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1. Les nouvelles strat gies de transmission du patrimoine Fabrice Luzu J D E CONSEIL SUP RIEUR a NOTAIRES IS Les Echos DU NOTARIAT Les nouvelles strat gies de transmission du patrimoine Quelques modifications en mati re de transmission de patrimoine w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Abattements et r ductions e Fixation de l abattement en ligne directe 100 000 e Suppression des r ductions de droits de donation sauf transmission en Loi Dutreil Bar me e Augmentation des derni res tranches du bar me des droits en ligne directe et du pr l vement de l article 990 en mati re d assurance vie 5 e Gel du bar me D lai de rappel fiscal Augmentation du d lai de rappel des donations ant rieures e dans un premier temps de 6 10 ans e puis ensuite de 10 15 ans Les nouvelles strat gies de transmission du patrimoine Le psychodrame de la donation pr cession w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Une donation pr cession est elle toujours envisageable Davantage de droits de transmission e Suppression de la r duction de droits e Diminution de l abattement e Augmentation du d lai de reprise e Augmentation des deux derni res tranches du bar me Une donation pr cession est elle toujours envisageable Mais aussi davantage d imp t de plus value e Les pr l vements sociaux ont t port s de
2. e __Sous groupe Il bureaux et locaux divers assimilables Caract ristiques 1 Locaux usage de bureaux d agencement ancien 2 Locaux usage de bureaux d agencement r cent 3 Locaux assimilables des bureaux mais pr sentant des am nagements sp cifiques Sous groupe III Lieux de d p t ou de stockage et parcs de stationnement Caract ristiques 1 Lieux de d p t ciel ouvert et terrains usage commercial et industriel 2 Lieux de d p t couverts 3 Parcs de stationnement ciel ouvert 4 Parcs de stationnement couverts 5 Installations sp cifiques de stockage Les nouvelles cat gories suite e __Sous groupe IV Ateliers et autres locaux assimilables Caract ristiques 1 Ateliers artisanaux 2 Locaux utilis s pour une activit de transformation de manutention ou de maintenance 3 Chenils viviers et autres locaux assimilables Sous groupe V H tels et locaux assimilables Caract ristiques 1 H tels confort 4 toiles ou plus ou confort identique 2 H tels sup rieurs 2 ou 3 toiles ou confort identique 3 H tels standard 1 toile ou confort identique 4 Foyers d h bergement centres d accueil auberges de jeunesse 5 H tels clubs villages de vacances et r sidences h teli res Les nouvelles cat gories suite e __ Sous groupe VI Etablissements de spectacles de sports et de loisirs 1 Salles de spectacles et locaux assimilable
3. II Cr dits d imp t et autres mesures 1 Institution du cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi CICE 2 Renforcement du cr dit d imp t cin ma CIC 3 Recentrage du cr dit d imp t recherche CIR 1 Cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi 3 LFR 2012 art 66 e Institution d un nouveau cr dit d imp t Entr e en vigueur e R mun rations vers es compter du 1 janvier 2013 L assiette est constitu e par les r mun rations salaires indemnit s gratifications primes et avantages en nature e Vers es au cours de l ann e civile e Qui n exc dent pas 2 5 fois le SMIC e R guli rement d clar es aux organismes de s curit sociale e Retenues pour la d termination Du r sultat imposable l imp t sur le revenu ou l imp t sur les soci t s Des cotisations de s curit sociale 1 Cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi 3 LFR 2012 art 66 Taux du cr dit d imp t e 4 pour les r mun rations vers es en 2013 e 6 au titre des ann es suivantes Entreprises b n ficiaires e Exercer une activit professionnelle IS BIC BNC BA e D clarer le revenu d apr s un r gime r el d imposition e Les entreprises exon r es sont ligibles 1 Cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi 3 LFR 2012 art 66 Utilisation du CICE e Imput sur l imp t IS ou IR e L exc dent du CICE sur
4. Pour les revenus de 2013 les personnes appartenant un foyer fiscal qui d clare moins de 2 000 de revenus de cette nature peuvent opter pour une imposition au taux forfaitaire de 24 Pour revenus per us compter du 1 janvier 2013 un pr l vement de 24 titre d acompte sur l imp t d par le contribuable est obligatoirement pr lev la source par l tablissement payeur de produits de placement revenu fixe int r ts y compris les int r ts des comptes d associ s Les contribuables appartenant un foyer fiscal dont le revenu fiscal de r f rence de l avant derni re ann e est inf rieur 50 000 ou 25 000 selon leur situation de famille peuvent demander en tre dispens s Le Conseil constitutionnel ayant partiellement censur l article 9 le pr l vement de 24 op r en 2012 garde son caract re lib ratoire Quelle r mun ration en 2013 TNS salaires ou dividendes Dividendes soumis __aux cotisations sociales w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Article 11 de la loi de financement de la s curit sociale L article 11 de la loi de financement de la s curit sociale pour 2013 soumet cotisations et contributions sociales la part de dividendes per us par les travailleurs ind pendants exer ant leur activit dans une soci t assujettie l imp t sur les soci t s leur conjoint ou leur partenaire de Pacs ou leurs enfants mineurs exc dant 10 du c
5. consid rer qu une aide n est jamais commerciale 2 Aides entre entreprises Durcissement du r gime 2 LFR 2012 art 17 et 3 LFR 2012 art 31 e Cons quences suite Une provision sur une cr ance financi re est d sormais on d ductible e La perte probable tant elle m me non d ductible Aide caract re financier La part de l aide non d duite dans les comptes de la m re reste imposable dans ceux de la filiale e Le dispositif cherche favoriser les augmentations de capital des soci t s sous capitalis es e Il s agit d un dispositif dans le prolongement des mesures contre la sous capitalisation des filiales fran aises ou trang res 3 Report des d ficits Renforcement du plafonnement LF 2013 art 24 e Durcissement des r gles de report en avant des d ficits Pour les r sultats clos au 31 d cembre 2012 la part variable du report d ficitaire est abaiss e de 60 50 du b n fice exc dant 1 M Op rations de restructuration d entreprises en difficult e Majoration du plafond de 1 M du montant des abandons de cr ances consentis au profit de ces entreprises 3 Report des d ficits Renforcement du plafonnement LF 2013 art 24 Exemple En N d ficit de de 2 8 M En N 1 b n fice de 2 M e N 1 2011 e N 1 2012 B n fice d imputation B n fice d imputation 2 08M 1 9M 1ME 2 8M 1M 60 1ME
6. e Suppression des taux major s Situation ancienne e Le taux de CIR tait major pour certaines entreprises et port de 30 taux normal 40 la premi re ann e 35 la deuxi me ann e D penses expos es partir 1 janvier 2013 e Suppression des taux major s avec effet imm diat Une entreprise qui a b n fici du taux de 40 en 2012 ne pourra pas b n ficier du taux de 35 en 2013 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Cr ation d un cr dit d imp t sp cifique pour les d penses d innovation CIR Innovation 20 CIR Recherche 30 Autres D penses CIR entreprises Recherche et Recherche d veloppement 30 D penses d Innovation PME au sens du droit UE D penses Recherche et d veloppement 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Entreprises concern es PME au sens du droit communautaire e Effectif gt 250 salari s e Et CA lt 50M ou total bilan lt 43M Attention somme alg brique des seuils respectifs si entreprises li es La soci t t te d un groupe fiscal ligible si PME 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Op rations ligibles D finition des activit s de R amp D e Bofip BOI BIC RICI 10 10 10 20 e L Adm propose une d marche d identification de ces activit s Les activit s de R amp D con
7. 2010 2011 2012 2013 O c O D D A Le N Q gt ep 3 O gt E D D Q_ 44 2 Cas g n ral es I prar O E E IPV E PS ETOC TOC TTOC OTOC 600 800 400Z 900 SOOC O0C O0C co0c TOOC 000 666T 86617 L66T 9667 Nouvel am nagement du r gime du report d imposition de l art 150 0 D bis art 10 LF13 e En cas d engagement d investir le produit de la cession des titres dans un d lai de 24 mois hauteur de 50 au moins du montant de la PV net des pr l vements Sociaux dans la souscription au capital initial ou l augmentation de capital ou dans un FCPR ou une SCR respectant le quota de 50 e La PV nest imposable qu hauteur du montant de la PV net des pr l vements sociaux qui n a pas fait l objet d un r investissement Nouvel am nagement du r gime du report d imposition de l art 150 0 D bis art 10 LF13 e Les autres conditions ant rieures cet am nagement sont bien entendu conserv es D tention des titres depuis plus de 8 ans La famille doit avoir d tenu durant ces 8 ans de mani re continue a moins 10 des titres La soci t doit est soumise IS et avoir eu une activit conomique durant ces 8 ann es La soci t b n ficiaire de l apport en capital doit avoir une activit conomique et les titres souscrits doivent repr senter au moins 5 du capital Les titres repr sentatif
8. LF 2013 art 23 e Qu entend on par charges financi res nettes Les charges financi res diminu es des produits financiers e Augment es de la partie des loyers et redevances vers es pour les op rations de Cr dit bail et Location avec option d achat Location simple de biens mobiliers conclue entre entreprises li es e Diminu es des amortissements pratiqu s par le bailleur Sont exclus de la notion de charges financi res nettes e Les gains et pertes sur cessions de VNP cptes 767 et 667 e Les pertes sur cr ances rattach es des participations cpte 664 e Les charges financi res sur les contrats administratifs 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e Exemple e Cons quences Charges d int r ts 4 4 M Charges exclues 0 4 K e Int r ts d emprunt 2 7 e Pertes sur cr ances li es e Pertes de change 0 7 K 0 15 et int r ts sur Pertes sur cr ances li es contrats adm 0 25 K 0 15 K Charges nettes 3 8 M e Escomptes vers s 0 5 K e 44 ME 0 4 KE 0 2 K e Int r ts de d couvert 0 4 KE gains dont 0 25 K pour des contrats Non d duction administratifs Produits financiers 0 2 K e 30 11 2012 0 e 31 12 2012 570 K 3 8 ME 15 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e Articulation avec les autres dispositifs Une entreprise soumise l ensemble des r
9. Provenant du dispositif de l amendement Charasse La franchise de 3M s applique l ensemble du groupe 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e Les int r ts exc dentaires servis aux associ s autres qu fes soci t s li es sont ils d duits pour le calcul des charges financi res nettes Disposition non pr vue par l article 23 de la LF 2013 En attente de pr cisions de l administration Question plus th orique que pratique 2 Aides entre entreprises Durcissement du r gime 2 LFR 2012 art 17 et 3 LFR 2012 art 31 La 2 LFR pour 2012 r serve la d duction des aides caract re financier celles qui sont faites au b n fice d entreprises en difficult La loi CGI 39 13 d finit dor navant la notion d entreprise en difficult Il s agit e Des entreprises sous proc dure de conciliation homologu e par le juge ou non e Et des entreprises pour lesquelles une proc dure de sauvegarde de redressement judiciaire ou de liquidation judiciaire est ouverte Toutes les aides sont concern es par ces dispositions e _Abandons subventions directes ou non renonciation recettes avances sans int r ts prise en charge de dettes Les aides commerciales restent d ductibles dans les conditions de droit commun 2 Aides entre entreprises Durcissement du r gime 2 LFR 2012 art 17 et 3 LFR 2012 art 31 Rappel Pour tre d duc
10. 31 865 chacun R flexe num ro 2 e Eviter les doubles taxations en d terminant un destinataire en second Outil Lib ralit s graduelles et r siduelles Lib ralit s r siduelles et graduelles M lanie tient ses droits de R mi Le bien est cens n avoir jamais transit par le patrimoine d Alicia gt avantage fiscal c gt R mi donne un bien Alicia charge pour elle de le transmettre M lanie Alicia doit transmettre M lanie le bien dans son int gralit lib ralit graduelle ou ce qu il en reste lib ralit r siduelle Lib ralit s graduelles et r siduelles Opportunit e Graduelle S assurer du maintien dans la famille de biens strat giques entreprise propri t de famille uvre d art Dans les familles recompos es prot ger le second conjoint tout en pr voyant une transmission ensuite aux enfants de la premi re union e R siduelle Eviter les DMTG entre fr res et s urs Prot ger un enfant souffrant d un handicap Lib ralit s graduelles et r siduelles Fiscalit Lors de la premi re transmission le premier gratifi Alicia est redevable des droits pas de d cote Le second gratifi M lanie ne doit rien Lors de la seconde transmission au d c s du premier gratifi le second b n ficiaire M lanie sera redevable des DMTG en fonction du lien de parent avec le disposant R mi mais il pourr
11. art 11 Dans le cadre des plans qualifi s d options et d attributions gratuites d actions attribu s compter du 28 septembre 2012 l avantage est impos dans la cat gorie des traitements et salaires Le r gime fiscal de l avantage r sultant des actions acquises dans le cadre de plans qualifi s d options attribu s avant le 28 septembre 2012 n est pas modifi Corr lativement le dispositif de retenue la source sur l actionnariat salari b n ficiant des non r sidents stock options attributions gratuites d actions BCE et autres avantages r sultant de l attribution de titres des conditions pr f rentielles est am nag R gime fiscal des plans attribu s compter du 28 septembre 2012 e Imposition de l avantage r sultant de stock options au bar me de l IR L avantage r sultant de plans qualifi s d options attribu s compter du 28 septembre 2012 est impos dans la cat gorie des traitements et salaires et soumis au bar me progressif de l imp t sur le revenu les taux d imposition forfaitaires sont donc supprim s Attributions gratuites e L avantage r sultant de plans qualifi s d actions gratuites attribu s compter du 28 septembre 2012 est impos dans la cat gorie des traitements et salaires et soumis au bar me progressif de l imp t sur le revenu CGI art 80 quaterdecies modifi Cons quences des nouvelles modalit s d imposition e Les plus values de cess
12. ductible gt non imputation sur la valeur des biens taxables des dettes contract es pour l acquisition ou dans l int r t des biens non pris en compte pour l assiette de l ISF exon r s d ISF e bien dont le redevable ne d tient que la NP e bien grev d un droit d usage et d habitation e titres de PME biens professionnels droits de propri t litt raires et artistiques exon r s e objets d antiquit art collection e droits de succession d s par le NP dont le paiement est diff r gt pour les biens partiellement imposables la dette est imputable partiellement Ex pr t pour achat bois et for ts Ex biens ruraux lou s par bail long terme gt attention l abattement de 30 sur la r sidence principale n est pas une exon ration partielle gt le pr t sous jacent demeure d ductible en totalit Assiette biens professionnels e Maintien de l ancienne r gle de proportionnalit pour les l ments compris au bilan d une soci t et qui ne sont pas n cessaires l exercice de l activit gt Seule la fraction utilis e pour l activit est un bien professionnel 2 Plafonnement e Principe e Le total repr sent par l ISF d au titre de l ann e d imposition IR N 1 ne peut pas tre sup rieur 75 des revenus du contribuable de l ann e N 1 e On y ajoute les pr l vements sociaux mais pas les taxes fonci res et d habitation Les revenus du contribuables so
13. 0 Mari RG de 2 ans CEHR Mari RG de 2 4 ans CEHR __ Mari RG de 4 6 ans CEHR 20 0 Mari RG de 6 ans CEHR Mari Pigeon CEHR 10 0 1 Mari Depart retraite CEHR 5 30 60 90 120 150 180 210 240 270 300 330 360 390 420 450 480 510 540 570 600 La situation en France 70 0 Vari RG de 2 ans Mari RG de 2 4 ans 60 0 Mari RG de 4 6 ans Mari RG de 6 ans Mari Pigeon 50 0 m Mari Depart retraite H mm m Mari RG de 2 ans CEHR F a p Mari RG de 2 4 ans CEHR HI j Mari RG de 4 6 ans CEHR E Mari RG de 6 ans CEHR mE i E Mari Pigeon CEHR PRE 1 40 0 30 0 Mari Depart retraite 20 0 C libataire RG de 2 ans CEHR C libataire RG de 2 4 ans CEHR 10 0 C libataire RG de 4 6 ans CEHR LA C libataire RG de 6 ans CEHR C libataire Pigeon CEHR T C libataire Depart retraite 5 30 60 90 120 150 180 210 240 270 300 330 360 390 420 450 480 510 540 570 600 Taxation des PV sur VM au bar me progressif CUADIRAE e Les plus values de cession de valeurs mobili res sont imposables au bar me progressif avec un abattement variable selon la dur e de d tention Dur e de d tention Abattement TEM 41 TEM 45 CEHR 0 Moins de 2 ans 54 4 58 2 3 ou 4 D
14. 12 3 13 5 en 2011 et 15 5 en 2012 e Une taxe sur les hauts revenus CEHR assise sur le Revenu Fiscal de R f rence a t cr e e Une myriade de dispositifs d imposition de la plus value a t cr e Une donation pr cession est elle toujours envisageable Exemple M King est chef d entreprise il a 2 enfants Il s appr te vendre sa soci t et souhaite cette occasion leur transmettre l quivalent de 3 000 000 en nue propri t Donation post cession KE Donation pr cession KE Une cession Une donation e Prix 3 000 Assiette globale 3 000 PV 38 50 1155 En nue propri t pour 2 250 r gime entrepreneurs CEHR VAIPU AET usuri AO 7 Et en pleine propri t pour 750 Net 1 845 Imp t de plus value sur l usufruit r serv et frais et droits de donation Suivie d une donation Montant des DMTG dus 506 Frais et droits de donation SS aneco eie 201 Suivie d une cession 8 prap IPV sur usufruit r serv 244 Net en poche familial 1643 Net en poche familial 2 250 Diff rence 607 K Une donation pr cession est elle toujours envisageable Quelles sont les limites e Le respect d une parfaite chronologie e L absence de r appropriation des biens donn s Une donation pr cession est elle toujours envisageable Un pass r cent mouvement Temps 1 d p t au Conseil des Ministres du 14 novembre 2012 d un projet qui an antit l impact
15. 2 8M 1M 50 B n fice taxable 0 72M B n fice taxable 0 9M lt e 2 8ME 2 08M e 2 8ME 1 9M 4 Cession de titres de participation Am nagement du r gime LF 2013 art 22 e R gime ancien Exon ration des plus values de cession de titres Non d duction d une quote part de frais et charges e Calcul e sur la plus value nette Somme alg brique des plus values et moins values de cession r alis es au cours de l exercice e Au taux de 10 Int gration fiscale e Neutralisation de la quote part pour les cessions iIntragroupes 4 Cession de titres de participation Am nagement du r gime LF 2013 art 22 e Am nagements du r gime l exon ration du r sultat de cession est maintenue Am nagements e Exercices clos au 31 d cembre 2012 e Taux de la quote part port 12 e Assiette de la quote part Montant brut des plus values la condition que la soci t ait d gag e une plus value nette gt Exclusion des moins values Les plus values et moins values en sursis n entrent pas dans le calcul de la quote part e Idem pour les groupes int gr s 4 Cession de titres de participation Am nagement du r gime LF 2013 art 22 e Exemple 1 e Exemple 2 Cession de titres Cession de titres e Titres plus value 1200 e Titres A plus value 800 e Titres B moins value 900 e Titres B moins value 900 Cons quence
16. 5 Quelle r mun ration en 2013 TNS salaires ou dividendes Actualit sur les revenus __ des capitaux mobiliers w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos R forme du r gime des revenus distribu s ER TC e Tous les revenus distribu s per us compter du 1 janvier 2013 sont compris dans les revenus de capitaux mobiliers RCM soumis au bar me progressif de l imp t sur le revenu e _L abattement de 40 appliqu aux dividendes soumis au bar me de l imp t sur le revenu est maintenu R forme du r gime des revenus distribu s Pour les revenus per us compter du 1 janvier 2013 un pr l vement de 21 est obligatoirement pr lev la source par l tablissement payeur des dividendes titre d acompte sur l imp t d par le contribuable Les contribuables appartenant un foyer fiscal dont le revenu fiscal de r f rence de l avant derni re ann e est inf rieur 75 000 ou 50 000 selon leur situation de famille peuvent demander en tre dispens s Le Conseil constitutionnel ayant partiellement censur l article 9 du texte adopt le pr l vement de 21 op r en 2012 garde son caract re lib ratoire R forme du r gime des produits de placement revenu fixe Les produits imposables de placement revenu fixe per us compter du 1 janvier 2013 sont compris dans les revenus de capitaux mobiliers soumis au bar me progressif de l imp t sur le revenu
17. gles de limitation de d duction des int r ts appliquera les dispositifs dans l ordre suivant i 2 3 Int r ts servis aux entreprises li es art 212 1 CGI R gime de la sous capitalisation art 212 I1 CGI Charges financi res aff rentes l acquisition de certains titres de participation art 209 IX CGI Nouveau dispositif de plafonnement g n ral 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e Exemple e Cons quences Charges financi res 1 R int gration charges 5 1 M financi res sous capitalisation 3M Dont int r ts ligibles PE r 5 Pa aux r gimes PRI inanci res nettes e De la sous ee 5 1M 3M capitalisation 3 M e Base r int gration 2 1 M etnon 0 car avant d duction les charges financi res 5 1 M sont gt 3 M 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e Groupes int gr s Principe de neutralisation des op rations intragroupes e Les charges financi res nettes sont donc uniquement celles engag es avec les personnes non membres du groupe Base de r int gration des charges financi res e Somme des charges financi res nettes des soci t s int gr es e Diminu e des charges financi res Servies aux entreprises li es art 212 1 CGI Issues du r gime de la sous capitalisation art 212 1 CGI Pour l acquisition de certains titres de participation art 209 IX CGI
18. tranger Modernisation de la proc dure de perquisition Allongement de certains d lais de prescription Renforcement du contr le fiscal e V rification de comptabilit sous forme d mat rialis e e Obligation au 1 janvier 2014 de pr senter la comptabilit informatis e sous forme d mat rialis e LFR 2012 Art 14 e Sanction en cas de refus 5 o des recettes d clar es ou redress es Minimum de 1500 Renforcement du contr le fiscal e Renforcement de la proc dure de flagrance fiscale LFR 2012 art 11 Modernisation de la proc dure e Des faits sur des p riodes achev es pour lesquelles aucune obligation d clarative n est chue sont d sormais ligibles Elargissement des situations de flagrance fiscale e Aux d faillances en mati re de TVA e Travail dissimul relev par d autres administrations et mena ant le recouvrement d une cr ance fiscale Extension des mesures conservatoires e Aux s ret s judiciaires portant sur des biens immobiliers des fonds de commerce des actions parts sociales et valeurs mobili res Renforcement du contr le fiscal e Avoirs d tenus l tranger LFR 2012 Art 8 l administration peut d sormais e interroger les contribuables sur l origine des fonds d tenus l tranger et non d clar s d faut de r ponse droits de mutation au taux de 60 sur ces sommes r put es avoir t re ues titre gratuit e Consul
19. 0 PV x 25 100 Sup rieur 260 000 6 PV Exemple Un redevable r alise apr s abattement pour dur e de d tention une plus value de 55 000 e Imp ts dus au titre de la plus value 55 000 x 34 5 18 975 Pour m moire la CEHR peut aussi tre due e Au titre de la taxe additionnelle assise sur le montant de la plus value 2 55 000 60 000 55 000 x 1 20 1 100 250 850 Mesure relative aux sch mas d optimisation cession titre on reux d usufruit temporaire e Entr e en vigueur 14 X1 2012 e Situation ant rieure cession impos e l IR comme une plus value immobili re mobili re ou professionnelle du chef du c dant e Situation nouvelle la cession temporaire d usufruit est tax e comme le revenu sous jacent e Revenus fonciers pour immeubles ou parts de soci t pr pond rance immobili re e Revenus des capitaux mobiliers pour valeurs mobili res ou droits sociaux e BNC pour les autres cas Montage pris pour illustration Champ d application Op ration vis e Exclusions Cession d usufruit viager Donation d usufruit temporaire Usufruit locatif social 253 1 code construction Echange apport Premi re cession d un usufruit temporaire Parties c dant personne physique soci t ou groupement Art 8 8 ter du CGI pas soci t IS cessionnaire peu importe sa fiscalit quid du d membrement ab initio gt P
20. 06 et 6 102 p riode de r f rence N 2 Avec une revalorisation chaque ann e en fonction de l volution des prix Autres modifications e Moyens de paiement d mat rialis pour le paiement de la CFE et l IFER art 43 de LFR e Am nagement de la taxe sur les surfaces commerciales art 37 VII de LDFR Les taxes r centes relatives l immobilier professionnel Comment lutter contre la r tention fonci re w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Mesures sp cifiques pour viter la r tention fonci re Nouvel article 1396 du CGI e Terrains situ s dans les zones urbaines ou urbaniser L article 1396 al 2 du CGI permet aux communes de majorer jusqu 3 par m tre carr la valeur locative cadastrale des terrains constructibles situ s dans certaines zones urbaines pour le calcul de la part de la taxe fonci re sur les propri t s non b ties qui leur revient ainsi que celle revenant aux tablissements publics de coop ration intercommunale sans fiscalit propre La majoration de plein droit dans les communes o la taxe sur les logements vacants est applicable communes appartenant une zone d urbanisation continue de plus de 50 000 habitants o existe un d s quilibre marqu entre l offre et la demande de logements cf nouvel article CGI art 232 Mesures sp cifiques pour viter la r tention fonci re suite Majoration de 25 du montant d
21. LF 2013 art 5 et 6 e Plafonnement des frais de v hicules Le bar me forfaitaire de la puissance fiscale des v hicules est plafonn 7 CV au lieu de 13 actuellement Les frais non pris en compte dans le bar me sont e les frais de p age de garage ou de parking e les int r ts annuels aff rents l achat cr dit du v hicule utilis Ces frais peuvent donc tre d duits au prorata de l usage professionnel du v hicule pour leur montant r el en sus du montant de la d duction r sultant du bar me kilom trique forfaitaire La d duction des frais r els ne pourra pas exc der le bar me forfaitaire Salari s cr ateurs d entreprise Suppression de l exon ration des cotisations sociales au titre de leur nouvelle activit compter du 1 janvier 2013 L exon ration portait sur les 12 premiers mois d activit TNS art 62 assiette de cotisation Suppression de l abattement de 10 pour frais professionnels R int gration des frais droits et int r ts d emprunt expos s pour l acquisition des parts sociales par les associ s R int gration de la part des dividendes sup rieure 10 du capital social des primes d mission et des sommes vers es en comptes courants ce r gime est d j applicable dans les SEL et les EIRL TNS Cotisation d assurance Maladie e D plafonnement de la cotisation auparavant plafonn e 5 plafonds e Le taux est uniformis 6
22. Lois de Finances et actualit fiscale 2013 Lundi 14 janvier De 17h 19h 30 Th tre Mogador 25 rue de Mogador a 75009 Paris Y t a i NOTAIRES i P IEUR PER Les Eclipse Lois de Finances et actualit fiscale 2013 Introduction Christian B NASSE Pr sident de la Chambre des Notaires de Paris N NOTAI RES PARI Les Echos Lois de Finances et actualit fiscale 2013 Trois questions Fran ois MARC s nateur du Finist re N NOTAI RES PARI Les Echos Lois de Finances et actualit fiscale 2013 Laurent BENOUDIZ Expert comptable Diane BERTHEUIL DESFOSSES Notaire Laure GUERCI Expert comptable Fabrice LUZU Notaire _ Jean Paul MATTEI Notaire Vital SAINT MARC Expert comptable Conf rence anim e par Arnaud LE GAL r dacteur en chef des Echos NOTAIRES DE EATI Les Echos Quelle r mun ration en 2013 TNS salaires ou dividendes Laure Guerci J D E CONSEIL SUP RIEUR a NOTAIRES IS Les Echos DU NOTARIAT Quelle r mun ration en 2013 TNS salaires ou dividendes Actualit concernant les salaires et les TNS w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Am nagement de la taxe sur les salaires LFSS 2013 art 13 e L assiette de la taxe qui est align e sur la CSG pour les revenus d activit vers s partir de 2013 e les sommes allou es par les employeurs au titre de l int ressement de la partic
23. TS LOCAUX LOCAUX COMMERCIAUX ET BIENS DIVERS Commission intercommunale des imp ts directs L article 42 de la LDFR supprime l exigence d une d lib ration pr alable la cr ation d une commission intercommunale Dor navant ces commissions sont mises en place la demande de l administration En attendant revalorisation forfaitaire des valeurs locatives art 87 de LDF e La loi reconduit pour les impositions 2013 les mesures habituelles de revalorisation forfaitaire des valeurs locatives fonci res servant de base aux imp ts directs locaux gt Les coefficients de revalorisation pour l ann e 2013 sont fix s 1 018 pour l ensemble des propri t s b ties et non b ties Les taxes r centes relatives l immobilier professionnel J D E CONSEIL SUP RIEUR a NOTAIRES IS Les Echos DU NOTARIAT CFE Am nagement du r gime Auto entrepreneur R duction facultative de la cotisation minimum Am nagement de la progressivit Report de d lai pour fixer les taux CFE r gime des auto entrepreneurs art 47 de LDF e Prorogation d une ann e de l exon ration de CFE en faveur des auto entrepreneurs ayant d but leur activit en 2009 gt Pour les avis d imposition de la CFE au titre 2012 l exon ration prendra la forme d un d gr vement accord sur demande du contribuable effectuer avant le 31 d cembre 2013 R duction facultative de la cotisation minimum de CFE 2012 a
24. a d duire ceux qui avaient t pay s par le premier gratifi Alicia R flexe num ro 3 e Eviter les doubles taxations en s interrogeant sur les r serves et stipulations d usufruit Optimisation des transmissions e _ Privil gier les usufruits temporaires e S interroger sur l opportunit des usufruits successifs R flexe num ro 4 e Toujours regarder dans le r troviseur avant de man uvrer e Outil la r incorporation transg n rationnelle La r incorporation dans une donation partage transg n rationnelle e Possibilit de faire redescendre un bien donn d une g n ration avec exigibilit du seul droit de partage au lieu des DMTG e M canisme anti abus si la donation r incorpor e a moins de 15 ans DMTG avec possibilit d imputation des droits pay s lors de la premi re transmission R incorporation transg n rationnelle Illustration David 65 ans a deux enfants Camille et Virginie Il a re u en 1996 de Laurent son p re une propri t de 3 000 000 Donation aux enfants de R incorporation dans la propri t familiale une DPT Droits dus DMTG Droits dus droit de 825 360 partage 75 000 Economie environ 750 000 R incorporation transg n rationnelle et d membrement USUFRUITIER A USUFRUITIER SUCCESSIF NUS PROPRIETAIRES e R incorporation transg n rationnelle 3 difficult s techniques e Qui
25. apital social et des primes d mission et des sommes vers es en compte courant d tenus en toute propri t ou en usufruit par ces personnes Cette r gle d int gration n tait jusqu pr sent applicable qu aux seuls associ s de SEL et aux EIRL Dividendes Assiette des cotisations sociales des TNS e Assiette retenue pour le calcul de l imp t sur le revenu art L 131 6 al 2 CSS e La fraction des revenus distribu s soumise charges sociales est exclue de l assiette des pr l vements sociaux au taux de 15 50 Imposition taux 45 PS patrimoniaux PS professionnels Charges sociales Charges ou PS d ductibles Economie IR sur d duction Taxation globale Imposition des dividendes des TNS commer ants Distribution non assujettie 27 15 50 5 10 2 30 40 2 Distribution assujettie rem lt 1 P 27 11 02 37 80 44 82 C0 55 6 Distribution assujettie rem entre 1 amp 3P 27 9 53 19 10 25 18 11 33 44 3 Distribution assujettie rem entre 4 amp 5P 217 9 01 12 60 18 34 8725 40 4 Distribution assujettie CURET E A 27 8 95 11 90 17 60 O2 39 9 Autres r formes des revenus distribu s e Les abattements annuels sur les dividendes de 1 525 ou 3 050 sont supprim s d s l imposition des revenus 2012 e La part d ductible de la CSG sur les revenus distribu s s
26. ces en cas de suivi contest par l administration e De pouvoir justifier emploi qu elles en ont fait aupr s des instances sociales repr sentatives de l entreprise Les obligations d claratives feront l objet d un D cret venir 2 Renforcement du Cr dit d Imp t Cin ma LF 2013 art 28 et 72 3 LFR 2012 art 33 et 34 e Production d uvres phonographiques Le taux du cr dit d imp t est port de 20 30 pour les PME au sens du droit europ en Le plafond est uniformis 600 K e Production de films Extension des d penses ligibles Plafond du CIC par uvre est port de 1 4 M e Production ex cutive Production en France d uvres produites par des entreprises trang res e Extension des d penses ligibles e Plafond du CIC port de 4 10 M par uvre 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Relance de l int r t de la proc dure de rescrit R gime ancien e Rescrits sur l ligibilit des d penses au CIR pr alables aux op rations Peu d int r t pratique R gime nouveau e Demandes de rescrit effectu es au moins 6 mois avant la date limite de d p t de la d claration de CIR n 2069 A SD Les demandes peuvent d sormais tre r alis es alors que les d penses ont t engag es A aux demandes faites partir du 1 janvier 2013 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71
27. concomitamment son d part la retraite contrairement la situation de Pierre Ni Sans risques fiscaux L oubli du report sur la d claration 2042 du contribuable entrainera l imposition de la plus value En cas de donation quelque moment que ce soit Il du 150 0B ter la plus value en report est impos e au nom du donataire en cas de non respect dans les 2 ans des conditions de remploi en cas de cession dans les 3 ans de l apport en cas de cession dans un d lai de 18 mois par le donataire En synth se Taux maximal d imposition possible e Cession avant 2 ans de d tention 62 2 e Cession entre 2 et 4 ans de d tention 53 2 e Cession entre 4 et 6 ans de d tention 48 7 e Cession apr s 6 ans de d tention 44 2 e Cession avec option Pigeon 38 5 e Cession intrafamiliale 150 0 A I 3 19 5 e Cession et remploi int gral 5 ans 150 0 D bis 19 5 e Cession et d part la retraite 150 0 D ter 19 5 e D part l tranger et cession apr s 8 ans 15 5 Que faire aujourd hui e est indispensable d ANTICIPER 1 C der 2 ans avant ou apr s le d part la retraite a se pr pare Apporter une holding IS puis c der apr s 3 ans pour viter l obligation de remploi dans un actif professionnel Transmettre en pleine propri t ou en nue propri t dans le cadre du dispositif Dutreil p rennis pendant le quinquennat
28. d lai d inexploitation de 5 2 ans Augmentant la taxe de 5 pour passer maintenant e 1e ann e d imposition taux 10 e 2 ann e d imposition taux 15 e 3 ann e d imposition taux 20 gt Les nouvelles dispositions ne s appliquent qu compter des imposition dues au titre de 2014 Logements sociaux usage locatif art 86 de la LDF e Les logements sociaux usage locatif peuvent b n ficier d une exon ration temporaire de taxe fonci re dans certaines conditions e L article 86 ram ne de 25 ans 15 ans l exon ration de taxation fonci re Quelle imposition des plus values de cession de valeurs mobili res et quelles strat gies d optimisation Laurent Benoudiz w5 NOTAIRES Con AL SUP RIEUR a DE EATI Les Echos Quelle imposition des plus values de cession de valeurs mobili res et quelles strat gies d optimisation Un r gime de plus en plus complexe et particuli rement lourd w5 NOTAIRES Con AL SUP RIEUR a DE EATI Les Echos La situation internationale 70 m 7 7 E Luxembourg Suisse 60 11 Belgique 50 USA E Chine 40 H Italie MH Canada 30 Pays Bas Se Allemagne 20 H Se z Espagne 10 T Se Royaume Uni 3 SZ Il Irlande 0 B ge 2 Su de Taux d imposition en sur les cessions de valeurs i Danemark mobili res II France La situation en France Taux d imposition des plus values de cessions de val
29. d en cas d attribution du bien donn une autre souche avec changement de g n ration exemple d oncle neveu pas de neutralit fiscale e Peut on r incorporer partiellement e Quelle valorisation en cas d incorporation d une donation partage ant rieure R flexe num ro 5 e Profiter de la fiscalit privil gi e de la transmission d entreprises Transmission d entreprise mode d emploi Le r gime Dutreil transmission est d sormais compil depuis mars 2012 BOFIP BOI ENR DMTG 10 20 40 10 20 et 30 20120912 Ce r gime est s curis et s inscrit dans la p rennit jusqu en 2017 levier 7 d cision n 26 du Pacte national pour la croissance la comp titivit et l emploi Strat gie de transmission d entreprise mode d emploi 1 Etablir sans tarder un ECC pour faire courir le d lai de 2 ans afin de b n ficier le cas ch ant de l abattement Dutreil de O 2 Pour comprimer ce d lai de 2 ans lorsque les conditions sont valid es b n ficier de l Engagement R put Acquis 3 B n ficier d une r duction de DMTG de 50 pour les donations consenties en pleine propri t avant 0 ans 4 Pour conserver des dividendes ne transmettre que la nue propri t des titres Dans ce cas l assiette de droits est amput e de la valeur de l usufruit r serv Toutefois l usufruitier voit ses pr rogatives limit es statutairement aux seules d cisions concernant l affectation du r sul
30. d une donation pr c dant la cession de moins de 3 ans le conseil des ministres retient un d lai de deux ans Temps 2 le d bat parlementaire permet de ramener le d lai 18 mois art 19 LFR 3 2012 Temps 3 le texte est d clar contraire la Constitution d cision DC 2012 661 du 29 d cembre 2012 Motif 1 Le texte fait supporter aux donataires une imposition suppl mentaire sans lien avec leur situation mais li e l enrichissement du donateur ant rieur au transfert de propri t Motif 2 Le crit re de la dur e s parant la donation de la cession titre on reux des valeurs mobili res est lui seul insuffisant pour pr sumer de mani re tee que la succession de ces deux op rations est intervenue la seule fin d luder le paiement de l imposition des plus values Les nouvelles strat gies de transmission du patrimoine Quelles strat gies de transmission __ pour 2013 w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos R flexe num ro 1 e Eviter les doubles taxations en sautant une g n ration e Outil donation partage transg n rationnelle Donation partage transg n rationnelle Associer enfants et petits enfants dans une donation partage e Les enfants doivent alors consentir ce que leurs propres descendants soient allotis leur place en totalit ou en partie Donation partage transg n rationnelle 0 100 000 AN E 5 Abattement
31. e 2 4 ans 20 46 2 49 2 3 ou 4 De 4 6 ans 30 42 1 44 7 3 ou 4 Plus de 6 ans 40 38 0 40 2 3 ou 4 Le taux effectif marginal tient compte de la CSG 15 5 et de la CSG d ductible hauteur de 5 1 La dur e de d tention est d compt e partir de la date de souscription ou d acquisition des titres Option pour les Pigeons art 10 LF13 e Les PV peuvent tre sur option impos es au taux forfaitaire de 19 lorsque P La soci t dont les titres sont c d s exerce une activit conomique de mani re continue depuis 10 ans ou depuis sa cr ation Les titres ont t d tenus par la famille de mani re continue au cours des 5 ans pr c dant la cession Les titres d tenus par la famille ont repr sent s de mani re continue pendant au moins 2 ans ou cours des 10 ann es pr c dant la cession au moins 10 des droits de vote ou des droits aux b n fices Les titres d tenus par la famille repr sentent au moins 2 des droits de vote ou des droits aux b n fices la date de la cession Le contribuable doit avoir exerc au sein de la soci t dont les titres sont c d s de mani re continue au cours des 5 ans pr c dant la cession une fonction de direction ou une fonction salari e dans les conditions du 1 de l article 885 O bis Pigeon vous avez dit Pigeon 50 45 40 36 5 35 7 a E Cas g n ral de 6 ans 30 E CEHR 25 20 E IPV 15 E PS
32. e la valeur locative cadastrale des terrains constructibles plus une majoration compl mentaire de 5 par m tre carr pour les impositions dues au titre des ann es 2014 et 2015 et de 10 par m tre carr pour les impositions dues au titre de l ann e 2016 et des ann es suivantes application toutefois de l abattement forfaitaire de 20 sans pour autant retenir la r duction de 200 m tres qui demeure dans la majoration facultative gt Il faut noter que la majoration obligatoire ne pourra faire l objet de d rogations par les collectivit s concern es Taxe annuelle sur les logements vacants art 16 de la LDF e Localisation du logement 1 janvier de l imposition dans des communes appartenant des zones d urbanisation continue de plus de 50 000 habitants avant 200 000 habitants e nombre d agglom rations concern es passerait de 8 28 e Notion de vacance La p riode de r f rence passe de 2 1 ann e et la dur e B d occupation du logement devra au 1 janvier de l ann e d imposition tre AIN quatre vingt dix jours cons cutifs au cours de ladite p riode e Taux de la taxe Il reste de 12 5 de la valeur locative brute la premi re ann e d imposition mais il est port 25 compter de la deuxi me ann e Renforcement de la taxe sur les friches commerciales art 83 LDF e Taxe existant depuis 2008 Le nouveau texte renforce ce dispositif R duisant le
33. ement de 20 vis par l article 15 d cid inconstitutionnel Entr e en vigueur le 1 janvier 2013 sauf cessions pour lesquelles il existe une promesse de vente ayant date certaine avant le 07 12 2012 Redevables e personnes physiques soci t s ou groupements fiscalement domicili s en France soumis l IR sur les plus values immobili res des particuliers dans le cadre de la gestion du patrimoine priv 150U 150U3 150UD e personnes et soci t s non fiscalement domicili es en France assujetties l IR et soumises au pr l vement de l article 244 bis A du CGI lors de la cession d un bien en France gt Quand lors de la publication de l acte Cessions vis es e normalement toutes sauf terrains b tir e ne touche pas les cessions exon r es Exemples r sidence principale biens d tenus depuis plus de 30 ans Assiette Montant imposable d termin suivant r gles fix es par art 150 V a 150VD art Z44 bis A II CGI e application de l abattement pour dur e de d tention Taux progressif Montant PV imposable Montant taxe De 50 001 60 000 2 PV 60 000 PV x 1 20 De 60 001 100 000 2 PV De 100 001 110 000 3 PV 110 000 PV x 1 10 De 110 001 150 000 3 PV De 150 001 160 000 4 PV 160 000 PV x 15 100 De 160 001 200 000 4 PV De 200 001 210 000 5 PV 210 000 PV x 20 100 De 210 001 250 000 5 PV De 250 001 260 000 6 PV 260 00
34. ement du report des d ficits Am nagement de la quote part de frais et charges sur les plus values sur titres Adaptation du r gime de transfert de si ge l tranger Am lioration du traitement fiscal de l augmentation de capital par incorporation de cr ances d cot es 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e R gime ant rieur D duction de toutes les charges financi res dans les conditions de droit commun Limitation du droit d duction pour e Les int r ts servis aux associ s autres que les entreprises li es art 39 1 3 CGI Les int r ts exc dentaires au b n fice d entreprises li es art 212 1 CGI Le r gime de la sous capitalisation art 212 11 CGI e Les charges financi res pour l acquisition de certains titres de participation art 209 IX CGI e Les charges financi res supportant l amendement Charasse art 223 B 7 CGI 1 D duction des charges financi res LF 2013 art 23 e Institution d une limitation g n rale pour la d duction des charges financi res Des charges financi res nettes dont le montant 2 3 M Engag es par les entreprises soumises lIS Sont non d ductibles hauteur de 15 cl tures compter du 31d c 2012 25 exercices ouverts partir du 1 janvier 2014 e Point d attention Le montant de 3M est une franchise pas un abattement 1 D duction des charges financi res
35. ement r investi le produit de ces cession dans une activit conomique Et l avis n 2011 17 BOI 13 L 2 12 du 4 mai 2012 du CAD Sur le plan des principes applicables le Comit estime que le l gislateur a entendu r server le r gime du sursis d imposition pr vu par l article 150 0 B du code g n ral des imp ts aux seules op rations d apport de titres une soci t soumise l imp t sur les soci t s lorsque cet apport a t suivi d un r investissement par cette soci t du produit de la cession des titres apport s dans des activit s conomiques Confirm par le CE par une d cision du 27 juillet 2012 CE n 327295 un sursis d imposition sur les plus values en vertu de l article 150 O B du CGI est susceptible d tre sanctionn par la proc dure d abus de droit d s lors que les fonds ont t appr hend s et g r s dans le cadre d une approche purement patrimoniale Sans cons quences v ritables sur les op rations d apport cession e La prudence recommandait de r investir 50 Le conseil d Etat avait d j pr cis que la soci t b n ficiaire de l apport devait proc der au r investissement d une part significative du produit de cession dans des projets conomiques o Le Conseil d Etat a estim qu un r investissement de 4 CE 3 f vrier 2011 n 329839 ou encore de 15 CE 24 ao t 2011 aff n 316928 du produit de cession dans des projets conomiqu
36. entielles avec l Adm fiscale e D penses retenir 6 cat gories fortement inspir es du r gime actuel du CIR e Dotations aux amortissements d penses de personnel et de fonctionnement 75 des 1 et 50 des 274 e Frais de prise et de d fense des brevets d penses externes 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Plafond et Taux du CIR Innovation Plafond de 400 K pour l ensemble des d penses Taux de 20 contre 30 pour le CIR recherche amp D veloppement e Utilisation du CIR Innovation Idem que pour le CIR Recherche amp D veloppement e Difficult s pr visibles l utilisation de termes identiques pour les 2 CIR entra nera l administration requalifier en CIR Innovation des d penses retenues par l entreprise pour le CIR R amp D Fiscalit des entreprises J Ko NOTAIRES E Con RIEUR PAR R Les Echos LEA 1 Modification des r gles de facturation 2 R forme des taux de TVA au 1 janvier 2014 1 Modification des r gles de facturation 3 LFR 2012 art 62 e ransposition de la directive 2010 45 UE Extension des modalit s de facturation lectronique e Les exigences pos es par la directive pour que les factures lectroniques soient admissibles sont maintenues l authenticit de l origine l int grit du contenu et la lisibilit de la facture doivent tre assur es compter de so
37. es tait insuffisant o Le Comit de labus de droit fiscal consid re dans son avis n 2011 16 insuffisant un r investissement de 3 mais suffisant un r investissement correspondant 39 du produit de cession affaire n 2011 17 BOI 13 L 2 12 op cit e dans un d lai inf rieur 3 ans S agissant du d lai celui ci doit tre raisonnable et suffisant par exemple 3 ans dans l affaire Bauchart o deux poux qui exploitaient un supermarch avaient r investi dans deux soci t s l une poss dant un h tel restaurant l autre exploitant cet tablissement mais pas sans dommages collat raux e Un frein r el aux op rations de restructuration La plus value en report ne pourra pas b n ficier de l exon ration en cas de d part la retraite la cession des titres entrainera la fin du report et la plus value en report sera impos e interdisant de la sorte de nombreuses op rations de restructuration vocation conomique gt Par exemple si Paul expert comptable souhaite se rapprocher de Pierre son confr re en apportant son cabinet de taille quivalente il d tiendra l issue de l apport 50 du capital La soci t m re ne pourra absorber sa filiale avant 3 ans sauf d montrer un remploi de 50 dans une activit conomique quid de la tr sorerie ventuelle La plus value en report d imposition de Paul g n rera une imposition lors de la cession du cabinet
38. eurs mobili res 70 0 60 0 50 0 40 0 Mari RG de 2 ans Mari RG de 2 4 ans Mari RG de 4 6 ans 30 0 Mari RG de 6 ans 20 0 10 0 5 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 220 240 260 280 300 320 340 360 380 400 420 440 460 480 500 520 540 560 580 600 La situation en France Taux d imposition des plus values de cessions de valeurs mobili res 70 0 60 0 50 0 Mari RG de 2 ans 40 0 Mari RG de 2 4 ans Mari RG de 4 6 ans 30 0 Mari RG de 6 ans Mari Pigeon 20 0 10 0 5 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 220 240 260 280 300 320 340 360 380 400 420 440 460 480 500 520 540 560 580 600 70 0 60 0 50 0 40 0 30 0 20 0 10 0 La situation en France Taux d imposition des plus values de cessions de valeurs mobili res 40 60 80 100 120 140 160 180 200 220 240 260 280 300 320 340 360 380 400 420 440 460 480 500 520 540 560 580 600 Mari RG de 2 ans Mari RG de 2 4 ans Mari RG de 4 6 ans Mari RG de 6 ans Mari Pigeon Mari Depart retraite La situation en France 70 0 60 0 Mari RG de 2 ans Mari RG de 2 4 ans 50 0 Mari RG de 4 6 ans Mari RG de 6 ans 40 0 Mari Pigeon Mari Depart retraite Poono n 30
39. ion d actions r sultant de plans d options et d actions gratuites continuent de relever du r gime des plus values de cession de valeurs mobili res e Elles sont calcul es sur le gain net gal pour les stock options la diff rence entre le prix de cession et le prix de souscription ou d achat des actions augment le cas ch ant de l avantage d j impos en traitements et salaires pour les actions gratuites la diff rence entre le prix de cession et la valeur des actions leur date d acquisition Cons quences des nouvelles modalit s d imposition e Si les actions sont c d es pour un prix inf rieur leur valeur r elle la date de lev e d option ou la date d acquisition la moins value est d ductible du montant brut de l avantage et dans la limite de ce montant e Les avantages sur stock options et actions gratuites sont inclus dans l assiette de la contribution sociale g n ralis e CSG au titre des revenus d activit Mais cette CSG tant recouvr e comme les pr l vements Sociaux au titre des revenus du patrimoine elle doit tre d duite du revenu imposable de l ann e de son paiement R gime social e Pour les stock options ou les attributions d actions gratuites attribu es partir du 28 septembre 2012 le r gime social est Pour les stock options le r gime du rabais n est pas modifi le rabais exc dentaire est consid r comme une r mun ration lors de
40. ipation et de l abondement un PEE e les contributions des employeurs au financement des prestations compl mentaires de retraite et de pr voyance l exception des contributions destin es aux r gimes compl mentaires de retraite l galement obligatoires e Cr ation d une tranche suppl mentaire au taux marginal de 20 pour les r mun rations sup rieures 150 000 Diminution de la taxe sur les salaires pour les petites structures LFR 2012 art 67 e L article 67 de la loi de finances rectificative pour 2012 pr voit pour les r mun rations vers es compter du 1 janvier 2014 e rel vement du montant de la franchise de 840 1 200 e rel vement des seuils d application de la d cote de 840 et 1 680 respectivement 1 200 et 2 040 e augmentation du montant de l abattement dont b n ficient notamment les associations les mutuelles et les syndicats pour le porter de 6 002 20 000 Frais professionnels des salari s LF 2013 art 5 ET 6 Baisse du plafond de la d duction forfaitaire de 10 Les frais professionnels des salari s et dirigeants soumis au r gime fiscal des salari s sont pris en compte au moyen d une d duction forfaitaire de 10 plafonn e CGI art 83 3 Pour l imposition des revenus de 2012 le plafond de l avantage procur par cette d duction forfaitaire de 10 est abaiss de 14 157 12 000 Frais professionnels des salari s
41. l imp t Constitue une cr ance sur l Etat Utilis pour le paiement de l imp t d au titre des 3 ann es suivantes Rembours pour la fraction non utilis e l expiration de cette p riode e Possibilit de remboursement anticip de la cr ance Pour les PME au sens du droit UE Les JEI Les entreprises en difficult conciliation sauvegarde redressement ou liquidation judiciaire Les entreprises nouvelles 1 Cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi 3 LFR 2012 art 66 e Le CICE est il accord sans contrepartie Non Il doit tre utilis par les entreprises pour le financement de l am lioration de leur comp titivit Celle ci s entend par la r alisation d efforts en mati re e D investissements de recherche d innovation de formation de recrutement de prospection de nouveaux march s de reconstitution du fond de roulement ne peut financer e Une hausse des b n fices distribu s e Une augmentation de la r mun ration des membres de la direction 1 Cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi 3 LFR 2012 art 66 En cons quence les entreprises auront l obligation e De retracer dans leurs comptes annuels l utilisation du CICE De quelle fa on Aucune pr cision e Par une subdivision des comptes 69 e Investissement recrutement recherche e Par une comptabilisation extra comptable Quelles cons quen
42. la lev e de l option Exclus de l assiette des cotisations les avantages r sultant de la diff rence entre la valeur r elle de l action la date de lev e des options sur actions et le prix de souscription ou d achat pour les stock options ou de lattribution gratuite d actions si l employeur notifie son organisme de recouvrement URSSAF etc e l identit de ses salari s ou mandataires sociaux auxquels des actions ont t attribu es au cours de l ann e civile pr c dente le nombre et la valeur des actions attribu es chacun d entre eux Les taxes r centes relatives l immobilier professionnel J D E CONSEIL SUP RIEUR a NOTAIRES IS Les Echos DU NOTARIAT Les taxes r centes relatives l immobilier professionnel Valeurs locatives w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos R forme des valeurs locatives R forme attendue depuis de tr s nombreuses ann es rendue indispensable par la suppression de la taxe professionnelle cr ant une cotisation fonci re des entreprises et une cotisation sur la valeur ajout e toutes bas es totalement ou en partie sur les valeurs locatives La valeur locative est le pivot autour duquel gravite l essentiel des recettes fiscales des collectivit s locales La taxe fonci re La cotisation fonci re des entreprises La cotisation sur la valeur ajout e des entreprises La taxe d enl vement des ordures m nag res Il est tem
43. n mission et jusqu la fin de leur p riode de conservation e Pour assurer ces exigences l assujetti peut mettre ou recevoir des factures Soit sous forme lectronique Soit sous forme papier en pr sence d une piste d audit opposable Soit en recourant la proc dure de signature lectronique avanc e Soit sous la forme d un message structur selon une norme convenue entre les parties 1 Modification des r gles de facturation 3 LFR 2012 art 62 e Transposition de la directive 2010 45 UE Facturation de certains acomptes e Suppression de l obligation d tablir une facture pour les acomptes vers s lors de la livraison de moyens de transports neufs et de livraisons de biens exon r s de TVA 2 R forme des taux de TVA au 1 janvier 2014 3 LFR 2012 art 68 e Financement du CICE par la modification de la structure des taux de TVA Augmentation du taux normal de 19 6 20 e Recettes pr vues de 2 6 milliards Rel vement du taux interm diaire qui passe de 7 10 e Recettes de 3 3 milliards Abaissement du taux r duit de 5 5 5 e Co t de 0 9 milliards Majoration du taux applicable en Corse qui passe de 8 10 Rel vement du taux de remboursement du forfait agricole AN EMI Renforcement du contr le fiscal V rification de comptabilit sous forme d mat rialis e Renforcement de la proc dure de flagrance fiscale Avoirs d tenus l
44. nt constitu s par Les revenus mondiaux nets des frais professionnels de l ann e ant rieure apr s d duction des d ficits de 156 CGI Les revenus exon r s d IR Produits soumis pr l vement lib ratoire Plafonnement gt Le projet de loi de finances pour 2013 pr voyait l int gration e des int r ts et produits capitalis s e les b n fices distribuables de soci t s familiales e es plus values ou gains ayant fait l objet d un sursis ou report d imposition e Censur par conseil constitutionnel Solutions d optimisation d ISF e Souscription au capital des PME e Donation en pleine propri t en usufruit aux fondations et associations reconnues d utilit publique Lois de Finances et actualit fiscale 2013 Conclusion Julien TOKARZ Pr sident de l Ordre des experts comptables r gion Paris He de France NOTAIRES DE PER Les Echos
45. orsque la majorit des droits de vote ou des droits dans les b n fices sociaux est d tenue par le contribuable et sa famille Lorsqu il dispose seul de la majorit des droits de vote ou des droits dans les b n fices sociaux en vertu d un accord conclu avec d autres associ s ou actionnaires Lorsqu il exerce en fait le pouvoir de d cision ce qui est pr sum lorsque o Le contribuable exerce ce contr le lorsqu il dispose d une fraction des droits de vote ou des droits dans les b n fices sociaux gale ou sup rieure 33 33 et qu aucun autre associ ou actionnaire ne d tient une fraction sup rieure la sienne o Le contribuable et une ou plusieurs personnes agissant de concert sont consid r s comme contr lant conjointement une soci t lorsqu ils d terminent en fait les d cisions prises en assembl e g n rale Le retour du report d imposition lors d un apport art 18 3 LFR 12 Apport de titres PV en report Engagement de conservation des titres re us pendant 3 ans Maintien du report e Application du sursis 150 0B ou du report 150 0B ter e La plus value reste en report jusqu cession des titres re us lors de l change e D compt de date date a 011U09 p Sed Remploi dans es deux ans de la e report prend fin au titre de cession d au moins 50 du Pas de remploi g 20n e au cours de laquelle le produit de cession n d lai de 2 ans expire S
46. osable e D termin partir de la valeur r elle de titres re us en change de l apport Et non plus partir de leur valeur nominale 6 Apport en capital d une cr ance rachet e une valeur d cot e LF 2013 art 24 e R gime nouveau Champ d application e Titres de participation d tenus par des soci t s IS Conditions d application e Absence de liens de d pendance du cr ancier initial avec la soci t d bitrice et avec celle rachetant la cr ance La soci t apporteuse et l mettrice peuvent toutefois tre li es 6 Apport en capital d une cr ance rachet e une valeur d cot e LF 2013 art 24 Exemple Cr ance de 2 M acquise pour 100 KE Incorporation de la cr ance au capital de la soci t d bitrice 2000 titres de valeur unitaire r elle de 300 e R gime ancien e Nouveau r gime Soci t d bitrice Soci t d bitrice e Z Participation 2 M Participation 2 M e R sultat comptable et fiscal R sultat comptable 1 9 M 1 9 ME e D pr ciation 1 4 M 2 ME 100 KE Cons quences fiscales D pr ciation 1 4 M e R sultat imposable 500 K 300 2000 100 K 7 a EoCS gt D duction fiscale 1 4 M Cons quence fiscale e R int gration de la dotation e Dotation non d duite 1 4 M 1 4 M Fiscalit des entreprises Cr dit d imp ts et autres mesures NOTAIRES DE PER Les Echos
47. oumis au bar me progressif est r duite de 5 8 5 1 Cette r duction est applicable sur les revenus 2012 R forme de l imp t sur le revenu e Cr ation d une nouvelle tranche sur l imp t sur le revenu 45 au del de 150 000 e Diminution du plafond de l avantage procur par le quotient familial limit 2 000 R forme de l imp t sur le revenu gt Taxation maximum e IR 45 e Contribution exceptionnelle des hauts revenus 4 e Pr l vement sociaux 8 des revenus d activit dont 5 1 d ductibles fiscalement ou 15 5 des revenus du patrimoine et des valeurs mobili res dont 5 1 d ductibles fiscalement Imposition maximale des revenus professionnel 55 7 Imposition maximale des revenus du patrimoine et des capitaux mobiliers 62 20 Quelle r mun ration en 2013 TNS salaires ou dividendes Etude comparative r mun ration dividendes w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos 80 70 60 50 40 30 20 10 Pr l vements obligatoires Pr l vements obligatoires E Salaires E Dividendes TNS Revenus nets disponibles E Salaires E Dividendes TNS Revenus nets disponibles Quelle r mun ration en 2013 TNS salaires ou dividendes Jean Paul Mattel Stock options et attributions gratuites d action w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Stock options et attributions gratuites d actions LF 2013
48. our rappel seuil d assujettissement 1 300 000 e seuil de la d claration sp cifique abaiss 2 570 000 au lieu de 3 000 000 e indication de la valeur brute du patrimoine e suppression de la r duction de 300 par personne charge Bar me progressif Fraction de la valeur nette taxable du Montant de la tranche Tarif applicable patrimoine N exc dant pas 800 000 800 000 0 Sup rieure 800 000 et inf rieure ou 500 000 0 50 gale 1 300 000 Sup rieure 1 300 000 et inf rieure ou 1 270 000 0 70 gale 2 570 000 Sup rieure 2 570 000 et inf rieure ou 2 430 000 1 gale 5 000 000 Sup rieure 5 000 000 et inf rieure ou 5 000 000 1 25 gale 10 000 000 Sup rieure 10 000 000 1 50 U Tarif ISF 2011 Fraction de la taux Montant valeur nette d imp t taxable du par patrimoine tranche Comprise 0 75 9450 entre 1 310 000 et 2 570 000 Comprise 1 14 700 entre 2 570 000 et 4 040 000 Montant cumul 12 255 26 955 Tarif ISF 2013 Fraction de Taux Montant la valeur de nette taxable l imp t du par patrimoine tranche Sup rieure 0 70 8890 1 300 000 et lt 2 570 000 Sup rieure 1 24 300 2 570 000 et lt 5 000 000 Montant cumul 11 390 35 690 Deux am nagements essentiels e Assiette e Plafonnement Assiette 1 passif d
49. par leurs caract ristiques sortant de l ordinaire R sultats de l exp rimentation dans 5 d partements Calais Vienne Proportion des locaux du d partement y O 2 sous groupe BUR 1 19 22 75 68 Proportion de cotisation de taxe fonci re avant la r vision 31 22 Total de cotisation de taxe fonci re 65 58 avant la r vision FE NE D A OO SO sc nario A 1 sous groupe MAG 1 11 36 on 31 22 2 sous groupe BUR 1 3 67 34 7 3 3 sous groupe BUR 2 ou DEP 2 2 10 11 20 21 Dans son rapport transmis par la DGFIP au parlement le 18 janvier 2012 on constate sur les d partements tests e Sur les 10 cat gories propos es les 2 premi res tiennent une place pr pond rante e Magasins notamment MAG 1 et Bureaux BUR 1 et BUR 2 ont la particularit de contenir les deux tiers des locaux professionnels e Sur les trois principaux sous groupes dans les cinq d partements soient 15 situations l volution de la taxe fonci re cons cutive la r vision des valeurs locatives fonci res dans sa mouture actuelle conduit une hausse cons quente dans 13 cas sur 15 La tr s grande majorit des locaux professionnels sera donc confront e une hausse de la taxe fonci re dans la mouture actuelle gt noter la baisse de la taxe fonci re des bureaux sur Paris Nouveau calendrier Les nouvelles modalit s de calcul de
50. ps de revoir les m thodes de calcul de plus de 40 ann es Syst me ancien du calcul de valeurs locatives Les locaux commerciaux C sont valu s selon trois m thodes m thode par bail m thode par comparaison m thode par appr ciation directe Les locaux industriels U sont valu s selon deux m thodes m thode comptable m thode particuli re Les locaux professionnels P sont valu s selon la m me m thode que les locaux d habitation H U La r forme consiste en la suppression de la notion de local type au profit de la mise en place d une grille La nouvelle formule est la suivante Valeur locative brute surface pond r e du local x tarif de la cat gorie x coefficient de localisation L article 34 de la loi de finances rectificative loi n 2010 1658 du 29 d cembre 2010 de finances rectificative pour 2010 e Un tarif au m appliqu la surface pond r e du local et un coefficient de localisation art 34 11 e La pond ration des surfaces art 34 V Les pond rations appliqu es aux diff rentes surfaces sont les suivantes 1 pour la surface des parties principales 0 5 pour la surface des l ments secondaires couverts 0 2 pour la surface des l ments secondaires non couverts e La prise en compte de l tat du march locatif art 34 I e La notion de cat gorie de propri t s art 34 Il e l valuation tient compte du secteur g ographi
51. que d implantation du local art 34 IV A e Les tarifs de chaque cat gorie seront mis jour chaque ann e M thode accessoire d valuation La loi pr voit galement une m thode accessoire d valuation Selon l article 34 VI Lorsque le IV n est pas applicable la valeur locative est d termin e par voie d appr ciation directe en appliquant un taux de 8 la valeur v nale d un immeuble telle qu elle serait constat e la date de r f rence d finie au B du IV si l immeuble tait libre de toute location ou occupation Cette m thode qui d roge la m thode principale devrait tre utilis e pour valuer les locaux exceptionnels Son utilisation ne devrait pas entrainer un r sultat plus favorable au contribuable que la situation actuelle Les nouvelles cat gories D cret n 2011 1267 du 10 octobre 2011 fixant les sous groupes et cat gories de locaux professionnels en vue de l valuation de leur valeur locative e Sous groupe magasins et lieux de vente Caract ristiques 1 Boutiques et magasins sur rue 2 Commerces sans acc s direct sur la rue 3 Magasins appartenant une ensemble commercial 4 Magasins de grande surface surface principale comprise entre 400 et 2 500 m 5 Magasins de tr s grande surface surface principale sup rieure ou gale 2 500n m 6 Stations service stations de lavage et assimilables 7 March s Les nouvelles cat gories suite
52. res d usufruit Situation avant la d cision du conseil constitutionnel du 29 XII 2012 Article 15 Loi de finances 2013 Loi rectificative pour 2012 P Nouveau r gime d rogatoire pour terrain b tir Instauration d un abattement de 20 pour les plus values immobili res des biens autres que les terrains b tir au titre de l ann e 2013 Renouveau de l exon ration des plus values pour cession des bailleurs SOCIAUX Instauration d une taxe sp cifique pour plus value taxable sup rieure 50 000 sauf terrain b tir La d cision du conseil constitutionnel censure de l art 15 Que ces dispositions peuvent conduire apr s d duction d une fraction de la CSG un taux marginal maximal d imposition 82 qui aurait effet de faire peser sur cette cat gorie de contribuables une charge excessive au regard de cette capacit contributive que dans ces conditions les dispositions de l article 15 de la loi d f r e portent atteinte l galit des charges publiques l article 15 doit tre d clar contraire la constitution Les modifications restantes loi de finances rectificatives pour 2012 e Nouvelle taxe pour les plus values sup rieures 50 000 e Taxation des cessions temporaires d usufruit e Nouvelle taxe pour les plus values immobili res sup rieures 50 000 1609 nonies G CGI ATTENTION n cessit d une clarification Application de l abatt
53. rt 46 e Rappel du r gime ancien concernant deux cat gories de redevables CA lt 100 000 cotisation doit tre comprise entre 206 et 2 065 CA gt 100 000 cotisation doit tre comprise entre 206 et 6 102 Avec une revalorisation chaque ann e en fonction de l volution des prix R duction facultative de la cotisation minimum de CFE 2012 art 46 e En raison d une forte augmentation de la cotisation minimum de la CFE l article 46 de la LDFR autorise les collectivit s qui le souhaitent revoir les cons quences des d lib rations prises en 2011 pour la cotisation minimum de la CFE e l faut pour cela que les collectivit s d lib rent avant le 21 janvier 2013 afin d accorder une remise de cotisation minimum en 2012 Les modalit s de remboursement d pendront de la date de la d lib ration Soit une remise au moment du paiement soit une restitution du trop per u Am nagement de la progressivit de la base minimum de CFE art 37 1 B 1 et D LFR2012 e Une nouvelle tranche pour la cotisation minimum est instaur e le nouveau calcul concernera donc 3 cat gories de redevables CA lt 100 000 cotisation doit tre comprise entre 206 et 2 065 p riode de r f rence N 2 CA gt 100 000 mais lt 250 000 cotisation comprise entre 206 et 4 084 p riode de r f rence N 2 CA gt 250 000 cotisation doit tre comprise entre 2
54. s 2 Etablissements ou terrains r serv s la pratique d un sport ou usage de spectacles sportifs Salles de loisirs diverses Terrains de camping confortables 3 toiles et plus ou confort identique Terrains de camping ordinaires 1 ou 2 toiles ou confort identique Etablissements de d tente et de bien tre Y O UO Aa ww Centres de loisirs centres de colonies de vacances maisons de jeunes Sous groupe VII Etablissements d enseignement et locaux assimilables Caract ristiques 1 Ecoles et institutions priv es exploit es dans un but non lucratif 2 Etablissements d enseignement but lucratif Les nouvelles cat gories suite Sous groupe VIII Cliniques et tablissements du secteur sanitaire et social Caract ristiques 1 Cliniques et tablissements hospitaliers 2 Centre m dicaux sociaux centres de soins cr ches haltes garderie 3 Maisons de repos maisons de retraite m dicalis es ou non 4 Y4 Centres de r ducation de thalassoth rapie tablissements thermaux Sous gro peX Carri res et tablissements industriels non valu s selon la m thode Caract ristiques 1 Etablissements industriels n cessitant un outillage important autres que les carri res et assimil s 2 Carri res et tablissements assimilables Sous groupe X Etablissements pr sentant des caract ristiques exceptionnelles Caract ristiques 1 Locaux ne relevant d aucune des cat gories pr c dentes
55. s de l apport en capital doivent tre conserv s directement et en pleine propri t pendant 5 ans Report jusqu en 2017 du 150 0 D ter art 10 LF13 e Le dispositif d exon ration de l IPV en cas de d part la retraite est prorog de 2013 2017 e La plus value exon r e est d sormais explicitement incluse dans l article 1417 du CGI qui d finit le Revenu Fiscal de R f rence et donc soumise la CEHR L incroyable histoire de la CEHR Mise en place dans la LF 2012 d une contribution exceptionnelle sur les hauts revenus r troactive sur 2011 Contre toute attente exclusion dans l instruction administrative du 10 ao t 2012 de l abattement sur les PV ligibles au 150 0 D ter Dans la base Bofip mise jour le 27 novembre 2012 l administration invite les contribuables demander par voie de r clamation le d gr vement de la fraction de contribution qui a t calcul e sans exclure du RFR l abattement pr vu l article 150 0 D ter L article 10 de la LF 2013 r introduit r troactivement compter du 1 janvier 2012 l abattement de l article 150 0 D ter dans le RFR En conclusion En 2011 pas de CEHR mais on pensait qu il y en avait et en 2012 CEHR alors qu on pensait qu il n y en avait pas Modification des modalit s d imposition des cessions d usufruit art 15 3 LFR12 Les cessions d usufruit post rieures au 14 novembre 2012 portant sur des valeurs mobili res droits sociau
56. s fiscales Cons quences fiscales e Plus value nette 300 e Moins value nette 100 Exon ration 300 Non d duction 100 e Quote part de frais et e Quote part de frais et charges charges 1200 12 144 Aucune en pr sence Non d duction 144 d une moins value nette 4 Cession de titres de participation Am nagement du r gime LF 2013 art 22 e Am nagements du r gime suite Moins values de cession de titres de soci t s pr pond rance financiere e Exercices clos depuis le 4 juillet 2012 e R gime des moins values long terme hauteur des distributions effectu es par ces soci t s qui ont b n fici du r gime des soci t s m res e Au cours de l exercice et des 5 exercices pr c dents e Point d attention e ces moins values ne peuvent s imputer sur les plus values de cession de titres de participation pour le calcul de l assiette de la quote part 4 Cession de titres de participation Am nagement du r gime LF 2013 art 22 e Am nagements du r gime suite Cession de titres de participation une soci t li e e La moins value en suspens titres d tenus depuis moins de 2 ans qui rel ve du r gime de long terme ne peut venir diminuer l assiette de la quote part 5 Transfert du si ge l tranger Adaptation du r gime 3 LFR 2012 art 30 e R gime ancien Transfert en UE ou hors UE Imposition imm diate e Des b n fices en co
57. s valeurs locatives des locaux professionnels avec une date de r f rence fix e au 1 janvier 2013 serviront de base au calcul de la taxe fonci re et de la cotisation fonci re des entreprises CFE partir de 2015 La valeur locative d un local professionnel est dor navant d termin e en fonction de l tat r el du march locatif et non plus sur la base de r gles cadastrales tablies en 1970 qui faisaient r f rence un local type L actualisation annuelle des valeurs d butera compter des impositions tablies en 2016 Nouveau calendrier e Apr s l exp rimentation conduite en 2011 dans 5 d partements H rault Pas de Calais Bas Rhin Haute Vienne et Paris elle est g n ralis e partir de f vrier 2013 l ensemble du territoire y compris en outre mer e Les propri taires de locaux professionnels recevront courant f vrier 2013 une d claration pour chaque local La date limite de d p t de cette d claration est fix e au 8 avril 2013 e Un service de t l d claration sera accessible partir du 12 f vrier 2018 La date limite de d p t internet est fix e au e 22 avril 2013 pour les propri taires de 1 10 locaux e 29 avril 2013 pour les propri taires de 11 100 locaux e 6 mai 2013 pour les propri taires partir de 101 locaux N 6660 D CLARATION Intenel DGFiP MOD LE Cr Libert galit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE N 12161 02 CBD IMP
58. stituent Recherche et un sous ensemble des activit s d veloppeme d innovation nt i Certaines d penses s inscrivent dans un processus d innovation sans pour autant constituer des d penses de R amp D 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Op rations ligibles Conception de prototypes de nouveaux produit ou d installation pilotes de nouveaux produits e Qui ne rel vent pas de la phase de recherche e Et non destin s tre mis sur le march Prototypes e Notion d j utilis e pour la d finition des op rations de R amp D gt Source de difficult s potentielles avec l Adm fiscale 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Op rations ligibles suite Installations pilotes e Ensemble d quipements ou de dispositifs utilis s pour tester un produit ou un proc d dans une situation proche de la r alit industrielle Notion utilis e pour les op rations de R amp D gt Source de difficult s potentielles avec l Adm fiscale 3 Recentrage du Cr dit d Imp t Recherche LF 2013 art 71 e Op rations ligibles suite Nouveau produit e N est pas encore mis disposition sur le march e Se distingue des produits existants par des performances sup rieures Sur le plan technique de l coconception de l ergonomie ou des ses fonctionnalit s gt D finitions peu claires source de difficult s pot
59. tat Strat gie de transmission d entreprise mode d emploi 5 B n ficier d un paiement diff r et fractionn des DMTG en 15 ans moyennant un taux d int r t de 0 7 par an en 2012 Ce taux peut ventuellement tre r duit des deux tiers soit 0 2 par an Le taux 2013 n est pas publi ce jour 6 R fl chir un sch ma de transmission mixte pour partie titre gratuit et pour partie titre on reux Dans ce contexte de Family Buy Out profiter de l attrait fiscal que pr sente la soulte entre enfants mise la charge de la holding de reprise Fiscalit des entreprises Vital Saint Marc w5 NOTAIRES Con AL SUP RIEUR a DE EATI Les Echos Fiscalit des Entreprises e Fiscalit de haut de bilan D duction des charges financi res Aides entre entreprises Report des d ficits Cession de titres de participation Transfert l tranger Apport en capital d une cr ance rachet e une valeur d cot e e Cr dits d imp ts et autres mesures Cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi CICE Cr dit d imp t cin ma CIC Cr dit d imp t recherche CIR e TVA Fiscalit des entreprises Fiscalit de haut de bilan N NOTAI RES PARI Les Echos Fiscalit de haut de bilan Institution d un plafonnement g n ral de d duction des charges financi res Durcissement du r gime des aides entre entreprises Renforcement du plafonn
60. ter les relev s bancaires des redevables qui n ont pas respect leurs obligations d claratives sur les actifs d tenus l tranger sans engager de contr le fiscal externe e Modernisation de la proc dure de Perquisition LFR 2012 art 11 Permet l administration d acc der aux documents stock s sur support informatique Renforcement du contr le fiscal _Allongement des d lais de prescription Droits d enregistrement et ISF LFR 2012 Art 8 e D lais de reprise de 10 ans en cas de comptes ou de contrats non d clar s et d tenus l tranger e Harmonisation avec les r gles applicables pour l IR Omission ou insuffisance relev e lors d un contentieux LFR 2012 Art 10 e D lais de reprise prolong s Jusqu la fin de l ann e suivant celle qui a clos l instance Et au plus tard jusqu la 10 ann e suivant celle au titre de laquelle l imposition est due Exit tax LFR 2012 art 22 e Le d lai de 3 ans est d compt partir de la survenance de l v nement mettant fin au sursis Imp ts sur le patrimoine nouvelles donnes Diane Bertheuil Desfosses w5 NOTAIRES E CONSEL SUPERIEUR i AE Les Echos Imp ts sur le patrimoine nouvelles donnes Plus values immobili res et ISF w5 NOTAIRES r Consti SUP RIEUR a DEA Les Echos Sommaire 1 Une censure par le conseil constitutionnel 2 Une surtaxe 3 Une modification des cessions temporai
61. tible une aide doit e tre comptabilis e par l entreprise qui la consent comme par celle qui en b n ficie e Et relever d une gestion normale Une gestion normale e Suppose l existence d une contrepartie La contrepartie peut tre e Commerciale avantage accord en vue de sauvegarder ou de d velopper un volant d affaires e Au sein du groupe ou entre entreprise tierces 2 Aides entre entreprises Durcissement du r gime 2 LFR 2012 art 17 et 3 LFR 2012 art 31 e Rappel La contrepartie peut tre e Financi re Motivation sauvegarder la valeur de la participation L aide financi re a donc un sens de la m re vers la fille e L aide caract re financier n est pas admise en d duction hauteur De la fraction correspondant l accroissement de la situation nette positive de la fille dans la proportion du capital d tenu par la m re e Sous certaines conditions la part non d ductible chez la m re peut tre non imposable dans les comptes de la filiale 2 Aides entre entreprises Durcissement du r gime 2 LFR 2012 art 17 et 3 LFR 2012 art 31 e Cons quences l exception des aides accord es aux entreprises en difficult s seules les aides commerciales sont d ductibles e Peu de difficult s pour justifier le caract re commercial d une aide accord e un tiers e En revanche dans les groupes l administration aura tendance
62. urs e Des b n fices en sursis d imposition e Des plus values latentes 5 Transfert du si ge l tranger Adaptation du r gime 3 LFR 2012 art 30 e R gime nouveau Mise en conformit du r gime avec le droit de l UE Transfert du si ge en UE en Islande ou en Norv ge e R alis s au cours des exercices clos compter du 31 d cembre 2012 Option entre e Le paiement imm diat de l imp t aff rent aux plus values de transfert e Un paiement fractionn sur 5 ans Fin du paiement chelonn si e Dissolution e Cession des actifs transf r s e Transfert dans un Etat non vis par le texte e Non respect d une ch ance 6 Apport en capital d une cr ance rachet e une valeur d cot e LF 2013 art 24 L augmentation de capital par compensation d une cr ance est r alis e pour la valeur nominale de la cr ance e Quel que soit son prix d acquisition e R gime ancien Lorsque la cr ance a t acquise un prix d cot l apporteur e Constate un revenu imposable pour la diff rence entre le montant de l augmentation de capital et le prix d acquisition de la cr ance e S agissant de titres de participation la d pr ciation concomitante des titres n est pas d ductible du r sultat imposable 6 Apport en capital d une cr ance rachet e une valeur d cot e LF 2013 art 24 e R gime nouveau Exercices clos compter du 31 d cembre 2012 Profit imp
63. ursis applicable En cas de remploi dans une imposition de la PV dans les activit conomique dans les conditions de l article 150 0 deux ans le report est A sans pr judice de l int r t conserv jusqu la cession eAucun engagement de de retard d compt partir des titres re us lors de conservation des titres apport s par la soci t b n ficiaire de la date de l apport des l change titres Cession cession titre on reux rachat remboursement ou annulation des titres Remploi financement d une activit professionnelle ou acquisition et contr le d une fraction du capital d une soci t exer ant une telle activit ou souscription au capital initial ou l augmentation de capital d une ou plusieurs soci t s Un dispositif parfaitement inutile Depuis les d cisions du Conseil d Etat du 8 octobre 2010 Aff Bazire n 301934 in RJF 12 10 sous n 1204 et Aff Bauchart 313139 in RJF 12 10 sous n 1205 L apport de titres d une soci t suivi de leur cession par cette soci t est constitutif d un abus de droit s il s agit d un montage ayant pour seule finalit de permettre au contribuable en interposant une soci t de disposer effectivement des liquidit s obtenues lors de la cession il n a pas en revanche ce caract re s il ressort de l ensemble de l op ration que cette soci t a conform ment son objet effectiv
64. x titres ou droits s y rapportant mentionn s l article 150 0 A sont imposables dans la cat gorie des revenus de capitaux mobiliers L application de l abattement de 40 sur les dividendes semble exclu tout comme l abattement pour dur e de d tention sur les PV de cession Les pr l vements sociaux sont par contre dus La cession d usufruit de valeurs mobili res est donc imposable hauteur de 62 2 dans tous les cas Le retour du report lors d un apport art 18 3 LFR 12 Apport des titres de X Y Soci t X Cession ventuelle des titres X Z par Y Avant le 1 janvier 2000 les PV taient en report sur option Au 1 janvier 2000 le report est remplac par le sursis d imposition automatique Le sursis est automatique de droit et simple d utilisation En cas de cession de Z la soci t Y lorsqu elle a t constitu ad hoc se retrouve avec les liquidit s aucun imp t n a t acquitt Le retour du report lors d un apport art 18 3 LFR 12 L article 18 de la 3 LFR 2012 cr e un nouvel article 150 0 B ter qui pr voit que l imposition de la PV r alis e dans le cadre d un apport une soci t soumise l IS est report e si la soci t b n ficiaire de l apport est contr l e par le contribuable la date de l apport en tenant compte des droits d tenus l issue de celui ci Un contribuable est consid r comme contr lant une soci t L

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