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1. PERS 14 bee ee TZE Lucas Henao Zone martienne endommag e impresion sur papier 85 x 120 cm 2010 Accident ou crime par omission Fautes quasi d lictuelles ou contractuelles Ce sont les questions souvent li es aux d sastres cologiques dus aux activit s des industries humaines et dont les r ponses autour des responsabilit s restent souvent floues Les quasi d lits sont des engagements qui r sultent du dommage qu une personne a provoqu sans droit mais involontairement au d triment d autrui et qui l oblige a en r parer les cons quences Marcuss Lahoud Sys alt Pi ce num ro 2 Sans titre installation dimensions variables 2010 A travers cette pi ce je donne a parcourir un lieu qui est une remise en sc ne d l ments r els r cup r s de notre quotidien et qui accompagnent voire guident nos d placements et actions journali res L espace polygonale dans lequel sont install s ces elements du quotidien est compos de b ches plastiques semi transparentes Les gens l ext rieur de cette salle ne voient que des silhouettes et des formes plus ou moins abstraites de ce qui se passe l int rieur de la salle Cette salle propose une entr e et une sortie A entr e un m diateur distribue chaque visiteur une cagoule noire qui ne laissera entrevoir que ses yeux et sa bouche Nous offrirons peut tre au visiteur des gants de plastique afin que celui compr2. Sc ne du crime Exposition du collectif Beautiful Art Charlotte Cardonne Dysek Laetitia Ferrer Lucas Henao Marcuss Lahoud Sandra Suarez Sc ne du crime Le crime nous laisse interdits Il nous glace Il n y a pas de discours dans le crime pas de symbole pas de sens Alors qu une scene de crime raconte toute une histoire On peut r ver d un monde sans crimes mais que seraient notre imagination notre cr ativit nos fantasmes m me sans la fascination des sc nes de crime Ce n est pas le crime qui nous fascine mais la sc ne du crime Il y faut un certain clairage une signalisation codifi e un arrangement m me imperceptible du d cor des signes qui la fois d signent un lieu endeuill et le s parent du reste du monde Bref une mise en sc ne Nous avons rarement une exp rience directe du crime Pourtant il est sans cesse repr sent quelle que soit l poque le m dium ou la gravit des figures du crime passionnel comme M d e n ont cess d inspirer la litt rature de grands peintres comme Le Caravage Titien ou Boticelli furent fascin s par le meurtre biblique du g n ral Holopherme par la belle Judith le fait divers rempli les manchettes des journaux depuis leur naissance les crimes politiques d fraient la chronique depuis toujours la repr sentation des crimes de masse genocides et crimes contre l humanit est toujours un enjeu un combat ou les deux pour les crimes s
3. Flanelle blanche 9 Pantalon noir 10 Tapis sale 11 Lettre recommand e pos e par terre 12 3 feuilles pos es par terre inscription administrative 13 Drap sale jauni 14 Cafetiere tasse de caf 15 Balais Cameras cam 1 cl web cam cam 2 c2 camera numerique hd cam 3 c3 web cam Mode d emploi Il s agit d une pi ce qui se d roulera en deux temps Le premier sera l action participative le second la mise en place de la vid o La pi ce participative 1 Une b che semi opaque s approprie une portion de l espace d exposition Elle contient un regroupement d objets et de petits meubles mis en scene 2 Les gens du public ou visiteurs seront invites a int grer le petit espace installe au centre de l exposition 3 avant d entrer dans cet espace les gens devront porter une cagoule noire distribu e par un m diateur 4 la cagoule ne laisse entrevoir que les yeux et la bouche du visiteur 5 une fois dans cette salle le visiteur n a de choix que d effleurer les objets meubles tapis tissus qui offrent a cette salle sa particularit 6 C est dans ces meubles au sol ou sur le lit que sont mis en sc nes des documents archives photographies dessins papiers administratifs etc 7 les gens seront invites a lire consulter ou analyser ces documents La pi ce Vid o 1 Des cam ras 3 sont discr tement plac es dans la salle a diff rents endroits 2 Ces cameras sont bran
4. d couper les yeux et de ne garder que le regard rend le sujet anonyme Ce m me regard pourrait appartenir quelqu un d autre peut tre quelqu un que l on connait pris en photo dans un contexte inconnu peut tre celui d une image publicitaire En ce sens le regard de l enfant ado exprime une accumulation de sensations diverses qui nous renvoie notre propre v cu au c t le plus humain et le plus innocent du tueur et de l enfant ado Le M chant du film pourrait aussi jouer la victime Biographie Charlotte Cardonne N e en 1983 Evry Vit et travaille Paris Formation 2005 2010 Master Arts plastiques amp nouveaux m dias Universit Paris 8 2007 2008 Ecole des Beaux Arts Brera Milan 2002 2004 Dipl me d tudes sup rieures en Photographie MJM Paris Expositions de Groupe 2010 Tableau p riodique des l ments ou la trahison de Nessos Mois de la Photo Off Espace En Cours Paris Festival Voies Of Arles Poulpisme Galerie Shleicher Lange Paris Quartier sensible Espace Belleville Paris Brain is a Machine La Miroiterie Paris 2009 Living Alive Coeur de Ville Vincennes 2008 Festival Naturarte Lodi Italie Digit Artisti Galerie du Centre Culturel Fran ais Milan 2007 Festival Itin raire s collectif Cyclops Espace des Blancs Manteaux Paris 2006 Collectif Cyclops Le Triptyque Paris Dysek N en 1977 Vit et travaille paris Formati
5. Que suis je vraiment en train d observer Et quand les signes traditionnels viennent manquer ou quand ils sont d tourn s le trajet de cette enqu te engage le spectateur dans les images et dans le d cor nous voulons voir le crime mais o est il Est il cach R v Projet Annonc Ainsi la position du spectateur face l exposition Sc ne du crime est sans doute analogue la position du passant curieux ou all ch devant les barri res de police qui dessinent un lieu myst rieux il veut voir mais souvent il ne voit pas ne comprend pas Il ne ressent pas alors le choc du crime la violence du fait Mais il d duit ou projette il imagine ou r ve Car ce qu il voit finalement devant la sc ne du crime qui lui est d sign e c est une sc ne vide de crime pleine de signes Sa position d enqu teur l ouvre aux m andres de l interpr tation Charlotte Cardonne 9 janvier 1976 Epinay 9 janvier 1993 huit photographies couleur et noir et blanc 40x60 2010 Ce travail prend comme point de d part un fait divers L histoire d un homme menant une double vie Un homme ordinaire fils mari et p re qui ment ses proches au sujet de sa vie professionnelle Il s invente une formation un m tier puis une carri re Tous les jours l homme part de la maison pour se rendre au bureau Mais comme le bureau n existe pas autre part que dans sa t te l homme passe ses journ es errer san
6. ans noms du capitalisme mondialis contre ses nouveaux esclaves ou contre l cosyst me l enjeu est souvent d en reconstituer la scene etc D ailleurs dans ces affaires criminelles qu on touffe ou qui restent ouvertes o le crime ne peut tre nomm et d fini c est le lt non lieu gt non pas qu il manque n cessairement un lieu du crime mais il n y a pas de sc ne de crime Le crime n a pas fait sc ne c est pourquoi il n atteint pas les yeux ou les oreilles du public Scene du crime ou th tre des op rations nos mots pour le dire sont tranges tant la violence est bien r elle Mais c est notre imagination c est dire notre travail sur ces images et ces fantasmes qui les porte notre conscience conscience coupable indign e engag e Nous ne sommes pas simplement les t moins des crimes nous vivons avec eux nous y participons comme le public du th tre antique participaient aux pi ces Nous expions nos l chet s nos peurs nos pulsions dans le petit th tre de notre conscience C est le crime comme sc ne qui nous fascine mais c est aussi sous cette forme qu il nous fait penser Travailler sur la sc ne du crime c est en modifier la perception le sens l issue pour le public Annoncer une sc ne du crime cela veut dire aussi provoquer chez le spectateur une certaine disposition d esprit qui le rapproche de l enqu teur o est le crime Quels sont les indices
7. ch es a un m me poste avec disque dur afin d enregistrer la quasi totalit des actions simultan ment 3 3 plans fixes feront office de t moignage des actions des visiteurs actant 4 Les 3 cameras fixes sont positionn es de la sorte 1 plan d angle 1 plan frontal et 1 plan lat ral plong e Voire plan de l installation pour plus de clart 5 Le montage de ces 3 vid os en une seule pi ce audiovisuelle fera office d une rediffusion de cette r alit modifi e et d une remise en scene de cette r alit modifi e Les documents d voil s et dissimul s 1 livre Marcuse philosophie 1 livre Joseph Schumpeter 1 porte documents incluant releve de compte photocopie carte carte d adherent etc 1 dessin souvenir d enfants 1 article coupe dans le journal 1 feuille de renouvellement d abonement 2 lettres dont une adress e au p re la seconde du p re adresse a l entreprise 4 photographies noir et blanc Pour l enregistrement du r el 2 Web cam 1 camera num rique dvcam HD 1 disque dur 1 tera avec ses branchements 2 longs cables d alimentation 2 longs cables usb Sandra Suarez IL produit sur lui m ma un tout autre savolr Taire produit sur lui m me un tout autre savoir faire lt L Enfant ado Les M chants du Film Impression sur toile 120x120 cm 2010 Au Mexique les enfants tueurs a gages sont de plus en plus recherches
8. e jusque dans un jeu ent tant des motifs et des couleurs propre chaque sc ne Ainsi la connotation du crime passionnel dont il ne reste qu un corps inerte se trouve plut t dans ces perspectives baroques du d cor par lesquelles la photographie de la sc ne du crime supporte une vision fantasmatique et sa g om trie furieuse ou fantastique de pulsions intimes Dans chaque photographie la pr sence de diff rentes boissons pr s du corps sugg re l id e du poison comme arme du crime Le poison c est a la fois un classique du crime policier et de la litt rature en g n ral Shakespeare Flaubert Voltaire et souvent larme des femmes Surtout il est invisible Dans ce fantasme de sc ne de crime c est le r sultat qui compte la sc ne finale ce corps inerte le moyen le parcours l acte de tuer est pass sous silence Il est d duit logiquement mais iln apparait pas Le fantasme dela photographe de la photographie ce n est pas le crime c est l inerte la mort Le dispositif se pr sente alors comme la v ritable arme du crime ce point de vue en surplomb celui de l omniscience scientifique et a la limite le point de vue de dieu chez Bertillon c est ici la position de l artiste Une position distante mais aussi une position physiquement dominante la prise de vue elle m me dans sa r p tition dans la manipulation de la position du sujet tablit cette relation fantasm e entre l art
9. enne qu il peut toucher ce qui l entoure Nous ne forcerons personne mais leur proposerons la visite de ce petit espace comme un petit jeu participatif L espace est parsem de 3 cam ras qui filment al atoirement ce qu il se passe comme des cam ras de surveillance Al atoirement des s quences sont enregistr es afin de constituer une oeuvre vid o qui sera rediffus e la fin de l v nement Pour l installation 1 coffre m tal bleu a cadenas 1 sortie de son 2 baffles mono ou une baffle mono enregistreur un ordinateur ou lecteur cd ou autre machine qui met un son pr alablement enregistre 1 t l phone mod le ancien 1 b che plastique g ante ou assemblage de b ches plastiques 4m2 Crochet fixation 1 tonne plafond 1 meuble trois tiroirs bois ou m tal 1 meuble a dossier mati re plastique gris 1 tapis vert tache 1 lit pliable fer bleu et blanc 1 ensemble froisse chemise jaunis pantalon gris chaussettes 1 abat jour ou lampadaire avec ampoule blanche faible lueur 20 40w 1 drap blanc jaunis 1 chaise a bureau en mauvais etat 2 manches a balais 1 shuttertape interdit zone 1 ficelle Plan d ensemble de l installation 1 13 A Entr e B Sortie L 250 cm 250 cm L gende 1 Lit pliable en fer 2 Commode 3 tiroirs 3 Coffre m talique 4 Table 5 meuble plastique dossier 6 Chaise de bureau 7 T l phone 8
10. epuis 2007 QUARTER SENSELE Nous contacter Collectif UP8 Beautiful Art Universit Paris 8 Salle A069 2 rue de la Libert 93 256 Saint Denis T l 33 0 6 14 04 30 98 ou 33 0 6 22 82 81 23 info beautifulart fr www beautifulart fr
11. et m diatis s Aujourd hui le Cartel del Pacifico Sur engage des enfants et adolescents pour ex cuter des personnes g nantes lls sont pay s 3000 par t te Parfois ils tuent m me des innocents afin de r cup rer leurs r compenses Les images de ses enfants sont montr es dans les m dias visage pix lis ou non ils deviennent des criminels recherch s par les autorit s f d rales Les photos nous montrent des enfants souvent arm s Leurs poses jouent sur la repr sentation de soi face l appareil photo Ils se montrent en tant que guerrilleros seuls avec leurs armes adoptant une attitude en garde voire menacante Les enfants tueurs gages brandissent souvent leurs victimes comme des troph es Les photos qui en t moignent immortalisent le moment de la torture subit par les victimes et les corps morts gisant dans l espace du crime On peut galement retrouver ces enfants dans certaines photos de famille tous ensemble sur un canap chacun muni de ses armes Les armes deviennent leurs proth ses et ils deviennent ainsi Les M chants du film L enfant ado est un mot invent qui me renvoie dans la phon tique espagnole enfantado a la notion de personnage fant me d antiheros que les enfants peuvent admirer J ai decontextualise cette image du regard en decoupant une partie de l image source photogramme d une vid o sur les enfants tueurs gage au Mexique Le choix de
12. iste et son compagnon Reprenant des attitudes reconnaissables le sujet lt fait le mort gt et l on voit bien la longue combien ses poses th trales ont t compos es d lib r ment pour l int grer au d cor du fantasme prolongeant sa disposition tr s formelle Ainsi manipul le corps du sujet semble frapp non seulement par un poison mais par le regard de la photographe elle m me Le pouvoir que lui donne la photographie c est de rendre inerte le corps de son amant de le glacer au c ur du d cor de le tuer encore et encore dans ses images dont elle a le contr le Finalement l inspiration de Bertillon apparente d abord dans le dispositif fait sens dans le fantasme Il s agit avoir une prise sur ce corps mesure scientifique dans un cas ma trise physique dans l autre C est l aveu original de la photographe laisser voir son art de la prise de vue comme une arme de contr le contr le de ses pulsions et contr le de l autre E Sd rt Pare FT r 2 La x 5 lt Ben badi GEO de x ee d k d L bu w ARO dA JE der A dik k NA amp Lead eee ti E bk IL duera Kd A O RRE T ATE d SS b E dS LE w Za Le b Pee HR ee 7 EE i F bieta E f de i Fr j b ake ANNE K aa Le WB d bidien JENE EN ZEARKA
13. janvier 1988 Les Cluses TE Eeen Fris m a 0 w PERO EE Ces eee d e ERG EE E F 3 ie Arg c d De gaz SE SEa e 9 janvier 1983 La Garde A 0 A E KO uo 9 janvier 1981 Le Havre Purges staliniennes 1936 1938 installation craie 2010 Calcaires installation craies 2010 Le contour des morts la craie est une repr sentation commune dans l imaginaire collectif notamment gr ce aux s ries et aux films policiers Mais la craie est aussi le symbole de l enseignement et de l apprentissage Les craies sont aussi un rappel de la couleur des os Ici la craie repr sente des crimes choisis de fa on totalement arbitraire aussi diff rents les uns des autres de l assassinat aux crimes de guerre Le but n est pas de cr er un rapprochement ou de comparer ce qui ne peut l tre Comment comparer l assassinat d une seule personne un g nocide Mais bien de mettre en avant la n cessit de s informer sur certains crimes et de poser la question de l enseignement aux jeunes g n rations Ces crimes sont tous politiques et il est tonnant de voir de quelles mani res ils sont trait s travers les poques suivant la culture dont on provient ainsi que les pr occupations de la sph re politique L agencement des craies est la traduction de ma vision de ces crimes Ce travail prend la forme d une revendication afin que ces crimes ne restent pas des tableaux noirs dans
14. le magma de la d sinformation et de l ignorance Les photographies pr sentent une installation de 5 pi ces qui sera r alis e in situ Chaque pi ce est constitu e de 100 craies mise part Abraham Lincoln 1865 Abraham Lincoln 1865 installation craie 2010 Verdun 1916 installation craie 2010 Laetitia Ferrer apr arr re E Wa _ be eitea daa doe ta aaa aaa a AEE E a er Gidor adi ad PE ee gt ANN Ak L KKK NIAN MA KA AU MA Je l ai tu trois fois S rie de trois photographies tirage jet d encre 50x75cm 2010 Cette s rie pr sente trois sc nes de crime vues du dessus o le compagnon de l artiste figure chaque fois la victime Ce style de prise de vue est inspir du criminologue Alphonse Bertillon 1853 1914 inventeur des photographies des sc nes de crime Simplement la vis e scientifique du policier se substitue ici la mise en sc ne d un fantasme intime le meurtre de son compagnon Les photographies d Alphonse Bertillon poss dent d j certains caract res fascinants qui loin de la froide technicit scientifique sont ici retravaill s ainsi Laetitia Ferrer reprend et pousse encore l importance des lignes de fuite du decor cette g om trie grandiloquente et vertigineuse qui identifie un lieu fatal Cette composition est ici port
15. on 2009 2010 atelier Glaci re 2008 2009 atelier r sidence la Caserne Experimentale 2007 2008 apprentissage de la sculpture sur m tal aux Beaux Arts de Brera Milan sous la direction de Geremia Renzi 2002 2004 Dipl me d tudes sup rieures en Photographie MJM Paris 1995 1998 universit de cin ma audiovisuel Sorbonne Nouvelle Paris IV Expositions de Groupe 2010 Tableau p riodique des l ments ou la trahison de Nessos Mois de la Photo Off Espace En Cours Paris 2009 Festival Sublastart Paris 2008 Festival Naturarte Lodi Italie Digit Artisti Galerie du Centre Culturel Frangais Milan 2007 Festival Itin raire s collectif Cyclops Espace des Blancs Manteaux Paris 2006 Collectif Cyclops Le Triptyque Paris Laetitia Ferrer N e en 1985 Rosny Vit et travaille Paris Formation 2005 2010 Master Arts plastiques amp nouveaux m dia Universit Paris 8 Expositions de Groupe 2010 Tableau periodique des lements ou la trahison de Nessos Mois de la Photo Off Espace En Cours Paris Poulpisme Galerie Shleicher Lange Paris Amor Fati danse contemporaine avec installation vid o Nanterre Quartier sensible Espace Belleville Paris Brain is a Machine La Miroiterie Paris 2008 Mois de la Photo Off Atelier Cadre Exquis Paris 2006 Collectif Cyclops Le Tryptique Paris Exposition avec le collectif TTMF La Fl che D Or Pari
16. re mailings UP8 Beautiful Art remplit une fonction n cessaire dans le champ cl tur de l art contemporain elle ouvre un espace de rencontre avec un v ritable travail artistique issu d une reflexion collective et singuli re dans une libert d acc s que permet la jeunesse des 0 1 POULPISME 19 07 POULPISME 24 07 participants et leur besoin d exposition r guli re au public dans les premiers moments de leur carriere artistique Le rassemblement de ces artistes etudiants dans une telle association leur apporte ainsi la visibilit n cessaire a un stade d j accompli et mature de leur travail L implication des tudiants au jour le jour dans la vie de l association lui permet une activit importante et diverse elle a d j organis des expositions dans des lieux aussi diff rents que Espace En Cours Paris Exposition conf rence et projection vid o pour le Mois de la Photo Off 2010 Galerie Schleicher Lange Paris Poulpisme 2010 Th tre Bernard Marie Kolt s Nanterre danse vid o live Etre au Monde 2010 Centre Georges Pompidou Festival Hors Piste 2010 Le 54 Cycle de projection 1 2010 Espace Belleville CFDT Quartier Sensible 2010 La Miroiterie Brain Is A Machine 2010 M diath que Coeur de Ville de Vincennes Living Alive 2009 Annexe de l cole des Beaux Arts d Hydra Gr ce L Horizon 2009 Universit Paris 8 Programmation trimestrielle d
17. s 2004 zuru Mori danseur de Buto Le Tapis Rouge Paris Corps et Espaces Les Breakers L Entrepot Paris Lucas Henao N en 1986 Manizales Colombie Vit et travaille Paris Formation 2007 2010 Arts Plastiques Universit Paris 8 Expositions de Groupe 2010 Poulpisme Galerie Shleicher Lange Paris Quartier Sensible Espace Belleville Paris 2008 Cr aRom Romainville Lil Art Les Lilas Marcuss Lahoud N en 1985 Byblos Liban Vit et travaille Saint Denis Formation 2004 2010 Arts Plastiques Universit Paris 8 Expositions de Groupe 2010 Projection vid o l exposition Tableau p riodique des l ments ou la trahison de Nessos Mois de la Photo Off Espace En Cours Paris Poulpisme Galerie Shleicher Lange Paris Quartier Sensible Espace Belleville Paris 2009 Living Alive Coeur de ville Vincennes Sandra Suarez N e en 1985 Pueblo Libre Lima P rou Vit et travaille Paris Formation 2007 2010 Arts Plastiques Universit Paris 8 2004 2006 Pontificia Universidad Cato lica del Peru Expositions collectives 2010 Projection vid o l exposition Tableau p riodique des l ments ou la trahison de Nessos Mois de la Photo Off Espace En Cours Paris Poulpisme Galerie Shleicher Lange Paris Quartier sensible Espace Belleville Paris 2009 Living Alive M diath que de Vin cennes Vincennes 2008 Mobile T
18. s but au volant de sa voiture Il attend l heure laquelle il rentrera chez lui apr s une journ e de travail Cet homme pour plaire son entourage s est invent une position sociale Son quotidien qu il doit raconter lors des diners de famille n est que le fruit de son imagination Il a pr f r la repr sentation de sa vie une vie r elle Il ne vit qu a travers le regard des autres En commen ant par de petits mensonges pour ne pas d cevoir ou blesser il a construit de toutes pi ces un pan de sa vie Durant 18 ans l homme ment au sujet de cette activit professionnelle qu il n a pas Mais loin dun homme qui m nerait une autre vie en parall le avec d autres personnes lui ne vit rien ne rencontre personne Cette s rie propose d imaginer le quotidien de cet homme fait d allers et retours de patience et de solitude Traversant le pays sans but Des heures et des heures de non vie pour ne pas divulguer son secret et ressembler son id al Dans ce conte moderne le vide se troque contre une belle carri re aux yeux des autres La peur de l chec et la pression de la r ussite prennent une telle place qu un homme peut nier une part de lui pour l echanger contre un para tre De peur que l on d couvre son subterfuge il tua sa femme ses deux enfants ses parents et son chien le 9 janvier 1993 I I edik E E Za K d pei pag T a FT TE ga EO iZ Se a Pet cae dii 9
19. ube Pocket Films Festival Centre Pompidou Paris 2005 Rehuso al desuso Galerie d art contemporain Punctum Lima P rou Expositions individuelles 2009 Sandritacolonia Galerie UP8 Saint Denis Notre association L association UP8 Beautiful Art a t cr e en 2008 l initiative d tudiants et de professeurs dQ Arts Plastiques de l Universit Paris 8 Saint Denis UP8 Beautiful Art se distingue par sa capacit mobiliser un grand nombre d artistes tudiants pour ses manifestations culturelles elle compte une vingtaine de membres dont la production artistique s accomplit la fois de mani re autonome et en liaison troite avec l association et ses projets L association assume elle m me ses commissariats d exposition autour de probl matiques diverses d finies la fois par l orientation du travail des artistes et par la nature du lieu d exposition Elle produit syst matiquement les ditions de ses propres catalogues et compte rendus d exposition dans un d lai tr s court apr s louverture de la manifestation Ceux ci s efforcent de rendre compte la fois de la densit du propos de l exposition et de sa mise en place dans le cadre du lieu occup Pour faire de chacune de ses expositions un succ s UP8 Beautiful Art organise elle m me une communication forte la hauteur du travail fourni et assure la conception et la diffusion la plus large possible de ses communiqu s de presse et aut
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