works - benjamin hochart
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1. Place 5 d tail Place 5 d tail Place 4 d tail Noise Drawing 2009 Encre de chine aquarelle crayon de couleur peinture en spray lessive de soude sur papier Arches S rie de 9 dessins 105 x 75 cm Vue de l exposition Figures et cavaliers Ecole d Arts du Beauvaisis Beauvais 2010 Noise Drawing 2 Section l Section II Section LVI 2010 Tige m tallique c ramique maill e colle S rie de 51 sculptures Hauteurs diverses 90 133 157 167 180 183 200 220 et 233 cm Avec Section 2010 c est enfin la ligne qui s chappe de la feuille pour s inscrire dans l espace physique de la galerie Si on est d sormais dans la tridimensionnalit de tiges m talliques appuy es contre les murs formant ainsi des triangles vides elle reste circonscrite la l g ret d une ligne Chacune porte en elle des ruptures avec les formes de c ramique color e la g om trie irr guli re qui y sont accroch es Con us comme un jeu et faisant intervenir le hasard ces d s en c ramique ont t model s puis jet s sur les tiges m talliques pos es au sol Je les ai ensuite color s avec des maux de c ramique une gamme pr cise de 12 couleurs d finie au pr alable m en badigeonnant les mains et y secouant les d s comme on secoue des d s avant de les lancer ou les envoyant dans des bacs d maux comme on envoie des d s sur un tapis provoquant ainsi des m langes color s al atoires2. de surcro t un geste particulier est assign par outil comme toute r gle qui se respecte il l enfreint au besoin La m thode dod caphonique qui ouvre l artiste un r pertoire infini de formes est toutefois une contrainte Le paradoxe veut que par l objectivation du processus et l abandon du choix de l outil la r gle cette contrainte lui permette d acqu rir une libert lib r de la s lection faire entre une panoplie de crayons feutres encres etc il focalise sur le geste et son imm diatet avec une spontan it qu il qualifie d automatique En outre les outils d terminent dans une certaine mesure le dessin Les traits seront plus ou moins fins si le stylo utilis a une pointe fine les aplats seront r alis s plut t avec des feutres pointe large avec toute la gamme des paisseurs entre Sans cesse renouvel es il ny a pas de limite aux combinaisons d outils de formes et de gestes Extrait du texte Le Dessin par le milieu de Johana Carrier in Benjamin Hochart ed Adera 2012 Vue de l exposition The Clearing International Triennale of Contemporary Art 2008 Narodni Galerie Prague Dod caphonies 1 Dod caphonies 2 Dod caphonies 3 2007 Technique mixtes sur papier kraft 110 x 180 cm Collection FRAC Limousin Collection priv e Singapour Collection priv e France R pertoires 2008 en cours Techniques mixtes sur papier papier imprim calque ou calque contrecoll
3. 350 x 20 x 20 cm environ Vue de l exposition Nouvelles Jardin galerie M amp T de la Ch tre Paris 2013 Les Fils En collaboration avec Marie Charlotte Chevalier charpe en laine Lamarche Ovize 2013 C ramique maill e corde charpe tricot e Dimensions variables Chaque sculpture 350 x 20 x 20 cm environ Vue de l exposition Andrew La Galerie Centre d art contemporain Noisy le Sec 2013 Souhaitant instaurer un rapport concret au travail de la c ramique et la mati re nous avons choisi de travailler partir du geste prenant pour point de d part les huit verbes correspondant aux huit actions dynamiques fondamentales d finies par Rudolf Laban dans son syst me d analyse du mouvement L mail a t pos comme s il surlignait soulignait ou isolait une partie du geste Reli s par groupes les c ramiques r sultant de ces gestes constituent un mouvement une forme de d placement lire dans l espace Les Fils s rie de 9 sculptures 1 Geste plein de vie et d enthousiasme pr c dent un geste d tirement accompagn d un calme d tachement 2 Mouvement agit se transformant en une position concentr e comme pour pr parer une violente attaque 3 Torsion soudaine comme dans un mouvement de fuite devant le danger conduisant un geste d attention circonspecte 4 Mouvement r solu pr parant un geste de d fi orgueilleux 5 Mouvement de recul brusque et tremblant comme lors
4. les uvres se d vorant presque comme cannibales The Drawer f vrier 2015 Dod caphonies 4 Dod caphonies 8 2013 Techniques mixtes sur papier maroufl sur bois et chassis encadr S rie de 5 dessins 102 x 144 cm Elle 12 Elle 12 2014 Rocailles 2013 c ramique maill e 2014 Passages traces de doigts 2012 c ramique Pastel et gesso sur support publicitaire cartonn corde et spray vert fluo au dos 40 x 24 x 0 5 cm Vue de l exposition Cannibale The Drawer Paris 2015 Hulk Berzingue 2015 2015 Peinture en spray fusain et pierre noire sur papier coll sur macule lithogaphique Bande dessin e d coup e coll e sur macule lithogaphique 66 x 50 cm 50 x 66 cm d r TI l 1 i L BER2 EM Gros Nez 2 Gros Nez 1 2015 2015 Peinture en spray sur papier et carton 48 x 36 cm Peinture en spray sur papier et bande dessin e d coup e 47 x 34 cm Elle 6 et Elle 8 Elle 1 2014 2015 Pastel et gesso sur page de magazine coll e sur papier S rie en cours 11 dessins 39 5 x 32 cm Collections priv es France T H LN G 2014 Lithographie 65 x 50 cm 30 ex v lin de Rives Chaque lithographie peut se voir dans les quatre sens Production URDLA Centre international estampe amp livre Villeurbanne La s rie d estampes T H I N G articule ma m thode Dod caphonique un certain nombre d outils de dessin crayons feutres encres spray plac s au
5. T Mi at Tanen og b phn ini ln Ta h FR Des aie QE SEE p a e prorat f RUE en LL ER Ts si esta Tue AA D My hs gba dutanue Fhe y miie den mia mi hepy CRT ET i k E mE p di i 7A PACA TT NREN ag Melia vaatia Kiate E ste en es Abl GFKP pan D aeia alia m Dapklips Paria nat SERA a ED mieu pheme EAE T i A pri aa nl i zi m L p i d in mei Ca Le 5 K iutostt Mranata Gimin e Au ity fa A7 0 Piia ESE Toni 39 EE TTES Hipi a El ki ah jan Chanel Men 3 0 reas SE un ne 7 VE f e Benjamin Hochart 1982 France 65 rue Henri Barbusse 93300 Aubervilliers 06 77 76 98 27 benjamin hochart gmail com Expositions personnelles 2015 2013 2012 2011 2010 2009 2008 2007 Paysage Super Homme La Borne Orl ans Zombies demain le Granit Belfort Cannibale The Drawer cabinet de dessin Paris Nouvelles Jardin galerie M amp T de la Ch tre Paris Paper drawing fair White Hotel Bruxelles Deuxi me main Toshiba House Besan ons Plus qu chanter galerie M amp T de la Ch tre Paris Figures et cavaliers Ecole d art du Beauvaisis Beauvais La perspective cavali re Im Blick der Herrenreiter Institut Fran ais Stuttgart La m canique des situations galerie O Marseille Tourner au carr fort du Bruissin Centre d art contemporain de Francheville Galeries Nomades de l Institut d Art Contemporain Villeurbanne
6. et ses gestes d un art du dessin noble et d braill la fois la bande dessin e Les comics cartoons illustr s mangas albums et fanzines ont t un bain de jouvence et de fraicheur pour des artistes comme Dubuffet Lichtenstein Err ou Falhstr m Cet univers leur a permis de repenser entre autres questions le lien entre le plaisir de faire et celui de voir Dans la premi re s rie des Dod caphonies grouillaient spirales et efflorescences volcaniques crevasses cumes nu es langues de feu clairs cristaux pluies tincelles radiations autant de ph nom nes m t orologiques thermiques organiques tous tr s dynamiques qui si on les imagine sous le crayon d un auteur de BD se doivent justement d tre r invent s visuellement pour raconter une histoire ou ponctuer une page Dans les nouvelles Dod caphonies feuillages plumes ailes spirales tentacules coraux alv oles doigts d chirures s infiltrent et apparaissent plus nettement dans des tons clairement acides tropicaux et radieux a riens et moins telluriques que jadis plus proches des Iles Marquises mais apr s des essais nucl aires ou serait ce m me pendant Ces amalgames compulsifs et hyper denses voque finalement plut t les artistes bruts comme Judith Scott Augustin Lesage ou Fleury Joseph Cr pin ou le bouillonnement de la musique psych d lique bruitiste tel Lightning Bolt et les illustrations de Brian Chippendale ou encore des ar
7. les ann es 50 il faudrait finalement regarder ailleurs l o les cat gories culturelles sous l impulsion de la mass culture am ricaine et ses courants dissidents ont commenc devenir tanches et floues lorsque les avant gardes ont rencontr la BD puis le punk Ce moment de contamination stylistique Benjamin Hochart a grandi dedans l image d une sculpture de Tetsumi Kudo semblable une fleur mutante et b tarde o le dessin de la BD s est mancip de la feuille et de l album o le trait vit dans l espace et en grand format tout en restant fid le son nergie et sa r serve imaginaire 1 Voir Le dessin par le milieu de Johanna Carrier dans Benjamin Hochart Editions Adera 2012 2 Voir l interview de l artiste par Joana Neves dans la revue Roven 3 2010 Vue de l exposition Nouvelles Jardin galerie M amp T de la Ch tre Paris 2013 Dod caphonies 5 2013 Rocailles 2013 Vue de l exposition Nouvelles Jardin galerie M amp T de la Ch tre Paris 2013 Rocailles 2013 C ramique maill e S rie de 3 sculptures 20 x 15 x 10 et 15 x 10 x 10 environ Collections priv es France SOL 2013 Peinture en spray sur photocopie maroufl e sur bois S rie de 7 dessins 84 x 118 cm Mouvement manifeste et enthousiaste comme dans l attente d une r action spontan e 2013 C ramique maill e corde S rie de 9 sculptures en collaboration avec Marie Charlotte Chevalier
8. morales et ouvrant la porte l alt rit la plus brute Le monstre est par excellence l tre de la fin n cessaire un possible renouveau C est l id e du monstrueux dans son ensemble qui fait actuellement l objet de mes recherches artistiques les formes et les figures qui l incarnent devenues inidentifiables corps d form ou abim blob brouillard ou ectoplasme ont d pass le seuil du nommable et du langage Pour les m mes raisons la circulation des ondes et des fluides est l un des motifs r currents de mon iconographie au m me titre que les t ches d chets ou monticules informes tous utilis s pour leurs capacit s susciter de multiples projections mentales Les dessins de la s rie en cours Elle r alis s sur des pages de magazines ou des supports publicitaires cartonn s vantant g n ralement un produit cosm tique sont les premi res uvres t moignant de ces questionnements r cents Isolant les cheveux ou les yeux recouvrant le reste d un pastel pais qui n est pas sans rappeler le maquillage je modifie ces images pour en faire des surfaces r fl chissantes qui chapperaient la promesse d un id al du bon go t Elle 14 d tail Au premier plan Elle 14 2015 2015 Pastels huile et gesso sur support publicitaire 160 x 74 cm recto verso Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Tr
9. pour ce medium par une jeune g n ration d artistes qui pose la question de la hi rarchie des genres et des valeurs conf r es une pratique dite artisanale dont fait partie l artiste Benjamin Hochart 1 Extrait de sa note d intention pour la demande d AIC 2014 Fabienne Bideaud Historienne de l art et commissaire d exposition Texte AIC DRAC Ile de France 2014 A a ariin m EAST Vue de l exposition Cannibale The Drawer Paris 2015 Dod caphonies 4 2013 Dod caphonies 8 2013 Vue de l exposition Cannibale The Drawer Paris 2015 Pr sentant un ensemble de dessins et de c ramiques r cents de Benjamin Hochart Cannibale est une exposition pleine de monstres Figure et notion au c ur du travail actuel de l artiste le monstre et le monstrueux s y retrouvent partout pour peu qu on y pr te suffisamment attention et qu on aille au del de sa facture abstraite et de son apparente harmonie Ses grands formats satur s de couleurs de traits et de mati res figurent des paysages post nucl aires Dod caphonies D flagrations et explosions chromatiques s y entrechoquent pour rebondir ailleurs et sous d autres formes et formats dans un recyclage et une transformation permanente Champignons atomiques Berzingue concr tions h riss es Rocailles femmes sans visage Elle chez Benjamin Hochart la m tamorphose est partout l uvre Les motifs se succ dent ricochent d une pi ce l autre
10. pousses grimpantes sortent du sol en m me temps que ces bouts de terre pleuvent du ciel Elles soulignent le rapport essentiel du travail dessin ou pas de Benjamin Hochart avec l espace et son rapport particulier au sol J aime imaginer cette situation cartoonesque de Benjamin Hochart quatre pattes sur les trottoirs de New York en train de frotter ses feuilles A4 au graphite pour en conserver l empreinte Je l imagine tout content de revenir le sac dos plein de ses trouvailles au ras des p querettes dont il va ensuite explorer la mati re le bruit visuel de la ville en agrandissant ces traces la photocopieuse jusqu au format AO pour la s rie des Sols 2012 2013 Son rapport la trame textile et urbaine lui permet de resserrer le lien entre le haut et le bas de raccommoder l cart qui se tend sans cesse entre le sol le sale la ville et ses souterrains culturels sa sous culture populaire son repli adolescent son mauvais go t et la culture dite haute celles des tableaux qui tiennent au mur L artiste utilise des proc dures de la BD de l dition comme celles des beaux arts le geste humble du remplissage et de coloriage une codification syst matis e mais capricieuse du papier mais tendu sur ch ssis de la c ramique qui flotte des photocopies magnifi es une organisation s rielle du travail autant que le fait main do it yourself toute une mythologie personnelle paradoxale S il faut donc chercher un lien avec
11. travail en c ramique ou des tapisseries L artiste est influenc par les arts populaires et s en approprie les techniques artisanales La tapisserie l int resse AW AR pour la position qu elle offre entre art et artisanat un engagement sensible historique et politique ris SS 9 mettant en jeu un savoir faire force de r sistance active face la d mat rialisation de tous les supports tt y qi 2 CAT me de son et d image i Ape Pa Sur la surface tapiss e merge la pr sence d images dites r f rentes entre abstraction et figuration ELU L f 5 X A DAA sde Benjamin Hochart souhaite pousser ce syst me son paroxysme en atteignant les limites de l association d images h t rog nes toujours dans sa qu te de d hi rarchisation des genres et des valeurs Il regarde les grands artistes de tapisseries fran ais Lucien Coutaud et Jean Lur at La tapisserie est un medium qui fut souvent assimil aux arts d coratifs et non consid res comme une uvre d art en tant que telle Elle a pourtant connu un statut privil gi au sein de la cr ation d uvres contemporaines dans les ann es 1970 o elle est devenue sculpture puisque pens e et con ue non plus dans la plan it mais en volume Le d but des ann es 1980 voit cette technique tomber en d su tude puisqu il semble impossible d emmener la tapisserie au del de la dimension sculpturale Nous assistons actuellement un regain d int r t
12. 4 sens et en diverses configurations Commande publique de la Cit Internationale de la Tapisserie et de l Art Tiss Aubusson 2010 2012 Synonymes 1 Synonymes 6 2011 Crayon graphite feutre gouache craie encre marqueur sur papier assembl en leporello sur table bois tr teau m tallique et plexiglas Dessin 24 x 32 cm S rie de 6 tables 1 table 75 x 256 x 50 cm 5 tables 75 x 390 x 30 cm Dessins r alis s avec les enfants de la classe de l Ulis du coll ge Cl ment de Dugny 93 dans le cadre du projet Art contemporain et handicap de L Orange Rouge 2011 Vu de l exposition Perplexe Maison de la vache qui rit Fondation Bel Lons le Saunier 2011 Les dessins de Benjamin Hochart ne sont ni abstraits ni figuratifs mais se situent dans un entre deux de ces notions Cela tient une m thode qui consiste assigner chaque outil de dessin un geste pr cis Les outils sont utilis s une fois puis repris successivement dans le m me ordre Cette m thode a t adapt e pour sa collaboration avec les adolescents auxquels il a propos un jeu de perte des rep res celui de dessiner l aveugle Les yeux band s chacun a t inform des gestes cor respondant aux outils propos s et s est appliqu l adapter aux mots que leur soufflait Benjamin Hochart Langage et dessin ont donc t soumis un jeu de correspondances m me si les mots ont t choisis en fonction de leur degr d abstract
13. Benjamin Hochart s lection 2007 2015 page de garde Zombies demain 2015 En collaboration avec Mathieu Mermillon S rigraphie sur papier 50 exemplaires 60 x 80 cm ci dessous Zombies demain M tro 2015 En collaboration avec Mathieu Mermillon S rigraphie sur affiches de m tro d chir es 148 x 194 cm Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Terrain vague 2015 Chaussures bois b ton graphite 80 x 40 x 30 cm Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Le festin Elle 12 2015 2014 Pastel sur papier et papier color coll s sur macule lithogaphique Pastel et gesso sur support publicitaire cartonn spray vert fluo au dos 41 5 x 41 5 cm 40x24x0 5cm Champignons 2015 Fusain pi t Figure du monstre f vrier 2015 a US meia Qu il soit un corps malade d g n r ou adapt le monstrueux issu du choc apocalyptique se pr sente souvent comme le symbole de ce qui est combattre et plus rarement de ce qui a surv cu Qu il occupe la fonction de possible projection symbolique comme chez Jim Shaw Mike Kelley et Tony Oursler ou qu il permette de signifier l exp rience de l horreur chez Tetsumi Kudo ou Paul Thek le monstrueux peut aussi se comprendre comme une nouvelle figure du anti h ros alternative la puissance du bien portant et du bon go t d truisant sur son passage les valeurs
14. Extrait du texte Le Dessin par le milieu de Johana Carrier in Benjamin Hochart ed Adera 2012 Cavalier 2009 2010 Graphite crayon de couleur stylo feutre gouache pastel fusain encre marqueur peinture en spray sur calque et sur mur Dimensions variables diverses formes d installation Calque pli en 2 146 x 208 x 40 cm Cavalier 3 Vue de l exposition Seven Day Weekend Ecole sup rieure des beaux arts de Paris 2010 Cavalier 4 Vue de l exposition Salon du dessin contemporain Carrousel du Louvre Paris 2010 Les Histoires 2009 Graphite stylo feutre gouache craie graphite fusain encre marqueur peinture en spray sur calques superpos s peinture en spray sur verre et peinture en spray sur mur Dimensions variables ici 140 x 390 3 cadres 24 x 32 cm 49 x 43 cm 44 x 44 cm Vue de l exposition La perspective cavali re Im Blick der Herrenreiter Institut Fran ais Stuttgart 2009 Le mode d apparition des dessins de Benjamin Hochartestli un processus qu il nomme dod caphonique selon la musique mise au point par Arnold Sch nberg et dont le syst me de composition est bas sur les douze sons de la gamme chromatique plut t que sur l ordre tonal qui doivent se succ der sans se r p ter Benjamin Hochart choisit un certain nombre d outils de dessin pour lesquels il d cide d un ordre d utilisation chacun devant tre utilis une fois avant de pouvoir l tre nouveau
15. Fonds municipal d art contemporain Nantes Artoth que du Limousin Artoth que B M Lyon Mus e de la tapisserie Aubusson Cabinet du livre d artiste Rennes Centre internationale de po sie Marseille Biblioth que Nationale de France Paris Commande publique Stabile lyc e Joseph Fourier commande du Conseil R gional de Bourgogne Centre d art de l Yonne Auxerre Blink 0 Cit Internationale de la Tapisserie et de l Art Tiss Aubusson Bourses et Prix 2015 Aide au projet FNAGP Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques 2014 Aide individuelle la cr ation DRAC le de France 2012 Aide la r alisation et la diffusion Mairie de Paris D partement de l Art dans la Ville Paris 2010 Aide au projet Direction des Affaires Culturelles Paris 2009 Aide individuelle la cr ation DRAC le de France 2008 Bourse de recherche Direction des Affaires Culturelles D partement de l Art dans la Ville Paris 2006 Prix H l ne Linossier ville de Lyon R sidences 2015 Programme Institut Fran ais Spatiu Intact Fabrica de Pinsule Cluj Napoca Roumanie 2014 URDLA Centre international estampe amp livre Villeurbanne 2012 Chamalot Haute Corr ze 2011 Orange Rouge Saint Denis 2010 Ecole d art du Beauvaisis Beauvais 2009 art3 Valence Institut Fran ais Stuttgart Allemagne avec le programme La Seine LaSALLE College of the Arts Singapour 2008 Cit internationale des arts Paris avec le pro
16. La forme de loisirs Cit des arts Chamb ry Galeries Nomades de l Institut d Art Contemporain Villeurbanne Serviteur et tout et gal galerie du tableau Marseille Expositions collectives s lection 2015 2014 2013 2012 Mues cur Marion Daniel Oulan Bator Orl ans Collection en mouvement FRAC Limousin hors les murs Epingl s The Drawer cabinet de dessin Paris MAD 1 La Maison Rouge Paris Montrouge 60 ans cur St phane Corr ard Le Beffroi Montrouge Art amp Science Fiction Le grand atelier Ecole Sup rieure d Art de Clermont M tropole Clermont Ferrand La petite collection galerie White Project Paris Extraction URDLA Centre international estampe amp livre Villeurbanne La loutre et la poutre une fable sur le d coratif cur Mathieu Buard et Jo l Riff Moly Sabata Sablons Poetrymix cur Alexandre Rolla Centre d art mobile Besan on Collection Gilles Balmet ESAD Grenoble amp VOG Centre d art contemporain Fontaine Les choses The Drawer galerie du jour agn s b Paris Partitions Tactiles La Mire Lyon programme R sonance biennale de Lyon R v lations Grand Palais Paris Likely and more than evenly this is the left over method cur Marion Daniel Radiator Gallery New York La couleur du son 30 ans des FRAC collection FRAC Limousin hors les murs R sidents 2012 avec Sarah Tritz Chamalot r sidence d artiste Ondio Lignes cur Gilles Grand Ecole nationale s
17. amme de recherche cole nationale sup rieure des beaux arts Paris 2006 DNSEP cole nationale des beaux arts de Lyon Enseignement Workshop Jury Interventions publiques s lection Depuis 2010 Professeur l Ecole sup rieure d art et m dias de Caen Cherbourg 2015 2014 2013 2012 2010 2009 2008 Jury DNSEP Ecole sup rieure des beaux arts Nantes Jury DNAP Ecole Sup rieure d Art de Clermont M tropole Clermont Ferrand Jury blanc DNAP Institut Sup rieur des Beaux Arts Besan on Workshop Ecole sup rieure d art d Aix en Provence Workshop Experimental Drawing Class PARSONS School of Art and Design Paris Workshop amp conf rence Institut Sup rieur des Beaux Arts Besan on Workshop amp conf rence Ecole d art du Beauvaisis Beauvais Atelier coll ge Moli re Ivry sur Seine invitation Hors les murs Centre d art contemporain d Ivry le Cr dac Workshop amp conf rence LaSALLE School of the Arts Singapour Workshop amp conf rence National Institut of Design Ahmedabad Inde
18. d un heurt menant un arr t p trifi 6 Geste chaleureux d motion intense comme pour approcher de fa on bienveillante une personne ou une situation puis finissant de fa on d tendue Au mur droite Superman Superman Au mur dessous 11 dessins de la s rie Les personnages 2012 2013 Au sol L ombre 2013 Impression num rique maroufl e au mur 180 x 260 cm Vue de l exposition RE Institut sup rieur des beaux arts Besan on 2013 L ombre 2013 M tal fil de coton nuancier de l oeuvre Blink 0 75 x 650 x 75 cm Vue de l exposition RE Institut sup rieur des beaux arts Besan on 2013 SOL 600 2013 Photocopies colle bande toil e 35 x 2 x 28 cm Vue de l exposition The Left Over Method Radiator gallery New York 2013 Mobile 1 2012 Techniques mixtes sur papier bois dessin encadr Dimensions variables Vue de l exposition Les bruits du dehors Arts Le Havre biennale d art contemporain Le Havre 2012 Passages traces de doigts 2012 C ramique ch ne 130 x 40 x 40 cm 110 x 40 x 40 cm 120 x 40 x 40 cm SOL 2012 Photocopie AO 120 x 80 cm Vue de l exposition Deuxi me main Toshiba House Besan on 2012 Passages traces de doigts 2012 C ramique ch ne S rie de 3 sculptures 107 x 40 x 40 cm 110 x 40 x 40 cm 100 x 40 x 40 cm Vue de l exposition Deuxi me main Toshiba House Besan on 2012 NY Pieces 2012 Ramassant des m
19. duire consign e dans les R pertoires et richement comment e pour s arr ter devant le travail fini et en d ployer les effets On pourrait voir dans ses grandes compositions un retour du refoul pictural fran ais celui que la domination de l art am ricain depuis les ann es cinquante oblit r la nouvelle cole de Paris versant Wols Hartung ou Riopelle et ses descendants am ricains surtout Joan Mitchell Sam Francis ou Mark Tobey Cet art de l nergie gestuelle expressive et de la composition color e a t clips par la distance et le calcul Duchampien Mais cela serait trop simple on voit bien qu ici le remplissage et la saturation des surfaces sont minutieusement organis s telle une marqueterie ou une tapisserie D autres voies ont t ouvertes entre ces deux visions de l art trop caricaturales et dat es dans leur antagonisme On ne distingue maintenant plus si clairement l ironie biens ante qui pr f rerait penser plut t que de regarder l art en habit du dimanche dirons nous de cet autre art d braill ou en charentaise qui ne saurait m me parler Les stars du grunge savent d sormais porter le smoking On sait composer avec le bruit Les formes n es de la modernit se sont r pandues hors de l art dans la culture populaire commerciale ou folklorique que les artistes ont en retour int gr e D ailleurs Benjamin Hochart n est pas peintre un il attentif saura rapprocher son travail son trait
20. gramme La Seine National Institut of Design Ahmedabad Inde 2007 Scottish Sculpture Workshop Aberdeen cosse Ast rides ateliers d artistes Marseille Publications et catalogues personnels 2015 2012 2008 para tre Carnet 1 livre de dessin d P collection Sec au toucher Benjamin Hochart d ADERA texte de Johana Carrier amp texte de J Emil Sennewald Tourner au carr catalogue de l exposition Semaine n 10 d Analogues entretien avec Pascal Beausse Publications et catalogues collectifs s lection 2014 Vingt ans apr s d Ast rides 2013 The Drawer Vol 5 Les Choses Revue de dessin Drawing Now Kunst und Auktionen n 7 texte de J Emil Sennewald La belle revue In Extenso 2012 Arts Le Havre 2012 texte d Alain Berland amp texte de Jean Marc Th venet 2010 Roven n 3 mars 2010 revue critique sur le dessin contemporain Paris entretien avec Joana Neves 2009 Raum in den K nsten transversale n 3 d Wilhelm Fink Munich texte de J Emil Sennewald Salon de Montrouge 2009 texte de Vivian Rehberg 2008 Re Cherche d art3 Valence amp Institut fran ais de Stuttgart The Clearing International Triennale of Contemporary Art Prague texte de Pascal Beausse 2007 Les enfants du sabbat 8 d Le Creux de l enfer Thiers entretien avec Pascal Beausse 2006 Goods to Declare catalogue de l exposition d Bezalel 100 Terminal 1 Jerusalem Tel Aviv Isra l Formation 2007 La Seine progr
21. ion Des termes comme pluie vent ou volcan sont des d fis la repr sentation mais une aubaine pour un dessin qui se r invente Le spectateur peut lui aussi retracer les interpr tations qu il a g n r es Joana Neves 2011 Les dessins de la s rie Synonymes assembl s en leporello sur le mod le des codex m so am ricains et pr sent s sur de longues tables se montrent autant comme de grands paysages narratifs que comme des partitions de gestes conservant les traces d exp riences dessin es Lors de notre collaboration les enfants avaient les yeux band s et je donnais chacun un outil de dessin ainsi qu une instruction de choses repr senter relevant de la cat gorie g n rale telles que la pluie la poussi re la fum e J changeais ensuite les feuilles entre elles et distribuais aux enfants de nouveau outils et instructions La perspective cavali re Im Blick der Herrenreiter Un ensemble pour le th tre 3 paysages 2009 6 pages de dessins 21 x 60 cm d pli s impression offset sur calque et papier recycl Texte de J Emil Sennewald 250 exemplaires num rot s et sign s 21x 15cm Production Institut fran ais Stuttgart amp Art3 Valence DRAC le de France La Gr ve 2011 Techniques mixtes sur le dos des pages du livre La perspective cavali re Im Blick der Herrenreiter livre d artiste publi avec le soutien d art3 Valence et de l Institut Fran ais de S
22. nsforme l histoire et son personnage en panorama narratif Un dessin de la s rie Dod caphonies 2007 2013 color comme une toile impressionniste apr s des essais nucl aires pr sente une bouillie de signes et de formes m connaissables aux couleurs acides Cette image pourrait tre celle d une plong e au microscope dans un corps tranger ou un paysage de catastrophe atomique Au sol deux sculptures la mati re ind finie et boursoufl e voquent autant le rocher et la rocaille l ment d coratif du jardin pittoresque d un go t certain qu une monstrueuse bouillie organique extraterrestre chapp e du film The Thing de John Carpenter Entre forme et informe toutes les uvres de l exposition Paysage Super Homme sont la fois des images de paysages et des plans rapproch s sur un corps derri re les vitrines de La Borne elles forment ensemble un diorama horrifique d un possible avenir catastrophique que seul un pessimisme combatif pourrait d jouer Journal 1 2015 Photocopie N B assembl es 178 x 126 cm Benjamin Hochart La tapisserie populaire Les images sont la base et l inspiration du travail de Benjamin Hochart Provenant de magazines populaires d ouvrages de litt rature de manuels d histoire de l art d internet en couleurs ou en noir et blanc elles sont collect es archiv es assembl es mises en parall le De ces associations naissent des dessins des peintures des installations un
23. ntemporain d Ivry le Cr dac Ivry sur Seine Seven Day Weekend cur Clare Carolin Palais des Beaux Arts Ensba Paris 2009 Le monde de galerie M amp T de la Ch tre Paris 54 me Salon de Montrouge cur St phane Corr ard la Fabrique Montrouge Re make cur Charlotte Jones amp Jenny Richards 7 Barclay Terrace Edimbourg The LaLa cur Tony Brown PRAXIS Space gallery of LaSALLE Singapour 2008 X Y Z avec Sarah Tritz cur bureaudesvideos Georges Abstraction Surface Centre Pompidou Paris Re Cherche Kunststiftung Baden W rttemberg Stuttgart BOCK is a book drawing by numbers Lendroit galerie Rennes The Clearing cur Pascal Beausse International Triennale of Contemporary Art Narodni Galerie Prague Science et Fiction cur Marie C cile Burnichon amp L a Fluck La G n rale S vres 2007 Exposition de No l cur le Magasin Centre national d art contemporain Mus e de peinture Grenoble Les enfants du sabbat 8 le Creux de l enfer Centre d art contemporain Thiers 2006 De l art co te que co te RLBQ Marseille Goods to Declare cur Nahum Tevet amp Sandra Weil Bezalel 100 Terminal 1 Tel Aviv Sculptocratie cur Anita Molinero RLBQ amp galerie District Marseille Leurres sournoiseries ou autres strat gies galerie Eof Paris La Po sie nuit th tre des Ateliers Lyon Travaux en cours mus e d Art moderne Saint tienne Collections publiques FRAC Limousin FRAC Provence Alpes C te d Azur
24. orceaux de mat riaux et de d bris bois polystyr ne m tal b ton brique sur les Fanzine photocopies A3 trottoirs de New York je les ai ensuite plac s al atoirement sur la vitre d un photocopieur pour r aliser 7 pages assembl es al atoirement non agraf es des compositions g om triques rudimentaires et abstraites Tirage illimit e Les 7 feuilles recto verso qui composent NY Pieces ont t pli es dans les deux sens puis assembl es al atoirement Le fanzine n est pas reli chaque lecteur peut ainsi le manipuler et le reconfigurer en de Vue de l exposition Deuxi me main Toshiba House Besan on 2012 multiples variations Ces fanzines formes graphiques non lin aires d une po sie concr te pauvre et mat rialiste restent comme traces et souvenirs d une approche du paysage new yorkais que chacun peut revisiter NY Pieces Blink 7 2011 2012 Graphite crayon de couleur stylo feutre gouache aquarelle oil paint stick craie encre marqueur peinture en Fanzine photocopies A3 7 pages assembl es al atoirement non agraf es spray sur calque amp papiers de couleur S rie de 4 dessins Tirage illimit e 80 x 113 cm Collection priv e France Blink 0 Vue de la tomb e de m tier Manufacture Pinton Felletin 2012 2010 2012 A gauche tapisserie achev e Coton A droite et au centre tapisserie sans ourlets ni finitions 220 x 155 cm chaque Ensemble de 3 tapisseries accrochables dans les
25. pr alable dans un ordre d utilisation chacun devant tre utilis une fois avant de pouvoir l tre nouveau et le processus lithographique une pierre par couche de dessin et par couleur imprim e Cette s rie d uvres pr sente la superposition de 5 pierres lithographiques encr es chacune successivement en 5 couleurs Le r sultat produit une s rie de 5 lithogaphies montrant le m me dessin subissant 5 traitements chromatiques diff rents Ainsi par la couleur les m me lignes et les m me formes sont traduites diff remment et produisent la fois 5 dessins similaires et tout fait diff rents La s rie d estampes T H I N G une lettre par lithographie est aussi la premi re tentative d accumulation et de superposition d images dont l objectif serait de fabriquer une image que l on pourrait qualifier de monstrueuse Nouvelles Jardin Maxime Thieffine mars 2013 Pour sa deuxi me exposition la galerie M amp T de la Ch tre Nouvelles Jardin Benjamin Hochart prolonge la s rie des Dod caphonies inaugur e en 2007 et r active la m thode qui d termine leur production Pour rappel l artiste choisit un certain nombre d outils de dessin crayons feutres encres spray pour lesquels il d cide d un ordre d utilisation chacun devant tre utilis une fois avant de pouvoir l tre nouveau de surcro t un geste particulier est assign par outil Il est essentiel d aller au del de cette fa on de pro
26. re en r sonance avec un motif de Sonia Delaunay qui nous fait trangement penser au dessin d une face Une impression de fin du monde d un feu carnavalesque se d gage de cet espace souterrain o Les yeux de l enfer 2007 2015 nous observent n attendant plus que la danse extatique d une c r monie vaudou Pierre Soignon extrait du communiqu de presse de l exposition Zombies demain Les yeux de l enfer 2007 2015 Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 R sine guirlande lumineuse led corde 70 x 70 x 15 chaque Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Toxique 2015 Performance en collaboration avec Marie Charlotte Chevalier Dur e environ 20 minutes En proposant d exp rimenter au moyen d une partition orale un tat de corps autre celui de la figure du zombie et travers elle sa provenance ha tienne puis hollywoodienne la performance Toxique vise rejouer un rituel qui tiendrait la fois de l hypnose du vaudou de la farce et de la danse D hanchement rigidit et absence sont au programme d un simulacre qui pr tendrait nous faire passer du c t du monstrueux autour de l installation Carnaval 2015 Vue de l exposition Paysage Super Homme 2015 La Borne Bonneval avec Le POCTB Orl ans Superman 2015 impression num rique ajust e la taille de la surface totale des murs 220 x 634 cm Dod caphonies 6 2013 Techniques mix
27. sor Chutes 1 2009 2015 Bois m tal b ton graphite 35 x 47 x 65 cm Techniques mixtes sur papier encadr S rie de 3 dessins 150 x 95 cm Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Autoroute 2015 Chaussure b ton graphite 8 x 10 x 30 cm Au premier plan Survivor 2 2015 Oreillers pl tre r sine tabouret m tallique 94 x 60 x 60 cm Au deuxi me plan Feu 2015 vid o HD 2 29 en boucle Arri re plan Survivor 1 amp Survivor 3 2015 Zombies demain M tro 2015 Elle 13 Survivor 3 2015 2015 Pastels huile et gesso sur support publicitaire bois acrylique et vernis Oreillers pl tre r sine tabouret bois 112 x 150 cm 115 x 45 x 50 cm Plage Survivor 1 2015 2015 Chaussure b ton arm graphite Oreillers pl tre r sine color e 12 x 30 x 52 cm 33 x 50 x 60 cm Carnaval 2015 Bois mousse polyur thane peinture 2 vid os projections en boucle 220 x 160 x 160 cm Vue de l exposition Zombies demain Le Granit Belfort 2015 Un masque exag r ment agrandi comme une figure primitive la mati re ind finie et boursoufl e nous accueille crachant projetant au travers de ses orifices une lumi re monstrueuse Une sc ne hypnotique se joue dans le dos de ce totem o une fois de plus des formes interragissent entre elles un Rubik s Cube issu de la culture populaire rapprocher du modernisme et des exp riences picturales de l abstraction ent
28. sur carton Dimensions diverses 23 x 17 cm 21 x 14 7 cm 31 x 23 cm 21 x 29 7 cm Collections priv es France Le mode d apparition des dessins de Benjamin Hochart estli un processus qu il nomme dod caphonique L selon la musique mise au point par Arnold Sch nberg et dont le syst me de composition est bas sur les douze sons de la gamme chromatique plut t que sur l ordre tonal qui doivent se succ der sans se E ER E r p ter Benjamin Hochart choisit un certain nombre d outils de dessin pour lesquels il d cide d un ordre y ne d utilisation chacun devant tre utilis une fois avant de pouvoir l tre nouveau de surcro t un geste TE particulier est assign par outil comme toute r gle qui se respecte il l enfreint au besoin Les biens nomm s r pertoires de couleurs et de formes accompagnent la r alisation de chaque dessin dod caphonique et repr sentent la fois le processus le mode d emploi et pourquoi pas de lecture des dessins Explorant le potentiel de chaque outil le travail de Benjamin Hochart s inscrit dans la tradition tautologique du dessin conceptuel avec des dessins qui parlent de dessin qui exposent les choix qui ont pr c d leur r alisation les outils utilis s et les formes qui leurs sont attribu es Extrait du texte Le Dessin par le milieu de Johana Carrier in Benjamin Hochart ed Adera 2012 lgl rule Es Bel 1 A bleus LS ME Seja Fe CU
29. tes sur papier maroufl sur bois et chassis encadr 102 x 144 cm Je sais que c est glauque mais c est la v rit 2015 Plastique pl tre r sine color e 50 x 110 x 80 et 60 x 60 x 70 cm Vue de l exposition Paysage Super Homme 2015 La Borne Bonneval avec Le POCTB Orl ans Paysage Super Homme Fond e sur la non hi rarchie des genres et des arts la pratique artistique de Benjamin Hochart revendique les influences de l art populaire du folk art de la bande dessin e de la science fiction de l art brut des pratiques textiles diverses et des arts premiers Ses expositions sont des compositions dans l espace des suites d uvres autonomes install es pour entrer en r sonance et constituer des r cits sans d but ni fin Avec Paysage Super Homme Benjamin Hochart propose pour La Borne un sc nario de science fiction une exposition dont les uvres raconteraient la fin d un monde en crise et une nouvelle lecture de son travail initi r cemment avec ses expositions Cannibale chez The Drawer Paris et Zombies demain au Granit Belfort Il questionne de nouveau ici la figure du h ros le monstrueux associ au d coratif le geste et la trace L oeuvre Superman 2013 une page de comics retourn e et agrandie y est reprise redimensionn e afin de l adapter la superficie des murs de La Borne Le super h ros tir et d form y est mis en chec dans une planche surdimensionn e qui tra
30. tistes jouant avec le d coratif tel Atsuko Tanaka ou Philip Taaffe C est l que s tablit la distinction avec les peintres expressionnistes des ann es 50 Benjamin Hochart pratique le catalogage et l mergence d un langage autonome et syst matis dont l Hourloupe de Dubuffet serait la matrice Il est autant dans l chantillonnage et le photoshopage d tourage extraction d calque d placement copie variations que dans l invention d une immense case de B D que les cadres pais et graphiques sont charg s de contenir Une case o seraient imprim es toutes les onomatop es visuelles d bordements graphiques punctum coups d clats et explosions que sa r tine ait pu m moriser au fil des ann es un cadavre exquis mais tout seul On perd ainsi la logique du r cit lin aire pour tre dans une simultan it totale et l galit hi rarchique de tous les l ments La nouvelle s rie des Fils 2013 r alis e en duo avec sa compagne et danseuse Marie Charlotte Chevalier semble justement sortir et flotter au devant de ces amas tiss s serr s Chaque fil tendu du sol au plafond relie diff rents fragments de c ramique maill s ou non qui sont les traces de gestes Imprim s quatre mains partir d une liste de verbes issus de l analyse des facteurs du mouvement de Rudolf Laban ils s enchainent dans un sens de lecture vertical Sculptures abstraites phrases t l graphiques partitions enregistr es ces nouvelles
31. tre au jour les traces Vue de l exposition Figures et cavaliers Ecole d Arts du Beauvaisis Beauvais 2010 de leur fabrication Benjamin Hochart a coup tranch et sectionn au couteau ou au fil beurre le bloc de terre qu il a ensuite reform r emball r ouvert et retravaill en plusieurs op rations successives jusqu puisement de la mati re Les objets ainsi obtenus sont les r sidus des gestes qu il a fait subir par manipulation volontaire et involontaire son mat riau r v lant les diverses traces en m moire sur le bloc de terre pour certaines des dessins form s par le plastique servant le garder frais pour d autres des tubes m talliques du chariot utilis pour son transport ou les interstices de la surface sur laquelle l artiste reformait le bloc Comme avec les dessins il expose le mat riau et le processus sans aller au del des outils employ s tant pour la conservation la manipulation que le travail du bloc de terre Les objets n ont qu une faible paisseur il s agit presque de bas relief effet largement augment par le point de vue plongeant qui crase toute sensation de volume Le processus est ici renvers Benjamin Hochart met plat le volume invitant d autant plus tourner autour de Place comme il tourne lui m me autour de ses dessins lorsqu il les r alise Aiguille et Place 5 Extrait du texte Le Dessin par le milieu de Johana Carrier in Benjamin Hochart ed Adera 2012
32. tuttgart 2009 contrecoll sur carton Ensemble de 24 dessins en 3 parties 35 x 130 cm 35 x 70 cm 35 x 240 cm La Gr ve S rignan 2011 Fanzine A4 pli Tirage illimit e Photocopies assembl es des 24 dessins de La Gr ve Vue de l exposition G ographies du dessin Mus e R gional d Art Contemporain S rignan 2011 Vue de l exposition Plus qu chanter galerie M amp T de la Ch tre Paris 2011 Suite 1 24 Suite 2 24 2010 Graphite stylo feutre gouache aquarelle craie graphite fusain encre marqueur peinture en spray sur papier S rie de 2 ensembles Ensemble de 12 dessins 18 5 x 12 5 cm 35 x 220 cm Pendule 2010 Tube m tallique c ramique peinture en spray fil nylon Dimensions variables 15 tubes 12 mm diam tres 90 370 cm de longueur C ramiques 8 30 cm de longueur Vue de l exposition Figures et cavaliers Ecole d Arts du Beauvaisis Beauvais 2010 Place 1 Place 6 2010 Couverture ouat e c ramique Install e au sol Place 2010 est compos e d une couverture grossi re de laine grise laissant appara tre S rie de 6 sculptures des fils de couleurs sur laquelle sont pos s des objets en c ramique rest e blanche Ces formes 150 x 200 cm organiques r miniscences d ossements d animaux inconnus ou d obscurs outils ancestraux pourraient avoir t d couvertes lors d une fouille arch ologique Elles ont en fait pour but de met
33. up rieure des beaux arts Lyon Opening Dulcie Ecole sup rieure des beaux arts Nantes Andrew cur Lamarche Ovize amp Emilie Renard La Galerie Centre d art contemporain Noisy le Sec RE cur G raldine Pastor Lloret Institut Sup rieur des Beaux Arts Besan on Les bruits du dehors cur Alain Berland Arts Le Havre 2012 biennale d art contemporain Le Havre Kunst an der Isar galerie in Bewegung Munich Aubusson tapisseries contemporaines ch teau de Lavardens Inou e une expo concert pour harmonica et ensemble de percussions FRAC Limousin Limoges Perplexe ditions cur Joana Neves Caf au lit Paris Permutations cur la Plateforme Roven Institut sup rieur des beaux arts Besan on Accrochage galerie M amp T de la Ch tre Paris Expositions collectives s lection 2011 Le dessinateur comme prestidigitateur cur la Plateforme Roven maison de la magie Blois Le dessin hors contr le cur la Plateforme Roven Caf au lit Paris Nouvelles acquisitions mus e de la Tapisserie Aubusson Perplexe cur Joana Neves maison de la vache qui rit fondation d entreprise Bel Lons le Saunier G ographies du dessin Mus e R gional d Art Contemporain Languedoc Roussillon S rignan 2010 Electro g o FRAC Limousin Limoges La gamme P rouse cur Alexandre Ovize amp Maxime Thieffine M O H L L 148 Aubervilliers Places galerie Eponyme Bordeaux Le carillon de Big Ben cur Claire le Restif Centre d art co
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