numéro de mars 2015 du bulletin d`actualité juridique1
Contents
1. et dont la large diffusion vient d tre amorc e au sein du r seau des signataires de la convention Ils attestent de la mobilisation de la profession et des services de l tat pour am liorer les pratiques professionnelles ainsi que la sant et la s curit des travailleurs L extension et la mise en ceuvre de la cessation anticip e des travailleurs de l amiante aux agents publics du minist re de l environnement anciens agents de l quipement notamment rel ve des attributions de la direction g n rale des infrastructures des transports et de la mer DGITM du minist re de l cologie du D veloppement durable et de l nergie R ponse publi e au JO S nat Q du 12 mars 2015 p 549 16 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 COMPTE PERSONNEL DE PREVENTION DE LA PENIBILITE Question n 14295 du 25 d cembre 2014 M Fran ois No l Buffet attire l attention de M le ministre du Travail de l Emploi de la Formation professionnelle et du Dialogue social sur la mise en place du compte personnel de pr vention de la p nibilit De nombreux acteurs conomiques ont exprim des inqui tudes quant la mise en place de ce compte En effet ce dispositif pourrait se r v ler contre productif en faisant peser sur nos entreprises de nouvelles charges risquant de d grader leur comp titivit dans un contexte conomique d j tendu De plus beaucoup craignent que la mise en place effective du comp2. Cet arr t du 13 janvier 2015 cr e un t l service pour faciliter cette d claration actuellement r alis e par courrier par les exploitants Il en pr voit galement les modalit s notamment en termes de gestion des donn es caract re personnel Rayonnements ionisants D cret n 2015 231 du 27 f vrier 2015 relatif la gestion des sources radioactives scell es usag es Minist re charg de l Environnement Journal officiel du 1 mars 2015 pp 4003 4004 RISQUE ROUTIER TRANSPORT Navigation maritime R glement d l gu UE 2015 531 de la Commission du 24 novembre 2014 compl tant le r glement UE n 508 2014 du Parlement europ en et du Conseil par le recensement des co ts ligibles l aide du Fonds europ en pour les affaires maritimes et la p che en vue d am liorer l hygi ne la sant la s curit et les conditions de travail des p cheurs de prot ger et de restaurer la biodiversit et les cosyst mes marins d att nuer le changement climatique et d am liorer l efficacit nerg tique des navires de p che Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 86 du 31 mars 2015 pp 1 8 Arr t du 9 mars 2015 modifiant l arr t du 26 juillet 2013 relatif la d livrance du certificat de formation de base la s curit Minist re charg de l Environnement Journal officiel du 17 mars 2015 p 4933 Permis de conduire Loi n 2015 294 du 17 mars 2015 visan
3. on automatis e sans saisie de donn es suppl mentaire les logiciels de paie seront adapt s par les diteurs au cours de l ann e 2015 En effet la production de la fiche y est r alis e sur la base de l indication de l exposition du salari aux facteurs de p nibilit l employeur coche la ou les case s correspondant aux facteurs auxquels les salari est expos au del des seuils sans qu il soit n cessaire d indiquer la p riode d exposition Cette derni re est m caniquement calqu e sur l ann e civile ou sur la dur e du contrat sup rieure un mois dans l ann e civile mais elle peut tre dit e S agissant des mesures de pr vention mises en place par l employeur l instruction ne pr voit pas qu elles apparaissent dans la fiche automatiquement g n r e par le logiciel de paie mais elle note qu elles doivent figurer dans le rapport annuel et le programme annuel pr sent s au comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail CHSCT lesquels doivent traiter sp cifiquement de la question de la p nibilit Toutefois elle rappelle qu un arr t fixe un mod le indicatif de fiche l employeur restant libre d utiliser le mod le qu il souhaite d s lors que celui ci comprend les cat gories minimales requises Ainsi la fiche peut tre renseign e sur support papier ou d mat rialis sans qu une d claration la Commission nationale de l informatique et des libert s CNIL soit n cessaire mais l em
4. Conseil concernant le rapprochement des l gislations des tats membres relatives aux dispositifs m dicaux implantables actifs la directive 93 42 CEE du Conseil relative aux dispositifs m dicaux et la directive 98 8 CE concernant la mise sur le march des produits biocides Parlement europ en et Conseil Journal officiel de l Union europ enne n L 67 du 12 mars 2015 D 23 11 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Vient de paraitre APTITUDE INAPTITUDE AU POSTE DE TRAVAIL Document d information Direccte novembre 2014 86 p La Direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi des Pays de la Loire vient de publier la 8 dition du document aptitude inaptitude au poste de travail Ce document reprend les informations essentielles en la mati re rappelle les r f rences r glementaires applicables a la proc dure de d claration d aptitude inaptitude et les derni res d cisions jurisprudentielles marquantes Dans une 1 partie sont ainsi d taill s les points suivants e Les notions cl s aptitude et inaptitude invalidit avis m dical avec r serves visite m dicale de pr reprise et de reprise La proc dure de constatation de l inaptitude m dicale au poste de travail tapes de la proc dure importance de la formulation de l avis du m decin du travail situation du salari entre les 2 visites licenciement ou repri
5. cocontractant en cas de manquement l obligation de d claration pr alable ou de d signation d un repr sentant et les sanctions encourues dans cette hypoth se Il d finit galement les modalit s de mise en uvre de l obligation de vigilance et de la responsabilit des ma tres d ouvrage et des donneurs d ordre vis a vis de leurs sous traitants et cocontractants En effet le ma tre d ouvrage qui contracte avec un employeur tabli hors de France doit demander celui ci certains documents avant le d but de chaque d tachement d un ou de plusieurs salari s une copie de la d claration de d tachement transmise l unit territoriale de la direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi Direccte une copie du document d signant le repr sentant de l employeur Par ailleurs le maitre d ouvrage ou le donneur d ordre concern enjoint l employeur dans un d lai de 24 heures compter de son information de faire cesser imm diatement le non respect de l une des dispositions num r es par l article L 8281 1 incluant les r gles relatives la sant et s curit au travail D s r ception de l injonction l employeur a 15 jours pour informer son cocontractant des mesures prises pour faire cesser la situation Ce dernier transmet aussit t cette r ponse l agent de contr le auteur du signalement ou d faut il informe cet agent de l absence de r ponse d
6. janvier 2015 Risques physiques et m caniques RISQUE M CANIQUE Machines quipements de travail Rectificatif la communication de la Commission dans le cadre de la mise en uvre de la directive 2006 42 CE du Parlement europ en et du Conseil relative aux machines et modifiant la directive 95 16 CE Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n C 87 du 13 mars 2015 pp 1215 Note du 18 f vrier 2015 relative au contr le des machines signalement en surveillance du march volutions n cessaires pour r pondre aux obligations fix es par la r glementation europ enne Minist re charg du Travail Bulletin officiel du Minist re du Travail de l Emploi de la Formation professionnelle et du Dialogue social n 2015 2 du 28 f vrier 2015 10 p Cette note a pour but de faire le point apr s le bilan fourni la Commission europ enne portant sur les quatre ann es d activit en mati re de signalement des machines dangereuses en surveillance du march r alis e dans le cadre d un r glement europ en et de notes DGT SAFSL et de mieux d finir les objectifs et de proc der aux mesures d ajustements n cessaires Elle est articul e en trois parties 1 Situation actuelle du contr le et signalement des machines en France et bilan 2 Objectifs atteindre en vue de renforcer le contr le signalement dans un contexte en volution 3 Ajustements de proc dure n cessaires pour att
7. la plus grande simplicit de gestion et de s curit juridique tant pour les entreprises dans leurs obligations de d claration des situations de p nibilit que du point de vue des salari s pour la mobilisation de leurs droits A la suite de la concertation conduite par Monsieur Michel de Virville les textes d appli cation de la loi publi s le 10 octobre 2014 ont retenu des modalit s de mise en ceuvre visant a simplifier s curiser juridiquement le dispositif et en r duire le co t pour les entreprises Ils mettent en uvre les propositions issues de la concertation annualisation des seuils d clara tion et versement des cotisations uniques en fin d ann e d mat rialisation et simplification de la fiche de p nibilit calendrier tr s progressif de mont e en charge des cotisations Par ailleurs en r ponse aux inqui tudes exprim es par les chefs d entreprise le Gouvernement a d cid une mise en uvre progressive du compte seuls 4 facteurs de p nibilit les plus simples identifier entrent en vigueur le 1 janvier 2015 Pour les 6 autres facteurs l entr e en vigueur est report e au 1 janvier 2016 Afin de veiller l appropri ation de ce dispositif nouveau en levant ce qui pourrait faire obstacle sa mise en uvre effective et la cr ation des droits attendus par les salari s concern s et afin que les inqui tudes exprim es par beaucoup de chefs d entre prise puissent trouver un apaisem
8. points par les salari s Elle rappelle quelles sont les personnes concern es par le C3P les salari s des employeurs de droit priv et le personnel des personnes publiques employ dans les conditions de droit priv tant pr cis que les salari s en apprentissage ou titulaires d un contrat de professionnalisation sont galement concern s En revanche ne peuvent pas acqu rir des droits au titre du C3P les salari s affili s un r gime sp cial de retraite comportant un dispositif sp cifique de reconnaissance et de compensation de la p nibilit une liste des r gimes concern s est fix e par le d cret n 2014 1617 du 24 d cembre 2014 mais galement les salari s du particulier employeur et les travailleurs d tach s en France Parall lement elle reprend le champ d application de l obligation d tablir une fiche p nibilit qui concerne les employeurs de droit priv les tablissements publics caract re industriel et commercial EPIC les tablissements publics administratifs employant du personnel dans les conditions de droit priv et les tablissements de sant sociaux et m dico sociaux mentionn s l article 2 de la loi n 86 33 du 9 janvier 1986 Si les salari s du particulier employeur ne sont pas concern s par le dispositif en revanche les travailleurs int rimaires et les travailleurs d tach s en France le sont il est pr cis que l entreprise donneuse d ordre transmet l entreprise sous t
9. Anes z 4 Institut National de Recherche 4 P i SRE EL i os J pm d Igi l oe WE D pm gt i ie 1 hS p l yas oad i de la pr vention des risques professionnels N 3 Mars 2015 Sommaire Pr vention G n ralit s Risques chimiques et biologiques on Risques physiques et m caniques A A i ARS EELS U C UCL DLLUIILCE 9 Sant publique 11 Aptitude inaptitude au poste de travail Pr sence d amiante dans certains enrob s routiers Compte personnel de pr vention de la p nibilit COUR DE CASSATION R PUBLIQUE FRAN AISE _ JOURNAE FFICIEL LOIS ET DECRETS Mercredi 15 d cembre 2010 N 290 SOMMAIRE ANALYTIQUE irr t s circulaires hist re de l cologie du d veloppement durable des tran me RE in d er dicembre 2010 annulant et rempla a l arr t du 15 octobre 2010 odifiant rr t du 25 mai 2010 lt utorisant au titre de l ouverture et fixant ler mbre de Ne T uses vis es du code de nist re des Ca trang res et europ ennes Meret a 2010 154 Sian 2010 portant publication de ES Essen de ee L R egislation Sd go ANTS A Institut National de Recherche Institut national de recherche et de s curit pour la pr vention des accidents du travail et des maladies professionnelles 65 boul
10. ans les 2 jours suivant l expiration du d lai A d faut d injonction ou d information de l agent de contr le de l absence de r ponse de l employeur dans les d lais le ma tre d ouvrage ou le donneur d ordre encourt une amende Lorsqu un agent de controle de l inspection du travail constate l un des manquements aux obligations d coulant des dispositions des articles L 1262 2 1 d claration pr alable de d tachement d signation d un repr sentant de l employeur sur le territoire national et L 1262 4 1 v rifications effectu es par le cocontractant du Code du travail il transmet au directeur r gional des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi un rapport sur le fondement duquel ce dernier peut d cider de prononcer une amende administrative compter de cette d cision l int ress aura 15 jours pour pr senter ses observations d lai l expiration duquel le directeur r gional notifie sa d cision et met le titre de perception correspondant Le d cret pr cise en outre les modalit s selon lesquelles les organisations syndicales repr sentatives de travailleurs informent les salari s des actions en justice form es en leur nom Il indique les modalit s selon lesquelles les copies des d clarations de d tachement sont annex es au registre unique du personnel de l entreprise qui accueille les salari s d tach s Il compl te enfin la liste des informations contenues dans le bilan s
11. e propanol 2 en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides des types 1 2 et 4 Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 67 du 12 mars 2015 DD Bos Oe Ce texte approuve le propanol 2 en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 1 d sinfectants destin s a l hygi ne humaine du type 2 d sinfectants et produits algicides non destin s l application directe sur des tres humains ou des animaux et du type 4 d sinfectants pour les surfaces en contact avec les denr es alimentaires et les aliments pour animaux 6 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST R glement d ex cution UE 2015 416 de la Commission du 12 mars 2015 approuvant le dinot furane en tant que substance active destin e a tre utilis e dans les produits biocides du type 18 Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 68 du 13 mars 2015 pp 30 32 R glement d ex cution UE 2015 417 de la Commission du 12 mars 2015 approuvant Bacillus sphaericus 2362 s rotype H5a5b souche ABTS1743 en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 18 Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 68 du 13 mars 2015 BD 33 33 R glement d ex cution UE 2015 419 de la Comm
12. eindre ces objectifs INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST RISQUE PHYSIQUE Compatibilit lectromagn tique Avis relatif l application du d cret n 2006 1278 du 18 octobre 2006 relatif la compatibilit lectromagn tique des appareils lectriques et lectroniques directive 2004 108 CE du Parlement europ en et du Conseil du 15 d cembre 2004 Minist re charg de l Industrie Journal officiel du 3 mars 2015 pp 4056 4071 Ce texte comporte en annexe une liste des normes francaises homologu es transcrivant les normes europ ennes harmonis es dont les r f rences ont t publi es au Journal officiel de l Union europ enne et qui peuvent tre utilis es pour l application de l article 4 du d cret n 2006 1278 du 18 octobre 2006 Il est susceptible d une mise jour et annule et remplace l avis publi au Journal officiel du 4 mai 2014 Equipements sous pression Arr t du 13 janvier 2015 portant cr ation d un t l service de d claration de mise en service d quipements sous pression d nomm D claration de mise en service DMS Minist re charg de l Environnement Journal officiel du 31 mars 2015 pp 5827 5828 Les quipements sous pression pr sentant les risques les plus importants doivent faire l objet d une d claration de mise en service aupr s de la pr fecture du d partement ou ils sont install s
13. emplacent ceux qui avaient t diffus s par la note n 13 901 du 2 octobre 2013 Biocides Rectificatif au r glement UE n 334 2014 du Parlement europ en et du Conseil du 11 mars 2014 modifiant le reglement UE n 528 2012 concernant la mise a disposition sur le march et l utilisation des produits biocides en ce qui concerne certaines conditions d acc s au march Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 83 du 27 mars 2015 p 41 R glement d ex cution UE 2015 405 de la Commission du 11 mars 2015 approuvant l alpha cyperm thrine en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 18 Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 67 du 12 mars 2015 pp 9 11 Ce texte approuve l alpha cyperm thrine en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 18 insecticides acaricides et produits utilis s pour lutter contre les autres arthropodes R glement d ex cution UE 2015 406 de la Commission du 11 mars 2015 approuvant Bacillus thuringiensis sous esp ce israelensis s rotype H14 souche SA3A en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 18 Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 67 du 12 mars 2015 pp 12 14 R glement d ex cution UE 2015 407 de la Commission du 11 mars 2015 approuvant l
14. ent par un effort suppl mentaire de simplification et d ac compagnement deux missions sont invit es formuler des propositions au Gouvernement Une mission confi e par le Premier ministre Monsieur Christophe Sirugue d put de Sa ne et Loire et Monsieur G rard Huot chef d entreprise formulera notamment d ici juin INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Questions parlementaires 2015 des propositions sur l quilibre a trouver entre la d finition et le suivi individuel de l exposition aux facteurs de p nibilit et des appr ciations plus collectives des situations de p nibilit plus simples suivre pour les entreprises notamment les TPE et PME Cette mission s articulera avec celle confi e a Monsieur Michel de Virville conseiller maitre honoraire la Cour des comptes qui m nera quant lui une mission d appui aux branches professionnelles pour l laboration au cours de l ann e 2015 de leurs modes d emploi qui permettront de d finir dans un contexte et un vocabulaire propres aux divers m tiers des modalit s adapt es de recensement des expositions voire des situations types d exposition De l avis de l ensemble des parties prenantes ces modes d emploi faciliteront simplifieront et s curiseront les d marches des entreprises notamment des plus petites Un rapport d tape sera rendu d ici l t 2015 Les propositions de ces deux missions ainsi que les travaux des branches pro
15. evard Richard Lenoir 75011 Paris T l phone 01 40 44 30 00 Fax 01 40 44 30 99 Internet www inrs fr e mail info inrs fr INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 1 au 31 mars 2015 Pr vention G n ralit s ACCIDENTS DU TRAVAIL MALADIES PROFESSIONNELLES Tarification Arr t du 26 f vrier 2015 fixant les soldes pour l exercice 2013 et les acomptes pour l exercice 2014 au titre de la compensation en mati re d assurance contre les accidents du travail et les maladies professionnelles entre le r gime g n ral et le r gime des salari s agricoles Minist re charg de la Sant Journal officiel du 12 mars 2015 pp 4710 4711 SITUATIONS PARTICULI RES P nibilit D cret n 2015 259 du 4 mars 2015 relatif la fiche de pr vention des expositions des salari s temporaires Minist re charg du Travail Journal officiel du 6 mars 2015 p 4223 La loi n 2014 40 du 20 janvier 2014 a apport des modifications au dispositif juridique applicable la p nibilit notamment aux dispositions relatives la fiche de pr vention des expositions dite fiche p nibilit Ainsi depuis le 1 janvier 2015 l article L 4161 1 alin a 3 du Code du travail pr cise que dans le cadre du travail int rimaire il appartient aux entreprises utilisatrices EU de transmettre l entreprise de travail temporaire ETT les i
16. evient aux entreprises mais les services de l inspection de travail ont galement un r le majeur jouer dans le cadre de leurs missions de contr le et d information D s juillet 2010 l union des syndicats de l industrie routi re fran aise USIRF et la f d ration nationale des travaux publics FNTP ont sollicit les services de l tat pour faire part de leur volont de conclure une convention d objectifs avec les pr venteurs institutionnels relative l application des disposi tions de la r glementation sur les risques chimi ques et CMR dans les entreprises de travaux publics Le p rim tre a t tendu aux rayonne ments ultra violet UV aux troubles musculo squelettiques TMS aux risques routiers et aux risques psycho sociaux Les objectifs essentiels de cette convention sign e le 29 mars 2012 et con clue pour une p riode de cinq ans sont de d velopper la connaissance sur les risques chimi ques TMS routier et UV identifier et promou voir les bonnes pratiques de pr vention adapt es mobiliser les entreprises de travaux publics pour r duire leur sinistralit renforcer la pr vention des risques professionnels dans les formations ini tiales et continues aux m tiers des travaux publics Les r sultats de ces travaux ont d ores et d ja donn lieu a la production de plusieurs documents destin s aux entreprises sur le recyclage des pro duits routiers et la sant au travail fiches guides
17. fessionnelles permettront au Gouvernement de pr parer les r gles d application pour les facteurs qui entreront en vigueur le 1 janvier 2016 en int grant les recommandations formul es et d apporter les pr cisions et am liorations utiles pour les facteurs entr s en vigueur au 1 janvier 2015 R ponse publi e au JO S nat Q du 26 mars 2015 p 705 18
18. ilit et que celle ci est appr ci e au regard des conditions habituelles de travail caract risant le poste occup en moyenne sur l ann e Puisqu en pratique il est fr quent qu un travailleur soit affect a plusieurs postes au cours de l ann e l instruction pr cise que dans ce cas l employeur prend en compte l ensemble des expositions subies par le travailleur sur l ensemble de ces postes pour d terminer son exposition moyenne annuelle Ensuite l instruction insiste sur le fait que pour les travailleurs pr sents moins d une ann e civile mais plus d un mots les titulaires de contrats d une dur e inf rieure un mois ne sont pas concern s par le suivi des expositions l employeur value galement l exposition aux facteurs de p nibilit au regard des conditions habituelles de travail du poste occup appr ci es en moyenne sur l ann e Des lors a contrario si le travailleur n est par exemple pr sent que deux mois sur un poste qui en conditions habituelles de travail sur une p riode de douze mois n implique pas une exposition sup rieure aux seuils l employeur n a pas recenser l exposition et ce m me si au cours de ces deux mois le travailleur a t expos des facteurs de p nibilit par exemple en raison d un pic d exposition li un ph nom ne de saisonnalit Enfin l instruction pr cise que les p riodes d absence longues qui remettent manifestement en cause l exposition au del des seuils ca
19. iocides tiquetage R glement UE 2015 491 de la Commission du 23 mars 2015 portant modification du r glement UE n 605 2014 modifiant aux fins d ajouts de mentions de danger et de conseils de prudence en langue croate et aux fins de son adaptation au progr s scientifique et technique le r glement CE n 1272 2008 du Parlement europ en et du Conseil relatif la classification a l tiquetage et a l emballage des substances et des m langes Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 78 du 24 mars 2015 DD 12 19 Ce texte modifie la date d application du r glement UE n 605 2014 qui passe du 1 avril 2015 au 1 janvier 2016 Reach R glement UE 2015 326 de la Commission du 2 mars 2015 modifiant l annexe XVII du r glement CE n 1907 2006 du Parlement europ en et du Conseil concernant l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques ainsi que les restrictions applicables ces substances REACH en ce qui concerne les hydrocarbures aromatiques polycycliques et les phtalates Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 58 du 3 mars 2015 pp 43 45 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST R sum des d cisions de la Commission relatives aux autorisations de mise sur le march en vue de l utilisation et ou aux autorisations d utilisation de
20. ission du 12 mars 2015 approuvant le tolylfluanide en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 21 Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 68 du 13 mars 2015 pp 39 42 Ce r glement d ex cution approuve le tolylfluanide en tant que substance active destin e tre utilis e dans les produits biocides du type 21 produits antisalissures D cision d ex cution UE 2015 411 de la Commission du 11 mars 2015 en vertu de l article 3 paragraphe 3 du r glement UE n 528 2012 du Parlement europ en et du Conseil relative aux liants polym res cationiques contenant des compos s d ammonium quaternaire incorpor s dans les peintures et les enduits Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L 67 du 12 mars 2015 pp 30 31 Ce texte d cide qu en eux m mes les liants polym res cationiques contenant des compos s d ammonium quaternaire mis sur le march pour tre incorpor s dans les peintures et les enduits par les fabricants de peintures afin de conf rer ces peintures une fonction biocide ne sont pas consid r s comme des produits biocides En revanche les peintures et les enduits dans lesquelles ces liants polym res cationiques contenant des compos s d ammonium quaternaire sont incorpor s par les fabricants de peintures afin de conf rer ces peintures une fonction biocide sont consid r s comme des produits b
21. miante dans certains enrob s routiers qui n a pas obtenu de r ponse ce jour Entre 1970 et 1995 l amiante a t utilis pour ses propri t s de r sistance l usure dans les enrob s bitumeux en particulier ceux fort trafic autoroutes parkings pistes d a roport carrefours giratotres En mai 2013 la pr sence d amiante dans certains enrob s routiers a t reconnue par le minist re de l cologie du D veloppement durable et de l nergie La circulaire du 15 mai 2013 r v le ainsi que jusqu la moiti des ann es quatre vingt dix certaines couches de roulement ont t r alis es avec des enrob s pouvant contenir de l amiante autour de 1 de la masse totale et g n ralement du chrysotile Selon ce texte des sondages carottages en termes techniques doivent tre syst matiquement pratiqu s sur les routes promises la r fection afin de s assurer que leur rev tement ne contient pas d amiante Si l amiante n a plus t utilis dans la fabrication du bitume partir de 1995 il n a cependant pas disparu des routes En effet de tr s grosses quantit s de d chets agglom rant de l amiante ont t recycl es et manipul es sans protection particuli re sans aucune instruction dans l ignorance la plus totale Cela se traduit par des milliers de tonnes de mati res dangereuses 15 pour la sant incorpor es notamment dans les rev tements routiers et dans les mat riaux de co
22. nformations dont cette derni re a besoin pour tablir la fiche p nibilit Il pr voit que les conditions dans lesquelles les EU transmettent ces informations et les modalit s selon lesquelles l ETT tablit la fiche sont d finies par d cret Le d cret n 2015 259 du 4 mars 2015 ins re deux nouveaux articles d di s ces questions au sein du Code du travail Il pr voit que le contrat de mise disposition indique quels facteurs de p nibilit le salari temporaire est expos au vu des conditions habituelles de travail appr ci es en moyenne sur l ann e par VEU Au besoin ces informations sont rectifi es l initiative de VEU par un avenant au contrat de mise disposition article R 4161 5 1 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST De plus le texte pr cise que VETT remet la fiche p nibilit au salari au plus tard le 31 janvier de l ann e suivante ou avant si le salari en fait la demande article R 4161 6 Ces dispositions sont entr es en vigueur au 1 janvier 2015 mais une p riode transitoire est am nag e Pour l ann e 2015 VEU peut utiliser un autre support que le contrat de mise disposition pour transmettre ces informations VETT au plus tard le 1 janvier 2016 Instruction DGT DSS n 1 du 13 mars 2015 relative la mise en place du compte personnel de pr vention de la p nibilit en 2015 Minis
23. nsolidation des accotements Cet tat de fait est dangereux pour toutes les cat gories de personnes gravitant autour de ces agglomerats plus particuli rement les travailleurs des entreprises de travaux publics des directions interd partementales des routes des collectivit s territoriales des autoroutes sous concession Les salari s qui travaillent sur ces r seaux depuis des ann es d couvrent seulement aujourd hui qu on leur a dissimul le risque encouru Une grande partie ignore encore la pr sence d amiante et continue exercer ses missions sans aucune protection Aussi elle souhaiterait savoir quelles mesures le Gouvernement compte prendre pour informer prot ger reconna tre l exposition l amiante des personnels concern s Elle souhaiterait galement savoir si le Gouvernement envisage d tendre l allocation sp cifique de cessation anticip e d activit aux secteurs d activit concern s R ponse Les mesures de pr vention des risques professionnels li s aux agents chimiques dange reux ou canc rog nes mutag nes ou toxiques pour la reproduction CMR de cat gorie 1 ou 2 figurent dans les d crets n 2001 97 du 1 f vrier 2001 et n 2003 1254 du 23 d cembre 2003 Ces d crets transposent en droit national les directives europ ennes 98 24 CE et 2004 37 CE directives fixant des prescriptions minimales Ces dispositions codifi es aux articles R 4412 1 INRS Actualit juridique n 3 Ma
24. ocial en mati re de travail d tach INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST Risques chimiques et biologiques RISQUE CHIMIQUE Amiante Arr t s du 3 mars 2015 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante 1 2 3 Minist re charg du Travail Journal officiel du 18 mars 2015 pp 5030 5031 Note DGT 15 79 du 4 mars 2015 relative a la seconde version actualis e des logigrammes labor s afin de faciliter le classement des op rations exposant l amiante Minist re charg du travail http www travailler mieux gouv fr 6 p Par cette note la direction g n rale du travail DGT diffuse une version actualis e des deux logigrammes labor s pour faciliter le classement des op rations exposant l amiante sur les immeubles par nature ou par destination 1 logigramme l actualisation apporte notamment des pr cisions sur la d finition d un immeuble par nature ou par destination et sur la notion de retrait sur les installations et quipements industriels mat riels de transport ou autres articles 24 logigramme les actualisations propos es apportent notamment des pr cisions sur la notion et les niveaux de maintenance Ces documents annulent et r
25. ployeur doit veiller ce que les L article L 4161 1 du Code du travail pr voit que l employeur consigne dans la fiche les conditions de p nibilit r sultant des facteurs p nibilit auxquelles le travailleur est expos la p riode au cours de laquelle cette exposition est survenue ainsi que les mesures de pr vention mises en uvre par l employeur pour faire dispara tre ou r duire l exposition ces facteurs durant cette p riode De plus la fiche doit pr ciser de mani re apparente et claire le droit pour tout salari de demander la rectification des informations contenues dans ce document INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST informations de la fiche restent confidentielles Il existe une seule fiche par ann e ou par p riode d exposition pour les contrats infra annuels Pour les hypotheses d acc s du travailleur sa fiche autres que la fin de l ann e civile ou du contrat de travail il est noter que la fiche p nibilit qui est mise disposition remise ou transmise selon les cas est la fiche la plus r cemment tablie l employeur n ayant pas r diger une fiche ad hoc cette occasion Ainsi si le contrat a t ex cut pendant la totalit de l ann e civile il s agira de la fiche consignant les expositions de l ann e pass e En revanche en cas de d c s du travailleur c est une version actualis e de la fiche q
26. ract risant le poste occup doivent tre prises en compte pour l valuation Mais il n existe pas de modalit particuli re d appr ciation du d passement du seuil pour les travailleurs temps partiel S agissant des modalit s des d clarations effectuer par les employeurs l instruction rappelle que le logiciel de paie permet de d clarer la Caisse nationale d assurance vieillesse CNAV les facteurs de p nibilit auxquels les salari s sont expos s au travers de la d claration annuelle des donn es sociales DADS par la s lection de la rubrique S 65 donn es annuelles L employeur qui ne dispose pas de logiciel de paie lui permettant de g n rer la DADS effectue sa d claration cette adresse https wwwv e ventail fr ss Satellite e ventail vos services Saisie en ligne DADSNET html Il est par ailleurs rappel que pour les contrats de travail d une dur e d au moins un mois qui d butent ou s ach vent au cours de l ann e civile la d claration est effectu e au plus tard le dernier jour du mois suivant la fin de contrat Mais une p riode transitoire est pr vue pour les contrats s achevant courant 2015 l employeur a jusqu au 31 janvier 2016 pour tablir les fiches Concernant l tablissement et la communication de la fiche p nibilit l instruction pr cise que sous r serve que cette fonctionnalit soit disponible le logiciel de paie permettra galement d diter les fiches p nibilit de fa
27. raitante les informations n cessaires l tablissement de la fiche par celle ci L instruction revient sur l entr e en vigueur progressive de certaines dispositions relatives la p nibilit En effet seuls quatre facteurs et les seuils associ s sont pris en compte depuis le 1 janvier 2015 travail de nuit travail en quipes successives alternantes travail r p titif activit s exerc es en milieu hyperbare Les six autres facteurs seront pris en compte compter du 1 janvier 2016 manutentions manuelles de charges postures p nibles vibrations m caniques agents chimiques dangereux temp ratures extr mes bruit Il est pr cis que les r f rentiels ou modes d emploi de branches devant faciliter le recensement de l exposition ces six facteurs seront labor s avant la fin de l ann e 2015 L instruction apporte des pr cisions sur la fa on dont l exposition la p nibilit est appr ci e par l employeur Ce dernier effectue une valuation en croisant deux crit res 2 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST les facteurs de p nibilit applicables au type de poste occup l exposition en moyenne annuelle du salari sur le poste en question Tout d abord il est rappel que l employeur tient compte des mesures de protection collective et individuelle pour appr cier les conditions de l exposition a la p nib
28. rs 2015 Questions parlementaires R 4412 93 du Code du travail visent a syst ma tiser sous la responsabilit de chaque employeur l valuation du risque chimique en vue de permettre la mise en place de mesures de pr vention adapt es a chaque situation de travail et au niveau des risques constat s Elles pr voient une obligation de substitution des agents chimi ques dangereux par des substances pr parations ou proc d s non dangereux ou moins dangereux Cette obligation est plus affirm e encore pour les agents CMR de cat gorie 1 ou 2 pour lesquels la substitution est imp rative lorsque cela est techni quement possible Lorsque l application du princi pe de substitution s av re impossible l employeur doit mettre en ceuvre tous les moyens permettant de r duire l exposition par des moyens de pr ven tion et de protection adapt s syst me clos mesu res de protection collectives moyens de protec tion individuels Par ailleurs la r glementation pr voit qu un travailleur ne peut tre affect des travaux l exposant des agents chimiques dange reux pour la sant que s il a fait l objet d un examen m dical pr alable et qu il ne pr sente pas de contre indication m dicale ces travaux article R 4412 44 Cet ensemble de dispositions constitue un arsenal juridique complet et efficace sous r serve de rester vigilant quant l effectivit de son application cet gard la responsabilit premi re r
29. se du versement du salaire La voie de recours contre les avis du m decin du travail L obligation de reclassement nature tendue et p riode de la recherche de reclassement modification du contrat de travail refus du reclassement par le salari etc Dans une 2 partie la rupture du contrat de travail et ses cons quences p cuniaires sont examin es et notamment e Les cons quences de l absence de reclassement e Les sanctions en l absence d effort de reclassement e La nullit du licenciement e La rupture conventionnelle e La prise d acte de la rupture Figurent en annexes de ce document le mod le de fiche d aptitude m dicale pr vue par l arr t du 20 juin 2013 et des extraits des r ponses de la Direction G n rale du Travail DGT au recours gracieux form contre cet arr t L annexe 3 pr sente un tableau r capitulatif des cons quences indemnitaires des licenciements pour inaptitude de salari s en contrat a dur e ind termin e CDI et de la rupture anticip e pour inaptitude d un contrat a dur e d termin e CDD INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Questions parlementaires PRESENCE D AMIANTE DANS CERTAINS ENROBES ROUTIERS Question n 14390 du 25 d cembre 2014 Mme Nicole Bonnefoy rappelle a Mme la ministre des Affaires sociales de la Sant et des Droits des femmes les termes de sa question n 09706 pos e le 12 12 2013 sous le titre Pr sence d a
30. service entreprise TESE Services la personne Arr t du 17 mars 2015 relatif l information pr alable du consommateur sur les prestations de services la personne Minist re charg de l conomie Journal officiel du 25 mars 2015 pp 5432 5433 Ce texte organise l information des consommateurs qui recourent des prestations de services la personne ou envisagent de le faire Il pr voit notamment que l information du consommateur sur les prix le devis ainsi que la premi re page du contrat comporte de fa on visible et lisible l une des mentions suivantes en fonction du mode d intervention choisi Attention dans le cadre d un contrat de placement de travailleurs le consommateur est l employeur de la personne qui effectue la prestation son domicile En cette qualit d employeur le consommateur est soumis diverses obligations r sultant notamment du code du travail et du code de la s curit sociale pour les interventions r alis es selon le mode d intervention dit mandataire Dans le cadre d un contrat de mise disposition de travailleurs le prestataire de service reste l employeur pour les interventions r alis es selon le mode d intervention dit mise disposition Ses dispositions entrent en vigueur le 1 juillet 2015 Travailleurs d tach s D cret n 2015 364 du 30 mars 2015 relatif la lutte contre les fraudes au d tachement de travailleurs et la lut
31. substances num r es l annexe XIV du r glement CE n 1907 2006 du Parlement europ en et du Conseil concernant l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques ainsi que les restrictions applicables a ces substances REACH Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n C 91 du 18 mars 2015 p 2 La Commission europ enne autorise l utilisation industrielle du phtalate de bis 2 thylhexyle DEHP n CE 204 211 0 n CAS 117 81 7 et du phtalate de dibutyle DBP n CE 201 557 4 n CAS 84 74 2 dans la fabrication de propergols solides et de charges pour moteurs destin s aux fus es et aux missiles tactiques Elle autorise galement l utilisation industrielle du DBP dans une peinture sp ciale employ e dans la fabrication de moteurs de fus es et de missiles tactiques Avis modifiant l avis aux op rateurs conomiques sur l obligation de communiquer des informations sur les substances contenues dans les articles en application des articles 7 2 et 33 du r glement CE n 1907 2006 REACH Minist re charg de l Environnement Journal officiel du 31 mars 2015 pp 5899 5905 Cet avis contient une annexe qui remplace celle de l avis aux op rateurs conomiques sur l obligation de communiquer des informations sur les substances contenues dans les articles en application des articles 7 2 et 33 du r glement CE n 1907 2006 REACH publi s au Journal officiel du 14
32. t introduire une formation pratique aux gestes de premiers secours dans la pr paration du permis de conduire Parlement Journal officiel du 18 mars 2015 p 5009 Ce texte introduit un nouvel article L 221 3 au sein du Code de la route qui pr voit que les candidats l examen du permis de conduire sont form s aux notions l mentaires de premiers secours et que cette formation fait l objet d une valuation l occasion de l examen du permis 9 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST de conduire Le contenu de la formation et les modalit s de v rification de son assimilation par les candidats sont fix s par voie r glementaire Des lors l article 16 de la loi n 2003 495 du 12 juin 2003 renfor ant la lutte contre la violence routi re est abrog Il pr voyait que les candidats au permis de conduire sont sensibilis s dans le cadre de leur formation aux notions l mentaires de premiers secours et qu un d cret en Conseil d Etat fixe les modalit s de mise en uvre de ces dispositions 10 INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs l environnement la sant publique et la s curit civile parus du 1 au 31 mars 2015 Sant publique DISPOSITIFS M DICAUX Rectificatif la directive 2007 47 CE du Parlement europ en et du Conseil du 5 septembre 2007 modifiant la directive 90 385 CEE du
33. t res charg s du Travail de la Sant et de l Agriculture http www circulaires legifrance gouv fr 23 p La loi n 2014 40 du 20 janvier 2014 compl t e par plusieurs d crets d applications a cr le compte personnel de pr vention de la p nibilit C3P L instruction du 13 mars 2015 pr cise les conditions de mise en uvre des obligations des employeurs li es la mise en place et au fonctionnement du C3P en 2015 Un mode d emploi du C3P lui est annex compos de 9 fiches techniques 1 Ouverture du compte p nibilit d clarations par l employeur et r glement des cotisations 2 Champ d application de l obligation d tablir une fiche individuelle de pr vention des expositions et du b n fice du compte personnel de pr vention de la p nibilit 3 Seuils d exposition aux facteurs de p nibilit applicables en 2015 cette fiche sera compl t e par des r f rentiels de branche et ne s int resse pour l instant qu aux quatre facteurs pris en compte au 1 janvier 2015 4 Modalit s d tablissement et de communication des fiches de pr vention des expositions 5 Liens entre l valuation de l exposition individuelle la p nibilit et la d marche globale d valuation des risques 6 Modalit s d claratives de l exposition 7 Conditions de d claration et paiement applicables aux cotisations li es au C3P 8 Modalit s d claratives des cotisations en DSN 9 Modalit s d acquisition des
34. te p nibilit ne conduise une d t rioration du climat social en raison de la multiplication des recours et contentieux Enfin cette r forme pourra difficilement tre appliqu e en l tat par la plupart des petites et moyennes entreprises qui n ont actuellement ni les moyens humains ni les moyens financiers de s y conformer Une v ritable politique d aide la pr vention de la p nibilit est pourtant indispensable en France et n cessiterait une vaste concertation avec les acteurs concern s Aussi il souhaite connaitre les mesures que le Gouvernement entend mettre en place pour r pondre aux inqui tudes l gitimes de nos entreprises qui appellent une simplification du compte personnel de pr vention de la p nibilit 17 R ponse Afin de garantir le caract re quitable de la r forme des retraites le Gouvernement s est engag et c est l un axe majeur de cette r forme apporter une r ponse durable la question de la p nibilit au travail Elle passe par la reconnaissance d une juste compensation pour les salari s concern s mais aussi par la pr vention de l exposition a des facteurs de p nibilit La cr ation d un compte personnel de pr vention de la p nibilit repr sente a cet gard une avanc e sociale essentielle Ayant bien conscience des difficult s auxquelles doivent faire face les petites entreprises la priorit du Gouvernement a t de privil gier des solutions offrant
35. te contre le travail ill gal Minist re charg du Travail Journal officiel du 31 mars 2015 pp 5872 5876 Ce d cret est pris pour l application des articles 1 5 9 et 10 de la loi n 2014 790 du 10 juillet 2014 visant lutter contre la concurrence sociale d loyale ainsi que pour la transposition de la directive 2014 67 UE du Parlement europ en et du Conseil du 15 mai 2014 relative l ex cution de la directive 96 71 CE concernant le d tachement de travailleurs INRS Actualit juridique n 3 Mars 2015 Textes officiels relatifs a la sant et a la s curit au travail SST Il pr cise les obligations des employeurs tablis hors de France d tachant des salari s en France en matiere de d claration pr alable de ce d tachement le contenu des d clarations pr alables de d tachement est toff d signation d un repr sentant en France celui ci qui accomplit au nom de l employeur tabli hors de France les obligations qui lui incombent en mati re de conservation et de pr sentation de documents l inspection du travail est d sign par crit la liste des informations devant figurer dans le document traduire en fran ais est pr cis e conservation des documents pr senter en cas de controle la liste de ceux ci volue notamment pour y int grer la copie de la d signation de son repr sentant par l employeur Il d termine les conditions de mise en uvre de la responsabilit du
36. ue ses ayants droits peuvent obtenir a leur demande S agissant de l acc s la fiche des autres acteurs il est pr cis que la communication de la fiche p nibilit au service de sant au travail est effectu e au plus tard avant le 31 janvier de l ann e N 1 et que le CHSCT n ayant pas acc s aux documents caract re nominatif il ne peut pas demander consulter la fiche p nibilit l acc s aux informations en question se fera par le biais du document unique et de ses annexes du rapport annuel et du programme annuel Cette instruction sera compl t e et des pr cisions seront apport es concernant les adaptations r sultant des pr conisations des deux missions confi es Michel de Virville accompagnement de l laboration des r f rentiels de branche permettant de d finir des modalit s adapt es de recensement des expositions voire des situations types d exposition ainsi qu G rard Huot et Christophe Sirugue valuation et proposition pour la mise en uvre du C3P les modalit s d acquisition et d utilisation des points par les salari s les six facteurs pris en compte compter du 1 janvier 2016 les modalit s d claratives de l employeur pour ce qui concerne la d claration sociale nominative DSN qui se substituera la DADS et la d claration trimestrielle des salaires DTS du r gime agricole les modalit s de d claration par le moyen d un titre simplifi comme le titre emploi
Download Pdf Manuals
Related Search