Le diabète : une pandémie silencieuse
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1. 19 N 3 VER 2010 Sant Qu LA REVUE DE L ORDRE DES INFIRMI RES ET INFIRMIERS AUXILIAIRES DU QUEBEC DOSSIER SPECIAL Le diabete une pandemie silencieuse PORTRAIT Fannie Letendre d une infirmi re auxiliaire p allum e par sa profession PROGRAMME PRIVILEGE D ASSURANCE ET DE SERVICES FINANCIERS L OINAQ et La Capitale uvrent dans le m me sens celui de vous donner acc s de nombreux avantages Soyez assur d en avoir plus pour vos assurances ef vos services financiers gr ce au programme privil ge offert aux membres Pour PROTEGER vos int r ts Automobile Habitation V hicules r cr atits Sant individuelle Vie Responsabilit professionnelle Pour BATIR l avenir Pr ts hypoth caires Services financiers LE Planification mi carri re et retraite Profitez de ce programme privil ge sans plus tarder 1 866 244 0839 www lacapitale com CE Ordre des infirmi res La Capitale et infirmiers auxiliaires groupe financier du Qu bec Cabinet de services financiers Sante Quebec R dactrice en chef Nadine Bourgeois directrice des communications par int rim Comit d orientation R gis Paradis infirmier auxiliaire pr sident Pierre Martin infirmier auxiliaire administrateur Sophie Dorion infirmi re auxiliaire H l ne Lapr s infirmi re auxiliaire Conception graphique et mise en page Agenc2. 22 SANT QUEBEC Qu est ce qu une pand mie CHRONIQUE JURIDIQUE Le 11 juin 2009 l Organisation mondiale de la Sant OMS a d cr t un niveau d alerte en phase 6 concernant la grippe A H1N1 Selon l OMS le terme pand mie signifie qu un virus grippal nouveau pour l homme a fait son apparition se propage et provoque des cas de maladie dans de nombreuses r gions du monde Certains ordres professionnels du domaine de la sant plus troi tement impliqu s en cas de pand mies ont t dans l obligation de se doter de r gles la fois souples et efficaces qui permettent la r inscription au tableau de personnes retrait es pouvant pr ter main forte aux employ s du r seau de la sant En effet la demande du MSSS et suivant la position concert e de plusieurs ordres des politiques ont t labor es en ce sens tout en assu rant la s curit et la protection du public Le maintien des activit s des ordres Plusieurs ordres professionnels ont d j adopt des PCA pr voyant divers sc narios comme l absence du tiers du personnel et qui permettront 0 835511161 le maintien de leurs activit s jug es essentielles L Ordre des infirmi res et infirmiers auxiliaires du Qu bec OITAQ a fait de m me en adoptant en octobre dernier un PCA et en cr ant un comit de pand mie qui se r unit chaque semaine Ce dernier a notamment pour fonction de surveiller troitement l volution de la
3. rench rit Fannie SOURCE MAGAZINE MODE D EMPLOI VOLUME 03 NUMERO 01 SEPTEMBRE 2009 DOSSIER SANTE QUEBEC DOSSIER LE DIABETE UNE PANDEMIE SILENCIEUSE PAR SYLVIE RAJOTTE INFIRMIERE AUXILIAIRE LES PANDEMIES N ONT PAS TOUTES LA COTE M DIATIQUE NI NE PROVOQUENT UN VENT DE PANIQUE LA PANDEMIE DE GRIPPE QUI FRAPPE EN CE MOMENT LA PLAN TE ENTI RE S EST ACCOMPAGN E D UN GRAND AFFOLEMENT DES L ANNONCE DES PREMIERES VICTIMES CURIEUSEMENT LORSQUE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT OMS A ANNONC IL Y QUELQUES ANN ES L EXISTENCE D UNE GRAVE PAND MIE DE DIABETE IL N Y A EU NI PANIQUE NI SURDOSAGE D INFORMATION M DIATIQUE ET CE M ME APR S DES MILLIERS DE VICTIMES POURQUOI CETTE ABSENCE DE R ACTION DE LA POPULATION DES M DIAS ET DES AUTORIT S DE LA SANT PUBLIQUE NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 Cette pand mie inclut tous les types de diab te type 1 type 2 et diabete gestationnel M me si tous sont en croissance la progression la plus marqu e touche cependant celui de type 2 avec 90 des cas En fait il n y a pas si longtemps il etait inconcevable qu un enfant ou un adolescent puisse d velop per ce type de diabete Malheureusement aujourd hui les cas se comptent par milliers Le mode de vie montr du doigt Toutes les tudes concordent sur un point le surpoids et l ob sit sont les principaux facteurs d closion du diab te de type 2
4. Il est tabli que 80 des diab tiques de type 2 font de l embon point Dans les pays industrialis s le surpoids est intimement li au mode de vie le manque ou l absence d activit physique et les mauvaises habitudes alimentaires Le grand coupable de cette pand mie les habitudes de vie inad quates tout simplement Le manque de connaissances de la population par rap port aux m faits d une alimentation non quilibr e et de la s dentarit La facilit se procurer des aliments pr ts servir ayant perdu une grande partie de leur apport nutritif ou conte nant des agents nocifs pour la sant Les loisirs l ordinateur au d triment des loisirs sportifs La difficult de changer des habitudes n fastes ancr es depuis longtemps DOSSIER Si l on demande a quiconque 5 11 sait que ses habitudes de vie sont n fastes pour sa sant il r pondra oui Toutefois les habitudes malsaines entra nent souvent un passage oblig par des maladies graves dont le diab te Il s agit d une maladie extr mement d bi litante et invalidante Pourquoi alors les habitudes malsaines persistent elles La grande difficult r side dans la capacit de changer une habitude Le mot parle par lui m me habitude signifie r flexe acquis quel que chose fait machinalement Ce qu il faut c est amener les gens a prendre conscience de leurs habitudes de vie et a les valuer Il faut les ramener au lien qui exi
5. Jour apr s Jour vous donnez le meilleur de vous m me de nombreux patients Et quotidiennement La Capitale assurances g n rales est heureuse de vous en offrir PLUS en prot geant les activit s professionnelles des membres de l OIAQ Pour en savoir davantage sur votre programme d assurance n h sitez pas appeler un de nos agents 800 644 0607 La Capitale assurances g n rales CABINET EN ASSURANCE DE DOMMAGES NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 7 MOT DE LA SECRETAIRE CONGE DE MATERNITE ET RETRAITE REMBOURSEMENT PARTIEL DE LA COTISATION PROFESSIONNELLE PAR ANDREE BERTRAND SECRETAIRE Si vous tes en cong de maternit ou nouvellement retrait e vous de membre en r gle Seules les demandes de remboursement avez droit un remboursement partiel de la cotisation profession li es l exercice 2009 2010 et re ues avant le 31 mars 2010 nelle 2009 2010 Pour en b n ficier vous devez faire parvenir seront recevables une demande crite mon attention et joindre une confirmation de l employeur pr cisant la date a laquelle a d but le cong de noter que les demandes de remboursements li es au cong de maternit ou la retraite ainsi que l original de votre attestation maternit doivent tre adress es l Ordre avant le retour au travail AN C gep T 6 Peete Marie Victorin d Savoir inventer demain Un monde de possibilit s Centre ducationnel Inter Age Program
6. Germain Michelle Guirand Madsen Gilbert Eug nelle Girouard Val rie Hamlaoui Dahbia Gladu Cormier St phanie Hancco Rivas Juana Godin Caroline Harvey Nathalie Goodin Angela Hayes Karen Gordon No mie H bert Martin Yanick Centre hospilalier CH Cee denhe es d co sur ba v slitiibtenn 4 de FORMATION CONTINUE 2009 2010 ml Ateliers sur place 7 h L approche g riatrique Qu bec 22 janvier 5 mars et 20 mai 2010 Rimouski 12 mai 2010 Les sympt mes comportementaux et psychologiques de la d mence et les troubles du comportement Qu bec 9 f vrier 9 mars 20 avril 20710 La contribution des infirmi res auxiliaires a l valuation et la surveillance clinique de l ain Qu bec 20 f vrier 2010 Alma 26 mars 2010 Chandler Te avril 2010 Rimouski 13 mai 2010 St Georges 5 juin 2010 D pistage de l abus de la n gligence et de la violence envers des ain s Qu bec 12 mars 2010 Soins palliatifs aux personnes g es en CHSLD Trois Rivi res 25 mars 2010 Chicoutimi 12 mai 2010 Visioconf rences 3 h 15 offertes partir de Qu bec La gestion optimale des symptomes comportementaux et psychologiques de la d mence 26 janvier et 13 mai 2010 La r sistance aux soins d hygi ne associ e la d mence 4 l vrier 2010 L approche g riatrique 12 f vrier 2010 La contribution du personnel infirmier l usage optimal des m dicaments chez l a n 22 avril 2
7. Lajeunesse Benoit Lalancette Fr d ric Lalonde Julye Lamarre Sandy Landry B rang re Landry Maryse Langevin Johanne Lapierre Julie Laroche Michael Larochelle Christine Larouche Mylene Latendresse Alexandre Laurin Tanya L Ecuyer Mylene Legagneur Rose Ren e Legros Sylvie Lemaire Catherine Lenneville Manon Lepage Marie Az lie Lepage Mylene Lessard Vicki Lestage Marie Jos e L vesque Audrey Ann L vesque Pamela Lewis Mondel Geanel Louchahi Meriem Louis Nancy Louis Seize B lisle Virginia Mac Le Tinh Magassouba Fatoumata Odette Mailhot Jacques Maiorana Linda Manirambona Romain Maouche Leila Marin Mariea Daniela Marineau Jos e Marleau Francis Marquette Maxime Marquis St phanie Martin Lou Anne SANTE QUEBEC Massicotte Jennifer Mateo Ciara Joy Maurais Val rie Mbuyi Kalembwe Beatrice McGillis Sabrina Mecteau M lanie M lan on St phanie M nard Sylvain Mercier Marie Mich le Miclisse Ludna Millette Karine Mirea Nicoleta Mireault Christian Moke Ebila Hortense Mongrain Genevi ve Moreau France Moreau Joanie Moreira Monica Morneau Marie Claude Morrison Melisa Morrissette Nancy Moss Tracey Mourchid Jalal Moustarji Said Mrissita Jamila Muboyayi Cathy Muhammad Athari Mukabayundo Belancilla Murhimanya Ntakwinja Christine Nadeau Virginie Nahimana Jos phine Naud Brunet Krystle N Doye Arame Nganlo Tchamegni Fl
8. Montr al Les lois du travail sont mal adapt es 10 octobre 2009 24 SANTE QUEBEC PARCE QU IL FAUT LE FAIRE FAITES LE AVEC DES PROFESSIONNELS C est pourquoi le Centre de formation professionnelle de la Commission scolaire des Rives du Saguenay qui forme des infirmi res et infirmiers auxiliaires depuis bient t cinquante ans vous offre de nombreux perfectionnements e Th rapie intraveineuse Administration de vaccins installation d un tube nasogastrique et pr l vement sanguin loi 90 e Accident vasculaire c r bral AVC e Les opio des et la surveillance clinique des b n ficiaires e P diatrie les alt rations les plus courantes e Soins li s au traitement des plaies e Syst me respiratoire asthme chez l enfant et l adulte chaque ann e vous devez r pondre au R glement sur la formation continue obligatoire des infirmi res et infirmiers auxiliaires La formation continue est plus que jamais n cessaire pour assurer le d veloppement de la profession et la qualit des soins que vous prodiguez aux personnes Pour plus d information BP CIRE bt FORMATIH TG 418 698 5000 poste 5216 Les heures de formation dispens es par le CFP l Oasis sont reconnues admissibles en vertu du R glement sur la formation continue obligatoire des infirmi res et infirmigrs auxiliaires LEGAL MATTERS PROFESSIONAL ORDERS OBLIGATIONS IN THE EVENT OF A PANDEMIC In the fa
9. OITAQ d sire sou haiter la bienvenue ses nouveaux inspecteurs M Jessie Chagnon infirmi re auxiliaire au CHUS Hopital de Fleurimont e M Julie St Germain infirmiere auxiliaire travailleuse autonome et e M Andr Richard infirmier auxiliaire a l H pital de l Enfant J sus Leur mandat a d but le 5 juin 2009 et se terminera en d cembre 2010 A titre d inspecteurs ils assistent les membres du comit d ins pection professionnelle CIP dans leurs activit s de surveillance de l exercice de la profession d infirmiere auxiliaire Leur role consiste principalement a valuer la competence des membres de l Ordre dans le cadre de leurs fonctions au sein des divers tablissements de sant et ce par l observation le ques tionnement la mise en situation l examen de dossiers et l tude de rapports Les tats de v rification des inspecteurs sont ensuite soumis au CIP Pour accomplir leurs fonctions les inspecteurs doi vent notamment tenir compte des devoirs et obligations pr vus au Code de d ontologie tout en se r f rant aux normes et crit res de comp tence pr vus aux Indicateurs de la comp tence de l infir mi re et infirmier auxiliaire dition 2003 RETROUVAILLES 25 anniversaire des finissants de mai 1985 de la polyva lente Le Phare de Sherbrooke Communiquer avec Maryse Vincent au 819 479 7828 ou maryse lvincent yahoo 9 PORTRAIT FANNIE LETENDRE IN
10. Sevigny Isabelle Sevigny Judith Shankar Purnima Sid Otmane Hamida Simard Angie Simard Audrey Simbert Rose Myrtha Sirois Maxime Soyer Rica St Denis Jessica St Denis Mylene St Firmi St Cyr James St Jean Annie St Onge Marie H l ne Succ s Lapierre Darline Sucmanaru Silvia Sun Vanny Tanguay Marie Pier Tardieu Santerre St phanie Temamra Hamid Tezzo Kiku Daisy Th riault H l ne Th riault M lanie Thibault Nathalie Thibault Prudance Thivierge Sarah Thivierge Suzie Tihova Radostina Torres Rita Toussaint Nadia Tremblay Carole Anne Tremblay C line Tremblay Isabelle Tremblay Sarah Tremblay Sylvie Tremblay Vickie Trudel Pelletier St phanie Tsiquaye Boadi Charlotte Uwimana Marthe Valentin Ralph Vall e milie Valli res Nathalie Vanasse Karine V ronneau Ghislain Vignarajah Vinothini Villeneuve Am lie Voltaire Marie Voyer Val rie Voyer Vickie Welcome Patricia Yahi Yasmine Yamtora Mariam Yattara Ibrahima Yeboah Daniel Yela Rodriguez Deolinda Yenga Poly Zhang Li Zongia Davina Zraouti Abdelouahab AVIS DE RADIATION DOSSIER 21 07 1320 Avis est par les pr sentes donn que M Jeremy Darrell Adams inf aux 44534 d ment inscrit au tableau de 1 01016 des infirmieres et infirmiers auxiliaires du Qu bec a t d clar coupable le 14 octobre 2009 par le conseil de discipline de 1 01016 des infractions suivantes e Che
11. conditions de travail dans le contexte de la grippe A H1N1 Octobre 2009 NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 23 CHRONIQUE JURIDIQUE La vaccination Un employeur du secteur de la sant ne peut contraindre aucun de ses employ s a se faire vacciner en raison des droits pr vus a cet effet au Code civil du Qu bec et a la Charte canadienne des droits et libert s Ce n est que dans des circonstances exceptionnelles pr vues la Loi sur la sant publique que le gouvernement pourrait impo ser la vaccination l ensemble de la population voir l enca dr On comprend facilement que ce n est qu en cas de situation d urgence sanitaire qu il pourrait y avoir recours L urgence sanitaire Il est noter que la Cour sup rieure a pris r cemment une d ci En vertu de la Loi sur la sant publique le ministre sion confirmant une sentence arbitrale qui a reconnu le droit de de la Sant et des Services sociaux peut d cr ter refus d un vaccin pour l influenza saisonni re exprim par une l tat d urgence sanitaire pour une p riode maximale professionnelle de la sant cette reconnaissance tant assujettie de 48 heures Art 119 L Assembl e nationale peut certaines r serves et cons quences exercer les m mes pouvoirs pour une p riode maxi male de 10 jours laquelle peut tre renouvel e par le Dans une telle ventualit et afin de prot ger les patients la per gouvernement C est en vertu d
12. diab tiques En 2005 2006 en comparaison des adultes non diab tiques les adultes diab tiques ont t hos pitalise s 23 fois plus souvent pour une amputation d un membre inf rieur 7 fois plus souvent pour une n phropathie chronique 3 fois plus souvent pour l ensemble des mala dies cardiovasculaires y compris l hyperten sion l insuffisance cardiaque l infarctus la cardiopathie isch mique et l accident vascu laire c r bral VOIR www phac aspc gc ca publicat 2008 ndssdic snsddac 08 pdf snsddac ndssdic 08_fra pdf SANTE QUEBEC L INFIRMI RE AUXILIAIRE A UN R LE IMPORTANT JOUER DANS LA SENSIBILISATION DE LA POPULATION PAR RAPPORT AUX HABITUDES DE VIE Des chiffres pr occupants L organisme Diab te Qu bec met continuellement jour sur son site Web les nouvelles donn es sur le diab te voir www diabete qc ca Cette source est un excellent moyen pour la population 0 6131811 ses connaissances notamment grace aux principaux rapports d tudes et de recherche sur le diabete On y retrouve galement des statistiques troublantes Ces statistiques sont tir es principalement des rapports annuels de l Agence de la sant publique du Canada L dition 2008 du Rapport du Systeme national de surveillance du diab te vient d tre publi e et est accessible sur le site de l Agence Lorsque l on consulte ces derni res statistiques on comprend l urgence de sensibi
13. n ficiaire alors que cela tait requis le tout contraire ment aux articles 3 01 03 3 01 05 et 4 01 01 1 du Code de d ontologie des infirmi res et infirmiers auxiliaires Radiation temporaire d un 1 mois e Chefs n 6 7 et 8 Les 6 ao t 16 sep tembre et 21 septembre 2007 trois chefs alors qu il tait l emploi et dans l exercice de ses fonctions au CSSS du Suro t a omis de consigner des notes au dossier concernant l administra tion de divers m dicaments plusieurs b n ficiaires le tout contrairement aux articles 3 01 03 3 01 05 et 4 01 01 1 du Code de d ontologie des infirmi res et infirmiers auxiliaires Radiation tem poraire d un 1 mois Dans la d cision sur sanction rendue le 14 octobre 2009 le conseil de discipline a impos M Adams les radiations tem poraires inscrites en regard de chacun des chefs mais il l a dispens du paiement des frais et 0600101565 Enfin le conseil a ordonn la secr taire du conseil de proc der la publication de lavis de la d cision dans un journal circu lant dans le lieu o l intim a son domicile professionnel les frais de cette publication devant tre assumes par le syndic Cette d cision ayant t signifi e aux pro cureurs de l intim le 14 octobre 2009 et tant donn qu elle n a pas fait l objet d un appel elle est devenue ex cutoire le 17 novembre 2009 Le pr sent avis est donn en vertu de l article 180
14. situation de mettre a jour le PCA et le cas ch ant de prendre les mesures n cessaires et urgentes pour assurer la bonne marche des activit s de l Ordre La responsabilit de l employeur Les employeurs en g n ral comme ceux du secteur de la sant ont t sensibilis s a leurs obligations en pareilles circons tances tant responsable d assurer un milieu de travail s cu ritaire l employeur doit faire preuve de prudence et de diligence et d terminer les situations o une personne peut ou doit s absen ter ou travailler distance lorsque cela s avere possible Il peut aussi encourager la vaccination et mettre en place des mesures de pr vention et de contr le des infections pour ses employ s les administrateurs et les visiteurs incluant les membres et les can didats la profession Les employeurs ont aussi t invit s a assouplir certaines r gles et exigences inscrites a la convention collective ou aux lois l gard de la r mun ration des absences au travail ou de la pr sentation de certificats m dicaux Enfin les demandes de retrait pr ventif des personnes uvrant notamment dans le domaine de la sant de l ducation ou de la fonction publique ont t trait es en vertu de la l gislation appli cable au Qu bec Voir ce sujet Michel Delamarre sous ministre adjoint minist re de la Sant et des Services sociaux Communiqu relatif certaines mesures par ticuli res des
15. 010 Entretiens cliniques 1 offerts partir de Qu bec 35 trucs et astuces efficaces dans la gestion des sympl mes psychologiques et comportementaux de la d mence 3 mai 2010 Consulter notre sie intemet pour obtenir la liste complete ef d tall e des formations la description des contenus la chent le cible ef le formulaire d inscription www cha quebec qc ca CEVQ For T l 418 682 7511 poste 4838 ais Courriel cevq enselgnementcha ssss gouv qc ca 32 Grijalva Mendoza Rocio Yazmin Hagioglo Cernenchi Viorica Henry Micheline Heppell Fleurant Patricia Hubert Manon Huneault Johanne Hurtubise Johanne Hyacinthe Rose Pricille Hyppolite Luc Ibingo Lisette Ngia Ikhlef Moula 11101188 Ndaya Lydia Imama Ndongote Annie Irabor Esther Jean Esther Rebecca Jean Michele Jean Baptiste Marie Fernande Jean Baptiste Sherley Jean Baptiste Romain Emmanuella Jeanty Fredelyne Jesudasan Rajanitha Jobin Marylou Jones Marie Christine Joseph Naderge Joseph Vierge Jugan Sylvie Justine Josemie Kakese Nkaa Kalenga Mungedi Carine Kandasamy Santhini Kandekwe Sylvie Kandiah Kristhne Kenge Ngondo Astrid Khosla Renu Bala Kim Sophear Kitume Kamanya Leopold Labb e David Laberge Melissa Labont Gabrielle Labsal Yafa Lacroix Andr Lafond Jessica Lafrance Isabelle Lafreniere Carine Lafreniere Nathalie Lagace Karine Lagra Abdelkader Lahens Sherline
16. 2 tasse de jus de fruits 125 ml 1 2 tasse de boisson gazeuse r guliere ou de boisson aux fruits 300 ml 1 1 4 tasse de lait 200 ml 3 4 tasse de lait avec 2 biscuits secs 4 biscuits secs NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 17 DOSSIER LA MEILLEURE PREVENTION POUR EVITER OU RETARDER L APPARITION DE COMPLICATIONS DEMEURE LE MAINTIEN DU TAUX DE GLUCOSE SANGUIN AU NIVEAU RECOMMAND Les complications li es au diab te Les complications li es au diab te qui se d velopperont long terme ont une origine commune l exc dent de glucose dans le sang Ce ph nom ne amoindrit la qualit du sang et ne lui per met pas d accomplir pleinement son r le qui est d alimenter les tissus Des effets ind sirables risquent alors de se manifester dans plusieurs parties du corps D autres facteurs ont une influence sur le moment de l apparition de ces complications l ge l h r dit le temps coul depuis l apparition du diab te et les habi tudes de vie Les maladies et les complications les plus fr quentes d coulant du diab te sont e Maladie cardiovasculaire N phropathie Retinopathie Neuropathie Gastropar sie Dysfonction rectile Infection vaginale levure Parodontite e Amputation Le soin des pieds Les personnes diab tiques doivent porter une attention particu liere a leurs pieds afin de les maintenir en bonne sant Comme le diab
17. ENCE COURRIEL Optez pour la formation en ligne Pour vous permettre de compl ter les 10 heures de formation obligatoires nous vous offrons les cours en ligne suivants gt Pr vention des infections nosocomiales gt D ficits cognitifs gt Pharmacoth rapie et calculs math matiques appliqu s
18. FIRMIERE AUXILIAIRE MA JOB J EN MANGE AGEE DE 27 ANS FANNIE LETENDRE A COMPRIS QU ELLE AVAIT FAIT LE BON CHOIX LORSQU ELLE TAIT AU SECONDAIRE EN EFFET ELLE S EST DIRIG E VERS LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN SANTE ASSISTANCE ET SOINS INFIRMIERS AUJOURD HUI ELLE EST INFIRMI RE AUXILIAIRE DANS UN DES MILIEUX LES PLUS ACTIFS DU SYSTEME DE SANTE CELUI DES URGENCES VOICI LE PORTRAIT D UNE JEUNE PROFESSIONNELLE QUI S ACCOMPLIT CHAQUE JOUR AU TRAVAIL Lorsqu on lui pose la question est ce que tu aimes ce que tu fais dans la vie Fannie Letendre ne passe pas par quatre chemins La r ponse est claire Ma job j en mange Passionn e par les relations interpersonnelles et l entraide elle a trouv sa voie assez facilement Elle voulait devenir infirmiere auxiliaire Pourquoi infirmi re auxiliaire plut t qu infirmiere ou que pr pos e aux b n ficiaires Premi rement la jeune profession nelle a une personnalit tr s active elle aime que les choses bougent Elle voulait donc choisir un type de formation qui lui permettait d int grer le march du travail assez rapidement Je ne suis pas du genre rester assise tres longtemps sur une chaise couter une enseignante je pr f re tre dans l action dans le concret explique Fannie Ainsi le programme Sante assistance et soins infirmiers comprend oui un volet th o rique mais davantage de cours de pratiques et deux stages en
19. Grippe A H1N1 Lorsque la grippe s invite au travail Type A flu H1N1 when the flu shows up at work November 2009 vol 41 no 11 pp 1 8 and 9 A reminder for lawyers was also issued Bulletin Pr vention A H1N1 Avez vous oubli votre mot de passe A H1N1 did you forget your password November December 2009 vol 10 no 4 Professional Code section 23 26 SANTE QUEBEC What is a pandemic LEGAL MATTERS On June 11 2009 the World Health Organization WHO declared a Phase 6 alert concerning Type A flu H1N1 According to the WHO the term pandemic means that a new human flu virus has emerged and is spreading and causing illness in numerous regions of the world A number of healthcare related professional orders that are more closely involved in pandemic situations have had to imple ment flexible and efficient rules enabling retired individuals to re register and provide assistance to healthcare network employ ees At the MSSS s request and based on the common position adopted by several professional orders policies ensuring public safety and protection have been developed in this regard Business continuity Several professional orders have already adopted business con tinuity plans providing for various scenarios e g the absence of one third of their employees and ensuring the maintenance of essential services The Ordre des infirmieres and infirmiers auxi lia
20. Inde Panama S n gal et Vietnam Pour assister une s ance d information S jour de 7 semaines COUT 5 225 formule tout inclus t l phonez au 514 278 3535 poste 260 http voyagessolidaires collegemv qc ca NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 5 1 A WORD FROM THE PRESIDENT UPDATE ON BY REGIS PARADIS PRESIDENT These early days of the New Year are eventful times for the healthcare sector The Type A flu H1N1 remains a key area of public concern The government s unprecedented mass vaccin ation program has met with success thanks in particular to the efforts of licensed practical nurses who have acted as frontline caregivers IV therapy training course The 21 hour IV therapy training course was launched several months ago An initial intake of 8 000 LPNs will complete their training by June 2011 For those LPNs who were not included in the initial intake approximately 6 000 people the Ordre will be holding talks with MSSS representatives to determine the appropriate train ing conditions We will keep you updated on developments in this regard 6 LPNs and local community service centres CLSCs In recent years the number of LPNs integrated within CLSCs has increased Our members are currently working in the areas of specimen collection routine care services and home care We note however that employers are not sufficiently proactive in this regard For that reason w
21. Le glucose demeure donc dans le sang quel moment un diagnostic de diab te est il pos Pour poser un diagnostic de diab te un m decin n a qu cons tater une de ces caract ristiques Une glyc mie jeun sup rieure 7 mmol l Une glyc mie n importe quel moment de la journ e sup rieure a 11 1 mmol l Une glyc mie la deuxi me heure de l hyperglyc mie provoqu e par voie orale HGPO gale ou sup rieure 11 1 mmol l Valeurs normales de la glyc mie Chez les gens non diab tiques jeun le matin ou avant les repas au moins 4 heures apr s le dernier repas le taux de glyc mie devrait se situer entre 4 et 6 mmol l et 2 heures apr s un repas entre 5 et 8 mmol l Valeurs cibles atteindre chez les gens diab tiques Chez les diab tiques jeun le matin ou avant les repas au moins 4 heures apr s le dernier repas la valeur cible se situe entre 4 et 7 mmol l et 2 heures apr s un repas entre 5 et 10 mmol l Les types de diab te Il y a trois principaux types de diab te le diab te gestationnel le diab te de type 1 et le diab te de type 2 Le diab te gestationnel se diagnostique habituellement dans la seconde moiti de la grossesse plus particuli rement au cours du troisi me trimestre On dit que pr s de 5 des femmes d ve loppent un diab te gestationnel et de ce pourcentage la moiti d velopperont un diab te de type 2 au cours de leur vie Le di
22. P 4 Cette formation touche aux diff rents aspects li s au dia Sitagliptine Januvia bete l aspect anatomique et pathologique les maladies d coulant du diab te la m dication orale l insuline et les nouveaut s en mati re de traitement On aborde gale ment la glyc mie capillaire les situations d hypoglycemie et d hyperglycemie l alimentation l activit physique et le soin des pieds Cette formation pr voit aussi un rafraichis sement des connaissances sur les techniques de pr para tion et d administration de l insuline NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 19 DOSSIER Les types d insuline D but d action Pic d action Dur e d action Analogue action tr s rapide e Insuline lispro Humalog 10 a 15min 3h30 4h45 e Insuline aspart NovoRapid M e Insuline glulisine Apidra Action rapide Insuline r guli re Humulin R Novolin ge Toronto Action interm diaire e Insuline NPH Humulin N Novolin ge NPH Humulin L Analogue longue action e Insuline glargine Lantus 10 15 min 30 min 111 2h30 1h 1h30 2ha3h 511 3 1 60 Jusqu a 18h Insuline d t mir Levemir Pr m lang e Insuline tr s rapide et insuline interm diaire NovoMix 30 M lange de 30 d insuline asparte insuline action tr s rapide et de 70 d insuline asparte protamine insuline action
23. ab te de type 1 nomm aussi diab te juv nile est une maladie auto immune qui se d veloppe surtout chez les enfants et les adolescents et parfois chez de jeunes adultes Ses principales manifestations sont la polyurie une envie fr quente d uriner la polydipsie une soif excessive la polyphagie la sensation d avoir toujours faim la perte de poids inexplicable une fatigue inex pliqu e de la somnolence une vision trouble l halitose haleine sucr e ou fruit e naus e et vomissements Le diab te de type 2 est celui que l on surnommait aupara vant le diab te de vieux Ce qui ne correspond plus du tout la r alit puisque 90 des cas de diab te aujourd hui sont de type 2 Ses principales manifestations sont la polyurie la polydipsie la fatigue une vision trouble la polyphagie cependant accompagn e d une perte de poids Si la maladie est install e depuis longtemps d autres manifestations plus graves sont possibles cicatrisation lente vaginite r p tition infection au p nis fourmillement dans les mains et les pieds et engourdissement de ces membres SANT QU BEC DOSSIER L hypoglyc mie chez la personne diab tique Que faire en cas de sympt mes L hypoglyc mie se d finit par l abaissement de la glyc mie sous d hypoglyc mie le seuil de 4 mmol l Les principales causes de l hypoglyc mie sont notamment Faire une mesure de la glyc mie capillaire e des repas o
24. avie Nguyen Thi Doan Khanh Nguyen Van Eric Niang Fatou No l M lanie Ntema Bizemba Kido Nyarko Afua Nzinba Diane Odainic Natalia Omba Nathalie Osah Oghomwen Jenifer Oubaik Fatima Ouellet Suzanne Ouellette Rachel Ouimet Marjorie Panneton Jacques Paquet Bianca Paradis Annie Pier Paradis Kathleen Paradis Lafond Isabelle Parent Marie Eve Patel Karuna Patenaude Sylvie Pazderska Magdalena Pepin Marc Andr Petit Marie Eve Phanord Jennifer Pierre Jenny Ruth Pierre Wislande Pierre Louis Rodeline Plante Julie Plante V ronique Plourde Stephanie Poirier Emilie Poitras Denis Porras Galarza Edgar Faustino Poulin Cinthia Prudent Chryssa Malika Racine Anne Marie Racine Samantha Ramdani Ahmed Rami Fatima Ramirez Rhea Rammache Abdelkrim Ranger Martine Raymond Melanie Richard Nadine Richard Patrick Richard Suzanne Ridard M lanie Rincon Cardona Yhessica Paola Rivard Carl Rivard Manon Rivet Sophie Roberge Kim Roberge Mylene Robinette M lissa Rochon Joanne Romano M lanie Ross Marie Claude Roy Catherine Roy St phanie Roy Beaulieu Melanie Ruel Patrice Sabbagh Ghita Sabino Crizzalyn Saint Germain Bertin Saintil Marie Fortunette Saint Jean Magdala Salinas Gonzalo Eduardo Sanon Litza Marie Sarbu Dinu Saric Lorjana Sauriol Katherine Sayers Margaret Selma Seguin Martine Segura Solorzano Lidiette Sergerie Jean Francois
25. d leave telecommuting vaccinations as well as infection prevention and control measures It should be noted that even during a pandemic the profes sional orders are still responsible for carrying out their pub lic protection mandate Admitting new members enforcing discipline carrying out professional inspections providing advisory services for members and institutions and organiz ing communications are among the activities usually deemed essential Like many other organizations the professional orders are required to draw up a BCP outlining which priority activities should be maintained and which ones should be post poned or cancelled Quebec emergency preparedness organization OSCQ Guide l intention des entreprises de la continuit des op rations en cas de pand mie d influenza Business continuity guide in the event of an influenza pandemic June 2007 Other documents emphasize directors responsibilities and set out recommendations Canadian Institute of Chartered Accountants Not for Profit Director Report Pandemic Preparation and Response Questions for Directors to Ask October 2009 Quebec financial market authority AMF Pand mie d influenza Guide de gestion de la continuit des activit s l intention des intervenants du sec teur financier qu b cois Influenza pandemic business continuity management guide for Quebec financial sector stakeholders April 2007 Journal du Barreau du Qu bec
26. du Code des professions Montr al le 20 novembre 2009 France Joseph avocate Secr taire du conseil de discipline SANT QU BEC OBJETS PROMOTIONNELS Veuillez faire parvenir votre commande l adresse suivante accompagn e d un ch que l ordre de BO N DE CO M MAN DE IV OIIAQ 531 rue Sherbrooke Est Montr al Qu bec H2L 2 ARTICLES PROFESSIONNELS QUANTIT PRIX UNITAIRE SOUS TOTAL 1 Sac a lunch thermos peut contenir un r cipient 4 niveau L noir L bleu rose L vert L orange 13 00 1 1 2 Sac a lunch thermos grand format X 13 00 rs 3 Sac fourre tout Le X 8 36 4 Tasse thermos 13 00 s 5 Barrette d identification avec gravure 12 50 sans gravure X 9 00 1 6 6 Insigne X 15 00 2 7 7 Bague femme grandeur oZ o oo ooo o oo 5 gt X 95 00 6 0 Bague homme grandeur 2 o o ZY o ooo o oo 120 00 7 8 0016 1665 ee X 5005 _ 9 Pendentif or jaune ou or blanc 7 Oo X 32 50 0 0 argent 7 O 15 00 Chaine E or jaune ou or blanc E 16 E 18 gt X 27 50 E argent 16 HU 18 30 6 10 00 10 Parapluie 0 o X 25 00 2 7 TAXES NON APPLICABLES TOTAL M 2 NOM PR NOM N DE MEMBRE ADRESSE T L PHONE TRAVAIL T L PHONE R SID
27. e A H1N1 qui retient l attention de tous alors que les ordres pro fessionnels au m me titre que les organisations et les employeurs sont dans l obligation de prendre des mesures pour faire face une pand mie qui cette fois est une r alit Planifier dans un contexte de pand mie Il y a quelques semaines le Conseil interprofessionnel du Qu bec CIQ invitait les ordres professionnels s assurer de la continuit de leurs activit s et services et plus concr tement se doter d un plan de continuit de leurs activit s PCA Pour ce faire il les r f rait notamment un document pr par par le minist re de la PAR GEORGES LEDOUX AVOCAT SERVICE JURIDIQUE Sant et des Services sociaux MSSS Les ordres professionnels pouvaient aussi s inspirer tout en l adaptant pour leurs fins d un plan de m me nature pr par l intention des intervenants du secteur financier qu b cois Un PCA est non seulement un outil important devant permettre a un ordre professionnel d assumer ses responsabilit s l gales mais aussi celles en lien avec sa qualit d employeur Il faut d ailleurs souligner la n cessit d adopter des directives concer nant les cong s et les absences le travail distance la vaccina tion et les mesures de pr vention et de contr le des infections Pr cisons d abord que m me dans un contexte de pand mie un ordre professionnel n est pas relev de son mandat
28. e A H1N1 Press release on certain specific measures concerning employment conditions in the context of Type A flu H1N1 October 2009 NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 27 LEGAL MATTERS Vaccinations Employers in the healthcare sector cannot force any of their employees to be vaccinated in accordance with the provi sions of Quebec s Civil Code and Canada s Charter of Rights and Freedoms Only in exceptional circumstances as set out in Quebec s Public Health Act can the government require the entire population to be vaccinated see textbox It is clear that such a step may only be taken in the event of a public health emergency It should be noted that Quebec s Superior Court recently issued a ruling upholding an arbitration decision recognizing a health care professional s right to refuse a seasonal flu vaccination This recognition is subject to certain restrictions and consequences In a healthcare setting individuals who refuse to be vaccinated could be assigned to another activity by their employer or sim ply asked to stay home in order to protect patients The current pandemic provides an opportunity to verify whether the mass vaccination program promoted by the government and the public health measures implemented in recent months by the MSSS and various companies will limit adverse impacts on professionals workers businesses and the general public It also provides an opportunity to
29. e M diapresse inc Imprimerie Litho Mag Traduction Luke Sandford R vision Manon Salvas Publicit OIIAQ Direction des communications 531 rue Sherbrooke Est Montr al Qu bec H2L 1K2 514 282 9511 1 800 283 9511 www oiiaq org Politique r dactionnelle Sant Qu bec est publi par l Ordre des infirmi res et infirmiers auxiliaires du Qu bec Les articles paraissant dans la revue Sant Qu bec peuvent provenir d associations ou d individus dont les opinions ne refl tent pas n cessairement les points de vue de 101180 Par cons quent ces articles n engagent que leur auteur Les articles crits par l OINAQ peuvent tre reproduits a condition d en mentionner la source Cependant les textes provenant d associations ou de particuliers ne peuvent l tre sans la permission expresse de leur auteur Ce num ro de Sant Qu bec a t tir 33000 exemplaires Abonnement 3 num ros an Canada 20 Autres pays 25 Mission L Ordre des infirmi res et infirmiers auxiliaires du Qu bec a pour mandat d assurer la protection du public en exer ant une surveillance de l exercice de la profession par le biais des divers m canismes pr vus par le Code des professions et ses r glements L Ordre a aussi pour mission de favoriser le d veloppement professionnel de ses membres tout en visant l excellence et ce afin de contribuer l am lioration de la qualit des soins et de la sant de la populat
30. e have been making representations to the MSSS the agencies and other institutions with a view to speeding up the integration process In this issue The shortage of qualified nurses remains a source of concern In response we are stepping up our efforts to retain new recruits To that end we will be spotlighting some of our newest mem bers including a profile in this issue of Fannie Letendre an LPN working in emergency medical services an area in which our members are playing an ever growing role This issue also fea tures an article on diabetes an insidious disease that is endemic in our society though its progress is often imperceptible SANTE QUEBEC A WORD FROM THE PRESIDENT 2010 Conference You will find enclosed together with this magazine the program of In closing I would like to extend my best wishes for a healthy activities for the 2010 Conference which will be held in Rimouski and happy New Year on June 3 Organized around the theme of Professionals Active in All Areas of Healthcare a variety of seminars will be pre R gis Paradis L P N sented on ethics improved approaches to vulnerable clienteles therapeutic nursing plans and disease prevention through diet p s Z i and nutrition Our experienced guest speakers will address these l 2 q topics from the perspective of the numerous healthcare settings President and Executive Director in which our members work LASSURANCE D EN AVOIR PLUS
31. e l article 123 que le sonne pourrait si cela s avere possible tre assign e par son ministre ou le gouvernement peut ordonner une vacci employeur dans un autre secteur d activit s ou tout simplement nation obligatoire tre invit e rester chez elle Voir aussi sur le sujet La pr sente pand mie permettra de v rifier si le programme de eek Le Soleil Qu bec pr pare son sc nario catastrophe 20 octobre 2009 Loi sur la sant publique L R Q c S 2 2 Chapitre 9 Section III Pour la d claration d urgence sanitaire art 118 122 vaccination massive pr conis par le gouvernement ainsi que les mesures de sant publique mises en place au cours des derniers mois par le MSSS et les entreprises limiteront les effets n fastes pour les professionnels les travailleurs les entreprises et la soci t en g n ral Cette situation sera aussi l occasion de s assurer que les lois conventions collectives et politiques gouvernementales sont bien adapt es a des situations exceptionnelles comme une pand mie de grippe A H1N1 6 Syndicat des professionnelles de la sant en soins infirmiers et cardio respiratoires de Rimouski FIQ et CSSS Rimouski Neigette M Marcel Morin arbitre CanLII 19577 QCA G 24 avril 2008 La requ te en r vision judiciaire de cette d cision a t rejet e par la Cour sup rieure Juge Ga tan Pelletier D cision du 8 juin 2009 n 100 17 0000847 089 7 Journal de
32. embres L assurance d avoir PLUS de privileges 1 Eh LI i 1 I L 4a i a 1 ee S a a 1 p 1 h L P 23 4 pl k j j gt 7 r 1 j F al a LR i L a CIN pF PLUS d conomies sur vos primes d assurance automobile et habitation Nouveau Des r ductions s appliquent maintenant sur vos v hicules r cr atifs moto motoneige VIT caravane autocaravane et bateau Cu Ordre des infirmi res et infirmiers auxiliaires La a itale du Qu bec assurances g n rales Demandez une soumission et courez la chance de 2 3 CABINET EN ASSURANCE DE DOMMAGES d couvrir l Australie R glements disponibles la Vice pr sidence marketing 1 866 244 0839 www lacapitale com MEDAILLE DU MERITE FELICITATIONS AUX RECIPIENDAIRES AOUT A NOVEMBRE 2009 La m daille du m rite est remise la candidate ou au candidat qui s est distingu e sur le plan acad mique lors de sa formation Centre de formation professionnelle Bernard Gari py Sorel Tracy Annie Godon Martine Julien Centre de formation professionnelle Fierbourg Charlesbourg Antonela Gramescu Centre de formation professionnelle Comp tences 2000 Laval Isabelle Houle M lanie Cloutier Caroline Lafrance Centre de formation professionnelle de l Ouest de Montr al Kirkland St phane Courval Institut de
33. enloss Nadia Benoit Vicky Benouarets Fodil B rub France B rub St phanie B rub St Hilaire St phanie Biamby Ginette Bien Aim Esther Billones Jos Bimina Bakenga Nahomie Blaise Cyndie Bleau Genevi ve Boissonneault Manon Boivin Nancy Bokenge Clarisse Bordeleau Karine Borough Marie Linda Botelho Ferreira Isabelle Bouabdallah Mustapha Bouchard Annie Claude Bouchard Cynthia Boucher Chantal Lydia Boucher Jessie Boucher M lissa Boudraa Dalel Rym Bouffard Joanie Bourdon Isa Marie Bourque Anne Boyer Michelle Boyer Perras Annie Claude Breton Audrey Brisson Joanne Brivard Guety Brunet Caroline Brutus Jennie Canello Catherine Caron Joanie Caron Lynda Carpio Aedo William Alberto Castonguay Krystina Cauchon Kristina Cenan Moga Nicoleta Cernescu Laura Roxana Chabot Katleen Chalifoux Louise Chamberland M lanie Chancy Jo Anne Charette Roxanne Chartrand Christian Chartrand St phanie Chebnoune Iman Chelli Corinne Chevrier Faucher Vicky Chiu Catherine Chouinard Nantais Kyeve Clermont Annick Cloutier Caroline Contreras G lvez Nancy Cortez B Erlinda C t Philippe Antoine Courchesne Jessica Courteau Annie Cousineau Val rie Couture Joanie Couture St phanie Couvrette Isabelle Croiseti re Xavier D Adderio Antonio Daigneault Karina Dancause Maryse Daniel Yolande Danis Jessica Delage Karine Delerme Elisabeth De
34. ensure that laws collective agree ments and government policies are better adapted to exceptional situations such as the Type A flu pandemic H1N1 Public health emergencies Under the Public Health Act the Minister of Health and Social Services may declare a public health emergency for a maximum period of 48 hours section 119 The National Assembly may exercise the same powers for a maximum period of 10 days which may be renewed by the government Under section 123 of the Act the Minister or the government may impose mandatory vaccinations In this regard please refer to Le Soleil Qu bec pr pare son sc nario catastro phe Quebec prepares its catastrophe scenario October 20 2009 Public Health Act R S Q c S 2 2 chapter 9 part III Public health emergency declarations sections 118 122 6 Syndicat des professionnelles de la sant en soins infirmiers et cardio respiratoires de Rimouski FIQ Rimouski Union of Nursing and Cardio Respiratory Healthcare Professionals and Rimouski Neigette CSSS Marcel Morin adjudicator CanLII 19577 QCA G April 24 2008 The applica tion for judicial review of this decision was rejected by the Superior Court Justice Ga tan Pelletier in a decision dated June 8 2009 no 100 17 0000847 089 7 Journal de Montr al Les lois du travail sont mal adapt es Labour laws are poorly adapted October 10 2009 28 SANTE QUEBEC Exclusivement reserve aux m
35. f n 1 Le 23 janvier 2006 alors qu il tait 1 61110101 et dans l exercice de ses fonctions au CSSS du Suro t a omis 0 61116761 des timbres intradermi ques de DURAGESIC qui taient pres crits a une b n ficiaire le tout contrai rement aux articles 3 01 03 3 01 05 et 4 01 01 1 du Code de d ontologie des infirmi res et infirmiers auxiliaires Radiation temporaire de deux 2 semaines e Chefs n 2 et 3 Le 4 ao t 2007 deux chefs alors qu il tait l em ploi et dans l exercice de ses fonctions au CSSS du Suro t a omis de consi gner des notes et observations au dos sier d un b n ficiaire concernant sa condition alors que cela tait requis le tout contrairement aux articles 3 01 03 3 01 05 et 4 01 01 1 du Code de d onto logie des infirmieres et infirmiers auxi liaires Radiation temporaire de deux 2 semaines e Chef n 4 Le 5 ao t 2007 alors qu il tait 1 61110101 et dans l exercice de ses fonctions au CSSS du Suro t a dormi a deux 2 reprises sur un banc situ devant le poste du personnel infir mier le tout contrairement aux articles 3 01 03 3 01 05 et 4 01 01 1 du Code de d ontologie des infirmieres et infirmiers auxiliaires Radiation temporaire de deux 2 mois e Chef n 5 Le 5 ao t 2007 alors qu il tait 1 61110101 et dans l exercice de ses fonctions au CSSS du Suro t a omis 0 35511161 la surveillance de l tat ou 34 de la condition d un b
36. formation Sant r gie Longueuil Laurinda Devison Martine Fontaine Coll ge CDI Montr al Montr al Nicole Langis Tania Gagn Nathalie Soglohoun Diasmiris Alvarez Adrian Bors Coll ge CDI Laval Laval Cristal Araujo Nicole H bert Daniela Elena Popa Micka Roy Monique Laborde Centre de formation Ch teauguay Valley Ormstown Terri Leblanc Pearson Adult and Career Center Lasalle Beverley Leslie Micheline Cassidy Centre de formation professionnelle Alma Pavillon B gin Alma Andr e Anne Voyer SANT QUEBEC BIENVENUE 1 MARS AU 30 JUIN 2009 Abkari Marouane Acheaibi Abdellatif Agnant Marie France Akenda Lokaso Th r se Akounmadou Akoha Bodo Chantal Alaoui Ismaili Jaafar Alasane Somed Alphonse Laurette Altamar Elsa Marina Ambroise Lynouche Andr Eliana Anestin Simone Angulo Ana Milena Arango Bonilla Maria Luisa Aristide Marie Minouche Armah Sharon Arredondo Munoz Lilian Gabriela Arsenault Ginette Atallah Charbel Aube Rousseau M lissa Audet Val rie Auger Val rie Auguste Magdala Aupont Rose Midia Azzoug Nadia Babin Simon Bagley Candace Bah Mariama Barbeau Maxime Barboto Maritza Barrette Diane Barrette Joanie Barrington Randall Barthelemy Catherine Bartkiewicz Karina Beacon Jessica Beaudry Julie B langer M lanie B langer Sheila Belghali Aicha Beliveau Pascale Bellemare Marie Pier Belyansky Alla Bendjelloul Amel B
37. ie cardiovasculaire une proportion deux fois sup rieure la population non diab tique SOURCES http www diabete qc ca html salle_de_presse diabete_chiffres html Agence de la sant publique du Canada Rapport du Syst me national de surveillance du diab te 2008 La place de l infirmi re auxiliaire dans la pr vention du diab te Le defi de la pr vention du diab te r side dans le fait qu elle est li e aux habitudes de vie des gens ce qu ils mangent et l exercice qu ils font La pr vention est donc la responsabilit de chacun Cependant les gens ont besoin de soutien et d ducation Une fois le diagnostic de diab te annonc il est important d aider les personnes comprendre comment pr venir les maladies asso ci es C est cette tape galement que les personnes diab tiques ont besoin de soutien de conseils et d information 15 DOSSIER Pr cisions sur le diab te e Le diab te se r sume en une seule phrase La pr sence d un taux de glucose sanguin trop lev Cette situation survient pour deux raisons Le pancr as ne produit plus suffisamment d insuline pour permettre tout le glucose de p n trer dans les tissus Les tissus font ce que l on appelle de la r sistance l insuline Ce qui signifie qu ils r sistent l insuline ils ne laissent pas l insuline faire son travail qui est de permettre au glucose de p n trer dans les cellules
38. in disponibles sur le site de 1010 au www oliag org Conf rences r gionales Inscrivez vous sans tarder a la conf rence portant sur les soins des plaies pr sent e par M Chantal Labreque conseill re clini cienne en soins infirmiers Cette formation s adresse a toute infir miere et infirmier auxiliaire peu importe son lieu ou champ de pratique qui d sire parfaire ses connaissances en matiere de soins de plaies Sous forme interactive cette conf rence vous permettra de r viser certaines notions relatives a la peau et ses compo santes aux aspects l gaux de votre pratique ainsi qu la collecte de param tres associ s aux patients et aux plaies L asepsie dans le soin des plaies sera galement trait e lors de cette pr senta tion Enfin vous pourrez int grer rapidement les connaissances acquises gr ce l analyse de cas cliniques DEPART LA RETRAITE M Monique Tremblay de Qu bec a pris sa retraite en avril dernier Elle a travaill a l Institut univer sitaire en sant mentale pendant quarante cing ans Nous lui sou haitons une bonne retraite NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 NOUVELLES DE L OIIAQ Pour conna tre la date a laquelle la conf rence sera pr sent e dans votre r gion rendez vous au www oiiag org A noter que deux heures de formation seront inscrites au dossier de chaque participante Nouveaux inspecteurs Le Service de l inspection professionnelle de l
39. interm diaire 10 20 min 16 24h Humalog Mix 25 M lange de 25 d insuline lispro insuline a action tr s rapide et de 75 d insuline lispro protamine insuline a action interm diaire Humalog Mix 50 Melande de 50 d insuline lispro et de 50 d insuline lispro protamine Insuline rapide et insuline interm diaire Humulin 30 70 30 mina lh 2h30a5h e Novolin 30 70 40 60 50 50 20 2h30a5h SANTE QUEBEC Gy aro sxa C gep SF W w ACU Marie Victorin Un monde de possibilit s ente Secteur G rontologie et Sant FORMATION CONTINUE R PERTOIRE DES COURS Hiver 2010 S MINAIRES PUBLICS HIVER CO T 2010 TAXES INCLUSES Approche et communication avec la personne atteinte de d ficits cognitifs 125 Les comportements d rangeants et perturbateurs 125 Les troubles de la personnalit 125 Approche et interventions appropri es lors du service des repas en CHSLD 125 Mieux conna tre la personne g e pour mieux intervenir aupr s d elle 125 Des rapports humains de qualit entre l intervenant et le b n ficiaire 125 SOINS EN FIN DE VIE L accompagnement aux mourants 14 heures 215 Le controle de la douleur en fin de vie 14 heures 215 Le soulagement de la douleur 7 heures pour pr pos s aux b n ficiaires Soins palliatifs interventions et traitements appropri s 125 Relation d accompagnement en soins de fin de
40. ion Sant Qu bec 531 rue Sherbrooke Est Montr al Qu bec H2L 1K2 514 282 9511 1 800 283 9511 WWW oiiaq org D p t l gal ISSN 1120 3983 Poste publication 40011580 Le g n rique f minin est utilis dans cette publication sans discrimination l gard du genre masculin et ce dans l unique but d all ger le texte Les initiales LPN Licensed Practical Nurse sont maintenant utilis es en anglais pour d signer l infirmi re auxiliaire NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 SOMMAIRE 4 MOT DU PRESIDENT LE POINT SUR 6 A WORD FROM THE PRESIDENT UPDATE ON 8 MOT DE LA SECRETAIRE 9 NOUVELLES DE 0 10 PORTRAIT FANNIE LETENDRE UNE INFIRMIERE AUXILIAIRE ALLUMEE PAR SA PROFESSION 12 DOSSIER LE DIABETE UNE PANDEMIE SILENCIEUSE 22 CHRONIQUE JURIDIQUE LES OBLIGATIONS D UN ORDRE PROFESSIONNEL DANS UN CONTEXTE DE PANDEMIE 26 LEGAL MATTERS PROFESSIONAL ORDERS OBLIGATIONS IN THE EVENT OF A PANDEMIC 30 MEDAILLE DU MERITE 31 NOUVEAUX MEMBRES 34 AVIS DE RADIATION 35 OBJETS PROMOTIONNELS 3 MOT DU PRESIDENT LE POINT SUR PAR REGIS PARADIS PRESIDENT En ce d but d ann e 2010 nous sommes au c ur d une p riode tr s mouvement e dans le secteur de la sant La grippe A HIN1 reste au centre des pr occupations de la population avec une campagne massive de vaccination men e comme jamais aupara vant par le gouve
41. ires du Qu bec OITAQ followed suit by adopting a BCP last October and establishing a pandemic committee The commit tee meets weekly and is responsible for closely monitoring the evolving situation updating the BCP and as applicable taking necessary emergency measures to ensure that the OITAQ is able to conduct its activities on continuing basis Employer s responsibilities Generally speaking employers including in the healthcare sector are aware of their obligations in such situations In addition to providing a safe workplace employers must dem onstrate prudence and diligence by determining situations in which employees may or must stay home or telecommute if possible They can also promote vaccinations and implement infection prevention and control measures for their employees directors and visitors including current and prospective mem bers of the professional orders Employers have also been asked to ease certain rules and require ments set out in collective agreements or legislation with respect to remuneration employee absences and presentation of medical certificates In addition preventive reassignment requests by individuals working in the healthcare education and public service sectors have been processed under applicable Quebec legislation See Michel Delamarre Assistant Deputy Minister MSSS Communiqu relatif certaines mesures particuli res des conditions de travail dans le contexte de la gripp
42. lgado Alvarez Nataly Delorme France Demers Sandy Ann Demosthene Fabiola Denival Nadine Deodati Jos e Desharnais Val rie Desilus Myriam D sorme Marie Juliette Desrochers Sylvie Desrozins Charlene Devalus Josette Diallo Ouriba Diaz Gabriela Dontigny Rouette St phanie Dore Carolyn Dorval Rodrigue Dorvilliers Yanick Doucet Corey Doumbia Nassiata Downie Calvin Doxy Vanita Dub Johanne Dubois Anastasia Dufour Guylaine Dufour Raymond Sabrina Dufresne Chantale Duguay Jos e Dusablon Douville Sylvianne Dzyuba Olena Ebode Patrick El Akrad Laila Emile Lima Francesca Essebbague Hanane Ethier Karine Eustache Myrlene Evans Farasheva Daniela Faucher H bert Andr e Anne Faustin Edens Fecteau Julie Ferguson Melanie Ferreira Liporatti Andr a Filion Myriam Filion Patricia Fillion Annie Fini Jessica Florez Perez Angelica Fortier Gabrielle Fortier Marie Christine Fortin Genevieve Fortin Johanne Fortun Rose Marthe Fournier Karine Fr d rique Marie Pierre Fr re Chery Nathalie Gabriel Matouchka Gagn Chantal NOUVEAUX MEMBRES BIENVENUE 1 MARS AU 30 JUIN 2009 Gosalvez Catherine Goulet Rachel Goyette C line Gagn Dave Gagn Jean Pierre Gagn Nancy Gagnon Isabelle Gravel Marie Elise Gagnon Sophie Grenier Gis le Gauthier Martin Sabrina Gelesko Nathalie Germain Isabelle Guillemette Laurie Guillet Carolyne
43. line Il existe cing principales classes e Analogue action tr s rapide d antihyperglyc miants oraux e Insuline action rapide e Insuline action interm diaire e Biguanides e Analogue a longue action Metformine Glucophage e Insuline a action rapide avec insuline a action interm diaire Metformine Glumetza metformine longue dur e e Insuline a action tr s rapide et insuline a action interm diaire Inhibiteurs de I alpha glucosidase Acarbose Glucobay S cr tagogues d insuline Deux sous classes Sulfonylur es Gliclazide Diamicron Pr occup e par la croissance alarmante du nombre de Gliclazide Diamicron MR action prolong e personnes diab tiques et soucieuse de la diffusion des Glym piride Amaryl derni res avanc es dans le traitement de cette maladie Glyburide Diab ta et Euglucon l OITAQ a d cid d offrir ses membres une formation a M glitinides distance de 45 heures sur le diab te Nagl tinide Starlix Repaglinide GlucoNorm Cette formation a pour but d actualiser et d approfondir vos connaissances et vos competences dans le traitement du Agents insulino sensibilisateurs ou thiazolidinediones diab te En connaissant mieux les cons quences de cette Pioglitazone Actos maladie et les modes de pr vention vous serez une source Rosiglitazone Avandia pr cieuse d informations et de soutien pour vos patients Agents incr tiniques inhibiteurs de la DP
44. liser la population la pr vention du diab te C est que la maladie se d veloppe un rythme plus rapide que ce que l on avait imagine Le rapport de 2005 r v lait qu un Canadien sur 20 tait atteint du diab te Le rapport de 2008 est alarmant le ratio est pass un sur 17 Au Qu bec on compte une personne diab tique de plus toutes les huit minutes Diab te Qu bec estime que 650000 Qu b cois sont diab tiques Le tiers de ces gens l ignorent cependant Les co ts sociaux du diab te La grande aberration propos du diab te c est qu il s agit d une maladie en grande partie vitable Au moment du diagnostic 80 des personnes diab tiques font de l embonpoint ou sont ob ses Il est galement possible de r duire les maladies tributaires du diab te Pourtant 40 des diab tiques d veloppent des compli cations d bilitantes voire mortelles NOLUME 19 N 3 HIVER 2010 DOSSIER 50 des amputations non traumatiques 40 des insuffisances r nales le diab te est la premi re cause de dialyse 25 des chirurgies cardiaques Il est aussi la premiere cause de c cit chez les moins de 65 ans Le fardeau conomique du diab te au Qu bec est estim quelque 3 milliards de dollars par ann e en co ts directs et indirects Dans les h pitaux les diab tiques occupent jusqu 20 des lits de soins actifs Plus de 70 des personnes diab tiques mourront d une malad
45. ll of 2005 the Quebec Department of Health and Social Services MSSS prepared a plan to deal with a potential Type A bird flu H1N5 pandemic A number of professional orders particularly in the healthcare sector took part in consultations with the MSSS to determine whether sufficient numbers of work ers were available to undertake a mass vaccination and healthcare campaign At that time some observers estimated that the pan demic s direct cost for the MSSS could top 350 million Since June 2009 attention has been focused on the Type A flu H1N1 while professional organizations businesses and employers have had to take steps to deal with a pandemic that this time around has become a reality Planning for a pandemic A few weeks ago the Quebec Interprofessional Council CIQ asked the professional orders to maintain their activities and services and in particular to develop a business continuity plan BCP In this regard the CIQ provided an MSSS document for reference BY GEORGES LEDOUX LAWYER LEGAL DEPARTMENT purposes The professional orders were able to base their efforts on this plan which was designed for stakeholders in Quebec s financial sector and to adapt it for their own purposes A BCP is an important tool enabling the professional orders to carry out not only their legal responsibilities but also their responsibilities as employers As well Guidelines must be adopted concerning paid and unpai
46. mation Formation professionnelle INFIRMIERES EN SOIN DES PIEDS AUXILIAIRES Tous les mardis de jour FORMATION COMPLETE 135 heures incluant deux fins de semaine Reconnue par l OIIAQ A NE PAS MANQUER INFORMATION 514 278 3535 poste 260 if 1 Ateliers de perfectionnement SANS FRAIS 4 offerts aux infirmi res auxiliaires 1800 700 0623 poste 260 AE 3 fe 1 k 4 membres de l Association des infirmi res ie i i et infirmiers auxiliaires en soin de pieds sdp collegemv qc ca nip 7 eC AIASP 767 rue B langer Est Montr al Qu bec H2S 1G7 m tro pe www collegemv qc ca fc 8 SANT QUEBEC 6 Registre de formation continue Pour faciliter la compilation de vos dix heures de formation requises en vertu du R glement sur la formation continue des infirmi res et infirmiers auxiliaires vous avez re u au printemps dernier un registre Nous vous rappelons que c est votre respon sabilit de le compl ter et de le faire signer par notamment le formateur les ressources humaines une infirmi re chef ou une coordonnatrice Veuillez s il vous pla t nous le retourner d s que vos heures sont compl t es La pr sente p riode de r f rence se termine le 31 mars 2011 N oubliez pas de consulter le programme de formation conti nue le calendrier des conf rences r gionales ainsi que les cours qui sont offerts en ligne en collaboration avec la commission scolaire Beauce Etchem
47. milieu de travail Au menu Pour qu elle en mange la profession d infirmiere auxiliaire doit comporter plusieurs bons c t s Fannie Letendre pourrait en parler longuement de ce qui la motive au travail Elle a quand m me r ussi r sumer quelques points Tout d abord le travail d quipe est un aspect important pour elle Au centre hospita lier Charles LeMoyne ou je travaille l esprit d quipe est excel lent tout le personnel s entraide C est agr able d entrer au boulot chaque matin sp cifie t elle Dans un m me d partement les infirmi res auxiliaires doivent collaborer avec des infirmi res des pr pos es aux b n ficiaires des m decins g n ralistes et sp cialistes bref quand tous ces professionnels s entendent bien et r ussissent cr er une belle ambiance c est certain que l humeur au travail est meilleure Elle mentionne aussi que le dynamisme et la vigueur de son d par tement p sent pour beaucoup dans la balance Ici aux urgences ce n est jamais la m me chose jamais les m mes cas On est constamment appel s traiter de nouveaux dossiers indique la jeune infirmi re auxiliaire On doit jouer l interm diaire entre les patients et les m decins voir ce que la m dication soit exacte leur donner faire des prises de sang Je sais que ce sont de grandes responsabilit s mais moi c est ma passion Je crois qu tre infirmi re auxiliaire c est une vocati
48. on confie sinc re ment Fannie SANT QUEBEC Le profil En tant aux urgences d un grand centre hospitalier on peut comprendre que le taux de stress et de pres sion doit tre assez lev Il faut donc tre en mesure de savoir bien g rer son stress avant de s inscrire ce pro gramme Toutefois les infirmi res auxiliaires peuvent exercer leur profession dans diff rents types de milieux parfois moins stressants Il suffit de bien se conna tre et de bien conna tre ses limites Si une tudiante pr fere une certaine stabilit elle peut diriger sa carri re vers les centres d h bergement de soins de longue dur e tandis qu une autre qui a besoin d adr naline et d action quotidiennement peut opter pour un secteur plus dyna mique comme celui des urgences PORTRAIT Jour apr s jour Lorsque les futurs infirmiers et infirmi res auxiliaires commen cent leur formation les enseignants les pr viennent qu ils seront s rement sollicit s faire des heures suppl mentaires au cours de leur carri re Fannie Letendre est la pour le confirmer C est vident qu on me demande de faire des heures suppl mentaires mais a fait partie de mon m tier je le savais des le d part indi que Fannie Toutefois la plupart du temps c est l infirmi re auxi liaire qui d cide d accepter ou de refuser de faire les heures sup pl mentaires propos es Sinon le centre hospitalier fonctionne 24 heure
49. rnement et couronn e de succ s gr ce notam ment aux infirmi res et infirmiers auxiliaires qui ont agi titre d intervenants de premiere ligne Formation sur la th rapie intraveineuse La formation de 21 heures visant habiliter les infirmi res auxiliaires contribuer la th rapie intraveineuse va bon train Dans un premier temps 8000 d entre elles seront form es d ici juin 2011 Pour celles du r seau de la sant qui ne sont pas vis e par cette premiere vague de formation soit environ 6 000 1 001016 3 des discussions avec les repr sentants du MSSS afin de d terminer les conditions de formation pour ce groupe Nous vous tiendrons au courant des d veloppements ce sujet 4 Int gration des infirmi res auxiliaires dans les CLSC Depuis quelques ann es l int gration des infirmi res auxiliaires dans les CLSC conna t un certain essor Nos membres se retrou vent actuellement dans les centres de pr l vements les services courants et les soins domicile Toutefois nous constatons que les employeurs ne sont pas suffisamment actifs dans l avancement de ce dossier C est pourquoi nous avons entrepris des repr sen tations aupr s du MSSS des agences et des tablissements afin de tenter d acc l rer le processus d int gration Dans ce num ro La p nurie de personnel infirmier demeure un dossier inqui tant et nous incite a mettre davantage d efforts dans la r tention des nouvelles recr
50. s sur 24 ce qui signifie que les dipl m s du DEP Sant assistance et soins infirmiers doivent s attendre travailler de jour de soir et de nuit Le plus beau des salaires Bien que les infirmi res auxiliaires jouissent d excellentes condi tions salariales Fannie Letendre ne peut passer sous silence l autre genre de salaire qu elle re oit tres souvent Il n y a rien de mieux que de revoir d anciens patients qui te remercient pour les bons soins que tu leur as donn s pendant leur s jour C est tellement gratifiant souligne la jeune professionnelle sou riante Ces mots d encouragement ont un effet extr mement b n fique sur elle surtout quand son humeur est plus maussade ce genre de compliments r ussissent lui remonter le moral en quel ques secondes Rapidement en poste Avant m me qu elle 01011611116 son dipl me Fannie avait d j commenc envoyer des curriculum vit diff rents endroits Lorsqu on dit que le syst me de sant conna t de grands besoins du c t des infirmi res auxiliaires c est vrai Puisqu une semaine seulement apr s qu elle eut termin ses tudes la jeune dipl m e a d croch son premier emploi celui qu elle occupe encore aujourd hui au centre hospitalier Apr s mes tudes a t tres facile de trouver un emploi La journ e de mon bal des finissants trois tablissements m ont approch e pour 111 011111 un poste au sein de leur quipe
51. soit celui d assurer la protection du public L admission des nouveaux mem bres la discipline l inspection professionnelle le service conseil aupr s des membres et des tablissements ainsi que les activit s de communication pour ne nommer que celles ci sont des activit s g n ralement jug es essentielles Comme bien d autres organisa tions un ordre professionnel est tenu de pr parer un PCA d ter minant les activit s prioritaires devant tre maintenues et celles pouvant tre report es ou annul es Organisation de la s curit civile du Qu bec Guide l intention des entreprises de la continuit des op rations en cas de pand mie d influenza Juin 2007 D autres documents soulignent la responsabilit des administrateurs et formulent des recommandations Comptables agr s du Canada Avis aux administrateurs Pr paration et r action en cas de pand mie Octobre 2009 Autorit des march s financiers Pand mie d influenza Guide de gestion de la continuit des activit s l intention des intervenants du secteur finan cier qu b cois Avril 2007 3 Journal du Barreau du Qu bec Grippe A H1N1 Lorsque la grippe s invite au travail Novembre 2009 Vol 41 n 11 p 1 8 et 9 Un rappel l intention des avocats a aussi t fait Bulletin Pr vention A H1N1 Avez vous oubli votre mot de passe Novembre D cembre 2009 volume 10 n 4 Code des professions art 3
52. ste depuis la nuit des temps entre ce qui entre dans le corps et la capacit de ce corps de se mouvoir et de penser Dans nos soci t s industrialis es de nombreuses per sonnes oublient ce principe simple la base de toute vie De plus en plus de gens choisissent de manger plut t que de se nourrir Il n existe toujours pas de vaccin pour se pr munir contre le dia b te malgr la recherche cet effet d faut d une carte cura tive il nous reste l atout pr ventif Et la seule pr vention possible dans l imm diat reste 1 3111611018311011 de notre mode de vie Un tra vail de sensibilisation de la population est commenc alors que des personnalit s publiques prennent aussi la parole pour alerter les gens Le defi est de taille se d barrasser d habitudes ennemies et en d velopper de nouvelles COURT TERME L IMPACT DE LA GRIPPE SEMBLE BEAUCOUP PLUS DRAMATIQUE QUE LE DIABETE MAIS LONG TERME LE DIABETE ENTRAINERA DAVANTAGE DE MORTS ET DE COMPLICATIONS Voici quelques faits saillants tir s du Rapport du Syst me national de surveillance du dia bete 2008 de l Agence de la sant publique du Canada D ici 2011 le nombre de Canadiens atteints du diabete sera de 2 6 millions une augmentation annuelle moyenne de 7 et un accroissement d environ 33 par rapport a 2006 En 2005 2006 le taux de mortalit chez les dia b tiques ages de 20 ans et plus tait deux fois plus lev que chez les non
53. te favorise la neuropathie et l art rioscl rose cette condi tion offre un terrain fertile pour l emergence de probl mes aux pieds susceptibles de conduire a une amputation Il est essentiel de sensibiliser les patients a l importance des soins a apporter a leurs pieds Si la personne diab tique est dans lin capacite d effectuer un auto examen ou de se soigner les pieds le recours aux services de professionnels de la sant en soins des pieds lui vitera bien des complications Le traitement du diabete Diverses approches pour traiter le diabete existent Pour tout type de diab te une alimentation quilibr e une augmentation de l activit physique et une bonne gestion du stress sont tou jours n cessaires Pour le type 2 et le diab te gestationnel il arrive que les objectifs glyc miques soient atteints uniquement par l adoption de ces saines habitudes de vie 5 115 ne le sont pas la prise d antidiab tiques oraux et ou d insuline doit alors tre envisag e Le diab te de type 2 est de plus en plus fr quemment contr l par un traitement l insuline souvent associ une m dication antidiab tique surtout celle ayant pour effet la diminution de la r sistance l insuline Pour le diab te de type 1 le traitement l insuline doit d buter d s le diagnostic SANT QUEBEC DOSSIER La m dication antidiab tique Les diff rents types d insuline Il existe six types d insu
54. u des collations insuffisantes surtout dans le cas Si le r sultat est inf rieur a 4 de patients trait s 3 1 11151111116 ou qui prennent des m dicaments Donnez 15 g d une source de glucides a action rapide hypoglyc miants Si le r sultat est inf rieur a 2 8 e une activit physique intense non programm e avec mauvaise Doublez la quantit de glucides adaptation de l apport glucidique V rifiez de nouveau le taux de glyc mie 15 minutes un exces d insuline plus tard et recommencez les tapes au besoin e la prise d alcool Voici les principales manifestations d hypoglyc mie faiblesse e confusion irritabilite e paleur e fatigue e convulsions nervosit tremblements c phal e e d marche chancelante e faim e sensation de faiblesse e difficult de concentration tourdissements e picotements inhabituelle somnolence e difficult d locution souvent p ribuccaux dans les jambes e troubles visuels vanouissement naus e palpitations changement d humeur anxi t 013101101656 Glucose ou sucrose sous forme liquide ou en comprim par ex 3 comprim s de glucose BD 4 comprim s de Dex4 etc 3 bonbons durs moyens ou 5 Life Savers 15 ml 1 c a table de miel de m lasse de sirop de mais de sirop de table ou de sirop d rable 15 ml 1 c table ou 3 sachets de sucre blanc dissous dans l eau 125 ml 1
55. ues de la profession Dans la perspective de mettre au premier plan nos jeunes membres nous vous pr sentons dans ce numero le portrait de Fannie Letendre une infirmiere auxi liaire qui uvre dans un milieu o nos membres occupent une place de plus en plus importante les urgences Egalement dans cette revue vous pourrez lire un article sur le diabete une mala die sournoise qui s infiltre de fa on presque imperceptible dans notre soci t SANTE QUEBEC Congres 2010 En plus de la revue vous trouverez dans cet envoi le programme du congres 2010 qui se tiendra a Rimouski le 3 juin prochain Sous le theme Des professionnels pr sents dans tous les milieux des conferences sur l thique 1 311161101811011 de son approche aupr s d une clientele vulnerable le plan therapeutique infirmier ainsi que la pr vention des maladies par l alimentation seront pr sent es Nos conf renciers chevronn s traiteront ces sujets sous langle des divers milieux occup s par nos membres wf Marie Victorin Savoir inventer demain MOT DU PRESIDENT En terminant je profite de cette occasion pour vous offrir mes meilleurs v ux de sant et de bonheur pour la nouvelle ann e Le pr sident directeur g n ral Gora 1 aan Le R gis Paradis inf aux 4 r r Experience de benevolat propos e aux personnes de 50 ans et plus avec h bergement dans une famille d accueil B nin Burkina Faso Dharamsala
56. vie D VELOPPEMENT PROFESSIONNEL Po La redaction des notes d evolution au dossier Le leadership infirmier en CHSLD 14 heures Communiquer efficacement en quipe de travail Principes de d placement s curitaire des b n ficiaires P D S B 14 heures Cardio Secours 4 heures 8h30 12h30 Premiers Secours 8 heures 8h30 17h30 Pr paration la retraite 21 heures Offert Qu bec et Montr al Dates d terminer Pour vous inscrire aux s minaires ou pour conna tre les modalit s d une diffusion de formation dans votre milieu de travail communiquez avec nous au 514 278 3535 ou sans frais au 1 800 700 0623 poste 260 767 rue B langer Est Montr al Qu bec H2S 1G7 m tro Jean Talon www col legemv qc ca fc CHRONIQUE JURIDIQUE LES OBLIGATIONS D UN ORDRE PROFESSIONNEL DANS UN CONTEXTE DE PANDEMIE l automne 2005 le ministere de la Sant et des Services sociaux pr parait un plan en vue de faire face a une pand mie de grippe aviaire A H1N5 A l poque certains ordres professionnels notamment du domaine de la sant avaient particip des tra vaux de concertation avec le MSSS pour pr voir la disponibilit d une main d uvre suffisante en vue d une campagne de vacci nation massive et de la dispensation des soins D j certains esti maient que les co ts directs de la pand mie pourraient s lever a 350 M pour le minist re Depuis juin dernier c est la gripp
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