A Mesdames et Messieurs les préfets de régions
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1. un volet th orique comprenant un ou plusieurs modules con us et organis s par l organisme agr ayant pour objectif de sensibiliser les volontaires aux enjeux de la citoyennet un volet pratique sous la forme d une formation au premiers secours de niveau 1 PSC1 Le ou les th me s abord s lors du volet th orique de la formation doi ven t tre choisi s par l organisme agr parmi les th mes list s dans le r f rentiel d fini par l Agence du Service Civique L organisme agr a la possibilit de faire appel des organismes ext rieurs pour l organisation de ces modules ou de les mutualiser avec d autres organismes agr s en lien avec les r f rents Service Civique au sein des services d concentr s de l Etat le cas ch ant A cette formation s ajoute la formation Pr vention et Secours de niveau 1 PSC1 Tous les volontaires doivent b n ficier d une formation au PSC1 Les organismes ont l obligation d inscrire les volontaires la formation aux premiers secours confi e la f d ration nationale des sapeurs pompiers de France FNSPF Seule exception les organismes d accueil eux m mes titulaires d agr ments leur permettant de dispenser la formation PSC1 peuvent organiser des sessions de formation pour leurs propres volontaires Le contenu et la r alisation de la formation pourront tout moment tre contr l s conform ment l article L 1290 44 du d cret n 2010 485 du 12 ma2. Libert Egalit Fraternit R PUBLIQUE FRAN AISE AGENCE DU SERVICE CIVIQUE Personne charg e du dossier Brigitte THEVENIEAU Tel 01 40 45 97 55 Fax 0140 45 94 96 Mel brigitte thevenieau service civique gouv fr C SERVICE CIVIQUE Le Pr sident de l Agence du Service Civique Messieurs les Pr fets de r gions Monsieur le Pr fet de la collectivit territoriale de Saint Pierre et Miquelon Monsieur le Pr fet de Mayotte Monsieur le Haut commissaire de la R publique en Nouvelle Cal donie Monsieur le Haut commissaire de la R publique en Polyn sie fran aise Monsieur le Pr fet administrateur sup rieur des les Wallis et Futuna Monsieur le Pr fet administrateur sup rieur des Terres australes et antarctiques fran aises Monsieur le Pr fet d l gu de Saint Martin et Saint Barthelemy Copie Mesdames et Messieurs les Pr fets de d partements Mesdames et Messieurs les Directeurs r gionaux de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale Mesdames et Messieurs les Directeurs de la jeunesse des sports et de la coh sion sociale Mesdames et Messieurs les Directeurs d partementaux de la coh sion sociale Mesdames et Messieurs les Directeurs d partementaux d partementales de la coh sion sociale et de la protection des populations CIRCULAIRE N ASC 2012 343 du 21 septembre 2012 relative aux orientations pour l ann e 2012 2013 en mati re de contr le d
3. disposition Les organismes doivent tenir cet effet disposition de cette autorit les documents probants ou les pi ces justificatives n cessaires Article R 121 44 du d cret n 2010 485 du 12 mai 2010 relatif au Service Civique 25L Il convient de s assurer que le bilan nominatif a t r alis avec chaque volontaire compter du mois pr c dant la fin de la mission et qu il a donn lieu la remise d un document formalisant les conclusions de la d marche 1 3 La formation des tuteurs Le tuteur est la fonction pilier du Service Civique Il est attendu que cet aspect essentiel soit pris en compte de fa on significative notamment par le suivi des modules de formation mis en place par l Agence 1 4 Les cong s La v rification du nombre de jours de cong s effectifs est formaliser pour les majeurs et les mineurs Le volontaire en Service Civique a droit deux jours de cong s par mois de service effectu d s lors que sa mission a t r alis e durant dix jours ouvr s quel que soit la dur e hebdomadaire de la mission ou le nombre de jours par semaine durant lesquels la mission est effectu e Les mineurs g s de 16 18 ans b n ficient d une journ e suppl mentaire de cong s par mois Les cong s peuvent tre pris soit par fraction concurrence des droits acquis soit en une fois en fin d engagement Un cong non pris ne donne lieu aucune indemnit compensatrice 1 5 L affi
4. Consultation des listes des sectes rapport parlementaire n 2468 11 comment les associations se pr sentent Ainsi par exemple une association identifi e exclusivement par ses convictions religieuses et sa mission d vang lisation posera la question de son ligibilit au Service Civique Des questions propos es pour l agr ment et pour le contr le La mission e La mission est elle identifi e exclusivement comme inscrite dans l un des neuf domaines d intervention reconnus prioritaires pour la Nation OUI NON e La mission comporte t elle des activit s relevant d un enseignement religieux et ou de l exercice d un culte OUI NON Les volontaires e Le recrutement des volontaires est il fait sur des crit res d adh sion des croyances religieuses et la pratique d un culte OUI NON Les publics e Les publics b n ficiaires des actions de l association le sont ils sur des crit res d adh sion des croyances religieuses et la pratique d un culte OUI NON e Comment les publics sont ils inform s des activit s de l association Par des services publics CCAS assistants sociaux de secteurs CHRS OUI NON Par des personnes appartenant la communaut OUI NON Par d autres moyens OUI NON Si oui lesquels Les soutiens e L association a t elle d autres financements publics 12 OUI NON Si oui lesquels e L association a t elle un agr ment d ducation populaire OUI
5. NON e L association a t elle une reconnaissance d utilit publique OUI NON e L association est elle reconnue comme association de bienfaisance OUI NON e L association adh re t elle au comit de la charte du don en confiance OUI NON 13 ANNEXE 5 Les missions de Service Civique dans les domaines du sport et de l animation Ces indicateurs ont pour objectif de fonder le contr le sur des risques identifi s li s notamment au statut du volontaire au regard du b n volat et de la formation professionnelle et aux m tiers dans le domaine du sport la nature de la mission et aux modalit s de recrutement Ils viennent en compl ment de la fiche n5 pr sent e dans la circulaire du 16 avril 2012 Le d veloppement des missions de Service Civique dans les domaines du sport et de l animation 1 Les volontaires ne doivent pas assurer d encadrement en autonomie d une pratique sportive les volontaires qui disposent de dipl mes sportifs BAPAAT BPJEPS DEJEPS DESJEPS licence STAPS ne peuvent pas faire usage de leur comp tence encadrer un entrainement ou r aliser des actes p dagogiques dans le cadre de leur engagement de service civique 2 L action du volontaire doit s inscrire dans un cadre distinct des activit s quotidiennes de la structure Les volontaires ne doivent pas assurer des missions li es l entrainement des sportifs ou l entretien des installations sportives 3 Les structures d accueils
6. SDIS la la cit Trois r gions ont prioris les contr les sur les missions sport en raison du nombre important de structures agr es dans ce champ et du risque pressenti de confusion qui pourrait exister entre volontariat et emploi sur cette th matique Un premier bilan tabli partir de 27 comptes rendus de contr le permettra d encadrer plus pr cis ment cette mission et d int grer des indicateurs la grille de contr le Cet aspect sera approfondi dans les prochains mois en lien avec les services de l Etat 1 L Agence a souhait associer les services de l Etat l laboration du contenu et la mise en uvre de la d marche de contr le du Service Civique Dans ce cadre un groupe de travail compos de d l gu s territoriaux et de repr sentants de l IGJS et de l INJEP au titre du programme europ en pour la jeunesse dont le SVE de la DJEPVA et d un repr sentant du comit strat gique a propos les contours du contr le tel que pr sent dans la circulaire du 30 mai 2011 relative au contr le Alsace Aquitaine Auvergne Basse Normandie Bourgogne Bretagne Centre Champagne Ardenne Corse Franche Comt Haute Normandie Ile de France Languedoc Roussillon Limousin Lorraine Midi Pyr n es Nord Pas de Calais Pays de la Loire Picardie Poitou Charentes Rh ne Alpes Guadeloupe Martinique Guyane 1 A noter les priorit s des contr les programm s dans ce domaine mentionn es dans les r gions Aqui
7. en 2010 ont fait l objet d une rupture anticip e Une enqu te dont les r sultats ont t pr sent s vos services a t mise en uvre la demande de l Agence du Service Civique La tr s grande h t rog n it des situations qui conduisent des ruptures de contrats anticip e ne doit pas dissimuler le fait que trop souvent celles ci sont imputables des dysfonctionnements de l organisme d faut d encadrement probl me de positionnement du volontaire par rapport aux autres intervenants de la structure par exemple qui justifient un contr le et des mesures correctrices e La d finition de th matiques prioritaires par territoires Il peut tre pertinent d organiser un contr le transversal sur un territoire d termin de l ensemble des missions de Service Civique relevant d une th matique ou d une cat gorie particuli res le sport la s curit civile notamment dans le cadre des SDIS les missions relatives l ducation notamment dans les tablissements scolaires les missions relatives l environnement etc Sur ces aspects un soutien de l Agence peut tre apport en liaison notamment avec le Conseil national olympique et sportif fran ais pour les missions Sport la direction de l enseignement scolaire au titre du partenariat engag avec le Minist re de l Education Nationale CF 1 Document joint convention cadre du 7 juillet 2010 pour les missions Education ou la direction de la s curit ci
8. et ou d un motif particulier difficult s identifi s manque de transparence probl me de positionnement Ensuite le contr le doit tre conduit directement par les services en liaison avec l Agence qui pr viendra auparavant l association nationale et qui pr sentera aux services une note circonstanci e et transmettra les contrats d engagement des volontaires et le compte rendu d activit de l association Le rapport de contr le sera transmis par l Agence l association nationale Une restitution pourra tre organis e sur site la convenance des services Dans le cas d un contr le d cid par l Agence il sera conduit directement par le p le contr le qui associera autant que possible les services sur les territoires et les informera du motif du contr le et des modalit s d intervention d finies L instruction du 24 juin 2010 relative au service civique pr conise la mise en place de comit s de coordination r gionaux du service civique cf L animation et la promotion du service civique au niveau locale alin a 2 4 Afin de favoriser la coordination de l ensemble des acteurs du service civique au niveau local un comit de coordination r gionale du service civique sera constitu Ce comit pourra notamment impulser des actions communes de promotion du service civique au niveau local en direction des jeunes et des structures susceptibles d accueillir des volontaires Ce comit pourra tre compos de repr sen
9. formations peuvent se mettre en place sur l ensemble du territoire sur demande des r f rents Service Civique 6 nombreux partenaires administrations centrales services d concentr s organismes agr s afin de d gager des l ments de doctrine consensuels sur les pr cautions pr alables l accueil d un volontaire dans le cadre d une mission o celui ci serait mis en contact de mineurs ou de fa on g n rale de personnes vuln rables Ces pr cautions ont naturellement pour objet de garantir la s curit physique et morale des mineurs et des personnes vuln rables b n ficiaires de l action de l organisme agr Les r gles de conduite suivantes ont t tablies a Les r gles de droit commun qui r gissent les structures agr es compte tenu de leur nature ou de leur activit accueil collectif de mineurs tablissement social ou m dico social etc et qui ont pour objet de v rifier la capacit juridique des personnels de ces structures exercer sont applicables aux volontaires en service civique v rification syst matique du bulletin n 2 du casier judiciaire pour les ACM par les services de l Etat par exemple b A d faut de disposition plus rigoureuse et d s lors que la mission du volontaire suppose un contact direct habituel et ou fr quent avec des mineurs le bulletin n 3 du casier judicaire doit tre syst matiquement demand au candidat c Dans les autres situations il est loisible au res
10. tiers la suspension de la mission doit tre imm diate Dans le cas de r clamations de volontaires accueillis dans les associations nationales un premier point doit tre fait l initiative de celui qui re oit ce signalement entre l Agence et les services afin d identifier la difficult signal e et de convenir de concert de l intervention qui sera la plus adapt e Soit il peut tre d cid que le p le contr le contacte l association nationale pour l alerter de la situation Dans ce cas le retour qui sera fait par l association sera relat aux services par le p le les services s assureront autant que possible sur site que le probl me est bien r gl Soit il peut tre d cid que les services rencontrent le volontaire et le tuteur sur site et en informent le p le contr le qui fera un retour l association nationale Le r sultat de cette intervention fera l objet d une note succincte qui indiquera a minima la date le nom de l organisme le probl me identifi et sa r solution Cette intervention pourra tre suivie d un contr le formalis 5 Il n y a pas r ellement de d finition juridique de la r clamation c est d ailleurs la raison pour laquelle ce terme para t le mieux appropri pour traiter d une revendication g n rale qui ne serait pas toujours de nature entra ner des cons quences judiciaires C est l action de r clamer un acte par lequel un sujet de droit s adresse une au
11. 1 II Loi du 10 mars relative au service civique Un grand nombre d associations en France ont des racines et des liens permanents avec des communaut s religieuses et des Eglises sans tre des associations cultuelles Ces caract ristiques ne leur confisquent pas pour autant la possibilit de recevoir des volontaires si les missions propos es sont ligibles Il s agit de faire la part entre leurs objectifs qui peuvent avoir des dimensions d ordre spirituel et leur capacit s ouvrir sur le monde en se gardant de tout pros lytisme Avant d engager l Agence du Service Civique quelques conditions doivent tre v rifi es La premi re condition est que la mission confi e aux volontaires ne comporte aucune activit relevant d un enseignement religieux et ou de l exercice d un culte Ainsi une mission dans une aum nerie ne doit pas tre assimil e l objectif m me d une aum nerie assurer une pr sence chr tienne dans un ensemble pastoral pr cis Lyc es H pitaux Action Catholique Prisons mais doit tre identifi e exclusivement comme inscrite dans l un des neuf domaines d intervention reconnus prioritaires pour la Nation d termin s d finis par le conseil d administration de l Agence La seconde condition est que le recrutement des volontaires ne peut tre fait sur des crit res d adh sion des croyances religieuses et la pratique d un culte La troisi me est que ces associations donnent la garant
12. Le volontaire compl te t il le quota des ducateurs sportifs e Comment le jeune est il positionn comme volontaire dans l organigramme ou dans les documents de l association livret d accueil rapport d activit e Le volontaire participe t il seul l animation des entrainements et aux manifestations sportives y compris le week end e Si le volontaire assiste un ducateur sportif comment s organise la r partition des t ches Qui le d cide e Que se passe t il en cas d absence de l ducateur sportif e Le volontaire r alise t il des actions p dagogiques Si oui lesquelles Probl matique Volontaire en formation professionnelle Sport ou dipl m dans ce champ e Le volontaire veut il s orienter vers les m tiers du sport e Le volontaire poursuit il en m me temps une formation professionnelle ou un cursus universitaire dans le champ du sport licence STAPS BPJEPS Si oui lequel e Comment sa formation est elle financ e e Est il par ailleurs salari dans le mouvement sportif e A t il des dipl mes sportifs 15 Annexe 6 Contr le du Service Civique rapport national juin 2011 juin 2012 L instruction n ASC SG 2011 204 du 30 mai 2011 d finit la proc dure de contr le applicable en mati re de Service Civique Cette proc dure a pour objet de garantir la conformit de la mise en uvre du Service Civique aux textes en vigueur ainsi que de mani re g n rale le respect de l es
13. ainsi que de la fronti re parfois tr s tenue entre volontariat et emploi les volontaires pouvant tre sollicit s pour r aliser des t ches d volues aux assistants d ducation aux pompiers professionnels aux ducateurs sportifs Le terme d emploi civique est parfois utilis Les missions confi es sont alors pr sent es comme de simples opportunit s qui pourraient tre confi es des salari s Certaines rel vent d une activit classique confi e un stagiaire ou un salari Les volontaires expriment dans ce cas le sentiment de faire le m me travail que les salari s sans tre pay s pareil e L quilibre parfois difficile trouver entre la mission de Service Civique et un travail r mun r la mission de Service Civique pouvant tre parfois pr sent e comme accessoire e Le d faut de tutorat et le manque de prise en compte de la pr paration au projet d avenir sont galement identifi s comme des motifs significatifs de dysfonctionnement e L absence d offre de formation civique et citoyenne est regrett e par tous Les bonnes pratiques Sont remarqu es au titre des bonnes pratiques contribuant apporter de la qualit au Service Civique e Les regroupements de volontaires et les temps de rencontre entre volontaires d un m me territoire organis s par les services 19 e Les changes entre tuteurs l occasion des formations e L organisation par les structures d accueil des r
14. ar l Agence permet de r pondre de fa on adapt e et autant que possible aux demandes de contr le des d l gu s territoriaux tout en engageant quelques contr les l initiative de l Agence notamment sur la base de remont es d information de la part des volontaires 2 2 La r alisation des contr les 6 contr les formalis s ont t r alis s sur 28 sites avec la contribution des services d concentr s 105 volontaires ont t auditionn s dont 29 par les services d concentr s pour la Ligue en Auvergne e La Guilde r alis Motif r daction d annonces de missions proches d annonces d emploi 22 volontaires ont t auditionn s dans 11 organismes sur 11 sites IDF Languedoc Roussillon e Avenir Sant r alis 20 Motif l intervention d un avocat aupr s de l Agence du Service Civique informant de l engagement d une action contentieuse afin de faire requalifier un contrat d engagement de service civique en contrat de travail d guis 16 volontaires ont t auditionn s sur trois sites Paris Montpellier Lyon L action contentieuse n a pas t engag e e La F d ration de la Maison des Potes r alis Motif information de deux volontaires du fait du non versement de l indemnit compl mentaire et annonces de missions assimilables des offres d emploi 7 volontaires ont t auditionn s dans 4 organismes sur 4 sites Paris Lyon Besan on Vitrolles e La Ligue de Prot
15. de la mise en uvre du Service Civique aux textes en vigueur ainsi que de mani re g n rale le respect de l esprit de la loi du 10 mars 2010 et la qualit du programme La pr sente instruction pr cise les orientations pour l exercice 2012 2013 et apporte quelques compl ments techniques et m thodologiques En outre elle pr sente le bilan de la campagne de contr le qui s est d roul e de juin 2011 juin 2012 Le contr le constitue une des missions des d l gu s territoriaux de l Agence du Service Civique Les pr fets de d partements DDCS PP apportent leur concours dans la mise en uvre du service civique et participent aux programmes r gionaux de contr le L intervention des missions Inspection Evaluation Contr le ICE mises en place progressivement par le Secr tariat g n ral des minist res sociaux constitue une novation importante intervenue au cours du dernier exercice Elles permettent la diffusion et la professionnalisation des pratiques de contr le de mani re transversale sur l ensemble du champ de comp tences DRJSCS Pour m moire le contr le du Service Civique est organis dans le cadre d un programme qui comprend deux volets un volet national ciblant les organismes agr s au niveau national un volet r gional ciblant les organismes agr s au niveau r gional Il vous appartient de fixer chaque ann e dans le cadre de votre programme r gional de contr le et dans le respect des orientatio
16. doivent diversifier au maximum leur recrutement en dehors du r seau sportif pour garantir le bon d roulement de la mission Chaque indicateur correspond un risque identifi pr c demment Probl matique b n volat et volontariat e Lors de la pr paration de la mission si le volontaire tait membre de l association auparavant une sensibilisation sur son changement de statut a t elle t men e aupr s du volontaire e Une r partition entre les temps consacr s au b n volat et les temps consacr s la mission a t elle t tablie e Une action de communication a t elle t r alis e au sein du club V rifier si cela est possible que cet l ment est connu des membres de l association Probl matique Mission insuffisamment tourn e vers des publics sp cifiques ou diversifi es e Ces activit s permettent elles le d veloppement de nouvelles actions dans l association Programme sport sant action de coh sion sociale ou de solidarit e Quels sont les publics vis s travers la mission du volontaire Probl matique Recrutement endog ne et risque emploi d guis e Le volontaire tait il membre de l association avant sa mission e Si oui a t il contribu la d finition de sa mission e La mission a t elle vocation tre reconduite Le recrutement se fera t il par le m me r seau 14 e Apr s sa mission de service civique quelle sera la place du jeune dans l association e
17. e elles peuvent tre associ es au comit de coordination r gionale du service civique et parfois au comit strat gique de l Agence du Service Civique Leur contribution peut tre sollicit e au titre des grands programmes d velopp s par l Agence des formations de tuteurs ou de la mise en uvre de la formation civique et citoyenne etc Cette situation n implique pas pour autant de r gime particulier et n exclut pas que comme les organismes locaux elles puissent avoir besoin d un soutien et d un accompagnement de vos services dans un tat d esprit qui vise avant tout aider l ensemble des acteurs mobilis s sur un m me territoire respecter les principes et les valeurs du Service Civique C est pourquoi d s l agr ment il convient qu un contact soit pris et que autant que possible une rencontre soit organis e votre initiative Cette formalisation a pour objectif de permettre aux organismes d identifier les r f rents pour le Service Civique et aux services de l Etat de prendre connaissance de fa on approfondie du contenu et des conditions d exercice des missions des volontaires dans leur ressort territorial e Le contr le des associations nationales Lorsque la proposition de contr le d un organisme national mane d un service d concentr le p le contr le de l Agence doit tre associ tr s en amont la d marche Il convient tout d abord d en pr ciser le motif au regard des crit res prioritaires
18. ection des Oiseaux en cours Motif du contr le In galit de traitement signal e par une association locale qui s est vue refuser l agr ment et r daction des annonces proches d annonces d emploi 17 volontaires ont t auditionn s dans 6 organismes Rochefort Strasbourg Clermont Ferrand Grenoble Lyon Poitiers e Le Mouvement Ni putes Ni Soumises en cours D mission de 3 volontaires et lettre collective sign e par 4 volontaires indiquant un m contentement g n ral la pr sidente 14 volontaires ont t auditionn s dans 3 organismes Paris Bordeaux Lyon e La Ligue de l enseignement en Auvergne proc dure contradictoire en cours Motif le fait que la Ligue de l enseignement soit l organisme qui accueille le plus grand nombre de volontaires en Auvergne et le fait qu il mette des volontaires disposition d autres organismes ainsi que le souhait et la n cessit d appr hender plus pr cis ment les projets de d veloppement envisag s par l organisme notamment dans le cadre d un programme sur les lyc es conduit par la f d ration de l Allier avec la R gion et le minist re de l Education Nationale Ce contr le a t conduit sur site directement par les services de l Etat DRJSCS DDCS et DDCSPP entre le 1er octobre 2011 et le 6 f vrier 2012 29 volontaires ont t auditionn s sur 27 sites De nombreuses interventions li es au contr le ont t conduites la demande et en liaison avec les s
19. elation entre le volontaire et l organisme d accueil En particulier les demandes d information ou les interventions li es un retard ou une absence de paiement par ASP ne rel vent pas de cette cat gorie Ces messages sont suivis avec toute l attention n cessaire par les services d concentr s et les services de l Agence Des contacts sont pris fr quemment entre les services afin de convenir des r ponses les plus adapt es selon que l agr ment est local ou national Ces r clamations doivent tre trait es avec discernement et de mani re coh rente En particulier une fonction de m diation doit tre identifi e Dans tous les cas l audition du volontaire doit tre privil gi e Il s agit en effet dans un premier temps et le plus t t possible d tablir un contact avec le volontaire afin d identifier avec lui la nature de la difficult signal e Il s agit galement de v rifier aupr s de l organisme les informations recueillies et d apporter les r ponses les plus adapt es en privil giant autant que possible une d marche de m diation Certaines r clamations peuvent r v ler des manquements des organismes et doivent d s lors d clencher une intervention li e au contr le qui peut tre suivie d un contr le inopin ou formalis Si les informations recueillies r v lent que les conditions d accueil du ou des volontaires pr sentent un danger imm diat pour la sant ou la s curit de l int ress ou celle de
20. encontres des jeunes volontaires avec des professionnels en fonction de leurs projets d avenir facilitant ainsi la mise en place de leurs projets l issue du Service Civique e Les contr les effectu s par le r f rent service civique et l inspecteur et ou un acteur d un autre service du fait de la sp cificit de la mission sport sant environnement permettant une approche adapt e des probl matiques de l organisme Des points de vigilance e La fragilit de certaines associations pour lesquelles l accueil de volontaires constitue une ressource et une aide certaine pour le d veloppement de missions innovantes mais qui peut galement se r v ler tre d stabilisant pour les structures qui n ont pas l exp rience de l accompagnement et du tutorat e De fortes attentes vis vis de l Agence et des services pour que soient propos es des actions d accompagnement des structures d accueil de formation des tuteurs et des volontaires et de formation citoyenne ce pour respecter l obligation de formation des volontaires mais galement dans un r el souci d apporter des plus values multiples aux volontaires engag s Les principales modifications attendues concernent la n cessit d une meilleure identification des missions qui permettent d anticiper en partie le risque de substitution l emploi et un tutorat mieux formalis 2 Le programme national de contr le 2011 2 1 Le contenu du programme Le programme retenu p
21. ervices de l Etat le plus souvent suite un signalement de s volontaire s aupr s notamment de la Ligue de l enseignement ADIE l UNML les MRJC la Croix Rouge le Secours Catholique la F d ration Fran aise de Rugby XIII FFR XIII les Eclaireurs Visa Emma s la F d ration Nationale des Organismes de Gestion des Etablissements de l Enseignement Catholique FNOGEC D autres sont en cours aupr s notamment de Solidarit Jeunesses Concordia Slam Productions Deux d marches particuli res ont t conduites avec les services de l Etat en Champagne Ardenne avec Unis Cit et en Haute Normandie dans le d partement de Seine Maritime avec l Arche La majorit des visites et des auditions ont pu tre conduites avec la participation des services de l Etat des DRJSCS des r gions Auvergne Alsace Aquitaine Bretagne Franche Comt PACA Poitou Charentes Haute Normandie Languedoc Roussillon Rh ne Alpes et en liaison avec les Directions D partementales du Rh ne de la Loire des C tes d Armor de Paris de l Essonne des Hauts de Seine du Val de Marne 2 Le nombre d organismes contr l s dans le cadre de l interm diation sont comptabilis s dans le contr le des organismes locaux 21 2 3 Les premiers enseignements e Trois motifs principaux de d clenchement du contr le sont constat s __ Risques de substitution l emploi annonce d emploi position de subordination Malaise du volontaire
22. et de lui soumettre pour avis avant toute publication 22 En conclusion La premi re ann e de mise en uvre du contr le conforte les principes nonc s dans l instruction du 30 mai 2011 e La notion de contr le peut s inscrire naturellement dans le cadre d un suivi renforc assur par les personnes qui instruisent l agr ment et pas syst matiquement comme une fonction s par e et autonome e Sile contr le n est pas le c ur de m tier et de comp tence de la majorit des agents charg s du service civique leur travail de soutien d accompagnement d expertise contribue logiquement l indispensable travail de contr le e l semble pr f rable de fonder l intervention aupr s des organismes essentiellement sur l aspect qualitatif respect de l esprit de la loi De cette d marche s ensuivra la d marche d un contr le plus approfondi si cela s av re n cessaire Les deux d marches sont li es l une sert l autre des manquements observ s dans le cadre d une proc dure de suivi peuvent aboutir au retrait de l agr ment d livr Les chiffres du contr le e Au titre des programmes r gionaux 416 contr les des organismes locaux r alis s par les services d concentr s 20 des organismes Environ 1000 volontaires auditionn s e Au titre du programme national 6 contr les des organismes nationaux r alis s par l Agence sur 28 sites 105 volontaires audition
23. gnements significatifs risques identifi s points forts et points faibles des structures l ments capitaliser au titre des bonnes pratiques etc sont d velopp s Les retours des r f rents t moignent de la n cessit des contr les valuations pour accompagner les structures dans la mise en uvre du Service Civique en raison de la jeunesse du programme Une direction indique que le terme contr le peut tre parfois ressenti comme une remise en cause d une relation de confiance Il est parfois inadapt notamment pour les collectivit s territoriales Certains comptes rendus de contr le sont pr sent s comme des fiches de suivi ou d valuation Il est rappel que la r ussite d une mission d pend du primo accompagnement fait lors de la d livrance de l agr ment afin que la structure comprenne l esprit du service civique Les volontaires Il est indiqu que la plupart des jeunes rencontr s se sont bien adapt s leurs missions au sein des structures Ils ont t bien int gr s dans l ensemble m me si quelques difficult s ont t constat es li es le plus souvent une information insuffisante des quipes et des b n ficiaires sur la place des volontaires et sur leur statut d o la n cessit de bien communiquer en amont de l accueil Les volontaires ont pu d montrer leurs qualit s et leurs comp tences lls ont galement pu pr parer et formaliser leurs projets d avenir N anmoin
24. i 2010 relatif au Service Civique Le contr le portera la fois sur la partie th orique de la formation programme et r alisation et sur l inscription des volontaires par les organismes au PSC1 Ce contr le sera r alis aupr s des organismes agr s qui portent seuls la responsabilit de l obligation Selon que le contr le sera effectu au cours ou l issue de la r alisation du programme il pourra porter la fois sur le contenu des formations respect du r f rentiel qualit des interventions etc et sur le service fait co ts expos s partir de justificatifs de d penses d penses li es aux interventions aux transports aux frais de repas aux frais li s l information programme r alis et participation des volontaires partir notamment de la liste d margement des volontaires etc 1 2 La r daction du bilan nominatif R f rentiel diffus l ensemble des organismes cf guide administratif du Service Civique en septembre 2011 a Plaquette diffus e l ensemble des organismes cf la formation PSC1 Mode d emploi en septembre 2011 4 L autorit administrative peut tout moment contr ler les conditions d exercice de la mission de Service Civique y compris le contenu et la r alisation des formations pr vues l article L 120 14 au sein de l organisme membres de l union ou de la f d ration agr es ou des organismes aupr s des quels les volontaires ont t mis
25. ie qu elles sont accessibles tous les publics D autres indicateurs peuvent tre adopt s e Le financement public ou non de ces associations e La reconnaissance de l association par notamment leur adh sion au comit de la charte du don en confiance leur reconnaissance comme associations de bienfaisance l agr ment d ducation populaire la reconnaissance d utilit publique Par ailleurs il faut s assurer syst matiquement que l association n est pas une secte ou n est pas assimil un mouvement sectaire II faut avoir le reflexe d aller sur leur site pour voir Documentation administrative 7 C 1464 du 20 d cembre 1996 Les activit s de bienfaisance et d assistance consistent secourir sinon d une mani re absolument gratuite du moins sans but lucratif les personnes d pourvues de ressources et notamment celles qui b n ficient de la l gislation sur l aide sociale indigents vieillards infirmes malades sur l assistance l enfant pr vu par le code de la famille et de l aide sociale sur les pensions militaires d invalidit et des victimes de guerre L hygi ne sociale s entend de la protection de la population contre les maladies et de la lutte contre les pid mies Peuvent notamment b n ficier du r gime de faveur lorsqu ils ont le caract re d tablissements priv s reconnus d utilit publique les cr ches pouponni res sanatoriums pr ventoriums a riums dispensaires etc 10
26. liation du volontaire La personne volontaire est affili e aupr s de la caisse primaire d assurance maladie ou de la caisse g n rale de S curit sociale dans la circonscription de laquelle elle a sa r sidence habituelle Il convient de s assurer que l organisme a bien veill ce que cette affiliation soit faite en s assurant notamment que le volontaire a bien envoy la copie du contrat d engagement la caisse primaire d assurance maladie ou g n rale de S curit Sociale dont il d pend 1 6 Le certificat m dical Une visite m dicale pr alable la souscription du contrat est obligatoire Il convient de s assurer qu elle a bien eu lieu Article L 120 4 Un certificat m dical doit tre transmis l organisme attestant que l tat de sant du volontaire est compatible avec les missions qu il devra assumer Il peut tre tabli par m decin g n raliste 1 7 La protection des mineurs et plus largement des personnes vuln rables L intervention de volontaires aupr s de mineurs ou de fa on g n rale de personnes vuln rables pose des questions particuli res Des travaux ont t engag s en lien avec de De novembre 2011 novembre 2012 est mise en place une formation de tuteurs anim es conjointement par la Ligue de l Enseignement et Unis Cit et financ es par l Agence du Civique dans le cadre d un march L Agence lancera en novembre 2012 un nouvel appel d offre pour renouveler ce march Ces
27. malaise d saccord plainte du volontaire Conditions d exercice de la mission nombre d heures indemnit s cong s e Les modifications demand es par l Agence suite ces contr les Des missions mieux identifi es au regard des postes de salari s et de l objet des associations Une terminologie plus adapt e Une meilleure visibilit du Service Civique notamment sur le site des organismes il a t en effet constat qu aucune des structures contr l es ne respectaient les obligations des organismes fix es dans le cadre de la communication Un tutorat mieux formalis et la mise en place d un accompagnement au projet d avenir Le versement de l indemnit compl mentaire Des efforts en mati re de mixit sociale Une meilleure animation en direction des organismes tiers qui accueillent des volontaires dans le cadre de l interm diation cf infra e Un impact positif est soulign par la majorit des volontaires rencontr s au cours des contr le formalis s termin s ou en cours tant du point de vue de leur exp rience d engagement personnel que de leur acquisition de comp tences transf rables dans leur parcours d insertion professionnelle e Des difficult s sont identifi es dans le cadre des proc dures d interm diation En effet la mise disposition est une organisation exigeante pour l organisme agr qui engage sa responsabilit quant la nature des missions et des c
28. n s Les premiers enseignements Au regard de l ensemble des informations collect es et compte tenu de l expertise conduite par les services il est reconnu que les contr les r alis s r v lent le plus souvent un impact positif pour les jeunes et pour les organismes et une adh sion l tat d esprit du Service Civique Les bonnes pratiques Les regroupements de volontaires et les rencontres organis es avec les volontaires sont particuli rement signal s au titre des bonnes pratiques contribuant apporter de la qualit au Service Civique Les risques identifi s concernent principalement e La substitution d emploi e L quilibre parfois difficile trouver entre la mission de Service Civique et un travail r mun r e Le d faut de tutorat et de prise en compte de la pr paration au projet d avenir e La strat gie de placement de certains organismes nationaux dans le cadre de l interm diation 2 2289 organismes ont recrut en 2011 dont 200 organismes nationaux 23
29. n des aptitudes des jeunes Les organismes ont pu p renniser certaines actions et renforcer leur ambition en d veloppant de nouveaux projets La qualit et le s rieux de l accompagnement mis en place par les structures d accueil sont soulign s tout comme la volont des responsables des structures de l am liorer si n cessaire Des difficult s de recrutement ont n anmoins souvent t mentionn es sur les premi res missions notamment Les associations ont t moign d un impact important par le renfort du nombre des personnes actives en leur sein diversifiant les quipes salari s b n voles stagiaires volontaires apportant un tat d esprit jeune et volontaire au sein des quipes et permettant de toucher un public plus jeune Le service civique leur a permis de d velopper de nouveaux projets et de nouveaux partenariats Un effort a t entrepris sur le contenu des missions afin d articuler le projet de l association et celui du jeune Il est mentionn que globalement les missions pr sent es sont accessibles tous candidats m me si les structures savent bien tirer profit des profils particuliers de chacun des volontaires Les risques identifi s e Le risque de la substitution l emploi est voqu par l ensemble des acteurs Ainsi il est fait part du positionnement complexe des volontaires recrut s dans certaines structures dans lesquelles ils taient b n voles notamment dans le domaine du sport
30. ns donn es par le conseil d administration de l Agence du Service Civique le volet r gional du programme de contr le du Service Civique Vous tes galement tenus de transmettre pour chaque contr le effectu une fiche synth tique ainsi qu un rapport annuel de contr le relatif l exercice n compter de l ann e 2012 ce bilan annuel devra inclure un compte rendu synth tique des visites de suite organis es dans un d lai de 6 mois apr s la cl ture du contr le initial pour valuer la mani re dont les recommandations et demandes formul es l issue du contr le ont t mises en uvre par De l organisme Le programme r gional de contr le et le rapport annuel de contr le sont transmettre l Agence avant le 30 avril de l ann e n 1 conform ment au calendrier fix par le Secr tariat g n ral des minist res sociaux pour la transmission des bilans r gionaux et des programmations ICE Au titre du programme de contr le de l ann e 2011 l Agence a sur la base des l ments transmis tabli un rapport annuel de contr le Sur l exercice 2011 2012 416 contr les ont t r alis s et environ 1000 jeunes auditionn s Les bilans dress s par vos services confirment la pertinence des orientations retenues en 2011 et permettent de pr ciser les priorit s pour l ann e en cours Pour l ann e 2012 outre le traitement des r clamations mettant en vidence des situations d urgence maltraitance ha
31. nt vous apporter un soutien et une expertise dans vos d marches 2 2 La proc dure d mission d un titre de perception S il est constat notamment dans le cadre d un contr le qu un volontaire ne r alise pas le nombre minimum d heures requis par la loi ou bien qu il n est pas ligible au Service Civique tant par exemple en m me temps salari et volontaire dans le m me organisme vous devez en informer l Agence qui demandera sur le fondement des faits tablis l ASP de proc der l mission d un titre de perception l encontre du jeune engag pour obtenir le reversement du trop per u Ce signalement peut intervenir tout moment au cours de la mission De la m me fa on le soutien forfaitaire de l Etat de 100 par mois d pour tout jeune accueilli aux organismes sans but lucratif fera l objet l encontre de l organisme de l mission d un titre de perception La m me proc dure sera suivie pour l aide de l Etat vers e tous les organismes pour la formation civique et citoyenne s il est av r que la formation n a pas eu lieu ANNEXE 2 Le traitement des r clamations des volontaires De plus en plus de messages de volontaires arrivent l Agence et ou dans les services d concentr s qui t moignent des difficult s rencontr es au cours de leur mission Il est propos de les qualifier comme des r clamations Cette qualification de r clamation est r serv aux situations mettant en jeu la r
32. onditions d accueil des volontaires Elle s apparente parfois au seul placement de volontaires dans des organismes tiers s il n existe pas de projet de f d rer ce qui implique alors la mise en place de modalit s de coordination et d animation bien d finies Ces modalit s doivent permettre de garantir l tat d esprit du Service Civique et une animation collective notamment en direction des tuteurs et des volontaires Un d calage est parfois constat entre l ambition des associations nationales et la r alit des missions et des conditions d accueil des volontaires dans les organismes d accueil Des organismes d accueil souvent motiv s par un acc s plus facile au programme et la prise en charge par une association nationale des aspects administratifs n ont pas toujours compris l tat d esprit du Service Civique et les principes en d coulant Enfin peut tre constat un positionnement des associations agr es parfois inadapt qui peut faire croire aux organismes locaux que le Service Civique doit passer par les seules associations nationales et que de ce fait l agr ment et le soutien des services d concentr s ne sont pas utiles Mentionner que la structure dans toutes les actions de communication effectu es sur le Service Civique b n ficie du soutien de l Etat et de l Agence du Service Civique et utiliser l identit visuelle Service Civique et le logo selon les modalit s d finies par l Agence du Service Civique
33. ponsable de l organisme d exiger la production du bulletin n 3 du casier judiciaire d s lors qu il estime que les conditions d exercice de la mission le justifie 1 8 La s mantique Le vocabulaire utilis par les organismes ou les volontaires traduit souvent le degr d appropriation ou de m connaissance par ces acteurs de la d marche du Service Civique C est pourquoi une attention particuli re doit tre apport e aux termes choisis notamment par la pr sentation des volontaires par les organismes et par les volontaires eux m mes Le volontaire est il pr sent comme volontaire par l organisme tuteur responsable Le volontaire se pr sente t il comme volontaire 2 Pr cisions sur les cons quences du contr le 2 1 Le retrait d agr ment La d cision de retrait de l agr ment est prise par l autorit ayant d livr l agr ment du fait des griefs retenus l encontre de l organisme et conform ment la proc dure en vigueur Cependant il est tr s important pour des raisons tenant la coh rence au niveau national de la politique de contr le et de sanctions que l Agence soit tenue inform e en temps r el des proc dures de retrait d agr ment que vous envisagez d engager En cons quence il vous est demand pour toute proc dure de retrait d agr ment engag e aupr s d un organisme agr localement qu une information pr alable soit faite au p le contr le de l Agence qui pourra le cas ch a
34. prit de la loi du 10 mars 2010 et la qualit du programme Le contr le constitue une des missions des d l gu s territoriaux de l Agence du Service Civique Les pr fets de d partements DDCS PP apportent leur concours dans la mise en uvre des programmes de contr le L intervention des missions Inspection Evaluation Contr le ICE mises en place progressivement par le Secr tariat g n ral des minist res sociaux constitue une novation importante intervenue au cours du dernier exercice Elles permettent la diffusion et la professionnalisation des pratiques de contr le de mani re transversale sur l ensemble du champ de comp tence DRJSCS Pour m moire le contr le du Service Civique est organis dans le cadre d un programme qui comprend deux volets un volet r gional ciblant les organismes agr s au niveau r gional un volet national ciblant les organismes agr s au niveau national 1 Les programmes r gionaux 2011 1 1 Le contenu des programmes Les 24 programmes r gionaux de contr le reprennent tous a minima l objectif de 20 des organismes contr ler en 2011 partir des crit res de choix propos s dans l instruction du 30 mai 2011 le nombre de volontaires les nouveaux organismes agr s et l interm diation A ces crit res s ajoutent des contr les des organismes locaux li s aux th matiques suivantes le sport la s curit civile notamment dans les Services D partementaux d Incendie et de Secours
35. rc lement etc l objectif premier de l activit de contr le demeure la pr vention de la substitution du Service Civique l emploi A ce titre Il conviendra de s assurer que la mission confi e aux volontaires ne rev t pas le caract re d un emploi d guis Cet aspect reste prioritaire et peut s appuyer pour sa v rification sur les indicateurs d finis dans l instruction du 31 mai 2011 Ce principe fondamental qui diff rencie l engagement de l emploi nest pas pour autant contradictoire avec le fait que le Service Civique concourt l insertion professionnelle des volontaires par notamment l acquisition de nouvelles comp tences et la mise en valeur d une exp rience de travail Votre attention est appel e sur la ressource pr cieuse que constituent pour vos investigations les comptes rendus d activit tablis par les organismes La transmission de ce compte rendu d activit fait partie des obligations des organismes La lecture de ce document doit permettre de mesurer le degr de priorit assigner au contr le de l organisme en cause Pour mieux cibler vos actions en mati re de contr le vous tes invit s en 2012 consid rer trois crit res ou strat gies d intervention e Les ruptures de contrat Le nombre et les motifs des ruptures de contrats d engagement de Service Civique au sein d un organisme d termin sont des signes qui doivent tre pris en compte 26 des 6000 contrats d engagement sign s
36. rs pr vus dans la proc dure correspond bien l tat d esprit souhait v rification de la conformit du programme accompagnement et soutien des organismes audition des volontaires La grille de contr le est utilis e sur le terrain comme guide pour les entretiens le rapport type de contr le est utilis apr s les visites pour formaliser le compte rendu de contr le Une lettre est quasi syst matiquement envoy e l organisme contr l pour l informer des r sultats du contr le positifs ou n gatifs lorsque le contr le donne lieu des recommandations ou des constats probl matiques un rapport plus cons quent est envoy l organisme et une proc dure contradictoire est mise en uvre Quelques difficult s d appropriation des documents ont t signal es Elles ont t r gl es en partie par une adaptation des outils labor s et valid s par les acteurs mobilis s localement pour le contr le 16 Franche Comt 17 Alsace en cours de transmission Aquitaine Auvergne Basse Normandie Bourgogne Bretagne Centre Champagne Ardenne Franche Comt Haute Normandie Ile de France Languedoc Roussillon Limousin Lorraine Midi Pyr n es Poitou Charentes Rh ne Alpes Guadeloupe Martinique 18 Sont compt s 4 CCAS 19 Courriers type en annexe 1 3 de la circulaire relative au contr le LATE Des l ments quantitatifs et qualitatifs sur les op rations de contr le r alis es et les premiers ensei
37. s des insuffisances sont mentionn es sur l accompagnement au projet d avenir des jeunes volontaires qui renvoient la n cessit d aider la mise en r seau d acteurs de proximit en mati re d insertion professionnelle Plus concr tement Impact positif pour les jeunes dans des missions qui permettent la construction de r elles comp tences o ils se sententutiles motiv s responsables et autonomes Cela repr sente pour un grand nombre de volontaires auditionn s une bonne exp rience pour l avenir Les jeunes rencontr s lors des contr les ont pour la plupart t moign d un bilan positif de leur engagement en terme d exp rience personnelle de d couverte de leurs capacit s et de construction d un projet d avenir les jeunes volontaires expriment globalement une satisfaction vis vis du dispositif qu ils jugent profitable car enrichissant sur le plan humain et pouvant constituer un moyen de confirmer ou de r orienter un projet de formation ou un projet professionnel Des exp riences d envergure par exemple les missions propos es par la ville de Grenoble des jeunes recrut s au sein des quartiers difficiles Des difficult s li es aux retards ou irr gularit s des paiements d indemnit ont t signal es notamment entre juin et novembre 2011 Les organismes 18 Globalement souvent enthousiastes d accueillir des volontaires les organismes ont su adapter les missions en fonctio
38. taine Centre Franche Comt et Lorraine Le 20 janvier 50 contr les r alis s dans ce domaine 14 Centre Aquitaine Lorraine 15 Au 31 d cembre 2011 8 3 des missions taient r alis es dans le domaine du sport 16 Une r gion a engag des contr les sur l ensemble des missions accomplies dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville 1 2 La r alisation des contr les Au 15 mai 2012 e 19 DRJSCS ont transmis un rapport annuel de contr le e 416 fiches synth tiques de comptes rendus de contr le r alis s entre le 15 juin 2011 et le 15 mai 2012 ont t enregistr es l Agence e Environ 1000 volontaires ont t auditionn s par les services Sur l ensemble des fiches enregistr es 23 des missions contr l es rel vent du sport 10 des missions contr l es sont conduites dans des collectivit s territoriales 12 contr les ont t conduits dans les SDIS 23 des SDIS agr s 1 3 Les premiers enseignements Tous les rapports soulignent l impact positif du Service Civique comme ind niable pour l ensemble des acteurs et des b n ficiaires Ils r v lent par ailleurs que de nombreux facteurs impactent le bon d roulement des missions leur d finition le tutorat et de fa on g n rale la pr paration en amont de l accueil des volontaires La m thode Les documents transmis par les services t moignent d une d marche qui tout en tant formalis e par l envoi de courrie
39. tants des administrations concern es d associations et de collectivit s territoriales engag es dans le service civique au niveau local de personnalit s qualifi es et de repr sentants des volontaires Vous y associerez galement le correspondant local de l agence fran aise du programme europ en jeunesse en action gestionnaire du service volontaire europ en SVE ainsi que des repr sentants des organismes partenaires du service civique d l gations r gionales de l association Unis Cit s et de la Ligue de l Enseignement missions locales et R seau Information Jeunesse 8 Les formations de tuteurs En novembre 2011 est mise en place une formation de tuteurs anim es conjointement par la Ligue de l Enseignement et Unis Cit et financ es par l Agence du Civique dans le cadre d un march Ces formations peuvent se mettre en place sur l ensemble du territoire sur demande des r f rents Service Civique 10 ANNEXE 4 Des indicateurs pour l instruction et le contr le des agr ments des associations li es au fait religieux Les associations cultuelles dans la loi de 1905 ont pour objet exclusif l exercice d un culte c est dire la c l bration de c r monies organis es en vue de l accomplissement par des personnes r unies par une m me croyance religieuse de certains rites ou de certaines pratiques Ni une association cultuelle ni une congr gation ne peuvent recevoir l agr ment de service civique cf Article L 120
40. torit afin d obtenir ce qu il estime tre son d de faire respecter son droit ou celui d autrui C est aussi le nom g n rique donn une d marche administrative service des r clamations ou le nom sp cifique port par certaines actions en justice r clamation d tat Le fait de r clamer c est celui de demander comme un droit non pas seulement devant un tribunal mais par toute manifestation tendant exercer ce droit La r clamation est un terme g n ral qui embrasse toutes les formes de demandes ou protestations Il est propos de d finir la r clamation comme tant l action pour un particulier de demander des explications sur un v nement dont il estime qu il fait ou pourrait faire grief lui m me ou autrui et ayant pour finalit le respect de l exercice d un droit cf D finition dans le guide de gestion des r clamations IGAS juillet 2011 9 ANNEXE 3 Le cas particulier du contr le des organismes nationaux e La n cessaire connaissance des associations qui disposent d un agr ment national Les associations nationales par l implantation d un tablissement secondaire ou d un organisme membre b n ficiant de l agr ment collectif ou via le recours l interm diation sont toujours sur les territoires des partenaires et des acteurs de premier plan du Service Civique et de fa on g n rale des politiques publiques en particulier en mati re de jeunesse Au titre du Service Civiqu
41. u Service Civique Date d application Imm diate Classement th matique Jeunesse et vie associative Examin e par le COMEX le 20 septembre 2012 R sum La pr sente instruction a pour objet de pr senter les orientations de mise en uvre du contr le du Service Civique pour l exercice 2012 2013 Elle propose galement des compl ments m thodologiques pour la conduite de ces op rations de contr le Mots cl s Service Civique Textes de r f rence loi n 2010 241 du 10 mars 2010 relative au Service Civique d cret n 2010 485 du 12 mai 2010 relatif au Service Civique circulaire n ASC SG 2011 204 du 30 mai 2011 relative la proc dure de contr le applicable en mati re de Service Civique Annexe 1 Pr cisions et compl ments sur les crit res et les cons quences du contr le Annexe 2 Le traitement des r clamations des volontaires Annexe 3 Le cas particulier du contr le des organismes nationaux Annexe 4 Des indicateurs pour l instruction et le contr le des agr ments des associations li es au fait religieux Annexe 5 Les missions de Service Civique dans les domaines du sport et de l animation Annexe 6 Contr le du Service Civique rapport national juin 2011 juin 2012 La circulaire n ASC SG 2011 204 du 30 mai 2011 d finit la proc dure de contr le applicable en mati re de Service Civique Cette proc dure a pour objet de garantir la conformit
42. vile du minist re de l Int rieur pour les SDIS e Les missions dans les collectivit s territoriales Les missions nouvelles dans les collectivit s territoriales peuvent galement faire l objet d une d marche circonstanci e dans la mesure o le d veloppement du Service Civique en leur sein est relativement r cent Pour cette raison les conditions dans lesquelles les sp cificit s de la d marche du Service Civique sont appr hend es et appropri es m ritent une attention particuli re Les cinq annexes cette instruction sont destin es compl ter les l ments m thodologiques contenus dans l instruction du 31 mai 2011 Vous voudrez bien me tenir inform des difficult s ventuelles que vous pourriez rencontrer dans l application de cette instruction PL Martin HIRSCH Le Pr sident de l Agence du Service Civique ANNEXE 1 Pr cisions et compl ments sur les crit res et les cons quences du contr le 1 Crit res compl mentaires consid rer dans le cadre des op rations de contr le 1 1 La formation civique et citoyenne Les organismes ont l obligation d assurer aux volontaires une formation civique et citoyenne Le d cret n 2012 310 du 6 mars 2012 relatif l aide vers e aux organismes d accueil de jeunes en service civique pour l organisation de la formation civique et citoyenne pr cise les modalit s de versement Cette formation civique et citoyenne comprend obligatoirement deux volets
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