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Actualités habitat n°964 - L`Union sociale pour l`habitat

1. LE DOSSIER 14 Personnes g es et d pendance dans le parc social 16 La d pendance dans le parc social 18 Des r alisations des projets Office Montreuillois de l Habitat 19 Actis Opac du Rh ne Axentia 20 Patrimoine SA Languedocienne Acs Habitat 35 21 Toit Angevin Les Ajoncs 22 Opac de l Oise OPAL Dr me Am nagement Habitat R NOVATION URBAINE 24 Logiseine Une r sidence qui brille par sa performance Phoc enne d Habitations 57 logements La Cio tat Dr me Am nagement Habitat de la cit au village proven al DROIT ET FISCALIT 26 Cr dit d imp t comp titivit emploi mode d emploi pour les organismes Him PRODUITS 28 Du c t des industriels Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 1 LA UNE Jean Louis Dumont crit aux ministres C cile Duflot Dans une lettre en date du 5 mars 2013 C cile Duflot ministre de l Egalit des territoires et du Logement Jean Louis Dumont pr sident de l Union sociale pour l habitat demande de surseoir aux dispositions de la circulaire du 24 janvier relative la fixation du loyer maxi mum des op rations neuves concernant notamment les mesures de limitation des conditions d appli cation des marges locales indiquant Nous sommes parti culi rement surpris de ces dispositions qui n ont fait l objet d aucune concertation pr paratoire avec nous Jusqu ici les marges locales ont surtout accompagn
2. quinzaine Fr d ric Paul devient directeur g n ral de Conseil social nouveau pr sident Actualit s habitat bimensuel d infor Actualit mation dit par l Union sociale pour Abitat l habitat 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 t l 01 40 75 78 00 t l co pie 01 40 75 68 21 Internet www union habitat org Directeur Thierry Bert R dactrice en chef Soraya M hiri R dactrice en chef adjointe Fr d rique X lot R dactrice Pascale Baret Secr taire de r daction maquette V ro nique Simonnet Collaboration Nicole Rudloff Publicit administration des ventes et abonnements Thierry Lesage directeur des activi t s promotionnelles Conception graphique Gavrinis Compo sition Biceps SARL Paris 18 Impression DEJALINK Les arti cles peuvent tre reproduits en tout ou partie sous r serve de mention d origine avec l accord de la r daction Commission paritaire n 0513 G 83187 D p t l gal 1 trimestre 2013 ISSN 1766 6066 Contacts l Union sociale pour l habitat Direc tion des activit s promotionnelles 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 T l 01 40 75 52 63 ou 52 67 Abonnements et tarifs 2013 22 num ros par an plus deux suppl ments Table des mati res Organismes adh rents 240 TTC autres abon n s France 420 TTC tranger 450 le num ro 25 Photo de couverture EHPAD livr fin
3. pos la premi re pierre du pro gramme Les Hauts de Marbeille situ dans le quartier de l Abeille moins de dix minutes de l autoroute A50 reliant Marseille et Toulon Le projet qui vise la performance nerg tique THPE com prend 57 logements 20 logements PLS en financement classique et 37 loge ments PLA I financ s avec l aide de sub ventions de l Anru et de la commune dans le cadre de l op ration de r nova tion urbaine Au del de nombreux travaux d am lio ration qualitative le PRU a galement pour but d assurer le relogement des populations au sein d un parc neuf construit proximit Les 37 logements en cours de chantier serviront donc au relogement des locataires de deux b ti ments de l Abeille ces derniers devant tre d molis aux fins de restructuration du quartier L op ration a t mont e relation troite avec les services de la mairie de La Ciotat et la gestion patri moniale de la Phoc enne d Habitations afin que 1 typologie et les prestations des logements soient au plus proche des besoins du relogement La convention de r novation urbaine sign e en janvier 2010 a pour but de requalifier nement social et urbain du quartier Abeille Maurelle Matagot et de cr er terme un nouveau p le urbain ouvert sur la ville et dot de services attractifs E 24 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 Dr me Am nagement Habitat De la cit
4. Aujourd hui 90 des personnes g es de plus de 75 ans et trois quarts des personnes g es de 85 ans et plus vivent domicile La population entrant en tablissement est de plus en plus g e au 31 d cembre 2007 l ge moyen y est de plus de 84 ans La dur e des s jours s est raccourcie deux ans et six mois 3 Selon le groupe de travail anim par Evelyne Ratte de la Cour des comptes dans le cadre du d bat sur la d pendance 2011 4 Chiffres donn s par la Ville de Paris lors d une table ronde organis e par PADIL 75 le 7 juin 2011 5 L tude men e par s est appuy e sur des analyses qualitatives entretiens avec les par tenaires sociaux et m dico sociaux et en face face domicile aupr s de personnes g es d pendantes et de leurs aidants et quantitatives analyse d mographique partir des donn es Insee et OPS fournies par les bailleurs sociaux projections d mographiques et prospectives sur la d pendance Favoriser les relations entre g n rations DR Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 15 LE DOSSIER La d pendance dans le parc social Mesurer la d pendance dans le parc social passe par une analyse d mographique l chelle du bassin d habitat et du parc social des projections d mographiques quinze ans une estimation de la d pendance domicile analyse d mographique 9 l chelle du bassin d habitat et des caract ristiques
5. ancien en location a t rendu accessi ble elle sugg re de rendre non obliga toires les travaux de remise en tat qui touchent l accessibilit INFOS Nomination F d ration des PACT Bernard Lacharme devient directeur g n ral de la F d ration nationale des PACT partir de mai 2013 Il succ dera R mi G rard qui prendra sa retraite fin juin Ag de 58 ans Bernard Lacharme a effectu toute sa car ri re dans le domaine du logement et en particulier au b n fice des populations d munies d abord dans le Mouvement PACT puis pour le Mouvement Hlm et le monde du 1 logement avant de pren dre en 1999 direction du GIP Habi tat et interventions sociales pour les mal log s et les sans abris Il est secr taire g n ral du Haut Comit pour le logement des personnes d favoris es depuis 2002 et rapporteur depuis l origine du comit de suivi de la loi Dalo sera notamment amen mettre uvre le programme Elan 2016 en cours d laboration dans le cadre d une large concertation ouverte tous les adminis trateurs et collaborateurs du Mouvement PACT Ce programme sera act lors d une convention nationale qui aura lieu Paris en juin 2013 Grande cause nationale 2013 L illettrisme L illettrisme concerne 2 5 millions de per sonnes en France soit 7 de la popula tion Bien qu elles aient t scolaris es ces personnes ne ma trisent pas
6. cision d exemption de notification des aides d Etat aux orga nismes Him d finition du logement social en tant que SIEG mandat et contr les r guliers d absence de sur compensation Ces dispositions appli cables depuis novembre 2005 et r cem ment r vis es en 2011 exemptent de l obligation de notification Bruxelles des aides et autres avantages octroy s aux organismes Him sous conditions de mandat explicite de service public d ab sence de surcompensation de ces aides et de contr les r guliers d absence de sur compensation tous les trois ans depuis janvier 2012 Au del de ce coup d clat de l UNPI cette question de l application effective de ces dispositions dans le monde Him est galement pos e par les autorit s de gestion des fonds structurels pr fec tures conseils r gionaux ADEME dans le cadre de l octroi du FEDER pour la r novation thermique titre d exem ple la R gion Centre r cemment demand l ensemble des organismes Him cofinanc s par le FEDER de d montrer l existence d un mandat SIEG et l absence de surcompensation de l op ration cofinanc e par le FEDER La situation est kafka enne puisque ces autorit s de gestion ont fait signer aux organismes Hlm des conventions attri butives du FEDER non conformes ces dispositions en mati re d aide d Etat mais dont un article engage explicite ment l organisme Hlm b n ficiaire res pecter les r gles de concurrence e
7. concessions DSP par le Conseil et le Parlement europ en Est en jeu le sort des groupes Hlm et plus largement de la coop ration entre organismes Him qui est entre les mains du trilogue ins tance compos e du Conseil du Parle ment europ en et de la Commission europ enne et qui doit trouver un accord sur la proposition de d finition de la coop ration public public et de son champ d application Si les avanc es au Parlement europ en ont t r elles sur le dossier de la coop ration Hlm insertion des entit s de mise en commun de moyens et des participations priv es encadr es par la loi dans le champ de la coop ration public public malgr lexis tence de participations priv es les conditions pos es par les lib raux lors du vote du compromis quant l absence de contr le des pouvoirs adjudicateurs par ces participations priv es ont forte ment r duit son application potentielle aux coop rations Him La Commission et le Conseil tant oppos s par principe toute participation priv e dans la coo p ration public public seul le Parlement europ en est aujourd hui porteur d une prise en compte des sp cificit s de la coop ration Hlm et pourrait revenir sur la formulation de son amendement de compromis lors de la pl ni re de sep tembre Dans l attente les n gociations entre la Commission le Conseil et le Par lement vont s engager la France soute nant officiellement Bruxelles le carac t
8. l aug mentation de la qualit technique des op rations nouvelles Un nouveau palier vient d tre franchi tr s r cemment avec la g n ralisation de la RT 2012 et les surco ts aujourd hui consta t s de l ordre de 8 pour le collectif et de 12 pour indivi duel devraient progressivement s estomper par l effet de Pap prentissage dans la dur e de l ensemble des acteurs de la fili re Nous sommes tous pr occup s par la question du niveau des loyers de sortie des programmes neufs difficilement accessibles dans de nombreux cas aux demandeurs Il est n anmoins n cessaire de rappeler que les conditions de production neuve des logements Hlm se sont fortement d gra d es ces derni res ann es En effet entre 2000 et 2011 les prix de revient ont doubl et l indice du co t de la construction vo lu de 3 4 par an cette volution tant deux fois plus forte que l inflation Malgr les efforts qui ont t faits en ce qui concerne gement de la dur e des pr ts et la mobilisation croissante des fonds propres des organismes l quilibre financier des op ra tions a t tr s fr quemment permis par le recours aux marges locales recours lui m me justifi par les caract ristiques tech niques des immeubles Nous observons que l annexe 4 de la circulaire pr voit que la fixation ou la modification de ces crit res concernant l appli cation des marges doit tre pr c d e d une
9. me Am nagement Habitat Maison d accueil rurale Remuzat AH construit pour le compte de la Mutualit sociale agricole Ard che Dr me Loire une MARPA maison d accueil rurale pour personnes Le chantier de la maison d accueil est en cours DR En bref g es comptant 24 logements du T1 bis au T2 et un logement de fonction Dans le cadre de son d veloppement lor ganisme r alise depuis quelques ann es ces produits sp cifiques MARPA EHPAD maison m dicale ainsi que des programmes dits c ur de village avec le soutien du Conseil g n ral de 1 Dr me Ces r ponses vari es apport es pour le logement des seniors repr sen tent un enjeu important pour le d parte ment puisque 116000 Dr mois ont plus de 60 ans soit 24 de la population Une part qui devrait augmenter fortement dans les ann es venir Un groupe de travail sur le vieillissement des personnes en situation de handicap Anim par Patrick Gohet inspecteur g n ral des affaires sociales qui a pr sid le Conseil national consultatif des personnes handicap es de 2009 2012 le groupe de travail a vocation valuer les besoins de ce public de plus en plus nombreux et les difficult s que leur situation pose pour leur accompagnant Il sera compos de repr sentants des personnes handicap es des instances consultatives concern es des f d rations des gestionnaires des administrations des organismes financeurs des coll
10. qui mettent en commun leurs efforts afin de r pondre la demande d accession sociale la propri t souhait e par le Grand Dijon Banque postale Midi Atlantique et la coop rative Toulousaine d Habitations filiale de Patrimoine SA Languedocienne Logid me Les salari s et la mixit de l habitat Il y a un an les salari s de Logid me OPH de Clermont Ferrand se r unissaient pour faire le point sur les valeurs de l organisme Parmi elles la mixit sociale avait fait l objet de nombreuses discussions celle ci pouvait tre per ue comme un objectif incontour nable et par d autres comme une v ritable contrainte Pour les confronter la difficult d aborder la mixit sociale les salari s ont pr par les dossiers de candidats en vue d une commission d attribution fictive DR La directrice g n rale de Logi d me Marielle Champenier a donc d cid de mettre en place un exercice pratique Au cours des mois de novembre et d cembre 2012 les salari s se sont retrouv s le temps d un apr s midi dans la peau d un charg de client le A partir d un kit d animation ils devaient remplir la mission fictive d at Colombes Habitat tribuer des logements des familles puis de pr senter les r sultats tout comme un charg de client le le ferait pour une commission d attribution Si les grandes tendances clas siques d attribution urgence crit re financier pe
11. re de l Int rieur administration centrale en cabinet minist riel et dans le corps pr fectoral Son parcours professionnel l a conduite ga lement occuper des fonctions de responsabilit Paris Habi tat de 2003 2010 Lille M tropole Habitat Am lie Debra band re devient directrice g n rale de Lille M tropole Habi tat LMH compter du 1 mars 2013 en remplacement de Laurent Goyard 42 ans dipl m e de Lille elle t successivement de 1993 1999 responsable d agence puis responsable du service du Patri moine Partenord Habitat De 1999 2005 elle a t gestion naire d un parc de 2 000 loge ments Villeneuve d Ascq lImmobili re Nord Artois En 2005 Am lie Debraband re a int gr LMH en tant que direc trice de l agence de Villeneuve d Ascq et charg e de coordina tion des agences Depuis 2011 elle occupait le poste de direc trice du territoire Sud M solia Un mur peint Bordeaux Dans le cadre de la r habilita tion de la r sidence Port de la Lune Bordeaux situ e Pen tr e de la ville Marie Pierre Servantie chromo architecte a propos M solia la mise en valeur chromatique de la r si dence pour faire oublier le gigantisme des b timents et introduire de Part dans la ville R sultat un mur peint de 160 m sur le th me de la mer visible depuis le tramway et Premier mur peint bordelais r alis avec l a
12. re de n cessit de la coop ration Hlm au regard de l ex cution du SIEG de logement social 2013 sera l ann e de l extinction du CIF ou de sa restructuration en SIEG par l explicitation de ses missions d uti lit sociale La France a six mois pour trancher et proposer la Commission europ enne une solution la situation actuelle de sauvetage temporaire Dans un communiqu annon ant l acceptation de la garantie publique temporaire la Commission europ enne a clairement mis en valeur les missions sociales assu r es par le CIF et l actionnariat de nature coop rative relevant du champ de l co nomie sociale et solidaire Un message clair en direction des autorit s fran aises La restructuration en SIEG expli cite reste une option r elle creuser et non une vue de l esprit Les Trait s accordent en effet la France un large pouvoir discr tionnaire de d finir organiser et financer les SIEG d s lors EUROPE qu une mission particuli re leur est impartie et qu elle se traduise par des obligations de service public qui s impo sent aux op rateurs La Commission europ enne ne dispose que d un pouvoir de contr le d erreur manifeste de la qua lification de SIEG au regard principale ment de la r alit des d faillances de march en mati re d acc s au logement et de son financement L initiative ne pouvant venir que de l Etat membre la solution de la restructuration en SIEG rel
13. sent peu abord e alors que les projections d mographiques et l entr e massive des papy boomers dans le quatri me ge 2025 laissent pr voir une augmentation sensible des personnes en perte d autonomie La grande majorit des personnes d pen dantes vivra domicile l entr e en ta blissement s effectuant de plus en plus tardivement et des niveaux de d pen dance plus avanc s Alors qu au jourd hui 60 des b n ficiaires de allocation personnalis e d autonomie restent domicile d ici 2030 2040 la proportion de personnes g es d pen dantes se trouvant dans ce cas pourrait atteindre 70 Face ce ph nom ne les bailleurs sociaux sont particuli rement concer n s Les personnes g es et tr s g es si elles sont moins bien repr sent es dans le parc social que dans l ensemble des r sidences principales y sont en nombre important et croissant selon l enqu te sur occupation du parc social 2009 les locataires g s de 60 ans et plus repr sentent 28 4 des titulaires d un Hlm en France m tropolitaine Ce vieil lissement devrait s accentuer avec Parri v e l ge de la retraite des locataires de 50 59 ans nombreux dans le parc social plus de 20 des locataires et qui vont y rester durablement Le parc social est galement attractif pour de nouveaux locataires g s dont les ressources dimi nuent la retraite ou qui souhaitent se
14. soit entre 6 5 POPH du Jura et 6 1 Sil ne des locataires de plus de 60 ans la part des titulaires d un bail d pendants ou tr s d pendants dans le parc social Si ajoute aux locataires d pendants et tr s d pendants les m nages mod r ment autonomes qui pr sentent une fragilit et un risque de d pendance accru ces taux passent environ 6 de l ensemble des locataires soit 22 8 du Jura et 21 9 Sil ne des plus de 60 ans D ici 2025 il n y aurait pas d augmenta tion importante de la d pendance et grande d pendance dans le parc social moyen terme Ce r sultat s explique par l augmentation en 2025 de la classe d ge 60 79 ans encore peu concern e par la d pendance 3 alors que la part des m nages d pendants ou tr s d pendants d cro t l g rement 6 des plus de 60 ans dans le Jura et 5 Sil ne Au total les locataires en situation de perte d au tonomie mod r e forte devraient repr senter en 2025 plus de 8 des chefs de m nage pour du Jura plus de 6 pour Saint Nazaire Ces r sultats ne peuvent pas tre g n ralis s tels quels et doivent tre consid r s au regard de l organisation de la prise en charge de la d pendance sur les terri toires et des choix effectu s par les orga nismes politique d attribution am lio ration de l accessibilit et du confort des logements Quelle est la situation des person
15. sons Z R Zen et Res ponsable anticipent les normes de 2020 Le programme s appuie sur un b ti fortement isol un panel de solu tions techniques et prag plaques a t uniformis e Chaque produit est identi fi selon le type de doublage la classification de l isolant de G AA la performance thermique le R et l pais seur de 20 40 mm Cette classification permet de comparer les performances thermiques de deux produits d paisseur gale mais dot s d isolant diff rent avec des possibilit s de surclassement permettant de respecter l paisseur s lectionn e mais d opter pour une r sistance plus lev e ou l inverse de conserver la r sistance mais de choisir une paisseur moin dre pour un gain de surface habitable Le lancement de cette nouvelle nomenclature s accompagne d un outil un Widget t l chargeable partir de LaBoks permettant en quelques clics de calculer conform ment la RT 2012 les donn es BBio et Cep des projets matiques diff rentes sur la base d un cahier des charges C t quipements le tronc commun repose sur une VMC dou ble flux Zen 4000 Ald s compl t e par des syst mes vari s comme des chaudi res hybrides de e l m Leblanc la r cup ration des calories dans les eaux grises Power Pipe de Sol nove Energie Une attention particuli re sera apport e la r duction de la consommation d eau via une robinetterie dim
16. 2012 par l Opac du Rh ne Caluire et Cuire Atelier Architectes voir article page 19 L Dani re Publicit pages 3 5 Actualit s habitat t imprim sur du papier issu de for ts g r es durablement certifi PEFCM FCBA 10 31 1144 par l imprimerie DEJALINK certifi e Iso 14001 2004 et Imprim vert Neumiller SOMMAIRE 0 essibilit remis le 1 mars 2013 13 Dossier sur la d pendance des personnes g es dans le parc social p 14 22 EUROPE 6 Le point sur 2013 une ann e d ci sive pour les organismes Hlm CHOS 8 Nominations Valophis Opac 38 Lille M tropole Habitat Convention Moselis Conseil g n ral de la Moselle Clichy Habitat raccordement la fibre optique M solia un mur peint Bordeaux 9 Le GIE Est Habitat s largit pour plus de mobilit r sidentielle Rouen Habi tat cap propret Master Droit et politique de l habitat Facult de Droit d Economie et de Gestion d Orl ans Sites Internet 10 Logid me les salari s et la mixit de habitat e Habitat Toulouse des nids d hirondelles factices Colombes Habitat livre et expo sur l architec ture sociale En bref V NEMENTS 11 L actualit et les initiatives des orga nismes en images INFOS 12 Conjoncture au 5 mars 2013 Acces sibilit mobiliser et progresser Nomination Illettrisme grande cause nationale
17. 2013 Le taux du Livret A est de 1 75 depuis le 1 f vrier 2013 fin d cembre 2012 l encours des d p ts sur Livrets Bleu et LDD s l ve 339 55 depuis d but 2012 soit 19 3 En janvier 2013 le nombre de logements autoris s est stable par rapport janvier 2012 le nombre de logements mis en chantier est en baisse de 21 Autorisations Mises en chantier Janvier 2013 Par rapport janvier 2012 Janvier 2013 rapport janvier 2012 _ Individuel AO O Individuel group ls HEAR E00 a a TO Total 42 300 0 27 400 21 Pour m moire sur l ensemble de l ann e 2012 495 500 logements ont t autoris s 7 par rapport 2011 et 346 500 logements mis en chantier 18 par rapport 2011 Les ventes de logements neufs en 2012 s l vent 86200 qui repr sente une baisse de 18 par rapport 2011 dans le neuf comme dans l ancien Malgr la baisse des mises en vente le stock de logements disponibles en fin de p riode est en hausse 23 90 000 logements Ann e 2012 Par rapport 2011 Ventes 86 200 18 Individuel 8 400 18 Collectif 77 900 18 Mises en vente 109 300 11 Individuel 11 400 5 Collectif 98 000 12 Pour m moire 103 300 logements neufs avaient t vendus sur l ann e 2011 Cr dits habitat accord s aux m nages nou
18. Allo Propret intervient en urgence ou sur des op rations requ rant une technicit sup rieure ainsi que du mat riel adapt DR sur sollicitation des locataires mais aussi sur des op rations de grande envergure la standardisation des pra tiques avec des fiches m thodes illustr es prochainement dans un guide propret d clin sur supports papier et vid o desti n es aux gardiens et agents de m nage plan de formation des col laborateurs sur le th me de la propret au programme notamment passage en revue des diff rentes probl matiques rencontr es et les r ponses associ es Master 2 Droit et politique de l habitat Facult de Droit d Economie et de Gestion d Orl ans Le master 2 DPH r pond aux besoins de formation des futurs cadres dans le domaine du logement social de la poli tique de l habitat de la politique de la ville et de l am na gement urbain Public cette formation Bac 5 qui a t cr e en 1992 s adresse aux salari s en formation continue et aux tu diants titulaires d un master 1 qui peuvent suivre cette for mation en apprentissage Le rythme de l alternance est d une semaine l universit une semaine en organisme D bouch s professionnels organismes de logement social administrations DDT DREAL communes d par tements r gions intercommunalit s agences d urbanisme ADIL professions immobili res burea
19. Imagin e par les Babayagas port e par la Ville de Montreuil et r alis e par l Office public de l habitat Montreuillois la Mai son des Babayagas est r v la trice d une nouvelle approche des politiques de vieillissement et d un changement de regard sur la vieillesse Le projet comprend vingt cinq logements sociaux dont vingt Vieux C est vieillir bien c est mieux Vieillir joyeuse et mourir sereine la devise des Babayagas et un adapt s aux personnes g es quatre d di s des jeunes de moins de 30 ans des locaux associatifs ouverts sur le quartier destin s recevoir une universit popu laire du savoir des vieux anim e par les Babayagas un jardin potager cologique le tout labellis BBC Effinergie En contri buant au fonctionnement interne de 1 r sidence les locataires limiteront le recours aux services la personne payants Le financement des 3 8 d investisse ment a n cessit un tour de table mobi lisant huit partenaires L Etat le Conseil r gional le Conseil g n ral de Seine Saint Denis la Ville de Montreuil R u Log o l ADEME Caisse des d p ts et l OPH Montreuillois m Actis EHPAD et logements familiaux ji 2 2 21 Un b timent destin la fois des personnes g es et des m nages l entr e de la commune de Saint Martin le Vinoux 38 et proximit imm diate de l H tel de ville et de la prochaine
20. Sacicap du Morbihan actionnaire majoritaire de la soci t ano nyme Hlm Aiguillon Construction et de l Office Him Bretagne Sud Habitat est centr e depuis 2010 sur le d veloppe ment d une offre d habitat sp cifique Elle a install en d cembre dernier un conseil scientifique en son sein pour anticiper les r ponses apporter aux besoins locaux a vocation favoriser mergence de solutions nouvelles dans le domaine de l habitat des seniors de son adaptation dans le temps la d pendance et des modes de gestion permettant de conser ver la convivialit et le caract re familial Le conseil scientifique est compos de personnalit s ind pendantes reconnues pour leur expertise dans le domaine du vieillissement DR des tablissements ainsi que le d velop pement de services et formes d accom pagnement mutualis es permettant d as surer une vie sociale optimum aux a n s E Nouvel EHPAD Gamaches construit par la Soci t Immobili re de Picardie g r par le groupe M dica avec une capacit d accueil de 80 lits dont 24 d di s aux malades d Alzheimer ou troubles apparent s DR Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 21 OPAL Restructuration d une maison d accueil Les premiers locataires et les professionnels du cabinet m dical se sont install s en f vrier 2012 dans la r sidence Architecte Gallois Dudzik et Associ s DR Opac de l Oise M
21. aide la personne tablissements Les personnes g es comme les professionnels soulignent l importance des services d aide la vie pour permettre le maintien domicile Un r le jou par les valuateurs APA dans le Jura par exemple ou par le CLIC centre local d information et de coordination g rontologique Saint Nazaire ele m dical SSIAD et services de m decine SSR et g riatrie Des r alisations des projets Office Montreuillois de l Habitat La Maison des Babayagas resque quinze ann es auront t n cessaires pour qu une utopie autogestionnaire aboutisse l inauguration de la Maison des Babaya gas de Montreuil 93 en f vrier 2013 une r sidence pour personnes g es autog r e cologique solidaire ouverte R unir sous un m me toit des jeunes et des personnes g es favorisera l entraide et la solidarit DR 18 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 sur la ville et la soci t Une r alisation n e d un groupe de f ministes militantes qui se nomment elles m mes les Babaya gas les sorci res des contes russes elles pr nent une vieillesse citoyenne active et militent pour une transmission du savoir des vieux dans la soci t Le concept l auto gestion des r sidents est bas e sur l entraide et la solidarit l id e que des personnes peuvent collec tivement prendre en charge leur vie dans un espace ouvert sur la ville et la soci t
22. au village proven al ux Granges Gontardes Dr me Am nagement Habitat r alis neuf logements indivi duels allant du T3 au T5 permettant d accueillir des familles d sireuses de vivre dans ce village typique de la Dr me proven ale Avec sept logements PLUS et deux financ s en PLUS CD ce pro gramme s inscrit dans la reconstitution de locative sur le bassin de vie de l op ration de renouvellement du quar tier du Rocher Pierrelatte et b n ficie ce titre d une subvention exception nelle de l Etat De son c t la commune a mis disposition de l organisme ter rain qu elle lui a c d gratuitement par bail emphyt otique pour une dur e de 50 ans Les neuf maisons de villages R 1 accol es sont implant es autour d un espace central commun pi ton et autant de places de stationnement Certaines b n ficient d un jardin privatif d autres d un balcon Un logement sera adapt aux personnes handicap es Engag depuis longue date dans une d marche de d veloppement durable DAH a mis sur des mat riaux sains et des quipements conomes pour ce pro gramme r pondant au label Ainsi le chauffage de chacune des habitations est assur par une pompe chaleur com pl t e par des capteurs thermiques solaires qui assurent le pr chauffage de l eau Co t de l op ration 1 25 M soit 139 515 par logement E Des logements cologiques e
23. base d un rapport comportant au num rateur le montant des produits du secteur taxa ble et au d nominateur le montant total des produits de l entreprise Quant aux salari s concern s il s agit des salari s au sens large salari s de droit priv et de droit public agents des entreprises et tablissements publics pure Si la Commission europ enne l autorise les organismes b n ficieront du cr dit d imp t pour leurs salari s affect s des activit s exon r es quel que soit le r gime de s curit sociale auquel ils sont affili s On pr cise toute fois que pour les salari s mis disposi tion d une autre entreprise c est lem ployeur d origine qui b n ficie du CICE et non l entreprise b n ficiaire de la mise disposition m me lorsque la r mun ration est rembours e l employeur E 1 N 2012 1510 du 29 d cembre 2012 Th me imp t sur les soci t s Contact Pascale Loiseaux conseiller fiscal Direction des tudes juridiques et fiscales T l 01 40 75 78 60 M l djef union habitat org Montant du cr dit d imp t R mun rations prendre en compte Obligations d claratives Imputation et remboursement du cr dit d imp t Utilisation du cr dit d imp t DROIT ET FISCALIT e Pour 2013 4 du montant des r mun rations vers es aux salari s qui n exc dent pas 2 5 fois le SMIC taux de 6 partir de 2014 e Particularit
24. confront es Es conditions de logements inadapt es aux besoins de personnes en perte d autonomie isolement sant d faillante probl me d acc s la retraite aux droits sociaux la nationalit DR 20 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 R sidence La Paillette inaugur e en d cembre 2012 Rennes 30 logements THPE confortables et respectueux de l environnement Architecte Jean Pierre Renault DR Habitat 35 Des locataires g s associ s leur relogement abitat 35 a inaugur Rennes un programme de 30 logements neufs THPE qui s inscrit dans le cadre d une op ration de relogement Ses r sidents sont principalement des per sonnes qui logeaient dans le quartier Saint Cyr dans du patrimoine faisant l objet d une op ration de d molition depuis janvier Afin d aider ces locataires g s pour la plupart s approprier leurs futurs logements Habitat 35 les a asso ci s tr s en amont au projet Bien avant la construction leur a pr sent les plans d taill s des logements la physio nomie des b timents les prix approxi matifs de telle sorte que chacun a pu choisir son logement en fonction de position agencement Le p le de construction neuve a organis une visite du chantier en octobre dernier L accompagnement va se poursuivre pour le d m nagement et l ouverture des compteurs noter que deux logements sont totalement adap
25. d cembre 2012 2 Le raisonnement et les estimations s ope rent sur un nombre restreint de m nages notamment pour les cat gories fortement d pendantes Des entretiens qualitatifs L tude galement comport des entretiens qualitatifs aupr s d un chantillon de 32 locataires g s accompagn s parfois de leurs aidants sur quatre th matiques e l habitat La majorit des personnes rencontr es taient assez anciennes dans le logement sauf une dizaine de m nages ayant emm nag dans leur logement actuel suite la survenue de probl mes de sant et de d pendance principalement des propri taires occupants ou de locataires du priv Les m nages mettent en avant des attentes en mati re de qualit de service et d interlocuteur d di dans l organisme L tude montre le besoin d un logement plus grand pour l installation des quipements m dicaux pour stocker des m dicaments pour accueillir la nuit un aidant familial ou un garde malade contrario les personnes en situation de d pendance psychique ou avec des difficult s d orientation ont plut t besoin de logements de petite typologie Les aidants et les professionnels insistent sur l accessibilit des halls et l adaptation des sanitaires ele social et l acc s aux loisirs et la vie sociale l environnement social et les aidants familiaux ont un r le central comme socle de tout syst me de prise en charge de d pendance ele m dico social
26. de favoriser le lien social Cet acc s aux services m est pas gal sur les terri toires Il est particuli rement difficile en milieu rural Il est galement condi tionn par la capacit contributive de la personne et de la famille Si les soins sont pris en charge au plan national par la CPAM les modalit s d accompagnement de la d pendance par ne sont pas quivalentes d un d partement l autre Les conditions d intervention des CCAS tr s impliqu s dans les services domi cile sont galement variables Il n y a donc pas de mod le conomique unique En fonction de leurs ressources les per sonnes peuvent avoir un reste charge non n gligeable en fonction de leurs besoins de services Ceci les am ne parfois renoncer certains services pourtant pr vus dans le plan d aide de eee Un des aspects essentiel du maintien domicile des personnes g es l am nagement de certains quipements DR Qu est ce que la d pendance La notion de d pendance a t utilis e pour la premi re fois en 1973 par Yves Delomier m decin d h bergement et de long s jour et s est g n ralis e suite la loi de 1997 instituant une prestation sp cifique d pendance PSD pour les personnes g es La d pendance est une notion plurifactorielle et multidimensionnelle Elle est galement fonction de l environnement physique et social au sein duquel vit personne Vieillir
27. des organismes Him l assiette du CICE sera calcul e de la mani re suivante r mun rations lt 2 5 fois le SMIC x recettes soumises l IS recettes totales au titre de l ann e en cause Sauf ce que certains salari s soient affect s exclusivement au secteur exon r ou au secteur taxable En tout tat de cause l organisme devra retenir m me r gle que celle appliqu e pour le calcul de son r sultat imposable FIS e R mun rations vers es aux salari s au cours de l ann e civile qui n exc dent pas 2 fois et demie le SMIC calcul sur la base de la dur e l gale de travail Dans le cas o un salari r alise des heures compl mentaires ou suppl mentaires il faut pour d terminer si la r mun ration est ligible au CICE comparer la r mun ration totale comprenant les heures compl mentaires et suppl mentaires avec majoration au plafond 2 5 SMIC calcul pour un an sur la base de la dur e l gale du travail augment e du nombre d heures compl mentaires ou suppl mentaires comptant chacune pour une heure normale e Exclusion des r mun rations sup rieures 2 5 fois le SMIC m me pour la partie se situant sous ce seuil e Nature des r mun rations r mun rations brutes vers es au salari au cours de l ann e et soumises cotisations de s curit sociale au sens de l article L 242 1 du Code de la s curit sociale salaires indemnit s de cong s pay s montant des retenues pour c
28. la comp titivit des entreprises Les organismes Him peu vent ils b n ficier de ce cr dit d imp t sur les soci t s IS La r ponse est dans Particle 244 quater du Code g n ral des imp ts Selon ce texte les orga nismes partiellement soumis 115 rele vant de l article 207 du Code g n ral des imp ts comme les organismes Him ou certaines associations b n ficient du cr dit d imp t dans un premier temps au titre des r mun rations qu ils ver sent leurs salari s affect s leurs acti vit s non exon r es d imp t sur les b n fices Dans un second temps si la Commission europ enne l autorise ils en b n ficieront galement pour leurs salari s affect s des activit s exon r es Cette deuxi me phase tant encore hypoth tique nous nous concentrerons ici sur la premi re phase Concr tement le CICE ne concerne donc que les organismes Hlm qui ont un certain nombre de recettes imposables exemple loyers de logements non exo n r s produits de CEE certains loyers de commerces ne b n ficiant pas de l exon ration Attention le crit re n est pas de payer de PIS mais d y tre soumis un organisme peut avoir des activit s imposables d gageant un r sul tat d ficitaire auquel cas il ne paiera pas 471 mais pourra n anmoins b n fi cier du CICE Vient ensuite la question de savoir com ment d terminer la part des salari s objectif du cr dit d imp
29. le jouent les organismes et les partenaires sur les territoires existe t il un mod le conomique Ce travail s est appuy sur deux orga nismes Him intervenant dans des contextes diff rents du Jura et le d partement du Jura et Sil ne Habitat dans l agglom ration de Saint Nazaire Deux sites d tude eSil ne Habitat Saint Nazaire 8000 logements dans la communaut d agglom ration en croissance d mographique seulement 50 ascenseurs pour 250 entr es 21 de m nages g s de 65 ans et plus une demande ext rieure de personnes g es souhaitant se rapprocher des services de Saint Nazaire et de personnes ext rieures la r gion souhaitant se rapprocher du littoral du Jura 6000 logements dans un d partement en grande partie rural avec une faiblesse du solde naturel et un d ficit migratoire lev un patrimoine ancien avec 40 ascenseurs 21 de m nages g s de 65 ans et plus une demande externe de personnes g es propri taires occupants 1 Les pr visions r alis es partir des premi res vagues de l enqu te HID et utilisant les don n es Insee concernant le nombre de personnes d pendantes pr voir d ici 2040 varient de 32 selon le sc nario optimiste 79 selon le sc nario pessimiste groupes 1 4 2 D apr s les enqu tes p riodiques EHPA aupr s des gestionnaires de l ensemble des struc tures 2003 2007 et en pr paration 2011
30. le patrimoine de la Nantaise d Habitations LNH travers le regard d artistes EMPLOIS Des m tiers en mouvement En quelques ann es de nouveaux m tiers sont apparus dans le monde Him signe de l adaptation du logement social son environnement Habitat et Soci t LE DOSSIER sur les Ml oprietes LE D 2 H J Cas LR t F 4 REVUE TRIMESTRIELLE DIT E PAR POUR L HABITAT MARS 2013 969 17 7 sn NES Cr Pour recevoir Habitat et Soci t chaque trimestre abonnez vous Abonnement annuel 2013 102 organismes 125 non Him tranger 178 Le num ro 35 Service des abonnements L Union sociale pour l habitat Direction des activit s promotionnelles ditions 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 T l 01 40 75 52 63 s lection 201 2 PRODUITS CONSTRUCTION L outil incontournable pour vos prescriptions de produits L UNION SOCIALE POUR L HABITAT Les Hlm habiter mieux bien vivre ensemble
31. leur comp tence d am nagement doivent donc tre mesure de r pondre cette mise en concurrence dans les meilleures conditions de Ils doivent ensuite assurer avec rigueur la conduite op rationnelle du projet dans ses multiples composantes Tel est l objectif premier de ces cahiers La cible du guide est op rations d am nagement public il leur est n cessaire d en comprendre les m canismes et de partager une culture et un langage communs avec les collectivit s Contact Jean Nika responsable du d partement Urbanisme Am nagement Foncier T l 01 40 75 70 32 mail jean nika union habitat org D s la parution d une publication un exemplaire est adress gracieusement chaque organisme Pour toute commande suppl mentaire prix 20 TTC port compris crire la Direction des activit s promotionnelles de l Union sociale pour l habitat 14 rue Lord Byron 75384 Paris Cedex 08 DROIT FISCALIT Cr dit d imp t comp titivit emploi Mode d emploi pour les organismes Him L article 66 de loi de finances rectificative pour 2012 mis en place un cr dit d imp t pour la comp titivit et l emploi Les organismes Him peuvent ils b n ficier de ce nouveau cr dit d imp t alors qu ils sont exon r s d imp t sur les soci t s pour la plupart de leurs activit s ploi CICE rappelons le est qu en diminuant le co t du travail des salari s r mun r s jusque 2 5 SMIC on am liore
32. mun rations ligibles sans tenir compte de ce rapport L instruction fiscale pr cise qu ils r gulariseront ensuite cette assiette en tenant compte de ce rapport sur la d claration relative au mois de d cembre ou au dernier trimestre e Etant donn la publication tardive des commentaires administratifs les organismes Him comme la plupart des entreprises n ont sans doute pas t en mesure de d clarer les mentions n cessaires sur la BRC au titre des mois de janvier et f vrier Compte tenu de cette situation l instruction fiscale indiqu que pour 2013 il est admis que les donn es ne soient renseign es qu compter du mois de juillet e imputation sur l imp t sur les soci t s d par l organisme imputation au moment du paiement du solde de l imp t le CICE 2013 s imputera sur l imp t payer en avril 2014 L exc dent non imput constitue une cr ance sur l Etat qui peut tre utilis e pour le paiement de 115 d au titre des trois ann es suivant celle au titre de laquelle elle est constat e cr ance utilisable uniquement pour le paiement de 15 et non pour d autres impositions e A l expiration de cette p riode remboursement de la fraction non utilis e e A noter galement remboursement imm diat de l exc dent est pr vu pour certaines cat gories d entreprises PME au sens du droit communautaire entreprises nouvelles sous certaines la cr ance sur le Tr
33. poser la question de la coh rence des politiques de l Union euro p enne applicables au logement social m Contact Laurent Ghekiere laurent ghekiere union habitat org En savoir plus http union habitat eu Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 7 Nominations Dalophis Habitat Philippe James a t nomm direc teur g n ral de Valophis Habitat A par le conseil ad ministration du 21 f vrier 2013 N en 1957 ing nieur de for mation dipl m de enseigne ment sup rieur conomique et en marketing industriel Phi lippe James a occup des res ponsabilit s de direction g n rale au sein de grands groupes industriels fran ais travaillant au service des collectivit s locales notamment Bouygues et Suez Environnement Au cours de sa carri re il est inter venu successivement dans les secteurs de l nergie de la pro pret urbaine de eau potable de l assainissement et de la construction DOpac 38 Isabelle Rueff 51 ans pris ses fonctions de direc trice g n rale le 18 f vrier 2013 Elle succ de Dominique Gaillard qui apr s 17 ann es ce poste a fait valoir ses droits la retraite Enarque de formation elle a t tour tour en charge de LMH probl matiques li es em ploi la formation profession nelle la lutte contre les exclu sions la s curit int rieure au sein des minist res sociaux et du minist
34. rapprocher des centres villes et des ser vices titre dexemple Paris la part des demandeurs de de 63 ans a aug ment de 25 entre 2006 et 2009 Ces locataires du parc social ayant eu des parcours professionnels discontinus dis posent pour la grande majorit de fai bles ressources Les organismes se pr occupent de longue date du maintien domicile de leurs locataires g s dans de bonnes conditions ils int grent cette question dans leurs plans strat giques patrimo niaux mettent en place des politiques de travaux adaptent leur organisation et renforcent les comp tences de leurs sonnels sur ces questions Ils font gale ment le lien avec les EHPAD pour per mettre la prise en charge de personnes d pendantes Ils risquent cependant d tre confront s la perte d autonomie d une partie de leurs locataires qui res teront domicile faute de place en ta blissement ou parce qu ils pr f rent res ter domicile C est pourquoi l Union sociale pour Pha bitat a engag une recherche sur les questions suivantes quelle est ampleur du ph nom ne de la d pendance dans le parc social aujourd hui et moyen terme les personnes concer n es et le r le des organismes quelles sont les pistes pour favoriser le maintien domicile dans le parc social dans de bonnes conditions de ces sonnes g es d pendantes majoritaire ment bas revenus quel r
35. signifie pas n cessairement devenir d pend ant y compris au grand ge comme en t moignent les donn es sur les personnes en situation de perte d autonomie d finies par l ligibilit On assiste aujourd hui une augmentation de la dur e de vie en bonne sant L Insee tabli plusieurs sc narios d volution la d pendance moyen terme qui prennent en compte les progr s de la m decine et en particulier du traitement des maladies psychiques Alzheimer et maladies apparent es Le sc nario interm diaire retenu dans les rapports de l IGAS sur la pris pr voit un accroissement du nombre de personnes d pendantes inf rieur celui des personnes g es La notion de d pendance au sens administratif et m dical du terme repose en France essentiellement sur l application d une grille d valuation des personnes e en charge de la d pendance en juin 2011 ges b n ficiaires de l APA 60 ans 8 00 75 17 80 ans 20 95 ans 63 g es la grille AGGIR Autonomie G rontologie Groupe Iso Ressources Celle ci classe les individus selon six niveaux de d pendance correspondant au niveau de d pendance la physique et psychique le niveau 1 plus forte La grille AGGIR deux fonctions l valuation du degr de d pendance ou d autonomie des personnes g es dans l accomplissement des actes de la vie quotidienne ligibilit allocation per
36. suffi samment la lecture et l criture pour tre autonomes dans les situations simples de la vie quotidiennes Le fait d tre labellis Grande cause nationale 2013 permet des organismes but non lucratif qui souhaitent organi ser des campagnes faisant appel la g n rosit publique d obtenir des diffusions gratuites sur les radios et les t l visions publiques Label attribu au collectif Agir ensemble contre l illettrisme DR Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 13 dans le parc social Les projections d mographiques laissent pr voir une augmentation sensible des personnes en perte d autonomie en 2025 mais la majorit vivra domicile Aujourd hui 28 des locataires Hlm ont plus de 60 ans et la part des demandeurs de ce profil avec de faibles ressources augmente La question du maintien domicile se pose de longue date pour les organismes Hlm qui adaptent les logements renforcent les comp tences de leurs personnels et construisent des tablissements d di s voir les exemples page 18 22 Une tude de VUSH men e aupr s de deux organismes de contextes diff rents donne des premi res mesures de ces ph nom nes Les locataires en situation de perte d autonomie mod r e forte devraient repr senter en 2025 autour de 6 8 14 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 a question de la d pendance dans le parc social a t jusqu pr
37. ve clairement et exclusivement du bon vouloir des autorit s fran aises TVA 2013 sera l ann e de l adoption par la Commission europ enne de la pro position de r vision de 1 directive du Conseil sur la TVA Selon les premi res orientations de la Commission pr sen t es dans le cadre d une consultation publique les taux r duits applicables aux produits de premi re n cessit ne seraient pas reconduits au profit d un niveau de taux de TVA unique l g re ment inf rieur au taux normal actuel Cette r forme serait selon la Commis sion n cessaire au bon fonctionnement du march int rieur et en coh rence avec les autres politiques communau taires Le logement y est pr sent en tant que secteur nergivore qui ne doit plus tre favoris par des taux r duits en coh rence avec la politique nerg tique et climatique de l Union europ enne gt Sortie de crise 2013 sera l ann e de l adoption par le Parlement d un rapport d initiative sur le logement social dans l UE en tant que levier pour une sortie de crise Karima Delli a t d sign e par la Commission de l Emploi et des Affaires Sociales du Parlement europ en rappor teure d un avis d initiative intitul Le logement social dans l Union euro p enne un levier pour sortir de la crise Un rapport d initiative qui sera l occasion de lancer au Parlement un grand d bat sur le logement social dans l Union euro p enne et de
38. 2013 lo gentilhomme con Dix jeunes qui ont men bien le projet de remise en peinture des sous sols d immeubles de leur quartier Rennes ont re u un ch que de 2 000 par Aiguillon pour financer un voyage la montagne Cette initiative est l une des dix soutenues par l ESH pour d velopper le savoir faire des jeunes en lien avec des associations conventionn es par la Ville sur les politiques jeunes dans les ZUS 4 Jeu sur la gestion du budget familial L ODHAC de la Haute Vienne organis un atelier sur la gestion et la ma trise du budget familial avec l association Finances et P dagogie Une vingtaine de locataires se sont r unis autour d un jeu de l oie qui d bute avec les ressources puis le loyer payer et les factures viennent aussi les cases impr vus soldes ou taxe d habitation V NEMENTS L occasion d apprendre anticiper 5 Le gen tilhomme gentil Manche Habitat con u un document en r f rence au livre retra ant l u vre de l architecte Eug ne Leseney La plaquette est consacr e notamment aux 49 logements qu il a construits Saint L et constitue un hom mage la m moire de Jean Jacques Poupard architecte co traitant de cette op ration et d c d r cemment 6 co l Hab Comprendre sa quittance conomiser l eau bien se nourrir avec un budget serr au travers de 50 ateliers pratiques les
39. HPE Co t 2 5 M avec 309 000 euros de subventions et 348 200 euros de fonds propres 22 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 e projet de lOPH de l Aisne Cor beny consiste restructurer et agrandir l actuelle maison de retraite 30 places en cr ant 67 nouvelles places d h bergement r parties en 53 places dites indiff renci es ou pour personnes g es d pendantes 14 places dans une unit de vie prot g e Alzheimer Le principe fonctionnel retenu pour l tablissement est celui de l unit de vie Chacune sera compos e de 13 ou 14 chambres et d espaces collectifs d di s sp cifiquement l unit Alzheimer ou partag s entre deux ou plusieurs unit s de vie pour les personnes g es d pen dantes Chaque unit fonctionnera comme une maisonn e autonome Toutes les unit s seront attenantes les unes aux autres et dot es d acc s au grand jardin int rieur Le Conseil g n ral de l Aisne et l Agence r gionale de sant ARS de Picardie ont souhait que l EHPAD soit g r par la structure sp cialis e Coallia Cette asso ciation regroupe plus de 2000 salari s qui interviennent dans l habitat social adapt l h bergement social la promo tion sociale et le m dico social Le co t des travaux est de 5 28 millions d euros Le d marrage des travaux est pr vu novembre 2013 pour une dur e de 26 mois arch Ameller Dubois et associ s DR Dr
40. aisons coupl es un cabinet m dical ans le hameau de Villers sur Th re Allonne pr s de Beau vais la r sidence Michel R gnier se compose de 18 pavillons locatifs adap t s destin s des personnes g es valides et d un b timent R 1 compre nant des locaux pour professions m di cales et trois appartements locatifs Selon une convention de portage foncier blissement public foncier de lOise EPFLO a achet la commune les par celles qu il a mises disposition de POf fice dans le cadre d un bail emphyt o tique de soixante ans Dans le b timent collectif construit l entr e de la r sidence plusieurs ser vices de sant sont propos s au rez de chauss e m decin g n raliste p diatre infirmi res lib rales p dicure kin si th rapeute un parking d une dizaine de places a t cr l tage se trouvent les appartements locatifs T1 et T4 Les pavillons douze T2 et six T3 adap t s sont quip s pour des personnes cir culant en fauteuil roulant d un jardin commun et de jardins individuels avec terrasse Pour faciliter la collecte des d chets un local sp cifique t nag Les mat riaux utilis s reprennent les teintes pr sentes dans la commune enduits de ton pierre claire linteaux de briques et toitures deux pans en tuiles de terre cuite marron Sur le plan ner g tique cette construction b n ficie d une certification
41. at social et la recherche avec le GRI DAUH voir notre article page 9 lui succ de neuf ans avant de rejoindre le si ge comme directeur des politiques locatives et sociales C est en 2004 qu il devient directeur g n ral de LMH jusqu ce jour Laurent Goyard a conduit avec les directeurs g n raux de Roubaix Habitat et de Him de Tourcoing le proces sus de regroupement des trois offices communautaires qui s est concr tis le 1 juillet 2006 permettant LMH de r pondre aux enjeux fix s par le PLH de la communaut urbaine de Lille Fr d ric Paul devient directeur g n ral de USH p Jean Louis Dumont pr sident de l Union sociale pour l habitat nomm le 6 mars 2013 Fr d ric Paul au poste de directeur g n ral de PUSH la suite du d part de Thierry Bert En exer ant sa fonction dans le cadre de Particle 8 des statuts de l Union Fr d ric Paul aura pour mission sous l autorit du pr sident de mener bien le programme de travail et notamment de promouvoir les positions du Mouvement Him sur les dossiers relatifs la politique du logement social et la politique de la ville effectuera sa mission en lien avec les directeurs des F d rations les quipes de la D l gation g n rale et les services techniques de PUSH Fr d ric Paul 64 ans norma lien est dipl m en sciences conomiques Il exerce son activit professionnelle au s
42. concertation appro fondie avec les organismes Dans ces conditions afin que les montages financiers des op rations ne se heurtent pas des obstacles qui g n reraient des impossibilit s ou des retards au regard des objectifs de pro duction locative sociale du gouvernement il nous para t indis pensable de surseoir aux dispositions de la circulaire pour l exercice 2013 Cette p riode permettra aux acteurs de se concerter Dans ce cadre nous souhaitons examiner tr s rapidement sur le fond ce sujet dont les enjeux sont consid rables afin que nous d terminions de mani re concert e les marges de man u vre dans lesquelles les acteurs locaux concern s pourront ais ment trouver des points d accord D Delphine Batho Dans un autre courrier du 5 mars 2013 adress la ministre de l Ecologie du D veloppement durable et de l Energie Jean Louis Dumont attire l attention de Delphine Batho sur cer taines cons quences graves pour le secteur Hlm et ses loca taires du texte de la proposition de loi visant notamment pr parer la transition vers un syst me nerg tique sobre texte que vous pouvez encore infl chir 2 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 Le comptage d nergie avec r partition des frais de chauffage collectif a t mis en place par la loi du 29 octobre 1974 Le d cret n 2012 545 du 23 avril 2012 est venu actualiser les conditions de la mise en uvre obligato
43. diaires en op rations de banque pour le compte exclusif de Socram Banque organisme pr teur MAIF Soci t d assurance mutuelle cotisations variables 79038 Niort cedex 9 Filia MAIF Soci t anonyme au capital de 114 337 500 enti rement lib r RCS Niort 341 672 681 79076 Niort cedex 9 Entreprises r gies par le Code des assurances Banque SA au capital de 70 000 000 RCS Niort 682014865 2 rue du 24 f vrier 8426 79092 Niort cedex 9 Mandataire d assurance n Orias 08044968 www orias fr LOWE STRAT US EUROPE Le point SUF 2013 une ann e d cisive pour les organismes Him FEDER aides d Etat coop ration CIF TVA les grands dossiers europ ens du Mouvement Him seront arbitr s durant cette ann e sur fond de d bat au Parlement europ en sur le r le du logement social pour sortir de la crise ann e 2013 sera charg e en 9 perspectives et d cisive pour le d veloppement du loge ment social en France au regard des politiques europ ennes de concurrence du march int rieur et de coh sion L ensemble des dossiers en cours consti tue un test de coh rence grandeur nature pour les politiques europ ennes appli qu es un domaine qui bien que rele vant de la comp tence exclusive des Etats membres sur le papier est aujourd hui directement confront dans son organi sation son financement et son d velop pement au cloisonnement des
44. diants et les jeunes en forma tion la facilitation de l acc s au logement et l accompagnement dans la recherche pour la mixit sociale et g o graphique accompagnement social des locataires la mise en place de solutions adapt es l accueil des m nages les plus d favoris s le d veloppement d une offre territoriale sur les communes rurales le d veloppement durable l tude pour la mise en oeuvre d une op ration exp rimen tale exemplaire d passant les obligations r glementaires en termes de performance ner g tique en construction neuve la sensibilisation des locataires aux conomies d nergie la participation la mise en oeu vre du programme d actions inscrit dans la charte pour un b timent durable et intel ligent initi e par le Conseil g n ral et dont Moselis est adh rent Clichy Habitat Raccordement la fibre optique Au premier plan de gauche droite Philippe Bruneaut Sequalum Olivier M nard DG OPH Gilles Catoire pr sident OPH et maire de Clichy DR Clichy Habitat et S qualum filiale commune de Numeri cable et SFR Collectivit s ont sign une convention cadre portant sur le raccordement de l ensemble du parc locatif social la fibre optique En tant que d l gataire de service public Sequalum assurera le raccordement d ici fin 2013 et prendra en charge l ensemble des co ts d quipement des r sidences de Un
45. du march local de lhabitat ge ressources des m nages statuts d occupation r alis e partir des don n es Insee compl t e par des entretiens avec les partenaires d partement com munes permet de replacer le parc social dans son contexte d mogra phique solde naturel et migratoire part des plus de 65 ans attractivit du terri toire pour les personnes g es Les deux territoires tudi s OPH du Jura et Sil ne Habitat pr sentent ainsi tous deux un vieillissement de la popu lation dont les causes sont cependant contrast es alors qu elles sont li es dans le cas de Saint Nazaire un solde migra toire positif et lemm nagement de per sonnes g es sur le bassin d habitat et le littoral en particulier elles s expliquent dans le Jura l inverse par une faible mobilit des personnes g es par un solde migratoire n gatif et un vieillisse ment de la population en place L ana lyse des statuts d occupation r v le ga lement la pr sence de propri taires occupants loign s des centres villes dans le Jura ce qui peut influer sur la demande de logements sociaux Le niveau d quipement du territoire mati re d tablissements pour personnes 16 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 g es et leurs caract ristiques g n rales tablissements m dicalis s tarifs habi litation ou non laide sociale sont ga lement prendre en compte Pa
46. du 15 mars 2013 Actualit 7 Jean Louis Dumont 2013 une ann e d cisive Cr dit d imp t comp titivit s adresse aux Ministres pour les organismes Hlm emploi s 510 LE DOSSIER Personnes g es et d pendance dans le parc social L UNION SOCIALE POUR L HABITAT Les Hlm habiter mieux bien vivre ensemble Bimensuel d information dit par L INTRATONITUDE MER 16 16 SE prolo T m SANS jamais d ranger les r sidants INTRATONE c est La fin des travaux lourds et interminables Plus de combin s dans les appartements les r sidants ouvrent la porte du hall simplement en appuyant sur une touche de leur t l phone La pose d un nouvel interphone INTRATONE est donc ultra rapide et conomique C est l installation sans mauvaise surprise Vos r sidants l adopteront aussi pour sa discr tion PANIGIK T l 02 51 65 05 79 INTRAT NE REGARDS SUR L ARCHITECTURE SOCIALE COLOMBES Exposition des photographies du patrimoine de Colombes Habitat Public r alis es par Benoit Moyen 6 gt Habitat Rite Exposition sur l architecture sociale 10 LA UNE 2 Jean Louis Dumont crit aux minis tres C cile Duflot et Delphine Batho 4 F d ration nationale des d part de Maurice Laurent Goyard lui succ de Le chiffre de
47. e Le taux de sortie diminue de mani re continue jusqu 79 ans dans le parc de du Jura La tendance est en revanche moins nette Sil ne Habi tat o les personnes g es ont davan tage tendance quitter le parc plus de 10 entre 60 et 64 ans et presque 20 plus de 80 ans Plusieurs hypoth ses peuvent tre avanc es comme bilit des immeubles et des logements pr sence d ascenseurs ainsi que lac cessibilit sociale des tablissements pour personnes g es situ s proximit En 2025 se produirait une progression importante des locataires entre 65 et 74 ans 29 en 2025 contre 20 en 2010 plus que des populations tr s g es L estimation du nombre de chefs de m nage d pendants au sein du parc social s appuie sur les ratios issus des donn es de enqu te Handicap Sant m nages ordinaires HSM r alis e par l Insee et la DREES qui a mis en valeur le pourcentage de personnes en perte d au tonomie par classe d ge au sein de population vivant domicile la grande majorit des personnes g es m me tr s g es sont autonomes C est le cas de 83 des personnes g es de 60 79 ans et de presque 60 des per sonnes g es de 80 ans et plus 17 des m nages de plus de 60 ans sont d pen dants ou fortement d pendants En appliquant ces ratios aux deux bail leurs sociaux on peut estimer aujourd hui environ 2 des locataires
48. e fois le raccordement des r si dences achev les locataires pourront faire appel l op rateur de leur choix Le co t de raccordement des immeubles en copropri t est galement support par l op rateur d immeuble apr s accord de l assembl e g n rale de copropri t La ville de Clichy et le d parte ment des Hauts de Seine sont enti rement couverts par la fibre optique en pied d immeuble Le GIE Est Habitat s largit pour plus de mobilit r sidentielle Fond en 2004 le GIE Est Habitat compos de Villeurbanne Est Habitat 8 500 logements de Porte des Alpes Habitat 4 600 logements et de la coop ra tive Rh ne Sa ne Habitat 4 500 logements en accession produits dans le Grand Lyon accueille deux nouveaux membres l association Aralis qui dispose de 4200 places de logements accompagn s r parties en 41 tablissements sur le Rh ne la Loire et l Is re l association Alin a b n ficiant de 374 places d h bergements d urgence sur six tablisse ments dans le Grand Lyon L arriv e d associations sp cia listes de h bergement d ur et temporaire permet au groupement d int grer dans ses offres l h bergement d urgence et d insertion et ainsi d largir sa palette de comp tences Rouen Habitat Cap propret La qualit de la prestation pro pret fait l objet d un travail cons quent au sein de l Office Il se t
49. ectivit s territoriales et des personnes qualifi es Ce groupe doit rendre ses conclusions en juin 2013 avec un point d tape fin avril PARTICIPEZ NOTRE PANORAMA DE LA PRODUCTION NEUVE HLM le Mettezwos programmes de C ur en lumiere dans Habitat et Soci t Habitat et Soci t diffus lors du prochain Congr s de Lille en septembre 2013 publiera le coup de coeur des organismes Him pour un programme r cent Adressez nous par mail nicole rudloff union habitat org d s aujourd hui et jusqu au 15 juin 2013 une ou plusieurs photos en haute d finition 300 dpi d un m me programme achev que vous jugez repr sentatif de votre production ou t moin d une innovation des deux derni res ann es 2011 et 2012 en nous mentionnant le nom du programme et la ville le nombre de logements locatifs ou accession le nom de l architecte le co t de construction TTC au m de surface habitable hors terrain et le L UNION SOCIALE POUR L HABITAT niveau de performance Accompagnez ces mentions d une phrase Les Hlm habiter mieux bien vivre ensemble expliquant pourquol VOUS avez choisi ce programme R NOVATION URBAINE Construction de 57 logements locatifs sociaux THPE La Ciotat 13 Architecte Guy Daher Atelier 9 devenu MAP Livraison d but 2014 Phoc enne d Habitations 57 logements La Ciotat in 2012 La Ciotat la Phoc enne d Habitations groupe Unicil
50. ein du Mouvement Hlm depuis 1975 Il a notamment dirig l Office public Hlm de l Orne et celui de la Ville de Nantes a galement t directeur g n ral du Crepah Il tait pr c demment secr taire g n ral de PUSH Conseil social nouveau pr sident Bernard Coloos a t lu le 26 f vrier dernier la pr sidence du Conseil social pour une dur e de deux ans Il succ de Annie Guillemot maire de Bron Bernard Coloos est directeur aux Affaires conomiques financi res et internationales la FFB F d ration fran aise du B timent depuis 1996 et pro fesseur associ Sciences Po Jai achet ma voiture neuve 35 sur Internet c est vrai qu avoir la MAIF avec moi c tait rassurant Lucas soci taire MAIF Toulouse KITS BUDGET AUTO MAIF ACHAT CR DIT ASSURANCE Une voiture moins ch re un cr dit d j n goci une assurance flexible d couvrir du 11 mars au 6 avril sur ma f fr kitsbudgetauto Fonctionnaires territoriaux b n ficiez de ces avantages et des tarifs d assurance r serv s aux professions statutaires MILITANT Un cr dit vous engage et doit tre rembours V rifiez vos capacit s de remboursement avant de vous engager Conditions sur ma f fr kitsbudgetauto Offre valable en France m tropolitaine du 11 03 2013 au 06 04 2013 Achat de v hicules en partenariat avec Aramis et IES MAIF et Filia MAIF interm
51. eur le client a la pos sibilit d acc der en direct aux images de son chantier 24 heures 24 7 J 7 sur sim ple connexion Internet WiFi ou filaire les pi ces vivre par exemple Avec leur dur e de vie allant jusqu 20 000 heures et leur faible consommation elle per mettent de r aliser des co nomies d nergie certaines Pour les cages d escaliers des immeubles la lampe DULUX FACILTY est par ticuli rement recommand e Elle supporte jusqu un million de cycles allu mages extinctions et affiche une dur e de vie de 20000 heures vingt ans raison d une utilisation de 2 7 heures jour A la fois robuste et conomique cette lampe est id ale pour les applications avec allumages et extinctions fr quents 28 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 Trop facile avec Knauf Afin de rendre les perfor mances thermiques de ses pro duits plus lisibles et simplifier le choix des clients Knauf a refondu son offre de doublages D sormais regroup s en deux familles Polyplack pour les travaux ax s sur la thermique et PolyplacPhonik pour les projets impliquant une isola tion acoustique tous les pro duits incorporent d sormais une plaque de pl tre BA 13 Par ailleurs la codification des Maisons 7 Lanc es par la F d ra tion fran aise des constructeurs de mai sons individuelles et des partenaires industriels et fournisseurs d nergie dont GDF Suez les mai
52. i nuant le d bit d eau La ZenBox Dolce Vita permettra aux habi tants de suivre comprendre et maitriser leurs consommations d nergie mais aussi de recevoir des alertes en cas de d passe ment d un seuil de consommation d fini Enfin les habitants seront form s l usage de la domotique et aux co r flexes Ce coaching sera suivi d un bilan l issue de la premi re ann e Habitat et Societ Au sommaire du num ro de mars 2013 Cap sur les copropri t s Que ce soit dans la production neuve dans le cadre de la vente Him aux locataires ou dans les copropri t s en difficult les ESH Coop ratives OPH Sacicap sont de plus en plus impliqu s dans des copropri t s et sollicit s par les collectivit s Ainsi ont ils d velopp au fil des ans un savoir faire assurant tour tour les fonctions de syndic d administrateur de biens de prestataires de services de portage provisoire de fi nanceur pour boucler les plans de financement ou pr financer les travaux HABITAT EN CHIFFRES Construction priv e et march de l ancien grande panne D crochage du march de l ancien recul des mises en chantier risque de contraction de la construction locative sociale tous les indicateurs appellent une mobilisation de moyens de la collectivit en faveur du logement Explications de Michel Mouillart professeur d conomie Paris Ouest REGARDS Art et architecture Une balade urbaine sur
53. i re de r novation thermique Hlm le plafond de 4 de l enveloppe nationale FEDER t supprim e par la Commission europ enne et fait place un plancher de 20 de cette enveloppe qui devra tre consacr e la performance nerg tique et aux nergies renouvela bles dans le domaine du logement des b timents publics mais galement des transports Autre novation les programmes op ra tionnels r gionaux ne seront valid s par la Commission europ enne que si l Etat fran ais s engage respecter notamment le droit des aides d Etat et prendre toutes les dispositions administratives n cessaires son applica tion effective au plus tard en 2016 Or cette question est loin d tre r gl e en mati re de r gime des aides d tat sous la forme de compensa tion de service public Aides d Etat 2013 sera l ann e de la d cision de la Commission europ enne de classer la plainte de l UNPI pour aides d Etat ill gales au logement social ou au contraire de l instruire offi ciellement en lan ant une proc dure formelle l en contre de l Etat fran ais pour non appli cation de la d cision d exemption de notification et surcompensation de novembre 2005 r cemment r vis e Le champ d intervention du logement social est jug trop vaste par l UNPI et g n ra teur selon elle de surcompensations La question pos e par ce contentieux reste focalis e sur les conditions d application en France de d
54. ine Logement qui construit sur le m me site dix logements familiaux Une op ration mixant EHPAD logements locatifs sociaux et accession sociale Lille men e conjointement avec SIA Habitat et Escaut Habitat autres membres du r seau est actuellement tude Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 19 Patrimoine SA Languedocienne Premi re R sidence Passerelle interg n ration ancien EHPAD Sainte C cile situ e Bessi res commune entre Albigeois et Pays toulou sain va conna tre une nouvelle vie et se transformer en une R sidence passe relle Les occupants actuels de PEH PAD seront transf r s dans un EHPAD neuf en avril prochain de mani re lib rer les locaux La r sidence La lumi re du Tarn Bessi res Arch Agence d architecture Filiatre Mansour DR Ce nouveau concept dont le nom est en cours de d p t par Patrimoine SA Lan guedocienne met l accent sur le lien interg n rationnel en accueillant dans un m me lieu des seniors et des familles ACSE mais n offre pas de services D une sur face de 1185 m actuellement le b timent principal sera enti rement r nov et agrandi de pr s de 1000 m selon les normes BBC par Id alement situ e en bordure du Tarn cette r sidence de 39 logements d nom m e Lumi re du Tarn sera compos e de seize T2 21 T3 et deux T4 tous quip s pour des personnes mobilit r duite et financ e e
55. ir p se sur les ERP principalement dans l existant D o une vague de 40 propositions pour mobiliser et progresser Tous les minis tres sont invit s participer sur la base de ce rapport l laboration d un plan d ac tions gouvernemental qui sera valid lors du prochain Comit interminist riel du handicap la fin de premier semestre 2013 Globalement le rapport recommande la mise en place d agendas d accessibilit programm e Adap pour les ERP exis tants tablis apr s concertation et diag nostic global Cet Adap serait un document de programmation financi re des travaux d accessibilit dont la dur e de mise en oeuvre pourrait s inscrire dans une fourchette de l ordre de trois ou qua tre ans pouvant tre reconduits deux ou trois ans Ces agendas devraient tre adopt s avant le 31 d cembre 2014 Sont galement propos s une table ronde nationale des acteurs de l accessibilit pour faire partager la d marche des tats r gionaux destin s la mobilisation des collectivit s territoriales et des diff rents secteurs d activit sur la pr paration des l octroi de la grande cause natio nale 2014 l accessibilit juste avant l ch ance de loi l adoption d un plan d ensemble pour assurer la formation des acteurs Parmi les 40 propositions plusieurs concernent directement le logement La s natrice estime qu il faut passer en
56. ire des syst mes d in dividualisation de chauffage tout en maintenant les principes initiaux savoir que cette mise en uvre soit techniquement possible et conomiquement rentable La France a donc anti cip la nouvelle directive europ enne 2012 27 UE relative l efficacit nerg tique en mati re de syst mes de facturation individuelle des frais de chauffage collectif La proposition de loi revient sur ces principes en syst mati sant leur mise en place sans tenir compte de leur rentabilit et en acc l rant le calendrier de mise en place de l individuali sation des frais de chauffage 2015 en lieu et place de 2017 Nous souhaitons vous alerter sur le fait que depuis pr s de 35 ans et malgr des progr s technologiques les exp riences conduites ce sujet en logement social n ont jamais prouv leur efficacit conomique dans la dur e et ce m me pour des logements tr s consommateurs De surcro t la mise en place de ces syst mes difficilement appr hendables pour les occu pants peut s accompagner de comportements de sous chauffe risquant d entra ner une d gradation des logements ou de g n rer un inconfort Aussi pour limiter les comportements d vi tement et les contentieux entre voisins la r glementation a pr vu qu une partie de la facturation soit r partie forfaitaire ment entre les logements r duisant d autant l int r t de ces syst mes Les organisations nationales de locataire
57. jardin partag de la cit Co t total des travaux de r ha bilitation 5 M achat et pose des nids d hirondelles 1800 conomies d nergie r alis es 68 La table des mati res du 1 semestre 2013 para tra en suppl ment du num ro du 30 ao t 13H LE MATIN 10 H o Visites de l4 rue Jean Jaur s L APR S MIDI 14H 17H amp activit s pour petits et grands Anime p dagogiques 21 Minoterle 29 boulevard Brandebourg 1 Ivry Port f te ses chantiers l initiative de la Ville d Ivry sur Seine d Ivry en colla boration avec les autres partenaires d Ivry Confluences un quartier de 145 hectares renouvellement urbain particip une jour n e de visites des chantiers Au programme poses de premi re pierre d couvertes culi jeux et activit s pour tous 2 Energie positive Avec son quipe r unissant des adultes et des plus jeunes Nadia locataire de Dijon Habitat Greuze a remport le concours Familles nergie positive lanc l an dernier par la Ville L objectif tait d inciter les familles faire au minimum 8 d conomies sur le chauffage et l lectricit 59 familles s y taient inscrites Les laur ats ont r alis 38 d cono mies d nergie 3 Atelier citoyen jeunesse des voisins tj Banque des Confluences IVRY PORT samedi 23 f vrier
58. l de c blage r seau ou t l phonique tr s co teux et remplace efficacement le gar diennage sur site ce qui per met de r duire consid rable Lampes fluocompactes de Osram Tr s conomes en nergie les lampes fluocompactes sont particuli rement adapt es aux halls d accueil et parties com munes Elles combinent la qualit de la lumi re avec un design particuli rement com pact et une longue dur e de vie Avec le ballast int gr ces lampes garantis sent un maximum 4 de fonctionnalit s Diff rentes cou leurs telles que le blanc chaud confortable 825 permettent de cr er des ambiances agr ables dans ment le co t de la s curisation des chantiers Une fois Sity D me 3G install sur le chantier le syst me gr ce la 3G est connect au centre de t l surveillance qui peut effectuer des rondes distance r guli res une fr quence d finie par le client La cam ra motoris e op re instantan ment une rotation au moindre mouvement d tect par les capteurs pla c s dans les zones sensibles du chantier Simultan ment elle envoie l alarme au t l surveilleur qui peut apporter la r ponse adapt e la situa tion soit s adresser directe ment aux intrus via les haut parleurs soit pr venir les forces de l ordre pour demande d intervention Par ailleurs avec le logiciel de surveillance Sity D me 3G install sur son propre ordinat
59. label tier bleu Co t de l op ration 8 1 M soit 1874 TTC le m utile lent sra tre Sement partenar op rationnel d une a am nagement partenariats montas FE les organismes Hlm se ON toutes les chelles du plus complexes et lourdes d extension n cessaire augmentation sur le long terme de notre capacit de production a r sist l preuve du temps depuis sa cr ation par la loi d orientation fonci re de Le fait majeur est que l am nagement conc d est entr dans le champ concurrentiel comp titivit et en ma trisant leurs risques aussi les organismes impliqu s comme constructeur puis gestionnaire dans des Guide du pilotage ZAC conc d e tomes 1 et 2 AE op rationnel Guide du pi sont vu reconna tre une Guide du pilotage op rationn G e du pilotage par une ZAC conc d e d une ZAC conc d e pleine comp tence d am nageur modeste lotissement communal des op rations r g n ration urbaine L affirmation de cette comp tence est plus que jamais n cessaire en regard d une Leurs modes d intervention se sont diversifi s Et si la ZAC conc d e n est plus la proc dure d am nagement universelle elle n en reste pas moins un outil majeur qui 1967 Elle garde la plupart du temps la faveur des collectivit s qui en initient et lancent des consultations dans ce cadre Les organismes qui exercent
60. le Toit Angevin DR haitant int grer ce dispositif des tu diants des jeunes en formation des adultes en reconversion dans un tablis sement d Angers Au fur et mesure l as sociation pourra former les bin mes avec nos locataires n y a pas d changes mon taires entre l h bergeur et l h berg et les services en question ne sont ni une aide m na g re ni des soins domicile mais une pr sence en temps pass l h bergeur payant le service l association Le comit de s lection du Fonds pour l innovation sociale des ESH attribu une subvention de 27 000 sur deux ans qui devrait financer la cr ation d un poste d animateur au sein de l associa tion Avec le soutien de la Ville d Angers mi ce dispositif s amplifiera avec quinze logements en 2014 puis trente qua rante pour les ann es suivantes Les Ajoncs P R sidence Le Fournil M rs Erign DR Par ailleurs le Toit Angevin est en cours de labellisation Habitat Seniors Ser vices comme en t moigne la r sidence Le Fournil M rs Erign qui comprend 19 appartements T2 et T3 et une salle de convivialit 1 Le Label signe l adaptation des logements et des espaces communs porte d entr e facile ouvrir rev tements de sol non glissants douche avec barre de maintien il de porte et entre b illeur Installation d un conseil scientifique es Ajoncs filiale commune de 1
61. ligne de tramway Architecte AKTIS P Jayet erni re phase de l am nagement de l lot Pique Pierre Pen tr e de la commune de Saint Martin le Vinoux 38 le programme livr par Actis fin 2012 se compose d un b timent de seize logements familiaux et d une r sidence mutualiste qui a t r alis e en partenariat avec la Mutualit fran aise de l Is re qui en est le gestion naire Opac du Rh ne Un EHPAD Caluire e dernier EHPAD en date livr par lOpac du Rh ne fin 2012 dans le quartier de la Rochette Caluire et Cuire a une capacit de 92 lits dont 12 r serv s l accueil temporaire Cet ta blissement tout neuf a permis de reloger des personnes g es qui vivaient aupara vant juste c t dans une maison d ac cueil am nag e l int rieur d un ancien couvent L obsolescence de quipement avait impos la construction d un nouvel difice dont la ma trise d ouvrage a t confi e du Rh ne et la construction Eiffage est donc propri taire de ce b timent et l association de la Maison d Accueil de la Rochette Amar en est gestionnaire Co t de op ration 13 M majoritai rement financ s par du Rh ne avec l aide du Conseil g n ral de l Etat et de l Agence r gionale de sant Aux deux premiers niveaux se trouve l EHPAD compos de 80 lits r partis quatre unit s de vie avec des espaces collectif
62. locataires de AB Habitat de la cit Joliot Curie Argenteuil peuvent chan ger pendant six mois autour de th matiques li es l habitat et l environnement Un dis positif pilot par l association PEVM partenariat emploi ville m diation m Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 11 INFOS Conjoncture au 5 mars 2013 Prix la consommation Insee Prix des logements anciens Insee Notaires ICC co t de la construction IRL r f rence des loyers Taux d int r t Livret A Banque de France Construction DOM inclus SOeS MEDDTL Commercialisation des logements neufs par les promoteurs SOeS MEDDTL Janvier 2013 D cembre 2012 0 5 e Janvier 2013 Janvier 2012 1 2 1 1 hors tabac e 2012 14 2012 T3 0 3 en France m tropolitaine stable pour les appartements 0 5 pour les maisons s ries CVS e 2012 14 2011 T4 1 7 en France m tropolitaine 1 1 pour les appartements et 2 1 pour les maisons s ries brutes CPS bnp 2012 13 2011 13 1 48 indice brut UP 2012 14 2011 T4 1 88 taux de r f rence des pr ts conventionn s est de 2 25 depuis le 1 d cembre 2012 10 ans 2 24 en f vrier 2013 2 16 en janvier 2013 e Euribor 3 mois 0 22 en f vrier 2013 0 20 en janvier 2013 e Moyenne mensuelle de l EONIA 0 07 en f vrier 2013 0 07 en janvier
63. ments apprentissage sophie quedez univ orleans fr T l 02 38 49 48 69 Renseignements formation continue andre casamiquela univ T l 02 38 49 43 37 Nouveaux sites Internet Dwww seine ouest habitat com gt Dwww antin residences fr Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 9 BREF Colomiers Habitat certifi e ISO 9001 Apr s trois ann es de certification ISO 9001 version 2008 pour ses activit s de d veloppement ma trise d ouvrage maintenance technique et vente du patrimoine PESH Colomiers Habitat vient d obtenir cette certification par l Afnor pour l ensemble de ses activit s production et am lioration de logements locatifs sociaux gestion locative et vente Elle compl te la certification Qualibail version IT Partenariat Banque postale coop ratives Him La coop ration se poursuit entre le groupe La Poste et le mouvement coop ratif Hlm anim s des m mes valeurs de proximit et de service au plus grand nombre Les derni res conventions de partenariat sign es en janvier et f vrier 2013 devraient ainsi permettre l acc s des services de l tablissement bancaire aux candidats accession sociale la propri t dans le Nord le Centre Est et en Midi Pyr n es Banque postale Nord Est et coop rative HLM Mon Abri de La Madeleine Banque postale Centre Est et coop ratives Hlm Le Toit Bourguignon et Bourgogne Habitat
64. ments propos s demander le respect des prin cipes de 1 directive euro p enne en mati re d indivi dualisation des frais de chauffage collectif d j retrans crits dans la r glementation fran aise afin d viter des investissements non rentables voire contreproductifs tant sur le plan social que technique Par ailleurs nous souhaitons que tout b timent relevant du programme de r novation nerg tique des 800 000 loge ments sociaux pr vus la loi Grenelle I et tout b timent b n ficiant soit d un contrat d exploitation de chauffage pr voyant une clause d int resse ment aux conomies d nergie soit d un contrat de perfor mance nerg tique soient exo n r s de cette obligation 3 13 Le taux moyen des cr dits immobiliers G Roubaud USH F d ration nationale des OPH Le 27 f vrier dernier Maurice Carraz re u de Louis Mermaz ancien ministre et ancien pr sident de l Assembl e nationale la distinction de chevalier de la L gion d Honneur en pr sence de C cile Duflot ministre de l Egalit des territoires et du Logement De gauche droite J Y Mano L Mermarz J P Caroff L Besson C Duflot J Badet M Carraz J L Dumont A Cacheux L Vidal D part de Maurice Carraz Maurice Carraz a quitt ses fonctions de directeur g n ral de la F d ration nationale des Offices publics de habi tat le 28 f vrier dernier g de 65 ans il par
65. n PLUS et PLA I 80 des loge ments seront d di s aux seniors et aux personnes g es Elle comprendra gale ment un local de convivialit de 70 m2 qui sera mis dispo sition du Centre d ac tion sociale de la commune Ce local sera ouvert aux autres habitants de la Ville Les travaux devraient d marrer en juin prochain et la livraison est pr vue pour novembre 2014 Une autre r sidence Pas serelle de 41 logements devrait voir le jour Les personnes g es immigr es au c ur des priorit s es conditions de vie des personnes issues de l immigration feront partie des priorit s de en 2013 qui financera des actions d acc s aux droits sociaux un travail autour de l histoire et de la m moire via le 1 histoire et m moire des actions d information pour la sant de lutte contre l isolement des personnes g es vivant dans les quartiers a annonc Na ma Chara pr si dente de l tablissement lors d un d placement dans les Hauts de Seine noter par ailleurs que les d put s ont d cid la cr ation d une mission d information sur les immigr s venus tra vailler en France dans les ann es 1950 1960 Celle ci cen tre ses auditions sur la th matique du logement et orga nise des visites aupr s des gestionnaires de structures sp cifiques en France puis en Alg rie et au Maroc E Difficult s auxquelles ces personnes g es sont aujourd hui
66. nes d pendantes dans le parc social L tude a montr difficult d identi fier les locataires en situation de d pen dance dans le parc social qui ne souhai tent pas forc ment se faire conna tre et ne sont pas n cessairement identifi s par les organismes Les entretiens men s avec les personnes ont confirm qu ils avaient une anciennet importante dans le parc de organisme Ils montrent ga lement l importance de l adaptation des logements la proximit des services et quipements pour le maintien domicile pour pr venir la survenue de la d pen dance des personnes mod r ment auto nomes dont le nombre va cro tre dans le parc social Ces am nagements int grent les besoins li s une ventuelle d pen dance espace pour les aidants voluti vit de certains quipements possi bilit d installer un si ge dans une douche Les personnes rencontr es expriment galement vis vis du bail leur des attentes en mati re de service locatif r parations locatives informa tion sur les possibilit s d adaptation etc et d interlocuteur d di Un autre aspect essentiel du maintien domicile des personnes d pendantes est l acc s aux services d aide domicile et aux soins aides m nag res aide la toi lette repas soins en cas de besoin La qualit de vie des personnes d pen dantes repose galement sur des services permettant de lutter contre l isolement et
67. otisations ouvri res indemnit s primes gratifications et tous autres avantages en argent avantages en nature Exclusion des primes li es l int ressement des salari s aux r sultats de l entreprise ainsi que des primes li es la participation des salari s aux r sultats de l entreprise d clarations mensuelles ou trimestrielles de cotisations sociales bordereau r capitulatif des cotisations ou d claration unifi e de cotisations sociales DUCS d pos es aupr s des URSSAF mention sur une ligne sp cifique du montant de l assiette du cr dit d imp t et de l effectif correspondant tant pr cis que cette ligne n affecte pas le montant des cotisations et contributions sociales dues d claration fiscale sp ciale n 2079 CICE SD dans les m mes d lais que le relev de solde d IS en principe 15 avril de l ann e qui suit celle au titre de laquelle les r mun rations ont t vers es e Question sp cifique aux organismes Him pour la d claration mensuelle ou trimestrielle l assiette du CICE tant li e la proportion de recettes soumises 115 par rapport aux recettes totales de l organisme ce calcul n est possible qu une fois l ann e termin e lorsque l on conna t les montants d finitifs de ces recettes D s lors quel est le montant d clarer en cours d ann e sur les d clarations mensuelles ou trimestrielles Dans un premier temps les organismes mentionneront en principe les r
68. politiques et du droit europ ens mais galement aux lacunes de l Etat fran ais dans leur mise en uvre D FEDER 2013 sera l ann e de la d fini tion par l Etat des grandes priorit s stra t giques en mati re d affectation des fonds structurels 2014 2020 Sur fond de d centralisation l Etat doit tablir d ici septembre un accord de partenariat avec la Commission europ enne sur ses prio rit s d investissement du FEDER et du FSE Ce dernier sera labor en liaison troite avec les priorit s des r gions qui seront formalis es dans des Programmes op rationnels r gionaux et soumis pour validation formelle la Commission europ enne d ici la fin de l ann e Si le logement figure explicitement dans le volet nergie du projet d accord de partenariat de l Etat il n est nullement mentionn en mati re de priorit th matique d inclusion sociale et de d ve loppement urbain durable Et pourtant les projets de r glements europ ens FEDER et FSE en cours d adoption 6 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 2013 l ann e de la d finition par l Etat des grandes priorit s strat giques en mati re d affectation des fonds structurels 2014 2020 DR Bruxelles int grent pleinement 1 dimension de l acc s au logement pour les personnes d favoris es au titre de l inclusion sociale ainsi que l am liora tion des conditions de logement dans les zones urbaines d favoris es En mat
69. r exem ple le d partement de Loire Atlantique est bien quip en EHPAD et logements foyers mais les partenaires Ville de Saint Nazaire CLIC Communaut d ag glom ration pointent un d ficit de places d h bergement sur le bassin d ha bitat de la Car ne La ville de Saint Nazaire favorise la cr ation ces derniers pr sentent des prix de jour n e diversifi s dans la majorit des cas pris en charge par l aide sociale pour des personnes faibles ressources Analyse du vieillissement dans le parc social aujourd hui et moyen terme Dans les deux sites les locataires de plus de 65 ans sont repr sent s m me hau teur soit environ un quart du parc social des bailleurs ordres de grandeur qui valents la moyenne nationale Les 50 64 ans sont en revanche sur repr sent s et comptent pr s du tiers des m nages log s contre 27 pour le parc social de la France m tropolitaine Cela pr figure un vieillissement accru moyen terme de cette classe d ge faible mobilit r si dentielle L estimation du vieillissement des loca taires du parc social moyen terme 2025 prend en compte le taux de rota tion annuel moyen par classe d ge important parmi les classes d ge les plus jeunes et qui s affaiblit de mani re r guli re au fur et mesure que l ge aug En 2025 se produirait une progression importante des locataires entre 65 et 74 ans DR ment
70. raduit par la passation d un nouveau march de fourniture de pro duits d entretien en int grant le choix d utilisation unique d un produit multi usages ainsi que d un produit d sinfectant pour les conteneurs et locaux ordures m nag res achat de nouveaux outils alliant la fois ergonomie effi cacit et gain de temps sac dos seaux auto filtreur la nomination d un coordon nateur qualit charg de l au dit permanent de la prestation propret sur l ensemble du patrimoine la cr ation d une quipe Allo Propret qui devra interve nir sur les urgences propret toute la cha ne du logement Son largissement s inscrit donc pleinement dans les d fis de la soci t actuelle et r pond aux besoins d accompagne ment des m nages dans leur mobilit r sidentielle Ainsi constitu le GIE dispose des comp tences n cessaires afin de leur proposer la bonne r ponse au bon moment accueil d urgence ou logement d insertion ou parc locatif social ou accession la pro pri t Il s agit l d un outil facilitateur des parcours r si dentiels afin de disposer de formules adapt es en fonction de l volution de la situation des m nages Ce rapproche ment permet de d cloisonner les r les des diff rents op ra teurs en rapprochant les m tiers et d optimiser les r ponses op rationnelles gr ce aux synergies mises en place L quipe
71. revue les normes afin que l accessibilit des appartements de petite dimension des salles de bains des couloirs et des pi ces vivre soit obtenue davantage par obli gation de r sultat plut t que par obliga tion de moyens Pour elle les techni ciens les ing nieurs les architectes ont des propositions faire Elles doivent tre concert es avec les grandes associations Quant l augmentation induite des co ts de la construction la d monstration reste faire Alors que les maisons indivi duelles pour l usage personnel du pro pri taire n taient pas concern es la r glementation il est propos de faire rentrer la maison individuelle dans l obli gation d accessibilit a a ar Le dernier rapport R ussir 2015 dresse un premier bilan mitig sur l accessibilit DR Si la loi de 2005 ne concerne pas les loge ments existants Claire Lise Campion souligne que leur am nagement peut tre n cessit par avanc e en ge la vente des personnes en situation de han dicap ou en raison d un accident entra nant une incapacit et propose de ren dre ill gal le refus par une assembl e de copropri t d autoriser l occupant d un logement r aliser ses frais des travaux de mise en accessibilit d s lors qu ils sont sans incidence s rieuse sur le gros uvre et les parties communes de lim meuble En outre lorsqu un logement
72. s pour leur part n ont jamais soutenu le principe m me du comptage Les organismes d Hlm ont ainsi pr f r mettre en uvre des contrats d exploitation de chauffage avec int ressement aux conomies d nergie limitant le niveau de temp rature dans les logements Dans ce cadre les marges de progr s possibles trouveront une r ponse plus efficiente gr ce un pilotage plus efficace des installations Par ailleurs dans le cadre du Grenelle de l environnement les bailleurs sociaux se sont engag s r nover 800 000 logements les plus consommateurs pour les amener d ici 2020 une consommation inf rieure 150 kWhep m2 an les conomies d nergie g n r es par le comptage d nergie s en trouveront plus r duites et par cons quent sans r el int r t financier pour les habitants Quant aux op rations neuves les faibles besoins nerg tiques ne permettront pas d amortir le co t de ces syst mes Au contraire ils contribueront alourdir de mani re significative les co ts fixes des charges locatives Dans ce contexte la RT2012 accepte l estimation de la r partition des consommations comme solution alternative la mise en uvre de compteurs de calo ries Par ailleurs s agissant des op rations raccord es des r seaux de chaleur renouvelable o le poids de la part fixe dans la facture de la chaleur est d au moins 70 les m nages ne disposeront d aucune marge de man uvre En l tat ac
73. s salles polyvalentes et salles de restauration s ouvrant sur de larges ter rasses et jardins am nag s L h berge ment permanent est assur par 70 lits dont douze en unit psycho g riatrique dix autres places tant r serv es l h bergement temporaire Cet tablissement accueille notamment des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou apparent e Au dessus de sont install s les logements familiaux Pour r duire les charges et garantir un confort hiver comme t en r gion grenobloise l immeuble est isol thermiquement par l ext rieur Les menuiseries sont quip es d un double vitrage peu missif lame d argon Des capteurs solaires install s en toiture ter rasse pr chaufferont l eau chaude sani taire pour couvrir au moins 40 des besoins Co t de l op ration 10 1 M dont 8 763 pour EHPAD Au fil des ans le bailleur social a construit 116 r sidences pour des publics sp ci fiques toutes con ues en troite collabo ration avec les futurs gestionnaires pour r pondre au mieux au mode de vie des futurs r sidents W Au nord de Lyon les Caluirards g s ont pu emm nager dans un lieu de vie fonctionnel spacieux et tr s lumineux Architecte Atelier Architectes L Dani re Opac du Rh ne A proximit du ch teau de Fontenelle la r sidence du m me nom accueille d j plus de 60 r sidents Elle comprend un p le d activit s e
74. sonnalis d autonomie selon un indicateur du Groupe ISso Ressources GIR la cotation des niveaux 1 4 de la perte d autonomie ouvre droit la prestation celle de 5 6 l exclut 1 Rapport Soci t et vieillissement remis sociale IGAS juin 2011 la ministre des solidarit s et de la coh sion 2 Cf rapport Soci t et vieillissement supra 3 L Allocation personnalis e d autonomie est une des prestations majeures pour l aide au maintien domicile des personnes g es d pendantes Elle est d finie en fonction de la poli tique du d partement Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 17 eee Les aidants familiaux les voisins jouent un r le essentiel pour le maintien domicile des personnes d pendantes qu il s agisse de coordonner les plannings des intervenants ou d apporter eux m mes des services La question du lien social est galement le plus souvent por t e par les proches Les organismes sont pr sents sur ce champ ils jouent un r le important d information des locataires de mise en lien avec les partenaires du service sur les territoires d interpella tion en cas de situation risque Ils favo risent galement les services informels dans des r sidences vocation interg n rationnelle 1 Le logement des personnes g es d pen dantes dans le parc social points de rep re et pistes de travail issus d une tude action sur deux territoires
75. sor peut tre c d e titre d escompte ou titre de garantie aupr s d un tablissement de cr dit possibilit galement sous certaines conditions de c der ou de nantir la cr ance future avant m me la liquidation de l imp t sur les b n fices sur lequel le cr dit d imp t s impute la condition que l administration en ait t pr alablement inform e Selon l article 244 quater du CGI le cr dit d imp t a pour objet le financement de l am lioration de la comp titivit des entreprises travers notamment des efforts en mati re d investissement de recherche d innovation de formation de recrutement de prospection de nouveaux march s de transition cologique et nerg tique et de reconstitution de leur fonds de roulement L entreprise ne peut ni financer une hausse de la part des b n fices distribu s ni augmenter les r mun rations des personnes exer ant des fonctions de direction dans l entreprise Chaque organisme devra donc retracer dans ses comptes annuels l utilisation du CICE annexe du bilan ou dans une note jointe aux comptes Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 27 PRODUITS Sity D me 36 de Sitex Solution de vid osurveillance mobile et sans c blage pour surveiller et suivre les chan tiers de construction Sity D me 3G est compos d une cam ra motoris e sur 360 et n cessite seulement une ali mentation de 220 volts Sity D me 3G ne demande aucun travai
76. st com pl t e par de nombreux t moignages d architectes de techni ciens du b ti de gardiens d immeubles et de locataires Une exposition de photographies tir es du livre a eu lieu dans le hall de l H tel de Ville de Colombes la derni re semaine de f vrier 2013 10 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 Comme un vrai nid Nature Midi Pyr n es Habitat Toulouse Des nids d hirondelles factices Depuis octobre 2012 Habitat Toulouse a engag la r habi litation thermique de 1 cit Madrid 199 logements afin de passer de la classe D B et d obtenir le label BBC Effi nergie r novation La r fec tion des fa ades par de l isola tion thermique ext rieure a n cessit la d pose d une cin quantaine de nids d hiron delles en d but d ann e Afin de pallier la disparition de cet habitat naturel Habitat Tou louse a consult l association Nature Midi Pyr n es sur les conseils des services de la DREAL pour des mesures compensatoires pouvant favo riser le retour des hirondelles dans la r sidence Ainsi a acquis des nids factices en b ton de bois qui ont d tre rapidement fix s un panneau de plastique blanc En effet les hirondelles arrivent sur les sites de nidi fication en mars pour com mencer la reproduction mi avril Elles pourront parfaire leur nid gr ce aux mat riaux situ s proximit du site zone mar cageuse en bord de Garonne
77. t b pour la comp titivit et l em 26 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 affect s leurs activit s non exon r es d imp t sur les b n fices Il conviendra en principe de retenir les r mun rations de l ensemble des sala ri s inf rieures 2 5 SMIC au prorata de la part de recettes soumises 115 r ali s es par l organisme au cours de l ann e En effet l instruction fiscale publi e le 26 f vrier dernier http bofip impots gouv fr bofip 8437 PGP pose la r gle suivante les entreprises partiellement soumises PIS doivent appliquer les r gles qui r sultent de leur r gime parti culier d imp t sur les soci t s Pour les organismes Hlm il faut donc se reporter l instruction fiscale de 2006 sur le r gime 415 des organismes Him ins truction reprise dans la nouvelle docu mentation administrative sous les r f rences BOI IS CHAMP 30 30 10 20120 912 Ce texte indique que le principe retenu en mati re de r partition des charges est l affectation totale et exclu sive lorsque cela est possible que ce soit au secteur exon r ou au secteur impo sable Certaines charges telles les d penses de personnel ou les frais de gestion peuvent difficilement tre affec t es en totalit l un des deux secteurs titre de r gle pratique la prise en compte de ces charges communes pour la d termination du r sultat du secteur taxable pourra tre effectu e sur la
78. t conomiques aux Granges Gontardes 84 Architecte cabinet Chabert Christian Mendez DR Logiseine Une r sidence qui brille par sa performance ogiseine ESH filiale du CIL Logi liance Ouest a inaugur une op ration de 56 logements locatifs labellis s BBC et financ s en PLUS CD et PLUS Participant la reconstitution de Poffre locative sur site la r sidence Ren Lalique s inscrit dans l op ration de renouvellement urbain Felling Pune des _ a Les reconstructions telle que la r sidence Ren Lalique participent au renouveau de l offre et de l image des quartiers Him Saint Etienne du Rouvray Architecte Thomas Novicsky DR cinq sur le secteur du Ch teau Blanc Saint Etienne du Rouvray dans la ban lieue de Rouen 76 Retenue par le PUCA Plan Urbanisme Construction Architecture l op ration t con ue dans le cadre du concept CQFD co t qualit fiabilit et d lais BATINOV 2008 Ce mode constructif utilise la conception des briques aglopolys lames de polystyr ne avec 16 cm de b ton coul mat riau de 30 cm d pais seur 100 recyclable et offrant une double isolation Ses performances sur le plan thermique se traduisent par l ob tention du label BBC sans compter le raccordement la chaufferie urbaine ali ment e au bois sur le plan acoustique au niveau du traitement des fa ades mais aussi dans la gestion environne mentale du chantier avec le
79. t s et con us avec des quipements domotiques Dans les T3 et 4 et certains T2 le chauffage et Peau chaude sanitaire sont produits par des chaudi res individuelles gaz conden sation les autres T2 tant tout lec trique Co t de l op ration 4 M avec des subventions du D partement de Rennes M tropole d Action logement INICIAL m Toit Angevin Cohabitation solidaire aux c t s des seniors n collaboration avec l association Le temps pour toiT le Toit Ange vin va proposer la cohabitation solidaire principalement aupr s de seniors en perte d autonomie Ainsi des seniors accueilleront sous leur toit des personnes en recherche de logement pour une p riode d finie en change d aides b n voles et apr s d ventuels am nagements sp cifiques au sein des r sidences En lien avec la Ville au sein des quartiers Monplaisir La Roseraie et les Hauts de Saint Aubin cinq logements interg n rationnels sont pr vus en 2013 Actuellement nous crivons les conventions avec l association qui se charge de l ing nierie explique Pascal Boucher charg de l action sociale au Toit Angevin Nous allons adresser un mailing aux locataires de ces quartiers Parall lement nous mettons disposi tion de l association un logement per mettant d h berger les personnes sou Logement mis disposition pour les personnes int ress es par le dispositif mis en place par
80. t d aide d Etat Ces autorit s de gestion l ori gine du non respect du r gime d aide d Etat avancent aujourd hui la possibilit d une sanction consistant au rembour sement de l aide m me apr s ex cution des travaux 500 projets Hlm sont poten tiellement concern s pour une enve loppe de FEDER consomm e de 200 millions d euros Le dossier est en cours de traitement par la DATAR et devrait se traduire par un plan de mise en confor mit des conventions FEDER et la d fi nition d une m thodologie d appr cia tion de l absence de surcompensation d une op ration de r novation thermique cofinanc e par le FEDER Le logement social n est pas le seul sec teur concern tous les services publics cofinanc s par le FEDER ou le FSE le sont potentiellement sachant que la vali dation des programmes op rationnels r gionaux 2014 2020 par la Commission sera conditionn e l application effec tive de ces dispositions propres aux aides d tat sous la forme de compensation de service public Si la question du mandat ne pose a priori pas de probl me celle de la m thode pr ciation de l absence de surcompensa tion est plus complexe sachant que la com pensation ne peut tre sup rieure aux co ts nets d ex cution du SIEG du loge ment social plus un b n fice raisonnable Coop rations Him 2013 sera l ann e de l adoption de la r vision de direc tive march s publics et de la directive
81. t de soins adapt s et un accueil de jour de huit places Co t 16 3 financement PLUS 60 et subventions 40 DR Axentia 3500 lit m dicalis p cialis e dans la construction et le portage d tablissements m dico sociaux Axentia comp tence nationale a livr un EHPAD de cent lits Chanteloup en Brie 77 ce qui porte sa production 3 500 lits Cet ta blissement g r par l uvre de l hospita lit familiale est le premier France obtenir la certification H amp E EHPA EHPAD et consommera 43 de moins que la consommation nerg tique de r f rence indique Patrick Ropert directeur g n ral d Axentia Nous accompagnons aujourd hui les plus grands gestionnaires m dico sociaux en France comme la Fondation des Caisse d pargne pour la solidarit La Croix Rouge fran aise l Association des Paraly s s de France le groupe SOS tion des Foyers de Province Axentia est devenue experte dans ce domaine et a pour objectif d atteindre en 2016 les 4 500 lits Membre du r seau Habitat en R gion association cr e par les Caisses d pargne en 2010 qui rassemble 26 orga nismes Axentia intervient galement aupr s des autres membres afin de com pl ter leur offre sur leur propre territoire Elle est ainsi pr sente Tours avec une op ration de 84 lits d EHPAD et 72 loge ments EHPA aux c t s de PESH Toura
82. t en retraite apr s plus de 26 ann es pas s es la F d ration Il tait entr dans le Mouvement Him en juillet 1981 Secr taire g n ral puis directeur d Habitat Formation il a t nomm octobre 1986 directeur de la F d ration des Offices pr si d e par Jacques Badet et en septembre 1997 directeur g n ral lors de la d signation de Jean Pierre Caroff la pr sidence Laurent Goyard Depuis le 1 mars 2013 Laurent Goyard succ de Maurice Car raz la direction g n rale de la F d ration nationale des OPH g de 49 ans dipl m de Paris 1 et de Lille 2 titulaire d un DESS management de la coop ration internationale en Asie du Sud Est Laurent Goyard a pass l ensemble de sa carri re professionnelle au sein de Lille M tropole Habi tat comme charg de mission du Pr sident puis en 1989 directeur d agence pendant 4 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 Au cours de ces ann es la F d ration a affirm sa place dans USH renforc l quipe f d rale avec le dispositif d ex pertise autocontr le et d ve lopp son action avec 1 CGLLS Elle a obtenu les dis positions pour la modernisa tion des Offices en 1993 sur les personnels des OPAC et en 2007 avec la cr ation du sta tut Elle a tiss des rela tions troites avec l Universit Orl ans Paris I dans des masters sur le droit et les m tiers de l habit
83. tuel de la proposition de loi plus de 50 du parc Him devrait tre concern par cette obligation soit 2 2 millions de logements Avec un co t unitaire de l ordre de 57 an logement le co t annuel pour les m nages qui disposent par d finition de revenus modestes est valu plus de 125 millions d euros par an Alors que l enjeu de la transition nerg tique nous sem Il est motive je veux Vous tes une association un organisme but non lucratif ou une collectivit territoriale vous pouvez b n ficier de la mesure emplois d avenir En proposant un jeune peu ou pas dipl m un emploi et une formation l tat finance sa r mun ration hauteur de 75 du SMIC Pour en savoir plus www lesemploisdavenir gouv fr emplois d avenir POUR L EMPLOI TOUS ENSEMBLE EM Libert Egalit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE DU TRAVAIL DE L EMPLOI DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL LA UNE eee ble tre notamment de contribuer ma triser le pou voir d achat des m nages cette mesure le r duira et contribuera galement malgr un impact positif sur l emploi dans un pre mier temps d pr cier davan tage encore la balance com merciale fran aise en raison de l importation des quipements et ou composants lectroniques des syst mes de comptage L ensemble de ces l ments nous am nent au travers des amende
84. uplement souhait du demandeur taient partag es l ventail des candi dats s lectionn s pour chaque logement restait large et au final galement des interroga tions pleines de bon sens la mixit sociale est elle un point d entr e ou une priorit de la politique loger d abord Comment faire de la mixit dans un groupe qui va mal Pourquoi ne pas pr server la tranquillit d une r sidence Comment attribuer sans risque de discrimination Le crit re financier n emp che t il pas la mixit Une action qui a permis de v rifier qu il y a une grande diff rence entre la mixit sociale et sa mise en uvre particuli rement complexe voire utopique 1 Le Kit animation comprenait les dossiers de neuf familles aux at tentes et profils divers Livre et expo sur l architecture sociale Colombes Habitat Public a confi son patrimoine au regard original et curieux d un photographe amoureux de sa ville Beno t Moyen De cette rencontre est n un livre Regards sur l architecture sociale Colombes montrant REGARDS SUR L ARCHITECTURE SOCIALE COLOMBES la diversit du patrimoine qui repr sente lui seul plus du quart des logements de Colombes et pr s d un si cle d histoire depuis les immeubles de briques des origines les grands ensembles des ann es 70 jusqu aux petites r sidences taille humaine au c ur du tissu pavillonnaire Cette d ambulation artistique e
85. ux d tudes d ar chitectes cabinets conseils Programme du master le programme de la formation est labor avec la F d ration des Offices de l habitat plus des deux tiers des enseignements sont confi s des pro fessionnels du secteur de l habitat qui participent gale ment l encadrement des apprentis et des stagiaires com porte des enseignements relatifs au secteur public et priv du logement droit de l urbanisme droit de la construc tion organisation g n rale et acteurs de la politique de Pha bitat en France missions des organismes Hlm baux et copropri t politique de la ville construction sociale loca tion sociale politique en faveur des personnes et disposi tifs de solidarit et de garantie conomie de l habitat et du financement du logement social fiscalit immobili re ges tion financi re et fiscalit des organismes de logement social valuation des biens et droits expropriation Modalit s d but de la formation 6 septembre 2013 Volume horaire 317 heures de cours en formation conti nue validation d acquis et individualisation du parcours possibles plan de formation employeur cong individuel de formation p riode de professionnalisation combinai son possible DIF et Plan prix de la formation continue 4 800 non assujetti TVA droits d inscription en sus Contacts Candidatures christel bidault univ orleans fr T l 02 38 49 46 37 Renseigne
86. val de la Ville Rousse Pautre rive qui cohabite avec le nouvel habillage moderne du b timent visant am lio rer son isolation 1 3 08 1 1r 1 n Viet al l w il i Pht fi e g i 8 8 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 De gauche droite les pr sidents de Moselis et du Conseil g n ral de Moselle DR Convention Moselis Consei g n ral Moselle C est lors de la convention interne de Moselis en janvier dernier que Jean Pierre Spreng et Patrick Weiten res pectivement pr sidents de Moselis et du Conseil g n ral de la Moselle ont sign une convention engagements portant sur quatre th mes le logement des personnes g es et handicap es le logement des jeunes la mixit sociale et g ographique et le d velop pement durable Cette charte pr voit notamment pour les personnes g es et ou handicap es tion du parc existant pour le maintien domicile des loca taires en perte autonomie la contribution au d veloppe ment d une offre de logements adapt e le renforcement du partenariat dans le domaine de accompagnement social pour les jeunes le d velop pement de logements la typo logie adapt e la mise en oeuvre de la colocation le d veloppe ment d une offre pour les tu
87. veaux contrats Banque de France Contact l Union sociale pour l habitat DEEF T l 01 40 75 70 27 12 Actualit s habitat N 964 du 15 mars 2013 200 180 160 Md 140 120 Md 100 Md 80 60 Cr dits habitat accord s aux m nages Somme des 12 derniers mois Milliards d euros En 2012 99 milliards d euros de nouveaux cr dits l habitat ont t accord s aux m nages soit 32 de moins qu en 2011 Note de conjoncture Sur l ann e 2012 les indicateurs d ac tivit du march immobilier sont en net recul baisse de 7 des permis de construire de 18 des mises en chan tier 346 500 en 2012 contre 421300 en 2011 pour l individuel comme pour le collectif et baisse de 32 des cr dits l habitat contract s par les m nages Les perspectives 2013 ne sont pas bonnes et les premiers indi cateurs publi s le confirment Les taux d int r t augmentent l ge rement depuis le d but de l ann e 2013 mais se situent toujours des niveaux historiquement faibles Accessibilit mobiliser et progresser Intitul R ussir 2015 le rapport sur l accessibilit remis par la s natrice Claire Lise Campion Jean Marc Ayrault le 1 mars dresse un bilan mitig Si la dyna mique est lanc e le r sultat est loin d tre atteint Du c t du logement la grande majorit des b timents neufs sont accessibles En revanche le gros point no

Actualités habitat n°964 - L`Union sociale pour l`habitat

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