Dialogue - automne 2008 : le magazine de la Banque
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1. AUTOMNE 2008 le magazine de la Banque Cantonale de Gen ve je connais mon banquier je connais mon banquier D 4 je connais mon banquier je connais mon banquier L essentiel de la finance Les migrants ais s d terminent les loyers des immeubles les plus chers Les outils du management strat gique du XXI si cle je connais mon banquier je connais mon banquier Dialogue finance et conomie Ma petite entreprise ne conna t pas la crise je connais mon banquier je connais mon banquier Mode d emploi Comment bien investir en obligations je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier K BCGE je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier je connais mon banquier Mus e d art et d histoi Alexandre L Automin Sommaire Automne 2008 Editorial Entreprises romandes L association Rel ve PME favorise la transmission d entreprises Actualit de la banque gt Un check up de sa situation financi re s impose gt La BCGE a modernis son syst me informatique gt La nouvelle agence Praille Acacias est n e L essentiel de la finance gt Les migrants les plus ais s d terminent les loyers des immeubles les plus chers gt Les outils de management strat gique du2. que son entreprise d m nage mais ceux qui le d m nagent Ce personnel dont la motivation est essentielle pour viser la place de 5 ou 6 d m nageurs sur le march national Sur fond de tourmente financi re Blaise Goetschin pr sident de la direction g n rale de la BCGE a choisi de relever que dans le domaine bancaire il est tout aussi important de d cider ce qu on fait que ce qu on ne fait pas La s curit d une banque n tant assur e que si la conduite d autocensure qui permet de renoncer certaines activit s ou affaires jug es trop risqu es est adopt e par chaque employ Jean Philippe de Toledo directeur du Groupe Pharmacie Principale a mis l accent sur un th me largement absent des d bats sur le management la sant des dirigeants Et de constater que la plupart des managers n ont pas de strat gie d lib r e pour maintenir leur propre sant celle de leurs employ s et au del celle de leur entreprise Une sant pourtant Indispensable la poursuite de toute action de projet gagnerait ainsi tre r duite 3 ou 4 personnes nombre id al pour viter la pr sence de ceux qui ne sont pr sents que pour s attribuer la proie que d autres ont chass e En sus d inciter les chefs d entreprises se demander r guli rement s ils agissent vraiment en fonction de ce qu ils lisent et de ce qu ils pensent Dominique Schmauch leur a livr trois recommandations cl s D abord fai
3. es de hausse On pourrait encore retenir un dernier facteur d aggravation de cette crise la mondialisation des march s des capitaux et la multiplication d acteurs disposant d une grande puissance d intervention susceptible de faire varier les cours tels certains fonds de pension fonds souverains ou hedge funds l incidence n gative sur l conomie r elle est attendue mais la perte de substance r elle de la crise actuelle touche essentiellement une cat gorie bien pr cise faite de certaines banques et assurances ainsi que d investisseurs imprudents Une action est un actif vivant Elle repr sente une entreprise qui cr e de la valeur A contrario le p trole l or ou l euro sont des actifs inertes dont le prix d pend de l offre et de la demande La question cl pour d cider d un investissement est l horizon de temps Sur cinq ou huit ans investir dans les meilleures entreprises mondiales comme nous le proposons avec les fonds de placement qui constituent le BCGE Best of ne repr sente pas un risque important Ceux qui sont rest s investis dans des actifs r els verront passer la temp te et se r tablir les valeurs fondamentales de l conomie Ce monde de Nestl de Swatch de MacDonalds d IBM etc cr e de la valeur chaque jour dans de nombreux nouveaux march s tr s dynamiques De nouvelles technologies sont attendues d importantes infrastructures doivent se cr er L conomie r elle a un poids beaucoup
4. livrent de pr cieux conseils Ils permettent aux clients d acqu rir une ind pendance financi re quels que soient les objectifs ga rantir ses revenus prot ger sa famille constituer un patri moine ou optimiser sa fiscalit PME et ind pendants cen tre sp cialis Pour les PME et les ind pen dants la BCGE a r cemment ouvert un centre sp cialis dans le financement Dix pro fessionnels sont la disposi tion des dirigeants d entre prises au rez de chauss e du si ge de la banque en l Ile BCGE Pr t hypoth caire Services bancaires quotidiens Gestion de l pargne Private banking Financement Gestion de la tr sorerie Conseil aux entreprises Services et march s financiers Asset management T l 058 211 21 00 www bcge ch
5. riques Commerce ext rieur du canton de Gen ve selon la provenance ou la destination des marchandises en 2007 r partition en Exportations Importations 34 2 19 5 26 UE 25 Autres pays d Europe E Am riques Afrique E Asie et Oc anie Ensemble des marchandises y compris les m taux pr cieux les pierres gemmes les objets d art et les antiquit es Source Direction g n rale des douanes Statistique du commerce ext rieur OCSTAT BCGE Rainbow fund 3 nouveaux profils dynamiques Forte du succ s de sa ligne de fonds de placement BCGE Rainbow fund la Banque Cantonale de Gen ve largit sa gamme en introduisant deux profils dynamiques en francs et en euros et un profil 100 en actions Les deux premiers permettent l investisseur de dynamiser son capital tout en limitant le risque li aux fluctuations des march s actions une partie est investie en obligations Le troisi me s adresse aux investisseurs d sireux de tirer parti de fonds porteurs d un fort potentiel de croissance long terme Ces profils sont d nomm s respectivement BCGE Rainbow fund Dynamic CHF BCGE Rainbow fund Dynamic EUR et BCGE Rainbow fund World Equity CHE Impressum Editeur Banque Cantonale de Gen ve R dacteur responsable Olivier Schaerrer olivier scharrer bcge ch Coordination Fabienne Mourgue d Algue fabienne mourgue d algue bcge ch Adresse de la r daction service abonnement Banque Cant
6. L tude CONOMIE GENEVOISE Octobre 2008 est disponible sur www bcge ch par crit ou par t l phone coordonn es en page 18 Salari s pour moiti Deux tiers de la population r sidante genevoise g e de 15 ans ou plus est active La moiti de cette population r sidante 185 600 en 2007 est salari e un tiers 115 500 n a aucune fonction d encadrement Les membres de la direction et les cadres repr sentent ainsi presque une personne sur cinq 70 200 un taux bien plus lev qu ailleurs en Suisse Les ind pendants eux sont quelque 27 500 8 Notons encore qu au sein de la population non active les retrait s comptent pour plus du cinqui me de la population r sidante g e de 15 ans et plus 78 600 Proportion de cadres sup rieurs en en 2004 Berne Fribourg Gen ve VE Neuch tel Saint Gall Tessin Vaud Zurich Suisse Source OOCSTAT LES INDICATEURS INDISPENSABLES _ Dialogue finance amp conomie finance amp conomie Pr pond rance des produits de luxe Les m taux pr cieux pierres gemmes objets d art et antiquit s jouent un r le majeur dans le commerce de Gen ve avec les pays trangers En 2007 Gen ve en a import pour 2 9 milliards de francs et export pour plus de 2 6 milliards de francs Et encore cette statistique n inclut elle pas l or ou l argent en lingots A l exportation l horlogerie joue aussi les premiers r les tout comme dans une moindre mesure la chimie La palm
7. XXI si cle Dialogue finance et conomie gt L opinion de l expert des march s gt Mati re penser Les tudes qui frappent Le livre d couvrir gt Mode d emploi Le moment est il venu d augmenter le risque dans les diff rents profils d investissement gt La chronique de Marian Stepczynski Ma petite entreprise ne conna t pas la crise gt Monde acad mique Les bulles sp culatives s articulent en quatre temps gt Les indicateurs indispensables Comment bien investir en obligations L clatement de la bulle financi re n aura pas d impact substantiel sur l conomie r elle en Suisse La destruction des survaleurs fictives de certains produits financiers n affectera pas le prix long terme des actions d entreprises saines La crise financi re inqui te de nombreux clients Pour viter de prendre des d cisions erron es il est utile de mieux comprendre sa nature Un cours de bourse est une approximation de la valeur r elle d un actif d une entreprise il peut y avoir momentan ment des exag rations la hausse ou la baisse Mais l volution du cours des actifs mobiliers observ e depuis plusieurs mois constitue une correction logique Ceux ci reviennent leur valeur de rendement l effondrement de la bulle financi re est prophylactique et n aura pas d impact substantiel sur l conomie r elle Il est vident que nombre d excellentes actions se trouvent contamin es par un
8. en conserve 60 5 Hot dog Riz blanc 57 4 Biscuits d ap ritif souffl s au fromage j Soda sans sodium 56 3 Chocolat au lait Ai Lait 2 de mati re grasse 55 2 Tarte aux pommes Haricots rouges en conserve 53 2 Tranches de bacon Lait entier 52 2 Crackers P toncles 51 1 Boisson gazeuse P tes 50 1 Glace UE Actualit de la banque BCGE Dialogue Automne 2008 Dialogue Automne Autre nouveaut la BCGE traite d sormais ses op rations de paiement aupr s de la soci t Sourcag AG une filiale des banques cantonales de B le Ville et B le Campagne Cette collaboration permet de faire voluer l offre de prestations tout en partageant les investissements n cessaires Pour les clients de la banque ce changement n est pas perceptible et leur interlocuteur demeure inchang Enfin la BCGE a galement inaugur un nouveau syst me d archivage lectronique des documents entrants et sortants de la banque afin de rationaliser et moderniser son architecture de conservation des documents Le changement de plate forme informatique permet d augmenter la capacit d volution et la modularit de cette derni re afin d int grer de fa on optimale l volution des exigences toujours plus complexes du march bancaire Il permet aussi de faire face la croissance de la banque Les travaux de migration des donn es financi res transition de l ancien syst me Osiris sur le nouveau ont d but mardi 30 septembre
9. la fermeture des activit s et se sont d roul s jusqu au jeudi 2 octobre 14h00 Gr ce une excellente pr paration et un engagement sans borne des collaborateurs de toute la banque ils se sont d roul s sans incident de fa on totalement conforme aux pr visions La BCGE rejoint ainsi la communaut de banques op rant sur Finnova savoir 12 banques cantonales dont celles de Fribourg Valais et Neuch tel et 17 banques r gionales et nationales Le recours une plate forme commune favorisera le d veloppement de synergies et d conomies entre ces tablissements La nouvelle solution informatique permettra galement la BCGE de r aliser des conomies de charges op rationnelles Une part des charges a t prise en compte sur les exercices 2006 2007 et au premier semestre 2008 Constituant un p le d change et de d veloppement majeur situ moins de 2 km du centre ville de Gen ve le choix de ce quartier situ entre Carouge Gen ve la Praille et les Acacias s est impos de lui m me La BCGE anticipe ainsi l importante mutation venir dans ce grand espace dont tout le monde Gen ve pr pare le d veloppement l agence se trouve deux pas du parking de la place de l Etoile et quelques traverses seulement de la halte CFF de Lancy Pont Rouge Cette derni re n est qu 23 minutes de Versoix o se trouve l agence le plus l est du r seau de la BCGE sur le canton Praille Acacias est auss
10. la fin des ann es 80 et au d but des ann es 90 Contrairement l exp rience genevoise on a dans le reste de la Suisse trop construit de logements au d but et au milieu des ann es 90 Ce qui a contribu peser sur les prix Aujourd hui l offre s adapte 40 000 nouveaux logements sont attendus au niveau national en 2009 contre 44 000 en 2007 Ainsi toujours au niveau suisse la hausse des loyers des immeubles locatifs correspondra simplement l inflation Mar i Mr er ns ibeji lation comm les personnes io Pings Poue ja loterian ME iia tr rent che Pics n l LP irii ERNS D rieur EVET Bem ier k PME agen ET velopperment Qu Hnn ra Wincasa BCGE Charles Jaye international La BCGE intervient dans le secteur de la construction en finan ant par exemple un centre commercial et un EMS Lancy Achat d appartements 50 m Carouge reviennent presque aussi cher que 100 m au Grand Lancy Aucun de mes sc narios de prix n est positif annonce Etienne Nagy lorsqu il fait part de ses anticipations pour les villas Gen ve L administrateur directeur g n ral de la r gie Naef galement administrateur d Acanthe un observatoire du march immobilier bas Gen ve tait le plus pessimiste des orateurs lors du dernier s minaire BCGE L essentiel de la finance centr sur ce segment d affaires Etienne Nagy constate un recul de 17 du nombre de transactions en 2008 sur les vill
11. Gen ve la BCGE vient d ou vrir cet t une nouvelle agence aux Acacias Un v nement d importance puis que c est la premi re cr ation d agence depuis 12 ans Une fa on d anticiper la mutation venir dans ce quartier genevois situ entre Carouge la Praille et les Acacias Cette 23 agence renforce plus encore le r seau de la BCGE aucune autre banque n aligne un si grand nombre d emplacements aucune ne couvre aussi bien les points loign s du centre ville A ces agences s ajoute une bat terie de guichets automa tiques bancaires r partis sur 14 sites Au total les Genevois ont leur disposi tion 105 appareils sur le terri toire du canton Mais plus essentiel encore que les machines il y a des hommes et des femmes au service de la communaut 240 banquiers professionnels experts dans les diff rentes cat gories de prestations bancaires et de pr voyance sont l pour conseiller et r pondre au mieux aux deman des Pour ce faire les agences de la BCGE sont en phase de modernisation Sept d entre elles ont t enti rement r nov es ce jour selon un concept qui valorise le m tier de conseiller et cr e des espaces d accueil et une ambiance chaleureuse et con fortable pour effectuer ses affaires en toute discr tion Le r seau de la BCGE est pl biscit Les Genevois ne s y sont pas tromp s ils sont s duits par la force de ce r seau et de ses employ s Plus
12. acit d cider en situation d quivocit lorsqu il y a plusieurs interpr tations possibles Sans oublier de demander explicitement chacun de devenir un super n ud de son r seau personnel soit celui qui attire les autres parce qu il ma trise la perfection o9 U c S q E o Ee p c 9 un un 9 l Les entreprises genevoises peuvent elles profiter des outils manag riaux du XXI si cle A l issue de la conf rence du professeur Schmauch plusieurs chefs d entreprises genevoises ont pu exposer leur vision du management adapt e leur secteur d activit lors d une table ronde anim e par Elisabeth Eckert Dunning responsable de la rubrique conomique de la Tribune de Gen ve Pour Jean Jacques Roth directeur et r dacteur en chef du quotidien Le Temps la presse n est pas seulement confront e l exigence de s adapter un nouvel environnement elle doit se demander si elle existera encore demain Et pour se donner les moyens de cette p rennit dans un monde o tout internaute devient un producteur d information en puissance le journaliste s interroge sur son utilit sociale Le management du Temps tente de cr er de l effet Matthieu l chelle romande en essayant de devenir une route nationale de l information par r f rence aux autoroutes de la nouvelle d j pr sentes sur l art du r seau d livrer la bonne information au bon moment Il re
13. apport l euro est tomb Jusqu une date r cente juillet 2008 des niveaux qui ont conf r aux entreprises exportatrices un avantage concurrentiel inattendu et aux branches domestiques b timent notamment une protection en quelque sorte naturelle contre d ventuels comp titeurs trangers Un effet de rattrapage Il y a enfin tr s probablement un certain effet de rattrapage d au fait que pendant de longues ann es le canton de Gen ve tait rest la tra ne du reste du pays subissant par l les cons quences retard de la crise immobili re du tournant des ann es 80 90 Le d calage qui s tait ainsi creus a laiss des traces dans certains ratios comparatifs alors que par exemple Gen ve pesait traditionnellement quelque 7 dans le produit int rieur brut total de la Suisse cette part tait tomb e 6 peine en 2000 depuis elle a progressivement regagn le terrain perdu et pratiquement retrouv son niveau ant rieur Le revenu par habitant du canton a m me enregistr entre 2002 son tiage et 2005 dernier chiffre connu la plus forte progression du pays le cas particulier de B le Ville et Nidwald except s Ce dynamisme retrouv doit donc beaucoup ce que nos compatriotes appellent un Nachholbedarf qui n est d ailleurs pas encore pleinement satisfait s agissant notamment de la construction de logements et du d veloppement des infrastructures transports publics r seau rout
14. as alors que les prix ont continu progresser C est un signe avant coureur classique d une baisse rench rit Assimina Walther une experte pr sente dans le public lors de cette journ e Le nombre de reventes d appartements a l g rement recul en 2007 de 1 il est stable en 2008 Pour Etienne Nagy les villas de plus de 3 millions de francs et les appartements de plus de 1 5 million sont les plus vuln rables une baisse des prix La disparit des valeurs entre les diff rents quartiers est importante Si un m tre carr de propri t par tage revient 5 800 francs au Grand Lancy il faut compter 11 100 dans la zone Gen ve Cit selon les chiffres compil s par Acanthe La centralit a une valeur lev e une des caract ristiques propres aux grandes m tropoles La Suisse romande fait cavalier seul La situation en Suisse romande est enti rement diff rente de celle qui pr vaut dans le reste du pays On a passablement construit dans l est Lausannois et autour de Gen ve l ext rieur du canton A Fribourg on b tit m me un peu trop constate Herv Froidevaux qui a son bureau deux pas des Rues Basses En d pit de leurs disparit s en mati re de construction les loyers des appartements vaudois et genevois propos s la location ont progress nettement plus rapidement que ceux du reste de la Suisse plus de 65 de hausse au bout du lac contre plus de 55 dans le canton de Vaud en dix ans Ces augme
15. bilit Son total ne devrait pas exc der plus de deux salaires ou rentes mensuelles car le surplus peut b n ficier de meilleurs rendements Il est n cessaire de construire une pargne de bon niveau permettant une mobilisation rapide de liquidit s compl mentaires utilis es notamment pour les d penses extraordinaires ou les investissements priv s Cette pargne pure doit occuper une place de choix Son risque d investissement est nul et son rendement est un peu plus attractif que le compte de liquidit s elle est plac e dans la monnaie de la future destination des fonds Un montant quivalent trois ou quatre mois de salaire ou de rente constitue une norme moyenne que chacun peut adapter en fonction de ses projets On cherche galement constituer en compl ment de l pargne un niveau de pr voyance confortable et fiscalement avantageux L importance de ce segment est souvent sous estim e permet d assurer l ind pendance financi re d s l ge de la retraite et en cas d incapacit de gain Le placement de la fortune mobili re occupe le haut de la pyramide Une fois que les n cessit s de base sont couvertes et optimis es les moyens restants peuvent faire l objet d une strat gie de placement qui permet de dynamiser son patrimoine en respectant les valeurs d une philosophie d investissement professionnelle Pour ceux qui souhaitent d velopper leur patrimoine par des financements hypoth caires o b garantis par d
16. d un habitant sur deux dispose d un compte aupr s de la BCGE Bonne nou velle pour la banque le nom bre de nouveaux clients pro gresse constamment 6 300 au 1 semestre 2008 et les affaires hypoth caires une des activit s cl s de la BCGE ne cessent d augmenter 4 7 au 1 semestre 2008 Nouveaut s dans le r seau d agences Le conseil en pr voyance se d veloppe En plus de la large palette de prestations bancaires dont elle disposait ce jour la Meyrin Cit Vernier SIG Onex Bernex Halle de fret A roport Palexpo Lancy Centre Versoix Bellevue Grand Saconnex Servette Wendt P quis T7 Servette D lices Ile et Centre PME Eaux Vives Mont Blanc Stand Corraterie Jonction 1 Rive Plainpalais Florissant Champel Ed Praille Acacias H pital Cantonal Carouge Beau S jour Grand Lancy Plan les Ouates Troinex V senaz G riatrie Belle Id e Trois Ch ne Trois Ch ne Agences BCGE Corraterie Bancomat guichets automatiques bancaires Que de chemin parcouru depuis 1816 pour b n ficier de cette belle infrastructure BCGE a donn un nouvel lan au conseil en pr voyance Ainsi elle propose des analy ses individuelles de la situa tion patrimoniale du client et formule des recommanda tions en mati re de pr voyance Dans le cadre de son concept BCGE Check up des experts d
17. e banque cantonale ne figure dans l autre volet de l tude consacr aux entreprises qui ont fait perdre de la valeur leurs actionnaires Dialogue Automne PETTE TEC ULER Eeu LES INDICATEURS INDISPENSABLES Economie genevoise connais toi toi m me La Chambre de commerce d industrie et des services de Gen ve la Banque Cantonale de Gen ve et l Office cantonal de la statistique ont travaill ensemble pour d crire au plus juste l conomie genevoise dans une tude synth tique qui vient de para tre Elle rassemble sous un seul titre un vaste ensemble de donn es rest es parses jusqu ici Cet tat des lieux cantonal embrasse aussi les relations de Gen ve avec le reste de la Suisse et du monde souligne les nombreux A atouts dont dispose la Gen ve conomique et en creux les secteurs dans lesquels elle peut gi se renforcer C est aussi un instrument di d information utile l enseignement de l conomie dans les coles et un outil disposition des personnes trang res souhaitant mieux conna tre Gen ve Pour comprendre les march s 4 d velopper les opportunit s dynamiser fs sa strat gie et rester comp titive notre f i conomie a besoin d informations i de haute qualit C est sur cette base qu elle parviendra concevoir son volution et penser sa prospective Trois extraits condens s de cette nouvelle tude sont repris dans cette double page LE R er S nr
18. e d or des changes revient justement ce secteur horloger avec des exportations pour plus de 5 8 milliards de francs Ce qui repr sente 38 de l ensemble des exportations genevoises Commerce ext rieur du canton de Gen ve selon la nature des marchandises en 2007 en milliards de francs Horlogerie Bijouterie et articles d usage en m taux pr cieux Produits des industries chimiques et connexes M taux pr cieux et pierres gemmes Machines appareils lectroniques Objets d art et antiquit s Autres produits V hicules M taux Instruments de pr cision Produits nerg tiques 0 Importations Exportations Ensemble des marchandises y compris les m taux pr cieux les pierres gemmes les objets d art et les antiquit es Source Direction g n rale des douanes Statistique du commerce ext rieur OCSTAT D pendance europ enne La r partition par provenance ou destination des marchandises illustre la relation tr s troite qu entretient le canton avec le continent l Europe fournit plus de 60 des importations genevoises et re oit 45 de ses exportations En valeur absolue Gen ve a export en Europe en 2007 pour 6 9 milliards de francs de marchandises un chiffre en augmentation de presque 40 depuis 2002 l Asie et l Oc anie y prennent galement une place d importance avec un tiers des exportations et presque un quart des importations soit des parts notablement plus lev es que celles des Am
19. e panique g n ralis e Elles se redresseront rapidement d s la fin de la perturbation du syst me bancaire Les causes de la crise actuelle sont multiples et justifient cette vision sereine du march equity J en vois au moins quatre de nature tr s diff rente mais qui malheureusement se sont combin es Tout d abord la sp culation traditionnelle sur les actifs qui a t d cupl e par les taux bas et la liquidit abondante qui avaient suivi le 11 septembre 2001 Deuxi mement une interruption brutale de la liquidit interbancaire en raison de la perte m canique de confiance des banques entre elles suite plusieurs faillites de banques et d assurances Troisi mement l effet des normes comptables qui imposent une valorisation imm diate des actifs financiers leur valeur de march ce qui est terrible lorsqu il n y a plus de march et que par cons quent l actif doit tre totalement amorti quelle que soit sa valeur intrins que J ajouterai une quatri me raison une d ficience de communication des entreprises et des gouvernements qui a accentu la crise de confiance entre les professionnels et le public Les banquiers n ont pas toujours expliqu aux investisseurs non professionnels les risques li s certains produits financiers La responsabilit est souvent partag e un pargnant n admet pas volontiers qu il s est tromp dans ses choix lorsqu il perd de l argent Il a t tr s discret dans les ann
20. emple une majorit d investisseurs n aime pas vendre des titres en pertes En pratiquant le stop loss on peut s affranchir d une telle contrainte motionnelle lt BCGE Dialogue Automne 2008 La BCGE est tr s comp titive selon une tude publi e dans le Handelszeitung Le prestigieux institut zurichois d analyse de la comp titivit des entreprises The CFO Intelligence Force Obermatt publie chaque ann e une tude centr e sur les banques En 2008 encore cet institut a distingu la BCGE dans son classement centr cette fois ci sur les banques tablies en Suisse La BCGE appara t en 5 position des banques cantonales et au 18 rang du classement g n ral Elle devance ainsi des tablissements comme la Banque Coop la Banque Cantonale des Grisons le groupe Raiffeisen la Banque Migros Julius B r ou la Banque Cantonale de Zurich Ce classement a t repris dans le Handelszeitung du 17 septembre 2008 et elle cr e de la valeur pour ses actionnaires d apr s Bilanz Dans son dition du 20 juin le magazine al manique Bilanz tablit un classement des 100 entreprises suisses les plus cr atrices de valeur pour leurs actionnaires en 2007 La BCGE y occupe la 53 place figurant ainsi en deuxi me rang des banques cantonales derri re B le Ville 47 et devant Berne 55 Le m me classement sur cinq ans place la BCGE en 85 position soit 7 banque cantonale A noter qu aucun
21. es m canismes qui m nent une bulle sp culative comme celles qui viennent de frapper les actions des pays mergents ou les mati res premi res Il est vrai que long terme un actif sur valu retournera un niveau proche de sa valeur intrins que rassure en pr ambule Werner De Bondt Mais d ici l il peut se passer bien des choses L instinct gr gaire s en m le Une bulle sp culative comme il en existe tout le temps s articule g n ralement en quatre temps Elle d marre par un choc conomique qui objectivement justifie un prix plus lev pour les actifs financiers concern s Internet est r ellement quelque chose de formidable peut on imaginer la vie sans Google lance le professeur natif d Anvers en se r f rant la gen se de la bulle des titres technologiques de la fin des ann es 90 Une fois cette premi re tape pass e la confiance des investisseurs s amplifie ils ont tendance exag rer les avantages futurs d coulant du choc conomique initial c est le biais d extrapolation Simultan ment certains d entre eux ach tent des titres en empruntant ils utilisent des instruments sp culatifs Dans un troisi me temps l instinct gr gaire s en m le Des espoirs d raisonnables attirent l attention de nouveaux entrants qui ach tent aussi Pouvez vous vous permettre de ne pas participer au bull market martelait il y a 10 ans une publicit financi re Bien des ache
22. es titres cette dimension doit tre int gr e dans le processus d optimalisation E ce Une fois le patrimoine financier inventori et organis il convient de suivre l volution de cette iS a allocation au moins une fois par an On profite de l exercice fiscal pour faire en parall le i a i le suivi et le contr le de sa situation financi re et v rifier la solidit de l difice pyramidal 7 z cn i i m F ara 77 4 LE Le respect d une philosophie patrimoniale permet d atteindre l quilibre financier Le N Se r long terme et non la souscription une multitude de produits financiers la mode Eo Nos sp cialistes en pr voyance en placement et en financement personnel en Le an 7 1x ont pour mission de clarifier cette n buleuse financi re afin de conseiller et 4 d orienter le client vers l objectif qu il s est fix Dialogue Automne La pyramide alimentaire recommandations journali res L int r t de la pyramide alimentaire tient au fait qu elle repr sente un mod le d alimentation saine Elle permet de visualiser les diff rentes familles d aliments et de montrer les proportions relatives de chacune d elles Mais comment la construire Des chercheurs du Griffin Prevention Research Center de l Universit de Yale ont d velopp un indice qui classe les aliments selon plusieurs crit res qualit nutritive vitamines sucre sel impact sur la pression sanguine et d autres effet
23. flux d informations Worldwide Centers of Commerce Index 2 trimestre 2008 MasterCard Worldwide www mastercard com us company en insights odfs 2008 MCWW_WCoC Report_2008 pdf La s rie de m canismes complexes qui animent les prix de l immobilier romand est d cortiqu e par Acanthe dans son dernier Observatoire 2008 Cette publication estime que les crises immobili res trang res ne contamineront pas le march de Suisse romande Elle consacre galement un chapitre aux applications concr tes du d veloppement durable en immobilier Observatoire 2008 La M tropole l manique et son march immobilier de l impact de la crise du subprime l immobilier durable mai 2008 Acanthe 022 839 37 77 www acanthe ch La Suisse est championne du monde en mati re d agriculture biologique Plus de 10 des terres cultiv es sont d volues cette forme de production devant l Autriche la Finlande et l Italie La Suisse a vu ces surfaces tre multipli es par plus de 5 depuis le milieu des ann es 90 L agriculture biologique est essentiellement une sp cialit europ enne La performance environnementale de l agriculture dans les pays de l OCDE depuis 1990 29 ao t 2008 Editions OCDE code 512008012P1 90 euros CH s Comment voluer du stade de manager celui de leader L observation raisonn e des actions des grands patrons est un formidable outil de compr hension de l entreprise Dominique Schmauch a fine
24. h Trouver des successeurs capables est un d fi important du dirigeant de PME Entreprises romar Dialogue Automne 2008 Cette prestation BCGE Check up se comprend mieux si l on se r f re la di t tique Il existe en effet une tr s forte similitude entre les notions d quilibre qui fondent la pyramide alimentaire pr conis e par les di t ticiens et la pyramide financi re qui organise de mani re optimale son patrimoine Individuel Certains aliments peuvent tre largement consomm s d autres doivent l tre avec une certaine prudence Il en va de m me pour sa sant financi re Il est fondamental de bien varier son alimentation tout comme il est essentiel de diversifier l allocation de ses avoirs Il y a dans ces deux domaines une pl thore de produits all chants dont tous ne sont pas aussi sains qu ils le pr tendent BCGE Check up permet de s int resser d abord la situation personnelle de tout un chacun ses attentes et sa sensibilit aux risques Le profil financier est d fini conjointement entre le client et son banquier On optimise son patrimoine en allouant chacun des quatre tages de la pyramide les r serves n cessaires en francs Il faut tendre vers les recommandations suivantes en partant du bas de l difice pour se diriger vers son sommet Le maintien d une liquidit Imm diate suffisante s impose le compte salaire est une r serve utilis e pour effectuer ses paiements avec une grande flexi
25. huit points prendre en compte pour le choix d une obligation Domaines Questions et propositions Monnaie D biteur Rendement Quelle est sa solvabilit Liquidit l achat Liquidit la vente Calendrier Taux A t on une anticipation de taux Imp t Est on soumis l imp t anticip Veut on prendre le risque de change Le r dacteur de l article ci dessous est galement auteur d un livre de vulgarisation tr s appr ci qui traite des diff rentes formes de placements le titre jusqu son extinction compte tenu des int r ts vers s de leurs r investissements et du remboursement l ch ance Il faut ainsi prendre garde aux clauses de remboursement anticip qui ne sont actionn es qu au d triment du cr ancier Le taux d int r t d pend essentiellement de deux facteurs la qualit du d biteur et l loignement de l ch ance qui d terminent le risque pris par le pr teur Le taux d int r t est d autant plus lev que le d biteur est moins s r et qu il remboursera plus tardivement son emprunt Quant l ch ance le choix pour l investisseur d pend non seulement de son ch ancier de d penses pr visibles mais aussi de l volution attendue des taux d int r t Strat gies obligataires Si vous investissez en obligations vous devriez logiquement souscrire des obligations qui seront rembours es lorsque vous aurez besoin de votre argent Mais ce n est pas forc ment la so
26. i au c ur d une r gion transfrontali re en plein essor L autoroute qui relie Gen ve au canton de Vaud et la France est Juste c t Demain avec le CEVA c est l espace qui va jusqu Annemasse La Roche sur Foron ou Thonon qui sera directement reli l agence Cette entit s adresse donc non seulement aux Genevois mais galement aux pendulaires et aux frontaliers Pour l heure le p rim tre est surtout connu pour les nombreuses entreprises qu il h berge il compte 20 000 emplois C est un v ritable microcosme de l conomie genevoise Des banques de gestion de fortune de taille consid rable une multinationale aux ambitions plan taires et un g ant de l industrie du luxe cohabitent avec des PME de quelques employ s A c t de ce dynamisme commercial il existe aussi un petit parc de 3 000 logements RE NENG re VE Mais le visage de ce quartier va se modifier d s lors que de nouveaux appartements y seront construits amenant une plus grande mixit de population active r sidente et commerciale Simultan ment les surfaces de plancher d volues aux emplois vont progresser Les plus ambitieux avancent un doublement du nombre d emplois et 6 000 logements suppl mentaires La nouvelle agence compte 290 m sur deux niveaux Un premier espace est d volu six guichets automatiques bancaires qui permettent d effectuer la plupart des op rations courantes telles que retraits d p ts monnaie etc L es
27. ier b timents scolaires etc Ces moteurs de croissance se rient des fluctuations conjoncturelles sous r serve bien entendu de la contrainte budg taire qui p se comme toujours et partout sur la satisfaction des besoins collectifs Ils sont galement frein s par ces obstacles Marian Stepczynski typiquement genevois que sont dans le d sordre l exigu t du territoire et les go smes qu elle exacerbe un go t immod r pour la querelle politique l incapacit de s entendre sur des projets communs au contraire des Vaudois et finalement une satisfaction de son sort qui ne pousse videmment pas accepter les menus inconv nients li s la croissance B n fices en recul Cela tant les atouts genevois ne sont pas totalement imperm ables aux embruns Il y a par exemple de fortes probabilit s que les excellents comptes d Etat pr visibles pour l exercice 2008 ne se r p tent pas en 2009 Car m me si la place bancaire locale est surtout sp cialis e dans la gestion de fortune et devrait par cons quent chapper la tourmente frappant les banques d affaires et m me si la client le asiatique de l horlogerie de luxe est demeur e longtemps pargn e par le ralentissement conjoncturel les b n fices records d gag s par ces branches phares de l conomie locale ne se renouvelleront pas l an prochain La prudence s impose par cons quent dans la gestion des deniers publics et les m nages pourraien
28. ivate Banking ont r sist aux tensions des march s La r cente baisse des cours offre une opportunit d achat pour un investisseur orient vers le moyen terme qui dispose d un horizon de temps de plusieurs ann es En effet mesur e par le ratio cours b n fices la valorisation du march est retomb e au dessous de sa moyenne des 15 derni res ann es En m me temps le rendement des obligations de gouvernements est retomb un niveau proche des plus bas niveaux historiques de sorte que le rendement attendu des actions ces prochaines ann es d passe sensiblement celui des placements revenu fixe obligations et liquidit s Mais est ce le bon moment pour investir ou faut il encore attendre L immobilier am ricain garde son mot dire En r alit personne ne sait quand les march s vont toucher le fond et amorcer une remont e durable L environnement conomique devrait rester d favorable pendant plusieurs mois Les mauvaises nouvelles seront certainement tr s nombreuses durant les prochains trimestres et les analystes sont encore trop optimistes en ce qui concerne les pr visions de r sultats des soci t s pour 2008 et 2009 De nouvelles baisses des cours des actions sont encore possibles et il est probable que la remont e des march s sera pr c d e d une p riode plus ou moins longue de marasme boursier Trois conditions au moins devraient tre r unies pour permettre un rebond durable des cours des actions u
29. l conomie de tous les cantons romands BDO Visura et la Mobili re Assurances Celle plate forme sensibilise les propri taires d entreprises la probl matique de la transmission d entreprises en Suisse romande et au Tessin Le comit de Rel ve PME comprend des parlementaires f d raux engag s et attentifs cette question Ce sont des relais pr cieux Berne et des d fenseurs appr ci s des PME Www NEXTcheck ch est un nouvel outil en ligne qui permet aux is entrepreneurs de mieux cerner leur processus de transmission Les propri taires d entreprises peuvent avoir ainsi un aper u de leur tat de pr paration en la mati re Cet outil donne galement des informations sur leur situation fiscale voire sur la question du changement de g n ration NEXTcheck a t d velopp par kmuNEXT en collaboration avec l Institut pour les entreprises familiales de l Universit de Saint Gall et la participation de l agence pour la promotion de l innovation CTI Cet outil est mis disposition des entrepreneurs titre gracieux Wuw kmunext ch est aujourd hui une plate forme de communication reconnue dans son domaine Depuis octobre 2005 pr s de 60 manifestations sous forme notamment de petits d jeuners ont contribu la promotion de l esprit d entreprise mais galement la sensibilisation sur les questions de transmission d entreprises La bourse lectronique d changes www nextmarket c
30. les Doit on suivre les recommandations des chartistes Certainement pas explique Werner De Bondt I existe un immense cart entre les conclusions statistiques issues de l analyse du comportement des foules extr mement difficiles trouver et les analyses livr es par les chartistes Ils vendent simplement du r ve Les statistiques livrent quelques conclusions qui s appliquent en moyenne Du c t des march s d actions il est plus souvent profitable d adopter une attitude contrariante plut t que de simplement suivre le mouvement comme le font les trend followers Concr tement il s agit d acheter les march s d actions qui se sont le moins bien comport s ces trois derni res ann es L avantage financier tel qu identifi par les statistiques donne une surperformance de 5 10 sur deux ans Ce r sultat s obtient en combinant des achats tout en pariant contre des indices que l on ne poss de pas ceux des march s qui s taient le mieux comport s pendant trois ans Si une attitude contrariante est adapt e en se basant sur le moyen terme il n en va pas de m me pour le court terme p riode o il faut plut t suivre la foule Les march s qui ont le plus progress les six derniers mois ont tendance bien se comporter pendant encore une dizaine de mois mais ce ph nom ne ne dure pas lt Olivier Schaerrer Echapper la tyrannie de ses sentiments Tout un chacun est sujet des biais psychologiques particuli remen
31. lution optimale En effet si les taux d int r t sont tr s bas comme c est encore le cas aujourd hui une telle strat gie peut entra ner un important manque gagner Car si les taux remontent au cours des ann es suivant votre investissement Vous seriez bloqu sur une r mun ration trop basse Jusqu au remboursement de vos obligations Dans ce cas vous auriez avantage rester sur des ch ances plus courtes pour ne pas tre pris au pi ge et pouvoir ainsi profiter des taux plus lev s lors du renouvellement de votre portefeuille obligataire Mais cette strat gie suppose videmment de pouvoir pr voir l volution des taux d int r t exercice difficile s il en est lt Pierre Novello Que rapporte effectivement l obligation compte tenu du remboursement Les nouvelles missions sont plus liquides plus proches du pair et moins co teuses Peut on revendre avant l ch ance dans de bonnes conditions Quand l obligation sera t elle rembours e ch ance Les revenus sont tax s 100 ainsi les obligations faible coupon diminuent la charge fiscale La souscription d une assurance vie li e des fonds de placement en obligations permet de profiter de l exon ration fiscale pr vue dans le cadre du 3 pilier libre lt BCGE 2008 ee Avec 240 conseillers dans 23 agences la BCGE offre le r seau bancaire le plus dense du canton M Attentive l volution des besoins des habitants de
32. ment analys leurs actions et les a dans son dernier ouvrage articul es selon un fil conducteur L auteur y apporte son exp rience de chef d entreprise et son rudition il a t form la fois aux sciences exactes et aux sciences humaines apr s avoir fr quent un coll ge militaire Dans ses r flexions Dominique Schmauch fait une large place la psychologie et inclut aussi des apports provenant de la philosophie et des religions Le livre est abondamment illustr de sch mas explicatifs L auteur tait galement l invit de la BCGE en septembre dernier voir pages 10 et 11 Les conditions du leadership la question de la promesse de la tension et de l tre Dominique Schmauch ditions p L Harmattan 2005 434 pages lt y mati dF MODE D EMPLOI Dialogue finance amp conomie finance amp conomie Comment bien investir en obligations Les nouvelles missions obligataires sont les plus avantageuses Avant d acqu rir de tels titres il faut examiner divers points dont la monnaie la qualit de l metteur le domicile le rendement la liquidit et l ch ance Mais pour un investissement optimal il faut galement tenir compte de l volution des taux d int r t Pour acheter une obligation il suffit de passer un ordre de bourse sa banque ou encore par internet Il est recommand d acqu rir les titres de nouvelles missions plut t que des obligations plus anciennes En effe
33. n d but de stabilisation du march immobilier aux Etats Unis une stabilisation du secteur financier en g n ral et une d tente durable du prix du p trole Le march des actions joue le r le d indicateur avanc de l volution conjoncturelle mais c est un indicateur volatil et peu fiable court terme Dans la situation actuelle il est probable que les cours des actions ne vont pas se redresser de mani re significative avant que BCGE Dialogue Automne 2008 le march immobilier et le secteur financier aux Etats Unis commencent sortir de la crise ce qui devrait se produire dans le courant de l ann e 2009 Mais la remont e des actions pourrait alors tre tr s rapide car des montants consid rables de liquidit s dans le monde entier sont en attente de placements r mun rateurs La d marche d investissement la plus rationnelle consiste d terminer un profil de risque qui d pend essentiellement des caract ristiques propres de l investisseur ge situation revenus actuels et futurs projets besoins capacit supporter les risques de fluctuations des march s Jean Luc Lederrey responsable des Etudes financi res Le profil de risque ignore les fluctuations de march Le profil de risque du portefeuille c est dire la r partition g n rale des actifs selon leur niveau de risque devrait rester relativement stable dans la dur e et ne devrait pas subir de profonds changements en fonction de l volu
34. nomique Au cours de sa carri re il a occup plusieurs postes de direction en entreprises En 2001 il a fond Averro s D veloppement Paris soci t d assistance aux entreprises en strat gie haut de HEC Paris bilan et leadership Voir la description de son livre en page 18 Professeur Dominique Schmauch BCGE Dialogue Automne 2008 o9 U Un a O O E p en O un un O ssl LLJ U aa Dialogue finance et conomie vous livre une s rie de cl s suppl mentaires pour mieux comprendre notre environnement conomique et financier Ce cahier contient une palette de r flexions de chroniques de donn es chiffr es pertinentes pour ladr gion genevoise ainsi que des id es de lecture Il se cl t par un mode d emploi d un service bancaire Dans ce num ro les achats d obligations L OPINION DE L EXPERT DES MARCH S Le moment est il venu d augmenter le risque dans les diff rents profils d investissement La gestion de fortune de la BCGE s appuie sur une philosophie d investissement prudente mise en place il y a plusieurs ann es Ces principes rigoureux ont t tablis pour permettre aux portefeuilles de passer sans trop d atteintes travers les crises les plus f roces Les circonstances de ces derniers mois ont malheureusement donn l occasion d exp rimenter la robustesse de ce mod le Epreuve r ussie les portefeuilles g r s par la banque notamment ceux de BCGE Pr
35. ntations gr vent les loyers propos s aux nouveaux locataires ils sont plus lev s que ceux qui concernent les locataires en place La hausse des loyers vaudois est aussi induite par celle des loyers genevois qui d teint au gr des d m nagements sur les immeubles compris entre Nyon Morges et Lausanne Prix moyens des appartements en propri t par tage Gen ve en 2007 12 000 10 000 10 693 M me Zurich est d pass e A Gen ve l cart entre les loyers les plus bas et les loyers les plus lev s est nettement plus important qu ailleurs dans le pays Les loyers les plus importants r sultent notamment de l apport de migrants venant de l Union europ enne avec un pouvoir d achat important Une partie de ces locataires deviennent propri taires d appartements ce qui influe aussi sur les prix des PPE Les loyers les plus lev s ont donc enregistr une forte progression un des l ments qui diff rencie la situation genevoise de celles qui affectent les Etats Unis o l Angleterre ou les segments inf rieurs ont t tr s dynamiques Ces loyers importants r agissent la conjoncture des secteurs haute valeur ajout e ceux qui attirent le plus de migrants hauts salaires Un ventuel d part en masse de ces nouveaux arriv s p serait sur le segment du haut de gamme A 300 francs par m2 et par an pour le prix m dian soit 2 500 francs par mois charges non comprises pour un appartement de 100 m2 les loye
36. onale de Gen ve Communication Quai de l Ile 17 CP 2251 PARECEN T l 022 809 31 85 dialogue bcge ch Tirage 18 000 exemplaires Cr ation r alisation graphique et photolitho The Magic Pencil SA Impression ATAR Roto Presse SA Gen ve Copyright Toute reproduction totale ou partielle des textes est soumise l autorisation de l diteur Photographies et illustrations Loris von Siebenthal My Image Fabienne Mourgue d Algue Droits r serv s Fred Merz Getty Images Rel ve PME Les opinions exprim es dans ce magazine ne refl tent pas express ment l avis de l diteur Les informations contenues dans ce document s appuient sur des l ments dignes de foi elles ne sauraient toutefois engager la responsabilit des soci t s membres de la Banque Cantonale de Gen ve Couverture Mus e d art et d histoire Ville de Gen ve Alexandre Calame 1810 1864 L Automne 1851 huile sur toile BCGE 2008 PETTE TEC EE E MATI RE PENSER Les tudes qui frappent Septante cinq villes mondiales ont t identifi es par un panel de neuf personnalit s internationales en tant que centres mondiaux de commerce Gen ve appara t en 40 position dans ce classement entre D sseldorf et Melbourne Les villes sont hi rarchis es selon 7 groupes de crit res Gen ve est particuli rement bien plac e dans trois d entre eux environnement l gal et politique stabilit conomique cr ation de savoir et
37. onomie finance amp conomie Ma petite entreprise ne conna t pas la crise Comment se fait il qu en Suisse et plus particuli rement Gen ve alors que partout ailleurs la conjoncture faiblit les affaires continuent de bien marcher M me si l indicateur avanc LEA Pictet OCSTAT qui pr dit en g n ral assez bien l volution conomique pour les deux ou trois trimestres venir d cline du chef depuis le milieu de l an dernier l humeur du temps reste au beau le ch mage continue de se r sorber par petites touches les nouveaux permis de frontaliers augmentent un rythme soutenu et le commerce local se porte comme un charme M me l Etat et par cons quent les communes qui vivent son diapason encaisse les dividendes de cette embellie conjoncturelle au point que les d ficits budg taires se muent en somptueux exc dents et que les promesses de cadeaux aux contribuables se multiplient Les march s asiatiques nous aident Il y a plusieurs raisons cela L une tient la structure de l conomie locale fortement tourn e vers les services et le luxe secteurs moins affect s que la production primaire et secondaire par le fl chissement de la demande et l aiguisement de la concurrence trang re ou tourn e vers des march s asiatiques notamment qui Jusqu une date r cente tout au moins ont chapp la contraction Une autre raison tr s li e la premi re est que le cours du franc par r
38. pace central est anim par le conseiller d accueil Il s agit d un nouveau m tier bancaire Ce conseiller est l pour r pondre aux besoins les plus simples ou pour aiguiller le client vers un conseiller Mais il s occupe galement de former les clients aux automates ou de prendre des rendez vous On est loin de l accueil derri re des vitres blind es d antan l agence compte galement six chaleureux salons o sont trait es en toute confidentialit les affaires de la client le Elle est servie par huit collaborateurs L accueil r serv cette nouvelle antenne est tr s positif Les relations avec la client le sont d embl e plac es sous le sceau de la confiance et du respect mutuel lt BCGE Dialogue Automne 2008 LLI U U sa Dialogue Automne 200 3CGE L essentiel de bilie EC PR la banquet d is Y 4 jualit des expa Led otre ann e plus us nomb Ace qui est d sormai id r co peti os JehE vor Les page y et15 de ce num ro de D logue lui w o consacr e E O D E La situation conomique se d grade l g rement mais elle reste solide poursuit le sp cialiste Il est vrai qu en ce qui concerne l amplitude de la croissance on assiste certaines similitudes lorsqu on compare la p riode 1982 1990 avec 1999 2007 mais l analogie s arr te l L inflation et surtout les taux hypoth caires sont nettement plus faibles actuellement qu ils ne l taient
39. pement Dominique Schmauch a partag avec les participants au s minaire Entreprises de la s rie de conf rences BCGE L essentiel de la finance une r flexion aussi stimulante que foisonnante sur les d fis pos s par la r volution de l information instantan e et les outils de management adapt s au capitalisme cognitif Ce que nous sommes en train de vivre dans un espace de temps extr mement court est une des plus grandes r volutions que l humanit ait connues En posant d embl e son expos sous le signe d une certaine solennit Dominique Schmauch a su capter l int r t de son auditoire l tendue de sa culture et la pertinence des r flexions propos es lui ont ensuite assur une attention soutenue de la part des chefs d entreprises pr sents tous confront s aux d fis du capitalisme cognitif Celui induit par le d veloppement des technologies permettant la diffusion instantan e d une information pratiquement dans le monde entier Que deviennent l entreprise et son organisation manag riale quand chaque employ peut se connecter avec toute personne de son choix dans une relation peer to peer Ce mode de relation transforme profond ment la fa on d entreprendre l interaction devient primordiale Chacun commencer par le manager doit s am liorer dans les arts symboliques d velopper sa capacit tre le meilleur dans les interactions Car l intelligence est d sormais collective Et elle se mobilise pa
40. plus lev que ne le per oivent les analystes C est aussi le cas en Suisse o nous n attendons pas de cons quences dramatiques de la crise actuelle Dans ce contexte tout le monde se demande ce qui Va se passer avec son argent Le premier souci s curiser sa pr voyance faut d abord se renseigner sur son r gime du deuxi me pilier puis aussi v rifier son niveau d pargne 3 et le compl ter Deuxi me imp ratif maintenir un niveau de liquidit s suffisant ses besoins court terme Il est n cessaire de favoriser les banques les plus s res Troisi me priorit les placements Il s agit de rester tr s diversifi s et de ne pas se concentrer sur une seule classe d actifs Les obligations choisies sont d excellente qualit rendement faible mais pr servation du capital On ach te les actions des meilleures entreprises du monde en sous pond rant les banques et les assurances I s agit de les accumuler en diversifiant par les meilleurs fonds de placement A proscrire mati res premi res or produits structur s placements fiduciaires bancaires hedge funds m me si vous avez toujours le virus sp culatif En effet la prudence est de mise car comme l crivait Paul Val ry L avenir n est plus ce qu il tait lt Blaise Goetschin CEO de la BCGE BCGE Dialogue Automne 2008 est devenue la plate forme de contacts la plus importante pour des entrepreneurs la recherche de repreneurs ain
41. re l inventaire des connaissances indispensables l entreprise et qualifier l entendement des proches collaborateurs un entendement indispensable pour d tecter les signaux faibles annonciateurs de changements fondamentaux venir Se livrer ensuite un diagnostic du d veloppement organisationnel en privil giant une organisation circulaire favorisant les interactions avec d autres r seaux R fl chir enfin l accroissement des capacit s d interaction tant l interne qu l externe en cr ant ou en s associant de nouveaux r seaux Dominique Schmauch visiblement enthousiasm par les r ponses apporter la complexit d un environnement en mutation constante a coutume de r pondre aux chefs d entreprises qui affirment en ce moment le march est calme Tout le monde terre S il vous semble calme c est que vous faites trop de bruit pour l entendre lt Genevi ve Brunet Dominique Schmauch est professeur affili depuis 1996 HEC Paris o il a la charge du module Leadership de l Executive MBA Il est galement responsable du cours Organization and team dynamics l Institut International du Management du Conservatoire National des Arts et M tiers Ing nieur de l Institut National Agronomique de Paris Grignon titulaire d un DEA de math matiques et d un Executive MBA CPA du groupe HEC il est le fondateur de deux laboratoires d Etat en France et au Maroc actifs dans la recherche agro
42. rfois gratuitement rebours de la classique logique marchande L encyclop die libre en ligne Wikipedia labor e b n volement par des milliers d internautes tant en quelque sorte aux yeux de l orateur l image de la cath drale gothique d aujourd hui Certes le savoir a de tout temps t bouscul par les situations in dites Dominique Schmauch a d ailleurs cit malicieusement Piaget affirmant que l intelligence ce n est pas ce que l on sait mais ce que l on fait quand on ne sait pas Mais la donne se complique un peu actuellement les hommes cr ent d sormais de la connaissance et de la valeur non seulement par l interaction de leurs savoirs mais par la mise en r seau de leurs entendements L entendement r sultant de la relation entre mon histoire et la cognition Toute information tant analys e cette aune chacun devrait tre incit enrichir son entendement nich dans ce que Dominique Schmauch appelle le cerveau abductif Et le professeur entrepreneur de d finir ce cerveau abductif tr s utilis par les Asiatiques comme celui qui permet de penser le diff rent partir du connu gr ce aux associations D velopper l effet Matthieu A ce stade de la d monstration l entreprise efficace est un r seau d employ s auxquels la direction a Su distribuer une large part des d cisions prendre apr s leur avoir propos moult formations aptes cultiver chez eux la cap
43. rs genevois la relocation sont plus de 10 plus lev s que ceux de Zurich et plus de 50 plus importants que ceux de l ensemble du pays Gen ve est manifestement hors norme en Suisse mais ce n est pas le Cas au niveau International constate l expert de W est amp Partner Les prix de la propri t par tage restent plus faibles que ceux r alis s Paris ou Londres deux indicateurs importants pour les migrants ais s Ce ph nom ne est aussi vrai pour les loyers moyens de bureaux lt Olivier Schaerrer 11069 11212 Moyenne 8 567 francs 8 000 7189 7260 7416 6 524 6 266 6 000 5 833 5 850 4 000 2 000 Grand Lancy Versoix Bellevue Petit Saconnex Corsier Choulex Plainpalais Grand Saconnex Eaux Vives En francs par m Source Acanthe o9 2 amp ram it O E OU un un O LLJ U aa 9 BCGE Dialogue Automne 2008 La banque compte plus de 8 000 actionnaires Le 8 000 actionnaire priv de la BCGE est un couple R my et Bernadette Charpilloz ont t accueillis et salu s par la banque lors de l inauguration de l agence de la Praille Acacias Blaise Goetschin leur a souhait la bienvenue dans ce cercle de particuliers de plus en Les outi Is de management strat g iq ue plus nombreux qui t moignent de leur confiance en la BCGE du XXI si cle Professeur affili HEC Paris et directeur d Averro s D velop
44. s de la finance comportementale Ses articles de recherche ont t publi s dans de nombreux journaux sp cialis s Sur et sous performances moyennes cumul es des march s d actions gagnants et perdants 6 I mois 6 12 18 24 E 9 gagnants M 9 perdants M 6 gagnants W 6 perdants M 3 gagnants 3 perdants Ces sur et sous performances sont calcul es gr ce aux indices boursiers de 18 pays industrialis s entre 1973 2007 Les march s ont t s lectionn s en utilisant les r sultats obtenus lors des 3 ann es pr c dant le d but du graphique Ainsi en moyenne les 3 march s qui ont r alis les pires r sultats pendant les 3 derni res ann es les 3 perdants ont r alis une surperformance moyenne de 4 5 dans les 24 mois qui ont suivi Un compte rendu plus exhaustif des conf rences donn es Conches par Micka l Mangot Werner De Bondt Marie H l ne Broihanne et William McComish para tra dans la prochaine dition de la Revue conomique et sociale Le demandes d abonnement doivent tre adress es Soci t d tudes conomiques et sociales B timent des Facult s des Sciences Humaines 1 Universit de Lausanne 1015 Lausanne Dorigny T l phone 021 691 53 47 Fax 021 692 33 85 E mail InfoSEES unil ch MONDE ACAD MIQUE Dialogue finance amp conomie finance amp conomie Les chartistes vendent du r ve Comment peut on adapter son portefeuille la psychologie des fou
45. s induits sur la sant l chelle va de 1 100 o 100 est la meilleure note Brocoli 100 49 Pois en conserve Myrtilles 100 ia 45 Prune Orange 100 44 Entrec te Haricots verts 100 43 Yogourt la vanille Ananas 99 39 Jus d orange Radis 99 39 Escalope de poulet sans peau Courgette 98 P che en conserve Pomme 96 37 au sirop all g Chou vet 96 36 Homard Tomate 96 34 Pomme s ch e 32 Jus de tomate Concentr de soupe de Cl mentine 94 Past que 94 Mangue 93 32 pois cass s avec jambon Lait cr m 91 29 Pain blanc enrichi Figue fra che 91 28 Poulet entier avec peau Raisin 91 26 Raisins secs Banane 91 25 Hamburger 75 maigre Avocat 89 24 Chips de pommes Flocons d avoine 88 24 Olives vertes M res 83 23 Petit pain blanc Saumon rouge 82 23 Soupe au concentr de tomate Amandes crues 82 23 Beurre de cacahu tes Noix de p can crues 82 23 Sorbet Roquette 82 22 Cr me acide maigre Riz brun 82 21 Velout de brocoli concentr Lait 1 de mati re grasse 81 21 Cacahu tes sal es grill es sec Crevettes 75 20 Pudding instantan au chocolat Couscous 72 18 Oeuf sur le plat Pistaches crues 70 17 Fromage p te dure Popcorn sans beurre ni sel 69 15 Boisson gazeuse all g e Thon l huile en conserve 13 Bacon all g goutt 67 11 B tonnet de bretzel Soupe de pois cass s 10 Chocolat noir v g tarienne 63 9 Pain blanc Porridge instantan 61 7 Salam Ananas au jus
46. si que pour des successeurs potentiels La conseill re f d rale Doris Leuthard estime que Les PME sont une composante essentielle de notre tissu conomique Elles doivent tre l objet de toute notre attention Elle insiste sur le soutien du D partement f d ral de l conomie aux entreprises et sur son appui auxiliaire au processus de transmission d entreprises L exemple de kmuNEXT d montre que le march r ussit r soudre les probl mes de mani re efficace pragmatique rationnelle et conomique sans intervention de l Etat Je me r jouis de voir les entrepreneurs agir seuls avec un appui subsidiaire mais d autant plus efficace de l administration Je salue le fait que suite au travail de kmuNext couronn de succ s en Suisse al manique la plate forme latine Rel ve PME soit aujourd hui Dans les cinq prochaines ann es plus de 57 000 entreprises ce qui i lanc e estime Doris Leuthard repr sente plus de 450 000 employ s vont tre concern es en Suisse par la transmission d entreprises Dans le but d encourager la planification de ces transmissions d entreprises l association kmuNEXT a t cr e en 2005 Celle ci est active en Suisse allemande Son pendant latin la plate forme Rel ve PME Futuro PMI pour le Tessin vient d tre lanc e par Doris Leuthard conseill re f d rale Ceci en partenariat avec la BCGE les autres banques cantonales romandes le Centre patronal les services de
47. ste encore cette entreprise bonne l ve du capitalisme cognitif travailler son effet Matthieu ainsi baptis en r f rence au chapitre 25 verset 29 de l vangile de saint Matthieu Car on donnera celui qui a et il sera dans l abondance mais celui qui n a pas m me ce qu il a lui sera retir Transpos l re internet l effet Matthieu revient constater que les entreprises capables de g n rer de nombreuses visites sur leur site internet deviennent des incontournables de leur secteur d activit l exemple de la librairie en ligne Amazon qui forte de ses millions de visiteurs fid les a su convaincre des vendeurs de livres d occasion de proposer leurs ouvrages dans sa boutique virtuelle Une fois les internautes habitu s visiter le site d une soci t celle ci peut m me faire appel eux pour l aider r soudre ses probl mes lan ait dans une recherche Et solliciter la collaboration des chercheurs int ress s en annon ant l avance que les contributions pertinentes seraient r mun r es Le manager la t te de ces entreprises du XXI si cle somm es d tre collectivement superintelligentes peut bon droit tre pris de vertige au moment de d finir l organisation la plus adapt e r agir un environnement voluant de plus en plus vite La taille des quipes internet Directeur de Balestrafic Michel Balestra a soulign son souci de m nager non seulement ce
48. t les nouvelles missions sont non seulement plus liquides mais elles permettent en outre de b n ficier de coupons au taux d int r t proche du rendement du march et donc un prix d achat de pr s de 100 au pair Si l on part de l id e que l on conservera le titre jusqu l ch ance on s assure ainsi du remboursement de la totalit de son capital investi Enfin les frais d acquisition des nouvelles obligations sont r duits par rapport aux anciennes obligations Les crit res de s lection Si vous investissez en obligations sur le march suisse vous devez examiner une s rie de points avant de vous d cider Tout d abord l obligation doit elle tre libell e en francs suisses o en une devise trang re Dans ce dernier cas vous prenez un risque de change Autre question primordiale quelle est la solvabilit du d biteur Le domicile du d biteur est tr s important en mati re fiscale l imp t anticip ne s applique que sur les int r ts vers s par des d biteurs domicili s en Suisse comme la Conf d ration Il faut aussi s assurer de la liquidit des obligations pour pouvoir trouver facilement un acheteur au moment choisi sans risquer de devoir brader ses titres Quant au rendement consid rer il s agit du rendement l ch ance qui mesure ce que rapportera effectivement l investissement en gardant LA FICHE TECHNIQUE D COUPER FAIT PARTIE D UNE S RIE D AIDE M MOIRE PARA TRE Les
49. t n fastes dans le domaine de l investissement Mais la partie n est pas perdue Micka l Mangot livrait quelques recettes pour chapper ce biais en conclusion de la conf rence qu il a donn e lors de la derni re dition de BCGE L essentiel de la finance En voici trois Evaluer ses d cisions Pratiquer l autoreporting et l automonitoring permet par ailleurs d valuer objectivement l efficacit de ses d cisions A d faut les tudes montrent qu on a tendance s attribuer le cr dit des succ s pass s tout en rejetant ind ment la responsabilit des checs sur des v nements ext rieurs Micka l Mangot Micka l Mangot est professeur affili l ESSEC Singapour et consultant en finance comportementale pour des soci t s de gestion et des banques priv es Il est l auteur de trois livres sur la psychologie des investisseurs dont Psychologie de l investisseur et des March s financiers Dunod Prix Turgot 2006 Changer ses cadres mentaux Il faut changer ses cadres mentaux pour viter les risques d une gestion ligne par ligne une technique o chaque titre est consid r ind pendamment de tous les autres Cela permet notamment d chapper l indulgence des investisseurs pour les entreprises et les march s qu ils connaissent le mieux Utiliser les stop loss On peut enfin contourner ses propres biais par des proc dures automatiques afin de limiter les interf rences de l affect Par ex
50. t bien tre amen s freiner quelque peu pour un temps leur train de vie Pause donc il y aura s rement mais comme la petite entreprise de la chanson Gen ve ne conna tra pas la crise lt Marian Stepczynski Marian Stepczynski analyse l environnement conomique depuis les ann es 60 Son dernier livre Dollar Histoire actualit et avenir de la monnaie imp riale Editions Favre 2003 pr disait avec justesse l effondrement du syst me financier am ricain Marian Stepczynski est pr sident de Migros Gen ve associ du cabinet de conseil Unicore conseiller ditorial de la revue Banque amp Finance r dacteur en chef de la revue Affaires Publiques et chroniqueur de la Tribune de Gen ve BCGE Dialogue Automne 2008 DETTATE TEC UER AI Cu MONDE ACAD MIQUE Les bulles sp culatives s articulent en quatre temps Acheter les march s d actions des pays qui viennent d op rer une remont e apr s avoir souffert d une baisse pendant plusieurs ann es est une des strat gies gagnantes identifi es par Werner De Bondt Ce professeur de finance cheval entre l Universit DePaul de Chicago et celle de Neuch tel s exprimait lors du dernier s minaire BCGE L essentiel de finance Les travaux de Werner De Bondt soulignent le caract re moutonnier des investisseurs ses recherches s inscrivent dans le cadre de la finance comportementale discipline qui m le psychologie et finance Il a notamment d cortiqu l
51. teurs avaient l impression qu ils devaient tre de la partie La finance expliqu e par les go ts musicaux Une tude sur les go ts musicaux taye les recherches men es en finance comportementale En analysant le comportement de 14 000 personnes le chercheur Matthew Salganik et ses coll gues ont montr la fragilit des go ts musicaux on aime mieux les musiques que les autres affirment pr f rer Cette importance du jugement d autrui est particuli rement vive dans les domaines les plus difficiles appr hender comme le sont l art ou le calcul de la vraie valeur d une action pr cise Werner De Bondt La derni re tape d une bulle d marre avec les premi res d ceptions l cart entre la r alit et le r ve devient de plus en plus apparent et c est le krach Apr s avoir pass par les trois derni res tapes du processus l immobilier am ricain risque de voir sa crise durer longtemps Il y a des millions de propri taires qui refusent de s adapter aux nouveaux prix ils ne peuvent donc pas vendre les transactions se rar fient et sont report es plus tard BCGE Dialogue Automne 2008 Werner De Bondt Werner De Bondt est directeur du Centre de finance comportementale Richard H Driehaus l Universit DePaul de Chicago et professeur de finance d entreprise l Universit de Neuch tel Werner De Bondt tudie la psychologie des investisseurs et des march s financiers Il est l un des fondateur
52. tion ou des perspectives des march s Un changement de profil devrait se justifier essentiellement par une modification de la situation personnelle ou conomique de l investisseur par exemple l approche de la retraite qui am ne r duire la proportion d actifs risqu s dans un portefeuille Si le profil de risque doit rester relativement stable dans le temps le dosage des actifs dans le portefeuille peut tre ajust p riodiquement en fonction d une strat gie d investissement ou dans le cadre d une proc dure de r quilibrage rebalancing p riodique du portefeuille Le r quilibrage vise compenser p riodiquement l effet de l volution des march s sur la composition du portefeuille Apr s la forte baisse que les march s viennent de subir le r quilibrage des portefeuilles am nera remonter la part des actions au d triment des liquidit s ou des obligations pour compenser les effets de la chute des cours Dans l environnement actuel caract ris par une forte incertitude court terme mais une perspective de rebond des actions dans un horizon de 12 mois une allocation neutre des actions dans les diff rents profils de risque est la strat gie la plus appropri e Cela correspond 20 d actions dans un portefeuille de profil d fensif 40 dans un portefeuille quilibr et 60 dans un portefeuille de profil dynamique lt Jean Luc Lederrey LA CHRONIQUE DE MARIAN STEPCZYNSKI Dialogue finance amp c
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