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Retour sur la semaine de la vaccination

1. 09 Macs Fig Pour TANT sir gt Par ailleurs 232 jeunes avaient apport leur car net de sant comme un courrier envoy avec la convocation aux JDC le leur demandait Collec t s par les animateurs de l IREPS les carnets ont ensuite t examin s par des professionnels de sant A l issue de cette analyse ils leur ont t retourn s compl t s d une fiche r capitulative v ritable tat des lieux de leur couverture vac cinale Un bilan qui les int resse visiblement tous consultent imm diatement les fiches et y vont de leur commentaire Beaucoup de jeunes filles r agissent en particulier sur le vaccin contre le papillomavirus rares sont celles qui sont jour Des questions mergent et sur les quatre jours une quinzaine de jeunes solliciteront un rendez vous avec les m decins mobilis s pour l occasion Des bases pour avancer Au terme de l action le bilan appara t donc tr s satisfaisant Reste d sormais valuer son im pact moyen terme Lecteurs de carnets aux JDC de Vincennes Une intervention satisfaisante mais qui peut tre am lior e Camille Defosse animatrice de pr vention et Guillaume Deliot animateur charg de projets l IREPS sont intervenus Sato ry Versailles et Vincennes Retour sur ces quatre jours d intervention A vous deux vous tes intervenus aupres de 729 jeunes Dans l ensemble sem bla ent ils int ress s par la v
2. galement de promouvoir leur acc s aux droits et accompagner l mergence et la r alisation de projets adapt s d in sertion par l habitat le social et l conomique gt La sant et l acc s aux soins consti tuent un volet primordial du travail de l association Les responsables du p le sant ont ainsi souhait relayer la Semaine europ enne de la vaccination aupr s de ce public Nous avons commenc par une op ration d affichage gt explique Bernadette Ferrara travailleur social ADEPT lt mais nous nous sommes vite rendu compte que les outils propos s taient parfois un peu compliqu s Nous avons affaire une population qui ne sait pas for c ment lire et crire souligne t La solution La cr ation de sup ports plus abordables notamment destination des enfants qui ne sont pour la plupart pas scolaris s lt J ai r alis un livret comprenant des jeux des quiz des coloriages adapt aux diff rentes tranches d ge et niveaux de compr hension gt d taille t elle L objectif tant de leur faire prendre conscience de l importance de la vaccination travers le jeu Une formule qui fonctionne plut t bien Les enfants sont g n rale ment r actifs ce type d outil Pour parler de l hygi ne du corps j ai fabriqu un pantin par exemple Il faut que les activit s soient ra pides les messages courts pour par venir d mocratiser l inform
3. Detot chef du projet vaccination pour le Conseil g n ral de l Essonne Cette action qui a pu voir le jour gr ce une tr s bonne collabora tion avec l arm e nous a permis de toucher un public que nous attei gnons rarement des adolescents souvent d scolaris s et qui n ont pas de suivi m dical pour la plupart gt Souligne le docteur Detot Au cours de la journ e 66 vaccins ont t prodigu s sein du p le sant de l association Bilan tr s satisfaisant donc pour une op ration que le m decin ai merait renouveler d autant que l EPIDE de l Essonne accueille 80 nouveaux l ves tous les deux mois Parmi les autres actions men es par le Conseil g n ral le colloque du 28 mai destin aux professionnels a quant lui rassembl 70 personnes la Maison des Habitants d Evry lt Les participants ont v ritablement exprim leur adh sion et leur vo lont que ce type d v nements se reproduise gt se f licite Anne Detot La communication n a pas non plus t n glig e en direction du grand public via la presse locale ou insti tutionnelle mais aussi l interne pour sensibiliser le personnel du Conseil g n ral et des communes du d partement qui a son tour relay les informations et mobilis la population Une m thode prou v e puisque 180 personnes ont par ticip l une des actions organis es durant la SEV de poser toutes leurs qu
4. France re fois cette ann e l IREPS organisait une op ibilisation dans le cadre des Journ es d fense et oir encadr Ce projet pilote qui s est d roul Vincennes a mobilis une trentaine de profession soutien de l arm e l quipe a pu sensibiliser plus de 16 25 ans mais aussi faire un retour sur leurs plusieurs centaines d entre eux Regards crois s GROS PLAN sur LES TDC Institu es en 1998 dans le cadre de la r forme du Service National les Journ es D fense et Citoyennet sont obligatoires pour l ensemble des filles et gar ons de nationalit fran aise g s de 16 25 ans Une occasion privil gi e de toucher la quasi int gralit d une tranche d ge et de la sensibiliser la question de la vaccination Guatre jours pour approprrer tA 7 Cana an Pour tous c est une grande premi re Les jeunes qui pour la plupart n ont jamais eu de contact avec l arm e les professionnels qui participent une op ration in dite dans la r gion Si l appr hension tait palpable l entr e des centres de Versailles Satory et Vincennes les journ es se sont r v l es riches d enseignements Pour cette premi re l action a pris deux formes A O O cC nn Li cD U L N a LL x nn G O D ne T D K c D G _ G gt D O TD n O n 2 n O D c c A diff rentes D une part deux anim
5. la rougeole est uniquement une mala die infantile et la plupart d entre elles ne connaissent pas les lieux de vaccination gratuite De pr cieuses indications pour construire les op rations venir Dr COUDERT Responsable du service de vaccination Yvelines Nord Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Sen Ki mere ESSONNE Pendant la SEV 2013 la majorit des actions du d partement ont t organis es par le Conseil g n ral par le biais de ses quatre centres de vaccination Au total six v ne ments ont eu lieu en avril et en mai ciblant un public vari enfants adultes professionnels mais aussi adolescents premiers concern s par le rattrapage de la vaccination contre la rougeole Le 23 avril plu sieurs dizaines de jeunes de 16 25 ans ont ainsi pu tre vaccin s au Colloque du 28 mai destin aux professionnels centre EPIDE de Br tigny sur Orge Plac s sous la triple tutelle des mi nist res de la D fense de l Emploi et de la Ville les EPIDE Etablis sements Publics d Insertion de la D fense ont pour mission d assurer l insertion sociale et profession nelle de jeunes en difficult Le 23 avril deux m decins deux infirmiers un cadre et une secr taire m dicale du centre d par temental de vaccination de Massy se sont d plac dans les locaux de l EPIDE de Br tigny sur Orge et ont rencontr 44 l ves indique le docteur Anne
6. mettant l accent sur la vaccination gt Une quinzaine de m decins ont r pondu pr sent et sont partis ravis de cette rencontre lt Cha cun des organismes pr sents dans le d partement tait repr sent se f licite Delphine Florance Les participants m ont fait part de leur volont de diffuser les informations r colt es l ensemble de leurs col l gues gt Enfin un mail comprenant l affiche en format PDF a t envoy lins pection acad mique de Seine et Marne afin qu un affichage soit r alis dans toutes les infirmeries scolaires Nous avons essay de toucher la majorit des professionnels de san t du d partement gt conclut Del phine Florance Le format ludique de l op ration DR YVELINES Forte mobilisation dans les Yvelines Cette ann e une quinzaine d op rations a t organis e dans le nord du d partement Les publics cibl s Les habitants des quartiers les pro fessionnels de sant mais aussi les 18 30 ans qu ils soient tudiants ou jeunes travailleurs Pour toucher cette tranche d ge le docteur Beno t Coudert du Centre hospita lier intercommunal de Meulan Les Mureaux et responsable du service de vaccinations Yvelines Nord a mis en place un dispositif innovant lt Pour inciter les gens se faire vacciner il faut aller vers eux souligne le docteur Coudert Dans cette optique deux lieux ont t retenus l I
7. o se rend notre public cible comme les lieux d accueil pour les migrants ou les SDF gt Ainsi du 20 au 27 avril 2013 les quipes mobiles se sont d plac es deux fois au centre OFII Office Fran ais pour l Int gration et l Im migration de Cr teil dans une r sidence sociale d Alfortville au Centre hospitalier de Cr teil et dans des sites ouverts au public des municipalit s de Bonneuil et Ville neuve Saint Georges Un syst me qui fonctionne puisque le nombre de personnes vaccin es par les CMS et les quipes mobiles a doubl depuis 2008 Les leviers Choisir des lieux connus du public des lieux de passage et de service gt r pond le m decin Mais pas seu lement les horaires des s ances et la p riode de l ann e jouent elles aussi un r le sans oublier le poids du r seau On ne peut pas travail ler seuls gt conclut le docteur Ser ruques gt VaL D OISE Pour inciter les 16 25 ans venir s informer sur la vaccination Flo rence Berger psychologue clini cienne et responsable du Point Sant la Mission Locale d Argen teuil Bezons a choisi une formule originale Les jeunes taient en effet convi s partager un petit d jeuner et changer autour de la th matique avec un professionnel Explications Le point sant de la Mission locale conjugue plusieurs missions acc s aux soins et aux droits entretiens individuels mais aussi pr vention in
8. part En se basant sur les don n es pid miologiques des maladies couverture vaccinale mais aussi sur l exp rience d autres pays europ ens il a t possible de r duire le nombre d injections n cessaires avant 18 ans 12 hors papillomavirus Les adultes avis Un sch ma tout aussi efficace que le pr c dent souligne le professeur Floret et qui devrait en outre augmenter l acceptabilit de la vaccina tion par les parents Et pour faciliter le travail des professionnels de sant le CTV a galement labor un mode d emploi pour la p riode de transition entre les deux calendriers Pour les adultes le mode d administration des rappels a t modifi Ils ne devront plus tre effectu s tous les dix ans mais ge fixe 25 45 65 ans Un fonctionnement plus facile m moriser et qui rend les rappels moins fr quents Apr s des changes nourris avec la salle le doc teur Marie Pierre M nager a pris le relais pour d tailler la politique r gionale vaccinale con ue par l ARS IDF Son objectif Am liorer la couver ture vaccinale et r duire les in galit s territo riales en s appuyant notamment sur les acteurs de terrain La seman La vattna profession Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Lutter contre Les id es re ues Sur sc ne comme dans la salle les professionnels en sont conscients pol miques controverses et autres id es re ues restent l un d
9. Semaine europ enne de la vacanation Pr vention Protection Vaccination ii Retour sur la semaine de la vaccination N Articles et t moignages TABLE DES MATI RES POLITIQUE VACCINALE R GIONALE UNE STRAT GIE AUX MULTIPLES FACETTES 4 VACCINATION DES JEUNES RETOUR SUR UN PROJET PILOTE EN LE DE FRANCE a s 6 LA SEMAINE DE LA VACCINATION C T PROFESSIONNELS 10 EXEMPLES D ACTIONS LOCALES ae oise ia ne re dance loss cales bodosnilos oc ose 12 Document r alis par l IREPS Ile de France mn D en O N cC D U O gt L QO U U U n m gt n Lu O E U aa gt L LLL LEALE E E setta LL LLL LE LELLLLEL veus LLELLLE ELLE w NON ve S ttt sq 9 t lt lt w ptre LE se r tece LE sen 88 pte ses LELIES SELESELE LLLLLLLLLLL LELELLLLLLLZL LE EEG os LELL CEE s tote CIRE LLILLLLLLLELELLLLLLLLZ LELE E E a i aa i a aaa LEE CLLELLELLILLELELLELE EEEE EET ETE CELLET EI EEE Li LERLLLELLLLELEL LE EE TEELE ELLIELLIEEE I Z s LE CELLLEL Beat dot s etes LELEA AEETI 4 a b k h 406 Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Le programme national d am lioration de la politique vaccinale 2012 2017 a t d
10. UT de Mantes et l usine Renault de Flins sur Seine L entre prise emploie actuellement environ 3600 employ s dont une forte pro portion de jeunes de 18 30 ans concern e par le rattrapage du vac cin contre la rougeole Pour sensibiliser les jeunes travail leurs sur la question le m decin s est appuy sur le service de M de cine de sant au travail Par son interm diaire nous avons envoy aux employ s de l usine g s de 18 30 ans un quizz remplir sur le th me de la vaccination Ils pou vaient aussi s ils le souhaitaient nous transmettre une copie de leur carnet de sant pour analyse ex plique t il Au total 105 quizz ont t transmis au Service de vaccina tion Yvelines Nord A l IUT m me principe mais l quipe est pr sente sur place pour d livrer conseils et informa tions directement aux tudiants lt Nous disposions d un stand au sein de l tablissement Au total 53 personnes ont r pondu au quizz pr cise le docteur Coudert 68 d entre elles ayant entre 18 et 25 ans a donc fonctionn m me si le quizz reste un pr texte lt L objec tif n tait pas tant d valuer leurs connaissances mais de les faire r fl chir la n cessit de la vaccina tion indique t il D autant que les r ponses obte nues ont mis en vidence un pro bl me d ducation pour la sant la majorit des personnes interro g es pensent par exemple que
11. accination Camille Defosse Les jeunes semblent plu t t satisfaits de l intervention je pense que a peut les responsabiliser ou du moins leur donner l id e de jeter un il leur carnet de sant Ils sont encore jeunes souvent ce sont leur parents qui s occupent de leur sant ils n ont pas toujours leur propre carte vitale l intervention est aussi une fa on de les aider s approprier leur vaccination Guillaume Deliot C est assez difficile de savoir ce qu ils en ont pens ma s certains nous ont pos des questions assez pr cises sur les effets secondaires des vaccins quadri valents par exemple ou sur les vaccinations n cessaires pour partir l tranger Vous avez pu leur r pondre GD Pas toujours je les ai orient s vers le m decin mais ils ne sont pas tous all s le voir Il aurait t int ressant de coanim avec un professionnel de sant pour pouvoir r pondre ce type de questions sur le moment Quel bilan pouvez vous tirer de vos inter ventions GD Un bilan plut t positif mais il reste des points d am lioration si on veut v ritable ment faire de l ducation pour la sant et pas uniquement de la sensibilisation CD a reste une intervention de quinze mi nutes aupr s d un groupe qui ne se conna t pas dans le cadre d une journ e assez sp cifique J ai cependant observ une r action forte chez les jeunes qui ont b n fici de la lectu
12. ari s ce qui montre quel point la vaccination est un enjeu important de sant publique et surtout de transversalit gt Elle a galement salu l implication de l IREPS dans cette politique vaccinale lt en tant qu instance r gionale qui va permettre de veiller l harmo nisation des pratiques mais aussi un vrai mail lage de tous ces acteurs gt Conf rence du 25 avril 2013 Paris p 75 PARIS Port e par le centre de vaccina tion de Picpus Paris XII co orga nis e par les ateliers sant ville des X me et Xl me arrondissements la s ance de vaccination hors les murs du 24 avril a rencontr un franc suc c s L op ration qui a mobilis un nombre important de partenaires a en effet permis de vacciner une quarantaine de personnes Retour sur cette belle r ussite Parmi les missions des centres de vaccinations du Bureau de la Pr vention et des D pistages DASES figurent la promotion de la sant et la pr vention en particulier en direction des jeunes et des per sonnes en situation de pr carit lt Nous travaillons r guli rement avec les associations pour aller la ren contre de ces publics explique Maud Kokotek m decin du centre Lorsque Sandra Taniga et Jessica Pourraz coordinatrices des ateliers sant ville des X me et Xl me ar rondissements de Paris contactent Pascal Bourdeau infirmier enca drant du centre de vaccinations Picp
13. ateurs de pr vention de l IREPS sont intervenus aupr s de 18 groupes d appel s pour une pr sentation rapide sur la vaccination son fonctionnement ses b n fices et son caract re citoyen D autre part des quipes d tudiants infirmiers de secr taires m dico sociales et de m decins volontaires ont examin les carnets de vaccina tion d une partie des jeunes afin de faire un point sur leur historique vaccinal S ils le souhaitaient les jeunes pouvaient ensuite rencontrer un m de cin o un infirmier pour un entretien individuel CHIFFRES LES 729 jeunes ont particip dont 402 Versailles et 327 Vincennes 232 jeunes ont b n fici de la lecture des carnets de sant 15 jeunes ont souhait rencontrer le m decin lors d un entretien individuel 87 des jeunes se disent satisfaits de l intervention 73 d clarent avoir acquis des connaissances 68 ont exprim l envie de suivre leurs vaccinations suite l intervention Avant l intervention 18 8 des jeunes d claraient ne pas se pr occuper de la vaccination Ils ne sont plus que 11 4 apr s l animation 15 minutes pour sensibiliser Au total plus de 700 jeunes ont assist l inter vention bas e sur une pr sentation de lL INPES Le message principal Leur faire comprendre les b n fices de la vaccination avec un focus sur la rougeole une priorit de sant publique du fait de l pid mie r cen
14. ation la rendre simple et digeste gt Les livrets vaccination seront distribu s sur les aires d accueil du d parte ment d s la rentr e Extrait de l outil utilise lors de l action LA SEMAINE DE LA VACCINATION 5 FOIS PAR AN La plateforme de coordination de vaccination PCV du Val de Marne a t cr e en 2007 afin de rendre accessible un service de vaccination gratuite pour les enfants de plus de 6 ans et les adultes en situation de vuln rabilit sociale G r par la Croix Rouge le dispositif qui asso cie centres m dico sociaux habi lit s et quipes mobiles a permis de vacciner 12 355 personnes en 2012 Lors de la derni re semaine europ enne de la vaccination les unit s de terrain ont ainsi proc d six s ances de vaccination hors les murs Le point avec Denis Ser ruques m decin coordinateur de la plateforme lt La semaine europ enne de la vac cination pour nous c est 52 fois par an gt sourit le docteur Serruques Au del de ses activit s de coordi nation commande et distribution de vaccins suivi des vaccinations diffusion des bonnes pratiques la PCV organise en effet plusieurs s ances de vaccination gratuite chaque semaine lt Il s agit d un v ritable service de proximit gt souligne le m decin lt Nous nous installons dans des lieux ouverts tous locaux associatifs o administratifs centres cultu rels mais aussi des endroits
15. cas d clar s est pass de 13 en 2006 pr s de 1 800 en 2011 entrainant des complications s v res La coqueluche est la premi re cause de mortalit par infection bact rienne chez les nourrissons de moins de 3 mois hors nouveaux n s La tuberculose reste une priorit ainsi que l h patite B la grippe et le papillomavirus Sur l le de France il existe une h t rog n it entre les d partements le pilotage et la coordination les dispositifs la couverture des d partements Dans ce cadre ARS le de France a missionn l IREPS pour participer au d veloppement de cette politique dans la r gion Ce document m me s il n est pas exaustif a pour objectif de rendre visible certaines dynamiques mises en place sur les territoires franciliens en 2013 et de valoriser quelques initiatives locales J esp re qu il r pondra aux attentes de tous les professionnels qui ont contribu sa r daction et donnera envie de nouveaux partenaires de nous rejoindre l ann e prochaine Bonne lecture Gw na lle GUILLOU Coordinatrice du projet vaccination pour l IREPS IDF J Ar D Agence R gionale de Sant le de Franc Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Le docteur MENAGER lors de la conf rence du 25 avril 2013 Paris Du fait de la r cente pid mie de rougeole un projet r gional associant de nombreux partenaires a t mis en place Progra
16. ccasion de la Semaine eu rop enne de la vaccination Avec peut tre une l g re modification lt nous pourrions pourquoi pas em mener les jeunes dans les locaux du CDDS pour leur faire encore mieux conna tre ce partenaire important arTiT NEIENNER CANTE PERII D JEUNER Qaqa La Mission Locale d Argenteuil Bezons vous Invite un petit d jeuner le vendredi 19 avril A loccasion de la semaine mondiale de la vaccination Le Centre D partementale de D pistage et De Soins viendra le vendredi 19 avril 2013 d s 9 heures jusqu 12 heures 30 la Mission Locale d Argenteuil Bezons Visuel de l action L quipe de l IREPS Ile de France remercie gt l ensemble des professionnels qui se sont mobilis s sur la semaine europ enne de la vaccination 2013 gt ainsi que ceux qui ont t moign de leurs exp riences aupr s de Rapha lle Merigneux afin de permettre la r alisation de ce document COUCATION SANTI ILE DE FRANCE Gw na lle Guillou coordinatrice du projet vaccination Catherine Allais charg e de projets coordinatrice technique 01 39 43 58 93
17. de la sant mais aussi pour le d veloppement d une offre de services aux acteurs territoriaux gt De fait l IREPS a d ores et d j commenc tra vailler sur plusieurs fronts le recensement des actions men es en Ile de France dans le cadre de la Semaine europ enne de la vaccination la Retour sur la semaine de la vaccination 2013 coordination d un cycle de conf rences dans les d partements page 10 l accompagnement m thodologique l harmonisation des valuations et le d veloppement de la communication autour de ces diff rents projets mais aussi l organisation d une action pilote organis e dans le cadre des JDC page 6 lt Les premiers r sultats sont encourageants gt conclut le docteur M nager lt Ces actions nous ont permis de coordonner un r seau professionnel d changer sur nos pratiques de d velopper les actions hors les murs et de commencer analyser les freins la vaccination Il s agit d sormais de renouveler ces actions et de les d velopper gt ARS Agence R gionale de la Sant CIRE Cellule Inter R gionale d Epid miologie INPES Institut National de Pr vention et d Education pour la Sant INVS Institut Nationale de Veille Sanitaire IREPS Instance R gionale d Education et de Promotion de la Sant ORS Observatoire R gional de la Sant Retour sur la semaine de la vaccination 2013 ination des Jeunes ur sur un projet pilote le de
18. dique Florence Berger lt Dans ce cadre j organise r guli rement des rencontres entre les jeunes et les diff rents partenaires de la Ville sous forme de petits d jeuners Il Retour sur la semaine de la vaccination 2013 s agit la fois de les informer de d battre mais aussi de les aider identifier les ressources locales gt pr cise t elle Dans le cadre de la Semaine euro p enne de la vaccination la psy chologue a choisi de consacrer un petit d jeuner la question et invit Catherine Neveu du Centre D partemental de D pistage et de Soin d Argenteuil CDDS lt Pour mobiliser les jeunes nous avons choisi d aborder le sujet sous langle du travail les vaccinations obligatoires en milieu profession nel par exemple Les conseillers en insertion professionnelle se sont mobilis s pour les faire venir ce petit d jeuner gt d taille Florence Berger Une th matique sp cifique qui les a visiblement int ress 10 d entre eux ont en effet r pondu present et tous ont t tr s participatifs Si certains taient au point sur la vaccination notamment les jeunes parents d autres sont repartis avec de nouvelles connaissances lt Et surtout plusieurs rendez vous au CDDS ont t pris l issue du petit d jeuner gt constate Florence Ber ger La psychologue tire donc un bilan positif de l op ration et envisage de la reconduire l an prochain tou jours l o
19. es freins majeurs au progr s de la vaccination Le profes seur Floret est donc revenu sur la question des adjuvants au cours d une seconde intervention IL s est en particulier int ress l aluminium accus par une quipe de recherche francaise d affecter le syst me nerveux central des per sonnes vaccin es lt Il n existe aucune publication scientifique en dehors de la France sur cette maladie met en garde le professeur qui rappelle par ailleurs que les r sultats de cette quipe reposent sur des donn es et des m thodes qui posent question pas de groupe t moin patients atteints de ma ladies ant rieures l administration des vaccins etc Mais alors que r pondre aux patients aux pro fessionnels de sant qui parfois s opposent la vaccination Oui c est vrai que l aluminium pr sent dans les vaccins reste en partie dans les muscles o le produit a t inject r pond le professeur Floret DES CONF RENCES SUR TOUT LE TERRITOIRE Cette rencontre r gionale s inscrit dans un cycle de conf rences programm es sur l ensemble du territoire d ici 2017 Des rendez vous qui ont pour but de permettre l ensemble des professionnels concern s d actualiser leurs connaissances d changer sur leurs pratiques et leurs repr sentations L IREPS a pour mission de coordonner et de rendre visibles ces rencontres mais galement d aider les promoteurs de ces actions l
20. es valoriser gr ce un outil d valuation harmonis lt En revanche en 20 ans aucun lien avec une quelconque maladie n a t d montr scientifi quement Evidemment on pourrait retirer lalu minium des vaccins mais dans ce cas il faudrait aussi arr ter de vacciner puisque les produits ne fonctionneraient plus Des adjuvants alternatifs existent c est vrai mais nous ne savons pas s ils seraient tol r s par l organisme gt Une pol mique franco fran aise Par ailleurs l autorisation de mise sur le march d un nouveau vaccin prendrait entre cinq et dix ans D autant que la pol mique tant limit e la France il semble douteux que les laboratoires qui distribuent leurs produits partout dans le monde se lancent dans la fabrication de vaccins sans aluminium sp cifiquement pour le march fran ais lt Enfin rappelle t il l aluminium n est toxique qu partir d une certaine concentration loin d tre atteinte par le biais de la vaccination gt Apr s une nouvelle s ance de questions mod r e par le docteur V ronique Dufour p diatre en charge de la protection infantile la PMI de Paris et expert INFOVAC Evelyne Ba illon Javon directrice du p le pr vention et promotion de la sant la direction de la sant publique tire les conclusions de cette journ e Une rencontre tr s enrichissante qui a rassem bl souligne t elle des professionnels d hori zons tr s v
21. estions RE AET HAUT DE SEINE La sant et la pr vention font par tie des axes de travail des Femmes relais d Antony Si ces femmes du quartier du Noyer Dor regroup es en association depuis 1995 sensibi lisent r guli rement les habitants sur la vaccination elles ont sou hait mettre l accent sur le sujet durant la Semaine europ enne de la vaccination Ateliers sant mensuels accueil et accompagnement des nouveaux arrivants cours d alphab tisation Toutes les occasions sont bonnes pour parler sant au sens large et vaccination en particulier explique Madame Kamara m diatrice au lt Mais nous tenions en plus mettre en place des s ances de sensibi lisation sp cifiques au cours de la Semaine de la vaccination gt sou ligne t elle Deux sessions ont donc eu lieu dans les locaux de l asso ciation La premi re portait sur les maladies infectieuses le r le et le mode d emploi du carnet de vaccination et la n cessit de bien suivre les recommandations en la mati re Elle tait anim e par un intervenant du r seau Ressources r seau de sant et d acc s aux soins port par l h pital de Clamart La seconde a quant elle permis d aborder la questions des vacci nations n cessaires pour partir l tranger en pr sence d une pro fessionnelle de la CPAM 92 Chaque s ance a rassembl une vingtaine de personnes mais surtout ces ren contres ont permis aux partici
22. fini en se fondant sur le rapport du comit de pilotage minist riel en 2010 et sur les enseignements plus r cents tir s des campagnes de vaccination lors de la pand mie orippale lors de l pid mie de rougeole et lors de l end mie m ningocoques B en Haute Normandie Sur la base des principaux points de force ou de faiblesse du dispositif actuel de vaccination ce programme s articule autour de cinq axes Simplifier le calendrier vaccinal et l acc s aux donn es du carnet de vaccination Faciliter l acc s la vaccination en s appuyant sur les Agences R gionales de Sant Inciter la vaccination Am liorer le suivi et l valuation de la politique vaccinale Conforter le continuum recherche fondamentale publique transformation industrielle sur les vaccins et favoriser la recherche en sciences humaines L INVS vient de publier un rapport qui s intitule lt Mesure de la couverture vaccinale en France gt qui permet de dresser un tat des lieux partir de la compilation des sources les plus appropri es par classe d ge Selon ce rapport il s av re que les objectifs de couverture vaccinale fix s par la loi de sant publique n taient pas atteints en 2012 pour la plupart des vaccinations En le de France selon les donn es pid miologiques pr sent es par L ARS La vaccination contre la rougeole reste une priorit en raison de sa recrudescence depuis 2008 Le nombre de
23. ie Pierre M nager pilote du projet vaccination pour l ARS IDF et le professeur Daniel Floret pr sident du Comit technique des vaccina tions CTV elle prend encore plus de sens dans le contexte du changement de calendrier vaccinal Charg s de projets m decins repr sentants d organismes professionnels ou encore infir mi res tous taient venus en qu te d informa tions et de pr cisions sur le nouveau calendrier vaccinal Plus sinple plus efhtace Apr s une introduction par Laurent Castra direc teur de la sant publique l ARS IDF la question a fait l objet d une pr sentation d taill e par le professeur Floret l origine du nouveau calen drier Le professeur FLORET lors de la conf rence lt Le CTV et le Comit de sant publique ont pro pos une simplification du calendrier vaccinal une simplification issue d une longue r flexion d marr e en 2008 gt pr cise t il lt Ily avait dans l ancien calendrier beaucoup d injections chez les enfants puisqu un nourrisson suivant les re CALENDRIER VACCIMAL w commandations vaccinales devait recevoir entre 10 et 13 injections 13 19 avant l ge de 18 ans Deuxi me constat chez les adultes les rappels d cennaux taient mal appliqu s gt La nouvelle mouture a donc pour but d une part de limiter le nombre d injections pour les en fants et d am liorer la couverture vaccinale des adultes d autre
24. ination des nourrissons et ts Explications du docteur Marie Pierre M nager pilote du projet pour l ARS Le choix d une th matique unique s explique aussi par les repr sentations populaires de la rougeole consid r e tort comme une maladie infantile et b nigne lt L pid mie a d montr que la rou geole touchait aussi des adolescents et de jeunes adultes avec parfois des complications s v res La moiti des 23000 cas observ s entre 2008 et 2011 en France a concern des personnes de 15 ans et plus dont un tiers a t hospitalis gt rap pelle Marie Pierre M nager lt Il persiste aujourd hui des poches de jeunes adultes et d adolescents non vaccin s qui risquent d tre malades d avoir des complica tions plus fr quentes cet ge voir de conta miner les populations vuln rables non vaccinables femmes enceintes tr s jeunes nourissons popu lations sous immunosuppresseurs gt Trois axes prioritaires Cette politique vaccinale r gionale s articule au tour de trois axes Tout d abord il s agit de mieux connaitre l pid miologie et la couverture vacci nale r gionale Ensuite de mettre en uvre des actions sp cifiques en mobilisant tous les profes sionnels concern s Les m decins qui sont les principaux vaccinateurs les sages femmes qui ont un r le primordial mais aussi les infirmi res et les pharmaciens gt d taille le docteur M nager lt Ce so
25. mm de 2012 2017 il s int resse en priorit la promotion de la vacci nation contre cette maladie et notamment au rat trapage chez les jeunes adultes et les adolescents En termes de chiffres PARS souhaite atteindre d ici cinq ans un niveau de couverture vaccinale de 95 pour la pre mi re dose et 80 pour la seconde 24 mois 90 6 ans et enfin 95 17 ans Le projet est copilot par l Assurance maladie lt Les r sultats du diagnostic de couverture vacci nale r alis avec la CIRE nous ont beaucoup sur pris gt souligne le m decin En effet l insuffisance de remplissage des donn es ne permet pas d ta blir un taux r gional sur les six d partements renseign s le taux d enfants vaccin s avec deux doses 24 mois oscille entre 64 7 et 73 7 selon les d partements Les in galit s territoriales sont flagrantes Par ailleurs nous sommes loin des 80 de l objectif r gional cet ge et la marge de rattrapage est encore grande pour atteindre les recommandations gt 1 Donn es du certificat de sant du 24 mois 2010 INVS tique vaccinale onale une strat gie multiples facettes isance de la couverture vaccinale en France et la r surgence de certaines maladies qui en d coule n rale de la Sant DGS a mis en place un programme national visant am liorer la situation A nale l ARS s est engag e d velopper des actions de promotion de la vacc
26. n d envergure en direction des professionnels de sant Explica tions de Delphine Florance charg e d ducation pour la sant C est la premi re fois que l orga nisme met en uvre une action de cette ampleur gt souligne Delphine Florance La CPAM a en effet en voy un courrier aux 1000 m decins g n ralistes et aux 65 p diatres de Seine et Marne mais aussi aux centres de sant et aux 14 Maisons D partementales des Solidarit s PMI Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Objectif Leur communiquer les informations relatives au nouveau calendrier mais aussi leur four nir l affiche de ce calendrier pour l exposer et transmettre le message aux patients Les pharmaciens souvent oubli s dans ce type d actions ont eux aussi t associ s l op ration lt ls jouent pourtant un r le tr s important et nous les incluons dans toutes nos actions d information et de pr vention gt indique la char g e d ducation pour la sant Les 400 pharmaciens install s dans le d partement ont en cons quence recu les m mes l ments La CPAM organisait par ailleurs une rencontre ouverte aux m decins du travail Du fait de leur statut par ticulier ils sont salari s c est un public avec lequel nous avons moins de contacts Le forum avait pour but de les informer sur les dispo Une tranche d ge particuli rement sitifs de pr vention de l assurance maladie en
27. nation LA VACCINATION A T ELLE uN SEXE Nous ne nous attendions en revanche pas beaucoup de demandes d entretien individuel avec le m decin Nous avons r ajust chaque Parmi les r sultats du questionnaire rempli par jour notre fa on d en parler aux jeunes et au final une quinzaine les jeunes lors de l animation une tendance d entre eux ont sollicit ce rendez vous Certains ont t orient s merge Les jeunes filles sont en effet plus vers des structures proches de leur domicile pour leurs rappels nombreuses d clarer avoir peur de la vacci nation alors que les gar ons disent moins s en Gw na lle Guillou Par ailleurs ce projet a r pondu un objec pr occuper Les filles qui s y int ressent plus tif essentiel en mati re de promotion de la sant l change de donc ont par ailleurs davantage le sentiment pratiques Les intervenants ont appr ci de travailler ensemble de d tre jour dans leurs vaccins L int r t pour rencontrer des professionnels issus d autres structures d avoir le la vaccination aurait il un sexe soutien du docteur M nager lors des premi res matin es sur chacun des sites ce qui leur a permis de poser toutes leurs questions et de d velopper leurs comp tences professionnelles Catherine Allais Leurs r actions ont t tr s positives et l am biance tr s conviviale Tous ont manifest l envie de participer nouveau ce type d action de s impliquer de ma
28. ni re plus large dans des projets de sant publique 2013 la m ningite C gt observe Diara Nianghane du centre de vaccination Bertheau Paris OS mais aussi de r fl chir aux freins Pr jug s 20 id es re ues manque de temps crainte des effets secondaires et des adjuvants y com pris au sein du corps m dical constituent autant de raisons qui expliquent ces r sultats en demi teinte wwwinpes sante r r Z eN x npes Enthousiastes les participants reflechissent deja cs XTrassurance institut national q A 7 MINIST RE CHARG h e r ven py B aux ameliorations qui pourraient tre apportees i Maladie ducation po ta sant l op ration lt Il serait int ressant d apprendre aux jeunes lire leur carnets eux m mes pro pose ainsi Laura Crouvezier La vaccination sur site fait galement partie des id es lanc es par plusieurs d entre eux Rendez vous l an prochain pour conna tre l volution du projet Retour sur la semaine de la vaccination 2013 emaine de la vaccination gt professionnels NDRE LE NOUVEAU CALENDRIER ve Au del de la sensibilisation du public la Se maine europ enne de la vaccination repr sente aussi l occasion de faire le point sur les pratiques les connaissances et les repr sen tations des professionnels C est dans cette optique qu tait organis e la rencontre du 25 avril Paris Anim e par le docteur Mar
29. nt tous des relais tres importants gt Enfin de d velopper des actions sp cifiques hors les murs notamment lors de la journ e d fense et citoyennet JDC 2 Couverture insuffisante une enqu te de s ro pid miologie r cente de l INVS montre que plus de 1 3 million de personnes ne sont pas prot g es contre la rougeole Pour y parvenir deux groupes de travail compo s s de repr sentants de diff rents m tiers dif f rents territoires et diff rentes institutions ont t constitu s en lien avec l Assurance maladie partie prenante dans le projet Conseils g n raux PMI professionnels de sant Education natio nale centres de vaccinations experts nationaux INPES INVS et r gionaux IREPS comptent ga lement parmi les partenaires de l ARS S er sur Les comp tences de SPP LIRE QU Le premier de ces groupes de travail pilot par UORS et la CIRE recense synth tise et analyse les donn es relatives la couverture vaccinale en Ile de France Le second pilot par le Conseil g n ral de Seine Saint Denis la d l gation territoriale de Seine et Marne de l ARS et l IREPS se consacre quant lui au recensement la coordination et la mise en uvre d action de promotion de la sant dans la r gion lt Nous avons missionn l IREPS car nous souhai tions nous appuyer sur l exp rience de l associa tion aupr s des jeunes ses comp tences en du cation et promotion
30. pants L une des forces de l association r side en effet dans le nombre de lan gues parl es par les salari es et les b n voles une douzaine en plus du fran ais Les participantes ne ma trisent pas toutes bien le fran ais gt indique Madame Kamara lt Les m diatrices pr sentes aux r u nions ont pu traduire leurs ques tions notre objectif tant que tous repartent avec des informations et des r ponses En parall le une campagne d affi chage a t mise en place tou jours en partenariat avec la CPAM des Hauts de Seine Un dispositif que l association A a E prevoit de recon se gt Q a h 4 duire lan pro lt chain ka Retour sur la semaine de la vaccination 2013 En Seine Saint Denis l association elle RE SEINE SAINT DENIS Avec le changement de calendrier vaccinal de nombreux outils ont t con us pour l expliquer au grand public Des supports qui ne sont pas toujours adapt s une population rencontrant des difficult s lire Pour faire prendre conscience des enjeux de la vaccination aux gens du voyage Bernadette Ferrara de l association ADEPT projette de mettre en place des documents sp cifiques destination des enfants QUIZ POUR LES PETITS MALINS EN BONNE SANTE EL ADEPT a pour but de favoriser la connaissance et la reconnaissance sociale conomique culturelle ainsi que de l habitat gt des gens du voyage mais
31. pliqu s de mani re tr s volontaire T moignage La richesse d une quipe pluridisciplinaire Durant les quatre jours 10 infirmiers 8 tudiants infirmiers 2 secr taires m dico sociales et 4 m decins se sont mobilis s pour lire les carnets de sant des jeunes appel s et r pondre leurs questions Tous se f licitent de la bonne orga nisation tout comme du nombre important de jeunes qui ont jou le jeu et apport leur carnet L op ration leur a par ailleurs permis de se plon ger concr tement dans le nouveau calendrier vaccinal Quelques questions ont merg en rapport avec la p riode de transition notam ment indique Isabelle Gravy Tonnelier infir mi re lib rale Pour les tudiants infirmiers venus pr ter main forte c est aussi une bonne occasion de se for mer lt L quipe a r pondu nos questions nous Gw na lle Guillou C est une premi re tape d un partenariat qui lie L ARS l Arm e le Conseil G n ral l Institut de formation en soins infir miers de Villeneuve St Georges les centres de vaccination et les professionnels lib raux sur laquelle nous allons pouvoir nous appuyer pour d velopper nos projets l an prochain Une v ri table dynamique s est enclench e Et en termes d objectifs Gw na lle Guillou Les objectifs ont t at teints en termes de nombre de jeunes touch s et de dynamique partenariale Les valuations chaud des jeunes et des p
32. re du carnet ils se sont tout de suite int ress s aux r sultats ont pos des ques tions GD C tait aussi int ressant d intervenir au pr s d un public tr s large notamment les jeunes non scolaris s que nous avons du mal toucher habituellement S Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Bilan objectifs d pass s M me si l action est loin d tre termin e Gw na lle Guillou directrice du CODES 78 en charge de la coordination du projet vaccination pour l IREPS et Catherine Allais charg e de projets en charge de la coordination technique tirent un premier bilan de l op ration Pourquoi l IREPS a t elle organise cette action Gw na lle Guillou L IREPS a t sollicit e par L ARS le de France pour participer au pro gramme national d am lioration de la politique vaccinale 2012 2017 voir page 4 dans la r gion L une des nos missions tait de d velopper une action aupr s des participants aux JDC afin de toucher les adolescents et les jeunes adultes qui constituent l un des publics prioritaires du pro gramme C tait une premiere dans la r gion tout s est il d roul comme pr vu en termes d organisa tion et de coordination Catherine Allais L Arm e a tout de suite r pondu notre demande le personnel militaire et civil s est montr tr s aidant et tr s accueillant tout au long de l op ration Quant aux intervenants ils se sont im
33. rofessionnels sont po sitives Maintenant nous allons proc der une valuation distance pour savoir si les actions organis es durant les JDC ont permis de faire voluer les pratiques des jeunes s ils sont all s voir un m decin ont parl de vaccination leur entourage Elle d butera en septembre par le biais d un questionnaire anonyme Equipe pr sente aux JDC de Versailles pluridisciplinaire avons pu apprendre des choses souligne Lucie Hionnic Notamment lire les carnets ce que nous ne faisons pas habituellement ajoute Lau ra Crouvezier Tous jugent l exp rience tr s enrichissante Les professionnels ont galement salu la pluridisci plinarit des quipes compos es aussi bien d in firmi res lib rales de m decins d infirmi res et de secr taires m dico sociales officiant en centre de vaccination la Croix Rouge au Conseil G n ral l Education Nationale ou encore l ARS Pour tous les quatre journ es pass es aux JDC ont permis de faire un premier point sur la vac cination des jeunes catastrophique en ce qui concerne le papillomavirus et tr s moyenne pour Retour sur la semaine de la vaccination 2013 Illustrations issues de la pr sentation Pourquoi se faire vacciner gt de l INPES utilis e lors des JDC Catherine Allais J ai t positivement surprise de constater que beaucoup de jeunes avaient apport leur carnet de vacci
34. te pr cise Camille Defosse animatrice de pr vention Certains sont plut t au point sur le sujet le fonctionnement du syst me immunitaire fait partie du programme de terminale scientifique Pour d autres la d couverte est totale Mais dans tous les cas l intervention permet de faire le tri entre id es re ues et v rit s scientifiques De r pondre Carole qui soutient qu lt on est malade pendant trois jours apr s la piq re et qu on attrape la maladie quand m me ou Assia qui a entendu parler d lt un vaccin qui donne la paralysie gt L efficacit de la vaccina tion et les effets secondaires possibles font en effet partie des sujets qui pr occupent le plus les jeunes Mission accomplie Pour valuer plus concr tement l impact de intervention ces derniers taient invit s remplir un questionnaire avant et apr s l animation Objectif tablir si leurs connaissances et leur int r t pour le sujet ont volu Pour certains le contrat semble rempli lt J ai appris des choses et notamment me servir de mon carnet de sant gt indique ainsi Laure lt Jusqu ici c est ma maman qui s en occupait gt M me son de cloche chez Fr d ric qui dit avoir d sormais lt envie de v rifier moi m me mon carnet gt D autres en revanche ne semblent pas pr ts prendre leur sant en main et pr f rent pour l instant laisser leur parents s en charger
35. teurs dans l accompagnement phy sique des personnes a constitu une r elle plus value et renforc le lien de confiance entre le patient et le soignant lt Beaucoup de pu blics en situation de pr carit ne se d placent pas au centre de vacci nation Pour nombre d entre eux la sant est loin d tre leur prio rit premi re La d marche de lt l aller vers gt est indispensable afin de r inscrire ces personnes dans le droit commun des personnes qui sont souvent tr s loign es des par cours de soins et encore plus de la pr vention poursuit elle Confort par cette r ussite len semble des partenaires envisage de reconduire l op ration qui se d roulerait d sormais deux fois par an Nous souhaitons d velopper ce partenariat qui nous a permis de mener une action de pr vention efficace conclut Pascal Bourdeau VACCINATION GRATUITE SALLE LCR 24 RUE ROBERT HOUDIN 75011 METRO BELLEVILLE HORAIRES gH gt 13HI PUBLIC ADULTES ENFANTS DE DE 6 ANS ACCOMPAGN S DES PARENTS APPORTEZ VOTRE CARNET DE VACCINATION SI VOUS EN AVEZ UNI DU CENTRE DE VACCINATION PICPUS ET DES ASV 10 ET DRE DE LA SEMAINE EUROP ENNE DE LA VACCINATION Affiche de l action 77 SEINE ET MARNE M decins lib raux p diatres phar maciens infirmi res scolaires La Caisse primaire d assurance mala die du d partement a men cette ann e une op ration de sensibilisa tio
36. us pour monter une op ration de vaccination hors les murs dans Retour sur la semaine de la vaccination 2013 le cadre de la SEV l quipe r pond naturellement pr sent L infirmier Pascal Bourdeau le m decin et une secr taire m dicale sont ainsi d tach s la salle LCR rue Robert Houdin Paris XI En l es pace de 4 heures ils recevront 45 personnes et proc deront 55 actes sur 38 d entre elles lt C est un tr s bon r sultat souligne Pascal Bour deau lt Pour comparaison lors de nos consultations sur rendez vous au centre nous voyons en moyenne 36 personnes dans le m me temps Or l nous nous sommes rapproch s de leur lieu de vie Un vrai succ s qui s explique par le travail de mobilisation effectu en amont par les coordinatrices des ateliers sant ville aupr s des par tenaires locaux travaillant avec les habitants des quartiers class s en politique de la ville dans ces deux arrondissements associations centres sociaux PMI coles pa rents bailleurs sociaux m decins lib raux et centres de sant Cette mobilisation a t facili t e notamment par l organisation d une r union d information entre l quipe de vaccination et les as sociations des quartiers Ainsi les partenaires ont pu obtenir suffisam ment d l ments afin de mobiliser leur public pr cise Jessica Pour raz mples d actions locales De plus l implication de ces ac

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