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Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers

1. On doit administrer les vaccins de base aux animaux lors de leur admission ou auparavant 23 24 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers animaux admis ne sont probablement pas d j att nu VVA plut t que pour ceux virus inactiv immunis s Fischer 2007 et les cons quences d une infection peuvent mettre en danger la vie des m me pour les femelles en gestation parce qu ils animaux Certains vaccins emp chent l infection tandis que d autres r duisent la gravit des signes ngendrent une r ponse immunitaire plus rapide cliniques Peterson 2008 Diff rents groupes d experts AAFP 2006 AAHA 2006 estiment que les protocoles doivent tre labor s sur mesur On estime habituellement que la vaccination contre la rage n est pas prioritaire lors de l admission des animaux parce que le risque d exposition cette maladie est peu lev dans la plupart des refuges pour chaque refuge et qu il n y a pas de protocol universel applicable dans toutes les situations On a tabli des principes directeurs pour la Toutefois on devrait administrer ce vaccin aux animaux susceptibles de demeurer au refuge long terme lorsque le risque d exposition est lev et lorsque la loi l oblige Tous les animaux devraient vaccination de base qui peuvent servir de guid pour la plupart des refuges AAFP 2009 AAHA 2006 A partir
2. Les d sinfectants devraient contenir au moins 60 compartiment s par ex Les zones d h bergement devraient tr concues pour r sister l arrosage d alcool Les v tements m me s ils semblent propres Mesures sanitaires Il est inacceptable de vaporiser des liquides dans les enclos pendant que les animaux y sont Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 20 vue d oeil peuvent quand m me tre encor porteurs d agents pathog nes On devrait porter des v tements de protection gants blouse d les excr ments par ex des articles avant de les mettre au lavage Les articles tr s sales devraient tre lav s s par ment ou jet s La literie et les protection bottes ou couvre chaussures pendant autres accessoires lourdement contamin s par des nettoyage et les autres activit s qui impliquent de nombreuses manipulations des animaux traitement agents pathog nes r sistants comme les parvovirus devraient tre jet s pour ne pas risquer d accentuer des animaux malades euthanasie et on devrait les remplacer avant de reprendre d autres activit s la propagation de la maladie Peterson 2008 On devrait porter des v tements protecteurs propres les bols pour l eau et la nourriture devraient toujours lors de la manipulation d animaux vuln rables notamment les chiots les chatons et les
3. long des routes emprunt es et une fois destination L 1 Responsabilit s des individus et des organisations impliqu s a Consignes de base l est essentiel de pouvoir compter sur des communications claires et directes entre les individus impliqu s dans tout programme de transport On Transport des animaux On doit valuer soigneusement les dangers et les b n fices pour tous les animaux touch s par un programme de transport devrait garder un registre crit de toutes les parties impliqu es avec les responsabilit s de chacune et avec suffisamment de d tails pour permettre de retracer un animal jusqu son origine On doit s lectionner une personne ressource chaque point de transfert Id alement on devrait laborer des directives crites avec lesquelles toutes les parties sont d accord HSUS 2003 PetSmart 2006 Ces directives devraient d finir les crit res d s lection m dicaux et comportementaux de m me que les n mati re d stress du transport peut faire augmenter la vuln rabilit aux infections ou l excr tion virale L TE xigences transport et d arriv e destination En ce qui concerne le transport entre risqu d exposition aux maladies infectieuses augment deux tats am ricains tous les tats exigent qu les animaux import s soient prot g s par un vaccin lorsque des animaux originaires de di
4. les exigences en mati re de ventilation varient en fonction de la densit de la population animale et des polluants pr sents dans l air Quand un refuge est rempli au maximum de sa capacit il faut souvent augmenter le niveau de ventilation parce Pour les chiens et les chats l AVMA recommand une temp rature ambiante de plus de 15 5 C 60 F et de moins de 26 6 C 90 F avec un que les animaux euxm mes sont une importante source de chaleur d humidit et d ammoniac On humidit relative de 30 70 AVMA 2008a On doit cependant observer les animaux de facon enregistre aussi des hausses d autres polluants quand on augmente le nombre d animaux Il se individuelle pour s assurer qu ils maintiennent leur peut que le taux de renouvellement de l air doive temp rature corporelle de facon ad quate car ell amp tre ajust en fonction des saisons et il ne doit pas peut aussi tre influenc e par d autres facteurs race Stat de chair tat de sant pelage conformation faciale ge etc Si des animaux semblent avoir tre contr l par l interm diaire d un thermostat Les syst mes qui font circuler l air uniquement lorsqu ils corrigent la temp rature ou l humidit ne sont pas rop froid c amp d ils tremblent ou se serrent les uns contre les autres pour se r chauffer ou trop chaud c amp d ils hal tent excessivement il faut prendre
5. Toutefois il est clair que lorsque le nonrespect par un individu de certaines normes minimales constitue de cruaut envers un animal ces m mes ces lois conservent leur libell du 19e si cle difficil un gest normes doivent s appliquer aux refuges Les bonnes interpr ter dans un contexte moderne Par exempl intentions ou le manque de ressources ne devraient Quiconque force aller trop vite surcharge conduit en surcharge force travailler torture tourmente prive de nourriture de subsistance bat cruellement mutile ou tue un animal ou fait en sorte ou commande qu un animal soit forc aller trop vite surcharg conduit en surcharge forc travailler tortur tourment priv de nourriture de subsistance battu cruellement mutil ou tu et quiconque ayant la garde d un animal en tant que propri taire ou autrement lui inflige des traitements cruels inutiles ou le prive sans raison de nourriture d eau d un abri d un environnement sanitaire ou de protection contre les intemp ries appropri s et quiconque en tant que propri taire ou ayant la garde d un animal le conduit ou le fait travailler de facon cruelle alors qu il n est pas apte au travail ou l abandonne d lib r ment ou le transporte ou le fait transporter dans un v hicule ou autrement de mani re inutilement cruelle ou inhumaine ou d une mani re qui pourrait mettre en danger l animal ou autorise ou perm
6. raitements administrer lors de l admission est essentiel de faire une s paration appropri e y compris toute administration de m dicaments des animaux qui entrent au refuge pour maintenir les doses et le mode d administration vaccins administr s pendant le s jour Toutes les donn es m dicales devraient tr consign es par crit et accompagner l animal lors de son transfert ou d son adoption 2 Consignes pour l admission l tat de sant de chaque animal devrait tre valu lors de son admission puis suivi de facon r guli re par la suite AAEP 2004 UC Davis 2009 Cette facon de proc der permet de d celer tout probl me ou changement qui survient pendant le s jour d l animal au refuge de le distinguer par rapport son tat de sant initial et de r agir Lorsqu une personne confie un animal au refuge on devrait lui demander de d poser le dossier m dical de l animal s il est disponible S il s agit d un animal errant on devrait quand m me demander la a sant et le bien tre de la population D s admission les animaux devraient tre divis s en fonction de leur esp ce de leur ge et de leur Stat de sant physique et comportementale les jeunes animaux chiots et chatons g s de moins de 20 semaines 5 mois sont plus vuln rables aux maladies Ils devraient donc tre prot g s le mieux p
7. l enrichissement li l alimentation offre une autre importante source de stimulation facilement utiliser des supervision avec d autres chiens Pour les chats et les chiens on peut aussi utiliser des pi ces dont accessible on jouets avec peut nourriture dissimulable vendus commercialement ou des bo tes de carton l environnement est semblable celui que l on trouv dans les maisons comme outil d enrichissement t d autres objets avec des trous qui obligent l animal travailler pour xtraire des morceaux d et de r duction du stress On devrait prendre des pr cautions ad quates tel qu expliqu dans d autres nourriture Griffin 2006 2009a Schipper 2008 Shepherdson 1993 Il On doit trouver des solutions de rechange l h bergement en cages traditionnelles pour tout animal qui demeure au refuge long terme Le recours la force physique en guise de punition et l usage de la force sous le coup de la col re pour modifier un comportement sont des pratiques inacceptables elles peuvent sav rer n fastes pour l animal et dangereuses pour le personnel 35 36 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers a t d montr que l enrichissement lors des repas augmente galement le niveau d activit et r duit d utiliser des m dicaments prescrits par un m decin v t rinaire en combinaison avec
8. sp ces d animaux domestiques ou de compagnie lapins oiseaux rongeurs chevaux animaux d levage etc ainsi que de nombreuses Dans la litt rature on trouve de plus en plus sp ces exotiques La taille de ces organismes varie norm ment des d tudes qui documentent les nombreux facteurs d stress qui peuvent affecter les animaux lors de leur arriv grands refuges bien tablis avec d importantes n refuge Par exemple le fait de quitter retrouver en situation ressources aux individus qui agissent seuls en passant par les petits regroupements locaux et les r seaux informels Les services offerts sont galement tr s diversifi s refuges traditionnels admission ouverte sanctuaires et centres d accueil un environnement familier s de confinement s adapter de nouveaux sons de nouvelles odeurs et de nouveaux animaux tre manipul par des personnes inconnues De plus comme dans les zoos les fermes et les laboratoires h bergement permanent petits centres d secours la maison parfois appel s rescue les animaux des refuges peuvent tre confront s l ennui la frustration l isolement au manque t r seaux de foyers d accueil programmes de transport g r s par Internet centres de r adaptation comportementale refuges admission restreinte refuges sans euthanasie ou adoption garan
9. 55 462 9 Food and Drug Administration FDA Dispensing veterinary prescription drugs 2009a Disponible au http www da gov AnimalVeterinary ResourcesforYou FDAandltheVeterinarian ucmO77 385 htm Food and Drug Administration FDA Extra label use of FDA approved drugs in animals 2009b Disponible au http www fda gov AnimalVeterinary ResourcesforYou FDAandltheVeterinarian ucmO77 390 htm Fowler M Zoo and Wild Animal Medicine Current Therapy 3 Philadelphia PA WB Saunders Co 1993 pp 547 9 Fowler ME Restraint and Handling of Wild and Domestic Animals Ames lowa State University Press 1995 Fox MW Environmental factors influencing stereotyped and alleloimimetic behavior in animals lab Anim Care 1965 15 363 70 Garcia VF Animal bites and Pasturella Infections Pediatr Rev 1997 18 127 30 Gaskell RM Povey RC Transmission of feline viral rhinotracheitis Vet Rec 1982 111 359 62 Gaskell RM Wardlesy RC Feline viral respiratory disease a review with particular reference to its epizootiology and control J Sm Anim Pract 1977 19 1 16 R f rences bibliographiques Gilbert K Humane Society Cited in Death of Employee The Times amp Free Press Chattanooga TN July 25 2000 Disponible au http www virginiavotersforanimalwelfare com TennesseeCOdeath7 00 htm Gilman N Sanitation in the Animal Shelter In Miller L Zawistowski S eds Shelter Medicine for Veterinarians and Staf
10. Les injections intracardiaques sont inacceptables moins qu on ait v rifi de mani re fiable que l animal est inconscient comateux ou anesth si L utilisation du monoxyde de carbone comme m thode d euthanasie des chiens et des chats dans les refuges est inacceptable pour une multitude de raisons humanitaires op rationnelles et de s curit 42 drogue pr alable l euthanasie aux animaux qui musculaires AVMA 2007 Dans le cadre d une sont agressifs en d tresse profonde ou effray s les drogues pr alables les plus appropri es sont es anesth siques la mixture k tamine et xylazin tude publi n 1983 sur les effets d une concentration de monoxyde de carbone de 6 sur les chiens on n a pas pu tablir le moment pr cis constitue une combinaison courante et conomiqu auquel la perte de conscience survenait et on a Fakkema 2009 l ac promazine n est pas recommand e comme unique tranquillisant avant euthanasie parce qu elle ne provoque pas d analg sie et qu elle a des effets impr visibles Utilis e seule la xylazine peut provoquer des vomissements ce qui peut poser des probl mes en observ que les chiens faisaient des vocalisations et qu ils taient agit s Chalifoux 1983 Par ailleurs le st extr mement dangereux qu il inodore et insipide concentrations lev es il monoxyde de carbon pour
11. animals Am Vet Med Assoc 2004 224 692 7 Peat D Toronto Humane Society raided Toronto Sun November 27 2009 Disponible au http www torontosun com news torontoandgta 2009 11 27 11950476 html Pesavento A Bannasch MJ Bachmann R ef al Fatal Streptococcus canis infections in intensively housed shelter cats Vet Pathol 2007 44 218 21 Pet Care Services Association PCSA Standards and practices for pet care services providers 2009 Disponible au http www petcareservices org files comm id 46 STANDARDS amp PRACTICES pdf Pet Industry for Joint Industry Council PJAC Animal care guidelines for the retail pet industry 2009 Disponible au hitp www pijac org documents guide finalco pdf Peterson CA Dvorak G Spickler AR eds Maddie s Infection Control Manual for Animal Shelters Ames IA lowa State University Center for Food Security and Public Health 2008 Petersen CA Dvorak G Steneroden K Introduction to infection control for animal shelters In Petersen CA Dvorak G Spickler AR eds Maddie Infection Control Manual for Animal Shelters Ames IA lowa State University Center for Food Security and Public Health 2008 pp 4 14 Pets Are Wonderful Support PAWS Safe pet guidelines A comprehensive guide for immunocompromised animal guardians 2006 Disponible au htip www pawssf org Document Doc id 14 PetSmart Charities Rescue Waggin 2006 Disponible au ht
12. d o l animal devrait avoir un programme complet de soins d Id alement le refug provient sant pr ventifs Les animaux destin s au transport doivent avoir t vaccin s auparavant ou lors peut s av rer n cessaire de faire des exceptions pour le transport en situation d urgence et d accept des compromis court terme toutefois il es p de leur admission par l organisation d origine t ils devraient tre trait s contre les parasites recommand de planifier l avance en fonction des catastrophes potentielles afin de minimiser les carts par rapport aux pratiques de transport accept es On ne devrait jamais faire de compromis lorsque l on a amplement l occasion de planifier internes et externes En plus des examens requis l tat sur les par la r glementation f d rale ou d transports tous les animaux transport s doivent tre examin s au cours des 24 heures qui suivent leur Il est essentiel de pouvoir compter sur des communications claires et directes entre les individus impliqu s dans tout programme de transport 47 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Pendant le transport on doit observer les animaux p riodiquement et leur permettre de se reposer de faire de l exercice et de faire leurs besoins au moins toutes les 4 6 heures 48 transport pour d celer tout probl me ventue
13. l hypothermie la d shydratation et aux blessures Si un animal est mis sous s dation un v t rinaire doit donner des directives pour en prendre soin V hicules les v hicules doivent tout le moins tre conformes reconna tre leurs besoins pendant le transport et y ll n y a pas de r glementation f d ral toutes les exigences l gales f d rales et locales et on doit reconna tre qu il se peut que ces r glementations ne soient pas suffisantes pour assurer la s curit et le bien tre des animaux les cages et les bo tes ne doivent pas tre empil es les unes sur les autres r pondre qui limite la distance sur laquelle on peut transporter des animaux de compagnie mais les dangers pour leur sant et leur bien tr augmentent avec la longueur du trajet Par exemple une loi f d ral pour chaque tranche de 28 heures d d une mani re qui pourrait augmenter le stress ou inconfort des animaux compromettre la ventilation permettre l urine ou aux excr ments de tomber des xige qu transport entre tats on accorde au b tail une p riode de repos d au moins cing heures pendant cette p riode les animaux doivent tre d charg s et cages sup rieures vers les cages inf rieures nuire la prestation de soins et l observation ou entraver l vacuation des cages en cas d urgence Chacun des enclos primaires d
14. 2009a Disponible au http www avma org issues policy animal_welfare population_control asp American Veterinary Medical Association AVMA AVMA policy statement on early age prepubertal spay neuter of dogs and cats 2009b htip www avma org issues policy animal_welfare spay_neuter asp American Veterinary Society of Animal Behavior AVSAB Position statement The use of punishment for behavior modification in animals 2007 Disponible au http www avsabonline org avsabonline images stories Position_Statements Combined_Punishment_Statements pdf Animal Legal Defense Fund ALDF Free at Last ALDF Helps Shut Down Nightmare Shelter Disponible au http www aldf org article php2id 57 1 Animal Rescue Association ARA Animal rescue association code of ethics Disponible au http www anraa org downloads COE v4 2 pdf Animal Rescue League of Boston Center for Shelter Dogs MATCHUP II behavior evaluation 2010 Disponible au www centerforshelterdogs org Animal and Plant Health Inspection Service APHIS Final Rule Humane Treatment of Dogs Tethering Federal Register 1997a 62 43272 5 Animal and Plant Health Inspection Service APHIS Painful procedures Policy 11 1997b Disponible au http www aphis usda gov animal_welfare downloads policy policy 1 1 pdf Appel L Chapter 22 Spay Neuter In Miller L Zawistowski S eds Shelter Medicine for Veterinarians and Staff Ames IA B
15. Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Association of Shelter Veterinarians 2010 Auteurs Sandra Newbury Mary K Blinn Philip A Bushby Cynthia Barker Cox Julie D Dinnage Brenda Griffin Kate F Hurley Natalie Isaza Wes Jones Lila Miller Jeanette O Quin Gary J Patronek Martha Smith Blackmore Miranda Spindel Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Association of Shelter Veterinarians Version francaise Communications Pierre Ren de Cotret V rification de la version francaise et de la terminologie merci l Association qu b coise des SPA et SPCA et D Marie Jos e Neault pour l Association V t rinaire Qu b coise de M decine de Refuge Nous reconnaissons l appui financier du We acknowledge the financial support of Nous reconnaissons l appui financier de l Association gouvernement du Canada par l entremise the Government of Canada through the qu b coise des SPA et SPCA pour la traduction de ce du minist re du Patrimoine canadien Pro Department of Canadian Heritage Official document en francais grammes d appui aux langues officielles Languages Support Programs We acknowledge the financial support of the Association Il Patrimoine Canadian C d qu b coise des SPA et SPCA for the iv canadien Heritage and a AQSS French translation of this document les auteurs Sandra Newbury D M V pr sidente r daction Programme de m decine de refuge Koret
16. court terme apparaissent dans plusieurs sections am nagement des installations sant m dicale tc Il est difficile de sant comportementale d terminer les animaux quelle que soit sa situation particuli r budget taille tc n devrait avoir recours des pratiques consid r es comm inacceptables Toute pratique inacceptable doit tre corrig e sans moment partir duquel un s jour dans un refuge passe de court long terme De la dur plus l impact d du s jour peut varier d un animal l autre C est pourquoi dans les d lai Par exemple le fait de ne pas reconnaitr les situations o les animaux prouvent de la recommandations nous n avons pas attribu de dur e sp cifique aux s jours dits long terme douleur et de ne pas y rem dier en donnant des analg siques constitue une pratique inacceptable des mesures corr ctives Id alement les recommandations qui visent assurer la sant m dical le bien tr t comportementale et on doit alors prendr pour les h bergements long terme imm diates Lorsqu on utilise le mot doit c est suivr devraient tre mises en oeuvre le plus t t possible la dur parce que nous croyons qu d faut d cette recommandation il ne sera pas possible d assurer le niveau minimal acceptable de soins humanitaires le mot devrait indique une
17. d celer la pr valence de parasites internes et xternes au sein de la population Id alement les animaux devraient recevoir un traitement pr ventif contre les parasites d s l admission puis de fa on valuer la situation avec diligence et r agir de fa on appropri e et en temps opportun AAEP 2004 CDA 2009 CFA 2009 Nouvelle Z lande 2007 n bonne sant lorsqu un animal apparemment r guli re pendant tout leur s jour afin d emp cher a contamination de l environnement et de minimiser demeure au refuge pour une p riode de plus d un mois il devrait tre examin par un membre du s dangers pour les personnes Tous les chiens et personnel qualifi au moins une fois par mois On ous les chats doivent tre trait s au moins contr xaminera et consignera notamment son poids et es ascaris et les ankylostomes avant de quitter fuge cette mesur n mati re d st important son tat corporel Un m decin v t rinaire devrait galement examiner l animal deux fois par ann e ou sant publique Les ufs de plusieurs parasites sont r s difficiles radiquer de l environnement C est plus fr quemment en cas de probl me les animaux affect s par une maladi malades pourquoi il est important de retirer les excr ments rapidement d adopter de bonnes mesures sanitaires g riatrique ou affaiblis devraient tre valu
18. l ment cl on doit fournir une formation ad quate cet gard toutes les personnes appel es manipuler des animaux ll se peut qu un usage judicieux de tranquillisants s av re la solution la plus humanitaire pour manipuler comme outils de contrainte pour les chats notamment pour les transporter ou les soulever est une pratiqu cruelle et elle pose des risques importants de blessure pour l animal en cons quence elles ne doivent pos tre utilis es pour de telles fins Griffin 2006 HSUS 1996 Pour manipuler des chats hargneux ou qui ne semblent pas avoir l habitude de se faire manipuler on devrait avoir recours des pi ges sans douleur des bo tes ou des filets sp cialement con us cet effet On un animal effray ou hargneux ou un animal sauvage ll est inacceptable d utiliser la force physiqu devrait viter les boites ou les cages qui n offrent pas d acc s ais pour retirer sans cruaut un animal r ticent n guis de punition ou d utiliser la force sous le coup de la col re AVSAB 2007 Patronek 2001 ffray ou qui refuse de sortir que ce soit cause de la conception de la cage parce qu elle est endommag e les m canismes sont rouill s OU parce qu L utilisation routini re de perches de capture comme outils de contrainte pour les chats est une pratique cruelle et qui pose des risques importants de b
19. observer les animaux au moins deux fois par jour pour v rifier s ils pr sentent des signes de maladie Si aucun agent pathog ne sp cifique n a t reconnu on doit faire une valuation des risques en se basant sur les agents pathog nes possibles et avec l ensemble de la On devrait viter d population les animaux qui ont r cup r ou qui ont remettr t expos s tant qu ils posent un risque important sur le nombre d animaux entr s en contact avec les animaux infect s les animaux soupconn s d tre porteurs d un de transmission de la maladie aux autres animaux Lorsqu on fait sortir du refuge un animal malade ou infect on devrait fournir toute l information la personne ou l organisme qui recoit l animal Les maladie infectieuse doivent tr isol s jusqu refuges doivent s assurer qu ils respectent toutes les ce qu un diagnostic ou un traitement permette d d terminer qu ils ne posent qu un faible risque pour l ensemble de la population Quand un animal meurt de causes inexpliqu es on devrait pratiquer une n cropsie et avoir recours l histopathologie afin lois f d rales des tats et locales concernant les maladies d claration obligatoire la d population compte parmi les interventions possibles pour r agir une pid mie mais il s agit d obtenir des informations qui serviront prot ger la sant du reste d
20. s mesures n cessaires pour assurer leur confort t leur s curit changer le point de consigne du hermostat ajouter des couvertures plus chaudes installer des ventilateurs d placer les animaux dans n mesure d assurer une ventilation ad quate tout au long de l ann e Inversement le maintien d un bon niveau de ventilation ne doit pas se faire au d triment du maintien de temp ratures appropri es Comme les agents pathog nes des voies respiratoires des chiens se transmettent facilement dans l air les une autre section faire un examen m dical etc Des sections d isolement pour les chiens devraient avoir Conception et am nagement des installations un syst me de ventilation s par de celui du rest de l immeuble Appel 1972 Dans le cas des chats en isolement il n est pas aussi important d avoir un syst me de ventilation ind pendant parce que l a rosolisation des pathog nes est moins marqu e chez le chat Gaskell 1982 Wardley 1977 Toutefois pour viter la propagation des virus du syst me respiratoire des chats par voie de l air peut contenir une vari t d a rosols bioactifs notamment des endotoxines qui peuvent avoir des effets pro inflammatoires et un impact n gatif sur les fonctions pulmonaires Donham 2002 Rylander 2006 2007 4 Eclairage les installations devraient tre concues pour laisser gouttelettes les cage
21. un animal De m me Xpos mesures sanitaires de facon suffisamment fr quente un environnement plus propre et plus sain Cherry 2004 Hoff 1985 Lawler 2006 Weese 2002 Un refuge propre a aussi l avantage d augmenter on r duit la dur e de l exposition En cas d pid mie il faut r viser les protocoles sanitaires et v rifier s il y a des probl mes reli s aux produits ou la mise en niveau de confort des animaux et de pr senter une image positive au public Tous les refuges doivent application des protocoles On a observ tr s souvent que m me si les protocoles semblent ad quats c avoir des protocoles d application des mesures sanitaires l est galement essentiel d assurer la sont des changements dans les pratiques sur le terrain ex une mauvaise dilution des produits d sinfectants formation du personnel et de fair Un suivi pour s assurer que les protocoles sont bien appliqu s 1 Nettoyage et d sinfection Par nettoyage on entend le geste physique qui retirer de l environnement l urine les mati res f cales Gilman 2004 Smith 2005 Le nettoyage permet de rendre les surfaces apparemment propres mais permet d 1 t d autres mati res organiques il n limine pas n cessairement tous les agents pathog nes nuisibles Par d sinfection on entend ou une modification la routine quotidienne de nettoyage qui
22. 5 Gestion de la douleur 25 6 Contr le des parasites 25 7 Rondes de surveillance quotidiennes 26 8 Nutrition 26 9 le bierr tre de la population du refuge 28 10 Plan d intervention en cas de maladie 28 a Isolement 28 b Diagnostic 29 c Intervention en cas d pid mie 29 1 1 Traitements m dicaux des animaux en refuge 30 Sant comportementale et bien tre psychologique 31 1 Consignes pour l admission 3l a Ant c dents comportementaux eJ b R duire le stress 31 2 valuation comportementale 32 3 Les soins au refuge 33 a Environnement 33 Enclos 33 S paration 33 b Routine quotidienne 33 c Enrichissement et socialisation 34 Interactions avec les humains 34 Consignes pour l h bergement long terme 35 Autres formes d enrichissement 35 d Modification du comportement 36 L h bergement en groupe 37 1 Dangers et b n fices de l h bergement en groupe 37 2 Am nagement 37 3 S lection des animaux 37 4 Si l h bergement de groupe n est pas appropri 38 Table des mati res Manipulation des animaux 39 1 Application des contraintes 39 2 Environnement et moment de l intervention 39 3 quipement 39 4 les chats non domestiqu s 40 Euthanasie 41 1 les techniques d euthanasie 41 a Monoxyde de carbone 42 b V rification de la mort 42 2 Environnement et quipement 43 3 Tenue des registres et substan
23. A titre de comparaison un marteau piqueur produit environ 1 10 dB et une rame de m tro environ 95 On consid re que les sons d une intensit de 50 7O dB ou plus sont susceptibles d avoir un effet cas de refuges l emploi de la musique ou d autres tudi attentivement avant d tre implant surtout si les sons pour enrichir l environnement doit tr animaux ne peuvent pas se d placer ou contr ler autrement leur n faste sur l ou e des rongeurs et des lapins CCPA 1993 Voir la section Sant publique pour des informations suppl mentaires sur la s curit au travail Comme l intensit des niveaux sonores peut avoir des r percussions n gatives sur la sant et sur xposition Beaucoup d animaux dont les chiens peuvent entendre des fr quences plus lev es que celles qu entendent les humains Si on veut faire jouer de la musique l appareil radio ou la cha ne st r o ne devrait pas tre plac directement sur les cages et le volume ne devrait pas bien tre des animaux il est important d intervenir pour r duire le bruit dans les refuges On peut tre sup rieur celui d une conversation normale Dans une tude on a observ que la musique heavy metal entrainait une augmentation des aboiements adopter diff rentes mesures lors de la conception des installations ou par la suite disposition des cages
24. Pourtant on constate clairement que les attentes soci tales ont augment l gard des soins et du bien tr des animaux Cette approche thique se reflet dans la litt rature professionnelle ainsi que dans 2009 De plus en plus d all gations de cruaut ont St formul es l gard de refuges ou de sanctuaires soupconn s de ne pas soigner les animaux de facon ad quate et humanitaire LA Times 2010 l absence de normes de soins acceptables et le d faut d reconna tre la souffrance animale ou d y rem dier ont contribu l mergence de ces situations Plusieurs de ces probl mes ne sont pas l apanage du monde des refuges Il y a plus d un quart de si cle le monde des animaux de laboratoire Blum 1994 et des jardins zoologiques Maple 2003 a St branl par des scandales impliquant des cas les nombreuses directives et ou codes d thique concernant les animaux publi s par les associations corporatives les organismes de r glementation les comit s consultatifs et les comit s d laboration de politiques propos des animaux dans pratiquement tous les environnements imaginables sauf celui des refuges On retrouve par exemple des documents sur les jardins zoologiques AZA 2009 2010 Kohn 1994 les laboratoires de recherche CACC 1993 ILAR 1996 SCAW 2001 les levages de chiens AKC 2006 2008 les chatteries CFA 2009 ACMV 2009 les sanctuaire
25. Table des mati res Avant propos v Introduction 1 Historique et contexte 2 1 les d fis relever pour assurer le bien tre des animaux 2 2 l importance d adopter des normes 3 3 les Cinq libert s et les animaux de compagnie 4 Comment utiliser ce document 6 Gestion et tenue des registres 7 1 laboration des politiques et des protocoles 7 2 Structure de gestion 7 3 Formation 7 4 Identification des animaux et tenue des registres 8 Conception et am nagement des installations 9 1 les enclos primaires 9 2 lypes de surfaces et drainage 11 3 Chauffage ventilation et qualit de l air 12 4 clairage 13 5 Contr le de l environnement sonore 13 6 Les bo tes de d p t 14 Gestion des populations 15 1 Capacit d accueil 15 2 Protocoles pour maintenir la capacit d accueil 16 3 Cueillette de donn es et statistiques 16 Mesures sanitaires 17 1 Nettoyage et d sinfection 17 a laboration d un protocole sanitaire 17 b Contr le des vecteurs passifs 19 2 Ext rieur des refuges et maisons priv es 2 3 Contr le des rongeurs et des insectes 21 Sant m dicale et bien tre physique 22 1 R le du m decin v t rinaire et tenue des registres 22 2 Consignes pour l admission 23 3 Vaccination 23 4 Soins m dicaux d urgence 25
26. cifiques l esp ce ex m chouiller pour les chiens et les rongeurs griffer pour les chats et en permettant aux animaux d avoir plus de contr le sur leur environnement les programmes d enrichissement r ussis emp chent le d veloppement et l expression de comportements anormaux et ils contribuent au bien tre psychologique des animaux On devrait accorder l enrichissement la m me importance qu d autres l ments des soins aux animaux comme la nutrition et les soins v t rinaires et il ne devrait pas tre consid r comme facultatif ILAR 1996 Au minimum on doit permettre aux animaux d avoir r guli rement acc s des contacts sociaux des stimulations mentales et des activit s physiques ILAR 1996 Pour certains animaux l interaction avec d autres membres de leur esp ce peut combler en partie les besoins de socialisation Interactions avec les humains Pour les chiens et les chats sauf s ils ne sont pas domestiqu s il est essentiel d avoir des interactions sociales r guli res positives et quotidiennes avec les humains Coppola 2006 CrowellDavis 1997 2006 20099 l ex cution des t ches de soins quotidiens ne constitue facon de combler les besoins sociaux des pas un animaux les animaux devraient profiter chaque jour d interactions sociales positives autres que le moments des repas et du nettoyag
27. comme le d parasitage prophylactique et le contr le des parasites externes afin de r duire le risqu d exposition aux agents pathog nes zoonotiques CAPC 2008 On ne devrait pas permettre la consommation de nourriture ou de boissons dans les secteurs o les animaux sont h berg s on devrait 5galemen conseiller au public d avoir avec galement d I public d ux diff rents objets contenants sucettes jouets m cher biberons quand ils circulent dans ces secteurs NASPHV 2009 Pour r duire encore plus le risque de transmission de maladie zoonotique on ne devrait pas admettre d animaux dans les endroits oU l on pr pare ou consomme de la nourriture NASPHV 2009 On devrait fournir de l information sur les maladies Zoonotiques aux visiteurs aux personnes qui adoptent des animaux et celles qui les h bergent en foyer d accueil Comme le statut immunitaire des individus cas de zoonose possible ou confirm e Id alement st une information confidentielle on ne devrait pas le plan crit de contr le des infections au refug devrait galement couvrir les maladies zoonotiques t tout le personnel ainsi que les b n voles devraient y avoir acc s un plan mod le pour les h pitaux v t rinaires a t publi NASPHV 20084 Certaines maladies humaines ou animales sont d claration obligatoire ex rage maladie du poser cette question on peut cependant informe
28. concentration appropri e et le laisser agir suffisamment rincer et s cher Avant de vaporiser de l eau ou des produits de nettoyage contre les virus non envelopp s contrairement c qu indique leur tiquette avec approbation de l EPA Eleraky 2002 Kennedy 1995 Moriello 2004 ou de d sinfection l int rieur ou proximit des enclos primaires on doit faire sortir les animaux ou les isoler de la section nettoyer en les d pla ant Scott 1980 On ne devrait pas utiliser comme seul de l autre c t de la porte guillotine de facon d sinfectant un produit dont l efficacit contre les viter de les mouiller ou de les clabousser et de les virus non envelopp s et d autres agents pathog nes pr occupants n a pas t valid e par des tudes ind pendantes On devrait nettoyer les installations en suivant une s quence qui tient compte de la vuln robilit stresser Il est inacceptable de vaporiser des liquides dans les enclos pendant que les animaux y sont l n est pas n cessaire de d sinfecter aussi fr quemment les enclos des animaux qui y sont h berg s long terme mais il est tout de m me des animaux la maladie et des risques pour la population en g n ral Il faut donc commencer par ssentiel de les nettoyer chaque jour pour maintenir les conditions sanitaires Dans bien des cas on peut alors utiliser la m thode du ne
29. curit pour les humains ou pour les autres animaux le stress et d veloppement de comportements anormaux sont xacerb s par le manque d possibilit s d adaptation ex se cacher rechercher des compagnons pour socialiser stimulation mentale prendre soin de minimiser le stress lors de cett Stape cruciale afin de r duire les probl mes car certains pourraient retarder ou m me emp cher acclimatation ou l ajustement l environnement du refuge et prolonger ou intensifier l anxi t et la souffrance psychologique Grandin 2004 Lors de la proc dure d admission on devrait en particulier L s assurer que les chats ne se retrouvent pas dans le m m xercice a robique Les probl mes comportementaux space physique visuel ou auditif que les compromettent la sant et le bierr tre de m me qu le potentiel d adoption de l animal Griffin 20094 chiens Griffin 2009a 2009b McCobb 2005 31 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 32 2 Evaluation comportementale l valuation du comportement de l animal doit d buter d s l admission Au m me titre que l on r pertorie les probl mes physiques susceptibles d exiger une attention particuli re on devrait aussi r pertorier et inscrire au dossier les probl mes d comportement stress peur anxi t agression qui requi rent une intervention ou qui
30. les injections IP de pentobarbita sodique pur exempt de drogues suppl mentaires ou d additifs devraient tre utilis es uniquement pou les chats les chatons et les petits chiots Les animaux mort soit aussi de d tresse d anxi t m thode d euthanasi possible de douleur xemple qu t d appr hension la doit tre fiable irr versibl auxquels on administre des injections IP devraien tre plac s dans une aire de confinement paisible t sombre ou maintenus et observ s pour assure et compatible avec l esp ce l ge et l tat d une transition en douceur vers l inconscience car sant de l animal AVMA 2007 Tous les agents et toutes les m thodes qui sont inacceptables selon les avec cette voie d administration il n est pas rare que les animaux aient des r actions d excitation et directives de l AVMA sur l euthanasie sont galement que la perte de conscience soit retard e Fakkema inacceptables pour un usage en refuge l identit tabli avec certitude auparavant notamment en balayan de chaque animal euthanasier doit tr son corps plusieurs reprises l aide d un lecteu 2009 Rhoades 2002 Pour les chiens et les chats l administration par voie orale de pentobarbital sodique devrait tre r serv e aux animaux qu on ne de micropuce scanner universel pour v rifier s il es peut pas approcher capturer ou manipuler de
31. mes graves pour tous les membres du personnel et pas seulement pour ceux qui sont impliqu s directement dans la pratique des euthanasies 1 Les techniques d euthanasie les deux pour pratiquer l euthanasi bienveillantes m thodes les plus des animaux dans les refuges sont l injection d une solution de pentobarbital sodique par voie intraveineuse IV ou r actions de douleur et de d tresse les injections intracardiaques sont inacceptables moins l animal anima qu on ait v rifi de mani r fiable qu est inconscient comateux ou anesth si c d absence de douleur profonde r flexe nociceptif d l orteil Pour viter de causer un stress et une anxi t excessifs on doit imposer aussi peu de contraintes physiques que possible pour r aliser les proc dures intrap riton ale IP Les techniques d injection les de fa on s curitaire On devrait administrer une Euthanasie Lorsquon pratique des euthanasies dans un refuge chaque animal doit tre trait avec respect L identit de chaque animal euthanasier doit tre tablie avec certitude auparavant Tous les agents et toutes les m thodes qui sont inacceptables selon les directives de l AVMA sur l euthanasie sont galement inacceptables pour un usage en refuge 41 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers
32. ponses physiologiques et comportementales n gatives Spreng 2000 le niveau sonore produit par l aboiement des chiens les chats ne soient pas expos s l aboiement des chiens McCobb 2005 Dans une tude r alis e sur les chiens en refuges on a constat que le contact bien tr visuel avec les autres chiens am liorait peut tre probl matique cause de son intensit et d t qu il n sa dur e Sales 1997 Les chats sont particuli rement faisait pas augmenter les aboiements Wells 1998 emp cher le contact visuel entre les d ouverture affect s par les aboiements McCobb 2005 Dans chiens ne devrait donc pas tre consid r comm un refuge le niveau sonore peut atteindre plus de une strat gie de base pour r duire les aboiements 100 dB en bonne partie cause de l aboiement des chiens Coppola 2006 le niveau sonore est mesur sur une chelle logarithmique ce qui signifie qu un son de 90 dB est 10 fois plus fort qu un son de 80 dB Tous les sons d une intensit de 90 100 dB peuvent tre entendus et ressentis et ils peuvent On a utilis la musique pour r duire le stress chez 1990 Wells 2002 Certaines tudes isol es valident cette approche mais il existe peu de donn es qui les animaux dans diff rents contextes Lin permettraient de recommander la musique dans le entra ner des dommages auditifs irr versibles chez les humains
33. r cemment admis les animaux malades et les animaux g s de moins de 20 semaines Figure 1 Distance minimale recommand e entre la liti r uriner et d f quer AAEP 2004 CFA 2009 Hansen 2000 King County 2009 Kulpatddy 2005 Nouvelle Z lande 1993 Dans le cas des chiens et des chats l enclos devrait permettre l animal de dresser la queue lorsqu il est debout en position normale l enclos primaire devrait permettre l animal de voir l ext rieur mais galement d viter le contact visuel avec les autres animaux lorsqu il le souhait CFA 2009 Les refuges devraient faire leur possible pour d passer ces dimensions surtout pour les s jours prolong s Voir aussi les dimensions recommand es la section l h bergement en groupe En plus des dimensions l am nagement de l enclos st galement essentiel au maintien de la t du bien tr primair sant des animaux On doit fournir Carlstead 1993 Overall 1997 Wells 1998 Diff rents organismes ont propos une gamme de dimensions minimales pour les enclos primaires des bols ou des contenants pour la nourriture et pour l eau la disposition relative des spaces our la nourriture l eau et la liti re de m me qu pour ture q l emplacement des espaces de repos des portes des chiens et des chats CFA 2009 Griffin 2006 Nouvelle Z lande 1993 Dans la plupart des cas les
34. rogation des directives de l tiquette toute utilisation de m dicaments qui n est pas indiqu e sur l tiquette du fabricant Vecteur passif objet ou l ment qui peut devenir contamin et transmettre des agents pathog nes d un animal un autre ex mains v tements quipement Zoonose toute maladie infectieuse qui peut tre transmise aux humains par un animal autre que l humain Association of Shelter Veterinarians
35. s NIOSH Report No 2006 02 12 3035 NIOSH Report No 2007 0068 3042 On devrait utiliser des isolants acoustiques dans les secteurs d h bergement des n mati re de sant probl m pour animaux on doit fournir des protecteurs auditifs aux employ s qui travaillent dans des environnements s membres du personnel et les b n voles car avage des mains est la meilleure facon de prot ger es personnes et les animaux des refuges contre la ransmission des maladies CDC 2010 devrait tre interdit de fumer dans les refuges caus t des risques document s pour du danger d incendi a sant humaine et animale associ s la fum e secondaire Rief 1998 Roza 2007 Sant publique On devrait utiliser des isolants acoustiques dans les secteurs ou sont h berg s les animaux on doit fournir des protecteurs auditifs aux employ s qui travaillent dans des environnements bruyants 51 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 52 1 Zoonoses les zoonoses sont les maladies qui peuvent tr transmises des animaux aux humains Tous les humains peuvent tre infect s par des agents zoonoliques mais le risque est plus lev chez les personnes immunod ficientes Beaucoup de personnes ne sont pas au courant qu elles sont immunod ficientes La baisse de la r sistanc immunitaire peut tre caus e par l ge un
36. temps r serv leur environnement Ellis 2008 d Modification du comportement la technique de modification du comportement est une strat gie de traitement individualis e con u aux traitements h bergement et espace de travai adapt s les techniques appropri es exigen g n ralement beaucoup de travail et de temps on doit les appliquer de mani re constante pendan une certaine p riode pour qu elles portent fruits pour changer un comportement chez l animal Les pratiques doivent respecter les principes scientifiques Dans le cas d animaux agressifs les traitements bien d crits en mati re de comportement et de modification du comportement soul vent des inqui tudes pour des raisons de s curit et de d apprentissage animal notamment le renforcement positif le conditionnement op rant la d sensibilisation syst matique et le contreconditionnement AVSAB 2007 Dans certains cas il peut tre n cessaire responsabilit les animaux que l on croit dangereux ne devraient pas tre plac s dans un nouveau foyer Bollen 2008 CrowellDavis 2008 Phillips 2009 l h bergement en groupe l objectif d refuges l h bergement n groupe dans les st de permettre aux animaux d tre en compagnie de leurs semblables et d avoir des contacts sociaux sains avec d autres animaux de facon accro tre leur bien tre Dans le cont
37. tre individuel des animaux d terminer la fr quence d apparition de certains probl mes sp cifiques ex infections des voies respiratoires sup rieures parvovirus tablir des objectifs r alistes mettre au point des strat gies cibl es et faire le suivi de l efficacit des des admissions totales En Virginie par exemple on a comptabilis les donn es des services de control animalier des municipalit s des groupes de secours aux animaux publics et priv s et des soci t s d assistance aux animaux de l ensemble de l tat pour la p riode de 2004 2007 Selon les donn es recueillies lt 2 des chats et 1 des chiens admis par ces organisations sont morts pendant leur s jour en refuge Cette information est publi e annuellement par le gouvernement de Virginie Virginia Department of Agriculture and Consumer Services Office of th State Veterinarian On a galement fait une enqu t aupr s de 11 refuges admission ouverte dont certains grands refuges municipaux de la r gion de Los Angeles et de New York R sultat en moyenne taux de mortalit en refuge calcul en divisant nombre de chiens et de chats morts en refuge par nombre total de chiens et de chats vivants admis tait de 0 75 fourchette de 0 18 1 61 HSUS 2007 Des taux de mortalit sup rieurs indiquent qu il faut instaurer des mesures de
38. 2004c Schorrtvans 2003 tant donn que pr s de 75 des maladies infectieuses mergentes qui touchent les humains sont d origine animale Taylor 2001 les refuges devraient surveiller de pr s les manifestations de maladies inhabituelles ou graves La d tection pr coce peut jouer un r le important pour minimiser l impact d un mesur m dicaments Dans certains cas cette r sistance peut tre transmise d autres bact ries dont celles qui causent des infections chez les animaux et chez pid mie d multir sistante aux antibiotiques dans un refuge on les humains lors d un salmonell a r pertori 49 cas confirm s de maladie chez les humains dont 1O qui ont exig une hospitalisation Hurley 2004b pour contrer l pid mie on a notamment d fermer le refuge pendant un certain temps Il faut aussi souligner que le Staphylococcus aureus r sistant la m thicilline SARM m me s il s agit surtout d un pathog ne humain peut contaminer les nvironnements publics et infecter maladie mergente sur la sant des animaux et des plusieurs esp ces animales dont les chiens et les chats Baptiste 2005 Weese 2005a 2005b humains Lorsqu on h berge plusieurs esp ces des animaux qui proviennent de diff rents endroits ou le recours syst matique aux antibiotiques pour pr venir les infections chez les animaux en bonne sant
39. Animal Shelters Ames IA Blackwell Publishing 2009 Miller L Zawistowski S eds Shelter Medicine for Veterinarians and Staff Ames IA Blackwell Publishing 2004b Moriello KA Deboer DJ Volk LM Sparkes A Robinson A Development of an in vitro isolated infected spore testing model for disinfectant testing of Microsporum canis isolates Vet Dermatol 2004 15 175 80 Morley PS Morris SIN Hyatt DR et al Evaluation of the efficacy of disinfectant footbaths as used in veterinary hospitals Am Vet Med Assoc 2005 226 2053 8 Morley PS Strohmeyer RA Tankson JD ef al Evaluation of the association between feeding raw meat and Salmonella enterica infections at a Greyhound breeding facility J Am Vet Med Assoc 2006 228 1524 32 National Animal Care and Control Association NACA Determining Kennel Staffing Needs 2009a Disponible au hitp www nacanet org kennelstaffing html National Animal Care and Control Association NACA Mays D ed Training Manual 2009b Kansas City MO National Animal Care and Control Association National Animal Care and Control Association NACA National Animal Control Association Guidelines Disposition of Animals Euthanasia 2010 Disponible au hitp www nacanet org guidelines html euthanasia National Association of State Public Health Veterinarians NASPHV Zoonotic disease prevention in veterinary personnel J Am Vet Med Assoc 2008a 233 417 31 Disponible au htt
40. Control Manual for Animal Shelters Des Moines IA Center for Food Security and Public Health lowa State University College of Veterinary Medicine 2008a pp 66 79 Hurley KF Pesavento PA Pedersen NC et al An outbreak of virulent systemic feline calicivirus disease J Am Vet Med Assoc 2004c 224 241 9 Hurnik JF Welfare of farm animals Appl Anim Behav Sci 1988 20 105 17 Hutchinson RR By products of aversive control In Honig WK Staddon JER eds Handbook of Operant Behavior Englewood Cliffs NJ Prentice Hall 1977 pp 415 31 Institute of Laboratory Animal Research Commission on Life Sciences National Research Council ILAR Guide for the Care and Use of Laboratory Animals US Department of Health and Human Service National Institutes of Health NIH Publication No 86 23 1996 International Veterinary Academy of Pain Management IVAPM Treating pain in companion animals Disponible au hitp www vasg org ivapm pet owner info sheet 11 2005 pdf ISU Centre for Food Security and Public Health Zoonoses Resources Zoonotic disease resources 2010 Disponible au http www cfsph iastate edu Zoonoses zoonotic disease resources php Jenkins K Recognizing and reducing stress for shelter animals Denver CO Denver Dumb Friends League 1997 Johnson T The Animal shelter building design and maintenance of a healthy and efficient facility In Miller L Zawistowski S eds Shelter Medicine for Veterin
41. administr de facon ad quate et s curitaire les refuges devraient galement avoir des politiques claires pour g rer les probl mes li s aux maladies diagnostics ad quats l utilisation inappropri e d antibiotiques ne constitue pas un substitut pour de bons soins m dicaux pr ventifs Diff rents documents pr sentent des directives pour l utilisation des antimicrobiens chez les animaux de compagnie on devrait appliquer les m mes principes dans le cas des refuges AAHA AAFP 2006 AVMA 2008b la sant et le bien tre des animaux d pendent de la satisfaction de leurs besoins psychologiques et comportementaux autant que de leurs besoins physiques Griffin 2009 Jenkins 1997 McMillan 2000 2002 Wells 2004a Wojciechoska 2005 les animaux ont une grande vari t de besoins psychologiques d termin s par diff rents facteurs comme l esp ce la Sant comportementale et bien tre psychologique Sant comportementale et bien tre psychologique 1 Consignes pour l admission a Ant c dents comportementaux lors de l admission on devrait obtenir un bilan complet des ant c dents comportementaux et conna tre la ou les raisons pour lesquelles l animal st confi au refuge S il s agit d un animal errant constitution g n tique la personnalit la socialisation t les exp riences ant rieures Pour prodiguer les soins comportementaux on doit prendre en
42. an 14 Association of Shelter Veterinarians ASV Board position statement on infectious disease outbreak management Disponible au http www sheltervet org displaycommon cfm an 1 4 R f rences bibliographiques Association of Shelter Veterinarians ASV Board position statement on veterinary supervision in animal shelters Disponible au http www sheltervet org displaycommon cfm an 1 4 Association of Zoos and Aquariums AZA Animal Husbandry and Welfare 2009 Disponible au http www aza org animal husbandry and welfare Association of Zoos and Aquariums AZA The accreditation standards and related policies 2010 Disponible au hitp www aza org uploadedFiles Accreditation Microsoft 20Word 20 2020 109520 Accred 20Standards pdf Baptiste KE Williams K Willams NJ et al Methicillin resistant staphylococci in companion animals Emerg Infect Dis 2005 11 1942 4 Disponible au htp www cde gov ncidod EID vol1 1no 12 05 0241 htm Bayne K Developing guidelines on the care and use of animals Ann NY Acad Sci 1998 862 105 10 Beerda B Schilder MBH BernadinaW et al Chronic stress in dogs subjected to social and spatial restriction Behavioural responses Physiol Behav 1999a 66 233 42 Beerda B Schilder MBH Bernadina W et al Chronic stress in dogs subjected to social and spatial restriction Il Hormonal and immunological responses Physiol Behav 1999b 66 243 54 Beerda B
43. animaux r cemment admis Apr s avoir manipul un animal affect o qu on soup onne d tre affect par un tre propres et on doit les d sinfecter avant de les r utiliser pour un autre animal On ne devrait pas avoir recours aux bouteilles et aux syst mes de distribution d eau automatis s s ils ne peuvent pas maladie grave comme le parvovirus les v tements protecteurs doivent tre remplac s Tout l quipement qui a t en contact avec un animal museli re accessoires m dicaux et anesth siques literie gants jouets bac liti re bols de nourriture etc tre d sinfect s avant d tre r utilis s pour un autre animal L utilisation d un lave vaisselle commercial st une excellente facon de nettoyer fond les bols pour l eau et la nourriture Gilman 2004 Lawler 2006 l action m canique de l eau et les hautes temp ratures d truisent la majorit des agents de m me que les accessoires de nettoyage doivent pathog nes mais pas n cessairement les virus non tre utilis s uniquement pour cet animal puis jet s ou d sinfect s sans d lai Les articles qui ne peuvent pas nvelopp s comme les parvovirus Si ce type de virus est pr sent on devrait appliquer un d sinfectant sur la tre d sinfect s rapidement comme les gants de cuir et les museli res posent un risque pour les animaux On devrait viter d
44. au http www cdc gov niosh pdfs 97 1 1 6sum pdf National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Evaluation of Carbon Monoxide CO Exposures during Euthanasia of Animals at the City of liberal Kansas Animal Shelter NIOSH Health Hazard Evaluation Report HETA 2004 01 23 2939 May 2004 Disponible au http www cdc gov niosh hhe reports pdfs 2004 0 1 23 2939 pdf R f rences bibliographiques National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Health Hazard Evaluation Report Louisiana Society for the Prevention of Cruelty to Animals Algiers Louisiana NIOSH Report No 2007 0068 3042 2007a Disponible au http www cde gov niosh hhe reports pdfs 2007 0068 3042 pdf National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Health hazard evaluation report Kenton County Animal Shelter Covington KY Cincinnati OH NIOSH Report No 2006 0212 3035 2007b Disponible au http www cdc gov niosh hhe reports pdfs 2006 02 1 2 3035 pdf Neidhart L Boyd R Companion animal adoption study J Appl Anim Welf Sci 2002 5 175 92 Neilson J Thinking outside the box feline elimination J Feline Med Surg 2004 6 5 11 Netto WJ Planta DJU Behavioural testing for aggression in the domestic dog Appl Anim Behav Sci 1997 52 243 63 Newbury SP Animal flow through and capacity planning Proceedings of the Western States Veterinary Conference 2009a Newbury SP Five key population ma
45. contr l imm diates 10 Plan d intervention en cas de maladie Tous les refuges doivent avoir un plan d intervention programmes de sant m dicale Cette facon d proc der favorise galement la d tection pr coc t le compterendu des probl mes la pr cision des diagnostics l efficacit des interventions et la collecte de donn es les programmes de sant n cas de maladie qui fait partie int grante de leur programme de sant animale Ce plan d intervention devrait comprendre des mesures pour minimiser la transmission aux animaux non louch s et aux humains et pour prendre soin des animaux touch s doivent tre r vis s en fonction des changements observ s chez les animaux en mati re de sant d maladie et de mortalit En plus du suivi des tendances pour certains probl mes de mani re appropri e Hurley 2009 Comme il y a une grande vari t d agents pathog nes de modes de transmission et de refuges il n existe pas de plan applicable en toutes circonstances position de l ASV sur la gestion des pid mies 2008 Voir la section Sant publique pour des informations de sant sp cifiques on devrait galement examiner p riodiquement les taux de maladie morbidit et suppl mentaires sur la pr vention de la transmission de mortalit Les animaux qui meurent en refug sont souvent un indicateur d u
46. d accueil un manque de personnel par ex La National Animal Control Association NACA et la Humane Society of the United States HSUS 2010 recommandent que l on consacre un minimum de 15 minutes par jour par animal au nettoyage et l alimentation des animaux en refuge 9 minutes pour le nettoyage et 6 pour l alimentation HSUS 2010 NACA 2009b Dans un refuge o l on h berge 40 animaux par exemple il faudra donc compter au moins 1O heures pour ces soins de base 40 animaux x 15 minutes animal 10 heures On peut faire un calcul semblable pour les valuations m dicales ou comportementales les traitements l adoption la st rilisation l euthanasie etc en s basant sur le temps moyen requis pour chacune de moyenne de s jour des total d personnel la dur animaux et le nombr sorties animaux r clam s par le propri taire adoptions transferts diminuer la d un mploy ou des probl mes de fonctionnement des etc Plusieurs facteurs peuvent fair capacit d accueil Par exemple la pert ces t ches Newbury 2009a 2009bJ Le nombre d heures de travail du personnel et des b n voles doit tre suffisant pour r pondre aux besoins d base de tous les animaux du refuge chaque jour la dur e du s jour a des r percussions marqu es t sur les besoins des animaux en nclos peuvent r duire temporairement la capacit t fo
47. d emp cher l animal de disponibl form s avoir l quipement n cessair permettr et en bon tat de fonctionnement ainsi qu un choix d emplacements appropri pour la tache accomplir avoir des quipements de protection pour le personnel s chapper M me quand un animal demeure confin dans une pi ce le fait de capturer nouveau est stressant Si l intervention n est pas urgente la meilleure approche est de retarder gants chariots etc et faire une utilisation judicieuse des tranguillisants Fowler 1995 Griffin 2006 1 Application des contraintes S il est n cessaire d appliquer une contrainte physique pour viter des blessures aux personnes ou l animal elle devrait tre le moins intense possibl processus pour donner l animal le temps de se d tendre dans un nvironnement paisible avant la manipulation Fowler Manipulation des animaux Pour limiter le recours une force plus importante que n cessaire lors de la manipulation des animaux on doit fournir une formation ad quate toutes les personnes appel es manipuler des animaux 1995 Griffin 2006 2009a Haug 2007 3 quipement Chaque situation devrait tre valu e individuellemen t on devrait examiner chaque pi ce d quipemen et d aussi courte dur e que possible les animaux r pondent souvent mieux une contrainte douce et en
48. dans contaminations bact riennes ou parasitaires probl mes de sant publique il n est pas recommand de nourrir les animaux avec des aliments crus dans les refuges ACMV 2006 Finley 2008 LeJeune 2001 lenz 2009 Morley 2006 des contenants appropri s concus et dispos s de facon ce que chaque animal de l enclos primaire ait acc s une quantit suffisante de nourriture t d eau les contenants doivent tre s curitaires suffisamment nombreux et d un format ad quat Quand il y a plus d un animal dans un enclos il st essentiel de bien observer la situation et de On doit nourrir les chiens et les chats adultes g s de plus de 6 mois et en sant au moins une fois par jour CDA 2009 CFA 2009 Id alement on devrait nourrir les chiens deux fois par jour Nouvelle Z land 1998 et on devrait pr senter aux chats regrouper des animaux dont les besoins nutritionnels sont semblables les animaux qui montent la garde devant la nourriture ou emp chent leurs cong n res d y avoir acc s doivent tre h berg s ou nourris plusieurs petits repas pour les encourager manger un peu tout au long de la journ e Vogt 2010 Si les chats n ont pas acc s la nourriture toute la journ e s par ment On devrait disposer les contenants d nourriture et d eau de facon pouvoir les observer y avoir facilement acc s pour le nettoyage et il faut l
49. de cette base les refuges devraient nsuite laborer des protocoles de vaccination sp cifiques pour chaque programme sous la supervision d un m decin v t rinaire en tenant tre vaccin s contre la rage au moment de leur sortie ou peu de temps apr s les refuges qui h bergent des animaux pour une p riode prolong e ont l obligation de s assurer que les vaccins de rappel soient administr s conform ment compte des dangers et des b n fices des vaccins des maladies end miques dans leur secteur des aux recommandations pour la m decine en refuge AAFP 2006 AAHA 2006 On recommande de risques d exposition et des ressources disponibles Miller amp Hurley 2004 Miller amp Zawistowski 2004 revacciner les chiots et les chatons jusqu ce que les anticorps maternels s estompent Les chiots et les chatons doivent tre revaccin s DHPP et FVRCP Comme le risque d exposition aux maladies est souvent lev dans les refuges on doit administrer respectivement toutes les 2 ou 3 semaines pendant tout leur s jour au refuge ou jusqu ce qu ils les vaccins de base aux animaux lors de leur admission ou auparavant ll n est pas contre indiqu d administrer ces vaccins aux femelles atteignent plus de 18 20 semaines en gestation et aux animaux affect s par une maladie b nigne parce que dans la plupart des refuges le risque
50. de performance et non pas des normes techniques elles d finissent des r sultats et impliquent l exisience de crit res d valuation mais elles ne prescrivent pas de m thodes sp cifiques pour atteindre ces r sultats les Cinq libert s ont servi d assises pour la r daction de chacune des sections de ces Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Historique et contexte Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Comment utiliser ce document Ce document est divis en 12 sections Nous vous recommandons de lire chaque section au complet Nous la mise en uvre des reconnaissons que recommandations id ales n est pas pour viter que les recommandations soient prises hors contexte ou mal comprises les refuges n devraient pas s n cessairement possible en toutes circonstances mais il est entendu que leur implantation s av rerait concentrer uniquement sur les certainement positive pour les animaux la fin pratiques inacceptables et les mises en gard pr sent es en exergue Ces extraits font ressortir des points particuli rement importants mais ils ne sont pas suffisants eux seuls pour faire l valuation compl te d un programme Aucune organisation qui fait office de refuge pour de ce document on trouvera un glossaire avec la d finition de diff rents mots et concepts les locutions long terme et
51. des protocoles ll est important d avoir une mission clairement d finie La mission sert de base l laboration des politiques de l organisation notamment en ce qui conceme les soins aux animaux les admissions les traitements l adoption et l euthanasie Les politiques doivent tenir compte des ressources de l organisation et de ses obligations l gales ou contractuelles On doit laborer des protocoles suffisamment d taill s pour atteindre et maintenir les normes d finies dans c xp rience en m decine v t rinaire en refuge d m me qu une bonne connaissance de la population vis e par l organisation 2 Structure de gestion d avoir un est essentiel structure clairement d finie qui tablit l obligation de rendre compte es responsabilit s et l autorit des gestionnaires int rieur de l organisation et cette structure doit tr tout le personnel et aux b n voles communiqu d alement les voies hi rarchiques avec supervision et responsabilit s correspondantes devraient tr pr sent es par crit revues p riodiquement et mises jour lorsque les r les changent On doit confier les postes d autorit et de responsabilit uniquement aux personnes qui ont les connaissances et la formation appropri es Plusieurs d cisions sont susceptibles d avoir des r percussions la fois sur l allocation des ressources la sant de l ensemble de la popu
52. dessous Pour consulter la liste compl te voyez le site Internet de l ASV Pourquoi l ASV a t elle labor ces Recommandations l heure actuelle aux tats Unis il n y a pas d agence ni de loi f d rales qui r gissent le bien tre et les soins aux animaux de compagnie dans le contexte des refuges l objectif de l ASV tait de pr senter des informations qui aideront tout organisme d aide aux animaux r pondre aux besoins physiques psychologiques et comportementaux des animaux dont il a la garde les Recommandations ont t labor es afin de servir d outils pour permettre aux collectivit s et aux organisations d aide aux animaux de toute taille des petits organismes qui h bergent quelques animaux la maison jusqu aux plus grands refuges d adopter des normes de soins minimales de viser les meilleures pratiques et de reconna tre celles qui sont inacceptables L ASV s est efforc e d laborer des recommandations qui pourront voluer mesure que nos connaissances progresseront sur les meilleures facons de r pondre aux besoins des animaux en refuge Comment I ASV s y est elle prise pour laborer ces Recommandations l ASV a d abord mis sur pied un groupe de travail pour faire une revue compl te de la litt rature On a ensuite pr par un livre blanc tr s fouill pour d finir les normes de soins qui permettent de r pondre aux besoins des animaux sous la garde de soci t s d assistance aux animaux Po
53. dimensions recommand es sont sup rieures ce que l on retrouve habituellement dans les refuges Dans le pr sent document nous ne faisons pas de recommandations sp cifiques pour les chiens parc etc auront des r percussions importantes sur le bien tre des animaux CCPA 1993 On devrait s parer autant que possible les espaces r serv s l alimentation aux besoins miction et d t cation et au repos l enclos primaire doit que leur taille varie beaucoup d un l animal de s asseoir de dormir et d sp ce l autre Les enclos primaires doivent cependant tr permettr manger une certaine distance de l endroit o il fait suffisamment grands pour respecter les param tres ses besoins Pour ce faire on peut utiliser un enclos d crits au paragraphe pr c dent En ce qui concerne les chats on a constat que si la distance est inf rieure 60 cm 2 pi entre les trois coins d un triangle form par la liti re l espace d repos ef l espace r serv l alimentation leur consommation de nourritur deux sections ou compartiment Pour les chats on peut opter pour un enclos un seul compartiment s il est suffisamment grand pour permettre une disposition comme celle pr sent e la figure 1 On peut aussi promener les chiens chaque jour et assez fr quemment pour qu ils n aient pas faire leurs st affect e de facon
54. entendre Griffin 2009a 2009b McCobb 2005 Les nouveaux environnements sont souvent particuli rement stressants pour les chiens et les chats timides peu socialis s sauvages ou affect s par des maladies g riatriques Dybdall 2007 Griffin 2009b Hiby 2006 Patronek 2001 Id alement ces animaux de m me que tout animal qui montre des signes de stress devraient tre h berg s dans un endroit s par calme et silencieux d s leur admission Parfois le simple fait de d placer un animal dans un coin plus tranquille de la m me pi ce peut s av rer b n fique b Routine quotidienne On devrait adopter des horaires de soins r guliers parce que le stress des p riodes de soins augmente lorsqu elles sont impr visibles ce qui peut m m ngendrer une peur et une anxi t chroniques Carlstead 1993 Griffin 2002 2006 20094 A l inverse lorsque les p riodes de stress sont q p pr visibles les animaux sont en mesure de vivr des moments de calme et de confort entre ces p riodes McMillan 2002 Les animaux r pondent aussi aux exp riences positives dans le cadre de leur routine quotidienne Ils peuvent anticiper fortement le moment des repas et les p riodes d 33 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers On devrait accorder l enrichissement la m me importance qu d autres l ments des soins aux an
55. facon s curitaire Rhoades 2002 En administration orale porteur d une micropuce Lord 2008 et en v rifian qu il s agit bien de l animal vis On doit valuer la le d lai pour l atteinte de la perte de conscienc peut tre plus long et la drogue n est pas toujours taille le poids et le temp rament de chaque anima afin de d terminer la dose de produit administrer mortelle pour compl ter l euthanasie il peut s av rer n cessaire de donner une injection subs quente de la grosseur de l aiguille et de la seringue ainsi que le mode de contention On doit tenir compte de la s curit du personnel et pentobarbital sodique Rhoades 2002 Quelle que soit la voie d administration lorsque la progression vers la mort est retard e on devrait donner une de l impact motionnel de l euthanasie On devrait galement adopter des mesures tous les niveaux injection additionnelle de pentobarbital sodique Exception faite de la voie IP mentionn e ci dessus doit tr pentobarbital sodique n inject par aucune voie non vasculaire ex sous cutan e de l organisation pour pr venir le ph nom ne d fatigue de compassion et pour y r agir La fatigue intramusculaire intrapulmonaire intrah patique intrar nale car ces voies sont associ es des de compassion et l puisement professionnel peuvent constituer des probl
56. for Prevention of Cruelty to Animals ASPCA The Humane Society of the United States HSUS Introduction l Association of Shelter Veterinarians ASV est un les besoins de l animal et ces besoins sont les organisation internationale dont la mission est d am liorer la sant et le bien tre des animaux en refuge gr ce l avancement de la m decin m mes peu importe la mission de l organisation ou les d fis qu elle doit relever pour y r pondre Comm toute autre sp cialit la m decine v t rinair de refuge Ce document est le r sultat d un travail lanc par l ASV en 2008 pour combler l absenc appliqu e aux refuges continue d voluer les tudes et les exp riences cliniques apportent de directives et de normes sur le soin des animaux en refuge la premi re tape du processus fut de cr er un continuellement de nouvelles informations que l on doit prendre en consid ration pour offrir des soins r ellement bienveillants Certains principes de soins aux animaux qui semblaient appropri s il y a groupe de travail pour d finir l tendue du projet Les membres du groupe ont r alis une revue exhaustiv de la litt rature scientifique afin de colliger autant quelques ann es seulement peuvent maintenant tr consid r s comme inefficaces ou non bienveillants les responsables des refuges doivent garder cet d informations que possible sur
57. forte recommandation peu import pr vue du s jour mais plus particuli rement si on s attend ce qu il d pass Une OU deux semaines Gestion et tenue des registres Pour implanter les recommandations propos es dans le pr sent document il faut pouvoir compter sur diff rents outils ressources ad quates planification formation et suivi Ces principes d exploitation laquelle devront constituent la fondation sur s appuyer plusieurs autres l ments pr sent s dans ce document Pour construire cette fondation les organisations doivent avoir une mission clairement d finie des politiques et des protocoles qui refl tent les connaissances actuelles un personnel bien form t bien supervis et un mode de gestion appropri pour prodiguer les soins aux animaux Comme la sant animale est intimement li e pratiquement toutes les facettes de la gestion des refuges et des centres de secours aux animaux les m decins v t rinaires devraient tre directement impliqu s dans l laboration et l implantation du plan organisationnel et ils doivent superviser les aspects m dicaux et chirurgicaux des soins aux animaux le fonctionnement de l organisation la sant et le bien tre des employ s et le bien tre des animaux sont t al 2004 des l ments inextricablement li s Reev Rogelberg et al 2007 1 laboration des politiques et
58. fortement recommand d opter pour les vaccins 4 virus vivant arri re droite pour la rage AAFP 2006 AAHA 2006 On devrait tenir un registre de tous les vaccins administr s aux animaux pendant qu ils sont h berg s au refuge 4 Soins m dicaux d urgence On doit mettre en place un plan d urgence td appropri e d s qu un animal est bless en d tress m dicale pour r agir avec diligenc facon ou qu il montre des signes de maladie grave AAEP 2004 CFA 2009 ACMV 2009 FASS 1999 le personnel devrait tr form pour reconnaitr les situations qui exigent des soins d urgence le plan d urgence doit tre structur de facon s assurer que l animal puisse recevoir rapidement les soins v t rinaires appropri s et des traitements antidouleur sur place ou en le transportant dans un autre tablissement ou qu il puisse tre euthanasi de facon humanitaire par un personnel qualifi et l galement autoris 5 Gestion de la douleur les refuges doivent souvent prendre soin d animaux qui souffrent de douleurs aigu s ou chroniques l American College of Veterinary Anesthesiologists ACVA d finit la douleur comme un ph nom ne complexe impliquant des l ments physiopathologiques et psychologiques souvent difficiles reconna tre et interpr ter chez Sant m dicale et bien tre physique efficace et reconnu IVAPM 2005 Par contre on pr sume
59. g n ralement que si un traitement est douloureux pour les humains il doit l tre pour les animaux aussi ACVA 2006 APHIS 1997bJ Le personnel du refuge a la responsabilit d estimer la douleur en combinant diff rents facteurs r sultats d l examen physique connaissance de l esp ce et d la race comportement individuel et connaissance du niveau de douleur associ un traitement chirurgical une maladie ou une blessure en particulier les approches pharmacologiques et non pharmacologiques pour le traitement de la douleur sont en constante volution dans les deux traitement devrait tr la dur l analg sie doivent tre appropri es pour soulager cas supervis par un m decin v t rinaire t la puissance de la douleur On peut compl ter les interventions des pharmacologiques massages physioth rapie qui pharmacologiques traitements avec non contribuent augmenter le confort et diminuer l anxi t Quand on sait l avance qu une douleu surviendra on devrait agir de facon pr ventive les animaux ACVA 2006 le personnel des refuges t donner des analg siques l avance On doi doit tre en mesure de reconnaitre la douleur et d r valuer la situation des animaux p riodiquemen la traiter afin d apaiser la souffrance des animaux t maintenir le traitement antidouleur tant qu il es ngendrer des la douleur n
60. l h bergement les soins la sant et le bien tre des chiens et des chats dans un contexe de populations les membres ont ensuite r dig ce document sur une p riod aspect en t te et tre pr ts s adapter lorsqu ils feront la r vision de leurs programmes Ce recueil de Recommandations de normes de soins de deux ans Parfois il tait impossible de trouver des r ponses dans la litt rature en pareil cas les pour refuges animaliers se veut un document volutif qui sera revu et r vis p riodiquement Son objectif recommandations ont t bas es sur l expertis collective des auteurs lors de l laboration des Recommandations nous n est pas de prescrire des directives op rationnelles sp cifiques parce que chaque situation est unique Nous fournissons des r f rences bibliographiques qui permettent de s informer plus fond sur certains avons toujours tent de trouver le meilleur quilibr possible entre les exigences scientifiques relatives au bien tre des animaux et les contraintes pratiques t r alistes propres l environnement des refuges aspects au besoin les auteurs souhaitent de tout cceur que les recommandations scientifiques et humanitaires pr sent es dans ce document seront b n fiques pour les animaux des refuges et pour les Dans tous les cas notre principe directeur demeurait personnes qui en prennent soin Intro
61. les compartiments du v hicule o taient d pos s les animaux apr s chaque utilisation Tous les v tements et toute la literie utilis s au refug doivent tre lessiv s et s ch s fond avant d tre peuvent galement devenir des vecteurs passifs de transmission des maladies C est pourquoi l acc s certains secteurs du refuge comme les locaux de quarantaine ou d isolement devrait tre restreint un petit nombre de personnes Le d placement d animaux malades l int rieur du refuge en particulier entre les zones d admission et les zones d attente ou d euthanasie devrait tre planifi d facon minimiser le risque de propagation des maladies Les planchers et les autres surfaces tables comptoirs etc devraient tre nettoy s et d sinfect s r utilis s On devrait retirer les d bris organiques imm diatement apr s tout contact avec de l urine des excr ments des vomissures ou avec un animal affect ou qu on soupconne d tre affect par un maladie infectieuse les p diluves ne sont pas appropri s pour emp cher pathog nes peuvent s y d velopper et parce que les moustiques se reproduisent plus facilement dans ces environnements humides les foyers d accueil font partie int grante des la propagation des maladies infectieuses et ils n devraient pas tre utilis s cette fin En effet la
62. mesure que la dur e du s jour augmente plus aires de repos sur lev es sans toutefois restreindr les mouvements de l animal l int rieur de son nclos les aires de repos devraient comprendr d un plus en plus important de fournir l animal un ou deux semaines par ex il devient d nvironnement mentalement et physiquement une couche souple pour que les animaux puissent s installer confortablement et viter l apparition d stimulant Il faut alors trouver des solutions de rechange l h bergement traditionnel Pour les plaies Crouse 1995 Nouvelle Z lande 1998 les cages ou les bo tes con ues pour le transport ou un ex bo tes confinement temporaire de courte dur de transport pour les voyages en avion ou autres animaux h berg s long terme l environnement physique doit inclure des endroits pour se cacher jouer se reposer s alimenter et faire ses besoins Dans le cas des chats on devrait aussi pr voir cages visant r duire temporairement la mobilit pour favoriser la r cup ration apr s un traitement petites cages en acier inoxydable de moins de 60 x 60 cm sont inacceptables en tant qu enclos primaires et des espaces pour se faire les griffes grimper et s st d pouvoir circuler en s curit de l int rieur l ext rieur percher Pour la plupart des esp ces l id al surtout lorsque les animaux sont ga
63. pour le jeu cette pratique peut tre acceptable t m me d sirable si elle est bien adapt e aux individus Griffin 2002 2006 Gourkow 2001 Kessler 1999b Mertens 1996 Overall 1997 Rochlitz 1998 les b n fices d n groupe comprennent notamment des possibilit s l h bergement d interactions positives avec d autres animaux comme le jeu la compagnie le lien physique et la socialisation On peut aussi utiliser l h bergement 2 Am nagement Certaines caract ristiques physiques sont essentielles pour l h bergement en groupe notamment format ad quat des enclos primaires postes d alimentation et espaces de repos multiples et espace appropri pour que les animaux puissent uriner et d f quer I est imp ratif que le format de l enclos soit ad quat afin de permettre aux animaux de maintenir des distances sociales appropri es Pour l h bergement en groupe des chats on doit fournir diff rentes zones de repos sur lev es et des endroits o se cacher pour augmenter les dimensions et la complexit de l espace de vie Dowling 2003 Griffin 2006 Overall 1997 Rochlitz 1998 On a recommand un minimum de 1 7 m2 19 pi2 par chat pour les situations d h bergement en groupe Kessler 1999 Il n y a pas de minimum recommand pour les chiens mais pour toutes les esp ces l espace devrait tr assez grand pour permettre aux animaux d exprimer diff rents comporteme
64. programmes de plusieurs refuges Il est impossible de d sinfecter compl tement les maisons priv es dur e d la p riode de contact pour obtenir Par contre dans tous les foyers d accueil un traitement efficace 1O minutes par ex est difficilement applicable et les p diluves exigent un ntretien fr quent parce que la pr sence de d bris organiques inactive plusieurs d sinfectants Un p diluve mal entretenu peut m me contribuer la propagation des maladies Il est pr f rable d opter pour des botles usage r serv que l on peut les responsables des soins devraient recevoir une formation pour apprendre minimiser la contamination dans leur demeure ce qui implique notamment le confinement des animaux nouvellement arriv s et des animaux qui montrent des signes de maladie dans une section de la maison que l on peut facilement d sinfecter d sinfecter ou pour des couvre chaussures jetables on devrait toujours utiliser ces accessoires dans les secteurs contamin s Morley 2005 Stockton 2006 ll est inacceptable de faire marcher les animaux dans un p diluve 2 Ext rieur des refuges et maisons priv es les surfaces l ext rieur du refuge doivent tr nettoy es aussi les secteurs qu il est impossible de d sinfecter surfaces de grovier terre pelouse tc devraient tre r serv s aux animaux g s de 5 mois ou pl
65. qu on ajoute souvent de nouveaux animaux au sein nvironnement des populations on peut cr er un propice la mutation et la propagation des agents st inacceptable et ne doit jamais servir de substitut une gestion appropri e de la sant des animaux AAFP AAHA 2006 Voir la section Sant m dical pathog nes Pesavento 2007 Pour r duire le risqu nouvelles souches d agents de d veloppement d t bierr tre physique pour des informations suppl mentaires sur les traitements pathog nes on devrait s parer les esp ces g rer les populations de facon appropri e et adopter des mesures sanitaires ad quates m dicaux Conclusion les auteurs esp rent que les collectivit s et les intervenants des refuges utiliseront ce document pour s assurer qu on prend soin de tous les animaux des refuges de facon appropri e et humanitaire peu importe la situation sp cifique ou la mission devrait tre am lior y consacrer des ressources et implanter des solutions pour optimiser le bien tre des animaux minimiser le nombre d euthanasies et viter les souffrances L ASV tiendra compte des commentaires re us et r visera ce document p riodiquement mesure que de nouvelles de chacun Ces recommandations se veulent autant d outils positifs pour r viser les diff rents volets des soins aux animaux d terminer ce qui informations seront disp
66. raisons humanitaires on doit viter 2006 Houpt 1985 McMillan 2002 Overall 1997 2005 le personnel doit donc tre form le confinement long terme dans le cas des animaux sauvages ainsi que pour les animaux qui demeurent pour reconnaitre le langage corporel et les autres nettement stress s craintifs et ne r pondent pas aux comportements r v lateurs de stress de douleur et de souffrance de m me que ceux qui indiquent que l animal s adapte bien l environnement du refuge Quand les animaux sont bien adapt s et que leurs traitements soins comportementaux Griffin 2009b Kessler 1999a 1999b Id alement on devrait r aliser une valuation besoins comportementaux sont satisfaits ils expriment une grande vari t de comportements normaux notamment bon app tit bon niveau d activit sociabilit toilettage comportement de jeu appropri comportementale syst matique de tous les animaux avant de les placer dans un nouveau foyer ou ailleurs Griffin 2009a Il existe des modes d valuation r vis s par les pairs g n ralement accept s tudi s et sommeil r parateur Parmi les indicateurs de stress de conflit social de douleur ou d autres souffrances mentionnons les suivants l animal demeure t ou publi s mais aucun n a t scientifiquement valid pour pr dire avec certitude le comportement d un animal dans un f
67. transfert restitution au disponibles adoption propri taire euthanasie etc Le fait d h berger un nombre d animaux sup rieur la capacit d accueil constitue une pratique inacceptable On doit faire une inspection de routine de tous les animaux chaque jour pour v rifier si la capacit est respect e et pour voir s il y a de nouveaux besoins en mati re d h bergement de soins ou de services CFA 2009 Nouvelle Z lande 1993 On doit intervenir de facon appropri e avant que le nombre d animaux ne d passe la capacit d accueil et d h bergement Si on attend que la capacit soit d pass e avant d intervenir les animaux en souffrent 3 Cueillette de donn es et statistiques Pour mettre en oeuvre un plan de gestion des populations efficace il est n cessaire de recueillir des donn es statistiques au fil du temps Au minimum les statistiques doivent faire tat pour chaque esp ce des admissions mensuelles animaux errants amen s par le propri taire etc et des sorties par cat gories adoption restitution au propri taire euthanasie eic Pour optimiser la gestion et le suivi on devrait faire un recensement quotidien des animaux pour v rifier la validit des donn es d jour en jour et pour faciliter le respect de la capacit d accueil donn es devraient d passe la capacit d accueil on d clenche un cerd vicieux on retarde la
68. 0 2 59 63 Stephen J Ledger R Relinquishing dog owners ability to predict behavioural problems in shelter dogs post adoption Appl Anim Behav Sci 2007 107 88 99 Stephen JM Ledger RA An audit of behavioral indicators of poor welfare in kenneled dogs in the UK J Appl Anim Welf Sci 2005 8 79 95 Sternberg S Successful Dog Adoption Indianapolis IN Wiley Publishing 2003 Taylor LH Latham SM Woolhouse ME Risk factors for human disease emergence Philos Trans R Soc Lond B Biol Sci 2001 356 983 9 Thom J Templeton K et al Conditioning shelter dogs to sit J Appl Anim Welf Sci 2006 9 25 39 Tod E Brander D Waran N Efficacy of dog appeasing hormone in reducing stress and fearrelated behaviors in shelter dogs Appl Anim Behav Sci 2005 93 295 308 Tuber DS Miller DD Caris KA et al Dogs in animal shelters problems suggestions and needed expertise Psychological Science 1999 10 379 86 Tuber DS Sander S Hennessy MB et al Behavioral and glucocorticoid responses of adult domestic dogs Canis familiaris to companionship and social separation J Comp Psychol 1996 110 103 8 University of California UC Davis Koret Shelter Medicine Program 2009 Disponible au http www sheltermedicine com Urban JE Broce A Flies and their bacterial loads in greyhound dog kennels in Kansas Curr Microbiol 1998 36 164 70 US Code Title 49 Chapter 805 Disponible au http uscode house gov dow
69. 1993 lorsque les drains circulent dans des espaces communs on doit s assurer de nettoyer et d sinfecter ces espaces avant d y admettre des animaux les couvercles de recouvrement des drains devraient tre concus pour que les animaux ne puissent pas s y coincer les orteils 3 Chauffage ventilation et qualit de l air La temp rature et le taux d humidit recommand s varient en fonction des esp ces mais il est essentiel ue chaque enclos primaire permette l animal de q q p p maintenir confortablement sa temp rature corporell normale AVMA 2008a NouvelleZ lande 1993 les mesures de temp rature et d humidit devraient tre prises la hauteur de l animal dans son enclos ventilation permet d vacuer la chaleur et l humidit xcessives les odeurs les microbes pr sents dans l air les gaz polluants comme l ammoniac et le monoxyde de carbone et de faire entrer de l air frais et oxyg n On doit maintenir la ventilation un niveau suffisant pour alimenter en air propre toutes les sections du refuge notamment l int rieur des enclos primaires Les syst mes de ventilation doivent tre bien entretenus et on doit mesurer la qualit de l air au niveau des animaux Pour les b timents o des animaux sont h berg s on recommande habituellement un taux de renouvellement de l air d 10 20 fois l heure Conseil de l Europe 1986 Johnson 2004 ILAR 1996
70. 2008 2 Chirurgie et anesth sie On doit fournir un h bergement appropri chaque animal avant et apr s l intervention chirurgicale Looney 2008 l enclos doit tre solide et muni t chaude Il doi tre suffisamment grand pour permettre l anima d une surface plate propre s ch de se retourner tout en tant s curitaire toutes les Stapes de s dation et d anesth sie et en offran une bonne visibilit au personnel les animaux non domestiqu s ou difficiles contr ler devraien tre h berg s dans des enclos qui permetten d administrer des anesth siques sans trop manipuler l animal on devrait les remettre dans leur enclos d s qu ils ont suffisamment repris conscience mais avant de redevenir alertes Griffin 2009c Looney 2008 Id alement les chiens et les chats devraient tre h berg s dans des secteurs s par s St rilisation des animaux Les refuges devraient exiger que les chiens et les chats donn s en adoption soient st rilis s C est le m decin v t rinaire qui doit prendre la d cision finale d accepter ou non un animal en chirurgie 45 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Il est inacceptable de permettre que des animaux de refuge se reproduisent Pendant le d roulement de l intervention chirurgicale le bloc op ratoire doit tre r serv la chirurgie et
71. AntimicrobialGuidelines pdf American College of Anesthesiologists ACVA American College of Veterinary Anesthesiologists position statement on the treatment of pain in animals 2006 Disponible au http www acva org docs Pain Treatment American College of Veterinary Anesthesiologists ACVA American College of Veterinary Anesthesiologists monitoring guidelines update 2009 Disponible au http ww acva org professional Position psin asp American Humane Association AHA Guide to humane dog training 2001 American Humane Association Denver CO American Kennel Club AKC American Kennel Club position statement on deficiencies in the care and condition of dogs 2006 Disponible au http www akc org tules policymanual cfm page 7 Deficiencies American Kennel Club AKC American Kennel Club position statement on proper care 2008 Disponible au http www akc org pdfs canine_legislation PBLEG2 pdf American Sanctuary Association ASA Sanctuary criteria 2009 Disponible au http www asaanimalsanctuaries org sanctuary_criteria htm American Society for the Prevention of Cruelty to Animals ASPCA Shelter regulations Alabama to Mississippi 2006a Disponible au http www aspcapro org mydocuments download php f guide_to_shelter_ regulations_2006_al_ms pdf American Society for the Prevention of Cruelty to Animals ASPCA Shelter regulations Missouri to Wyoming 2006b Disponible au ht
72. Center for Companion Animal Health Universit de Californie Davis Davis Californie Professeure agr g e adjointe m decine animale de refuge d partement de pathobiologie cole de m decine v t rinaire de l Universit du Wisconsin Madison Wisconsin Mary K Blinn D M V M decin v t rinaire de refuge Charlotte Mecklenburg Animal Care and Control Charlotte Caroline du Nord Philip A Bushby D M V MS DACVS Professeur chaire Marcia Lane thique humanitaire et bien tre animal Coll ge de m decine v t rinaire de l Universit d tat du Mississippi Mississippi Cynthia Barker Cox D M V M decin v t rinaire de refuge en chef Massachusetts Society for the Prevention of Cruelty to Animals Boston Massachusetts Julie D Dinnage D M V Directrice g n rale Association of Shelter Veterinarians Scottsdale Arizona Brenda Griffin D M V MS DACVIM Professeure agr g e adjointe m decine de refuge Coll ge de m decine v t rinaire de l Universit de Floride Gainesville Floride Kate F Hurley D M V D M V P Programme de m decine de refuge Koret Center for Companion Animal Health Universit de Californie Davis Davis Californie Natalie Isaza D M V Professeure adjointe d enseignement clinique Merial Shelter Medicine Clerkship Coll ge de m decine v t rinaire de l Universit de Floride Gainesville Floride Recommandations de normes de soins pour refu
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77. Schilder MBH Van Hoof JA et al Manifestations of acute and chronic stress in dogs Appl Anim Behav Sci 1997 52 307 19 Blackwell EJ Twells C Seawright A et al The relationship between training methods and the occurrence of behavior problems as reported by owners in a population of domestic dogs J Vet Behav 2008 3 207 17 Blum D The Monkey Wars New York Oxford University Press 1994 Bollen KS Horowitz J Behavioral evaluation and demographic information in the assessment of aggressiveness in shelter dogs Appl Anim Behav Sci 2008 112 120 35 Bourgeois H Elliot D Marniquet P et al Dietary Preferences of Dogs and Cats Focus Special Edition Royal Canin Paris Aniwa Publishing 2004 Bowman D Internal parasites In Miller L Hurley K eds Infectious Disease Management in Animal Shelters Ames Wiley Blackwell Publishing 2009 pp 209 222 Boyce JM Pittel D Guidelines for Hand Hygiene in Health Care Settings MMWR 2002 51 1 44 Disponible au www cdc gov mmwr preview mmwrhtml rr5 1 16a1 htm Brent L Lifelong well being Applying animal welfare science to nonhuman primates in sanctuaries Appl Anim Behav Sci 2007 10 55 61 57 58 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Carlstead K Brown JL et al Behavioral and physiologic correlates of stress in laboratory cats Appl Anim Behav Sci 1993 38 143 58 Cat Fanciers Association CFA Cattery standard minimum
78. aient pas tre confin s dans des cages au niveau r parer ou remplacer les planchers s ils sont trop du sol car elles engendrent plus de stress pour eux qu des cages plus lev es 5caill s gratign s ou endommag s pour tre faciles nettoyer et d sinfecter Les cages ou les bo tes con ues pour le transport ou un confinement temporaire sont inacceptables en tant qu enclos primaires et le fait de les utiliser cette fin constitue un geste cruel Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Il faut pr voir des am nagements sp cifiques tapis antid rapants par ex pour les animaux affect s par l arthrite une faiblesse musculaire ou d autres probl mes de mobilit qui pourraient les emp cher de se lever si les surfaces sont trop glissantes Les planchers devraient avoir une l g re pente pour permettre l coulement vers un drain les eaux mat riaux de literie appropri s que l on gardera toujours propres et secs peuvent aider les animaux maintenir leur temp rature corporelle Un bon apport d air frais constitue une condition essentielle pour maintenir la sant et le bien tre des animaux de m me que pour limiter la propagation des maladies infectieuses CFA 2009 Une bonne us es ne doivent pas s couler vers des espaces communs ou des niches adjacentes On doit pr voir un drainage ad quat Nouvelle Z lande
79. alliqu planchers latt s ne sont pas acceptables pour les nclos primaires destin s aux chiens et aux chats sexe esp ce temp rament statut de pr dateur ou de proie voir les sections Sant m dicale et bien t bien tre psychologique pour plus d information Le tre physique et Sant comportemental refuge doit galement offrir suffisamment d espac les enclos qui permettent de faire le nettoyage sans avoir faire sortir l animal les enclos deux sections Les mauvaises conditions d h bergement des chats constituent l une des principales lacunes que l on observe dans les refuges ou compartiment s par ex sont tr s importants pour emp cher la transmission des maladies On devrait les utiliser pour les animaux r cemment admis les pour accomplir les autres taches d crites dans ce document admission animaux malades et les animaux g s de moins de 20 semaines xamen mis n attente adoption isolement traitement entreposage de la nourriture lessive euthanasie si n cessaire les entr es les sorties les couloirs et les pi ces devraient tre dispos s de facon ce que les l enclos primaire devrait tre nettoy et d sintect d embl e M m qui joue le r le de refuge et que l ensemble de la lorsque c est un maison priv e demeure ou une chambre en particulier sert d encl
80. anine influenza virus H3N8 in dogs in a metropolitan animal shelter Am Vet Med Assoc 2010 237 710 3 Houpt KA Companion animal behavior a review of dog and cat behavior in the field the laboratory and the clinic Cornell Vet 1985 75 248 61 Hubrecht RC A Comparison of social and environmental enrichment methods for laboratory housed dogs Appl Anim Behav Sci 1993 37 345 61 Hubrecht R Comfortable quarters for dogs in research institutions In Reinhardt V Reinhardt A eds Comfortable Quarters for Laboratory Animals 9th edn Washington Animal Welfare Institute 2002 pp 56 64 Disponible au http www saplonline org pubs cq dogs htm Hubrecht RC Serpell JA Poole TB Correlates of pen size and housing conditions on the behavioral of kenneled dogs Appl Anim Behav Sci 1992 34 365 83 Humane Society of the United States HSUS How to Use a Control Pole Animal Sheltering Sep Oct 1996 Disponible au http www animalsheltering org resource library magazine articles sep oct 1996 asmSO96 howto pdf Humane Society of the United States HSUS Getting to know you What agencies need to find out before transferring animals 2003 Disponible au http www animalsheltering org resource library magazine articles may jun 2003 getting to know you html Humane Society of the United States HSUS Animal Services Consultation Program Las Vegas NV The Animal Foundation Lied Animal Shelter 2007 Huma
81. anization in the cat a modern understanding J Feline Med Surg 2004 6 19 28 Curtis CF Current trends in the treatment of Sarcoptes Cheyletiella and Otodectes mite infestations in dogs and cats Vet Dermatol 2004 5 108 14 De Monte M Le Pape G Behovioral effects of cage enrichment in single caged adult cats Anim Welf 1997 6 53 66 Delta Society Professional Standards for Dog Trainers Renton WA Delta Society 2001 Dinnage J Scarlett JM Richards JR Descriptive epidemiology of feline upper respiratory tract disease in an animal shelter J Feline Med Surg 2009 11 816 25 Donham KJ Cumro D Reynolds S Synergistic effects of dust and ammonia on the occupational health of poultry production workers J Agromed 2002 8 57 76 Dowling JM All together now Group housing cats Animal Sheltering 2003 Mar April 13 13 26 Dudding H Sheriffs deputies raid City of Memphis animal shelter The Commercial Appeal Oct 27 2009 Disponible au http www commercialappeal com news 2009 oct 27 sheriffs deputies raid city memphis animal shelter Dvorak G Petersen C Sanitation and Disinfection Infectious Disease Management in Animal Shellers L Miller and K F Hurley Ames IA Wiley Blackwell 2009 pp 49 60 Dybdall K Strasser R Katz T Behavioral differences between owner surrender and stray domestic cats after entering an animal shelter Appl Anim Behav Sci 2007 104 85 94 Edinboro CH Ward MP
82. ans un h bergement de groupe des animaux les chiots et les chatons de moins de 20 semaines ne devraient pas tre h berg s en groupe sauf s ils sont de la m me port e les chiots et les chatons h berg s seuls qu on ne conna t pas bien on devrait laisser passer suffisamment de temps pour leur permettre de r agir t non apparent s peuvent tr n groupe des fins de socialisation s ils doivent aux vaccins de base les animaux non st rilis s demeurer au refuge long terme ou si t en ge de se reproduire ne devraient pas tr g p p risqu pos par le manque d interactions sociales est plus h berg s en groupe Hickman 1994 Si on fait l h bergement en groupe court terme d animaux Avant non st rilis s on doit les s parer par sexe de placer en h bergement de groupe des chiens et des chats maturit sexuelle on devrait les st riliser grand que celui pos par les maladies infectieuses Avant de placer des chiots ou des chatons seuls et orphelins avec une autre m re avec ou sans port e on doit valuer les dangers et les b n fices pour la sant et pour le comportement de tous les animaux t leur laisser ensuite suffisamment de temps pour r cup rer les animaux non socialis s aupr s d autres animaux de m me que ceux qui intimident activement leurs cong n res ne doivent pas tr d autres animaux Ke
83. apides espace suffisant environnement ad quat et pr sence de cong n res en vitant les situations et les traitements susceptibles d engendrer une souffrance psychologique de base aux normes minimales pour les chiens les chats et les animaux en pension promulgu es par e minist re de l Agriculture de la Nouvelle Z lande Nouvelle Z lande 1998 2007 ainsi que pour des normes r centes pour les chats tablies par a t labor en 1965 au Royaume Uni dans le cadre d un rapport sur la probl matique du bien tre des animaux de ferme pr sent par la Commission Brambell devenue ensuite le Farm Animal Welfare Council Il est clairement d montr que les Cinq libert s sont largement accept es comme lignes directrices pour le bien tre de tous les animaux Par exemple lors d un sondage aupr s des h pitaux pour grands animaux des coles v t rinaires aux Etats Unis les r pondants ont indiqu tre fortement en accord avec ces principes Heleski 2005 et on les a aussi jug s utiles comme cadre de base pour le bien tre des animaux des jardins zoologiques Wielebnowski 2003 les Cinq libert s servent Association canadienne des m decins v t rinaires ACMV 2009 Cette approche a galement t adopt e par la communaut des laboratoires qui ravaillent avec les animaux Bayne 1998 CCPA 1993 ILAR 1996 SCAW 2001 Comme les Cinq libert s sont des normes
84. ar rapport un r trovirales des d s quilibres endocriniens tat de base De plus on doit fournir aux animaux des soins de pelage appropri s et ou leur donner l occasion d exprimer les comportements sp cifiques leur esp ce qui sont n cessaires pour conserver une peau et un pelage ou des plumes normaux et en sant CDA 2009 CFA 2009 Nouvelle Z lande 1998 Un pelage sale mal entretenu ou emm l est inconfortable pour l animal il pr dispose la peau aux maladies et dans les cas extr mes il peut entra ner de violentes souffrances le bain et ou le toilettage appropri font partie des l ments essentiels pour assurer la sant des animaux ils ne devraient jamais tre consid r s comme simplement esth tiques ou facultatifs 8 Nutrition Avec de l eau propr t fra che et une nourriture appropri e on comble les besoins nutritionnels de ventuels conflits entre animaux pour la nourriture D s qu on observe un animal qui prouve de la douleur base qui permettent d assurer la sant physique des animaux l eau propre et fra che doit tre accessibl en fout temps sauf si elle doit tre retir e pendant une p riode pr cise pour des raisons m dicales On devrait remplacer l eau chaque jour ou d s qu elle semble malpropre On doit foumir une nourritur Sant m dicale et bien tre physique fois par jour Dans le cas d
85. arians and Staff Ames IA Blackwell Publishing 2004 pp 55 66 Johnston SD Questions and answers on the effects of surgically neutering dogs and cats J Am Vet Med Assoc 1991 198 1206 14 Kennedy MA Mellon VS Caldwell G et al Virucidal efficacy of the newer quaternary ammonium compounds J Am Anim Hosp Assoc 1995 31 254 8 Kessler MR Turner DC Stress and adaptation of cats Felis silvestris catus housed singly in pairs and in groups in boarding catteries Anim Welf 1997 6 243 54 Kessler MR Turner DC Socialization and stress in cats Felis silvestri catus housed singly and in groups in animal shelters and in groups in animal shelters Anim Welf 19994 8 15 26 R f rences bibliographiques Kessler MR Turner DC Effects of density and cage size on stress in domestic cats Felis silvestris catus housed in animal shelters and boarding catteries Anim Welf 1999b 8 259 67 King County Animal Services Strategic Plan and Operational Master Plan 2009 201 1 Disponible au http kingcounty gov council issues animals aspx Kohn B Zoo animal welfare Rev Sci Tech Off Int Epiz 1994 13 233 45 Kulpa Eddy JA Taylor S Adams KM USDA Perspective on Environmental Enrichment for Animals ILAR J 2005 46 83 94 Kustritz MV Determining the optimal age for gonadectomy of dogs and cats J Am Vet Med Assoc 2007 231 1665 75 LA Times Onefourth of new animal hoarding cases involve rescuers ASPCA e
86. ation dans les poumons avant de pouvoir faire effet AVMA 2007 Or les d bits de gaz lev s n cessaires pour atteindre la concentration recommand e de 6 peuvent entrainer des niveaux co teux que par injection Fakkema 2009 Rhoades 2002 De plus l euthanasie au monoxyde de carbon st plus lente et il n a pas St d montr qu elle engendrait des b n fices de bruit qui effraient les animaux De plus si on fai entrer plusieurs animaux dans une m me chambre il se peut qu ils soient effray s et en d tresse ffectiv Smotionnels pour le personnel Des employ s d refuge ont dit avoir t boulevers s par les animaux qui vocalisent qui grattent et qui hurlent dans la chambre ainsi que par le fait d avoir r p ter le qu on fasse diminuer la concentration anima de monoxyde de carbone que chaqu recoit engendrant ainsi une situation d euthanasie qui peut s douloureuse et inefficace d sordonn prolonger et s av re les agents qui provoquent des convulsions avant conscienc la perte d sont inacceptables pour AVMA 2007 le les centres moteurs des euthanasies pratiquer monoxyde de carbone stimul conscienc processus apr s que des animaux ont surv cu la premi re proc dure b V rification de la mort Avant de se d faire du corps un personnel form cette fin doit s assurer que l animal est bien mort e
87. ation de d sinfectant et recours aux gants au besoin Dans toutes les zones d h bergement des animaux et dans tous les endroits sanitaires suffisantes pour les refuges ni pour les centres de Secours Un syst me d h bergement inappropri et des o l on pr pare de la nourriture il devrait y avoir des viers avec du savon et des serviettes de papier jetables Dans tous les secteurs o on manipule des animaux il devrait y avoir des distributeurs de installations l am nagement d ficient peuvent galement contribuer la transmission des agents pathog nes Pour les animaux r cemment admis les animaux malades et les animaux g s de moins de 20 semaines le syst me d h bergement devrait tr con u pour permettre de faire le nettoyage sans avoir trop manipuler les animaux et en vitant de les d placer dans un endroit qui n a pas t d sinfect gr ce l utilisation d enclos deux sections ou d sinfectant pour les mains Il convient toutefois de souligner ici que les d sinfectants pour les mains ne sont pas efficaces contre certains des agents pathog nes les plus dangereux que l on retrouv dans les refuges notamment les parvovirus et les calicivirus les d sinfectants ne doivent donc pas constituer la seule mesure d hygi ne pour les mains On devrait utiliser les d sinfectants uniquement lorsque les mains semblent propres Boyce 2002
88. au d ammoniac 9 g il est essentiel qu ils vivent dans un environnemen sonore appropri le bruit devrait tre r duit au minimum dans les sections ou les animaux son h berg s l ou e des chiens et des chats est plus sensible que celle des humains et on peut consid r que les niveaux de bruit qui sont inconfortables pou nous le sont encore plus pour les animaux Dans devrait tre sous ce seuil avant m me le nettoyag du matin Le contr le de la poussi re est important les refuges plusieurs sources peuvent contribuer lever le niveau sonore syst mes de ventilation galement parce que les microbes peuvent s transmettre par la poussi re en suspension dans l air FASS 1999 la poussi re en suspension dans air forc aboiements des chiens mat riaux d construction non poreux utilisation des syst mes Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Les refuges ne devraient pas avoir recours des boites de d p t non surveill es pour permettre au public de d poser des animaux en dehors des heures de nettoyage sous pression portes m talliques t ils devraient tre hors d atteinte des animaux ou des cages bols d alimentation en m tal etc Un niveau sonore excessif contribue engendrer des r sistants la destruction Hubrecht 2002 Les refuges devraient tre am nag s de facon ce que r
89. avec diligence ex vaccination valuation m dicale st rilisation sortie pour adoption Les d lais m me de seulement un jour ou deux peuvent entra ner une surpopulation et nuire au bien tre des animaux dans les refuges qui fonctionnent pr s de leur capacit maximale On devrait valuer l ampleur de la demand pour ces services critiques en estimant le nombr d animaux qui auront besoin de chaque service et temps requis pour chacun ex le nombre d animaux qui doivent tre st rilis s ou subir une valuation m dicale avant d tre offerts en adoption Lorsqu un refuge d passe sa capacit d accueil il en r sulte diff rents effets ind sirables notamment retards ou incapacit fournir certains soins n cessaires utilisation d unit s d h bergement de qualit inf rieure augmentation du stress chez t chez les animaux personnel r partition d sordonn e des animaux risque accru d exposition aux maladies infectieuses augmentation des interactions n gatives entre les animaux Hurley 2008b Newbury 2009a 2009b lorsque l on 2 Protocoles pour maintenir la capacit d accueil les refuges doivent adopter des politiques et des protocoles qui permettent de maintenir leur capacit d accueil et de prestation de soins Ces politiques doivent comprendre un m canism qui permet d quilibrer les admissions en fonction des sorties
90. ces r glement es 43 4 Formation du personnel 43 St rilisation des animaux 45 1 Directives du m decin v t rinaire 45 2 Chirurgie et anesth sie 45 3 Marquage des animaux st rilis s 46 Transport des animaux 47 1 Responsabilit s des individus et des organisations impliqu s 47 a Consignes de base 47 b Responsabilit s au point d origine 47 c Responsabilit s pendant le transport 48 Usage des enclos primaires 48 V hicules 49 Responsabilit s du transporteur 49 d Responsabilit s au point de destination 50 Sant publique 51 1 Zoonoses 52 2 Blessures caus es par les animaux 52 3 Maladies mergentes et r sistance aux antimicrobiens 54 Conclusion 55 R f rences bibliographiques 56 Glossaire 67 Avant propos Association of Shelter Veterinarians Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Au moment o l Association of Shelter Veterinarians ASV a lanc la publication initiale de ce recueil de Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers ci apr s appel les Recommandations nous savions qu elles soul veraient diff rentes questions pourquoi avoir labor ces recommandations comment serontelles utilis es quel sera leur impact sur le milieu des soci t s d assistance aux animaux C est pourquoi les auteurs des Recommandations de l ASV ont rencontr les organismes qui suivent afin d expliquer leurs intentions et leurs objectifs dans le cadre de la publ
91. consid ration la perspective de chaque animal de m me que la on devrait quand m me demander la personn qui l apporte de fournir le plus d informations possible Id alement on devrait interroger la personne de vive voix mais les questionnaires crits situation de l ensemble de la population Griffin 20090 McMillan 2000 2002 Wojciechoska 2005 l environnement structurel et social ainsi que la possibilit de se livrer des activit s cognitives et physiques sont importants pour toutes les esp ces d animaux ILAR 1996 Dans un environnement appropri on retrouve sont galement acceptables On devrait utiliser le bilan des ant c dents comportementaux pour pr venir le personnel de tout probl me potentiel comme l agression ou l anxi t et pour l informer Le personnel doit tre form pour reconna tre les comportements r v lateurs de stress de douleur et de souffrance de m me que ceux qui indiquent que l animal sadapte bien l environnement du refuge des besoins sp cifiques de l animal de facon en prendre soin ad quatement Griffin 20099 les responsables des refuges doivent tre conscients notamment un espace de refuge et de repos confortable o l animal est l abri de la peur et de la d tress que les ant c dents fournis bien qu importants et o il peut exprimer les comportements normaux caract ri
92. contribuent au d clenchement d l pid mie Petersen 2008 Lors d une pid mie on doit r viser les protocoles sanitaires au besoin pour s attaquer des agents pathog nes sp cifiques a Elaboration d un protocole sanitaire Pour mettre au point un protocole sanitaire on doit tenir compte de l am nagement des installations de la population animale ainsi que de la formation des processus et des quipements qui seront requis le proc d qui permet de tuer la majorit des contaminants dans un espace donn Gilman 2004 Dans le cadre du pr sent document le terme mesures sanitaires englobe les proc d s de nettoyage et d Id alement les protocoles devraient tre labor s t r vis s p riodiquement avec l aide d un m decin v t rinaire qui d tient une bonne exp rience d la m decine en refuge On peut faire appel d sinfection Tous les refuges foyers d accueil et centres de secours la maison doivent appliquer de nombreuses sources pour s informer sur les des mesures sanitaires La st rilisation est un proc d questions sanitaires mais les protocoles pour les refuges doivent tre bas s sur des connaissances qui m ne la destruction de tous les microbes y compris les spores on y fait appel surtout pour la pr paration des instruments chirurgicaux des gants t des autres accessoires utilis s lors de chirurgi des inter
93. d d tergents et des d graissants au besoin pour garder les surfaces propres et exemptes de salet s visibles En ce qui concerne les d sinfectants on doit s lectionner des produits qui seront efficaces dans les conditions sp cifiques d un environnement donn l o il y a pr sence de mati res organiques par ex t dont l efficacit a t d montr e contre les agents pathog nes qui posent des risques pour les animaux Etrepi 2008 Les virus non envelopp s parvovirus panleucop nie ou calicivirus f lin par ex sont une source de pr occupation particuli re mais d autres agents pathog nes r sistant la d sinfection coccidies Microsporum canis peuvent aussi s av rer probl matiques Des tudes ind pendantes soins devrait tre la suivante 1 chiots et chatons en sant et femelles allaitantes en sant 2 animaux adultes en sant 3 animaux en mauvaise sant l est essentiel de nettoyer et de d sinfecter fond les enclos primaires avant d y installer de nouveaux animaux les protocoles sanitaires doivent comprendre au moins les tapes suivantes retirer les mati res organiques nettoyer les surfaces avec un d tergent ou un d graissant appliquer ont r v l que certains d sinfectants n taient pas ficaces contre ces agents pathog nes r sistants ex les compos s base d ammonium quaternaire un d sinfectant
94. devrait amp tr dans aucun refuge HSUS 20094 Le fait d attacher constamment un chien au lieu d utilis le garder dans un enclos primaire va l encontre des principes humanitaires Aux tats Unis celle pratique est interdite depuis 1997 pour tous les organismes vis s par le Animal Welfare Act une loi sur le bien tr des animaux APHIS 19974 l enclos primaire doit offrir suffisamment d espace pour permettre l animal peu importe son esp ce d adopter des postures normales se tourner librement se lever s asseoir s tirer et tourner la structurellement solide et il doit demeurer s curitair t te facilement et sans toucher le plafond de son et fonctionnel pour confiner l animal de facon enclos se coucher dans une position confortable avec les membres d ploy s se d placer et adopter convenoble viter les blessures emp cher les autres animaux d entrer t lui permettre de rester propr une posture confortable pour s alimenter s abreuver Le fait de confiner un animal en l attachant est une pratique inacceptable elle ne devrait tre utilis e dans aucun refuge Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Les enclos qui permettent de faire le nettoyage sans avoir faire sortir l animal sont tr s importants pour emp cher la transmission des maladies On devrait les utiliser pour les animaux
95. dies devrait tre une priorit mais on doit aussi tre en mesure de fournir les 1 R le du m decin v t rinaire et tenue des registres Tous les protocoles et toutes les pratiques reli s aux soins de sant devraient tre labor s en consultation traitements appropri s au moment opportun les avec un m decin v t rinaire id alement rompu mesures de pr vention adapt es chaque esp c la m decine en refuge On devrait tablir un lien devraient comprendre des protocoles pour renforcer la r sistance la maladie et minimiser l exposition aux agents pathog nes Fowler 1993 On doit donner une formation initiale et offrir une formation continue aux personnes qui mettent en uvre les formel avec un m decin v t rinaire afin que les personnes responsables de la sant des animaux au quotidien b n ficient de la supervision et des conseils n cessaires La meilleure facon de s assurer que les pratiques de soins de sant respectent les protocoles le programme de gestion devrait comprendre un m canisme pour s assurer du respect normes professionnelles accept es c est d implanter des protocoles des modes op ratoires normalis s MON crits Sant m dicale et bien tre physique les m dicaments et les traitements doivent tr administr s uniquement sur avis d un m decin v t rinaire ou conform ment aux protocoles cr
96. donner de l eau On doit nettoyer les enclos des animaux et remplacer eur liti re aussi souvent qu il le faut pour viter que leur lit tq p q doit avoir recu une formation suffisante en mati re d sant de bien tr t de s curit des animaux pour les animaux se salissent ex avec des vomissures de l urine ou des excr ments S il est n cessaire d Transport des animaux Le fait de placer des animaux non confin s ou attach s avec une laisse dans l espace de chargement d couvert d une camionnette pour les transporter constitue une pratique inacceptable et interdite dans plusieurs administrations publiques 49 50 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers faire sortir des animaux pour nettoyer les enclos on doit prendre les mesures appropri es pour assurer leur s curit et les emp cher de s chapper d Responsabilit s au point de destination Au point de destination on doit avoir suffisamment disponibles l arriv e pour tous les animaux qui en ont besoin l organisation doit avoir d j pr par des sites d h bergement ad quats pour les animaux nouvellement arriv s Pour d terminer s il faut isoler ou mettre en quarantaine des animaux nouvellement arriv s on devrait se baser sur les exigences pr vues par la loi l tat de sant des animaux leur de personnel form pr t recevoir et va
97. duction Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Historique et contexte Aux tats Unis les premiers refuges grande chelle destin s aux animaux errants non d sir s ou abandonn s par leurs propri taires ont t cr s vers la fin des ann es 1800 New York Boston et Philadelphie l origine la plupart des MO NE NH NJ NC PA RI VT WI et 6 qui exigeaient la formation d un conseil consultatif CO KS LA ME MO TX ASPCA 2006a 2006b MDAR 2009 Toutefois ces r glementations sont in gales et leur suivi est souvent d ficient au niveau refuges servaient accueillir un grand nombre de chiens pendant une br ve p riode de temps dans le cadre de programmes de contr le des animaux Pendant pr s d une centaine d ann es les refuges ont t concus et g r s pour accomplir ce genre de mission Depuis toutefois les refuges pour animaux ont consid rablement volu De nos jours on trouve des organismes qui s occupent de pratiquement toutes les local ou de l tat 1 Les d fis relever pour assurer le bien tre des animaux En raison de la nature fragment t h t rog ne du r seau des refuges et de l absence d une structur r glementaire coh rente il est difficile d assurer la prestation de soins ad quats pour les animaux des refuges Et cette difficult d autres d fis st accentu par un foul
98. duelle EPI n cessaire gants blouses lunettes masques etc pour prot ger les employ s contr l exposition aux agents chimiques et biologiques OSHA Personal protective equipment l PI doit tre n diff rentes tailles de facon convenir disponibl fous les membres du personnel y compris aux personnes avec des probl mes sp cifiques comm des allergies au latex Pour s lectionner les l EPI appropri s il faut tenir compte des particularit s des lieux de travail et des taches accomplir CDC pour faciliter la mise sur pied d un programme de sant et s curit voir la fiche d information de l OSHA intitul e Job Safety and Health Ces organismes Guidance for the Selection and Use of Personal Protective Equipment PPE in Healthcare Settings 2004 c est pourquoi il est recommand de r aliser laborent aussi des documents qui portent sur des dangers sp cifiques et certains pourraient tre utiles une analyse des risques dans le cadre de l laboration d un programme de sant et de s curit les employ s dans les refuges Par exemple produits chimiques OSHA Assistance for Cleaning Industry exposition aux gaz anesth siques r siduaires OSHA Safety and Health Topics gestion des d chets coupants aiguilles t les b n voles devraient porter des gants et les changer fr quemment quand ils font un travail de t de d sinfection part
99. e ex promenades jeux toilettage caresses etc Cet aspect est particuli rement important pour les animaux h berg s long terme Dans le cas des animaux h berg s court terme dont les ant c dents m dicaux sont inconnus on doit trouver un quilibre entre les avantages de l interaction sociale t les imp ratifs de contr le des maladies infectieuses Lorsqu un animal doit demeurer confin pour des raisons de sant ou de comportement on devrait quand m me lui offrir des interactions sociales positives sans le fair sortir de son enclos l est essentiel de socialiser de facon appropri e les chiots et les chatons g s de moins de 4 mois pour qu ils d veloppement un comportemental normal S ils ne sont pas manipul s quotidiennement et expos s une vari t de stimuli nouveaux et positifs les animaux peuvent d velopper une peur et une anxi t chroniques ou souffrir d une inaptitude s ajuster normalement leurs environnements Griffin 2006 lowe 2001 McCune 1995b McMillan 2002 C est pour ces raisons qu il faut accorder une priorit lev e la socialisation ad quate des jeunes chiots et chatons peut s av rer plus facile d atteindre cet objectif en d pla ant les animaux l ext rieur du fuge vers un foyer d accueil par ex Griffin 2006 McMillan 2002 Reisner 1994 Lorsque les chiots et es chatons sont h berg s au ref
100. e enclos simplement parce qu ils sont arriv s le m me jour ou parce que le nombre d enclos individuels est insuffisant Lorsque l h bergement en groupe n est pas appropri on doit pr voir d autres solutions pour l h bergement individuel 37 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Le fait de regrouper des animaux de fa on al atoire dans un refuge constitue une pratique inacceptable Il est inacceptable de regrouper des animaux qui se battent entre eux 38 m me enclos simplement parce qu ils sont arriv s le m me jour ou parce que le nombr l arriv e de nouveaux animaux engendre toujours une p riode de stress pour le groupe S il y a un roulement d enclos individuels est insuffisant Les animaux non apparent s ou qu on ne conna t pas bien ne doivent pas tre r unis dans un groupe ou au sant et d sein d un duo sans une valuation d constant d animaux qui arrivent et qui partent dans un groupe les animaux peuvent demeurer stress s ind finiment Pour ces raisons on devrait minimiser le roulement l int rieur des groupes comportement pr alable les animaux devraient tre assortis de facon appropri e en fonction de leur ge de leur sexe de leur tat de sant et de leur Comme ils sont vuln rables aux maladies infectieuses compatibilit comportementale Avant d incorporer d
101. e la population Les protocoles pour reconna tre et g rer les maladies rarement de la seule solution envisageable Avant de lancer un tel processus on doit tenir compte de plusieurs facteurs dont la morbidit la mortalit et la sant publique Toutes les autres possibilit s doivent courantes partir de signes cliniques devraient tr tre examin es en profondeur et la d population labor s et utilis s en consultation avec un m decin v t rinaire les devraient doit tre consid r comme une solution de dernier protocoles pr ciser recours position de l ASV sur la gestion des l volution pr vue de la maladie et la r pons 5pid mies 2008 Il est inacceptable de ne pas donner de traitement antidouleur un animal qui en a besoin Lors d une pid mie on doit tablir une s paration physique entre les animaux expos s les animaux risque et les animaux non expos s 29 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 30 Le fait de laisser un animal atteint d une maladie infectieuse grave avec l ensemble de la population constitue une pratique inacceptable 11 Traitements m dicaux des animaux en refuge Pour prendre les d cisions en mati re de traitements on devrait se baser sur plusieurs crit res dont les qui peuvent se d velopper apr s l adoption Les refuges devra
102. e les utiliser surtout avec des animaux qui semblent malades et lors d pid mies On a pu par exemple isoler le champignon responsable de la vaisselle avant ou apr s le passage au lave vaisselle Si on lave la vaisselle manuellement il faut la laver et la rincer fond avant de la d sinfecter Id alement les contenants pour l eau et la nourriture devraient tre nettoy s dans un endroit s par des bacs liti re teigne sur les gants de cuir qui servent manipuler des autres objets souill s par des excr ments Au les animaux dans les refuges les accessoires mobiles poubelles sur roulettes chariots etc peuvent aussi devenir des vecteurs passifs et on doit les d sinfecter minimum on doit viter de nettoyer les bacs liti re t la vaisselle en m me temps dans le m me vier l vier doit tre d sinfect fond entre les usages en cons quence sans oublier les roues Les surfaces ratl es ou poreuses bacs liti re en plastique cages En se d pla ant les membres du personnel de transport pour l avion bols eau en plastique ou n c ramique non vernie etc sont difficiles voire impossibles d sinfecter compl tement on devrait les utiliser avec pr caution ou les jeter lorsque l on transporte des animaux dans un v hicule on doit d sinfecter fond les cages de transport et les pi ges de m me que
103. e maladie une grossesse ou un traitement m dical les recommandations en mati re de surveillance et de contr le des maladies infectieuses transmissibles entre les animaux voir la section Sant m dicale t bierr tre physique sont galement utiles pour pr venir la transmission des maladies aux humains On peut trouver des sources d information fiables sur diff rentes maladies zoonotiques sp cifiques CDC 2009 ISU Center for Food Security and Public Health Zoonoses Resources 2010 Seattle and King County Zoonotic Disease Program 2010 les refuges devraient donner p riodiquement des s ances d information et des formations pour apprendre au personnel et aux b n voles reconnaitre les signes potentiels de zoonoses et les facons de prot ger les autres contre l exposition la formation devrait galement pr ciser qui l on doit s adresser en pareil cas et comment r agir en On ne devrait pas permettre au public d avoir un acc s non supervis aux secteurs o les animaux sont en isolement pour cause de zoonose l acc s devrait tre limit pour le personnel aussi Les enclos dans lesquels on h berge des animaux soupconn s d avoir une maladie zoonotique devraient tre clairement identifi s en pr cisant la maladie et les pr cautions suivre Les refuges devraient mettre en place des protocoles m dicaux pr ventifs efficaces
104. e pr datrice De m me comme les chats les crit res pour r aliser une valuation syst matiqu peuvent tre profond ment stress s par la pr sence t les aboiements des chiens ils devraient en tr du comportement des chats sont moins bien tablis que dans le cas des chiens Siegford 2003 Toutefois on devrait valuer les chats en observant leur comportement et en interagissant avec chacun pour reconna tre les chats timides stress s craintifs peu socialis s ou sauvages par ex ce qui pourra contribuer am liorer les soins qu on leur prodiguera au refuge et leur trouver un foyer appropri Griffin 2009a 2009b 2006 Lowe 2001 3 Les soins au refuge a Environnement Enclos Un h bergement appropri qui r pond aux besoins comportementaux des animaux minimise le stress qu ils prouvent Griffin 2006 2002 Hawthorne 1995 Hubrecht 2002 Loveridge 1994 1995 1998 McCune 1995a Overall 2005 1997 Rochlitz 1998 1999 2002 2005 M me pour l h bergement court terme on doit r pondre aux besoins comportementaux minimums des animaux notamment en pr voyant des sections s par es pour les besoins l alimentation et le repos et un espace suffisamment vaste pour se tenir debout faire plusieurs pas et s asseoir ou s tendre en tirant le corps sa pleine longueur Voir les physiquement s par s de mani re ne pas les voir ni les
105. e pr sentent que des signes cliniques l gers d un maladie infectieuse ne devraient pas tre h berg s avec le reste de la population parce que cela risque et les animaux non expos s Dans certains Cas il peut s av rer n cessaire d interrompr les admissions ou les adoptions pour viter la propagation de la maladie Dans d autres cas un local d isolement ad quat peut suffire pour contr ler la propagation Id alement on devrait interrompr engendrerait un risque important de transmission d la maladie grande chelle b Diagnostic En cas de situation grave ou inhabituelle ou lors d un 5pid mie de maladie infectieuse on devrait les d placements d animaux jusqu ce qu une strat gie de contr le cibl e ait t implant e On devrait galement limiter la manipulation des animaux et les d placements du personnel Lors d un devrait r viser les protocoles vaccination mesures intervention 5pid mie on n r ponse un obtenir un diagnostic ou d terminer les agents Initialement sanitaires d placements etc pour s assurer que les pathog nes sp cifiques impliqu s on peut se servir d un diagnostic clinique ou mesures sont efficaces contre les agents pathog nes vis s dans l ensembl du refuge On devrait pr liminaire selon l avis du m decin v t rinaire pour tablir la base du traitement et de l intervention
106. e retrouver t de maintenir sa sant physique Ces protocoles physique et psychologique Hurnik 1988 Dans tout refuge il est absolument n cessaire d avoir un bon syst me de gestion m dicale et de soins de sant et sont essentiels parce qu en r duisant la fr quence et la gravit des maladies individuelles on favorise la sant de l ensemble de la population Dans le cadre on doit se soucier du bien tre g n ral des animaux On consid re g n ralement que les refuges ont la des d cisions et de l application des pratiques on doit trouver un quilibre entre le bien tre individuel responsabilit de veiller la sant et au bien tr des animaux qu on leur confie Malheureusement il a t d montr que ce n est pas toujours le cas n l absence de pr cautions ad quates les refuges des animaux et celui de l ensemble de la population En mettant en uvre des programmes m dicaux complets qui d butent d s l admission des animaux peuvent subir de graves pid mies qui entrainent la mort de nombreux animaux et ou l obligation de les euthanasier Les animaux qui arrivent dans les refuges ont souvent d j des probl mes de sant mais m me les animaux en bonne sant qui arrivent dans un refuge neuf et concu par des experts peuvent t se poursuivent pendant tout leur s jour on cr e une fondation solide pour obtenir une popu
107. ennessy MB Davis HN Williams NT ef al Plasma cortisol levels of dogs at a county animal shelter Physiol Behav 1997 62 485 90 Hennessy MB Voith VL Hawke JL et al Effects of a program of human interaction and alterations in diet composition on activity of the hypothalamic pituitary adrenal axis in dogs housed in a public animal shelter J Am Vet Med Assoc 2002 221 65 71 Hennessy MB Williams M Miller DD et al Influence of male and female petters on plasma cortisol and behaviour can human interaction reduce the stress of dogs in a public animal shelter Appl Anim Behav Sci 1998 61 63 77 Hetts S Evaluating Behavioral Health HSUS Animal Care Training 2000 Hetts S Clark JD Calpin JP et al Influence of housing conditions on beagle behaviour Appl Anim Behav Sci 1992 34 137 55 Hiby EF Rooney NJ Bradshaw JW Behavioural and physiological responses of dogs entering re homing kennels Physiol Behav 2006 89 385 91 Hickman MA Reubel GH Hoffman DE et al An epizootic of feline herpesvirus type 1 in a large specific pathogenfree cat colony and attempts to eradicate the infection by identification and culling of carriers Lab Anim 1994 28 320 9 Hoff JC Rice EW Schaefer FW Comparison of animal infectivity and excystation as maesures of Giardia muris cyst inactivation by chlorine Appl Environ Microbiol 1985 50 1115 7 Holt DE Mover MR et al Serologic prevalence of antibodies against c
108. entaires sur l h bergement Id alement les refuges devraient maintenir leur population en de de leur capacit d h bergement maximale On garde ainsi une marge de man uvre pour les admissions quotidiennes et on dispose d une meilleure flexibilit pour assigner un nclos bien adapt chaque animal On ne doit pas d passer la capacit d h bergement maximale De plus m me si certains enclos sont encore disponibles l une des fondations pour assurer la sant et le bien tre des animaux dans les refuges Hurley 20044 Elle doit tre bas que la capacit de prendre soin des animaux de sur la reconnaissance du fait acon humanitaire est limit e un certain nombre facon h f t limit i b d individus pour toutes les organisations de m me que pour les maisons priv es lorsque la population d passe la capacit d accueil d une organisation il devient difficil normes de qualit des autres soins voire impossible de maintenir les 1 Capacit d accueil Chaqu prestation de soins maximale qu il ne doit pas refuge a une capacit d accueil et d d passer Parmi les facteurs qui d terminent la capacit d accueil mentionnons les suivants le nombre d unit s d h bergement appropri es la disponibilit du personnel la formation du il peut s av rer n cessaire de les laisser inoccup s si d autres contraintes viennent r duire la capacit
109. eptable On doit trouver des solutions de rechange traditionnelles l h bergement en cages pour tout animal qui demeure au refuge long terme nrichi ex grandes cages l environnement h bergement en foyer d accueil h bergement en salle On doit permettre aux chats de faire de V r Xercic t des activit s d exploration dans un nvironnement enrichi s curitaire On doit permettre aux chiens de fair l exercic faire st riliser les animaux h berg s long terme le d clin rapide du marquage urinaire ou autre des combats ainsi que la disparition des comportements li s aux chaleurs et aux gestations feront consid rablement diminuer le stress des animaux Hart 1973 1997 Johnston 1991 La st rilisation facilit galement l h bergement en groupe et la participation aux jeux de group permettent de faire de supervises qui t de b n ficier xercic d un enrichissement social Autres formes d enrichissement On devrait galement fournir des sources jour d nclos Griffin chaqu l ext rieur de leur a robique d enrichissement aux animaux pendant qu ils sont dans leur enclos en leur offrant des possibilit s de 2009a Loveridge 1998 Pour chiens bouger on peut faire des jeux interactifs ncourager les comme Va chercher ou les emmener jouer sous jeu lex jouets interactions avec les humains
110. ersities Federation for Animal Welfare UFAW 1995a pp 27 42 Disponible au http www nal usda gov awic pubs enrich labcat htm McCune S The impact of paternity and early socialisation on the development of cats behaviour to people and novel objects App Anim Behav Sci 1995b 45 109 24 Mckinnon J Pittsburgh PostGazette Judge orders owner of Tiger Ranch to jail October 6 2009 Disponible au http www postgazetie com pg 09279 1003352 54 sim McMillan FD Development of a mental wellness program for animals J Am Vet Med Assoc 2002 220 965 72 McMillan FD Quality of life in animals J Am Vet Med Assoc 2000 216 1904 10 Mench JA Farm animal welfare in the USA Farming practices research education regulation and assurance programs Appl Anim Behav Sci 2008 1 13 298 312 Mertens PA Unshelm J Effects of group and individual housing on the behavior of kenneled dogs in animal shelters Anthrozoos 1996 9 40 51 Miller EA Minimum standards for wildlife rehabilitation 3rd edn National Wildlife Rehabilitators Association and International Wildlife Rehabilitation Council 2000 Disponible au http theiwrc org wp content uploads 2010 08 MSWR pdf Miller L Hurley K Chapter 8 Dog and cat care in the animal shelter In Miller L Zawistowski S eds Shelter Medicine for Veterinarians and Staff Ames IA Blackwell Publishing 2004a Miller L Hurley K eds Infectious Disease Management in
111. es animaliers 64 Occupational Safety and Health Administration OSHA OSHA Assistance for Cleaning Industry Available at http www osha gov desp products topics cleaningindustry index htm Occupational Safety and Health Administration OSHA Personal protective equipment OSHA 3151 1 2R Disponible au http www osha gov Publications osha3 151 pdf Ottway DS Hawkins DM Cat housing in rescue shelters a welfare comparison between communal and discrete unit housing Anim Welf 2003 12 173 89 Overall KL Recognizing and managing problem behavior in breeding catteries In August JR ed Consultations in Feline Internal Medicine Current Therapy 3 Philadelphia PA WB Saunders 1997 Overall KL Dyer D Enrichment strategies for laboratory animals from the viewpoint of clinical veterinary behavioral medicine emphasis on cats and dogs ILAR J 2005 46 202 15 Patronek GJ Lacroix C Developing an ethic for veterinarians and other animal caregivers on abuse discipline and restraint Am Vet Med Assoc 2001 218 514 7 Patronek GJ Slavinsky S Animal bites an update J Am Vet Med Assoc 2009 234 336 45 Patronek GJ Sperry E Quality of life in long term confinement In August JR ed Consultations in Feline Internal Medicine Current Therapy 4 Philadelphia PA WB Saunders 2001 pp 621 34 PaulMurphy J Ludders J Robertson SA et al The need for a cross species approach to the study of pain in
112. es chiots et des chatons en sant on doit pr senter fr quemment des petites portions ou offrir une nourriture disponible toute la alimentation en libre choix en raison de adapt e aux besoins nutritionnels et l tat de sant journ leur taux m tabolique plus lev et pour contribuer de chaque animal la fr quence d alimentation t les quantit s varient selon les tapes du cycle de vie l esp ce la taille le niveau d activit l tat d lype d choisi La nourriture doit tre fra che app tissant sant et alimentair r gim et exempte de contamination Sa valeur nutritiv emp cher les fluctuations potentiellement mortelles du glucose sanguin hypoglyc mie On devrait servir des repas plus fr quents aux animaux affaiblis ou au poids insuffisant ainsi qu aux femelles en gestation ou en lactation afin de combler leurs besoins m taboliques us lev s lors a mise au point d un protocole plus l lors de point d un p doit tre suffisamment lev e pour r pondr aux besoins quotidiens normaux de l animal et lui permettre d atteindre son d veloppement maximum de maintenir un poids corporel normal et d leve des petits en bonne sant On devrait examin d alimentationpour une population d animaux on devrait consuller un m decin v t rinaire ll en va de m me pour le traitement d animaux affam s ou pour des ind
113. et sciemment et d lib r ment qu il soit victime de torture ou de cruaut de quelque sorte que ce soit commet un crime de cruaut contre les animaux pas servir d excuses aux municipalit s ou aux organisations priv es pour permettre ou perp tuer la cruaut envers les animaux 3 Les Cinq libert s et les animaux de compagnie l American Veterinary Medical Association AVMA a mis de br ves directives pour les animaux de compagnie dont certaines recommandations pour les soci t s d assistance aux animaux AVMA 2008 Dans le cadre de ses nonc s de princip sur le bien tre animal l AVMA affirme galement que les animaux devraient tre trait s avec respect et dignit tout au long de leur vie AVMA 2006 Il faut cependant un ensemble de normes plus vastes t ind pendantes labor es par la communaut Il peut s av rer difficile d utiliser ce texte sur la cruaut r dig dans un langage d suet pour r pondre aux des m decins v t rinaires de refuge pour d finir les pratiques exemplaires et les pratiques inacceptables inqui tudes modernes concernant les souffrances physiques et psychologiques qui d coulent du confinement et concernant les souffrances associ es la maladie ou la mort De plus il peut y avoir une grande marge entre un niveau de soins appropri et des carences suffisamment marqu es t pour tablir des no
114. eur pr senter de la nourriture au moins deux remplissage et emp cher la contamination par p g p p On doit fournir une nourriture adapt e aux besoins nutritionnels et l tat de sant de chaque animal Les animaux qui montent la garde devant la nourriture ou emp chent leurs cong n res d y avoir acc s doivent tre h berg s ou nourris s par ment 27 28 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers la liti re les excr ments et l urine Si les animaux sont abreuv s par l interm diaire d un syst me de distribution d eau automatis ou de bouteilles on devrait v rifier quotidiennement son bon fonctionnement et sa propret Le syst me doit tr d sinfect avant d tre r utilis par un autre animal 9 Le bien tre de la population du refuge l tat de sant individuel des animaux et celui de l ensemble de la population du refuge sont interd pendants Dans la plupart des refuges la sant de l un est n cessaire la sant de l autre le personnel m dical du refuge doit donc valuer r guli rement le statut individuel des animaux et celui de la population dans son ensemble pour tre en mesure de d tecter les probl mes plus t t possible puis d intervenir rapidement Id alement les refuges devraient galement adopter d autres mesures pour mieux g rer l ensemble de la population et le bien
115. existe plusieurs chelles douleur chez les animaux mais la plupart n ont pas t syst mes de notation pour valuer la de r duire les risques de transmission de parasites aux humains et aux animaux On devrait instaurer un syst me de contr le des parasites efficaces sous la supervision d un m decin v t rinaire On devrait traiter t valid s et il n y a pas de syst me particuli rement les animaux contre les parasites internes et externes On doit mettre en place un plan d urgence m dicale pour r agir avec diligence et de fa on appropri e d s qu un animal est bless en d tresse ou qu il montre des signes de maladie grave 25 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Une personne form e cette fin doit faire au moins une ronde par jour pour observer les animaux et sassurer de la sant et du bien tre de chacun 26 courants dans la r gion ainsi que pour toute autr infection parasitaire nuisible flagrante chez l animal la fr quence des programmes de traitement et d tabli pr vention devrait amp tr partir du cycl qui semble souffrir ou tre en d tresse dont la sant se d t riore rapidement qui prouve un probl me qui pourrait mettre sa vie en danger ou qu on soup onne d tre affect par une maladie zoonotique on doit biologique des parasites et d examens visant
116. ext de ce document le terme h bergement en group r f re la fois aux groupes de jeu et aux groupes constitu s par l h bergement de deux animaux ou plus dans le m me enclos primaire Pour r aliser des h bergements en groupe il faut des installations appropri es et les animaux doivent tre soigneusement s lectionn s suivis par un personnel form cette fin Cette forme de contact social n est pas appropri e pour tous les individus 1 Dangers et b n fices de l h bergement en groupe l h bergement en groupe comporte des dangers et des b n fices S il est inappropri l h bergement en groupe entra ne des dangers physiques exposition aux maladies infectieuses blessures ou mort en cas de combat Il peut aussi engendrer du stress de la peur et de l anxi t chez certains membres du groupe l h bergement en groupe rend le suivi individuel des animaux plus difficile ce qui peut emp cher de d tecter certains probl mes ou de r aliser que certains animaux n ont pas un acc s ad quat des services de base comm l eau et la nourriture La s curit du personnel peut galement tre compromise lorsque les animaux sont en groupe parce qu il est g n ralement plus difficile de g rer plusieurs animaux qu un seul dans un enclos Toutefois si les regroupements sont planifi s de facon ad quate pour l h bergement ou
117. f 1st edn Ames IA Blackwell Publishing 2004 pp 67 78 Global Federation of Animal Sanctuaries GFAS Helping sanctuaries help animals 2009 Disponible au htto sanctuaryfederation org Gourkow N The emotional life of cats Cat sense manual 2001 British Columbia Society for the Prevention of Cruelty to Animals Vancouver Canada Graham L Wells DL Hepper PG The influence of olfactory stimulation on the behaviour of dogs housed in a rescue shelter Appl Anim Behav Sci 2005a 91 143 53 Graham L Wells DL Hepper PG The influence of visual stimulation on the behaviour of dogs housed in a rescue shelter Anim Welf 2005b 14 143 8 Grandin T Johnson C Animals in Translation New York NY Scribner 2004 Griffin B Wellness In Miller L Hurley KF eds Infectious Disease Management in Animal Shelters Ames IA Blackwell 2009a pp 17 38 Griffin B Scaredy cat or feral cat Accurate evaluations help shelter staff provide optimum care Animal Sheltering 2009b Nov Dec 57 61 Griffin B Prolific cats The impact of their fertility on the welfare of the species Compend Contin Educ Vet 2001 23 1058 69 Griffin B Baker HJ Domestic cats as laboratory animals In Fox JG ed Laboratory Animal Medicine San Diego CA Harcourt Academic 2002 Griffin B DiGangi BA Bohling MW A review of neutering cats In August JR ed Consultations in Feline Internal Medicine Volume 6 St Louis MO Elsevier
118. ff rentes sources sont transport s dans un m me v hicule En plus de leurs r percussions sur les animaux transport s les programmes de transport peuvent aussi avoir des r percussions positives et n gatives SUr d autres animaux la source et dans les refuges qui les re oivent C est pourquoi on doit valuer valide contre la rage La majorit des tats exigen galement que les chats soient vaccin s contre la rage la plupart des tats exigent un certifica d inspection v t rinaire valide un certificat de sant On recommande aux transporteurs de se familiarise avec les exigences d importation en vigueur dans toutes les destinations aux Etats Unis elles rel ven soigneusement les dangers et les b n fices pour tous les animaux touch s par un programme de transport En prenant des soins et des pr cautions raisonnables on peut minimiser les risques et les programmes de transport bien organis s peuvent s av rer tr s fructueux Ces normes ne sont pas concues pour s applique habituellement du minist re de l Agriculture et ou de la Sant de l tat les exigences des compagnies a riennes ne sont pas des obligations juridiques mais plusieurs compagnies ont des exigences sp cifiques pour les animaux b Responsabilit s au point d origine aux situations catastrophiques o l on doit r aliser des vacuations inattendues grande chelle
119. fonction des torts ou du stress accru qu elle pourrai ngendrer M m ils r agissent n gativement aux contraintes excessives un quipement appropri peu s av rer cruel cu dangereux s il n est pas en bon tat d Griffin 2006 Les recherches indiquent qu un contact humain doux offre l avantage suppl mentaire d att nuer les effets n gatifs des stimuli d sagr ables McMillan 2002 La r sistance aux manipulations et aux contraintes est presque toujours un r sultat l anxi t et l usage de la forc de la peur ou d marche Les techniques ou l quipement qui conviennen ituati av rer inappropri s ur une siluation donn e peuvent s D dans une autre situation Par exemple m me si les perches de capture aussi appel es b tons ou lassos de capture peuvent tre efficaces pour la manipulation des gros chiens on devrait y avoir recours uniquement les amplifie Un usage excessif de la force lors des manipulations est plus susceptible d entra ner un lorsque l on ne peut pas utiliser d autres m thodes plus douces l utilisation routini re de perches de captur augmentation de la peur et des comportements agressifs et de causer des blessures aux animaux et aux personnes AVSAB 2007 Blackwell 2008 Hutchison 1977 Pour limiter le recours une force plus importante que n cessaire lors de la manipulation des animaux la formation est un
120. fuges m rite une mise en les d cisions doivent tenir compte la fois d l int r t fondamental des animaux traiter et d garde sp cifique les bact ries sont en mesure d celui de l ensemble de la population Quand il faut d velopper une r sistance certains m dicaments Dans certains cas elles peuvent transmettre cett r sistanc administrer un traitement le refuge est responsabl de la s curit des animaux des personnes qui travaillent avec les animaux et de l environnement imm diat Pour utiliser les m dicaments de fa on ficace et s curitaire il faut tablir un diagnostic raisonnablement s r administrer les m dicaments de mani re ad quate et suivre l volution de la maladie de fa on pouvoir d terminer si le traitement fonctionne ou non Les personnes qui d autres bact ries dont celles qui causent des infections chez les animaux et chez les humains Pour emp cher le d veloppement de la st vital d r sistance aux antimicrobiens il limiter leur utilisation aux situations o ces m dicaments sont clairement indiqu s AAHA AAFP 2006 AVMA 2008b le choix de l antibiotique et son dosage devraient tre sp cifiques l infection t l animal vis et si possible bas s sur des administrent le traitement doivent avoir la formation les comp tences et les ressources n cessaires pour s assurer qu il est
121. g of zoo animals J Am Vet Med Assoc 2003 223 973 7 Wojciechowska JI Hewson CJ Quality of life assessment in pet dogs J Am Vet Med Assoc 2005 226 722 8 Glossaire Admission acceptation des animaux dans un refuge Agent pathog ne agent biologique qui peut causer une maladie chez l animal Analg sique m dicament contre la douleur Animal Welfare Act entr n vigueur en 1966 cette loi sur le bien tre des animaux est la seule loi f d rale des tats Unis qui r glemente le raitement des animaux utilis s pour la recherche es expositions le transport et par les n gociants Elle ne vise pas les refuges Antimicrobien substance qui tue ou ralentit a croissance d agents pathog nes comme les bact ries les champignons et les protozoaires et qui d truit les virus Bioactif qui a un effet sur les tissus vivants Castration ablation des testicules chez le mal Comportements st r otyp s comportements r p titifs dans les enclos primaires faire les cent pas tournoiements sauts r p tition habituellement r v lateurs de stress Confiner un animal en l attachant attacher un animal un point fixe l aide d une corde d une cha ne ou d un autre dispositif pour restreindre ses d placements D population r duction importante du nombre d animaux dans un refuge par euthanasie D sinfection proc d qui permet de t
122. ges animaliers Association of Shelter Veterinarians 2010 Wes Jones D M V M decin v t rinaire de refuge Napa Humane Napa Californie Lila Miller D M V r daction Vice pr sidente conseill re v t rinaire ASPCA New York Professeure agr g e adjointe Coll ge de m decine v t rinaire de l Universit Cornell Ithaca New York cole de m decine v t rinaire de l Universit de Pennsylvanie Philadelphie Pennsylvanie Jeanette O Quin D M V M decin v t rinaire en sant publique minist re de la Sant de l Ohio programme de sant et maladies zoonotiques Columbus Ohio Gary J Patronek D M V Ph D r daction Vice pr sident Bien tre animal et laboration de nouveaux programmes Animal Rescue League of Boston Boston Massachusetts Professeur adjoint d enseignement clinique cole de M decine v t rinaire Cummings de Tufts North Grafton Massachusetts Martha Smith Blackmore D M V r daction Directrice des services m dicaux v t rinaires Animal Rescue League of Boston Boston Massachusetts Fellow Tufts Center for Animals and Public Policy Professeur adjoint d enseignement clinique cole de M decine v t rinaire Cummings de Tufts North Grafton Massachusetts Miranda Spindel D M V M Sc Directrice Communications externes en mati re de soins v t rinaires ASPCA Fort Collins Colorado Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers
123. i implique un travail de planification une valuation quotidienne de la situation et des ajustements en nouvel employ ou r par ou remplac les enclos d fectueux Le fait d h berger un nombre d animaux sup rieur la capacit d accueil constitue une fonction des situations changeantes En premier lieu il faut laborer un plan qui permet de g rer le s jour de chaque animal au refuge en tenant compte de la capacit de l organisation prodiguer les soins qui r pondent aux recommandations pr sent es dans le pr sent document La capacit de prendre pratique inacceptable La capacit d h bergement maximale doit tre bas e sur le nombre d animaux que l on peut h berger de facon ad quate dans les enclos primaires disponibles Voir les sections Conception et soin des animaux de facon humanitaire d pend d am nagement des installations et l h bergement plusieurs facteurs nombre d animaux admis et leur condition dur e du s jour taill des de formation du personnel t am nagement installations personnel disponible niveau nombre d enclos disponibles etc Il existe plusieurs fa ons de maintenir les populations un niveau correspondant la capacit d accueil de l organisation qu il s agisse d un refuge ou d un foyer d accueil dans une maison La gestion active des populations est n groupe pour des informations suppl m
124. ication de ce document approfondi National Federation of Humane Societies NFHS Society of Animal Welfare Administrators SAWA National Animal Control Association NACA American Society for the Prevention of Cruelty to Animals ASPCA Humane Society of the United States HSUS Le but de cet avant propos est de mettre les Recommandations en perspective l intention des diff rentes soci t s d assistance aux animaux ll est important de souligner que chacune des organisations mentionn es ci dessus a particip la r daction de cet avant propos et qu elles sont d accord avec l esprit et l intention des Recommandations l objectif est d lever les normes de soins aux animaux dans notre industrie et de cr er une feuille de route qui aidera les organisations s auto valuer et s am liorer de facon continue Nous visons la coh rence et l excellence pour les programmes et les services fournis aux animaux Nous croyons que les Recommandations aideront les organisations atteindre ces objectifs essentiels parce qu elles mettent l accent sur la satisfaction des besoins individuels des animaux sans perdre de vue les besoins de l ensemble de la population elles facilitent l tablissement de la liste des changements implanter en priorit et elles sont applicables peu importe le type d organisation ou sa taille lors de la publication des Recommandations l ASV avait pr par une s rie de questions et r ponses r sum es ci
125. iculi rement lorsqu ils netloyag retirent les d chets des animaux le personnel devrait scalpels etc CDC Workbook for Sharps Safety pr vention des allergies au latex NIOSH Publication No 98 113 NIOSH Publication No 97 135 pr vention de l asthme NIOSH Publication No 97 porter un dispositif de protection oculaire lors de l utilisation d agents de nettoyage ou de d sinfection NIOSH Report No 2007 0068 304 2 116 exposition au bruit OSHA Occupational nois exposure NIOSH Publication No 96 1 10 l exposition des ambiances sonores de niveau le lavage fr quent des mains devrait tre fortement recommand en particulier apr s avoir manipul des animaux et apr s ovoir retir son EPI On devrait aussi se laver les mains avant de manger de fumer ou de s xcessif ex aboiements claquement des portes de cage compresseurs et autres quipements peut ntrainer des pertes auditives permanentes il s agit l d un danger souvent sous estim Dans certains oucher les yeux ou des membranes muqueuses ex ors de l application de lentilles de contact Id alement il devrait y avoir des postes de lavage des mains ou des viers facilement accessibles pour tous les visiteurs refuges le niveau sonore d passe r guli rement seuil des 100 dB Sales 1997 ce qui constitue un t de bien tr les animaux autant que pour les employ
126. ient informer les personnes ou les organismes qui prennent ou adoptent les animaux de la pr sence de tout probl me ou maladie connus suivants possibilit de soulager l animal de facon s curitaire et humanitaire pronostic de r cup ration probabilit de placer l animal apr s le traitement nombre d animaux traiter On devrait galement la dur du traitement d au moment de l adoption et remettre une copie du dossier de traitements le cas ch ant la supervision d un professionnel est requise pour tous les m dicaments d ordonnance et contr l s tenir compte d pr vu son co t et des ressources disponibles le statut l gal de l animal ne doit jamais constituer un ainsi que pour l utilisation de m dicaments en d rogation des directives de l tiquette FDA 2009a 2009b On devrait fournir au personnel emp chement pour administrer les traitements requis des protocoles labor s en consultation avec un un animal qui souffre y compris l euthanasie si on ne peut pas soulager sa souffrance Les refuges m decin v t rinaire pour l usage des m dicaments destin s au traitement des maladies courantes Tous doivent avoir des protocoles sp cifiques pour prodiguer des soins imm diats m me si le statut l gal pose probl me les traitements devraient tre document s la question de l utilisation des antimicrobiens pour les animaux des re
127. ifiquement pr vu pour diriger de la lumi re vers les cages du bas CFA 2009 les cages devraient tre suffisamment espac es es unes des autres pour permettre la lumi re ambiante de se refl ter sur le plancher et le plafond les p riodes d obscurit sont tout aussi importantes les contaminants gazeux comme l ammoniac monoxyde de carbone et l hydrog ne sulfur FASS Guide 1999 les seuils maximums d exposition l ammoniac publi s dans diff rents guides que les p riodes de lumi re l alternance de lumi r et d obscurit devrait refl ter les rythmes naturels d veil et de sommeil les rythmes circadiens Il est 5galement n cessaire d avoir un bon clairage pour bien observer les animaux AAEP 2004 concernent les risques pour la sant humaine ou les effets n fastes sur la production animale le fait de respecter ces seuils ne doit pas tre consid r comme un indicateur que les mesures sanitaires sont ad quates Dans certains r glements sur la 5 Contr le de l environnement sonore Pour maintenir la sant et le bien tre des animaux production animale on pr cise que le niveau d ammoniac ne devrait pas d passer 10 parties par million ppm dans un refuge toutefois le niveau acceptable devrait plut t se situer moins de 2 ppm G Patronek 2010 donn es non publi es En foit dans les refuges bien g r s le nive
128. ille si possible Sinon sant peuvent diffuser des agents pathog nes Des protocoles sanitaires doivent donc s adresser au personnel du refuge aux b n voles et aux visiteurs par exemple lorsqu on ne peut pas nettoyer avec un tuyau d arrosage on doit utiliser un d sinfectant avec un bon niveau d efficacit contre les mati res organiques et l eau de lavage contamin e ne doit d un peut pas assainir de facon acceptable en utilisant utilis section l autre On ne pas tr uniquement de l eau ni en utilisant uniquement un ils doivent notamment comprendre une signalisation t des appropri e un processus d supervision distributeurs de d sinfectant pour les mains l adoption de mesures sanitaires ad quates pour les mains constitue l un des meilleures fa ons d sinfectant sans propri t s d tergentes de l eau d d emp cher la transmission des maladies et javel par ex Il faut tre prudent quand on m lang des produits nettoyants parce que la mixture pourrait s av rer inefficace ou m me toxique les m thodes de d sinfection non conventionnelles comme la lumi re ultraviolette ou l exposition au gel pendant la saison froide ne constituent pas des mesures lles devraient tre obligatoires avant et apr s la manipulation d animaux et de possibles vecteurs passifs Ces mesures comprennent le lavage des mains l utilis
129. imaux il ne devrait pas tre consid r comme facultatif Le confinement long terme de tout animal y compris les animaux non domestiqu s ou agressifs auquel on ne peut pas offrir des soins de base des activit s d enrichissement quotidiennes et de l exercice sans induire de stress constitue une pratique inacceptable 34 jeu et c est pourquoi il devrait tre prioritaire de mettr l horaire des v nements positifs chaque jcur Griffin Tuber 1996 Id alement les personnes qui donnent les soins devraient tre affect es aux m mes animaux 2002 2006 20094 les lumi res devraient tr teintes la nuit et allum es pendant la journ e Griffin 2002 pour s accorder aux rythmes circadiens naturels sur une base r guli re ainsi les soigneurs apprennent les comportements sp cifiques de chaque animal et les animaux s habituent leur soigneur Griffin 2002 de l animal Des s quences d illumination irr guli res de m me qu un clairage cu une obscurit permanents sont naturellement stressants c Enrichissement et socialisation l enrichissementestun processus qui permet d am liorer environnement et les soins comportementaux offerts aux animaux confin s Son objectif est de r duire bierr tr stimulations physiques et mentales en encourageant stress et d am liorer n offrant des es comportements sp
130. ironnement sain Sur la p riode de 15 minutes par jour recommand e pour les soins de base de chaque animal la NACA et la HSUS estiment qu on devrait consacrer un minimum de 9 minutes au nettoyage de routine Avec les animaux les plus vuln rables et terminer avec ceux qui sont les plus susceptibles de s av rer des sources de maladies infectieuses Chaque section devrait tre quip e de ses propres produits et accessoires de nettoyage le personnel devrait une population de 40 chiens par exemple il faudrait donc compter 360 minutes par jour 40 x 9 360 Au cours de cette p riode de 360 minutes 6 heures il est facile de laisser le d sinfectant en contact avec les surfaces pendant 10 minutes dans chaque enclos porter des v tements protecteurs appropri s gants blouse de protection bottes et les retirer avant d aller s occuper des autres animaux Voir la section Sant publique pour des recommandations sur l quipement protecteur pour le personnel le fait pendant qu on accomplit d autres taches nettoyag des autres enclos lessive etc ll est essentiel de choisir des produits de nettoyage et de d sinfection appropri s On doit utiliser des de ne pas suivre la bonne s quence de nettoyag peut exposer les populations les plus vuln rables la maladie Gilman 2004 Smith 2005 En r gle g n rale la s quence de nettoyage et
131. it donner son avis d expert sur toutes les politiques et tous les d montrer qu elle a les aptitudes les connaissances et la formation n cessaires pour accomplir chaque t che protocoles reli s au maintien de la sant physiqu et comportementale des animaux ld alement ce v t rinaire devrait avoir une formation ou une On devrait offrir un programme de formation continue afin de maintenir et d am liorer les comp tences Les formations devraient tre consign es Gestion et tenue des registres Id alement les voies hi rarchiques devraient tre pr sent es par crit et mises jour lorsque les r les changent Il faut offrir une formation ad quate pour que les animaux soient soign s de fa on humanitaire et pour assurer la s curit du personnel et du public Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Lors de l admission on doit attribuer un identifiant nom et ou num ro et ouvrir un dossier pour chaque animal 4 Identification des animaux et tenue des registres lors de l admission on doit attribuer un identifiant ex nom et ou num ro et ouvrir un dossier pour chaque animal Chaque animal devrait porter une identification attach e son corps lex collier tiquette pendant toute la dur e d son s jour moins que cela ne pose un danger pour l animal t ou le personnel le dossier devrai
132. its provenant d un v t rinaire Tous les m dicaments tre administr s conform ment la t des tats doivent r glementation f d ral Il est essentiel d avoir des dossiers m dicaux pr cis On devrait demander aux personnes qui d posent un animal au refuge de fournir un dossier ou un historique m dical et comportemental si possible On doit documenter tous les soins m dicaux administr s lors de l admission devraient tre inscrites au dossier m dical On devrait faire le maximum possible pour identifier le propri taire de l animal lors de l admission notamment en examinant attentivement l animal pour v rifier s il est muni d une plaque d identit ou d une micropuce Lors de l valuation de sant r alis e l admission on devrait donc balayer le corps de l animal plusieurs reprises aide d un lecteur de micropuce scanner universel La recherch les chances d a d mont qu d tecter les micropuces augmentent lorsque l on p te le balayage plusieurs fois Lord 2008 Voir chaque animal du refuge Id alement les dossiers devraient comprendre pour chaque animal les s sous sections qui suivent pour des informations suppl mentaires sur la vaccination et les autres dat donn es d identification lis d arriv e provenance dat e d tests diagnostiques et de leurs r sultats traitements l ments suivants tous les
133. ividus avec des besoins sp cifiques en mati re de nutrition ou de soins de sant fr quemment la nourriture dans les enclos pour s assurer qu elle est exempte de d bris et qu elle n es pas avari e La nourriture qui n a pas t consomm e doit amp tre retir e apr s 24 heures Si un animal n a pas consomm la nourriture qu on lui a pr sent e on n On doit faire un suivi quotidien des rations alimentaires consomm es On devrait fr quemment peser les animaux et valuer leur tat corporel Les besoins m taboliques des animaux sont tr s variables doit pas l offrir ensuite un autre animal Id alement on devrait pr senter un r gime alimentair Lewis 1987 On devrait nourrir les animaux en fonction des besoins individuels de chacun tout en vitant les gains ou les pertes de poids excessifs En constant tous les animaux plut t qu une vari t d cas de perle d app tit ou de perte ou de gain d produits On r duit ainsi les d rangements gastro intestinaux le stress et le manque d app tit associ s oids extr mes on doit faire valuer l animal par un p p m decin v t rinair aux changements fr quents de r gime alimentaire t lui prodiguer les traitements n cessaires et il est plus facile de s assurer qu on foumit les les risques d td quantit s appropri es Pour r duir la nourriture et l eau doivent tre fournies
134. l Les l ments relatifs la sant et au comportement de l animal tels que connus au refuge d origine les suffisamment grands pour que les animaux puissent ndos primaires ou les cages doivent tr se tenir debout s asseoir en position dress e se doivent tre d crits avec pr cision et communiqu s le dossier m dical doit tre clairement r dig d crir tourner normalement en position debout et s tendre dans une posture naturelle On ne doit pas mettre dans le m me enclos primaire des animaux qui ne l tat de sant de l animal et permettre de l identifier certificat d sant certificat de vaccination contre t il doit accompagner chaque animal Les animaux devraient la rage et copie du registre du refuge se connaissent pas S il y a plus d un animal dans un enclos primaire il doit y avoir assez de place pour que tous les occupants puissent s tendre n m m confortablement lemps sans avoir amp tre identifi s par un collier une tiquette un tatouage une micropuce ou une combinaison de ces l ments se superposer les uns sur les autres les enclos doivent tre solides et permettre une ventilation de facon ce qu on puisse corroborer les donn es d identit d s leur arriv e Dans le but de minimiser ad quate Il ne devrait pas y avoir d ar tes vives le plancher doit amp tre concu de facon emp cher les ris
135. l mentaire de solution euthanasiante la pr sence de rigidit cadav riqu st une autre facon de v rifier la mort avec certitude Si on n utilise pas plusieurs m thodes de v rification de la mort on pourrait ne pas reconna tre un tat de type comateux et l animal pourrait en merger plusieurs heures apr s avoir t pr sum mort 2 Environnement et quipement On devrait d signer une pi ce s par e pour pratiquer les euthanasies dans une section calme du refuge et l cart des zones de grande circulation afin de minimiser les distractions et les interruptions la chambre d euthanasie doit tre bien clair e et suffisamment grande pour y installer l quipement et accueillir confortablement deux ou trois membres du personnel ainsi que l animal euthanasier Pour viter les distractions et s assurer que les op rations se d roulent de fa on fluide digne et s curitair D seules les personnes directement impliqu es devraient tre pr sentes dans la chambre pendant la proc dure d euthanasie ll est important que la chambre d euthanasie soit quip e de facon appropri e pour pratiquer les euthanasies de fa on s curitaire et bienveillante l quipement doit notamment comprendre les l ments suivants table facile d sinfecter bonn source d clairage lecteur de micropuce scanner universel pour v rifier la
136. la sant humain st toxique parc peut aussi causer des explosions AVMA 2007 mati re de bien tre animal surtout lorsqu on utilise des museli res On devrait consulter un m decin v t rinaire pour s lectionner les drogues pr alables l euthanasie a Monoxyde de carbone l utilisation du monoxyde de carbone comme m thode d euthanasie des chiens et des chats dans les refuges est inacceptable pour une multitude d NIOSH 2004 Il existe au moins un cas document st d c d en utilisant du monoxyde d Rhoades 2002 Gilbert 2000 HSUS 2009b NIOSH 2004 l exposition chronique de faibles niveaux de monoxyde de ou l employ d un refug carbon carbone peut causer des probl mes s rieux de sant humaine AVMA 2007 raisons humanitaires op rationnelles et de s curit position de l ASV sur l euthanasie 2010 NACA 2010 Comme nous l avons mentionn plus t t 1 pour tre acceptable l euthanasie doit tre rapid On ne peut pas justifier le recours au monoxyde de carbone en pr textant qu il permet d conomiser de gagner du temps ou de cr er une distanc motionnelle et physique entre le personnel et t indolore et ele ne doit pas engendrer d processus d euthanasie En r alit des tudes ont d montr que le monoxyde de carbone est plus d tresse Tout gaz inhal doit atteindre une certain uthanasi concentr
137. lackwell Publishing 2004 Appel M Gillespie JH Canine Distemper Virus New York Vienna Springer Verlag 1972 Association canadienne des m decins v t rinaires ACNW M thodes de dressage sans violence pour les chiens 2004 Disponible au http canadianveterinarians net ShowText aspx ResourcelD 1506 Association canadienne des m decins v t rinaires ACMY Di tes base d aliments crus pour les animaux de compagnie nonc de position conjoint de l Association canadienne des m decins v t rinaires et de l Agence de sant publique du Canada 2006 Disponible au http canadianveterinarians net Showlext aspx ResourcelD 554 Association canadienne des m decins v t rinaires ACMV Code de pratiques recommand es aux chenils du Canada 2007 Disponible au http canadianveterinarians net documents resources files 93_kennel 20code 20 entire 20july 202007 pdf Association canadienne des m decins v t rinaires ACMV Code de pratiques recommand es aux chatteries du Canada 2009 Disponible au https canadianveterinarians net Documents Resources Files 1316 CatteryCodeEnglishFINAL2520June8 O9 pdf Association of Pet Dog Trainers APDT Code of professional conduct and responsibility 2003 Disponible au http www apdt com about mission aspx Association of Shelter Veterinarians ASV Board position statement on euthanasia Disponible au http www sheltervet org displaycommon ctm
138. lation d animaux de plus en plus en sant AAHA 2006 CFA 2009 FASS 1999 Griffin 2009a Larson 2009 Miller 2004a Nouvelle Z lande 1998 les l ments suivants sont des indicateurs que voir leur bien tre compromis ou tomber malades si le programme de soins de sant est m diocr le refuge n est pas dot d un bon programme d soins de sant En l absence de soins m dicaux ad quats les animaux des refuges peuvent souffrir et mourir inutilement HSUS 2007 King County Animal Services Report le programme m dical des refuges doit comprendre la supervision par un m decin v t rinaire voir la d finition au glossaire et la participation du rsonnel qualifi pour r aliser l valuation les p q p d clin de la sant et du bien tre de l animal apr s son admission animaux malades ou bless s qui languissent sans traitement ad quat pid mies grande chelle animaux qui meurent des suites d une maladie ou d une blessure survenue au refuge transmissions fr quentes de maladies zoonotiques l int rieur du refuge FASS 1999 Voir la sous section 9 Le bien tre de la population du refuge pour des informations suppl mentaires sur les taux de mortalit pr visibles soins pr ventifs les diagnostics et les traitements position de l ASV sur la supervision par un m decin v t rinaire dans les refuges pour animaux La pr vention des mala
139. lation et le bierr tre individuel des animaux en pareil cas on doit bien prendr n consid ration tous les facteurs t les d cisions peuvent tre prises par un groupe de personnes qualifi es Toutefois dans les cas o le bien tre des animaux pourrait tre compromis on ne devrait pas infirmer la d cision d un m decin v t rinaire Pour s assurer que les activit s quotidiennes du refuge refl tent bien les politiques et les protocoles il est essentiel que tous les membres du personnel et les b n voles rel vent d une personne qui assume la supervision et l obligation de rendre compte 3 Formation Il faut offrir une formation ad quate pour que les animaux soient soign s de facon humanitaire et pour assurer la s curit du personnel et du public ILAR document on doit galement les mettre jour au besoin pour qu ils refl tent les connaissances actuelles 1996 Cela signifie qu il faut allouer du temps et des ressources pour que les employ s et les b n voles et la r glementation applicable Hurley 20084 Tous suivent une formation appropri e avant d assumer la les membres du personnel ainsi que les b n voles si n cessaire doivent avoir acc s aux protocoles les responsabilit de leurs t ches Avant de consid rer qu une personne a la comp tence requise elle devra plus r cents Un m decin v t rinaire devra
140. les techniques l aboiement Schipper 2008 Il y a aussi d autres modes de stimulation mentale et sensorielle ex olfactive visuelle auditive tactile ph romones qui constituent des facons suppl mentaires et importantes de fournir un environnement enrichi Graham 2005a 2005b Griffith 2000 De Monte 1997 Tod 2005 Wells 2004a 2004b Par exemple les chats gagnent avoir des griffoirs les chiens gagnent de modification du comportement le recours la force physique en guise de punition et l usage de la force sous le coup de la col re pour modifier un comportement sont des pratiques inacceptables elles peuvent s av rer n fastes pour l animal et dangereuses pour le personnel AVSAB 2007 Hutchinson 1977 Patronek 2001 On peut consulter des descriptions des techniques disciplinaires inacceptables Nouvell avoir des objets m chouiller et peut tre galement Z lande 1998 AHA 2001 ACMV 2004 tre expos s de la musique classique Wells 2002 volume contr l et certains ar mes comme la camomille ou la lavande Graham 200524 Les animaux pourraient aussi b n ficier de la pr senc Lorsqu on entreprend un processus de modification du comportement on doit y affecter suffisamment de ressources pour pouvoir bien s occuper de l anima de stimulations visuelles et de la possibilit d observer ex personnel ad quatement form
141. lessure pour l animal 39 40 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 4 Les chats non domestiqu s Diff rents documents d crivent la marche suivre appropri e pour manipuler les chats sauvages tout en minimisant le stress qu on leur impose Griffin 2009b Levy 2004 Slater 2001 Par exemple pour la capture et le transport on devrait avoir recours des cages contention des cages pour chats sauvages ou des pi ges sans douleur avec s parateurs atin d imposer les contraintes de facon aussi humanitaire que possible de m me que pour administrer les injections d tranquillisants avant les manipulations Euthanasie lorsqu on pratique des euthanasies dans un voies d administration les dosages et les modes d refuge chaque animal doit tre trait avec respect v rification de la mort varient en fonction de l ge AVMA 2007 On devrait consulter un m decin vet rinair avec une formation appropri e et une xpertise aupr s des esp ces concern es pour s assurer qu on utilise des proc dures ad quates Toutes les m thodes d euthanasie utilis es en refuge doivent provoquer une perte de conscienc rapide suivie de la mort et faire en sorte que la de la taille du poids de la condition et de l esp ce de l animal y compris pour les oiseaux et les reptiles Lorsqu on euthanasie des chiens et des chats dans un refuge
142. livraison des services requis pour faire avancer les animaux l int rieur du syst me les animaux demeurent plus longtemps au refuge la Id alement les 5galement comprendre l ge des animaux leur tat de sant et leur comportement l admission de m me qu recueillir des donn es la sortie Pratique exemplaire population moyenne par jour augmente il devient d plus en plus difficile de fournir les soins ad quats les conditions se d t riorent et on met en p ril le bien tr des animaux Newbury 2009a 2009b Lorsqu un refuge d passe sa capacit d accueil il n est plus en mesure d assurer le respect des Cinq libert s suppl mentaires comme l incidence des maladies l admission pr existantes et de celles d cel es en cours de s jour r sultant d une exposition pr alable ou contract es au refuge Mesures sanitaires Pour h berger des animaux de facon humanitaire il est essentiel d implanter de bonnes mesures sanitaires En adoptant des pratiques appropri es n mati re d t de d sinfection on netloyag contribue r duire la transmission de maladies infectieuses aux animaux et aux humains et on cr ngendrer l infection et la maladie En nettoyant les surfaces et en utilisant les d sinfectants de facon appropri e on r duit la quantit d agents pathog nes dans l environnement et donc la dose que recevrait n appliquant les
143. luer provenance et le risque de maladie infectieuse en les animaux d s leur arriv e l organisme d destination Chaque animal devrait subir un examen m dical avec r sultats document s au moment de son arriv e Des soins v t rinaires devraient tr tenant bien comple des p riodes d incubation des pathog nes pertinents et des effets n gatifs li s l augmentation de la dur e du s jour au refuge Sant publique ll est essentiel que les refuges prennent les pr cautions bruyants Voir la section Conception et n cessaires pour prot ger la sant et assurer la s curit des animaux des personnes et de l environnement l int rieur du refuge et dans la collectivit La mission de l organisation ne devrait jamais tre poursuivie aux d pens de la sant et de la s curit publiques les refuges doivent se conformer la r glementation f d rale et de l Etat sur la s curit au travail en particulier ce qui conceme les risques chimiques travail biologiques et physiques sur les lieux d Diff rents organismes ex Centers for Disease Control CDC National Institute of Occupational Safety and Health NIOSH Occupational Safety and Health Administration OSHA produisent des documents am nagement des installations pour des consignes sur le contr le de l environnement sonore l employeur doit fournir l quipement de protection indivi
144. mal Welfare Institute 2002 Disponible au http www awionline org www awionline org pubs cq02 Cq cats html Rochlitz Housing and welfare shelters and catteries In Rochlitz ed The Welfare of Cats Cambridge MA Springer 2005 pp 177 205 Rochlitz Podberscek AL Broom DM Welfare of cats in a quarantine cattery Vet Rec 1998 143 35 9 Rogelberg SG DiGiacomo N Reeve CL ef al What shelters can do about euthanasia related stress an examination of recommendations from those on the front line J Appl Anim Welf Sci 2007 10 331 47 Roza MR Viegas CAA The dog as a passive smoker effects of exposure to environmental smoke on domestic dogs Nic Tobacco Res 2007 9 1171 6 Rylander R Endotoxin and occupational airway disease Curr Opin Allergy Clin Immunol 2006 6 62 6 Rylander R Endotoxin in the air Good or bad for you Clin Pulm Med 2007 14 140 7 Sales GD Hubrecht R Peyvandi A ef al Noise in dog kenneling Is barking a welfare problem for dogs Appl Anim Behav Sci 1997 52 321 9 Schipper LL Vinke CM Schilder MBH et al The effect of feeding enrichment toys on the behaviour of kenneled dogs Canis familiaris Appl Anim Behav Sci 2008 114 182 95 SchorrEvans EM Poland A Johnson WE et al An epizootic of highly virulent feline calicivirus in a hospital setting in New England J Feline Med Surg 2003 5 217 26 Scientists Center for Animal Welfare SCAVW Gonder JC Smeby RR Wolfe T
145. mat riaux des portes et des syst mes de fermeture etc En combinant ces mesures avec l adoption t du niveau d veil tandis que la musique classique avait un effet calmant Wells 2002 6 Les boites de d p t de nouveaux comportements ou de programmes de renforcement on peut r duire radicalement les niveaux de bruit Griffin 2009a Johnson 2004 les refuges ne devraient pas avoir recours des bo tes de d p t non surveill es pour permettre au public de d poser des animaux en dehors des heures d ouverture Il faut galement demander au personnel d viter les bruits excessifs dans le cadre de leurs activit s Dans ces boites les animaux peuvent souffrir ou mourir avant que le habituelles ne pas faire claquer la porte des cages viter de faire trop de bruit en manipulant les bols de m tal etc Les quipements bruyants devraient personnel n arrive sur place pour en prendre soin les refuges ont souvent des heures d ouverture au public limit es mais il faut trouver d autres solutions avec amp tre aussi loin que possible des animaux Hubrecht 2002 les mat riaux insonorisants doivent tre assez durables pour r sister des netloyages r p t s entent service de police ou avec des cliniques v t rinaires d urgence par ex et en informer la population Gestion des populations La gestion des populations est un processus actif qu
146. n gative figure 1 besoins dans leur enclos pourvu que cette solution Bourgeois 2004 On a galement d montr qu les chats gard s dans des cages d une superfici de 1 m2 11 pi2 affichaient un niveau de stress significativement moins lev que ceux gard s dans D l espace de repos et l espac d alimentation une cage de seulement O 5 m2 5 3 pi2 Kessler 1999b La Cat Fanciers Association recommande un volume minimum de 0 85 m3 30 pi3 par chat Liti re Alimentation ne pose pas de risques pour la sant ou la s curit Il faut tre attentif aux habitudes individuelles des animaux le fait d tre confin m me dans un enclos compartiment emp che certains chiens d faire leurs besoins De m me beaucoup de chats 5viteront de faire leurs besoins s ils ont de l aversion pour le substrat de leur liti re ou son emplacement CCPA 1993 Neilson 2004 On doit fournir au chat un bac liti re assez grand pour qu il puisse y entrer confortablement en entier Pour les chats les dimensions verticales sont extr mement importantes aussi parce qu ils pr f rent passer plus de temps sur des surfaces ou des structures Slev es que directement sur le sol Certains chiens pr f rent galement se reposer sur des surfaces Conception et am nagement des installations lev es Autant que possible on devrait fournir des A
147. n utilisant plusieurs m thodes d v rification Cette directive s applique m me si l animal n a pas t euthanasi mais qu on le croit mort en le trouvant Une fois que l animal a du cerveau et la perte d peut tr rdu conscience on vrait v rifier l absenc perd devrait v rifier accompagn e de convulsions et de spasmes des signes suivants r flexe pupillaire et corn en r flexe nociceptif de l orteil respiration pulsations cardiaques le fait de ne pas sentir le pouls par palpation ne suffit pas pour confirmer que le coeur s est arr t l arr t cardiaque doit tre confirm le poids des animaux On devrait utiliser une aiguille neuve pour chaque animal apr s plusieurs utilisations l aiguille s mousse et cause de la douleur Rhoades 2002 l aide d un st thoscope ou visuellement Une des m thodes de v rification visuelle consiste ins rer l aiguille d une seringue dans le coeur pour la surface utilis e pour l euthanasie devrait tr nettoy e avant chaque proc dure la chambre constater l absence de mouvement cardiaque Cett m thode a l avantage de permettre une v rification d euthanasie et l quipement devraient tre nettoy s t d sinfect s apr s chaque p riode d utilisation visuelle de l arr t cardiaque tout en acc dant au syst me circulatoire ce qui permet au besoin d administrer une dose supp
148. nagement factors affecting shelter animal health Proceedings of the Western States Veterinary Conference 2009b Nouvelle Z lande Ministry of Agriculture Animal Welfare Advisory Committee Code of Recommendations and Minimum Standards for the Welfare of Animals in Boarding Establishments 1993 Disponible au http www biosecurity govt nz animalwelfare codes boarding index htm Nouvelle Z lande Ministry of Agriculture Animal Welfare Advisory Committee Code of recommendations and minimum standards for the welfare of dogs 1998 Disponible au http www biosecurity govt nz animal welfare codes dogs Nouvelle Z lande Ministry of Agriculture Animal Welfare Advisory Committee Companion cats code of welfare 2007 Disponible au http www biosecurity govt nz animal welfare codes companion cats Occupational Safety and Health Administration OSHA Job Safety and Health Fact Sheet OSHA 93 01 Disponible au http www osha gov pls oshaweb owadisp show_document p_table FACT_SHEETS amp p_ id 140 Occupational Safety and Health Administration OSHA Safety and health topics Waste anesthetic gasses Disponible au htp www osha gov SITC wasteanestheticgases Occupational Safety and Health Administration OSHA Occupational noise exposure 1910 95 Disponible au http www osha gov pls oshaweb owadisp show document p_table standards amp p_id 9735 63 Recommandations de normes de soins pour refug
149. naissance des comportements potentiellement dangereux On doit tablir des politiques claires pour la gestion des animaux qui pr sentent des leur probl mes de comportement et veiller application les cages des animaux agressifs ou potentiellement dangereux doivent tre clairement identifi es et accompagn es d une mise en garde Ces animaux devraient tre h berg s de facon c Sant publique Il est inacceptable que le mode d h bergement oblige le personnel d placer les chiens l aide d une perche de capture ou les chats l aide d un filet ou de pinces pour faire le nettoyage et prodiguer les soins quotidiens En pareils cas on doit utiliser un autre mode d h bergement que les membres du personnel puissent en prendr soin de facon s curitaire et sans avoir les faire sortir de leur enclos primaire en ayant recours par exemple des enclos deux sections avec porte p e p guillotine ou des bo tes pour chats sauvages Il st inacceptable que le mode d h bergement oblig le personnel d placer les chiens l aide d une perche de capture ou les chats l aide d un filet animal si celui ci a mordu quelqu un au cours des 10 demiers jours ou s il a t en contact avec des animaux sauvages r cemment Lors de l admission on devrait examiner tous les animaux la recherche de blessures caus es par des mo
150. ne Society of the United States HSUS The facts about chaining and tethering 2009a Disponible au http www humanesociety org issues chaining_ tethering facts chaining_tethering_facts html Humane Society of the United States HSUS North Carolina accident highlights concerns about carbon monoxide euthanasia 2009b Disponible au htp www animalsheltering org resource library magazine arlicles the scoop carbon monoxide nc html Humane Society of the United States HSUS 2010 General staffing recommendations for kennel caretaking Disponible au hitp www animalsheltering org resource_library policies_and_guidelines kennel_ caretaking_ staffing html Hurley KF Outbreak management In Miller L Hurley KF eds Infectious Disease Management in Animal Shelters Ames lowa Wiley Blackwell 2009 pp 39 48 Hurley KF Implementing a population health plan in an animal shelter In Miller L Zawistowski S eds Shelter Medicine for Veterinarians and Staff Ames IA Blackwell Publishing 2004a pp 211 34 Hurley KF Outbreak of drug resistant Salmonella at an animal shelter Animal Sheltering 2004b November December 10 12 Hurley KF Sick to death The false tension between providing care and saving lives Animal Sheltering 2008b May June 5 1 60 Hurley KF Baldwin CJ Developing infectious disease policies and procedures in an animal shelter In Petersen CA Dvorak G Spickler AR eds Maddie Infection
151. ne augmentation des maladies infectieuses parvovirus ou maladies des voies respiratoires sup rieures par ex et on se doit alors de r agir les animaux qui meurent apr s leur admission sauf les cas d euthanasie ne devraient jamais repr senter plus qu une tr s petite proportion des maladies a Isolement Tous les refuges devraient avoir la possibilit d isoler des animaux pour en prendre soin de facon humanitaire et sans mettre les autres animaux en danger CDA 2009 On peut isoler un animal l int rieur m me du refuge ou le transf rer vers un Sant m dicale et bien tre physique aux traitements On devrait consulter un m decin autre tablissement appropri Si l isolement n es pas possible ou si on estime qu elle ne serait pas suffisante pour contr ler la transmission de l agen pathog ne impliqu on doit valuer soigneusemen les cons quences de l exposition sur l ensemble de la population par opposition l euthanasie Le fai de laisser un animal atteint d une maladie infectieus v t rinaire lorsque la maladie ou la r ponse au traitement ne correspondent pas l volution pr vue c Intervention en cas d pid mie lors d une pid mie on doit tablir une s paration physique entre les animaux expos s les animaux grave avec l ensemble de la population constitue une pratique inacceptable M me les animaux qui n
152. nload pls 49C805 txt USDA APHIS Animal Welfare Regulations Code of Federal Regulations Title 9 Volume 1 Revised as of January 1 2008 Par l interm diaire du Government Printing Office GPO des tats Unis CITE 9CFR3 5 Sec 3 5 Mobile or traveling housing facilities Disponible au www aphis usda gov animal welfare downloads awr awr pdf USDA APHIS Section 3 90 Care in transit Disponible au www aphis usda gov animal_welfare downloads awr awr pdf Van der borg JAM Netto WJ Planta DJU Behavioural testing of dogs in animal shelters to predict problem behavior Appl Anim Behav Sci 1991 32 237 51 Veissier Butterworth A Bock B et al European approaches to ensure good animal welfare Appl Anim Behav Sci 2008 113 279 97 65 66 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Virginia Department of Agriculture and Consumer Services Office of the State Veterinarian Disponible au htp www virginia gov vdacs_ar cgi bin Vdacs_search cgi Vogt AH Rodan Brown M AAFP AAHA Feline life Stage Guidelines 2010 p 81 Disponible au http www aahanet org PublicDocuments FelinelifeStageGuidelines pdf Wardley RC Povey RC Aerosol transmission of feline caliciviruses An assessment of its epidemiological importance Br VetJ 1977 133 504 8 WBZN News Tenth Life sanctuary for unwanted pets 2009 Disponible au http www abc 7 com Global story asp S 1 1471395 Weese JS Faires
153. nn d animaux de diff rentes provenances Rondes de surveillance action de se d placer pied dans le refuge pour observer chaque animal v rifier son tat de sant et d bierr tre et voir s il a des besoins particuliers Rythme circadien cycle de 24 heures du processus physiologique des animaux souvent utilis n r f rence aux cycles de la lumi re et de l obscurit Socialisation proc d qui consiste amiliariser les animaux avec une vari t de stimuli dont le contact direct avec les humains ors de la p riode critique du d veloppement en jeune ge peut aussi faire r f rence aux interactions d animaux de tous ges en pr senc es uns des autres Sous cutan e SC administr sous la peau St rilisation chirurgicale op ration m dicale qui consiste alt rer les organes reproducteurs d un animal de fa on ce qu il ne puisse plus avoir de prog niture St rilisation nettoyage destruction de tous les agents pathog nes par la chaleur ou l aide de produits chimiques Supervision par un m decin v t rinaire m decin v t rinaire qui examine et guid l ex cution de t ches sp cifiques peut comprendr ou non une implication et une pr sence quotidiennes Surveillance suivi d une population pour d tecter les changements en mati re de sant de comportement et de bien tr Utilisation de m dicaments en d
154. ns qui touchent des techniques p riodiquement des formations de perfectionnement sp cifiques d euthanasie doivent inclure les l ments suivants capacit d atteindre des points t de recertification On devrait galement offrir des services d aide au personnel pour pr venir ou d injection de remplacement capacit de traiter diff rentes esp ces valuation du comportement t du temp rament afin de manipuler les animaux g rer l tat d affliction la fatigue de compassion la d pression et les autres r actions physiques ou Smotives li s la r alisation des proc dures St rilisation des animaux les refuges devraient exiger que les chiens et les chats donn s en adoption soient st rilis s AVMA 2009 looney 2008 Kustritz 2007 On doit cependant xaminer les besoins d sant sp cifiques d un animal ou les autres circonstances qui permettraient r glement es doivent tre g r es conform ment aux exigences de la DEA C est le m decin v t rinaire qui doit prendre la d cision finale d accepter ou non un animal en chirurgie en se de justifier une exception La st rilisation chirurgicale ablation des ovaires et de l ut rus ou des testicules basant sur un examen de sant et sur les ant c dents m dicaux de l animal si disponibles de m me que avant de donner les animaux en adoption y compris pour les chiots et les chat
155. nt pas exc der 1O ou 12 individus dans le cas des chats Dowling 2003 Griffin 2006 Kessler 1999a Griffin 2006 Comme il faut compter de quelques jours quelques semaines pour qu un animal s acclimate un nvironnement de groupe Rochlitz 2005 Pour la s curit des chiens et d il est pr f rable de fournir un h bergement individuel leurs soigneurs les groupes de chiens devraient tr plus petits encore pas plus de 4 6 par ex nrichi quand on s attend ce que le s jour soit plus court Griffin 20094 Manipulation des animaux On doit toujours manipuler les animaux de mani re aussi bienveillante que possible et de facon appropri e comple tenu de la situation et de l animal lui m me On devrait appliquer le minimum de contraintes 2 Environnement et moment de l intervention intim le fait de choisir un environnement calm D t silencieux et de donner l animal le temps de physiques n cessaires pour accomplir la t che sans blesser les personnes ou les animaux Pour manipuler les animaux de mani re bienveillante il faut valuer s acclimater avant la manipulation peut contribuer minimiser le stress et pourrait r duire l intensit des contraintes n cessaires position de l ASV sur le comportement de chaque animal pouvoir compter sur un nombre ad quat d employ s suffisamment l euhanasie 2010 les modes de manipulation devraient
156. ntale on doit valuer la situation et prodiguer un traitement appropri dans les meilleurs d lais ou euthanasier l animal de facon humanitaire Au m me titre qu un d clin rapide et marqu de la sant physique d un animal constitue une situation sur le renforcement positif en accord avec les recommandations courantes des professionnels d urgence qui exige une r ponse rapide on doit r agir de fa on urgente quand on observe des APDT 2003 AVSAB 2007 Delta Society 2001 Consignes pour l h bergement long terme On doit fournir un enrichissement suppl mentair changements en mati re de sant comportemental ou mentale le stress li la reproduction induit par les cycles appropri aux animaux qui s journent au refug oestraux et les pulsions sexuelles peut entrainer long terme Voir la section Comment utiliser c une diminution de l app tit une augmentation du document pour des pr cisions sur l h bergement long terme le confinement long terme de tout animal y compris les animaux non domestiqu s ou marquage du marquage urinaire et des combats ainsi qu une hauss du stress social et marqu Smotionnel C est pour ces raisons que l on devrait agressifs auquel on ne peut pas offrir des soins de base des activit s d enrichissement quotidiennes et de l exercice sans induire de stress constitue une pratique inacc
157. nts normaux Voir la section Conception et am nagement des installations pour des informations suppl mentaires sur les enclos primaires On doit fournir suffisamment de ressources ex nourriture eau couvertures liti res jou ts pour des animaux emp cher la comp tition viter qu montent la garde devant les ressources et faire en sorte que tous les animaux du groupe y aient acc s 3 S lection des animaux la formation des groupes d h bergement et des groupes de jeu exigent tous deux une s lection et un suivi attentifs des animaux par des employ s ou des b n voles form s pour reconnaitre les signes subtils de stress et pour pr venir les interactions n gatives ex monter la garde devant la nourriture ou d autres ressources les crit res consid rer pour faire la s lection comprennent notamment la s paration en fonction de l ge les valuations comportementales r alis es au pr alable et la pr vention des maladies infectieuses gr ce au d pistage la vaccination et au contr le des parasites en groupe pour fournir un environnement plus riche et plus vari le fait de regrouper des animaux de fa on al atoire dans un refuge constitue une pratique inacceptable les animaux ne doivent pas tre h berg s dans Lh bergement en groupe Les animaux ne doivent pas tre h berg s dans le m m
158. oit tre positionn on doit leur donner de la nourriture et de l eau 28 Hour Law US Code Title 49 Chapter 805 Toutes les 4 6 heures on doit observer tous les chiens et tous les chats et leur permettre de s dans l espace de chargement de facon prot ger les animaux contre les intemp ries et les temp ratures xtr mes Comme dans le cas des installations fixes reposer INFHS 2010 De plus on doit permettre aux chiens adultes de faire de l exercice et d faire leurs besoins toutes les 4 6 heures l AWA on devrait assurer une temp rature ambiante de plus xige que le conducteur ou le gardien des animaux de 15 5 C 60 F et de moins de 26 6 C 90 F AVMA 20082 On devrait placer un thermom tre dans l espace de chargement la hauteur des animaux NFHS 2010 observe les chiens et les chats aussi souvent que les circonstances le permettent mais pas moins d une fois toutes les 4 heures USDA APHIS Section 3 90 Care in transit La dur e du transport vers un refuge de destination finale ou interm diaire ne devrait pas On doit galement s assurer que les animaux soient d passer 12 heures NFHS 2010 les animaux ne dans un environnement avec de l air frais et exempt devraient pas tre laiss s sans surveillance si cela de gaz d chappement CDA 2009 Le v hicule ainsi que son espace de chargement devraient
159. on soulag e peut manifestations physiques chroniques notamment n cessaire Si on ne peut pas soulager la douleu de fa on ad quate on doit transf rer l animal dans perle de poids effondrement musculaire hauss un tablissement qui pourra r pondre ses besoins ou l euthanasier de facon humanitaire de la pression art rielle prolongation de la p riod e r tablissement la suite d une maladie ou d un de r tabl ta ted blessure Robertson 2002 Il est essentiel d agir le plus t t possible pour contr ler la douleur des animaux ll est inacceptable de ne pas donner de traitement antidouleur un animal qui en a besoin la reconnaissanc t la gestion de la douleur chez une grande vari t d esp ces peuvent s av rer complexes et difficiles PaulMurphy 2004 De plus chaque animal peut r agir diff remment aux 6 Contr le des parasites Quand ils arrivent dans un refuge de nombreux animaux sont infect s par des parasites intemes et externes Bowman 2009 Les parasites ne sont pas toujours d celables cliniquement et ils peuvent s transmettre facil ment engendrer des maladies et des souffrances importantes persister dans l environnement et constituer un risque pour la sant publique CAPC 2008 CDC 2009 Les refuges ont la responsabilit stimuli et manifester une vari t de signes cliniques et comportementaux ACVA 2006 Il
160. onibles Conclusion 55 56 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers R f rences bibliographiques L acc s tous les sites Internet cit s a t v rifi le 22 octobre 2010 American Animal Hospital Association AAHA AAHA canine vaccine guidelines r vision 2006 Disponible au http www aahanet org PublicDocuments VaccineGuidelinesOdRevised pdf American Animal Hospital Association AAHA AAHA Standards of Accreditation 2008 Disponible au https secure aahanet org eweb startpage aspx site accredaaha American Animal Hospital Association AAHA American Association of Feline Practitioners AAFP Pain management guidelines for dogs and cats J Am Anim Hosp Assoc 2007 43 235 48 American Association of Equine Practitioners AAEP AAEP care guidelines for equine rescue and retirement facilities 2004 Disponible au htip www aaep org pd s rescue retirement guidelines pdf American Association of Feline Practitioners AAFP The American Association of Feline Practitioners Feline Vaccine Panel Advisory Report J Am Vet Med Assoc 2009 229 1406 41 Disponible au http www catvets com uploads PDF 2006 Vaccination Guidelines JAVMA pdf American Association of Feline Practitioners AAFP and American Animal Hospital Association AAHA Basic guidelines of judicious therapeutic use of antimicrobials 2006 Disponible au http www aahanet org PublicDocuments AAFP AAHA
161. ons g s de 6 semaines ou plus demeure le moyen le plus fiable et le plus fficace d emp cher la reproduction non d sir e t des chats et de faire diminuer leur taux de natalit AVMA 2009a AVMA 2009b Looney 2008 Kustritz 2007 Si on ne peut pas r aliser la chirurgie avant de donner un animal en des chiens adoption et que d autres programmes de st rilisation sont implant s des bons de r duction par ex ces programmes devraient comprendre un mode de suivi efficace pour confirmer que la chirurgie a bel et bien sur les disponibilit s du service de chirurgie Looney 2008 les animaux qui subissent une op ration chirurgicale non urgente devraient tre en bonne sant et ne pas montrer de signes de maladies infectieuses ou autres Cependant le m decin v t rinaire doit valuer les dangers et les b n fices li s la st rilisation d un animal porteur d une maladie infectieuse l g n ou d un autre probl me m dical l ger dans le context d un refuge animalier surtout s il se peut que cet animal n ait pas l occasion de recevoir des soins m dicaux l avenir et que cela puisse mener l euthanasie M m si certains probl mes m dicaux peuvent augmenter u lieu Il est inacceptable de permettre que des risque de complications les b n fices de la st rilisation animaux de refuge se reproduisent sont vraisemblablement s
162. ont des r percussions sur la mani re dont on doit s y prendre pour interagir de facon s curitaire avec l animal On devrait agir de mani re r pondre dans les plus brefs d lais aux besoins comportementaux Griffin 20094 On devrait faire une valuation continue du comportement de chaque animal pendant tout t r pondre leurs besoins comportementaux le personnel devrait documenter ses constatations chaque jour Griffin 2009a UC Davis 2009 Le fait qu un animal abandonne son comportement normal ou change d apparence peut aussi indiquer qu il ressent de la douleur ACVA 2006 Quand on constate qu un animal prouve de la douleur ou de la souffrance il est imp ratif de poser rapidement les gestes appropri s pour le soulager Voir la section Sant m dicale et bien tre physique pour des informations suppl mentaires sur la gestion de la douleur Certains animaux en refuge peuvent conna tre un la dur e de son s jour au refuge La manifestation de diff rents comportements normaux et anormaux indique quel point l animal s adapte son environnement Fox 1965 Griffin 2002 2009a niveau de stress lev et difficile apaiser m m avec des pratiques optimales Toutefois si plusieurs animaux manifestent des signes de stress permanents on doit prendre les mesures n cessaires pour am liorer les protocoles de r duction de stress du refuge Pour des
163. os p d placements du personnel et le nettoyage tel qu d crit la section Mesures sanitaires puissent se d rouler partir des endroits o l on retrouve les animaux en meilleure sant et ou les plus vuln rables primaire les mesures sanitaires sont importantes Jusqu ce que le risque de maladie soit consid r comme r duit on devrait garder les animaux r cemment arriv s dans une section ou un endroit aux maladies vers les endroits o se trouvent les animaux les plus susceptibles de constituer des particulier de la maison que l on peut facilement d sinfecter en profondeur sources d maladies infectieuses Un organisme recommande de r server au moins 10 de la superficie d h bergement pour isoler les animaux qui ont ou qu on soup onne d avoir une maladi infectieuse Nouvelle Z lande 1993 Dans les tablissements o l on offre des services pour les animaux amen s par leurs propri taires st rilisation clinique v t rinaire par ex ces animaux devraient tre s par s de ceux de la section refuge 1 Les enclos primaires Par enclos primaire on entend l espace clos cage niche stalle etc o l animal mange et dort et o dans la plupart des refuges il passe la majeure doit tr partie de son temps l enclos primair le fait de confiner un animal en l attachant est une pratique inacceptable elle ne
164. os primaire Intracardiaque IC administr directement dans le coeur Intramusculaire IM administr dans un muscle Intrap riton ale IP administr dans la cavit p riton ale ou dans l abdomen Intraveineuse IV administr dans une veine 67 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 68 Glossaire Isolement placement dans une section physiquement s par e du reste du refuge o l on h berge et traite les animaux malades Local de quarantaine section s par e du refuge o l on observe les animaux pendant une p riode d termin e pour voir s ils d veloppent une maladie Long terme voir la section Comment utiliser ce document Mesures sanitaires ensemble des mesures de nettoyage et de d sinfection qui permettent de retirer les salet s et de contr ler et d truire les agents pathog nes dans l environnement OSHA Occupational Safety and Health Administration agence f d rale des tats Unis charg e de faire appliquer la r glementation sur la s curit et la sant au travail P riode d incubation p riode entre le moment o un animal est infect pour la premi re fois par un agent pathog ne et le moment o les premiers signes cliniques de la maladie apparaissent Recensement d compie du nombre d animaux sous la garde d un refuge Regroupement al atoire regroupement d sordo
165. ossible contre les risques d exposition aux agents pathog nes ce qui est plus facile lorsqu ils sont physiquement s par s du reste de la population D s animaux en sant ne devraient pas tre h berg s ou ne admission puis tout au long de leur s jour les manipul s avec les animaux qui affichent des signes de maladie Voir la section Sant comportementale et bien tre psychologique pour des informations suppl mentaires sur les proc dures d admission pp p 3 Vaccination les vaccins sont des outils d importance vitale et on personne de fournir le plus d informations possible Id alement on devrait interroger la personne de viv voix mais les questionnaires crits sont galement acceptables On devrait faire subir une valuation de sant chaque animal lors de l admission afin de d celer les signes de maladies infectieuses ou d autres probl mes qui demandent une attention imm diate UC Davis 2009 les valuations faites doit les utiliser dans le cadre d un programme de soins de sant pr ventif Dans la plupart des cas les protocoles de vaccination pour les animaux de compagnie qui vivent dans des maisons priv es ne sont pas appropri s pour les refuges les strat gies doivent tre sp cifiquement adapt es aux refuges pour diff rentes raisons le risque d exposition aux maladies infectieuses y est plus lev plusieurs des
166. oyer Cependant l information constamment cach interaction hostile avec les autres recueillie lors de ces valuations niveau d activit ou animaux activit s ou app tit r duits d pression et ou retrait social manifestations de frustration ou d agression contre les barreaux comportements st r otyp s faire les cent pas tournoiements sauts r p tition et autres comportements anormaux Fox 1965 Griffin 2002 2006 2009a Houpt 1985 McMillan 2002 Overall 1997 2005 les besoins propres chaque animal varieront On doit observer les animaux chaque jour pour d tecter les tendances ou les changements leur bier tre d veil par ex peut s av rer utile pour caract riser la personnalit d un animal d terminer ses besoins comportementaux au refuge trouver un foyer d adoption bien assorti ainsi que pour d terminer les animaux qui ne sont peut tre pas convenables pour tre confi s un nouveau foyer ou plac s ailleurs Animal Rescue League of Boston 2010 Bollen 2008 Christensen 2007 Hetts 2000 Griffin 2009a Ledger 1995 Ledger 1997 Netto 1997 Neidhart 2002 Sternberg 2003 Van der borg 1991 les organisations qui veulent mettre au point leur propre mode d valuation devraient le faire en consultation avec un m decin v t rinaire ou un b havioriste bien au fait des aspects scientifiques t th oriques de l valuation comportementale Le per
167. p www avma org services Compendium of Veterinary Standard Precautions pdf National Association of State Public Health Veterinarians NASPHV Compendium of animal rabies prevention and control MMWR 2008b 57 No RR 2 Disponible au http www cdc gov mmwr preview mmwrhtml rr5702a him National Association of State Public Health Veterinarians NASPHV Compendium of measures to prevent disease associated with animals in public settings MMWR 2009 58 No RR 5 Disponible au http www cdc gov mmwr pdf tr rr5404 pdf National Federation of Humane Societies NFHS Position statement on animal transport protocols 2010 Disponible au hitp www humanefederation org TransferOverview cfm National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH latex allergy A prevention guide NIOSH Publication No 98 113 Disponible au http www cdc gov niosh 98 1 13 html National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Preventing allergic reactions to natural rubber latex in the workplace NIOSH Publication No 97 135 Disponible au http www cde gov niosh latexalt html National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Preventing Occupational Hearing Loss A Practical Guide Disponible au http www cdc gov niosh docs 96 1 10 default html National Institute for Occupational Safety and Health NIOSH Preventing asthma in animal handlers NIOSH Publication No 97 116 Disponible
168. parasites in U S dogs and cats 2008 Disponible au http www capcvet org recommendations guidelines html Conseil canadien de protection des animaux CCPAJ VI Besoins sociaux et comportementaux des animaux d exp rimentation 1993 Disponible au http www ccac ca en CCAC Programs Guidelines_Policies GUIDES ENGIISH V 1 93 CHAP CHVI HTM Conseil de l Europe Convention europ enne sur la protection des animaux vert br s utilis s des fins exp rimentales ou d autres fins scientifiques 1986 Disponible au http conventions coe int Treaty en Treaties Html 1 23 htm Coppola CL Enns RM Grandin T Noise in the animal shelter environment building design and the effects of daily noise exposure J Appl Anim Welf Sci 1997 9 l 7 Coppola C Grandin T Enns M Human interaction and cortisol Can human contact reduce stress for shelter dogs Physiol Behav 2006 87 537 41 Crawford PC Dubovi EJ Castleman WL et al Transmission of equine influenza virus to dogs Science 2005 310 482 5 Crouse MS Atwill ER Laguna M et al Soft Surfaces A factor in feline psychological well being Contemp Top lab Anim Sci 1995 34 94 7 Crowell Davis SL Aggressive dogs Assessment and treatment considerations Compend Contin Educ Vet 2008 80 274 80 CrowellDavis SL Barry K Wolfe R Social behavior and aggressive problems of cats Vet Clin NA Small Anim Pract 1997 27 549 68 Crowell Davis SL Social org
169. pos par un agent pathog ne virulent chez un animal non vaccin est nettement plus lev que le risque relativement faible qui d coule de la vaccination elle m me AAFP 2009 AAHA 2006 larson 2009 A l heure actuelle les refuges qui n administrent pas les vaccins de base d s l admission des animaux ou qui ne vaccinent pas tous les animaux sont beaucoup plus susceptibles de subir des pid mies mortelles qui auraient pu tre vit es avec les vaccins Larson 2009 Les refuges doivent avoir des protocoles fournis par un m decin v t rinaire pour intervenir en cas de r actions ind sirables aux vaccins et avoir les vaccins de base pour les refuges comprennent notamment ceux qui suivent Pour les chats AAFP 2009 rhinotrach ite infectieuse f line calicivirus panleucop nie FVRCP Pour les chiens AAHA 2006 maladie de Carr h patite parainfluenza acc s aux traitements requis Un m decin v t rinaire devrait superviser la formation sur l entreposage et l administration des vaccins ainsi que sur la facon d intervenir en cas de r actions On devrait suivre les directives d administration concernant le site parvovirus canin DHPP maladie de Carr d injection d un vaccin sp cifique c d jambe ad novirus 2 parvovirus parainfluenza DA2PP et Bordetella bronchiseptica Pour la vaccination de base des chiens et des chats il est
170. pr sence d une micropuce tondeuse pour animaux st thoscope assortiment d aiguilles et de seringues garrots museli res accessoires de contention On devrait galement avoir des balances pour mesurer pr cis ment Le personnel qui participe aux euthanasies devrait porter des v tements protecteurs ils doivent ensuit les retirer avant d aller s occuper d autres animaux On ne devrait pas permettre des animaux d observer ou d entendre l euthanasie d un autre animal ni de voir le corps des animaux morts Les chiots et les chatons en compagnie de leur m re font exception La m re devrait tre euthanasi e avant ses petits pour lui viter la d tresse d tre s par e d sa port e ou de voir ses petits morts Les chiots et les chatons devraient tre euthanasi s imm diatement apr s leur m re Sinclair 2004 3 Tenue des registres et substances r glement es On doit maintenir un registre dans lequel on documentera les l ments suivants identification de chaque animal quantit s de solution euthanasiante t de drogue pr alable re ues administr es et restantes identit de la personne qui r alise la proc dure Tous les registres concernant les drogues doivent tre tenus conform ment la r glementation f d rale de l tat et locale et notamment la r glementation de la Drug Enforcement Administration DEA Toutes le
171. ques de maladies infectieuses et d optimiser leur les blessures l inconfort et les fuites de liquides vers bien tre les animaux devraient tre en bonne sant les autres enclos On devrait fournir des couvertures au moment de leur transport Toutefois le transport d animaux malades peut tre justifi lorsque des absorbantes Les animaux doivent tre confin s de facon efficace et s curitaire l int rieur d ressources propres assurer leur survie comme des l enclos Les portes des enclos primaires doivent tre soins m dicaux ou des possibilit s de placement verrouill es de mani re en emp cher l ouvertur accidentelle Les sont disponibles au point de destination et lorsqu l on peut prendre des mesures pendant le transport nclos primaires doivent tre stabilis s pour viter le mouvement l int rieur du pour assurer leur confort leur sant et leur s curit c Responsabilit s pendant le transport Usage des enclos primaires la R glementation du transport des animaux vivants LAR mise et mise jour par l Association internationale du transport a rien IATA et la loi bien tre des animaux Animal am ricaine sur Welfare Act ne s appliquent pas directement aux transports de surface des animaux de refuge mais lles fournissent d excellentes sources d information ce sujet Plusieurs des recommandations qui sui
172. r le public des risques accrus pour les personnes immunod ficientes en offrant de la documentation ou en affichant des informations Dans la documentation on devrait sugg rer aux personnes immunod ficientes qui souhaitent adopter un animal de discuter de la s lection de leur animal avec un professionnel de la charbon tular mie brucellose les refuges ont la responsabilit de s informer des maladies sant Si on leur pose des questions ce sujet les membres du personnel devraient informer les gens d claration obligatoire On peut obtenir une list des directives publi es ou les diriger au service d aupr s du m decin v t rinaire en chef de l tat on peut obtenir de l information sur les maladies animales qui touchent la sant publique aupr s du m decin v t rinaire en chef en sant publique ou d l pid miologiste en chef de l tat soins de sant CDC 2009 PAWS 2006 2 Blessures caus es par les animaux Chaque ann e des millions de personnes se font mordre griffer ou autrement blesser par un animal de compagnie l ampleur des estimations vari grandement mais les chercheurs conviennent que les morsures sont sous d clar es et qu elles constituent une menace importante en mati re de sant publiqu Patronek 2009 On de chats que de morsures de chiens par contre la moins de morsures nregistr proportion de morsu
173. rd s long terme les espaces ext rieurs doivent tre ad quatement fait de les utiliser cette fin constitu cruel cl tur s un gest CFA 2009 Miller 2000 Les cages ou les boites n doivent pas tr mpil es les unes sur les autres d un t am nag s de facon emp cher les animaux de s enfuir et les prot ger contre les mani re qui pourrait augmenter le stress ou l inconfort de l animal nuire la circulation de l air ou permettre l urine ou aux excr ments de tomber des cages sup rieures vers les cages inf rieures les mauvaises conditions d h bergement des chats constituent l une des principales lacunes que l on observe dans les refuges et elles ont d importantes t leur bien r percussions n gatives sur leur sant intemp ries le vandalisme et les pr dateurs 2 Types de surfaces et drainage On doit avoir recours des rev tements non poreux faciles d sinfecter t r sistants aux nettoyages r p t s dans les sections o l on h berge des chiots des chatons des animaux infect s ou des animaux nouvellement admis dont on ne conna t pas les ant c dents m dicaux En fait on devrait id alement utiliser de tels rev tements dans tous tre est parfois possible de modifier des enclos existants pour am liorer le sort des chats Par exemple les endroits o l on h berge des animaux Cette approche est tout aussi impor
174. requirements 2009 Disponible au www cfainc org articles cattery standard html Centers for Disease Control CDC CDC Guidance for the selection and use of personal protective equipment PPE in healthcare settings 2004 Disponible au http www cdc gov ncidod dhqp pdf ppe PPEslides6 29 04 pdf Centers for Disease Control CDC Workbook for designing implementing and evaluating a sharps injury prevention program r vision 2008 Disponible au http www cdc gov Sharpssafety Centers for Disease Control CDC Healthy pets healthy people 2009 Disponible au http www cdc gov HEALTHYPETS browse_by_diseases htm Centers for Disease Control CDC Wash your hands 2010 Disponible au http www cdc gov Features HandWashing Chalifoux A Dallaire A Physiologic and behavioral evaluation of CO euthanasia of adult dogs Am J Vet Res 1983 44 2412 7 Cherry B Burns A Johnson GS et al Salmonella typhimurium Outbreak Associated with a Veterinary Clinic Emerg Infect Dis 2004 10 2249 51 Christensen E Scarlett J Campagna M et al Aggressive behavior in adopted dogs that passed a temperament test Appl Anim Behav Sci 2007 106 85 95 Colorado Department of Agriculture CDA Pet animal care facilities program 2009 Disponible au http www colorado gov cs Satellite AgricultureMain CDAG 1167928257214 Companion Animal Parasite Council CAPC General guidelines controlling internal and external
175. res de chats qui s infectent est beaucoup plus lev e Garcia 1997 Les infections qui r sultent d une morsure ou d un coup de griffe peuvent devenir tr s graves m me si le trauma du tissu semble minime et elles peuvent m m que possible vacciner les animaux contre la rage avant de les donner en adoption ou exiger que les animaux se fassent vacciner apr s l adoption NASPHV 2008b Pour viter les morsures et les autres blessures caus es par les animaux on devrait donner une formation de base appropri e sur la manipulation des animaux tous les membres du personnel et tous les b n voles notamment en ce qui concerne la tre mortelles Il est impossible de pr dire quelles blessures engendreront des infections graves C est bless devrait consulter un professionnel de la sant pourquoi tout par un animal personn la rage est une maladie mortelle Elle est pr sente dans tous les Etats am ricains sauf Hawai et pr valente dans plusieurs r gions du monde les membres du personnel des refuges doivent tre en mesure d reconna tre les cas d exposition potentielle la rage ils doivent galement comprendre la r glementation applicable concernant la d claration et la gestion des morsures aux humains et aux animaux Pour d celer les expositions potentielles la rage on doit demander toute personne qui se pr sente avec un recon
176. rm un sur l exp rienc f H x D A d accueil jusqu ce qu on ait trouv refuge doivent tre appropri s en fonction de la Gestion des populations La capacit de prendre soin des animaux de fagon humanitaire est limit e un certain nombre d individus pour toutes les organisations Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Il faut laborer un plan qui permet de g rer le s jour de chaque animal au refuge en tenant compte de la capacit de l organisation prodiguer les soins Le fait d h berger un nombre d animaux sup rieur la capacit d accueil constitue une pratique inacceptable dur e du s jour Patronek 2001 La dur e moyenne ou m diane du s jour est aussi un facteur important parce qu elle se r percute sur le nombre moyen d animaux pr sents au refuge chaque jour un facteur qui se r percute son four sur la capacit du refuge fournir les soins appropri s Par exemple si en moyenne on admet 5 chats par jour et que chacun demeure au refuge pendant 5 jours la population moyenne par jour sera de 25 chats Mais si la dur e moyenne du s jour passe 10 jours les admissions demeurant stables la population moyenne par jour doublera elle passera 50 chats le personnel ad quat doit tre disponible pour s assurer que chacun des services d importance critique soit rendu
177. rmes minimales de soins pour les animaux h berg s dans les refuges des petits organismes qui accueillent quelques animaux la maison jusqu aux plus grands refuges en passant par d tre suffisamment flexibles pour guider toutes les toutes les cat gories interm diaires Afin pour pouvoir intenter des poursuites judiciaires en cat gories de refuges les normes doivent clairement vertu des lois existantes sur la cruaut Cela laiss donc la possibilit qu un grand nombre d animaux d finir certains principes g n raux tout en vitant d tre trop directement prescriptives Tableau 1 les Cinq libert s pour le bien tre des animaux Farm Animal Welfare Council 2009 1 Absence de faim et de soif 2 Absence d inconfo 3 Absence de douleur blessure maladie 4 Possibilit d exprimer les comportements normaux 5 Absence de peur et de d tress les principes de bien tre d finis par les Cinq libert s tableau 1 Farm Animal Welfare Council 2009 fournissent un mod le applicable la majorit des esp ces et des situations dont les animaux h berg s en refuge le concept des Cinq libert s acc s de l eau fraiche et une di te en mesure d assurer la bonne sant et la vigueur de l animal nvironnement bien adapt comprenant un abri et un endroit de repos confortables gr ce la pr vention ou gr ce un diagnostic t un traitement r
178. rsures les animaux qui ont possiblement t expos s la rage doivent amp tre g r s conform ment au Compendium sur la rage de la NASPHV et en consultation avec les autorit s ou de pinces pour faire le nettoyage et prodiguer les soins quotidiens En pareils cas on doit utiliser un autre mode d h bergement ex cages deux sections boites pour chats sauvages On ne devrait pas permettre au public d entrer en contact avec des animaux potentiellement dangereux l acc s aux zones o sont gard s ces animaux devrait tre m dicales locales et de l tat NASPHV 2008bJ Comme elles sont soumises un risque d exposition plus lev e les personnes qui travaillent couramment ou avec des restreint si un visiteur doit s y rendre il devrait tr accompagn par un membre du personnel les animaux que l on croit dangereux ne devraient pas tre confi s un nouveau foyer Avant avec des animaux de compagni animaux sauvages devraient recevoir un vaccin rag aux recommandations du Advisory Committee on Immunization Practices CDC 2008 contribuer au contr le de la rag sein de la collectivit les refuges devraient autant contre la avant xposition conform ment Pour animale au d envisager la possibilit de confier un nouveau foyer un animal avec des ant c dents de morsures ou de comportements menagants on doit faire un examen approfondi de sa
179. s Proceedings of the First International Conference on Veterinary Behavioral Medicine Birmingham UK Wheathampstead UK Universities Federation for Animal Welfare 1997 pp 87 92 LeJeune JT Hancock DD Public health concerns associated with feeding raw meat diets to dogs J Am Vet Med Assoc 2001 219 1222 5 61 62 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Lenz J Joffe D Kauffman M et al Perceptions practices and consequences associated with foodborne pathogens and the feeding of raw meat to dogs Can Vet J 2009 50 637 43 Leuscher AU Medlock RT The effects of training and environmental alterations on adoption success of shelter dogs Appl Anim Behav Sci 2009 117 63 8 Lewis LD Morris ML Hand MS Small Animal Clinical Nutrition Ill Topeka KS Mark Morris Associates 1987 pp 1 10 Levy JK Feral cat management In Miller L Zawistowski S leds Shelter Medicine for Veterinarians and Staff Ames IA Blackwell Publishing 2004 pp 377 88 Line SW Clarke AS Markowitz H et al Responses of female rhesus macaques to an environmental enrichment apparatus Lab Anim 1990 24 213 20 Looney AL Bohling MW Bushby PA ef al The Association of Shelter Veterinarians veterinary medical care guidelines for spay neuter programs J Am Vet Med Assoc 2008 233 74 86 Lord L Pennell ML Ingwersen W et al In vitro sensitivity of commercial scanners to microchips of various frequencie
180. s J Am Vet Med Assoc 2008 233 1723 8 Loveridge GG Provision of environmentally enriched housing for cats Animal Technology 1994 45 69 87 Loveridge GG Horrocks UJ Hawthorne AJ Environmentally enriched housing for cats when singly housed Anim Welf 1995 4 135 41 Loveridge GG Environmentally enriched dog housing Appl Anim Behav Sci 1998 59 101 13 Lowe SE Bradshaw JWS Effects of socialisation on the behaviour of feral kittens Proceedings of the Third International Congress on Veterinary Behavioural Medicine Vancouver 2001 Maple TL Strategic collection planning and individual animal welfare J Am Vet Med Assoc 2003 223 966 8 Marder A A comparison of reported canine behavior in pre adoptive and post adoptive homes Proceedings of the 5th International Veterinary Behavior Conference Minneapolis MN 2005 Massachusetts Dept of Agriculture MDAR Rescue shelters 2009 Disponible au http www mass gov agr animalhealth emergency_order htm McCobb EC Patronek GJ Marder A ef al Assessment of stress levels among cats in four animal shelters Am Vet Med Assoc 2005 226 548 55 McCune S Enriching the environment of the laboratory cat In Smith CP Taylor V eds Environmental enrichment information resources for laboratory animals 1965 1995 Birds cats dogs farm animals ferrets rabbits and rodents AWIC Resource series No 1 Beltsville MD USDA with Potters Bar Herts UK Univ
181. s ou peu de formation appropri e en mati re de gestion des populations comme certaines grandes fermes d levag intensif des fermes usines gt ne parviennent pas s autor glementer les consommateurs commencent chercher des solutions l gislatives ex initiatives populaires visant faire adopter une interdiction des cages de gestation pour les truies et des logettes pour les veaux de lait 2 L importance d adopter des normes Malgr les le ons tirer des exemples tr s de comportement animal de sant animale cu d m decine v t rinaire D autres obstacles peuvent Sgalement nuire la prestation de soins ad quats notamment le manque d information propos de la gestion d un refuge et le manque de communication avec le milieu des refuges On a enregistr un nombre croissant d incidents o les mauvaises conditions l int rieur d un refuge ont caus de graves souffrances aux animaux et entrain des morts inutiles site de l ALDF Dudding 2009 HSUS 2007 Mckinnon 2009 Peat 2009 WBZN m diatis s mentionn s pr c demment et malgr la disponibilit de nombreuses ressources qui traitent du fonctionnement des refuges ASPCA 2009 HSUS 2010 Miller 2004b 2009 NACA 2009c Peterson 2008 site Internet UC Davis il est regrettable que l on observe encore des carences graves en mati re de soins aux animaux de compagnie dans les refuges
182. s drogues contr l es DEA Schedule doivent tre conserv es de fa on s re et conform ment la r glementation f d ral et de l tat 4 Formation du personnel On doit fournir une formation appropri e tous les membres du personnel qui participent aux euthanasies Id alement les personnes qui administrent les drogues devraient recevoir une formation et une certification donn es par Euthanasie 43 44 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers un m decin v t rinaire brevet un technicien v t rinaire agr ou brevet ou un technicien ou un formateur en euthanasie agr la r glementation qui d termine les personnes habilit es donner un de fa on appropri e v rification de la mort par plusieurs m thodes On devrait aussi fournir une formation pour l euthanasie sur le terrain L technicien en euthanasie et le personnel d aid formation ou superviser l euthanasie varie d un Etat l autre et elle peut galement varier l chell r gionale les refuges doivent agir conform ment la r glementation f d rale et de l tat doivent tre tr s comp tents en mati re d manipulation et de contention des animaux de fa on viter d engendrer des situations stressantes pour les animaux de m me que pour le personnel qui r alise les proc dures On devrait fournir les formatio
183. s par un m decin v t rinaire au besoin et pris en charge si n cessaire et d administrer les traitements d crits ci dessus le taux d Ainsi on contribuera faire en sorte qu parasitisme chez les individus dans l environnement et dans la population ne menace pas la sant des animaux ni des humains 7 Rondes de surveillance quotidiennes Une personne form e cette fin doit faire au moins une ronde par p riode de 24 heures pour observer t du bien tr de chacun Cette personne devrait notamment les animaux et s assurer de la sant porter attention aux points suivants consommation de nourriture et d eau miction d f cation attitude comportement d ambulation signes de maladie ou d autres probl mes CFA 2009 Nouvelle Z lande 2007 UC Davis 2009 Les rondes devraient avoir lieu avant le nettoyage ce qui permet de v rifier la consommation de nourriture l tat de l enclos et l ventuell d excr ments d urine ou de pr senc vomissures Dans le cas des animaux h berg s en ronde d surveillance lorsque les aliments sont distribu s ce qui groupe on devrait galement faire un permet de v rifier l app tit la ration alimentaire et les Plusieurs situations exigent des valuations et un suivi constants C est le cas notamment mais sans s y limiter des probl mes dentaires des infections des changements de poids ou d app tit p
184. s pour animaux de la faune exotiques ASA 2009 Brent 2007 GFAS Historique et contexte Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 2009 la zootechnie FASS 1999 Mench 2008 Veissier 2008 l industrie des animaleries PIJAC 2009 les pensions pour chiens ACMV 2007 Nouvelle Z lande 1993 PCSA 2009 les centres de r habilitation pour animaux sauvages Miller vivent dans des conditions m diocres au sein d organisations cens es veiller sur leur bien tre De plus dans certains cas les organisations qui prodiguent des soins n gligents ou inappropri s sont dirig es par une administration galement charg e 2000 les centres de sauvetage animaliers ARAJ les centres d aid t les pensions pour chevaux la retraite AAEP 2004 GFAS 2009 On pourrait croire que les lois contre la cruaut prot gent les animaux des refuges En r alit elles des enqu tes sur la cruaut envers les animaux ce qui cr e un conflit d int r ts Comm la cruaut envers la d finition l gale d les animaux varie d un tat l autre il n est pas dans le mandat des Recommandations de s attarder sont souvent insuffisantes pour faire en sorte que les sp cifiquement et directement cette question animaux recoivent des soins appropri s dans les refuges ou les centres de secours publics ou priv s Cela s explique en partie par le fait que plusieurs d
185. s qui se font face devraient tr spac es de plus de 1 2 m 4 pi Gaskell 1977 ntrer la lumi re naturelle autant que possible Lorsque l on a recours la lumi re artificielle la dur Povey 1970 Wardley 1977 S il est essentiel d avoir un bon syst me de ventilation pour assurer une bonne qualit d air il est aussi important d investir pour que la qualit des am nagements et des enclos primaires contribue r duire la propagation des maladies par le biais d objets contamin s les enclos deux sections par exemple vitent d avoir t l intensit de l clairage devraient s apparenter le plus possible ceux de la lumi re naturelle CFA 2009 Griffin 2006 Nouvelle Z lande 1993 Patronek 2001 Les enclos devraient tre dispos s de facon ce que chaque animal puisse viter d tre trop ou trop peu expos la lumi re Par exemple si plusieurs cages de chats sont superpos es les chats du bas passeront la majeure d placer l animal pendant le nettoyage Autrement dit pas contrecarrer les effets nuisibles d un mauvais m me une excellente ventilation ne r ussira 1 am nagement du refuge Pour obtenir un air de bonne qualit les lieux doivent tre propres et bien d sinfect s afin de r duire les sources de particules en suspension dans l air et partie de leur temps l ombre moins que clairage ne soit sp c
186. situation individuelle On devrait fair xaminer les animaux au comportement douteux par des personnes exp riment es et bien form es en mati re d comportement animal Avant d envisager la possibilit de confier un nouveau foyer un animal avec des ant c dents de morsures ou de comportements menacants on doit faire un examen approfondi de sa situation individuelle 53 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers Le recours syst matique aux antibiotiques pour pr venir les infections chez les animaux en bonne sant est inacceptable et ne doit jamais servir de substitut une gestion appropri e de la sant des animaux 54 form es en mati re de comportement animal Tous les Le d veloppement et la propagation de la r sistance probl mes comportementaux devraient tre document s t on devrait en discuter avec le propri taire potentiel aux antimicrobiens dans les refuges est un sujet d pr occupation important les bact ries sont en avant l adoption on devrait galement lui faire les de d velopper une r sistance certains recommandations qui s imposent 3 Maladies mergentes et r sistance aux antimicrobiens On a observ la pr sence de maladies mergentes et r mergentes dans les refuges ex virus de l influenza canine calicivirus f lin syst mique virulent Crawford 2005 Hurley
187. sonnel qui r alise les valuations doit recevoir une formation ad quate en performance interpr tation et s curit On devrait utiliser un formulaire Sant comportementale et bien tre psychologique recommandations sur l h bergement la section Conception et am nagement des installations S paration D s l admission il est essentiel de s parer les animaux par esp ces pour r pondre leurs besoins comportementaux et prendre soin de leur sant et d d valuation normalis et chaque valuation devrait leur bien tre de fa on ad quate Griffin 20099 tre document e l valuation comportemental formelle ne devrait pas n cessairement invalider l information fournie par le propri taire de l animal ou les observations r alis es par le personnel lors de ses interactions avec l animal Une valuation les esp cesproies ex oiseaux cobayes hamsters gerbilles lapins devraient tre h berg es distance des esp ces pr datrices ex furets chats chiens en tout temps Quesenberry 2003 Pour les esp ces proies il est extr mement stressant globale doit comprendre toute l information recueilli propos de l animal ant c dents comportement pendant le s jour au refuge et valuation formelle d tre h berg es dans un espace o elles peuvent avoir un contact olfactif auditif ou visuel avec une sp c
188. ssler 1999a Overall 1997 ll est inacceptable de regrouper des animaux qui se battent entr se batir regroup s avec ux ll est cruel de laisser des animaux M me lorsqu on regroupe des animaux d une m me port e on doit r pondre toutes les exigences d finies pour l h bergement en groupe 4 Si l h bergement de groupe n est pas appropri Lorsque l h bergement en groupe n est pas appropri on doit pr voir d autres solutions pour l h bergement individuel l h bergement n groupe peut s av rer et ceux qui se sont d j affront s n doivent pas tre r unis dans un m me groupe On doit tre prudent lorsque l on tente de placer dans un groupe un animal qui a des ant c dents de combat ll est pr f rable de former des petits groupes parce qu ils permettent de faire un suivi efficace et de r duire les risques de conflits et de transmission de pr judiciable pour certains animaux m me si on les jumelle avec des animaux qu ils connaissent d j On doit fournir un h bergement individuel aux animaux qui sont craintifs ou agressifs envers les autres animaux ceux qui sont stress s par la pr sence d autres animaux qui ont besoin d un suivi individualis ou qui sont malades et ont besoin d un traitement impossible prodiguer dans le cadre d un h bergement en group maladies infectieuses Id alement les groupes n devraie
189. stiques de son esp ce le manque de contr l peuvent tre incomplets ou inexacts Par exemple certains probl mes de comportement comme sur leur environnement est l un des plus importants facteurs de stress pour les animaux Le stress induit par le confinement dans un refuge m me court terme peut compromettre la sant des animaux en situation de confinement long terme il arrive fr quemment qu les animaux souffrent d anxi t chronique d isolement social de stimulation mentale inad quate et de manqu d exercice physique Fox 1965 Griffin 2009a 2006 Hennessy 1997 Patronek 2001 Stephen 2005 Tuber 1999 Wemelsfelder 2005 Il est essentiel d l agression peuvent tre sousd clar s ou sous valu s Marder 2005 Segurson 2005 Stephen 2007 On doit r pertorier et inscrire au dossier de l animal tous les incidents et les rapports qui font tat d un comportement agressif ainsi que le contexte dans lequel ce comportement est survenu b R duire le stress les animaux sont xpos s diff rents facteurs prodiguer des soins comportementaux appropri s pour r duire le stress et la souffrance ainsi que pour d tecter de stress dans les refuges commencer par la proc dure d admission Coppola 2006 1997 Griffin 2009a 1997 On doit Hennessey les comportements probl matiques qui pourraient poser des risques en mati re de s
190. t comprendr r sultats de la lecture de la micropuce num ro de micropuce si pr sent rovenance de l animal i date d entr t de sortie statut la sortie sp ce ge sexe description physique race et couleurs donn es m dicales et comportementales Gestion des bien tr physique pour des informations suppl mentaires de donn es disponibles Voir les sections populations et Sant m dicale et sur les dossiers m dicaux et la collect au moins les l ments de base suivants identifiant sur les populations Conception et am nagement des installations Conception et am nagement des installations Dans un refuge on doit trouver un environnement qui permet de maintenir la sant des animaux les bien au sec l enclos doit tre exempt d ar tes vives de br ches ou d autres d fauts qui pourraient installations doivent tre adapt es aux esp ces qu ntrainer des blessures ou permettre l animal de se l on h berge au nombre d animaux que l on recoit et la dur e de leur s jour afin d assurer leur bien tre physique et psychologique l am nagement du refuge devrait permettre de bien s parer les animaux en fonction de diff rents facteurs tat de sant ge coincer une patte ou une autre partie de son corps l enclos doit tre muni d un syst me de verrouillag t les s curitaire les fonds en treillis m t
191. tante dans le cas des on peut d couper des ouvertures dans les cages en refuges domicile Pour le plancher l id al est un acier inoxydable ce qui permet d augmenter l espac surface imperm able comme du b ton scell ou un disponible et de cr er des syst mes d h bergement compartiments multiples UC Davis 2009 Les chats doivent avoir des endroits pour se cacher ex un sac n papier ou une boite assez grande pour y entrer et ils devraient pouvoir grimper sur une surface sur lev pour s y percher Carlstead 1993 Crouse 1995 De Monte 1997 Griffin 2002 2006 2009a Hubrecht 2002 Rochlitz 1999 2002 Wells 2000 recouvrement l poxy Nouvelle Z lande 1993 On ne devrait pas utiliser de tapis dans les sections ot l on h berge des animaux parce qu on ne peut pas nettoyer et d sinfecter les tapis convenablement Dans le cas d un refuge domicile ou dans les sections usage l ger un pr lart ou un plancher de tuiles peut parfois convenir Par contre cause du coulis ou des espaces entre les joints ces planchers Une tude a d montr que la possibilit de se cacher entrainait une r duction des hormones du stress chez demandent plus d entretien qu une surface scell pour demeurer propres et hygi niques On devrait sceller es chats Carlstead 1993 Id alement les chats n plancher l ar te des murs On devrait devr
192. teurs reconnaissent que toutes les organisations ne sont pas en mesure d atteindre cet objectif en toutes circonstances Par contre les refuges devraient faire les efforts n cessaires pour adopter toutes les pratiques id ales autant que possible se conformer aux pratiques que l on doit respecter et viter celles qui sont qualifi es d inacceptables A quel rythme les refuges devraient ils implanter les changements Certains changements peuvent tre r alis s facilement et rapidement D autres peuvent exiger des modifications physiques aux installations des formations suppl mentaires ou une planification plus pouss e Pour tout organisme la premi re tape devrait consister liminer sans d lai toute pratique inacceptable Par la suite l implantation des changements en fonction des Recommandations devrait se faire de facon graduelle et r fl chie et toujours avec l objectif d engendrer le plus de b n fices possible pour les animaux Lors d un changement on doit examiner la situation de pr s pour s assurer qu on atteint les objectifs d augmenter la capacit de sauver des vies et d am liorer la qualit de vie Quels sont les aspects non couverts par les Recommandations le recueil de recommandations couvre de nombreux volets du fonctionnement des refuges mais il n est pas congu pour servir de mode d emploi au quotidien Les modalit s d implantation appropri es varieront d un organisme l autre en fonc
193. tie de contacts sociaux et d autres facteurs de confinement Griffin 2006 Stephen 2005 la dur e du s jour a clairement t identifi stress caus s par un facteur d comm risque pour agences d adoption grande chelle ainsi qu diff rentes combinaisons de ces approches Dans le cadre de ce document le mot refuge englob tous les tablissements d crits ci dessus les maladies animales dans les refuges Dinnage 2009 Edinboro 2004 De nombreuses installations souvent con ues l origine pour des s jours de courte dur e ex la Contrairement plusieurs autres types d environnements o l on retrouve des animaux comme les zoos ou les laboratoires AZA 2009 2010 ILAR 1996 les refuges ne sont pas couverts par une r glementation ou par des normes nationales d finissant les soins donner aux animaux En 2010 on comptait au moins 18 tats qui exigeaient que les refuges animaliers soient autoris s CO GA IL IA KS MA ME MI MIN nregistr s ou p riode de garde pour les animaux errants sont mal adapt es pour r pondre aux besoins physiques et comportementaux des animaux Beerda 1997 1999a 1999b 2000 Griffin 2006 Hennessy 1997 Holt 2010 Hubrecht 1992 1997 1999b McCobb 2005 Ottway 2003 Tuber 1996 Diff rents facteurs ont contribu Kessler l allongement des p riodes de s jour Dans de nombre
194. tion de la situation de chaque organisation Comme nous l avons dit plus t t ce document n est pas concu pour jouer le r le d un mode d emploi ou d un manuel d implantation Chaque organisation doit mettre au point son propre mod le de fonctionnement de mani re maximiser sa capacit de soins en se basant sur l information pr sent e dans les Recommandations Pour commencer les organisations devraient tablir une liste de priorit s et laborer un plan d action Une premi re tape logique consisterait identifier les pratiques inacceptables et y rem dier aussi rapidement que possible La deuxi me tape serait de se conformer aux pratiques que l on doit respecter selon les Recommandations l atteinte de ce niveau de conformit devrait constituer une base minimale pour toute organisation Comme nous l avons mentionn quelques reprises ici et ailleurs dans les Recommandations les particularit s et les d fis sp cifiques de chaque organisation d termineront les changements effectuer et la vitesse laquelle ils pourront tre effectu s Dans tous les cas le premier pas important est de d terminer les secteurs o l on peut apporter des am liorations puis d tablir un plan et un ch ancier pour les r aliser Les auteurs de cet avant propos National Federation of Humane Societies NFHS Society of Animal Welfare Administrators SAWA National Animal Control Association NACA American Society
195. tion des ressources et de la situation de chacun Comment les Recommandations aideront elles les refuges UASY et les organismes qui ont particip la r daction de cet avantpropos esp rent que les informations appuy es par des donn es scientifiques ainsi que les consignes pr sent es dans le cadre de ces Recommandations aideront toutes les organisations peu importe leur taille leur structure ou leur philosophie prodiguer les soins les plus bienveillants possible aux animaux sous leur garde Nous esp rons galement que les Recommandations serviront de d clencheur pour mettre en oeuvre un processus continu d auto valuation et d am lioration et qu elles serviront de base aux organisations pour justifier et obtenir les ressources dont elles ont besoin pour donner les meilleurs soins humanitaires possible l ASV a d j commenc documenter des cas o les refuges ont utilis les Recommandations comme base pour am liorer de facon marqu e le niveau de soins offert aux animaux pour un co t minime ou m me nul Nous appuyons l ASV dans son intention de documenter et de communiquer ces tudes de cas afin d aider d autres organisations mieux comprendre comment on peut instaurer des changements avec succ s et de mani re rentable La revue Animal Sheltering pr sente des exemples dans le cadre d une s rie d articles intitul e Gerting Real On peut lire deux de ces articles aux adresses suivantes http w
196. tp www aspcapro org mydocuments download php f guide_to_shelter_ regulations_2006_mo_wy pdf American Society for the Prevention of Cruelty to Animals ASPCA Resources and related links State shelter regulations 2009 Disponible au http www aspcapro org shelter managementresources and related links php American Veterinary Medical Association AVMA Task Force on Canine Aggression and Human Canine Interactions A community approach to dog bite prevention J Am Vet Med Assoc 2001 218 1732 50 American Veterinary Medical Association AVMA AVMA companion animal care guidelines 2008a Disponible au hitp www avma org issues policy companion animal care asp American Veterinary Medical Association AVMA AVMA Policy Judicious therapeutic use of antimicrobials mise jour 2008b Disponible au hitp www avma org issues policy jtua asp American Veterinary Medical Association AVMA Model veterinary practice act 2008c Disponible au hitp www avma org issues policy mypa asp American Veterinary Medical Association AVMA AVMA Animal Welfare Principles 2006 Disponible au http www avma org issues policy animal_welfare principles asp American Veterinary Medical Association AVMA AVMA Guidelines on Euthanasia 2007 Disponible au http www avma org resources euthanasia pdf American Veterinary Medical Association AVMA AVMA policy statement on dog and cat population control
197. tp www humanestrategies org html rescue_ waggin html Phillips K Dog bite law 2009 Disponible au htp www dogbitelaw com Povey RC Johnson RH Observations on the epidemiology and control of viral respiratory disease in cats J Sm Anim Pract 1970 11 485 94 Quesenberry K Quesenberry P Carpenter JW Ferrets Rabbits and Rodents 2nd edn Philadelphia PA Elsevier Science 2003 Reeve CL Spitzmuller C Rogelberg SG et al Employee reactions and adjustment to euthanasia related work identifying turning points through retrospective narratives J Appl Anim Welf Sci 2004 7 1 25 Reif JS Bruns C Lower KS Cancer of the nasal cavity and paranasal sinuses and exposure to environmental tobacco smoke in pet dogs Am J Epidemiol 1998 147 488 92 Reisner IR Houpt KA Erb HN ef al Friendliness to humans and defensive aggression in cats the influence of handling and paternity Physiol Behav 1994 55 1119 24 Rhoades R Euthanasia Training Manual Washington DC Humane Society Press 2002 Robertson SA What is pain J Am Vet Med Assoc 2002 221 202 5 Rochlitz Recommendations for the housing of cats in the home in catteries and animal shelters in laboratories and in veterinary surgeries J Feline Med Surg 1999 1 181 91 Rochlitz Comfortable quarters for cats in research institutions In Reinhardt V Reinhardt A eds Comfortable Quarters for Laboratory Animals 9th edn Washington DC Ani
198. tr chauff s ou climatis s au besoin afin de permettre une thermor gulation normale CDA 2009 le fait de placer des animaux non confin s ou attach s avec une laisse dans espace de chargement d couvert d une camionnette pickup pour les transporter constitue une pratique inacceptable et interdite dans plusieurs administrations publiques On doit accorder une attention particuli re au fait de mettre les animaux risque de nuire leur sant ou leur s curit On doit fournir de la nourriture aux animaux adultes au moins toutes les 24 heures et plus fr quemment aux animaux g s de moins de 6 mois Les soigneurs sont charg s de fournir le n cessaire aux animaux qui ont des besoins nutritionnels particuliers A cause des stress physiques accrus il se peut que pendant le transport les animaux aient besoin d une le qui quantit d eau et de nourriture sup rieure c dans un endroit ombrag un v hicule stationn en xl rieur correspond leurs besoins nutritionnels habituels Si plein soleil m me lorsque la temp ratur l eau n est pas disponible en tout temps on doit faire est confortable peut rapidement exc der les niveaux de temp rature s curitaires Responsabilit s du transporteur Le conducteur du v hicule ou le gardien des animaux de fr quents arr ts au moins toutes les 4 heures pour observer les animaux et leur
199. tre muni de l quipement n cessair pour l anesth sie et le monitorage On doit appliquer les mesures de contr le des maladies infectieuses pour viter la transmission entre les animaux traiter 46 Looney 2008 Il faut utiliser la technique d asepsi n douceur en quittant l tat d anesth sie Griffin 2009c Looney 2008 On doit valuer les animaux imm diatement avant leur cong et donner des instructions claires crites ou verbales sur les soins postop ratoires prodiguer Finalement on doit avoir mis en place des politiques pour g rer les ventuelles complications ou urgences qui pourraient chirurgicale et on doit employer des instruments st riles s par s pour chaque animal Il faut utiliser balanc s des protocoles avec anesth siques qui comprennent la s dation l acc s des analg siques pr et postop ratoires la r duction du stress la relaxation musculaire et la perte de t r versible AAHA AAFP 2007 ACVA 2009 Looney 2008 Les animaux doivent tre suivis par un personnel form cet effet ACVA 2009 Looney 2008 De plus on doit avoir mis en place des plans pour intervenir en cas de conscience contr l situation d urgence Pendant la p riode postop ratoire on doit veiller ce que les animaux puissent faire une transition survenir au cours des 48 heures suivant la chirurgie Griffin 2009c Looney 2008 3 Marq
200. ttoyage cibl spot avec de l eau et des liquides nettoyants il est cleaning l animal demeure dans sa cage pendant qu on nettoie l enclos et qu on retire les substances souill es l urine et les excr ments Le nettoyage cibl peut s av rer moins stressant pour l animal parce qu on r duit les manipulations et qu on n enl ve pas ses odeurs famili res Patronek 2001 le nettoyage quotidien est galement n cessaire pour les h bergements sans cage et dans les maisons priv es le nettoyage inappropri peut augmenter la transmission des agents pathog nes Curtis 2004 Les pratiques de travail qui entra nent le d placement des agents pathog nes d un enclos l autre mettent ssentiel d avoir un syst me de drainage ad quat Voir la section Conception et am nagement des installations pour des informations suppl mentaires sur la facon d am nager les refuges de mani re faciliter t la d sinfection nettoyag b Contr le des vecteurs passifs les vecteurs passifs ce sont les objets qui peuvent tre contamin s par des agents pathog nes et ainsi contribuer la transmission des maladies le corps humain et les v tements peuvent devenir des vecteurs passifs les animaux qui sont clairement malades mais aussi les animaux apparemment en bonne les animaux risque On devrait viter de faire nettoyage avec une vadrou
201. uage des animaux st rilis s ll est fortement recommand d utiliser un tatouage permanent pour marquer les chiens et les chats lors d une chirurgie de st rilisation Griffin 2009c Looney 2008 la taille de la pointe du pavillon d une des oreilles est la norme mondialement accept e pour marquer ou pour reconna tre les chats en libert ou sauvages qui ont t st rilis s Griffin 2001 Looney 2008 On devrait fournir un certificat de st rilisation ou un autre document appropri pour chaque animal st rilis Transport des animaux les refuges peuvent tre impliqu s dans le transport d animaux l chelle locale r gionale et internationale l expression transport des animaux r f re habituellement aux d placements d animaux sur une certaine distance d une organisation ou d un individu l autre Toutefois les recommandations pr sent es dans cetle section devraient s appliquer peu importe la raison du d placement les distances ou les parties impliqu es en effet il est toujours n cessaire de bien g rer et de bien planifier les d placements pour assurer le confort et la s curit des animaux et pour minimiser le risque de transmission des maladies Dans bien des cas le transport permet de sauver la vie des animaux mais il pose aussi des risques les programmes de transport des animaux peuvent entrainer la propagation de maladies infectieuses
202. uer la plupart des agents pathog nes dans un endroit donn Dans les refuges les d sinfectants sont habituellement des produits chimiques Dose infectante le nombre d agents pathog nes requis pour causer une infection et une maladie Glossaire Dur e du s jour p riode de temps pendant laquelle un animal est sous la garde d un refuge depuis son admission jusqu sa sortie Enclos primaire endroit acc s restreint concu pour confiner les animaux cage niche stalle etc Dans la plupart des refuges c est l endroit o l animal mange dort et passe la majeure partie de son temps Endotoxines substances lib r es par certaines bacl ries ou en faisant partie ayant des effets toxiques sur les humains ou les animaux Enrichissement proc d qui permet d r pondre aux besoins comportementaux des animaux en am liorant leur environnement ou les soins comportementaux prodigu s ex jouets perchoirs lits endroits pour se cacher etc Euthanasie donner la mort un animal en utilisant des m thodes bienveillantes Dans le cadre de ce document les m thodes d euthanasi bienveillantes sont l injection d une solution de pentobarbital sodique par voie intraveineuse ou intrap riton ale Facteur de stress tout facteur qui engendr un stress chez l animal H bergement en groupe h bergement de plusieurs animaux dans un m me encl
203. uge on doit trouver 2004 Griffin 2006 Hennessy 1998 2002 Hetts 1992 Hubrecht 1992 1993 Tuber 1996 1999 stress et Ces interactions sont cruciales pour r duire un quilibre entre les avantages de la socialisation et s imp ratifs de contr le des maladies infectieuses Lors de leur travail de socialisation les employ s et les lles constituent une puissante forme d enrichissement Coppola 2006 Hennessy 1998 2002 Hetts 1992 Hubrecht 1992 1993 McMillan 2002 b n voles devraient porter des v tements protecteurs propres qu on peut d sinfecter fond entre les usages t mener cette tache dans un environnement Sant comportementale et bien tre psychologique les programmes d entra nement pour les chiens et les chats ex conditionnement enseignement d sections pour minimiser les risques de transmission de maladies et le stress l ob issance de base aux commandes ou de tours constituent galement un source d important D s qu on observe chez un animal une souffrance stimulation et de contacts sociaux Griffin 2009a laule 2003 Thorn 2006 Pour les chiens il a t d montr que ces programmes d entra nement augmentent les chances de placer l animal dans un nouveau foyer Leuscher 2008 les m thodes d entrainement doivent tre bas es principalement psychologique une d tresse ou une d t rioration comporteme
204. up rieurs aux dangers dans le contexte des refuges pour animaux Les chiens et les chats n chaleurs ou affect s par une Lorsque des chiens ou des chats demeurent en attent d adoption au refuge pendant plus de quelques semaines il est fortement recommand de les fair n gestation pyom trite de m me que ceux qui ont une maladie st riliser On peut s attendre ce que la st rilisation entraine un d clin rapide du marquage urinaire ou autre des combats ainsi que la disparition des comportements li s aux chaleurs et aux gestations Hart 1973 1997 Johnston 1991 ce qui fera diminuer le stress des animaux Griffin 20094 1 Directives du m decin v t rinaire Des protocoles de soins d taill s pour la gestion des programmes de st rilisation ont t publi s Looney 2008 les chirurgies de st rilisation doivent tre pratiqu es par des m decins v t rinaires ou des Studiants en m decine v t rinaire sous la supervision direct d un m decin v t rinaire et conform ment toutes les r glementations applicables AAHA 2008 AVMA 2008 Looney 2008 Pour chaque animal on doit pr parer un dossier m dical indiquant l intervention chirurgicale pratiqu e et le protocole d anesth sie utilis e Toutes les substances l g re des voies respiratoires sup rieures peuvent tr st rilis s de facon s curitaire dans la plupart des cas Appel 2004 Looney
205. urquoi les Recommandations sont elles bas es sur le concept des Cinq libert s Ce concept a t labor au Royaume Uni en 1965 l ASV estime que les Cinq libert s sont d sormais reconnues comme une base essentielle et applicable de nombreuses esp ces pour r pondre aux besoins fondamentaux des animaux peu importe leur situation quels types d organisation les Recommandations sont elles destin es Les Recommandations sont con ues pour s appliquer pratiquement toute situation o l on prend soin d animaux de compagnie dans un environnement de groupe ou de population Cela comprend les refuges tablis dans des b timents traditionnels mais galement les sanctuaires les petits r seaux de secours et les foyers d accueil la maison Comment distingue t on les bonnes et les mauvaises pratiques dans le recueil de Recommandations On a qualifi d inacceptables les pratiques qui doivent tre corrig es le plus rapidement possible afin de fournir un niveau de soins acceptable Lorsqu on utilise le mot doit c est parce que nous croyons qu d faut de suivre cette recommandation il ne sera pas possible d assurer le niveau minimal acceptable de soins humanitaires le mot devrait indique une forte recommandation les meilleures pratiques sont identifi es par les mots id al ou id alement Bien que l adoption des pratiques id ales pour tous les volets constitue le but ultime les au
206. us vaccin s et d parasit s qui semblent en bonne sant Id alement on devrait retirer les excr ments imm diatement sinon on doit le faire au moins une fois par jour On devrait viter les accumulations d eau stagnante autour du refuge parce que de nombreux agents 3 Contr le des rongeurs et des insectes De nombreux rongeurs et de nombreux insectes h bergent des bact ries et d autres agents pathog nes qui peuvent contaminer les aliments ce qui peut entrainer la perte de ces aliments ou la transmission directe de maladies aux animaux Urban 1998 les endroits o l on conserve des aliments sont particuli rement vuln rables aux infestations Tous les aliments devraient tr conserv s dans des contenants l preuve des rongeurs et des insectes Nouvelle Z lande 1993 En pr sence d insecles ou de rongeurs on devrait retirer la nourriture des enclos pendant la nuit Si le refuge est confront un probl me il doit adopter une solution humanitaire s curitaire et efficace Mesures sanitaires 21 Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers 22 Sant m dicale et bien tre physique On ne peut pas d crire la sant animale comm le simple fait de ne pas tre malade ou bless La sant est galement intimement li e au bien tr les protocoles de soins de sant devraient tr concus pour permettre chaque animal d
207. ux refuges il y a de plus fortes possibilit s que les animaux soient confin s dans des conditions de n gligence de soins inad quats et de mauvais d h bergement inad quates souvent pendant des mois et parfois pour le reste de leur vie ce qui aggrave les inqui tudes relatives leur bien tre gestion Dans le cas des laboratoires cela a pouss le gouvernement f d ral adopter une r glementation 4toff e sur les soins aux animaux Dans le cas des les refuges sont maintenant confront s aux m mes probl mes que ceux que l on a observ s pendant plusieurs ann es dans les milieux zoologiques Maple 2003 zoos On a assist un travail de r flexion interne important et une autor glementation renforc Wielbnowski 2003 Quant aux d bats sur le bien tre des animaux d levage ils se poursuivent mais les progr s sont moins apparents En cons quence Au cours des 15 derni res ann es on a assist une explosion des refuges petite chelle au niveau des collectivit s Cette hausse du nombre de personnes l oeuvre pour s occuper des animaux de compagnie sans foyer a sans aucun doute sauv beaucoup de vies animales et il s agit l d un mouvement tr s positif dans l ensemble Toutefois il peut y avoir lieu de s inqui ter lorsque les personnes qui prodiguent les soins aux animaux quoique bien intentionn s n ont pa
208. vent sont issues de ces documents Pendant le transport les animaux doivent avoir un espace ad quat un environnement confortable et un air de bonne qualit De plus le conducteur du v hicule doit conduire avec soin afin d viter de soumettre les animaux au stress engendr par des acc l rations ou des d c l rations soudaines ainsi qu des mouvements lat raux lors des virages des bruits ou des vibrations excessifs v hicule pendant le transport Comme les chiots et les chatons sont plus vuln rables on doitles traiter avec une attention suppl mentaire lors du transport ce qui implique notamment de ne pas les xposer des temp ratures extr mes de maintenir un niveau d hydratation et de nutrition ad quat et de les prot ger contre l exposition aux maladies infectieuses pendant le processus de transport moins qu ils ne soient orphelins les chiots et les chatons de moins de 8 semaines devraient tre transport s avec leur m re dans une cage assez grande pour que celleci puisse se coucher confortablement sur le c t avec les membres tendus afin de faciliter l allaitement L transport d un tat l autre d animaux g s de moins de 8 semaines est interdit dans certains tats les animaux ne devraient pas tre mis sous s dation sauf sur recommandation d un m decin v t rinaire parce que cela peut les rendre plus vuln rables
209. ventions sous environnement st rile Dans les refuges on ne fait pas de v ritable st rilisation des cages et des surfaces Gilman 2004 le fait qu une maladie infectieuse s propage ou non d pend de plusieurs facteurs l organisme h te l animal expos la virulence de l agent pathog ne la quantit d agents pathog nes pr sents et la dur infectant courantes et sur des recommandations labor es sp cifiquement pour les refuges De m me les protocoles doivent comprendre des m thodes et des produits concus sp cifiquement pour le nettoyage et pour la d sinfection des refuges On trouve de plus n plus de ressources qui proposent des directives adapt es l environnement particulier des refuges Dvorak 2009 Miller 2004b Peterson 2008 UC Davis 2009 On doit affecter suffisamment de personnel pour de l exposition Lawler 2006 la dos est la quantit d agents pathog nes requise pour r aliser rapidement les t ches quotidiennes d finies aux protocoles d hygi ne ainsi les animaux passeront Mesures sanitaires On doit affecter suffisamment de personnel pour r aliser rapidement les t ches quotidiennes d finies aux protocoles sanitaires ainsi les animaux passeront la majorit de leur temps dans un environnement sain Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers la majorit de leur temps dans un env
210. ww animalsheltering org resource library magazine articles may jun 201 1 getting real asv standards html http www animalsheltering org resource library magazine articles jul aug 201 1 getting real asv standards austin humane pdf On peut trouver des tudes de cas sur le site Internet de l ASV www sheltervet org et ASPCA Pro offre une s rie de s minaires en ligne sur diff rents volets sp cifiques des Recommandations http www aspcapro org webinar series guidelines for standards php vi Processus d auto valuation Pour les organisations les Recommandations constituent une occasion de d clencher des r flexions et des discussions et surtout de passer l action Pour les refuges c est galement l occasion de r aliser une valuation en profondeur de leurs processus de fonctionnement actuels afin de d terminer les am liorations que l on pourrait apporter au b n fice des animaux Dans un cadre d am lioration constante des processus les refuges devraient faire une valuation continue des facons d am liorer leurs approches en mati re d h bergement et de soins aux animaux tablissement des priorit s et implantation La situation varie d une collectivit l autre De plus chaque refuge a ses particularit s et ses propres contraintes en mati re d am nagement C est pourquoi l ch ancier et le processus d implantation des Recommandations devraient tre ajust s en fonc
211. xpert says Sept 2 2010 Disponible au http latimesblogs latimes com unleashed 20 10 09 one fourth ofnew animathoarding ases involve rescuers aspca expertsays himleutm_ source feedburner amp utm medium feed amp utm campaign F eed 3A Unleashedblog L A Unleashed Blog lago A McGuirk SM Bennett TB ef al Calf respiratory disease and pen microenvironments in naturally ventilated calf barns in winter J Dairy Sci 2006 89 4014 25 Larson L Newbury S Shultz RD Chapter 5 Canine and feline vaccinations and immunology In Miller L Hurley K eds Infectious Disease Management in Animal Shelters Ames IA Wiley Blackwell 2009 pp 61 82 Laule GE Positive reinforcement training and environmental reinforcement enhancing animal wellbeing J Am Vet Med Assoc 2003 223 969 73 Lawler DF Prevention and management of infection in kennels In Greene CE ed Infectious Diseases of the Dog and Cat 3rd edn St Louis WB Saunders Co 2006 pp 1046 51 Ledger RA Baxter M McNicholas J Temperament testing dogs in a rescue shelter Improving owner dog compatibility In Rutter SM Rushen J Randle HD Eddison JC eds Proceedings of the 29th International Congress of the ISAE Exeter UK Wheathampstead UK Universities Federation for Animal Welfare 1995 pp 101 2 Ledger RA Baxter MR The development of a validated test to assess the temperament of dogs in a rescue shelter In Mills DS Heath SE Harrington LJ ed

Recommandations de normes de soins pour refuges animaliers

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