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Le Schéma gérontologique - Conseil général de Côte-d`Or

1. Pour une C te d Or de tous les ges Sch ma g rontologique d partemental Iot Pour une C te d Or de tous les ges du Pr fet de la C te d Or L allongement de la dur e de vie am ne nous interroger sur le Bien vieillir Bien vieillir se pr pare tout au long de la vie C est l ambition du sch ma g rontologique labor conjointement par l Etat et le D partement Le premier niveau est celui de la pr vention et de l ducation ce qui regroupe des actions de sensibilisation notamment sur les th mes de l arthrose de la d mence ou de l ob sit rep r s comme les principales patho logies se trouvant l origine de la survenue des situations de d pendance Par ailleurs la progression du nombre de per sonnes en situation de d pendance conduit poursuivre le d veloppement des services de soins infirmiers domicile De m me il est pr vu de renforcer la m dicali sation des tablissements d h bergement pour personnes g es en tenant compte de la diversit des publics accueillis notamment pour les personnes handicap es Enfin ce sch ma g rontologique vise assurer la meilleure articulation entre les aspects sant et les aspects vie sociale ce qui doit se traduire par l am lioration des liens entre les services hospitaliers les professionnels de sant et les intervenants au domicile des per sonnes g es Telles sont les lignes directrices de ce
2. Piloter et coordonner la politique g rontologique d partementale 3 2 Structurer l intervention g rontologique sur les territoires La diversit des intervenants sur le terrain rend difficile la lecture du qui fait quoi dans le champ g rontologique Les personnes g es et leurs familles ont parfois du mal identifier un dispositif qui reste complexe appr hender En C te d Or il existe d j des lieux rep r s pour r pondre aux personnes g es mles Centres Locaux d Information et de Coordination CLIC mles Unit s Territoriales d Action sociales et les Espaces Solidarit Famille futurs Espaces C te d Or Solidarit et famille services de proximit du D partement ayant une mission d accueil et d orientation pour tous les publics Pour les personnes g es en situation de d pendance ils disposent d quipes m dico sociales char g es d tablir les valuations et les plans d aide dans le cadre de l APA E es CCAS bien identifi s par les usagers comme lieu d information et d intervention de proxi mit Celui de Dijon par convention assure l valuation des plans d aide en direction des personnes g es d pendantes relevant de son territoire mla MSA qui value par convention les plans d aide en direction des ressortissants du r gime agricole mla CRAM qui oriente son action sociale en direction des personnes g es relavant des GIR 5et6 etc Objectifs gt Str
3. Accueil de jour H b Temporaire 24 Capacit totale 19 144 20 64 55 356 Pays Plaine de Sa ne Vingeanne L offre existante Etablissement Type Lits Accueil H b Capacit d tablis permanents de jour Temporaire totale Le Val de Sa ne Foyer 68 68 Rue Mignotte Logement 21130 AUXONNE H pital Local H pitaux 190 190 d Auxonne 5 rue Colonel Denfert 21130 AUXONNE V et F Moussier Maison 97 97 3 rue du Centre de Retraite 21130 ATHEE MAPA Maison 20 20 Fontaine Francaise de Retraite Rue des Murots 21610 FONTAINE FRANCAISE Fontaine aux Roses Maison 78 78 Route de Dijon de Retraite 21310 MIREBEAU SUR BEZE Les Jardins Priv 52 52 d Ascl pios Lucratif Rue de Sports Combe Jaye 21310 BELLENEUVE Total places 505 0 0 505 Pays Plaine de Sa ne Vingeanne Pour une C te d Or de tous les ges Territoire SCOT Dijonnais Etablissement George Sand 14 rue Georges Sand 21300 CHENOVE Marcel Jacquelinet 65 route de Dijon 21600 LONGVIC La Combe Saint Victor Rue Combe aux M tiers 21800 NEUILLY LES DIJON Les Marronniers 3 rue du Lyc e 21000 DIJON Bois Jolis 53 A rue du Fg Raines 21000 DIJON Sully 23 H rue Recteur Marcel Bouchard 21000 DIJON De Guise 2 mont e de Guise 21000 DIJON Jean Jaur s 33 B avenue Jean Jaur s 21000 DIJON Les Poussots 6 A rue Ernest Champeaux 21000 DIJON Schumann 42 rue de Lenti
4. Evaluation gt Evolution de l intervention des SSIAD et des services d aide domicile au sein des tablisse ments pour personnes handicap es et des SAVS au sein des EHPAD ce qui n cessitera une volu tion du r f rentiel en vigueur ce jour gt Nombre d unit s d accueil adapt es cr es au sein des EHPAD gt Nombre de personnes g es handicap es accueillies par type d tablissement b les migrants vieillissants et les personnes g es marginalis es Le vieillissement des migrants commence se poser avec acuit d autant que leur situation appara t souvent aggrav e isolement faibles ressources difficult s d acc s aux dispositifs de droit commun vieillissement pr coce et habitat peu adapt La plupart des foyers de travailleurs migrants confirment ainsi la pr sence croissante de r sidents qui ne sont plus des travailleurs et qui vieillissent en foyer autour de 30 de la population accueillie Loin d tre une hypo th se la vieillesse est donc organiser au sein de ses structures La solution n est pas en effet sys t matiquement rechercher l ext rieur co t lev de l alternative institutionnelle et probl mes de cohabitation car le foyer est consid r comme un domicile o une vie enti re s est d roul e La volont de l Etat et du D partement de la C te d Or n est pas d inventer une politique vieil lesse immigr s mais bien plut t de parvenir
5. gt Bilan des actions de formation et d information conduites gt Evolution des statistiques de sant Pour une C te d Or de tous les ges 3 4 Mettre en place des dispositifs d alerte permettant une r activit en p riode de crise Suite au drame de la canicule survenu en ao t 2003 le Pr fet et le Pr sident du Conseil G n ral se sont engag s conjointement et localement dans une mission d valuation et d expertise sur les effets de la canicule sur les personnes g es Cette mission a permis de faire un bilan appro fondi de la crise et de formuler des recomman dations pour tenter de pr venir la r p tition des graves cons quences humaines entra n es par les pisodes de canicule La loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la partici pation et la citoyennet des personnes handica p es est venue par la suite pr voir mla mise en place d un dispositif de veille et d alerte au profit des personnes g es et des personnes handicap es vivant domicile Plan Vermeil mE l laboration d un Plan Bleu qui fixe le mode g n ral d organisation de chaque tablisse ment d h bergement collectif pour les person nes g es en cas de crise et de d clenchement du dispositif d alerte par le Pr fet Objectif gt Mettre en place des dispositifs d alerte permet tant une r activit en p riode de crise Actions prioritaires En alerte de niveau 1 vigilanc
6. leurs gards semblent les nier en tant que personnes La loi du 2 janvier 2002 offre un cadre juridi que sur lequel prendre appui afin de r no ver les m thodes d intervention L esprit de la loi ne prendra toutefois corps que dans Garantir la mise en uvre effective des droits et libert s son inscription dans la vie quotidienne et les rapports humains L Etat et le Conseil G n ral de la C te d Or souhaitent accompagner les professionnels dans cette d marche assurer un suivi social de qualit et de proximit et lutter contre les ph nom nes de maltraitance CS S Pour une C te d Or de tous les ges 1 3 Accompagner les professionnels dans la mise en uvre des outils qui garantissent les droits et libert s des personnes g es La loi n 2002 2 du 2 janvier 2002 a fait du droit des usagers une question d cisive Elle a nonc sept principes le respect de la dignit de l int grit de la vie priv e de l intimit et de la s cu rit le libre choix entre le maintien domicile et l admission dans un tablissement sp cialis le droit l individualisation et la qualit de la prise en charge et de l accompagnement la confidentialit l acc s du b n ficiaire toute information ou document relatif sa prise en charge l information de l usager sur ses droits fondamentaux la participation directe de la per sonne la conception et la mise en uvre du projet
7. la question de transports en milieu rural E la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es est venue renforcer les exigences en mati re d accessibilit la cha ne du d placement qui comprend le cadre b ti la voirie les am nagements des espaces publics les syst mes de transport et leur intermodalit doit tre organis e pour permettre son accessibilit dans sa totalit aux personnes handicap es ou mobilit r duite dans un d lai de 10 ans les autorit s organi satrices de transport R gions D partements Intercommunalit s Communes doivent ren dre accessibles aux personnes handicap es et mobilit r duite les services de transport col lectif dont elles ont la charge et laborer dans un d lai de trois ans un sch ma directeur d ac cessibilit de ces services Ce sch ma fixera la programmation de mise en accessibilit des r seaux existants et d finira les modalit s de l accessibilit des diff rents types de transport A noter que la mise en uvre de cette loi n ces sitera une collaboration accrue entre les diff rentes autorit s organisatrices de transport Conseil R gional Conseil G n ral intercommu nalit s et les communes responsables de l am nagement de la voirie Le Conseil G n ral de la C te d Or participe d ores et d j au soutien des dessertes locales mises e
8. prendre en compte la particularit des situations rencontr es Par ailleurs il est apparu l examen de cette question sp cifique que la situation des travail leurs migrants g s tait tr s proche de celle des personnes g es marginalis es pour lesquel les il convient de d velopper une offre d h ber gement adapt e A noter qu il existe en C te d Or depuis 1993 une Maison d Accueil pour Personnes Ag es Marginalis es A vocation sociale non m dicali s e il s agit d une structure ouverte sur la ville qui accueille des personnes g es valides en rupture de liens sociaux familiaux ou amicaux Son objectif est d aider des hommes et des fem mes ayant connu la gal re trouver un qui libre pour ventuellement permettre leur orien tation vers une maison de retraite tradition nelle ou m dicalis e Les actions engag es en leur direction s inscrivent dans le cadre d une prise en charge globale logement sant loisirs culture et tendent am liorer leur capacit n gocier avec les autres leur entourage les ser vices et les institutions Le fonctionnement de la MAPAM est li celui du Foyer de la Manutention Centre d H bergement et de R insertion Sociale et la cohabitation interg n rationnelle est de mise au quotidien A ce jour 30 personnes sont accueillies dans ce cadre CN ul e Pour une C te d Or de tous les ges Objectifs gt Am liore
9. 10 7 19 4 19 4 22 4 22 4 25 6 25 6 30 1 30 1 37 1 France m tropolitaine 21 3 Bourgogne 24 7 C te d Or 20 6 Pour une C te d Or de tous les ges Un vieillissement plus accentu sur l axe Is sur Tille Beaune l horizon 2010 La population des 60 ans et plus devrait conna tre une forte progression sur l axe Is sur Tille Beaune et tout sp cialement dans l ensemble de l aire urbaine de Dijon Cette augmentation concernera galement dans une moindre pro portion les cantons de Ch tillon sur Seine Montbard et Semur Ra En Beaune Nord 12 1 Beaune Sud 12 6 A l inverse dans le sud ouest du d partement ainsi que dans les cantons d Aignay le Duc et Montigny sur Aube la population de 60 ans et plus devrait diminuer Taux d volution 5 6 0 4 0 4 1 5 1 5 6 3 6 3 12 4 12 4 28 0 Dijon 1 canton 14 6 Dijon 2 canton 32 9 Dijon 3 canton 12 Dijon 4 canton 9 6 Dijon 5 canton 22 8 Dijon 6 canton 6 5 C te d Or 12 5 B L impact des conditions de vie et d habitat Vivre seul un ph nom ne qui s intensifie en milieu urbain et dans les territoires les plus ruraux Comme dans l ensemble des d partements fran ais un peu plus du quart des habitants de 60 ans ou plus de C te d Or vivent seuls D une mani re g n rale le mode de vie isol est plus fr quent en milieu urbain
10. Accueil de jour H b Temporaire L offre existante Capacit totale 90 76 77 84 55 286 75 68 24 100 65 Pour une C te d Or de tous les ges suite Territoire SCOT Dijonnais Etablissement Le Val Sully 4 rue Jean Sans Peur 21850 SAINT APOLLINAIRE MAPAM de la S D A T 5 bis rue de la Manutention 21000 DIJON Notre Dame de la Visitation 6 rue Cr billon 21000 DIJON La Providence 101 rue de Talant 21000 DIJON Le Doyenn des Grands Crus 46 boulevard Henri Bazin 21000 DIJON Ma Maison 35 boulevard de Strasbourg 21000 DIJON Les Hortensias 16 rue Saint Vincent de Paul 21000 DIJON L Esp rance 24 rue de Gray 21000 DIJON Saint Joseph 14 rue du Moulin 21490 SAINT JULIEN Les Roches d Org res Rue du Lavoir 21410 FLEUREY SUR OUCHE Les Oph liades ZAC Les Hauts de Pouilly 15 rue Jean Giona 21000 DIJON Type d tablis Maison de Retraite Maison de Retraite Maison de Retraite Priv Lucratif Priv Lucratif Priv Lucratif Priv Lucratif Priv Lucratif Priv Lucratif Maison de Retraite Priv Lucratif Lits permanents 20 30 55 86 91 78 80 85 30 62 80 Accueil de jour 1 H b Temporaire Capacit totale 21 30 55 86 100 78 86 85 30 65 97 suite Territoire SCOT Dijonnais Etablissement Les Nymph as
11. Les personnes peu vent b n ficier d une valuation globale de leur situation par une quipe pluridisciplinaire sp cialis e quel que soit leur r gime de retraite et se voir proposer un plan d aide individualis r ali sation de travaux apport d aides techniques Depuis sa cr ation en 2001 le dispositif a fait l objet de deux valuations dont l une d entre elle a t effectu e par le r seau des consultants en g rontologie dans le cadre de l expertise des CLIC exp rimentaux Au total ce sont 1 200 per sonnes qui ont b n fici d APH 21 En moyenne Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales ce sont aujourd hui 400 dossiers qui sont trait s chaque ann e Concernant les demandes de tra vaux 80 concernent l adaptation de salles de bains et de sanitaires et dans 90 des cas il n in combe aucun reste charge aux personnes Les aides techniques sont elles concentr es sur les aides la toilette et aux transferts une participa tion financi re compl mentaire des b n ficiaires est g n ralement n cessaire elle varie en moyenne selon les caisses de retraite et les reve nus des b n ficiaires de 80 1 700 Pour les personnes g es ne pouvant b n ficier d APH 21 dans les cas o notamment les caisses de retraite dont elles rel vent ne sont pas signa taires de la convention APH 21 ou encore si les travaux qu elles so
12. liorer l accompagnement des personnes g es pendant la phase de r alisation des tra vaux o de premi re utilisation des aides tech niques E travailler avec les f d rations du b timent pour un partenariat qualitatif sur l adaptation de l habitat laboration d une charte qualit m exp rimenter les nouvelles modalit s d accueil des personnes g es pendant la dur e des tra Vaux Evaluation gt Suivre l tat d avancement du projet de r per toire d partemental gt Nombre de dossiers trait s dans le cadre d APH 21 montant restant charge des b n ficiaires d lai de r alisation valuation de la satisfaction des b n ficiaires d APH 21 2 4 Aider les aidants et ou d velopper les services innovants et les modes d accueil alternatifs Les personnes g es sont souvent contraintes de choisir entre le domicile et l tablissement Or certaines d entre elles pourraient demeurer plus longtemps domicile s il existait des possibilit s accrues d aide au r pit des services plus tendus domicile portage de repas t l alarme gardes de nuit itin rantes lavage de linge d pan nage et ou des structures interm diaires sus ceptibles de relayer les aidants Il convient ainsi de rappeler que 80 des personnes g es les plus d pendantes vivent domicile gr ce une forte implication familiale et des solidarit s de voisinage Les aidants se heurtent cependant un certain no
13. tance gt Elaborer une proc dure de traitement des signalements sous co pilotage Conseil G n ral DDASS et former les acteurs de terrain la d tection des situations de maltraitance gt Cr er un observatoire de la maltraitance en s appuyant sur les dispositions de la circulaire n 2002 280 du 3 mai 2002 relative la pr ven tion et la lutte contre la maltraitance envers les adultes vuln rables afin de mener des actions de pr vention qui pr voit d une part la cr ation d un comit d partemental de pr vention et de Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es lutte contre la maltraitance afin de mener des actions g n rales d analyse de donn es et de pr vention et d autre part la cr ation d une cellule inter institutionnelle de traitement et de suivi des signalements gt Signer des conventions inter institutionnelles pour mobiliser l ensemble des partenaires concern s par la pr vention et la lutte contre la maltraitance gt Travailler le lien avec la justice pour les situa tions d urgence notamment Evaluation gt Evolution et suivi des signalements Pour une C te d Or de tous les ges dans la soci t Les personnes g es constituent un groupe social qui se trouve le plus souvent d fini par un ensemble de projections n gatives troubles du comportement per tes d autonomie d pendance co t des aides apporter qui
14. te d Or l association ALMA all maltrai tance des personnes g es cr e en mars 2002 vient en aide aux personnes g es victimes de maltraitance Elle a notamment mis en place un centre d coute o se relaient une dizaine de b n voles form s Les informations qu ils recueillent sont transmises des r f rents pro fessionnels dans les domaines de la g rontologie qui apr s analyse et r flexion rappellent et orien tent les appelants afin de permettre ces derniers d uvrer eux m me la r solution de leurs diffi cult s en utilisant les aides et services existants En 2004 130 appels ont t ainsi enregistr s et 38 dossiers de maltraitance ouverts Cette associa tion uvre galement la sensibilisation du grand public et des professionnels en organisant tout au long de l ann e de nombreuses conf rences Objectif gt Optimiser la pr vention et la lutte contre la mal traitance Actions prioritaires gt Relayer les campagnes d information organi s es par l association ALMA gt Interpeller tous les acteurs de terrain pour orga niser des formations permettant de pr venir ou de d tecter des situations de maltraitance gt Faire un tat des lieux des diff rents interve nants dans l action contre la maltraitance CRAM antenne ALMA CLIC quipe m dico sociale de l APA et r fl chir l organisation du suivi et de la mise en uvre de la politique contre la maltrai
15. C te d Or CLIC du CCAS de Beaune CLIC de la Mutualit Fran aise C te d Or CLIC du Val de Sa ne Adresse CCAS de la Ville de Dijon 14B rue du Chapeau Rouge 21000 DIJON T l 03 80 58 98 28 CCAS de la ville de Chen ve 33 rue Armand Thibault 21300 CHENOVE T l 03 80 51 55 54 Maison de retraite Jeanne Pierrette Carnot 6 rue du Docteur Lavirotte 21340 NOLAY T l 03 80 21 75 15 R seau g rontologique de Haute C te d Or Rue Auguste Carr BP 80 21506 MONTBARD cedex T l 03 80 89 72 58 Mairie de Beaune BP 91 21206 BEAUNE cedex T l 03 80 24 56 68 2 rue du Tamisot 21200 GEVREY CHAMBERTIN Place d Armes 21170 SAINT JEAN DE LOSNE T l 03 80 29 17 31 L offre existante Zone d intervention Ville de Dijon Ville de Chen ve Liernais Pouilly Arnay Bligny Nolay Saulieu Pr cy Vitteaux Semur Venarey Baigneux Aignay Montbard Recey Ch tillon Laignes Montigny Beaune Nuits Saint Georges Genlis Chen ve Sombernon Dijon 1 2 et 5 Fontaine les Dijon Saint Seine l Abbaye Is sur Tille Grancey Selongey Seurre Saint Jean de Losne Auxonne Pontailler Mirebeau Mirebeau Fontaine Fran aise Pour une C te d Or de tous les ges 2 2 L accueil en tablissement Pays de l Auxois Morvan C te d Orien Etablissement H pital Local 2 rue des Capucines 21230 ARNAY LE DUC Les Marronniers Place Martin Dosse 21430 LIERNAIS CHIC Ch tillon Mont
16. Les proportions les Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e plus importantes de 28 34 sont trouv es dans les principales villes mais aussi dans des cantons ruraux comme ceux de Liernais Saulieu Sombernon Venarey Les Laumes Aignay le Duc 2 16 1 23 23 25 25 26 3 26 3 27 9 27 9 34 3 France m tropolitaine 27 1 Bourgogne 27 4 C te d Or 27 3 Pour une C te d Or de tous les ges Des logements globalement plus confortables mais qui restent majoritairement inadapt s la survenue de la d pendance Les logements sans confort sont devenus de plus en plus rares avec les ann es 1 800 sur un total de 67 000 Ils ne repr sentent plus que 2 7 des r sidences principales dont la per sonne de r f rence a 60 ans ou plus Ils sont concentr s dans le canton d Is sur Tille pr s de 200 et de Vitteaux pr s de 100 Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e Nombres 105 295 On compte cependant toujours pr s de L 296 494 29 000 logements sans chauffage central ren D 495 625 dant n cessaire quand survient une situation de d pendance l intervention quotidienne d un EM 686 1360 tiers au domicile pour assurer la mise en route M 1361 3491 et ou l alimentation du chauffage occup s par une ou plusieurs personnes de plus de 60 ans Ils sont les plus nombreux dans les cantons de Beaune Sud
17. R gionale des Affaires Sanitaires et Sociales 8 300 per sonnes seraient dans une situation de d pendance moyenne GIR 3 et 4 ou forte GIR 1 et 2 et il est d ores et d j plus proba ble que ce chiffre s l ve 9 000 ou 10 000 personnes au regard de l augmenta tion des demandes d APA et de l volution de la pr valence des d mences Toutefois les besoins en quipement n exploseront que dans dix quinze ans la pouss e d mo graphique actuelle concernant essentielle ment la tranche des 60 65 ans La progres sion du nombre d tablissements d h ber gement s av re cependant d ores et d j indispensable 300 places font actuelle ment d faut et la r alisation des projets en cours ne parviendra qu absorber la pous s e d mographique des cinq ann es venir L Etat et le Conseil G n ral de la C te d Or entendent agir concr tement dans le cadre d une politique pluriannuelle d quipe ments sp cifiques adapt s aux personnes g es m en achevant la m dicalisation et en pour suivant l am lioration de l accompagne ment de la d pendance au sein des ta blissements m en favorisant la cr ation d tablissements d h bergement pour personnes g es en situation de d pendance importante et dans les zones o le nombre de ces der ni res va cro tre rapidement m en adaptant les structures aux besoins de publics sp cifiques personnes en situa tion de handicap migrants vieillissa
18. Renforcer les liens entre g n rations Le r le et la place des personnes g es dans la soci t ne sont pas une nouveaut dont il conviendrait de se pr occuper sous l impulsion de l inversion de la pyramide des ges Ils sont d ores et d j une r alit vidente que chacun par son exp rience personnelle et familiale peut mesurer Une fraction grandissante de la popula tion qui a cess d tre professionnellement active reste aujourd hui socialement engag e gr ce des activit s de b n volat et d change Ces hommes et ces femmes refusent d tre consid r s comme incapables de jouer un r le utile pour la communaut apr s la retraite leur participation doit donc tre encourag e et d ve lopp e Certains souffrent de surcro t de l image que la soci t moderne renvoie d eux Il convient de promouvoir cette nouvelle vague d engage ment social d une part pour les avantages qu elle procure la soci t et aux personnes g es elles m mes d autre part parce qu elle peut contribuer changer l image fr quemment n gative des retrait s et des personnes g es Le r le des communes de par l tendue de leur champ de comp tences mais surtout de par les relations de proximit qu elles entretiennent avec les personnes g es est essentiel dans cette pers pective Ainsi l instigation de la mairie de Saint Apollinaire un complexe immobilier pour toutes les g n rations a pu voir le jour dans cet
19. arr t du 26 avril 1999 sup pression des chambres trois lits et diminution des chambres deux lits Actions prioritaires gt Sensibiliser les lus la n cessit de prendre en compte les besoins en quipements m dico sociaux dans les projets de territoire et les docu ments d urbanisme conform ment l article 51 de la loi du 11 f vrier 2005 les communes et leurs groupements sont tenus d inscrire dans leurs documents d urbanisme les r serves fon ci res correspondant aux quipements pr vus par le sch ma d partemental d organisation sociale et m dico sociale Dans le cadre de la proc dure d autorisation retenir les tablissements qui m prendront en charge les personnes les plus d pendantes GIR 1 2 voire 3 ce qui implique une anticipation de l volution du GMP par les cr dits de l assurance maladie Aujourd hui en effet compte tenu des d lais constat s pour l obtention des cr dits de l assurance maladie en cas d augmentation significative du GMP les gestionnaires d tablissement sont conduits limiter l accueil de la population en situation de grande d pendance m s implanteront dans les zones o le nombre de personnes g es augmente fortement savoir sur le territoire couvert par le SCOT du dijon nais pour une capacit de l ordre de 300 places estimation r alis e sur la base des l ments disponibles ce jour et sur des sites qui per mettront une socialisation max
20. d aides m dico psychologiques sec teur hospitalier compris Si la mise en place de la validation des acquis de l exp rience pour les per sonnels non qualifi s aide m dico psychologique et aide soignante peut permettre d esp rer une am lioration relativement rapide pour ces deux m tiers la p nurie d infirmi res risque d tre plus permanente dur e de formation plus longue absence de VAE probl me d attractivit des EPHAD et particuli rement de ceux se situant en milieu rural Sur ces th matiques il convient de d ga ger des pistes d action avec le Conseil R gional res ponsable depuis la loi du 13 ao t 2004 des forma tions param dicales et sociales et de l organisation Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales du r seau de centres et points d information et de conseil sur la VAE Il est galement l instigateur en partenariat avec l ARH d une allocation territoriale d tudes destin e aux l ves infirmi res une aide financi re est vers e pendant toute la dur e de la formation partir de la deuxi me ann e contre un engagement exercer dans un tablissement de sant bourguignon pour une dur e de 36 mois A noter que pour la rentr e 2005 2006 cette alloca tion a t bonifi e pour les l ves qui signent un contrat de pr embauche avec un tablissement m dico social situ en zone rurale Objectifs gt Am
21. de son choix CD Pr server l autonomie et pr venir la pr ven tion de la d pendance est une n cessit pour l individu qui vieillit Droit aux soins toute personne g e d pen dante doit avoir comme tout autre acc s aux soins qui lui sont utiles Qualification des intervenants les soins que requiert une personne g e d pendante doi vent tre dispens s par des intervenants form s en nombre suffisant Respect de fin de vie soins et assistance doi vent tre procur s la personne g e en fin de vie et sa famille La recherche une priorit et un devoir la recherche multidisciplinaire sur le vieillissement et la d pendance est une priorit Exercice des droits et protection juridique de la personne toute personne en situation de d pendance doit voir prot g s non seulement ses biens mais aussi sa personne L information meilleur moyen de lutte contre l exclusion l ensemble de la population doit tre inform des difficult s qu prouvent les per sonnes g es d pendantes Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es de leur existence Trop souvent d s lors qu elles sont entr es dans ce qu il est convenu d appeler le qua tri me ge les personnes se trouvent dans l impossibilit de d cider pour leur propre compte tort leur d faut de protestation est souvent assimil une approbation tacite ou du d sint r
22. la cr ation d un dispositif de tutorat m soutenir les associations prestataires dans leurs actions de formation et de validation des acquis des personnels afin d am liorer signifi cativement la qualit des prestations offertes gt D velopper des campagnes d information et de communication en lien avec les diff rents partenaires Education Nationale Conseil R gional missions locales maisons de l emploi pour valoriser les m tiers de l aide domicile et susciter des vocations gt Animer une journ e d partementale avec les auxiliaires de vie sociale autour de plusieurs ate liers d veloppement de l autonomie accompa gnement la fin de vie gt Continuer de favoriser l activit prestataire en engageant notamment une r flexion sur les moyens pouvant favoriser le recours au prestataire Pour une C te d Or de tous les ges Evaluation gt Evolution du nombre de formations qualifiantes propos es et du nombre de personnes qualifi es gt Evolution du nombre de personnes employ es par les services prestataires temps plein gt Evolution du taux de couverture d partemental gt Evolution des interventions des diff rents sys t mes prestataire mandataire gr gr gt Bilan de la journ e d partementale auxiliaire de vie sociale 2 3 Poursuivre les efforts engag s en direction de l adaptation de l habitat L adaptation du logement est souvent une condition essenti
23. moyenne 84 ans et en situation de d pendance lourde la dur e moyenne de s jour n est plus que de deux ann es et des disparit s d quipements sur le D partement Le d ficit peut tre valu 300 places d ici 2010 Capacit Capacit volution volution h bergement h bergement capacit population au 31 12 2004 a minima h bergement 65 ans horizon 2010 1 Pays de l Auxois Morvan C te d Orien 1314 1259 4 18 5 05 2 Pays Beaunois 1393 1393 o 0 82 3 Pays Ch tillonnais 350 350 o 288 4 Pays Plaine de Sa ne Vingeanne 500 500 o 0 80 5 Pays Dijonnais 2659 2937 10 45 8 24 6 Pays Seine et Tilles en Bourgogne 210 234 11 42 4 15 6 426 6673 3 84 3 74 La capacit d h bergement a minima l horizon 2010 a t calcul e en int grant la r alisation des pro jets autoris s au 31 12 2004 A noter que le taux d occupation est voisin de 95 Source Les r sidents des tablissements bour guignons d h bergement pour personnes g es en 2003 DRASS de Bourgogne mai 2005 a Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales Objectifs Soutenir en tant que de besoin les cr ations de places en privil giant l axe Is sur Tille Dijon Sud et dans un premier temps le territoire couvert par le SCOT du dijonnais Am liorer le confort des tablissements mise en conformit avec l
24. rentes solutions mises en place dans d autres d partements gt Elaborer les sch mas directeurs d accessibilit des transports collectifs Evaluation gt Rapport d valuation de l exp rience de trans port la demande gt R glement d intervention soumis l assem bl e d partementale gt Etat des lieux d partemental des dispositifs existant en faveur du d veloppement de la mobilit des personnes g es et handicap es gt Production des sch mas directeurs d accessi bilit des transports collectifs 1 7 uvrer l volution des mentalit s Les repr sentations actuelles de la vieillesse contribuent assimiler ce temps de la vie la d pendance et la perte d autonomie Les acteurs des politiques g rontologiques sont convaincus de la n cessit g n rale de promou voir une image plus positive et plus proche de la r alit des retrait s et des personnes g es Objectif gt V hiculer une image positive de la vieillesse Actions prioritaires gt initier des actions de communication v hicu lant une image positive et respectueuse des retrait s et des personnes g es gt Organiser en lien avec le CODERPA un collo que sur les droits et libert s des personnes g es et leur place dans la soci t Evaluation gt Campagne de communication gt Actes du colloque Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es 1 8
25. rontologique d partementale Structure juridique des CLIC et population servie CLIC CLIC du Val de Sa ne CLIC de Sud C te d Or CLIC du C C A S de Dijon CLIC de Haute C te d Or CLIC de Chen ve CLIC du C C A S de Beaune CLIC de la Mutualit Fran aise C te d Or Les territoires d intervention des CLIC CLIC CLIC du Val de Sa ne CLIC de Sud C te d Or CLIC du C C A S de Dijon CLIC de Haute C te d Or CLIC de Chen ve CLIC du C C A S de Beaune CLIC de la Mutualit Fran aise C te d Or Cadre juridique Population couverte promoteur nombre de personnes de 60 ans et plus Association du Val de Sa ne 11 561 E H P A D 6 521 C C A S 28 460 Association du r seau 17 988 g rontologique de Haute C te d Or C C A S 3 309 C C A S 7718 Association d aide domicile 29 371 Cantons Pays UTAS 6 Seurre Saint Jean de Losne 2 pays 2 Genlis Auxonne Pontailler Plaine de Sa ne et Beaune Mirebeau Fontaine Fran aise pays beaunois 5 Liernais Pouilly Arnay 2 pays de l Auxois 1 Beaune Bligny Nolay pays beaunois Ville de Dijon SCOT Dijon 3 Chen ve Dijon Gr silles Dijon Fontaine d Ouche 2 pays de l Auxois 1 Montbard de mani re parfaite 12 Saulieu Pr cy Vitteaux Semur Venarey Baigneux pays Aignay Montbard Recey du Ch tillonnais Ch tillon Laignes Montigny SCOT Dijon Chen ve Ville de Chen ve 2 Beaune Nord Beaune Sud 1 pays b
26. s des personnes g es Ces groupes de travail ont rassembl au total une centaine de profes sionnels qui se sont r unis pr s de 40 fois rie Plan d partemental d actions PAGES Objectif 1 Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es 13 Pour que l affirmation des droits et libert s des personnes g es ne soit pas qu incantatoire Donner les moyens aux personnes g es d tre actrices de leur existence 1 1 B tir une politique d information et de communication adapt e snsza2ar ne 16 Favoriser l expression individuelle et collective des personnes g es 1 2 Conforter le r le des instances collectives CODERPA mr 18 e Garantir la mise en uvre effective des droits et libert s des personnes g es 1 3 Accompagner les professionnels dans la mise en uvre des outils qui garantissent les droits et libert s des personnes g es ccc 20 1 4 Assurer le suivi social des personnes g es 1 5 Pr venir et lutter contre la maltraitance E T AE EEA P IE E 22 Reconna tre et promouvoir la place des personnes g es dans la soci t 1 6 R activer le lien social entre les g n rations nn 25 1 7 Faciliter la mobilit des personnes g es sereine 20 1 8 uvrer l volution des mentalit s 27 Objectif 2 Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales 29 e L ac
27. t Prendre en compte leur choix est important et ce non seulement pour des raisons id o logiques ou relatives la promotion de valeurs la mode Les individus qui ont le sentiment d tre acteurs de leur existence s en sortent mieux et sont plus ind pen dants que lorsqu ils manquent de contr le sur leur environnement Ce sont en effet ceux qui gardent le contr le sur leur vie qui se sentent dignes Donner les moyens aux personnes g es d tre actrices Il est donc essentiel comme l affirment les articles 2 et 3 de la loi du 2 janvier 2002 l action sociale et m dico sociale tend promouvoir l autonomie des personnes elle est conduite dans le respect de l gale dignit de tous les tres humains de don ner les moyens aux personnes g es d tre actrices de leur existence Dans les situa tions o des personnes seules ne sont plus capables de s assumer pleinement il appar tient donc alors aux aidants de leur confir mer une place en tant qu individu avec une position sociale et un pouvoir de d cision Afin de permettre aux personnes g es de reprendre en main leur existence il est n cessaire de b tir une politique d informa tion et de communication adapt e Pour une C te d Or de tous les ges 1 1 B tir une politique d information et de communication adapt e En d pit de l existence de nombreux documents de communication manant de l ensemble des acteurs tablissem
28. 05 Parc des Grands Crus 601 avenue du 14 Juillet BP 87 21302 CHENOVE T l 03 80 51 47 51 Fax 03 80 51 04 02 89 avenue du Lac 21000 DIJON T l 03 80 41 66 66 Fax 03 80 59 16 13 Rue Auguste Carr BP 80 21506 MONTBARD C dex T l 03 80 89 77 77 Fax 03 80 89 77 99 Rue des Capucins 21130 ARNAY LE DUC T l 03 80 90 28 00 Fax 03 80 90 28 10 Nombre de places Nombre de places autoris es 442 123 82 55 financ es 410 123 70 47 12 10 Identification de la structure SSAD H pital de Nolay SSAD H pital de Nuits St Georges SSAD H pital de Saulieu SIVU Ch tillonnais Montagne SSAD H pital d Is sur Tille SSAD H pital de Vitteaux Adresse Route de Cirey 21340 NOLAY T l 03 80 21 70 64 Fax 03 80 21 71 46 55 rue Henri Challand 21700 NUITS SAINT GEORGES T l 03 80 62 67 00 Fax 03 80 62 67 01 8 rue Courtep e 21210 SAULIEU T l 03 80 90 55 05 Rue Saint Antoine 21450 SAINT MARC SUR SEINE T l 03 80 93 26 78 21120 IS SUR TILLE T l 03 80 95 62 62 21350 VITTEAUX T l 03 80 33 91 91 L offre existante Nombre de places Nombre de places autoris es 20 20 25 20 20 12 financ es 12 20 25 Pour une C te d Or de tous les ges C Les CLIC Nuits Saint Georges Identification de la structure CLIC de Dijon CLIC de Chen ve CLIC du Sud C te d Or CLIC de Haute
29. 1 Accueil de jour 11 H b Temporaire 25 L offre existante Capacit totale 91 235 20 64 48 209 168 1397 Pour une C te d Or de tous les ges Pays Beaunois Etablissement Centre Hospitalier Philippe Le Bon Avenue Guigone de Salins BP 104 21203 BEAUNE Cedex Sant et Bien tre 7 rue des Tonneliers 21200 BEAUNE Les Feuilles d Or 10 place de la R publique 21190 MEURSAULT Les Bruy res Rue Chaffotte 21200 BEAUNE Domicile prot g ADMR Marey Monge Rue Marey Monge 21630 POMMARD Les Primev res Route de Gigny 21200 BEAUNE Les Oph liades 3 all e Maryse Basti 21200 BEAUNE Auguste Arvier 9 route de Dijon 21360 BLIGNY SUR OUCHE Jeanne Pierrette Carno 6 rue du Docteur Lavirotte 21340 NOLAY Type d tablis H pitaux Maison de Retraite Priv Lucratif Priv Lucratif Appartement Prot g Foyer Logement Priv Lucratif Maison de Retraite Maison de Retraite Lits permanents 256 69 19 80 85 80 52 89 Accueil de jour 4 H b Temporaire 4 Capacit totale 264 69 80 85 87 52 89 Etablissement Les Verdaines 30 avenue des Sources 21590 SANTENAY LES BAINS Les Opalines 7 avenue Sources 21590 SANTENAY Jules Sauvageot 2 rue Jean Moulin 21700 NUITS SAINT GEORGES H pital Local 6 rue Henri Challand BP 89 21700 NUITS SA
30. 30 rue de la Confr rie 21121 FONTAINE LES DUON Robert Grandjean 1 rue Gimbsein 21240 TALANT Les Fassoles 20 rue des Fassoles 21240 TALANT L Et Indien 14 chemin des Croillerans BP 45 21121 DAIX Belfontaine 3 rue Georges Bourgoin 21121 FONTAINE LES DIJON R s des Ducs de Bourgogne Parc d activit de Sant amp de Recherche Route de Saussy 21380 MESSIGNY ET VANTOUX Les Opalines Impasse des Jardins 21121 HAUTEVILLE R sidence du Parc 5 rue de la Prairie 21110 GENLIS Home de l Oucherotte 24 route de Dijon 21110 AISEREY La Croix Violette Brochon 7 rue Stephen Li geard 21220 BROCHON De Vigne Blanche 8 rue Nierstein 21220 GEVREY CHAMBERTIN Total places SCOT Dijonnais Type d tablis Foyer Logement Foyer Logement Maison de Retraite Priv Lucratif Maison de Retraite Priv Lucratif Priv Lucratif Foyer Logement Priv Lucratif Priv Lucratif Maison de Retraite Lits permanents 83 79 120 59 80 58 62 79 31 62 2 646 Accueil de jour 58 H b Temporaire 44 L offre existante Capacit totale 83 79 120 69 90 63 62 79 33 62 Pour une C te d Or de tous les ges Pays Seine et Tilles en Bourgogne Etablissement Type Lits Accueil H b Capacit d tablis permanents de jour Temporaire totale H pital Local d Is sur Tille H pitaux 95 95 21 rue Vic
31. INT GEORGES La Sa ne 1 place d Armes 21170 SAINT JEAN DE LOSNE H pital Local Ernest No l 14 rue Fg Saint Georges 21250 SEURRE Cordelier Route de Chivres 21820 LABERGEMENT LES SEURRE Total places Pays Beaunois Type d tablis Priv Lucratif Priv Lucratif Foyer Logement H pitaux Maison de Retraite H pitaux Maison de Retraite Lits permanents 61 75 66 124 132 131 49 1373 Accueil de jour H b Temporaire 19 30 L offre existante Capacit totale 80 75 68 124 132 131 49 1410 Pour une C te d Or de tous les ges Pays Ch tillonnais Etablissement Les Tilleuls Rue des Tilleuls 21450 BAIGNEUX LES JUIFS CHIC Chatillon Montbard BP 111 21402 CHATILLON SUR SEINE La Maison de Th r se Voie d Avril 21400 AISEY SUR SEINE La Charme Promenade de la Charme 21400 CHATILLON SUR SEINE Petites S urs des Pauvres Le Ch teau Rue Moulin 21400 POTHIERES MR Laignes Village 21330 LAIGNES L Aube d Or Vieille route de Dijon 21520 MONTIGNY SUR AUBE Lacordaire Rue Lacordaire 21290 RECEY SUR OURCE Type d tablis Foyer Logement H pitaux Maison de Retraite Maison de Retraite Priv Lucratif Maison de Retraite Maison de Retraite Maison de Retraite Total places Pays Ch tillonnais a5 Lits permanents 19 137 17 64 55 19 16 327
32. aires et Sociales conduite en octobre 2004 7 600 personnes en C te d Or souffrent de d mence dont 480 seule ment b n ficient de l Allocation Personnalis e d Autonomie La d mence est une maladie et rel ve en cons quence du SROS 2006 2010 actuellement en cours d laboration A titre d information les pre mi res orientations pr voient m e d veloppement d une politique forte et coordonn e de formation professionnelle la psychog riatrie en faveur des m decins et des personnels param dicaux tant en formation initiale qu en formation continue E e renforcement en comp tences psychog ria triques des centres r f rents de g riatrie CHU CH de Beaune et de Ch tillon Montbard m a cr ation d unit s d hospitalisation de jour avec des places d di es la g rontopsychiatrie m e d veloppement des relations avec les h pi taux locaux E e positionnement du CHU p le de r f rence au sein du territoire vocation d enseigne ment et de recherche et de soins en t te de pont hospitalo universitaire d un r seau de prise en charge de la psychog riatrie s ap puyant sur les structures existantes Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales Il est en outre n cessaire de mettre en place un accompagnement global en faveur des person nes atteintes de cette pathologie Quand l entr e en institution s impose plusieurs t
33. ans le canton de Ch tillon sur Seine 100 Montbard 75 Semur en Auxois 60 et dans les cantons du sud est du d partement plus de 60 A noter que la proportion de personnes pr sen tant une d pendance moyenne ou forte varie de fa on tr s sensible selon les cantons de 1 4 pour les GIR 3 et 4 et de 1 3 pour les GIR 1 et 2 Nombres 3 15 16 34 35 59 60 85 86 115 Dijon 1 canton 95 Dijon 2 canton 85 Dijon 3 canton 91 Dijon 4 canton 60 Dijon 5 canton 113 Dijon 6 canton 122 Dijon 7 canton 89 Dijon 8 canton 85 Chen ve 115 Total C te d Or 2 296 Pour une C te d Or de tous les ges Plus de 8 300 personnes seraient dans une situation de d pendance moyenne ou forte l horizon 2010 Selon des projections du service statistique de la DRASS la C te d Or compterait en 2010 plus de 8 300 personnes pr sentant une d pendance moyenne GIR 3 4 ou forte GIR 1 2 Compte tenu de la structure de la population et de son a P Beaune Nord 269 Beaune Sud 331 volution r cente ces personnes de plus de 65 ans seraient plus nombreuses dans le quart sud est du d partement mais aussi Ch tillon sur Seine Montbard Semur en Auxois et Venarey Les Laumes Effectifs 23 76 77 141 142 193 194 300 301 472 Dijon 1 canton 410 Dijon 2 canton 368 Dijon 3 canton 321 Dijon 4 canton 362 Di
34. ant une r activit en p riode de crise ga Pour une C te d Or de tous les ges 3 1 Renforcer le r le et les missions des CLIC Les Centres Locaux d Information et de Coordination CLIC sont n s de la volont du l gislateur de garantir aux personnes g es le droit qui leur est reconnu de rester leur domi cile en d veloppant une approche globale et personnalis e du besoin d aide la fois par la coordination des aides et la pr servation de la qualit de vie Les CLIC sont en cons quence charg s sur un territoire donn de prendre en compte tous les aspects de la vie quotidienne des personnes g es soins accompagnement adaptation de l habitat vie sociale et de favori ser l utilisation d outils communs dossier uni que cahier de liaison grille d valuation rencon tres r guli res avec les intervenants Leurs missions varient et s toffent selon leur niveau de labellisation de 1 3 minformation des personnes g es et de leur famille ainsi que les professionnels sur les droits et d marches les moyens existants E valuation des besoins E orientation des personnes vers le dispositif ad quat E travail avec les familles aide aux aidants En C te d Or 7 CLIC port s par trois types de structures support distincts tous de niveaux 3 l exception de celui de Beaune de niveau 2 cou vrent l ensemble du territoire Piloter et coordonner la politique g
35. bard BP 80 21506 MONTBARD Cedex MR Saint Sauveur Village 21500 MOUTIERS ST JEAN Les Myosotis Rue de la Messe 21320 POUILLY EN AUXOIS Les Arcades Rue du G n ral de Gaulle 21320 POUILLY EN AUXOIS MR Pr cy sous Thil Rue de l Eglise 21390 PRECY SOUS THIL Le Beau Meunier 16 rue de Libard 21210 SAULIEU Saint Didier Rue Moisson 21530 ROUVRAY ES Type d tablis H pitaux H bergement temporaire H pitaux Maison de Retraite Foyer Logement Maison de Retraite Maison de Retraite Foyer Logement Foyer Logement Lits permanents 110 117 46 60 65 50 66 23 Accueil de jour H b Temporaire Capacit totale 110 124 46 60 65 50 66 23 Etablissement Centre Hospitalier Le Morvan 2 rue Court p e 21210 SAULIEU Centre Hospitalier Robert Morlevat 3 avenue Pasteur 21140 SEMUR EN AUXOIS La Tuilerie 9 rue de la Gare 21460 EPOISSES Les Perce Neige Rue Gu 21540 SOMBERNON Les Jardins d Alice Rue de la Combe de Fain 21370 VELARS SUR OUCHE H pital Local Chemin des Bains BP 9 21150 ALISE SAINTE REINE H pital Local Rue Gu niot 21350 VITTEAUX Type d tablis H pitaux H pitaux Maison de Retraite Foyer Logement Priv Lucratif H pitaux H pitaux Total places Pays de l Auxois Morvan C te d Orien Lits permanents 91 20 63 42 205 168 136
36. cahier des charges retra ant l ensemble des r gles respecter et de docu ments types destination des services aux per sonnes g es des tablissements d h berge ment livret d accueil r glement int rieur gt Production de la 3 dition du guide des a n s gt R alisation d enqu tes de satisfaction en direc tion des personnes g es sur la lisibilit de la documentation mise leur disposition Pour une C te d Or de tous les ges Il faut refuser toute d marche visant confi ner les personnes g es dans une position sp cifique li e leur ge et amputer leur droit d expression Le Conseil G n ral de la Favoriser l expression des personnes g es C te d Or souhaite conforter le r le des ins tances collectives notamment au travers du Comit D partemental des Retrait s et des Personnes Ag es CODERPA 1 2 Conforter le r le des instances consultatives La loi du 13 ao t 2004 relative aux libert s et res ponsabilit s locales a confi au D partement une comp tence g n rale en mati re d action g rontologique et a plac le Comit D partemental des Retrait s et Personnes Ag es en tant qu ins tance consultative aupr s du Pr sident du Conseil G n ral Le D partement de la C te d Or souhaite mettre profit cette volution pour donner la parole aux personnes g es Une repr sentation directe de ces derni res a donc t introduite ce
37. compagnement domicile 2 1 Etendre la couverture d partementale en Services de Soins Infirmiers Domicile SSIAD 30 2 2 Participer au d veloppement des services d aide domicile de qualit 31 2 3 Poursuivre les efforts engag s en direction de l adaptation de l habitat 34 2 4 D velopper les services innovants et les modes d accueil alternatifs 36 2 5 Professionnaliser l accueil familial 38 L accueil en tablissement 2 6 Am liorer l accompagnement de la d pendance au sein des tablissements O 2 7 Adapter la capacit d h bergement aux besoins des territoires A2 2 8 Adapter les structures l accueil de public sp cifique personnes handicap es travailleurs migrants et personnes g es marginalis es personnes atteintes de d mence once Objectif 3 Piloter et coordonner la politique g rontologique d partementale 3 1 Renforcer le r le et les missions des CLIC u 3 2 Structurer l intervention g rontologique sur les territoires ooeeeeccecreceeee 3 3 Renforcer l information et l ducation sur le bien vieillir initier des actions de pr vention seese 3 4 Mettre en place des dispositifs d alerte permettant une r activit en p riode de crise eee 3 5 Am liorer les relations ville h pital Etat des lieux 1 Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e 1 1 Donn es et perspectives d mographi
38. compagner la prise en compte de certains droits ou de certaines libert s gt Encourager les services de tutelle services domicile et les tablissements laborer des enqu tes de satisfaction Evaluation gt Mise en place d actions de formation gt Production du guide pratique Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es 1 4 Assurer le suivi social des personnes g es Les personnes g es quels que soient leur ge et leur niveau d autonomie doivent pouvoir b n ficier en tant que de besoin d un suivi social de qualit et de proximit Il est apparu r cemment par exemple que nombre d entre elles taient touch es par des ph nom nes de surendette ment en raison des garanties apport es par ces derni res des tiers Objectif gt Mieux coordonner l intervention des diff rents services sociaux aupr s des personnes g es afin d assurer un maillage du territoire et une veille permanente Actions prioritaires gt Structurer le partenariat existant entre le Conseil G n ral les principales caisses de retraite les principaux CCAS et les CLIC afin d as surer aux personnes g es un suivi social de qualit et de proximit gt Sensibiliser les personnels des UTAS Sites Solidarit et Famille sur les territoires aux pro bl matiques du vieillissement et aux besoins croissants exprim s par les populations concer n es dans les ann es
39. contribue faire des personnes g es une cat gorie stigma tis e d embl e par les probl mes qu elle est suppos e poser Le culte de l ternelle jeunesse l uvre dans notre soci t nour rit galement la d gradation de l image de la vieillesse Cette perception n gative du vieillissement est lourde de cons quences Si l on ne retient que l tat de passivit ou de d pen dance des personnes ces derni res se retrouvent sans pouvoir d change ou de n gociation Elles sont donc condamn es recevoir sans qu on leur permette de donner en retour et d veloppent une image peu positive d elles m mes conforme celle que leur renvoie la soci t Se pose alors la question de savoir si c est bien la vieillesse qui rend vuln rable ou alors l organisation de la soci t qui place les personnes g es en situation de vuln rabilit Reconna tre et promouvoir la place des personnes g es Or qui sont aujourd hui les personnes g es Ce sont des b n voles ou des tra vailleurs des enseignants ou des tudiants des tuteurs ou des personnes charge des aidants ou des aid s des m res ou des p res des grands m res ou des grands p res Les personnes g es jouent ainsi des r les tr s diversifi s leur seul point com mun tant finalement leur ge biologique Les personnes g es apportent quotidien nement notre soci t et continueront de le faire de plusieurs mani res Il co
40. d accueil et d accompagnement la concernant et d fini sept outils livret d accueil charte des droits et libert s de la personne le plan de d veloppement des services d aide la personne accueillie contrat de s jour le recours un tiers ext rieur le conseil de la vie sociale le r glement de fonctionnement et le projet d ta blissement ou de service La majorit des partenaires des politiques g rontologiques sont aujourd hui bien engag s dans cette d marche qui n est pas sans leur poser parfois question comment concilier une logique institutionnelle avec des attentes indivi duelles comment s assurer de la participation directe des personnes la conception du service quand celles ci se trouvent en situation de grande fragilit comment faire que le contrat de s jour ne se r sume pas qu un contrat num rant des prestations h teli res 2 Objectif gt Faciliter l appropriation de l esprit de la loi par les professionnels et la mise en uvre de ses outils Actions prioritaires gt Constituer un groupe d change et de r flexion autour de la mise en uvre des droits et libert s des personnes g es gt Elaborer un guide pratique usage des profes sionnels pour mettre en place plus facilement les outils exig s par la loi gt Identifier les aspects les plus sensibles afin de construire des r ponses adapt es le d veloppe ment de la formation peut tre n cessaire pour ac
41. de travail mieux m me de r pondre aux attentes des personnes mais aussi d am lio rer leurs conditions de travail m pour les institutions la mise en uvre d une v ritable coordination de proximit favori sera une approche globale des personnes et contribuera mieux utiliser les moyens Piloter et coordonner la politique g rontologique d partementale En sa qualit de chef de file de l action sociale et m dico sociale et au terme de l article 56 de la loi du 13 ao t 2004 le D partement d finit et met en oeuvre l action sociale en faveur des personnes g es Il coordonne les actions men es par les diff rents intervenants d finit des secteurs g ographiques d intervention et d termine les modalit s d information du public II met en oeuvre ces comp tences en s appuyant notamment sur les Centres Locaux d Information et de Coordination Il veille la coh rence des actions respectives des Centres Locaux d Information et de Coordination des quipes m dico sociales pr vues par le dispo sitif APA et de celles des tablissements et ser vices qui accueillent ou apportent une aide ou des soins domicile Dans ce cadre le Conseil G n ral souhaite par ticiper au renforcement du r le et des missions des CLIC la structuration de l intervention g rontologique sur les territoires l informa tion et l ducation sur le bien vieillir et la mise en place des dispositifs d alerte permet t
42. e mettre en place un syst me de surveillance et d alerte partir du maillage du territoire r alis par les personnels m dicaux sociaux 2 Ta et m dico sociaux contribuer au rep rage des personnes fragiles relayer les messages et les recommandations recenser les structures relevant de la comp tence du Conseil g n ral qui disposent de pi ces rafra chies ou climatis es pour trans mission la DDASS laborer un guide de proc dures de gestion de crise pour les services du Conseil G n ral et les structures qui rel vent de sa comp tence En alerte de niveau 2 mobilisation des services sanitaires et sociaux renforcer le syst me de surveillance et d alerte relayer les recommandations pr ventives et curatives par le biais des personnels du Conseil G n ral mobiliser les services pr sents au plus pr s de la population En alerte de niveau 3 et 4 mise en uvre des mesu res sanitaires et sociales et gestion de crise mobiliser les services relayer les recommandations pr ventives et curatives et des pr conisations techniques pr vues pour les structures dont le Conseil g n ral a la charge et v rifier leur application Evaluation gt Analyse des diff rents indicateurs collect s biom t orologiques environnementaux sani taires de mortalit et de morbidit de recours aux soins Piloter et coordonner la politique g rontologique d pa
43. e un groupe de travail d parte mental auquel quatre missions pourraient tre confi es recenser analyser la clart l utilit et la coh rence avec les personnes g es de l ensem ble des sources et documents d information concernant les prestations existantes conduire une r flexion quant aux modalit s de transmission de l information quel moment comment par qui laborer un cahier des charges retra ant l en semble des r gles respecter tant au niveau de la forme qu celui des modalit s de diffu sion et de transmission afin d am liorer la communication en direction des personnes g es s assurer syst matiquement que les informa tions transmises sont lisibles et compr hensi bles par les personnes concern es en les associant lors de leur laboration ou de leur r vision noter que les courriers d parte mentaux adress s aux personnes g es notamment dans le cadre de l APA seront prioritairement examin s Ce groupe s appuiera principalement sur le CODERPA conseil consultatif des a n s plac aupr s du Pr sident du Conseil G n ral gt Associer des membres du CODERPA la troi si me dition du guide des a n s Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es Evaluation gt Suivi des travaux du groupe de travail trans mission d un compte rendu annuel en assem bl e pl ni re du CODERPA gt Elaboration du
44. eaunois 1 Beaune 12 Nuits Saint Georges Genlis 3 pays de l Auxois 5 Beaune Genlis Chen ve Sombernon Dijon 1 2 et 5 Fontaine les Dijon Saint Seine l Abbaye ls sur Tille Grancey Selongey pays beaunois Chen ve Dijon pays Seine et Tille Gr silles Dijon Fontaine d Ouche Pour une C te d Or de tous les ges Il appara t rapidement et notamment la lec ture de ces deux tableaux que la situation est extr mement h t rog ne d un CLIC l autre certains couvrent des territoires si vastes que la proximit se trouve impossible organiser deux CLIC couvrent eux seuls plus de la moiti de la population cibl e d autres ne disposent pas de locaux sp cifiques et ou adapt s l accueil de personnes en perte d autonomie d autres encore sont mal connus des acteurs des politi ques g rontologiques Dans ce contexte un important travail d exper tise a t confi par le Conseil G n ral un cabi net sp cialis Ce travail d expertise est en cours de r alisation et permettra de disposer d une vision globale de la coordination g rontologique sur l ensemble du territoire d partemental sachant que le Conseil G n ral souhaite qu en chacun de ces points un socle commun de servi ces soit assur la population ce qui n exclut pas qu en fonction des sp cificit s et des contextes locaux et des structures supports des actions compl mentaires puissent tre d velopp
45. elle du soutien domicile des personnes g es en perte d autonomie Des tra vaux ou des aides techniques peuvent s av rer n cessaires pour r duire les risques d accidents faciliter l acc s et la circulation dans le logement simplifier l intervention des professionnels de l aide et des soins Dans le cadre d une coordination g rontologi que la Caisse R gionale Assurance Maladie Bourgogne Franche Comt la Mutuelle Sociale Agricole les Caisses de retraite Assurance Vieillesse des Artisans et Caisse Nationale ORGA NIC le Centre Communal d Action Sociale de Dijon et le Conseil G n ral de la C te d Or ont mis en place un dispositif novateur en mati re d adaptation de l habitat APH 21 APH 21 est destin e am liorer la qualit des r ponses aux besoins des personnes de plus de 60 ans confront es des difficult s li es l avan c e en ge et la perte d autonomie souhaitant 2 rester leur domicile en apportant une informa tion optimale aux demandeurs et leurs famil les et dans certains cas en participant financi rement la r alisation mat rielle de leur projet de vie Elle repose sur un guichet unique un seul dossier de demande d aide est d pos au Conseil G n ral de la C te d Or qui assure la coordination des diff rents financeurs et interve nants n cessaires et se tient la disposition des personnes g es pour toutes les questions rela tives au suivi de leur dossier
46. ent temporaire pour faciliter les sorties d hos pitalisation am liorer notamment la transmis sion du dossier m dical Evaluation gt Suivi qualitatif de la mise en place d un dispo sitif structur d aide aux aidants gt Cr ation ou d veloppement de nouveaux ser vices domicile gt Suivi des tableaux de bord de cr ation et d oc cupation des places d h bergement temporaire 2 5 Professionnaliser l accueil familial L accueil familial est une r ponse souple alterna tive l h bergement institutionnel et qui par son caract re non collectif est susceptible d ap porter une r ponse compl mentaire la demande d aide Le Conseil G n ral souhaite profiter des perspectives ouvertes par le d cret du 30 d cembre 2004 pour professionnaliser ce mode d accueil Par ailleurs il n existe pas aujourd hui sur le terri toire d partemental de possibilit d accueil th rapeutique pour les personnes atteintes de pathologies psychiatriques vieillissantes Afin de pallier cette carence le D partement a d ve lopp des possibilit s d accueil familial renforc dans le cadre m dico social par voie de conven tionnement avec les structures psychiatriques concern es Si des r flexions sont en cours en vue d tendre ces possibilit s dans des condi tions identiques sur d autres parties du territoire ces r ponses restent partielles et freinent le d veloppement de l accueil des personnes g es le dis
47. ents services domicile institutions il appara t que les personnes g es et leurs proches ne disposent pas d infor mation adapt e leurs besoins Les informations propos es ne sont pas toujours pertinentes et ou compr hensibles par tous Elles sont g n ralement trop techniques et inaccessibles aux personnes la recherche de conseils pratiques Elles ne font pas non plus l objet de conditions de transmission particuli res ou d explications orales La possibilit de disposer et de compren dre l information est cependant une des condi tions essentielles la reprise en main de leur pro jet de vie par les personnes g es Pour sa part le Conseil G n ral de la C te d Or dite depuis 1999 un guide destination des a n s ayant pour ambition de donner des conseils simples aux personnes g es et leurs familles et de les orienter au plus juste en direc tion des partenaires susceptibles d am liorer leur vie quotidienne Ce guide qui en est sa deuxi me dition n cessite d tre retravaill afin d int grer les volutions l gislatives et r gle mentaires mais aussi afin d tre plus en ad qua tion avec les attentes des personnes elles m mes Objectif gt Permettre aux personnes g es et leur famille de faire des choix clair s en mettant leur disposition une information adapt e actualis e et rapidement mobilisable F T Actions prioritaires gt Mettre en plac
48. ermer les acteurs des politiques g rontologiques dans des logi ques comptables et institutionnelles Bien au contraire elle doit contribuer les leur faire d passer afin d am liorer significativement les conditions de vie des personnes g es 61 Pour une C te d Or de tous les ges 1 1 Donn es et perspectives d mographiques A Une r partition in gale des personnes g es sur le territoire La densit de personnes de plus de 60 ans est plus importante dans les zones les plus peupl es agglom ration de Dijon et cantons environ nants l exception de ceux situ s imm diate ment l Est ville de Beaune et plus g n rale ment dans le quart sud est du d partement En sus de ces espaces on compte plus de 2 000 personnes de 60 ans et plus dans les can tons de Ch tillon sur Seine Montbard Semur en Auxois et Venarey Les Laumes Nombre d habitants au km 2 4 mn 5 6 7 10 E EM 11 17 ES 32 704 France m tropolitaine PERTE ue Bourgogne 13 h au km C te d Or 12h au km Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e Des personnes g es proportionnellement plus nombreuses en milieu rural l inverse des effectifs et des densit s les pro portions de personnes g es de 60 ans et plus sont plus importantes dans les cantons les moins peupl s Baigneux les Juifs Laignes Montigny sur Aube Liernais Saulieu Vitteaux
49. erte d autonomie la polypathologie est souvent la r gle en g riatrie jusqu 3 pathologies ont t retenues par personne ce qui explique que la somme des pourcentages soit sup rieure 100 Pathologie Fr quence en de sa responsabilit dans la survenue de perte d autonomie Arthrose 36 3 D mence 17 1 Ob sit 12 7 Insuffisance cardiaque 12 1 D pression 10 7 S quelles d AVC 9 2 S quelles de fractures 6 8 Syndrome parkinsonien 6 7 N oplasie 5 0 D ficit visuel 4 6 Art riopathie diab tique 4 6 Pathologies psychiatriques 4 3 Insuffisance respiratoire 3 2 Grand ge 1 8 La pr vention recouvre de nombreux domaines hygi ne de vie accidents de la vie courante per tes de m moire prise de m dicaments L Etat et le Conseil G n ral de la C te d Or en partena riat avec l ensemble des acteurs de la politique g rontologique et en coh rence avec les orien tations du sch ma r gional d organisation sani taire souhaitent encourager le d veloppement d actions de pr vention Objectif gt Promouvoir le bien vieillir Actions prioritaires gt Renforcer l information et la formation de tous les intervenants domicile ou en tablissement gt Participer une campagne d information sur la n cessit d adopter une d marche de pr ven tion tout au long de la vie gt Conduire en priorit des actions de pr ven tion sur les th mes de l arthrose de la d mence et de l ob sit Evaluation
50. ervention Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales 2 2 Participer au d veloppement des services d aide domicile de qualit Le Conseil G n ral de la C te d Or favorise depuis la mise en place de l APA le recours aux services prestataires Les quipes pluridisciplinai res en charge de l valuation du plan d aide y contribuent tr s largement en sensibilisant les personnes g es quant l int r t de recourir ces services simplicit du syst me les person nes g es sont d gag es des responsabilit s qui incombent aux employeurs et qualit des pres tations Ainsi de juin 2002 d cembre 2004 le volume moyen mensuel des heures effectu es par les services prestataires est pass de 82 000 111 900 ce qui repr sente globalement 66 des aides humaines apport es aux personnes g es contre 54 en juin 2002 L Etat et le Conseil G n ral se sont par ailleurs engag s dans l accompagnement au d velop pement des services d aide domicile en signant avec les associations gestionnaires une convention triennale de modernisation de l aide domicile le 10 octobre 2003 Cette convention pr voit la modernisation informatique et ou la mise en place de syst mes de t l gestion et la promotion de la d marche qualit pour les trois associations d aides domicile du D partement Dans ce cadre le Conseil G n ral et le Fond
51. es La CRAM quant elle a r cemment confi aux CLIC l laboration des plans d aide pour les per sonnes relavant de sa comp tence Du fait de cette volution il conviendra de veiller viter tout risque de conflit li la diversit des don neurs d ordre et des financeurs Objectifs gt Garantir la continuit du fonctionnement des CLIC d j labellis s gt Engager une d marche qualit sur les CLIC Actions prioritaires gt R aliser une expertise du fonctionnement des CLIC actuellement labellis s analyse juridique de la situation de chaque CLIC en fonction de sa structure support et des textes r gissant le dis positif examen de l action conduite sur le terri toire concern et du service offert la popula tion cibl e mesure de la convergence avec le niveau de labellisation octroy gt R fl chir l harmonisation des secteurs g o graphiques des CLIC avec les d coupages terri toriaux existants UTAS pays gt Elaborer un r f rentiel d partemental harmo nisant les conditions de fonctionnement de ces instances en coh rence avec l action des propres services du Conseil G n ral gt Etablir sur la base de ce r f rentiel des conven tions d objectifs et de moyens avec chacune des structures habilit es Evaluation gt Evolution des territoires d intervention des CLIC gt Elaboration du r f rentiel d partemental et signature des conventions d objectifs
52. es D partements d agr er les tablissements d assumer le finan cement n cessaire aux formations d penses administratives et p dagogiques et d attribuer les aides aux tudiants Pour une C te d Or de tous les ges L encadrement semble quant lui parfois d bord et doit g rer un grand nombre de per sonnes temps partiel et des demandes d inter vention concentr es dans les m mes cr neaux horaires matin repas de midi et coucher A noter que le Conseil G n ral participe l anima tion d actions de formation organis es la demande des prestataires de service par l IRTESS en direction des r f rents de proximit Par ailleurs les personnes les plus d pendantes b n ficient proportionnellement moins de l in tervention des services prestataires Ces derniers n assurent ainsi en moyenne que 33 des plans d aide des personnes en GIR 1 contre 82 pour les personnes en GIR 4 Les personnes tr s d pendantes doivent en effet en raison de la relative faiblesse du montant des plafonds des plans d aide 37 des plans d aide en GIR 1 sont au plafond avoir recours au gr gr du fait de son plus faible co t Plafonnement des plans d aide APA plafonds atteints GIR St Ea au 31 12 02 35 22 28 au 31 12 03 26 92 29 14 au 31 12 04 37 96 27 32 L augmentation du co t horaire des services prestataires de 13 40 en juin 2002 16 68 compter du 1 juillet 2005 n est pa
53. et d Is sur Tille plus de 3 000 pour chacun des cantons Nombres 4 21 22 39 40 59 60 94 95 192 Total C te d Or 28 754 Total C te d Or 1 804 Pour une C te d Or de tous les ges 1 2 Une progression importante des situations de d pendance dans les ann es venir Pr s d un quart des b n ficiaires de l APA domicile sont dans une situation de d pendance lourde Fin 2003 le d partement de la C te d Or comp tait 3 000 b n ficiaires de l APA domicile 700 d entre eux pr sentaient une d pendance importante GIR 1 et 2 ce qui repr sente moins de 1 de la population de 60 ans et plus du d partement Nombres 2 6 7 12 13 19 20 22 23 33 Dijon 1 canton 29 Dijon 2 canton 28 Dijon 3 canton 22 Dijon 4 canton 19 Dijon 5 canton 29 Dijon 6 canton 25 Dijon 7 canton 18 Dijon 8 canton 23 Chen ve 33 Beaune Nord 31 Beaune Sud 20 Ces personnes sont les plus nombreuses dans les cantons de l agglom ration dijonnaise de Beaune et de Montbard Au m me moment la C te d Or comptait 2 300 b n ficiaires de l APA domicile pr sen tant une d pendance moyenne GIR 3 et 4 Ces personnes taient les plus nombreuses dans les villes les plus peupl es du d partement mais Beaune Nord 69 Beaune Sud 52 Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e aussi d
54. et il n y a pas d ge pour engager des actions de pr vention Il est essentiel de faire entendre cette id e forte au plus grand nombre d autant que l on conna t mieux aujourd hui les pathologies responsables de la perte d autonomie et les moyens d en limiter les effets Une tude r alis e par un m decin conseil han dicap et d pendance du Conseil G n ral de la C te d Or a ainsi permis d identifier les principa les pathologies se trouvant l origine de la sur venue des situations de d pendance Arrivent en t te l arthrose 36 3 des cas la d mence 17 1 suivie de tr s pr s par l ob sit 12 7 Au vu des r sultats de cette tude il appara t qu il serait par cons quent utile de conduire des campagnes d information et de pr vention en direction de ses pathologies l ob sit est ainsi m connue de la plupart des intervenants en g rontologie tant tous sont concentr s sur la d nutrition tant pour en r duire les effets que pour en am liorer la prise en charge quotidienne titre d exemple l arthrose qui est source de nombreuses douleurs donne encore rarement lieu la prescription d antalgiques ou de s ances de kin sith rapie Analyse de 281 dossiers de b n ficiaires de l APA comprenant un certificat m dical examin s en commission technique APA entre f vrier et mars 2003 Piloter et coordonner la politique g rontologique d partementale Les pathologies responsables de la p
55. icap s a montr que l habitude de la vie en institution des personnes en situation de handicap avait tendance faciliter l int gration en maison de retraite Il est toutefois galement apparu que plusieurs l ments conditionnaient cette r us site nombre limit de personnes concern es au sein des EHPAD pr paration dans le cadre d un projet individualis et que l int gration n tait pas toujours bien v cue ni par l int ress ni par son environnement Il convient par ailleurs de poursuivre le rappro chement op r par le sch ma personnes handi cap es entre les questions du handicap et de la d pendance puisque la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la partici pation et la citoyennet des personnes handica p es est venue conforter cette volution en pr voyant d ici cinq ans la suppression de toute dis tinction entre personnes handicap es en fonc tion des crit res d ge en mati re de compensa tion du handicap Objectif En coh rence avec le sch ma d partemental en faveur des adultes handicap s am liorer l ac compagnement des personnes handicap es g es 2 Actions prioritaires Des adaptations s av rent n cessaires tant dans les EHPAD que dans les tablissements d h ber gement pour personnes handicap es m accompagner la personne dans l tablissement pour personnes handicap es qui l h berge en facilitant l intervention des Services de So
56. implification des proc dures simplifi cation qui si elle se confirme r duira tr s signifi cativement les comp tences du D partement puisque les services d aide domicile pourront d roger la proc dure classique d autorisation et de tarification en sollicitant uniquement un agr ment qualit aupr s de la DDTEFP pour lequel le Pr sident du Conseil G n ral donne un simple avis Ainsi le D partement principal Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales financeur et gestionnaire de l APA ne dispose plus des outils lui permettant de r guler l offre de services domicile Objectifs gt Am liorer par la formation la qualit des servi ces rendus gt Assurer une couverture du territoire d parte mental Actions prioritaires Dans le cadre de la proc dure d autorisation de nouveaux services au vu de certains l ments difficult de mesurer la qualit du service offert par un prestataire sur simple dossier desserte quasi compl te du d partement l exception de quelques territoires sur lesquels les postu lants ne pr sentent pas de solutions nouvelles le potentiel de recrutement y tant limit voire inexistant possibilit pour les personnes g es d avoir le choix entre deux voire trois services prestataires sur l agglom ration dijonnaise et dans l attente d une stabilisation des textes adopter une position provisoi
57. imum proxi mit des centres de vie des coles des com merces gt Adapter dans une d marche de r quilibrage territoire par territoire la capacit d accueil des secteurs g ographiques aux besoins recens s sur ceux ci en profitant des marges de man u vre offertes par les projets de r novation des ta blissements gt Mettre en place un groupe de veille m dico social charg de v rifier annuellement l ad qua tion des r ponses apport es aux besoins des ter ritoires et de proposer les adaptations n cessai res analyse et suivi du niveau et de la nature de la d pendance des personnes g es l entr e en tablissement pour mieux appr hender la demande Evaluation gt Nombre et localisation de places en h berge ment cr es Pour une C te d Or de tous les ges 2 8 Adapter les structures d accueil de public sp cifique a les personnes handicap es La question du vieillissement des personnes en situation de handicap est de plus en plus pr gnante au sein des tablissements qui les h ber gent et a fait l objet de la mise en place d un groupe de travail sp cifique l occasion de l la boration du sch ma personnes handicap es En effet si aujourd hui seulement 25 r sidents ont plus de 60 ans ils seront plus de 70 en 2010 et 180 en 2015 Une enqu te sur cette th matique r alis e dans le cadre de l laboration du sch ma d partemental en faveur des adultes hand
58. ins Infirmiers Domicile et des Services d Aide Domicile au titre du soutien domicile m d velopper l accompagnement par les Services d Accompagnement la Vie Sociale en EHPAD E s appuyer sur les places d accueil de jour et d h bergement temporaire dans les tablisse ments d accueil pour personnes g es pour faciliter l int gration des personnes handica p es en leur sein en int grant cette dimension dans la programmation des besoins en h ber gement temporaire m sensibiliser le personnel des EHPAD la probl matique sp cifique du handicap et les person nels des tablissements pour personnes handi cap es celle du vieillissement m d velopper le partenariat entre les tablisse ments d accueil pour personnes handicap es et des personnes g es m contribuer l volution des m tiers les aspects ducatifs de la sant de l animation et de l ac compagnement la vie sociale doivent prendre en compte la dimension g rontologique Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales m assurer une v ritable prise en compte du vieil lissement dans les projets individualis s des personnes en situation de handicap m dans le cadre de la proc dure d autorisation favoriser la cr ation d unit s adapt es au sein des EHPAD pour l accueil des personnes handi cap es afin de permettre un accompagnement plus sp cifique
59. intervenants domicile formations com munes d veloppement de r seaux de soins d veloppement des r seaux de soins domi cile partir des tablissements hospitaliers cr ation dans ce cadre de postes mixtes hospi taliers intervenants domicile Evaluation gt Elaboration du protocole d admission partir du domicile du protocole de sortie et diffusion de ces protocoles gt Evaluation de leur utilisation par territoire gt Nombre de formations communes organis es gt Nombre de postes mixtes cr s Etat des lieux Pour une C te d Or de tous les ges Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e Le troisi me sch ma g rontologique de la C te d Or s est construit alors que se confirme la r guli re et significative volution de la d mographie fran aise le groupe des person nes g es est de plus en plus important au sein de la population D ici 2010 selon la derni re mise jour r alis e en 2004 par l INSEE la C te d Or compterait ainsi plus de 127 000 personnes de plus de 60 ans soit 23 000 de plus qu l heure actuelle et qui repr senteraient plus de 24 de la population totale dont 9 000 10 000 seraient en situation de d pendance La Bourgogne compterait quant elle plus de 460 000 personnes de plus de 60 ans ce qui repr senterait 28 de sa population L ampleur de cette volution d mographique ne doit pas pour autant enf
60. ion des d lais notamment Une tude du conseil de gestion de la Direction G n rale des Services D partementaux sera effectu e sur ce sujet Actions prioritaires gt Mener des actions de pr vention et de sensibi lisation du grand public campagne d informa tion sur l adaptabilit de l habitat des acteurs de proximit des quipes m dico sociales et prestataires techniques des bailleurs publics et priv s des professionnels du b timent des archi tectes afin d envisager d s la conception et la construction la notion de perte d autonomie gt En lien avec les Centres Locaux d Informations et de Coordination CLIC et les bailleurs sociaux recenser les logements locatifs adapt s cr er et g rer un r pertoire d partemental une r flexion en ce sens est actuellement conduite avec l Union d partementale de l Habitat gt Construire des partenariats avec les bailleurs pour d velopper un parc de logements adapt s gt Encourager la construction de logements proximit des EHPAD et ou des services d aide et de soins domicile comme lieux ressources Pour une C te d Or de tous les ges Dans le cadre de l Adaptation Personnalis e de l Habitat 21 m rechercher avec le comit de pilotage du dis positif les solutions permettant d am liorer la prise en charge des aides techniques m renforcer les moyens humains de la coordination en lien avec la mont e en charge du dispositif m am
61. ions excluent les h pitaux pour lesquels un important travail de clarification reste conduire Outre l am lioration des soins cr ation de pos tes d aide soignante et d infirmi re les engage ments retrac s dans les conventions ont port essentiellement sur les points suivants m a formation des personnels n cessaires pour accompagner la d marche qualit mise en place de plan de formations qualifiantes o a r daction et la mise en uvre de protocoles concernant tant les aspects soins d pendance hygi ne circuit de linges limination des d chets que la pr vention des chutes des escarres E l am lioration de la qualit des relations avec les r sidents et leurs proches mise en uvre du conseil de la vie sociale d signation de r f rents m dicaux et administratifs pour les famil les d finition de proc dures permettant de recueillir les avis et les attentes des r sidants et de leur famille Ces objectifs sont d ploy s sur une p riode de cinq ann es et seront valu s au terme de cha que convention La mise en uvre de ces conventions a cependant r v l les difficult s de recrutement du personnel soignant Ainsi la r alisation d une enqu te t l phonique conduite par les services du Conseil G n ral aupr s des EHPAD en juillet 2005 indiquait les vacances d une quarantaine de postes d infir mi res et d une centaine de postes d aides soi gnantes et
62. ire de l ensemble du territoire n appara t donc pas comme tant la solution Chacune des zones identifi es n cessitera un traitement sp cifique mles 15 cantons de l axe Is sur Tille Beaune conna tront une augmentation importante du nombre d anciens Des moyens importants devront tre engag s sur ces territoires afin de faire face aux besoins m6 cantons Arnay le Duc Auxonne Ch tillon sur Seine Nolay Montbard Semur en Auxois caract ris s par une relative stabilit du nombre de personnes g es o seuls des ajuste ments de faible ampleur seront envisager m es 22 autres cantons en d pit de la diminution du nombre de personnes g es n cessite ront l utilisation de moyens relativement cons quents en raison notamment des probl mes d isolement A noter bien entendu qu au del de ces statisti ques par d finition globalisantes l Etat et le Conseil G n ral ont pleinement conscience que c est une juxtaposition de situations indivi duelles qu ils devront faire face Pour une C te d Or de tous les ges L offre existante 2 1 L accompagnement domicile A Les services d aide domicile Les associations et entreprises qui intervien nent au domicile des personnes g es de plus de 70 ans et ou d pendantes doivent recevoir un agr ment qualit d livr par la Direction Identification Adresse de la structure D D partementale du Travail de l Emp
63. jon 5 canton 420 Dijon 6 canton 438 Dijon 7 canton 322 Dijon 8 canton 325 Total C te d Or 8 300 estimation qu il conviendra certainement de revoir la hausse la progression des d mences Ces projections ne tiennent en effet que tr s peu compte des d mences qui sont l heure actuelle largement sous estim es Une tude post rieure aux projections de popu lation r alis e par la DRASS en octobre 2004 fait ainsi tat de 7 600 personnes souffrant de d mence en C te d Or dont seulement 480 b n ficient de l APA Une analyse conduite par les quipes m dico sociales du Conseil G n ral sur 281 dossiers de b n ficiaires de l APA exami n s en commission technique entre f vrier et mars 2003 a mis en vidence quant elle le poids de cette pathologie dans la survenue de la d pendance elle est responsable de 17 1 des cas de perte d autonomie sachant que la grille AGGIR n est pas un bon outil pour valuer la d pendance li e aux d mences d butantes De plus eu gard la forte pr valence existant entre l avanc e en ge et la survenue de cette pathologie titre d exemple ce sont 53 des femmes g es de plus de 90 ans qui sont concer n es cette derni re ne pourra que cro tre dans les ann es venir Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e Pr valence de la d mence selon l ge et le sexe nombre de personnes atteintes da
64. la connaissance des besoins et r pon ses leur apporter E la recherche d une coh rence avec les autres M thodologie R alisation d un diagnostic de l existant dans le but de d gager des pistes de r flexion et de for muler des propositions Plusieurs instances ont contribu l laboration de ce sch ma E un comit de pilotage en charge de la valida tion institutionnelle E un comit technique instruments de planifications r gionaux et d partementaux l objectif tant de ne pas par celliser les r ponses sch ma d partemental en faveur des personnes adultes handicap es orientations g riatriques du sch ma r gional d organisation sanitaire 2006 2010 la question de l articulation entre le sanitaire et le m dico social a t pos e comme une question centrale m la volont de parvenir une approche globale de la personne et de la famille en prenant en compte les diff rents aspects de son existence et en ne limitant pas le champ du sch ma au seul domaine m dico social le sch ma est l occasion de s interroger sur la place faite au sein de notre soci t aux populations les plus fragilis es et la question du lien social aujourd hui en C te d Or quatre groupes de travail sur les th matiques de la connaissance des personnes g es de l offre de services dans le cadre de l accompa gnement domicile de l adaptation de l ac cueil en tablissement et des droits et libert
65. liorer l accompagnement de la d pen dance au sein des tablissements Actions prioritaires gt Acc l rer et achever la signature des conventions tripartites pour les 27 tablissements restants gt Conduire une r flexion avec le Conseil R gional sur les besoins de formation et les diffi cult s de recrutement existant dans le secteur g rontologique Evaluation gt Suivi de la progression de la m dicalisation par le conventionnement tripartite gt Nombre de postes infirmi res aides m dico psychologiques aides soignantes non pourvus gt Evolution de la qualification des personnels des EHPAD gt Nombre de personnes ayant eu acc s la VAE gt Nombre de formations suivies par les familles d accueil Pour une C te d Or de tous les ges 2 7 Adapter la capacit d h bergement aux besoins des territoires Plusieurs projets d tablissements sont actuelle ment en cours de r alisation Il est notamment pr vu une augmentation de 24 places de la capa cit de la maison de retraite de Talmay la cr ation d un EHPAD Dijon de 90 places et d un tablisse ment de 80 places Darois Compte tenu de ses projets et de l volution d mographique l analyse de l offre en tablisse ments pour personnes g es fait appara tre une insuffisance de places notamment pour les per sonnes les plus d pendantes aujourd hui les per sonnes entrent en tablissement plus tardive ment en
66. ll res 21000 DIJON Castelnau 18 C rue Castelnau 21000 DIJON amp Type d tablis Foyer Logement Maison de Retraite Priv Lucratif Accueil de Jour Accueil de Jour Appartement Prot g Appartement Prot g Appartement Prot g Appartement Prot g Appartement Prot g Appartement Prot g Lits permanents 77 63 68 Accueil de jour H b Temporaire Capacit totale 77 63 68 suite Territoire SCOT Dijonnais Etablissement Les B gonias 44 bd de l Universit 21000 DIJON Les Marguerites 2 rue des Varennes 21000 DIJON Les Tulipes 33 rue du Tire Pesseau 21000 DIJON Le Port du Canal 40 rue des Trois Forgerons 21000 DIJON Saint Fran ois 26 rue Saunaise 21000 DIJON CHRU 1 boulevard Jeanne d Arc BP 77908 21079 DIJON Cedex CHARTREUSE 1 boulevard Chanoine Kir BP 1514 21033 DIJON Cedex Les Tonnelles 19 rue de Meursault 21800 CHEVIGNY ST SAUVEUR Le Clerg 9 bis boulevard Voltaire 21000 DIJON Saint Philibert 40 rue Condorcet 21000 DIJON Le Cromois 2 avenue du Parc 21800 QUETIGNY Type d tablis Foyer Logement Foyer Logement Foyer Logement Foyer Logement Foyer Logement H pitaux H pitaux Maison de Retraite Maison de Retraite Maison de Retraite Priv Lucratif Lits permanents 90 76 73 80 55 280 75 68 24 100 62
67. loi et de la Formation Professionnelle de la C te d Or Au 1 septembre 2005 elles taient au nombre de quatre Type d intervention ADMR F d ration d partementale Prestataire Parc des Grands Crus 60L avenue du 14 juillet BP 87 21302 CHENOVE T l 03 80 51 47 51 Fax 03 80 51 04 02 Mandataire FEDOSAD 26 bd Alexandre 1 Prestataire de Yougoslavie Mandataire 21000 DIJON T l 03 80 73 92 92 Fax 03 80 70 11 05 Mutualit Fran aise Service d aide domicile Prestataire de la C te d Or 16 bd de S vign Mandataire BP 649 21017 DIJON Cedex T l 03 80 76 86 26 Fax 03 80 42 18 94 Age d Or Services Hameau La Cour 21130 AUXONNE T l 03 80 37 43 43 Prestataire Champ g ographique d intervention D partement de la C te d Or Agglom ration et commune dijonnaises D partement de la C te d Or Zone de 20 km autour d Auxonne 75 Pour une C te d Or de tous les ges B Les services de soins domicile au 1 septembre 2005 Identification de la structure Mutualit Fran aise de la C te d Or FEDOSAD ADMR SSIAD pour personnes g es SSAD H pital d Alise Sainte Reine SSAD H pital d Arnay le Duc D Adresse 8 9 et 16 Bd de S vign BP 649 21017 DIJON CEDEX BP 87 21302 CHENOVE T l 03 80 59 63 30 Fax 03 80 42 18 93 26 bd Alexandre 1 de Yougoslavie de Yougoslavie 21000 DIJON T l 03 80 73 92 96 Fax 03 80 70 11
68. mbre de difficult s 2 m difficult s psychologiques sentiment de soli tude d isolement de culpabilit d impuissance vis vis d une d pendance jug e irr versible difficult s faire face aux comportements li s au d ficit cognitif d origine d mentielle E restriction de la vie personnelle bouleverse ment des habitudes familiales diminution des activit s sociales et de loisirs m difficult s financi res par accroissement des d penses li es la grande d pendance Dans le cadre de sa politique g rontologique le Conseil G n ral de la C te d Or d veloppe donc depuis l an 2000 des programmes d aide aux Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales aidants Des cycles de formation et d information ont t organis s avec la CRAM Beaune en partenariat avec la Mutualit Fran aise C te d Or Montbard et Ch tillon sur Seine en lien avec le CHU Beaune et Dijon Toutefois en d pit de la conduite de campagnes d information seule une cinquantaine de personnes se sont mon tr es int ress es par ces actions une session pr vue sur Auxonne a m me d tre annul e faute de participants Ce constat interroge sur l ad quation de ces actions la disponibilit des aidants m me si pour r pondre cette difficult il leur est propos gratuitement qu un profes sionnel vienne leur domicile s occuper de la perso
69. mou voir la charte des droits et libert s des per sonnes g es d pendantes Pour une C te d Or de tous les ges Charte des droits et libert s des personnes g es d pendantes M me d pendantes les personnes g es doivent continuer exercer leurs droits leurs devoirs et leurs libert s de citoyen Elles doivent aussi garder leur place dans la cit au contact des autres g n rations dans le respect de leurs diff rences Choix de vie toute personne g e d pendante garde la libert de choisir son mode de vie Domicile et environnement le lieu de vie de la personne g e d pendante domicile personnel ou tablissement doit tre choisi par elle et adapt ses besoins Une vie sociale malgr les handicaps toute personne g e d pendante doit conserver la libert de communiquer de se d placer et de participer la vie de la soci t Pr sence et r le des proches le maintien des relations familiales et des r seaux ami caux est indispensable aux personnes g es d pendantes Patrimoine et revenus toute personne g e d pendante doit pouvoir garder la ma trise de son patrimoine et de ses revenus disponibles Valorisation de l activit toute personne g e d pendante doit tre encourag e garder ses activit s Libert de conscience et pratique religieuse toute personne g e d pendante doit pouvoir participer aux activit s religieuses ou philoso phiques
70. n place sur l initiative des communes et ou de leurs groupements et majoritairement utilis es par les personnes g es I conduit ga lement travers le r seau TRANSCO une exp ri mentation de transport la demande accessible tous dans dix communes du Nord dijonnais exp rience qui s tend sur Montbard et Semur en Auxois depuis septembre 2005 Objectif gt Faciliter la mobilit des personnes g es Actions prioritaires gt Evaluer l exp rience conduite dans les dix communes du Nord dijonnais pr voir et pro grammer son extension progressive l ensem ble du territoire au vu des adaptations qui se seront r v l es n cessaires ou non en partena riat avec les structures intercommunales Pour une C te d Or de tous les ges gt R aliser en lien avec le service Transports un tat de lieux d partemental des diff rents finan ceurs intervenant au titre des d placements en direction des personnes g es et des personnes handicap es afin de disposer d une vision glo bale des dispositifs existants et de mettre jour s ils existent les ph nom nes de doublons ou au contraire de carences gt Conduire une r flexion sp cifique sur les trans ports accompagn s et leur prise en charge finan ci re identifier et interpeller les financeurs poten tiels des domaines sanitaires et sociaux ainsi que ceux intervenant au titre de l am nagement du territoire recenser les diff
71. nne dont ils ont habituellement le soin tr s peu usant de cette possibilit Toutefois il convient de souligner qu une fois le cycle de formation achev le sentiment de satis faction est grand parmi les participants qui d clarent avoir am lior leur connaissance des personnes g es mais surtout r ussi tisser des liens de qualit entre eux et avec les interve nants issus du terrain Ces liens leur permettent par la suite de rompre leur isolement face aux difficult s rencontr es quotidiennement Les modes d accueils alternatifs se sont quant eux bien d velopp s en C te d Or la loi du 2 jan vier 2002 r novant l action sociale et m dico sociale leur ayant conf r le statut d tablisse ment social et m dico social A noter que les orientations contenues dans le SROS 2006 2010 en cours de r alisation appellent la poursuite de ce mouvement Il existe ainsi aujourd hui 102 places d accueil de jour et 127 places d ac cueil temporaire Il appara t cependant que ces derni res ne sont pas toujours occup es de mani re optimum du fait d une part de l ab sence de transport adapt voir chapitre 1 6 et d autre part de la faible connaissance de ces modes d accueils par les familles les soignants et les aidants Il peut arriver par ailleurs que des places d h bergement temporaire soient d tourn es de leur objectif initial et consacr es un h bergement traditionnel mais il appara t surtout que ce
72. nouveau sch ma g rontologique qui traduit concr te ment le souci de travailler ensemble entre le Conseil G n ral et l Etat pour le bien tre des personnes g es de la C te d Or Paul RONCIERE Pr fet de la R gion de Bourgogne Pr fet de la C te d Or adito de la C te d Or L laboration d un sch ma g rontologique est sans contexte un acte fort dans la d fini tion des politiques d partementales Le sch ma d partemental repose sur un diagnostic de l valuation des besoins des personnes g es en termes de maintien domicile d h bergement de mobilit pour les ann es 2006 2010 Il a fait l objet d une d marche conjointe des services de l Etat et du D partement et a donn lieu une large concertation avec les intervenants et parte naires du champ concern Que tous trouvent ici l expression de ma gra titude Les diff rents axes voqu s dans ce docu ment ont tous t examin s la lumi re des orientations de la loi de janvier 2002 garan tissant la mise en uvre effective des droits et libert s des personnes g es Pour une C te d Or de tous les ges du Pr sident du Conseil G n ral Nous ne pouvons plus nous ne devons plus parler et d cider leur place C est pourquoi j ai souhait faciliter l expression de cette repr sentation directe en introduisant un coll ge sp cifique au sein du Comit D partemental des Retrait s et Personnes Ag es CODERPA perme
73. ns une population Hommes Femmes Ensemble De 75 79 ans 8 6 7 De 80 84 ans 13 17 15 De 85 89 ans 23 30 28 De 90 ans et plus 27 53 47 R sultat de la cohorte PAQUID Enfin l observation de l volution des demandes d APA depuis d cembre 2003 r v le une aug mentation sup rieure celle estim e la m me p riode par la DRASS D j 7 600 personnes pr sentent une situation de d pendance moyenne ou forte sur le d partement Ce seront donc plus probablement 9 000 10 000 personnes qui se trouveront dans une situation de d pendance l horizon 2010 2Coder B en coh rence et en orientation classe la personne en GIR 6 le GIR 4 n est pas atteint tant que l alt ration des fonctions cognitives n a pas de retentissement sur au moins deux autres variables Pour une C te d Or de tous les ges Conclusion des r ponses de proximit pour prendre en compte les trois profils dominants des 43 cantons de C te d Or Montigny Impact g ronto croissant sur Aube M Impact g ronto stable Mirebeau sur B ze Pouilly en Auxois EM impact g ronto d croissant Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e Trois profils dominants se dessinent l analyse de l ensemble des donn es statistiques les limites de ces trois zones ne sont bien s r qu indicatives et ne doivent pas tre entendues de mani re stricte Un traitement galita
74. nts personnes atteintes de d mence E CS en Pour une C te d Or de tous les ges 2 6 Am liorer l accompagnement de la d pendance au sein des tablissements Une r forme d envergure est conduite depuis 2002 arr t du 29 avril 1999 et loi n 2002 1487 du 20 d cembre 2002 dans le but d am liorer la prise en charge de la d pendance des personnes g es au sein des tablissements L accent tra vers cette r forme porte essentiellement sur la qualit du service rendu D sormais les tablisse ments autoris s accueillir des personnes g es d pendantes doivent passer une convention plu riannuelle avec le pr sident du Conseil G n ral et l autorit tarifaire comp tente pour l Assurance Maladie pour d finir les conditions de fonctionne ment et les objectifs d volution de l tablisse ment En C te d Or une convention type a t r dig e sur le mod le r gional qui a r sult d un important travail pilot par la CRAM en collabora tion avec les repr sentants des Conseils g n raux de la DRASS de la DDAS et des tablissements Au 31 d cembre 2004 ce sont 46 conventions qui ont t sign es Elles couvrent 51 des 78 ta blissements touch s par la r forme soit 3 974 lits sur les 6 050 concern s Ces conventions ont permis de d gager les dota tions en moyens correspondants la cr ation de 157 ETP dont 114 au titre des soins et 36 au titre de la d pendance ces estimat
75. nvient donc de permettre chaque individu de vivre dans l espace commun en favorisant une soci t pour tous les ges ce titre il y a lieu d am liorer la mobilit des personnes g es d encourager le d velop pement des liens entre les jeunes et les per sonnes g es et de contribuer activement lutter contre les st r otypes qui d gradent l image des personnes g es Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es 1 6 Faciliter la mobilit des personnes g es Une des conditions essentielles de l int gration des personnes g es au sein de la soci t est la mobilit Aujourd hui bon nombre d entre elles se trouvent isol es par le simple fait de ne pou voir se d placer L observation de plusieurs ph nom nes et vo lutions appelle la conduite d une r flexion bien sp cifique sur la question de la mobilit des per sonnes g es m a faible fr quentation des modes d accueil alter natifs est en partie li e outre leur m connais sance par les professionnels et les familles l ab sence l inadaptation ou la non prise en charge des transports pour les personnes mobilit r duite ou atteintes de troubles cognitifs m a disparition de nombreux services la popu lation en milieu rural notamment dans le domaine de la sant et ou leur regroupement dans les bourgs centres maisons de sant par exemple pose de mani re encore plus aigu
76. ouhait toujours plus grand des personnes g es de rester leur domicile mettent l accent sur la n cessaire mise en uvre d une v ritable politique d accompa gnement domicile des personnes g es La cr ation de l Aide Personnalis e d Autonomie APA en 2001 et les transferts de comp tence op r s en mati re g ronto logique par la loi du 13 ao t 2004 proc dent de cette m me volont L accompagnement domicile doit tre entendu au sens large c est dire comme regroupant l ensemble des mesures qui visent pr server l tat de sant et l auto Pour une C te d Or de tous les ges Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales nomie des personnes g es ainsi qu r pondre aux difficult s li es l accomplis sement des actes essentiels de la vie tout en s inscrivant dans l environnement quoti dien et dans l histoire des personnes g es Il convient donc de continuer d velopper une politique ambitieuse d accompagne ment domicile en s appuyant sur les Services de Soins Infirmiers Domicile SSIAD et les services d aide domicile en poursuivant les efforts engag s en direction de l adaptation de l habitat en profession nalisant l accueil familial en d veloppant les services innovants et les modes d accueil alternatifs sans oublier les aidants eo Pour une C te d Or de tous les ges 2 1 Etend
77. plus tard six mois avant l ex piration du pr c dent sch ma au Pr sident du Conseil G n ral les orientations que le sch ma doit prendre en compte pour les tablissements et servi ces mentionn s aux 2 4 a du 5 8 et 10 du I de l article L 312 1 ainsi que pour ceux mentionn s l article L 162 24 1 du code de la s curit sociale pour les prestations prises en charge par l assurance maladie Il est souligner qu en d pit de cette volution l gislative le Pr fet eu gard l engagement de ses services et sa volont de participer la construction d une approche globale des r ponses aux besoins des personnes g es a souhait rester pr sent aux c t s du Pr sident du Conseil G n ral et tre co signataire de ce document Il doit tre galement soulign que la pr paration de ce sch ma a t conduite au moment o de nombreuses volutions l gislatives de grande ampleur sont intervenues APA mise en place de l acte Il de la d centralisation loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participa tion et la citoyennet des personnes handicap es plan de d veloppement des services d aide la personne L ensemble de ces volutions n ont pu tre int gr es dans les travaux des groupes mais il a t choisi de les prendre en compte autant que possible dans le document final et ce m me de mani re partielle l ensemble des d crets d applica tion n a
78. positif tant embolis par les person nes atteintes de pathologies psychiatriques Il convient donc d inviter le secteur sanitaire a5 T d velopper des r ponses adapt es relevant de ses comp tences Objectif gt Professionnaliser les accueillants familiaux Actions prioritaires gt Renforcer la structuration des relations avec le secteur psychiatrique pour l accueil des malades mentaux stabilis s dans des limites compatibles avec l accueil m dico social gt Organiser des formations en direction des accueillants familiaux Evaluation gt Evolution des diff rents publics b n ficiant de l accueil familial gt Nombre de formations suivies par les familles d accueil Offrir des r ponses sociales et m dico sociales de qualit adapt es aux caract ristiques d partementales L accueil en tablissement La volont de d velopper les actions d ac compagnement domicile ne doit pas pour autant faire oublier la n cessit de d velop per et d adapter les quipements destin s aux personnes g es Aujourd hui ce sont pr s de 4 200 personnes en GIR 1 4 qui vivent en tablissement L Etat et le Conseil G n ral de la C te d Or sont d autant plus sensibles cette dimen sion de l action g rontologique que les vo lutions d mographiques laissent entrevoir une augmentation sensible du nombre de personnes en situation de d pendance l horizon 2010 selon la Direction
79. ques Un A une r partition in gale des personnes g es sur le territoire B l impact des conditions de vie et d habitat 1 2 Une progression importante des situations de d pendance dans les ann es venir 2 L offre existante 2l L accompagnement a domicile sesssersaseregorans A Les services d aide domicile B Les services de soins infirmiers domicile C Les CLIC 2 2 l accueil en tablissement ec Plan d partemental d actions Pour une C te d Or de tous les ges ne soit pas qu incantatoire Le premier des objectifs du sch ma d par temental porte sur la reconnaissance des personnes g es comme citoyennes et actrices part enti re de la soci t civile Il traduit la volont de l Etat et du Conseil G n ral de la C te d Or de d passer une approche strictement gestionnaire des questions g rontologiques et de position ner encore plus fortement que par le pass les personnes g es non pas comme des Pour que l affirmation des droits et libert s des personnes g es Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es objets de soins mais comme des personnes sujets de droits Il s inscrit galement dans la perspective d une soci t pour tous les ges afin de d cloisonner les ges de la vie tout en r pondant aux besoins de chacun dans le respect de la d claration des droits de l homme et avec la volont de pro
80. r les conditions d h bergement des migrants vieillissants gt D velopper une offre d h bergement adapt e aux personnes g es marginalis es Actions prioritaires gt Confier au groupe de travail constitu pour v rifier l ad quation de l offre d h bergement aux besoins des territoires et des populations l analyse de l tude r alis e sur les travailleurs migrants vieillissant actuellement en cours de r alisation par l URIOPSS la demande de la CRAM et du FASILD afin de formuler des propo sitions d actions par exemple conventionne ment entre les foyers d h bergement et les servi ces d aide domicile afin de faciliter leur inter vention gt Diversifier les possibilit s d accueil offertes par la MAPAM pour les personnes dont les compor tements et les besoins permettent un h berge ment individuel proposer un logement situ proximit du Foyer de la Manutention afin de permettre l utilisation de son plateau technique Evaluation gt Observation de l volution d indicateurs li s ces probl matiques nombre de migrants vieillis sants vivant en foyer intervention des services de soins domicile et d aide domicile en leur sein nombre de personnes marginalis es h berg es en logements individuels a5 c les personnes atteintes de d mence La d mence est aujourd hui encore largement sous estim e Selon une tude de la Direction R gionale des Affaires Sanit
81. re consistant m finaliser prioritairement la d marche qualit engag e avec les services existants dans le cadre du fonds de modernisation de l aide domicile m orienter les promoteurs vers la demande d agr ment adapt e leur permettant d interve nir aupr s des publics ne faisant pas l objet d une protection particuli re autres que per sonnes g es de plus de 70 ans et ou en situa tion de d pendance et ou de handicap Conduire avec l Etat une valuation de la convention triennale 2003 2005 de modernisa tion de l aide domicile et promouvoir dans la perspective de l laboration de la prochaine convention un accompagnement de la muta tion des services prestataires en r fl chissant notamment avec eux l am lioration des condi tions de travail des auxiliaires de vie sociale mensualisation des traitements prise en compte des temps de coordination et de trans mission organisation de groupes d change de pratique et des modes d organisation permet tant d assurer plus de continuit aux interven tions recrutement de personnels volants pour faire face aux situations d urgence ou pallier les absences de certains salari s En partenariat avec le Conseil R gional encoura ger et adapter la formation du personnel d enca drement et des aides domicile m encourager le renforcement des comp tences g rontologiques dans le DEAVS m augmenter l offre de formation m r fl chir
82. re la couverture d partementale en Services de Soins Infirmiers Domicile SSIAD En C te d Or l augmentation du nombre de per sonnes g es et leur aspiration rester le plus longtemps possible domicile vont entra ner des besoins suppl mentaires de services de soins infirmiers domicile qui s av rent d j insuffisants l heure actuelle Les SSIAD sont n s de la volont d organiser des soins prolong s de mani re mieux coordonn e que ne le permettent les interventions l acte Ils interviennent aupr s des personnes g es mala des ou d pendantes pour viter une hospitalisa tion faciliter le retour domicile apr s une hos pitalisation pr venir ou retarder la d gradation de l tat de sant des personnes Ils rel vent de la responsabilit de l Etat qui s est engag pour suivre la cr ation de nouvelles places dans le plan national Vieillissement et Solidarit s En d pit d un taux d quipement d partemental nombre de places pour 1 000 personnes g es de 75 ans et plus sup rieur celui de la m tropole 710 places au total soit un taux d quipement de 18 1 l offre reste ce jour tr s in gale Ainsi les services de soins infirmiers domicile n effectuent aucune intervention dans les cantons de Selongey Fontaine Fran aise Pontailler sur Sa ne Vitteaux et sur les secteurs de Venarey Sud Est ainsi que sur la p riph rie Ouest Nord et Est de l agglom ration dijonnai
83. rtementale 3 5 Am liorer les relations ville h pital L hospitalisation des personnes g es est tou jours un sujet d licat dont les r percussions sont parfois d cisives pour le choix de vie ult rieure des personnes Il appara t que dans de nombreux cas leur admission l h pital leur transfert vers une autre unit de soins et leur retour domicile ne sont pas r ellement pr par s retards ou absence de documents transmis m decin trai tant pr venu tardivement du retour du patient patients transf r s sans dossier m dical Il est n cessaire de surcro t d am liorer les liens entre les services hospitaliers et les intervenants domicile les professionnels de sant lib raux et les personnels des SSIAD et des services d aide Cette volution pourrait limiter les hospitalisa tions inutiles et contribuer assurer une prise en charge coordonn e des personnes g es Objectif gt Am liorer les relations ville h pital Actions prioritaires gt Constituer un groupe de travail compos de personnels hospitaliers de travailleurs sociaux d intervenants domicile de professionnels lib raux d animateurs de CLIC de la CRAM charg m de l laboration et de la diffusion d un proto cole pour pr parer les admissions et les retours domicile apr s une hospitalisation m de la construction d un programme d actions visant faciliter les changes entre l h pital et les
84. s accueils alternatifs r pondent aujourd hui davantage la probl matique des sorties d hospitalisation plut t qu la recherche d un temps de r pit pour les familles Objectifs gt Impulser des actions de soutien aux aidants sur la base d une d marche territorialis e et par ticipative gt Promouvoir les modes d accueil alternatifs et les services innovants Actions prioritaires gt Structurer un dispositif global d aide aux aidants int grant la diffusion d informations sur les pathologies les diff rents types d aide juridi que sociale et la mise en place de lieux de parole Organiser des possibilit s de rencontre avec des professionnels et int grer au plan d aide des financements pour la garde domi cile ou le remplacement des aidants Etudier la possibilit de positionner sur les territoires des personnes ressources pour les aidants gt Participer la diffusion d informations sur l existence des accueils alternatifs en les r perto riant notamment dans le Guide des a n s gt R aliser en partenariat avec les gestionnaires un cahier des charges de r f rence en valorisant les initiatives innovantes gt Encourager la cr ation d accueil de jour voir de nuit et d h bergements temporaires int gr s dans les tablissements gt Favoriser la contractualisation entre h pitaux et EHPAD visant r server des places d h berge Pour une C te d Or de tous les ges m
85. s de Financement de l APA attribuent pour chacun d entre eux une subvention d un montant total de 362 299 sur les trois exercices Un bilan interm diaire des actions engag es en 2003 et 2004 a permis de constater mla mise en place d un syst me de t l gestion par l ADMR au b n fice de 33 associations locales et du si ge ainsi que l acquisition d un logiciel de tenue de planning m l extension apr s une p riode d exp rimenta tion d un syst me de t l gestion par 50 per sonnes l ensemble du personnel de la FEDO SAD m achat du mat riel informatique et l avance ment du planning de mise en uvre de la t l gestion la Mutualit Fran aise C te d Or Des probl mes subsistent cependant sur le terri toire Actuellement les quipes m dico sociales observent un important manque de personnel en p riph rie Nord et Est de l agglom ration dijonnaise Messigny Ahuy Bellefond Crimolois dans les hautes c tes des cantons de Gevrey Chambertin et Nuits Saint Georges et dans les cantons de Saint Seine L Abbaye et de Pr cy sous Thil De surcro t peu d aides domicile b n ficient d une qualification moins de 10 d entre elles sont des auxiliaires de vie sociale Il conviendra d aborder cette probl matique avec le Conseil R gional qui est charg depuis la loi du 13 ao t 2004 de recenser les besoins de for mation d laborer un sch ma r gional des for mations sociales en lien avec l
86. s non plus trang re ce ph nom ne Alors que la conven tion unique pr voit 24 d augmentation de la r mun ration des auxiliaires de vie sociale sur trois ans les plafonds des plans d aide n ont t revaloris s qu en fonction de la Majoration Tierce Personne qui n a volu respectivement que de 1 5 en 2003 1 7 en 2004 et 2 en 2005 Le Conseil G n ral de la C te d Or souhaite poursuivre la politique d accompagnement des services d aide domicile engag e lors du pr c dent sch ma en continuant d encourager le recours aux services prestataires Il n est pas cer tain cependant qu il pourra continuer de le faire en s appuyant sur ses comp tences en mati re d autorisation et de tarification des services d aide domicile En effet alors qu aux termes de la l gislation actuelle les services qui apportent une assis tance dans les actes quotidiens de la vie au domicile des personnes g es de plus de 60 ans ou des personnes handicap es doivent obtenir une autorisation du Pr sident du Conseil G n ral et un agr ment qualit d livr par la DDTEFP s ils s adressent des publics vuln rables personnes de plus de 70 ans ou d pendantes personnes handicap es le projet d ordonnance de simplifi cation du droit et le plan de d veloppement des GIR 3 GIR 4 Total 25 94 7 63 15 22 26 78 12 79 19 39 24 64 9 91 17 09 services d aide la personne pr voient quant eux une s
87. se A noter galement que 119 places sup pl mentaires autoris es en 2004 ne sont pas actuellement financ es La conf rence sanitaire du territoire de sant de C te d Or pr paratoire au sch ma r gional d organisation sanitaire de Bourgogne 2006 2010 a confort ce diagnostic et pr conis la mise en place d une politique de 2 d veloppement de places en SSIAD plus active face l importance des besoins et des d lais d at tente 6 mois en moyenne Les quipes m dico sociales pr sentes sur le ter rain font tat de la saturation des structures exis tantes de l existence d importants d lais d attente et du transfert d un certain nombre de t ches vers une main d uvre peu ou pas qualifi e Objectif gt Couvrir l ensemble du territoire Actions prioritaires gt Fixer les lieux d implantation suppl mentaire des SSIAD en donnant la priorit aux zones non couvertes Selongey Fontaine Fran aise Pontailler sur Sa ne Vitteaux Venarey Sud Est p riph rie Ouest Nord et Est de l agglom ration dijonnaise gt Etudier les articulations entre les territoires des SSIAD l implantation des infirmiers lib raux voire des maisons de sant et des r seaux de soins et les secteurs d intervention des services d aide domicile Evaluation gt Nombre de cr ations de places de SSIAD pr vues au SROS gt Suivre l volution du taux d quipement en SSIAD et l volution de leur territoire d int
88. t effet au sein du CODERPA apr s appel candidature et tirage au sort six personnes b n ficiant de l APA domicile et six personnes h berg es en tablissement ont t d sign es pour si ger au titre des personnes g es dans cette instance Par ailleurs le Conseil G n ral entend permettre aux membres du CODERPA de jouer pleinement leur r le de conseiller et attend de cette instance qu elle puisse activement contribuer la prise en compte de toutes les personnes g es quels que soient leur ge ou leur tat de sant D T Objectif gt Renforcer la participation du CODERPA la d finition des politiques g rontologiques Actions prioritaires gt Investir de fa on active le CODERPA d une mis sion de r flexion en l associant notamment au suivi et la mise en oeuvre du sch ma gt Int grer des membres du CODERPA aux grou pes de travail mis en place par le Conseil G n ral sur certaines th matiques laboration du guide des a n s mise en place d une politique de com munication en direction des personnes g es am lioration des conditions d h bergement des migrants vieillissants etc Evaluation gt Synth se annuelle de l volution des travaux Promouvoir et garantir l effectivit des droits et libert s des personnes g es des personnes g es Si la dignit des personnes g es est sou vent voqu e c est parce que certains actes pratiques ou attitudes
89. te com mune 76 logements sociaux destin s des per sonnes de plus de 60 ans et des familles avec enfants ont t construits aux c t s de petites unit s de vie h bergeant des personnes d pen dantes et des malades Alzheimer ainsi que d un p le de services tr s vari s accueil petite enfance relais assistantes maternelles ludoth que salle de quartier restaurant scolaire Une Charte bon jour voisin est sign e l entr e par les locataires et la solidarit interg n rationnelle est suscit e aussi bien au travers de l entraide naturelle qui s instaure dans la vie de tous les jours que dans le cadre d animations organis es sur le site Objectif gt Favoriser les changes inter g n rationnels Actions prioritaires gt Identifier avec les membres du CODERPA les espaces de rencontre entre g n rations et trou ver des solutions originales pour favoriser les changes d exp riences interg n rationnelles afin d assurer la transmission du savoir et du savoir faire des seniors par exemple dans les sec teurs de l insertion de l ducation de l art de la recherche des entreprises de l histoire des tradi tions de l artisanat des activit s rurales et agrico les et promouvoir les initiatives visant faire conna tre ces activit s et les possibilit s offertes par ces secteurs aupr s des diff rents organismes de formation des jeunes et services de l emploi gt Encourager les ini
90. tiatives familiarisant les per sonnes retrait es et g es avec les nouvelles technologies de communication gt Favoriser les initiatives qui participent au d ve loppement des relations interg n rationnelles par exemple r fectoire commun aux maisons de retraite et aux coles primaires Dans le prolongement de la Semaine Bleue et de la rencontre entre le Conseil G n ral des Jeunes et le CODERPA sur le th me Et si on parlait aux vieux jeunes vieux mode d emploi laborer Pour une C te d Or de tous les ges une charte et un guide de bonne conduite r ci proque assurer sa diffusion de l cole l men taire aux maisons de retraite gt Engager une dynamique Conseil G n ral des jeunes CODERPA permettant la conduite d un projet conjoint autour du r le et de la place des personnes g es sur la transmission de la m moire ou le regard port sur le vieillisse ment Evaluation gt Nombre d espaces de rencontre interg n ra tionnelle recens s gt Nombre et nature des initiatives qui partici pent au d veloppement des relations interg n rationnelles gt Bilan quantitatif et qualitatif des actions r ali s es pr sent annuellement au CODERPA gt Elaboration de la charte et du guide de bonne conduite r ciproque gt Suivi des travaux CGJ CODERPA L accompagnement domicile L volution r cente de l action g rontologi que et le s
91. tor Hugo 21120 IS SUR TILLE Chez nous Priv 19 19 Rue Saulx Tavanes Lucratif 21120 LUX Les Chenevi res Maison 23 23 Rue de la Foire aux Vaches de Retraite 21440 SAINT SEINE L ABBAYE Le Champ de Mars Foyer 69 4 69 16 B rue des Moutons Logement 21260 SELONGEY Total places Pays Seine et Tilles 206 4 210 en Bourgogne
92. ttant des person nes g es vivant domicile ou h berg es en tablissement de participer aux d bats afin de faire de cette instance un v ritable conseil consultatif des a n s Enfin la pr vention et la lutte contre la mal traitance constituent des pr occupations permanentes de notre action afin de donner aux personnes g es la place qui doit tre la leur dans la soci t d aujourd hui Comme le disait fort justement Sir Winston Churchill Une soci t se juge la place qu elle accorde ses a n s Louis de BROISSIA S nateur de la C te d Or Pr sident du Conseil G n ral Pour une C te d Or de tous les ges z z La r alisation d un sch ma de troisi me g n ration en C te d Or L laboration de ce sch ma de troisi me g n ration a t engag e fin 2003 sous la co animation et le co pilotage de l Etat et du Conseil G n ral La loi du 13 ao t 2004 est venue entre temps renfor cer le r le des D partements en mati re d action g rontologique et a modifi substantiellement les proc dures d laboration des sch mas d parte mentaux d action sociale et m dico sociale ainsi il appartient au seul Conseil G n ral apr s concerta tion avec le repr sentant de l Etat dans le d parte ment et avis du comit r gional de l organisation sociale et m dico sociale d adopter le sch ma d partemental Le repr sentant de l Etat doit quant lui faire conna tre au
93. ucturer l action territoriale partir des CLIC CCAS et des circonscriptions d intervention du Conseil G n ral en tenant compte des territoires mergents en cours de structuration afin de sim plifier l acc s l information d am liorer l accueil et l orientation des personnes g es et de constituer un lieu ressources gt Solliciter la participation des professionnels de sant h pitaux locaux lib raux infirmi res m decins r seaux de sant pour renforcer une prise en charge globale des personnes g es Actions prioritaires gt D finir des bassins de vie g rontologiques en coh rence avec les autres sectorisations du terri toire sanitaire sociale m dico sociale et en pre nant en compte les besoins des personnes g es et de leur famille gt D finir pour chaque territoire les r gles de fonctionnement entre les diff rentes instances et les tablissements de sant et les profession nels lib raux Evaluation gt Conduire une valuation qualitative de la satis faction des usagers par bassin g rontologique Pour une C te d Or de tous les ges 3 3 Renforcer l information et l ducation sur le bien veillir initier des actions de pr vention Promouvoir le bien vieillir et amener les futurs retrait s retrait s et personnes g es et leurs proches s approprier davantage leur sant sont des objectifs importants Bien vieillir se pr pare tout au long de la vie
94. uhaitent r aliser n entrent pas dans les crit res ligibles au titre du dispositif un programme d partemental pr voit galement sous certaines conditions de ressources une par ticipation financi re du Conseil G n ral dans le cadre de sa politique d am lioration de l habitat En d pit de l existence de ces deux dispositifs des efforts importants restent cependant accomplir Malgr une coordination satisfaisante entre les aides l am lioration du logement iso lation chauffage et les aides l adaptation du logement APH 21 il convient de rappeler qu en C te d Or 1 800 logements sans confort et pr s de 29 000 logements sans chauffage central sont occup s par une personne de 60 ans et plus Les personnes g es rencontrent gale ment des difficult s trouver un logement adapt quand elles doivent en changer Il convient enfin de souligner que du fait de la loi du 13 ao t 2004 les politiques d am lioration de l habitat et de logement social vont certaine ment conna tre dans les mois venir des chan gements notables Le Grand Dijon s est ainsi port candidat la d l gation des aides la pierre Dans cette perspective de nouveaux par tenariats seront construire Objectifs gt D velopper en liaison avec les bailleurs sociaux un parc de logements adapt s gt Am liorer le traitement et la r alisation des tra vaux et des aides techniques subventionn s par APH 21 r duct
95. venir gt R diger un cahier des charges pr cisant le contenu de ce suivi social qui servira de base au conventionnement entre les diff rents services sociaux intervenant aupr s des personnes g es Evaluation gt Suivi des contacts sociaux accueil en perma nence visite domicile renseignements t l phoniques tablis par les professionnels avec les personnes g es Pour une C te d Or de tous les ges 1 5 Pr venir et lutter contre la maltraitance La maltraitance est une notion multiforme elle peut tre morale physique psychologique financi re Elle est le fait d actes conscients ou appara t comme la r sultante de comporte ments inadapt s tutoiement familiarit des personnes entourant les a n s Elle peut survenir au domicile des personnes g es ou en tablis sement Elle ne fait en outre l objet que d une prise de conscience relativement r cente De surcro t la fragilit des personnes victimes de maltraitance leurs sentiments de crainte peur de repr sailles ou de honte d avoir lev des enfants maltraitants ainsi que la peur du d raci nement quitter son domicile ou celui de ses enfants pour int grer un tablissement consti tuent des obstacles majeurs au rep rage et la conduite d actions efficaces contre la maltrai tance Pourtant selon le Minist re la maltraitance concernerait en France environ 5 des plus de 65 ans et 15 des plus de 75 ans En C
96. yant pas t publi s ce jour Pourquoi un sch ma d partemental C est un document de programmation rendu obli gatoire par la loi du 6 janvier 1986 et renforc par la loi du 2 janvier 2002 qui E appr cie la nature le niveau et l volution des besoins sociaux et m dico sociaux des personnes g es E dresse le bilan quantitatif et qualitatif de l offre existante m d termine les perspectives et les objectifs de d veloppement cr ation transformation ou sup pression d tablissements et services E pr cise le cadre de la coop ration et de la coordi nation entre les tablissements et services m d finit les crit res d valuation des actions mises en uvre dans le cadre du sch ma 1 Les personnes g es en C te d Or une r alit contrast e Les principes directeurs de l laboration du sch ma La d marche d laboration du sch ma s est caract ris e par m une volont forte de d velopper le partenariat entre les diff rents acteurs locaux organismes d assurance maladie associations tablisse ments communes en reconnaissant le r le majeur que ces derni res jouent dans le champ social et au sens large soci tal E l engagement d une r flexion visant la mise en place de dispositifs d observation partag e entre les diff rents partenaires du d parte ment devant permettre gr ce un diagnostic galement partag de parvenir une am lio ration de
97. ypes de r ponses doivent tre ainsi offerts uni t s sp cifiques en EHPAD ou cr ation d tablis sements sp cialis s Objectif gt Proposer des r ponses souples pour une prise en charge de qualit des personnes Actions prioritaires Dans le cadre de la proc dure d autorisation encou rager la cr ation d tablissements sp cialis s gt Cr er des unit s sp cifiques au sein des EHPAD en veillant au respect de certains crit res relatifs au projet de vie et de soins de la per sonne et en s appuyant sur un r seau externe sp cialis ou en renfor ant la formation des per sonnels en place Evaluation gt Nombre d unit s sp cifiques cr es en EHPAD et nombre de cr ation d tablissements sp cialis s Pour une C te d Or de tous les ges L Etat et le Conseil G n ral de la C te d Or sont convaincus que les enjeux et les int r ts d une bonne coordination entre les acteurs d une mise en r seau des partenaires et du d velop pement des collaborations sont multiples E pour les personnes g es il s agit de la possi bilit de disposer d une information actuali s e centralis e et compl te de b n ficier d une prise en charge formalis e valu e et coordonn e de profiter de la plus grande implication des partenaires E pour les professionnels c est l opportunit de renforcer les partenariats de rompre l iso lement de d velopper de nouvelles modali t s

Le Schéma gérontologique - Conseil général de Côte-d`Or

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