Revue de Presse
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1. De ROSSIGNOL Christian En proc dent une analyse linguistique de la terminologie utilis e dans la traduction fran aise de la Classification Internationales des Handicaps Christian Rossignol linguiste charg de recherche au CNRS nous montre que pour des enjeux politiques ce texte qui devait selon ses auteurs fournir une base scientifique pour la compr hension et l tude des tats fonctionnels associ s aux probl mes de sant constitue en fait au plein sens du terme un outil de discrimination Dans PREVENIR Cahiers d tude et de r flexion Dossier LES ASPECTS SOCIAUX DU HANDICAP Reconna tre int grer respecter Du de 2E SEMESTRE 2000 n 39 p 35 47 7 P Cote A PRE 3 LES ENJEUX SOCIAUX DE LA CLASSIFICATION INTERNATIONALE DES HANDICAPS De CHAPIREAU Fran ois Fran ois Chapireau psychiatre chercheur associ au Centre Collaborateur de l Organisation Mondiale de la Sant pour la Recherche et la Formation en Sant Mentale observe que la Classification internationale des Handicaps outil technique des effets sur la vie ordinaire des personnes Pourquoi Dans PREVENIR Cahiers d tude et de r flexion Dossier LES ASPECTS SOCIAUX DU HANDICAP Reconna tre int grer respecter Du de 2E SEMESTRE 2000 n 39 p 27 34 5 P Cote A PRE 2 HANDICAP ET INADAPTATION LE DEDALE DU SYSTEME D INFORMATION STATISTIQUE FRANCAIS SUR LE HANDICAP De RAVAUD Jean Fran oi2. QUI PONCTUENT LA VIE Du de FEVRIER 2001 n 1 p 28 32 5 P Cote A EPE 46
3. FRANCAISE DES AFFAIRES SOCIALES Dossier LES INTERACTIONS ENTRE L EMPLOI ET LA PROTECTION SOCIALE Du de JUILLET DECEMBRE 2000 n 3 4 p 103 117 8 P Cote A RFA 52 LES ENJEUX DE L INSERTION De LAFORE Robert Robert Lafore professeur de droit public directeur de l IEP de Bordeaux universit Montesquieu Bordeaux 4 nous propose ici une r flexion sur l insertion Dans une tentative de compr hension des nouvelles articulations entre travail revenus et protection sociale le champ de l insertion peut rev tir une signification centrale L auteur se demande si les dispositifs d insertion con us originairement comme temporaires et marginaux ne seraient pas en train d esquisser de nouvelles r ponses aux questions in dites que posent les recompositions du salariat Dans REVUE FRANCAISE DES AFFAIRES SOCIALES Dossier LES INTERACTIONS ENTRE L EMPLOI ET LA PROTECTION SOCIALE Du de JUILLET DECEMBRE 2000 n 3 4 p 93 102 6 P Cote A RFA 51 PERSONNES AGEES EXPERIENCES DE LA VIEILLESSE ET FORMES DU VIEILLIR De MANTOVANI Jean PAILLET Paule Dans cet article les auteurs sociologues tentent d analyser la repr sentation actuelle de la vieillesse Car bien que l on vieillisse mieux le corps social craint de devoir assurer la prise en charge de ses vieux et la vieillesse garde malgr tout une image n gative Dans INFORMATIONS SOCIALES Dossier VIEILLIR L AVANCEE EN AGE Du
4. LIE 143 DELINQUANCE Conduites addictives conduites risques quels liens quelle pr vention LA REPRESSION A T ELLE VALEUR DE PREVENTION DE LA PRISE DE RISQUE De DANET Jean Jean Danet avocat honoraire et ma tre de conf rences la facult de droit de Nantes se propose d claircir pour nous les notions juridiques d usage d abus de d pendance qui restent confuses pour la plupart des gens en ce qui concerne l alcool le tabac et les stup fiants Il faut aussi distinguer r pression et coercition Quels sont les fondements de la r pression L auteur en voque trois dont en particulier la pr vention des risques Son opinion est que au plan global comme au plan individuel la pr vention de la prise de risques n a pas grand chose attendre de la loi p nale et de son application Dans JOURNAL DU DROIT DES JEUNES Dossier Du de AVRIL 2001 n 204 p 17 23 7 P Cote A JOU 91 LA PRISON POUR LES MINEURS REPONSE OU FUITE DE LA SOCIETE De AUCLAIRE Elisabeth Elisabeth Auclaire d l gu e aux Droits de l enfant de la Ligue des Droits de l homme rapporte ici les r sultats d une enqu te au Centre des Jeunes D tenus de Fleury M rogis qui a permis de constater quel point la d tention provisoire tait inadapt e et dangereuse quelques rares exceptions pr s alors qu on pourrait envisager des mesures alternatives un placement ext rieur un suivi ducatif avec l
5. MME Dossier PAUVRETE PRECARITE Quelle sant promouvoir Du de JUILLET AOUT 2000 n 348 p 12 A 14 3 P Cote A SAH 3 L HYGIENE LE CONTROLE DE SOI ET LA SOUILLURE De ARENES Jacques L auteur psychanalyste nous propose une approche nouvelle de l hygi ne en lien avec l exclusion sociale L hygi ne qui repose d abord sur des normes biologiques et pid miologiques poss de des dimensions morales culturelles et psychologique De ce fait dans le domaine de la sant la culpabilit n a jamais t aussi foisonnante et les normes objectives de comportement ont tendance devenir des normes morales Dans LA SANTE DE L HOMME Dossier DE L HYGIENE A LA SANTE Du de SEPTEMBRE OCTOBRE 2000 n 349 p 26 28 3 P Cote A SAH 4 SOCIETE VIE PRIVEE ET DOMICILE Aspects juridiques De VIALA Albert Le B tonnier Albert Viala de Toulouse nous propose une information sur chacune de ces deux notions en soulignant la corr lation existant entre elles en fonction des textes les r gissant La question se posant en particulier pour les majeurs en tutelle Quel est le contenu de la vie priv e d un majeur en tutelle Que de drames cach s dans la vie quotidienne de ces exclus partiels de la Soci t Sic Dans EMPAN Dossier SOINS A DOMICILE Du de SEPTEMBRE 2000 n 39 p 10 14 5 P Cote A EMP 103 DES TEMPS A CONJUGUER De EPSTEIN Jean Jean Epstein psy
6. Revue de Presse N 2 2001 mars avril 2001 Autres revues ACTION SOCIALE RISQUE ET PRATIQUES SOCIALES UN EQUILIBRE A INVENTER Un climat plus favorable la prise de risques Sans prise de risque risque de d rives Des pistes pour l volution des pratiques De LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE cause du principe de pr caution ou de la responsabilit civile et p nale des intervenants du social ou encore de ce qu on nomme la judiciarisation de la soci t et des rapports avec les usagers ne risque t on pas de devenir incapable d agir Cette question est peu travaill e dans le social et peut conduire certains exc s refus de s occuper de certaines personnes d rives s curitaires limitation des projets innovants et autres Dans LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Dossier RISQUE ET PRATIQUES SOCIALES UN EQUILIBRE A INVENTER Du de MARS 2001 n 55 p 19 27 7 P Cote A JAS 76 LE DROIT DES USAGERS N EST IL QU INCANTATOIRE Droit de l usager et d finition de la r ponse sociale de la cogestion factice l effectivit dans la participation Droit de l usager et effectivit du droit de l accessibilit juridique l accessibilit r elle Droit de l usager et qualit du service rendu passer des chartes aux actes Droit de l usager et performance du contentieux agir vite tr s vite De LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE La r forme de la loi de 1975 relative aux institutions socia
7. chosociologue voque les enjeux d une r flexion sur les temps de l enfant et des parents Il lui semble important que les ducateurs parents et enseignants puissent apprendre aux enfants la ma trise du temps dans l objectif d acqu rir la capacit se projeter Dans LE FURET Dossier TEMPS DES ENFANTS TEMPS DES PARENTS Du de AOUT 2000 n 32 p 39 41 3 P Cote A FUR 14 SOCIETE UNE NOUVELLE ORGANISATION DES TEMPS SOCIAUX A PROMOUVOIR De MEDA Dominique Dominique M da philosophe sp cialiste des politiques sociales nous fait part de ses r flexions sur l organisation des temps sociaux dans notre soci t Actuellement le syst me productif impose ses contraintes horaires et les politiques sociales ont tendances adapter leurs horaires par exemple les modes de gardes ces rythmes Ne serait il pas possible de r organiser le travail et l articulation entre travail et les autres temps partir d aspirations principalement port es par les femmes Les individus ne sont pas que des travailleurs ils sont aussi des parents des citoyens et des sujets Dans LE FURET Dossier TEMPS DES ENFANTS TEMPS DES PARENTS Du de AOUT 2000 n 32 p 14 16 3 P Cote A FUR 13 TRAVAIL IDENTITES PROFESSIONNELLES LE TEMPS DU BRICOLAGE De DUBAR Claude Claude Dubar sociologue sp cialiste de la question des identit s donne ici dans un interview de Sciences Humaines son analyse de la r
8. d nouveau sur la pratique des intervenants sociaux La r silience des intervenants sociaux existe et Le ph nom ne m rite que l on s y arr te pour comprendre comment ils font pour absorber les multiples situations difficiles dont ils s occupent En conclusion il constate que Pour les intervenants sociaux s int resser au concept de la r silience a pour cons quence la mise en chec de tous les efforts de th orisation rigide A en prendre la mesure c est vouloir fonctionner harmonieusement dans des instituions justes pour reprendre la d finition de l thique de Paul Ricoeur Dans EMPAN Dossier SOINS A DOMICILE Du de SEPTEMBRE 2000 n 39 p 71 77 5 P Cote A EMP 106 TRAVAIL SOCIAL ON NE PEUT PAS ETRE SOI N IMPORTE OU De BENOIST SAGEAUX Claire FAGES GRAMOND Denise SUNE Jean Pierre Partant de l id e que p n trer dans le domicile de quelqu un est acc der de nombreuses informations sur lui et donc une certaine possibilit de domination une r flexion s impose sur le travail social domicile et plus particuli rement sur les visites domicile des assistants de service social Dans EMPAN Dossier SOINS A DOMICILE Du de SEPTEMBRE 2000 n 39 p 61 64 4 P Cote A EMP 104 Pour une lecture critique du Rapport Br van Picard LA POLITIQUE DE LA VILLE VEUT ELLE REINVENTER LE TRAVAIL SOCIAL De BONNEAUD Alain Alain Bonneaud fait ici une lecture crit
9. de 4E TRIMESTRE 2000 n N 88 2000 p 10 17 4 P Cote A INF 982 PERSONNES AGEES Directeur d tablissement pour personnes g es GERER MOBILISER HUMANISER COMMENT TROUVER L ALCHIMIE De LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE T moignages de trois directeurs sur les nombreuses facettes de leur m tier qu ils ont d couvert tr s souvent une fois en poste Dans LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Dossier Du de MARS 2001 n 55 p 30 31 2 P Cote A JAS 77 AIMONS NOUS NOS VIEUX Interview de Marion P ruchon et commentaire de la nouvelle allocation De PERUCHON Marion BENLOULOU Guy PLANTET Jo l Lien Social nous propose dans ce dossier un bilan de ce que notre soci t fait pour les personnes g es La question de la dignit de la vieillesse est pos e Marion P ruchon ma tre de conf rence l universit de Paris V Ren Descartes Pour elle la solution est dans le r tablissement des structures inter g n rationnelles et changer la soci t ne va pas de soi Jo l Plantet quant lui fait le point de la nouvelle prestation d pendance Dans LIEN SOCIAL Dossier AIMONS NOUS NOS VIEUX Du de 15 MARS 2001 n 568 p 4 9 5 P Cote A LIE 145 PROTECTION DE L ENFANCE LES VIOLENCES ADMINISTRATIVES ENVERS LES ENFANTS ET LES ADOLESCENTS De TOMKIEWICZ Stanislas Pour la revue Enfance Majuscule Stanislas Tomkiewicz p dopsychiatre directeur
10. de recherche honoraire l INSERM pr occup par les violences institutionnelles fait le point des violences administratives que subissent les enfants et en particulier celles faites au nom de la protection de la soci t pour le bien des enfants d cisions prises dans des bureaux violences commises par des personnes dont la fonction consiste exercer une autorit d cider en fonction de textes l gislatifs parfois ambigus Dans ENFANCE MAJUSCULE Dossier Du de NOVEMBRE DECEMBRE 2000 n 55 p 6 9 4 P Cote A ENF 6 Le contradictoire en assistance ducative LE CONTENU DES ECRITS De HUYETTE Michel Michel Huyette magistrat pose la question du contenu des crits dans le contexte du principe de l acc s direct au dossier pour que l application du principe fondamental du contradictoire ne soit pas vide de sens Il faut communiquer tous les crits contenus dans le dossier mais avec quel contenu L auteur examine ici ce que devront contenir les crits du dossier pour que le d bat contracdictoire puisse exister Dans JOURNAL DU DROIT DES JEUNES Dossier LES ECRITS DES TRAVAILLEURS SOCIAUX Du de MARS 2001 n 203 p 13 17 5 P Cote A JOU 90 PROTECTION DE L ENFANCE Faire rapport au juge HISTOIRE D UNE TRANSMUTATION De SIGNIS Mich le Mich le Signis charg e de formation continue au C N E F de Vaucresson d crit propos du rapport au juge crit
11. emise en cause des identit s professionnelles les identit s professionnelles tendent d sormais tre bricol es par les individus en fonction de leurs trajectoires personnelles Dans SCIENCES HUMAINES Dossier TRAVAIL MODE D EMPLOI Du de MARS 2001 n 114 p 32 33 2 P Cote A SCH 52 LES FORMES D INTEGRATION PROFESSIONNELLE Contrairement une id e r pandue le degr d int gration professionnelle n est pas seulement li au statut de l emploi C est ce que montre des enqu tes effectu es aupr s de salari s occupant un emploi temporaire ou stable SALAIRE PLAISIR RECONNAISSANCE Gagner sa vie s panouir personnellement ou tre reconnu socialement telles sont les trois motivations de l individu au travail De PAUGAM Serge Selon Serge Paugam sociologue l int gration professionnelle n est pas seulement li e au statut de l emploi travail temporaire instabilit de l emploi n emp che pas l int gration et les salari s par contre sont parfois disqualifi s d autres sont globalement insatisfaits voire mis au placard Dans SCIENCES HUMAINES Dossier TRAVAIL MODE D EMPLOI Du de MARS 2001 n 114 p 22 27 6 P Cote A SCH 51 TRAVAIL SOCIAL LA RESILIENCE DES INTERVENANTS SOCIAUX Leur capacit rebondir la mise en chec de leurs actions De SIROL Fran ois En utilisant le concept de r silience Fran ois Sirol psychiatre porte un regar
12. ique du Rapport Br van Picard visant explicitement la recomposition des milieux professionnels et des quipes de ma trise d oeuvre des interventions dans le domaine social aupr s des habitants de nos villes et l adaptation d un certain nombre de m tiers traditionnels selon les termes de la lettre de mission du ministre d l gu la ville Il conclue sur le constat suivant Aujourd hui les travailleurs sociaux se trouvent face au risque de la politique de la ville qui semble bien signifier pour le coup la fin d un certain travail social Entre la d mobilisation la d sertion et la soumission la marge est troite et les jours sont compt s Ont ils aujourd hui la capacit qu ils n ont pas eu dans le pass d en appeler l ensemble des forces sociales pour poser politiquement la question sociale Dans JOURNAL DU DROIT DES JEUNES Dossier Du de AVRIL 2001 n 204 p 24 35 12 P Cote A JOU 92 VIE QUOTIDIENNE LES RITES D AUJOURD HUI ENTRE PERMANENCE ET PLASTICITE Puissant besoin de symbolisation et d int gration les rites accompagnent les passages les s parations Ils cimentent les communaut s De BARROUX Colette Dans le dossier du num ro de f vrier 2001 l Ecole des Parents aborde la question des rites dans notre soci t Colette Barroux fait le point quelle place occupent ils quel r le jouent ils Sous quelle forme Dans L ECOLE DES PARENTS Dossier CES RITES
13. laboration d un projet de formation personnalis Pour elle il s agit de g rer la peine pour le b n fice partag de la soci t de la victime et du jeune et non pas de donner une r ponse illusoire aux inqui tudes de nos concitoyens Dans LIEN SOCIAL Dossier Du de 8 MARS 2001 n 567 p 13 1 P Cote A LIE 144 FAMILLE LES MESAVENTURES DU PERE Longtemps cantonn dans un r le d autorit le p re avec l volution des moeurs a perdu une partie de son pouvoir Une analyse sociologique et historique montre toute l ambigu t de son statut De NEYRAND G rard Les th ories psychologiques d apr s guerre ont en quelque sorte disqualifi la pr sence du p re aupr s du nouveau n Winnicott Spitz et d autres jusqu Lacan rapport indirect l enfant fonction symbolique pas de rapport concret avec l effondrement du statut patriarcal la remise en cause de la famille nucl aire Dans SCIENCES HUMAINES Dossier LES HOMMES EN QUESTION Du de JANVIER 2001 n 112 p 22 25 4 P Cote A SCH 50 HANDICAP ET INADAPTATION DE LA CONFIANCE A LA CONFIDENCE A L INGERENCE SOUHAIT E DESIREE DANS UNE UNITE D ACCUEIL ET D ACCOMPAGNEMENT A LA VIE SOCIALE De THOUY Alain Alain Thouy chef de service et psychologue l Unit d accueil et d accompagnement la vie sociale U A A V S de Toulouse pose la question suivante Peut on accompagner et jusqu o la constructio
14. les et m dico sociales aura comme principal apport l affirmation du droit des usagers article 4 Derri re les querelles de mots et au del textes il faut comprendre les obstacles que rencontre ce droit au milieu d injonctions parfois paradoxales cogestion factice ou effectivit de la participation de l accessibilit juridique l accessibilit r elle Dans LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Dossier LE DROIT DES USAGERS N EST IL QU INCANTATOIRE Du de AVRIL 2001 n 56 p 19 27 9 P Cote A JAS 75 A travers l exemple de deux institutions COMMENT CONDUIRE LE CHANGEMENT DANS LE SECTEUR SOCIO EDUCATIF Le monde se transforme et il faut voluer avec lui Mais changer ne prouve rien en soi Encore faut il savoir pourquoi et comment on change De TREMINTIN Jacques A travers deux exemples Jacques Tremintin montre comment peut se conduire le changement dans le secteur socio ducatif avec les difficult s inh rentes ce secteur comme une culture professionnelle de rapport de force faite d opposition et de suspicion ou encore une h sitation parfois face aux risques inh rents au mythe du risque z ro sans oublier l inertie institutionnelle qui freine les prises d initiative ou le corporatisme qui am ne se m fier des autres professionnels Dans LIEN SOCIAL Dossier COMMENT CONDUIRE LE CHANGEMENT DANS LE SECTEUR SOCIO EDUCATIF Du de 29 MARS 2001 n 570 p 4 10 7 P Cote A
15. n d une identit sociale morale normative voire affective et sexuelle de la personne handicap e sans prendre le risque de violer irr m diablement l intimit d une personne par son assujettissement notre d sir de normalit ou notre mission Dans EMPAN Dossier SOINS A DOMICILE Du de SEPTEMBRE 2000 n 39 p 65 67 3 P Cote A EMP 105 HANDICAP ET INADAPTATION INTEGRATION PRESCOLAIRE EN FRANCE ET EN ALLEMAGNE A LA RECHERCHE D UN TISSU SOCIAL De SCHNEIDER Cornelia Pr sentation de la situation de l int gration en Allemagne avec les th ories d un chercheur allemand Geerog Feuser Pour lui l int gration ne sera accomplie qu partir du moment o litt ralement aucun l ve ne sera oblig de fr quenter un tablissement diff rent de celui de ses camarades Pour lui l int gration signifie en termes plus largis l ducation la formation et l enseignement communs d enfants et de jeunes handicap s et non handicap s L auteur de cet article Corn lia Schneider est tudiante en p dagogie sp cialis e l universit de W rzburg C est le r sum de son m moire de ma trise en sciences de l ducation l universit Pais V sous la direction de Eric Plaisance Elle utilise l image du tissu social comme Stiker c est l image d une toile qui est tiss e entre des personnes laquelle chaque de l humanit peut contribuer avec son fil et qui par cette qualit peut co
16. nstituer le commun entre les humains Il faudrait pouvoir cr er un tissu social qui accepterait tous les enfants en tant qu tres humains semblables et qui r ussirait en m me temps une action ducative adapt e aux besoins individuels Dans HANDICAPS Revue de sciences humaines et sociales Dossier Du de JUILLET SEPTEMBRE 2000 n 87 p 55 77 23 P Cote A CTN 167 LA POLITIQUE EN FAVEUR DES PERSONNES HANDICAPEES Historique et fondements De GILBERT Pascale Pascale Gilbert conseill re m dicale la sous direction de personnes handicap es la Direction G n rale de l Action Sociale nous propose ici une approche socio historique de la l gislation fran aise en faveur des personnes handicap es que l on peut qualifier de discrimination positive puisque la reconnaissance d une diff rence le handicap est l origine de la mise en oeuvre d un certain nombre d actions visant en compenser ou corriger les effets en mati re d exclusion Dans LA SANTE DE L HOMME Dossier HANDICAPS duquer notre regard Du de NOVEMBRE DECEMBRE 2000 n 350 p 18 21 4 P Cote A SAH 6 LA POLITIQUE FRANCAISE D INTEGRATION DES PERSONNES HANDICAPEES De BARRES Martine A l occasion de la r forme de la loi sur les institutions de 1975 il a fallu r affirmer la volont de l autre loi de 1975 celle en faveur des personnes handicap es de r aliser le droit de la personne handicap e au mai
17. ntien en milieu ordinaire de vie d instruction et de travail Pour y parvenir des tablissements et services ont t d velopp s l approche individuelle de la personne elle aussi a t d velopp e L approche collective visant l adaptation de l environnement la personne handicap e et non pas l inverse comme auparavant est encore peu d velopp e et passe par des innovations notamment au niveau de l ducation Dans LA SANTE DE L HOMME Dossier HANDICAPS duquer notre regard Du de NOVEMBRE DECEMBRE 2000 n 350 p 16 18 3 P Cote A SAH 5 LE RESPECT DE L AUTRE De MOYSE Danielle Dani le Moyse philosophe nous livre ici ses r flexions sur le respect du l autre notamment handicap respecter un homme c est contribuer lib rer l humanit qui est en lui Et en fait l infirmit rend visible ce qui de fa on g n ralement plus discr te barre l acc s l tre des autres cet tre qui requiert consid ration attention gards autrement dit respect pour se d ployer et porter au monde ce dont il est porteur Dans PREVENIR Cahiers d tude et de r flexion Dossier LES ASPECTS SOCIAUX DU HANDICAP Reconna tre int grer respecter Du de 2E SEMESTRE 2000 n 39 p 91 95 3 P Cote A PRE 6 HANDICAP ET INADAPTATION HANDICAP CONFORMITE ET SITUATION DE SEUIL De GARDOU Charles Charles Gardou auteur de nombreux ouvrages professeur des universi
18. professionnel connu des psychologues psychiatres assistants de service social ou ducateurs sp cialis s un changement de nature une sorte de transmutation au moment o le rapport devient une pi ce du dossier et l on voit des impression des sentiments des conjectures des fais des jugements des v rit s scientifiques se transformer en v rit s juridiques D o un certain nombre de questions Qu est ce que je suis moi qui crit Comment je l ai su Qu est ce que je peux en dire 7 Dans JOURNAL DU DROIT DES JEUNES Dossier LES ECRITS DES TRAVAILLEURS SOCIAUX Du de MARS 2001 n 203 p 11 12 2 P Cote A JOU 89 RESISTANCE AUX TRAUMATISMES LA RESILIENCE UN ENJEU POUR LA PRISE EN CHARGE Etudi e depuis dix ans en France m diatis e la r silience chappe au cloisonnement des disciplines Prudence elle peut servir d alibi De GUARDIOLA Isabelle L Ecole des Parents nous propose ici une synth se des travaux sur la notion de r silience d o vient elle que recouvre t elle dans quelle discipline la situe t on Dans L ECOLE DES PARENTS Dossier Du de NOVEMBRE 2000 n 11 p 54 55 2 P Cote A EPE 47 Clefs de lecture la dualit du syst me de protection de l enfance PROTECTION DE L ENFANCE L ACTION EDUCATIVE QUESTIONNEE Les AEMO judiciaires repenser la relation aux familles les pi ges de la distinction milieu ouvert h be
19. rgement encart p 21 Les AEMO administratives se d marquent davantage du mod le judiciaire D bat propos d une autre vision du contenu et de l organisation de la protection de l enfance De LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Dossier sur la dualit du syst me fran ais de Protection de l Enfance remis en cause actuellement Une valuation des pratiques et une clarification des actions doivent tre faites Le mod le judiciaire tant devenu dominant certains d partements se d marquent en soutenant de nouvelles formes d action ducative en milieu ouvert administrative Un d bat entre Karl Lacharit professeur du Groupe de recherche en d veloppement de l enfant et de la famille l Universit de Trois Rivi res au Qu bec et Raymond Boillot directeur du Service de Protection de l enfance de l Association Yves Le Febvre dans la Somme fait appara tre deux cultures professionnelles diff rentes Dans LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Dossier PROTECTION DE L ENFANCE L ACTION EDUCATIVE QUESTIONNEE Du de FEVRIER 2001 n 55 p 18 27 10 P Cote A JAS 74 Adolescents plac s PROFESSIONNELS ET PARENTS AU COUDE A COUDE De LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Pr sentation d une exp rience de travail avec la famille dans le cadre d une maison d enfants caract re social aucune admission n est faite si les parents n acceptent pas d tre ses c t s tout au long du placement Une d marche qui bou
20. s LETOURMY Alain Devant la difficult r pondre la question Combien y a t il de personnes handicap es en France cause du morcellement du syst me fran ais l INSEE a mis au point l enqu te HID Handicaps Incapacit s D pendance dont l un des objectifs est de b tir un pont entre ces les diff rentes sources Pr sentation des principaux r sultats de l enqu te Dans PREVENIR Cahiers d tude et de r flexion Dossier LES ASPECTS SOCIAUX DU HANDICAP Reconna tre int grer respecter Du de 2E SEMESTRE 2000 n 39 p 7 14 5 P Cote A PRE 1 INSERTION PROFESSIONNELLE L INSERTION PAR L ECONOMIQUE UNE ZONE INTERMEDIAIRE ENTRE SALARIAT ET NON TRAVAIL De BRESSON Maryse AUTES Michel Maryse Bresson et Michel Aut s tous deux sociologues nous proposent leur analyse de l insertion par l conomique Ce secteur est un lieu o s exp rimentent dans un cadre l gal des nouveaux statuts du travail en marge du classique mod le du salariat Leur objet sera de montrer comment l insertion par l conomique constitue une zone interm diaire entre salariat et non travail o les nouveaux statuts que le l gislateur a labor s dans le but de faciliter le plus large acc s au contrat de travail entretiennent avec la protection sociale un lien faible qui les situe en marge du mod le du salariat au risque peut tre d ouvrir la voie une alternative cr dible ce mod le Dans REVUE
21. scule les pratiques mais offre chacun la place qui doit tre la sienne Dans LE JOURNAL DE L ACTION SOCIALE Dossier Du de MARS 2001 n 55 p 12 13 2 P Cote A JAS 78 SANTE PUBLIQUE L ETHIQUE EST ELLE RISQUEE De FAINZANG Sylvie R flexions d une anthropologue charg e de recherche l INSERM elle voque diff rentes dimensions de la question et conclue en constatant que si l approche thique de l ducation la sant est certainement d informer les sujets en veillant ce que les messages ne contiennent pas l imposition de normes elle suppose aussi de permettre de d veloppement chez les sujets d un esprit critique qui les mette en position de mesurer quel point ils mettent en jeu leur sant en adoptant telles ou telles conduites mais sans les emp cher toutefois de prendre conscience de ce qu ils mettent en jeu sur le plan social ou relationnel en les refusant Dans LA SANTE DE L HOMME Dossier L EDUCATION POUR LA SANTE EST ELLE ETHIQUE 9 Du de FEVRIER 2000 n 345 p 32 amp 33 2 P Cote A SAH 2 LES CADRES DE L ACTION EXCLUSION PAUVRETE PRECARITE Approche socio historique de l int gration sociale De HELARDOT Valentine Exploration historique et sociologique de la notion d exclusion recouvrant des r alit s diverses En fait il s agit de processus et de dynamiques et non d tats Val rie H lardot est sociologue Dans LA SANTE DE L HO
22. t s envisage un cadre conceptuel tr s diff rent des recherches sociologiques les plus connues qui permet la fois d appr hender la r alit v cue par la personnes atteinte d une d ficience et d impulser d autres comportements sociaux et pratiques ducatives C est ainsi que l instar de Robert Murphy anthropologue am ricain il con oit la situation de handicap comme une forme de liminalit Ce concept troitement li aux rites de passage est d l ethnologue et folkloriste Arnold Van Gennep Dans PREVENIR Cahiers d tude et de r flexion Dossier LES ASPECTS SOCIAUX DU HANDICAP Reconna tre int grer respecter Du de 2E SEMESTRE 2000 n 39 p 71 82 7 P Cote A PRE 5 LE HANDICAP EST CULTURE De COOK Jon Selon Jon Cook anthropologue le handicap est avant tout une construction culturelle par cons quent la mani re la plus constructive dans plusieurs sens du terme de favorise la r adaptation des personnes handicap es serait de transformer les significations attach es au handicap et aux interactions sociales avec ces personnes Dans PREVENIR Cahiers d tude et de r flexion Dossier LES ASPECTS SOCIAUX DU HANDICAP Reconna tre int grer respecter Du de 2E SEMESTRE 2000 n 39 p 61 70 6 P Cote A PRE 4 LA CLASSIFICATION INTERNATIONALE DES ALTERATIONS CORPORELLES INVALIDITES ET HANDICAPS Approche linguistique d un d bat terminologique
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