dossier du Saint
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1. Les pathologies fonctionnelles Les pathologies non malignes de la prostate Les infection urinaires Les lithiases La dysfonction rectile E19 SOINS MODE D EMPLOI ad n a gt lt sg lt Z em a a 20 JONATHAN BARBIER Ce sont des urologues c est dire des sp cialistes de l appareil urinaire Au del de cette sp cialisation les m decins du Service ont des affinit s particuli res avec telle ou telle sp cifi cit prostate vessie fonctionnement des reins C est en fonction de leurs accointances que s op re la r partition des t ches indique le Pr Tombal responsable du Service d urologie Bref ce sont des hypersp cialistes qui ont chacun r alis sept ann es d tudes de m decine et cinq ann es de sp cialisa tion ils sont galement chirurgiens note le Chef de service L urologie est donc une v ritable sp cialit m dico chirurgicale Au total le Service compte cinq urologues ainsi que qua tre assistants m decins en formation pour leur sp cialisation qui est l urolo gie En outre comme tous les services de l h pital le Service accueille des m decins stagiaires qui poursuivent leurs tudes de m decine Elles sont une dizaine Comme les Ti Ld tizigpz 7 oni m decins certaines se sont sp cialis es Il y en a qui sont plus comp tentes pour l incontinence d autres pour le suivi des lithiase2. SOINS MODE D EMPLOI DOSSIER SP CIAL UROLOGIE RENSEIGNEMENTS Le Service d urologie est situ au niveau 1 E9 T l 02 764 35 40 RE eee _ JONATHAN BARBIER Michel 61 ans est attendu ce matin pour une consultation au Service d urologie Depuis quelques semaines ae ipteur qui traiter les calculs r naux n il se l ve plusieurs fois par nuit pour soulager sa vessie Et la journ e les envies pressantes sont nombreuses Sans tre trop inquiet il se demande si cette g ne ne masque pas un trouble important Quelques minutes apr s son arriv e dans le Service il est re u en consultation Puis les examens m dicaux s encha nent Pour Michel c est la surprise il pensait devoir revenir quelques Semaines plus tard afin de Subir ces tests Laetizia Bazzoni lci ce n est pas le m decin mais bien le patient qui est au centre de la structure Tout a t con u pour rendre son s jour en Urologie le plus confortable et le mieux organis possible explique le Pr Bertrand Tombal responsable du Service C est pr cis ment ce souci d organisation qui a dict le r cent r am nagement du Service Toutes les infrastructures n cessaires la prise en charge des malades ont t regroup es Aupa ravant les patients devaient parfois se d placer au sein de l h pital pour effectuer les diff rentes consultations et les examens D sormais tout est concent
3. illustre la politique d approche globale adopt e par le Ser vice d urologie Elle permet de traiter le patient le plus efficacement possible tout en limitant au maximum les sour ces d inconfort et d interrogations li es au cancer
4. nts sont plac s sous la surveillance de groupes de travail multidisciplinaires qui se r unissent r guli rement Les sp cialistes susceptibles d intervenir lors du traitement participent ces r unions urologues oncologues psycho oncolo gues infirmi res sp cialis es souli gne le Pr Tombal En abordant chaque dossier m dical de mani re individuelle ces groupes de travail permettent une humanisation du suivi du malade Le dispositif en place met aussi l accent sur la responsabilisation du malade M D PISTAGE CONSEILL Que des malades sous troite surveillance Nous essayons de l impliquer dans son traitement souligne le Pr Bertrand Tombal Nous sommes son coute et nous l incitons donner son avis sur les th rapies propos es Certaines peuvent tre privil gi es ou cart es en fonction de son mode de vie par exemple Autre cat gorie de patients ceux dont le cancer a d ja atteint un stade avanc Ce sont notamment les malades qui ont tard pratiquer un d pistage Ou encore ceux qui optent pour les Cliniques Saint Luc alors qu ils taient suivis jusqu alors par un autre tablissement En plus de la prise en charge multidisciplinaire ces patients profitent de mesures d accompagne ment particuli res des programmes de coaching di t tique et d exercices physiques leur sont notamment propo s s pour mieux supporter l preuve de la th rapie Une initiative qui
5. r sur un seul plateau ce qui fluidifie consid rablement le fonction nement du Service explique t il Si l issue de la consultation le m decin souhaite par exemple v rifier l tat de la vessie de son patient il pourra r aliser une chographie dans une salle d examen voisine Une souplesse et une r activit qui ne sont pas un luxe elles permettent d am liorer la rapidit du diagnostic et donc la mise en route d un ventuel traitement SOrmaIs TOUT LE Service esT OncenTr THE Uhimaur TACT En cas de n cessit le patient peut m me subir sur place une intervention chirurgicale un bloc op ratoire comprenant deux salles d intervention et une salle de r veil y a t am nag Le principal avantage pour le patient devant tre op r est qu il est pris en charge par les m mes m decins et infirmiers que ceux crois s lors des examens Il est rassurant de voir les m mes visages avant et apr s l op ration souligne le Pr Tombal Pour Michel inutile de passer par cette tape Les analyses de ses urines et l examen de sa prostate ont r v l une infection bact rienne qui est l origine de ses nombreuses envies pressantes Sa prostate en revanche est en parfaite sant Apr s un traitement antibiotique de quelques jours il pourra nouveau dormir tranquille Laetizia Bazzoni CES aii r DES PATHOLOGIES VARI ES Cancers des voies urinaires
6. s Elles sont galement polyva lentes puisqu elles exercent en consul tation comme en salle d op ration souligne Bertrand Tombal Les deux kin sith rapeutes du Service assurent la prise en charge de la r ducation fonctionnelle en particulier en cas d incontinence Ils enseignent diff rentes techniques essentiellement centr es sur la musculation du p rin e pour aider le patient retrouver une ma trise de sa fonction urinaire Elles s occupent de l aspect logistique li aux activit s m dicales du Service explique Bertrand Tombal C est dire qu elles v rifient notamment que tout le mat riel n cessaire est disponible et a sa place Au total deux aides soignantes travaillent dans le Service TRAITEMENTS DE POINTE Profiter des innovations SOINS MODE D EMPLOI BON A SAVOIR JONATHAN BARBIER 22 g Cancer de Chaque ann e en Belgique plus de 9 000 nouveaux cas de cancer de la pros tate sont diagnostiqu s Face ce probl me de sant publique les Cli niques Saint Luc proposent une prise en charge bien huil e centr e sur le patient Le cancer est souvent d pist lors d un bilan urinaire g n ralement parce que certains sympt mes inqui tent le patient difficult s uriner envies pressantes r p tition explique le Pr Bertrand Tombal responsable du Service d urologie Une fois le diagnostic pos le suivi s organise Les patie
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