DECLARATION DE NAMAREL - Inter
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1. l laboration et l application de l gislations sp cifiques au pastoralisme les enjeux et les implications de la d centralisation pour les leveurs et pasteurs Les expos s introductifs ont t compl t s par des t moignages portant sur l exp rience de la gestion d centralis e des ressources naturelles en Mauritanie les d fis li s la s curisation des droits fonciers pastoraux au Niger en lien avec les difficult s d application de l Ordonnance relative au pastoralisme les enseignements tir s des exp riences men es au Burkina Faso dans le domaine de la promotion de l intercommunalit et de la s curisation de l acc s aux ressources pastorales En ce qui concerne le processus d laboration du code pastoral au S n gal les discussions qui se sont d roul es lors de la RTF ont fait ressortir plusieurs pr occupations qui portent sur la n cessit pour les organisations de la soci t civile pastorale d laborer une note de pr sentation de leurs points de vue et propositions sur le projet de code pastoral du S n gal en vue d engager des n gociations avec les autorit s avec pour objectif d am liorer le processus de production l gislative en COUTS la n cessit pour les organisations d leveurs d harmoniser leurs positions et de d finir un cahier de charges pour les mandataires qui seront impliqu s dans les n gociations avec les d cideurs publics la n cessit de s orienter vers l2. que les pasteurs et leurs repr sentants soient impliqu s pleinement dans la d finition de l orientation imprimer au d veloppement du pastoralisme mais aussi du mode d emploi des ressources financi res qui seront mobilis es La RTF estime que la question de l ins curit physique des pasteurs rev t une acuit cruciale compte tenu de l volution de la situation dans plusieurs zones o les familles d leveurs subissent des exactions diverses e des bandes arm es ont ex cut en fin novembre 2103 24 personnes dans des campements de pasteurs peul install s entre M naka et Ansongo dans le Nord Mali e des agriculteurs r sidant dans le canton de Borgou Nord du Togo ont men des repr sailles l encontre des pasteurs transhumants accus s d avoir tu s l un des leurs ce qui a d bouch sur le meurtre de plus d une dizaine de personnes l abattage des animaux et l incendie des campements ID claration de Nouakchott sur le pastoralisme Mobilisons ensemble un effort ambitieux pour un pastoralisme sans fronti res 29 octobre 2013 Un autre sujet de pr occupation porte sur la configuration de la campagne agropastorale de 2013 En ce qui concerne la dynamique des ressources pastorales le fait majeur qui a t constat dans l ensemble de la zone couverte par le dispositif de veille informative mise en place par le RBM Burkina Faso Mali Niger et S n gal est la fin pr coce de la saison des pluies Cette situation es
3. R seau Billital Maroob R seau des Organisations d Eleveurs et Pasteurs de l Afrique D ci R c piss N 2004 215 MATD SG DGLPAP DOASOC Adresse BP 10648 Niamey NIGER T l 227 20 74 11 99 Fax 227 20 74 11 93 Email billital intnet ne Site Web http www maroobe ors RENCONTRE ANNUELLE TRANSFRONTALIERE DU RESEAU BILLITAL MAROOBE Huiti me dition Namarel S n gal 28 au 30d cembre 2013 DECLARATION DE NAMAREL LA MOBILISATION DES ELEVEURS ET PASTEURS MEMBRES DU RBM POUR UN CODE PASTORAL PLUS ABOUTI AU SENEGAL Le Hub Rural care Schweizerische Eidgenossenschaft Direction du d veloppement Conf d ration suisse et de la coop ration DDC Cant f PONO Sh Pe 2 1 Contexte socio politique et conomique d intervention du RBM Du point de vue macro conomique l apport de l levage est tr s important en Afrique de l Ouest et du Centre Il constitue l un des fondements des conomies de plusieurs pays de la bande sah lo saharienne o l activit de production animale b n ficie de conditions cologiques optimales Le cheptel des deux r gions est estim pr s de 82 5 millions de bovins et 197 millions d ovins et caprins L levage pastoral repr sente plus de 5 du Produit Int rieur Brut PIB des Etats des deux r gions Ce taux est compris entre 10 et 15 dans certains pays Burkina Faso Mali Niger Tchad RCA etc La part des produits relevant du syst me d levage pasto
4. e gestion des ressources pastorales accorder une attention plus soutenue la probl matique de l hydraulique pastorale statut syst me de gestion maillage et dimensionnement des points d eau etc envisager de mettre en place un syst me de garderie des animaux gar s comme mesure alternative celle portant sur la cr ation de fourri res d finir les modalit s d implication des collectivit s locales et des structures d concentr es de l Etat dans la mise en uvre de la l gislation pastorale favoriser la mise en place d une plateforme de la soci t civile pastorale capable de faire prendre en compte les pr occupations et attentes des leveurs et pasteurs dans le processus d laboration d adoption de mise en uvre et de suivi valuation du code pastoral S agissant du projet de r forme qui est envisag travers l Acte II de la d centralisation les participants la RTF ont exprim leurs attentes vis vis de plusieurs groupes d acteurs Attentes vis vis de l Etat l rection de l levage au rang de secteur conomique majeur au regard de l importance de son apport conomique Il s agit pour l Etat de doter les communes rurales de comp tences accrues et de moyens d intervention plus importants veiller la mie en coh rence globale des diff rentes r formes en cours r forme fonci re code pastoral Acte III de la d centralisation etc proc der un d coupage judic
5. es RBM du Benin du Burkina Faso de la Mauritanie du Niger du Nig ria et du S n gal et viii les populations de la zone du Ferlo A cause des difficult s de d placement engendr es par l ins curit qui pr vaut dans le Nord Mali les repr sentants de l Antenne du RBM implant e dans ce pays n ont pas pu prendre part la rencontre La c r monie d ouverture a t pr sid e par l adjoint au Pr fet du D partement de Podor M Adama Camara en pr sence de plusieurs autres personnalit s en particulier M Mamadou Boye DIALLO Conseiller Technique du Ministre de l Elevage et des Productions Animales Mme Mariam SOW Pr sidente du Conseil d Administration d ENDA Tiers Monde M Mamadou BA Vice pr sident du Conseil R gional de Saint Louis et Dr Mamadou CISSE Coordonnateur National de la CISV au S n gal M Thierno NDIAYE Pr sident de la Communaut rurale de Gamadji Sar a soulign l importance et l actualit des th matiques qui ont retenues par la pr sente rencontre transfrontali re en l occurrence celles portant sur le code pastoral en cours d laboration au S n gal et sur le processus de r forme envisag e travers l Acte III de la d centralisation Il a salu tout en les magnifiant les d cisions r centes qui ont t prises par le Pr sident de la R publique de confirmer la vocation pastorale du ranch de Dolly de c l brer chaque ann e une journ e nationale d di e l levage et de renforcer
6. es des pays concern s Ils ont affirm de fa on unanime que le pastoralisme doit tre plac au c ur des priorit s des strat gies et politiques de stabilisation de d veloppement durable et de d veloppement de l agriculture aux niveaux national et r gional en int grant les questions de gestion durable et de partage quitable des ressources d inclusion politique de s curit de connexion aux march s de sant d ducation et de genre les acteurs doivent agir diff remment en changeant d chelle en s engageant traiter collectivement des questions difficiles et en inscrivant les actions dans le long terme pour inverser la tendance en vue de renforcer durablement la r silience des soci t s pastorales Dans la perspective de la concr tisation des engagements souscrits par les participants au forum une task force sur le pastoralisme sera mise en place sous l gide du CILSS Elle se r unira Ouagadougou Burkina Faso le 31 janvier 2014 Ce regain d int r t des Etats de la r gion et des partenaires techniques et financiers pour le pastoralisme pose des d fis qui sont rep rables deux niveaux au moins a comment garantir une r elle prise en compte de l exigence de protection de la s curit physique des pasteurs et celle de la pr servation de leurs moyens d existence dans un contexte domin par un agenda s curitaire de court terme b quels m canismes mettre en place pour garantir
7. ieux du territoire permettant de cr er des p les de d veloppement viables encourager la prise en compte des contraintes et des perspectives de d veloppement de l levage pastoral dans les plans de d veloppement des collectivit s locales clarifier la notion de coh rence territoriale afin d viter qu elle ne soit un frein la mobilit pastorale Contribution attendue des collectivit s locales la r alisation d am nagements pastoraux dans le cadre d une politique qui vise r investir prioritairement les taxes g n r es par les activit s d levage dans le secteur concern Entre autres recommandations fortes l accent a t mis sur le d veloppement de l intercommunalit comme levier pour favoriser la mobilit pastorale la promotion des m canismes locaux de pr vention et de r glement des conflits entre les pasteurs et les autres usagers des ressources naturelles le recours des d cisions d affectations collectives de terres des fins d exploitation pastorale en lieu et place des affectations individuelles Contribution attendue des organisations de la soci t civile pastorale constitution d un p le organisationnel fort repr sentatif et cr dible Les recommandations formul es portent sur le renforcement de la dynamique unitaire des organisations des leveurs l laboration et la mise en uvre de programmes de renforcement des capacit s des leveurs et pasteurs l e
8. itanie et au S n gal ont choisi d un commun accord d articuler la RTF autour de la th matique suivante la s curisation des droits fonciers pastoraux un levier pour renforcer la r silience des syst mes d levage La rencontre de Namarel a regroup plus de 275 participants provenant de plusieurs pays de la sous r gion Burkina Faso Benin Mauritanie Niger Nigeria et S n gal et appartenant diff rentes cat gories d acteurs notamment i les repr sentants des institutions publiques en particulier le Minist re charg de l Elevage et des Productions Animales au S n gal ii les responsables de l administration territoriale et des services techniques d concentr s du d partement de Podor iii les mandataires des plateformes nationales CNCR ASPRODEB APESS des organisations professionnelles d agriculteurs et d leveurs UNOES MDE DINFEL FEITLS FENAGIE E ANAPES NANONDIRAL DOLY KAWRAL NAKARA ADESK FAPAL etc et des syndicats d leveurs SUES SUES FC et SENG iv les responsables du Conseil R gional de Saint Louis et de plusieurs collectivit s locales des d partements de Lingu re et de Podor v les repr sentants des institutions de recherche de formation et de plaidoyer ENDA Tiers Monde GRET REPAOC ARED et IPAR vi les repr sentants des ONG internationales qui apportent un appui la soci t civile pastorale en l occurrence la CISV vii les leaders des organisations membres des Antenn
9. laboration de plusieurs d crets d application du code pastoral articul s autour des grands d fis qui ont t identifi s en vue d viter l cueil de l adoption d un texte unique qui serait peu satisfaisant ou difficilement applicable Les principales recommandations formul es par les participants la 8 me dition de la RTF sont les suivantes tablir des m canismes d articulation entre le code pastoral la LOASP la l gislation en vigueur au sein de l espace de la CEDEAO et le cadre strat gique pour le pastoralisme en Afrique de l Union Africaine mettre l accent sur l exigence d une meilleure prise en compte dans les politiques publiques des tendances d volution observ es au niveau des exploitations pastorales clarifier la notion de mise en valeur pastorale et celle de productivit de l levage aborder la probl matique de la s curisation fonci re dans une perspective largie qui int gre non seulement la dimension de l acc s aux ressources naturelles mais aussi celle de la s curit physique des leveurs et pasteurs tablir un lien entre l option en faveur de la s curisation des droits fonciers pastoraux et les orientations de la politique nationale d am nagement du territoire cartographie des ressources pastorales enregistrement dans les registres fonciers laboration de conventions locales dans les zones pastorales etc renforcer les comp tences des collectivit s locales en mati re d
10. les mesures de lutte contre le vol du b tail M NDIAYE a confirm l engagement des collectivit s locales de s impliquer dans l accompagnement du secteur de l levage pour la s curisation du foncier pastoral et la consolidation du bien tre de toute la soci t Dans son allocution de bienvenue M Aliou Samba BA Pr sident de l Antenne s n galaise du RBM a soulign l importance conomique de l levage et le r le pr dominant qu il joue dans la formation du PIB de plusieurs pays sah liens Il a fait observer que par del cet apport conomique l levage pastoral pratiqu non seulement par les leveurs mobiles mais aussi par des agriculteurs qui placent leur pargne dans le cheptel concourt la A gestion durable des ressources naturelles C est ainsi qu il a mis en exergue le regain d int r t des institutions internationales r gionales et gouvernementales M Hassan Ould Taleb Pr sident de l Antenne mauritanienne a d plor le fait que l levage demeure un secteur dont le potentiel de d veloppement et la contribution dans la r duction de la pauvret ne soient pas suffisamment pris en compte dans la formulation des politiques publiques Poursuivant son raisonnement il dira lavaleur socio conomique que les pasteurs apportent la soci t en s acquittant de la Zakat mais aussi sa capacit assister socialement les plus d munis Il a insist sur la n cessit d un engagement r solu de l ensemble des acteur
11. ntervention coh rente et int gr e qui prend en charge les grands d fis auxquels le secteur doit faire face en particulier ceux li s la s curisation du foncier pastoral l am lioration des conditions de mise en march des produits et sous produits ainsi qu la lutte contre le vol du b tail Le Repr sentant de l Union Nationale des Organisations d Eleveurs du S n gal UNOES M Harouna Galo BA a estim qu il est indispensable de sensibiliser les communaut s d leveurs sur les questions de vols du b tail en vue d radiquer ce fl au qui prend de plus en plus de l ampleur Mme Mariam SOW Pr sidente du Conseil d Administration d ENDA Tiers Monde a fait observer que la logique d annexion de l espace rural par l agriculture a d j conduit au d classement de plusieurs r serves sylvo pastorales au d triment des familles d leveurs ses yeux l amplification des transactions fonci res r sulte de l option clairement affirm e des pouvoirs publics en faveur du d veloppement de l agriculture d entreprise Une telle option est de nature renforcer la prise de contr le par l agriculture de la majeure partie de l espace rural Pour contrer cette menace les espaces pastoraux doivent avoir un statut juridique qui permet de les s curiser en les retirant du lot des terres qui sont susceptibles d tre affect es des promoteurs priv es d sireux d en faire un usage exclusif Dans son intervention Dr Mamadou CISSE Coord
12. onnateur National de la CISV au S n gal a insist sur la n cessit de la construction d un p le organisationnel vaste et repr sentatif permettant la soci t civile pastorale de se positionner comme interlocuteur cr dible du Gouvernement et des partenaires techniques et financiers sur toutes les questions relatives l levage et au pastoralisme Il a galement soulign l exigence de l am nagement d un espace permanent de dialogue entre les organisations d leveurs et les diff rents partenaires qui sont impliqu s dans l appui l levage et au pastoralisme en vue de favoriser une meilleure coordination des interventions Dans son allocution M Mamadou BA Vice pr sident du Conseil r gional de Saint Louis a exprim sa conviction que l levage pastoral constitue un fondement solide pour la construction de p les de d veloppement plus viables ainsi qu un levier pour le renforcement de la dynamique d int gration conomique ouest africaine ce sujet il a indiqu que c est dans ce secteur de l levage et du pastoralisme qu il existe la compl mentarit naturelle la plus pouss e entre les pays sah lo sahariens et les r gions c ti res humides et subhumides Les travaux de la RTF ont t structur s autour d changes lors de sessions de panel suivies de discussions dans des groupes de travail Les panels ont examin deux questions d importance vitale dans le contexte actuel de la sous r gion e les d fis li s
13. ral est valu e 25 du PIB agricole au niveau de l Afrique de l Ouest Malgr l importance de sa contribution conomique on constate que le secteur de l levage b n ficie d un faible soutien en investissements publics tant pour ce qui concerne les infrastructures de transformation que les quipements d di s au conditionnement des produits animaux Le d veloppement du secteur est handicap galement par la faiblesse des politiques visant dynamiser le commerce r gional des produits d levage Dans un contexte socio conomique caract ris par une hausse continue de la demande en produits alimentaires notamment en prot ines animales le d veloppement du pastoralisme repr sente un v ritable enjeu de s curit alimentaire de croissance conomique durable d am nagement des zones pastorales et de paix sociale On comprend d s lors que le regain d int r t manifest par certains partenaires techniques et financiers pour le pastoralisme ait suscit beaucoup d espoir dans les pays de la bande sah lo saharienne A l initiative de la Banque mondiale les chefs d Etats et de gouvernements des six pays sah lo sahariens Burkina Faso Mali Mauritanie Niger S n gal et Tchad et les repr sentants des institutions d int gration Union Africaine CEDEAO CILSS et UEMOA ont pris l engagement lors du forum qui s est tenu Nouakchott Mauritanie le 29 octobre 2013 de d velopper des actions en faveur des soci t s pastoral
14. s au premier chef des Etats et des organisations de la soci t civile pastorale pour la formulation de politiques d levage en faveur des pauvres et qui s int grent dans le cadre de la strat gie d impulsion de la croissance conomique en Afrique de l Ouest M Zakaria DIALLO Pr sident du Bureau du Conseil d Administration du RBM a rappel que dans les pays de la bande sah lo saharienne la mobilit du b tail et la flexibilit des strat gies d exploitation des ressources naturelles constituent les fondements de l efficacit pastorale et de l adaptation aux d s quilibres De son point de vue il est indispensable de favoriser l int gration entre les zones pastorales caract ris es par des conditions biophysiques contraignantes et les r gions qui rec lent des potentialit s agro physiques lev es si l on veut viter de transformer les disparit s naturelles en in galit s socio conomiques Dans son intervention M Mamadou Boye DIALLO Conseiller Technique du Ministre de l Elevage et des Productions Animales a soulign que le Gouvernement du S n gal accorde une attention soutenue au d veloppement de l levage et du pastoralisme R cemment les autorit s nationales ont initi le processus de formulation du Plan National de D veloppement de l Elevage PNDE 2 2012 2016 Elles ont galement mis en chantier l laboration d un code pastoral consensuel Le D partement charg de l levage met en uvre une strat gie d i
15. t l origine d un d ficit quasi g n ralis de production fourrag re d une part et de la faiblesse des volumes d eau de surface disponible d autre part De l avis des leveurs rencontr s dans le cadre de la collecte de l information la p riode de soudure va commencer de fa on tr s pr coce f vrier mars c est dire deux trois mois avant la p riode habituelle Les signes avant coureurs constat s imposent aux familles d leveurs de renforcer leurs capacit s de r silience afin de pouvoir traverser les moments difficiles qui se profilent l horizon sans subir beaucoup de pertes d animaux Pour progresser dans cette voie le RBM a d cid de lancer un nouveau chantier majeur portant sur la codification des droits d usage des pasteurs sur le foncier C est pr cis ment dans cette logique que s inscrit la pr sente dition de la Rencontre Transfrontali re Annuelle La RTF a mis le focus sur l accompagnement de l Antenne du RBM au S n gal afin qu elle puisse apporter une contribution de qualit dans le processus d laboration du code pastoral du S n gal en valorisant les le ons tir es de l exp rience des pays voisins BurkinaFaso Mali Mauritanie et Niger 2 D roulement conclusions et recommandations de la rencontre transfrontali re La huiti me dition de la RTF s est tenue Namarel communaut rurale de Gamadji Sar R gion de Saint Louis du S n gal du 28 au 30 d cembre 2013 Les Antennes du RBM en Maur
16. xercice d une citoyennet pleine et enti re des leveurs et pasteurs tat civil inscription aux diff rents fichiers acc s aux services sociaux de base etc la mobilisation en vue d une repr sentation plus forte dans les instances de prise de d cision aux diff rentes chelles d intervention nationale r gionale et locale En conclusion les participants ont lanc un appel pour un engagement ambitieux des pouvoirs publics et des partenaires techniques et financiers mettre en uvre un programme r gional de renforcement de la comp titivit des syst mes pastoraux et de la r silience des leveurs dont l tude de faisabilit d taill e sera conduite par les r seaux r gionaux APESS RBM et ROPPA diligenter une recherche action sur les nouvelles formes d ins curit qui minent l exercice de la mobilit pastorale prendre des mesures urgentes permettant d att nuer l impact du d ficit fourrager constat dans les grandes les zones pastorales du Sahel Fait Namarel le 30 d cembre 2013
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