à quoi pense le dessin
Contents
1. o ee RE De LE Ent A a AA ERP et SLR Six professeurs des 4 sites de l EESAB ont d cid de se r unir et de f d rer des changes entre certains acteurs de l art autour de la question du dessin L enjeu est d inviter les tudiants partager les d bats entre les diff rents points de vue artistiques critiques et philosophiques qui projettent un clairage singulier sur une actualit du dessin En effet les questions d hybridit de croisement et de processus branlent non seulement la d finition du dessin mais jettent un trouble sur son statut n cessitant pour les artistes et futurs artistes d engager au fil du temps de nouvelles formes de pens e Ces rencontres projettent de dresser un constat au del d un actuel tat du dessin et d interpeller les tudiants sur des nouvelles perspectives et formes de pens e et de regard QUOI PENSE LE DESSIN gt gt COLLOQUE Lorient 20 novembre 2014 gt gt EXPOSITION Adrien Vermont Christian Lhopital 6 nov 12 d c 2014 Lorient gt gt 4 WORKSHOPS pour les tudiants de l EESAB A Brest Didier Rittener automne 2015 Didier Rittener propose un travail largement marqu par l usage du transfert d images de documents qui produisent des distorsions A Lorient Programmation en cours A Quimper J r me Zonder 2 6 mars 2015 Dipl m en 2001 de l cole nationale sup rieure des Beaux Arts de Paris J r me Zonder d veloppe dep2. Christian Lhopital proc dent d une confusion entre l imaginaire et l actualit le grotesque et le d risoire Mes personnages s offrent voir comme des figures qui sont tour tour inqui tantes boursoufl es caricaturales Le regardeur poss de toute libert d interpr tation et d ouverture comme une br che dans l image et l imaginaire Extrait d un entretien avec Philippe Piguet wwwdda ra org fr oeuvres LHOPITAL Principales expositions de Christian Lhopital 2014 O est donc pass le r el Chapelle de la Visitation Thonon Les Bains Ze mur la collection Antoine de Galbert La Maison Rouge Paris Donation Florence et Daniel Guerlain Centre Pompidou Paris 2013 Splendeur et d solation Mus e d Art Moderne de Saint Etienne 2012 Faire tache Galerie Polaris Paris Adrien Vermont pr sente une s rie de dessins tir s de l exposition Une histoire surnaturelle galerie Polaris Paris mars 2014 Il s approprie les planches de l ouvrage d histoire naturelle de Conrad Gesner Historia Animalium 1551 1558 pour lesquelles il conserve les notices crites et substitue les repr sentations animales originales au profit des siennes d lirantes ironiques et jubilatoires wwwadrienvermontcom Principales expositions 2014 Histoires naturelles Mus e Robert Dubois Corneau Brunoy Une partie de Campagne Saint Briac Une histoire surnaturelle Galerie Polaris Paris wwwpoaleriepolaris com NS EE EST
3. SL i t ey D NN eD L ki Tem B Ca apok AOO DNNN SA AAM IN NN
4. art moderne Centre Pompidou Philosophe de formation Philippe Alain Michaud s int resse particuli rement aux croisements de l histoire de l art et du cin ma dans une vision anthropologique de l iconologie 15h45 gt 17h15 RENCONTRE CHRISTIAN LHOPITAL amp OLIVIER DELAVALLADE L espace du travail de Christian Lhopital est tout la fois le dessin sur papier les dessins muraux la poudre de graphite in situ et les sculptures constitu es de peluches Sa recherche se situe autour du regard de l enfance et autour de la part d enfance enfouie qui reste en nous Ses dessins proc dent d une confusion entre l imaginaire et l actualit le d risoire et le grotesque Ils donnent forme des figures aux postures improbables dans des situations m langeant comique et tragique Olivier Delavallade est ma tre de conf rences associ l Universit de Bretagne Sud Depuis 2011 il dirige le domaine de Kerguehennec et le centre de recherche Pierre Tal Coat Il a fond et dirig jusqu en 2007 L art dans les chapelles menant un dialogue entre l art contemporain et le patrimoine rural il a galement t directeur du Ring Artoth que de Nantes jusqu en 2007 18h30 VERNISSAGE DE L EXPOSITION CHRISTIAN LHOPITAL ADRIEN VERMONT Exposition du 6 nov au 12 d c 2014 r alis e gr ce la complicit de la galerie Polaris Paris galerie de l EESAB site de Lorient 1 avenue de Kergroise Lorient Les dessins de
5. es obsessions jalonnent son uvre la spirale la forme arrondie Nous tenterons d entrer dans ce geste qui se d ploie au sein de ses journaux sur des papiers calques donnant ensuite lieu des impressions sur des supports filmiques carton papier Dieter Roth nous plonge au c ur d une h t rog n it constitu e de toutes les mati res et formes qui sont sa disposition construisant un sens toujours en marche Marion Daniel docteur en litt rature fran aise critique d art et commissaire d exposition travaille sur les relations entre le texte et l image Elle enseigne l histoire de l art l cole des beaux arts de Nantes et collabore r guli rement diff rentes revues Depuis novembre 2010 elle est aussi commissaire associ e au FRAC Bretagne en charge de la programmation et des ditions 14h gt 15h30 PHILIPPE ALAIN MICHAUD Comme le r ve le dessin Comme le r ve le dessin est le titre d une exposition pr sent e en diptyque par le Cabinet d art graphique du Centre Pompidou Mus e national d art moderne et le D partement des Arts graphiques du Mus e du Louvre en 2005 Commissaire de l exposition Philippe Alain Michaud intervient partir de l dition remani e du catalogue de l exposition qui traite de l esquisse et de la relation entre travail du r ve et travail du dessin Il s agit de r interroger la notion d esquisse en mettant en question sa dimension pr paratoire pour la consid
6. rer en dehors de tout sch ma finaliste comme un dispositif de r gression l esquisse ne conduit pas une forme achev e qui co nciderait en derni re instance avec la peinture mais revient au contraire vers un tat non constitu du dessin o les relations se d nouent et o les proc dures mim tiques s effacent D s lors que cesse de peser sur l esquisse l empreinte du finalisme qui gouverne la pens e de l histoire de l art penser l uvre en termes d ach vement il trouve dans la question du r ve une grille d interpr tation efficace les ph nom nes que Freud d crit au quatri me chapitre de L interpr tation des r ves au titre des op rations qui gouvernent le travail du r ve savoir le d placement la condensation l laboration secondaire et la prise en charge de la figurabilit permettent d appr hender l esquisse non pas comme dispositif de repr sentation mais comme champ de transformation A la lumi re de cette intuition les chronologies qui gouvernent l histoire de l art positiviste s effacent et laissent appara tre des parent s plus secr tes entre des dessins d poques diff rentes qui trouvent une sorte de contemporan it dans une temporalit qui pr c de l histoire Es AIN De a E DU X OX TS RDI Y x D 2 D Ne Fans a A M a Philippe Alain Michaud est historien de l art commissaire d exposition et conservateur aux collections cin mas du Mus e national d
7. uis une uvre virtuose construite au dessin R alis s essentiellement la mine de plomb et au fusain ses dessins souvent de tr s grands formats suscitent chez le regardeur admiration et effroi A Rennes Katharina Schmidt Le signe occupe une place centrale dans le travail de Katharina Schmidt Il est souvent issu d emballage de d pliant publicitaire de mode d emploi ou renvoie travers un langage formel th r des architectures ou des constructions publiques Parfois il se multiplie jusqu enrober et d border l espace il se r p te l infini sur du papier peint ou des rideaux cole europ enne sup rieure d art de Bretagne QUOI PENSE LE DESSIN Brest Lorient Quimper Rennes wwweesab fr FESAB BREST LORIENT QUIMPER RENNES er t pi X KA gt gt matarem nn y Macera MAN SNS ANT n NN i COLLOQUE 20 NOVEMBRE 2014 EESAB Fo dd LA t TEs NE AA TR _ Ped PTT MN A kaa TT NES LUN Ae a QUOI PENSE LE DESSIN COLLOQUE 20 NOVEMBRE 2014 amphith atre de l espace Courbet 83 rue de l amiral Courbet Lorient PROGRAMME 10h gt 12h MARION DANIEL Dieter Roth dessins processus Dieter Roth n a jamais cherch produire de beaux dessins Chez lui le dessin prend toutes les formes C est une esquisse une criture une vitesse un moyen de d velopper ses processus de travail D
Download Pdf Manuals
Related Search