos and their mother animals In Annual report of the Research Institute of Environmental Medicine Japan Nagoya University 1955 p 88 99 114 NAKAMURA G and PEDERSEN H U S Agency for Inter national Development Personal communication November 18 1974 115 NAKANO E and FURUSE Spermatozoicidal activity of p menthanylphenyl polyoxyethylene 8 8 ether TS 88 In Neo Sampoon Loop Tablets Tokyo Eisai Company Ltd undated p 17 24 116 NAGANO M The results of a field test on the contraceptive tablet with TS 88 as the main ingredient Clinical Gynecology amp Obstetrics 22 5 Reprinted in Neo Sampoon Loop Tablets Tokyo Eisai Company L
24. CT en aK organisme De m me que les pr servatifs les BARRIERES MECANIQUES E Les contraceptifs vaginaux chimiques m ritent un second examen Jusqu l apparition des contraceptifs oraux et des DIU vers les ann es 1960 l taient largement employ s avec ou sans diaphragmes et pr servatifs Puis la faveur des contraceptifs vaginaux a d clin Mais au cours de ces derni res ann es des pr para tions moussantes plus efficaces et des conditionnements plus commodes ont t mis au point Cette am lioration des produits jointe au besoin de contraceptifs susceptibles d tre diffus s par des r seaux extra m dicaux permet de penser que les contraceptifs vaginaux ont encore jouer un r le utile dans les programmes de planification familiale Les contraceptifs vaginaux chimiques parfois d nomm S spermicides o contraceptifs topiques se composent d e i pients relativement inertes qui forment une barri re m ca nique aux spermatozo des et d agents spermicides actifs qui immobilisent et d truisent ceux ci par voie chimique L em ploi de ces pr parations l une des plus anciennes formes d la contraception reste la seule m thode dej contr le des naissances exclusivement f minine qui n exige pas F inter vention d un m decin et ne produit aucun effet g n ral sur ontraceptifs vaginaux peuvent tre distribu s par de multiples voies boutiques bazars
25. D C 20009 USA ou Kathryn H Speert Head Librarian Center for Population and Family Health International institute for the Study of Human Reproduction Columbia University 60 Haven Avenue New York New York 10032 USA Aux Etats Unis POPINFORM ne peut tre utilis que par abonnement en ligne PUBLICATIONS DU POPULATION INFORMATION PROGRAM Des exemplaires seront envoy s gratuitement sur demande au personnel m dical des pays en d veloppement Indiquer le nom et le nombre d exemplaires des bulletins que vous dire Couper le te de la ligne en pointll et envoyer l adresse indiqu e ci dessus Population Information Program The George Washington University Medical Center 2001 S Street N W Washington D C 20009 U S A Nom Organisation Adresse Rue N Ville Pays COCHER LA C Pri re d ajouter mon nom sur la liste d envoi de Population Reports MENTION O Je suis d j sur la liste d envoi de Population Reports SOUHAITE O Je ne d sire pas recevoir Population Reports r guli rement H 64 an tN FY D ek om po LL 2 UES A me ma i en gn
26. G E A note on the susceptibility of N gonorrhoeae to contraceptive agent Nonyl P British Journal of Venereal Diseases 49 65 66 1973 31 CUTLER J C Persona communication March 28 1974 32 CUTLER J C Prophylaxis in the venereal diseases Medical Clinics of North America 56 5 1211 1216 September 1972 33 CUTLER J C NICKENS C J and BALISKY H Pro con vaginal contraceptives as venereal disease prophylactic agents Paper presented at the Eleventh Annual Meeting of the American Association of Planned Parenthood Physicians Houston Texas April 11 13 1973 8 p 34 CUTLER J C UTIDJIAN H M D SINGH B and ARNOLD R C Studies on development of a vaginal preparation providing both prophylaxis against venereal disease other genital infec tions and contraception Venereal disease prophylaxis past experience present status and plans for future studies Military Medicine 138 2 88 91 February 1973 35 DARROW W W The condom in venereal disease prophylaxis In Epidemic venereal disease Proceedings of the Second Inter national Venereal Disease Symposium St Louis Missouri 1972 New York Pfizer Inc 1973 p 97 98 36 DAVIDSON H A The contact test a method of measuring spermicidal action Lancet 2 432 434 August 29 1953 37 DAVIS B D DULBECCO R EISEN H N GINSBERG H S and WOOD W B Jr Microbiology New York Harper and Row 1967 1464 p 38 DIAMOND an
27. H D Herbrand Louis Keith Richard Lincoln Fuhmio Ohneda Malcolm Potts Edward Sargent Jerome J Siegel Aquiles J Sobrero J Joseph Speidel et Armond M Welch de l aide qu ils lui ont apport e en revisant ce bulletin r alis sous la direction de Frances G Conn et pour l dition en langue fran aise sous Celle de Rosanne Sadosky Tous com mentaires lettres et renseignements plus r cents seront les bienvenus recours au pr servatif masculin et 33 des tenants de l ab stinence p riodique 135 voit page H 43 Un probl me la pratique inconstante Les taux d chec plus lev s que l on oboe avec des m thodes telles que le pr servatif les contraceptifs vaginaux et abstinence p riodique sont ribu s d ordinaire a une pratique inconstante de la m thode plut t qu au d faut d efficacit de celle ci lorsqu e est appliqu e normale ment Pour ce qui est des m thodes vaginales de r centes tudes cliniques permettent d re que les nouvelles pr pa rations et notamment les mousses en a rosol ou bombes Historique Mode d action Efficacit Emploi et distribution Prophylaxie des maladies v n riennes Bibliographie H 41 a i p des te neme ae nn cn se buss cig Sasi SAT A HAG EE nn Le bulletin est une publication bimestrielle du
28. L LT E E a ma 4 k 4 Se oes nes lagement clinique appr ciable du type revendiqu La preuve d efficacit sera apport e par des enqu tes cliniques con tr l es par t moins moins que cette exigence ne soit aban donn e s il est d montr qu elle n est pas applicable raison nablement la drogue consid r e ou essentielle la validit de l enqu te et qu une autre m thode de recherche convient pour tablir l efficacit Les enqu tes peuvent tre corrobo r es par des tudes contr l es partiellement ou incontr l es par t moins par des travaux cliniques document s de sp cia listes qualifi s et par les comptes rendus d une exp rimenta tion humaine circonstanci e au stade de la commercialisation Les dossiers de cas isol s l exp rimentation au hasard et les comptes rendus d pourvus de d tails permettant une valua tion scientifique ne seront pas pris en consid ration La re connaissance g n rale d efficacit sera bas e d habitude sur des travaux publi s qui peuvent tre corrobor s par des tudes et autres donn es in dites iii Le rapport entre les avantages et les risques d une drogue sera pris en consid ration dans la d termination de l inno cuit et de l efficacit iv Une drogue dont la vente est autoris e sans ordonnance peut associer deux ou plusieurs l ments actifs sans d
29. Population Information Program Science Com munication Division Department of Medical and Public Affairs du Centre m dical de l universit George Washington 2001 S Street N W Wash ington D C 20009 USA il fait l objet d une sub vention de l Agence pour le d veloppment inter national des Etats Unis USAID Mme Helen K Kolbe est la directrice du programme sous pression peuvent assurer une bonne protection si elles sont employ es r guli rement et correctement Plusieurs enqu tes men es r cemment font ressortir de faibles taux de grossesses c est dire inf rieurs cing pour 100 an n es femme d usage voir page H 49 On pourrait citer d autres facteurs qui nuisent l accepta bilit et la large diffusion des contraceptifs chimiques De m me que pour toutes les m thodes li es au co t ces pr pa rations doivent tre appliqu es presque imm diatement avant les rapports ce qui interrompt le pr lude au rap prochement sexuel Elles doivent tre plac es tout au fond du vagin et certaines femmes r pugnent le faire fl faut renouveler feur application en cas de r p tition de l acte sexuel Elles peuvent produire une l g re sensation de br lure ou d irritation chez certaines femmes Dans les r gions tropicales beaucoup de ces pr parations n cessitent des mesures particuli res de protection contre la chaleur et l humidit D autres difficult s et notamment le prix les
30. RIESEN B von Experiences with Delfen cream as contra ceptive method Acta Obstetricia et Gynecologica Scandinavia 42 Suppl 6 71 73 1963 56 FUIMARA N J Ineffectiveness of condoms in preventing venereal disease Medical Aspects of Human Sexuality 6 10 146 147 October 1972 57 FUIMARA N J The diagnoses and treatment of gonorrhea Medical Clinics of North America 56 5 1105 1113 1972 58 FURUSAWA Y FURUYA Ka HDA Tu ICHIKAWA Y IWAKURA T NAKAMURA H KIROTA Trand WADA Z Clini cal study of the contraceptive effervescent tablets E 136 Neo Sampoon Loop Tablets wherein a new surface active agent p methanylpheny polyoxyethylene 8 8 ether ITS 88 is used In Neo Sarnpoon Loop Tablets Tokyo Eisai Company Ltd un dated pp 49 57 59 GAMBLE C J Diffusion spermicidal times of commercial con traceptive jellies and creamis secured in 1956 American Practi tioner 911 1818 1821 November 1958 60 GAMBLE C J The durability of commercial contraceptive mixtures American Practitioner 8 6 941 944 June 1957 61 GAMBLE C J An improved test of spermicidal activity with out dilution or mixing Journat of the American Medical Asso ciation 152 11 1037 1042 1953 62 GAMBLE C J and HAMBLEN L The spermicidal times of contraceptive jellies and creams 1949 Journal of the American Medical Association 148 50 55 January 5 1952 63 GARVIN O D Jelly alone vs diaphragm and je
31. Reproduc tive Fertility 20 85 93 1969 47 EDWARDS F KUGLER J H and LEVIN R J Effects of a surface active contraceptive agent nonylphenoxypolyethoxy ethanol on the vagina a new functional approach to assessing the actions on the vagina of spermicides Journal of Physiology 208 35P 36P 1970 48 ELKINS H Personal communication February 20 1974 49 EMORY UNIVERSITY SCHOOL OF MEDICINE Contraceptive technology 1973 1974 Atlanta Emory University School of Medicine 1973 56 p 50 FINKELSTEIN R Clinical test of a foaming vaginal tablet In Best W and Jaffe F S eds Simple methods of contracep tion New York Planned Parenthood Federation of America 1958 p 12 15 51 FINKELSTEIN R and GOLDBERG R B Evaluation of a new contraceptive cream jel based on long term usage American Journal of Obstetrics and Gynecology 78 3 657 660 September 1959 52 FINKELSTEIN R GUTTMACHER A and GOLDBERG R A critical study of the efficacy of jelly asa contraceptive American Journal of Obstetrics and Gynecology 63 3 664 667 March 1952 r 53 FINKELSTEIN R GUTTMACHER A and GOLDBERG R Effectiveness of Preceptin study of its use as sole contraceptive agent in an urban clinic population Obstetrics and Gynecology 4 2 217 221 August 1954 54 FRANK R Clinical evaluation of a simple jelly alone method of contraception Fertility and Sterility 13 458 464 September October 1962 55 F
32. Savon s Glyc rine Ester d acide poly i E z Saccharide polysul 4o ce furique ooo Bicarbonate de TS 88 sj soude Nonoxynol 9 Poly thy lene Chinosol glycol Ester d acide gt Gly rine polysaccharide m tallique Acide tartrique polysulfurique ee ae Ue Chloramine Dichiorosulfamido Hydrocarbure uo et fr on Poly thylene Jo glycol Glyc rine Films Aleool de soluble polyvinyle ec ok Glyc rine lt Papier de riz Carboxym thyl cellulose sodique CMC Nonoxynol 9 Chlorure de benz thonium Nonoxynol 9 benzoate sodique R cipient de verre u de plastique d aluminium ung oua a plusieurs doses Pochette de plastique contenant un paquet de carton tui d allumettes Applicateur semblable un Er Introducti n lt la main apr s pliage loir aussi le tableau 1 2Le d lai entre l application et le coft ainsi que la dur e de l efficacit spermicide varient entre des produits du m me type Les recommandations des chercheurs pour le m me produit peuvent galement varier N C Non connu H 47 i f i I ee Re ae ur
33. aient mettre en place La promotion des pr para Tableau 8 Contraceptifs chimiques vaginaux fournis par la F d ration internationale pour le planning familial par ann e civile et r gion 1971 1974 et distributions pr vues pour Produit et Employ s Employ s r gion en 1971 en 1972 GELEES CREMES Afrique Asie Am rique latine et Antilles TOTAL TABLETTES MOUSSANTES Afrique Asie Am rique latine et Antilles TOTAL MOUSSES EN AEROSOL Afrique 17 336 15 014 Asie 17 661 12 311 Am rique latine 43 667 34 017 et Antilles TOTAL 78 664 61 342 8 A l exclusion de la Tunisie Ba l exclusion de la Trinit et Tobago CA l exclusion des Philippines et de Sabah 1975 par nombre de caisses Estima A Employ s tion distri en 1973 d emploi buer en Tatal 1974 1975 13 913 16 2048 7 530 61 528 30 242 42 396 16 150 136 807 26 856 32 020 41 984 134 340 71011 90 620 65 664 332 675 20 751 23 8562 58 000 124 080 114 606 286 820 53 300 477 998 2 540 28 940 102 400 148 482 137 897 339 616 213 700 750 560 11 490 13 9462 7 384 65 170 54 639 51 600 18 850 155 061 35 017 36 000 59 246 207 947 101 146 101 546 85 480 428 178 SOURCE F d ration internationale pour le planning familial Rapport aux donateurs septembre 1972 1973 et 1974 82 83 84 H 54 Tableau 9 Concentration minimaie n cessaire de 20 contraceptifs pour inhiber le d veloppement de N Gonorrhoeae valu e par deux
34. ales de co t simul ils ont abouti cette conclusion que le mode selon lequel l excipient se r pand dans le vagin peut conditionner l effi cacit in vivo de l agent spermicide alors m me que celui ci s est r v l actif in vitro C est avec les mousses en a rosol et les cr mes qu ils ont obtenu les meilleurs r sultats Appli quant une m thode de cotation par points pour valuer l efficacit des contraceptifs des intervalles variant entre quelques secondes et huit heures apr s le co t ils ont con stat que seules la cr me Delfen Ortho et la mousse Emko assuraient une protection compl te apr s deux injections de sperme 87 voir tableau 3 Des travaux men s parall lement par Sobrero confirment qu en d pit de la disparition apparente de la mousse au cours du coit le spermicide est bien distribu Il forme un rev tement ou une pellicule tr s efficace que les spermato zoides doivent traverser pour p n trer dans le canal cervical 151 D autres pr parations se sont r v l es moins efficaces d apr s les constatations de Johnson et Masters 86 Les gel es ne se dispersent ni rapidement ni compl tement dans le vagin elles sont trop liquides et provoquent parfois une irritation Les tablettes effervescentes ont un pouvoir de dispersion qui varie largement et certaines utilisatrices se sont plaintes d irritations vaginales se manifestant par une sensation de br lure et de d mangeaison il est fr
35. anger et efficaces et peut tre g n ralement reconnue comme sans danger et efficace si chaque l ment apporte une contribu tion l effet ou aux effets revendiqu s si l association des l ments actifs n amoindrit ni l innocuit ni l efficacit de chacun d entre eux et si l association prise par des personnes qui disposent d un mode d emploi circonstanci et sont pr venues contre un usage inconsid r repr sente un moyen th rapeutique rationnel et simultan pour une proportion significative de la population vis e v L tiquetage doit tre sans ambigu t et v ridique tous gards aucun d tail ne doit tre mensonger ou fallacieux I doit indiquer les emplois et r sultats vis s du produit donner des directives circonstanci es pour un usage correct pr venir contre un emploi inconsid r et avertir des effets secondaires et des r actions nuisibles le tout dans des termes qui soient susceptibles d tre lus et compris par tout le monde notam ment par les personnes d pourvues de facilit de compr hen sion dans les conditions ordinaires d achat et d emploi vil Une drogue ne sera autoris e la vente l gale sans ordon nance et l emploi par le profane que si des consid rations de s curit n exigent pas en raison de sa toxicit et de tout autre effet dangereux ou en raison de la m thode et des mesures accompagnatrices impos es par son emploi qu elle soit vendue et employ e exclu
36. ary mi nutes of the meetings of the Panel on OTC Contraceptives and Other Vagina Drug Products from August 2 1973 to September 21 1974 170 WARNER M P Tolerance studies with a new contracep tive gel Journal of the American Medical Womens Federation 14 412 414 May 1959 171 WESSELS M Vaginal insufflation of a powder as a method of contraception Human Fertility 6 5 152 153 October 1941 172 WESTINGHOUSE POPULATION CENTER Distribution of contraceptives in the commercial sector of selected developing countries Summary report Columbia Md Westinghouse Popula tion Center April 1974 135 p velie adresse CHANGEMENT D ADRESSE A l avenir envoyer Population Reports ma nou 173 WESTINGHOUSE POPULATION CENTER Survey of patterns of contraceptive distribution in Pakistan 1973 Columbia Md Westinghouse Population Center 1973 68 p 174 WHITEHILL J L and WETZEL P The acceptability and effectiveness of foam powder Human Fertility 6 5 151 153 October 1941 175 WILLCOX R R A world look at venereal diseases Medical Clinics of North America 56 5 1057 1061 1972 176 WILSON J Birth defects and the environment New York Academic Press 1973 305 p 177 WISHIK S M Indexes for measurement of amount of con traceptive practice Paper presented at meeting of expert group on assessment of acceptance and use effectiveness of family planning methods United Nations Economic Commis
37. associations de planning familial 1971 Pourcentage des Nouvelles acceptantes Total des acceptantes de Pays nouvelles de pr parations acceptantes pr parations vaginales vaginales par rapport eu total des acceptantes Bangladesh 127 051 43 Barbade 3 265 33 Pakistan 329 245 22 Ghana 27217 17 Sierra Leone 701 14 Jama que 26 632 9 Porto Rico 44 660 9 USA 1 263 837 7 Sainte Lucie 2 390 6 Equateur 13 722 5 R publique f d rale allemande 2 100 SOURCE Huber 78 des distributeurs La liste des contraceptifs vaginaux com prend 65 produits en tube cr mes gel es ou p tes 35 ovules 33 tablettes effervescentes et 6 mousses en a rosol Quoique les mousses en a rosol soient sans doute les plus efficaces du lot il n y a gu re que cing firmes les fabri quer en raison des investissements importants en quipe ment qu exige leur production Aux Etats Unis et en Grande Bretagne le nombre des produits vaginaux sur le march a diminu constamment depuis les ann es 1950 la liste de 1971 ne contenant plus que le tiers environ des produits existant vingt ans auparavant 72 Il est bien difficile d valuer les conditions effectives d em ploi et de distribution de ces produits 68 Du fait qu ils sont vendus sans ordonnance on ne peut gu re s attendre que les femmes qui choisissent ces m thodes demandent conseil leur m decin
38. chiffre fourni par FIPPF signifierait que 10 4 mil lions de femmes de ces 73 pays sont des utilisatrices r gu li res de contraceptifs vaginaux Toutefois l usage de ces produits est souvent irr gulier et il y a lieu de penser que beaucoup plus de femmes les emploient mais de fa on oc casionnelle Les estimations varient au sujet de l emploi des contracep tifs vaginaux aux Etats Unis et dans d autres pays d velop p s Si l on en juge par l valuation d un laboratoire phar maceutique environ quatre millions d Am ricaines s en servent actuellement 112 Un autre fabricant a estim plus de deux millions le nombre des utilisatrices r guii res de mousse aux Etats Unis 142 D apr s l Enqu te na tionale sur la f condit de 1970 ce chiffre a t de 1 5 million environ pour cette ann e 135 L enqu te bas e sur un sondage portant sur plus de 5 GOO couples dont la femme avait moins de 45 ans fait ressortir Une augmenta tion de l emploi des mousses entre 3 3 en 1965 et 6 1 en 1970 A titre de comparaison 10 millions environ de femmes ont pris la pilule aux Etats Unis en 1973 131 et 3 a 4 millions ont eu recours aux DIU 97 168 Une chose est claire l emploi des contraceptifs vaginaux a nettement diminu depuis l introduction des contraceptifs oraux et des DIU au d but des ann es 1960 En 1969 au Japon o l avortement tait facilement pratiqu alors que les contraceptifs oraux et les DIU n
39. ctivement dans la vie courante en consid rant non seulement chec de la m thode mais aussi son application n gligente ou inconstante C est une mesure plus valable que l efficacit th orique Primitivement les taux d efficacit pratique taient calcul s l aide de ja formule de Pearl nombre de grossesses pour 100 ann es femme d exposition si bien qu ils pouvaient tre fauss s soit par les taux d chec rela tivement lev s des utilisatrice court terme soit par les taux d chec relativement bas de celles qui pratiquaient la m thode long terme On en vient de plus en plus une m thode plus labor e l analyse des tables de survie qui refl te le taux d abandon au cours d un laps de temps d ter min efficacit pratique tendue Les essais cliniques traduisent une large variation des taux d efficacit des contraceptifs vaginaux Ces essais ont cou vert une p riode de 40 ans et ont port sur diff rents types de contraceptifs vaginaux sur diff rentes populations chantillonn es et sur diff rentes m thodes de tenue des dossiers et de contr le ult rieur 11 41 42 44 45 50 53 63 65 67 74 75 92 129 139 155 159 163 171 174 178 179 En outre certaines tudes d efficacit pratique sont parfois entach es d erreur syst matique par l exclu sion dans les calculs finals des utilisatrices irr guli res ou de celles qui avaient abandonn la m thode Cela explique
40. d PEDERSEN H U S Agency for Inter nationa Development Personal communication November 18 1974 39 DINGLE J T and TIETZE C Comparative study of three contraceptive methods vaginal foam tablets jelly alone and diaphragm with jelly or cream American Journal of Obstetrics and Gynecology 85 8 1012 1021 April 15 1963 40 DJERASSI C Birth control after 1984 Science 169 941 951 September 4 1970 41 DUBROW H Clinical test of a new vaginal tablet and other methods In Best W and Jaffe F S eds Simple methods of contraception New York Planned Parenthood Federation of America 1958 p 15 20 42 DUBROW E and KUDER K Combined postpartum and family planning clinic Obstetrics and Gynecology 11 5 586 590 May 1958 43 DUNCAN W C Other antibiotics In Epidemic venereal disease Proceedings of the Second International Venereal Disease Symposium St Louis Missouri 1972 New York Pfizer Inc 1973 p 68 71 44 EASTMAN N J Further observations on the suppository as a contraceptive Southern Medical Journal 42 4 346 350 April 1949 45 EASTMAN N J and SEIBELS R E Efficacy of the supposi tory and of jelly alone as coniraceptive agents Journal of the American Medical Association 139 1 16 20 January 1 1949 46 ECKSTEIN P JACKSON M C N MILLMAN N and SOBRERO A J Comparison of vaginal tolerance tests of spermi cidal preparations in rabbits and monkeys Journal of
41. de produits chimiques ou distributeurs agr s de m dicaments pensent que ce march est frein par l in suffisance de l importation des produits plut t que par l ab sence de demande Les fabricants sont peu dispos s a faire le moindre investissement promotionnel de quelque ampleur en raison de la menace que repr sente pour les march s le d luge de contraceptifs distribu s gratuitement dans le cadre d accords d aide bilat raux et par des organisa tions de planning familial gt 16 S ils ne sont pas probants de tels t moignages laissent n an moins penser qu il pourrait y avoir un march pour les pro duits vaginaux mais que ceux ci n ont pas encore fait l ob jet d efforts de promotion Ce ne sont pas non plus les pr parations les plus efficaces qui ont t le plus largement commercialis es Co t Les prix de d tail varient dans Une mesure consid rable selon le type de produit vaginal et le genre du point de vente En g n ral ce sont les mousses en a rosol et les cr mes pr dos es qui sont les plus co teuses les cr mes en tube se situent dans la gamme moyenne et les gel es et tablettes moussantes sont les moins ch res Le prix de d tail par application varie entre 0 02 dollar environ et 0 45 dollar voir les prix d un choix de produits dans le tableau 5 D apr s les indications d un fabricant japonais des tablettes moussantes sont vendues en R publique populaire de Chine pour un prix q
42. des vagi nales ou d clarent ne pas en conna tre le nombre Il est certain que ces donn es peuvent tre attribu es des d ci sions des responsables des programmes ou au manque de produits vaginaux tout autant qu un choix individuel des consommateurs Sur les 33 pays dans lesquels des pro grammes officiels ou priv s de planning familial ont enre gistr de nouvelles acceptantes des pr parations vaginales 11 seulement ont signal une proportion de 5 ou plus de femmes avoir accept ces m thodes voir tableau 7 Les dispensaires subventionn s par l IPPF n ont pas enre gistr une forte augmentation de l emploi des gel es cr mes ou mousses en a rosol depuis 1971 alors que la pratique d autres m thodes a accus une croissance sensible Par contre l usage des tablettes moussantes s est r pandu Pour r pondre aux demandes d associations locales de planning familial l IPPF a fourni en 1974 seize fois plus de tabiettes moussantes qu en 1971 voir tableau 8 Cette augmenta tion provient en partie d demand s de la part de nouveaux programmes aux Philippines et en Indon sie mais ce peut tre aussi le r sultat d une promotion active de la Soci t japonaise Eisai qui fabrique les nouvelles tablettes mous santes Neo Sampoon Loop Pour satisfaire ces demandes l IPPF ach te directement des contraceptifs aux fabricants et en re oit d autres de l USA D Du fait que la plupart des resp
43. e 2 Jed apuewiusooas se alubeiydeip ne gosse tojdia 4 saplolig1oeq se1alidoid sep 1apessod Issne ueAnad sysoejins sjuabe sa 1 ayqnjos whi ajesepay aubewally gt puesqiaH Ad usB w uAS e1e18p9 eubeius ly ayapa puua 1 uoleds ajesapay eubeuue y ASM pIodinT owes uoder p17 og 18s13 doo7 uoodwes cay HO pr sadoog ig sayvog UIWOUAE ajesapey SHES Well Hawg xaua d LOU nou eheig l vsn oul sal10 810q87 PlLUUIS uowt wsn sieonneseueuq oyua weaig uaa wsn sjeorsnesewueyg ouno jondesu0y a9 pI yadoo5 g 581209 UILUBIU ec yo cares ne tu a oi on ve jii UN aid Axoy Ajod Axousyd jAnqos q ap aamojya no wnuoyzazuagq ap ainsajyg 109416 anbipos aue Ayjeeoapop ap a1eine oucH aeozusq opliuein s0i0 491Q joueue SU LUP10 U5 0Gg 102416 aua AyleAxoAjod Axoyjau ap sane g iouAxouon Joueus xouis4jod AxousuydjAuon ap 109416 euajAureAjod ap 1su13 wmuouyiszusq jAUyJau jousud jA130siouou jAuaydjAueyjoul d ap 49439 Josoulys auljournbAxo p eJe InS Wittd snbinsseur jAusud 318189 88 S1 8 8 eue AyreAxodjod pnsAjod epueyoses jod 8pl2e p 48153 loueud g1 JAuou sue Ay sAxoAjod ap daije no jouayd jAuau suajAyieAxodjod nbun sAed 32 zuende anbaew ap WoON Sapi5149 98 9 s 9epins sjuaby gt gt Gok Q Lo D o ES 3 2 y 0 a oO Le saploy ae ea
44. e heure avant le rapport sexuel Dans les films solubles on utilise l alcool de polyvinyle et la glyc rine la carboxym thyl cellulose sodique CMC ou le papier de riz comme support du spermicide Le C film est un morceau carr de 4 cm de c t d une mati re plastique transparente hydrosoluble ayant l aspect du papier qui est impr gn e de nonoxynol 9 il n exige pas d applicateur sp cial et il suffit de plier une fois et de l introduire la main dans le vagin Le C ilm doit tre mis en place 30 minutes avant le rapport sexuel 98 Le fabricant suisse Lagap SA indique dans la notice que contient chaque emballage que le C film peut tre aussi plac sur le p nis avant le rapport sexuel la mani re d tin pr servatif mais ce mode d utilisation ne semble gu re efficace 1 D autres films sont fabriqu s partir de substances diff rentes C est ainsi que le papier de riz sert de support dans un film contraceptif italien et que le spermicide garnissant un film indien est l ur e bien que l activit de celle ci soit sujette caution 70 132 Avant leur emploi les contra ceptifs sous forme de film soluble doivent tre conserv s l abri de l humidit Action biochimique Les ingr dients qui conf rent un produit particulier son pouvoir spermicide ou biochimique peuvent avoir une ac tion pr dominante de surfactif de bact ricide ou d agent fortement acide Il est fr quent que deux ou plu
45. e mercure et les hydroquinones dans les produits contraceptifs vaginaux Als les ont rem plac s par d autres substances qui pr sentent une tensioacti vit plus grande et qui risquent moins d tre irritantes d tre absorb es par l organisme ou d tre nocives pour un foetus Un pas d cisif a t franchi peu apr s 1950 lorsqu on a d couvert que des agents de surface surfactifs tels que le nonylph noxy poly thoxy thanol nonoxynol 9 taient des spermicides efficaces A la diff rence de bon nombre des premi res pr parations commerciales ces surfactifs ne sont ni tr s acides ni irritants pour le vagin On les emploie de plus en plus comme ingr dients actifs principaux dans les formules modernes voir tableau 1 Application et conditionnement Les changements et am liorations ont port non seulement sur les ingr dients m mes mais aussi sur les modes d appli cation et de conditionnement Dans les premi res ann es 1930 les ovules chimiques et les tablettes moussantes taient ins r s avec les doigts Quelque vingt ans plus tard on a mis au point des tubes applicateurs en mati re plas tique quip s d un piston qui permit d introduire des gel es profond ment dans le vagin A l apparition des cr mes vagi nales vers le milieu des ann es 1950 on se servit du m me mod le d applicateur Au cours de ces derni res ann es on a vu appara tre des applicateurs unidose en forme de tam pon emp
46. efforts de promotion pour ces produits en raison de l absence de demande de la part de consom Mateurs en puissance 5 ll semble toutefois que la promotion augmente la demande des consommateurs En 1972 une campagne pilote de H 56 quatre mois au cours de laquelle les pharmaciens de Colombie distribu rent des brochures d information sur les contraceptifs oraux les pr servatifs et les ovules produisit une augmentation des ventes de 63 pour les ovules de 81 pour les pr servatifs masculins et de 26 pour les pilules M me dans les officines qui ne diffusaient pas la brochure les ventes d ovules augment rent de 39 6 Une analyse de la distribution des contraceptifs au Nigeria au Ghana au Kenya et en Ouganda pendant l ann e 1970 a fait appara tre la vente de 288 000 tablettes vaginales mous santes au Nigeria et de 204 000 au Ghana avec un plus faible volume en Ouganda et au Kenya Quelques ventes de cr mes en tube ont t relev es dans l ensemble des quatre pays Si l on consid re que les ovules sont utilis s tradition nellement par les Yoroubas du Nigeria comme moyens abortifs et que dans l id e de certains hommes les m thodes vaginales risquent moins que la pilule ou le DIU d encourager les femmes l infid lit 125 il se pourrait qu il existe en Afrique un march encore plus vaste pour ces produits Black a not qu en Afrique occidentale en particulier les lt vendeurs
47. emploi de c dr l on et d essence d encens dans l huile d olives pour former une barri re au niveau de l orifice cervical Le jus de menthe poivr e m lang de miel est mentionn par Dioscoride au 1 si cle apr s J C Dans son ouvrage classique du le si cle Gyn co logie Soranos recommande l huile le miel la c drie divers acides de fruits et des astringents tels que l alun 76 Les milieux fortement acides o fortement alcalins tant hos tiles aux spermatozo des il est probable que ces premi res p tes et barri res chimiques avaient une certaine action de limitation de la f condit On sait par exemple que le sel en solution 8 est fortement spermicide Au Moyen ge on s est fr quemment servi de sel gemme et d alun comme contraceptifs vaginaux Les crivains indiens du VIIf si cle indiquent le sel gemme tremp dans l huile ou le miel Les m decins musulmans du XII si cle recom mandent des ovules ou tampons contenant du sel gemme de l alun ou divers jus de fruits ou d herbes En Europe l introduction dans le vagin d une ponge imbib e de jus de citron dilu est cit e en 1732 comme une m thode tradi tionnelle efficace 76 Pourcentage d chec parmi ceux qui cherchent diff rer la grossesse Pourcentage d chec parmi ceux qui cherchent viter la grossesse 30 g er i g
48. ent f ministe anglais qui s levait contre les lois interdisant la diffusion de l information sur la contracep tion recommandait l emploi d une ponge impr gn e de solution de quinine comme barri re vaginale spermicide Plusieurs m decins n erlandais conseillaient vers la fin des ann es 1880 des tampons vaginaux fabriqu s partir de savon En 1895 W P Chunn proposait aux Etats Unis l em ploi d ovules de beurre de cacao contenant de l acide borique de l acide tannique ou du chlorure mercurique 76 Avec le co t interrompu ces m thodes vaginales utili domicile ou commercialis s taient largement r pandues avant que le d veloppement du latex de caoutchouc ne permit la production en masse de pr servatifs s rs et peu co teux La profession m dicale ayant graduellement reconnu le be soin de formes plus s res de contraception a stimul la mise au point de gel es spermicides destin es tre em ploy es avec le diaphragme invent en 1882 par le Dr Wil helm Mensinga et d excipients sous forme de cr me ap pliqu es seules ou avec des dispositifs fournis par les m decins Au cours des ann es 1920 et 1930 on a vu appa ra tre sur les march s am ricain et europ en de nombreux ovules et tablettes moussantes dont beaucoup contenaient _des compos s organo m talliques tels que le mercure de la quinine du quinosol de l acide lactique de l acide borique ou de l alun calcin Du
49. es dans la presse f minine et certaines revues d int r t g n ral Mais pour ne pas heurter la sensibilit du public la plupart de ces an nonces d crivent le produit dans des termes tellement vagues que le message ne parvient pas clairement au con sommateur En outre certaines douches et autres produits vaginaux font l objet d une publicit semblable sous une forme teilement ambigu que le consommateur est port croire que ces produits ont galement une valeur contracep tive alors m me que ce n est pas le cas Aux Etats Unis les Tableau 10 Taux n cessaires de dilution de contraceptifs pour immobiliser T pallidum en suspension en l espace de 1 1 5 minute Nombre de contra ceptifs Concen tration Nom du contraceptif Concentr Emko B Cr me Ortho Gel e vaginale Certane Mousse Contra Cr me Cooper Cr me Delfen Mousse Delfen Concentr Emko Concentr Emko A Finesse Cr me gel vaginal Immolin Ovules Lorophyn Gel e Orthogynol Gel Preceptin Cr me Contra Gel Lanesta Gel e 3 vaginale Ramses Gel e vaginale Koromex A Gel e 2 Milex Crescent SOURCE Singh Cutler et Utidjian 145 H 55 a See Se ee ae f i i Se i E iih o Aiai tiei i aat at pet a de FARMER RENE cm mm A RE er cime nf SARA Le ut Re hit ARTE er
50. et d autre part il est rare que prati ciens et personnel des programmes de planning familial re commandent ou distribuent des contraceptifs vaginaux sauf contre indication de la pilule du DIU o de la st rilisa tion Au total l emploi des m thodes vaginales est beau coup moins r pandu que celui des contraceptifs oraux des DIU de ja st rilisation ou des pr servatifs masculins qui se sont substitu s ces m thodes dans la plupart des pays d velopp s On note toutefois un accroissement de l usage des mousses en a rosol et des tablettes effervescentes au d triment des gel es et cr mes accroissement qui pourrait se poursuivre dans beaucoup de pays si ces produits de venaient plus facilement accessibles et faisaient l objet d une promotion plus vigoureuse D apr s les r sultats d une enqu te de la F d ration inter nationale pour le planning familial IPPF 1041 500 000 doses de spermicides ont t distribu es en 1971 dans les 73 H 53 PT RES og er at bates ace eee tte eue pays o des organismes affili s la F d ration ont pu lui fournir des donn es 78 La part de l Europe occidentale a t de l ordre des deux tiers Si l on admet que 100 doses assurent une protection d une ann e pour le couple moyen 177 te
51. f family plan ning in Australia Population Studies 27 1 7 31 March 1973 23 CARPENTER G and MARTIN J B Clinical evaluation of a vaginal contraceptive foam In Sobrero A J and McKee C eds Advances in planned parenthood Vol 5 Proceedings of the Seventh Annual Meeting of the American Association of Planned Parenthood Physicians San Francisco California April 9 10 1969 New York Excerpta Medica 1970 International Congress Series No 207 p 170 175 24 CARRUTHERS G B Laboratory testing of spermicidal prepa rations Proceedings of the Society for the Study of Fertility 9 28 34 1957 25 CATTERALL R D Trichomonal infections of the genital tract Medical Clinics of North America 56 5 1203 1209 1972 26 CHINNATAMBY S Simple method acceptability study In Changing patterns in fertility Proceedings of the Seventh Con ference of the International Planned Parenthood Federation Singa pore February 10 16 1963 Amsterdam Excerpta Medica 1963 International Congress Series No 72 p 600 604 27 COHEN L The pill promiscuity and venereal disease British Journal of Venereal Diseases 46 108 110 April 1970 28 COHEN M R and KAYE B M The postcoital test as a method of evaluating a contraceptive jelly Journal of the Ameri can Medical Association 152 11 1042 1043 July 11 1953 29 CONNELL E R Personal communication March 20 1974 and Aprii 26 1974 30 COWAN M E and CREE
52. i cherchent chaient seulement la diff rer il n en reste pas moins que dans l ensemble des couples tudi s le nombre des gros sesses non express ment voulues a atteint 31 dans le groupe de ceux qui se servaient de mousses contre 6 des adeptes de la pilule 8 des utilisatrices de DIU 17 pour le pr servatif 23 pour le diaphragme 33 pour l absti nence p riodique et 45 pour ia douche vaginale 135 voir fig 1 Tout au long des dix derni res ann es les contraceptifs vaginaux ont t critiqu s ou plus souvent tout simple ment ignor s par les responsables de la planification famili ale en raison du chiffre lev des taux d chec D une part beaucoup de sp cialistes pensent qu il n y a pas lieu de dissocier l efficacit th orique et pratique c est dire que tous les insucc s doivent tre jug s comme des checs de la m thode en consid rant que la pratique intermittente d une m thode contraceptive traduit en fait un m contente viter compl tement une autre grossesse obtiennent de ment l gard de celle ci 70 99 157 meilleurs r sultats que celles qui veulent simplement dif f rer ou espacer ies naissances Parmi celles qui se servaient de mousses pour viter une naissance 22 ont eu subir une grossesse non d sir e contre 36 pour celles qui cher D autre part certains sp cialistes pr tendent que celles qui de nos jours choisissent les m thodes vag
53. imestriel Tietze Pai Taylor Jeunes faibles revenus rurales et Gamble mari es 1961 MOUSSES EN AEROSOL Bushnell intelligentes motiv es 4 0 1 75 1965 i Carpenter et Martin Peu motiv es et d favoris es 45 N C 3 14 j 1970 contact trimestriel i f i Bernstein B n ficiant le plus souvent de 94 3 05 3 98 1971 l assistance m dicale contact i trimestriel p p Kleppinger Delfen Consultantes de dispensaire 7 2 15 753 k i 1965 contact trimestriel g Tietze et Lewit Emko Consultantes d h pital et de N C N C 28 3 j 1967 dispensaire contact 1 3 mois i Paniagua Vaillant Emko et Gamble 1961 FILM SOLUBLE Pariser 128 C Film Europe N C 716 5 194 7 3 23 N C 5 31 i 1974 Egypte N C 91 1 638 18 0 10 N C 7 33 Faibles revenus urbaines catholiques mari es 42 N C 29 25 i N C Non connu ay r f slag A s fue Bien que de nombreuses tudes sur les contraceptifs chimiques vaginaux aient t men es avant 1960 des modifications d ingr dients dans certaines marques rendent les r sultats de certaines tudes ant rieures inapplicables aux produits dans leur nouvelle formulation Apr s un an chiffre calcul par la m thode des tables de survie Tous les autres taux sont calcul s par la formule de Pearl H 49 HE UA OT a AT LL
54. inales plut t que des contraceptifs plus efficaces peuvent avoir des intentions Tableau 5 Prix d d tail d un choix de produits contraceptifs vaginaux dans un choix de pays 1974 Prix de d tail approximatif en dollars USA au cours de juin 1974 Ventes annuelles ou nombre d utilisatrices Nombre d applications Nom du produit Pays de vente 1 million d utilisatrices USA et Canada 20 000 utilisatrices G B 40 000 ut Finlande 50 000 dollars G B 42 200 tubes R p sud africaine 14 100 dollars G B G B Finlande R p sud africaine USA Canada Mousse Emko 4 00 2 89 3 25 0 75 1 10 Tablettes moussantes Gynomin Duragel 0 37 taxes Cr me Conceptrol Cr me Conceptrol pr dos e Tableties Nec 2 11 20 Philippines 1 000 000 de tubes Japon Sampoon Loop 1 72 20 Tha lande 530 000 tubes Asie 1 10 20 Hong Kong 55 000 tubes Afrique 1 48 20 Singapour et Moyen Orient 1 20 20 Vietnam du Sud 1 95 20 Guatemala 1 80 20 El Salvador 90 000 tubes Am rique 2 40 20 R publique Dominicaine latine 1 90 20 Panama f Tablettes de la 0 05 12 R publique populaire de Chine N C R publique populaire Ovules 1 85 2 72 6 La Europe 5 pays 5 millions d ovules Syn A gen Afrique 5 pays Agen 53 Asie 11 pays Am rique centrale 10 pa
55. ins et des moyens de recherche Les fichiers du POPINFORM contiennent actuellement plus de 32 000 citations dont la plupartsont accompagn es de comptes rendus analytiques xtraites d articles de journaux de chapitres d ouvrages de rapports in dits de communications pr sent es des conf rences de rapports du gouvernement et des Nations Unies de formules de questionnaires et de manuels techniques Ces donn es se r f rent une p riode qui s tend approximativement de 1971 nos jours La base de donn es du POPINFORM comporte six fichiers qui peuvent tre l objet d une recherche simultan e ou _ s par e Les renseignements contenus dans ces fichiers sont fournis par le Population Information Program et le Prostaglandin Information Center de l Universit George Washington par le Center for Population and Family Health Division de l Institut international pour l tude de la reproduction humaine de Universit Columbia par international Statistical Programs Center du US Census Bureau par la Family Planning Evaluation Division du US Center for Disease Control a Atlanta et par le East West Communication Institute a Honolulu Les documents que contiennent les fichiers du POPINFORM concernent la m decine la sociologie la psychologie l anthropologie les statistiques l conomie la sant publique les m thodes administratives la d mographie la nutrition parfois ils font appel plusieurs de ces di
56. ive and non contraceptive preparations on Treponema pallidum and Neisseria gonorrhoeae British Journal of Venereal Diseases 48 1 57 64 February 1972 146 SINGH B CUTLER J C and UTIDJIAN H M D Studies on the development of a vaginal preparation providing both prophy laxis against venereal disease other genital infections and con traception ik In vitro effect of vaginal contraceptive and selected vaginal preparations on Candida albicans and Tricho monas vaginalis Contraception 5 5 401 411 May 1972 147 SMARTT W H and LIGHTER A G The gonorrhea epi demic and its control Medical Aspects of Human Sexuality 5 96 115 January 1971 148 SMITH M VESSEY M P BOUNDS W and WARREN J C film as a contraceptive Letter to the Editor British Medical Journal 4 5939 291 November 2 1974 149 SNOWDEN R Social and personal factors involved in the use effectiveness of the IUD in Goldsmith A and Snowden R eds Proceedings of the Family Planning Research Conference Exeter England September 27 28 1971 Amsterdam Excerpta Medica 1972 international Congress Series No 260 p 74 81 150 SOBRERO A J Evaluation of a new coniraceptive Fertility and Sterility 11 5 518 524 1960 151 SOBRERO A J Personal communication October 6 1974 152 SOBRERO A J Vaginal chemical products In Calderone M S ed Manual of family planning and contraceptive practice 2nd ed Baltimore Williams a
57. ld In Epidemic venereal disease Proceedings of the Second Interna tional Venereal Disease Symposium St Louis April 1972 New York Pfizer Inc 1973 p 124 126 90 KLEINMAN R D ed International Planned Parenthood Federation Medical Handbook 2nd ed London International Planned Parenthood Federation 1964 106 p 91 KLEPPINGER R K A vaginal contraceptive foam Pennsyl vania Medical Journal 68 31 34 April 1965 92 KOPP M E Birth control in practice Analysis of ten thousand case histories of the Birth Control Clinical Research Bureau New York Robert M McBride amp Cmpany 1933 212 p 93 KRAUS S J Complications of gonococcal infection Medical Clinics of North America 56 5 1115 1125 1972 94 LAUG E P and KUNZE F M The absorption of phenyl mercuric acetate from the vaginal tract of the rat Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics 95 4 460 464 April 1949 95 LEE T Y UTIDJIAN H M D SINGH B CARPENTER U and CUTLER J C The potential impact of chemical prophylaxis on the incidence of gonorrhoea British Journal of Venereal Dis eases 48 5 376 380 October 1972 H 60 96 LEHFELDT H SOBRERO A J and INGLIS W Spermicidal effectiveness of chemical contraceptives used with a cervical cap American Journal of Obstetrics and Gynecology 82 2 446 448 August 1961 97 LEVIN L S Intercontinental Medical Statistics Personal communication April 3
58. lis l usine et destin s tre jet s apr s usage C est dans les derni res ann es 1950 que Joseph Sunnen industriel de St Louis et ardent partisan de la planification familiale a mis au point l Emko mousse contraceptive vagi nale contenant du nonoxynol 9 et du chlorur de benz tho nium dans une bombe sous pression Lanc e pour la pre mi re fois sur le march en 1961 elle fut suivie en 1963 par la mousse contraceptive Delfen produite par Ortho Phar maceuticals Les premi res mousses taient conditionn es en flacons de verre Comme la mousse ne pouvait pas tre introduite directement dans le vagin l emballage contenait un appli cateur unidose comparable celui dont on e servait pour les cr mes et les gel es L applicateur devait tre garni juste avant le coit car la mousse y perdait sa stabilit et devenait liquide au bout de quelques heures La plupart des mousses sont toujours appliqu es de cette mani re En 1970 Emko a lanc sur le march un applicateur uni dose que l utilisatrice peut remplir jusqu une semaine a Fo PTS PS SE DE pee 2 eae Et _ on ses ae ees Ph Et EE nee Gt H sluBoLges sap Jane sajjauuosied SUONEDIUNUU LUOD 16 s1inpoid ap S851jou 43 sallenbig SENIG 40 Neaing UONBNOSSY eI pa ueguauty f E 6L 80818184 ysag s uerolsAdd JOUNOS yueoliq
59. lly Human Fertility 9 3 73 76 September 1944 64 GODTS P Etude clinique sur un contraceptif vagina natr cellulos trisulfur Clinical study on a vaginal contraceptive Ars Medici 28 6 1055 1059 June 1973 65 GOLDSTEIN L Z Control of conception the use effectiveness of a new cream jel Obstetrics and Gynecology 10 2 138 139 August 1957 66 GOLDSTEIN L Z Jelly alone as a contraceptive in post partum cases Human Fertility 8 2 43 47 June 1943 67 GOLDSTEIN L Z A vaginal jelly alone as a contraceptive in postpartum patients Western Journal of Surgery Obstetrics and Gynecology 58 708 711 December 1950 68 GREEN S H The relative importance of governmental and commercial channels in the distribution of contraceptive supplies Staff Paper Washington World B nk Population amp Nutrition Projects Department August 1 1974 32 p 69 GREENBERG J H Venereal disease in the armed forces Medical Clinics of North America Series 56 5 1087 1100 1972 70 HARDY N R Personal communication September 24 1974 71 HARDY N R and KESTELMAN P Directory of Contracep tives London International Planned Parenthood Federation 1971 83 p 72 HARDY N R and WOOD C Vaginal contraception In Potts M and Wood C eds New concepts in contraception Baltimore University Park Press 1972 p 103 121 73 HARRIS W M Anew test of total spermicidal power Journal of Reproduc
60. moyens contraceptifs a peu insist sur les produits vaginaux dans sa liste d achats en gros en raison de la d cision r fl chie de donner dans ses programmes la prio rit aux moyens les plus efficaces C est ainsi qu entre les ann es fiscales 1971 et 1974 l USAID a distribu environ 1 million d unit s de 90 g ou l quivalent de mousses en a rosol dont peu pr s la moiti en 1974 voir tableau 6 Dans la m me p riode de quatre ans elle a fourni environ 400 000 tubes de gel e Jusqu 1974 les plus grosses exp ditions de mousse taient destin es l Afrique o ia p nurie de personnel m dical a pu freiner la diffusion des DIU et des contraceptifs oraux mais les envois de 1974 en Asie ont t multipli s par cent Le Bangladesh a recu pr s de 300 000 unit s pour son nau veau programme de planification familiale Le Pakistan qui a intensifi son programme a b n fici d environ 100 000 unit s Distribution dans le cadre des programmes La F d ration internationale pour le planning familial IPPF a recueilli des renseignements sur le choix de la mousse vaginale en a rosol des tablettes effervescentes des gel es et des cr mes par les patientes dans les dispensaires et autres tablissements des programmes de planning familial 78 Une tude s rieuse bas e sur des questionnaires d taill s provenant de 98 pays a r v l qu en 1971 65 pays ne signalent aucune nouvelle acceptante des m tho
61. mp Wilkins Company 1970 p 275 282 153 SPARLING P F Antibiotic resistance in Neisseria gonorrhea Medical Clinics of North America 56 5 1133 1144 154 SPARLING P F Penicillin In Epidemic venereal disease Proceedings of the Second International Venerea Disease Sym posium St Louis Missouri 1972 New York Pfizer Inc 1973 p 58 63 155 STROMME W B and ROTHNEM M S Clinical experience with a new gel alone method of contraception Annals of the New York Academy of Sciences 54 831 844 1952 156 STRYKER J M SPARBER S B and GOLDBERG A M Subtle consequences of methylmercury exposure behavioral deviations in offspring of treated mothers Science 177 621 623 August 18 1972 157 SWYER G I M Collection and evaluation of data on con traception International Journal of Fertility 13 4 366 372 October December 1968 158 THOMAS H H Vaginal contraception a necessity Pacific Medicine and Surgery 73 74 78 February 1965 159 TIETZE C The clinical effectiveness of contraceptive meth ods American Journal of Obstetrics and Gynecology 78 3 650 656 September 1959 160 TIETZE C and LEWIT S Comparison of three contraceptive methods diaphragm with jelly or cream vaginal foam and jeliy cream alone Journal of Sex Research 3 4 295 311 November 1967 161 TIETZE C Relative effectiveness In Calderone M S ed Manual of family planning and contraceptive practice 2
62. nd ed Baltimore Williams amp Wilkins Company 1970 p 268 274 162 TIETZE C PAL D N TAYLOR C E and GAMBLE C J A family planning service in rural Puerto Rico American Journal of Obstetrics and Gynecology 81 174 182 January 1961 163 TYLER E T Clinical test of the cream alone method In Best W and Jaffe F S eds Simple methods of contraception New York Planned Parenthood Federation of America 1958 p 23 26 164 TYLER E T Current developments in systemic contracep tion Pacific Medicine and Surgery 73 79 85 February 1965 H 61 LAT iY tee a 165 TYLER E T Vaginal chemical methods in Calderone M S ed Manual of family planning and contraceptive practice 2nd ed Baltimore Williams amp Wilkins Company 1970 p 428 432 166 U S DEPARTMENT OF HEALTH EDUCATION AND WEL FARE CENTER FOR DISEASE CONTROL IUD safety report of a nationwide physician survey Morbidity and Mortality 23 26 1 2 July 5 1974 167 U S FOOD AND DRUG ADMINISTRATION Over the counter contraceptives and other vaginal drug products Federal Register 38 94 12840 12842 May 16 1974 168 U S FOOD AND DRUG ADMINISTRATION Procedures for classification of over the counter drugs Federal Register 37 92 9464 9475 May 11 1972 169 U S FOOD AND DRUG ADMINISTRATION Summ
63. oi circonstanci et sont pr venues contre un usage inconsid r apporte un sou Tableau 3 Comparaison de l efficacit contraceptive de divers produits par la m thode de cotation par points ns Produit 42r szeme g me Total contraceptif insemi insemi insemi des du commerce nation nation nation points Cr me Delfen 180 180 148 508 Mousse Emko 180 480 130 490 Gel Lanesta 170 180 130 480 Cr me Lactikol 176 144 100 420 Gel e Lactikol 168 162 61 391 Tablettes Durafoam 159 72 3 234 Ovules Lorophyn 164 56 2 222 Maximum des points attribuables 180 180 180 540 Un point est attribu pour chaque chantillon vaginal dans lequel tous les spermatozo des sont immobilis s six chantil lons ont t pr lev s sur chacun de 30 sujets apr s chaque ins mination SOURCE Johnson et Masters 87 Tableau 4 Efficacit de contraceptifs chimiques vaginaux d apr s un choix d tudes importantes publi es depuis 1960 Taux d chec grossesses pour 100 e ann es femme Ir Dur e in Nombre Mois moyenne Nombre Echec i 4 ce Marque de la Lieu de Caract ristiques de la 8 y F 5 j k Auteur et date r f n n A MAP RENE de femme jd emploi de imputable R pr paration l tude population tudi e k Echec z femmesid emploi en grossesses bi la 4 mois imputa e m thode n la et i m thode in satrice
64. ompris les contraceptifs et autres produits vaginaux n exigeant pas d ordonnance 168 Bien que cette commission ne soit pas parvenue des conclusions d finitives l USFDA a fix les normes suivantes pour d terminer si une cat gorie de drogues dont la vente est autoris e sans ordonnance peut tre g n ralement consid r e comme sans danger et effi cace 167 i Innocuit signifie faible incidence de r actions nuisibles gu d effets secondaires marqu s parmi les personnes qui dis posent d un mode d emploi circonstanci et sont pr venues contre un usage inconsid r mais aussi faible risque de dan ger par suite d abus dans des conditions de large accessibilit La preuve d innocuit doit tre apport e par des essais appro pri s selon d s m thodes raisonnablement acceptables pour d montrer que l drogue est sans danger dans les conditions d emploi prescrites recommand es ou sugg r es Cette preuve doit comprendre les r sultats d une exp rimentation humaine significative au stade de la commercialisation La reconnaissance g n rale d innocuit sera d habitude fond e sur des travaux publi s ventuellement corrobores par des tudes et autres donn es in dites tii Efficacit signifie qu on peut raisonnablement s attendre dens une proportion significative de la population vis e ace gue l effet pharmacologique de la drogue utilis e par des personnes qui disposent d un mode d empl
65. on d effets nocifs qu auraient eu sur l organisme humain l ac tate ph nyl mercurique PMA ou certaines substances employ es dans des contraceptifs vaginaux nombreuses sont les donn es qui prouvent la toxicit et le pouvoir t ratog ne d autres compos s du mercure tel le m thylmercure 110 118 156 176 En outre une tude japonaise au moins a d montr que la fr quence des ano malies foetales chez la souris albinos tait entre trois et cinq fois plus lev e que dans les groupes t moins au cas o un H 48 fragment de tablette contraceptive contenant du PMA tait introduit dans le vagin le septi me jour de la gestation En dehors de ces anomalies foetales qui touchent principale ment le syst me nerveux central on a observ des alt ra tions pathologiques faisant penser un empoisonnement aigu par le mercure dans le foie et les reins des m res 113 C est pour supprimer enti rement ce danger et aussi pour viter la n cessit d essais extensifs prouvant l innocuit de leurs produits qu un certain nombre de fabricants ont sub stitu des agents surfactifs aux compos s organom talliques qu ils employaient au d part Aux Etats Unis ja Food and Drug Administration US FDA a nomm une commission consultative pr sid e par le Dr Elizabeth Connell pour contr ler l innocuit l effica cit et l tiquetage des produits pharmaceutiques usage humain autoris s sans prescription m dicale y c
66. onsables du planning familial n ont gu re insist sur l emploi des contraceptifs vaginaux le niveau actuel de la demande pour ces produits bien que n tant pas lev refl te vraisemblablement la pr f rence inalt rable de certaines personnes et de quelques centres de consultations du planning familial La tendance d s r spon sables A favoriser la distribution par des voies autres que les dispensaires c est dire par les sages femmes le commerce de d tail les bazars les marchands ambulants et similaires malgr qu il ait t jusqu ici concentr surtout sur les pr servatifs et les pilules paurrait un jour contribuer r pandre la pratique des m thodes de contraception vaginales appliqu es par la femme elle m me f sail Si certaines recherches en cours aboutissent a des r sultats positifs il pourrait se r v ler que les contraceptifs vaginaux offrent un avantage suppl mentaire en tant qu agents pro phylactiques des maladies v n riennes Des travaux actuel lement men s par les docteurs Cutler Singh et leurs colla borateurs l University of Pittsburgh sont ax s sur la d couverte de pr parations vaginales poss dant la fois des propri t s contraceptives et prophylactiques 13 17 30 31 32 33 34 95 143 144 145 146 Les premiers essais jn vitro visaient comparer les effets de vingt produits actuellement employ s sur l gonocoque la blennorragie et le tr pon me pale s
67. ouvoir spermicide et une liste de produits qui ont subi victorieuse ment cette preuve Le R pertoire des contracep tifs de l IPPF 1971 est galement disponible Se mettre en rapport avec The Medical Department International Planned Parenthood Federation 18 20 Lower Regent Street London SW1Y 4PW United Kingdom I l H FT TTT aT TTT eT TO A MMM RS Etes or RUE ue Planning Association a rejet le C film apr s un essai au cours duquel neuf grossesses taient survenues parmi 45 femmes en 175 cycles ce qui correspond un taux de grossesses de 62 pour 100 ann es femme Ce chiffre est de l ordre de celui auquel on peut s attendre parmi les femmes qui ne pratiquent pas la contraception De l avis de ces patientes le film dissolution rapide avait tendance ad h rer aux doigts ce qui rendait difficile sa mise en place 1 148 On sait depuis longtemps qu il existe une relation entre l efficacit pratique et l exp rience de la m thode ainsi que le niveau des connaissances que poss de le couple au sujet de la conception Une r cente tude men e aux Etats Unis par le Pr Norman Ryder de Princeton sur la base de r sul tats d enqu te a jet une lumi re nouvelle sur les raisons de l chec des contraceptifs Quelle que soit la m thode qu elles ont adopt e les contraceptrices qu
68. portantes en Allemagne et dans certains autres pays Ventes dans les pays en d veloppement Plusieurs tudes sur la distribution des contraceptifs par le secteur commercial ont t conduites dans des pays en voie de d veloppement Dans le cadre d enqu tes portant sur neuf pays le Westinghouse Population Center a interrog des couples citadins f conds jouissant d un certain revenu En Turquie au Pakistan et Panama les utilisateurs de mousses cr mes ou autres produits entraient pour une pro portion de 4 dans l ensemble des couples interview s A la Jama que le chiffre tait de 2 l exception du Paki stan tous ces couples se fournissaient par des voies com merciales En Iran en Cor e aux Philippines en Tha lande et au Venezuela les produits vaginaux taient rarement em ploy s 172 173 D apr s les r sultats d une enqu te quelque peu similaire de Arthur D Little Inc 5 les contraceptifs vaginaux repr sentent un volume mineur de l ensemble des contraceptifs vendus par les r seaux commerciaux en Colombie en tran et aux Philippines Les raisons de ce faible volume selon les conclusions de l enqu te sont l absence de demande de la part des consommateurs les restrictions qui frappent les r seaux de distribution des produits pharmaceutiques et le manque de produits disponibles Les auteurs ne pensent pas que des laboratoires pharmaceutiques soient susceptibles d intensifier leurs
69. que essai SOURCE Singh Cutler et Utidjian 145 tions vaginales les plus efficaces n tait donc pas ax e direc tement sur le march de la consommation mais indirecte ment par l entremise de la profession m dicale une poque plus r cente plusieurs fabricants constatant le recul du diaphragme devant d autres m thodes et pro fitant de la plus grande tol rance l gard de la publicit directe et de l talage en pharmacie de contraceptifs vendus sans ordonnance due la vulgarisation des d bats sur la planification familiale ont entrepris des campagnes plus vi goureuses de promotion et de distribution des contraceptifs vaginaux Aux Etats Unis par exemple Emko Company qui ne produit pas d autres contraceptifs que la mousse a intensifi la publicit dirig e vers le public et elle alimente maintenant 40 du march priv des mousses Par contre Ortho Pharmaceutical Corporation qui fabrique et dis tribue des contraceptifs vaginaux et oraux de tous genres ainsi que de nombreux autres articles m dicaux s est con centr e principalement sur la promotion de ses produits aupr s des m decins Au cours de 1973 Ortho a produit quelque 55 des pr parations moussantes vendues aux Etats Unis ainsi que pr s de 80 des gel es et cr mes 80 On a vu appara tre au cours de ces derni res ann es des annonces publicitaires pour les contraceptifs vaginaux no tamment les mousses en a rosoi et les cr m
70. rnational Health Foundation 1971 53 p 82 INTERNATIONAL PLANNED PARENTHOOD FEDERATION Report to donors programme development and financial state ments 1970 72 London International Planned Parenthood Federation September 1971 557 p 83 INTERNATIONAL PLANNED PARENTHOOD FEDERATION Report to donors programme development and financial state ments 1972 74 London International Planned Parenthood Federation September 1973 501 p 84 INTERNATIONAL PLANNED PARENTHOOD FEDERATION Report to donors programme development and financial state ments 1973 75 London International Planned Parenthood Federation October 1974 679 p 85 ISHIHAMA A and INOUE T Clinical field test of a new con traceptive vaginal foam tablet Contraception 6 5 401 410 November 1972 86 JOHNSON V E MASTERS W H and LEWIS K C The phy siology of intravaginal contraceptive failure In Calderone M S ed Manual of family planning contraceptive practice 2nd ed Baltimore Williams and Wilkins Company 1970 pp 232 245 87 JOHNSON V E and MASTERS W H Intravaginal contra ceptive study Phase Il physiology a direct test for protective potential Western Journal of Surgery Obstetrics and Gynecology 71 144 153 May June 1963 88 KASABACH H Y Clinical evaluation of vaginal jelly alone in the management of fertility Clinical Medicine 69 894 897 April 1962 89 KIRALY K The venereal disease problem around the wor
71. s que ces derniers mais ils ne demandent pas le m me degr de coop ration masculine et ils n ont pas le d faut parfois reproch au pr servatif de diminuer la sensibilit du p nis Le R pertoire des contraceptifs dit par la F d ration in ternationale pour le planning familial IPPF 71 donne une liste des contraceptifs commercialis s dans le monde entier avec mention des noms de marque des fabricants et Tableau 6 Distributions de contraceptifs chimiques vaginaux financ es par I Agence pour le d veloppement international des Etats Unis par ann e fiscale et continent 1971 1974 Am rique latine Mousse 58 945 64 684 49 983 47 931 Gel e 27 580 72 232 90 120 41912 Asie Mousse 10 153 4 394 4664 406975 Gel e 10 092 34 368 35 976 42 120 Afrique Mousse 119 260 127 794 100 470 40 258 Gel e 14 580 14 076 11 988 8 496 TOTAL Mousse 188 358 196872 155117 495 164 Gel e 52252 120676 138 084 92 528 TEn outre 4 000 caisses de tablettes vaginales envoy es en Afrique en 1974 Mousses en nombre d unit s de 90 grammes ou quivalent gel es en nombre de tubes 2y compris les Antilies SOURCE Agence pour le d veloppement international des Etats Unis Commodity Reports System d cembre 1974 Tableau 7 Nouvelles acceptantes de produits vaginaux dans le cadre de 11 programmes de gouvernements et ou d
72. sciplines ils portent sur des questions telles que les programmes de planning familial la technologie de la contraception le droit et les politiques en mati re de population les prostaglandines l valuation des programmes l arr t de la grossesse ducation de la population et les com munications ils contiennent galement quelques citations et donn es des recensements Une recherche par POPINFORM concernant l un quelconque de ces sujets donne une bibliographie et des comptes rendus analytiques Si je lecteur d sire des textes complets POPINFORM en procure des exemplaires lorsque la chose est faisable Une demande adress e POPINFORM doit comprendre une description du ou des sujets pour lesquels la litt rature doit faire l objet d une recherche elle doit indiquer le cas ch ant les zones g ographiques auxquelles la recherche devrait se limiter la p riode couvrir et tout autre d tail pertinent susceptible d aider r aliser une recherche aussi compl te que possible Pour organiser la recherche il serait utile d indiquer quoi la documentation doit servir par exemple aide pratique pour r soudre un probl me se tenir au courant des faits les plus r cents Les services du POPINFORM sont mis gratuitement la disposition de personnes ou organisations des pays en d veloppement Envoyez les demandes Helen K Kolbe Project Director Population Information Program 2001 S Street N W Washington
73. sieurs de ces ingr dients soient associ s dans un m me produit voir tableau 1 Les agents surfactifs se fixent semble t il aux spermato zoides produisant une inhibition de l absorption d oxyg ne et de la fructolyse scission du sucre fructose ls agissent principalement en d truisant la paroi des spermatozo des 15 L explication la plus simple est comme l noncent Hardy et Wood qu ils abaissent la tension superficielle la surface des cellules et en cons quence tuent indirecte ment les spermatozo des par d s quilibre osmotique 72 Parmi les agents surfactifs employ s le plus couramment se rangent le nonylph noxy poly thoxy thanol nonoxy nol 9 le p diisobutyl ph noxy poly thoxy thanol le m thoxy polyoxy thyl ne glycol 550 laurate et l ther de p m thanylph nyl polyoxy thyl ne 8 8 TS 88 voir ta bleau 1 Les agents bact ricides que l on emploie le plus souvent comme spermicides sont l ac tate ph nyl mercurique Tableau 2 Caract ristiques principales de divers types de contraceptifs chimiques vaginaux fr quemment eo employ s aie emplo Poly thyl ne glycol ooo G latine Gomme oo adragante Ac tate ph aae ee curique me St arates he ls lt Je Acide st arique E oe Glyc rine se Beurre de Cacao honoron lt raffin F Ether depo St arines hy
74. sion for Asia and the Far East Bangkok Thailand June 11 21 1968 31 p 178 WOLF L OLSON H J and TYLER E T Observations on the clinical use of cream alone and gel alone methods of contra ception Obstetrics and Gynecology 10 3 316 321 September 1957 179 WULFF G and JONAS H S Conception control a clinical evaluation of the Preceptin Gel method American Journal of Obstetrics and Gynecology 72 3 549 556 September 1956 180 ZUSPAN F P BIBBO M GARDNER H L HESSELTINE H C KEETTEL W C LANG W R and WEID G L Management of patients with vaginal infections an invitational symposium Journal of Reproductive Medicine 9 1 1 16 July 1972 Nom Rue N Ville Zone H 62 Mettre ici l ancienne tiquette ou crire l ancienne adresse b POPINFORM Service d information sur ordinateur POPINFORM Population Information service d information sur ordinateur fournit dans une optique inter nationale des donn es publi es et in dites de derni re heure concernant la technologie de la contraception les programmes et services de planning familial et la population Organis dans la zone m tropolitaine de Washington D C ce service est la disposition des personnes qui s int ressent aux questions de population il est pr cieux en particulier pour ceux que leurs travaux appellent loin des grands centres urba
75. sivement sous la surveillance d un praticien autoris l galement dispenser de telles drogues L valuation de l efficacit de pr parations spermicides est une d marche complexe et parfois sujette controverse Elle d bute au laboratoire et se poursuit par des recherches sut l animal des tudes cliniques et m me statistiques pour mesurer l efficacit des produits vaginaux dans les condi tions r elles d emploi en comparaison d autres contracep tifs M me alors tout le monde n est pas d accord sur la meilleure mani re d valuer les m thodes li es au co t ce qui s explique par le fait que la responsabilit de l chec est plus souvent imputable l usager qu au produit lui m me Au premier stade de l exp rimentation le fabricant proc de d habitude des essais in vitro portant sur le pouvoir sper micide la toxicit les r actions locales et les ventuelles propri t s carcinog nes Ils sont suivis d essais comparables sur des animaux ordinairement des lapines dont le vagin pr sente pour ce qui est de sa sensibilit aux spermicides H 50 une analogie plus grande que celui d autres animaux de laboratoire avec le vagin humain 46 152 Apr s avoir associ le spermicide et son excipient le fabricant entre prend d autres preuves afin de mesurer le temps n cessaire pour la dissolution la formation de la mousse et la disper sion du produit Ce n est qu alors qu il se livre aux essais
76. st incorpor se liqu fient la temp rature du corps et se dispersent rapidement en entrant en contact avec les s cr tions vaginales Quatre cing grammes de gel e ou de p te sont expuls s par pression du tube dans un applicateur sp cial qui sert introduire le produit dans le vagin Les cr mes par contre sont base de graisses insolubles dans l eau notamment de st arates ou de glyc rine qui H 46 sont combin es sous forme d mulsion avec le spermicide dissous dans la partie aqueuse 72 Ces pr parations ont tendance rester l o elles ont t inject es dans le vagin et elles ne se dispersent pas ult rieurement II est donc im portant que l applicateur soit plac en position correcte Les cr mes offrent une protection deux trois minutes apr s l application De m me que les gel es elles sont con ditionn es en tubes et n cessitent des applicateurs sp ciaux Les ovules parfois appel s pessaires ou suppositoires vagi naux sont pr par s base de g latines hydrosolubles ou base de cires non solubles dans l eau Ils sont destin s se dissoudre la temp rature corporelle en lib rant des agents actifs qui rev tent le col et le vagin pour peu que l ovule ait t introduit assez haut Pour qu ils soient pleinement effi caces la plupart des ovules doivent tre mis en piace quel que 15 minutes avant le rapport sexuel L activit spermi cide dure alors entre 20 minutes e
77. t une heure environ Un emballage sp cial est n cessaire pour viter leur alt ration par la chaleur et l humidit Les produits moussants se pr sentent sous la forme de tablettes ou sont contenus dans des bombes sous pression Les tablettes moussantes sont ordinairement compos es d acide tartrique et de bicarbonate de sodium avec un exci pient en poudre dans lequel est incorpor le spermicide En pr sence des s cr tions vaginales elles lib rent du gaz car bonique qui produit la mousse Ce processus demande trois a dix minutes selon le produit Certains fabricants conseil lent d humecter la tablette avec un peu de salive ou d eau avant de l ins rer de mani re acc l rer l effet moussant En se r pandant sur une large surface du vagin la mousse qui v hicule le spermicide produit une quantit de chaleur perceptible Ces produits ne n cessitent pas d applicateur sp cial mais ils exigent un emballage de protection contre l humidit Les produits moussants sous pression couramment appel s mousses en a rosol se composent d une mulsion ol o aqueuse contenue sous pression dans une bombe En s chappant le gaz liqu fi produit la mousse Selon le type du r cipient la mousse est d charg e dans un applicateur ou dans les mod les plus r cents projet e directement dans le vagin o elle se r pand largement et assure une protection imm diate Certaines mousses peuvent tre introduites jus qu un
78. taient pas autoris s par la loi 9 environ des femmes mari es en ge de procr a tion se servaient de gel es et de tablettes moussantes 123 Partout ailleurs la pratique de la contraception vaginale au cours de ces derni res ann es n a probablement pas d pass 5 10 de la population en ge de procr er Une enqu te r trospective men e Melbourne Australie et portant sur des femmes de moins de 60 ans mari es une seule fois et vivant avec leur mari a montr que l emploi des spermi cides en tant que m thode principale de ma trise de la f condit est tomb de 20 au cours des ann es 1930 et 1940 2 ou 3 peu avant 1970 A partir de 1965 plus de 30 de ces habitantes de Melbourne ont eu recours aux contraceptifs oraux 22 En Europe une enqu te de 1971 sur les comportements et pratiques l gard de la planifica tion familiale a indiqu que 1 seulement des femmes mari es en Grande Bretagne pratiquaient alors les m thodes chimiques vaginales et encore moins en Italie en Belgique en France et en Allemagne de l Ouest 81 5 de Britan niques environ associaient les spermicides aux diaphragmes et aux pr servatifs masculins 18 Promotion et vente Avant les ann es 1960 les principaux fabricants am ricains concentraient tous leurs efforts de vente persuader les m decins de conseiller aux femmes l emploi de contracep tifs vaginaux en association avec les diaphragmes qu ils leur appren
79. td undated p 27 37 117 NAGANO M Results of vaginal cytodiagnosis on long term users of a contraceptive tablet containing a surface active agent p methanylphen polyoxyethylene 8 8 ether TS 88 as an active ingredient In Neo Sampoon Loop Tablets Tokyo Eisai Com pany Ltd undated p 41 46 118 NELSON N BYERLY T C KOLBYE A C Jr KURLAND L T SHAPIRO R E SHIBKO S l STICKEL W H THOMP SON J E Van Den BERG L A and WEISSLER A Hazards of mercury Special report to the Secretary s Pesticide Advisory Committee US Department of Health Education and Welfare November 1970 Environmental Research 4 1 1 69 1971 119 O BRIEN J E and THOMS R K The in vitro effect of sodium lauryl sulfate on vaginal pathogens Journal of Pharma ceutical Sciences 44 4 245 247 April 1955 120 OHNEDA F Eisai Company Personal communication September 10 1974 121 OHNEDA F Eisai Company Personal communication November 15 1974 122 OHTANI Y and KAWAGOE T A study of the contraceptive effect and side effects of a surface active agent E 136 Clinical Obstetrics and Gynecology 22 8 Reprinted in Neo Sampoon Loop Tablets Tokyo Eisai Company Ltd undated p 61 71 123 OKAZAKI Y Family planning In Mainichi Newspapers ed Family planning in Japan Opinion survey by the Mainichi Newspapers Tokyo Japanese Organization for International Cooperation in Family Planning 1970 p 97
80. tion and Fertility 3 105 115 1962 74 HARTMAN C G Annotated list of published reports on clini cal trials with contraceptives Fertility and Sterility 10 2 177 188 March April 1959 H 59 i i FT STS SSS Sa ae dei tne eae sn 75 HERBRAND W and ROCKL W Uber eine neue kontrazep tionelle Methode auf biologischer Grundlage Discussion about a modern contraceptive on biologica basis Deutsche Medizinische Wochenschrift 78 25 907 911 June 19 1953 English trans lation 76 HIMES N E Medical history of contraception Baltimore Williams and Witkins Company 1963 521 p 77 HOLZAEPFEL J H GREENLEE R W WYANT R E and ELLIS W C Jr Screening of organic compounds for spermicidal activity Fertility and Sterility 10 3 272 284 1959 78 HUBER S C World survey of family planning services and practice In Unmet needs in family planning London Interna tlonal Planned Parenthood Federation 1973 39 p 79 HUFF J E and HERNANDEZ L O t c contraceptives Journal of the American Pharmaceutical Association 14 3 122 130 March 1974 80 INTERCONTINENTAL MEDICAL STATISTICS IMS March 1973 1974 data 2 p Unpublished 81 INTERNATIONAL HEALTH FOUNDATION Family planning a study of the attitudes knowledge and practice of women in Italy Belgium France Great Britain and West Germany Geneva Inte
81. uivalant un demi cent pi ce environ 120 Les prix en gros pay s par les organisations d aide interna tionale sont videmment moins lev s que les prix de d tail mais on assiste de toute fa on une augmentation du co t des contraceptifs vaginaux de m me que pour les pr serva tifs Au cours de l ann e fiscale l US Agency for Interna tional Development USAID payait 0 95 dollar la bombe applicateur Emko de 90 grammes En 1974 le prix est x pass 1 10 dollar Comme il faut 1 2 g pour assurer la protection le co t par application est de l ordre de 1 cent et demi Le prix factur USAID pour 50 g de mousse Delfen avec applicateur s l ve 1 30 dollar A raison d un peu moins de 1g pour assurer la protection le co t ap proximatif par application est de 2 cents L UNICEF a achet r cemment des tablettes moussantes Neo Sampoon Loop 0 65 dollar environ les vingt tablettes ce qui donne un co t de 3 cents environ par application 121 Ces prix sont confronter avec les tarifs consentis actuellement a USAID pour des achats en grande quantit de 3 cents environ par pr servatif 114 et de quelque 0 13 dollar pour une provision mensuelle de contraceptifs oraux 38 Exp ditions de USAID A l heure actuelle la distribution de contraceptifs vaginaux par le canal de programmes de planning familial n est gu re importante L USAID qui est la principale source de distri bution gratuite de
82. ur plusieurs raisons les mesures d hygi ne publique ont eu un succ s limit dans la lutte contre la propagation des mala dies v n riennes 147 175 la gonorrh e devient plus r sis tante la p nicillinoth rapie 101 147 153 154 certes 1 ANONYMOUS C film a new spermicidal contraceptive Drug and Therapeutics Bulletin 12 22 87 88 October 25 1974 2 AMERICAN MEDICAL ASSOCIATION COMMITTEE ON HUMAN REPRODUCTION The control of fertility Journal of the American Medica Association 194 4 230 238 October 25 1965 3 AMERICAN SOCIAL HEALTH ASSOCIATION Today s VD control problem 1973 New York American Social Health Asso ciation 1973 62 p 4 AMERICAN SOCIAL HEALTH ASSOCIATION Today s VD control problem 1974 New York American Social Health Asso ciation 1974 72 p 5 ARTHUR D LITTLE INC Commercial distribution of contracep tives in Colombia Iran and the Philippines Reports on Popu lation Family Planning No 11 March 1972 24 p 6 BAILEY J and ZAMBRANO M C de Contraceptive pamph lets in Colombian drugstores Studies in Family Planning 5 6 178 182 June 1974 7 BAKER J R The chemical contro of conception London Chapman amp Hall 1935 151 p 8 BAKER J R The spermicidal powers of chemical contracep tives ill pessaries Journal of Hygiene 31 309 320 1931 9 BAKER S A Personal communication July 19 1974 10 BARLINN A J and HAGBARD L Vaginalskum
83. yphilis L analyse tait bas e sur le temps n cessaire pour tuer les microorganismes responsables des maladies v n riennes et sur la concentra tion minimale efficace Les preuves de dur e d exposition pendant 1 5 et 10 minutes ont d montr la capacit de trois contraceptifs la cr me Cooper la cr me Ortho et le gel Preceptin dilu s 1 d inhiber le d veloppement des gonocoques de la blen norragie Huit des contraceptifs ont t efficaces une con centration de 10 A l occasion d une preuve de dilution sur lame la cr me Ortho et le gel Preceptin se sont r v l s efficaces une concentration de 1 et onze autres une concentration de 10 voir tableau 9 145 Les essais d efficacit de divers produits contraceptifs vagi naux contre la syphilis ont donn les r sultats suivants un concentr d Emko et la cr me Ortho la concentration de H 57 i iA Ti dee i M H 4 il a 1 immobilisent le tr pon me p le spiroch te responsable de la syphilis en l espace de 1 1 5 minute douze pr para tions ont t efficaces une concentration de 10 trois 20 et deux 50 voir tabieau 10 145 Les premiers r sultats de ces essais sont encourageants et d autres preuves jn vitro et in vivo sont pr vues Les pro gr s dans ce domaine sont particuli rement importants po
84. ys Am rique du Sud 2 pays Leg SOURCE Donn es en provenance des fabricants Donn es sur les tablettes de a R publique populaire fournies par Ohneda 120 H 52 ambivalentes au sujet de la pr vention d une grossesse Ii se pourrait donc qu inconsciemment elles choisissent et pra tiquent une m thode inconsid r ment avec en cons quence des taux de grossesses lev s Certes l efficacit des contraceptifs est tr s importante dans certaines circon stances mais il est des cas par exemple lorsque l avorte ment est facilement pratiqu o diff rents facteurs peuvent peser plus lourd dans le choix d un couple M me si elle est relativement inefficace une m thode ais ment disponible et praticable peut doubler ou tripler l intervalle entre les nais sances et de la sorte mieux r pondre aux besoins particu liers ou nationaux qu une technique sophistiqu e tr s effi cace mais exigeant la surveillance d un personnel m dical sp cialis 136 En outre pour les utilisatrices occasionnelles pour ies femmes qui ont besoin d une protection temporaire apr s s tre fait retirer un DIU ou apr s avoir oubli de prendre plusieurs pilules ou pour celles qui pr f rent ne pas em ployer les contraceptifs oraux ou les DIU les contraceptifs vaginaux et notamment les mousses offrent une solution raisonnable de remplacement comparable aux pr servatifs masculins ils ne sont pas aussi efficace

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