RAPPROCHEMENT DES CULTURES
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1. chefs d uvre ou aux programmes exception nels mais ces missions qui maillent notre quotidien information fiction jeu ou t l r alit Atelier tape 1 partir de la question ouverte Quelle t l vision regardez vous inciter chaque l ve identifier sa pratique du petit cran et la comparer avec celle des autres l ves tape 2 l aide des r sultats l intervenant propose une r flexion sur la t l vision les l ves commencent sc nariser les points de vue exprim s Prises d images et de sons compl tent le processus d exploration tape 3 Montage et production pour chaque classe d un tr s court m trage exprimant la vision qu ont les l ves de la t l vision Sorties Cin math que fran aise G ode Cit des sciences Centre Pompidou Montrer Les films sont diffus s dans l enceinte de l tablissement l aide d un dispo sitif sc nographique intitul MICACO et offrant une capacit de 9 crans Morceaux choisis Alors que les l ves ont crit film mont leurs films certains m ont dit qu ils ne s attendaient pas ga Ce n est qu en le voyant sur un grand cran qu ils ont pris conscience de ce qu ils avaient fait un film qui pourrait tre diffus la t l Partenaires et intervenants e Adrien Coch r alisateur e Ingrid Talleux r alisatrice Rapport d activit 2010 21 VILLAGE GLOBAL Charg de projet2. ed o a 2 Le Raincy el Romainville 1 Villepinte sell A en 4 ontfermeil el Rosny sous Bois 2 Villetaneuse 2 A A 2 re cana 3 Saint Denis Totalement 49 NOMBRE DE CLASSES INSCRITES PAR PROJET ET PAR MATI RE ENSEIGN E INSCRIP TIONS MATI RES ENSEIGN ES PAR PAR LES PORTEURS DE PROJET PROJET PROJETS TECHNOLOGIQUES SPORTS LOISIRS ARTS l Rapprochement des Cul Sous Contra N AH INSCRITS l visi Village G Oooo 11 173 s A s MA PA Mati res scientifiques math matiques physique chimie SVT Mati res litt raires fran ais histoire g ographie langues Autres autres professionnels Rapport d activit 2010 23 M con var eu ma de 26 IRAGES IRAGES annonce une s rie d expositions que F93 souhaite sacrer a quelques uns des secteurs industriels o les echniques sont en perp tuelle expansion et o la question de a mati re et de sa production est pr pond rante C est l infinie i t de ce que l on appelle les mat riaux et l impact de rs volutions sur notre quotidien qui ont retenu ici l atten ion MIRAGES est une d marche pour v rifier combien les riaux et les innovations dont ils font l objet participent fagon d terminante a la construction de notre avenir Expositions MIRAGES c ramiques Pour amorcer MIRAGES F93 a d cid d inviter cing cr ateurs trois plasticiens Vincent Kohler Bruno Peinado Fr d r
3. Anna Mutini philosophe Emmanuelle Lafor t philosophe et docteur en thique m dicale Questions de Sciences Enjeux Citoyens QSEC Ville de Noisy le Grand Agoraphilo caf philo de Noisy le Grand 25 participants Sujet retenu G n tique et personnalit Intervenants Christian Byk magistrat sp cialiste de bio thique St phane Jamain chercheur au laboratoire de psychiatrie g n tique a l Inserm Visite Laboratoire de psychiatrie g n tique IMRB Inserm U955 Groupe hospitalier Chenevier Mondor a Cr teil Ville de Noisy le Sec Assistantes Maternelles 15 participantes Sujet retenu L Assistance m dicale la procr ation AMP Intervenants Bruno Magret philosophe praticien et enseignant Pr Nathalie Sermondade m decin biologiste de la reproduction Montrer Valorisation du travail dans l ensemble des Relais Assis tantes maternelles RAM de Seine Saint Denis avec la production de 100 affiches illustrant les avis du groupe sur la APM Ville de Saint Denis Lyc e Paul Eluard classe de 2de g n ral 30 l ves Sujet retenu Les x nogreffes Intervenants Anna Mutini philosophe Dr Pascal Leuraud sp cialiste de la recherche in vivo et de la pharmacologie exp rimentale Visite Laboratoire Xentech Jeux PlayDecide consacr au th me des x nogreffes Ville de Vaujours Lyc e F nelon classe de re option Sciences et Technologies de l Agronomie et du Vivant 25 l ve
4. Rapport d activit 2010 SOMMAIRE F93 EDITO Daniel V ron pr sident este eat panel 4 Marc Boissonnade directeur ach 5 F93 Organigramm ese r a E Ee 6 Presentation et budge ir ee 7 PALO MeO S ee 8 LA CULTURE ET L ART AU COLL GE APPEL PROJETS DU CONSEIL G N RAL DE LA SEINE SAINT DENIS Adolescents option photographie 9 Adolescents option Sociologie peus muse 0 Chimie A nr en 1 A 2 a tuna Eee ee ans cat 3 La richesse option philosophie 4 La richesse option sociologie sssi 5 E O ee eek 6 Of PE LES AOL LISE Asa A A A 7 Q el grand Paris nn Een 8 Rapprochement des cultures sp cial ann e internationale 9 SOUS TON alter ee ra ion 20 TELEVISION celeste ches cet A A as Si 21 a a a aah a eut 22 R partition des inscriptions par ville et par projet 23 EXPOSITIONS A EE 26 LE nee Blei Ban a oa ta at otal 28 MIWA T anean a E E E E a 29 e 30 QUESTIONS DE SCIENCES ENJEUX CITOYENS QSEC Saison A A 31 Rapport d activit 2010 3 Edito 2010 NOS ESPERANCES CONCRETISEES Daniel V ron pr sident Il y a un an j avais pris le risque d annoncer une ann e 2010 riche de promesses C est avec une r elle satisfaction que nous vous pr sentons ce bilan de l ann e coul e qui montre que nombre de nos ambitions ont pu se r aliser L ann e 2010 a vu l association changer de nom Fondation 93 est devenue F93 le terme de fondation tant r serv des fondations au sens ju
5. Apr s plusieurs s ances de travail avec les coll giens en leur faisant amp crire des po mes et des textes divers pouvoir les rassembler dans un grand recueil g n ral a t pour moi une grande joie Mais aussi la r alisation de l ouvrage qui consacre ce travail intense et vari constitue pour moi un l ment essentiel du dispositif et de la joie qu il est cens apporter chacun Olivier Salon membre de l OuLiPo Sorties Th tre des Bergeries Pi ces d tach es Palais de la d couverte Salon des jeux math matiques Montrer Production d un livret graphique de 40 pages format l italienne de 14 x 21cm Un conte en nombre raconte une histoire teint e d imaginaire des huit premiers nombres partir de diff rentes contraintes oulipiennes Partenaires et intervenants e Olivier Salon crivain e Fr d ric Forte crivain tienne Lecroart dessinateur 20 Rapport d activit 2010 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis TELEVISION Charg de projets Stephane Coulaud Etablissements scolaires participants e Coll ge Georges Braque a Neuilly Sur Caract ristiques chiffr es Marne 2 classes 40 l ves environ e Coll ge Saint Exup ry Rosny sous 8 s ances encadr es de 2 heures et Bois 2 visites Objectifs Une d marche pour fournir des voies d acc s aux missions quotidiennes de la t l vision non pas aux
6. Caract ristiques chiffr es 4 classes 50 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Par une succession de questionnements les l ves d veloppent leurs capacit s a justifier un choix et a expliquer une d marche Les r flexions men es au cours de l atelier aboutissent la production de phrases sortes de maximes philosophiques sur ce qui peut tre consid r comme richesse Atelier tape 1 Qu est ce que la richesse Comment la d finir Qu apporte elle quoi et qui sert elle sont quelques unes des notions sur lesquelles les l ves sont amen s r fl chir sous la conduite de l intervenant philosophe tape 2 Appropriation des notions Les sorties sont des moments qui servent a nourrir la r flexion des l ves afin d en favoriser l expression tape 3 Construire Les question nements par la production crite de maximes Sorties Vie de cours aux xvi et xvi si cles ravers les chateaux d Ecouen et de Versailles les l ves ont d couvert le faste de la monarchie et de la noblesse L avare piece de th tre de Moli re Symbole de la folie qui saisit un homme lorsque la richesse mat rielle ui est spoli e us e d Orsay et mus e du Louvre Richesse et pauvret vues par les peintres Montrer Les maximes con ues par les l ves sont pr sent es dans l enceinte de l tablissement sous forme d affiches 60X80 T moignages d e
7. F93 a convi les cr ateurs suivants Eric Jourdan designer Block architecte Julien Berthier St phane Sautour et Atelier Van Lieshout plasticiens Des premi res recherches en mati re de partenariats techniques et scientifiques ont t amorc es aupr s de Solvay de l Union des industries chimiques et de Mat riaux centre d information sur les mat riaux et l innovation Concernant MIRAGES m taux F93 coop re actuellement avec les architectes de P riph rique avec les plasticiens Nicolas Moulin Pierre Laurent Cassi re et Sylvie Fleury Pour la partie design Konstantin Grcic et Pierre Charpin ont t approch s Rapport d activit 2010 Expositions 27 VOSTOK Vostok est issu d une collaboration entre un astrophysicien Jean Philippe Uzan un musicien Eddie Ladoire et des plasticiens Atelier Van Lieshout Ce projet emprunte son titre a Vostok 1 une capsule qui permit a Youri Gagarine en avril 1961 de devenir le premier homme dans l espace Vostok est une installation plastique et sonore consacr e l univers Elle veut donner a entendre certains des objets de recherche qui passionnent aujourd hui les astrophysiciens la vie et la mort d une toile pulsars et supernovae trous noirs syst mes plan taires etc En suivant l id e qu il est possible gr ce la musique de ressentir de tels objets d en partager et finalement d en comprendre la nature Vostok propose l cout
8. Objectifs Notre environnement est riche d outils permettant de se d placer de commu niquer ou de travailler Pourquoi et com ment s inventent ces objets Comment imagine t on leurs fonctions Accom pagn s par un designer les l ves ont pour principal objectif de d velopper un projet a partir de la notion d objet Atelier Cet atelier met en prise les l ves avec un probl me de design et les invite a e traiter a la mani re d un ing nieur en recourant a des savoirs et savoir faire tablis a des hypoth ses et a de a prospective Les l ves doivent ainsi r pondre a une commande en convo quant plusieurs param tres les besoins es usages la fabrication l esth tique es mat riaux tape 1 Designer c est Quoi Pr sentation du parcours Expression libre des l ves qui expri ment les repr sentations qu ils ont du design change avec l intervenant qui pr sente ce qu est pour lui le design tape 2 Usage et d finition D couverte du cahier des charges Formalisation des premi res id es d objet Cr ation du sc nario d usage tape 3 R aliser un prototype tude des contraintes Mesures et gaba rits R gles de s curit Cr ation du mod le mode d emploi Dessins d aspect Maquette de prin cipe Realisation Dessins techniques Plans d assemblage Sorties Centre Pompidou Cit des sciences et de l industrie cole nationale sup rieure de la cr ation
9. fondamentales de l univers IRFU Commissariat l nergie atomique CEA Saclay e Laboratoire d thique m dicale et de m decine l gale Universit Ren Descartes Paris 5 Rapport d activit 2010 F93 e Laboratoire de photophysique et photochimie supramol culaire et macromol culaire PPSM Ecole normale sup rieure Cachan e Laboratoire de physico chimie de l tat solide Universit Paris Sud 11 e Laboratoire de syst matique et classification du vivant MNHN Universit Paris 6 e Ma asso e Maison europ enne de la photographie e Mus e des arts et m tiers CNAM e Museum national d histoire naturelle MNHN e Ouvroir de Litt rature Potentielle OULIPO e Ouvroir de Bande dessin e Potentielle OUBAPO e Porcelaine Pierre Arqui Limoges e Relais Assistantes Maternelles RAM de Noisy le Sec e Universcience Cit des sciences et de l industrie Paris e Universit Pierre et Marie Curie e Ville de la Courneuve e Ville de Noisy le Sec La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis LES ADOLESCENTS OPTION PHOTOGRAPHIE Charg e de projets Anna Mezey Caract ristiques chiffr es 4 classes 80 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs R pondre par la photographie aux questions suivantes Qu est ce que l adolescence Quand devient on adolescent e
10. industrielle ENSCI Les ateliers Lieu du design de Paris us e des Arts d coratifs at riauth que de Paris La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis Montrer Du 31 mai au 4 juin 2010 exposition des travaux des six classes l Espace Vi not cole nationale sup rieure de e Co la cr ation industrielle travers une sc nographie inspir e des cabinets de curiosit s ge Jacques Jorissen Drancy ge Lenain de Tillemont ntreuil ge Pablo Picasso Montfermeil Coll e Coll Mo ll T moignages d enseignants J ai senti les l ves concern s et impliqu s dans le projet partir du moment o ils ont int gr la pr sence du designer presque en continu L habi tude a t vite prise de recevoir l inter venant presque une semaine sur deux ce qui a permis aux l ves de cr er un v ritable rendez vous avec lui A la fin du projet les l ves ne consid rent plus la discipline des arts plastiques comme un univers tanche mais comme un lieu de m diation ou plusieurs disciplines ou univers conver gent pour nourrir une id e et aboutir celle ci passer du concept l objet finalis et Le voir pr sent au moment de la restitution dans un lieu consacr au design exposition l ENSCI Paris 11e La restitution l ENSCI Cela per met de voir le travail finalis et mis en valeur dans un cadre institutionnel pres
11. le plus important r seau national de culture scientifique Elle est aussi membre du r seau europ en des centres et des mus es de science ECSITE et du comit international des mus es et des professionnels de mus e ICOM Depuis 2008 F93 b n ficie du nouveau label Science et Culture Innovation d cern par le minist re de l enseigne ment sup rieur et de la recherche F93 est actuellement pr sid e par Daniel V ron respon sable du bureau en charge de l ducation artistique et des pratiques amateurs au sein de la Direction g n rale de la cr ation artistique du minist re de la Culture et de la com munication et dirig e par Marc Boissonnade Les membres de l association se reconnaissent dans la volont de cr er et de p renniser des d marches culturelles et ducatives en prise avec les sciences sans exclusive les techniques et les innovations industrielles ces trois secteurs constituant a leurs yeux un enjeu de soci t passionnant et consid rable Pour donner corps a cet objectif les membres de F93 disposent d une association capable au sein de la Seine Saint Denis de dialoguer sous des formes originales avec les principaux acteurs impliqu s dans ces questions Le programme annuel d activit s de l association est tourn vers l ext rieur celle ci ne poss dant pas de locaux permet tant d accueillir des publics Ses initiatives sont d velopp es par 8 permanents et par environ 90 contrac
12. ne Salmon doctorante monitrice gastronomie mol culaire Les l ves sont Universit de Paris Sud 11 initi s l utilisation d additifs gommes de xanthanne de carragh nane de m thylcel tablissements scolaires participants lulose ainsi qu la l cithine de soja pour e Coll ge Diderot Aubervilliers r aliser diff rentes recettes mayonnaise e Coll ge Jean Zay SEGPA Bondy de chocolat mousse de grenadine spa e Coll ge Th odore Monod SEGPA ghetti aux fruits rouges et billes d alginate Gagny tape 3 Les l ves utilisent Les notions e Coll ge Marais de Villiers Montreuil apprises lors des premi res s ances pour e Coll ge Saint Exup ry inventer la recette d un dessert qui devra Noisy le Grand contenir un gel une mulsion et une mousse On envisage alors la pr sentation et les saveurs d finitives pour la restitu ion Sorties Palais de la d couverte L animation La mati re dans tous ses tats Cit des sciences et de l industrie L exposition Bon App tit gt et animation d bat Comportement alimentaire Foodlab atelier de d gustation anim par le grand chef Thierry Marx Montrer Organisation d un concours au sein du coll ge durant lequel les l ves r alisent des amp preuves et commentent leurs r alisations T moignages d enseignants La d couverte de la chimie en cuisine a permis aux l ves de d couvrir comm
13. Montrer Pr sentation de l application num rique diffusion de la Web radio et mise en ligne de la plateforme Web chaque classe va a la rencontre des autres l ves de l tablissement afin de faire fait partager son exp rience du Web T moignage d enseignant L intervenante a imm diatement t accept e par les l ves ce n tait pas 22 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis un professeur mais un adulte avec lequel les rapports taient diff rents Elle a su employer des mots simples pour faire partager sa passion et initier les l ves un domaine qui leur tait INCONNU Intervenants Christophe Nourri concepteur web Fran ois Babin sp cialiste des web radios aria Mendez Marten designer web tablissements scolaires participants Coll ge Rousseau au Pr Saint Gervais Coll ge Lavoisier Pantin Coll ge Paul Langevin Drancy Rapport d activit 2010 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis REPARTITION DES INSCRIPTIONS PAR VILLE ET PAR PROJET NOMBRE D INSCRIPTIONS PAR VILLE EN NOMBRE DE CLASSES Aubervilliers 5 pinay Sur Seine 1 Neuilly sur Marne 2 Saint Ouen 1 Aulnay sous BoiS 1 A RE 2 Noisy le Grand 1 A O 1 Bagnolet ccs 1 La Courneuve 1 A aaa A A O 1 Blanc Mesnil 2 Le Pr saint Gervais 1 Pierrefitte sur Seine 2 Villemonble
14. actions en direction de tous les publics se sont elles aussi concr tis es notamment avec l exposition Mirages c ramiques la Cit des sciences et de l industrie d marche qui marque une collaboration nouvelle avec Universcience ou par le travail en direction des habitants des villes dans le cadre du projet r gional Questions de Sciences Enjeux Citoyens QSEC dont F93 est l op rateur pour la Seine Saint Denis Une fois encore l ensemble de ces actions manifeste notre conviction que le d veloppement du d bat autour des enjeux des sciences et des techniques est plus que jamais indispensable Ce d bat est encore plus crucial dans un d partement dont les populations sont particuli rement victimes des difficult s sociales et conomiques engendr es par la crise de notre soci t C est pourquoi le conseil d Administration souhaite continuer a porter et a d velopper cette ambition au moment o s approchent de nouvelles ch ances politiques importantes 4 Rapport d activit 2010 Edito PROGRAMME D INVESTISSEMENTS D AVENIR Marc Boissonnade directeur Quand on est un centre de culture scientifique et que l on se demande ce qu a repr sent une saison on est parfois tent de r pondre par la liste des domaines de recherche abord s pendant l ann e Mais n est ce pas une fa on d tre oublieux de l essentiel En r alit ce qui le plus souvent a motiv une saison c est d
15. centres de culture scientifique Pour cela nous est venue l id e de s inspirer d un outil d exposition tr s identifi en r gion l inventomobile et de nouer un partenariat avec les concepteurs de ce produit la Cit des sciences et de l industrie Du principe Inventomobile MIRWAR souhaite garder l essentiel Une exposition destin e aux l ves de 6 12 ans un produit itin rant sous formes de caisses d un poids total avoisinant les 400 kg et pouvant tre log es sans probl me dans une camionnette de type J7 Le projet retiendra gale ment la robustesse du produit son conomie d utilisation les caisses font galement office de pr sentoir ou support pour les contenus qu elles h bergent et l absence de dispositif lectrique trop complexe Comme tout Inventomobile MIRWAR s exprimera par un ensemble de manipulations sur un th me unique l exposition proposera un centre de ressources du mat riel d animation insi qu un guide pour l utilisateur enseignant ou animateur je Image par image En termes de contenus le projet MIRWAR s appuie pour le moment sur deux approches La premiere consiste a privil gier la relation qui lie l image au spectateur C est l une des constantes qui devrait traverser cette Inventomobile En effet demander ce qu est une image et en quoi consiste le fait de voir une image n est ce pas se demander ce qu est un specta teur et quelle sa place La seconde approch
16. d coute Capacit 4 5 personnes Dimensions environ 2 x 2 x 3m Poids total environ 3000 Kg Video L installation Vostok est accompagn e d un court film pr sen ant aux visiteurs les ressorts de ce projet Des interviews de Jean Philippe Uzan d Eddie Ladoire et de Joep Van Lieshout permettent de d couvrir le travail de chacun et les principes de leur collaboration sur cette initiative www f93 fr vostok video Biographies e Jean Philippe Uzan chercheur France Directeur de recherche au CNRS Jean Philippe Uzan travaille l Institut d astrophysique de Paris IL a publi plus de 70 articles de recherche et 2 monographies principalement sur es th mes de la gravitation et de la cosmologie ll m ne en parall le une activit de diffusion des connaissances travers a r daction d articles de livres de vulgarisation dont certains pour enfants des conf rences grand public Dans ce cadre il a r cemment particip la pi ce KANT mise en sc ne par tienne Pommeret au docu fiction Une toile est n e de Philippe Tourancheau et l organisation du festival d astrono mie de Fleurance e Eddie Ladoire compositeur France IL collabore avec des plasticiens tels que Cl mentine Roy Jeanne Suspuglas Alain Declercq Nicolas Moulin ou Pierre Belouin pour lesquels il a cr de nombreux designs sonores de vid o o d installations Il est aussi l auteur de pi ces radiophoniques ou de ca
17. es 2 classes 40 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Quelles sont nos origines Quels sont les liens de parent entre les esp ces Quelle place l homme occupe t il dans le r gne animal Les classes ont dialogu avec des experts de l volution m lant d couverte scientifique exp rimentation et r flexion sur le th me Atelier A noter A la demande des enseignantes partenaires du projet la classe du coll ge Jean Pierre Timbaud a Bobigny a b n fici d un parcours bilingue une partie des s ances s tant d roul e en anglais tape 1 Observation e S ance 1 Observation de la bio diversit dans l environnement du coll ge Cette s ance d ouverture sur la th matique invite les l ves observer les animaux qui composent leur environnement Il s agit de faire merger les repr sentations des l ves mais aussi d obtenir une liste d ani maux chantillonn s pour des besoins p dagogiques sur laquelle le travail de classification peut s laborer e S ance 2 Observation de la biodiver sit au jardin zoologique Cette visite permet a l intervenant de pr senter la collection d animaux choisis par les l ves elle leur permet aussi de d couvrir une grande diversit d esp ces venues du monde entier tape 2 Classification et volution S ances 3 et 4 partir de la col lection d animaux observ s lors des deux premi res s ances chaque c
18. Astrophysique de Paris et du Commissariat l nergie atomique Aupr s d eux il a tent amp d en savoir plus sur la question du vide notamment a travers les recherches en cours sur deux nouveaux pr tendants pourtant non observables et toujours inconnus l nergie noire et la mati re noire Avec un peu moins de 75 images et une vid o toujours accessibles sur notre site Internet www f93 fr Ether a tent de montrer la mani re dont les astrophysiciens laborent des probl matiques sur l univers En 2010 le projet Ether a re u la visite en moyenne de 390 internautes par mois Ether ESPACES FURIEUX FETE DE LA SCIENCE 2010 Espaces furieux gt titre emprunt a l un des livres du po te et dramaturge Val re Novarina est une installation d ext rieur sp cialement r alis e pour la F te de la science Du 19 oc tobre au 20 d cembre 2010 une s lection des photographies r alis es dans le cadre du projet ETHER est venue recouvrir la fa ade ext rieure de l Institut d astrophysique de Paris Pendant la F te de la Science cette exposition a t pr sent e aux 600 personnes environ qui ont particip a des manifestations organis es au sein de UIAP De plus cette exposition tant visible en acc s libre depuis la rue le nombre r el de visiteurs sur la p riode est impossible a chiffrer l occasion d Espaces furieux 4 classes de coll ge de Seine Saint Denis ont pu voir l in
19. bord es en classe Montrer Exposition au sein du coll ge d une s rie d affiches portant les phrases imagin es par les l ves ou th tre forum permettant d engager une discussion autour la question Qu est ce qui fait que l on est adolescent Morceaux choisis Est ce qu on est oblig de faire comme ses amis quand on est adolescent Pour le premier baiser les ados d hier sont en retard par rapport nous Avant c tait plus romantique on pouvait passer du temps ensemble maintenant on joue sur les ordinateurs L adolescence c est un age o l on commence m rir C est un passage c est comme un tunnel o l on apprend beaucoup de choses Partenaires et Intervenants Centre de recherche sur les liens sociaux CERLIS Universit Paris 5 Elsa Ramos sociologue CERLIS Yaelle Amsellem Mainguy sociologue Institut national de la jeunesse et de education populaire e Fanny Salane sociologue Universit Paris Ouest Nanterre La D fense t w blissements scolaires participants oll ge Fabien Saint Denis oll ge Jean Jaur s SEGPA illepinte ge Robespierre SEGPA pinay sur Seine m vw DD m NND ES m Rapport d activit 2010 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis CHIMIE EN CUISINE Charg e de projets Anna Mezey est fait la cuisine de certains grands chefs mais aussi
20. couvrir le processus de cr ation des ceuvres ainsi que la richesse et la diversit de la collaboration entre les artistes et le CRAFT Circulation de MIRAGES c ramiques Filtre eau de Fr d ric Pradeau a t pr t la ville de Biarritz pour l exposition L Oc an Espace Bellevue 09 juil let 03 octobre 2010 une exposition r alis e dans le cadre de la future ouverture de la Cit de la Mer mai 2011 Petit chemin plantaire de Florence Dol ac a t pr t a Arcade Atelier de recherche en cr ation artistique et en design action en milieu rural pour l exposition Actions le design en mouvement chateau de Sainte Colombes en Au xois 17 juillet 15 octobre 2010 Rapport d activit 2010 MIRAGES trois Depuis l origine MIRAGES est pr vu sous la forme d un trip tyque Trois volets ont t imagin s chacun se rattachant a une grande famille de mat riaux choisis en raison de l impor tance des relations qu ils ont su tablir avec nos soci t s Les c ramiques les polym res les m taux En 2010 suite la r alisation du premier volet consacr aux c ramiques F93 a lanc la production en simultan des deux autres volets L ensemble des trois volets sera rassembl sous le titre MIRAGES trois et expos courant 2012 cette exposition ambitieuse devrait rassembler au final une quin zaine de propositions sur environ 500 m2 Fiche technique Pour MIRAGES polym res
21. d avoir une approche Caract ristiques chiffr es sur la fabrication dans le vaste monde de 5 classes 65 l ves environ l agro alimentaire 8 s ances en classe et 2 visites Les l ves ont progress sur le travail en autonomie et en autogestion Objectifs et certains qui n avaient pas de bons La chimie en cuisine invite les l ves r sultats en sciences physiques se sont adopter une d marche d exp rimentation parfois illustr s en cuisine en gastronomie mol culaire tout en exer ant leur cr ativit culinaire Il s agit Intervenants notamment d laborer des recettes de se e Claire Garraud doctorante Universit questionner sur l alimentation et d explorer Paris Sud 11 les saveurs et les go ts Albane Gaubert doctorante monitrice Universit Paris Sud 11 Atelier e Raphael Haumont maitre de tape 1 S ance d initiation la gastro conf rences Laboratoire de physico nomie mol culaire L intervenant chimiste chimie de l tat solide Universit explique les diff rents tats de la mati re Paris Sud 11 et propose des exp riences permettant de e C line Lustremant doctorante monitrice les utiliser et de les combiner en cuisine Universit Evry Val d Essonne ape 2 S ances sur les gels les Jonathan Piard doctorant Ecole mulsions et les mousses La classe teste nationale sup rieure de Cachan ces diff rents principes constitutifs de la e H l
22. dium artistique utilis par l artiste les l ves diffusent au sein de l tablissement scolaire des courts m trages une installation plastique des photographies Morceaux choisis Mes cultures c est ma fagon de vivre mes v tements ma musique mes lan gues mes amis Le couscous c est a tout le monde et La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis internationnale a personne Nos cultures font partie de nous et on ne peut les ignorer Chaque jeunesse fait voluer la culture J ai une culture africaine occidentale et artistique Partenaires e Catherine Ahonkoba conteuse e Katherine Blanc vid aste e Olivia Fryszowski photographe e Laure Kindermans plasticienne e Yannick Meunier ethnologue e Ingrid Talleux com dienne T moignages J aime le regard sur l art que porte les l ves et leurs exp riences modifient mon propre regard Le parcours lui m me a eu beaucoup d effets positifs sur les l ves devenus plus s rs d eux et qui ont pu b n ficier de la dynamique de la classe r v l e au cours de ce parcours Le dispositif est tr s int ressant car il permet de cr er un v ritable parcours en prenant en compte les sp cificit s de la classe En cela la vari t des interven tions des rencontres des sorties a t tr s profitable aux l ves tablissements scolaires
23. e l norme travail de Viviane l in tervenante de qualit Ce projet a per mis de renforcer la coh sion du groupe mais aussi de revaloriser leur image collective et individuelle tant au niveau tape 1 Lancemen mus e des arts et m du parcours au tiers par une intro de la SEGPA que du coll ge Les l ves duction l histoire et aux m tiers du jeu vid o Exceptionnellement des consoles et des jeux vid o datant des ann es 80 sont sortis des r serves pour que les l ves puissent les tester tape 2 Conception d une maquette de jeu vid o Pour chaque tape les l ves sont accompagn s par un chercheur sp cialiste de jeux vid o Durant cette phase il s agit d analyser certains classiques Tetris Pong etc et d identifier Les l ments structurant la cr ation d un jeu Pr sentation du logi ciel Game Maker sur lequel les l ves vont apprendre travailler tape 3 Durant plusieurs s ances les l ves et l intervenant proc dent aux diff rentes tapes de la cr ation Ils d finissent ensemble le jeu Pompier parachutiste World Game 602 son univers et ses r gles les niveaux a narration et l environnement gra phique le jeu est finalis sur le logiciel Game Maker Sorties us e des arts et m tiers Test des anciennes consoles de jeux Le Cube Centre de cr ation num rique Pr sentation du monde professionnel et de la cr ation con
24. e MAC VAL Palais de la d couverte Piscine municipale de Bondy Montrer Les l ves ont diffus dans le coll ge e film Tsunami93 r alis la piscine de Bondy Ce film de 7 min relate une exp rience grandeur nature men e par le groupe dans laquelle l aide de mat riel de piscine planches grands tapis de bain etc les l ves le chercheur et l artiste ont reproduit un mini tsunami et mesur gr ce un syst me de flotteur La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis la vitesse de propagation des ondes dans l eau T moignages d enseignants La curiosit des l ves a t d velopp e ainsi que l autonomie la prise d initiative et le travail de groupe Comp tences que nous avons du mal mettre en uvre lors des cours classiques La coh sion du groupe classe a elle aussi t renforc e La mise en activit des l ves dans les exp riences scientifiques et artistiques a rendu les l ves acteurs et pas seulement spectateurs des s ances Intervenants e Giovanni Occhipinti Institut de physique du globe de Paris Laboratoire de g ophysique spatiale et plan taire Universit Paris Diderot e Gr goire Talon artiste plasticien Etablissement scolaire participant e Coll ge Henri Sellier Bondy Rapport d activit 2010 EVOLUTION Charg de projets Mathieu Marion Caract ristiques chiffr
25. e consiste s opposer totalement l id e de produire pour les l ves un diagnostic sur l image Tout en voquant une d marche ducative L exposition MIRWAR s entend comme un ensemble de supports qui permet de d placer les comp tences et les fronti res l exposition met en questions les savoirs de tous les regardeurs profession nels et tente de traverser ces champs clos Une troisi me direction anime le travail de MIRWAR elle nous a t l gu e par Claude Levi Strauss Que les arts de l image soient un langage par le moyen duquel sont labo r s des messages dont certains au moins sont compris de l immense majorit alors qu une infime minorit seulement est capable de les mettre et qu entre tous les langages celui l seul r unisse les caract res contradictoires d tre tout la fois intelligible et intraduisible fait du cr ateur d images un tre pareil aux dieux et des images elles m mes le supr me myst re des sciences de l homme celui contre lequel elles buttent et qui gardent la clef de leur progr s Rapport d activit 2010 29 ETHER Ether est le titre d un reportage photographique de Gr goire Eloy sur les mondes de l astrophysique Jusqu pr sent ce photoreporter n avait jamais con u d images en prise avec la recherche et les savants A la demande de F93 Gr goire Eloy s est immerg durant plusieurs mois dans le quotidien des astrophysiciens de l Institut d
26. e une bande son de 26 minutes dans laquelle le visiteur se trouve comme plac a l int rieur d une galaxie Un tel voyage est devenu possible et accessible tous grace la capacit d vocation des sons cr s par Eddie Ladoire Pour Vostok le compositeur a mobilis l ensemble des possibilit s offertes aujourd hui par la musique lectroacoustique allant jusqu int grer sa composition non seulement des spectres sonores utilis s par les astrophysiciens eux m mes pour d crypter les nigmes de l univers mais galement des sons qui agissent physiquement sur notre corps Pour renforcer davantage encore les pouvoirs de cette fiction les plasticiens de l Atelier Van Lieshout ont dot Vostok d une v ritable cabine d coute qu ils ont d cid d appeler La R sistance D une capacit d accueil de 4 5 personnes cette cabine offre ses occupants auditeurs un confort humble et rudimentaire Mais comment pourrait il en tre autrement d s ors qu ils ont d cid d imaginer sous la forme d un abri de ortune l ultime r ponse de survivants pris dans une catas rophe globale La cabine Vostok a t pr sent e pour la premi re fois en partenariat avec Universcience a la Cit des sciences et de l industrie Paris du 07 d cembre 2010 au 13 mars 2013 Expositions Informations techniques Dur e de la bande son 26 minutes Spatialisation de la diffusion du son au moyen de 8 enceintes Cabine
27. ent Rapport d activit 2010 11 EUREKA Charg de projets Mathieu Marion Caract ristiques chiffr es 1 classes 25 l ves environ 9 s ances en classe et 3 visites Objectifs D marche fond e sur l approche culturelle d une discipline scientifique en l occurrence la physique Ce parcours permet aux l ves de saisir ce qui peut relier science et culture Atelier La classe b n ficie de la pr sence crois e d un physicien et d un artiste Le th me retenu cette saison est celui des ondes m caniques sismiques acoustiques lumineuses L atelier est conduit en alternance par le physicien et l artiste chacun disposant de s quences autonomes pour progresser l int rieur de la commande initiale Le physicien d ploie la question des ondes travers des exp riences il fournit du vocabulaire et des points de rep res au groupe durant trois s ances Quant l artiste il accompagne les l ves pour naviguer l int rieur de ces donn es en convoquant des sensibilit s des imaginaires En prolongeant et en extrapolant le travail men avec le chercheur les l ves se transforment en explorateurs sensibles de ph nom nes physiques Ce parcours compte galement trois s quences d changes communs avec les deux experts et Les l ves permettant de fouiller les compl mentarit s et les divergences des deux d marches d exploration Sorties us e d art contemporain du Val de arn
28. erg n rationnelles Quand devient on adolescent et qu est ce que l adolescence a t il une diff rence entre les adolescents d hier et ceux d aujourd hui Quelle est la place des jeunes dans notre soci t Atelier tape 1 IL s agit tout d abord de saisir ce que les l ves entendent Lorsqu on leur parle de l adolescence et des adolescents Cette tape sert aussi introduire la sociologie et quelques unes de ses m thodes de recherche questionnaires entretiens etc Avec l aide de la sociologue les l ves laborent un protocole de recherche ayant pour th me Quand vous tiez adolescent gt tape 2 Construction d une probl matique En quoi les exp riences nouvelles permettent elles de devenir adolescent de grandir Les l ves m nent des entretiens aupr s d adultes inconnus et aupr s des l ves plus g s du coll ge tape 3 La sociologue accompagne le groupe dans l analyse des donn es Ensemble ils proc dent l inventaire des informations et des l ments recueillis pour en tirer un certain nombre de conclusions et de constats Sorties Mus e d Orsay sur le th me Les ages de la vie Apercu de la vie des jeunes a une autre amp poque par le biais de la peinture Les assoiff s pi ce de th tre portant sur le th me de l adolescence au th tre Samovar Bagnolet Tribunal de grande instance Bobigny pour compl ter les questions a
29. i constitue la richesse Puis ils m nent leurs propres r flexions pour aboutir a des maximes sur ce qui a leurs yeux m rite d tre consid r comme une ou Partenaires et intervenants e Centre de recherche sur les liens sociaux CERLIS Universit Paris 5 e Elsa Ramos sociologue CERLIS e S verine Dessajan sociologue CERLIS e Anna Charbonneau sociologue CERLIS Etablissements scolaires participants Coll ge Georges Politzer classe d accueil NSA La Courneuve Coll ge Pablo Neruda SEGPA a Stains Coll ge Victor Hugo SEGPA a Aulnay sous Bois des richesses Atelier tape 1 Identifier des l ments de richesse mat rielle affective morale etc S emparer de ces notions pour en d construire les lectures les plus vi dentes tape 2 D finir un terrain d enqu te tablir un questionnaire solliciter des entretiens et les mener sont quelques unes des s ances propos es lors de cette tape tape 3 Analyser les entretiens rele ver les points de convergence confronter les accords et d saccords puis formali ser les r sultats de cette recherche Sorties Vie de cours aux xvi et xvii si cles travers les ch teaux d Ecouen et de Versailles les l ves ont d couvert le faste mis en sc ne par la monarchie afin aussi d asseoir son pouvoir Biblioth que nationale de France Une journ e de d couverte des collections de a BnF Montrer Les phrase
30. ic Pradeau un architecte Didier Fiuza Faustino et une designer Florence Dol ac de confier a tous les cing un m me mat riau les c ramiques et de les associer aux ing nieurs et techniciens exp riment s du Centre de recherche sur les arts du feu et de la terre CRAFT bas a Limoges MIRAGES c ramiques a t inaugur e en partenariat avec Universcience a la Cit des sciences et pr sent e du 02 mars au 25 avril 2010 L exposition tait accessible aux d tenteurs d un billet ouvrant acc s aux espaces et expositions d Explora Mars 2010 68 000 visiteurs sur Explora Avril 2010 83 000 visiteurs sur Explora Fiche technique e Florence Dol ac Petit chemin plantaire Porcelaine extra blanche maill e en surface bois acier Dimension 80x384x98cm e Didier Fiuza Faustino The naked lunch Deux l ments en porcelaine extra blanche maill e lit Dimension 79 5x190x60 5cm e Vincent Kohler Burn out C ramique r fractaire Dimen sions variables e Bruno Peinado Sans titre Ingirumimusnocteetconsumi murigni Gr s chamott s polychromes terre charbon de c ramique graines de restionacea Dimensions variables e Fr d ric Pradeaux Filtre eau C ramique technique poreuse tuyaux plastiques mat riaux divers Chaque sph re 62cm www fondation93 org mirages video Un court film produit par la Cit des sciences et de l industrie accompagne l exposition et permet de d
31. l Par contre phasme a se dit Stick Insect c est plus parlant Les chercheurs du monde entier communiquent entre eux en anglais Darwin a t il t lev par des animaux L volution des baleines est tr s surprenante en la voyant aujourd hui elle ne ressemble pas du tout au Pakicetus son anc tre terrestre d il y a 52 millions d ann es Classer les animaux cela sert mieux comprendre l volution On est dans les sapiens qui sont dans les homo qui se trouvent dans les primates Comment l anc tre des animaux a t il pu appara tre puisqu il n a pas d anc tre Quels sont les animaux r cemment disparus Les bisons c est les Am ricains qui les ont tu s j ai vu a dans les Simpson C est int ressant de trouver des liens entre l homme et les autres animaux lt Rapport d activit 2010 a permet de conna tre nos points communs et nos anc tres Intervenants e Am lie Pichonet doctorante en Syst matique et volution Universit Paris 6 e Romain Thomas doctorant en Syst matique et Evolution Universit Paris 6 Etablissements scolaires participants e Coll ge Jean Pierre Timbaud Bobigny e Coll ge Jean Jaur s Pantin La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis LA RICHESSE OPTION PHILOSOPHIE Charg de projets St phane Coulaud
32. lasse construit les ensembles emboit s cor respondants e S ances 5 et 6 Construction et lecture d un arbre Les groupes poursuivent leurs d marches m thodologiques pour appr hender le processus d volution La classification tant fond e sur le partage d attributs l origine des attributs communs est questionn e introduisant naturellement la notion de temps La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis Etape 3 Mise en perspective des proces sus lies l volution S ances 7 et 8 Les classes participent a des d bats prolongeant les l ments lies sp cifiquement aux sciences de la vie et au processus d volution La discussion s ouvre des probl matiques d autres disciplines scientifiques respect de l environnement destruction du patrimoine vivant etc ou plus philosophiques cr ationnisme qu te des origines Sorties M nagerie du jardin des Plantes Grande galerie de l volution Galerie de pal ontologie et d anatomie compar e Zoo de Thoiry Montrer Le travail des classes est restitu dans chacun des coll ges par le biais d une installation plastique et graphique constitu e d l ments collect s au cours des s ances Chacune des classes organise par ailleurs des moments de pr sentation du parcours l intention des autres l ves de leurs tablissements respectifs Morceaux choisis En anglais pigeon a se dit parei
33. le Grand e Assistance Publique H pitaux de Paris Espace thique e Association des Femmes de la Boissi re Montreuil e Centre d tude et de recherche en informatique Conservatoire national des arts et m tiers CNAM Centre de recherche Sens thique et Soci t CERSES Universit Paris 5 e Centre de recherche sur les liens sociaux CNRS Centre national de la recherche scientifique Universit Paris 5 e Centre d initiation l enseignement sup rieur Versailles e CHU de Seine Saint Denis Centre d tude et conservation des ufs et du sperme humains e CHU de Seine Saint Denis Service d histologie embryologie cytog n tique Cin ma l toile La Courneuve e Comit international des jeux math matiques e Centre de recherche sur les arts du feu et de la terre CRAFT Limoges cole doctorale Sciences de la nature et de l Homme Museum national d histoire naturelle MNHN cole nationale du jeu vid o et des m dias interactifs num riques ENJIM Paris Ecole nationale sup rieure de la cr ation industrielle ENSCI Les ateliers Paris e FoodLab Le Laboratoire Paris e Groupe hospitalier Chenevier Mondor Inserm U955 Psychiatrie g n tique Cr teil e Institut d Astrophysique de Paris e Institut Curie Laboratoire Xentech e Institut national de la jeunesse et de l ducation populaire INJEP e Institut de physique du globe de Paris e Institut de recherche sur les lois
34. nseignants Cela fait 3 ans que nous travaillons avec ces m mes l ves Ils quittent l tablissement cette ann e et ne referont pas de philo dans le cadre de leur projet futur Cette exp rience aura donc t pour eux un projet dans le ong terme une d couverte que nous aurons soutenue Pour les l ves que nous accueillons aire de la philosophie est extr mement valorisant Nous insistons sur leur capacit r fl chir et analyser Cela es motive d autant plus que ce sont souvent les l ves les moins scolaires qui participent le plus et qui font d excellentes r flexions Intervenants e Jonathan L vy philosophe e Anna Mutini philosophe e Mich le Picot philosophe tablissements scolaires participants e Coll ge Lenain de Tillemont SEGPA Montreui e Coll ge Pierre de Geyter Atelier relais Saint Denis e Coll ge Jules Michelet Atelier relais Saint Ouen e Coll ge Louis Pasteur Unit p dagogique d int gration Villemomble Rapport d activit 2010 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis LA RICHESSE OPTION SOCIOLOGIE Charg de projets St phane Coulaud Caract ristiques chiffr es 3 classes 45 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Selon une d marche sociologique les l ves sont invit s a d construire les notions les plus litt rales de ce qu
35. ophe Isabelle Stengers qu une vraie ressemblance pourrait d ailleurs se cr er entre nos activit s et la recherche scientifique parce que Si les sciences ont une force c est dans la mesure o elles travaillent a partir de r ussites qu elles prolongent et cultivent Ici ga marche ici on peut passer voil ce qui conduit l histoire des innovations Rapport d activit 2010 5 ORGANIGRAMME Daniel V ron pr sident BUREAU Yves Chemla vice pr sident Jean Charles Pettier vice pr sident Henri Borentin tr sorier Chantal L vy secr taire g n rale CONSEIL D ADMINISTRATION lisabeth Caillet Claude Coulbaut Marie Claire Fillot Marie Granger Thierry K bler Serge Robineau DIRECTION Marc Boissonnade directeur Nathalie Vaguer directrice administrative et financi re CHARG S DE PROJETS St phane Coulaud Mathieu Marion Anna Mezey Virginie Palisse Nicolas Bl mus coordinateur r gional de Questions de Sciences Enjeux Citoyens ASSISTANTE Nacira Limama assistante de direction Rapport d activit 2010 F93 PRESENTATION L association a vu le jour en 1982 sur le d partement de la Seine Saint Denis Elle est le second centre de culture scienti fique technique et industrielle CCSTI cr en France F93 est pr sente au conseil d Administration de l asso ciation des mus es et des centres pour le d veloppement de la culture scientifique technique et industrielle AMCSTI
36. participants e Coll ge Pablo Neruda a Pierrefitte sur Seine e Coll ge Travail Langevin Bagnolet e Coll ge Jean Moulin Aubervilliers deux classes e Coll ge Jean de Beaumont Villemomble Rapport d activit 2010 19 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis SOUS CONTRAINTES Charg de projets St phane Coulaud tablissements scolaires participants e Coll ge Lucie Aubrac Villetaneuse Caract ristiques chiffr es e Coll ge Ren Descartes SEGPA au 4 classes 60 l ves environ Blanc Mesnil 8 s ances en classe et 2 visites e College R publique SEGPA a Bobigny e Coll ge Garcia Lorca SEGPA Saint Objectifs Denis Explorer avec les l ves les territoires de rencontre entre les math matiques la itt rature et la bande dessin e Chaque classe est accompagn e dans son pro cessus de d couverte par un membre du mouvement oulipien ou oubapien Atelier tape 1 D couverte de l Ouvroir de Litt rature Potentielle et de l Ouvroir de Bande dessin e Potentielle et de leurs contraintes d criture aussi bien litt raires que graphiques tape 2 partir du th me choisi Les nombres r daction d un conte oulipien selon des exercices aussi vari s que Uhomophonie les assonances la ventri loquie les palindromes tape 3 A partir de la mati re pro duite lors des ateliers mise en forme du conte Morceaux choisis
37. projets Mathieu Marion Caract ristiques chiffr es 5 classes 100 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Faire vivre la question des diff rences culturelles au sein d une classe et permettre aux l ves de r fl chir a des notions telles que peuple civilisation coutumes etc Accompagn e par un artiste chaque classe doit exprimer ses repr sentations en mati re de diversit et de dialogue renforc entre cultures Atelier Focus sur un parcours classe de primo arrivants Aubervilliers intervenante Laure Kindermans plasticienne Le projet s articule autour d un choix de rois tensions qui traversent et dyna misent la notion de culture collectif individuel int rieur ext rieur pass futur Chacun de ces l ments est abord l aide de diff rents supports articles films Les commentaires des l ves donnent ieu des interpr tations plastiques partir de r gles et de contraintes propo s es par l artiste 1 Approche par la langue jeu linguis tique et production d une bande son 2 Pr sentation des diff rentes cultures du groupe en 25 cadavres exquis por traits et autoportraits 3 Fabriquer un ou plusieurs objets symbolisant sa propre culture Sorties Chateau de Versailles Maison europ enne de la photographie Mus e du jeu de Paume Mus e du Quai Branly Mus e du Louvre Photographie dans la ville de Bagnolet Montrer Selon le m
38. puis exprimer des points de vue sur les mutations en cours Atelier tape 1 D couverte du territoire Identifier les lieux de vie de loisirs de commerce et Les connexions au sein de la ville l aide de plans tape 2 Ouvrir le regard des l ves sur la ville et les liens qui unissent leur territoire un territoire beaucoup plus vaste le Grand Paris Pour cela les outils informatiques comme Google earth ou Google maps et l Internet permettent d embrasser les dimensions physiques et g ographiques d un territoire par rapport un autre comme ils permettent de situer ce m me territoire une chelle nationale tape 3 Formalisation des propositions de la classe par rapport sa vision d un Grand Paris Ainsi la production de plans en 3D et de maquettes synth tiques permet aux l ves de rendre compte des iens qui unissent leur ville ce vaste erritoire parfois utopique qu est le Grand Paris Sorties Cit de l architecture et du patrimoine Le Pavillon de l Arsenal Fondation Cartier Balade urbaine a Romainville Restitution Pr sentation dans le coll ge d un plan de ville en 3D T moignage d enseignant Travailler avec une architecte a permis aux l ves de d couvrir sous d autres angles non seulement leurs quartiers mais aussi leur ville qu ils connaissent assez sommairement 18 Rapport d activit 2010 RAPPROCHEMENT DES CULTURES sp cial ann e Charg de
39. que principale puis le r fl chir en s appuyant sur un choix d intervenants chercheurs lus experts etc Une seconde phase d une demi journ e a ensuite permis l ensemble des groupes r gionaux de se rassembler pour confronter leurs points de vue sur le th me de l ann e Cette rencontre finale s est d roul e le 19 juin 2010 l cole nationale sup rieure Pour en savoir plus www qsec fr QSEC EN SEINE SAINT DENIS Au sein de QSEC le r le jou par F93 est double F93 par ticipe d une part aux diff rentes instances administratives de l op ration travers le comit de pilotage et le comit op rationnel Dans ce cadre l association accueille le coordi nateur r gional de QSEC Nicolas Bl mus D autre part F93 met en uvre QSEC sur le d partement de la Seine Saint Denis Ville de La Courneuve Groupe des Anciens association de retrait s Sujet retenu Ethique et industrie pharmaceutique Intervenante Emmanuelle Lafor t philosophe et docteur en thique m dicale Sortie Projection de Mesures exceptionnelles drame de Tom Vaughan en collaboration avec le cin ma d art et d essai L toile Ville de Montreuil Association les Femmes de la Boissi re L association or ganise du soutien en fran ais pour une vingtaine de femmes originaires du Maghreb d Afrique de Turquie Sujet retenu Th me du b b prouvette et de la procr ation m dicalement assist e Intervenants
40. ridique du terme Sur le plan institutionnel les relations que nous entretenons avec nos principaux partenaires Conseil g n ral de la Seine Saint Denis minist re de l Enseignement sup rieur et de la recherche Conseil r gional d le de France pour le projet QSEC sont confort es et je voudrais une fois de plus Les remercier pour leur fid lit et le soutien qu ils nous apportent 2010 c est surtout la premi re ann e d exp rimentation des nouveaux projets mis en place dans le cadre de l appel projet la Culture et l Art au Coll ge lanc par le Conseil g n ral de la Seine Saint Denis Bien qu inscrite dans la continuit des actions men es par l association depuis de nombreuses ann es la transformation des modalit s de travail avec les tablissements scolaires les professeurs et les l ves a engendr un profond renouvellement tant des questions abord es que des partenariats mis en uvre Ce renouvellement n a t possible que gr ce l investissement de l quipe permanente de F93 et de son quipe de direction auxquelles je tiens rendre ici hommage La contribution de l association au plan d partemental la Culture et l Art au Coll ge permet de dessiner un tableau original de l ducation dans notre d partement int grant r ellement les questions de sciences et de soci t th mes trop souvent n glig s voire oubli s quand on parle d ducation artistique et culturelle Parall lement les
41. rt des jeunes portent des marques pour se faire accepter Pour les gar ons les copains c est important Mais les filles ont besoin d tre solidaires pour lutter contre le machisme On r ve et l on esp re que notre avenir sera la hauteur de ce que l on imagine et que les choses seront faciles pour nous M me si on sait qu on va rencontrer quelques difficult s Les gar ons sont plus frimeurs que les filles mais en fait ils sont souvent mal l aise et le cachent derri re la frime Dans une vraie amiti on peut compter sur l autre tout lui dire c est comme un fr re ou une sceur La difficult de la r ussite dans la vie peut nous amener a nous poser des questions et provoquer une d pression en cas d chec Intervenants e Guillaume LEBRUN photographe e Guillaume PALLAT photographe tablissements scolaires participants e Coll ge Rosa Luxembourg SEGPA a Aubervilliers Coll ge Th odore Monod SEGPA Gagny llege Henri IV Vaujours llege Lucie Aubrac Villetaneuse o OO m Rapport d activit 2010 9 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis LES ADOLESCENTS OPTION SOCIOLOGIE Charg e de projets Anna Mezey Caract ristiques chiffr es 3 classes 55 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Questionner la figure de l adolescent au sein des relations int
42. rtes postales sonores pour France Musique Eddie Ladoire travaille tr s r guli rement pour le th tre compagnie clats Loufried et s est produit au Palais de Tokyo au Frac le de France Frac Aquitaine Capc Mus e d art contemporain de Bordeaux la Villa Arson et dans de nom breux festivals tels que Fri Son Suisse Electroni k Rennes Nuit Blanche Paris Electromania Montreal etc e Atelier van Lieshout design et architecture Pays Bas L Atelier Van Lieshout AVL a t fond en 1995 par Joep Van Lieshout Situ Rotterdam AVL a t cr pour faire face l activit croissante de son fondateur et pour encadrer l quipe multidisciplinaire qui s est constitu e progressivement autour de lui AVL explore en les bousculant les notions tradition nelles de l art et de ses syst mes en s attachant une pro duction atypique qui exige la participation d un large ventail de sp cialistes Ses cr ations sont pr sentes dans les plus prestigieuses collections priv es et les plus grands mus es tel le MOMA de New York Pour plus d informations www ateliervanlieshout com 28 Rapport d activit 2010 Expositions MIRWAR Inventomobile A Vorigine il y a la volont de r aliser pour la Seine Saint De nis une exposition de petite taille sur le th me de l image Par la suite s est ajout le souhait de voir itin rer ce projet sur d autres d partements en lien avec d autres
43. s Sujet retenu L Assistance m dicale la procr ation AMP Intervenants Philippe Decamps philosophe Centre de recherche Sens thique et soci t CERSES Rachel L vy biologiste sp cialiste de la reproduction Rappel L ensemble de ces groupes a particip a la rencontre finale du 19 juin 2010 L cole nationale sup rieure de Paris Rapport d activit 2010 31 jel Wolf a l Hugo amp Samus graphique G Conception F93 70 rue Douy Delcupe 93100 Montreuil T l 01 49 88 66 33 Fax 01 49 88 66 55 contact f93 fr www f93 fr
44. s Mathieu Marion Caract ristiques chiffr es 3 classes 70 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Montrer comment Internet se d veloppe a la mani re d un immense r seau de collaborateurs avec de nouvelles fagons d informer de s informer et ouvrant a des capacit s d agir in dites pour la cr ation et la diffusion Atelier L accent est mis sur l change de savoirs et d exp riences entre l ves et intervenants en recourant la cr a tion d une Web Radio d une plateforme Web ou d une application num rique La d marche du projet inscrit les l ves dans trois dynamiques Technique Le parcours se d veloppe sur ordinateur les l ves manipulent les logiciels adapt s et d couvrent les nom breuses potentialit s de l informatique TExpressive Favoriser les collectes et changes de points de vue surtout au tour des multiples dimensions contenues dans la notion de communaut et de r seau les int grer dans la production des l ves Collaborative Rechercher sans cesse de nouveaux contributeurs exposer ses r sultats a la vari t des opinions et des exp riences En somme obliger les classes a recourir au maximum de savoir faire ext rieurs et a les int grer a sa propre recherche d marche Sorties France Inter Le Cube centre de cr ation num rique L changeur lieu de partage de l innova ion technologique Media part Mus e de l informatique
45. s produites par les l ves au cours de l atelier sont pr sent es dans enceinte de l tablissement L affichage ainsi r alis permet une visibilit des r flexions et la diffusion aupr s de a communaut ducative comme de ensemble des l ves T moignage d enseignant La pr sentation des affiches a t un moment fort du projet Les l ves se sont sentis valoris s quand on les a install es sur Les murs du coll ge Rapport d activit 2010 15 JEUX VIDEO Charg e de projets Anna Mezey Caract ristiques chiffr es 5 classes 90 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Objectifs Une initiation a l univers des jeux vid o C est quoi un jeu vid o Comment ga fonctionne et quelles sont les tapes n cessaires sa production L essentiel du parcours est centr sur la cr ation d une maquette de jeu vid o et sur la rencontre d experts Atelier La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis r alis s Cette pr sentation s accom pagne d une discussion avec une autre classe invit e ou avec l quipe p dago gique Des acc s aux jeux sur les ordi nateurs du CDI sont galement pr vus au del de cette diffusion officielle T moignages d enseignants Les l ves semblaient un peu scep tiques et critiques au d part mais ils ont finalement bien adh r au projet qui leur a permis de rendre un produit fini grac
46. si ce n est d imaginer qu il est devant une chose qu il peut et doit enti rement s approprier ce moment l tout l int r t consiste partager un savoir vivant et repenser les positions de chacun un peu la mani re d un centre de recherche nourrissant un dialogue permanent entre coll gues en quoi un savoir est il digne d tre transmis ou en quoi peut il faire l objet d une rencontre qui transforme En 2010 la collaboration renforc e entre F93 et certains artistes architectes ou designers notamment sur MIRAGES une exposition d di e la mati re et aux mat riaux s est trouv e inspir e elle aussi par cette philosophie offrir des publics la possibilit de comprendre diff rentes conceptions d un m me probl me pour analyser celui ci partir de ce qu il produit et de la fa on dont il agit Et que produit un probl me si ce n est des mots des commentaires parfois des rejets Et des d placements dans les repr sentations Pour finir j aimerais vous remercier par avance de l int r t que vous pourrez porter ce rapport d activit s Nous l avons r dig avec la volont de vous exposer notre 2010 et cette exposition est importante car comme le savent bien les artistes elle permet a la fois d exister publiquement et d autoriser les critiques L un ne va pas sans l autre Vous y trouverez racont s des r cits d exp riences et c est gr ce cela pour citer la philos
47. stallation rencontrer des chercheurs et participer des ateliers initi s par UIAP 4 classes 100 l ves ETHER LIVRE Les photographies r alis es pour Ether ont rencontr un vif succ s aupr s de la maison d ditions Bec en l air Un projet de livre est en cours de r alisation sortie pr vue la rentr e 2011 L ouvrage devrait rassembler une soixantaine d images une interview de Gr goire Eloy ainsi qu un texte d Henry McCracken un chercheur qui cartographie la distribu tion de la mati re noire dans l univers 30 Rapport d activit 2010 SAISON 1 LA BIOETHIQUE l occasion du Contrat de Projet tat R gion CPER 2007 2013 le Conseil r gional d le de France innove en permet tant Le financement d activit s de culture scientifique F93 la Banque des savoirs du Conseil g n ral de l Essonne et le Parc aux toiles des Yvelines ont imagin ensemble une pro position intitul e Question de Sciences Enjeux Citoyens QSEC Chaque ann e la d marche vise a r unir sur la r gion le de France des groupes d adultes les mettre en discus sion avec des chercheurs puis diffuser les points de vue exprim s lors de ces rencontres Pour sa premi re saison consacr e au th me de la bio thique QSEC a rassembl 27 groupes de participants Deux moments principaux ont rythm cette op ration Une premi re phase a vu chaque groupe formuler un sujet sp cifique a l int rieur de la th mati
48. t y a t il des sentiments r serv s aux filles et d autres aux gargons Atelier tape 1 Tout en introduisant la photo graphie comme d marche artistique le photographe dirige une s rie de discus sions libres afin de saisir ce que les l ves entendent lorsqu on leur parle de l adolescence et des adolescents tape 2 En fonction du th me retenu par la classe les l ves mettent en sc ne des situations qui repr sentent diff rentes relations fille gar on l aide d un guide photo labor pour l occasion en bin me ou en petit groupe les l ves r alisent des photographies en couleurs l aide d appareils num riques tape 3 S ances d analyse de l image en tudiant les photographies r alis es dans le cadre du parcours Les l ves l enseignant et Le photographe proc dent ensuite un travail d criture rapport aux images permettant d approfondir les questions soulev es pendant l atelier Sorties Maison europ enne de la photographie Visite de l exposition Les Fran ais Forum au Blanc Mesnil Visite de l exposition Les coles du monde La Cit de la Sant animation d bat La vie affective et sexuelle Montrer Diffusion des images au sein de l tablissement sous forme d une exposition ou d un livre Ab c daire Pr sentation accompagn e d une discussion avec d autres classes invit es ou avec l quipe p dagogique Morceaux choisis La plupa
49. temporaine li s au jeu vid o Tech Galerie la Cit des sciences et de l industrie Montrer La restitution se d roule au sein de tablissement scolaire gr ce MICACO un dispositif sc nographique permettant a diffusion publique des jeux vid o prouvent une certain ont du mal l exprim Les l ves taient t e fiert m me s ils er r s impliqu s dans le projet Le jeu vid o est un domaine qui les int resse part iculi rement Ils ont voulu a leur mani re montrer leur int r t en cr ant leur jeu et le faire d couvrir a leurs camarades Intervenants e St phane Natkin professeur et directeur de l cole nationale du jeu et des m dias interactifs num riques nstitut du Cnam Pedro Alessio chercheur au CEDRIC CNAM e Rodrigo Almeida charg de recherche au CEDRIC CNA e Thomas Feldman charg de recherche u CEDRIC CNA e Viviane Gal ing nieur au CEDRIC CNAM e Magalie Ochs chercheur au CNRS fev Etablissements scolaires participants e Coll ge Marcel Cachin au Blanc esnil e Coll ge Jean Renoir Bondy Coll ge Pierre Curie Bondy Coll ge Pablo Picasso SEGPA Montfermeil e Coll ge Honor de Balzac SEGPA a Neuilly sur Marne AS Rapport d activit 2010 OBJETS TROUVES Charg de projets Mathieu Marion Caract ristiques chiffr es 6 classes 120 l ves environ 9 s ances en classe et 2 visites
50. tigieux Partenaires et Intervenants cole nationale sup rieure de la cr ation industrielle ENSCI Les ateliers e Alain Cadix directeur de l ENSCI Les ateliers e Margot Casimir coordonnatrice du projet Design et Diversit l ENSCI Les ateliers e Sylvie Lavaud responsable p dagogique et coordinatrice post dipl mes l ENSCI Les ateliers Quentin Vaulot designer Rodolphe Dogniaux designer aria Laura Mendez Marten designer Goliath Dy vre designer Gr goire Talon designer Flavie Papin designer tablissements scolaires participants e Coll ge Albert Camus Rosny sous Bois e Coll ge Jean Baptiste Corot au Raincy e Coll ge Gustave Courbet a Pierrefitte sur Seine Rapport d activit 2010 17 La Culture et l Art au Coll ge Appel projets du Conseil g n ral de la Seine Saint Denis QUEL GRAND PARIS Charg de projets St phane Coulaud Intervenants e Agence d architecture Des clics et Caract ristiques chiffr es des calques 1 classe 24 l ves environ 8 s ances en classe et 2 visites Etablissement scolaire participant e Coll ge Abb Hou l Romainville Objectifs Comment na t une ville et quels sont les l ments urbains et architecturaux qui la constituent En s inspirant des propositions faites par les dix agences d architecture ayant concouru pour le Grand Paris les l ves sont invit s saisir Les complexit s d une ville Paris
51. tuels provenant pour l essentiel des champs de la recherche de l art et de la culture Ces quipes disposent d un budget global d environ un million d euros Chaque saison l ensemble des d marches est imagin con u et mis en uvre par F93 Cette ma trise globale rendue n cessaire par la complexit des solutions trouver d s lors qu il faut conjuguer sciences et culture repose sur des savoir faire uniques acquis par l association en mati re d ing nierie de projet F93 BUDGET 2010 PARTENAIRES FINANCIERS Conseil g n ral de la Seine Saint Denis 62 Subvention de fonctionnement 17 Appel projets la Culture et l Art au Coll ge 11 Conseil r gional d le de France 6 Etat D l gation r gionale la recherche et la technologie DRRT 4 Autres R PARTITION DES FINANCEMENTS 54 Charges de fonctionnement structure et quipe permanente 19 D marches ducatives et culturelles plan d partemental la Culture et l Art au Coll ge 19 Expositions 8 QSEC Rapport d activit 2010 7 PARTENAIRES PARTENAIRES PERMANENTS e Conseil g n ral de la Seine Saint Denis ainsi que e Minist re de l Enseignement sup rieur et de la recherche D l gation r gionale a la recherche et a la technologie Pr fecture de la r gion le de France PARTENAIRES 2010 Conseil R gional d le de France e Agence d architecture Des Clics et des Calques e Agoraphilo Noisy
52. une part un choix pr cis de probl mes et d autre part la constitution d outils appropri s pour les interpr ter D s Lors il faut bien l avouer nos objectifs ne s entendent plus comme une approche disciplinaire des sciences et des techniques ce titre F93 pr f re rappeler que les participants ses initiatives ainsi que les experts impliqu s ont d abord et toujours accept de se rassembler la condition de s int resser ensemble des questions et non des disciplines Mais pourquoi une telle distinction La raison est simple Contrairement une discipline un probl me surtout s il est bien pos oblige ceux qui veulent faire prise avec lui Il incite notamment des amateurs de sciences manipuler non seulement des savoirs mais aussi des pr f rences individuelles des croyances collectives des motions et des jugements de valeur Autrement dit un probl me qu il soit parcouru par des l ves ou qu il soit l origine d une exposition ou d un support d e learning est la promesse d une rencontre avec un objet critique et fronti re renvoyant des controverses Cette saison encore chaque fois que cela a t possible nous avons veill construire autour des th mes et probl mes propos s non pas un rapport entre des ignorants et un savant mais un rapport entre des intelligences qui veulent et qui cherchent se comprendre En effet qu est ce que cela suppose de placer un public devant une question
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